Les femmes médecins sont "meilleures"... VRAIMENT?

September 16, 2024 00:41:05
Les femmes médecins sont "meilleures"... VRAIMENT?
Maurais Live
Les femmes médecins sont "meilleures"... VRAIMENT?

Sep 16 2024 | 00:41:05

/

Show Notes

View Full Transcript

Episode Transcript

[00:00:01] Speaker A: Le Grand Journal. Présenté par Dominique Moret. This is Moret Live. [00:00:09] Speaker B: Real talk, talk real. Avec Dominique Moret. [00:00:12] Speaker A: Le Grand Journal. [00:00:15] Speaker B: Élection parcelle aujourd'hui? On verra bien si Trudeau en mange une maudite. Les sondages nous indiquent que oui. La petite larme est sur le bord de couler. Est-ce que c'est Greg Chauvet qui va gagner? Hexacalotmol. Également dans l'actualité, campagne de pub pro-français de la CAQ. Led coûteuse inutile. Ils vont annoncer parler français, là, aux Anglais de Westmount. [00:00:52] Speaker C: Wow! [00:00:53] Speaker B: Ça, ça va marcher, hein? Ça va avancer. Le français va progresser, c'est sûr. En passant dans l'actualité, Poilièvre et sa bande, super horny! Aux communes, c'est la rentrée. Le gros bon sang! Tout le monde, tout le monde, tout le monde a hâte à des élections. Oui, on a hâte et vous avez hâte également. On a nommé un barrage Bernard Landry en fin de semaine. On a beaucoup aimé Bernard Landry. Mais c'est une diversion, ça permet quand même de pas trop parler de North Vault qui va pas très bien. Et beaucoup d'autres sujets. Les libéraux tenteront de résister dans Verdun, ben oui. Ça marchera pas. Il y a beaucoup de gens en lice, on verra bien. Est-ce que c'est le bloc ou le NPD? Bataille de gauchistes, peut-être le bloc, peut-être le NPD. Ça va se décider. [00:01:55] Speaker A: Peut-être même les libéraux. [00:01:56] Speaker B: Peut-être même les libéraux qui vont se profiler. À 8h15, vous allez avoir le score. Également, vous avez eu le score, c'est un peu disparate, mais nous on va y aller, on va y aller graduellement. C'est comme un déjeuner. C'est comme une casserole. Une cassolette, on appelle ça une cassolette. Vous avez des bouts de saucisses, des bouts de bacon. Vous avez peut-être des fèves au lard, des croutons et des oeufs. Vous aurez tout ça dans la même assiette. [00:02:20] Speaker C: Une petite hollandaise. [00:02:21] Speaker B: Une petite hollandaise. [00:02:23] Speaker C: Formage. [00:02:24] Speaker B: Alors tout ça dans la même assiette. Il s'agit juste de manger agréablement. Les déchets ramassés aux deux semaines. Oui, on vous l'avait dit, dans More Live, il y a deux semaines. Et merci à Carbeau qui m'avait refilé la lettre qu'il avait reçue, mais il était pas allé à la boîte à mâles. La lettre qui était quand même datée du 12 août, mais Carbeau était pas allé à sa boîte à mâles. et puis il m'envoyait ça il y a deux semaines déjà. On vous l'avait dit, mais on a fait mention dans le Journal de Québec de ce matin. Un peu en retard, la patte en l'air qui va de l'avant, bien que c'est la décision de faire passer la collecte des déchets dans les bacs roulants, oui oui, des vidanges, aux deux semaines, à l'exception du centre-ville, c'est sûr. Ça gagne ça, le centre-ville? Fait que la gang de gorlots des banlieues, manger de la marde, Beauport, Charlebois, Val-Belaire, pendant l'automne et l'hiver, une étape qu'ont déjà franchie la plupart des villes. Oui, ça c'est la twist. Oui, tout le monde le fait. Fais-le donc. On coupe, mais on taxe plus. Moins de services, plus de taxes. T'apprends que tu. Oui, mais moi, je paye des taxes puis j'en paye plus. Et je vais en payer plus. Non, on va couper ça. OK. À partir du 7 octobre et ça jusqu'au 30 mars quand même, Le contenu des bacs à déchets roulants ne sera ramassé qu'au deux semaines. J'aime pas ça. Baisse mes taxes. Ah non? On me glisse à l'oreille? Mange la merde, Maurice? C'est ça que j'entends? Ok. Moi, je paye pour ça, là. Si j'ai moins de services, tu vas baisser mes taxes. Oh! Une économie, quand même! Faramineuse! La Ville prévoit... des économies de 75 000 $ pour les trois derniers mois de 2024. C'est-tu niaiseux? Donc on est vraiment en train de gratter. C'est ça, là? Alors que ce matin, il y a du monde qui sont payés à rien faire au bureau de projet du tramway. Il y a du monde qui ont la grosse paye à matin au bureau de projet du tramway. Il y a du monde qui... Il se présente au bureau, je sais pas tout ce qu'ils font honnêtement. Y'a plus de projet. Y'a pas de projet. Y'a pas de tracé, pas de projet, télétravail. Tu bisounes un peu, y'a pas de projet, y'a pas de financement. Ben nous autres on paye sous le cul des livres, des livres, des romans de Daniel Steele, des romans de la madame Claquette. [00:04:50] Speaker A: Envoyez-les dans mon livre d'art. [00:04:53] Speaker C: Marie-de-la-Berge. [00:04:54] Speaker B: Marie-de-la-Berge. [00:04:55] Speaker C: Tu me passeras ton dernier Marie-de-la-Berge. [00:04:59] Speaker B: Ben oui, ben oui, ben oui. C'était l'histoire de la bonne Marie-de-la-Berge. Ah, j'ai pas lu celle-là. Lis ça en dehors de ton temps de travail. Donc c'est très très très logique. En espérant que demain ça fasse jaser un petit peu quand même au Conseil. Quoique le gros sujet du Conseil, j'espère que ça va être la tramway. On a une planète à sauver. [00:05:18] Speaker C: Ah oui. Vite, vite, vite, vite, vite. [00:05:19] Speaker B: Vous êtes en train de me dire qu'il faut attendre. Il faut retarder la transition énergétique. C'est ça que vous êtes en train de me dire, M. Gravel? [00:05:24] Speaker C: Voilà. [00:05:25] Speaker A: Non, mais dans la même espèce pis là... Allez chier à la caque! [00:05:27] Speaker B: Hé, hé, la caque! Allez chier! Hé! [00:05:29] Speaker A: Je veux mon travail! [00:05:30] Speaker B: C'est ça comme Mme Guilbault? C'est ça comme Mme Guilbault? Ouais, c'est ça. C'est