Episode Transcript
[00:00:00] Speaker A: On lave la vaisselle avec Joe Poulin.
[00:00:13] Speaker B: On lave la vaisselle sale avec Joe.
[00:00:27] Speaker A: Salut Joe, le lave-vaisselle est plein. Qu'en sera l'étanche, les thermoses, les ustensiles? C'est quasiment à cas de rajouter de la musique.
[00:00:36] Speaker C: Il y a trop d'affaires dans le lave-vaisselle, tu vois bien.
[00:00:38] Speaker A: Il y en a trop, c'est épouvantable. Je te laisse aller.
[00:00:41] Speaker B: Ça déborde.
[00:00:42] Speaker A: C'est toi qui lave la vaisselle là. Du coup, pas moi ça si tu laves la vaisselle là.
[00:00:46] Speaker C: Ben écoute, je voulais revenir sur, j'allais dire, la commission de la construction du Québec pensait installer des portes tournantes au caucus de la CAQ, tellement que ça sort pis je peux pas m'empêcher de revenir sur l'entrevue que vous venez de faire avec Youri Chassain, moi, que je connais pas, honnêtement, je regardais un peu les entrevues d'hier, j'étais comme ok, le gars...
le gars se tient pour ses principes. Quoi que je suis un peu méfiant, je regarde le timing, je me dis bon, le déficit de 11 milliards, ça fait quand même quelques mois que ça a été voté, c'est pas quelque chose de récent. Je trouve que le timing est douteux pour affirmer certaines convictions. Puis là, l'entrevue que vous venez de faire, plus sur le volet indépendant, sur les politiques publiques, J'en reviens un peu pas dans le sens que je l'entends dire, on peut pas gagner tous les combats. J'aurais aimé ça lui poser la question. Pouvez-vous m'en nommer un que vous avez gagné?
Parce que c'est quand même lui qui a été responsable des fameux deux hôpitaux privés à Montréal que l'éléphant a accouché d'une souris. On sait même pas si ça va être une espèce de patente, une clinique gériatrique.
[00:01:53] Speaker A: Ça va être des centres de gériatrique.
[00:01:55] Speaker C: Alors ça n'a pas rapport. Puis moi, le dernier bout sur la pandémie, je pense que c'est ce qui agresse une bonne partie des électeurs, c'est qu'ils ne se sont pas sentis défendus, représentés, de dire...
[00:02:08] Speaker A: On vous a défendus dans le caucus. Oui, je le sais pas.
[00:02:11] Speaker B: Ça change quoi sur ma vie, ça?
[00:02:13] Speaker C: Good for you. Non, mais c'est imbécile. Écoutez, moi, je suis avocat dans la vie. Je m'en vais plaider devant le juge, puis je dis à mon client, écoute, je peux pas te dire ce que j'ai dit, là, mais crois-moi, là... Je t'ai défendu. Je t'ai défendu. Puis, by the way, voici ma facture d'honoraire. Va m'envoyer chier. Je vais te dire, c'est pas ça le deal. À un moment donné, tu votes pour des gens qui te représentent. Moi, je me souviens, dans la pandémie, il y a eu un bout où on disait, ah, les gens sont moins vaccinés sur la Rive-Sud en Beauce, puis t'avais la responsable de la santé publique de Chaudière-Appalaches qui avait dit...
Ben écoutez, c'est une région où il y a moins de diplomation post-secondaire, donc ils entrent les lignes. C'est les caves. C'est les caves, il y a moins de diplomation donc moins de vaccins. Il était où nos deux députés là, nos coupeux de ruban d'embauche? Supposément il faudrait croire le bon Dieu sans confession qu'ils nous ont défendus dans le caucus.
Give us a break. Alors moi, je suis un peu déçu de la fin de cette entrevue-là. Puis moi, je vous dirais, moi, je me suis lancé en politique quand les conservateurs, on était 10 points en arrière d'un sondage. Quand tu t'affichais conservateur, on disait que tu étais un complotiste sans éducation, quoique j'ai encore quelques diplômes à afficher sur le mur. Ça, pour moi, c'est des convictions. C'est-à-dire, je crois dans une plateforme, je crois dans ce qu'on propose, j'y vais pareil.
