Maurais Live - Intégral du 13-10-2025

October 13, 2025 03:59:56
Maurais Live - Intégral du 13-10-2025
Maurais Live
Maurais Live - Intégral du 13-10-2025

Oct 13 2025 | 03:59:56

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Maurais Live - Intégral du 13-10-2025
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[00:00:00] Speaker A: On l'a eu, on l'a eu. [00:00:02] Speaker B: Commencez la journée du bon pied avec nos déjeuners savoureux, généreux et à petit prix. Chez Fromagerie Victoria, chaque assiette traditionnelle est préparée avec amour. Croutons maison, fins volards bien chauds et du fromage frais du jour. Tout ça, tout juste préparé. Un vrai classique qui réconforte peu importe vos envies. On a de tout pour satisfaire les plus gros appétits. Servis jusqu'à 11h en semaine et 13h les week-ends. En salle à manger ou au service au volant, on vous attend à la Fromagerie Victoria. 8 succursales pour mieux vous servir. Bon, ce matin, vous réalisez quelque chose. Votre taux s'est fait voler. Avez-vous besoin de ça? [00:00:34] Speaker C: Non. [00:00:34] Speaker B: La situation se moque de vos besoins. [00:00:36] Speaker D: D'accord. [00:00:36] Speaker B: Vous êtes donc moqué et sans voiture. Oui. Alors vous appelez CA parce qu'ils assurent votre taux et vous aide dans les pires moments. [00:00:42] Speaker E: Génial. [00:00:43] Speaker B: Mais pendant que vous parlez à CA, vous réalisez quelque chose. [00:00:46] Speaker E: Oui. [00:00:46] Speaker B: Vous avez besoin de vacances. [00:00:47] Speaker A: Oui. [00:00:48] Speaker B: Des vacances où les gens vivent d'amour et d'eau fraîche. Oui. Et non de vol de taux et d'eau de robinet. Oui, c'est possible. Vous en parlez donc à votre conseiller CA parce que CA organise les meilleurs voyages. Génial. Du voyage à l'assurance pour le meilleur et pour le pire. CA Québec. [00:01:00] Speaker E: Salut, c'est Marie-Lou. Comme vous le savez sûrement, en ce moment, tout le monde a de l'intérêt pour Chevrolet. C'est entre autres parce qu'il y a 0 % d'intérêt sur le financement de tous les modèles 2025 en stock, et ça, même pour les véhicules électriques. Oui, oui, zéro! Alors, si vous cherchez à pas payer d'intérêt et que vous avez de l'intérêt pour un nouveau véhicule, vous avez tout intérêt à en profiter pour pas payer d'intérêt avec Chevrolet. On se comprend? Au risque de me répéter si vous avez de l'intérêt pour un véhicule Chevrolet, passez chez votre concessionnaire ou visitez chevrolet.ca. Certaines conditions s'appliquent. [00:01:30] Speaker F: Plongez dans 888casino.net. Conçu pour jouir des machines à supprimer. [00:01:36] Speaker B: Pour découvrir un monde de plaisir. C'est fait pour divertir. Pour se délecter de la roulette. Super! [00:01:49] Speaker A: C'est juste pour jouer. [00:01:51] Speaker F: Ouais, ça marche! 888casino.net. Fait pour jouer. [00:01:58] Speaker E: 19+, jeux gratuits et uniquement. Jouer de façon responsable. [00:02:02] Speaker B: Grande nouveauté chez Viva, le laser vasculase. La technologie la plus efficace pour traiter les rougeurs. Varicosité et vénus sur le visage et le corps. Planifiez votre consultation sans frais. Les Cliniques Viva. Votre destination médico-esthétique avec 6 succursales à Québec. Cliniqueviva.com Depuis plus de 30 ans, Gestion. [00:02:19] Speaker D: Lac Auto offre des véhicules de qualité. [00:02:20] Speaker E: Jusqu'À la moitié du prix d'un oeuf. Nos pros conseillers vous accompagnent sans pression dans votre choix. [00:02:26] Speaker B: La rue, c'est plus de 50 ans en fabrication d'équipements de déneigement industriel et on est en pleine croissance. [00:02:35] Speaker F: Tu veux un emploi stimulant? [00:02:36] Speaker B: On recrute des assembleurs, mécaniciens commis à. [00:02:38] Speaker F: L'Entrepôt, ressources humaines, ingénierie et plus. [00:02:41] Speaker B: Joins-toi à l'équipe LaRue. Postule sur JALarue.com. Ice Out, c'est plus qu'un centre de trampoline, c'est un monde d'aventures. [00:02:48] Speaker E: La place pour bouger, rire et sauter. Ice Out, c'est le fun exaltant et joyeux. [00:02:54] Speaker B: Fêtez l'anniversaire de rêve de votre enfant. [00:02:55] Speaker E: Avec nous, détendez-vous et profitez. [00:02:58] Speaker B: On s'occupe de tout. [00:02:59] Speaker E: Visitez iceout.ca. [00:03:01] Speaker G: J'écoute un podcast, pis je pense que toi pis moi, on devrait être sans attache. [00:03:06] Speaker C: Ah ouais? [00:03:07] Speaker F: C'est sûr que vous risquez de prendre. [00:03:08] Speaker B: Goût à la recherche cellulaire sans fil de Siri du nouveau Honda HR-V 2026. Ouais, prendre l'auto puis partir sur un Nowhere plus souvent. [00:03:15] Speaker E: Ah, pas d'attache comme ça. [00:03:17] Speaker G: Ouais, tu pensais quoi? [00:03:18] Speaker B: Avec une foule de nouvelles technologies de Siri, le Honda HR-V 2026 est parfait pour vos longues sorties d'automne. Jouez-le vôtre à partir de 3,99 % pendant 24 mois. Sur approbation de crédit, détails sur Honda.ca. Honda, c'est sûr. [00:03:30] Speaker F: La Viande PPAL, c'est bien plus qu'une boucherie. C'est une équipe de passionnés qui vous conseille et vous offre viande, volailles, poissons et fruits de mer de la meilleure qualité au meilleur prix depuis 50 ans. La Viande PPAL, une histoire de succès. Et voilà les gars, vos gratteurs. [00:03:48] Speaker H: Hein? [00:03:49] Speaker B: Des gratteurs? Tiens, gratte, gratte! Des frites? [00:03:52] Speaker F: Mais j'ai rien commandé, moi! [00:03:55] Speaker B: Un frigo-bod? Désolé les gars, j'viens de gagner une escapade de hockey VIP à Montréal. Du 6 octobre au 2 novembre chez Doolies. En collaboration avec Budweiser, c'est 100% de chance de gratter et une chance sur deux de gagner. Ça c'est l'heureux gratteux les gars. Ici Stéphane Slagard, propriétaire et fondateur de Slagard Jury-Conseil. Depuis 20 ans, l'équipe Slagard a récupéré plus de 71 millions de dollars à plus de 3500 clients en indemnisation CUNSST, SAAQ et assurance invalidité. Un accident de travail, c'est vite arrivé. Exigez les pros de l'indemnisation, l'équipe Slagard. Avec nous, vous serez bien informés, bien accompagnés et surtout bien représentés. [00:04:43] Speaker F: Slogar.ca. [00:04:45] Speaker B: Première rencontre sans frais. [00:04:46] Speaker E: Faites partie de la famille Qui a beauport. Offrez-vous le Sorento PHEV 2025 à partir de 160$ par semaine en location 60 mois. Disponible pour livraison immédiate. Passez-nous voir à Beauport. [00:04:57] Speaker F: Qui a Beauport. [00:04:59] Speaker E: Une histoire de famille. [00:05:01] Speaker B: Choua. [00:05:02] Speaker E: Choua. [00:05:03] Speaker B: 98. [00:05:05] Speaker C: 98. [00:05:06] Speaker H: 1. [00:05:06] Speaker C: La fameuse. L'original. [00:05:08] Speaker B: Choua. [00:05:09] Speaker E: Choua. [00:05:10] Speaker B: Radio X à Québec. C'est Radio X. Sois Radio X. Faites-vous Votre propre opinion. [00:05:19] Speaker D: Morelive présentée par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. [00:05:28] Speaker E: Confort en hiver, fraîcheur en été. Et des économies toute l'année. [00:05:32] Speaker D: Multiconfort FP à Québec et Victoriaville. [00:05:34] Speaker H: Notez que l'émission d'aujourd'hui est une rediffusion. Veuillez ne pas tenir compte des numéros. [00:05:38] Speaker B: De téléphone, date et concours dans le prochain segment. [00:05:42] Speaker D: Et c'est. [00:05:50] Speaker F: Parti, mon kiki, avec la campagne électorale qui est officiellement lancée. Jackie par-ci, Jackie par-là. J'ai vu beaucoup de pancartes de Jackie. Vous allez me dire que c'est épisodique et que c'est vraiment parcellaire. Oui, oui, j'ai juste fait le chemin entre Sorlebourg et Québec. Mais elle est partout, Jackie, sur Amel. Elle n'est pas loin ici. à Sainte-Foy, mais il y en aura d'autres également, et ça va exploser, ça va bourgeonner. On est en campagne électorale, mesdames, messieurs, et on va suivre ça tous ensemble à Radio X, dans Montréal Live, avec Danny Boy qui est là. Et vous avez également Dume Dumas, qui est pas loin, qui est dans les cuisines, en train d'affûter sa coutellerie. D'entrée de jeu, je pense qu'on peut carrément le dire, il n'y aura pas de mariage. Moi qui souhaitais un mariage, moi qui étais de bonne humeur hier dans le retour, en entendant Ahmad vanter les charmes de la chance, il n'y aura pas de mariage. Tu me confirmes, Dan? On s'en va vers une réélection de marchands. Mais ça va être quand même un beau 45 jours. Ça va être quand même un beau 45 jours. [00:07:07] Speaker B: Si je me fais la journée d'hier que non, non. [00:07:10] Speaker F: Non, mais dans le sens où ça sera pas plate, ça, je veux dire. [00:07:13] Speaker B: Ça, ça sera pas plate, mais hier... [00:07:15] Speaker F: Non, ça sera pas plate. Non, hier, c'est du salissage. C'est une campagne de salissage qui est commencée. [00:07:20] Speaker B: Je pense que les médias... Pis c'est rare que j'utilise l'expression « les médias » parce que je suis tellement tanné d'avoir le même ennemi depuis 5 ans pis voir personne qui agit, là. [00:07:29] Speaker F: Oui, mais là, là, on est... [00:07:30] Speaker B: Mais je pense que les médias, hier, ont frappé le fond du baril. [00:07:36] Speaker F: Je suis pas d'accord avec toi. [00:07:37] Speaker B: Tu penses qu'on peut aller plus profond que ça encore? [00:07:40] Speaker F: Oui. [00:07:40] Speaker B: OK. [00:07:41] Speaker F: Oui. [00:07:41] Speaker B: Ça va être super. Ça va être le fun. Finalement, ça va être divertissant. [00:07:44] Speaker F: Ça va être le fun. Parce que là, t'as dit les médias. Donc, je parle au Journal de Québec, évidemment, puis tout ça. Mais il y a d'autres journalistes dans d'autres boîtes. Mais ça va se détériorer, je vous dirais. Le Front du Barry, ils sont genre en train de creuser un trou de dalle. C'est ça. Exact. Il y aura des débats à Radcan. Regardez les questions que seront posées lors des débatteurs. Ahmad qui essaie de se défendre, ça c'est comme une vision de l'esprit que j'ai là, je suis un peu en avant de mon temps, je lis le futur. Non, M. Ahmad, c'est pas vous, Ahmad qui essaie de se défendre concernant, mettons, une attaque à la mafia. Taisez-vous, la parole est à M. Villeneuve. Non, M. Hamad, taisez-vous. Non, M. Lachance, taisez-vous. Vous avez assez parlé. Vous avez parlé amplement à Radio X dans les trois dernières années. La parole est à M. Marchand dans le camp du bien. Qu'est-ce que vous avez à dire, M. Marchand, dans le camp du bien? [00:08:41] Speaker B: Ils vont... J'ai hâte de voir comment ça va se passer, tout ça, puis le débat, surtout le débat. Tu peux pas inviter tout le monde. [00:08:49] Speaker F: Un jour ils vont faire un débat parce que c'est Marchand qui est invité. Qui sera invité et qui va y aller à Radio-Canada. [00:08:56] Speaker B: C'est Bruno Savard qui va le leader. J'ai un peu plus de confiance avec Bruno Savard que n'importe qui d'autre à. [00:09:02] Speaker F: Radio-Can. OK, je suis content de t'entendre dire ça. [00:09:07] Speaker B: Bruno jusqu'à maintenant n'a jamais démontré de grands actes de mauvaise foi par rapport à ça. [00:09:13] Speaker F: On verra. Il y a d'autres journalistes en dessous aussi qui peuvent contribuer. Olivier Lemieux, il y en a d'autres. Mais ce n'est pas lui qui va mener le débat. Promarchand, Loulou Boisvert. Oui. C'est ça. Attendons. Pas ça de la couverture Day to Day. C'est le Day to Day. On verra la couverture, les titres. La spin. [00:09:35] Speaker B: Christian Latreille, je l'ai entendu dire. [00:09:38] Speaker F: Oui. [00:09:38] Speaker B: Comme la campagne à Montréal va être plate, on va beaucoup suivre celle de Québec aussi. [00:09:41] Speaker F: Oh, oh, oh, oh, oh! Avec, on va se le dire, le Donald Trump de Québec, Stéphane Lachance. Hier... Latreille peut dire n'importe quoi. Oui, oui. C'est un méchant, c'est un méchant solide, ça. [00:09:55] Speaker B: Hier, il parlait de propagande. Non, non, hier, je vous le dis, il était tout much. [00:09:59] Speaker F: C'était un propagandiste hardcore. [00:10:01] Speaker B: Mais lui, hier, il parlait de propagande à ABC. Il s'en est dit de la marde hier dans ce dossier-là. [00:10:07] Speaker F: Oui. [00:10:08] Speaker B: Est-ce qu'il s'est dit de la marde hier? J'en revenais pas, c'est incroyable. C'était une drôle de journée, hier. Hier, c'était... [00:10:16] Speaker F: C'est bien exprimé, début de show. Ça recoupe un peu l'opinion de Mike Ward. Oui. Pas surpris. Non, ça... Justement, nous, comme Mike Ward, je pense qu'on suit nos principes. On suit nos principes, puis on a joué dans le film. On a été des acteurs principaux dans certains films. Le vieux film de 2004-2005, bien le film tout récent du Covid Show, on a joué beaucoup là-dedans. Je suis allé relire un peu ce matin, mais pas trop quand même, je voulais pas trop me downer. Il y avait des députés qui se réjouissaient, là. Des gens de médias aussi. Des gens de médias là. Que hier je vois parler de liberté d'expression à pocheter. Et puis la liberté d'expression là, c'est tout le temps, sinon vous êtes des hypocrites. Peux-tu te rappeler une couple d'affaires toi? Radio-X ont allé loin, ils ont questionné les mesures, ils ont questionné, on le disait pas ça comme ça dans le temps, mais ils ont questionné le tout-ouvert, ils ont questionné le couvre-feu, voyons donc. [00:11:14] Speaker B: Hier, il y a du monde qui disait que ça n'a rien à voir, Radio X, parce qu'il n'y a pas de policiers qui ont fait de la pression. Esti, c'est que tu n'as pas suivi. Jean-Paul Lallier a écrit une lettre, papier officiel de la Ville de Québec, au boss, à l'époque. François Legault l'a essayé pendant la COVID. La bombe l'a essayé pendant l'histoire du wax pen. [00:11:34] Speaker F: Mais c'est parce que c'était pas... Il ne tweetait pas là-dessus, je suis en train d'essayer de faire fermer Radio X. C'est juste ça, c'est qu'il faisait les coulisses. C'était un complot. Puis ça, ça sort pas de moi, ça sort des patrons d'RNC. Les rencontres qu'on a eues ici, c'est très clair. Tout était synchronisé. Un reportage à Radcan, dans des bureaux de concessionnaires. À la lumière de ce qui se dit à Radio X, allez-vous enlever votre pub, là? Le micro sous le nez de certains concessionnaires très connus en trop de la Rive-Sud de Québec. Parce que c'est des conspits qui sont contre la science. On est allé voir. Il a fait amende honorable, Éric, là. Je veux pas m'acharner, mais Éric Pichette a été, je pense, mal conseillé. Son gars de Média qui était venu ici, en avant de Radio X, avec une déclaration incendiaire. C'est-à-dire, ça n'a pas de bon sens, plus jamais on va investir quand je fais des lives de calinettes aujourd'hui. Éric a compris. Il a compris. Il a compris que la pression était forte. Il a surtout écouté les extraits. Il a surtout écouté les extraits. Beaucoup de gens ont réalisé que Radio X était du bon bord de l'histoire. Les fameuses déclarations du Dr Lacroix sur l'immunité collective, ce qui est maintenant reconnu. Il y a comme un retour du balancé aussi avec le CDC. La vax, cette semaine, on a annoncé, regarde si tu veux, pique-pique, un collégramme, tu vas payer. Oui, on va accepter les vieux, là, parce que le reste, vous êtes corrects, là. Mais les vieux sont peut-être plus vulnérables. Ça, là-dessus, on verra. T'sais, au niveau d'un virus donné, d'une grippe. C'est ça, on a toujours dit ça. C'est ce qu'on voyait, on checkait les stats. Occupez-vous des vieux! Vraiment, si les personnes âgées et malades, parce que même juste personnes âgées tout court... Et les malades, effectivement. et des malades, des gens vulnérables qu'on appelle. Et ce sont ceux-là qui sont décédés avec 2-3 causes de comorbidité qu'on appelle. Je suis en train quasiment de refaire le show qu'on faisait il y a 3 ans. [00:13:45] Speaker B: Mais ça, c'est pas pareil. [00:13:47] Speaker F: Ça compte pas, ça. [00:13:48] Speaker B: Puis moi, je pilerais pas sur mes valeurs pour dire « Hey, c'est payback time, Jimmy Kimmel. [00:13:55] Speaker F: » Non, non, non. [00:13:56] Speaker B: Ma mère m'a pas devenu de même. [00:13:58] Speaker F: Je recevais hier, puis t'sais... C'est parce que là, ça devient une excuse. Oui, oui, les late nights, ça achève. Si j'étais Jimmy Kimmel, d'ailleurs, s'il était intelligent un peu, lui, présentement, je m'entêterais, je ne m'excuserais pas si ABC me met dehors ou si je peux poursuivre, je poursuis, mais je pars un autre projet sur le side avec ma gang qui a été gonflée présentement parce que je passe pour un martini. Un peu comme Cronen le fait, mais dans d'autres circonstances. Cronen, quand il a été viré, Il s'est rebâti dans des chaînes le plus impactées qu'il y avait. C'est ça, je pense qu'il est parti à HBO et tout ça. Et le projet qui partirait, qui est mort, risquerait de plus durer que son. [00:14:40] Speaker B: Late night, parce que les late nights. [00:14:41] Speaker F: Ça va crever, là. Ben c'est ça que je te disais, Dan. [00:14:43] Speaker B: Ouais, non, je sais. Mais tout ça, je suis d'accord. [00:14:46] Speaker F: C'est à cause des ratings. Le gars payé 40 millions, ça tient pas. [00:14:49] Speaker B: Là où je dis qu'il y a quelque chose qui tient pas à route, c'est que tu ne peux pas te servir d'un entaille à la liberté d'expression. Pour congédier quelqu'un pour des raisons économiques, c'est niaiseux. C'est complètement cave. S'il l'avait congédié pour des raisons économiques, y'a personne qui en aurait parlé. [00:15:05] Speaker F: Le gars du FCC serait jamais intervenu sur des raisons économiques, y'aurait eu... On en aurait entendu parler, après ma part, je veux dire, il y a un narratif qui se bâtit. On l'aurait su, pas mal comme CBS, on l'aurait su au mois de juillet, août. C'est ça, puis ils l'auraient laissé en onde, en passant, comme ils laissent en onde Colbert aux dernières nouvelles. J'ai jamais rentré en septembre. Ouais, c'est ça. Parce que la rentrée télé est pas mal aux alentours de septembre. Mais là, on vient de commencer la saison télé. C'est ça. On vient de commencer le golierie. Ça tient pas à rouler. [00:15:37] Speaker B: Non, non, ça peut pas. Les contrats de publicité sont vendus jusqu'après les fêtes. [00:15:44] Speaker F: Exactement. Ça ne tient pas la route de ça. [00:15:47] Speaker B: Ça marche pas. [00:15:48] Speaker F: Non. [00:15:48] Speaker B: Puis en plus... [00:15:49] Speaker F: Mais là, Donald Trump vient de mettre la deuxième boule sur le cornet en disant que tous les ennemis du régime sont visés. [00:15:56] Speaker B: C'est ça. [00:15:57] Speaker F: C'est ce qui n'est pas très intelligent. [00:16:00] Speaker B: Si Justin Trudeau avait fait ça, vous avez bien beau parler de Tucker Carlson, je comprends l'histoire, mais on ne peut pas répondre de la même façon. C'est niaiseux de répondre de la même façon. [00:16:10] Speaker F: Et Carlson s'est fait passer à cause de poursuites. [00:16:12] Speaker B: Et les audios. [00:16:13] Speaker F: Les poursuites salées. [00:16:14] Speaker B: Il a déclaré devant un tribunal qu'il avait inventé des affaires. [00:16:16] Speaker F: Les audios, les enregistrements qu'il avait où il disait. Et Tucker est plus heureux aujourd'hui, si vous voulez mon avis. Il fait ses affaires dans son chalet avec du bois. Il fait ses entrevues, il fait ses choses. Les gars, ils ont des modèles d'affaires. Être quémos, s'il a confiance en lui-même, c'est ça que je ferais. Anyway, prépare-toi déjà des plans. Ton late night, il achève. [00:16:42] Speaker B: Exact. Toutes les late nights achèvent. [00:16:44] Speaker F: Toutes les late nights, c'est ça. Ça va crever. C'est une formule qui est dépassée. Sauf celui de Godfell qui est très différent. Ça, c'est un show politique. Le soir. Mais c'est qualifié quand même de late night. Dans les ratings de late night, tu regardes le salaire et la masse salariale de ce show-là, et les ratings, le ratio revenu, et sa laire est très disproportionnée. C'est totalement autre chose. Un peu comme à l'époque. C'est pas un héritier de Johnny Carson. Non, c'est ça. Moi, quand j'ai commencé à écouter les late nights à l'époque, t'avais Jay Leno, t'avais Letterman. Puis, il y avait un show que j'ai découvert à ce moment-là, vers la fin des années 90, à ABC. Jay Leno t'a bon. Géladeau, c'était mon préféré. Il me faisait plus rire, c'était plus léger, ça finissait bien une journée. Letterman était un peu plus politique, mais jamais autant que ceux d'aujourd'hui. Pas Fallon, mais les autres aujourd'hui. [00:17:35] Speaker G: C'était drôle. [00:17:35] Speaker F: À son prime time, Letterman n'était pas capable. C'était drôle la maudit Letterman. [00:17:39] Speaker B: J'ai manqué, je pense, ses meilleures années à Letterman. [00:17:41] Speaker F: Je l'ai aimé depuis les années 90. [00:17:44] Speaker B: Jimmy Fallon, c'est parce qu'il est pas dangereux. [00:17:48] Speaker F: C'est ça, il est zéro politique. [00:17:49] Speaker B: Il y a Trump qui le vise. C'est de quoi tu parles, man? [00:17:52] Speaker F: Je pense qu'ils sont carrément trompés de nom. Jimmy Fallon, c'est un imitateur. Ses meilleurs passes, c'est qu'il va dans le métro, il se déguise en Bono, il joue... Là, t'as le vrai Bono qui arrive. T'sais, c'est... [00:18:04] Speaker B: C'est drôle! [00:18:05] Speaker F: Il est zéro politique, Jimmy Fallon. Il est moins politique que Jill Eno l'était. Ah, il est très, très peu politique. Oui! Même Jill Eno l'était, mais... Mais Eno n'était pas partisan. Il donnait des baffes de deux barres. Il allait chercher le gag. Le but de Leno, c'était de faire rire. Le gag de la journée, parce que c'est un late night, donc tu vas te coller sur le jour. Clinton, il a donné beaucoup de stock. Bush, il a donné beaucoup de stock. Il y avait moyen de rire des deux à masse. Comme dans le temps d'SNL, dans ce temps-là, SNL imitait Clinton, puis imitait Bush. [00:18:35] Speaker B: Le New York Post annonce ce matin que le FCC a aussi parlé à The View de ABC. [00:18:41] Speaker F: Ben, c'est drôle que tu me parles de ça, parce que je pensais à ça justement. [00:18:44] Speaker B: Mais The View, ça n'écoute d'écoute. Donc si... Ben, The View, c'est pas écoutable. Je le sais que c'est pas écoutable. [00:18:50] Speaker F: Mais il y a du monde qui l'écoute. Je le sais, mais je veux pas que ça soit cancellé. [00:18:54] Speaker B: Ben non, on a encore eu... [00:18:54] Speaker F: Le Whoopi Goldberg est folle comme la marde. [00:18:56] Speaker B: Surtout un show de mid-morning, on s'entend pas dire que c'est pas très dangereux. [00:18:59] Speaker F: Mais c'est 4 filles le matin, c'est dans le son, c'est un peu ça. Le modèle, ça devait être balancé au début avec Barbara Walter, je vous le rappelle. Mais c'est devenu un bitch-fest. Qui était une amie de Trump. En tant que Trump, t'es un peu plus démocrate. Un peu de grand-journaliste, Barbara Walters. Je suis grand-journaliste, là. Faisait des grands reportages, pis on n'était pas au monde personne, ici. C'est sûr que ça, c'est-tu visé par ABC? Parce que c'est diffusé par ABC. [00:19:24] Speaker B: C'est, semble-t-il, c'est le New York Post qui a dit ce matin que le président du FCC a aussi parlé de The View à ABC. Pis tu sais, ABC, c'est Disney, là. Disney, c'est pas une compagnie qui est abonnée aux grands... [00:19:36] Speaker F: C'est les revenus. [00:19:37] Speaker B: C'est ça. [00:19:38] Speaker F: Compagnie par action. [00:19:39] Speaker B: Ils n'ont pas encore voulu payer pour avoir les droits de Spider-Man, même si ce sont à eux autres. Parce qu'ils laissent le contrat se terminer avec les autres diffuseurs, avec Sony. C'est pas... On s'entend pour dire que c'est pas une compagnie qui aime ça. Elle aime pas ce qu'elle vit à l'heure actuelle Disney. C'est pas... C'est du quoi? Boycottons Disney. On va tourner la bande. [00:20:06] Speaker F: Boycottons Mickey. Plutôt Mickey, Goofy. C'est pas mal Goofy ce qui est en train de se passer. Ils ne veulent pas d'histoire généralement. En 2001, je ne pense pas qu'ABC appartenait déjà à Disney. Je pense que le merge ne s'était pas encore fait à cette époque-là. Mais Bill Maher avait perdu sa job en 2001. à ABC, parce que ça, j'allais dire, vers la fin des années 40-50, j'écoutais Leno, j'écoutais un petit peu Letterman, puis des fois, quand je changeais de poste, je tombais sur ABC, puis il y avait un show qui était. [00:20:37] Speaker B: Totalement différent, qui était un late night. [00:20:39] Speaker F: Mais qui l'était pas, qui s'appelait Politically Incorrect, animé par Bill Maher, qui était un show de chaise un peu plus, où on jasait de politique, puis ça. [00:20:47] Speaker B: Débattait un peu comme il faut aujourd'hui. [00:20:49] Speaker F: Mais c'est meilleur que ce qu'il faut aujourd'hui, je crois qu'à l'époque. Mais t'sais, c'était totalement autre chose. Puis en 2001, il est arrivé le 11 septembre, il a eu des propos sur son show qui ont été controversés, ABC l'a flushé. Et c'est là que c'est ramassé sur d'autres canaux. Oui, c'est ça. Et Jubillot. Et maintenant, son podcast, qui est très drôle. Où ça fume des gros bâtes un après l'autre. C'est drôle, le podcast, il est encore meilleur que son show. Oui, bien, ça dépend toujours de l'invité. Ça dépend de l'invité tout le temps. C'est ça. Mais justement, je continue à dire, allez écouter, si vous avez du temps en fin de semaine, allez écouter celui avec Charlie Kirk, où Kirk boit pas. Fume pas. [00:21:28] Speaker B: De l'autre à côté, qui n'arrête pas. [00:21:30] Speaker F: De se faire des shots, qui n'arrête pas de fumer. C'est dans ce top-là. Hier, c'était bon, quand même, le segment dans le retour avec Christian Fauché. Christian a tout à fait raison aussi. Il vit aux États-Unis. C'est des vrais quotes qu'il a racontés hier concernant Kimmel. Kimmel est fou comme la marde. Oui, c'est pas nouveau. Mais c'est ça, c'est pas nouveau. Mais je veux pas qu'il perde sa job. Je veux que ce gars-là soit identifié, on comprend. Mais faites-vous votre propre opinion, c'est ça. La zapette, on la contrôle, en passant. [00:22:01] Speaker B: On a toujours tenu ce discours-là à Radio X. [00:22:06] Speaker F: Toujours, depuis que je suis engagé. Tu changes de poste, si t'es pas content, tu fais ton choix de consommation. [00:22:12] Speaker B: Kimmel, c'est The Man Show. De 90 à 2003. Comedy Channel. Les podcasts avant les podcasts. C'était ça, Kimmel. [00:22:20] Speaker F: Dans le temps qu'il était drôle. [00:22:21] Speaker B: C'est ça. Il était avec... Pourquoi il est plus devenu drôle? [00:22:25] Speaker F: Il est plus drôle. [00:22:25] Speaker B: Parce qu'il est devenu trop impliqué. Il est devenu très, très... Jimmy Kimmel est très, très influent à Hollywood. Il est rendu là. Il est ami avec tous les acteurs, tous les producteurs. [00:22:34] Speaker F: Donc, Trump s'attaque à Hollywood. C'est ça, la manchette, au final. [00:22:36] Speaker B: C'est un peu ça. Parce que Jimmy Kimmel, il était pas bon pour animer les Oscars. Il les a animés trois fois. [00:22:42] Speaker F: Il est bien branché. [00:22:43] Speaker B: Il est ultra bien branché. [00:22:45] Speaker F: Grand chat, Malward Stern. [00:22:46] Speaker B: Pis qu'est-ce qu'il faisait avec Adam Carolla, The Man Show? Ben, c'est l'invention des podcasts, là. C'est deux gars qui prenaient de la bière pis qui disaient de la merde. Pis c'était la Comedy Channel. C'était le show le plus écouté de Comedy Channel. Les gars se sont bâtis là. Tout le monde voulait écouter ce show-là, parce que c'était drôle. [00:23:04] Speaker F: C'était deux gars... Que t'as écouté, beaucoup? [00:23:06] Speaker B: Que j'ai écouté, en fait, sans le savoir que c'était lui, parce que c'est hier, quand j'ai vu toutes les images, j'ai fait « Ah ouais, The Man Show », c'était Jimmy Camel. C'est deux gars qui prenaient de la bière, puis qui jasaient. C'était des podcasts avant les podcasts. Puis il a tout le temps dit de la merde, sauf qu'à l'époque, c'était drôle, puis là, il s'est un peu plus politisé. [00:23:25] Speaker F: C'est dans le temps qu'il avait fait, moi, je me sens de gros guillemets, son blackface, parce qu'il imitait Charles Barkley. Il a fait un blackface? C'est parce que le blackface, à une autre époque, le blackface c'était un blanc que tu te peintures en noir pour rire dès noir. Lui, il voulait imiter Charles Barkley. Charles Barkley, il est noir. Je ne peux pas l'imiter. Si je suis blanc, il est noir. Il s'était peinturé un peu plus foncé. Jimmy Fallon l'a déjà fait aussi pour Chris Rock. Il s'était peint ça en noir pis il avait imité Chris Rock, mais t'imites un gars qui était en plus un sage-homme, mais il l'imite pour le gag. C'était pas pour rire des noirs pis les ridiculiser. Quelqu'un qui répète, il a perdu sa job parce qu'il coûtait trop cher, il était mis à la porte à cause des ratings. On vient de dire exactement le contraire. On vient de raconter comment ça marche. On est en début de saison. Tu n'es pas viré. en début d'une saison où les contrats de pub sont signés, t'es viré ou l'annonce de ton congédiement, ça coïncide avec une fin de saison. Dans le cas de Colbert, c'est projeté, c'est un licenciement qui est projeté dans le temps. Il est en ondes encore. Mais oui, il n'est pas licencié. Il a été suspendu. C'est ça. Donc, si vraiment il coûtait si cher que ça et si ses ratings étaient si nuls... [00:24:46] Speaker B: Il arrêterait de le payer. [00:24:47] Speaker F: Il serait complètement viré. Il aurait été viré l'été passé, cet été qu'on vient de finir. Il n'aurait pas commencé la saison. Là, on commence une saison. C'est la saison de télé, la saison de radio, la saison de la littérature. C'est l'automne, la saison du cinéma, avec d'autres grandes sorties en fin de semaine. On est en lancement culturel les automnes. Ça tient pas en route deux seules secondes. Il était suspendu. Et le gars du FC ici, il serait pas sorti. Ça aurait été un équipement économique, les amis. Arrêtez de tomber dans le panneau. [00:25:15] Speaker B: Hier soir, Jimmy Kamol ne travaillait pas. Il a reçu sa paye. Mercredi soir, même chose. [00:25:20] Speaker F: Il devait être payé. [00:25:21] Speaker B: Toute la semaine prochaine, il travaille pas. Il reçoit sa paye. Jusqu'aux fêtes, s'il travaille pas, il va recevoir sa paye. [00:25:29] Speaker F: Et possiblement que dans une semaine ou deux, il va être réinvité à revenir en oncle. [00:25:32] Speaker B: Et voilà. Et voilà. [00:25:35] Speaker F: Il est pas congédié? On va juste remettre les choses dans le bon ordre. [00:25:38] Speaker B: Il a été tassé parce qu'il y a eu de la pression du FCC. C'est ça la réalité. C'est devenu politique. [00:25:46] Speaker F: Les amis, j'ai joué dans ce film-là, j'étais ici à Radio X en 2004. Le CRTC, on disait, ce n'était pas politique. Le CRTC est sous la houlette de la ministre du patrimoine. et le call s'est fait là de fermer Radio X. On a joué ici dans ce film-là. Oui, il y a beaucoup de gens qui nous écoutent actuellement qui étaient pas au monde. Je vous le raconte, là. On a joué dans ce film-là. Il y a eu Scherrer, et par la suite, ça a été Lisa Frula. Fréfru! Ah, moi, je m'en mêle pas, c'est pas politique. Bien oui, voyons donc. Ça l'est, politique. C'est faux, le politique. Et le FCC est très politique aux États-Unis. Et là on le voit s'entraîner complètement déliré avec la sortie de Trump. Trump va pas bien. Trump est fru envers beaucoup de monde, entre autres. Poutine. La frustration, à un moment donné, tu l'emmagasines. Il a un gros égo aussi. Là, il a fait un tour de carrosse à Londres. Il va être content. C'est sûr que c'est en train de déraper. C'est une forme de payback time. Mais le payback time, tu peux pas rentrer là-dedans. Ça finit pas, là. C'est tit for tat, tit for tat. Ça finit pas à un moment donné. Oui, les démocrates, ils ont été excessivement toxiques. L'histoire du New York Post, avec le laptop from hell. [00:27:14] Speaker B: On n'est pas obligés de devenir aussi toxiques que d'autres. [00:27:16] Speaker C: C'est ça. [00:27:16] Speaker F: Tit for tat, c'est allé fini, là. C'est ça. Si tu dis pay back time, là, le prochain président démocrate, watch out. Ben c'est ça. Au Ferme Fox News. Ben c'est ça. Peut-être Fortat, c'est pour l'infini, puis tu peux pas rentrer dans cette dynamique-là, en tout cas. À mon avis, c'est 6h22. Là, je vois que tu pitonnes des affaires. Veux-tu t'en aller dans le cinéma, tranquillement? [00:27:38] Speaker B: Dans d'autres choses, dans le deep? [00:27:40] Speaker F: Ah, je pensais qu'on l'était déjà. Bien, let's go, let's get deeper. On est léger, ce matin. Dans Morelive. [00:27:50] Speaker B: C'est le Deep Down, des nouvelles de. [00:27:53] Speaker F: Sport parce qu'on est fan. [00:27:55] Speaker B: Si vous avez commis l'adultère, c'est ici qu'on va parler de l'affaire. Les débiles du Brésil, les freaks de l'évangile, tout droit sorti de l'asile. C'est le Deep Down. C'est le Deep Down. [00:28:11] Speaker