Dan raconte L'ENFER DU ZONA!

September 16, 2024 00:11:37
Dan raconte L'ENFER DU ZONA!
Maurais Live
Dan raconte L'ENFER DU ZONA!

Sep 16 2024 | 00:11:37

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[00:00:00] Speaker A: 6H03, vous l'avez entendu, The Z-Man. The Z-Man, l'homme jaunat qui est revenu. [00:00:06] Speaker B: Je suis là! [00:00:07] Speaker A: Qui est revenu du jaunat, mais pas tout à fait. [00:00:09] Speaker B: Non, pas tout à fait du jaunat. [00:00:10] Speaker A: Mais c'est pas contagieux, donc t'es accueilli à bras ouverts et la lumière un peu fermée. Un peu comme quelqu'un qui a une commotion. Peut-être que toi est encore plus dans le noir que toi ce matin. [00:00:24] Speaker B: Sans doute que toi est un peu plus dans le noir que moi, mais toi... [00:00:29] Speaker C: Toi, on en reparle. [00:00:31] Speaker A: Ouais, c'est ça. On en reparlera tantôt. Pis Dan, ça pique-tu encore? [00:00:36] Speaker B: Un peu. Un peu quand même. [00:00:38] Speaker A: Qu'est-ce qui frotte s'il pique? [00:00:39] Speaker B: Voilà, mais j'ai réussi à apprendre la retenue. On se gratte pas quand ça pique. [00:00:45] Speaker A: Là, t'as plein d'affaires à raconter. Parce qu'il y a des séquences. [00:00:49] Speaker B: Ben oui, il y a des séquences. Tu sais, je suis rentré travailler mardi passé, puis honnêtement, j'étais pas si pire. C'est sûr que j'avais l'œil à moitié fermé. [00:00:56] Speaker A: T'avais l'âme à gagner. Tu te pognait la tête à deux mains en arrière de la console. [00:00:59] Speaker B: J'avais des spasmes. [00:01:00] Speaker A: On regrettait quasiment de t'être fait rentrer. [00:01:02] Speaker B: Les râches me faisaient mal. Pis j'avais des spasmes. Pis là j'ai fait ok, si t'as pas de meubles en matin, ça empire. Mais mardi soir, mardi, un peu avant le souper là, je me suis réveillé, ma blonde elle m'a regardé, elle a dit, on dirait le masque avec chair. Non non, c'est pas vrai. [00:01:18] Speaker A: C'est un beau compliment, par exemple, d'un homme conjoint. Elle a pas dit l'homme éléphant, au moins. [00:01:22] Speaker B: Mais j'avais la bouche... Côté gauche qui partait par en bas tellement j'étais enflé. [00:01:27] Speaker A: T'avais une grosse face. [00:01:29] Speaker B: Ouais, ouais. Pis mercredi matin je me suis levé avec un boomerang, ça partait de l'oreille, ça passait par l'oeil, ça redescendait sur le nez pis ça faisait mal. C'était l'enfer. [00:01:38] Speaker A: Maudite maladie sale. [00:01:39] Speaker B: Maisan. Pis ça donne bien parce que mercredi je rencontrais mon médecin de famille. [00:01:43] Speaker A: Un hasard? [00:01:44] Speaker B: Non, non. [00:01:45] Speaker A: Tu l'avais booké? [00:01:46] Speaker B: Je l'avais booké. Puis ça c'est drôle, hein? Tu sais, j'appelle mon médecin de famille pour prendre rendez-vous, ils me disent « il n'y a pas de place », évidemment. C'est toujours la réponse qu'on a, « il n'y a pas de place ». Puis là, j'ai utilisé le Z-word. [00:01:58] Speaker A: Da Z-man, I got zona! Finalement, tout le monde a annulé leur rendez-vous. [00:02:04] Speaker B: Ils m'ont dit qu'on vous attend à 15h. [00:02:07] Speaker A: T'arrives là, salle d'attente complètement vide. Les gens ont eu peur. [00:02:10] Speaker B: C'est ça. J'étais arrivé là et à 15h, j'ai rencontré mon médecin. J'ai rien contre les ophtalmologistes, c'est pas vrai. Vous faites un super bel job. [00:02:19] Speaker A: J'ai pas de super bon salaire aussi. [00:02:21] Speaker B: Nos yeux, vous les soignez bien. [00:02:23] Speaker A: Est-ce qu'il y en a des femmes ophtalmo? Ça, c'est très, très important. Le Québécois, on nous a dit ça en fin de semaine. Parce que ça fait partie de ces. [00:02:28] Speaker C: Spécialités qui sont encore plus masculines. [00:02:31] Speaker B: Oui, selon moi, on voit mieux après. C'est définitif. Donc, je rencontre l'ophtalmologiste. Puis, tu sais, mon médecin