un mélange. Donc hier, en fin de semaine. Vendredi, il parle un peu de même. Est-ce que je serai là? [00:05:44] Speaker A: Moi, je suis pas proche. [00:05:46] Speaker B: Est-ce que je serai là demain au conseil? Ou c'est seulement, vous êtes en train de rire des bretelles? C'est ça. Est-ce que les bretelles vont venir m'aider? Parce qu'au dernier, ils étaient pas là. C'était les bretelles qui étaient là. Qui, Dan, doit sortir de manière plus vigoureuse? Parce que c'est toi le grand analyste de la couverture du conseil. Qui doit élever son niveau d'un cran? [00:06:09] Speaker C: Ben, je sais que le power trio de l'équipe à Claude Villeneuve va le faire. [00:06:15] Speaker B: Madame Dallaire. [00:06:16] Speaker C: Dallaire, Corriveau, Roy, puis vous pouvez rajouter des pains à ça. Faudrait que Steven Malençon soit capable de le faire, je dirais, en moins de 40 mots. [00:06:26] Speaker B: OK, il faut qu'il mange un petit peu plus, il faut qu'il prenne de la créatine dans son shake. [00:06:31] Speaker C: En fait, faut qu'il évite d'ouvrir des parenthèses. C'est juste ça le problème. C'est qu'il ouvre des parenthèses pis ça le défocus du message pré-final. [00:06:37] Speaker B: Faut qu'il vise le jugulaire. Vise le jugulaire. [00:06:39] Speaker C: Ah oui! On s'en sac, là. Tu sais, on s'en sac de l'élien gauche, de l'élien droite. Toi, t'es au centre pis tu t'en vas au but. [00:06:45] Speaker B: That's it. [00:06:46] Speaker A: C'est pas un travail des ciseaux, là. Sors la chaine, ça. [00:06:49] Speaker B: Son but, c'est d'être dans le bloc de Dan. [00:06:52] Speaker C: Ouais. Faut que la clip soit assez bonne sans que je sois obligé de la couper pour être passage en onde pis que ça fasse boum. [00:06:57] Speaker B: Clipper, c'est un talent, là. [00:06:59] Speaker C: Clipper, c'est un talent. C'est un talent que Anne Corriveau a, que Véronique Dallaire a. [00:07:04] Speaker B: Je serais pas pire là-dedans, moi, je pense. [00:07:06] Speaker C: Pierre-Luc Lachance a. [00:07:07] Speaker B: Je serais pas pire, hein? [00:07:08] Speaker C: Ouais, tu serais, oui. Bon, on serait tous pas pire. [00:07:11] Speaker B: Je serais la guédaille des clips, je pense. Je pense que je t'en donnerais une vingtaine. Tu serais pas pire aussi. Mais je ne suis pas et je n'irai pas au provincial. C'est même pas un sujet de conversation. Donc, il était là, en marge du Grand Prix cycliste de Québec. Un événement qui a l'air à marcher, mais qui est... qui est très niché. T'es-tu content? Pas Gatchard, il a pas gagné, mais il a gagné à Montréal. C'est pas ça? [00:07:33] Speaker C: Il a gagné à Montréal avec Brio. [00:07:35] Speaker B: Brio, bon. Brio étant son ami? [00:07:38] Speaker C: Non, non. [00:07:39] Speaker B: Le gars qui a donné un lift. [00:07:41] Speaker C: Il a complètement dominé Montréal. Pour vrai, c'était hallucinant. [00:07:44] Speaker B: Il est bon, mais je connais rien là-dedans. [00:07:46] Speaker C: Là, ils veulent ramener une course femme. J'ai rien contre les courses femmes, mais c'est juste qu'on va fermer le centre-ville de Québec deux jours au lieu d'une. [00:07:52] Speaker A: Puis c'est parce qu'on subventionne aussi ces courses-là. [00:07:55] Speaker B: C'est-tu bien subventionné? Je connais rien là. [00:07:57] Speaker C: C'est très subventionné. [00:07:58] Speaker B: Je connais rien, rien. [00:07:59] Speaker A: Moi on m'avait promis à l'époque, c'était pas la même gang qui l'organisait, c'était... comment il s'appelle? En tout cas c'était le gars de Canal Évasion. [00:08:07] Speaker C: Mais ça a toujours été la même gang. [00:08:08] Speaker A: C'est encore la même gang? [00:08:09] Speaker C: Serge Arsenault pis... [00:08:09] Speaker A: C'était Serge Arsenault. Serge Arsenault dans le temps, c'est son fils, à la radio, m'avait promis qu'après 5 ans il n'y avait plus besoin de subvention. [00:08:18] Speaker B: Ben voyons donc. Voyons donc. On était au Québec. [00:08:22] Speaker D: Oui. [00:08:22] Speaker A: Et finalement ça n'a jamais arrêté. [00:08:24] Speaker B: Donc voilà, la patte en l'air qui est allée dire que ça prend entente avec le tramway, ça presse. Qu'est-ce qui presse? Ça presse. C'est un maître manipulateur incroyable. J'ai pas le choix, les amis, de vous soumettre un test. Le test de la personne manipulatrice. C'est le fun. Non, ça, le pipi, tu t'arrangeras avec l'infirmière. qui est madame... Bois l'eau. Bois l'eau. Tu vas voir qu'elle ne boit pas juste de l'eau. 30 caractéristiques de la personne manipulatrice. C'est un vrai test. C'est Isabelle Nazar Aga qui est psychothérapeute. Ça fait des années qu'elle fait des conférences. C'est elle qui a écrit le livre Les Manipulateurs sont parmi nous. Un baisse de salaire. Je vais vous donner 30 caractéristiques. S'il y en a 14 sur 30 qui fitent, vous avez affaire à un manipulateur. OK? Je commence. La personne reporte sa responsabilité sur les autres ou se démet des siennes. Ça vous fait-tu penser à quelque chose, ça? [00:09:41] Speaker A: Oui. [00:09:41] Speaker B: Un politico? Marchand, peut-être? Et d'autres? Moi, marchand est là-dedans. Ton score, c'est quoi? Oui? [00:09:47] Speaker C: Non? Oui, oui, oui. [00:09:48] Speaker B: Parfait. La personne ne communique pas clairement sa demande, ses besoins, ses sentiments ou opinion. Oui. [00:09:57] Speaker C: Je le sais pas ça. [00:09:58] Speaker B: OK. On y donne pas. [00:09:59] Speaker C: On y donne pas celle-là. [00:10:01] Speaker B: OK. La réponse répond très souvent de manière floue. Mais oui. Rebel News. Elle pose une question, puis lui répond avec une question. [00:10:09] Speaker A: C'est ça. [00:10:11] Speaker B: Là, les gens font le décon. [00:10:12] Speaker A: Je crois que les policiers rentrent quasiment là-dedans. [00:10:14] Speaker B: Oui, oui, bien exact. On