CARON: Des "journalistes" activistes EXPOSÉS EN FRANCE!

September 30, 2025 00:14:53
CARON: Des "journalistes" activistes EXPOSÉS EN FRANCE!
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CARON: Des "journalistes" activistes EXPOSÉS EN FRANCE!

Sep 30 2025 | 00:14:53

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[00:00:00] Speaker A: Jean-François. [00:00:11] Speaker B: Caron, mes hommages. [00:00:13] Speaker A: Salut, comment ça va? [00:00:14] Speaker B: Bien toi? [00:00:15] Speaker A: Super, merci. [00:00:16] Speaker B: On parle de quoi ce matin? [00:00:19] Speaker A: On parle des journalistes. On parle de deux journalistes français. Après ça, avec la situation au Québec, au Canada, je ne sais pas si vous avez vu, vous avez sûrement vu la semaine dernière que Nicolas Sarkozy a été condamné à une peine de prison. [00:00:36] Speaker B: Oui, 5 ans, mais là il n'est pas au bain, il n'est pas en dedans là. [00:00:43] Speaker A: Pas en ce moment, mais c'est inévitable. D'ici le 13 octobre, il va y avoir une comparution du parquet financier de Paris qui va décider vraisemblablement de son incarcération. Donc, il va être incarcéré pour une période d'au moins un an. C'est un an de prison ferme. Même s'il a dit qu'il allait porter la cause en appel, l'appel ne sera pas entendu avant cinq, six mois. Donc, il se peut très bien qu'il reste emprisonné du mois d'octobre jusqu'en janvier, février prochain. Donc, il passe Noël en prison. La raison pour laquelle il est en prison, c'est que c'est une histoire qui a été sortie par un journaliste français, Édouard Plenel, qui déteste Nicolas Sarkozy pour s'en confesser. C'est un de ses ennemis idéologiques dans son livre intitulé « Le Président de trop ». Il détruit Sarkozy, c'est vraiment une charge contre lui. Il parle même dans son livre de pouvoir politique dangereux, qui fait référence à Sarkozy. Donc c'est un anti-sarkoziste primaire. C'est un activiste politique qui se drape derrière la profession de journaliste pour avoir une aura d'objectivité. Puis ça, c'est le propre de bien d'autres journalistes, tant en France qu'au Canada. Je donne un autre exemple. Il y a un autre journaliste français, Patrick Cohen, qui a été filmé à son insu en compagnie d'un autre journaliste, Thomas Legrand, dînant avec le secrétaire général du Parti Socialiste et le président du Conseil National du Parti Socialiste. Donc, pas des simples militants, on s'entend. Alors, dans la discussion... — Dans le. [00:02:11] Speaker B: Code PNL, ça dégauge beaucoup le Média Part... — Oui. L'ancien directeur de... C'est ça. Directeur du devoir, aussi. Exact. [00:02:21] Speaker A: Oui. Donc, dans la discussion entre Patrick Cohen, Thomas Legrand et les deux types du Parti socialiste, ils évoquent la stratégie à venir du Parti socialiste pour l'élection présidentielle de 2027. Puis Thomas Legrand dit la chose suivante, et je cite, « Nous, on fait ce qu'il faut pour Rachida Dati, Patrick et moi. » Fin de la citation. Rachida Dati, pour ceux qui ne le savent pas, c'est une politicienne de droite bien connue. Bref, dans cet extrait-là, le journaliste dit littéralement qu'ils ont fait une job de bras contre cette politicienne-là pour l'empêcher de se faire élire mairesse de Paris. Puis ils s'en vendent. Cohen a piqué au vif pour accuser le média qui a rendu publique la discussion d'avoir fait du montage. Or, le média en question a rendu publique l'entièreté de la discussion qui a été évaluée par un huissier de justice qui a confirmé que la séquence publiée n'était pas un montage. Donc, le journaliste a été pris les culottes à terre et la sanction contre lui, il n'y en a eu aucune. Puis si je reviens au cas d'Edwi Plenel, donc c'est son média, Mediapart, qui a rendu public l'affaire qui a mené à la condamnation de Sarkozy la semaine dernière. Puis Mediapart a publié, dans l'entre-deux-tours de l'élection présidentielle de 2012, où s'opposait Sarkozy à François Hollande, un document signé par le numéro 2 du gouvernement libyen, affirmant que son