"J'offre des jobs à 100 000$ par année au RTC"

September 12, 2024 00:51:20
"J'offre des jobs à 100 000$ par année au RTC"
Maurais Live
"J'offre des jobs à 100 000$ par année au RTC"

Sep 12 2024 | 00:51:20

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Show Notes

L'intro de Maurais live

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[00:00:00] Speaker A: Live avec Dominique Morin. Tout va bien ce super jeudi. On est de bonne humeur. On est ensemble. [00:00:29] Speaker B: Ouais, c'est vrai. [00:00:30] Speaker A: Et pendant ce temps-là, bien, Dan Gravel lèche ses plaies. On va être de retour lundi. Dan, qui a une crise de zona, mais ici, dans Montréal Live, c'est la no-zona zone. [00:00:44] Speaker B: Ça se dit bien? [00:00:46] Speaker A: Ça se dit très bien. [00:00:48] Speaker B: Nos zones à zones. [00:00:48] Speaker A: Nos zones à zones. On va même faire des t-shirts et c'est en vente bientôt à la boutique de Radio X. [00:00:55] Speaker B: Pis Dan n'a pas le droit de l'acheter. [00:00:57] Speaker A: Dan n'a pas le droit de l'acheter malgré qu'il devrait être correct lundi, dit-on. À grand coup de pellule et à grand coup de je me rase les sourcils. [00:01:05] Speaker B: Wow! [00:01:05] Speaker A: Je savais pas si t'allais en parler. C'est une grosse crise, c'est pas vrai. On en parle, mais c'est pas drôle, mais Dan est pas mort. Dan est pas en danger de mort quand même. [00:01:17] Speaker B: C'est juste voler manger. [00:01:19] Speaker A: C'est chiant. Ça pique, ça brûle, c'est plate, c'est poche. On passe à lui, de retour lundi. Et il va sûrement regarder le foot en fin de semaine, tranquille. [00:01:28] Speaker B: L.I.T, ils jouent avec qui les Jets? Bonne question. Je n'ai pas regardé. [00:01:32] Speaker A: Ce soir, c'était les Dolphins. [00:01:34] Speaker B: Les Dolphins contre les Bills, en plus. Un des gros matchs de l'année. Notre division, cette année, a des calendriers parce qu'on affronte un petit peu les mêmes équipes hors division, ceux qu'on affronte pas d'habitude. Fait que les gros matchs, sérieusement, c'est beaucoup intra-division. C'est beaucoup Dolphins, Jets, Bills. Quand on va s'affronter, les deux fois qu'on va s'affronter, chacune de ces équipes-là, ça va être dans les plus gros matchs de la saison, je te dirais. [00:02:02] Speaker A: Très bon. C'est-tu à Miami? [00:02:04] Speaker B: Oui, c'est à Miami ce soir. [00:02:05] Speaker A: OK. [00:02:06] Speaker B: Ce qui veut dire qu'on va affronter les Bills dans le fret plus tard dans la saison. [00:02:08] Speaker C: Merde. [00:02:11] Speaker B: Mes dauphins dans le fret. [00:02:12] Speaker A: Non, non, non. Toi, dans le fret, ça marche pas. [00:02:14] Speaker B: Ouais, c'est un Hawaïen. Hawaïen! [00:02:18] Speaker A: Comment ça va, Nick, dans la tour de mort à live? [00:02:20] Speaker D: Ça va très bien. [00:02:21] Speaker A: Ça va très bien, en forme. Merci d'être avec nous ce matin et demain également. [00:02:26] Speaker B: Tu te sens Hawaïen, non? [00:02:27] Speaker D: Comment? [00:02:28] Speaker B: Est-ce que tu te sens Hawaïen? [00:02:29] Speaker D: Ah, s'il le faut. [00:02:33] Speaker A: S'il le faut, s'il le faut. Si on n'est pas taxé, ça se peut qu'un politico nous dise une taxe hawaïenne. Étant donné qu'il y a eu une tempête là-bas, donc vous devez contribuer. C'est un peu de votre faute. C'est un peu de votre faute, la crise climatique, c'est sûr. C'est un peu de la faute à ma tante Suzanne et la faute de la mono-parentale de Charlesbourg. Oui. Un texte quand même assez... assez weird. Comme si ça touchait Juste elle. Je vous dirais que c'est pas mal tout le monde qui est en sacrement à matin. C'est pas anecdotique. C'est pas quelqu'un qui a une maladie exotique comme... Harold Gagné. Moi, j'ai aimé travailler avec Harold. Je sais qu'on en a fait des imitations pour tout le kit. Moi, j'ai travaillé à TVA quand même plusieurs années. Harold, c'est un christi de bon gars. Mais Harold, sa twist, il me l'avait racontée. Dis-moi là, pour faire le lit du bulletin, le dimanche et le lundi, je me canne un reportage sur la santé. Soit une poursuite en santé, genre quelqu'un qui est tombé malade d'un CLSC, poursuit 2 millions le CLSC, ou quelqu'un qui a une maladie dégénérative ou bizarre. [00:03:48] Speaker B: Patente intemporelle. [00:03:49] Speaker A: Patente un peu intemporelle, en effet. Savez-vous quoi? Ça marche à tout coup. Donc, c'est marché à tout coup. Puis Harold, je pense qu'il a pris sa retraite quand même jeune pour prendre sa retraite. Quoique, c'est toute sa affaire à lui. Dans ce cas-là, bien précis ce matin, c'est la famille, même pas la famille, la mère monoparentale de Charles Lebourg qui est furieuse que Marchand ait triplé la taxe. Ça touche tout le monde. Je comprends que ça la touche. C'est correct d'y parler. Christine Roussel, elle existe, c'est pas une comédienne. Mais la manière avec laquelle je perçois ça, c'est que c'est elle qui est visée parce qu'elle a une voiture, elle est forcée d'utiliser sa voiture en raison de son emploi. À matin, Nick va faire la circulation. Puis nous autres, le morning show, on est un peu à contre-courant. On le sait qu'il y a du trafic, mais je veux dire, on vient travailler à 4h15 du matin, puis on s'en va à 10h. Donc on est un peu à l'envers de la vie. C'est ça. Donc là, regarde, c'est un peu... C'est pas tricher, notre job est faite de même. Bon, regarde, c'est comme ça. Mais hier, j'ai eu à virailler en ville pour donner 2-3 lifs. En fait, mon fils, c'est coach au foot. Je vais le chercher à l'école, je l'amène au terrain de foot, blablabla. Sacrifice. Je suis arrivé à la maison, moi, l'île, j'étais pas en mode, là. Mon linge n'était plus à mode, ma femme ne me reconnaissait plus. Il a fallu que je montre des vieilles photos de Facebook pour dire que c'est vraiment moi. Elle m'a carté toute la patente. Ça n'a pas d'allure, le trafic, pour vrai. Je n'ai jamais vu autant de trafic à Québec. Mais oui, j'ai les insanités du maire qui vont dire que ça prend un tramway, lutte contre le trafic. C'est complètement stupide de dire une affaire de même. Mais il y a plus de monde sur la route. Ça, c'est la réalité. Dans un réseau routier qui a été configuré dans les années 60 et 70, c'est comme ça. Un peu comme un adulte qui porte son linge d'enfant. Fait, pensez un peu à ça. Maudit que je suis serré. Oui, oui, mais t'avais acheté ce chandail-là, t'avais 8 ans. Pis là, t'as un A27. Donc, tu peux pas le mettre. La Ville de Québec est un peu comme ça. La ville de Québec était beaucoup plus petite dans les années 70, évidemment, à l'évidence. Mais là, on