parle de marchands, mais c'est Trudeau, c'est Legault, c'est Edivan-Roberge, c'est Gérard. Et Trump, et Harris. Ils sont là-dedans. [00:10:24] Speaker A: Les policiers sont quasiment tous des experts de ça. [00:10:27] Speaker B: Oui. La personne change ses opinions, ses comportements, ses sentiments selon les personnes ou les situations. Oui. Trump est là-dedans aussi. L'imitateur de Trump est écœurant. [00:10:39] Speaker A: Les caméléos. [00:10:39] Speaker B: Oui, oui, oui. Quand il blasse Joe Rogan, Joe Rogan est en arrière de lui. Il est en sens Rogan. Ça, c'est une caricature, vous me direz, de l'imitateur Gillis, qui est le meilleur imitateur de Trump, mais ça ressemble à ça. [00:10:50] Speaker C: Mais Trump, c'est un politicien. [00:10:51] Speaker B: Oui. [00:10:51] Speaker A: C'est ça. [00:10:52] Speaker B: Oui, même pas. Je pense que c'est un entertainer qui essaie de se faire passer par un politicien. Je comprends qu'il est apolitique. C'est ce que tu veux dire. Il invoque des raisons logiques pour déguiser sa demande. Ben oui. C'est la science. Vous êtes en train de dire la science. Monsieur le légionnaire. La personne fait croire aux autres qu'ils doivent être parfaits, qu'ils ne doivent jamais changer d'avis, qu'ils doivent tout savoir et répondra immédiatement aux demandes et questions. C'est à la carte qu'elle demande. C'est à la carte qu'elle répond. Ce midi. [00:11:22] Speaker A: La personne... D'ici la fin septembre. [00:11:24] Speaker B: D'ici la fin septembre. La personne met en doute les qualités, la compétence, la personnalité des autres. Madame Guilbeault n'est pas faite pour faire le travail. La personne fait faire ses messages par autrui. C'est monsieur... les bretelles, je ne me souviens plus de son nom. La chance. La chance. [00:11:43] Speaker C: Un bretelle ça fait. [00:11:45] Speaker B: La personne sème le zizani. Oh boy. Là, on en rentre une gang. Divisé pour régner. Oh boy. Là, j'ai du logo, j'ai du... Nommez-les, là. La personne sait se placer en victime pour qu'on la plaigne. Oh boy. Oh boy, oh boy. C'est le genre de radio que M. Moret aime faire. I remember. La personne se place en victime. La date, on s'approche du compte, là. Il ignore les demandes, même s'il dit s'en occuper. L'économie, M. Marchand, on s'en occupe. C'est l'économie circulaire. La personne utilise les principes moraux des autres pour assouvir ses besoins. La personne menace de façon déguisée ou pratique un chantage ouvert. S'ils disent pas oui, t'sais... [00:12:36] Speaker C: L'argent va aller ailleurs. [00:12:37] Speaker B: L'argent va aller ailleurs, blablabla. La personne change carrément de sujet au cours d'une conversation. Meilleur exemple, c'est Rebel News. Alexa qui pose une question l'amène totalement ailleurs. Alexa qui demande où vous avez coupé exactement et lui l'amène complètement ailleurs. La personne change carrément du sujet au cours d'une conversation. Ben voilà, je viens de le dire. La personne évite ou s'échappe lors d'un entretien. Je viens de le dire. La personne met, mise sur l'ignorance des autres ou fait croire en sa supériorité. Oui. Oui. La personne ment. Hey boy. S'il n'y a pas d'acceptabilité sociale, il n'y en aura pas de tramway. [00:13:15] Speaker A: Encore là, tous les policiers rentrent beaucoup là-dedans. [00:13:17] Speaker B: Ben oui, logo. [00:13:19] Speaker A: J'ai déjà raconté. [00:13:20] Speaker B: Je pense qu'il n'y en aura pas de couvre-feu. Il y avait dit ça. Il y en a eu deux. [00:13:26] Speaker A: Alors que j'étais une verte recrue médiatique, il y avait Jean Charest qui était passé à l'université de Sherbrooke. J'étais allé couvrir, entre gros guillemets, la conférence afin qu'on se ramasse une couple de journalistes autour de Jean Charest. J'y pose une question, je me souviens plus c'était quoi, mais j'y pose une question, je prends des notes de sa réponse. M'en va, j'suis dans l'corridor, j'enlis mes notes, j'fais... Ben non, y'a pas répondu! [00:13:48] Speaker B: Ah non, y'a pas répondu. [00:13:49] Speaker A: Mais ça, c'était 10-15 minutes trop tard, là. [00:13:51] Speaker B: La pire entrevue, puis là, j'vais changer de sujet parce qu'on aurait compris qu'on a le score, donc vous avez l'heure juste là-dessus. Kamala Harris, entrevue locale. Avez-vous entendu ça? Philadelphia? [00:14:03] Speaker A: Oui. [00:14:03] Speaker B: À ABC, Philadelphia. [00:14:04] Speaker C: Ben, j'l'ai pas écouté parce que je savais que vous l'aviez écouté tous les deux, là. [00:14:07] Speaker B: Ah non, ça, c'était écouté. C'est pas très long, ça dure à peu près 11 minutes. L'as-tu écouté au complet? [00:14:14] Speaker A: Je l'ai écouté, mais je l'ai écouté 2-3 fois. [00:14:15] Speaker B: C'est pathétique. [00:14:16] Speaker A: Je parlais de pas clippable, elle est pas clippable. [00:14:19] Speaker B: Elle répond à aucune question. [00:14:20] Speaker A: Elle dit rien avec beaucoup, beaucoup, beaucoup de mots. [00:14:23] Speaker B: I come from a middle class family. Oui. Non, c'est pas ça que je te demande. Mais l'intervieweur, il coupe jamais la parole. Il la laisse aller. Ça fait des réponses absolument interminables. [00:14:37] Speaker A: Quand c'est les républicains, ils se font toujours couper la parole. [00:14:40] Speaker C: Non, je ne t'ai pas pogné. J'ai vu vos commentaires. [00:14:42] Speaker B: C'est grave. [00:14:43] Speaker C: Mais c'était encore dans une journée où. [00:14:44] Speaker B: J'Étais... Ah non, t'étais en pleine France. [00:14:46] Speaker C: C'est ça. [00:14:47] Speaker A: Il y a encore eu une entrevue dans les derniers jours, Dana Bash avec JD Vance. [00:14:52] Speaker B: Oui, essaye de lui faire mettre des mots dans la bouche sauf JD Vance. [00:14:54] Speaker A: J.D. Vance, allez-vous me laisser répondre honnêtement à