dictateur, Muammar Kadhafi, avait donné son autorisation pour financer la campagne de Sarkozy jusqu'à 50 millions d'euros. Dans l'entre-deux-tours, c'est le moment parfait pour saboter, pour miner la campagne d'un candidat. Le problème avec cette fameuse note-là, elle évoque une rencontre à Tripoli entre un ministre de Sarkozy, qui s'appelle Brice Hortefeux, avec un intermédiaire de Kadhafi. Or, le problème, c'est qu'à cette date-là, Ortefeu était en déplacement à Clermont-Ferrand, en France. Donc, la juge qui a condamné Sarkozy la semaine dernière, dit dans son jugement, et je cite encore une fois, « Aucun élément n'a permis de corroborer le contenu de la note, laquelle apparaissait déjà fragile, notamment du fait de l'impossibilité pour Brice Ortefeu d'avoir été présent en Libye à la date indiquée. » Il apparaît dé... [00:04:34] Speaker B: C'est un exposé de fabrication, ce que tu es en train de nous dire. [00:04:38] Speaker A: Oui, laisse-moi finir la phrase. Il apparaît désormais que le plus probable est que ce document soit un faux. Donc vous avez un journaliste, dans l'entre-deux-tours de l'élection présidentielle de 2012, qui a publié un document qui, selon la juge condamnée, Sarkozy, à 5 ans de prison, considère que le document est probablement un faux. Je veux dire, c'est une machination politique pour couler Sarkozy puis l'envoyer en prison de la part d'un anti-sarkoziste primaire, d'un militant politique qui se drape derrière le titre de journaliste. Comment vous voulez que les gens aient confiance envers les journalistes quand des histoires comme ça deviennent publiques? Vous pensez que c'est une situation qui est limitée à la France? Voyons, il suffit de voir le traitement réservé, entre guillemets, au bon candidat lors d'une campagne électorale fédérale en comparaison à Pierre Poilievre. leur billet était aussi évident que le nez au milieu du visage. C'est un pic, c'est un roc, que dis-je, c'est une péninsule. Donc, les médias ont dérivé à gauche, pis ils s'en cachent même plus. Ils ont même cessé depuis longtemps d'être des journalistes. En réalité, c'est que des activistes qui sont en mission, pis qui, parallèlement, font aussi du billet sélectif lorsque vient le temps d'exposer une situation X ou Y. Pis ça, c'est clairement... C'est quelque chose que j'ai vécu il y a à peine un mois. avec un journaliste de Radio-Canada, puis je peux vous raconter l'histoire qui illustre très bien le biais sélectif des journalistes. Donc, il y a un mois, il y a un journaliste de Radio-Cannes qui me contacte par courriel en me disant qu'il prépare un dossier sur la situation dans Donbass, en Ukraine, puis qu'il voudrait m'interviewer sur le sujet. Moi, je me dis à moi-même, pauvre gars, il ne sait pas que sa requête va être bloquée quand elle va remonter à la direction de l'information, qu'il va lui dire non, qu'ils vont voir qu'il veut m'interviewer. Juste simplement pour prouver mon soupçon, j'ai accepté l'entrevue. Comme de fait, le journaliste n'a jamais donné suite à sa propre demande d'entrevue. Puis ça, moi j'ai eu ce doute-là il y a environ deux ans quand j'avais donné une entrevue à la radio de Québec, de Radio-Canada. À peu près 5-10 minutes après l'entrevue, mon téléphone sonne, puis c'est une recherchiste de Radio-Can, Montréal, qui m'appelle pour me demander, pour me dire qu'elle a entendu mon entrevue, puis qu'elle aimerait que je répète essentiellement la même chose sur le réseau national. Fait qu'elle me rappelle à peu près 20-30 minutes plus tard pour me sortir l'excuse boiteuse du « Ah, y'a eu un changement de dernière minute à la programmation pis écoutez, on pourra pas faire l'entrevue aujourd'hui, on va vous rappeler peut-être demain pour recéder du lait. » Ben t'sais, évidemment, elle m'a jamais rappelé. Mais c'était pas mon crime. Le crime, là, c'est que vous êtes... En fait, vous êtes responsable, paraît-il, de la raison pour laquelle je suis blacklisté par Radio-Cannes. Parce que quelqu'un d'autre de bien connu dans la région de