C: C'est le Deep Down. [00:28:12] Speaker B: Aimez-vous ça des chansons? [00:28:14] Speaker F: Oui. [00:28:15] Speaker B: Je vous présente une fille qui s'appelle Andy Saint-Louis. [00:28:18] Speaker F: J'ai écouté de la musique de Noël hier. Ok. Un peu. [00:28:21] Speaker B: Juste un peu. [00:28:23] Speaker F: Marie-Michelle Desrosiers. [00:28:24] Speaker B: Non, non, 28 degrés en Bermuda, au mois de septembre. [00:28:27] Speaker F: J'allais la voir, elle vient à Lévis. [00:28:29] Speaker B: À l'Anglican? [00:28:30] Speaker F: Oui. Elle fait-tu un show de Noël? Oui. Ok. Puis là, on a m'acheté des billets. Elle fait comme un re-carry? Oui, mais elle a la grosse 10 de Noël, Marie-Michelle Desrosiers. [00:28:38] Speaker B: Marie-Michelle Desrosiers et l'Orchestre symphonique de la Russie, de Moscou. [00:28:43] Speaker F: Elle n'a pas été cancellée, elle, le soir. Donc, elle sera à Lévis et je vais aller la voir. Bref, on écoutait ça hier, mais ce n'est pas là que tu vas t'en aller. [00:28:51] Speaker B: Non, je vous parle d'une fille qui s'appelle Andy Saint-Louis. On imagine que c'est Andréanne Saint-Louis. Elle avait envie de parler de l'histoire de Jimmy Kimmel hier aux enfants. En fait, c'est pas aux enfants, là, mais il va une continue à la fois avec un beau gilet « Fuck Trump ». C'était édifiant. [00:29:08] Speaker E: Après que le FCC ait forcé l'annulation du show de Jimmy Kimmel, j'ai pris des chansons pour enfants pour expliquer le fascisme. [00:29:14] Speaker D: Chez nous, à la maison, on cancelle. [00:29:16] Speaker E: Les émissions qui critiquent le Président s'encourageant. C'est tuerie de notre mouvement, on te coupe les mains. [00:29:24] Speaker B: A vous dirais-je maman, comment Trump est terrifiant. Les antifas sont terroristes, mais lui c'est pas un fasciste. On s'en repart dans 2-3 ans, j'le cache au gré. Passe-moi ta liberté d'expression. Donc tu vois, on était beaucoup là-dedans hier, ça a beaucoup alimenté les... Jon Stewart est plus drôle. Oh oui, Jon Stewart, puis même Jimmy Kimmel est plus drôle. G.I.E.U. [00:29:55] Speaker F: Là, y'a des White Riders qui sont payés 350 millions par année, 400 U.S. [00:29:59] Speaker C: Là. [00:29:59] Speaker B: Je sais. [00:30:00] Speaker F: C'est sûr là, mais ceci dit, si vous détestez ce que fait Trump, Logo faisait ça. Où étiez-vous il y a trois ans? On peut-tu Dieu fermer la gueule, affilions pas morés, gang de débiles. [00:30:19] Speaker B: C'est ça, c'est pour ça que je comprends pas. [00:30:21] Speaker F: Où étiez-vous? Où étiez-vous? [00:30:26] Speaker C: C'est ça. [00:30:27] Speaker F: C'est ça. Il était pas là. Et pendant ce temps-là, ben... Notre Lacroix, il était encore malé à partir avec le Collège des médecins, tout ça. Tout ça à cause de propos qui... Ah, il a critiqué Arruda, il était pas fin. Ça, c'était très fasciste, excuse-moi, avec le recul, là. Le fascisme... Il a critiqué Arruda. Arruda a appelé ici pour nous censurer. Et Arruda appelait partout, là, sa secrétaire ou whatever, son chef d'oeuvre. Arruda-Banana. C'est vrai, ça c'est arrivé. Arruda-Banana, les sketchs qu'on faisait ici pour rire de lui. [00:31:03] Speaker B: On a été obligés d'arrêter de dire Banana. [00:31:05] Speaker F: Le prof-provo. Le prof-provo, c'est immensément plus grave dans la mesure où c'était son gang-pain. C'est un scientifique. C'est un scientifique qui a soulevé... C'était fait un bureau. Stéphane Bureau, parce qu'il faisait l'entrevue. Le contrat s'était long pas sacré dehors. Son contrat se terminait. [00:31:25] Speaker B: Mais c'est ça que t'es arrivé par là. Vous venez de m'envoyer deux pox à la palette en même temps. [00:31:29] Speaker F: Boum boum! [00:31:31] Speaker B: D'abord, avec le prof Provo, tu sais que c'est sa femme maintenant qui paye pour tout. Il vit au crochet de sa femme maintenant. Il n'y a plus de job. C'est le même, ça marche. Puis sur les médias sociaux, je dégage un peu du prof, mais sur les médias sociaux, il y a une grosse tendance d'hommes qui se plaignent du fait que les femmes travaillent, ils ont de l'argent, puis ils veulent un chum qui travaille, qui ont de l'argent. Tu comprends? C'est un peu ça. Le discours, puis je parle pas d'un discours féministe, je parle des filles qui sont comme nous autres. Le discours des femmes, c'est non, non, moi je vais travailler, puis je veux un chum qui travaille aussi. Il faut être actif dans la vie. Let's go Starbucks. J'en ai fait référence hier. Dans un live, c'est ça. Vous avez besoin d'avoir un job, il y a quelqu'un, J'ai pogné un débat là-dessus, deux gars qui... Ben, il y en a un qui dit... que ça marche pas avec les femmes, parce qu'il est racisé, puis toute la patente, puis l'autre, il dit, wow, wow, wow, wow, wow, écoutez ça. Au Québec, on n'est pas reçus, on veut pas travailler les vrais jobs, là. Moi, je suis un gars... Et moi, je suis même victime de cette paresse-là, là. Je suis un gars qui devrait être dans des chantiers de construction, je devrais être dans le terrain à 4 heures du matin, et je bouge à 2 heures. Je devrais être un gars comme ça. Mais je suis pas un gars comme ça parce que je suis pas reçu. Mais dans ma paresse, je suis pas une victime. Parce que toi, je te vois déjà aller, t'es en train d'essayer de donner plein de théories boiteuses pour essayer de décrire qu'est-ce qui se passe au Québec. Au Québec, on a trop de paresseux. Et là, on doit arrêter cette paresse là. Parce que là, c'est à cause de cette paresse là que les femmes sont en train de nous manquer des gars. Tu vois, il y a peut-être 5-6, excuse-moi de t'interrompre, il y avait peut-être 5-6 de mes rubriques où je suis en train de clash les femmes et tout, mais les femmes, où ils ont le droit de nous clash pour de vrai, c'est qu'à la fin de la journée, on a une colonie de pas reçus. Voilà, c'est tout, il l'a dit. À la fin de la journée, on est une colonie de paresseux, on travaille pas, donc c'est pas parce qu'on a des opinions, c'est pas parce qu'on est tout croche qu'on n'a pas de blonde, c'est parce qu'on fait rien pour en avoir. Je trouvais le commentaire assez intéressant parce que je trouve que ça rejoint beaucoup de jeunes de nos jours. Oui, oui. Si vous n'avez pas de job, votre place à l'heure actuelle, c'est de se lever à 4h du matin et d'aller dans un chantier. On n'arrête pas de le dire, les immigrants temporaires sont là pour ça, pour cette raison-là. C'est parce qu'il y a un paquet de jobs que les gens sont trop paresseux pour faire. Puis s'ils sont trop paresseux pour les faire, c'est souvent parce qu'ils ont été trop paresseux pour étudier. C'est souvent une roue qui tourne, la paresse. La paresse, ça va vous suivre toute votre vie. Faut s'attaquer à ça plus que... Regarde, moi, si je fumais la cigarette et que j'étais paresseux, je trouverais en priorité arrêter la paresse avant la cigarette. Ça nuit, la paresse. [00:34:22] Speaker F: C'est un cancer. Loisivité, la paresse... [00:34:26] Speaker B: Alors, c'est complètement malade, pis là je veux faire, t'sais que vous allez avoir une insurrection ici à Québec, la journée de la rentrée parlementaire. [00:34:33] Speaker F: Dans dix jours? [00:34:34] Speaker B: Ouais, vous n'avez entendu parler? [00:34:35] Speaker F: Maïté? [00:34:37] Speaker C: Non. [00:34:37] Speaker B: Vous n'avez pas entendu parler de ça? [00:34:39] Speaker I: Non. [00:34:39] Speaker B: Ben oui, il va y avoir la moitié de la population du Québec qui va être là. Des millions et des millions de personnes qui seront là le 30 septembre en face du Parlement pour la grande insurrection. On sera tous là, nous autres aussi. Je vous fais entendre l'insurrection, ça va être devant le Parlement. C'est le 30 septembre, mais écoutez jusqu'à où ça pourrait aller. [00:35:01] Speaker F: L'insurrection devant le Parlement, le 30... Il y en a qui vont arriver. [00:35:07] Speaker C: Le 29, ça arrive le 30. [00:35:09] Speaker F: Ça risque de se prolonger jusqu'au 31 parce que le genre de foule qui va... C'est un festival? [00:35:14] Speaker B: Non, tapu. [00:35:16] Speaker F: Tapu. [00:35:16] Speaker B: Je veux juste leur dire que le 31 septembre, ça existe pas. Ça existe pas. [00:35:20] Speaker E: En plus! [00:35:22] Speaker F: Dans le cosmos peut-être, mais sur la terre, non. [00:35:26] Speaker B: Ça existe pas, OK? Et qu'est-ce qui va se passer cette journée-là? De toute façon, vous allez vouloir venir. [00:35:32] Speaker F: Pour cette journée historique-là. C'est comme si on faisait tomber notre mur de Berlin à nous autres. C'est ça qui se passe, OK? [00:35:38] Speaker I: Fait que c'est gros à nous. [00:35:39] Speaker F: Ça va marquer l'histoire de l'Occident, puis ça va marquer l'histoire de notre famille. [00:35:43] Speaker I: Alors, j'aime bien que vous soyez là. [00:35:44] Speaker B: Donc voilà, l'histoire de l'Occident, c'est dans deux semaines. Ça se passe en face de notre Parlement. Ça risque d'être une grosse, grosse, grosse journée. Les meilleurs au monde. [00:35:55] Speaker D: On revient dans pas long. [00:35:56] Speaker B: Live. [00:35:57] Speaker E: Radio X. [00:35:59] Speaker B: Ce segment est une présentation de CAA Québec. Profitez de notre meilleur prix de l'année pour 6,25$ par mois pour une carte CAA classique. Offre d'une durée limitée, visitez caaquebec.com pour les détails. Ouellet. En direct! Ben oui, écoute, j'ai regardé la bande. [00:36:16] Speaker H: Annonce de ton commentaire-là. [00:36:18] Speaker D: Je trouve que ça a l'air bien. [00:36:19] Speaker H: Pat! Quoi? [00:36:20] Speaker B: Salut, je m'appelle Éric. Je suis un alcoolique. J'ai une maladie génétique. [00:36:25] Speaker H: On va voir tes deux enfants, d'ailleurs 13 et 14 ans, qui ont quand même été traités. [00:36:29] Speaker B: Quand j'ai rencontré mon enfant, il y. [00:36:31] Speaker H: A un Faites-le ça, hein! T'es qui, toi? Tu fais ça? [00:36:36] Speaker B: Y'avait l'air de me connaître! an... Vous pourriez avoir l'impression que votre VUS a pris de l'avance. Parce que pendant que vous êtes encore en train de vous demander si vous avez oublié quelque chose, le BZ4X est déjà chargé. Tout ça grâce à la recharge programmée. Après, tout ce qu'il vous reste à faire, c'est de le ramener à la maison. L'événement Repartez en Toyota est en cours. Découvrez nos nouveaux modèles emballants comme le BZ4X et vous comprendrez pourquoi Toyota, ça fait rêver. Visitez AchetezMaToyota.ca ou passez chez votre concessionnaire Toyota du Québec aujourd'hui. [00:37:24] Speaker E: Vous n'avez pas choisi qu'un cancer ou une maladie rare débarque dans votre vie. Mais choisir sa pharmacie, c'est un gros plus. La pharmacie d'expertise La Rivière et Massicotte. Lmpharmacienne.com Seuls les pharmaciens sont responsables de la pratique de la pharmacie. [00:37:39] Speaker B: Je suis Stéphane Leblond, de Leblond & Associés, syndic autorisé en insolvabilité. L'argent ne fait pas le bonheur, mais évitez qu'il fasse votre malheur. Vos finances en toute confiance, c'est une expérience en toute confinance. Leblond & Associés, nous rencontrer peut tout changer. [00:37:55] Speaker E: Hey, je sais pas toi, mais ça me tente tellement pas de faire la cuisine ce soir. [00:37:59] Speaker F: Jusqu'au 15 octobre, chez BMR, les peintures. [00:38:01] Speaker B: Psycho Surface Note, Prestige, Évolution et Virtuo. [00:38:04] Speaker F: Sont jusqu'à 50% de rabais. C'est bon, ça. BMR, pour les vrais, des conditions s'appliquent. [00:38:09] Speaker B: Bienvenue au service à l'auto. Qu'est-ce qu'on peut vous servir? [00:38:11] Speaker F: Rien, c'est payer en méthode. [00:38:13] Speaker B: Je suis juste venu vous montrer mon nouveau Nissan. [00:38:15] Speaker F: Il est beau, hein? [00:38:15] Speaker B: Je ne vous vois pas, monsieur. Je peux-tu avancer à la première fenêtre? Oui, oui. Hé hé! Youhou! Le nouveau Kicks 2026 est arrivé chez Beauport-Nissan et Sainte-Foy-Nissan. En plus de vouloir le montrer à tout le monde, vous allez pouvoir vous vanter de ne payer que 387 $ par mois en location sur 60 mois avec 0 $ d'accompte. On vous attend chez Beauport-Nissan et Sainte-Foy-Nissan. [00:38:39] Speaker F: Monette Express, les déménageurs qui déménagent. Un déménagement à longue distance, commercial ou. [00:38:44] Speaker B: Résidentiel, Monette est là pour vous. [00:38:46] Speaker F: Pour un service clé en main, emballage, déballage ou entreposage, c'est Monette Express. [00:38:51] Speaker B: Du transport de matériel électronique ou de machinerie lourde, y'a rien à notre épreuve. [00:38:55] Speaker F: Depuis plus de 20 ans, Monette Express. [00:38:57] Speaker B: Déménage des particuliers et des entreprises de la province de Québec. Pour déménager, un seul numéro à retenir. [00:39:02] Speaker F: 88 840 1234. [00:39:05] Speaker B: Monette Express, les déménageurs qui déménagent. Pour ton party de bureau, ne cherche plus! On t'attend à la Taverne Grand Allé! Des salons qui peuvent accueillir ta gang, des menus et des forfaits de groupes clés en main, des musiciens, la recette pour un party réussi! Perds pas de temps! Contacte maintenant la Taverne Grand Allé! [00:39:24] Speaker F: Le Dr Steve Bernier, c'est le centre d'excellence All on 4 et en chirurgie par navigation 3D. Le Dr Steve Bernier est la référence pour vos implants dentaires. 418-835-5858. Maintenant à Lévis, Québec et en Beauce. Drstevebernier.com. [00:39:41] Speaker B: Jour 12, toujours aucun Wi-Fi. [00:39:43] Speaker F: Je pensais avoir entendu un bip, mais c'était mon micro-onde. [00:39:45] Speaker B: Jour 47, enfin une barque! C'était une barretante. [00:39:49] Speaker E: T'as pas à vivre une épopée pour trouver un bon Wi-Fi. L'Internet fibre 500 Mbps à 50 $ par mois. De e-box, ça te prend ça. [00:39:56] Speaker B: Ben, passerais-tu la scie, mon grand? Question de lancher ton téléphone. Ha ha! Mais c'est pas un métier, couper des. [00:40:01] Speaker H: Branches aussi proches des fils. [00:40:02] Speaker F: Franchement! [00:40:03] Speaker B: J'suis capable! [00:40:05] Speaker E: Tailler des branches près des fils électriques pourrait couper court à votre vie. Restez à plus de 3 mètres. Ceci est un message d'Hydro-Québec. [00:40:11] Speaker B: Avec Passepartout, on rit, on chante et on s'amuse beaucoup. Dès maintenant sur l'appli de Télé-Québec, vous retrouverez du contenu comme Passepartout pour nourrir l'imaginaire des petits. On va jouer à être des grands scientifiques. Avec des personnages attachants et colorés, on. [00:40:27] Speaker F: Apprend tout en s'émerveillant. [00:40:28] Speaker D: Je sais ce qu'on va faire! [00:40:30] Speaker B: J'ai une idée! Téléchargez l'appli Télé-Québec pour y découvrir une grande variété d'émissions pour accompagner vos enfants. Bravo! Passe partout! Dès maintenant à la télé, sur le web et l'appli de Télé-Québec. Salut, c'est Carbo! C'est le moment de faire traiter ta voiture à l'Antirouille Crown. Une entreprise bien de chez nous et pour un temps limité. Tu épargnes 10 $ sur ton traitement à l'antirouille canadien numéro 1 au pays. Rendez-vous rapide! Trouve le centre le plus près au crown.com. [00:40:55] Speaker E: Retraite Québec présente le brin de sagesse de Sylvie. [00:40:58] Speaker F: Nous, une année avant de prendre notre. [00:41:00] Speaker B: Retraite, on a essayé de vivre avec. [00:41:02] Speaker H: Le budget qu'on avait prévu pour faire un test. [00:41:04] Speaker F: Ça a été une année pas mal poche. On a reporté notre retraite de trois ans. [00:41:09] Speaker B: Mon conseil, prenez le temps de penser. [00:41:11] Speaker E: À ce que vous voulez et demandez l'aide d'un professionnel. Pour récolter assez de blé à la retraite, revoir sa situation financière et sa stratégie de temps en temps, c'est un bon plan. [00:41:20] Speaker H: Visitez notre site Web pour en savoir plus. [00:41:23] Speaker E: Un message de Retraite Québec. [00:41:25] Speaker B: Cet automne, respectez vos échéances avec les équipements de construction Kubota, bâtis pour le Québec. Peu importe le froid et le chantier, ils sont fiables. Obtenez présentement du financement allant jusqu'à 0 %. Visitez votre concessionnaire Kubota pour plus de détails. [00:41:39] Speaker E: Repartez en Toyota avec Charlebourg Toyota. Offrez-vous le BZ4X et le deux roues motrices 2025, un VUS électrique polyvalent, plusieurs véhicules en inventaire. Profitez d'un rabais de 12 000 $ en incitatif. Chez Charlebourg Toyota, on ne fait pas juste vous vendre une voiture. [00:41:54] Speaker B: Les 200 forfaits pour le Tailgate Radio X du roue géant football contre les Carabins de Montréal le 19 octobre se sont tous envolés. Les fans de foot auront droit à une bière Ralbock, une pointe de pizza Stratos Pizzeria, le hot dog de rêve sportif, un demi-sandwich de Britsbo...meat, un morceau de poulet frit d'ixili, une bouchée sucrée d'équilibre traiteur et une dégustation de la distiliste adaconée. Bonne chance aux Rouges et Or et on vous invite à rester à l'écoute de Radio X parce que qui dit série, dit encore plus de tailgate. Une collaboration anti-rouille crown. Trouve le centre le plus près au crown.com. [00:42:34] Speaker H: Radio X. Notez que l'émission d'aujourd'hui est une rediffusion. Veuillez ne pas tenir compte des numéros. [00:42:39] Speaker B: De téléphone, date et concours dans le prochain segment. [00:43:02] Speaker F: Grosso modo, jusqu'à 8 heures pile. Claude Villeneuve, comment ça va? [00:43:06] Speaker I: Ça va bien et toi? [00:43:07] Speaker F: Très bien. Les lignes sont pleines. En fait, on va passer aux auditeurs dans quelques secondes, juste pour savoir, avoir leur juste. Puis, je vous posais la question durant la pause, les débats. On a «out», qu'il y a justement des débats. pour qu'il y ait des échanges, pour justement qu'il y ait de l'information, essayer de déstabiliser l'autre et tout ça. Les débats, qu'est-ce qu'il y a sur la table de conclus? [00:43:33] Speaker I: Là, évidemment, il y a la Chambre de commerce qui en fait un la semaine prochaine, le 7. C'est à Saint-Charles-Garnier. Radio-Canada, il y en a un, Radio-Canada, mais là, de mémoire, j'ai de la misère à dire la date. [00:43:41] Speaker F: Mais il y en aura un. [00:43:41] Speaker I: Oui, oui, il y en a un, c'est certain. [00:43:42] Speaker F: Avec Bruno Savard, j'imagine. [00:43:44] Speaker I: Avec Bruno Savard. [00:43:45] Speaker F: Est-ce qu'il y en a un avec Julie Couture? [00:43:47] Speaker I: Vite, je crois... Très bien, je... Oui, Votre attache à. [00:43:50] Speaker F: La presse dit oui, c'est ça, c'est bon, très bon. [00:43:53] Speaker I: Donc on va les faire, on va être là. [00:43:54] Speaker F: Ben oui, oui, il faut, il faut. Faut que ça lève, là, on prend l'impression que ça lève beaucoup la campagne, humblement. [00:43:59] Speaker I: Ben oui, pis qui a les moyens de se priver de tribune pour parler avec le monde? Ça marche pas, là. Ben c'est ça. [00:44:03] Speaker F: Ça marche pas. OK, parfait. Je laisse la place au monde. Moi, je suis en retrait, puis ça déborde, vous le savez, les livers, des questions intelligentes posées, puis comme d'habitude, finalement, ça a bien été avec Anne, ça va bien aller avec Claude. Et la semaine prochaine, rappelons-le, débordée du Sud, et on reprend le 20 minutes du Peuple après avec la chance et avec Ahmad. Jacques de Côte-de-Beaupré. Bonjour. [00:44:27] Speaker C: Oui, bonjour. [00:44:27] Speaker F: Vous parlez directement avec Claude Villeneuve. Allez-y. C'est votre but. [00:44:30] Speaker C: M. Villeneuve, êtes-vous conscient Quand vous unifiez en pas, vous ne ferez même plus partie du conseil de la ville de Québec. Puis là, vous allez être avec un individu qui va briser la ville qu'on a connue pendant des années. Puis là, ça va être une ville scrappée. Tout ça, tout ça, parce que vous vous êtes pas entendus ensemble. Parce que le marchand va passer là comme une balle. [00:45:03] Speaker I: Ben moi, comme je vous dis, j'ai très confiance dans mon district de Maizeret-Leray et au-delà, pis moi je vise de gagner cette course à la mairie-là. On va l'avoir, le débat, pis ça va se passer. Bruno Marchand, moi je vois justement tout ce qui a été aménagé partout en ville. les lubies, l'idéologie telle qu'elle a été implantée. Puis moi, je l'ai vu au premier reloge en étant chef de l'opposition. Maintenant, en nous unifiant pas, t'sais, c'est... Est-ce qu'il n'y a pas eu... À mon avis, il n'y a pas eu de discussion vraiment sérieuse pour créer un front uni. Puis de toute façon, t'sais, je vois la personne qui essaie de nous unifier présentement, le genre de campagne qu'elle mène, je suis pas sûr que c'était l'homme de la situation. En fait, je sais que c'était pas l'homme de la situation. Alors moi, je propose mon offre, je vais voir le monde. Puis l'accueil est super bon. Puis mes candidats, ils sont sur leur terrain, ils sont dans les portes, puis les gens, ils ont envie d'entendre parler d'autre chose que marchands, amades. Ils ont envie, ils veulent plus de Bruno Marchand, ils trouvent que ça m'amande, c'est pas sérieux, ils cherchent autre chose. Fait que moi, c'est ce que je propose. [00:45:56] Speaker F: OK, puis il y a eu des bonnes questions aussi sur le texto. Je sais qu'on est en 2025, il y a des appels. 88-770-9098. Mais il y a beaucoup de bons trucs sur le texto, puis Dan va faire ça tantôt. [00:46:09] Speaker B: On va entendre ça. [00:46:10] Speaker F: Oui, parfait. Bernard de Charlebois, c'est à votre tour. [00:46:13] Speaker I: Bonjour. [00:46:13] Speaker C: Oui, bonjour. Moi, je voudrais parler du délit de démocratie qui existe à la Ville de Québec. C'est-à-dire que lorsqu'un citoyen va poser une question, souvent, malheureusement, on répond pas à sa question. On voit des fois, on se moque de lui. Je trouve ça curieux que personne n'intervienne, comme vous faites souvent, vous dire à M. Prévelage et à Sondré Laman, pourquoi ça ne s'applique pas dans le cas d'un citoyen? C'est une question de délit de démocratie. Vous en faites partie totalement. Vous êtes pour un projet que le monde ne veut pas. Expliquez-moi ça. C'est pas la démocratie, ça, là. [00:46:49] Speaker I: Sur les questions à l'Hôtel de Ville, je suis parfaitement d'accord avec vous. Je trouve souvent, le maire se fait poser des questions, puis il swingue ça à ses conseillers. Il répond pas pantoute. Puis nous, on n'a pas vraiment de possibilités assistatives. Parce que quand t'invoques une question de règlement, une question de privilège, il faut que ce soit toi qui sois affecté. Tu peux pas le faire pour n'importe qui. Des fois, ça, c'est quand Bruno Marchand, il est là, il quitte les longues parties du conseil, puis moi, je le trouve vraiment arrogant. Je trouve qu'il n'a pas d'écoute, puis c'est un peu agressif, voire un peu violent à l'égard du monde, de balayer du revers de la main leurs questions comme ça. Moi, par ailleurs, je propose de créer une assemblée. Les élus, les conseils municipaux ont la possibilité de faire une assemblée citoyenne en industrie, qu'une fois par année, répondre aux questions du monde. Moi, je veux que le maire fasse ça. Je veux que le maire, une fois par année, il organise une activité dans les arrondissements, puis qu'il soit obligé de répondre à toutes les questions durant toute la soirée. au moins une fois par année. [00:47:38] Speaker F: Il le fait pas. [00:47:39] Speaker I: Il le fait pas. Moi, je prône ça. Moi, je pense qu'on devrait faire ça. Maintenant, sur le tramway, bien là, c'est parce que là, les gens ont l'occasion de s'exprimer. C'est maintenant. Vous savez, moi, vous savez où je suis là. Je suis en faveur de ce dossier-là. Moi, je suis en faveur du tramway. Puis il faut pas hésiter, là. Je veux dire, si c'est pas... T'sais, les gens votant pour moi, ils savent pourquoi ils votent. Donc, c'est là que je vais chercher ma légitimité après ça, de défendre mes idées. Moi, j'ai été élu comme conseiller municipal en 2021 en prônant un tramway. J'ai été fidèle à cet engagement-là tout au long du mandat. [00:48:04] Speaker F: Mais vous êtes un marchand light. Moi, je dis que vous êtes un march Je pense que Marchand est très. [00:48:10] Speaker I: Idéologique, moi je me vois comme un pragmatique. Moi, les boleurs l'hiver, pour les pisciclaves, ça sert à rien. Ça ralentit le déneigement dans une ville qui est déjà compliquée à déneiger, puis ils se font tout arracher, puis tout ça. Mais Marchand, lui, c'est important. Il faut que tu le voies, le boleur, il faut que tu vois la pisciclave, il faut que tu vois qu'elle soit là l'hiver, même s'il n'y a personne dessus. Moi, c'est une façon complètement différente de comprendre à quoi la politique doit servir. [00:48:31] Speaker F: Merci beaucoup. On s'en va à Éric, de Duberger, et par la suite on ira aux questions. Salut Éric. [00:48:39] Speaker C: Bonjour, ça va bien? [00:48:40] Speaker F: Très bien, vous parlez avec Claude. [00:48:42] Speaker C: Salut Claude, ça va bien? Ça va bien et vous? C'est peut-être pas les choses que tu vas entendre, mais bref, je pense comme le vieux monsieur, je pense que vos chiffres ne sont pas là. Puis qu'on doit débarquer le marchand au PC. Puis je pense que vous faites, malgré que vous avez un petit sondage, avec tout respect, vous devriez vous affilier. Peu importe, vos chicanes, réglez-les. Parce que là, l'important, c'est le but, vous vous présentez pour, pas juste pour vous, je pense, vous vous présentez pour la Ville, pour le mieux de la Ville. La venue de la Ville, en ce moment, c'est de se débarrasser du marchand. Puis je pense que le monde va peut-être vous en vouloir, je veux dire. Je pense que le monde va vous en vouloir un peu si vous n'entendez pas avec Saint-Maman. Oui, il y a une mauvaise campagne en ce moment, mais je pense que les sondages sont là. Il faut battre Marchand, point final. [00:49:27] Speaker F: Très bonne question. [00:49:30] Speaker I: Moi, je pense qu'être maire, ça se mérite. Moi, je pense qu'être maire, ça devrait pas tomber dans la main de personne. Il y a personne qui devrait dire, qui a le droit de dire, c'est moi qui devrais être maire, on veut plus marchands. Est-ce que Sam Ahmad, jusqu'ici, a mérité de devenir maire de Québec? Est-ce qu'il a prouvé qu'il était prêt? Est-ce qu'il a prouvé qu'il avait la maîtrise des dossiers? Qu'il était assez allumé, assez au courant de comment il était capable de suivre la POQ? Parce qu'être maire, c'est tough. Être maire, c'est exigeant. Si M. Ahmad n'est pas capable de démontrer aux gens qu'il est capable d'être maire, à la fin, c'est pas moi de faire semblant à sa place. Moi, je propose quelque chose. Si les gens de sa maman veulent se rallier à moi, ils ont beau, mais sa maman ne m'a pas donné de raison jusqu'à maintenant de penser que ce serait mieux avec lui comme mère qu'avec Marchand. [00:50:09] Speaker B: Puis selon vous, je peux-tu faire du pouce? [00:50:11] Speaker F: Let's go! [00:50:11] Speaker B: Selon vous, avec la lecture que vous avez, est-ce que vous divisez réellement le vote anti-Marchand? En gros, si vous n'étiez pas là, est-ce que le monde voterait le monde qui vote pour vous, ce qui voterait plus pour Aman ou pour Marchand? [00:50:23] Speaker I: Ben t'sais, moi c'est ça qui me met un petit peu en dissonance cognitive. Je passe mon temps à me faire dire que je suis un marchand light. C'est pas clair que si je m'étassais, mon vote irait sur sa maman. [00:50:32] Speaker B: Ben c'est ce que je pense aussi. La lecture que j'ai, c'est que... [00:50:36] Speaker I: Marchand aussi trouve que je vis son vote. [00:50:37] Speaker B: Moi je veux que vous restiez. [00:50:39] Speaker F: Dan, plonge avec les questions, puis continue d'appeler 418-770-9098. Soyez un peu patient, il y a quand même d'excellentes questions sur le texto. [00:50:47] Speaker B: Est-ce que vous vous engagez, vous et les membres de votre équipe, mais vous ne pouvez pas parler pour les membres de votre équipe parce que ça devient une conversation personnelle, à ne pas transférer vers Marchand pour lui donner une majorité si jamais Advan Alcock, vous êtes assis à la salle du conseil municipal. [00:51:03] Speaker F: Excellente question. [00:51:04] Speaker I: Effectivement, j'ai eu 4 ans pour le faire, aller me coller sur Marchand et je ne l'ai pas fait. Je suis content de ne pas l'avoir fait. Il y avait Véronique Dallaire dans notre équipe qui se faisait offrir un poste sur l'exécutif et qui a refusé de changer de parti pour être sur l'exécutif de Marchand. il a enlevé la responsabilité qu'il avait donnée sur l'accessibilité universelle, il l'a mis de côté. Véronique, là, c'est une femme d'une loyauté extraordinaire, toujours à nos côtés. C'est une excellente conseillère municipale qui est candidate dans les Sceaux-de-l'Île-des-Méandres. Puis, c'est ça, nous autres, c'est un peu ça l'approche. Puis, les gens qui sont au sein de mon équipe, t'sais, marchands, c'est pas leur préféré, c'est pas leur meilleur non plus. Je ne... t'sais, puis ça fait partie des conversations que j'ai avec les candidats au moment de les choisir. Il y a une loyauté qu'il faut qu'on garde, puis si on avait voulu être Cardinal-Bourdeaux-Marchand, on le serait déjà. [00:51:50] Speaker B: Steve est là. [00:51:52] Speaker F: Oui, Steve, de Sainte-Catherine, dans le 20 minutes du peuple, comment ça va, Steve? [00:51:56] Speaker C: Ça va très bien. C'est ça, j'ai habité, les trois dernières années, j'étais à Sainte-Catherine, mais j'ai habité à Beauport toute mon enfance, donc c'est pour ça que je me questionnais. [00:52:04] Speaker I: C'est notre ami Pierre Dolbeck. Oui, excusez-moi. [00:52:07] Speaker F: Oui, le maire Pierre. [00:52:08] Speaker I: J'aime bien votre mère, excusez-moi. [00:52:10] Speaker C: OK, OK, merci, merci beaucoup, désolé. Oui, bien bonjour, puis félicitations pour la campagne, pour toutes les personnes qui se présentent. J'avais une question en prioritaire au niveau du transport, moi. Effectivement, vu que j'ai été longtemps à Beauport, puis qu'on parle souvent du troisième lien, je sais que ça a été mis pas mal de côté avec le marchand, puis que la priorité était beaucoup le tramway. Mais j'aimerais beaucoup qu'on parle, vu que le tramway, tout le monde semble vouloir se diriger savoir quel pont va s'y rattacher pour pouvoir avoir une meilleure fluidité au niveau de la ville de Québec, parce qu'on sait qu'on s'en vient pas. [00:52:49] Speaker B: Mal avec du trafic, puis ça s'améliorera. [00:52:51] Speaker C: Pas avec les années. Alors j'aimerais ça savoir, est-ce que vous, un troisième lien, ça commencerait à être une priorité au niveau de la ville de Québec? [00:52:59] Speaker I: Moi, je pense que s'il y a un troisième lien, il faut qu'il soit à l'est. Moi, je pense que le troisième lien, tel qu'avancé par la CAQ présentement, l'espèce de corridor central qui va passer par Valero puis aller se tirer dans la falaise, c'est ridicule. Je pense qu'il y a personne à Québec qui pense qu'il va avoir ça de son vivant. Puis moi, je pense que... Un troisième lien, ça prend un troisième lien à l'Est qui va être cohérent avec les autres aménagements qu'on va faire dans ce coin-là. C'est une occasion manquée qu'on soit déjà en train de refaire le pont de Lille alors qu'on aurait pu l'inscrire dans quelque chose de plus large parce que techniquement, c'est pas simple de faire un pont à cet endroit-là. Il y a des contraintes, puis bon, c'est du frémont de Rancy. Puis là, on voudrait que ça aille sur le Capitale. Aussi, il faut s'assurer que si on fait un troisième lien à l'Est, ça va pas empirer le trafic qui est déjà sur le Capitale-Ouest en amenant plus de voitures en provenance de l'Est. Mais moi, à mes yeux, s'il y a un troisième lien, c'est par l'Est que ça doit passer. [00:53:45] Speaker F: On s'en va jouer avec Michel de Beauport. Salut Michel! [00:53:48] Speaker B: Oui, bonjour. [00:53:49] Speaker I: Bonjour. [00:53:49] Speaker F: Allez-y. [00:53:50] Speaker C: Oui, moi ce que j'aurais aimé avec le Colisée, au lieu de le démolir puis de faire des appartements, ça aurait dû être un musée du sport, de tous les sports au Québec. Ça, ça aurait été un bon projet. [00:54:00] Speaker I: Ben moi, je pense que oui. Je pense qu'en fait, à chaque fois qu'on parle du Colisée, là, moi, j'en reçois plein de courriels de gens qui disent musée des sports, musée des transports. Il y a plein d'idées qui sortent. On n'a jamais fait d'appel à projet. Moi, comme élu, là, jamais je me suis fait dire, alors voici, Colisée, on aurait 5... telle, telle, telle option qui coûterait 20, 30, je sais pas, 40 millions à faire versus la démolition. Combien ça coûterait le démolir? On n'a même pas le prix. Moi, si je deviens maire, je vais lancer un appel à projet. Pas l'affaire qui va durer des années, là. Si moi, tu soumettais-moi un projet pour le Colisée, combien ça coûte de le démolir, puis quand on aura un projet qui pourrait être un musée des sports, c'est important dans l'histoire