a un réseau routier qui ne s'est pas élargi, qui ne s'est pas agrandi, qui ne s'est pas adapté à la réalité urbaine et résultat. Il y a plus de trafic, plus de congestion, ça prend plus de temps pour arriver à la maison. [00:06:29] Speaker B: Toutes les erreurs ont justement été faites dans les années 70, où on a bâti une bonne partie du réseau, entre autres capitales. [00:06:37] Speaker A: De manière incomplète. [00:06:38] Speaker B: Bien oui, entre autres. [00:06:39] Speaker A: Parce qu'on n'a pas fini de la capitale qui devait déboucher vers Saint-Ogles. [00:06:43] Speaker B: Mais on n'a pas prévu l'avenir aussi. [00:06:45] Speaker A: C'est ça. [00:06:45] Speaker B: On n'a assez aucune place pour l'élargir à un moment donné. On n'a pas prévu non plus, j'imagine, dans ces années-là, une possibilité d'une autre couche plus loin pour faire S-Ouest. Une autre route pour faire S-Ouest. La seule à Québec, c'est capitale. [00:07:03] Speaker A: C'est Capitale qui est problématique. [00:07:04] Speaker B: Charée, c'est pas une autoroute tout le long. [00:07:07] Speaker A: Donc rappelons-nous ce matin qu'elle a vraiment besoin de son char. Les autres n'ont pas besoin de leur char. Elle a besoin de son char. [00:07:13] Speaker B: Ouais, c'est ça. Elle en a vraiment besoin. Tout le monde qui en a une en a besoin. [00:07:18] Speaker A: C'est ça. Tout le monde sur la route utilise son char pour aller travailler. [00:07:23] Speaker B: Comment se fait le lien entre cette madame-là et le journaliste? Pourquoi c'est à elle qu'on parle? [00:07:28] Speaker A: Ouais, bon point. [00:07:31] Speaker B: C'est sa voisine, il la connaît. Comment ça s'est fait? Il l'a rencontré à l'épicerie. [00:07:38] Speaker A: J'aime ça des questions de même. [00:07:39] Speaker B: Pourquoi les auditeurs hier qui nous ont jasés, qui ont trois chars dans l'entrée parce que le plus grand, il y en a un, puis qu'il y a une moto en plus. [00:07:47] Speaker A: Pourquoi c'est pas ce monde-là? Pourquoi il n'est pas dans le journal? [00:07:49] Speaker B: Oui, bien c'est ça. Qu'il va y avoir donc 240 piastres de plus à payer chaque année. Je vous rappelle que ça va être indexé aussi pour les autres années. [00:08:00] Speaker A: Absolument. Comme la réserve climatique va se poursuivre aussi, on a tendance à oublier ça. J'ai beaucoup, beaucoup de choses. Il y a beaucoup de choses qui devraient être dans le journal ce matin que j'ai trouvées juste avec un petit clic. Le RTC, c'est une méchante patente. Et ce matin, il me semble qu'il y aurait eu de la place dans le journal pour les salaires des grosses légumes du RTC. Ça a déjà été publié l'année passée dans la presse. Les salaires des trois chiffres. Oui, oui. Trois chiffres sucrés salés. Les offres d'emploi ce matin sur le site du RTC. On a coupé où? Il s'est pincé avec Alexa Lavoie. On va y jaser tantôt. On va faire un petit bloc sympathique dans le Grand Journal avec Alexandra Lavoie, de son nom complet, de Rebel News. La seule hier qui est allée mettre la face de marchande à son type-là. Gary fait une bonne job. Mais Gary est multitask. Donc Gary est ici et là à la fois, puis il fait très bien sa job. [00:09:18] Speaker B: Il est comme Jésus, il est partout. [00:09:20] Speaker A: C'est ça. Je ne donnais pas le point. Le point, c'est qu'elle est baveuse. Comprends-tu? Elle est baveuse, puis elle est baveuse de métier, puis elle est fière d'être baveuse. Donc elle est allée, au lieu d'aller voir les proamas à McGill, qui ne sont pas encore arrivés, elle est allée voir un marchand, puis elle est allée se le faire. Donc on va entendre ça tantôt. Très manipulateur, hein? « Vous voulez que je coupe? Dites-le! Vous voulez que je coupe? [00:09:44] Speaker B: » C'est ta job, ça. [00:09:47] Speaker A: Ouais! Ça, c'est manipulateur en étoile. Je l'ai écouté. [00:09:49] Speaker B: Je l'ai entendu hier. J'ai fait « Ben, c'est parce que c'est ta job de savoir où couper. » « Si tu veux me sous-traiter ta job, c'est correct, là. Donne-moi les livres, pis moi, je vais t'en trouver des places où couper. Garanti. » Pis d'après moi, on a des exemples à chaque semaine dans le show. [00:10:02] Speaker A: De JC où couper, là. [00:10:04] Speaker B: On en a eu encore hier. [00:10:06] Speaker A: Oui, oui. T'en as-tu des extrêmes? Oui. Ben, parfait. Regarde, y'en a, y'en a, y'en a, y'en a. [00:10:10] Speaker B: J'en ai un gros. À chaque semaine, j'en sors au moins un gros. [00:10:12] Speaker A: C'est quoi, Yann? J'ai pas poigné. [00:10:13] Speaker B: Les arbres. [00:10:14] Speaker A: OK. C'est quoi? Les lagages? OK, tantôt. T'as une surprise pour les gens qui ont regardé, qui ont écouté le midi. Je suis pas ma légion. C'est ça. Pour les gens qui ont écouté le midi, le savent. Je reviens à la base, là, parce que c'est le gros sujet. Y'a deux, trois gros sujets à matin, mais je reviens là-dessus parce que c'est très important Le ménage au RTC. Y'a-tu quelqu'un qui a picossé le RTC hier? Avec les chiffres qu'on a de salaire. Je vais aller les rechercher là. Ça a été publié... Non, y'a beaucoup de choses concernant le RTC. Ah oui, je les ai ici. 2022. 2024, ça a pas baissé les salaires. Si vous les avez en petite enveloppe brune, envoyez-nous ça. 88-670-9098 par texto ou le Messenger de Moral Live. [00:11:02] Speaker B: Mais parenthèse, ce que je t'ai dit hier aussi, on était sortis des ondes à ce moment-là, j'avais fouillé pour les salaires des chauffeurs. Les salaires des chauffeurs, à la base, sont pas si extravagants que ça. C'est pas des si gros salaires. Mais l'RTC est tellement mal géré que tout le monde, de ce que je comprends, tout le monde fait beaucoup d'heures supplémentaires, si t'arrêtes les heures supplémentaires au RTC, il y en a une gang qui font faillite, je pense. Ceux les pires, le salaire maximal au RTC, c'est 65 000, si je ne me trompe pas, à moins que ça ait été renégocié puis que ça soit un petit peu plus haut, mais c'est dans ces eaux-là. Mais il y en a, je pense que c'est l'année dernière, si je ne me trompe pas, ou au pire, l'année 2022, qui ont fait pas loin de 150 000. Parce qu'ils sont capables d'au moins doubler leur salaire avec les heures supplémentaires. C'est des cas rares. [00:11:52] Speaker A: Je m'attrape pas au chauffeur. Le chauffeur ça va pas partir d'ici. [00:11:56] Speaker B: Je suis bien, je suis bien. [00:11:56] Speaker A: Faut pas faire de diversions. [00:11:57] Speaker B: Non mais je te dis que c'est mal géré. [00:12:00] Speaker A: Oui, c'est mal géré. C'est mal géré par qui? Par du monde qui ont des gros salaires. Oui. Alain Mercier a été remplacé par Nicolas Girard en décembre 2022. Donc en 2022, 321 072 $. Je vais arrondir les salaires, OK? 321 000. Alain Mercier. 