vos questions? Parce que vous arrêtez pas de me couper. C'est drôle, j'ai écouté votre entrevue avec Kamala Harris, puis Waltz. [00:15:05] Speaker B: Oui! Elle coupe pas à parole! [00:15:06] Speaker A: Puis vous les coupiez jamais, eux autres. [00:15:09] Speaker C: Semble-t-il que... J'ai pas vu grand-chose, j'ai rien vu des émises en fait, mais semble-t-il que c'était lui à la Tête de Turc, J.D. Vance. Ça devait être Trump, mais comme il y a eu une histoire d'attentat hier, ils ont dit « Regarde, on va fester sur J.D. Vance. [00:15:20] Speaker A: » Pas des crazy cat lady, mais une chose de même, single. [00:15:26] Speaker B: Parlons Trump, deuxième attentat où l'individu se préparait à tirer. Crazy lefty nut, un genre de whack déséquilibré. Un gars qui était beaucoup, beaucoup pour l'Ukraine. Beaucoup contre Trump. Beaucoup de... On va-tu l'arrêter? Faut l'arrêter. La démocratie est en péril. Ça fait la une des journaux partout. C'est un sniper équipé avec un AK-47. Est-ce qu'il y avait beaucoup de munitions? Je sais pas. Ils ont trouvé deux backpacks également. Avec une GoPro. Lui, il voulait carrément filmer son carnage. L'histoire est la suivante. qui était très proche. Moi, ça m'étonne que... Parce qu'on voit le graphique, on voit la configuration géographique de Mar-a-Lago. L'individu a réussi à se coller sur la clôture frosse. Déjà là, je pense qu'il y a des questions à poser. Mais les Secret Service l'ont vu. Ils ont vu un canon, le canon du fusil dépasser le grillage. Donc, ils ont tiré dessus. Il s'est sauvé. Chasse à l'homme, réalisé grâce à la vivacité d'esprit d'un Kidam, qui a vu le Nissan en noir, il l'a pris en photo avec la plaque, ils ont réussi à le retracer. 195, direction Nord. L'individu en question c'est Ryan Wesley Raut, ou Raut, j'imagine, c'est comme ça qu'on le prononce. Il vient d'Hawaï, mais il a fait tous ses crimes parce que c'est un criminel. En Caroline du Nord, où paraît-il qu'ils ont un long, long, long casier judiciaire, c'est quelqu'un qui a toutes sortes de stickers anti-Trump, il y a des posts anti-Trump. «Democracy is on the ballot! We cannot lose! We cannot lose!» « We cannot fail! We cannot afford to fail! » Et il a voulu tirer sur Trump. C'est ça l'histoire. [00:17:41] Speaker A: Le gars qui obsédait sur l'Ukraine pis une couple d'enfants de même. [00:17:44] Speaker B: Ouais. [00:17:44] Speaker A: Mais il avait plusieurs obsessions. [00:17:46] Speaker B: Il est allé à Kiev, parce que là il y a quand même beaucoup d'informations, est allé à Kiev. [00:17:50] Speaker A: Ok, ça je sais pas. [00:17:50] Speaker B: Et son ex relate qu'il a même voulu faire du recrutement de soldats étrangers pour aller combattre pour l'Ukraine, un peu comme... Les Wally de ce monde. [00:18:02] Speaker A: Ce que j'ai lu vite, c'est que lui avait voulu aller combattre pis ils ont pas voulu de lui là. Parce que pas assez équilibré. [00:18:08] Speaker B: Là, ils ont rencontré voisins. Évidemment, la couverture visuelle. Et il y a des voisins qui osaient pas y parler parce qu'il avait l'air d'un crackpot. You betcha! Il avait l'air d'un crackpot. Regardez-en la face. [00:18:18] Speaker C: Sur les photos, il a l'air d'un crackpot. [00:18:20] Speaker B: Ben oui. C'est un major crackpot. Mais! Comme dit l'expression, Assez fou pour mettre le feu, pas assez fou pour l'éteindre. Ou non, pas assez fou pour mettre... Comment on dit ça? Il y a l'expression. C'est carrément ça. Donc, assez intelligent pour planifier. Il y a quand même une planification. Il joue au golf. Je vais emmener la K-47 à cet endroit-là. Dans le bosquet que j'ai spoté. Je serai pas spoté. Je vais le filmer. Il était à 300 pieds quand même de l'ex-président. [00:18:50] Speaker A: Il était beaucoup trop proche. Il n'y aurait pas dû se rendre là une fois de plus. On nous dit, là j'ai lu ce matin que justement les services secrètes est un peu plus léger, vu que c'est pas le, vu qu'il n'est pas le président présent, mais il est quand même là. [00:19:05] Speaker B: C'est ça, là il y a le rapport qui va sortir, je suis pas... concernant l'attentat de juillet. Engagé Martin Sirouet Sécurité. Le rapport va sortir peut-être même cette semaine. Concernant l'attentat de Butler. [00:19:20] Speaker A: Après l'attentat, il avait été dit que la sécurité serait augmentée autour de Trump. Ils nous disent encore qu'il est plus léger parce que ce n'est pas lui le président. [00:19:30] Speaker B: C'est fou de mettre le feu parce que c'est fou de l'éteindre. C'est ça son cas. [00:19:34] Speaker A: Sérieux, mettez autant de sécurité pour Trump que pour Kamala. [00:19:39] Speaker B: Si Kamala veut bien paraître parce qu'on comprend que c'est... Ah ben elle est pas présidente pis le président il est pas plus président. Le président qui met une calotte de Trump. Y'a pas de président. La calotte de Trump c'est spécial là. [00:19:49] Speaker C: Oui! [00:19:50] Speaker B: Elle t'y perd, qu'elle a voulu faire un finger au Obama. Ben moi je l'ai perçu de même. [00:19:56] Speaker A: C'est spécial pareil. [00:19:58] Speaker B: Ben c'est la même gang. [00:19:59] Speaker A: Ouais c'est ça. [00:20:00] Speaker B: C'est l'Obama avec Kamala comme marionnette. [00:20:03] Speaker A: Pis là c'est de l'au-vain analyse, mais y'a des gens qui m'ont envoyé des images aussi après ça, la journée d'après. [00:20:08] Speaker B: Ils montent en avion avec la calotte de... Avec une calotte rouge. [00:20:11] Speaker A: Ben j'sais pas si c'est la même, mais y'a une calotte rouge dans la main. [00:20:14] Speaker B: J'pense c'est la même. Ça l'a mis sur la tête! [00:20:16] Speaker A: Ça l'a mis sur la tête! Pis il pose, là! [00:20:19] Speaker B: Il pose! [00:20:19] Speaker A: Il a pas mis une seconde, fait comme... « Ah, c'est une canote de