du Québec, le colisée, il y a une grosse partie de notre histoire sportive qui se passe là. Quand on aura un projet qu'on pourra comparer à combien ça coûterait de le mettre à terre, là on va être capable de prendre une décision éclairée, mais moi j'aimerais bien mieux qu'on soit capable de faire de quoi avec le colisée, puis le musée des sports, je trouve que c'est une super bonne idée. [00:54:47] Speaker B: J'ai des questions sur le texto. [00:54:49] Speaker F: Oui. [00:54:50] Speaker B: Il y a M. Trudel qui dit, allez-vous continuer de subventionner les activités du 870 de Salaberry? [00:54:56] Speaker I: Oui, bien, ils ont énormément d'activités. [00:54:59] Speaker F: Il y a énormément de subventions. [00:55:01] Speaker I: Oui, c'est ça, c'est Accès Transports Viables. [00:55:03] Speaker F: Y'a-tu un problème là, vivre en ville, depuis la bombe? [00:55:07] Speaker I: Ben c'est... Y'a une concentration d'organismes qui sont installés là. Moi écoutez, c'est pas de cibler un plus qu'un autre, lui il aura plus d'argent ou quoi que ce soit. [00:55:16] Speaker F: Ben y'en a quasiment une dizaine dont les principaux, vivre en ville, parce qu'on finance avec nos taxes des lobbies de bougonneux pis des colos. Moi, j'ai pas choisi de financer ça. Pas eu de référendum là-dessus. [00:55:31] Speaker I: Souvent, ils vont avec différents projets, c'est l'accélérateur. [00:55:34] Speaker F: On fait vivre du monde. [00:55:35] Speaker I: Il faut faire des meilleurs choix. Moi, je veux pas cibler une gang, dire « OK, toi, on va te punir, tu seras plus là », mais c'est que Bruno Marchand, plus ça coûte cher, mieux c'est. Moi, je pense qu'il faut faire les meilleurs choix, puis des fois, on subventionne des affaires. C'est stretchy. Comment est-ce qu'on fait un effort de plus pour être capable de leur donner de l'argent? Moi, je pense qu'il faut être beaucoup plus critique et rigoureux que ça. Marchand, c'est quand il se fait demander une subvention par des gens de ces lobbies-là, il faudrait qu'il explique pourquoi il ne serait pas obligé de donner. C'est pas pourquoi il faudrait qu'il donne une subvention, c'est pourquoi il ne donnerait pas qu'il faut qu'il explique. Quand ton réflexe, c'est de sortir le chéquier, c'est sûr que ça finit par coûter cher. [00:56:13] Speaker B: Un autre question, puis je la trouve super bonne, cette question-là, parce qu'elle est d'actualité. Hier, le feu dans le Vieux-Québec versus la rue Saint-Jean. La question est la suivante. Est-ce que vous allez redonner la ville aux citoyens? [00:56:27] Speaker I: Mais ça, là, c'est écœurant, ça. Quand ils ont installé les barrières anti-camions-belliers, on l'a posé la question. Les pompiers vont-ils pouvoir travailler avec ça? Ils vont-ils s'organiser? [00:56:38] Speaker F: Ça a été quoi, en réponse, à Marchand? [00:56:40] Speaker I: On s'est fait dire oui. On s'est dit qu'on s'était assurés de toutes ces affaires-là. [00:56:43] Speaker F: Il aurait pu y arriver une tragédie, là. [00:56:45] Speaker I: Puis ça, à chaque fois... Puis moi, ça m'inquiète parce qu'à chaque fois qu'un projet, que ce soit le tramway, que ce soit n'importe quelle autre affaire, que ce soit une rue piétonne, on la pose toujours la question. Est-ce que les services d'urgence pourront travailler? Ils nous disent toujours oui. [00:56:56] Speaker F: Le constat que vous faites, c'est quoi, de cette affaire-là? [00:56:57] Speaker I: Ben là, c'est que ça me fait remettre en doute toute l'implication des services d'urgence dans tous les aménagements de la ville. On prend-tu vraiment le temps de leur demander? T'es supposé avoir un outil pompier pour arriver pis ben c'est ça. Hé, il aurait pu y avoir mort d'homme, là. [00:57:09] Speaker A: Oui. [00:57:09] Speaker I: T'sais, c'est vraiment grave, ce qui est arrivé hier. [00:57:11] Speaker F: Vous exigez quoi de marchands ce matin? [00:57:12] Speaker I: Je veux qu'ils se mettent à la table, je veux qu'ils rendent des comptes, je veux savoir qu'est-ce qui s'est passé, pourquoi les pompiers n'étaient pas au courant, et est-ce qu'on s'assure que les autres dispositifs sont sécuritaires. La rue Piétonne dans le lieu de Québec, ça existait dans le temps de la boum. Ce n'est pas une seulement enjeu, mais les camions béliers, ça fait longtemps, ça fait une dizaine d'années qu'on a des événements comme ceux-là. Ça a pris trois ans juste de planifier ces barrières-là. Puis ça marche pas. Voyons, c'est quel scandale. Puis ça coûtait cher, cette barrière-là. [00:57:41] Speaker F: Je vois des images d'ici Marc Desrivières qui est venu dire ça. Il dit « Ça se lève très rapidement et ça se baisse rapidement, donnant la possibilité aux camions de livraison de circuler la nuit, entre autres. Cet aspect vaut également pour les véhicules d'urgence qui doivent pouvoir circuler librement sans délai supplémentaire. » Ça coûtait 25 000. Et le projet pilote représente un investissement de 95 000 $. Ils ont menti, là. [00:58:07] Speaker I: Ça aurait pu tuer du monde. Littéralement, il y a du monde qui aurait pu mourir à cause de ça hier. Puis c'est quelque chose qui est supposé nous protéger. À ce moment donné, si les pompiers peuvent passer, c'est scandaleux. Sérieusement, là-dessus, il y a des comptes à demander. [00:58:17] Speaker F: Est-ce que tu manques des rivières ou est-ce que c'est le maire qui a le problème? [00:58:20] Speaker I: À la fin, on peut toujours blâmer les fonctionnaires, mais c'est nous autres qui sommes imputables. [00:58:24] Speaker F: C'est des humains qui ont fait des déclarations. [00:58:27] Speaker I: C'est ça. [00:58:28] Speaker F: On est imputables ou non? [00:58:29] Speaker I: À la fin, je crois qu'il y a quelque chose qui s'appelle, ça porte mal au municipal, mais c'est la responsabilité ministérielle. C'est comme Bruno Machin, il était content de flasher que son service venait de sortir des barrières anti-camions-belliers. Là, il faut qu'il assume, c'est lui qui est imputable pour ça. C'est un responsable des transports, Pierre-Luc Lachance. [00:58:41] Speaker F: Il dit ça en vérité aussi, Marchand, concernant l'embauche de policiers dans les services d'urgence. On a tant de policiers qui ont été embauchés, puis finalement, c'est un nombre beaucoup moindre tel qu'a révélé dans l'émission du Midi par Renaud Labrecq. Il n'y a pas les bons chiffres. Il n'est pas crédible. [00:58:58] Speaker I: Marchand, dès qu'il parle de chiffres, c'est qu'il faut que tu te mettes à te poser la question. À la campagne électorale, il sort des gros chiffrons. [00:59:04] Speaker F: Quand il sort des chiffres, qu'est-ce qu'on doit se poser comme question? [00:59:07] Speaker I: C'est quoi, toi? C'est quoi, pour ne pas employer un autre mot... [00:59:12] Speaker F: C'est un manipulateur, un menteur, un maniganceux? [00:59:15] Speaker I: Sur les chiffres, quand Bruno Marchand sort des chiffres, souvent il meurt. [00:59:18] Speaker F: C'est une maladie ou c'est intentionnel? [00:59:22] Speaker I: Quand il parle, je pense que c'est intentionnel, je pense qu'il est assez intelligent pour savoir ce qu'il fait. Quand il dit qu'on a construit 2300 logements sociaux ou abordables, logements sociaux ça coûte 300-400$ par mois, logements abordables ça coûte 1200$ par mois. Lui, il met tout ça dans la même catégorie. Il va toujours essayer de coller dans une catégorie des affaires qui vont pas nécessairement ensemble. Puis sur les policiers, c'est la même affaire. Il va essayer de nous mettre ça beau. Ça va être ça durant toute la campagne électorale et au-delà. Il va toujours prendre un autre élément, une autre information qu'il va coller là-dedans pour faire en sorte que ça fitte. [00:59:52] Speaker F: Là, je me retasse. Continuons. [00:59:53] Speaker B: Daniel de Québec. Salut, Daniel. Non, c'est fini, Daniel. Pierrot! Salut, Pierrot. Bonjour. Pierrot? Oui? [01:00:03] Speaker C: Non, c'est Daniel. [01:00:05] Speaker B: Ah oui, c'est Daniel. [01:00:06] Speaker I: C'est pour moi, là. [01:00:07] Speaker B: Finalement, Daniel. [01:00:08] Speaker C: Petite question, M. Génial, je pense. Oui. On va... Regardez, pour avoir une réponse simple, je veux pas... une question fermée, OK? [01:00:15] Speaker I: Oui. [01:00:15] Speaker C: Parce que vous avez répondu à l'alabeurée tantôt. La question, ça se répondait par oui, par non. On n'a pas eu de réponse. Le troisième lien, qu'est-ce qui est le plus important pour vous? Le troisième lien ou le tramway? Je veux pas des réponses de politiciens, là. C'est quoi qui passe en premier dans vos priorités? [01:00:30] Speaker I: Je vais être intègre avec vous, je l'ai jamais caché. Moi, c'est sûr que le tramway, ça m'a amené en politique. Ça fait partie de ces raisons-là. Je vous fais pas semblant parce que j'étais à Radio-X. C'est sûr que moi, je suis venu... Puis c'est un projet municipal. Le troisième lien, c'est un projet du provincial. Je suis très intègre avec vous. Moi, c'est le tramway qui m'a amené en politique. Donc, c'est... Je pourrais pas avoir question sur le tramway. [01:00:48] Speaker B: J'ai une autre question ici sur le texto. On fait quoi avec le 90$ de taxe pour nos matriculations? [01:00:54] Speaker I: Bon, le marchand l'a augmenté de 60$. C'était 30$, il a amené ça à 90$. Moi, je coupe la poire en deux. Je le baisse à 60$. Plutôt que 60$ demandés par la Ville, ça va être 30$. Pourquoi? C'est que quand la taxe de 30$ était créée en 92, si on l'avait indexée, elle serait à peu près là, à 60$. Ça, je trouve que c'est plus équitable. C'est ça, notre position. [01:01:13] Speaker B: Et puis j'ai un autre question économique ici. Est-ce que vous allez faire des annonces concernant les taxes municipales? Gels de taxes, on marche comment pour les taxes? [01:01:23] Speaker I: Les taxes à l'inflation, pas plus. Il faut limiter ça, en fait. Puis il ne faut pas faire comme Marchand, en fait, puis passer par des tarifs. Marchand, ils se vantent de ne pas avoir augmenté beaucoup les taxes. C'est qu'ils demandent plein de tarifs à côté. C'est la vignette sous le stationnement. C'est la taxe minou. C'est la taxe sur la matriculation qu'on vient de mentionner. Moi, c'est à l'inflation. pas utiliser les tarifs pour détourner. Aussi, on veut permettre le paiement des taxes en 12 mois sans intérêt, comme on paie toutes nos affaires dans la vie. Et on veut abolir, rembourser les droits de mutation pour un premier achat. Ça, quand tu veux accéder à la propriété. [01:01:55] Speaker F: Quand même. On s'en va sur la 1, Jean-Joseph Pierrot de Québec. C'est le dernier avant la fin du 20 minutes. Allez-y. [01:02:02] Speaker C: Oui, bonjour. Moi, toute ma vie, j'ai pris le transport en commun. Quand j'ai su que le tramway arrivait, je me suis acheté un char. J'en veux-tu du tramway? J'en veux pas du tramway. Mais la chose que je me pose comme question, c'est comment ça, tous, tous, tous les spécialistes qui viennent nous dire qu'est-ce qui est bon en transport en commun, ils prennent jamais l'autobus le matin. À tous les matins, ils ont toutes des chars. Comment ça, ces gens qui sont spécialistes-là sont pas consommateurs de la propre marde qui essaye de nous infliger? [01:02:36] Speaker I: Ben là-dessus, je sais pas si ça va m'apprécier ça. Moi j'ai remarqué Arbeau décider de piquer un infra. Quand il est venu annoncer le tramway, je l'ai vu repartir avec son petit sac à dos pis aller prendre l'autobus pis tout ça. Mais pour vrai, ça peut être surprenant là. Pis t'sais les chants du 1870, ça les mérite eux autres. Comme une auto, peut-être aussi. Je pense que c'est partagé. Tu sais, dans une maison, chez moi, je transporte les filles, je prends mon auto, ma blonde, elle est en transport en commun. J'aime ça le matin, partir avec la poussette et amener les filles en transport en commun. C'est plus difficile à la fin, c'est de donner des choix au monde. Moi, je veux pas forcer tout le monde à prendre l'autobus. Moi, je veux toujours avoir un char. Je veux pas qu'on me force à prendre l'autobus, mais je veux avoir un bon service. [01:03:16] Speaker F: Si tu as un char à gaz. [01:03:18] Speaker I: C'est un électrique, par exemple. C'est quoi? [01:03:20] Speaker F: Un Aria? [01:03:21] Speaker I: Oui, un Aria. Je vais s'acheter un Aria. [01:03:24] Speaker F: C'est bon. Merci beaucoup, Claude Villeneuve. Merci. Puis là, on passe après la semaine prochaine. Débat Rive-Sud. Débat Rive-Sud, et ça sort un Royal Rumble. Il y en a trois candidats. [01:03:37] Speaker I: Steven, Serge, Isabelle sont tous là. [01:03:39] Speaker F: Oui, ensemble. Avec trois thèmes. Donc trois candidats, trois thèmes. Et ça va être des échanges, je crois, 7-8 minutes chacun entre autres. Développement économique, l'habitation, la vie communautaire avec les arenas et tout. Et le transport, bien évidemment. Et par la suite, on reprendra notre volet 20 minutes plus tard dans la campagne. [01:04:07] Speaker D: Radio X. Morelive présentée par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. [01:04:17] Speaker E: Confort en hiver, fraîcheur en été. Et des économies toute l'année. [01:04:20] Speaker D: Multiconfort FP, à Québec et Victoriaville. [01:04:25] Speaker C: Un Ford, ça se branche, j'ai déjà un Ford. [01:04:28] Speaker B: Passez à l'électrique avec Desjardins Autocollection Ford et l'Escape hybride branchable en location à partir de 111 $ par semaine, incluant 1000 $ de remise gouvernementale. Épargnez aussi jusqu'à 14 000 $ plus 4000 $ de remise sur la Mach-E 2025 en location à partir de 113 $ par semaine. Chez Desjardins Autocollection Ford. [01:04:48] Speaker E: À Québec, un Ford, ça se branche, j'ai déjà un Ford. [01:04:52] Speaker F: Depuis plus de 15 ans, le Groupe GSC vous offre des formations complètes et intensives pour réussir vos examens de la RBQ. Un vrai clé en main pour les entrepreneurs en construction. Avec nos formations bilingues et hybrides, en classe ou en ligne, outillez-vous pour obtenir votre licence RBQ. Avec des horaires flexibles, concilier études, travail et vie de famille. GroupeGSC.com. Votre avenir en construction commence ici, à Laval-Brossard-Gatineau et Québec, au 1995 Franck Carrel. Groupe GSC. Formez pour bâtir! Vu dans la circulaire Super C, le. [01:05:26] Speaker B: Boeuf à chimie maigre à 4,95$ la livre ou 10,91$ le kilo, les raisins verts ou rouges à 1,37$ la livre ou 3,02$ le kilo, puis la douzaine de sélections à 2,99$. C'est super Super C! [01:05:36] Speaker F: Valide jusqu'au 15 octobre. [01:05:37] Speaker B: Détails au superc.ca Pendant que vous fêtez. [01:05:40] Speaker E: Les deux ans de Charlotte avec toute votre famille, l'AMF veille. Pendant que vous pédalez comme un fourchonné sur votre vélo stationnaire pour retrouver votre forme d'antan, l'AMF veille. Pendant que vous regardez en rafale votre série préférée, l'AMF veille sur vos dépôts en les protégeant au cas où une institution financière provinciale ferait faillite. Continuez de profiter de la vie. L'AMF veille. Pour en savoir plus, consultez l'autorite.qc.ca. Un message de l'Autorité des marchés financiers. [01:06:08] Speaker B: Bon, qu'est-ce qu'on mange? Une pizza Ludo! 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[01:07:42] Speaker H: Je pense que ton moffleur est fini. [01:07:43] Speaker C: Hein? [01:07:44] Speaker D: Ton moffleur! Quoi? J'entends pas. [01:07:47] Speaker E: J'ai une oreille debouchée pis mon moffleur est fini. [01:07:49] Speaker F: Économisez sur vos assurances en changeant pour. [01:07:51] Speaker B: Bel Air Direct et faites enfin réparer votre silencieux. Bel Air Direct. [01:07:54] Speaker G: L'assurance simplifiée. [01:07:55] Speaker B: Des conditions s'appliquent. Quand j'avais des douleurs au genou, j'en. [01:07:58] Speaker F: Parlais à tout le monde. [01:07:59] Speaker B: À mes collègues. Bonjour tout le monde, j'ai mal au genou. [01:08:02] Speaker A: À mon chien. [01:08:03] Speaker B: J'ai mal au genou. [01:08:04] Speaker F: Mais le mieux, c'est d'en parler à. [01:08:06] Speaker B: Son médecin et de demander Saint-Gal. Le seul traitement qui, en une seule. [01:08:09] Speaker F: Injection, agit rapidement et soulage à long terme les douleurs causées par l'arthrose du genou. [01:08:14] Speaker B: Allez sur Saint-Gal.ca afin de localiser une clinique. [01:08:18] Speaker I: Saint-Gal. [01:08:19] Speaker B: Pour ne plus parler de vos douleurs. [01:08:20] Speaker A: Aux genoux, parlez-en à votre médecin. [01:08:22] Speaker F: Saint-Gal peut ne pas convenir à tout le monde. [01:08:23] Speaker B: Si vous avez des questions relativement à ce produit, consultez votre médecin. Voyage Aquaterra, Lévis, Québec et Sainte-Marie est la référence pour parcourir le monde. itinéraires personnalisés, croisières et destinations soleil, notre force est de concrétiser le voyage dont vous rêvez. La haute saison est à nos portes. Prenez rendez-vous, 418-741-3437. [01:08:41] Speaker D: Plancher BFC Flore Deco, fiers dépositaires de. [01:08:44] Speaker E: La peinture Benjamin Moore. Tous les revêtements de plancher et la. 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[01:10:31] Speaker B: De téléphone, date et concours dans le prochain segment. [01:10:34] Speaker D: Tu as quelque chose à dire? [01:10:37] Speaker B: Ça va bien aller. [01:10:38] Speaker E: Tu veux réagir? 418-670-9098. [01:10:42] Speaker F: Radio X. Ben oui, on est deux pieds dedans, la politique municipale. Il y en a qui arrivent, il y en a qui veulent arriver. Dans le cas de Anne Guérette, il y en a qui veulent être élus. Il y en a qui veulent être réélus. Et il y en a qui ne veulent pas être réélus. Parce qu'ils ont dit «Salut, salut, salut!» Il y en a qui ont fait le boite. Et c'est le cas... C'est le cas d'une des vedettes, je vous dirais, du fameux bloc municipal de Dan Gravel. [01:11:09] Speaker B: Oui. [01:11:10] Speaker F: C'est Anne Corriveau qui s'en va. [01:11:13] Speaker A: Oui. [01:11:13] Speaker F: Comment ça va, Anne? [01:11:14] Speaker H: Ça va très bien. [01:11:15] Speaker F: Tu as-tu fait tes boîtes? [01:11:16] Speaker H: J'ai commencé à faire le ménage, oui. [01:11:19] Speaker F: Y a-tu... c'est un gros ménage? Des photos? [01:11:23] Speaker H: Non, j'ai pas trop de photos. Je sais pas ce que je vais faire avec les nombreux cadres. J'en ai quand même trois. Depuis 2013, on a des mosaïques qu'ils nous remettent à chaque début de mandat. C'est parce que moi, c'est pas des trophées de la disque ou quoi que ce soit. Je sais pas où est-ce que je vais les mettre. À un moment donné, c'est le fond de mes murs, mais je me regarde rien. Un pho? Non. [01:11:46] Speaker F: Il y a l'incinérateur aussi. Non, ça sera pas ça non plus. Ça sera pas ça non plus. T'es élu. Ta première élection, ça ressemblait à quoi? [01:11:55] Speaker H: Ça ressemblait à... Avec la bombe? Oui, 2013 avec Régis et la bombe. Ça ressemblait à quelque chose de très effervescent. C'était grisant d'être sur le terrain. T'avais à te défendre toi, te présenter. Les gens ne me connaissaient pas. Mais j'avais aussi... [01:12:10] Speaker F: Tu te connaissais des médias parce que t'avais... On trouve que t'avais travaillé pour Arthur. [01:12:15] Speaker H: Merci de l'amener parce que tu sais les sondages, est-ce qu'on connaît les gens qui se présentent? J'avais le même score que Paul Choiry. [01:12:23] Speaker F: Oui, c'est parce que c'est ta voix à la radio. [01:12:25] Speaker H: Peut-être, mais quand même, Paul Choiré avait été maire, alors j'avais le même score que lui, 1 %. [01:12:30] Speaker F: C'était ça. [01:12:31] Speaker H: J'étais très fière. [01:12:33] Speaker F: Et là, tu t'en vas. [01:12:35] Speaker H: Je quitte. [01:12:36] Speaker F: OK. [01:12:36] Speaker H: Pourquoi? Je quitte parce qu'après 12 ans, je pense que j'ai besoin d'une pause, j'ai besoin de me reposer, d'être tout le temps dans le giron politique municipal, d'être tout le temps en train de lire des sommaires décisionnelles au lieu de lire un roman. [01:12:53] Speaker F: Bon oui, ça devient brutissant. [01:12:56] Speaker H: Puis d'être en disponibilité 7 sur 7, 24 sur 24 parce que c'est ça la réalité. Quelqu'un peut écrire à 9h le soir le vendredi comme le dimanche et moi je me faisais un devoir de répondre aux gens. [01:13:09] Speaker F: Qui est le plus polarisant entre Labombe et Marchand? [01:13:14] Speaker H: C'est tellement deux styles différents. M. Labombe, tu savais où il logeait. tu savais toujours le fond de sa pensée. [01:13:23] Speaker F: Mais il était rough. [01:13:25] Speaker H: Oui. [01:13:26] Speaker F: Entre autres anciens du conseil. Moi, il arrachait la tête, lui, puis « va t'en sacrer une ». Moi, j'ai pas vécu ça. [01:13:33] Speaker H: C'est sûr qu'on avait Jean-François Gosselin qui faisait face, Anne était là aussi à un moment donné, Anne Garrett. Bon, oui, il avait son côté rustre, mais je préfère de beaucoup un côté rustre qui te signifie la réelle façon de penser d'une personne que de quelqu'un qui laisse sous-entendre. Je n'aime pas les sous-entendus. [01:13:57] Speaker F: Comment il est marchand alors? [01:13:59] Speaker H: M. Marchand, écoute-moi, je n'ai pas été sa préférée parce que dès le départ, je me souviens du premier conseil, tu pourras sortir ce que François Bourque avait écrit. Je lui avais dit que c'est beau le terrain en campagne, mais une fois que tu es arrivé en poste, l'utopie te rattrape. C'est-à-dire que tu ne peux pas nécessairement avoir tes chêmes de pensée et penser que tu connais tout alors que tu commences. Donc je l'ai pris de front. Est-ce que j'aurais pu être peut-être plus douce, plus maléable? [01:14:34] Speaker F: C'est pas ton style. [01:14:35] Speaker H: Non, c'est ça. Disons qu'il nous a dit beaucoup de choses qui ne se sont pas réalisées. C'est quelqu'un qui a une dégaine très sympathique. Le sourire, les chou-clacs. Oui, il s'exprime très bien. Alors il faut lui donner ce qu'il a. Mais il y a quelque chose que j'ai remarqué. Il répète toujours le même début de phrase. [01:15:07] Speaker F: Est-ce que ça pourrait être bon pour Québec? La réponse est oui. [01:15:11] Speaker H: Il se répond lui-même. Et souvent, vous remarquerez, il a toujours le même début de phrase. Alors, il va le répéter qu'à cinq fois. Est-ce que j'ai bien fait de... C'est toujours pareil. En tout cas, au bref. Mais écoute, on n'est pas là pour. [01:15:26] Speaker F: Parler... Est-ce que c'est... Je veux faire quand même... Parce que là, on s'en va en élection. Toi, tu quittes. Mais il y a quand même l'héritage qui est là. Quel genre d'héritage l'aigle marchand, c'est un héritage toxique, c'est quoi? Qu'est-ce qu'on a sous la main, les gens de Québec? Parce qu'il faut aller voter, il faut se faire une tête. C'est sûr que ton ancien chef, Céville Neuve, je m'attends pas à ce que tu te blastes en ondes, mais quand même, j'ai des questions à poser sur lui tantôt, mais c'est quoi l'héritage qu'on a sous la main ce matin avec Marchand? [01:16:01] Speaker H: C'est du mur à mur, c'est du dogmatisme un peu, je trouve. M. Marchand, toute idée n'est pas mauvaise, mais les idées doivent être débattues. Si les citoyens se déplacent en salle de conseil et se font rabrouer, c'est pas normal. M. Marchand a été deux ans à dire que dans son bilan, il était très fier d'avoir aboli les frais de retard dans les bibliothèques pendant deux ans. [01:16:30] Speaker F: C'était une bonne shot, mais tu peux le dire une fois. [01:16:32] Speaker H: Mais là, c'est parce que c'est des frais de retard dans mes billets, je te l'excuse. [01:16:36] Speaker F: Ouais, mais ça m'a déjà coûté 32$ par exemple pour des tintins que mon gars avait pour tourner. Ceci dit, je l'ai dit, merci là, Dan. [01:16:43] Speaker H: Tu dois être vraiment faillite depuis ce temps-là. [01:16:45] Speaker F: Ah, c'est effrayant. [01:16:46] Speaker H: Deuxième, troisième hypothèque, oui, sûrement. [01:16:48] Speaker F: Ah oui. [01:16:49] Speaker H: Et puis, ce que je trouve, c'est. [01:16:51] Speaker F: Qu'Il a... Est-ce que c'est un hypocrite? Question brutale. [01:16:54] Speaker H: Ah ben oui, tout c'est gros là. [01:16:55] Speaker F: Sournois, hypocrite, est-ce qu'il est parent en dessous? Est-ce qu'il a... Parce que t'as eu à un moment donné le... comment t'appelles ça? Le gait... [01:17:03] Speaker B: Le chest gait. [01:17:04] Speaker F: Le chest gait, il m'a chesté, tout ça. Ça impliquait pas personnellement en marchant, mais... quand même la chance là-dedans, avec Mélenchon de l'autre bord. Il y a des trucs, avec Alicia Dépin également c'est arrivé, et M. Weiser, bon bref. Il est arrivé des événements comme ça, toxiques. Ça laisse pas un bon goût dans la bouche, ce règne-là. [01:17:31] Speaker H: La politique a beaucoup changé. [01:17:34] Speaker F: En quoi, depuis que t'as commencé? [01:17:37] Speaker H: Elle a changé parce qu'elle est... Le mot toxique est effectivement réel. Est-ce qu'il s'applique uniquement aux municipales? Je ne pense pas. Mais depuis qu'on a eu la sapré-COVID, il y a quelque chose, à quelque part, qui a changé. [01:17:55] Speaker F: Les gens sont au bout de leur chaîne? [01:17:56] Speaker H: Les gens sont plus... Oui, les gens sont un petit peu plus à fleur de peau. Ils ont tendance à vouloir tout le temps s'exprimer sur tout, alors que parfois, il y a des sujets qui pouvaient passer sous silence. On est plus indignés que nous l'étions auparavant pour toutes sortes de pécadilles. Et ça, ça fait en sorte que veux, veux pas, quand t'es toujours en train de prendre les attaques, t'as pas le choix de te défendre, mais le ton monte. Alors il faut être en mesure de baisser ça. Et c'est ce que je trouve un peu, je trouve ça un peu déplorable. D'ailleurs, ce que je regarde aujourd'hui, bien, je suis une observatrice. Vous connaissez pas ça? Bien, bien. [01:18:38] Speaker F: C'est pour ça que t'es invité. [01:18:39] Speaker H: Mais t'es gentil. mais je regarde ça puis je trouve que c'est dommage ce qui est arrivé. Je vais juste parler de M. Hou. M. Hou, c'est une personne commerçante dans un lieu où ça brasse. M. Hou a pas tort. M. Hou n'a pas raison. M. Hou, c'est quelqu'un qui est victime et qui est venu à plusieurs reprises rappeler aux gens du conseil municipal, ça va pas bien dans Saint-Roch, et on le sait. Ce que j'ai vu, moi, je trouve ça d'une grande tristesse. Parce qu'on s'est acharné sur quelqu'un. Bon, le choix de M. Hamad avec M. Hou, là, il y en a qui ont dit, « Ah, nous, c'était pas notre... » C'est-à-dire que Claude... Claude Dinov a dit, « Moi, je voulais même pas le rencontrer, tout ça. » Hey, M. Hou, il est déjà venu nous rencontrer, de parti. Alors, je trouve ça d'une tristesse, ce qu'on fait. C'est un citoyen, là, aussi. [01:19:35] Speaker F: Outre le fait que... Qu'il soit victime d'acharnement? [01:19:38] Speaker H: Ben écoute, là, il faut que ça arrête. Moi j'en parle aujourd'hui parce que je trouve ça... [01:19:41] Speaker F: Acharnement médiatique? [01:19:42] Speaker H: Je trouve ça un peu... Regarde, décennie tranquille, là. Le gars, il a fait une gaffe. Le gars, il a fait des déclarations. C'est un gars, c'est un citoyen. [01:19:48] Speaker F: C'est un gars de Québec commerçant connu, walk and roll, c'est un classique. Il vient de là, pis il a pas déménagé son restaurant. à cause de l'Aube-Rivière. Le gars veut rester dans ce quartier-là, c'est vrai. [01:20:00] Speaker H: Il a eu tort. Il est allé loin dans ce qu'il a dit. Il a eu tort. Maintenant qu'on le choisit comme candidat sans savoir ça, c'est un peu gros. Mais en même temps, lâchez-le. Tu sais, ça se peut. [01:20:10] Speaker F: Alors, tu sais... Bien d'accord. [01:20:13] Speaker I: Voilà. [01:20:14] Speaker F: Bien d'accord. De quoi tu voudrais que les gens se souviennent quand ils pensent à toi? [01:20:22] Speaker H: Est-ce que tu veux que j'y aille? Des gros dossiers. La réalisation du centre communautaire de La Pointe-de-Sainte-Foy, il n'y avait rien dans mon secteur pour l'escrime, pour le taekwondo, pour le sport en général, pour les salles, pour la fada. Il n'y avait pas de... [01:20:36] Speaker F: C'est ça une échevagne. C'est deep local, c'est tôt quartier. [01:20:40] Speaker H: Alors, il n'y avait pas de locaux pour certains organismes comme Entre-Elles-Sainte-Foy. Il n'y avait pas de lieu de rassemblement. Alors, c'est fait, c'est réalisé. La stabilisation des berges, C'est un lègue de la mairesse Andrée Boucher. Ça se faisait ravager à cause des hautes marées. [01:20:59] Speaker F: Un endroit magnifique à Québec. [01:21:00] Speaker H: Il ne fallait pas penser à ça. Ça a été un aria avec le ministère de l'Environnement, le rapport du BAPE. Mais on l'a réalisé, c'est fait. Les sentiers sont là, les gens vont pique-niquer. prendre du temps à cet endroit-là, c'est magique. Alors ça, c'est mes grosses réalisations. Je dois dire aussi que comme présidente de la commémoration de la toponymie, je suis assez fière d'avoir mis de l'avant un peu plus de femmes aussi au niveau des dénominations et aussi d'avoir eu des coups de foudre et des coups de coeur. Le coup de foudre, c'est la passerelle de la tortue qui est dans le secteur de Limoilou. Alors ça, c'est une dénomination qu'on a faite du temps de mon règne, disons-le de même. mais il y a eu beaucoup de coups de coeur, tu sais, le Parc des Dames à Augustine, etc., etc. Ça, je suis assez fière parce que, tu sais, c'est quelque chose qui reste. Tu sais, la rue de la Belle Angélique, tu sais, c'est super cute. [01:21:56] Speaker F: Les Augustines, c'est centrale à Québec, pour vrai, là. [01:21:59] Speaker H: Oui, mais là, on était dans la Haute-Saint-Charles, tu sais, où ça a été dénommé, là. Qu'est-ce que j'ai... Écoute, aussi, les gens présentes, les citoyens, puis ça, c'est dans le micro. Les citoyens ont parfois des... sont heurtés par la réglementation. Il arrive parfois... [01:22:18] Speaker F: Il y en a du trop? [01:22:19] Speaker H: C'est pas qu'il y en a trop. Je pense que ça en prend. Mais parfois, il va y avoir une construction, le contracteur va avoir fait quelque chose. Il y a peut-être un 3 m, etc. Puis là, on se retrouve avec une inspection. Oups! Il y a un 3 m, il faut aller en demande de dérogation mineure. Là, les gens vont peut-être avoir une facture de 10 000 pour déplacer notamment les thermopompes et tout ça. Alors quand, en tant qu'élu, tu dis non non, ça là, ça a été fait de bonne foi. [01:22:48] Speaker F: L'implication locale dans un quartier. [01:22:50] Speaker H: C'est pas vrai qu'ils vont payer 10 000 $ pour ça. [01:22:51] Speaker F: Québec a trop de quoi ? Compléter la phrase. Et Québec n'a pas assez de ? Compléter la phrase. [01:22:59] Speaker H: Oh my. [01:23:00] Speaker F: Commençons par Québec a trop de. [01:23:03] Speaker B: Jean-François Gosselin. [01:23:04] Speaker C: Dette. [01:23:06] Speaker F: Trop de dettes, trop de cons d'orange, trop de... [01:23:10] Speaker H: Elle a des cons d'orange parce que les gens vont se plaindre que les rues sont défoncées. Mais quand on se répare les rues. [01:23:15] Speaker F: Les gens vont se plaindre. [01:23:16] Speaker H: Il y a un moment donné, il faut faire des frais. [01:23:18] Speaker F: Il faut faire une amulette. [01:23:19] Speaker H: Les gens ont trop... De Bollard, sur des pistes cyclables l'hiver. [01:23:24] Speaker F: OK, j'aime ça. [01:23:26] Speaker H: Moi, je n'ai pas été vraiment toujours en accord avec le déneigement des pistes cyclables l'hiver. [01:23:31] Speaker F: Ton chef, lui? [01:23:33] Speaker H: Mon chef, je pense que certain... Bon, écoute, je vais lui laisser ça. [01:23:36] Speaker F: Mais là, t'es sortie, là. T'as le droit de parler. [01:23:38] Speaker H: En fait, pas tout à fait encore, mais je l'ai toujours dit. Je l'ai toujours dit. Je pense qu'il y a des pistes cyclables qui ont été installées sur le boulevard Nelson. Les gens l'ont vu arriver. Ils ont vu les belles horaires. [01:23:49] Speaker F: Chemin Sainte-Foy, Saint-Sacrement, dans ce coin-là, ça n'a pas d'allure. [01:23:52] Speaker H: Je ne suis pas certaine qu'on a sorti les bons chiffres quand on a dit que les commerçants avaient plus de visites. [01:23:57] Speaker F: C'est un tripoteux de chiffres, là. [01:23:59] Speaker H: Disons qu'on a eu des exemples... [01:24:02] Speaker F: C'est un magicien. Je vais y aller plus poli. [01:24:04] Speaker H: Je ne l'ai jamais vu faire, parce qu'il n'a jamais disparu au conseil de ville, sauf certaines périodes. [01:24:09] Speaker B: Est-ce qu'il a des petits pieds? Un magicien a des petits pieds, ça c'est la bombe. [01:24:13] Speaker G: C'est une phrase de la bombe. [01:24:14] Speaker B: C'est quoi ça? [01:24:15] Speaker F: C'est une phrase de la bombe. C'est une phrase de la bombe. [01:24:17] Speaker H: Tu vois, je ne connaissais pas tout. [01:24:20] Speaker F: Québec n'a pas assez de... Moi, je. [01:24:27] Speaker H: Trouve que Québec, c'est une belle ville. [01:24:29] Speaker F: Ça, c'est une réponse de marde. [01:24:31] Speaker