321 000! OK? Je le répète, vous l'avez mal entendu. 321 000 pour gérer un système qui roule tout seul. Quand je dis un système qui roule tout seul, tes chauffeurs, t'as ton horaire, t'as ton trajet, tu travailles. Lui, il fait quoi? C'est vrai, pareil, là. Lui, il fait quoi? OK. On a besoin, là, l'autobus, un tel numéro. Elle est malade. Elle est défectueuse. On va en acheter une. OK. On va en acheter. On va négocier. On va faire un appel d'offre. Il fait quoi? Annie Bélanger. Directrice de l'administration. 250 000 piasses. 250 000 piasses. Hilaire Boudreau. Directeur de la transformation. Transformation de quoi? 243 000. 243 000 piastres. Là, on parle du public. Payé par la ville. Et nous autres, les soccers, on paye par en arrière. Et lui, il dit que ça se détériore, marchant à un point tel qu'il sait plus où couper, que ça n'a pas d'allure, pis qu'il va tripler nos taxes. Hilaire fucking Boudreau. 243 000. Happy for you! Happy for you! C'est un bon gars! Mais si vous le connaissez, si vous le saviez pas son salaire, ben là vous le savez. Fait que s'il veut pas payer la bière en fin de semaine, ben traitez-les de cheap. Vous avez le droit. Martin Labbé, directeur de l'exploitation. Ah tu vois, on se fait exploiter un péché. Ah oui gars, je sais pas si c'est le directeur du monde de l'exploitation. Martin Labbé, 230 000. Sacré fils. Christian Leboeuf. Directeur des technologies. Wow! Wow! Wow! On n'est pas en NASA, là. On n'est pas au MIT. On n'est pas dans une grosse compagnie qui gère de l'intelligence artificielle. C'est des fucking bus. C'est du transport en commun. Je l'ai pris le transport en commun en Étoile. Partout. Surtout, ben partout où j'ai vécu. Je l'ai pris à Ottawa, je l'ai pris à Toronto. Toronto, rien qu'en masse. Toronto, ça virait Saint-Méchantin. Lawrence-in-Bayview, je prenais de bus. Je débarquais station Bay Lawrence. J'embarquais dans le métro, ça allait bien à Toronto. À Vancouver, je restais East Vancouver. Pis j'allais à l'école à Point Grey, pour les gens qui connaissent la géographie. J'arrivais à UBC, mon linge était un peu en mode. Fait que là, je me rachète du linge pour revenir à la maison. Pis rentré à la maison, il était pas plus en mode. Pis finalement, j'ai gradué à Salmon Fraser, Mountain Campus. Là, c'était quasiment à côté, c'est Burnaby. J'ai pris l'autobus. Je sais c'est quoi. L'autobus, tu t'assis. C'est long. Dans ce temps-là, j'avais un Walkman. Et plus tard, j'ai eu un Discman. Fait que j'écoutais des disques. J'écoutais beaucoup de Québécois à l'époque. Peut-être que ça... Ceci veut dire cela. Peut-être que ça a affecté ma santé mentale. Je sais pas. Faudrait parler à un spécialiste. On a-tu de la place ce matin, Yannick, pour un spécialiste? Non, on n'a pas de place. Ok, ça c'est les grosses légumes en haut. Regardons maintenant, juste un échantillon. On a... Oh c'est pas au coupé. On a coupé partout. Ah oui, on a coupé partout. Il y a des postes d'ouvert actuellement. Technicien en planification des infrastructures. Ha ha ha ha ha! [00:16:15] Speaker B: Alors dis son titre. [00:16:17] Speaker A: Technicien en planification des infrastructures. [00:16:21] Speaker B: Ok. [00:16:22] Speaker A: Permanent. Donc c'est permanent, c'est... Dans ce qu'il offre, le salaire, je vais le dire à la fin. Projet passionnant. Directive de télétravail flexible favorisant un horaire hybride. Un petit peu de pantoufles. Un petit peu de pantoufles, marche avec le caniche. Un petit peu de travail, zoom. La 412, ça va bien, tu arrives à l'heure, 10h15. Conciliation, travail, vie personnelle. Ah oui, ma vie personnelle. Regarde, moi là, mon maxi à 2h15 l'après-midi, j'en avais pris l'habitude avec la pandémie, pis regarde, ça va rester comme ça. Programme d'assurance collective complet, mur à mur, grayer, régime de pension à prestation déterminé. [00:17:06] Speaker B: Ah-ha! Ah-ha! [00:17:14] Speaker A: Là, là, là, ça fait mal. En 2024, est-ce normal qu'un système de transport en commun qui est sur le cul... Gigi, je suis d'accord avec elle à 100% Matin. [00:17:31] Speaker B: 30-40 millions de déficit. [00:17:33] Speaker A: Oui. C'est 30 millions de déficit. [00:17:35] Speaker B: C'était 30 l'an dernier, je pense que, si je me trompe pas, j'ai bien entendu marchand hier, il parlait de 40 pour l'année qui s'en vient. [00:17:43] Speaker A: C'est la débandade, là. C'est la débandade pis on mit le cornet. C'est le cornet à 3 boules pis à 4 boules pis à 5 boules, là. Régime de prestation déterminé. Ça, ça veut dire quoi pour les gens qui connaissent pas l'expression? C'est que TQ, TQ pis TK, ça c'est l'histoire de TQ et TK. Je vais vous raconter l'histoire de TQ et TK. Il était une fois TQ et TK qui se ramassaient de l'argent, peut-être à coups de 500 piastres ou de 1000 piastres. Par année, à Chicago, il se ramassait un REER. Mais TQ et TK, à un moment donné, ils vont prendre le retrait de TQ et TK. Et là, ils vont avoir la pension du fédéral et du provincial. Puis la retraite, il y a pas grand-chose. Et la retraite, ils vont en prendre. [00:18:21] Speaker B: De 5 ou 10. [00:18:24] Speaker A: Ben, Ticu et Ticaille, là, ils vont chicaner les antipêchés parce que Ticu et Ticaille, là, ils ont pas le régime à prestations déterminées. Ils vont aller à eux autres, Ticu et Ticaille, ils vont zigonner une pension, puis peut-être qu'ils vont vivre pauvres. Et très certainement qu'ils vont vivre pauvres, en fait. Tandis qu'un régime à prestations déterminées, ce qui n'existe presque plus dans le privé, sauf pour certaines compagnies d'assurance. Mais les employés... Ça prend des grosses. [00:18:53] Speaker B: Compagnies qui existent depuis longtemps. [00:18:55] Speaker A: C'est ça, avec des employés qui étaient déjà à l'emploi. Avec ce régime-là, parce que les nouvelles embauches d'une compagnie d'assurance, c'est très rare que t'as ça. [00:19:03] Speaker B: C'est ce qui a mis GM sur le cul. Ben oui. Les fonds de pension déterminés, c'est ça qui a mis GM sur le cul il y a quelques années. [00:19:13] Speaker A: Oui. Prestations déterminées, Ça veut dire que tu prends ta retraite à 65. T'es assuré d'avoir, et là je dis n'importe quoi les montants. T'es assuré d'avoir, mettons, 38 000 par année. Indexé. Cling, cling, cling, cling, cling. Indexé! [00:19:30] Speaker B: Oui! [00:19:30] Speaker A: Ça, ça veut dire que... C'est indexé, c'est en monde, c'est... Tu te couches, tu fais dodo, t'es sûr que le chèque rentre, bing bing bing bing bing. [00:19:38] Speaker B: Y'a une crise