Là, la CAQ est à la traine dans les sondages, dans une région Laurentie-de-la-Naudière où le Parti québécois revient en force. Où il y a clairement une décision du cabinet du premier ministre de ne pas apporter de nouveaux joueurs au conseil des ministres. Donc, permettez-moi de trouver que les convictions sont un peu mollassonnes, surtout avec la.
[00:03:43] Speaker A: Fin de la crise. Il garde sa carte de membre. Il garde sa carte de membre. Donc, je garde ma bague de mariage dans le doigt.
Je suis allé, je te quitte, mais je reviens. Comment comprendre ça? Je garde ma carte de membre, mais au cas où, ouais, mais là, je pars, mais ça se peut que je revienne. Ouais, c'est spécial, ça.
[00:04:03] Speaker C: Pis j'explique souvent ça à des gens qui suivent pas trop la politique, etc. Des fois, ils vont prendre une position de ton parti. Ils vont dire, toi, étais-tu d'accord avec ça? Pis tu leur expliques, écoutez, c'est pas une religion, un parti politique.
Moi, je compare ça un peu à un véhicule. À un moment donné, tu t'assois dans le véhicule qui te ressemble le plus, mais ça se peut qu'il y ait des petits morceaux...
[00:04:20] Speaker A: Le véhicule n'est pas parfait.
[00:04:21] Speaker C: Exactement. Mais là, vous avez entendu l'entrevue avec M. Chassin?
Qu'est-ce qu'il faisait assis pendant six ans dans le véhicule de la CAQ? Je veux dire, tous les sujets sur lesquels vous l'avez amené, il y a une position essentiellement qui est diamétralement opposée avec la CAQ, que ce soit sur la gestion, la privatisation des sociétés d'État, dans le système de santé, l'implication d'Hydro-Québec, les fonctionnaires, etc.
[00:04:47] Speaker B: Mais je vais lui donner que c'était pas diamétralement opposé versus ce qu'ils ont présenté à la première élection.
La privatisation de l'SACU c'est encore là.
[00:04:55] Speaker A: En lien avec le livre à Legault.
[00:04:57] Speaker B: Ben oui, exact. Mais c'est parce qu'après, deux, trois, mettons quatre ans, mettons un mandat.
[00:05:02] Speaker C: Un mandat, je te le donne. Il t'allume?
[00:05:08] Speaker A: Oui.
[00:05:08] Speaker C: Je sais pas.
[00:05:08] Speaker A: Il y avait l'espoir d'être ministre. Il a pensé à lui, il pensait à lui. Le problème c'est que Legault a pas pensé à Chassain.
[00:05:15] Speaker B: Peut-être qu'il se disait qu'en tant que ministre, il y aurait le pouvoir de changer les choses.
[00:05:18] Speaker A: Parce que si il est ministre, il est là un matin. On y parle pas.
C'est un ministre caquiste ce matin.
[00:05:23] Speaker C: Moi j'appelle ça un peu le syndrome Marguerite Blais. Peu importe la couleur, tant que tu as une limousine, je suis bien content. Mais je veux dire, à un moment donné, le gars aurait pu avoir des positions. C'est ce qui écoeure un peu les gens de la politique. Pourquoi ça prend une ligne de parti aussi dure?
[00:05:39] Speaker A: Parce qu'il est encore dans la ligne de parti ce matin. Sur la COVID. Ah non, on en a parlé.
Moi, je le sais pas ce que vous avez dit. Et au-delà de ça, moi, j'avais deux gars qui pouvaient pas aller à l'école, qui pouvaient pas voir l'oeil blonde, pis je pouvais pas prendre une marche sans mon chien. T'sais, à un moment donné, tu peux t'exprimer ça. Drenville, sacré fils, il l'a dit devant moi qu'il était contre ça, le couvre-feu. Lui, il peut pas le dire. Drenville était ministre.