H: Non, arrête. Mais c'est parce que Québec... [01:24:34] Speaker F: Dis-moi donc Nordique, question de faire plaisir avec Gary Eppie. Québec n'a pas assez de Nordique. Non, mais Québec n'a pas assez de... De spectacle. [01:24:45] Speaker H: Encore. [01:24:45] Speaker F: Ouais. On n'a pas pire. [01:24:47] Speaker H: On n'en a pas assez. [01:24:47] Speaker F: En plus, on a mis une trentaine de millions dans un gros bec pour une salle de 300 sièges. Allô, les marionnettes? [01:24:53] Speaker H: Ça fait venir les gens d'Alexandria. [01:24:55] Speaker F: Les jeunes qui sont obligés de y aller. C'est pour les jeunes, pas pour toi. Pour les commissions scolaires. [01:24:59] Speaker H: C'est pas parce que c'est pas dans ton ratio d'âge. [01:25:01] Speaker F: Non, j'espère. Si je vais là seul, je vais demander à appeler la police. [01:25:04] Speaker H: Faut penser jeunesse. [01:25:06] Speaker F: Ouais, mais t'as pas d'autres réponses à donner. T'es encore politicienne, après tout. [01:25:10] Speaker H: Moi, je l'aime, ma ville de Québec. [01:25:12] Speaker F: Je sais. Je vais aller sur la pâtisserie. On se gâte-tu le bec? Ça, c'est un coup de coeur et on peut finir avec ça. [01:25:19] Speaker H: Tu m'as pas demandé, j'avais fait des erreurs. [01:25:21] Speaker F: T'as-tu fait des erreurs? [01:25:22] Speaker H: J'en ai fait dans le sens que je suis un peu tranchante dans la vie. [01:25:25] Speaker F: C'est ça que ton chum m'a dit. [01:25:27] Speaker B: Mais c'est pour ça que t'as fait le conseil municipal. Dans ma synthèse du conseil municipal, c'est le fait que t'étais tranchante qui a fait de toi une star, veut veut pas. [01:25:40] Speaker F: C'est pas un défaut ça d'être tranchante. [01:25:41] Speaker H: Moi un défaut, mais ça peut nuire parce que quand t'es tranchante, quand tu. [01:25:45] Speaker F: Pèses un petit peu... T'as-tu des regrets, c'est ça que tu veux que je te demande? [01:25:49] Speaker H: Non j'ai pas de regrets. Peut-être que j'aurais pu être un peu plus politicienne, un peu plus stratégique. J'ai pas toujours été stratégique dans mes propos. [01:25:57] Speaker F: Tu veux que je t'excuse auprès de quelqu'un tant qu'escalier? Non! [01:26:00] Speaker H: Non! [01:26:00] Speaker B: Non! [01:26:00] Speaker H: Non! [01:26:01] Speaker A: Non! [01:26:01] Speaker C: Non! [01:26:01] Speaker F: Non! [01:26:01] Speaker D: Non! [01:26:01] Speaker I: Non! [01:26:01] Speaker H: Non! [01:26:01] Speaker E: Non! [01:26:01] Speaker G: Non! [01:26:01] Speaker C: Non! Non! Non! Non! [01:26:02] Speaker A: Non! [01:26:02] Speaker B: Non! Non! [01:26:02] Speaker F: Non! [01:26:03] Speaker H: Non! [01:26:03] Speaker C: Non! [01:26:03] Speaker B: Non! Non! Non! [01:26:03] Speaker F: Non! [01:26:04] Speaker B: Non! Non! [01:26:05] Speaker C: Non! Non! [01:26:05] Speaker B: Non! Non! Non! Non! Non! Ça prend ça pour nous tenir pendant 7 heures devant le conseil municipal. Ça nous prend ces petits moments-là. Puis moi, le moment que j'ai aimé, entre autres, lors du dernier conseil municipal, c'est que j'ai eu l'impression que tu t'es vidé le cœur sur le dossier de la caméra Saint-Louis, sur Jean-François Gosselin, pour vrai. Mais lors du dernier qui s'est passé, j'ai senti que ça t'avait fait du bien. [01:26:35] Speaker H: C'est parce qu'à un moment donné, il faut remettre les pendules à l'heure. Et je n'aime pas lorsqu'on tente d'attaquer quelqu'un qui a fait son travail. C'est vraiment du gros n'importe quoi ce qui s'est fait dans le dossier de l'Académie Saint-Louis de la part de l'équipe Marchand. Et ça, pour moi, ça passe pas. C'est pas vrai que tu vas te faire du capital politique en décriant quelqu'un qui a fait sa job. Et ça, ça me... ben vous le voyez, le montant. C'est ça, Anne. Anne, elle a pas de demi-mesure. Quand il y a quelque chose auquel je suis pas en accord, il faut que je le dise haut et fort. [01:27:14] Speaker F: De qui tu vas t'ennuyer le plus? [01:27:17] Speaker H: Véronique, je pense. Véronique Dallaire. Moi, parce qu'on a... Écoute, elle est à côté de moi, puis souvent, Véronique me tient. [01:27:25] Speaker B: Elle me retient. [01:27:26] Speaker F: Bref, on la remercie ou pas? [01:27:28] Speaker H: Ah oui, on la remercie. Non, non. Ah oui, parce que c'est... Non, non, je vais m'ennuyer de... Écoute, je vais m'ennuyer en général, mais mettons une personne, là, qui est à côté de moi, au conseil, c'est Véronique. [01:27:38] Speaker F: Fais-donc ton clin d'œil pour finir. Le Carrefour de Québec nous apprenait ça. C'est toi qui me l'as appris. [01:27:46] Speaker H: Le Soleil aussi, je pense qu'il est en fin d'article aujourd'hui. Denise, 82 ans, qui est à la Patricie-Simon. [01:27:52] Speaker F: La Patricie-Simon ferme. [01:27:52] Speaker H: Elle va fermer à la fin septembre. [01:27:55] Speaker F: Fondée en 1943, en pleine guerre. [01:27:57] Speaker H: Je suis très triste parce que je fais des détours pour aller chercher des pailles de la Patricie-Simon. [01:28:04] Speaker F: C'est quoi des pailles? [01:28:05] Speaker H: C'Est une pâte feuilletée que tu tournes qui est au fromage, avec un peu de fromage. Écoute, c'est un délice. Là, je suis en deuil parce que les pailles de la pâtisserie Simon vont disparaître. [01:28:18] Speaker F: C'est une pâtisserie française, c'est Mme Denise Bédard, 82 ans. [01:28:23] Speaker H: Elle faisait aussi des souris avec de la pâte d'amandes, des souris blanches. Mais ça j'en mange moins, mais quand même. Bref, salut Denise, salut la gang de la pâtisserie Simon, vous avez vraiment fait un bon job et vous avez tenu le coup malgré tout, malgré la fermeture de la rue Saint-Jean. [01:28:38] Speaker F: Ça ferme le 30, c'est le temps d'aller se gâter avant que ça ferme. Ben, merci beaucoup. Et... regarde, il reste une chicane. Au moins, Dan est présent dans les premières leçons. [01:28:47] Speaker H: 1Er octobre. 1er octobre. [01:28:49] Speaker B: Ça risque d'être assez tranquille. [01:28:50] Speaker H: Ça risque d'être... oui, mais on voit depuis quelques temps... [01:28:52] Speaker F: Tu vas-tu pleurer? [01:28:54] Speaker H: Écoute, j'ai pleuré moi à chaque fois que je parlais des aînés. Parce que c'est quelque chose, c'est un dossier qui me touche énormément. [01:28:59] Speaker F: Oui, mais là, tu vas-tu pleurer? [01:29:00] Speaker H: Là, je pense que je vais essayer de pas. [01:29:03] Speaker F: Tu vas-tu saluer du monde? Ben oui. [01:29:06] Speaker H: Je n'ai pas le choix. Il y a tellement de gens sympathiques avec qui j'ai travaillé. [01:29:09] Speaker F: On va suivre ça. Et t'es pas la seule à quitter. Il y a Vérette aussi qui s'en va. C'est qui? Il y en a 12. [01:29:17] Speaker B: Il y a des pins qui s'en vont. [01:29:18] Speaker H: Pierre-Luc Lachance. [01:29:19] Speaker B: Pierre-Luc Lachance, c'est vrai, Pierre. [01:29:21] Speaker F: Notre préféré, Colonel Bretel. On va sortir une musique officielle dans son cours. Merci beaucoup d'être passé. [01:29:29] Speaker H: Ça m'a fait plaisir, vraiment. [01:29:30] Speaker F: Merci. [01:29:31] Speaker H: Ça me semble que c'est toujours court. [01:29:32] Speaker F: C'est tout le temps trop court. [01:29:34] Speaker H: Vous avez quand même un grand privilège d'avoir le micro. Profitez-en. Faites-le bien. [01:29:40] Speaker B: On a fait 20 minutes de radio quand même. [01:29:41] Speaker F: Quand même. Merci beaucoup. [01:29:44] Speaker H: Ça me fait plaisir. [01:29:47] Speaker E: Petite pause. De retour dans un instant. Radio X. [01:29:52] Speaker B: Salut, Karine! [01:29:53] Speaker F: Est-ce que ça va, Pierre? [01:29:54] Speaker E: Oui, Nissan, mais pourquoi on est aussi rock? [01:29:57] Speaker B: Parce que ça prend une autre rare. [01:29:58] Speaker F: Matière que du mordant. [01:29:59] Speaker B: Le nouveau Rogue Rock Creek 2026 est arrivé. [01:30:01] Speaker E: Oh, avec son allure robuste, ses caractéristiques tout-terrain et l'attraction intégrale de série? OK, on repart ça. Trois, quatre! [01:30:09] Speaker B: Le nouveau Nissan Rogue Rock Creek est maintenant disponible à la location à partir de 1,9 % jusqu'à 36 mois. [01:30:16] Speaker C: Inclus réduction fidélité pour propriétaires Nissan admissibles. [01:30:18] Speaker B: Jusqu'Au 31 octobre sur approbation de crédit des conditions s'appliquent des tailles chez Nissan. André vient de vendre facilement et en moins de 48 heures son bloc à airfortin.com. Et la vente s'est conclue sans conditions ni garanties légales, devant notaire. Oui, oui, devant notaire. Sans aucune complication. Et sans commission ni rénovation. Vite de même. Vite de même. Pour votre bloc, maison ou terrain, demandez votre offre d'achat en ligne sur airfortin.com et vous allez vendre, vous aussi, vite de même. Lui, il va l'acheter ton bloc. [01:30:49] Speaker E: R40.com. [01:30:51] Speaker B: Yes! [01:30:51] Speaker E: Honda, c'est sûr! [01:30:53] Speaker G: J'écoute un podcast pis je pense que toi pis moi, on devrait être sans attache. [01:30:57] Speaker C: Ah ouais? [01:30:57] Speaker F: C'est sûr que vous risquez de prendre. [01:30:59] Speaker B: Goût à la recherche cellulaire sans fil de série du nouveau Honda HR-V 2026. Ouais, prendre l'auto pis partir sur un nowhere plus souvent. [01:31:06] Speaker E: Ah, pas d'attache comme ça! [01:31:08] Speaker G: Ouais, t'y pensais quoi? [01:31:09] Speaker B: Avec une foule de nouvelles technologies tirées, le Honda HR-V 2026 est parfait pour vos longues sorties d'automne. Louez-le vôtre à partir de 3,99 % pendant 24 mois. Sur approbation de crédit, détails sur honda.ca. Honda, c'est sûr! 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Un message du gouvernement du Québec. [01:33:05] Speaker F: Sur les chantiers, on bâtit des maisons. À l'APCHQ, on bâtit un réseau. Formation, soutien, reconnaissance, on est la référence. Tout pour que chaque pro du résidentiel se sente à sa place. APCHQ, bâtir nous habite. [01:33:19] Speaker B: En octobre, chez Beauport Mazda, c'est la grande liquidation des véhicules location. Financement à partir de 3,95 %, pneus d'hiver inclus et bien plus. Venez vous informer. Vos dettes vous étouffent? Alexandre Ouellet.com. [01:33:36] Speaker E: Moi, avant, chaque mois, je payais 2000. [01:33:38] Speaker B: $ d'hypothèque, 800 $ de cartes de. [01:33:41] Speaker E: Crédit, 900 $ de prêts personnels et. [01:33:43] Speaker H: 700 $ pour mon auto. [01:33:44] Speaker B: Ça me déprimait, puis toute ma paie passait en paiement. [01:33:47] Speaker H: J'ai appelé AlexandreOuellet.com et maintenant, j'ai un. [01:33:50] Speaker B: Seul paiement qui comprend tout et j'économise. [01:33:52] Speaker E: 1600 $ par mois. [01:33:54] Speaker D: Enfin, je respire. [01:33:56] Speaker B: Pour diminuer vos paiements, Alexandre Ouellet, c'est le spécialiste. Alexandre Ouellet.com Cet été, David a fait 5000 kilomètres de vélo, 750 kilomètres de course à pied, puis 300 kilomètres de natation. Oui, puis en plus, David a joué plus de 200 heures au tennis, puis il s'est même fait initier à l'escalade. [01:34:12] Speaker F: Oui, mais David y est magané. [01:34:14] Speaker B: La solution, le centre de correction vertébrale. Une équipe expérimentée qui regroupe l'ensemble des professionnels sous un même toit, vous offrant le meilleur désencadrement pour une rentrée active réussie. Le centre de correction vertébrale, la clé pour votre santé. À Sainte-Foy, Lévis, Pont-Rouge et centre-cvq.com. [01:34:33] Speaker E: Hé, je sais pas toi, mais ça. [01:34:34] Speaker B: Me tente tellement pas de faire la cuisine à soir. [01:34:38] Speaker F: Jusqu'au 15 octobre, chez BMR, les peintures. [01:34:40] Speaker B: Psycho Surface Note, Prestige, Évolution et Virtuo. [01:34:42] Speaker F: Sont jusqu'à 50% de rabais. C'est bon, ça. [01:34:45] Speaker B: BMR? [01:34:45] Speaker F: Pour les vrais, des conditions s'appliquent. [01:34:48] Speaker B: Cette semaine, écoute Couture dans le Mid. Tu pourrais gagner chaque jour un pot de sauce spaghettis d'aliments Ludo. Texte «Pendant le show» au 418-670-9098 le mot Ludo et dis-nous avec quel type de pâte tu manges ta sauce. Ingrédients frais, pâte et sauce maison, Ludo, la pizza congelée au vrai goût de resto. Dispo chez les marchands participants et un prix très spécial au IGA Amel. Ludo, décongeler, cuire, servir. Radio X, à Québec, c'est Radio X. Sois Radio X. Faites-vous. [01:35:30] Speaker E: Faites-vous. [01:35:31] Speaker B: Votre propre opinion. [01:35:32] Speaker D: Morelive, présentée par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. [01:35:41] Speaker E: Confort en hiver, fraîcheur en été. Et des économies toute l'année. [01:35:45] Speaker D: Multiconfort FP, à Québec et Victoriaville. [01:35:47] Speaker H: Notez que l'émission d'aujourd'hui est une rediffusion. Veuillez ne pas tenir compte des numéros. [01:35:51] Speaker B: De téléphone, date et concours dans le prochain segment. La planète. [01:36:04] Speaker F: Gauchiste est toute émoustillée, toute traversée. L'un des leurs, Kimmel, est suspendu. Mais c'est très injuste tout ça, Mathieu Bocoté! Qu'est-ce que tu en dis, ce matin? [01:36:16] Speaker C: La séquence qui m'a frappé là-dedans, c'est que des gens qui, depuis plusieurs années, légitimaient toutes les formes de censure, qu'elles soient directes ou indirectes, soudainement se transforment en chevaliers, de la liberté d'expression. Je me réjouis de ce réveil. De mon côté, personnellement, quand j'entends certaines figures de l'administration Trump vouloir faire pression sur les médias pour frapper d'anathème les critiques de l'administration, je demande désolé. Je pense que la droite américaine se trahit lorsqu'elle tombe dans ce travers. Mais, comme je l'ai dit, je trouve qu'il y a des amis tardifs de la liberté d'expression. qui, eux, ne la défendent que lorsque leurs amis sont menacés, que lorsque leurs amis sont en danger. Mais quand venait le temps d'interdire telle conférence ? Quand venait le temps de censurer tel propos ? Quand venait le temps de légitimer telle loi en Europe, par exemple, qui justifie la poursuite devant les tribunaux de telle ou telle déclaration politique ou idéologique ? ils étaient non seulement absents de la bataille, mais ils étaient de l'autre côté de la barricade, en justifiant qu'on devait interdire ce qu'ils appellent l'intolérance sous les propos haineux. Et là, soudainement, ils se mobilisent. Je trouve ça... je sais pas si je trouve ça amusant, réjouissant, mais bon, nous sommes plus nombreux aujourd'hui pour la bataille pour la liberté d'expression, mais je crains que si demain, la censure ne frappe de nouveau quelqu'un que la gauche n'aime pas, eh bien la gauche se mobilise à nouveau pour la censure. [01:37:44] Speaker F: Rappelons les cas, Patrick Provost, censuré pour avoir mentionné que, ouais, ce n'était pas tout à fait à propos, peut-être, de la vaccination des enfants, arrivait avec de la littérature scientifique. Non, tu vas à l'encontre du magistère Tuto-Vax, Marc Lacroix, ici, sur nos zones. Radio Wix, également, qui ne répondait pas à toutes les cases du Tuto-Vax. Vous avez quand même Guillaume Lemaitie-Vierge. Mais Sean Faulk, quel bon exemple. Gratuit de guitare chrétien. à qui on interdit d'aller performer dans une église. Mais ça, c'est le vote que nous allons. [01:38:18] Speaker C: Et moi, j'ajoute, parce que je me rappelle de cette polémique, elle m'a frappé, parce que là, on nous disait des figures de la Ville de Montréal, des autorités de la Ville de Montréal disaient, nous, on croit à la liberté d'expression, mais pas pour des propos haineux. Et cette formule, ça touchait donc ce chanteur maga, comme on dit, dont on ignorait l'existence la veille, ne nous trompons pas. Et moi, ce qui m'avait frappé dans le cas de Maude Feucht, c'est qu'on nous disait « il est homophobe, il est raciste, il est sexiste », mais on ne nous donnait jamais la citation sur laquelle s'appuyait de tels propos. Et moi, c'est un truc qui me frappe beaucoup de ces années-ci. En fait, la séquence, ça ne date pas d'hier. J'ai remarqué une forme d'intensification de la chose depuis le discours de Ginnie Vance en Europe, à Munich, de mémoire, en 2024, début 2025, où Vance dit, en gros, l'Europe, certes, oui, il y a des périls extérieurs, mais la liberté en Europe est menacée de l'intérieur par une idéologie à tendance totalitaire qui la gagne et qui la ronge. Et là, dans les textes, dans les journaux européens et en Occident, un peu partout en Occident, on dit des propos odieux, scandaleux, atroces, mais on ne savait jamais c'était lesquels. On ne savait jamais c'était lesquels. Et de la même... Donc là, moi je remarque ça, et là dans le cas de Charlie Kirk ces derniers jours, là on nous dit voilà un homme qui détestait Les noirs, par exemple, qui détestaient les femmes noires en particulier, qui étaient racistes, homophobes, sexistes, etc. Et là, si on prend la peine de chercher les citations sur lesquelles s'appuient de telles accusations, ça devient soudainement très compliqué. Mais je vais donner un exemple qui s'est passé en France il y a quelques jours. Donc je crois que c'était vendredi ou... Non, c'était jeudi. Yvonne Trippenbach, qui est une journaliste au Monde, a eu le passage sur France Inter. C'est le service public, ça. Et elle dit... Charlie Kirk, notamment, disait que les femmes noires n'ont pas la capacité d'exercer... d'exercer des postes... Certains postes sexuels n'ont pas les capacités des hommes blancs. Là, si elle avait vraiment dit ça, ce serait absolument atroce, scandaleux, odieux. Ce serait du vrai racisme. Mais le problème, c'est qu'elle lance cette phrase-là sans donner la citation. Juste à côté d'elle, on trouve un universitaire américain, Yer-sha-mook, qui est un univers centriste, centre-gauche plutôt, qui dit « Un instant, ce que vous dites est faux. Charlie Kirk ne disait pas que les femmes noires n'étaient pas comme catégorie générale. Il disait que les personnes qui ont profité de la discrimination positive, autrement dit, qui ont eu accès à une promotion, non pas sur la base de leur talent individuel, mais parce qu'ils représentaient un quota, parce qu'ils avaient droit à une forme de prime sur le mode minoritaire, » ces gens-là ont pu douter de leur compétence, de leur capacité, parce que quelqu'un qui a été promu par la discrimination positive, par définition, on se dit, est-ce qu'il a été promu sur son propre mérite ou parce qu'il remplissait une case? Et là, on voit la journaliste qui est prise d'effroi. Et là, manifestement, elle était au courant du fond de l'histoire. Parce qu'elle dit oui, oui, elle critiquait la discrimination positive. Donc là, on voit qu'elle... Donc, elle sollicitait la vérité. [01:41:15] Speaker F: Elle a tronqué la réalité. [01:41:16] Speaker C: Elle a tronqué au point où elle créait du faux. Et à la fin, qu'est-ce qu'elle dit? Elle dit oui, mais je disais ça pour aller plus rapidement. Alors moi j'ai été frappé par cette déclaration parce que combien de journalistes nous ont rapporté des déclarations sur Charlie Kirk pour aller plus rapidement. Je donne un autre exemple, on dit qu'il s'opposait à l'émancipation des noirs aux États-Unis dans les années 60 parce qu'il était critique des droits civiques. Non, pas du tout. Il dit que les droits civiques ont engendré, donc il ne conteste pas la légitimité de la cause d'affirmation des Noirs, ça va de soi. Il dit que le problème des droits civiques, ça a engendré une bureaucratie à prétention anti-discriminatoire qui culmine aujourd'hui avec l'EDI, l'équité, la diversité et l'inclusion, et avec la discrimination positive, et avec une politisation de l'intimité. Donc là, il dit qu'il y a eu des effets pervers à cette mesure. Comment c'est traduit par les médias, ça nous dit ah ah, dans les faits de Charlie Kerr qui était contre l'émancipation des lois. Puis on pourrait les multiplier, les phrases comme ça. Donc, je vois que plusieurs médias, avec raison, se désolent qu'on ne croie plus la parole médiatique. Je comprends cette colère. Quand on parle publiquement, on a envie d'être cru. Mais de l'autre côté, il y a peut-être un petit effort à faire, chacun d'entre nous, d'une manière ou de l'autre, pour rapporter correctement les propos des gens, même quand on ne les aime pas, sans quoi on fait quelquefois, sans se rendre compte de la désinformation, en prétendant, en plus, servir la vérité. [01:42:33] Speaker F: C'est très bien. Puis que dire aussi de la décision du gouvernement de la CAQ de faire annuler un congrès de gens contre l'avortement. On peut être contre l'avortement. C'est arrivé ici à Québec, au centre des congrès, où le gouvernement était intervenu pour briser le contrat d'une conférence à laquelle je serais pas allé et à laquelle tu serais pas allé sûrement et à laquelle d'autres personnes seraient allées. Mais c'est ça la liberté d'expression. [01:42:59] Speaker C: J'avais fait un texte à l'époque là-dessus dans le journal, dans le journal de Montréal, j'avais dit à l'époque, soit la critique de l'avortement n'est pas permise publiquement, alors là ils font interdire le correct parce qu'on serait devant des propos effectivement qui seraient interdits par la loi, soit il est permis d'être contre l'avortement, ce qui n'est pas mon cas je le précise, ce qui n'est pas ton cas je le suppose, mais le fait est que puisqu'il n'est pas interdit, on ne peut pas frapper de manière arbitraire un événement en disant ça on n'aime pas cette Est-ce que je peux avoir la liste alors des opinions non autorisées qui font en sorte que tel ou tel colloque, tel ou tel courant d'idées ne pourront pas s'exprimer? Je vais te donner un exemple français pour te voir comment ça frappe des deux côtés de l'Atlantique. Il y a un think-tank qui s'appelle l'Institut Iliad, qui appartient à ce qu'on appelle la mouvance de la Nouvelle Droite. La Nouvelle Droite, c'est une droite qui n'est pas nécessairement la droite libérale ou conservatrice, donc qui est une autre... —. [01:43:50] Speaker F: Droit de Zemmour un peu, non? [01:43:53] Speaker C: — Non, non. Droit de président de Steyr, d'autres courants, plus européistes. Bon. Mais l'essentiel n'est pas là. L'essentiel est qu'on est... Il y a 2 ans, elle veut rendre hommage, parce que son fondateur, c'était le fondateur... Enfin la figure qui était à l'origine de cette mouvance, s'était suicidée dans un acte sacrificiel dans son esprit, Dominique Zenner, devant Notre-Dame. Bon, je te mits le détail. Il y a un colloque qui doit être organisé pour célébrer sa mémoire. On décide, les autorités décident d'interdire ce colloque parce que pourrait s'y tenir des propos haineux, des propos contre la loi. Non pas parce que se sont tenus des propos haineux, mais pourrait se tenir des propos. Quand on était dans Minority Report, un crime sera commis par cette personne, je l'arrête avant qu'elle ne le commette. Je précise qu'aucun des invités n'avait été autrefois condamné pour de tels propos. Donc là, on est dans une séquence où partout en Occident, il y a une passion de la censure. Ce que je note, c'est que plusieurs personnes qui aujourd'hui se mobilisent pour Jimmy Kimmel ont oublié chaque fois de se mobiliser pour ces causes-là. Ils ont oublié chaque fois de défendre la liberté d'expression des gens avec qui ils n'étaient pas d'accord. Je devine qu'ils travaillaient trop fort, je devine qu'ils dormaient, je devine qu'ils étaient en vacances, je devine qu'ils faisaient du vélo, je devine qu'ils faisaient une recette vegan. Mais ils n'ont pas eu le temps de défendre la liberté d'expression des gens qu'ils n'appréciaient pas. Et là, soudainement, ils se réveillent. Bravo les gars, bravo les filles, mais il est peut-être temps aussi de défendre des gens que vous n'appréciez pas. Et ça, c'est ce qui semble difficile dans l'histoire. [01:45:18] Speaker F: Monsieur, merci. [01:45:20] Speaker C: Au grand plaisir, bye bye. [01:45:21] Speaker F: Bye bye. [01:45:29] Speaker B: Vos rôtisseries Saint-Hubert de la région de. [01:45:31] Speaker F: Québec vous offrent sa promo 2 repas. [01:45:33] Speaker B: Pour 26 $ au comptoir à emporter ou 2 repas pour 30 $ en. [01:45:37] Speaker F: Livraison parmi 5 plats vedettes. [01:45:38] Speaker E: Repartez en Toyota avec Charlebourg-Toyota. Louez les prix hybrides branchables ce 2025 à partir de 98 $ par semaine sur 64 mois, incluant un rabais de 4000 $ en incitatifs combinés. Chez Charlebourg-Toyota, on ne fait pas juste C'est ça. [01:45:53] Speaker F: Pas tout le monde qui se sent à la maison dans une cuisine en réno, dans une salle de bain en construction, dans un salon en chantier. 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[01:49:11] Speaker G: Mais quand on est le classique de l'automobile à Québec, on n'en a pas besoin. Laurier Mazda offre tout simplement le CX5. [01:49:17] Speaker B: 2025 avec 500 $ de rabais, location 48 mois, 108 $ par semaine, avant-taxe, zéro comptant. Laissez les autres faire des fausses notes. Venez voir le classique de Québec. Laurier Mazda, à Saint-Foy, Saint-Carton! Quand j'avais des douleurs au genou, j'en parlais à tout le monde. À mes collègues. [01:49:39] Speaker F: Bonjour tout le monde, j'ai mal au genou. [01:49:41] Speaker B: À mon chien. J'ai mal au genou. [01:49:43] Speaker F: Mais le mieux, c'est d'en parler à. [01:49:45] Speaker B: Son médecin et de demander Sengal. Le seul traitement qui, en une seule. [01:49:48] Speaker F: Injection, agit rapidement et soulage à long terme les douleurs causées par l'arthrose du genou. [01:49:53] Speaker B: Allez sur sengal.ca afin de localiser une clinique. [01:49:57] Speaker I: Sengal. [01:49:58] Speaker B: Pour ne plus parler de vos douleurs au genou, parlez-en à votre médecin. [01:50:01] Speaker F: Sengal peut ne pas convenir à tout le monde. [01:50:02] Speaker B: Si vous avez des questions, relativement se produit, consultez votre médecin. [01:50:06] Speaker D: Voulez-vous échanger vos points contre des extras? [01:50:09] Speaker B: Et ma boîte de pick-up est pleine de slush! [01:50:11] Speaker D: C'est ça, Proxy Extra! [01:50:12] Speaker H: C'est cool! [01:50:13] Speaker B: C'est extra! Avec le programme de fidélité Proxy, extra-généreux des dépanneurs Proxy, échangez vos points sur presque tous vos achats, même la slush! [01:50:20] Speaker E: Faites partie de la famille Qui a beau port! Offrez-vous le Sorento PHEV 2025 à partir de 160 $ par semaine en location 60 mois. Disponible pour livraison immédiate. Passez-nous voir à Beauport! [01:50:31] Speaker F: Qui a beau port! [01:50:33] Speaker E: Une histoire de famille! [01:50:35] Speaker B: Good morning! Québec. [01:50:37] Speaker E: Avec Doume Dumas. Lundi au vendredi. [01:50:44] Speaker B: 5H30. [01:50:46] Speaker E: Radio X. [01:50:46] Speaker B: Présenté par la lunetterie Beland. Obtenez le meilleur prix garanti avec nos forfaits verts et montures Simple Vision à 99$ et Progressif à 249$. La lunetterie Beland, service qualité bas prix. [01:50:59] Speaker H: Notez que l'émission d'aujourd'hui est une rediffusion. Veuillez ne pas tenir compte des numéros. [01:51:03] Speaker B: De téléphone, date et concours dans le prochain segment. [01:51:08] Speaker D: Quel. [01:51:13] Speaker F: Livre extraordinaire et abordable, je dois dire. Je l'ai acheté à la librairie Charbourg, donc Charlebourg, 23,95. 19 euros. En France, ça vaut la peine. 1989, le communisme raconté à ceux qui ne l'ont pas vécu par Bogdan Stéphane, qui est un Québécois maintenant qui habite Saguenay, à qui on parle. Bonjour, comment ça va? Très content de vous parler. Vous illustrez la Roumanie sous Charles Sescu. Vous êtes maintenant Québécois, vous avez quitté la Roumanie, mais vous faites un retour dans le temps avec des thématiques qui nous touchent en passant aujourd'hui. Propagande, censure, messages officiels. Comment vous pourriez résumer le contenu de votre livre de la meilleure manière possible? [01:52:14] Speaker C: En fait, ce que j'aimerais dire à vos auditeurs, c'est qu'il s'agit dans le fond d'un bras tendu à mon jumeau de 17 ans de 1989. cette autre vie que j'ai vécue dans cette Roumanie communiste. Et mon livre, 1989, le communisme raconté à ceux qui ne l'ont pas vécu, raconte dans le fond les six derniers mois de ce régime communiste de Ceausescu et les six premiers mois de la liberté folle qui s'en est suivie, qui a suivi sa chute dans le fond de janvier au mois de juillet 90. [01:52:53] Speaker F: Quand vous allez prendre un café, là, sur Talbot, ou prendre une bière, vous êtes un Saguenéens, maintenant, et vous repensez à ça, quels sont les souvenirs qui vous restent le plus gravés dans votre mémoire des six derniers mois de cette dictature-là? [01:53:10] Speaker C: Je capote, je capote. Des fois, ça m'arrive de traverser le parc entre Québec et Chicoutimi, avec comme background, comme fond de sonore, The Wall de Pink Floyd. Et des fois, je n'arrive pas à croire que je suis ici et que je vis une vie dans un pays libre où le plus important, c'est qu'on fait confiance à l'autre. Moi, c'est la chose qui est... Quand les gens me demandent à Roumanie pourquoi t'as décidé de rester au Québec, au Canada, moi, je le dis parce que les gens se font confiance les uns les autres. C'est peut-être la chose qui est la plus difficile à reconstruire après une dictature, la confiance entre les citoyens et les autorités, la confiance entre les citoyens eux-mêmes. Donc voilà, c'est un peu le... parce que cette confiance-là a été détruite par des messages de propagande, par des mensonges, par le fait que tout le monde sait que dans le fond, les choses sont blanches alors qu'elles nous sont présentées comme noires. Donc, il y a toutes ces choses-là qui font en sorte que cette méfiance-là se glisse insidieusement, de façon perverse, même dans les relations entre les gens. Entre les gens de jour après jour. Je vais vous raconter quelque chose. Par exemple, ma mère, même aujourd'hui. Elle doit... Ma mère est en Roumanie et je vais la voir souvent là-bas. Et donc, de temps en temps, elle a un problème avec ses installations, avec sa canalisation. Bon, elle va appeler un plombier, mais la première chose que ma mère va penser en appelant le plombier, c'est que le plombier va essayer de la tromper, de lui présenter les travaux comme étant plus gros ou plus coûteux. Et le plombier, lui aussi, va penser que ma mère va vouloir lui donner un petit peu moins d'argent qu'est-ce qu'il mérite. déjà avec un déficit de confiance. Et c'est difficile d'en se donner une relation normale. [01:55:14] Speaker F: Le communisme pervertit le niveau de confiance, pervertit les relations personnelles, et l'ultra-méfiance vient distorsionner complètement les rapports sociaux. [01:55:26] Speaker C: Voilà, voilà, c'est exactement ça que je... C'est exactement ça. [01:55:29] Speaker F: Parlez-moi des médias. Vous, vous êtes dans ce pays communiste-là. qui s'éteint tranquillement, en fait. On sent vraiment un grenouillement avec Gorbatchev et avec le grenouillement dans les pays voisins, c'est sûr. Ça va tomber, ce régime-là. Qu'est-ce que les médias disaient? Comment ça se passe quand vous regardez la télé, quand vous écoutez la radio officielle? On raconte quoi sur les États-Unis, sur la France? Qu'est-ce qu'on dit? Comment ça alimente la propagande et comment on l'articule? [01:56:03] Speaker C: Ah, bien, c'est les méchants impérialistes, c'est les méchants capitalistes qui étaient présentés jour après jour. À la télé, on avait trois heures de programme télé par jour, donc tout le monde était obligé de tourner leurs antennes vers le pays voisin. Au sud, c'était la Bulgarie, à l'ouest, c'était la Hongrie puis l'Ygoslavie, l'ex-Ygoslavie aujourd'hui. De mon côté, vu que j'étais au nord-est, bien là, C'était drôle parce qu'il fallait tourner nos antennes vers Moscou. Moscou qui était devenue... La télévision russe était devenue beaucoup plus ouverte et beaucoup plus fréquentable que la télévision roumaine qui était remplie de propagande, d'étrangers ou puis de toutes sortes de niaiseries. Donc, les médias roumains, tout le monde savait qu'on ne pouvait faire aucune confiance à ça. [01:56:57] Speaker F: Pourquoi vous écrivez ce livre-là? [01:57:00] Speaker C: Parce que j'ai envie de transmettre aux gens d'ici ce que j'ai vécu en Roumanie. Souvent, les gens me demandent comment ça se passait à l'époque. Et c'est très difficile de raconter dans deux, trois phrases. Et ce que j'ai trouvé le plus important, c'est de transmettre cette... c'est sans sensation que j'avais qu'à travers mon enfance heureuse, parce que j'ai eu quand même une enfance heureuse, protégée par des parents qui ont fait de leur mieux. [01:57:36] Speaker F: Mais vous écrivez que vous étiez confusément heureux. [01:57:39] Speaker C: Voilà, exactement. Donc... [01:57:42] Speaker F: Pour toi, ça veut dire quoi, être confusément heureux? [01:57:44] Speaker C: Ça veut dire que tu vis quand même des beaux