Trump! » Non, non, non, non! Il savait exactement c'était quoi, là! [00:20:24] Speaker B: J'adore! J'adore, j'adore, j'adore! [00:20:27] Speaker C: Avec les sourires, tout! [00:20:29] Speaker B: Oh, oui! Oui, oui, oui! Il savait qu'il était filmé, évidemment! [00:20:31] Speaker A: Il était dans les heures où il était encore allumé, là! [00:20:34] Speaker B: Exact! Je vais y aller dans le mini-vélo, un peu, parce qu'il y a quand même de la nouvelle. Gros, gros dossier qui se poursuit. D'ailleurs, ce matin, concernant... les femmes médecins. Les femmes doivent être deux fois meilleures que les gars. Bon, on joue beaucoup sur la discrimination. Oui, évidemment. [00:20:52] Speaker A: Les dossiers de fin de semaine du Journal de Québec. [00:20:54] Speaker B: C'est des méga dossiers. Est-ce qu'il y a eu de la discrimination avant? Oui. Faut combattre ça. Le sexisme? Absolument. Faut le combattre. Faut combattre les préjugés? Absolument. Par contre, la médecin, en fin de semaine, qui dit, c'est toute une belle nouvelle. Quelle bonne nouvelle, la féminisation de la médecine. Je sais pas là, je sais pas si on est vraiment dans l'intelligence avec une phrase comme ça. Il me semble qu'un médecin devrait se soucier de l'accès. Si par exemple, elle dit, il y a 50% plus de médecins au Québec, on a réduit les listes d'attente de 80% et grâce à l'arrivée massive de femmes, parce que c'est la thématique, À ce moment-là, étant donné que les Québécois sont beaucoup mieux soignés et soignés plus vite, là, je dirais, wow, ça, c'est une bonne nouvelle. Mais en aucun temps, on dit qu'on est soignés plus vite. C'est pas du tout le focus de la patente. Le focus de la patente, c'est... c'est trop masculin, ça prend plus de femmes, et bravo, on aura 70 % des médecins au Québec qui seront des femmes. Savez-vous quoi? Je vais vous dire tout de suite, je m'en fous. Moi, quand je vais être soigné, je vais être soigné par n'importe qui. Un chinois, un arabe, un catholique, un musulman, un bouddhiste, un homme, une femme. Je m'en fous, pour vrai. Je regarde même pas ça. Je regarde pas ça. Pis là, t'as été en mesure peut-être de le statuer. Dan, t'as été peut-être le dernier dans la gang à avoir accès au système de santé parce que tu souffrais. Attends, je ne t'ai même pas posé la question. C'est un homme, une femme, ton médecin, c'est un noir, c'est un gars d'Haïti, c'est un gars de la Somalie, de la Jamaïque. Toi, as-tu checké ça? C'était-tu important pour toi? [00:22:50] Speaker C: Non, c'était pas important. C'est juste des hommes, by the way. [00:22:53] Speaker B: Ça, c'est un hasard. [00:22:55] Speaker C: J'ai rencontré deux hommes et une pharmacienne. [00:22:58] Speaker B: Ça, c'est un hasard. [00:22:59] Speaker C: Tout est un hasard, je n'ai rien demandé. [00:23:00] Speaker A: C'est ça. [00:23:01] Speaker B: C'est un hasard. [00:23:02] Speaker C: Le premier. [00:23:03] Speaker A: C'est ça. [00:23:04] Speaker B: Mais c'est ça! On veut de l'accès. C'est ça, le sujet. C'est un discours, à mon avis, c'est pas un discours impertinent, parce qu'il faut toujours se battre pour l'égalité, mais moi je trouve qu'au Québec, l'égalité règne. Les femmes peuvent tout faire. Dans ma tête à moi, c'est un dossier qui est réglé, le lien entre les femmes. Pompiers, polices, architectes, sont dans l'armée, jouent au hockey. Neymeth, tu regardes la télé, il y a beaucoup de femmes. Moi, je ne ressens pas de discrimination. Je ne vous montrerais pas au berger, là où sont les hommes. Je serais plurnicheur un peu. Les hommes font ce qu'ils ont à faire. Moi, je pense qu'on devrait s'intéresser aux petits gars davantage. Je trouve que les petits gars sont écartés du système d'éducation. Ça ne va pas très bien. D'ailleurs, on pourrait en parler avec Sarah. Cette semaine, elle vient nous voir. Mais je partirais pas une campagne de jérémiades et de plurnichage en ondes en jouant à la victime. J'aime pas ça. J'aime pas la division. [00:24:07] Speaker A: De tous les textes qu'il y avait en fin de semaine, le seul que j'ai trouvé le moindrement pertinent pis c'est pas... Moi j'étais au courant, mais... C'était l'histoire que c'est pas à cause des congés de maternité qu'il manque de médecins présentement. [00:24:17] Speaker B: Exact. C'était juste ça. [00:24:19] Speaker A: Non, c'était pas ça. C'est parce qu'à un moment donné, il y a deux choses qui sont arrivées en même temps. Les femmes qui sont devenues majoritaires chez les médecins, puis le fait que les jeunes médecins travaillent moins aussi que les plus âgés. Mais c'est vrai pour les hommes aussi. Les jeunes médecins masculins travaillent moins que l'ancienne génération. C'est ça, c'est générationnel. C'est pas une question de sexe. [00:24:41] Speaker B: Vendredi, une petite journée de ski en famille à Tremblant. Ah non, ça n'existe pas. Arrêtez. Ceci dit, c'est générationnel. Et savez-vous quoi? Si on faisait l'étude aux États-Unis, peut-être que ce serait le cas aussi. Parce qu'on est américains. [00:24:55] Speaker C: Absolument. [00:24:55] Speaker B: Oui, probablement. [00:24:56] Speaker C: Selon moi, un médecin qui prend une couple de journées de congé, comme on le voit de nos jours, est un meilleur médecin qu'un médecin qui travaillait 20 heures par jour, 7 jours sur 7. Moi, je pense que oui. Il y a 20-30 ans. [00:25:07] Speaker B: Mais on veut de l'accès. C'est ça le discours, à mon avis, qu'on devrait avoir. Là, on revient ce matin avec des gérémiades sur les revenus annuels. Là, on crie à la discrimination parce que les pédiatres femmes feraient moins que les hommes. Savez-vous quoi? J'ai de la misère à croire à ça. Le sexisme systémique de la rame-cul, really? Donc, il y a vraiment... Il y a vraiment des fonctionnaires à l'ARMQ, il y a vraiment des règles gouvernementales qui