économique. [00:19:39] Speaker A: Oui, exactement. [00:19:40] Speaker B: T'as ce montant-là, pareil, y'a rien qui change. T'as pas eu les rendements que tu voulais avec les placements que t'avais faits, c'est pas grave. T'as ton montant, y'est garanti. [00:19:48] Speaker A: Mais TQ et TK, là, ils se baisent le cul quand la bourse va prendre des bandades. Oui. Mais pas eux autres. Le gars ou la fille travaille dans un réseau de transport en commun. Excusez-moi là. C'est là qu'est le scandale. Oh non, on peut pas toucher à ça. C'est des acquis. Mais fuck you les acquis. Il faut couper dans les acquis, les amis. À Kiki, à Mimi, à les acquis. Les acquis de Kiki et de Mimi. Ben c'est à Féfi, à Nini. Également, accès à un gym 7 jours sur 7. C'est ça cette affaire-là. Je le paye mon gym, moi. Pourquoi qu'il y ait un gym, lui? Un technicien en planification. Accès à un gym. Et il y a la carte opus qu'il prend pas parce qu'il y a un Volvo. J'imagine où il y a un BM qui vient travailler. [00:20:38] Speaker B: Les gros noms dont on a parlé tout à l'heure. À 300 000. Ils utilisent tous le service pour lequel ils travaillent, bien sûr. [00:20:44] Speaker A: Ah oui, c'est sûr. [00:20:45] Speaker B: Ils donnent l'exemple. [00:20:46] Speaker A: Le salaire maintenant. Salaire annuel, 69 000 à 89 000. Technicien. C'est un technicien, là. En planification des infrastructures. Il est embauché. Puis lui, il a un régime à prestations déterminées. Sa job, analyser le tracé des parcours planifiés afin d'établir la meilleure localisation des lieux de montée et de descente de la clientèle. Par l'observation sur le terrain des contraintes physiques à l'aménagement, l'analyse de la localisation de la clientèle potentielle, la détermination des principaux générateurs de déplacement. Aïe, aïe, aïe. Conseiller en gestion financière. Qu'est-ce que ça fait là, ça? RT... ou RTC? 101 000 par année. Permanent. Pouf! Prestation déterminée aussi. Mais oui, toi que ça, au gym aussi. Ding, ding, ding, ding. Au casino. Ah ouais, le p'tit plat. Il est où le p'tit plat d'homme? Ok. Oh, les jetons, ça tombe. J'ai gagné au casino! Trois cerises! Trois cerises! 101 000. Ils s'en cherchent là, là! Là, le poste est ouvert, là, à matin! Permanent, temps plein. On peut pas couper. Qui êtes-vous, Rebel News? On peut pas couper. J'ai un autre poste ouvert à matin. Oh! Regardons ça, toi! Un beau conseiller en gestion électronique documentaire. Poste ouvert un matin, c'est-tu fun ça, cette petite chronique-là un matin? Ça me semble dégourdi. 6h22. On est, ma foi, en Super Jeudi! 89 000. Oh, c'est bon, ça, quand même. Hé! Hé, pis c'est en mode hybride, hein, fait que... On va pouvoir y aller à mon... à mon Super C, hein, 2h15, 2h30. Entre deux hommes. participe activement à l'implantation ainsi qu'à l'évolution d'un système de gestion de l'information numérique et d'une voûte documentaire numérique dans le contexte de réalisation des projets du RTC. C'est-tu n'importe quoi, ça? C'est-tu n'importe quoi, ça? Ah, que t'es pas fin, Maurice! T'es épouvantable! T'es épouvantable! Conseille l'organisation sur les technologies appropriées quant aux besoins actuels et futurs en gestion numérique des documents. Participe à la prise des besoins des clients internes. Effectue la mise à jour du calendrier de conservation conformément aux règles en vigueur. Coordonne l'organisation du dépôt des archives. [00:23:15] Speaker B: La future femme américaine ne sera plus députée. [00:23:19] Speaker A: T'en veux-tu un autre? [00:23:19] Speaker B: Il va appliquer. [00:23:20] Speaker A: J'ai un autre poste, moi. Regarde, moi... Moi, je suis généreux le matin. Regarde, moi, j'ai un petit cœur. Regarde, moi, j'ai un petit cœur pis moi, je donne le matin. Moi, je donne. Moi, je donne. Coordinateur. Amélioration continue et performance 111 000. Toutes des postes ouverts le matin, ça. Ouais, on peut pas couper. On peut pas couper. Y'a une planète. Y'a une planète qui saute. Y'a une planète qui explose. On peut pas couper. Y'a une urgence climatique. Vous croyez pas en l'urgence climatique? Faut taxer. Pensez-vous que je suis content de taxer? Hey, je me suis essayé pour la taxe sur l'essence, la CAQ m'a dit non. Mais ça, je vous en reparle tantôt. 111 000. Coordonnateur amélioration continue et performance. Vous autres, les soccers payés à Québec, je vous le dis, c'est à plein gaz, la tartine, la toast beurrée des deux bords, la taxe d'immatriculation va tripler parce qu'ils sont pas capables de se gérer. Pendant ce temps-là, ces jobs-là sont ouvertes. Qu'est-ce qui fait, lui, le coordonnateur? Il fait... Il assure le respect des meilleures pratiques en matière d'amélioration continue et contribue à la performance globale de l'organisation. Il collabore avec les autres directions afin de résoudre des problématiques. Veille à la réalisation des plans d'action. Il assure le contrôle qualité des processus en place. On dirait que c'est moi qui ai inventé ça pour faire un montage. On dirait que c'est un Wokaroni. Wokanada. Il rend compte de la direction des actions réalisées et de l'atteinte des cibles fixées en matière de performance grâce à des indicateurs pertinents. Oui, oui. Il a accès au gym aussi. Le régime de prestation déterminé, Dom? Oui, pourquoi pas? C'est incroyable. Il y a une planète à sauver. C'est incroyable. C'est scandaleux. Hier, il y a eu des élections à Québec. Il a perdu ses élections. Forget about it. Il a perdu ses élections hier. Oubliez ça. Et là, on apprend en plus qu'il s'est essayé sur la taxe, sur l'essence. Ah, c'est pas moi, c'est la communauté urbaine. Ben oui. Hé, ça là, c'est la manipulation extra-sauce Major League. [00:25:30] Speaker B: Y'avait encore, là. [00:25:31] Speaker A: Ben oui, y'avait encore, mais c'est pas lui, là, c'est la communauté urbaine. Oui, oui, oui. Mais la CAQ, il a dit non. Il en aura pas. [00:25:37] Speaker B: La CAQ, il a dit non, mais c'est parce qu'en partant, il faut qu'ils s'entendent avec toutes les mères pis les autres mères, elles voulaient pas. Mais là, il veut urgencer de ça avec eux autres, là. [00:25:44] Speaker A: Mais la CAQ dit non. C'est bloqué, là. Il y aura rien de la CAQ, en passant, là. Bollardel, hier, il a mis la face dans le type-là. Non, non, on n'est pas Laval, on n'est pas Montréal. Ça se tire pas des rues. Y'a pas de drive-by shooting. T'auras pas une cente de plus. Gère ta police avec tes budgets. Y'aura rien. Oubliez ça, là. Koski, Son maître lui a acheté un choker. C'est comme ça que t'appelles ça, Nick? Choke? Choker? Comment t'appelles ça? Choker. Koski, il a la peau courte. Ma mère, elle disait ça. T'as la peau courte. En voulant dire, t'es marabout. Il est sur le pot au lait. Il est sur le pot au lait. Koski fait le pot, là. Je vous dirais qu'un matin, avec la belle lettre de Yuri... [00:26:30] Speaker B: Il n'y aura pas de belle matinée, là. [00:26:32] Speaker A: Il n'y aura pas de belle matinée anti-péché. Fait que Marchand, il tombe vraiment sur le bonbon de la CAQ. Et je vous dirais que tout ce que Marchand va demander de la CAQ, forget about it. Mais, la CAQ, il a demandé, il a donné sur un plateau d'argent la possibilité de taxer. Ça, là-dessus, elle joue un peu à ponce-pilote. Gigi. Pierre qui dit oubliez ça, il va être réélu. Ah oui, parfait. 