moments avec des vacances au bord de la mer, avec des amis, avec une vie protégée, comme je disais, par mes parents, comme une sorte de cloche de verre autour de moi et de ma soeur pour nous protéger de ce qui se passait dans la dictature. Mais à travers cette vie heureuse-là, On sentait, je sentais même... Tu sais, en tant qu'enfant, on a des antennes. On sent des choses qui sont pas dites. On sent les humiliations, on sent les abus. On sent que ce régime-là est en guerre contre ses propres citoyens. Le régime communiste, c'est un régime qui pense pas que les citoyens sont ses amis. Il pense premièrement d'où vient le prochain danger pour lui. Et donc, il faut surveiller ces citoyens-là, il faut les maintenir en bas, il faut les humilier, il faut abuser d'eux le plus possible. [01:58:37] Speaker F: Est-ce que vous craignez parfois, quand vous regardez certains trucs dans l'actualité au Québec, au Canada, est-ce que vous craignez parfois un certain glissement? Le contrôle, le contrôle des médias, une certaine forme de propagande, le bafouement des libertés, des libertés d'expression, libertés fondamentales. [01:59:00] Speaker C: Je peux pas dire ça. Je sais qu'il y a les mots dictature, C'est des mots qui viennent vite sur les lèvres de plusieurs. Mais moi, ayant vécu une vraie dictature, je peux absolument... ça n'a rien à voir. [01:59:17] Speaker F: Mais quelle réaction vous avez quand, fin de semaine, à Toronto, il y avait une manifestation contre Carney de l'extrême gauche? Mais j'ai vu, on a vu le drapeau du Parti communiste. Il y a des gens qui veulent appliquer ce système-là en disant, bien voyons, il a été mal appliqué. Nous, nous allons bien l'appliquer. [01:59:38] Speaker C: Ça me fait rire. Ça me fait rire à chaque fois parce que, tu sais, je trouve ça vraiment niaiseux. Je trouve ça niaiseux qu'on interdise... Tu sais, c'est formidable qu'on interdise les organisations nazi-fascistes. Mais il faut également peut-être penser à interdire les organisations communistes. La haine de classe n'est pas meilleure que la haine de race. Mais en même temps... [02:00:03] Speaker F: Mais passer par l'éducation au lieu d'interdire aussi, est-ce que ça valait pas de la manque d'éducation, justement? [02:00:09] Speaker C: Voilà, donc ce que je dis, les jeunes ont besoin quand même de s'empiquer, ont besoin d'arrêt, mais il faut... Avec ce livre, c'est ça que j'aimerais leur dire. Il faut premièrement apprendre à se connaître soi-même. apprenons à nous connaître soi-même, connaître quels sont nos bons côtés, les moins bons côtés, et ensuite, en faisant le ménage à l'intérieur de nous-mêmes, on peut peut-être penser à faire le ménage dans la société. Mais on ne peut pas faire le ménage dans la société, on ne peut pas faire une révolution sans avoir fait d'abord la révolution à l'intérieur de soi-même. [02:00:43] Speaker F: Bogdan, Stéphane, merci encore. [02:00:46] Speaker C: Merci beaucoup. Bonne journée. Bye-bye. [02:00:47] Speaker F: Félicitations. Le livre, c'est 1989, tout simplement. Vous pouvez l'acheter, vous pouvez le trouver un peu n'importe où. Moi, j'adore ça. Puis c'est le volet également de « Il découvre la vraie liberté ». Donc c'est six mois avant, six mois après, à cheval sur la Révolution. Je trouve ça fascinant. [02:01:15] Speaker B: Deux fois, quand je suis allé, le gars descend les 550 marches comme un chien, la tête en avant. [02:01:21] Speaker E: Tu l'as vu deux fois? [02:01:22] Speaker B: Deux fois. [02:01:22] Speaker F: Pas sérieux. [02:01:23] Speaker B: Oui, le gars, il est épais pis là, il a les bras gros comme. [02:01:25] Speaker G: Des poteaux de téléphone. [02:01:25] Speaker B: C'est sûr que c'est pas un popy. [02:01:26] Speaker F: Que t'as reçu dans le show, ça. Non, mais c'est ça que je venais de dire. Le soir, il se met un masque. [02:01:30] Speaker G: Lui, je voudrais pas qu'il me dise. [02:01:31] Speaker C: Il mange dans le plomb. [02:01:35] Speaker D: Lundi au vendredi, 15h. [02:01:52] Speaker B: Vos rôtisseries Saint-Hubert de la région de. [02:01:54] Speaker F: Québec vous offrent sa promo 2 repas. [02:01:56] Speaker B: Pour 26$ au comptoir à emporter ou 2 repas pour 30$ en livraison parmi 5 plats vedettes. En montant dans la nouvelle Prius hybride branchable chez votre concessionnaire, vous pourriez être transporté loin de la ville où le seul bruit est celui d'un criquet vraiment en forme. Parce qu'avec une autonomie hybride aussi impressionnante, votre petit coin de paradis peut être à la fois plus loin et moins cher. Après, tout ce qui vous reste à faire, c'est de ramener la Prius à la maison. [02:02:19] Speaker F: L'événement Repartez en Toyota est en cours. Pour un temps limité, vous pourrez obtenir. [02:02:23] Speaker B: Jusqu'À 4000 $ en rabais gouvernementaux et en incitatifs clients Toyota. Visitez AchetezmaToyota.ca ou votre concessionnaire Toyota du Québec pour toutes les conditions. [02:02:31] Speaker F: La rue, c'est plus de 50 ans. [02:02:33] Speaker B: En fabrication d'équipements de déneigement industriel et on est en pleine croissance. [02:02:37] Speaker F: Tu veux un emploi stimulant? [02:02:38] Speaker B: On recrute des assembleurs, mécaniciens, commis à. [02:02:41] Speaker F: L'Entrepôt, ressources humaines, ingénierie et plus. [02:02:43] Speaker B: Joins-toi à l'équipe LaRue. Postule sur JALarue.com. Lise a vendu sans effort et en moins de 48 heures leur maison à airfortin.com. Et c'est une vente sans stress? [02:02:54] Speaker E: Sans aucun stress. [02:02:55] Speaker B: Sans conditions ni garanties légales? [02:02:57] Speaker E: Sans conditions ni garanties. [02:02:59] Speaker B: Devant notaire? [02:03:00] Speaker E: Devant notaire. [02:03:01] Speaker B: Sans ménage ni plusieurs visites? [02:03:03] Speaker E: Absolument. Vite de même. [02:03:05] Speaker B: Vite de même. Demandez à airfortin.com votre offre d'achat en ligne et vendez-vous aussi vite de même. Lui, il va l'acheter ton bloc. [02:03:14] Speaker E: Airfortin.com. [02:03:16] Speaker B: Yes! En octobre, Cartier Chevrolet vous offre un financement à partir de 1,99 % à l'achat de Silverado et Sierra 1520-26, avec la chance de gagner votre achat jusqu'à 100 000 $, seulement chez Cartier Chevrolet 847-6000. [02:03:31] Speaker F: Arrêtez de chauffer le dehors! [02:03:33] Speaker B: Isolez votre entretois avec Isolation Frontenac. [02:03:36] Speaker F: L'hiver arrive, c'est le temps d'effectuer vos. [02:03:38] Speaker B: Travaux pour vous assurer d'économiser sur votre facture d'électricité. [02:03:42] Speaker F: Rive-Sud, Rive-Nord de Québec, jusqu'à 1h30 des. [02:03:44] Speaker B: Ponts, les experts d'Isolation Frontenac vous offrent un service impeccable. [02:03:49] Speaker F: En plus, vous profitez de la subvention logivère de 1500 $ pour isoler votre entretois. Demandez votre soumission gratuite. Appelez au 88 425 77 78 ou visitez le isolationfrontenac.com. [02:04:01] Speaker B: Salut, c'est Carbot. 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[02:04:49] Speaker G: Ouais, tu pensais quoi? [02:04:50] Speaker B: Avec une foule de nouvelles technologies de Siri, le Honda HR-V 2026 est parfait pour vos longues sorties d'automne. Jouez-le vôtre à partir de 3,99 % pendant 24 mois. Sur approbation de crédit, détaille sur honda.ca. Honda, c'est sûr. [02:05:02] Speaker F: Bière et frites vous offrent, pour le week-end de l'Action de grâce, la moyenne poutine à 3,99$ pendant 3 jours ! Du 11 au 13 octobre, c'est le temps de sortir ta blancton, de chambre tes enfants, et oublie pas ton voisin qui sera peu occupé ce week-end. Une moyenne poutine à 3,99$, c'est imbattable. Tout comme la bouteille de vin la moins chère au Québec, la Los Molinos, à 7$. Bière et frites, goût imbattable, prix imbattable, et c'est même pas proche. 550 rue Marais, 44 Président Kennedy, Lévis. [02:05:30] Speaker B: Si tu trouves... que les magasins meubles. [02:05:32] Speaker F: RD sont pas super beaux? Ben, dis-toi ben une chose. Si le meuble est beau chez nous. [02:05:41] Speaker B: Je te jure, man, il va être beau chez toi. Jusqu'au lundi de l'Action de grâce, c'est la grande vente 20e anniversaire chez Meubles RD. Profitez de 20 % de rabais sur tous les meubles et matelas à prix régulier. Meubles RD, pièces meublées, moins dépensées. Tu penses t'acheter une voiture prochainement? T'en veux pas une neuve, mais une comme-neuve? Pour une voiture, c'est Charlebourg-Toyota. Va voir nos comme-neuves au comme-neuve.com. [02:06:13] Speaker G: Moray. [02:06:14] Speaker D: Live, présenté par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. [02:06:22] Speaker E: Confort en hiver, fraîcheur en été. Et des économies toute l'année. [02:06:26] Speaker D: Multiconfort FP, à Québec et Victoriaville. [02:06:29] Speaker H: Notez que l'émission d'aujourd'hui est une rediffusion. Veuillez ne pas tenir compte des numéros. [02:06:33] Speaker B: De téléphone, date et concours dans le prochain segment. Moray Live. [02:06:39] Speaker C: Pourquoi pas? [02:06:41] Speaker E: Radio. [02:06:43] Speaker F: On est rendus au débat de Lévis, mesdames, messieurs. [02:06:49] Speaker B: J'étais. [02:06:56] Speaker F: Sûr que c'était pour les faire sourire. Isabelle Demers, bonjour, comment ça va? [02:07:05] Speaker D: Bonjour, ça va très bien. [02:07:07] Speaker F: Stephen Blainey. [02:07:08] Speaker G: M. Morin, bonjour. [02:07:09] Speaker F: Et M. Bonin. [02:07:10] Speaker A: Salutations. [02:07:10] Speaker F: Donc, merci. On n'est pas important, mais on vous présente la tribune. Ceux qui sont importants, c'est ceux qui votent. Ils sont de l'autre côté de la rive, juste de l'autre côté du fleuve, et on vous écoute. Donc, nécessairement, les auditeurs, les livers, vous pouvez intervenir par texto sans problème. Mais c'est surtout après le débat. Manquez pas ça. On ouvre les lignes. On veut savoir si ça vous a fait changer d'idée. Tu sais, une fois un débat peut être un game changer. [02:07:38] Speaker G: L'après-match. [02:07:38] Speaker F: Sans prétention, l'après-match. Oui, c'est bon. Bonne expression. L'après-match. Premier thème, c'est... Dan est prêt. Ça va être à peu près huit minutes chaque thème. Il y en a trois. Premier thème, c'est transport. Est-ce qu'on va enfin bouger à Lévis? Comment on va faire pour désengorger la circulation? Est-ce qu'on veut élargir les routes, des nouvelles routes? Transport en commun, comment vous voyez ça? Le troisième lien, est-ce que vous y croyez encore et sous quelle forme, surtout? Et pourquoi les Lévisiens embarqueraient-ils dans le transport en commun aujourd'hui? Qu'est-ce que vous changeriez? On y va avec une prise de position d'une minute pour chacun et ensuite, on y va avec le débat. D'abord, Mme Demers. [02:08:19] Speaker D: En fait, au niveau du transport, que ce soit transport ou mobilité, là, présentement, on a de la difficulté à circuler. Disons-le, on a vraiment de la difficulté à circuler sur le territoire de la ville. On a fait, dans les dernières années, on a fait des investissements majeurs sur le boulevard Guillaume Couture. Et ce qu'on voulait faire avec ça, c'est vraiment une adhérence à l'horaire du transport collectif. Donc, que les gens qui prennent l'autobus soient assurés que les horaires soient respectés. Alors, c'est ce qu'on a voulu faire dans les investissements. Il reste, c'est la phase 1 qu'on vient de voir avec Guillaume Couture, avec des tronçons, quelques tronçons dans la phase 1. Et c'est ce qu'on veut continuer de faire avec l'appui du gouvernement provincial et fédéral. Mais au-delà de ça, j'en ai même discuté hier, l'élargissement de l'autoroute 20. C'est une priorité. C'est un dossier du provincial. Isabelle Demers ne peut pas. Je ne peux pas aller le faire moi-même. Mais les pressions et un leadership municipal, c'est de faire la pression pour que le gouvernement provincial, dès 2026, fasse l'élargissement de l'autoroute 20. On parlera du troisième lien un peu plus tard. [02:09:29] Speaker G: Oui, premièrement, merci à Chouette de nous recevoir ce matin. C'est clair que quand on regarde le Lévis qu'on se projette dans le futur, on a besoin d'un bouclage périphérique comme toutes les grandes agglomérations et c'est pas juste bon pour Lévis, c'est bon pour Québec, pour le Bas-du-Fleuve, pour la région de Charlevoix. Donc, un bouclage périphérique, c'est la vision et c'est par là qu'on s'en va comme collectivité pour équilibrer notre développement. Évidemment, à court terme, comme on le mentionnait, Transports Québec a dans ses cartons l'élargissement de l'autoroute 20 en direction ouest. Alors, ce qui est important, c'est de marteler que ce projet-là aurait dû se faire. Donc, il est minuit S5 pour justement, je dirais, alléger légèrement les problèmes de congestion, tout comme l'aménagement en boulevard urbain de Marie-Victorin et de la route des rivières, qui sont justement encore dans une zone de forte concentration. Ça, c'est le premier point. Le deuxième, c'est déjà terminé. C'est la minute. [02:10:29] Speaker F: Vous en débattrez. Parfait. Et M. Baudin, pour finir, votre prise de position d'une minute. Allez-y. [02:10:34] Speaker A: Merci. Nous, on propose un plan complet. L'élargissement de l'avent, ce n'est pas suffisant. avec l'entonnoir des ponts, ça ne réglera pas du tout le problème. Dans la vision 2040 de la ville, on parle d'un gain de part modale. Il y a 5 % des gens qui prennent un bus, on veut aller à 10 %, c'est ça la vision de la ville. Le seul moyen de retirer des voitures, d'alléger le trafic, il n'y en a pas d'autres. C'est le SRB, ça a été démontré par des études. Et on ne parle pas nécessairement de vous. Si vous ne pouvez pas prendre le bus pour différentes raisons, vous allez porter les enfants, vous transportez du stock, ça peut être votre voisin qui prend le bus, puis là, on retire des voitures, c'est la seule façon de faire pour alléger le trafic. Les voies réservées ne changent pas ça, ça ne libère pas le trafic. Alors je défends la vision de la Ville là-dessus. Bien sûr, on est d'accord sur le troisième lien, des carrefours giratoires, des ronds-points, des virages à droite, des feux synchronisés, oui. Mais il n'y a pas d'autre solution pour régler le trafic. On va prendre le temps de le faire, mais on n'a pas d'autre choix. Sinon, l'A20 va rester un stationnement. On est conscient de ce que ça va coûter, mais ce qu'on va faire, c'est qu'on va dégager une réserve, on va attacher les partenaires, on va diminuer la dette d'abord. Tant que la dette est haute, on fait pas ça, mais on va y aller par phase ensuite avec des partenariats. Et là, on a besoin de savoir, d'avoir nos investissements à Lévis. [02:11:38] Speaker F: Voilà. On peut y aller, Dan, avec le débat? Et c'est M. Blainy qui engage le débat. [02:11:49] Speaker G: En fait, juste pour poursuivre ce que j'avais entamé, chers collègues, dans le fond, c'est que oui, on a besoin, bien sûr, de nos infrastructures, mais également, l'axe Guillaume Couture, c'est vraiment notre colonne vertébrale au niveau de la mobilité. Et ce qu'on a vu dans les dernières années, pourquoi les gens nous disent, on ne se reconnaît plus à Lévis, puis il y a quelque chose qui... On doit donner un coup de barre. C'est parce que la densification a été mal planifiée. On le sait, on va tantôt parler du moratoire, les infrastructures, mais aussi au niveau de la mobilité. Et c'est la raison pour laquelle il est important de poursuivre les efforts dans l'aménagement du transport en commun sur Guillaume Couture. Et là, on doit être pragmatique. Et on ne peut pas revenir sur... Il y a des choix qui ont été pris. On a des voies réservées. On vient d'investir 150 millions. Malheureusement, encore avec un dépassement de coûts de 60 millions, donc on doit poursuivre et bâtir là-dessus pour avoir cette fluidité-là et le transfert de part modale. Donc, juste pour terminer, c'est ça mon point. [02:12:40] Speaker D: Non, non, il n'y a pas juste pour terminer, là. C'était une période de débat, donc vous n'aviez pas le 8 minutes pour vous. [02:12:44] Speaker A: Non, c'est ça. On va se les partager quand même. [02:12:47] Speaker D: Alors, je vais sourcier le dépassement. D'où vous prenez ça, le dépassement? [02:12:53] Speaker G: Madame, ma chère dame, écoutez, les dépassements de coûts, tous les projets à Lévis ont connu des dépassements de coûts dans les cinq dernières années. J'ai une liste. 35 millions, centre culturel, 20 millions, poste de police, 74 millions, 4,1 millions. [02:13:07] Speaker D: Si on crie, est-ce qu'on se permet? [02:13:09] Speaker F: Allez-y, Madame de Mersa. [02:13:10] Speaker D: Oui, excellent, parce qu'on peut crier. Moi, je vais vous donner des chiffres. [02:13:13] Speaker F: C'est le chandail d'arbitre un peu. [02:13:14] Speaker D: Excellent, vous avez un bon chandail. En fait, ce que je veux dire, ce n'est pas des dépassements de coûts, c'est que les contrats ont coûté plus cher. On a pensé des projets majeurs à la Ville de Lévis. Juste pour Guillaume Couture, on parle de plus de 30 millions supplémentaires pour faire le projet comme il était prévu. Je suis un peu surprise parce qu'utiliser les bons mots, M. Blainet, ce n'est pas des dépassements de coûts parce que les projets respectent les coûts qui étaient prévus. Ce sont des coûts qui sont plus chers, les appels d'offres qui ont sorti plus chers et on a décidé d'aller de l'avant aussi. Je suis aussi un peu surprise, M. Blainet. Oui, c'est pas très long pour ça. [02:13:52] Speaker G: Je pense que c'est au tour de. [02:13:52] Speaker A: Monsieur... Oui, oui, je vais y aller. [02:13:55] Speaker D: Oui, oui, tout à fait. [02:13:55] Speaker A: M. Boulainé, votre discours a changé. Maintenant, vous dites qu'on ne reconnaît plus les vies, alors que vous disiez qu'il fallait développer le plus vite possible. J'ai un peu du mal à vous suivre. Le problème en ce moment avec les voies réservées, c'est qu'il n'y a pas de gens qui vont prendre davantage de l'autobus. Ça a été prouvé. Donc, si on continue dans cette voie-là, on le sait, il y a neuf phases qui sont prévues. Donc, il va y avoir des travaux, on le sait. Maintenant, le seul projet qui nous permet de changer la part modale, de passer de 5 % à 10 % de gens qui prennent le bus, donc de retirer des voitures, c'est le SRB, c'est le Linea qui était là en 2013 et qui a été abandonné en 2017, malheureusement. C'était le seul projet possible. Donc, on est conscient que ça va coûter un certain coût, mais il faut le préparer. On ne peut pas faire autrement. On ajoute des portes, des portes, des portes. Tant qu'on ne change pas le système routier, on ajoute des voitures. [02:14:40] Speaker G: On ne peut pas remettre la dans le sub de dentifrice et revenir vers le passé, on doit être pragmatique. [02:14:46] Speaker A: Il y a 2,9 km de faits seulement. [02:14:48] Speaker G: Il y a 150 millions qui viennent d'être investis. Vous dites on va tout jeter sur la terre. C'est démoniaque pour le tramway Québec. [02:14:56] Speaker D: On ne peut pas faire ça et on ne doit surtout pas mettre en contrepartie les deux projets. Si le projet du tramway c'est le projet de Québec, laissons l'air. on va s'occuper de nos citoyens à Lévis. Moi, je vais vous dire, appelons-le le SRB Léger, si c'est ce que vous voulez. [02:15:12] Speaker F: Est-ce qu'il traverse l'ensomme même? [02:15:13] Speaker G: Est-ce qu'il traverse... M. Moret, il y a déjà l'interconnectivité, il y a déjà en cours. [02:15:17] Speaker D: Tout ce qui se fait à la. [02:15:19] Speaker G: Tête des ponts, au niveau du boulevard Laurier, c'est pour nous connecter sur le réseau de Québec. Et l'interconnectivité, c'est fondamental pour, justement, notre fluidité. Les gens de Lévis veulent migrer. Regardez, on est tous à Québec à matin. On aurait pris l'autobus s'il avait été rapide. [02:15:33] Speaker A: Mais combien de temps vous gagnez avec les voies réservées actuellement? [02:15:37] Speaker D: Présentement, ce qu'on a voulu faire dans ces projets-là, puis vous y étiez vous aussi, M. Bonin. [02:15:41] Speaker A: Mais combien de temps on va gagner? [02:15:42] Speaker D: C'est l'adhérence à l'horaire. On fait des horaires avec la société de transport. Vous siégez comme moi la société de transport. Les gens embarquent dans l'autobus, puis on n'est même pas capable de respecter les horaires. [02:15:52] Speaker A: Ce qu'on a fait, le 5 %. [02:15:55] Speaker D: De part modale qu'on veut respecter dans la vision 2040, dont vous avez voté contre au Conseil de ville, je trouve ça un peu... Non, mais que vous disiez que vous vouliez repartir dans la vision. [02:16:05] Speaker C: Non, mais moi, je suis d'accord avec cette partie-là. [02:16:05] Speaker D: Je suis d'accord avec cette partie-là de la vision. Alors, on dit qu'on vote contre au Conseil de ville, mais on est pour. [02:16:11] Speaker I: Et on est contre. [02:16:11] Speaker A: Ça, je vais y revenir, je vais vous dire pourquoi je suis contre, parce qu'il y a deux centres-villes qui sont des points de convergence, on pense pas aux quartiers, donc moi, j'ai un problème avec ça. [02:16:18] Speaker D: Je suis contente d'entendre ça ce matin qu'on a deux centres-villes. Parce qu'hier, il n'y en avait qu'un. [02:16:22] Speaker A: Moi, en tout cas, ça c'est une autre chose. On va y aller, mais... Pendant que. [02:16:26] Speaker G: Vous vous assistinez chez la collègue... [02:16:27] Speaker B: On s'assitine pas, on discute, M. Blaney. [02:16:29] Speaker A: Juste dans cette perspective-là, c'est écrit sur nos publicités qu'on va gagner 20 minutes entre le cégep et le pont. Mais ça prend, en dehors des heures de pointe, 20 minutes entre le cégep et le pont, c'est ça que ça prend. Donc qu'est-ce qu'on va gagner? On va y aller en zéro minute, on embarque à plus personne. Ça prend 32 à 34 minutes en heure de pointe. Il y a quelque chose qui ne fonctionne pas là. Cette publicité-là, pour moi, elle était manipulatrice pour les gens parce qu'on ne peut pas gagner 20 minutes. Ce n'est pas vrai. Ce ne sera pas possible. Il faut embarquer, débarquer des gens sur le trajet. [02:16:59] Speaker D: Il faut aussi laisser de la place aux... Je vais le dire, tout le monde n'ira pas dans le transport collectif. Tout le monde, demain matin, même si on mettait qu'on va sauver 12, 15, 20 minutes, tout le monde ne prendra pas l'autobus. Les gens veulent pouvoir se déplacer à moto, à vélo, à pied. [02:17:20] Speaker A: C'est 5% l'objectif. [02:17:21] Speaker D: Doubler la part modeste. Vous avez raison et c'est ce qu'on est en train de faire présentement. Vous l'avez vu dans les dernières minutes. [02:17:27] Speaker G: Écoutez, c'est clair. Juste tantôt, Mme Demers, les dépassements de coûts haussent de coût. Vraiment. Parce que là, c'est le PQI. Lui, il n'y a pas de flexibilité pour les dépassements de coûts. Mais je veux revenir quand même. Il faut penser aussi à nos rues. Il y a les grandes artères, mais c'est important aussi qu'on investisse dans nos rues. Les gens nous disent qu'ils n'aiment pas ça, on le sait bien, l'état de nos rues et trottoirs. Donc, nous, on veut investir 20 millions pour vraiment, par exemple, refaire les rues qui en ont vraiment besoin. Et également, tout ce qui est notre boirie et les travaux pluviaux. On pourrait y revenir, mais moi, une qualité de vie, c'est pas juste de vivre proche d'un parc, c'est de ne pas avoir de l'eau dans ma cave quand il mouille, c'est d'être capable de me déplacer et c'est d'avoir des services de qualité. C'est ça à quoi les gens s'attendent de la ville de Lévis et c'est ce qu'on veut leur donner avec Prospérité Lévis. [02:18:12] Speaker A: On quitte un peu le transport. Je vais revenir dans votre plateforme. M. Bléné, il est écrit « Adopter un règlement spécifique ». J'imagine que c'est ton conseil. On va dire que tu es à la ST Lévis. Quoi faire? Ça, c'est étrange. « Pour le transport collectif dans les quartiers à faible densité afin d'offrir des services plus souples, efficaces et économes. » J'aimerais savoir comment ça coûte le flexibus à Québec en moyenne pour un transport. [02:18:33] Speaker G: Je suis content de poser la question parce que moi, je vous poserais la question. Non, non. [02:18:37] Speaker A: Combien ça coûte? [02:18:38] Speaker G: Ça coûte 50$. [02:18:41] Speaker A: Alors, mais ça coûte pour le transport d'une personne à Lévis en ce moment. [02:18:44] Speaker G: Je suis content que vous ayez lu. [02:18:45] Speaker A: Notre laforme, parce que ça veut dire. [02:18:46] Speaker G: Que vous vous intéressez à l'avenir de Lévis. [02:18:48] Speaker A: Donc, 50 piastres pour un transport, vous dites que c'est économe? C'est économe, effectivement. [02:18:52] Speaker B: Ce qu'on dit, c'est qu'on doit être. [02:18:53] Speaker A: Ingénieusement déplacer une personne. Elle paye 3,75$ là-dessus. Mais on a pas dit flexibus. [02:18:58] Speaker D: En 50$, c'est économe. [02:19:00] Speaker G: C'est comme ça qu'on veut. [02:19:01] Speaker A: C'est une solution souple et économe, c'est ça que ça donne. [02:19:04] Speaker D: C'est comme ça qu'on va économiser. [02:19:07] Speaker G: Qu'est-ce que vous faites à Pintendre? Tout le monde, quand je fais du sport à Pintendre, me dit, ils sont où, les autobus? Il n'y en a pas d'autobus. La décède. [02:19:15] Speaker A: Il y a eu l'audit de performance. [02:19:17] Speaker D: On est arrivés les 3e sur toutes les sociétés de transport. [02:19:23] Speaker A: Juste pour la performance de la société de transport. Sauf le financement per capita où on est dernier, malheureusement. [02:19:30] Speaker G: La société de transport de Lévis, c'est les meilleurs. On est les meilleurs à Lévis. [02:19:33] Speaker D: Sortez de Pintendre, M. Blainet. Lévis, ce n'est pas que Pintendre. [02:19:38] Speaker F: Il reste 15 secondes. [02:19:40] Speaker G: Il faut avoir un service comme tous. [02:19:41] Speaker B: Les intermédiaires dans le quartier. [02:19:43] Speaker F: 10 secondes. [02:19:45] Speaker A: Toujours dans la plateforme, il est écrit, optimiser la flotte des véhicules pour le transport en commun en tenant compte de l'analyse du cycle de vie économique. C'est quoi le cycle de vie économique d'un bus? [02:19:52] Speaker D: C'est des beaux mots, ça, M. Blainet. [02:19:54] Speaker G: Ça veut dire que quand on investit... C'est bon! C'est terminé! [02:19:58] Speaker F: C'est terminé! [02:19:59] Speaker A: Merci! [02:20:00] Speaker D: Aïe, aïe, OK. [02:20:02] Speaker F: Le logement. Les loyers explosent à Lévis. C'est quoi votre plan concret pour loger le monde? On densifie les quartiers existants? Ou on ouvre de nouveaux quartiers? Il y a la question également des démoratoires. Vous pouvez y arriver là-dessus. C'est des questions quand même essentielles. Les familles et les aînés peinent à se loger. Comment la Ville? peut aider sans tout refiler. Comment on gère, autrement dit, la croissance, mais côté logement? Je veux commencer d'abord. Ben, allez-y. On va y aller avec les prises de position. M. Bonin, M. Blainy. [02:20:32] Speaker A: Alors, Lévi, la Ville nous dit 25 000 portes, 25 ans, mais on en donne de 3 000 à 4 000 par année. J'ai pas un doctorat en maths, mais il y a quelque chose qui marche pas. Comment on va arriver à 25 ans? Dans 7-8 ans, on frappe le mur à nouveau. Alors, ça prend 4-5 ans à faire une usine de traitement des os, aussi bien qu'en commencer une autre tout de suite ou tripler la capacité au lieu de la doubler. Moi, je dis, planif 25 ans, c'est 25 000 portes, c'est 1 000 par année, date-cite. Si la Ville dit que c'est plus, moi je suis prêt à aller à plus, j'ai pas de problème avec ça, mais on planifie sur 25 ans. Les promoteurs, ils dépensent pour leurs projets, ils empruntent, ils payent des intérêts, puis la Ville tire la plogue sans prévenir, paf, moratoire, il y a une perte de confiance. Là, ils ont besoin d'une chose, ils ont besoin de la prévisibilité. En ce moment, il y a une crise du logement. Il y a le taux d'inoccupation qui est super faible. Il y a des logements allévés au-dessus de 2000 piastres par mois. Ça prend du logement qui est abordable. On vient de financer un projet 12 millions, le Ville, 36 millions de gouvernement pour détruire 3,5 à 956 piastres. Est-ce que 956 piastres, c'est abordable? À la Chambre de commerce, j'entendais dans une conférence un promoteur qui disait, on en fait des logements abordables à 1500 piastres. [02:21:36] Speaker G: Pour moi, ça n'a pas l'air bon. [02:21:38] Speaker F: M. Blainy, une minute. [02:21:40] Speaker G: M. Moret, on a 10 milliards d'investissements qui s'en viennent au chantier des vies dans les 10 prochaines années, avec 1 milliard d'investissements pour moderniser les infrastructures. Ça, c'est une entreprise. Puis on a les technions, on a les jambettes, on a les labris. On a un tissu économique extrêmement dynamique. Et ces gens-là, ces entreprises-là vont attirer des gens qu'on doit loger. Donc, on en est là à loger ces gens-là. Et présentement, on va se dire, bien franchement, Lévis, c'est extraordinaire, mais c'est le ministère de l'Environnement qui a tapé ses doigts de la ville puis a dit, écoutez, là, Ça marche plus votre affaire. Vous n'avez pas planifié votre développement. Un ingénieur, une ville, des gens d'urbanisme, ça planifie et ça doit se parler. Comment se fait-il que l'urbanisme n'a pas parlé à l'ingénierie et dit avec la croissance que vous avez, on ne sera pas capable d'avoir des infrastructures? Donc nous, effectivement, c'est clair qu'on a besoin d'avoir de la présibilité. Ce n'est pas dans 25 ans, c'est dans 3 ans. Combien de permis de construction est-ce que la ville est en mesure d'émettre? C'est ça la question et c'est la raison pour laquelle dans les quatre premiers mois d'un mandat de Prospect PVB, on va se pencher là-dessus. [02:22:42] Speaker F: Merci beaucoup et Madame Demers, allez-y. [02:22:44] Speaker D: En fait, je suis contente d'entendre ce que mes collègues vous ont parlé ce matin parce que depuis 2021, on a mis sur la table notre prévision au niveau du logement social et abordable. Lévy-Forcedis, ce qu'elle a fait, c'est qu'elle a dit 100 logements sociaux et abordables par année pour les 10 prochaines années. On est en 2025. Là, je vous parle de 2021 perspective de 2031. En 2025, on est rendu à 811. Donc, on a devancé toutes les sommes qu'on a mis au niveau de l'accompagnement pour des logements sociaux et abordables. 