[00:06:02] Speaker C: C'est tellement vrai que c'est un gars qui s'attaque à la lourdeur bureaucratique, à l'interventionnisme de l'État. Vous pouvez pas avoir un meilleur exemple d'une dérive étatique, autoritaire, l'autorité, le contrôle absolu que ce qui s'est passé durant la COVID, vous pouvez pas avoir un meilleur exemple de ça?
[00:06:20] Speaker A: La police qui arrête le monde, là. La police qui arrête le monde parce que tu prends une marche à 8h10.
[00:06:23] Speaker C: Ben oui, pis on commence tranquillement pas vite à avoir des décisions.
[00:06:27] Speaker A: On l'a vu, on l'a vécu, l'étiquette.
[00:06:29] Speaker B: La police qui arrive au Parti de Noël.
[00:06:30] Speaker A: La police qui arrête du monde qui prenne une marche dans le parc.
[00:06:34] Speaker B: Oui.
[00:06:34] Speaker C: T'sais, c'est nus.
[00:06:35] Speaker B: Qui font un feu dehors.
Oui, qui font un feu dehors.
[00:06:38] Speaker A: À Bromont.
[00:06:39] Speaker B: Parce qu'ils étaient pas en train de faire une activité physique.
[00:06:41] Speaker A: Fallait bouger autour du feu aussi, rappelons-le.
[00:06:43] Speaker B: Oui, fallait bouger autour du feu. Non, non, la stupidité des règles qu'il y avait, là.
[00:06:46] Speaker C: Pis l'argument, l'argument vous dit « Ah, c'est derrière nous, donc on en parle pas. » Alors, abolition du bureau du coroner au Québec, ça sert à ça, faire des enquêtes sur des drames, des choses qui arrivent.
[00:06:57] Speaker A: Il est mort, il est mort. Pas besoin d'enquête.
[00:06:59] Speaker C: Alors tu sais, c'est au contraire, quand il y a eu des actions, des décisions qui ont eu tellement d'impact dans nos vies.
[00:07:05] Speaker A: Fermez les épiceries le dimanche.
[00:07:06] Speaker C: Avec un petit tape à terre pour sauver des vies. Ou des flèches. As-tu lavé ta boîte de Froot Loops quand tu revenais de l'épicerie?
[00:07:13] Speaker A: Je me suis fait dire que je respectais pas les flèches. Ça au moins c'était pas une règle. Il y a les flèches. Moi, je reculais des fois avec mon panier.
[00:07:20] Speaker C: Grosse déception.
[00:07:21] Speaker B: Tu veilles règle. Ton panier était dans le bon sens.
[00:07:24] Speaker C: Voilà. C'est pas tant les flèches à l'épicerie, mais masquer les enfants dans les écoles. Il y a une enquête de la coroner en ce moment. Durant la COVID, ils ont fermé les refuges de sans-abri à Montréal.
La COVID était dangereuse, mais oui, il y a... Je l'ai dans une chiotte chouette, là. Il y a l'enquête de la coroner à deux ans plus tard. Si je suis sa logique, fermons l'enquête de la coroner, c'est passé, parlons-en. Alors grosse déception à ce niveau-là. Écoute, rapidement, il y a eu quand même plusieurs affaires cette semaine. Mais j'ai trouvé, cette semaine, je me suis dit, on rit beaucoup, on parle de plantes vertes, mais je pense que j'ai trouvé le summum de la plante verte cette semaine. le summum de la planète verte parce que depuis une semaine et demie, départ de Pierre Fitzgibbon, super ministre de l'économie, qui c'est qui va le remplacer à l'économie? On en parle beaucoup. Est-ce qu'on va recinder le ministère ou pas? Finalement, il nomme Mme Fréchette. Puis là, on comprend qu'il y en a peut-être qui sont déçus de ne pas avoir été nommé. Mais saviez-vous qu'actuellement au Québec, il existe un ministre délégué à l'économie?
Christopher Skeet, il y a un ministre délégué à l'économie.
[00:08:32] Speaker B: Ça c'est le gars de Drummondville?
[00:08:34] Speaker C: Non, Laval.
[00:08:34] Speaker B: Il était à Laval?