Québec a déjà accordé plusieurs entrevues à la station de Radio-Cannes de Québec, qui s'est fait un jour dire que le réseau national ne donnait pas l'antenne aux gens qui collaboraient à Radio X. Parce qu'évidemment, collaborer à Radio X, c'est une chose, c'est la chose la plus ignoble qui soit. [00:07:52] Speaker B: L'église de Satan! [00:07:54] Speaker A: Oui, c'est ça. Quand il a dit « Écoute, ça se passe bien, je les ai retrouvés avec la Radio de Québec, peut-être que tu pourrais me référer à la station de Montréal, je pourrais intervenir dans l'émission de tel journaliste. » La rechercheuse s'est partie à rire et elle a dit « Écoute, À Québec, parce qu'on connaît l'écosystème de Québec, c'est correct, on peut recevoir des collaborateurs de Radio X ou d'autres médias concurrents ou alternatifs, mais pas à Montréal. Ça passera pas. Tout ça pour dire qu'à Radio-Canada, à Montréal, il y a fort probablement une espèce de mise à l'index, une liste noire de gens à qui on ne peut pas donner la parole pour des raisons X ou Y. Ils collaborent avec des médias qui sont ignobles, ou parce que c'est des gens qui, selon la pensée dominante, mais qui n'est pas prouvée, c'est des gens qui sont payés par le Kremlin, c'est des gens qui sont antivax, conspirationnistes, trumpistes. Il ne faut pas s'étonner après ça, pourquoi ces médias-là ont toujours les mêmes évités, qui disent toujours la même chose. Pourquoi il n'y a pas de diversité d'opinion? Pourquoi est-ce qu'il y a juste les analyses gauchistes qui dominent? qui pissent dans le vinaigre comme Jacinthe, Ève Harrell, ont été mis à la porte, parce qu'ils ne font pas de l'information, ils font de l'activisme politique. Donc, ce n'est pas étonnant de constater que les portes sont aussi de plus en plus tournantes entre les mondes politiques et médiatiques, parce que ce monde-là, au sens imagé de l'expression, ce monde-là, ça couche ensemble. À la limite, si Radio-Cannes, c'est un média privé, on pourrait toujours leur dire qu'ils sont libres de faire ce qu'ils veulent, après tout. Mais c'est leur pognon, et s'ils commettent des erreurs, ils en subiront les conséquences, comme TVA, dont l'action est sur le point de valoir à peu près rien. Mais quand on parle de Radio-Cannes, on parle d'un média, non plus du tiers du budget, provient de l'État, de vos taxes et vos impôts, on s'attendrait à mieux de leur part. C'est-à-dire de la vraie nouvelle objective avec un équilibre entre les différentes tendances sociales et idéologiques. Pas de l'activisme, puis une espèce de censure déguisée. [00:10:02] Speaker B: L'activisme qu'on démontre matin, midi, soir, de manière très régulière, avec notamment la Légion, Dans la Légion, il y a plein plein plein d'exemples. La radio étant un fait patent. La radio de Radio-Canada, c'est à gauche toute. Mais c'est à toutes les semaines. On a des exemples à toutes les semaines. Toutes les semaines. [00:10:22] Speaker A: En réalité, pardonnez-moi d'exprimer ça, mais c'est des faux-culs. Ils font en réalité ce qu'ils dénoncent. Ils font exactement ce qu'ils reprochent aux autres. C'est-à-dire d'opérer dans des bulles informationnelles, puis offrir uniquement des analyses biaisées. Mais ils se permettent de faire la leçon. [00:10:38] Speaker B: — Mais parlons des États-Unis, Jean-François. La même chose, CNN, New York Times, Washington Post, MSNBC. Envers Trump, une hostilité répétée. avec la fabrication. L'histoire du laptop, là, il faut pas que ça soit fini. C'était très très gros cette affaire-là. Ignorer sciemment l'histoire du laptop de Hunter Biden avec en une un collectif d'anciens apparatchiks sécuritaires du gouvernement américain pour venir dire non, non, non, oubliez ça, c'est une patente à Poutine cette affaire-là. Ce qui était complètement faux pour favoriser Biden. On l'a vu aux États-Unis, on le voit encore. [00:11:12] Speaker A: Ben oui, exactement. Puis, par exemple, le nombre de pardons présidentiels. Ah, Trump, il en a donné à peu près 200. C'est dégueulasse, il détourne ses