811, puis là-dessus, il y a un projet de 100 unités pour les aînés qui va... Les gens vont pouvoir entrer à l'automne 2025, 100 unités directement, qui a été fait. Un très beau projet sur Guillaume Couture au niveau de l'unité aînée. Moi, ce que je veux dire, c'est que dans le schéma d'aménagement, on avait 850 logements de prévision par année. On en a fait le... On en a fait beaucoup plus, mais à partir du moment où les projets... [02:23:45] Speaker F: Merci Mme Demers, c'est beau. M. Bonnet, M. Bonnet par le bal. [02:23:49] Speaker A: Écoutez, en 5 ans, l'épicerie a monté de 27 %, le loyer, les maisons ont augmenté de 30 %, là. T'sais, c'est pas vivable. On peut pas dire 956 $, c'est abordable. On peut surtout pas dire 1500 $, c'est abordable. On n'est pas là. Quand on jase au monde, là, t'sais, on n'arrive pas avec ces montants-là. Moi, j'aimerais ça connaître la position de mes adversaires. J'ai posé la question au débat de la Chambre de commerce. J'ai pas eu de réponse. Qu'est-ce que c'est pour vous un logement qui serait abordable? [02:24:14] Speaker G: Moi, j'aimerais savoir ce que vous avez fait dans les quatre dernières années parce que... [02:24:17] Speaker A: J'ai posé une question, je suis venu. J'aimerais avoir au moins... [02:24:19] Speaker G: Comment se fait-il qu'on se ramasse avec un moratoire? [02:24:21] Speaker B: Comment se fait-il qu'on se ramasse avec un moratoire? [02:24:22] Speaker D: Moi, je vais vous dire ce qu'on a fait. [02:24:24] Speaker G: La ville n'a pas besoin d'un moratoire, c'est d'un... [02:24:26] Speaker A: Mais ça, je suis d'accord avec vous. Il y avait des drapeaux rouges qui n'ont pas été regardés. [02:24:29] Speaker D: Ça, On parle de logements, on parle beaucoup... [02:24:32] Speaker A: Mais vous n'avez pas répondu à ma question. [02:24:33] Speaker D: Non, tout à fait. On parle de logements... Vous avez répondu. [02:24:35] Speaker A: Merci, madame de Mépris. [02:24:36] Speaker D: Oui, bien moi... En fait, on s'écoute, hein. Je veux dire, on peut... On s'écoute puis on veut répondre aux questions. Vous avez parlé du logement. La semaine passée, je discutais avec un citoyen qui me disait, moi, dans ma capacité de payer, j'ai 650 $ par mois que je suis capable de payer pour un logement, donc j'y arrive pas. Je suis obligée de me trouver quelqu'un qui va m'aider ou on va faire de la co-location parce qu'on n'arrive pas à payer un logement. Au niveau de la ville, ce qu'on est capable de faire, c'est d'accompagner. Il y a du logement social, il y a du logement abordable. Le logement social, c'est qu'on va donner des sommes aux promoteurs pour que ces logements-là soient réservés pour des gens qui ont plus de difficultés avec les revenus et tout ça. Au niveau du logement abordable, il y a une portion par année qui est remboursée à l'Office municipal d'habitation pour compenser le prix du loyer. [02:25:25] Speaker A: On vient de donner 48 millions au gouvernement Ville à un projet qui va nous sortir des 3,5 millions à 956 $. As-tu de la lueur? Ça fonctionne-tu comme système? [02:25:34] Speaker D: En fait, avec la Société d'habitation du Québec, il faudrait voir ce qui est un logement social et abordable. Aujourd'hui, beaucoup de gens vont payer 1 500 $, 1 700 $. Probablement qu'à 956 $, la Société d'habitation va dire que c'est acceptable. [02:25:49] Speaker A: Mais vous venez de dire que vous avez rencontré quelqu'un qui avait 650 $ pour son loyer. [02:25:52] Speaker D: Oui, et qui m'a dit qu'il était obligé d'aller en colocation. [02:25:54] Speaker G: Si la Ville va être en mesure d'accompagner le logement abordable et le logement social, on doit être en mesure d'avoir des revenus générés par le développement. Et là, vous, vous voulez étouffer la Ville. Pourquoi? [02:26:05] Speaker A: Parce que vous n'avez pas de vision. [02:26:07] Speaker G: Allez-vous une vision pour justement devancer la visibilité pour permettre pour permettre à nos bâtisseurs, à nos constructeurs, d'être en mesure de se dire... Parce que présentement, ils frappent un mur à la Ville. La Ville leur dit, écoutez, pas de développement, c'est terminé, et nous on se prive de revenus, et c'est près de 150 millions d'euros dont on peut cibler. [02:26:29] Speaker A: Vous allez lever le bâtoir commercial, M. Blain. [02:26:30] Speaker D: Oui, c'est ça. [02:26:31] Speaker A: Vous êtes un ingénieur, OK? Il y a des données à l'internet. [02:26:38] Speaker G: Je suis même un fainéant ingénieur, mon cher. Fainéant ingénieur. [02:26:41] Speaker A: Vous avez en plus une spécialisation en biologie. Vous n'avez pas les données des ingénieurs de la ville et vous les remettez en question avant de vouloir les diriger. [02:26:50] Speaker D: Alors ici, présentement, on a un ingénieur qui est membre d'un ordre professionnel qui discute le travail d'autres ingénieurs. Permettez-moi de dire que c'est très discutable. Alors quand on est dans un ordre professionnel, habituellement, Non, habituellement, on ne discute pas. [02:27:07] Speaker G: On ne discute pas? Vous ne voulez pas discuter de l'avenir de Lévis? Ça ne vous intéresse pas, vous, de savoir comment on va faire pour construire Lévis? [02:27:12] Speaker D: On ne discute pas le travail d'un autre ingénieur. [02:27:14] Speaker G: Mais comment se fait-il que comme élue. [02:27:16] Speaker C: Vous ne dites pas? [02:27:16] Speaker D: Alors vous, votre hôte professionnel, M. Blainet. [02:27:19] Speaker G: Ah mon dieu, assez charmant. Vous êtes charmante. [02:27:20] Speaker D: Merci de me dire que je suis charmante, parce que vous n'avez pas les données. [02:27:25] Speaker G: C'Est de dire à ces gens-là, mettons-nous en mode solution, et vous, vous avez dormi sur la Switch pendant quatre ans. C'est totalement faux. [02:27:33] Speaker B: J'aimerais ramener le débat à un niveau de discussion. [02:27:34] Speaker D: Mais M. Blané, vous êtes tellement hors propos parce que vous ne connaissez pas le dossier. [02:27:40] Speaker A: Moi, j'aimerais connaître. [02:27:41] Speaker G: M. Blané, vous... On a dit que dès qu'on est élu, on se donne quatre mois pour justement mettre un plan de prisibilité et être en mesure de dire à nos. [02:27:51] Speaker D: Artisans de la construction... Vous avez, pendant la campagne électorale, dit que vous alliez lever le moratoire. Ça me fait vraiment plaisir parce que vous le faites aussi. Vous avez dit que vous alliez lever le moratoire. Alors, c'est pas quatre mois. [02:28:05] Speaker G: C'Est de faire en sorte qu'on ait. [02:28:07] Speaker B: La précibilité... Non, non, vous avez dit pas quatre mois. [02:28:08] Speaker D: Au moment de votre élection, vous allez lever le moratoire. [02:28:11] Speaker G: Oui. [02:28:11] Speaker D: Nous, on a permis que les logements sociaux... [02:28:13] Speaker B: On veut le devancer. [02:28:14] Speaker A: Non, non, non, on a permis... Ça devient chaotique. Je suis pas sûr que l'État réussit à suivre. [02:28:19] Speaker G: On s'excuse déjà qu'ils nous écoutent à la radio. [02:28:21] Speaker D: Exactement. [02:28:21] Speaker B: On a permis que les logements sociaux puissent se passer. [02:28:24] Speaker A: J'aimerais, M. Blainet, avoir votre opinion sur le FAC. [02:28:29] Speaker G: Alors là, moi j'aimerais savoir... [02:28:31] Speaker A: Le BACU, le Programme d'habitation abordable Québec, qui a remplacé Accès Logis. [02:28:36] Speaker G: Ben justement, c'est pour ça qu'on a besoin d'avoir la possibilité d'émettre des permis de construction rapidement. [02:28:42] Speaker A: Non, non, non, c'est pas ça. Le FAC, le Programme de subvention pour le logement abordable. [02:28:48] Speaker G: Ben justement, on a besoin de ces outils-là. [02:28:50] Speaker A: Mais c'est quoi votre opinion là-dessus? [02:28:51] Speaker G: Ben je suis plutôt favorable. [02:28:53] Speaker A: Vous êtes favorable. [02:28:54] Speaker G: Est-ce que vous savez... Ben là, ça. [02:28:55] Speaker B: Me semble favorable, mais je ne le. [02:28:56] Speaker G: Connais pas le fact. Ton abréviation, ton terminologie... Vous ne connaissez pas? [02:28:58] Speaker A: C'est le programme de base pour aider le logement abordable. [02:29:01] Speaker E: Exact. [02:29:01] Speaker G: Mais j'ai travaillé avec le GRT, j'ai travaillé avec plein d'organismes de l'AMH... [02:29:04] Speaker A: Si vous avez travaillé avec le GRT, vous ne connaissez pas le Oui, fait. [02:29:07] Speaker G: Parce que je me fie aux professionnels. Justement, comme je le fais dans le domaine technique, je me fie aux professionnels pour me donner les meilleures solutions. [02:29:13] Speaker A: Je vais vous dire le problème, puis en tout cas, à mon égard, vous pourrez rebondir là-dessus, Mme Demers. Le problème, c'est la pérennité. Au bout de 15 ans, un promoteur peut se retirer, rembourser une partie de sa subvention. Il ne protège plus ses logements dans le marché. Et au bout de 35 ans maximum, ils ne sont plus protégés du marché. Donc pour moi, c'est un problème. C'est ça que le gouvernement a mis en place. Ça ne fonctionne pas. [02:29:33] Speaker D: Et c'est un programme qui coûte 40 % plus cher aux villes et aux municipalités. Ce qu'il faut savoir, c'est qu'il y avait un programme qui existait avant et le nouveau programme qui a été mis en place, 40 % plus cher qu'il coûte aux municipalités. Et moi, j'appelle ça pelleter dans la cour des municipalités encore une fois. Mais effectivement, aucun contrôle après 15 ans sur la... pour qu'on puisse garder ces logements-là en logements sociaux ou abordables. Et le promoteur peut faire ce qu'il veut. [02:30:03] Speaker A: Donc, il faut trouver d'autres solutions. On peut acheter des terrains avec le droit de préemption. On peut faire en sorte qu'on donne des congés de taxes parce que ce n'est pas... Il reste moins de deux minutes. [02:30:11] Speaker G: C'est beau d'avoir un droit de préemption pour acheter des terrains, mais ça, on n'est pas en mesure de construire parce que nos capacités sont appuyées. Les logements sociaux... on doit se mettre en mode solution. Et le seul qui est en mode. [02:30:22] Speaker D: Solution... Vous n'en trouvez pas de solution. [02:30:24] Speaker A: Il n'y a pas de solution. On s'attend à 4 ans à monter une usine avec le ministère de l'Environnement. [02:30:28] Speaker G: C'est ça. On s'assoit sous nos lauriers et on laisse... Non, pas du tout. [02:30:30] Speaker A: Vous remettez en question vos propres collègues. [02:30:33] Speaker G: Ingénieurs à la ville. Au contraire, ils font un excellent travail. Savez-vous quoi? C'est qu'il n'y a personne qui leur a dit que quand on va dézoner... Vous dézonez quoi? Savez-vous ce qui me choque un peu ce matin? [02:30:44] Speaker D: Vous dézonez quoi? Je veux juste savoir, vous dézonez quoi? [02:30:48] Speaker G: Vous avez fait un dézonage à l'urbanisme sans planifier que ça allait pas. [02:30:51] Speaker D: Dézonage à l'urbanisme? [02:30:52] Speaker B: Il me reste une minute. [02:30:53] Speaker D: Oui, allez-y, allez-y, je vous écoute. [02:30:56] Speaker G: Une minute de jeu. C'est pas compliqué. La main gauche, la ville, il y a eu un manque de leadership flagrant à la ville, de leadership pour dire si on fait du dézonage, quel sera l'impact sur nos infrastructures? Et ça, le ministère de l'Environnement leur a dit depuis des années. Il y a même des gens à l'interne qui disaient on va frapper un mur et on a fermé les yeux, on a préféré couper des rubans plutôt que d'investir dans les infrastructures qui nous. [02:31:19] Speaker A: Permettent de gérer la vie des gens. [02:31:21] Speaker G: C'est la raison pour laquelle on a besoin d'un changement à la ville de. [02:31:26] Speaker D: Lévis pour poursuivre notre développement. [02:31:28] Speaker A: M. Blainet, vous avez publié hier sur votre page Facebook que vous refusiez toute diversification de revenus. C'est quatre ans 95% des revenus de taxe à Lévis. Alors je me demande comment vous allez payer vos nombreux projets dont l'enfouissement des fils dans les quartiers historiques à 1,6 million du kilomètre, vos espaces de création et de diffusion de la culture dans tous les quartiers. Mais pas de nouveaux revenus! Vous voulez sauver les églises. Comment, combien, Pierre-Georges Roy? Ça fait plus que 10 millions qu'on met là-dedans. [02:31:52] Speaker D: On est rentrés à 14! [02:31:53] Speaker A: C'est tout! [02:31:57] Speaker F: Ah, les micros sont fermés, yes! Merci, Dan. Dernier thème, vie communautaire et arénas. On manque de glace à Lévis, vous promettez quoi pour nos arénas? Les clubs sportifs et organismes tirent le yacht par la queue. Est-ce que la ville en a assez? Est-ce que vous en faites assez? Est-ce que la Ville actuellement en fait assez? Puis le bilan aussi tant qu'ailleurs des dernières années. Les loisirs, les arénas, la vie de quartier, est-ce une vraie priorité pour vous ou est-ce du luxe? Allez-y. [02:32:29] Speaker B: Monsieur Blainat en premier. [02:32:30] Speaker F: Monsieur Blainat en premier. [02:32:31] Speaker G: Parfait. On ne peut que rêver pour Lévis, qu'on consomme notre culture, nos sports chez nous. Et la semaine passée, on l'a vu, le mouvement sportif Lévis nous propose un amphithéâtre, un amphithéâtre qui peut accueillir jusqu'à 8000 personnes avec trois glaces. Et quel est le rôle de la ville là-dedans? C'est de supporter notre milieu. Et Lévis, c'est un milieu riche et les gens, je vous dirais, les gens ont besoin, en ont marre un peu d'avoir nos jeunes qui sont dans des les palaises de gymnastique qui datent des années 70 où le système de ventilation est déficient. Ils en ont marre du stade Georges Maranda où les balles de baseball risquent quasiment de péter le menton parce que l'entretien n'est pas adéquat. Donc ce qu'on propose c'est de travailler avec des organismes abonnés lucratifs de s'inspirer des réussites qui ont fait en sorte qu'on va plus loin avec l'argent du payeur de taxes parce qu'on travaille en partenariat. Et c'est ce qu'on veut faire, et c'est la raison pour laquelle, avec Prospérité Lévis, on va être en mesure d'accueillir les Jeux du Québec, d'attirer 5 millions d'investissements du gouvernement québécois, ce qui a généré à Trois-Rivières 25 millions de retombées économiques. [02:33:35] Speaker F: Merci, allez-y, c'est à vous, Madame Demers. [02:33:38] Speaker D: Merci, M. Moret. Je suis tellement contente qu'on parle. [02:33:42] Speaker C: Vous êtes une merveilleuse. [02:33:44] Speaker D: Je suis tellement contente qu'on parle de ce sujet-là parce que moi je suis une fille, l'hiver je suis dans les arénas, l'été je suis sur le terrain de baseball. C'est comme ça, ça a toujours été comme ça. Alors je suis à même de voir qu'il y a eu vraiment un manque d'entretien. Mais au-delà de ça, quand on dit... On l'a toujours reconnu. Quand on dit qu'on veut accompagner le milieu, les organismes qui sont sur le terrain font des miracles avec les citoyens et avec les jeunes qui participent. On parle de culture, on parle d'arénas. Plus de 10 millions ont été investis, et ça paraît encore sur le terrain, dans les arenas actuels. Et on l'a annoncé, moi aussi j'étais là la semaine passée au Mouvement sportif Lévis, pour le merveilleux projet qu'ils ont. La Ville les accompagne parce qu'on a payé la moitié de l'étude de la phase 1, on va payer la moitié de l'étude en phase 2, qui va nous permettre d'arriver à un projet pour les citoyens de Lévis, parce qu'on le sait qu'on est en manque d'arenas. Ceci étant dit, La Ville est là pour accompagner tous les organismes culturels ou sportifs. [02:34:52] Speaker F: Merci beaucoup, M. Bonin. Et ensuite, on engage. [02:34:55] Speaker A: Merci. Ça fait longtemps qu'on réfléchit à l'avenir de Lévis, chez Repensons Lévis. Il y a beaucoup de gens de Lévis qui ont travaillé sur nos propositions depuis quelques années, à travers nos congrès, à travers nos différentes propositions. On est allé chercher les idées ailleurs, dans les autres villes, pour les ramener chez nous, puis voir c'est quoi qui fit avec ce qu'on a ici. On a une vision claire, la voici. Vision du centre-ville, passer de ville de passage à ville de destination. Oui, ça inclut l'amphithéâtre, mais ça inclut l'idée d'un quartier des spectacles, de Lucard-Lévis, ou peut-être l'Université du Québec à Lévis un jour. Une identité touristique lévisienne qu'on va bonifier tout le monde ensemble, c'est comme ça qu'on fonctionne. Les budgets, les PQI, depuis le début, On nous présente les budgets, on les vote, et après ça on les présente au public. Il y a quelque chose qui ne fonctionne pas là-dedans. La liste des grands projets, il faut la présenter aux citoyens, puis qu'on puisse échanger sur les projets avant de décider c'est quoi cette liste-là. Et ça, c'est ce qui n'est pas fait. C'est la différence, repensons les vies. Pouvoir au quartier, on veut qu'il y ait des budgets dans chaque quartier, que les gens viennent se prononcer sur ce qui est important pour eux, puis que les gens viennent dire «Moi, je veux éclater le travail là-dessus plutôt que là-dessus». [02:35:59] Speaker F: Merci beaucoup. Madame Demers, c'est à vous d'engager. C'est la dernière phase du débat et c'est le fun d'inclure l'éducation là-dedans. Le volet sur l'université, je trouve ça intéressant. Allez-y, c'est à vous. On engage le débat. 8 minutes. [02:36:10] Speaker D: Si moi je vous parlais des dernières réalisations, on parle d'un complexe aquatique multifonctionnel, on parle des arénas, on parle des terrains de baseball, on va avoir des projets. Moi j'ai pas fini avec les annonces qui vont se faire dans les prochaines semaines. mais on parle de terrain de baseball synthétique, on parle de glace réfrigérée pour permettre aux citoyens de... Vous savez, les glaces qu'on a présentement, les patinoires qu'on a, souvent, on les refait deux et trois fois avec le changement climatique. Ce qu'on veut, c'est d'avoir au minimum une glace réfrigérée pour permettre aux gens qui veulent en profiter. Mais on parle de la culture, on parle d'accompagnement du cégep pour la salle de spectacle. Pourquoi vous dites non? Vous êtes pas d'accord avec ça. Puis vous, ce que vous dites... Vous. [02:36:51] Speaker G: Dites... Oui, mais ce que vous dites, c'est que... [02:36:54] Speaker D: La qualité de vie des citoyens, la qualité de vie, tout ça fait partie. [02:36:58] Speaker G: De la qualité de vie. Permettez-moi de vous dire qu'il n'est pas normal que des bénévoles fassent des miracles deux jours avant un tournoi de baseball pour remettre un terrain en ordre. Nos terrains devraient être des joyaux, comme c'est le cas du stade Canac à Québec. [02:37:10] Speaker A: C'est un peu ce que vous voulez faire avec les OBNL qui gèrent les tournois. C'est votre proposition. [02:37:14] Speaker G: Pourquoi est-ce que la Ville s'est réveillée et s'est dit on va se tourner vers un partenariat? Parce qu'elle a fait une demande pour agrandir l'aréna de Lévis de 20 millions qui a essuyé une fin de non recevoir. Donc ce qu'on doit faire, c'est qu'on doit travailler. On doit travailler avec le milieu et toutes les réussites à Lévis se sont faites en tant public-privé où on utilise le dollar du payeur de taxes comme un levier, comme ça a été le cas pour le stade de soccer Onco, pour le stade du Collège de Lévis, pour le deux glaces Onco et ça c'est un modèle dont on peut s'inspirer. [02:37:48] Speaker A: Vous parlez du deux glaces Onco? [02:37:50] Speaker G: Oui. [02:37:51] Speaker A: J'aimerais sûr que vous me parliez de ce modèle-là, en quoi c'est un bon modèle pour la ville. Combien ça coûte une heure de glace en ce moment où on court? [02:37:57] Speaker G: Ce que je vous dis, c'est qu'on. [02:37:58] Speaker A: Doit travailler... Non, combien ça coûte une heure de glace où on court en ce moment? [02:38:01] Speaker G: Vous semblez le savoir. [02:38:02] Speaker A: Ben oui. Vous savez pas? [02:38:04] Speaker G: J'ai une bonne idée. [02:38:05] Speaker A: 500$ en ce moment, ça a coûté moins de 500... Non boloss. [02:38:09] Speaker D: C'est 450$. [02:38:09] Speaker A: Ça a coûté moins de 500 millions... Attendez un peu. Ça a coûté moins de 500 millions construire le Deux Glaces Onco au privé. Et maintenant, on paie plus d'un million d'heures de glace à chaque année. Est-ce que c'est un bon deal? Est-ce que c'est ça qu'on veut pour la vie? [02:38:22] Speaker G: C'était qui qui était là pour négocier? C'était vous autres. [02:38:24] Speaker F: Sortez-vous de ça. [02:38:25] Speaker C: Ah oui, c'était moi. [02:38:26] Speaker G: Et mettez-moi qui s'en négocie. [02:38:27] Speaker A: Je suis dans la position depuis 4 ans, M. Blainé. Je vous ramène un petit peu sur Terre. Ce n'est pas un bon modèle. Il faut trouver un modèle gagnant-gagnant. Ce n'en est pas un. Vous le prenez toujours en exemple, donc il y a un problème là. Là, je regarde votre plateforme, M. Blainet. Vous voulez instaurer les médailles du maire de Lévis. Vous n'êtes pas au courant qu'on a une signature de livre d'or et qu'il y a des statuettes du Chevalier de. [02:38:50] Speaker D: Lévis qui sont distribuées? [02:38:51] Speaker A: Vous parlez de programmation culturelle diversifiée. En quoi ce n'est pas déjà le cas? Vous parlez d'améliorer les garderies. Ce n'est pas dans notre cours. Vous parlez de conventions de cellulaire. Je n'ai pas l'impression qu'on vit dans la même ville. [02:39:02] Speaker G: J'ai l'impression que vous avez dormi au gaz parce que la ville de Trois-Rivières a mis en place des initiatives pour attirer les gardiennes et les gratifier. Parce que connaissez-vous, savez-vous la plus grande richesse qu'on a? [02:39:14] Speaker A: Attirer les gardiennes, c'est ça que j'ai compris. [02:39:16] Speaker G: Les gardiennes. J'adore que vous soyez. Écoutez, on a besoin... [02:39:22] Speaker D: Je comprends même pas ce que vous dites pour les citoyens de Virginie. [02:39:24] Speaker G: Ça s'arrête pas de vous couper la parole. [02:39:25] Speaker F: Allez-y, allez-y. [02:39:28] Speaker G: Écoutez, la gratitude, la plus grande richesse de Lévis, c'est l'engagement de nos bénévoles, ce sont nos organismes communautaires et c'est la gratitude. C'est une grande richesse et ce sont ces gens-là, par exemple, qui ont fait que Thomas Chabot, vendredi soir, on a soulevé son chandail à l'Aréna de Lévis. Pourquoi? Parce que l'Organisation des Chevaliers de Lévis se dévoue depuis des années pour nos jeunes et ça nous amène quoi? Au plus haut sommet. Alors oui, c'est important de reconnaître la gratitude et c'est la plus grande richesse. Et je trouve que c'est méprisant envers les bénévoles, envers la fonction qu'on exerce, de ne pas démontrer de respect envers les gens qui se dévouent pour l'économie. [02:40:05] Speaker A: Mais c'est parce qu'on a déjà plein de reconnaissances. Vous essayez d'inventer une nouvelle reconnaissance alors qu'on en a déjà plein. [02:40:10] Speaker D: Et la médaille existe en passant. La médaille, elle existe déjà. Mais moi, je vais vous demander, M. Bléné, concrètement, qu'est-ce que vous allez faire pour les citoyens de Lévis? Parce que si je vous écoute ce matin, tout ce qu'on a fait, c'est pas bon. Concrètement, qu'est-ce que vous allez faire? [02:40:26] Speaker G: Non, non, non, non, non. [02:40:28] Speaker A: C'est quoi votre vision? C'est quoi votre vision de la ville, par exemple? [02:40:31] Speaker D: Je vous demande concrètement ce que vous allez faire. Les 12 000 bénévoles, 225 organismes, Les. [02:40:37] Speaker G: Jeux du Québec, c'est un très bon exemple. Comment ça, vous n'avez pas fait ça, dans les 10 dernières années? [02:40:41] Speaker A: Ça fait 25 ans, 25 ans, 2027. [02:40:44] Speaker H: Il y a eu les Jeux du. [02:40:45] Speaker A: Québec, c'est quand même pas une nouvelle idée. [02:40:47] Speaker G: Ça nous prend des projets pour ranimer notre fierté commerciale et l'amener encore plus loin. Développer des projets comme celui que nous propose Jacques Tanguay avec un 3 glaces et un amphithéâtre. Consommer notre culture. [02:40:58] Speaker D: Mouvement sportif. [02:40:59] Speaker G: Et aussi, je vais vous dire franchement, qu'est-ce que vous attendez pour régler les problèmes? Pendant que vous coupiez des rubans, J'étais dans les sous-sols de Charny, de Saint-Étienne et de Saint-Rédempteur, où il y a des problèmes de refoulement. Voilà, c'est ça. Alors, on a une vision pour faire de Lévis une grande ville qui va rayonner. [02:41:17] Speaker D: Concrètement, M. Blainet, parlez-moi de vos projets, à part les Jeux du Québec, parce que vous ne faites que parler de ça. Concrètement. [02:41:23] Speaker G: Je suis content. Allez voir notre plateforme, elle est truffée. de richesse, de trouvailles pour faire de la richesse. [02:41:29] Speaker A: Elle est truffée de l'ignorance sur ce. [02:41:31] Speaker B: Qui se passe dans la ville et. [02:41:32] Speaker A: D'Ingérence pour dire aux policiers quoi faire. Il y a quelque chose qui ne. [02:41:35] Speaker D: Fonctionne pas dans votre plan de chambre. [02:41:36] Speaker A: Et aux ingénieurs, ajoutons aux ingénieurs. Est-ce qu'on préfère ne pas répondre? Je ne sais pas comment elle a été construite, mais honnêtement, là-dedans, là-dedans, là-dedans, là-dedans, C'est eux qui savent exactement là-dedans, là-dedans, quoi faire. là-dedans, Vous, vous là-dedans, là-dedans, voulez ajouter là-dedans, une instance de l'extérieur là-dedans, qui vient leur dicter quoi là faire dans leur travail. [02:41:57] Speaker B: Ça ne fonctionne pas. [02:41:58] Speaker A: Vous parlez de respect des policiers. Je peux vous dire que les policiers n'étaient pas très contents d'entendre vos propositions. [02:42:03] Speaker D: Les ingénieurs non plus. [02:42:04] Speaker G: Je pense qu'ils sont très contents de savoir qu'il va y avoir une administration qui va les appuyer pour protéger nos citoyens. [02:42:11] Speaker A: Là, vous ne les appuyez pas, vous les dirigez. Vous dites, c'est ça que vous devez faire. [02:42:15] Speaker F: Presque deux minutes. [02:42:16] Speaker D: J'aurais une question, M. Bonin. Comment vous allez faire avec votre gel d'embauche? La Ville a 40 000 de population de plus que quand on a fusionné en 2001. Comment vous allez faire avec un gel d'embauche? [02:42:30] Speaker A: 22 % d'augmentation de la masse salariale en deux ans, ce n'est pas soutenable. C'est impossible de soutenir ça. 22 %, Mme Demers. [02:42:39] Speaker D: Dites-moi quel service vous allez couper, parce. [02:42:41] Speaker A: Que c'est sûr qu'on arrive... Les policiers et les pompiers sont dans les conventions collectives, on ne touche pas à ça, mais on va prendre une année. [02:42:46] Speaker D: On l'a déjà annoncé. [02:42:47] Speaker A: On va prendre une année. En ce moment, les directions rencontrent le comité des finances et c'est vous qui prenez les décisions sur qu'est-ce qui doit être priorisé. Ça ne fonctionne pas, c'est le conseil de ville qui devrait rencontrer toutes les directions et prendre les décisions. Et si vraiment il y a une démonstration urgente qu'on a besoin à certains endroits, peut-être qu'on va être souple là-dessus, mais honnêtement, on ne peut pas arriver... Vous prévoyez tous les deux un plafonnement des taxes à l'inflation ou à l'indice des prix à la consommation, mais je n'ai entendu aucune mesure qui vous permet de plafonner ces taxes-là ou de diversifier les revenus. Vous êtes contre la diversification des revenus, M. Blainet. Vous l'avez publié hier. Il n'y a aucune structure prévue. Donc, moi, je parle d'un gel d'embauche. C'est un moyen concret. [02:43:25] Speaker G: C'est plus de taxes. [02:43:28] Speaker A: Pas nécessairement, M. Blainet. [02:43:30] Speaker G: C'est des partenariats. Ah bien là, vous avez vu le. [02:43:33] Speaker A: Rapport et vous avez dit c'est ça, c'est l'État qui se croyait. [02:43:35] Speaker G: Ça y est du, ça fait presque une semaine qu'il est en ligne. [02:43:40] Speaker D: Quand on a présentement un plan d'effectif, donc on planifie sur cinq ans. Depuis 2024, on a un plan d'effectif. On nous a souvent dit qu'on planifiait pas, puis quand on planifie, on revient dessus en nous disant... Parce qu'il change. [02:43:54] Speaker A: Tout le temps, c'est ça mon problème. [02:43:55] Speaker D: Non, le plan d'effectif n'a pas changé. [02:43:56] Speaker A: Le PQE change constamment, les montants changent constamment. La masse salariale augmente, on a beaucoup de cadres criants, très peu de gens au service, c'est ça moi le problème en ce moment. [02:44:07] Speaker D: Le plan d'effectif n'a pas changé, les montants autorisés au plan d'effectif n'ont pas changé. [02:44:13] Speaker F: Merci! C'est tout? C'est tout? Mais un mot de la fin, un petit mot de la fin, une minute chaque. Il va selon l'ordre que j'ai devant moi. Les femmes d'abord. Vous êtes devant moi, il y a Mme Demers, M. Blainet, M. Bonin. Allez-y avec le mot de la fin, en conclusion, Mme Demers. [02:44:31] Speaker D: Laissez-moi juste vous dire que pour cette conclusion-là, je suis une fille de Lévis, je suis née moi à Lévis, j'ai élevé ma famille, j'ai Lévis, Saint-Nicolas, je suis née à Saint-Nicolas sans déménager, je suis maintenant une Lévisienne et j'ai Lévis tatoué sur le cœur. Je suis à ma 16e année de politique active, c'est ma 7e campagne électorale. Les gens doivent savoir que j'ai une carrière privée moi aussi, je suis toujours attachée, je travaille pour une banque, mais que j'ai décidé moi un jour de faire de la politique active. Alors c'est ce que j'ai voulu faire et j'ai voulu être là sur le terrain pour représenter les citoyens. Je viens d'une grande famille, je ne me suis jamais cachée en arrière d'aucune décision qu'on a prise parce qu'on a toujours pris les décisions pour les citoyens. Alors moi, pas de coupure de service, on n'aura pas ça. Je souhaite que les citoyens puissent nous entendre et continuent de nous voir sur le terrain. [02:45:26] Speaker F: Merci. [02:45:27] Speaker G: Merci à Chouette de nous recevoir ce matin pour le choix que les gens de Lévis ont à avoir. Ce sont les gens de Lévis, on peut leur faire confiance pour mettre l'avenir de notre collectivité dans les bonnes personnes. Et je suis très fier de l'équipe de Prospérité Lévis qu'on a montée, qui s'est jointe à moi. Je pense par exemple à Karine Laflamme dans Pintante, je pense à Mélanie Sicotte, je pense à René Gagnon qui a été un agroéconomiste. Donc, une équipe expérimentée, aguerrie, qui a besoin d'apporter ce vent de renouveau. Le premier, c'est ce que j'appellerais dans le Lévis, 2.0. Parce qu'on est à la croisée des chemins. J'en ai parlé, on a manqué de planification et ça fait en sorte qu'on vit beaucoup de défis. Donc, écoutez, aux anciens combattants, j'avais un budget de 3,6 milliards, 3600 employés. Fait que oui, je sais gérer, mais en plus, je suis entouré d'une équipe excellente. Ensemble, on souhaite reprendre en main Lévis pour en assurer la prospérité. Et j'ai hâte de... quand on va les couper les rubans, ça va être pour un amphithéâtre, trois glaces, avec une possibilité d'avoir des infrastructures pour nos jeunes. [02:46:24] Speaker F: Merci beaucoup. Et M. Bonnet pour finir. [02:46:26] Speaker G: Merci. [02:46:26] Speaker A: Lévis est endetté, deuxième plus grande dette des grandes villes au Québec, pas mal taxé, quatrième plus taxé parmi les grandes villes. On commence par une saine gestion, on plafonne les taxes, on gèle les embauches, on baisse la dette, on entretient les infrastructures, on diversifie les revenus. Et on fait tout ça avant d'investir ailleurs. On prépare le terrain, on met de l'argent de côté. Puis quand ce sera le temps, on va faire ce qu'il faut pour frapper fort dans la mobilité, combattre le trafic, investir dans notre centre-ville, attirer du monde en tourisme à Lévis. C'est ça notre plan de match. C'est clair. C'est transparent. Puis on ne va pas prendre les décisions d'en haut pendant quatre ans. On va venir vous voir. On va venir vous voir pour choisir pour vos quartiers, pour faire la liste des projets de la ville. Pas juste vous consulter après la décision. C'est ça la différence Repensons Lévis. Ça prend du courage, ça prend de l'audace pour mettre de l'avant nos propositions. On est là pour ça. [02:47:14] Speaker F: Merci beaucoup. [02:47:15] Speaker D: Merci à vous de nous avoir reçus ce matin. Merci M. Moret. [02:47:19] Speaker G: Et merci aux gens de Lévis et aux gens de partout qui nous ont écoutés. On est là pour ça et on souhaite une belle continuité de campagne. [02:47:24] Speaker F: C'est bon, merci beaucoup. [02:47:25] Speaker D: Merci. [02:47:25] Speaker F: Après la pause, on ouvre. [02:47:32] Speaker E: Radio X. [02:47:36] Speaker F: Allez voter, quelle que soit votre opinion, c'est le temps de se prononcer. [02:47:40] Speaker B: Vous avez tout le pouvoir, là. [02:47:41] Speaker F: Ça revient une fois au 4S. Si tout le monde allait voter, ça. [02:47:44] Speaker B: Se répercuterait dans le résultat. Voter, c'est pas juste un droit, c'est ton devoir de citoyen. [02:47:49] Speaker F: Et d'ailleurs, on en croit que les gens allaient voter, là. [02:47:51] Speaker C: Si vous voulez faire comme moi, puis. [02:47:52] Speaker B: Chialer... Allez voter, Joël Vert. [02:47:54] Speaker E: Allez voter. [02:47:55] Speaker F: Tu prends ta décision et tu l'exprimes en toute liberté. [02:48:00] Speaker E: Si jamais tu me cherches le 2. [02:48:01] Speaker B: Novembre, je vais être en train de voter. [02:48:22] Speaker E: Groupe Sayanto Crédit, c'est quoi? 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[02:50:13] Speaker B: Maintenant, la règle, c'est contenant, emballage, imprimé. [02:50:16] Speaker E: Donc, je peux mettre ma bouteille d'huile d'olive? [02:50:17] Speaker B: Oui, contenant. [02:50:18] Speaker E: Mon papier d'aluminium? [02:50:20] Speaker B: Oui, emballage. [02:50:21] Speaker E: Les lettres d'amour de mon ex? [02:50:23] Speaker B: Imprimé. Dites adieu aux anciennes règles de tri. [02:50:25] Speaker E: La seule à retenir, c'est contenant, emballage, imprimé. Un message de Bac Impact, la nouvelle référence en collecte sélective. [02:50:31] Speaker D: Quand on roule dans un milieu de vie, il y a du monde à. [02:50:33] Speaker E: Pied, en auto, en vélo, en camion. [02:50:35] Speaker D: Bref, c'est important d'adapter sa conduite. [02:50:37] Speaker E: Effectivement, Madame Levac. C'est pourquoi je ralentis, je reste attentive et j'évite les distractions telles que le téléphone cellulaire ou l'écran tactile de mon véhicule. [02:50:44] Speaker D: Wow, réponse parfaite. Avec un Madame Lévesque en plus. Coudon, avez-vous des défauts, vous? [02:50:49] Speaker E: Il m'arrive d'oublier les noms, Madame Lévesque. [02:50:51] Speaker D: Ah, pas grave. Vous protégez les usagers vulnérables dans les milieux de vie. [02:50:54] Speaker H: Merci, Madame Laflaque. [02:50:56] Speaker E: Ah, ben oui, toi, c'est Anna. [02:50:57] Speaker D: La Sécurité routière, j'embarque. Un message du gouvernement du Québec. [02:51:01] Speaker B: Numbers Game Casino, c'est pas juste 4000 machinistes différents, c'est aussi 210 000 événements sportifs par mois, du hockey, du foot, du sport, tout! Numbers Game, c'est la place. Point final. Jouez gratuitement sur playnumbersgame.net si vous avez plus. [02:51:16] Speaker F: En commandant votre premier latté à la citrouille de la saison, vous regardez la nouvelle barista verser du cumin au lieu de la cannelle dans votre café. [02:51:23] Speaker H: Ouf! [02:51:24] Speaker F: Ça inspire pas confiance. 