500 piastres cash. Pierre, 500. 5 bruns d'une enveloppe. Mets ça en consigne. 500 bruns, 500 dollars. Moi j'avais gagé à l'époque concernant Trump. Ah Trump là, tu vas voir, il va renverser le gouvernement. Il va arriver que ça gagne. Sur le stage. avec son armée, il va tasser Biden à la sermentation. J'ai gagé des bouteilles de vin à 65 $. Oui, c'est arrivé. C'est arrivé. Moi, quand je suis arrivé, je travaillais ici. [00:27:30] Speaker B: Il a pas tôtu, hein? [00:27:31] Speaker A: Non. Je pardonne. Mais j'arrivais ici, à tous les matins, à un moment donné, je prenais une straight pipe, c'est 5 jours de temps, j'avais des bouteilles de vin qui m'attendaient à la porte. Morin, t'avais raison. Morin, t'avais raison. Les amis, vous êtes à l'extra sauce, là. dans votre film, à un moment donné. « Trump va gagner, il va arriver avec son armée. Ils vont arrêter Biden, ils vont le menotter. Puis là, Trump va mettre la main sur le comique, puis il va devenir président. » Arrêtez, là. Wow, wow, wow, wow, wow. Bouteille de vin à 65 piastres. Ah, un Morel à Bois-de-Caen. Parfait. À cette heure, mon cellier est plein, plein, plein, ça déborde. Donc, 500 piastres, Pierre. [00:28:12] Speaker B: Tu games? [00:28:12] Speaker A: Ah, il m'y répond pas. Ok. Non, il gagne. Oubliez ça, là. Marchand, c'est terminé, mais il est all-in. Quelqu'un qui le sait que c'est fini, il va être all-in. Je vous le dis, la prochaine année avec Marchand, ça va être la no fun zone. Il va y aller all-in avec son agenda. Il n'y a plus rien à perdre. Avec ça, y'a plus rien à perdre. C'est terminé. Les ponts sont coupés avec la CAQ. La CAQ va être encore là quand il va être en élection municipale. Et les ponts sont coupés avec le peuple. Oubliez ça. C'est terminé. Pis le tramway, arrêtez d'en parler en passant. Les journalistes, là. Le crise de zigonnage avec vos images de pépines sur l'oreiller, là. Va falloir arriver à la vie à un moment donné. Y'a pas juste des monoparentales à Charlebourg qui ont besoin de leur char. [00:29:03] Speaker B: Parlez-en du tramway, mais parlez comment la ville poursuit. [00:29:06] Speaker A: Parlez au monde aussi qu'ils sont égorgés à Québec. [00:29:09] Speaker B: Parlez comment la ville fait le plus possible un tramway qui n'arrivera jamais. Il n'y arrivera pas. Il n'y a rien qui va bouger. D'après moi, la CAQ, il n'y a rien qui va bouger d'ici l'élection fédérale qui va venir au printemps prochain. À partir de là, c'est fini le tramway. [00:29:25] Speaker A: Et là, je m'en vais dans la tour de Montréal Live avec Nick, bien muni de son gaminet de chansonnier. Et t'as l'air en mode de chanson un matin. T'es rempli de chansons, t'es rempli de bonheur. [00:29:37] Speaker D: Ah, j'ai... ouais. [00:29:39] Speaker A: Youri Chassain, il écrit une maudite bonne toune un matin. [00:29:41] Speaker D: Oui! [00:29:42] Speaker A: La bombe atomique. Oui, oui. Marchand, je viens d'en parler. On va y revenir. Assurément. On aura Alexandre Lavoie de Rebel News qui s'est pincé avec. Quand j'ai dit tantôt qu'elle baveuse, je l'adore. Moi, j'étais baveuse sous le terrain. Quand je dis baveuse, c'est dans le bon sens. Elle est très bonne. Elle pose les bonnes questions. Non, mais étant têtée, elle tait dessus, je l'adore. J'aime ça. Elle est parfaite. Elle est parfaite, parfaite, parfaite. Gary, il va être avec nous autres également au téléphone, je crois bien. [00:30:09] Speaker B: Oui, tout le monde au téléphone. [00:30:10] Speaker A: Il va nous raconter le déroulement. Puis Gary, il connaît un peu la machine, nos plans intestins, nos plans internes. Il connaît les tenants et aboutissants. Il va nous raconter ça. Duhem débarque dans le show avec Patrick Paquette également. Donc, on va y revenir à l'histoire de Marchand. Mais d'abord, Kekavala Youri Chassain. T'as-tu fait le saut quand t'as vu, Nick, la lettre à Chassain? [00:30:35] Speaker D: Ben écoute, je m'attendais pas à ça, assurément. Sauf que, il dénonce exactement tout ce qu'on dénonce depuis deux ans. [00:30:41] Speaker A: Voilà. Non, il n'a pas été chroniqueur, je sais. [00:30:45] Speaker B: Je pensais qu'il était chroniqueur, mais il n'a pas eu le choix, ça c'est clair. [00:30:48] Speaker A: Parce qu'il était à l'Institut économique de Montréal, à l'époque où il se vendait mieux, à mon avis. L'Institut économique vendait ses projets. Youri était, sans dire agressif, dynamique. « Youri, c'est un X. » Ouais, je sais que ça a bien agréé. [00:31:03] Speaker B: Mais il s'est tué beaucoup dans les dernières années. Elle vient tard, cette lettre-là. [00:31:10] Speaker A: J'ai du p'tit Youri pour vous autres. [00:31:12] Speaker B: Il était très... très endurant. Ouais. [00:31:16] Speaker A: Youri, on va y parler. En fait, t'as son numéro, j'sais pas, t'as-tu tenté de l'appeler? [00:31:21] Speaker D: Ah oui, j'ai laissé un message directement, mais j'attends des nouvelles. [00:31:25] Speaker A: Il a lancé un pavé dans la mort. Dans le journal de Montréal. C'est vrai qu'il est pas publié dans le journal de Québec. J'te vois pas en parler. [00:31:35] Speaker B: Ouais, la lettre en tant que telle. Y'a un texte qui résume la lettre, là. [00:31:38] Speaker D: Ah mais je l'ai... [00:31:39] Speaker A: Mais on l'a, la lettre. [00:31:40] Speaker B: Je l'ai dans moi. [00:31:41] Speaker A: La lettre est dans le Journal de Montréal, mais elle est sur le web là. [00:31:43] Speaker B: Oui. [00:31:44] Speaker A: Elle est partout. Autrement dit, il n'y a pas d'erreur là-dessus. Je vais vous faire entendre le début de Youri en politique. Ça n'a pas bien commencé. OK? Parce que quand t'as des convictions, puis à l'intérieur de lui, moi je le crois, je jose avec des gens qui le connaissent, Yuri serait-ce un gars de droite? Ouais, je le sais. Politico. Ouais, c'est le G-word. Des fois, le G-word, gedoune. Je le sais, Collin. Je vais être ministre, là. J'ose pas m'assumer. Je vais être ministre, mais c'est en dedans