disent que... OK, c'est Hélène Gadebois... Elle a facturé, parce que les autres, ils traitent de la facturation. L'RMQ, c'est un gros centre de facturation. Chic et chic. C'est Hélène Gadebois. Elle a eu trois consultations hier à Terrebonne. Ok, t'es un peu... Je vais la payer moins que... Yvon Lévesque. Ok, elle, c'est une femme. Je vais la payer moins... Pensez-vous que ça existe, ça? J'ai de la misère à croire ça pour vrai, là. Honnêtement. [00:26:05] Speaker C: Moi, sais-tu c'est quoi qui m'a fait suer dans cette série d'articles-là? [00:26:09] Speaker B: Qui se poursuit aujourd'hui d'ailleurs. [00:26:10] Speaker C: Qui se poursuit aujourd'hui. C'est cette espèce de, puis j'allais dire non-dit, mais on le dit dans l'article sur les soeurs presque jumelles qui sont géorgiennes, que les gars s'occupent pas des enfants. Ça là, je trouve que ça fait pas vraiment 2024. Dans tout mon entourage, tous les gens que je connais qui ont des familles, les gars, les pères, les mères... [00:26:30] Speaker B: Ils sont plus impliqués qu'avant. [00:26:31] Speaker C: Ben oui, ils sont plus impliqués qu'avant. Dans tout, autant dans les... lors d'un préjugé, ce que je vais dire là, dans les travaux ménagers, que dans la bouffe, que dans tout ça, ils sont beaucoup plus impliqués. Je lisais les articles pour dire qu'en plus les femmes, la charge mentale de la famille à la maison, je m'excuse, mais cette charge mentale-là, les hommes la partagent de plus en plus. [00:26:53] Speaker B: Tout à fait. Faut le dire. [00:26:55] Speaker C: Ben oui, faut le dire. [00:26:58] Speaker B: Alors voilà, c'est dit. 7h32. C'est de l'argent gaspillé, encore une autre fois. 2.5 millions. Prenez 2.5 millions, mettez ça dans un sac, mettez le feu. C'est pas mal ce qu'a dit Ivan Robert vient de faire. Avec sa campagne, évidemment, main dans la main avec Québécois. On sort ça, c'est le français, donc Québécois, le français, pouf! Québécois, ce matin, a toutes, toutes, toutes les affiches qui vont... qui vont être placardées partout au Québec. Ça va passer sur le web. T'as-tu de l'audio de ça, d'ailleurs? [00:27:32] Speaker C: Ben oui, elle est sortie, l'audio. J'en avais pas ce matin, mais là, je l'ai. [00:27:36] Speaker B: On écoute. [00:27:36] Speaker C: On écoute, OK. Allons-y. La pub de quel genre? [00:27:40] Speaker B: En Sud, avec la famille, je cherche la simplicité. Donc, je fais une recherche de vol à partir de Québec. [00:27:45] Speaker C: Ça, c'est encore une publicité. [00:27:47] Speaker B: OK. OK. Peux-tu la cueer? [00:27:49] Speaker C: Il faut écouter une pub. [00:27:51] Speaker B: Il faut écouter une pub. [00:27:52] Speaker C: Il faut que j'écoute une pub. [00:27:53] Speaker B: Sur YouTube. L'histoire est la suivante. 2,5 millions pour inviter les Québécois à exiger le français au cinéma, au travail, dans les commerces. Des messages qui vont être placardés partout au Québec et surtout dans les quartiers anglophones et multi-ethniques de Montréal. Wow. [00:28:15] Speaker A: Ok. [00:28:15] Speaker B: Un abribus de Westmount, tu vas avoir... Pis la campagne, elle est laide. Désolé, je sais pas qui a fait la campagne, elle est laide. J'expliquais pourquoi, là. Hé, l'anglo. [00:28:25] Speaker A: Demande le français. [00:28:27] Speaker B: Elle est laide, au plan graphique. Je vous explique, c'est écrit le français. Et vous avez le CCDI et le A de français encerclés. Et la campagne c'est ça, ça là, le français, mais... C'est C.C.D.A. Ça fait couler beaucoup d'encre. Ça commence par bonjour. Ça se parle ici aussi. Regardez-le, je vais vous le montrer. [00:28:53] Speaker A: C'est ironique qu'ils mettent l'accent comme ça sur le C.C.D. parce que les jeunes qui sortent de l'école, ils l'écrivent S.A. [00:28:57] Speaker C: C'est pareil comme la vieille... [00:28:59] Speaker B: Faudrait peut-être montrer à écrire comme du monde. Oui. [00:29:01] Speaker C: La vieille campagne de pub des penchons. Ça. C'était ça. Ça, c'était ça. Je lis la pub, là. Je suis cué. Je suis prêt. On l'écoute. [00:29:11] Speaker B: Peut-être que l'aéroport de Québec est petit. Voyons ma tabarnache! J'vous l'ai en sourdine. Quand t'es prêt, lèveras ta main. [00:29:18] Speaker A: C'est vrai qu'il est petit. [00:29:19] Speaker B: J'vous l'ai en sourdine. Bon rouler pis on va te swingner ça live quand on l'aura. Bref, Jean-François Robert. Diversion peut-être? [00:29:27] Speaker D: La conversation. [00:29:28] Speaker B: Bonjour. [00:29:29] Speaker D: Bonjour. Bonjour. C'est ça, juste bonjour. [00:29:33] Speaker B: Ça, ça s'apprend. Chou, genou, hibou, bijou, caillou, joujou. [00:29:37] Speaker D: Ça fait plaisir à entendre. [00:29:38] Speaker B: Merci beaucoup. [00:29:40] Speaker D: Des fois, ça laisse sans mots. [00:29:41] Speaker B: Je t'ai toujours aimée. [00:29:43] Speaker D: Ça s'affiche ici. [00:29:45] Speaker C: Là. [00:29:46] Speaker B: Là-haut. Comme ça. C'est parfait. [00:29:48] Speaker D: Ça fait rêver. Ça fait avancer. Ça fait parler. Beaucoup parler. Beaucoup, beaucoup, beaucoup. Ça, ça... Ça va, Nico? [00:29:59] Speaker B: Comment ça s'écrit? [00:30:00] Speaker D: Comme ça se prononce. Ça s'exige. J'ai quelque chose à ajouter, Kelly. Ça se choisit. [00:30:05] Speaker C: Oui, ça. [00:30:06] Speaker D: C'est sûr que ça se demande. Provocante. Ça mérite toute notre attention. [00:30:09] Speaker C: Ça, là, ça, c'est important. [00:30:11] Speaker D: Surtout, ça dépend Ça dépend de nous. [00:30:12] Speaker B: De moi? Oui. Puis moi? [00:30:14] Speaker D: Oui, oui. [00:30:15] Speaker B: Moi aussi? [00:30:15] Speaker D: Bien oui. Ça, ça dépend de nous tous. [00:30:17] Speaker B: Juste pour être sûr, ça c'est bien le... [00:30:20] Speaker D: Le français, c'est ça. C'est tellement ça. [00:30:23] Speaker B: Oh! Avec l'accent ukamien à la