pouvoirs constitutionnels, il est en train de devenir un dictateur. Biden, il en a donné plus de 2 000, des pardons présidentiels. Ben ça, il n'en parle pas. [00:11:29] Speaker B: Parce que ça ne fait pas dans le narratif. Non, à des violeurs, à des tueurs, à des espions chinois. [00:11:35] Speaker A: Oui. [00:11:35] Speaker B: C'est pas illégal. Hé, toi, va voir le Messenger, Dan, en rouge, dans la banque. C'est la directrice de l'information qui est avec Pénélope. C'est un extrait qui me dit rien, mais qui est sûrement pertinent de notre discussion. Je sais pas si tu l'as, mon cher Dan. On va l'écouter à l'instant, Jean-François. [00:11:53] Speaker C: Pas seulement. Les gens critiquent l'opinion à l'antenne. Oui, parce qu'il y en a de plus en plus. Du RDI. Mais qu'est-ce que ça apporte, les panels? Ça apporte une diversité de points de vue. Ça apporte une diversité de point de vue. Gauche, droite, ou diversité de point de vue. Peu importe le sujet. C'est ça que ça apporte. Le fait d'avoir des femmes sur les panels, pas seulement des panels d'hommes. D'avoir une diversité. Exactement. [00:12:20] Speaker B: Diversité partout, sauf idéologique, bien entendu. C'est ça, pareil, c'est ce qu'ils disent. [00:12:26] Speaker A: Ces gens-là vivent dans un monde parallèle, ils ne se rendent même pas compte de l'absurdité de ce qu'ils disent. Regardez n'importe quel panel à Radio-Cannes, c'est des gens qui prennent le café ensemble le matin et qui vont se souper ensemble le soir. Comparé par exemple, je ne sais pas si tu te souviens de l'émission qui n'existe plus maintenant, Zemmour et Nolo. une super bonne émission, Nolo qui est un type qui est plus à gauche, puis Zemmour évidemment qui est plus à droite, mais ces gens-là, sur le plateau, ça s'obstinait, ils étaient en désaccord, puis il y avait les invités qui étaient sur place aussi sur le plateau, puis tu sais, ça donnait des discussions animées, il y avait vraiment un clash entre deux individus qui étaient situés à l'opposé du spectre idéologique. Je mets au défi de trouver la même opposition entre un débat entre Jean-François Lisée, l'autre madame qui a été ministre sous Jean Charest, puis celle qui a été députée sous 3-4 partis à Ottawa, le capitaine Gatineau. C'est Jean-François. Oui c'est ça. [00:13:28] Speaker B: La néo-démocrate. On les invite en passant les gauchistes ici. Moi je vais en faire des affrontements. Les chefs syndicaux, d'hommes courent après eux autres. Les gauchistes marchands, Jacky, Ruben Gazal, sont tous invités. Ils veulent pas. C'est eux qu'ils veulent pas venir. [00:13:45] Speaker A: Faut-il le noter. Catherine Dorion a participé plusieurs fois à des émissions, à des entrevues. [00:13:52] Speaker B: Elle est venue une fois au début, mais il y avait le dictat de non, on ne va pas à Radio-Est comme tu as dit tantôt. Ah, c'est Satan. Mais elles sont invitées. C'est une tribune libre ici, c'est une tribune ouverte. Elles sont invitées. [00:14:03] Speaker A: C'est ça, vous avez pas un index? [00:14:06] Speaker B: Non, jamais, y'en a pas. [00:14:07] Speaker A: J'aime ça. Mais si après ça, les gens disent « Radio X, c'est toujours les mêmes personnes ». Oui, mais au moins vous avez le mérite d'inviter tout le monde. Mais Radio 4, c'est pas le cas, y'a une liste noire. Faut que les gens le savent. Faut que les gens sachent ce qui se passe. Parce qu'après ça, quand ces gens-là exigent encore plus de subventions parce qu'il y a de l'information, c'est important. C'est pas de l'information. C'est de l'activisme. Ils pratiquent la censure. Ils s'enferment dans des bulles d'information. Puis au final, c'est les gens, c'est Monique puis Roger qui en payent le prix parce qu'ils ont pas accès à une véritable information. Ils se font laver le cerveau. Je trouve ça dégueulasse. [00:14:46] Speaker B: Merci beaucoup Jean-François, t'es carrément dans le bille ce matin. Merci! [00:14:50] Speaker A: Bonne journée. [00:14:50] Speaker B: Merci, bye!

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