de moi. Je suis de droite, mais je le dis pas. Ça a mal commencé avec Anne-Marie Dussault. [00:32:28] Speaker B: Tu sais, je vais refaire la comparaison. On était déçus à l'époque de Martin Coiteux, qui venait de la même place, qui est avec les libéraux. [00:32:34] Speaker A: Qui a fait deux ans de chronique chez nous. [00:32:36] Speaker B: Oui, mais Martin Coiteux, je suis obligé de dire que c'est moins dénaturé. en étant avec le Parti libéral, qui faisait supposément de l'austérité, qui en était pas là. Mais tu sais, qui tenait un petit peu quand même les cordons serrés des dépenses. Versus ce que la CAQ a fait dans les dernières années. [00:32:52] Speaker A: Mais Youri, il aurait dû là, au début, mettre son pied en terre. Je le sais qu'il s'est senti maintenant rejeté, de ce qu'on peut comprendre, et tu liras des extraits de la lettre Nick dans quelques instants, mais je vais juste faire entendre des audios. La première entrevue qu'il accordait, Quand il est arrivé à la CAQ, c'est avec Ronald Mick Dussault. Et on écoute. Contre la gestion de l'offre. [00:33:19] Speaker E: En fait, la position de la CAQ, elle est claire. Et moi, personnellement, je suis tout à fait conscient que dans un parti politique, j'ai des collègues qui ont des spécialités. Alors dans ce cas-ci, par exemple, il y a Cyril Lamour, absolument, qui a une expertise là-dedans et qui est porte-parole de la CAQ en la matière. [00:33:38] Speaker A: Alors, défavorable au CPE, abolition des fonds de travailleurs, réduction des congés parentaux, privatisation partielle d'Hydro-Québec, privatisation de la SAC. [00:33:50] Speaker E: Puis en même temps, dans tout ça, on voit l'aspect un peu caricatural. C'est vrai, j'en ai eu des opinions. [00:33:57] Speaker A: Finalement, mais... Ben oui, assume-les tes opinions, Youri. T'es pas un néo-nazi. T'es pas un raciste. T'es pas... T'es juste un gars de centre-droite qui trouve que ça va pas bien et tu l'exprimes à nouveau dans ta lettre de ce matin. Mais ça, tout le monde le voit. Je suis même, moi, José Legault, là, je le vois, mais j'ai pas le goût, là, d'un hôpital Trumpiste, là, avec des docteurs Trump, là, qui viennent me couper le bras à vif, là. J'ai pas le goût, là. Hein? Même José Legault, elle l'avoue. [00:34:34] Speaker B: Oui. [00:34:35] Speaker A: Mais José Legault, elle tombe dans le gagagou. [00:34:37] Speaker B: Elle veut pas une solution, mais... [00:34:38] Speaker A: Elle veut pas une solution. [00:34:39] Speaker B: Mais elle voit le problème. [00:34:40] Speaker A: C'est ça. Tout le monde les voit. Richard, Christine, Mais Charles Colin, il a écrit encore un autre texte cette semaine. Le modèle québécois marche pas. Mais, la solution c'est Docteur Duhame. Docteur D? Ah non, pas lui. Hé, Dudu, voyons donc. Hé, pas lui, là, parce qu'il parle fort, pis il parle vite, pis il se promène. On dirait que c'est une petite bébite qui saute partout. Il fait une tombe scénaire, pis je le veux pas, Dudu. Mais c'est Docteur D, la solution. Ah non, je vais voter PQ. [00:35:15] Speaker B: La meilleure phrase de son... [00:35:16] Speaker A: On va voter PQ à la place. Ouais, c'est ça. [00:35:18] Speaker B: On va rebrasser la même soupe. [00:35:20] Speaker A: Ben oui, c'est ça, t'es malade. Ah, moi, je veux être encore plus malade. [00:35:25] Speaker B: OK, c'est correct. La meilleure phrase, je pense, de son texte... J'ai entendu ça quelque part. [00:35:29] Speaker A: Ouais, vas-y, mon dôme. [00:35:30] Speaker B: Nous avons appliqué la vieille recette qui consiste à jeter de l'argent sur les problèmes plutôt que de chercher à faire les choses différemment. Et nos services publics paraissent plus fragiles. Un constat s'impose, nous sommes allés au bout du modèle bureaucratique québécois. [00:35:44] Speaker E: Oh! [00:35:45] Speaker B: J'ai déjà dit ça 26 000 fois. [00:35:48] Speaker A: Beaucoup de personnes l'ont dit à l'antenne ici. Mais on est de la radio poubelle, bien sûr. Ils savent pas de bon sens. Ils veulent changer de modèle. Ils sont fatigants. Je veux bien mieux une bonne radio. Une bonne radio complaisante. Une bonne radio amie. On est des amis. Puis peut-être qu'on a des améliorations, mais ni pour ni contre, bien au contraire. Puis c'est sûr que moi, l'eau de siète, j'aime ça. Pas trop chaud, pas trop froid. Oui, mais là, il faut quand même comprendre que Oui mais là... Oui mais faut comprendre que... Non mais faut changer le modèle québécois! [00:36:20] Speaker B: Avec le PQ le modèle québécois il va bien aller. Il va être bien géré pis tout va rentrer dans l'ordre. [00:36:26] Speaker A: Ben oui. J'ai d'autres chassins pour vous autres. Et là... François Legault, il l'a aimé, Iuri. Il l'a aimé, là, je parle... [00:36:36] Speaker B: Il l'a aimé ou il l'a utilisé? [00:36:37] Speaker A: Pour Passé-Composé, parce que c'est comme ça qu'on disait ça, Passé-Composé. Hein? Ça fait longtemps que j'ai dit ce mot-là. Ça fait longtemps. Le becherel, il est pas loin. [00:36:45] Speaker B: Est-ce qu'il a été aimé... [00:36:47] Speaker A: Il ne l'aime plus à matin, là. [00:36:48] Speaker B: Est-ce qu'il a été aimé ou est-ce qu'il a été utilisé? Est-ce que Iuri Chassin, c'était la caution de droite? Hé, regardez, on a une coalition. On a toutes les opinions ici. [00:37:00] Speaker A: Mais tu sais pas de quoi je veux parler. [00:37:01] Speaker B: Si vous êtes de droite, votez pour nous. [00:37:03] Speaker A: La pandémie. T'en souviens-tu? [00:37:05] Speaker B: Ouais. Son voyage. [00:37:07] Speaker A: Hé! Y'a une PM quand même qui l'a défendue publiquement. Oui! On écoute. [00:37:11] Speaker B: Pendant que Pierre Harkin se faisait passer en dessous de l'autobus. [00:37:14] Speaker A: Oui! Par... Par Dominique Arglade. C'était pas du racisme, ça. Ah non, non, non, c'est de dire que... Je vais y aller, mais je mélange pas un dossier. Mais à l'époque, la pandémie, François Legault, il l'a quand même défendu, Youri. [00:37:32] Speaker F: Son conjoint, qui veut immigrer au Canada, habite au Pérou. et lui jugeait que c'était nécessaire d'aller le voir au Pérou et il a obtenu la permission de mon directeur de cabinet. Donc, je pense que tout était fait dans l'ordre. [00:37:52] Speaker B: Donc, vous considérez que c'était pour lui. [00:37:55] Speaker A: Un voyage essentiel comme pour aller voir. [00:37:58] Speaker B: Quelqu'Un qui est décédé dans cette amitié étrangère? [00:38:03] Speaker A: Oui. La sauce péruvienne, on s'en souvient. Il l'aimait, il est allé au bar pareil pour lui. Mais ça, ça a quand même causé une commotion au sein du coquelouche. Il a le droit. c'est un gay privilege? [00:38:19] Speaker