fin. L'accent qu'on entend beaucoup à RDI la fin de semaine. Wow! Ça, c'est Pennywise, effectivement, de Stephen King. Ça, The Thing, ça. Inutile. Mais je tiens à saluer, et je ne les connais pas, les gens qui ont travaillé pour l'agence de pub, c'est du beau cash, là. 2,5 millions, là. C'est pas bon, mais c'est du beau cash. C'est très laid. C'est pas bon. Mais... [00:30:54] Speaker A: C'est inutile, inutile, inutile. [00:30:59] Speaker B: L'accent doit être sur la francisation. [00:31:01] Speaker A: C'est une pub pour Sophie Durocher. [00:31:03] Speaker B: Là, j'embarque dans la couverture du Devoir en fin de semaine. La francisation, là, ça va pas bien. Je veux pas être mésinterprété. Je pourrais être mégenré aussi. Peut-être, amusez-vous. Il y a peut-être un petit peu trop d'immigrants, point d'interrogation. Ça déborde, ok. On a besoin de francisation et on l'exprime bien avec des faits. En fin de semaine, j'ai aimé la couverture du Devoir en fin de semaine. où il y a des gens qui pleurent, il y a des fils d'élèves qui pleurent. Les autres, ils n'ont pas de francisation à ce moment-là, ils ne sont pas intégrés. Ils ne pourront pas avoir des services du gouvernement, etc. parce que la CAQ a serré la visse. « Hey, regarde là, tu ne parles pas français, tu n'auras pas de service. Ça fait plus de six mois, tu es arrivé. » Quand c'est rendu que c'est le Parti libéral du Québec, oui, oui, le Parti libéral du Québec qui demande de meilleures actions en francisation, ça ne va pas bien. Je suis obligé de le dire. Ça ne marche pas. Pourquoi maintenant ça marche pas? Parce que c'est mal géré pis y'a pas assez de cash là-dedans pis y'a pas assez de profs. Pourquoi ça déborde? Ça déborde à cause de Trudeau. Bonne analyse de Dumont en fin de semaine. L'histoire du chemin Roxham qui s'est transformée en aéroport Roxham, où ça arrive de partout. Et là, c'est dans la cour de Trudeau tout ça. Mark Miller, lui se fait critiquer par l'Ontario et le Québec. C'est l'Ontario et le Québec qui ont le gros bunch. des immigrants qui arrivent ici. Et là, on lui a demandé à Miller, envoisons donc dans d'autres provinces. C'est aussi bête que ça, là. Entre autres, des maritimes. OK. C'est Dumont qui m'apprend ça. J'étais pas au courant de cette patente-là, mais moi, je pense que c'est vraiment essentiel. Il faut vraiment que les autres gouvernements fassent leur part. Donc, ils ont demandé au Nouveau-Brunswick d'en prendre 4600 de plus. 4600, là? C'est l'aréna de Shawmigan, là. C'est pas si pire. Aide-nous. Non, il n'en est pas question. Le premier ministre Higgs dit pas question. Il laisse entendre qu'un bon nombre serait de faux demandeurs d'asile. Et il a probablement raison, écrit Dumont, et que de toute façon, il n'aurait pas la capacité de fournir leurs mains et services. Ah oui, on l'a-tu, nous autres, la capacité? Le frais prus, yaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaïaï Nouvelle-Écosse, pas tellement plus d'ouverture. Il s'appelle Houston lui. Désolé, je n'étais pas au courant. Je ne suis pas la politique de la Nouvelle-Écosse à temps plein. Il dit non. Nous autres, on tient une immigration sélectionnée axée sur les pénuries du marché du travail de sa province. Il ne veut rien savoir des demandeurs d'asile. Leur présence au Canada serait le résultat des échecs des politiques fédérales. Ils s'opposeraient vigoureusement à leur venue sur son territoire. C'est quand même saucé, là. C'est quand même saucé. Nous autres, on a trop. On demande à Miller de faire sa job, Miller se revire de bord, demande à Newby et demande à Nova Scotia, faites donc votre part. Les deux font des fingers au fédéral. [00:34:40] Speaker C: Moi, si j'étais ministre, c'est pour ça que je peux pas le devenir non plus. Aujourd'hui, j'appellerais les autobus la québécoise. Puis honnêtement, je ferais pas d'appel d'offre. [00:34:49] Speaker B: Tu ferais comme le gouverneur du Texas. [00:34:51] Speaker C: Exactement. Je voudrais que ce soit écrit la québécoise sur l'autobus. J'ai rempli l'immigrant. Regarde, un convoi, 12 autobus en ligne. [00:35:01] Speaker B: On a fait le gouverneur du Texas envers New York. [00:35:03] Speaker C: Avec 40 immigrants par autobus. [00:35:05] Speaker B: Descentis. Il a fait ça, mais c'est plus le Texas qui l'a fait. Descentis l'a fait. [00:35:09] Speaker C: Ces bus-là reviennent vides. Je vous le confirme. Trouvez-vous des chapiteaux. Puis t'es élu de quand? [00:35:15] Speaker B: Mon père il disait, ils reviennent à l'âge. [00:35:17] Speaker C: À l'âge. À l'âge! Il va à ça, on revient à ça. [00:35:21] Speaker B: À l'âge! [00:35:22] Speaker A: Si l'autobus en revient pis qu'il y a un immigrant dedans, c'est parce que c'est le chauffeur. [00:35:25] Speaker B: Exact. Mais Miguel, on en a besoin. [00:35:27] Speaker A: Bon oui, on va le garder. [00:35:29] Speaker B: Surtout que c'est mon cubain. Le gars il rattache tout à tout, hein! Je sais que m'aurait dit là, raciste! Non non, c'est parce que t'as pas suivi la game, moi tu... Ok, à part ça, donc Eddie Van Roberge, son cas est réglé. Peut-être dire à Scalabrini qu'on va leur attarder un brin. J'ai quand même d'autres nouvelles. La fake news... Ma fake news à moi ce matin, c'est la presse. Regardez, la CAQ, c'est pas mes préférés. Gigi a des relents que j'aime, mais c'est pas ma préférée. Docile, hein. Oui, docile, restez à la maison, puis... Je vais appeler la police, là, si vous sortez, blablabla. Il y a de moins pas moins que ce que Gigi a fait concernant les motos électriques sur les pistes cyclables. Je suis d'accord avec elle. Ça n'a pas de sacré bon sens. Les motos électriques sur les pistes cyclables, il fallait que ça arrête pour vrai. Il y a des kids qui roulent sur les pistes cyclables. Les pistes cyclables, c'est fait