[00:08:36] Speaker C: Oui, il est aussi ministre responsable du racisme, alors on comprend qu'il fait beaucoup de dossiers. Mais imaginez-vous, il y a un ministre délégué à l'économie, il n'y a jamais personne qui a nommé son nom pour peut-être reprendre un peu de responsabilité.
[00:08:47] Speaker B: Jamais.
[00:08:49] Speaker C: Alors moi, ça m'a fait bien rire cette semaine, je me suis rappelé.
[00:08:51] Speaker B: Ça c'est Joe Biden qui quitte, puis on parle jamais de Kamala pour le remplacer.
[00:08:55] Speaker C: Alors je regardais si c'est ça. Je m'en suis rendu compte parce que je suis allé voir sur le portail du gouvernement parce que je voulais voir la carte d'affaires de Jean-François Roberge qui est rendue sur la feuille 8,5 par an.
[00:09:05] Speaker B: C'est ça, ça ne rentre plus.
[00:09:06] Speaker C: Puis en scrollant, en descendant sur l'écran, j'ai fait « Ben Christy, c'est vrai, il y a un ministre délégué à l'économie au Québec ». Alors clairement, cet homme-là ne doit pas faire grand-chose parce qu'il n'est même pas impliqué dans la commission actuellement. Alors voilà, si vous venez vous demander, Quand François Legault a distribué des limousines pour faire plaisir, clairement on vient d'en trouver une qui sert pas à grand-chose.
[00:09:29] Speaker B: C'est beaucoup occupé de l'économie, lui, dans les derniers mois.
[00:09:33] Speaker C: L'avez-vous vu donner une entrevue sur l'économie? Non.
[00:09:36] Speaker A: Zéro, zéro. Je peux même pas le reconnaître.
[00:09:38] Speaker B: Non, non plus.
[00:09:39] Speaker C: Alors, c'est la question, qu'est-ce que le ministre délégué à l'économie fait en ce moment? On le sait pas trop.
[00:09:45] Speaker B: Je mélangeais, Drummondville, c'est Schneeberger.
[00:09:48] Speaker A: Oui, on prononce Schneeberger, mais étant donné qu'on a faim, on dit Schneeburger.
[00:09:54] Speaker C: Oui, mes deux, d'ailleurs, cette semaine revirement...
[00:09:57] Speaker A: Tu vas prendre un Schneeburger pour apporter. Avec des oignons.
[00:10:04] Speaker C: Oh, t'es méchant. Cette semaine revirement, mes deux Bengals vont voter Kamala, ils ont eu peur lors du débat américain, mais j'ai aimé un des...
Je pense que c'est là, Samson, qu'il l'a dit. C'est quand même assez incroyable. Avec cette semaine, ce qui s'est passé, quand même, déchirement de l'entente NPD-libérale. Bon, il y a beaucoup de théâtre là-dedans. Mais ça fait en sorte qu'il y a quand même des possibilités d'aller en élection à court terme.
On n'est pas dans du 90 %, mais quand même. Or, les médias mainstream sont à fond la caisse dans le Kamala Show. Alors, il y a quand même des choses qui se passent à Ottawa et ça peut nous impacter.
[00:10:42] Speaker A: Le NPD, hein? Les culs purs.
Moi, je suis contre ça, les culs purs. Gros bon sang, le gros bon sang.
[00:10:50] Speaker B: Y'a-tu dit hier, il ne promet pas de garder la taxe carbone s'il rentre au pouvoir. Ça arrivera pas que l'NPD rentre au pouvoir, là.
[00:10:56] Speaker A: Je suis pour les travailleurs.
[00:10:58] Speaker B: Il est en train de tasser la taxe carbone, là.
[00:11:00] Speaker A: Je suis contre les culs purs. Wow, c'est du tripotage de politico. Je sais, je sais. Arrête ça.
[00:11:06] Speaker B: Mais ça donne-tu une idée jusqu'à quel point c'est pas populaire? Que même l'NPD, ils tassent ça?
[00:11:12] Speaker A: Moi, je veux du grand bon sang.