B: Si y'avait eu une blonde? [00:38:21] Speaker A: Si y'avait eu une blonde en Angleterre? Oh... ok, mais la pandémie... Ah, avec. [00:38:27] Speaker B: Le variant anglais en plus? Non, non, non, on pouvait pas. [00:38:30] Speaker A: Mais la pandémie est oubliée. Et c'est pardonné, c'est oublié. Maintenant! Il continuait quand même de ruer d'imbrancard Yuri. Ah, un remaniement ministériel. Yuri est pas nommé. Ah, là, ils ont nommé des secrétaires d'État de ménage junior délégué de... Yuri est pas là. Yuri est quand même une feuille de route. Quand même économiste, le gars-là. [00:38:52] Speaker B: Ben oui. [00:38:53] Speaker A: Puis... Il est brillant. Donc, très vite, on s'est mis à jaser. Ouais, mais ça ferait peut-être une autre classe en son, hein? [00:39:03] Speaker C: Yori Chassin, c'est moins clair. Yori Chassin, j'ai pas réussi à lui parler directement, on a échangé des textos, pis en gros, il me dit, dans les circonstances, je préfère ne pas commenter. Alors, déjà, décodé, décodage, ça veut dire qu'il est en maudit, il est pas content. Mais ce qu'on me dit, c'est que dans son entourage, il dit qu'il claquera pas la porte, qu'il partira pas. Lui, on se disait, il pourrait succomber ou être séduit par les sirènes du Parti conservateur parce que, idéologiquement, il vient de l'Institut économique de Montréal. On me dit qu'à court terme, il n'ira pas au Parti conservateur. Il va rester, mais il faut qu'il avale la pilule, puis la pilule est dure à avaler pour lui, semble-t-il. [00:39:42] Speaker B: Y'en avait allé beaucoup de pilules dans les... Quoi, six dernières années? Sept dernières années? [00:39:46] Speaker A: Pis Koski, qu'est-ce qu'il disait dans le temps? Un p'tit dernier, hein? [00:39:49] Speaker E: Est-ce que le silence et l'ambiguïté que. [00:39:52] Speaker A: M. Chassin a laissé planer au cours des derniers jours, selon vous, c'est la preuve qu'il y a des chicanes de famille à la CAQ? [00:39:58] Speaker F: — Pas du tout. Pas du tout. Puis ce que j'ai dit, c'est qu'on peut tout se dire en Conseil des ministres, en caucus. On a toujours fait ça. On va continuer de le faire. Mais c'est important qu'on ait... — À d'autres termes, M. [00:40:11] Speaker A: Chassé? — Où est-ce que vous lui avez parlé, M. Chassé? [00:40:13] Speaker F: — J'ai pas parlé à Youri. Mon directeur de cabinet lui a parlé. Youri... a toutes les qualités pour être ministre. Mais à un moment donné, il faut faire des choix qui sont déchirants. Et comme il le disait dans des tweets ce matin, il a beaucoup collaboré comme député à l'allègement réglementaire. Et on va discuter avec lui quels sont les dossiers sur lesquels il pourrait contribuer. [00:40:47] Speaker A: Cosky va japper. Cosky va mordre. Et au final, Yuri oubliait ça. C'est impossible que ce gars-là... Hey, hey, hey! J'en ai parlé durant la pause. Ils ont largué le grand chum du HAC de logo féti. Parce que Fitzi disait la vérité à mon avis. Il rapportait des discussions, des projets. Genre on va les augmenter, mais après les élections, les Québécois, Freshie elle a dit le contraire. [00:41:13] Speaker B: Il n'y avait pas le discours officiel de la CAQ. [00:41:15] Speaker A: Ben non, il pissait des conversations dans les corridors. Le Cosky, regarde. Logo a détaché Cosky, il a enlevé sa musée aérienne, pis Cosky a fait la job à Féti, qui est parti sur sa moto pour un voyage éternel. Mais Uri, oublie ça, Uri, c'est un junior, c'est... Ah non, ils veulent pas d'élection partielle. On pense pas que ça soit un grand facteur d'analyse. Donc Uri va tenter d'aller convaincre les bienfaits de sa pensée au caucus, mais il va se faire foutre dehors. Et là arrive du M. J'ai hâte de parler à Dr. D. ce matin. On y parlait pour d'autres choses à la base, mais je vous dirais que c'est la grosse, grosse, grosse nouvelle aujourd'hui. Donc rappelons pour les gens qui viennent de se réveiller, de quoi ils parlent, Moray. Yori Chassin, économiste, député de Saint-Jérôme, écrit une lettre ouverte qui s'apparente à un bat de baseball dans les journaux de Québécois. Quand je dis journaux, c'est le Journal de Montréal, le Journal de Québec, en fait. C'est dans l'imprimé de Montréal, mais pas l'imprimé de Québec. Je ne m'abuse, mais c'est sur Internet, ça circule. Koski, un matin, Il a la bave aux lèvres. Et il a le goût de manger du mollet. C'est... Il restera... Il peut pas rester. Il restera pas. Oubliez ça, là. Il restera pas. C'est une lettre d'un député du Parti conservateur du Québec. Ni plus ni moins. T'en penses quoi dans ta grande sagesse de Jean-Seigneur, mon cher Éric? [00:42:38] Speaker D: Ben écoute, j'ai... Effectivement, je trouve que le meilleur passage, c'est Dumas qui l'a cité, mais j'en ai un autre que j'aime beaucoup. [00:42:44] Speaker A: Chou! [00:42:45] Speaker D: Quand il dit qu'on parle d'éducation, du logement, des urgences, des tribunaux, des garderies et j'en passe, il dit que les citoyens parmi les plus taxés en Amérique du Nord peinent à recevoir les services. Lui, il trouve que, excuse-moi, c'est l'émotion. Lui, il dit que ces systèmes-là sont en train de s'écrouler. Puis il a raison, c'est ce qu'on dit depuis je sais pas combien de temps. Puis il dit, regarde, les Québécois sont parmi les plus taxés en Amérique du Nord. Les services essentiels, on n'est pas capable de les fournir. Il faut qu'on se réveille, il faut que la CAQ vire de base. C'est ce qu'il dit carrément. [00:43:18] Speaker A: Carrément. Carrément. Il fait un light-bound. Light-bound qui a fait un point de presse contre Trudeau. [00:43:26] Speaker B: Light-bound est resté, par exemple. [00:43:27] Speaker A: Trudeau l'a gardé. Ouais, c'est ça. Trudeau l'a gardé, mais light-bound n'est pas ministre. Il est vraiment, vraiment marginal. [00:43:34] Speaker B: Il a même annoncé qu'il se représentait de light-bound. [00:43:37] Speaker A: On verra. On verra si... ça va être une vague. Oh, je sais bien. Pepper. Pepper style. Wow. Poilievre. Poilievre. Pierre Poilievre. Le gros bon sang. Le gros bon sang. Ça va être peinturé au rouleau anti-pêcher dans la région de Québec. [00:43:51] Speaker B: Les chiffres légers il y a deux jours, c'était killer. [00:43:54] Speaker A: Ah non. Le gros bon sang. Je sais pas c'est quoi le bleu de six côtes. Il y a toujours des bleus. Bleu assur, bleu... Je sais pas ça va être quel genre de bleu qu'on va prendre pour le rouleau, mais ça va être du rouleau mur à mur. [00:44:08] Speaker B: Le Québec, t'es encore à poste. C'est 25% du vote seulement pour les conservateurs. Mais le reste du pays, il ne restera pas grand-chose à part les