pour les cyclistes. Je ne sais pas. Je lève ma main. Moi, je ne suis pas cycliste, mais Dan, j'exagère-tu? Je suis radical. [00:36:32] Speaker C: Le plus gros problème des pistes cyclables, c'est que c'est hijacké par tout le monde. [00:36:36] Speaker B: Voilà. Les trottinettes, les siliceaux. [00:36:39] Speaker C: Les patins à roulettes, les poussettes, le sauvage. C'est fait pour les BESIC. [00:36:42] Speaker B: C'est fait pour les BESIC. Complètement d'accord. C'est un peu ce qu'elle a dit. Méga fake news dans la presse. Où on dit que on a été inondé de courriels de lecteurs qui nous disent que ça n'a pas de bon sens ce qu'elle a fait. On est furieux après ce gouvernement-là. Parce qu'il n'est pas en phase avec les enjeux environnementaux. [00:37:06] Speaker A: Ha ha ha! [00:37:07] Speaker B: C'est une histoire de sécurité, les amis. Il y a des motos électriques qui ont l'air de fun. Ouais, mais c'est parce qu'il faut structurer, les amis. Il y a des motos électriques sur les trottoirs. On va juste s'équilibrer, on va juste jaser de manière intelligente. On va essayer de structurer ça, là. OK? Des motos électriques qui font du zigzag entre les enfants, qui font du plastique à pédale. sur les pistes cyclables. Ça n'est qu'une tête, excusez-moi, là. Ça n'a pas rapport, OK? Fait qu'on a décidé, puis je le dis sous mon bras, inventé complètement des courriels, des messages. Regardez. Si vous n'êtes pas capable de me donner le nom complet du lecteur avec une vérification d'identité, ce lecteur-là n'existe pas. Right? OK. Une jourzée. écrit, j'ai acheté honnêtement et légalement un scooter Jio Royal 2300$, taxes incluses, afin de pouvoir me déplacer à l'énergie verte sur de courtes distances. Et deux ans plus tard, on veut me la faire jeter, Le faire jeter, vraiment, c'est indigne Josée. Ha ha ha ha! [00:38:22] Speaker C: Mais voyons Josée. [00:38:23] Speaker B: Josée, elle n'existe pas là. Josée n'existe pas. Méga fake news alert. Inventée de toute pièce. [00:38:31] Speaker C: Surtout que Josée, là, elle a juste à prendre son Géoroyal, aller à Saac, l'y matriculer pis rouler d'envers avec. [00:38:37] Speaker B: Première des choses. Deuxième des choses, quelqu'un sain d'esprit s'achète pas ça pour sauver la Terre. T'achètes ça pour avoir du fun? [00:38:45] Speaker C: Ben oui. [00:38:45] Speaker B: Moi j'ai trois trottinettes à la maison. Y'en a deux qui marchent plus là. Jaina! Y'en a une qui marche encore. Une... Je l'avais achetée au Costco, bonne marque là. [00:38:55] Speaker C: C'est pas pour sauver en terre. [00:38:56] Speaker B: Segway! [00:38:56] Speaker A: Oui! [00:38:57] Speaker B: Segway! C'est pas pour sauver en terre, c'est pour avoir du fun. Sauver en terre! Y'a personne qui achète ça pour sauver en terre! Vraiment là! T'en veux-tu un autre? Parfait. Si c'est illégal d'en importer, comment cela se fait-il qu'il était si facile d'en acheter? C'est pas illégal d'en importer, en passant. Le gouvernement et la SAAC frappent le dernier maillon de la chaîne. L'utilisateur... Oh, là, ils se la jouent utilisateur-payeur. On peut jouer avec ça pour le transport en commun, si vous voulez. Ah non, ah non, OK. Mon scooter me permettait de faire mes courses dans le quartier, de me déplacer. Donnez-moi la chance de l'immatriculer et de l'utiliser jusqu'à la fin de sa vie utile. L'implort, clair! Juste aller à la SAC, c'est ça que tu me dis? Ben oui! Ok, parfait. J'ai beaucoup de peine car j'ai un scooter électrique. Je le conduis selon les lois. Je promène mes petites filles qui adorent ses promenades. Je serais prêt à l'immatriculer sinon, que vais-je faire? La mettre au dépotoir? J'écris une grand-maman. Hé, c'est inventé là. Une grand maman. OK. Scalabrini va attendre un petit peu. Il est là? Non? Il est là? Parfait. Il est sur le... le back burner. [00:40:06] Speaker C: Parfait. [00:40:06] Speaker A: Lui il va payer, relaxe. [00:40:07] Speaker B: North Vault, qu'est-ce qui arrive avec ça, mon cher Doom? Ils ont arrêté de payer le monde, ils ont suspendu la paye, c'est quoi? Ça va bien, tout va bien, c'est parfait. [00:40:13] Speaker A: Un coup d'indépendance, il y a du monde qui se demande si leur paye va rentrer. Mais nous autres, on continue à dépenser de l'argent. [00:40:18] Speaker B: Ben oui, pas de problème. Air Canada... [00:40:20] Speaker A: On veut compétitionner Elon Musk. [00:40:23] Speaker B: Ouais, c'est quoi l'affaire? Raconte-nous brièvement. [00:40:26] Speaker A: Une compagnie de satellites, ils sont basés pas mal au Québec, ils sont en retarde d'ailleurs dans les livraisons, ils étaient supposés déjà avoir commencé à avoir lancé des satellites, finalement ce n'est pas arrivé. Là, ils ont fait une nouvelle annonce en fait, vendredi, avec le fédéral. On leur prête beaucoup d'argent, je pense que c'est 400 millions de provinciales puis 2 milliards. Le fédéral. Pour qu'ils compétitionnent Elon Musk pis Starlink. [00:40:48] Speaker B: Mais ça recrois ça. Ça raconte ça, c'est complètement un hury ça. [00:40:52] Speaker A: C'est le panier bleu dans l'espace. [00:40:53] Speaker B: C'est le panier bleu dans l'espace. [00:40:55] Speaker A: C'est vraiment ça là. [00:40:57] Speaker B: Ça a pas de bon sens. [00:40:58] Speaker A: Je te ferai entendre des choses salariées. [00:41:00] Speaker C: Tant qu'on passe au crédit. [00:41:01] Speaker B: Tant que ça passe au crédit, c'est l'enfer. OK.

Other Episodes

Episode

August 20, 2024 03:59:56
Episode Cover

Maurais Live – Intégral du 20-08-2024

Maurais Live – Intégral du 20-08-2024

Listen

Episode

August 27, 2024 00:18:25
Episode Cover

Avant 5 ans, LE MOINS D’ÉCRAN POSSIBLE!

Listen

Episode

September 02, 2024 03:59:56
Episode Cover

Maurais Live - Intégral du 02-09-2024

Maurais Live - Intégral du 02-09-2024

Listen