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[02:52:42] Speaker B: Dès maintenant à la télé, sur le web et l'appli de Télé-Québec. [02:52:45] Speaker F: Voici le portrait. [02:52:47] Speaker B: Tu veux vendre ta voiture. T'en veux une neuve. Et tu veux faire ça simple. Seule l'est avec Kia Beauport. On fait partie du portrait. Rejoins la famille. Évalue ton auto au kiabeauport.com. [02:53:00] Speaker D: La longueur importe peu. Quand on sait l'utiliser, désarticle le coquin pour pimenter votre quotidien. [02:53:07] Speaker E: Faites votre commande en ligne au sensationsplus.com. [02:53:10] Speaker D: Partagez le plaisir. [02:53:12] Speaker B: Choua! [02:53:13] Speaker E: Choua! [02:53:14] Speaker B: 98. [02:53:16] Speaker C: 1. [02:53:18] Speaker B: Radio X à Québec. C'est Radio X. [02:53:24] Speaker E: Radio X. [02:53:27] Speaker B: C'est vous. Votre propre opinion. [02:53:30] Speaker H: Notez que l'émission d'aujourd'hui est une rediffusion. Veuillez ne pas tenir compte des numéros. [02:53:34] Speaker B: De téléphone, date et concours dans le prochain segment. [02:53:37] Speaker D: Toute l'équipe de Moray Live. [02:53:39] Speaker B: Moray. [02:53:39] Speaker E: De retour dans un instant. [02:53:41] Speaker C: Live. [02:53:43] Speaker E: Radio ! [02:53:45] Speaker F: On a des extraits sous la main. J'ai des extraits sous la main. [02:53:48] Speaker B: J'ai des extraits. [02:53:49] Speaker F: De Marchand, c'est ça qui est le plus important. Stéphane, la chance qu'il est en studio. On verra pas de pièce de théâtre. T'es chroniqueur ici, dans le passé, dans une autre vie qui est pas si lointaine. Stéphane, salut. [02:54:00] Speaker I: Bon matin. [02:54:01] Speaker F: Avant d'aller à l'histoire des taxes sorties ce matin par le soleil, j'aimerais ça qu'on entende ensemble des extraits pris sur le volet de Marchand qui est sorti hier, bien appuyé par les médias. donneur de leçons, cessez de me critiquer, ça va bien. À mot couvert, cessez de sortir des dépenses. Et Dieu sait que demain, manquez pas ça, dans le midi, il y aura Renaud Labrecq. Ça, ça le fatigue beaucoup. Cessez de me critiquer, on mène une très très bonne campagne. On écoute. [02:54:37] Speaker B: J'ai ni preuves ni soupçons. Je veux pas faire des amalgames avec. [02:54:42] Speaker F: Qui que ce soit. [02:54:44] Speaker B: Je suis incapable d'en faire, j'ai pas de preuves de ça. Je pense qu'on doit dénoncer, par contre. Je pense qu'on doit fermement dénoncer. Si jamais un jour on apprenait qu'il y avait des gens en politique derrière ça, ça serait, à mon avis, scandaleux. Je le présume pas. [02:54:56] Speaker F: J'ose pas présumer ça. [02:54:58] Speaker B: Mais je pense qu'au moins on a le pouvoir de dénoncer puis de dire ça n'a pas de classe, ce qui se fait là. Et ça ne devrait pas continuer. Non, moi, je trouve que c'est pire. Moi, je trouve que c'est pire qu'il y a quatre ans. C'est dur sur les proches, là. C'est dur sur les proches de voir la haine qui est... la violence qui est envoyée aux candidats, aux candidates. Tous partis confondus, je le répète, on n'est pas les seuls à en vivre. C'est dur. Puis c'est dur quand les proches sont impliqués. [02:55:23] Speaker F: C'est des gens qui ne font pas le choix de la politique, là. [02:55:25] Speaker B: Qui ne font pas ce choix-là. [02:55:26] Speaker F: Qui sont obligés de se retrouver souvent. [02:55:29] Speaker B: Dans ce cas-ci, de façon très misogyne, à être impliqués. [02:55:34] Speaker F: Mes proches ont pas choisi de faire de la radio, mais quand Marchand, moi, s'allie, c'est mes gars qui sont venus me voir avec ma femme. OK? Depuis ce temps-là, ma femme n'est plus capable d'y voir la face, à Marchand. Fait que Marchand, écoute-moi bien, moi, tu pites. J'ai joué dans le film, t'as été le bully, t'as fait le tour de toutes les antennes pour deux patentes dont l'histoire du wax pen qui était un gag, une analogie. T'es allé à Patrice Roy, t'es allé partout et les chroniqueurs à l'unisson ont claironné pour que je sois congédié. Il a appelé mon boss à me congédier, il a appelé mon boss à engager un avocat pour Défendre Radio-X parce que lui était en train de menacer de poursuites. Fait qu'écoute-moi bien, mon p'tit p'tit. À matin, toi, tu es un bolé. Tu as écœuré mes enfants et ma famille. J'étais en une de la presse, alors que la deuxième nouvelle de la presse, c'était Fitzgibbon blâmé par le commissaire à l'éthique. Fait que, mon p'tit p'tit, tu vas respirer égal. Ça marche-tu? Et quand on te qualifie d'incompétent, ben ça, c'est démontré et démontrable. Fait que les histoires de manipulation victimaire, on en a soupé. Fais ta job. Radio X va faire la sienne. Renaud Labrecq, demain, continuera de faire la sienne. Et commence plutôt à donner des réponses intelligentes à la place à Renaud Labrecq, au lieu de le diminuer et de le salir en passant, en disant que c'est juste un maire de village, donc c'est un tata, c'est un coco, c'est un ci, c'est un ça. Commence à répondre à ça avec des faits, au lieu de te la péter en grand curé aux grands pieds, devant tout le monde, donneur de leçons. Avec tes alliés des médias, là, on a pas mal compris la game. J'ai compris la game, pas pire, je te dirais. Fait que toi, t'as écoeuré ma famille. Toi, t'as écoeuré mes gars. Et mes gars se sont fait écoeurer à cause de toi. Fait que achète-toi un miroir à matin. Il est 7h37, De La Ramo, haut 29h. [02:57:36] Speaker B: Mourir! [02:57:40] Speaker C: Pourquoi pas? [02:57:42] Speaker E: Ah. [02:57:46] Speaker B: Voilà, voilà! Ça roule, ce show-là, hein? Ça roule! Ça roule! [02:57:54] Speaker E: Avec J.S. [02:57:55] Speaker B: Blair et Louis Gauvin. [02:57:58] Speaker F: Je donne mes pieds! [02:58:03] Speaker B: Le SpaceCast, présenté par l'Atelier. Pour un lunch, un apéro entre amis ou une soirée qui se prolonge, l'Atelier, c'est la destination pour manger, boire et célébrer. Vos rôtisseries Saint-Hubert de la région de. [02:58:15] Speaker F: Québec vous offrent sa promo 2 repas. [02:58:17] Speaker B: Pour 26 $ au comptoir à emporter ou 2 repas pour 30 $ en. [02:58:21] Speaker F: Livraison parmi 5 claves dette. [02:58:23] Speaker B: Lise a vendu sans effort et en moins de 48 heures leur maison à airfortin.com. Et c'est une vente sans stress? [02:58:30] Speaker E: Sans aucun stress. [02:58:31] Speaker B: Sans conditions ni garanties légales? [02:58:33] Speaker E: Sans conditions ni garanties. [02:58:35] Speaker B: Devant notaire? [02:58:36] Speaker E: Devant notaire. [02:58:37] Speaker B: Sans ménage ni plusieurs visites? [02:58:39] Speaker E: Absolument. Vite de même. [02:58:41] Speaker B: Vite de même. Demandez à airfortin.com votre offre d'achat en ligne et vendez-vous aussi vite de même. Lui qui vole, achetez ton bloc. [02:58:50] Speaker E: Airfortin.com. [02:58:52] Speaker B: Yes! La carrosserie de votre véhicule vous cause des maux de tête? Faites confiance à Car-Star pour la remise de votre véhicule en parfait état, peu importe le type d'accident. Cela étant dit, il y a certains accidents pour lesquels Car-Star ne peut malheureusement rien pour vous. En cas de face-à-face avec un ours en forêt, par exemple. [02:59:08] Speaker F: Ou de pépins causés par la consommation d'un piment fort. [02:59:11] Speaker B: Ou lors d'une collision entre un frisbee et un nid de guêpe. Pour le reste, Castar est l'expert au Canada en matière de réparation de dommages, peu importe la marque ou le modèle de votre véhicule. 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Pis, penses-tu qu'on va le voir un jour? [03:02:00] Speaker F: Est-ce qu'après moi, on risque de l'attendre encore longtemps? [03:02:03] Speaker B: SG Énergie, eux, ils font pas attendre. SG Énergie. Du service, pas des promesses. Plus de 50 ans à livrer mazout, carburant, lubrifiant et plus. [03:02:13] Speaker F: 7 jours, 24 heures sur 24, puis. [03:02:15] Speaker B: Toujours facile à joindre. 660-8888. 660-8888. En ce moment, épargner jusqu'à 15 %. [03:02:22] Speaker F: Avec le code SG981. [03:02:24] Speaker B: Certaines conditions s'appliquent. Je peux pas te répéter la même. [03:02:27] Speaker F: Affaire à chaque mois. [03:02:28] Speaker B: Je serais damné de me faire niaiser à ta place. [03:02:31] Speaker E: Je mets ça comme dans une télé-réalité. Qui va me raconter le plus de fla-fla pour que je tombe sous son charme? Je veux juste du sérieux, quelque chose de clair, sans cachette. Est-ce que ça existe encore? [03:02:41] Speaker F: Oui, Saint-Fondé. [03:02:43] Speaker B: Ce mois-ci, ils t'offrent l'élan 30 en location 40 du mois à partir de. [03:02:46] Speaker F: 80 $ par semaine. [03:02:47] Speaker G: Aucun comptant pendant l'événement, le plus bel arrêt. [03:02:49] Speaker F: Ça, c'est la réalité! [03:02:51] Speaker E: Saint-Fondé! J'ai hâte de le rencontrer. [03:02:55] Speaker D: Votre conseil anti-stress, Rachel Berry. En voiture, si vous serrez un petit. [03:02:59] Speaker E: Peu trop fort le volant, prenez une. [03:03:00] Speaker D: Inspiration et passez un magasin pour découvrir. [03:03:03] Speaker E: Des solutions naturelles pour soulager les symptômes reliés au stress. Rendez-vous dans nos épiceries Rachel Berry ou dans un espace santé chez IGA. [03:03:10] Speaker B: La sexe exploratrice. [03:03:13] Speaker E: Sexualité, amour, relation. [03:03:16] Speaker B: Et beaucoup plus. [03:03:18] Speaker E: Sans tabou. [03:03:19] Speaker B: La Sexploratrice. [03:03:20] Speaker E: Avec Mel Trudel. Tous les vendredis, 19h. [03:03:24] Speaker B: La Sexploratrice. Radio X. Présenté par Planète X. À la recherche de nouvelles sensations? Avec Planète X, explore et découvre tous les plaisirs. [03:03:37] Speaker H: Planète X. [03:03:38] Speaker B: C'est succursale et sur monplanètex.com. [03:03:41] Speaker H: Notez que l'émission d'aujourd'hui est une rediffusion. Veuillez ne pas tenir compte des numéros. [03:03:45] Speaker B: De téléphone, date et concours dans le prochain segment. Ça va. [03:04:08] Speaker F: Vite! C'est un clin d'œil aux deux minutes du peuple de Pérusse. Comment ça va? [03:04:13] Speaker E: Ça va très bien. [03:04:15] Speaker F: Le grand retour en politique. [03:04:17] Speaker E: Pourquoi? Vous étiez bien? Oui, mais écoute, le projet de tramway, là, que vous entendez tantôt, c'est l'éléphant dans la pièce. Il faut en parler. Le tramway, là, on parle de 19,3 kilomètres pour 7,6 milliards. Ça, ça veut dire... 400 millions du kilomètre minimum, parce qu'on sait que ça va être plus que 7,6 milliards. Mais mettons, juste pour mettre ça dans la tête des gens, un amphithéâtre à chaque kilomètre. On peut-tu être sûr qu'on fait le bon projet? [03:04:48] Speaker F: Là, je me tasse et je laisse la place au monde. Je sais que vous avez des questions intelligentes, pertinentes, les livers. On y va en séquence 1, 2, 3, 4 pour les lignes, mon cher Dan? [03:05:00] Speaker B: Je vais à la séquence que Doom va m'écrire. [03:05:03] Speaker F: Fait qu'on commence par la 2? [03:05:04] Speaker B: Oui. [03:05:05] Speaker F: Éric de Duberger, salut! [03:05:08] Speaker C: Salut, ça va bien? [03:05:10] Speaker F: Très bien, tu t'adresses à Anne Guirette directement. [03:05:13] Speaker C: OK, parfait. J'habite sur Père-Olive. [03:05:17] Speaker B: Allez-y. [03:05:20] Speaker C: J'habite sur Père-Olive à Duberger. Ils ont scrappé la rue au complet. Maintenant, ils ont mis piste cyclable. J'ai rien compte. On avait déjà eu une persicape sur Père-de-Lievre. Maintenant, c'était deux voies, c'est tombé une voie. Puis là, c'est pas tout. Ils ont décidé de mettre même des poteaux à chaque 2 m. Ça fait que moi, je travaille pour la Ville. Quand je ramasse, mettons, l'évidence ou quoi que ce soit, je suis obligé de bloquer la rue au complet juste pour empogner une poubelle, ce qui cause du trafic monstre, du monde enragé. Puis ça, c'est à part même les livreurs ou peu importe, les FedEx, les bureaux inter, les UPS de ce monde qui ne sont pas capables d'aller livrer sur Père-Olive parce qu'ils ne peuvent pas stationner. Si on peut, il faut rempiéter sur le poteau qu'on a installé. Je veux que ça sacle le cain de là. Ça va tout se faire. [03:06:12] Speaker F: OK. [03:06:12] Speaker E: Salut Éric. Écoute, je suis passée par le Lièvre, j'ai vu ça, c'est tout récent justement. Maintenant, pour toutes les questions de quartier comme ça, parce qu'il y a des pistes cyclables, il y en a partout, il y a des places où les gens se plaignent, comme par exemple le chemin Sainte-Foy, celle-là, il faut vraiment qu'elle s'en aille de là. Mais toutes ces questions-là, c'est vos conseillers municipaux. Moi, je vais travailler comme mairesse, avec les conseillères, les conseillers que vous allez choisir, puis toutes les questions de quartier, on va les regarder. Moi, je veux lancer une grande consultation publique, OK? J'ai un plan pour la ville, OK? On va commencer par fermer le dossier du tramway, puis après ça, on va aller en consultation publique. Puis Éric, tu vas venir, tu vas avoir la chance de t'exprimer. Là, les gens de Québec, ils ont besoin d'être entendus, ils ont besoin d'être écoutés, ils ont besoin de faire valoir leurs idées. Ça fait longtemps que les gens de Québec n'ont pas eu la chance de s'exprimer pour vrai en consultation publique. puis d'être entendu et considéré. Donc toute la question que tu dis, des poubelles, des livraisons, ça, ça met le monde en maudit, puis tout ça, vous allez avoir avec moi comme mairesse, là, je te le jure, là, c'est une promesse, tu vas avoir l'occasion de t'exprimer. Tout le monde va avoir l'occasion de s'exprimer. Puis moi, je vais m'inspirer de ça, puis je vais travailler en équipe avec les conseillers, puis on va prendre les bonnes décisions ensemble pour notre ville. [03:07:34] Speaker F: Merci beaucoup. Merci, c'est les 20 minutes du peuple, c'est à vous autres, let's go, ça vous appartient, ce 20 minutes-là. On a commencé à quelle heure, question d'être équitable avec tout le monde, vers 8h05? [03:07:45] Speaker B: On a commencé à 8h03. [03:07:46] Speaker F: À 8h03, ça fait que tu peux finir à 8h25 à peu près, avec le pourboire. [03:07:51] Speaker A: Ouais, c'est ça. [03:07:51] Speaker F: On y va sur l'an 1, Dany Deval-Belaire sur l'an 1, comment ça va? [03:07:57] Speaker C: Ça va pas pire. Qu'est-ce que ça allait faire de différent des autres? Là, vous dites d'aller nous écouter, je vous le jure, puis c'est tout ça, mais on a déjà entendu ça auparavant. [03:08:03] Speaker E: Ben oui, mais vous avez juste à regarder dans les 25 dernières années. Moi, je pense que mon passé, on dit comme mon père disait, le passé est garant de l'avenir. Moi, j'ai toujours été, et je suis encore, une défendresse des citoyens, puis je suis un protecteur. Moi, je suis comme une lionne, OK? Moi, là, je protège mes petits, puis je protège tous mes petits, puis je protège mon territoire. Puis là, mon territoire, il est menacé. Puis mes petits sont pas respectés. Puis t'as juste à regarder dans le passé, j'ai toujours, toujours, toujours... C'est ce qui caractérise ma carrière de citoyenne engagée, d'architecte engagée, puis d'élu pendant 10 ans, c'est que j'ai toujours été à la défense des citoyens. J'ai toujours été à l'écoute des citoyens. Va voir dans mon passé, tu vas. [03:08:47] Speaker C: Voir où est-ce que je m'en vais dans l'avenir. ça fait longtemps, ça fait longtemps, on a 60 ans. Mais dites-moi donc, à part de ça, allez-vous démissionner si vous ne promettez pas ce que vous faites comme éricaire ou quoi? [03:08:57] Speaker E: Ah bien, si je suis élue, je vous promets que je vais faire ce que je dis. Non, non, je suis une femme de parole. Ce que je dis, je le fais. Je ne suis pas là parce que je ne me cherche pas de job. J'ai votre âge, moi aussi, j'ai 61 ans. Je ne suis pas là parce que j'ai besoin d'une job. Je suis là parce qu'il faut y aller, il faut y aller. [03:09:15] Speaker C: Vous êtes une riche avec un ministère, vous n'avez pas besoin d'un job, c'est sûr. OK, pas de problème. On va essayer de vous faire confiance, madame. [03:09:21] Speaker E: Bonne journée à vous. La confiance, quel beau mot. Parfait. [03:09:23] Speaker F: Merci. Bye-bye. Bernard de Charlebourg, la tribune est à vous. Allez-y. [03:09:29] Speaker C: Oui, bonjour. Ma question, c'est sur la taxation, le cadre de taxe dans notre secteur, entre autres Charlebourg, qui a explosé depuis l'arrivée du maire Marchand. Dans mon cas, c'est les chiffres exacts, 37,3 % d'augmentation, alors qu'on nous dit que ça a demeuré sous l'inflation. C'était insoutenable pour n'importe quel citoyen. On parle d'une augmentation de cette année de 1 000 $. C'est insoutenable. Que comptez-vous faire avec ça? [03:09:57] Speaker E: Premièrement, là, je vous lance une promesse puis que je vais retenir, comme j'ai dit tantôt, je suis une femme de parole. Si votre compte de taxes est de 2 183 et 42 cette année, là, il va être de 2 183 et 42 l'année prochaine. Il y aura aucune augmentation. Le temps de larguer le tramway, de remanier les finances, Puis après ça, de continuer de garder les taxes au plus bas possible pour tout le monde. Puis je vous dis une chose, si on fait le tramway, puis je reviens avec ça, c'est la question de l'urne, c'est l'éléphant dans la pièce, il faut en parler du tramway. Les gens sont écoeurés, par contre, il faut vraiment, vraiment, c'est la question principale, parce que c'est le projet le plus important de l'histoire de notre ville. Et si on fait ce tramway-là, on va détruire notre ville, Puis on va alimenter la spéculation, les taxes vont exploser, puis on va léguer une dette de fou à nos enfants. Donc, il faut... C'est notre dernière chance, monsieur. Notre dernière chance, là, pour stopper ce projet-là, c'est le 2 novembre. Ça fait qu'il reste juste à voir qui parmi les trois À qui parmi les trois qui sont contre le projet, vous pouvez faire confiance? Qui est capable de diriger la ville? Qui est capable de diriger le virage? À qui vous pouvez faire confiance parmi les trois candidats qui sont contre le tramway et qui vous promettent de le mettre de côté? Moi, je l'ai étudié en profondeur. Je le maîtrise totalement, ce projet-là. Et puis, c'est la pire catastrophe qu'on pourrait pas avoir. Il faut absolument mettre fin à ça. Et là, quand j'entends Jonathan Julien qui dit que c'est fait et qu'il n'y a plus rien à faire, ce n'est pas vrai. Si vous votez fort pour Anne Guérette, parce qu'il y a deux votes au municipal, donc tout le monde peut mettre un crochet sur Anne Guérette, Frédéric Imbeau après ça, donc approche Laurentien. Avec un vote fort, moi, quand je vais rentrer dans le bureau du premier ministre du Québec, je vais dire au premier ministre, je suis l'histoien de Québec. Ce projet-là, on le ferme. On va passer à autre chose. [03:11:48] Speaker F: Merci beaucoup d'avoir appelé. Ah, là, ça sonne. C'est le fun. OK. Stéphane Deneux-Châtel, on est rendu là, Dan? [03:11:54] Speaker B: Oui. [03:11:55] Speaker F: Let's go, Stéphane, c'est à toi. [03:11:57] Speaker C: Bonjour, ça va bien? [03:11:58] Speaker E: Ça va bien, et vous? [03:11:59] Speaker C: Oui, merci. Dans le cas où je répète pour un sujet, moi, je suis un cycliste, mais je répète pour le boulevard Saint-Jacques à Québec. Oui. Dans le secteur Neux-Châtel, les rivières. [03:12:08] Speaker D: Oui. [03:12:09] Speaker C: Où il n'existe zéro accotement. À l'endroit où il y a le plus de condos qui poussent par pieds carrés présentement dans le secteur. Il y a des vélos qui circulent des deux côtés. Il y a à peu près 500 à 800 vélos qui passent par jour. Il y a des triporteurs, des quadriporteurs. Il y a des familles avec leurs enfants en arrière. Les autos arrivent, sont pressées dans une zone de 50 et roulent à 75. Ils dépassent quasiment dans le fossé. Il y a zéro accotement, même que la ligne blanche, elle n'a pas de ligne blanche sur les côtés, là. Pourquoi est-ce que la piste cyclable, elle arrête sur Philippe-Pasquier puis elle continue au niveau de Johnny Parent? Et ce secteur-là, il est négligé depuis au moins 20 ans. [03:12:48] Speaker E: Bonne question. Moi, ce que je vous dis, c'est que tu vois, il y a des gens qui veulent rouler en vélo, puis il y en a d'autres qui considèrent que certaines pistes cyclables sont dangereuses. Dans votre cas, c'est dangereux parce qu'il n'y a pas de protection. Dans d'autres cas, c'est d'autres choses. On va faire, dans la grande consultation que je propose, qui va être lancée, avant Noël, là, on va préparer cette grande consultation-là, il va y avoir des états généraux sur les pistes cyclables. Puis on va prendre le temps d'écouter tout le monde, puis on va faire ça pour que tout le monde soit heureux le plus possible. [03:13:21] Speaker F: Est-ce qu'il y en a trop, madame Biarritz? Est-ce qu'il y en a trop? [03:13:23] Speaker E: Est-ce qu'il y en a trop? Ça reste à voir, mais il y en a qui sont mal positionnés, puis il y en a qui sont mal configurés. Alors ça, c'est en allant sur le terrain, à la rencontre des citoyens qui vivent au quotidien dans leur quartier, à chaque coin de rue, les problèmes de poubelles, de neige, de tout ce que vous voudrez par rapport aux pistes cyclables, les livraisons, les commerçants. Donc moi, j'ai besoin d'entendre ce monde-là. dans des états généraux sur les pistes cyclables, on va faire des états généraux sur différents sujets, les conseils de quartier, mais vous me parlez particulièrement des pistes cyclables. Il faut absolument arrêter de décider d'en haut, d'imposer les affaires sans écouter le monde. Moi, j'ai besoin de vous. J'ai besoin de vous entendre. J'ai besoin de vous écouter. Comment voulez-vous que je prenne soin de vous si je connais pas vos besoins? C'est impossible. [03:14:15] Speaker F: Luc de Charlebourg, sur la 4, Dan. [03:14:18] Speaker B: Yes. [03:14:19] Speaker F: Comment ça va, Luc? [03:14:20] Speaker C: Moi, ça va pas si pire que ça. On est promis dans le trafic à contourner les cônes oranges. Et la montréalisation de Québec. [03:14:29] Speaker F: Allez-y, vous parlez à Anne Guérette. [03:14:31] Speaker C: Écoutez, Mme Guérette, je vous écoute. Vous êtes une mairesse fantastique, mais pourquoi il n'y a pas d'équipe avec vous? J'aurais aimé voter pour quelqu'un qui travaille avec vous. Parce que là, s'il y a des candidats qui se font... Vous me dites que vous allez travailler avec des candidats. ou les candidats des conseillers qui sont élus. Mais s'il a été élu en promettant un tramway, on fait quoi? [03:14:57] Speaker E: Ben écoute, j'adore votre question premièrement. L'équipe, voulez-vous que je vous dise une chose? Dans 43 jours, c'est demain matin, dans 43 jours si je suis mairesse, l'équipe, ça va être la meilleure équipe. L'équipe politique, ça c'est une équipe pour faire élire le monde, OK? Mais la vraie équipe, c'est l'équipe des citoyens, puis c'est l'équipe des employés de la ville. Tout ce monde-là va travailler, puis c'est l'équipe des élus, de toutes les personnes qui vont avoir été élues. Donc ça va être une maususe de belle équipe que moi je veux diriger. citoyens, employés, élus. Puis on va tous travailler ensemble autour de la table. C'est justement pour ça que je me présente toute seule, avec seul un co-licité dans Cap Rouge-Laurentien, parce que je veux casser la partisanerie politique, les lignes de com', les lignes de partis, les élus qui sont plus capables de travailler au service de leurs citoyens, qui sont obligés de suivre une ligne de parti. de voter en faveur, car au fond, dans leur profonde âme, ils sont en méconscience, mais ils lèvent la main pour être en faveur, parce qu'ils n'ont pas le choix, parce qu'il y a une ligne de parti. Moi, je veux casser ça. Puis je connais les candidats, les élus, je connais les politiciens. Ils veulent contribuer. C'est des gens qui veulent bien faire, puis ils vont pas mal plus avoir de fun avec moi, à pouvoir contribuer, à pouvoir débattre, à pouvoir discuter que d'être obligé de fermer sa gueule, puis d'agir comme un soldat en arrière d'un chef en avant. [03:16:14] Speaker F: Ils dictent tout. Dan, question de varier un peu peut-être, deux, trois questions textos. C'est le peuple, après tout, qui s'exprime par textos beaucoup, les 20 minutes du peuple. [03:16:23] Speaker B: Ouais, des questions quand même assez simples. Madame Guérette, allez-vous remettre l'évidence aux semaines? [03:16:28] Speaker E: Sans corps, il faut que je consulte tout le monde. On peut pas faire du mur à mur. [03:16:32] Speaker D: C'est facile, là. [03:16:33] Speaker E: Je pourrais vous dire ça. Moi, je vais mettre les vidanges aux semaines partout. Non, je ferais pas de fausses promesses. Je vais rencontrer les gens. Il y a des places comme au centre-ville, Limoilou, Vieux-Québec. Là, je pense qu'il faut vraiment ramasser aux semaines. C'est plus important. Des places où les terrains sont plus grands. Donc, on va prendre le temps d'écouter les citoyens, puis on va moduler le ramassage des poubelles pour répondre aux besoins de tout le monde. Puis ça sera pas du mur à mur, puis je ferais pas de fausses promesses non plus là-dessus. [03:16:57] Speaker F: Une autre question. [03:16:58] Speaker B: Tommy demande, qu'est-ce que vous pensez de la division du vote contre Marchand? [03:17:03] Speaker E: Ben justement, il faut absolument larguer le tramway puis tasser Bruno Marchand. C'est pour ça que je suis là. Maintenant, il y a trois candidats. La question de l'une, c'est ça. Tramway, pas de tramway. Puis la sous-question, c'est qui parmi les trois qui se pour être marquée qui est le plus capable de diriger la ville. Moi, ça fait 25 ans, près d'un quart de siècle que je suis engagée comme citoyenne, comme architecte et comme élue. C'est ma sixième campagne électorale. Fait que je commence à connaître comment ça fonctionne. Moi, je vous le dis tout de suite, vous me donnez les clés de la ville, je rentre demain matin puis je sais exactement Quoi faire? Donc, puis la confiance. La confiance, t'sais. J'ai de l'expérience, j'ai la volonté, j'ai la vision pour la ville aussi. Puis je veux prendre soin de toute la ville, parce que là, ce qui se passe, si on y va avec le tramway, qu'est-ce qu'on va faire? Là, toutes les énergies, puis l'argent va être mis sur une ligne sur René-Lévesque, puis deux nouveaux développements à Charlebourg puis à Legende. Puis tout le reste de la ville, là, ça va être négligé, abandonné. Il y aura plus aucune énergie pour s'occuper. Moi, je veux m'occuper toute la ville. Je veux tout voir en même temps, je veux m'occuper de tout le monde en même temps, puis voilà. [03:18:11] Speaker F: Il reste 7 minutes, on va en ligne, on s'en va sur la 4, l'île de Charlebourg? [03:18:17] Speaker B: Martin-Pointe-Champigny. [03:18:18] Speaker F: Martin-Pointe-Champigny, comment ça va? [03:18:21] Speaker C: Oui, ça va bien, bonjour madame Guérette. [03:18:23] Speaker E: Bonjour monsieur. [03:18:25] Speaker C: Donc moi, je suis dans l'ouest de la ville puis je considère qu'un des problèmes, c'est vraiment de... qu'on ait à tous se déplacer au même moment, de. [03:18:37] Speaker B: Vers le même endroit. [03:18:39] Speaker C: Puis je sais que vous, vous avez quand même des bonnes idées au niveau de l'urbanisme. Est-ce que vous avez considéré avoir... d'une façon décentralisée, les centres-villes réussir à ce qu'on puisse aller travailler pas tous au même endroit. Puis aussi, moi, je travaille au gouvernement, je dois aller deux jours par semaine au bureau, même si j'ai pas besoin d'y aller. Je sais qu'à la Ville aussi, ils ont cette obligation-là. C'est beaucoup de déplacements qui sont peut-être même non nécessaires. Est-ce que vous allez encourager également le télétravail? [03:19:12] Speaker E: Absolument alors justement ce qui me distingue des autres c'est que moi je veux larguer le tramway dans sa version actuelle mais c'est important de structurer les transports sur notre territoire alors c'est ça qui me distingue des autres j'ai une vision claire une proposition détaillée qui fonctionne alors moi je je veux qu'on fasse une boucle qui couvre les deux rives d'entrée de jeu, ok? Une espèce de main, là, mettons qu'on veut parler en plomberie. Puis à partir de cette colonne vertébrale, comme plusieurs l'appellent, tout le monde va pouvoir connectés, que vous arriviez de l'ouest, de l'est, du nord ou du sud. Il va y avoir aussi des stationnements incitatifs un peu partout. On va pouvoir laisser sa voiture, embarquer dans le transport en commun, prendre une petite voiture en autopartage. prendre un vélo si on veut pour faire un petit bout puis se mettre en santé. Donc ça va être vraiment multimodal. Donc c'est ça la mobilité durable. La mobilité durable, c'est d'avoir un système de transport structurant qui va permettre, qui va donner de la souplesse. puis de la flexibilité, puis de l'adaptabilité pour que tout le monde puisse l'utiliser tout au cours de la journée. C'est ça la force de la vision que je propose. Puis c'est certainement pas une ligne qui va détruire le boulevard René-Lévesque, puis qui va servir deux nouveaux quartiers, qui va régler quoi que ce soit. On va être pris dans la construction pendant combien d'années pour un projet qui changera rien à la congestion, puis qui améliorera pas non plus notre mobilité durable. Donc je vous invite à me suivre sur mes réseaux sociaux. Vous allez voir tout ce que j'ai créé, tout ce que j'ai imaginé que je veux mettre en place. Je sais quoi faire. Il faut structurer les transports parce que le transport en commun, ça ne va pas bien en ce moment. Puis si on veut donner le goût au monde d'embarquer dans le transport en commun, il faut que ça fonctionne, il faut que ce soit clair, il faut que ce soit simple, il faut que ce soit multimodal. [03:21:05] Speaker F: Il reste quatre minutes. Mario demande à vous contacter. Ahmad est la chance pour une coalition. [03:21:11] Speaker E: Pas encore, mais je trouve que c'est une bonne idée. À un moment donné, là, t'sais, moi, Stéphane Lachance, j'aurais du beau travail pour lui. Premièrement, je le mettrais comme président du conseil. Il me semble que je le verrais assis sur la grosse chaise. [03:21:24] Speaker F: Mais c'est lui qui est chef du parti. [03:21:25] Speaker E: Ben oui, mais là, il faut qu'il fasse élire son collègue. [03:21:27] Speaker F: Il se tassera pas pour vous faire de la place. [03:21:28] Speaker E: Il faut qu'il fasse élire son collègue. En tout respect, là, pour Stéphane. [03:21:32] Speaker F: Mais je vous pose la question. C'est la question de Mario, là. [03:21:35] Speaker E: Alors, t'sais, à un moment donné, là, Oui, peut-être qu'il faudrait voir comment on peut trouver une façon de se coaliser ensemble. Comment, je ne le sais pas. Mais c'est sûr que moi, ce que je fais pour l'instant, c'est que je travaille à convaincre, on va dire, les gens de m'engager pour être mairesse parce que c'est moi qui est la plus capable de le faire. C'est ce que je pense. C'est pour ça que je suis là. Sinon, je serais pas là à soumettre ma candidature aux citoyens de Québec. J'espère que Stéphane va être autour de la table. Amade, lui, a décidé qu'il y aurait pas de coalicier. Il est maire au Rien. C'est correct aussi. Mais il y a beaucoup de gens autour de la table. Je pense à Claude Villeneuve. Moi, je vais travailler avec tout ce monde-là. Je vais travailler avec tous les élus, tous les candidats et les candidates qui seront élus, que les citoyens auront choisis. N'oubliez pas, vous avez deux votes. Je le répète encore, c'est super important. Au municipal, ce n'est pas comme au provincial ou au fédéral. Tout le monde peut mettre un crochet sur Anne Guéret pour être une mairesse forte. Ça prend un vote fort dans un sens ou dans l'autre. C'est là qu'on est rendu. Est-ce qu'on veut le tramway ou on veut pas le tramway? Si on veut le tramway, vous savez pour qui voter. Si on le veut pas, je pense que c'est moi qui est la plus solide pour diriger le virage une fois l'élection réglée. [03:22:52] Speaker F: On s'en va à Christian de Beauport. Là, t'as le choix des cadeaux. [03:22:55] Speaker B: Ils vont aux dérivières. [03:22:56] Speaker F: Ils vont aux dérivières. Allez-y. Oui, bonjour, vous êtes en ligne. [03:23:01] Speaker B: Ça sera pas Yvon des rivières, ça va être Caroline de Beauport. [03:23:03] Speaker F: C'est aussi simple que ça. Le son était pas bon. Caroline, allez-y, vous parlez à Anne-Guerrette. [03:23:09] Speaker C: Après, c'est à moi. [03:23:10] Speaker F: Allez-y, c'est à vous. Vous êtes en ordre? Oui, c'est à vous, Caroline de Beauport. Ou ça, c'est Kevin de Vanier peut-être? [03:23:17] Speaker B: Oui, visiblement, c'est Kevin de Vanier. Ou Pierre de Saint-Sauveur, oui, le monde s'accroche. [03:23:22] Speaker F: Le monde s'accroche. Ils sont remplacés par d'autres. [03:23:25] Speaker B: Oui, Pierre de Saint-Sauveur. [03:23:25] Speaker F: Qui êtes-vous? [03:23:27] Speaker C: Oui, c'est à moi? [03:23:28] Speaker F: Allez-y. Allez-y. [03:23:31] Speaker C: Oui, c'est pour te parler avant d'âme. Bon, regardez, la rue Saint-Velier, puis le boulevard Vaux-Charin, de Saint-Roch à Marie-Une-Incarnation, il n'y a jamais eu un métro-bus, là. Puis c'est bourré de monde qui reste là. Moi, je reste là, puis je suis obligé d'attendre la 18, combien de temps? Ça n'a pas de bon sens. Moi, je ne demanderais pas ça à Bruno Marchand, il va qu'il s'intéresse à moi. [03:23:57] Speaker E: Chose certaine, dans ma vision du transport structurant, on passe sur Charest, puis on va partout à partir de là. Toutes les gens de Saint-Vallier, de Saint-Sauveur, de Saint-Roch, tout ce monde-là va être connecté direct. sur le réseau qui va aller le plus vite sur toute la ville. Donc, aux quatre minutes, cinq minutes le matin, vous allez pouvoir embarquer dans l'autobus, OK? Parce que c'est un projet évolutif que je fais par phase, OK? On va commencer par mettre le transport structurant sur Charest, comme il aurait dû être depuis le début. Ça n'aurait jamais dû monter en Haute-Ville, cette affaire-là. La ville a grandi. La ville est grande, il n'y a pas question de monter en haut de ville pour mettre le réseau structurant sur René-Lévesque. Donc, vous allez être super bien servi sur le boulevard Charest, ça va aller vite, ça va être efficace, c'est par là que ça devrait passer depuis toujours. D'ailleurs, c'est ce que Labom avait promis de 2010 à 2018, avant qu'il change d'idée. On ne sait pas trop pourquoi, pourquoi il nous a ramené un tramway sur René-Lévesque à la dernière minute. Mais le vrai projet qui tenait la route, qui a été étudié par des ingénieurs, c'est de passer sur Charest. Après ça, de monter, de desservir le cégep Sainte-Foy, le cégep Sainte-Laurence, toute l'université Laval, de revenir sur le boulevard Laurier, où il y a beaucoup, beaucoup de besoins là aussi, traverser les ponts, puis de faire Guillaume Couture au complet. Donc, le fer à cheval qui était prévu, c'est ça que je prends. Et moi, je boucle la boucle, là. Vous allez voir, vous suivrez nos points de presse dans les prochains jours. Et je vais continuer de... de décliner et de présenter aux gens la vision que j'ai pour le projet alternatif qui va marcher, que vous allez comprendre, que vous allez aimer et qui va répondre à vos besoins. [03:25:42] Speaker F: Merci beaucoup, Mme Guérette. C'est terminé. [03:25:44] Speaker E: Bon, merci. [03:25:45] Speaker F: Le 20 minutes du peuple est terminé. [03:25:48] Speaker E: Bon, bonne affaire. J'ai cassé la glace. [03:25:50] Speaker B: Oui. [03:25:50] Speaker E: Yes. [03:25:51] Speaker F: Bonne campagne. [03:25:52] Speaker E: Merci à vous. [03:25:53] Speaker F: C'était les 20 minutes du peuple. [03:25:55] Speaker C: Bye bye. [03:25:57] Speaker E: Restez là, on revient dans pas longtemps. [03:26:04] Speaker B: Téléphone. [03:26:05] Speaker D: Texto. [03:26:06] Speaker E: 418-670-9098. [03:26:09] Speaker B: Moray. Live. [03:26:11] Speaker D: Radio X. [03:26:12] Speaker B: Voyages, aquatéra, Lévis, Québec et Sainte-Marie est la référence pour parcourir le monde. Itinéraires personnalisés, croisières et destinations soleil, notre force est de concrétiser le voyage dont vous rêvez. La haute saison est à nos portes. Prenez rendez-vous. 418-741-3437. [03:26:27] Speaker F: Quand ma femme est décédée, je me sentais perdu. Mais heureusement, j'ai été bien accompagné. Il y avait quelqu'un avec moi à. [03:26:35] Speaker E: Toutes les étapes, à l'écoute, pour me conseiller sans pression. Puis ensemble, on a pu donner vie à ses dernières volontés. Les coopératifs funéraires vous accompagnent avec transparence et empathie, avant, pendant et après un décès. Car ce qui compte pour vous, compte pour nous. La coopérative funéraire des deux rives, éternellement dévouée. [03:26:55] Speaker F: Plongez dans 888casino.net. Conçu pour jouir des machines à supprimer. [03:27:02] Speaker B: Pour découvrir un monde de plaisir. C'est fait pour divertir. Pour ce délecti de la roulette. Super! [03:27:15] Speaker F: C'est juste pour jouer. Ouais! [03:27:17] Speaker B: Ça marche! [03:27:20] Speaker F: Vite, vite, vite, Casino.net. Fait pour jouer. [03:27:23] Speaker E: 19+, jeux gratuits et uniquement. Jouer de façon responsable. [03:27:27] Speaker F: Salut, c'est JC. 