conservateurs. [00:44:21] Speaker A: Québec, c'est une drôle de place. Sondage ce matin. Tu parles du bloc. [00:44:27] Speaker B: On vit là et on trouve que. [00:44:28] Speaker A: C'Est une drôle de place. [00:44:29] Speaker B: C'est une drôle de place. [00:44:32] Speaker A: Sondage, débat Trump-Paris. À LCN. Fucking LCN. Et à RDI. RDI, c'est les pires. [00:44:43] Speaker B: On vote pas. [00:44:44] Speaker A: C'est les pires, mais c'est les pires haters de Trump, malgré... RDIS, ils ont les deux haters major league. En fait, ils ont David, puis ils ont... C'est le pire là, c'est le pire de la gamme. [00:45:00] Speaker B: Bien, j'en ai entendu une hier... Y'a. [00:45:01] Speaker A: Que la voix est pas piquée des verres à LCN, mais David, ça l'accode pas. [00:45:04] Speaker B: J'en ai entendu une hier que... David, si... Tu sais, tu disais qu'il va se cliquetifier, là, mais il dormira pas une couple de nuits, là. Mais j'en ai entendu une que ça faisait longtemps que j'avais pas entendue hier, puis qui est dans la même ligue que David, c'est sa femme. Mme Vallée. Ah oui? [00:45:22] Speaker A: C'est sa femme? [00:45:22] Speaker B: Oui, c'est sa femme. [00:45:24] Speaker A: Arrête ça. Ah, s'il vous plaît. [00:45:27] Speaker B: Mais c'est sa conjointe. Je sais pas si c'est marié, là, mais... [00:45:30] Speaker A: Les deux ensemble. On se comprend que... C'est du monde qui ont le câble. [00:45:34] Speaker B: Beaucoup d'héteroïdes. [00:45:37] Speaker A: J'ai le câble. Oui, oui. Ils ont le câble. Donc, si t'as le câble, c'est un débat en anglais. C'est ABC. Tu le mets à ABC. Tu te branches sur la source. C'est ABC. Les auditeurs qui ont pas vu mon post, je vous pose la question, je vous laisse 10 secondes. 88-670-9098. Combien de Québécois ont regardé ça avec un traducteur sur un canal du Dôme. Sondage numériste fourni par TVA et RADCAN. 418-670-9098. Vous pouvez fermer la lumière après, là, OK? Grande majorité, ça, ça me donne pas un chiffre, Patrick. Je veux un chiffre, là. 4, 8, 10, 12, 20, 22, 22 000, 50 000, 500 000. Je veux un chiffre. [00:46:23] Speaker B: 418-670-9098. [00:46:23] Speaker A: Combien de Québécois, on écoutait ça avec... Ça me fait mal, là. [00:46:36] Speaker B: Le chiffre que j'ai... [00:46:37] Speaker A: Un traducteur! Est-ce que c'était des sous-titres? [00:46:40] Speaker B: T'as pas le temps? 45 000, 330 000... Non! Y'en a qui vont en pourcentage, c'est pas le pourcentage qu'on veut. [00:46:46] Speaker A: Non! Chiffre! Chiffre! [00:46:47] Speaker B: Chiffre! [00:46:48] Speaker A: Un, deux, quatre, huit, un chiffre. Un chiffre. À la date, vous êtes pas là. [00:46:52] Speaker B: 50 000. [00:46:53] Speaker A: Non, non. 50 000, le film, t'es pas là. [00:46:56] Speaker B: 954 000. [00:46:56] Speaker A: Oui, lui, je l'aime, mais c'est beaucoup de sauce. [00:47:03] Speaker B: 575 000. Oh! Oui, on est très proche. Oh! [00:47:10] Speaker A: On est proche. La réponse, la voulez-vous? [00:47:13] Speaker B: OK, le Saranto. [00:47:14] Speaker A: Oui, oui, le Saranto poste. On se gâte encore une 5 secondes. [00:47:19] Speaker B: 750 000. Quelqu'un qui a écrit 200. 510 000. [00:47:22] Speaker A: On est dans le dôme, OK? [00:47:24] Speaker B: 654 000. 576 000. 750 000! Qui dit plus? J'aime ça, là! [00:47:31] Speaker A: Go, go, go, go, go! La réponse à la question est 541 000. C'est fucking incroyable, là. C'est du monde. Moi, je le crois. Je crois ça. Numériste, anyway, c'est quand même... Je veux dire, je comprends que c'est... C'est-tu des cahiers? Non, c'est de l'audimat. C'est peut-être à Montréal. Ici, c'est des cahiers. Là, c'est un peu archaïque. Beaucoup archaïque, en fait, à la radio. En fait, c'est pas sophistiqué comme on aimerait que ça le soit. À Montréal, c'est plus sophistiqué, entre guillemets. C'est incroyable, quand même. À LCN seulement. [00:48:06] Speaker B: Question. M. Trump. Pourquoi êtes-vous méchant? Réponse. Je ne suis pas méchant. Je suis le meilleur président de l'histoire. [00:48:15] Speaker A: Il y avait des chiens et des chats. Il y avait des chiens et des chats. [00:48:20] Speaker B: Ça c'est LCN? [00:48:20] Speaker A: Ouais, LCN. 311 000. 311 000. C'est du monde. 541 000. C'est pas écoutable. 541 000, c'est quoi? Oui, je le sais. C'est le stade olympique. C'est ça qui nous vient en tête au Québec. Je vais le prendre. Le stade olympique, il est là. Ils ne l'ont pas démoli. [00:48:38] Speaker B: C'est une bonne cote d'écoute dans la semaine au Québec. 541 000 quand même. [00:48:42] Speaker A: Le stade olympique, c'est grosso modo 50 000 personnes. C'est du monde. Quand le stade est plein, il est très laid, le stade n'a pas le point. Il est rempli. Mettez 10 stades olympiques. Ça, c'est du monde qui ont préféré ne pas regarder le débat sur une chaîne américaine. Je sais pas quoi dire. Je sais pas. Fermez la lumière. T'sais, quand vous quitterez, fermez la lumière. Puis assurez-vous d'avoir fait un petit manège. T'sais, quand tu quittes une pièce, tu mets la chaise à la bonne place et tout ça. Passez un petit souhait feu. Fermez la lumière. Ça a pas d'allure. En terminant... Au lieu de ça, donne-moi une claque dans la face. On est quittes. Du respect les amis quand même, du respect un petit peu. C'est la journée des élus municipaux quand même aujourd'hui. À chaque jour au Québec, grosse pub en passant, page complète dans les journaux du gouvernement du Québec. Ça vient quand même au lendemain des gars qui a triplé nos taxes sur la circulation. Chaque jour au Québec, plus de 8000 élus municipaux sont à pied d'oeuvre. 8000, il y en a peut-être trop là. sont à pied d'oeuvre pour favoriser le développement et la vitalité de leur collectivité ainsi que la qualité de vie dans leur milieu. You damn right! Unissons nos voix pour leur exprimer notre reconnaissance... notre reconnaissance! Unissons nos voix pour leur exprimer notre reconnaissance pour leur engagement et leur dire huit mille fois merci. Wow, wow, wow, wow. Ils ont triplé nos taxes sur l'immatriculation. De ce pas, je vais allonger ma main, élever mon doigt et le tourner vers l'hôtel de ville. Et... De ma force herculéenne, je vais lever mon majeur. Et, tel qu'un obélisque pointant vers le ciel, mon majeur tient à dire un immense et glorieux merci à tous ceux qui nous taxent hors proportion. [00:51:01] Speaker B: Il est musclé, ton majeur. Je pense qu'il est habitué de se lever. [00:51:04] Speaker A: Il est habitué. On revient. On a un gros show ce matin. Vous êtes dans le Super Jeudi de Moral Life. Pour rejoindre l'équipe de Moray Live, directement en studio.

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