me dit, j'ai rien contre les ophtalmologistes. C'est quand même eux autres qui t'ont prescrit tes médicaments pour le zona. Si tu veux bien, je vais passer par-dessus. Fait qu'il a doublé mes antidouleurs. Bang! [00:02:51] Speaker A: Double dose. [00:02:52] Speaker B: Parce qu'il faut que tu montes tranquillement. L'objectif c'est de se rendre jusqu'à 300 mg. Mais tu peux pas passer de zéro milligramme une journée à 300 le lendemain. [00:03:01] Speaker A: Tu viens vraiment... Avec une IPA. [00:03:04] Speaker B: Ouais, c'est ça. Puis à la vitesse à laquelle je montais, je m'attendais jamais à 300. J'atteignais jamais le 300 milligrammes. Puis lui, il me fait monter assez vite. [00:03:13] Speaker A: He brought you to Zonaland. [00:03:15] Speaker B: Exactement. [00:03:16] Speaker A: As-tu vu des arc-en-ciel? [00:03:18] Speaker B: Non, j'ai pas vu d'arc-en-ciel. Mercredi soir, je suis à mon pire moment. Mercredi soir, y'a rien à faire. J'suis pas capable d'entendre les gens parler. J'suis pas capable d'entendre deux bruits en même temps. Ça brûle, ça brûle, ça brûle. Je suis tout le temps dans la douche. À peu près aux 40-45 minutes, j'vais prendre une douche d'eau froide. [00:03:37] Speaker A: Pis tu restes dans la face à l'eau. [00:03:39] Speaker B: La face à l'eau. C'est la seule chose qui fait du bien, c'est de l'eau froide. Pour vrai, là, j'me faisais des... [00:03:44] Speaker A: Ta piscine! Ta piscine! [00:03:46] Speaker B: J'me faisais des... Ouais, mais la piscine, c'est parce qu'on vous rappel... J'vous rappelle qu'il faisait 14 degrés, là, ce moment-là, pis... Pas de chauffe-eau? Ouais, mais même à chauffe-eau, tu sais, je suis déjà gelé, là. Je suis en coton weté dans la maison chez nous et je suis frigorifié. [00:03:59] Speaker C: T'aurais allé dans la piscine à Dom-Morin, il y a un cubain qui s'en occupe. [00:04:01] Speaker A: Ben oui, c'est ça, regarde, c'est propre aux boîtes. [00:04:03] Speaker B: Ben non, là, je suis en train d'inventer des belles histoires parce que moi, la semaine passée, pour vrai, je suis allé cacher un criss de cubain, là. Non mais pour vrai, là, ce mercredi-là, la variation d'air. Quelqu'un marchait à côté de moi, le déplacement d'air qu'il faisait. [00:04:18] Speaker A: Ben voyons donc! [00:04:19] Speaker B: Ça me faisait mal. Je te le dis, là, c'était hallucinant. [00:04:23] Speaker A: Le rire de Kamala Harris, ça t'aurait fait virer fou. [00:04:25] Speaker B: Hé! Oh oui! Fait que j'ai pris, t'sais, je me suis anglorobé à la tête dans de l'eau, là, dans une débarbouillette bouillée, puis j'ai écouté Trap. Ça a passé le temps un peu. J'en ai vu des films la semaine passée. Donc là, le mercredi, ça faisait mal, c'était fou. Dans la famille à ma blonde, il y a une légende. Je vais me prendre de l'eau. [00:04:44] Speaker A: La légende de Jimmy? [00:04:46] Speaker B: Non. Non. La légende d'une ancienne voisine qui enlève la douleur. Ça, tout le monde connaît ça. [00:04:51] Speaker A: Oui, j'ai déjà parlé dans le Festival de Lévis. [00:04:53] Speaker B: Non, mais tout le monde a des histoires de même. Elle fait ça en retard. [00:04:58] Speaker A: Ouais, ou... [00:04:59] Speaker B: Le zona... « Appelle ton cousin Jimmy, il arrête le sang. » C'est ce genre de patente-là. Puis, il y a une histoire dans ma belle-famille qu'il me raconte très souvent, puis évidemment, moi je ne crois pas à ça. Ben non. [00:05:16] Speaker A: C'est la sorcellerie. [00:05:17] Speaker B: Ben oui, je sais. Comme quoi, mon ancien beau-père Ulzo, là, il arrêtait la douleur. Mon beau-père, lui, il s'est passé la main dans la souffleuse, il a fait un Joe Sakic. Pis c'est la voisine qui avait arrêté sa douleur, les calmants marchaient pas. Donc il y a toujours ces belles histoires-là. Pis là, moi, au mercredi, j'ai ma... J'ai dit à ma blonde, trouve-donc le numéro à Mme Boileau. [00:05:41] Speaker