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[03:30:47] Speaker F: De téléphone, date et concours dans le prochain segment. [03:30:53] Speaker D: Il. [03:31:01] Speaker F: En est rendu à sa cinquième tournée solo d'humoriste en tant que stand-up. 35 ans de carrière. On l'a vu dans des émissions également en masse. Il fait partie de la culture du Québec depuis 30 ans. C'est un pilier. Il a vendu une paire de billets en vidéo. Je trouvais ça drôle. Rire un peu de la crisette qu'on fait autour des revendeurs Je vends des billets, 1000$. Voyons donc, ça n'a pas d'allure. Oui, mais ça donne accès à tous les shows de sa tournée. Il sera à Québec le 29 septembre prochain. Dan Grevel l'aime beaucoup. Sauf que Dan, tu me dis durant la pause, je l'aimais beaucoup quand j'étais jeune. Salut, Martin Petit! Arrange-toi dedans, à ce temps-là, je vais aller prendre un café. [03:31:42] Speaker B: Je suis encore jeune. J'ai vu le micro de feu, tu vois? J'ai été voir le micro de feu, ça fait pas si longtemps que ça, j'ai aimé ça. Mais c'est parce que quand j'étais petit cul, c'était les bizarroïdes, puis ça aussi, je trouvais ça bien drôle. [03:31:53] Speaker C: Ça date de là. Tu me rappelles des bons souvenirs, puis ça me rappelle que j'ai fait des sketchs en costume de bain au bon moment où il fallait que ça se dessine sur un costume de bain. [03:32:05] Speaker F: Ça passerait-tu encore aujourd'hui? [03:32:07] Speaker C: Bien, c'est ça. Faut choisir ses époques. J'ai fait des bonnes choses au bon moment. [03:32:11] Speaker F: C'est ça. Comment t'as réussi... Comment et pourquoi t'as réussi à durer 30 ans? [03:32:18] Speaker C: Écoute, c'est une bonne question. Je pensais sérieusement faire ça pendant... Je sais pas. Je suis rentré dans ce milieu-là. T'sais, je suis comme un semi-décrocheur. Puis je savais pas où je m'en allais dans la vie, puis j'ai gagné un concours un moment donné, t'sais. Fait que t'sais, quand tu rentres dans ce domaine-là, de cette façon-là, c'est pas comme si j'avais fait une école de théâtre ou t'sais. Fait que je suis rentré là en me disant, bon, mais tant qu'à avoir rien d'autre ailleurs. Fait que c'est un peu... Je suis rentré par en arrière, pas de formation. Tu n'as pas beaucoup d'espoir. Tu ne te dis pas, je vais essayer de gagner ma vie pendant 30 ans. Ça ne se peut pas. C'est très difficile à imaginer une vie d'artiste. Donc voilà, tu t'en vas dans un nowhere. C'est un nowhere qui dure depuis 35 ans. Ça a été plaisant. [03:33:11] Speaker F: Qu'est-ce qui t'allume dans le Québec d'aujourd'hui? Qu'est-ce qui t'inspire? Qu'est-ce qui va faire en sorte que le Québec d'aujourd'hui sera représenté dans ton show que tu présentes à fin du mois à Québec? [03:33:22] Speaker C: Je suis très en contact avec les gens, je pense. La difficulté de faire rire des gens, elle est... Puis là, je sais qu'il y a plein de monde dans le trafic qui nous écoute. Tu sais, ça n'a pas l'air d'un métier sérieux, mais ça reste un métier difficile de faire aider les gens ou créer un show qui va être drôle pour tout le monde, toutes les groupes d'âge. Tu sais, moi, c'est ça, mon show. Je suis fasciné de voir du monde de 70 ans, du monde de 22 ans, puis tout le monde qui est à la même place, puis tout le monde du fun au même moment, puis partir avec ça puis que ça dure pendant trois ans. T'sais, c'est quand même... c'est long à faire. C'est long à créer. C'est pour ça que j'ai appris ça à Un Monde Meilleur. Moi, je mets tout le meilleur de toutes mes journées pour essayer de créer. Une heure et demie qui se tient. Fait que c'est très difficile, mais c'est très gratifiant. Fait que moi, c'est ça qui est... T'sais, il y en a qui font des murets. Ça m'obsède, moi aussi. Mais moi, c'est ça que je... [03:34:24] Speaker F: C'est rare que tu piques au niveau politique. Puis là, on comprend que t'as pas fait de politique active. Tu parles de la société, puis de ce qui nous entoure. Ton dernier tweet, ça a tiré quasiment 150 000 vues, si c'est pas plus. Le Québec n'est pas les États-Unis. L'assassinat de Charlie Kirk est impensable ici. Pas tant à cause des armes à feu, mais bien parce qu'aucune université ici On passe entre autres à Lucam. McGill, Concordia n'accepterait de recevoir sur son campus quelqu'un proposant de débattre des fondamentaux de l'extrême gauche. Pourquoi t'as écrit ça? [03:35:03] Speaker C: J'ai écrit ça parce que je le pense absolument, puis le succès du tweet ne m'appartient pas. Fait que, t'sais, quand tu tweets des affaires, t'sais, c'est des bulles au cerveau que t'as. Mais le succès d'un tweet en dit autant que le contenu du tweet. [03:35:18] Speaker F: Tu l'avais en dedans de toi. C'est quoi ce message-là en 2025? Qu'est-ce que tu veux dire exactement? [03:35:25] Speaker C: Bien, je nous souhaite au Québec d'être, de s'inspirer de l'audace Dans le fond, c'est ce que Charlie Kirk proposait. Il disait... Il disait, moi, je vis dans un pays que je considère fantastique, les États-Unis, où on a la liberté d'expression, puis appliquons-la. Je vais pogner une chaise de plastique, pogner un micro, puis je vais aller rencontrer des gens avec qui je suis pas en accord. Je vais aller les rencontrer à l'endroit où il y en a le plus, puis on va débattre. Je sais qu'en... Mettons qu'en Russie, c'est le moins courant de pouvoir faire ça. [03:36:08] Speaker F: Mais au Québec, on déteste débattre. On aime beaucoup... Ah, Potch Can, fais attention! Il y a quelqu'un qui se présente ici. Ah, c'est un trompiste! Le gars qui voulait gratter de la guitare dans une église. Laissez-les gratter de la guitare dans une église. [03:36:24] Speaker C: C'est un peu ça. C'est un peu ça. Cet été, moi, ça a été... on est moins collé sur l'actualité. Mais quand j'ai vu qu'un chanteur chrétien... Moi, s'il y a une affaire dans ma vie qui m'a fait le moins peur, c'est un chanteur qui chante Dieu, Dieu, joli Dieu. T'sais, quel niveau de danger y a-t-il là-dedans? C'est d'un niveau de danger zéro. Je sais même pas si le terme s'applique. Puis de voir l'administration planter faire des pieds et des mains pour interdire la présence de cette personne. [03:37:00] Speaker F: Et mettre à la mangue de l'église ce qu'il voulait leur savoir? C'est débile, là! [03:37:05] Speaker C: Je sais pas, le pape a-tu reçu une facture? [03:37:08] Speaker F: Non! [03:37:10] Speaker C: Ben en tout cas, ça, je trouve que c'est pas... C'est pas quelque chose que j'espère pour le Québec, que toutes les villes vont prendre, toutes les maires de toutes les villes vont commencer à regarder le contenu de toutes les personnes avec une guitare qui rentrent dans la ville. Ça, pour moi, c'est pas... T'sais, c'est pas ça que je souhaite pour le Québec. Évidemment, je ne trouve pas ça mature, je ne trouve pas ça adulte. Quand t'es un adulte, t'es capable de rencontrer un autre adulte, pis c'est pas parce qu'il y a pas le même point de vue que toi que t'as de change de point de vue que t'es un adulte. T'sais, t'es pas... C'est comme si on imaginait que les gens, dès que quelqu'un parlait, tout le monde allait prendre l'opinion de la personne qui vient de prendre la parole. T'as-tu déjà essayé de changer un de tes chums d'opinion, toi? [03:38:02] Speaker F: Non, pis t'sais, t'arrives avec des arguments. Lui, il arrive avec ses arguments. Pis après, tu donnes la main, pis tu dis, agree to disagree. [03:38:11] Speaker C: Exactement. Mais ça, pour moi, c'est une façon adulte de se comporter. La façon juvénile de voir la vie, c'est de penser que quelqu'un qui aime le rose s'en va donner des conférences, puis tout à coup, bien, tout le monde va aimer le rose, il en va de soi. Ça fait que moi, je trouve que... je trouve que le Québec, en général peut-être, mériterait de s'inspirer de ce qu'il y a de mieux aux États-Unis quand les États-Unis font quelque chose de bien. Et la liberté d'expression, c'est ça. Mais c'est un... Tu sais, quand t'es au tennis, là, t'es-tu en crise contre le gars qui t'a renvoyé à la balle? Ha! Ha! Ha! [03:38:54] Speaker F: Tiens, moi, sacré bête, c'est pour ça qu'il crie, hein, Martin? [03:38:56] Speaker B: Ha! [03:38:56] Speaker C: Ha! Ha! Tu dis, hey, je l'ai envoyé dans ce sens-là, on continue à l'envoyer dans ce sens-là. Ha! Ha! [03:39:01] Speaker H: Ha! [03:39:01] Speaker F: Puis tu le dis bien, t'es souverainiste. T'aimes le Québec, tu répliques parce que tu répliques du tac-au-tac aux gens qui t'écrivent des messages super civilisés là. Je nous souhaite un pays où on sera équipés, éduqués, motivés et convaincus. Est-ce qu'on l'est vraiment alors que, pis moi ça fait 21 ans que je suis à Radio X, je peux te faire une liste de politiciens qui refusent de venir débattre pis on traite le monde correctement. Il dit y'a pas d'insultes, y'a pas de bagarres, y'a pas de violence. Tu viens en honte, t'as le même traitement que n'importe qui d'autre, même si Guillaume venait, ça serait la même chose aussi. Mais il refuse parce que, pis t'sais, t'es péquiste, ben t'es péquiste, j'imagine, là tu es souverainiste, donc tu vas voter piqué aux prochaines, j'imagine. [03:39:45] Speaker C: Non mais PSPP, là ils vont avoir. [03:39:48] Speaker F: De la misère à revenir parce que j'ai demandé le chiffre de la dette pis ils le savaient pas, pis c'est mis à bougonner. puis il dit, je reviendrai pas. On n'est pas d'accord avec son tramway, le maire de Québec, il vient pas. Tu sais, il y a beaucoup de baboulage dans ce monde supposément d'adultes. Qu'est-ce que t'en dis? [03:40:04] Speaker C: C'est ça, mais les universités, ça devrait être l'endroit où... Tu sais, t'es à la fin de l'enfance, t'es au début du monde des adultes, puis ça devrait être un endroit où on t'explique que dans le monde des adultes, ça va brasser. T'es mieux le plus vite possible d'avoir des réflexes pour te bâtir des opinions, puis de pas acheter des tout-inclus. Moi, je suis contre les tout-inclus idéologiques. Moi, je suis rendu dans la paire, c'est une forme de paresse, puis j'espère que les Québécois, on tombera pas là-dedans. d'acheter des tout-inclus ou si t'embarques dans une affaire, comme tu dis, si t'es péquiste, bien là, t'es obligé d'accepter les 90 affaires que la personne qui est chef à ce moment-là dit. Je compte ça. [03:40:50] Speaker F: Comment tu le trouves, PSPP, dans son attitude? [03:40:53] Speaker C: Moi, je trouve que ça fait longtemps qu'on n'a pas eu un politicien, mais je suis pas... je suis pas un journaliste, là, qui est confronté. Mais moi, je trouve que ça fait longtemps qu'on n'a pas eu un politicien qui est resté calme. qui était posé, puis qui était capable de faire face à la culture qu'il y a en ce moment de... Bien. [03:41:14] Speaker F: Il diabolise l'autre, Martin. La campagne dans Tabasco. Il a diabolisé les autres. Il a diabolisé Éric. Ils ont fait un site Internet pour reprendre toutes ses citations et ses niaiseries qu'il a dites au 93. [03:41:25] Speaker C: Non, non, mais tu vois... Non, non. [03:41:27] Speaker F: Non, je sais, je sais. Non, non, Martin, c'est correct. Non, mais tu sais, il y a une... Dans quel que soit le camp, là, je suis pas en train de dire on est meilleur que les autres, les autres sont moins bons. C'est pas ça. Le point, c'est qu'on l'expose ensemble ce matin, là. C'est qu'il manque beaucoup de maturité, à mon avis. Savoir encaisser les critiques. C'est ça, dans le fond, qu'on dit. Savoir encaisser les critiques et se remettre en question aussi. C'est pas vrai qu'on aurait... T'es la même personne qu'il y a 30 ans, là. T'as évolué, puis... [03:41:52] Speaker C: Absolument pas. Mais moi, ce que j'aime des gens, en général, c'est de voir ce que tu viens de décrire. Cette capacité-là, Mais ça, ça se voit un peu dans le temps, là. T'sais, quand tu vois que quelqu'un évolue jamais, là, c'est un bon signe. C'est pour ça qu'on a des amitiés qui fonctionnent à long terme, puis il y en a qui fonctionnent pas à long terme. T'sais, tu le vois. Une personne, après deux, trois ans des événements, t'sais, est-ce que t'as été capable d'ajuster ton tir? T'sais, ce qui est arrivé à Charlie Kirk, la réaction de certains journalistes... Je l'ai trouvé ça épeurant, moi, cette semaine. De ne pas avoir compris qu'après toutes les années où on a parlé de culture, de cancellation, de respect, qu'il y ait des gens qui se soient comportés comme ils se sont comportés dans cette semaine. C'est une façon de me dire, oh boy, t'as rien appris de tout ce qu'on a dit dans les dernières années. [03:42:54] Speaker F: Ça me rappelait, à petite école, on nous avait enseigné du Plessis, puis il disait quand quelqu'un n'était pas d'accord du Plessis au Parlement, « Toi, t'es toi ! » « Toi, t'es toi, ferme-la ! » La question que je te pose alors, toi qui es ouvertement souverainiste, est-ce que le Québec, alors, est bien outillé pour être un pays indépendant, alors que son peuple semble aussi immature ? [03:43:17] Speaker C: Moi, je... Moi, j'ai confiance, puis là, je sais pas si c'est de la naïveté, mais c'est pas quelque chose de religieux, en tout cas, de ma part. C'est-à-dire, j'ai confiance, puis je sais que les Québécois, on forme une nation. [03:43:36] Speaker F: Tout à fait. Là, on se rejoint à Martin. [03:43:38] Speaker C: Quand je voyage... [03:43:40] Speaker F: C'est une terre bénie des yeux qu'on a en passant des ressources à profusion. J'aimerais qu'on se développe plus. [03:43:45] Speaker C: Puis moi, j'ai la chance... J'ai un point de vue, je sais pas si c'est mon point de vue, c'est différent des gens. Mais j'ai quand même la chance, j'étais à la Rivière-du-Loup en fin de semaine. Je jase avec du monde parce que c'est pas tout le monde en Abitibi qui va en Rivière-du-Loup. Fait que rencontrer les gens de Rivière-du-Loup, les gens du Bas-du-Flo, je vais dans toutes les régions du Québec, je jase avec le monde, faire des jokes, puis voir que les gens rient aux mêmes jokes. Mais si je sors du Québec, je sais que j'ai affaire à d'autres personnes. C'est d'autres référents. Quand tu voyages, tu réalises qu'on forme un peuple aussi distinct que les peuples que je rencontre qui en sortent du Québec. Puis eux autres ont un pays, puis ils ont l'air à tirer des avantages d'être un pays, puis nous autres, on a des désavantages de ne pas l'être. Moi, c'est... rendu là, on est comment? On est-tu meilleur que Nono ou pas Nono? On a tous nos moments, là. T'sais, on n'est pas... [03:44:50] Speaker F: Il n'y a pas de peuple de parfait, c'est ça que tu dis. [03:44:51] Speaker C: C'est pas un concours, il y a 145 pays dans le monde, on n'est pas obligé d'être premier pour en avoir un. [03:44:56] Speaker F: Oui, je sais bien, je sais bien. Martin, je veux te parler, restons dans l'humour, restons dans l'humour, puis tu parleras des différentes histoires et les réactions face aux gags. Jimmy Camon, moi ce que j'ai reproché dans les dernières années, c'est de ne pas être drôle. Très politique, mais un humoriste, moi je veux que ça bitch tout le monde, puis je veux rire, j'aime l'humour bitch, Mais là, Quémant hier s'est fait... Il s'est pas fait canceller, mais je pense qu'il va revenir. Quelqu'un qui est cancellé, il est cancellé. C'est quelqu'un qui s'est fait suspendre hier. Et on a pris sa défense ici en Onde, à Radio X, dans les 15 premières minutes de l'émission. Je suis contre la censure. Surtout quand c'est un gouvernement qui, quel qu'il soit, décide de fermer le clapet à un dit humoriste. Tu penses quoi de cette affaire-là? [03:45:44] Speaker C: Ouais. Effectivement, je pense que les... Je pense que la politique en général n'aime pas l'humour parce que les humoristes, on a tendance à ne pas suivre aucun règlement. Tu sais, quand je t'ai dit que j'ai commencé, j'étais comme un semi-dropout. Tu sais, je n'ai pas appris à suivre les règlements. Puis en humour, si tu dis... Puis en humour, c'est difficile de suivre même des règlements dans le cadre de la création d'un scénario d'humour. Ce qui était drôle il y a deux ans, devient à un moment donné, du jour au lendemain, puis drôle. [03:46:19] Speaker F: Regarde La Petite Vie, c'est ça. La Petite Vie, on rit moins, c'est ça. [03:46:23] Speaker C: Ben, t'sais, ou on rimelet ou on... En tout cas, c'est une série qui me fascine, pareil, t'sais. [03:46:31] Speaker F: Mais c'est... Non, mais prenons Daniel Lemire, Oncle Georges, t'sais, les référents évoluent, évidemment. Les Géraud là, puis Denguedong, c'est ça. [03:46:39] Speaker C: La mécanique d'un gag, ton cerveau, une fois qu'il s'est habitué à la mécanique d'un gag, Il a besoin d'une autre mécanique. On a un cerveau hyper puissant, les êtres humains. Fait qu'en humour, t'sais, étonne-moi, surprends-moi, arrive-moi avec des nouvelles affaires. Fait que c'est compliqué les deux bords. [03:46:57] Speaker F: Mais sur quel mot je veux t'entendre? La censure, le gouvernement? C'est-à-dire si le CRTC américain... Oui, voici donc. [03:47:03] Speaker C: S'il perd sa job parce qu'il est pas bon, that's it. S'il n'est pas drôle, puis il a perdu sa job parce qu'il n'est pas drôle, bien j'ai pas de problème avec ça. Mais si, il est très, très, très drôle. Je suis pas Kimmel, je connais de réputation, mais j'écoute pas son show le soir. Mais je sais pas quoi dire. C'est comme si les codes d'écoute, là-bas... Tu sais, en général, tu sais, quand il y a des éditions comme ça, il y a des... il y a des trends. Tu sais, aux États-Unis, quand tu fais faire de l'argent à quelqu'un aux États-Unis, c'est très, très rare que tu perdes ta job. Fait que c'est... C'est très différent qu'au Québec, mais quand tu fais faire de l'argent à quelqu'un aux États-Unis, tu peux être sûr que tu vas travailler. Si tu fais perdre de l'argent à quelqu'un aux États-Unis, t'es sur un siège éjectable. Si t'es là pour des raisons politiques, les raisons sont plus là, mais là, tu sortes de ton poste dans la seconde. La question, c'est est-ce que son show faisait faire de l'argent à du monde? [03:48:05] Speaker F: Il y avait une cote d'écoute, en tout cas, c'est sûr. [03:48:10] Speaker C: C'est ça. Est-ce que c'était assez? C'est juste ça que je sais pas. Mais quand tu vas faire de l'argent, c'est bon. [03:48:14] Speaker F: Tu remplis des salles, tu sais, dans le fond. C'est ça, l'histoire. Mike Ward, tu sais, Mike Ward a survécu. Puis évidemment, le conflit légal, on le connaît. Il a survécu à ça. Regarde le podcast, ça tire. Puis Mike Ward, il se tape 200 belles. [03:48:29] Speaker C: C'est ça. Ça va bien. [03:48:32] Speaker F: C'est tout. [03:48:34] Speaker C: Voilà. Fait qu'il est capable de se permettre de ne pas avoir besoin des gens qui s'imaginaient que Mike Wood aurait besoin de ces gens-là. Fait que cette indépendance-là, qui est rare puis que tu savoures, ça te permet... Après ça, comment tu l'utilises? Est-ce que tu fais... Est-ce que tu dis exactement ce que t'as envie de dire? [03:48:57] Speaker F: C'est ce que... Est-ce que tu t'auto-censures, Martin? Est-ce que toi, tu t'auto-censures? [03:49:02] Speaker A: Non. [03:49:03] Speaker C: Moi, j'ai décidé... J'ai décidé de faire ce métier-là selon mes propres règlements. Puis je suis quelqu'un qui est... Moi, je suis quelqu'un qui est très sensible à ça. Je suis pas capable de me faire accroire. Puis je serais pas capable, je serais pas bon politicien, je serais pas capable de dire le contraire de ce que je pense. [03:49:19] Speaker F: Je vois... Non. [03:49:23] Speaker C: Mais j'ai des sujets que je sais que j'ai pas encore trouvé la twist-off. [03:49:27] Speaker F: Comme, Martin? Comme quoi? L'immigration? [03:49:31] Speaker C: Non, je sais pas, mais je sais que dans mon show actuel, je parle de notre relation avec l'argent, je parle de la mort, je parle de sujets que, quand j'avais 20 ans, je voyais pas qu'est-ce qu'il y avait de comique là-dedans ou j'ai trouvé aride. Puis là, mon show est... Je dirais que mon show actuellement, il est riche de sujets que, quand j'avais 25 ans, 30 ans, je voyais pas ce qu'il y avait de comique là-dedans. ça évolue avec le temps. Je vais sûrement trouver... Je vais sûrement trouver... Moi, j'ai suivi Yvon Deschamps, là, t'sais, comme de façon admirative, toute sa carrière, puis je voyais l'évolution de ses thèmes, puis j'étais à peu près sûr que les thèmes de la fin que Yvon parlait, c'était pas des... En tout cas, c'était clairement pas les thèmes du début. Ça fait qu'on évolue, puis t'sais, on se met des notes, les humoristes. T'sais, des fois, on s'assaille, on sort des affaires, puis on se plante, puis on se dit, OK, Mais ça, ça veut dire que t'as le goût de parler de ce sujet-là, mais t'es pas rendu encore là. T'as pas la... t'as pas la... t'as. [03:50:35] Speaker F: Pas la... t'as pas la... t'as. [03:50:53] Speaker G: Pas. [03:50:53] Speaker C: La... t'as pas la... t'as pas la... t'as pas la... t'as pas la... la... t'as pas la... la... t'as pas la... la... t'as pas la... t'as pas la... t'as pas la... t'as t Laurent Paquin fait ça, Martin Maths fait ça. Des fois, je sors des affaires. Puis Louis-José, je lui dis «Ah, câline!» Tu sais, faire rire du monde avec huit mots, là. Tu sais, c'est huit mots. C'est un gag, là, un bon gag bien écrit. Tu sais, huit mots. Je les avais, huit mots, dans mon dictionnaire, moi aussi, là. [03:51:16] Speaker F: Sugar Sammy, comment tu le trouves? [03:51:18] Speaker C: Je le trouve extraordinaire. Parce que, en plus, comme souverainiste, il fait exprès. [03:51:24] Speaker I: Ben oui! [03:51:25] Speaker C: Pour faire chier tous les souverainistes. [03:51:27] Speaker F: Quand il imite Legault en anglais, quand Legault est allé parler en anglais à Washington, c'était éclatant, hein? [03:51:32] Speaker C: Ben oui! Puis il y a des affaires que tu te disais, ah bien là, ça c'est... Il volontairement il peut chier tous ceux qui ont déjà voté oui dans leur vie. [03:51:42] Speaker F: Il rit tout le monde aussi. Il faut pas que t'épangles les baffes. Il rit des musulmans. Il rit de Aïe et ça aussi. Il rit pas de quelqu'un. Oui, mais il n'a pas de barrière. Je te pose la question, mais dans le fond, est-ce que c'est lui qui a le moins de barrière au final? Et pourquoi? [03:51:59] Speaker C: Je sais pas si le monde... plus de barrières ou d'autres. Tu sais, quand on se réunit entre nous autres, tu sais, on est vraiment des bibittes, les humoristes, puis on se reconnaît. Quand on est entre nous autres, j'imagine que c'est... Les Morning Men se rencontrent. Ils parlent de Morning Men, puis c'est un club de Morning Men. [03:52:19] Speaker F: C'est la même affaire, les humoristes. Guilla Lepage, commencez à travailler avec Guilla Lepage. [03:52:26] Speaker C: Guilla Lepage... Je sais pas, je sens... Je sens que c'est pas ton préféré. [03:52:31] Speaker F: Ben, pas du tout. Non, non, non, pas en tout. Au contraire, j'ai dit en nom de la semaine passée, un de mes plaisirs coupables, c'est la nouvelle mouture d'un gars une fille. Au contraire. [03:52:40] Speaker C: Oh, merci. [03:52:41] Speaker F: Oui, puis c'est très drôle, là. C'est drôle parce que je me reconnais. C'est la réalité de mes gars. [03:52:48] Speaker C: Tu comprends? Absolument. Absolument. Absolument, j'adore jouer dans un gars une fille. Pourquoi? Pourquoi? parce que c'est bien fait, c'est bien réalisé, c'est bien écrit, c'est brillant. [03:53:01] Speaker F: T'entends Guillaume rire de Montréal, tu sais tellement que c'est pas lui. Il rit de Montréal, il rit des bobos, alors qu'il y en a un. Il y a beaucoup... C'est bien fait, là. Regarde, c'est très bien fait. [03:53:12] Speaker C: Gui est capable de rire de lui. Moi, je m'entends très bien avec Gui, puis on travaille bien ensemble. Quand je faisais Pêcheurs, il venait à chaque saison. Il y avait quasiment un lien de suite entre les pêcheurs, puis un gars de fille, puis mon personnage. Bref, on est très complices. Mais Guy est admirable dans sa façon de tenir tête à tout ce que t'as dit depuis le début de l'entrevue. Cette espèce de courant-là de... Faire peur à un humoriste, quel serait l'objectif de faire peur à un humoriste, quel qu'il soit? c'est qu'il s'auto-censure. Fait que quand t'es dans un groupe de pression, t'essayes de faire peur à un humoriste dans le but de dire, là, il va comprendre que ce sujet-là, il faut pas qu'il l'aborde. Guy Lepage n'est pas du genre à... [03:54:09] Speaker F: À se laisser intimider, c'est ça. [03:54:11] Speaker C: Exactement. C'est un gars inspirant. En début de carrière, j'ai connu Guy rapidement, puis j'ai compris ça vite. que c'était pas obligatoire d'écouter les doléances de tous les groupes de pression. Moi, je me dis que je trouve ça drôle. [03:54:28] Speaker F: Tu veux dire, de nous appeler, dis à Guillaume, si on l'appelle, il peut venir faire un tour anytime. [03:54:34] Speaker C: Bon, mais je vais transmettre des salutations. C'est bon. [03:54:37] Speaker F: Bon, bien, rappelons-le, t'es le 29 septembre à Québec. Je sais pas si t'as encore des billets à vendre, je veux même pas vérifier. Dan, veux-tu... [03:54:43] Speaker C: Je sais pas, mais en tout cas, les billets à 1 000 $ sont attribués, là. [03:54:47] Speaker F: Ça, ça fait jaser pareil, hein. Moi, on dit qu'on est sensible. [03:54:51] Speaker C: Non, non, mais c'est adorable. Je me suis fait chicaner par mon équipe. [03:54:56] Speaker F: Faut que tu regardes la vidéo au complet, pas juste les 15 premières secondes. [03:54:59] Speaker C: Ben oui, c'est ça. Je sais pas si Yannick, tu penses que je vends toute ma salle à 1000$, mais c'était pour toute la tournée, une paire de billets pour toute la tournée. Genre, tu y vas, t'sais, là, comme à Québec Acton, vers là. [03:55:12] Speaker F: Pis t'en as vendu une paire. [03:55:13] Speaker C: 50 shows pour 1000$. [03:55:18] Speaker F: En tout cas, Mais t'en as vendu combien Martin? [03:55:20] Speaker C: Non mais j'en avais un avant, j'avais deux paires avant. Ma gang, là je me suis fait chicaner, c'est ridicule, personne ne fait une scène avec ça. Ben je trouvais ça drôle. Bref, la personne qui l'a acheté, une compagnie, qui a des fournisseurs partout au Québec. Ça fait qu'il va donner des billets à toute sa gang. Tu trouves que c'est un très bon flash. [03:55:43] Speaker F: C'est très bon, très bon. Dans la foulée du placardage sur Lady Gaga, c'était juste parfait. [03:55:50] Speaker C: Oui, exactement. [03:55:50] Speaker F: Merci beaucoup, Martin. [03:55:53] Speaker C: C'était un plaisir. Salutations à tout le monde dans le trafic. [03:55:57] Speaker F: Salut, bye. Salut, bye! [03:55:59] Speaker B: Il y en a du trafic à matin. Moray Live. [03:56:03] Speaker E: Réécoute les meilleurs moments. [03:56:06] Speaker B: Radio X.com. [03:56:08] Speaker E: L'application Radio X. [03:56:10] Speaker D: Radio X. Moray Live présentée par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. [03:56:21] Speaker E: Confort en hiver, fraîcheur en été et des économies toute l'année. [03:56:25] Speaker D: Multiconfort FP à Québec et Victoriaville. [03:56:28] Speaker E: Salut, c'est Marie-Lou. Comme vous le savez sûrement, en ce moment, tout le monde a de l'intérêt pour Chevrolet. C'est entre autres parce qu'il y a 0 % d'intérêt sur le financement de tous les modèles 2025 en stock, et ça, même pour les véhicules électriques. Oui, oui, zéro! Alors, si vous cherchez à ne pas payer d'intérêt et que vous avez de l'intérêt pour un nouveau véhicule, vous avez tout intérêt à en profiter pour ne pas payer d'intérêt avec Chevrolet. [03:56:49] Speaker D: On se comprend? [03:56:50] Speaker E: Au risque de me répéter si vous avez de l'intérêt pour un véhicule Chevrolet, passez chez votre concessionnaire ou visitez chevrolet.ca. Certaines conditions s'appliquent. 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[03:59:23] Speaker A: Tu veux t'acheter une voiture. [03:59:24] Speaker B: T'en veux pas une neuve. [03:59:26] Speaker F: Et tu veux faire ça simple. [03:59:28] Speaker G: Sale lait avec Kia Beauport. [03:59:29] Speaker B: On a aussi de l'occasion. On fait partie du portrait. Rejoins la famille. Magazine au kiabeauport.com. Salut! C'est moi, ton sommeil. Je te prends une petite minute parce que mes camarades de Dormivouz et moi, on a remarqué quelque chose. Quand tu vas au restaurant, tu commandes pas nécessairement la même chose que ta blonde. Puis le matin, je suis pas mal sûr que tu mets pas le même linge que ton chum. Alors pourquoi tu serais obligé d'avoir les mêmes goûts en matière de sommeil? Tu veux du moelleux? Elle demande du ferme. Tu rêves de fluffy?

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