[00:11:13] Speaker C: Écoute, en parlant de taxes, cette semaine, vous êtes choyé dans la région de Québec. Après l'augmentation du rôle d'évaluation foncière, triple, trois fois la taxe sur l'immatriculation qui va passer de 30 à 90 $.
[00:11:25] Speaker A: Ça, c'est ma nouvelle de la semaine. C'est dégueulasse.
[00:11:28] Speaker C: On apprenait aussi la bisbille, la petite jambette que Mme Guilbeault a probablement faite au même marchand. Il voulait augmenter de 3 cents sur le litre la taxe dans la région de Québec. Alors clairement, le jackpot cette semaine, c'est vous qui l'avez dans la région de Québec au niveau de la mitrataxe.
[00:11:44] Speaker A: On est gâté.
[00:11:45] Speaker C: Écoute, mais...
C'est quand même révélateur à mon avis, et ça, ça fera pas plaisir à vos auditeurs, mais c'est quand même révélateur à mon avis de la force encore que le maire Marchand a à Québec. Faut pas le donner battu d'avance aux prochaines élections.
[00:12:00] Speaker A: Il y a les médias.
[00:12:01] Speaker C: Avec la division de l'opposition.
[00:12:03] Speaker A: Il y a juste Alexandre Lavoie qui a posé des questions crunchy.
[00:12:07] Speaker C: Puis vous avez vu avec la désinvolture, un peu l'arrogance avec laquelle il a répondu. C'est réglé.
C'est Dred Lee, c'est ça qui...
[00:12:14] Speaker A: Dans quoi je devrais couper?
[00:12:16] Speaker B: Y'a pas de gras!
[00:12:16] Speaker A: Dans quoi je devrais couper?
[00:12:18] Speaker B: Hein? Tu m'as l'air à cause d'un coup coupé, toi, hein?
[00:12:20] Speaker A: J'ai des tremblements!
[00:12:21] Speaker B: C'était si bon, hein?
[00:12:21] Speaker A: Causé par les changements climatiques, dans quoi je devrais couper?
[00:12:23] Speaker C: Mais ça, c'est la tactique. C'est la tactique, c'est-à-dire que le politicien répond par des questions. Il a jamais répondu aux trucs en question.
Alors, voilà. Sinon, cette semaine, rentrée parlementaire à Québec, beaucoup de choses, vous avez eu un peu... Je pense que c'est toi, Adam, qui a dit tantôt que tu étais un feu d'artifice. C'est un peu ça, je constate, cette semaine.
[00:12:42] Speaker A: Le type aussi.
[00:12:43] Speaker C: Un feu d'artifice de dépanneur acheté spécial avec un peu de pitié avec un Cheetos.
[00:12:51] Speaker A: Dom Dumont qui devient bruteur pour l'occasion.
Il est malade. Dom Dumont qui s'éclate. Légionnaire en folie.
[00:13:02] Speaker B: Ça c'est toujours les maudits feux d'artifice que t'entends pis que tu vois jamais.
[00:13:06] Speaker A: T'as tellement raison.
[00:13:10] Speaker C: Ça vient avec de la poussière après un duo à l'unité.
[00:13:13] Speaker A: Made in China!
[00:13:17] Speaker C: I'm gonna have fireworks! Made in USA. Beautiful. Il va y avoir quelques petites patentes comme ça qu'on va suivre. Ils en ont quelques-unes dans leur manche. Quand ils sentent que ça brasse un peu, qu'il y a des choses qui sont controversées, ils sortent une bébelle comme ça. Écoutez, je dis pas que je suis contre sur le fond, mais honnêtement, c'est une diversion.
[00:13:36] Speaker A: Merci beaucoup.
[00:13:37] Speaker C: Ça fait plaisir.
[00:13:37] Speaker A: Excellent lave-vaisselle. On passe à la bière et au foot au retour.
[00:13:40] Speaker C: Salut.
Moray. Pour rejoindre l'équipe de Moray Live.
[00:13:44] Speaker A: Live.
[00:13:45] Speaker C: Directement en studio.