A: On est désemparés, là. Quand t'as mal, en maudit, tu perds tout contact avec la réalité. On a déjà eu mal. Moi, j'ai jamais eu le jour-là, mais... T'sais, la douleur, on a eu des... Mais ça, c'est la plus grosse douleur que t'as eue dans ta vie. [00:05:55] Speaker B: Assurément la plus grosse douleur que j'ai eue dans ma vie. Hé, j'étais pas capable, quand je suis allé voir mon médecin... Bien plus douloureux. [00:06:00] Speaker A: Qu'Une femme enceinte, une femme qui accouche. [00:06:02] Speaker B: Tu dis quoi? [00:06:04] Speaker A: Je t'emmène sur un terrain glissant, là. [00:06:06] Speaker B: Moi, j'en aurais eu 12. Non, dis pas ça, Dan. [00:06:10] Speaker A: C'est un zonodame que t'as eu ou c'est un zonodame? [00:06:13] Speaker B: Je sais que les femmes vont avoir accouché et qu'elles ont toutes souffert. [00:06:17] Speaker A: Ben oui, voyons donc, on déconne. [00:06:20] Speaker B: Mais là, moi j'appelle, je dis à ma blonde, trouve-toi le numéro de Madame Boileau. Là, tout le monde rit là. Mais moi, je te boute. [00:06:27] Speaker A: Alors là, elle répond. [00:06:29] Speaker B: Allo! C'était un peu impressionnant. Elle avait une voix un peu plus douce. Parce que moi, je me disais, celle-là, soigner le papi à ma blonde et son père, j'imagine que Mme Boileau, qu'elle part à côté de Tito pis Michael. Mais non, Mme Boileau, elle m'a parlé, elle m'a répondu pis écoute, elle m'a dit tout ce qu'elle disait d'habitude là, je vais repenser à toi, pis où c'est que t'as mal, pis toute la patente. C'est quoi ta date de naissance? Ben finalement, je me suis réveillé le lendemain, j'avais encore mal, tu comprends? [00:07:02] Speaker A: Ah non, mais là tu passes vite anti-péché là sur Mme Boileau. Ah non, attends un peu, on va aller dans le Mme Boileau si ça te dérange pas. [00:07:09] Speaker B: Ça a pas été une très longue conversation. [00:07:10] Speaker A: Ouais mais raconte! Puis, y'a-tu de la musique? [00:07:15] Speaker B: Non, non, y'a pas de musique. [00:07:16] Speaker A: Est-ce qu'elle fait une prière? [00:07:17] Speaker B: Elle fait pas de prière. [00:07:19] Speaker A: Elle dit, je vais passer à toi, envoie-moi une photo. [00:07:21] Speaker B: Je vais passer à toi, je vais passer à ton zona. [00:07:24] Speaker A: C'est ça que je veux que tu me racontes, là. [00:07:28] Speaker C: Aucune photo. [00:07:29] Speaker A: Oui, exactement. C'est ça qui est crunchy. [00:07:30] Speaker B: Elle m'a dit, faut que tu penses à moi aussi ce soir avant de te toucher. [00:07:35] Speaker A: C'est louche, ça. [00:07:36] Speaker B: Là, c'est le fun. [00:07:37] Speaker A: Là, on jase. Je vais penser à ton zona, toi, faut que tu penses à moi. [00:07:42] Speaker B: Oui, exactement. [00:07:43] Speaker A: Le tweet est de dire à quoi vous ressemblez. Faut que tu l'images. [00:07:46] Speaker B: Faut juste que j'imagine Mme Boileau. Je le sais à quoi elle ressemble. J'ai vu une photo sur Facebook. [00:07:52] Speaker A: C'est pas Jenna Jameson. [00:07:53] Speaker B: Mais non, c'est pas Jenna Jameson. Tu comprends que... Ça aurait pu déjà, dans un passé lointain, être... [00:08:01] Speaker C: C'est Jenna Jameson grand-maman. Grand-maman Jameson. [00:08:05] Speaker B: C'est une super grand-maman qui boit du Jameson. Elle était super fit, non? [00:08:08] Speaker A: Seigneur, là! Et là, la légionnaire est déconfinée un matin. [00:08:13] Speaker B: Elle me lance la phrase choc. Qui est... Faut que tu penses à moi et que tu y crois. [00:08:23] Speaker A: Crois à quoi? [00:08:24] Speaker C: Ah, c'est là que t'étais fait. [00:08:25] Speaker A: Crois que ta douleur va partir. L'auto-suggestion. [00:08:30] Speaker B: Ben moi j'y crois pas, t'sais. Dans le fait fort de moi-même, j'y crois pas, fait que... J'imagine que c'est pour ça que ça a pas marché. [00:08:35] Speaker C: Ben c'est ça, c'est pour ça que ça marche pas. [00:08:37] Speaker A: T'es le gaulard de ta propre auto-persuasion. [00:08:40] Speaker B: Ouais, exactement. [00:08:42] Speaker A: T'as les chakras fermés, Dan. Moi, je connais quelqu'un qui va te les ouvrir. Y'a une barre à jack, pis il va t'ouvrir ça, ces chakras-là. Faut que tu laisses entrer la lumière. [00:08:50] Speaker B: Je me suis... Donc jeudi, ça a encore été une journée tough. Vendredi, également. Vendredi, un peu moins pire, j'ai été capable de sortir dehors. Mais ça, c'est une autre affaire, sortir le soleil, là. Je confirme qu'il y a beaucoup d'affaires qui peuvent faire du bien au rash, mais pas le soleil. Non? Non. Pis celui que j'ai ici, là, qui paraît le plus, Je me suis fait dire que possiblement, même l'été prochain, j'allais le sentir quand j'allais la laver le soleil. [00:09:12] Speaker A: Belle marde pour un gars qui veut aller dans un tut-in-clu. [00:09:14] Speaker B: Maisan, belle marde certain. T'as-tu déjà acheté ton tut-in-clu? Mais non, je l'ai pas acheté. [00:09:20] Speaker A: J'irais plus au Danemark si j'étais toi. [00:09:22] Speaker B: Aller jusqu'aux Fêtes, c'est... non, non, non, non, non. Je reste sur full repos parce que c'est ça. C'est le repos qui est la seule chose qui soigne les autres. [00:09:31] Speaker A: Full NFL. Devant la TV. [00:09:33] Speaker B: Ça va ressembler à ça. C'est plate parce que je voulais aller au Rouge et Or samedi prochain, dimanche prochain. J'irai malheureusement pas, mais écoute... [00:09:40] Speaker A: Je vais t'amener un morceau de poulet. [00:09:42] Speaker B: Ah merci, man! [00:09:44] Speaker A: J'ai des Tupperware. [00:09:45] Speaker B: Tabarnouche. Non, c'est... Je vous le dis, là... Pognez pas ça. Un appel au directeur des ventes de Chouin Radio X, là, et à toute l'équipe de vendeurs. Appelez Shingrix. Je pense que je peux être un bon porte-parole. [00:10:00] Speaker A: Ben oui. J'ai été vacciné à Shendrix. C'est quoi? [00:10:05] Speaker B: Ma blonde est allée, mercredi matin, se faire vacciner. Puis l'infirmière a dit « Est-ce que vous avez un proche qui a le Zona? » Elle a dit « Oui, mon chum. » Elle a dit « Toutes les gens qui viennent nous voir ont un proche qui a le Zona. [00:10:17] Speaker A: » Ça te fait une maudite belle pub pour Shendrix. [00:10:20] Speaker B: Quand t'as un proche qui a le Zona, tu te rends compte à quel point c'est tough. Parce que moi, j'ai beaucoup de bon vouloir. C'est pas mon genre de rester effoiré chez nous. J'étais en bas. Pis t'sais, une semaine comme celle que j'ai passée, en plus il fait beau. [00:10:35] Speaker A: Ben oui, il fait beau. Il fait beau depuis deux semaines. [00:10:37] Speaker B: Repose-toi. Ben oui, mais il fait beau. Je me repose jamais quand il fait beau. La semaine passée, il y a eu beaucoup de moments où, moralement, j'ai trouvé ça assez difficile. Mais ma blonde me voyait aller pis elle dit c'est beau. Je vais aller me faire vacciner, c'est sûr. Voyons. T'sais, l'air climatisé dans un char, c'est impossible. C'est impossible. [00:11:00] Speaker A: La chaleur, c'est impossible. [00:11:01] Speaker B: Mais non, mais il y a trop d'air qui bouge quand tu mets de l'air climatisé dans le champ. [00:11:05] Speaker A: Ça prend un air stable. [00:11:06] Speaker C: C'est pas la température le problème. [00:11:08] Speaker B: Exactement. J'ouvrais le cul de mon toit ouvrant. C'était la seule façon de stabiliser la température dans le char, pis de pas avoir trop de vent. Je te le dis, là, je souhaite pas ça à personne. À mon pire ennemi, à tous mes ennemis politiques, à tous ceux qui pensent pas comme moi, je ne souhaite pas ça à personne, ça fait mal. [00:11:27] Speaker C: Tous ceux qui ont ri quand Aaron Rodgers s'est blessé, ils leur souhaitent même pas. [00:11:31] Speaker A: Non. [00:11:32] Speaker B: Ouais. [00:11:32] Speaker A: Ben peut-être.

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