PSPP à la défense du MODÈLE QUÉBÉCOIS!

September 16, 2024 00:22:00
PSPP à la défense du MODÈLE QUÉBÉCOIS!
Maurais Live
PSPP à la défense du MODÈLE QUÉBÉCOIS!

Sep 16 2024 | 00:22:00

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[00:00:00] Speaker A: Let's go live now from the Tower of Doom. Mets ton béret, légionnaire. This is Moray Live. On devient un légionnaire et on reste jusqu'à la mort. From the Radio X World Headquarters, here is your legendary Legion of Doom. [00:00:28] Speaker B: Deuxième attentat contre Trump quand même. Si NN fait un job correct, le gagagourou va venir du Québec. [00:00:35] Speaker A: Contre Trump? Ah oui? [00:00:36] Speaker C: Claudine, imaginez-vous, on a encore 50 jours avant les élections présidentielles, avant le 5 novembre. C'est une Amérique divisée, déchirée, et là c'est la deuxième tentative d'assassinat contre un des candidats. C'est évident que là, les services secrets sont sur le qui-vive. [00:00:53] Speaker A: C'est très préoccupant. Contre un des candidats, non, le même les deux fois là. [00:00:58] Speaker B: Exact. [00:00:58] Speaker A: C'est pas comme un ou l'autre là, non non, c'est deux fois contre la même personne là. [00:01:02] Speaker B: Point d'interrogation Marchette de Radcan. Deuxième attentat? Oui, c'est un attentat, il n'y a pas de point d'interrogation. C'est ce matin à RDI. Egalement, la presse. Encore une histoire rocambolesque. Non, une histoire rocambolesque? Si quelqu'un qui déboule les marches tombe à la pleine face d'un gâteau. Tu sais je veux dire, roquembolets c'est quelque chose de d'inusité, roquembolets. Tu sais, mettons Donald Trump qui fait du quatre-roues. [00:01:33] Speaker C: C'est un pick-up qui rentre assez loin dans une salle de quai pour faire un abat là. [00:01:37] Speaker B: C'est ça. Mais qui fait pas de mort. Tu sais, roquembolets il faut que ça soit farfelu, léger. Là on parle quand même de quelqu'un qui a voulu tirer sur un politicien. Si quelqu'un fait une tentative de ce type-là sur un politico-québécois, est-ce qu'on va écrire que c'est recambolesque? Ah non, on va dire autre chose. Avec Trump, c'est différent, c'est sûr. Comme je vous le dis, CNN à date, je regarde ça, sont quand même assez honnêtes pour dire que le gars faisait des rands contre Trump. C'est une tentative d'assassinat. Il y a plein de monde ce matin du FBI, des ex du FBI qui parlent. Je peux pas les critiquer là-dessus, à date. Mais tu m'as montré une manchette complètement folle tantôt. Ça, c'est la pire. Ça, ça vient du DOM. [00:02:23] Speaker A: Ça vient du Québec Or. [00:02:25] Speaker B: Un expert, un autre expert. [00:02:27] Speaker A: Tentative d'assassinat présumée sur Trump. L'événement pourrait être bénéfique pour sa campagne, dit un expert. [00:02:33] Speaker B: Ils vont en profiter, donc c'est quasiment arrangé. Ils vont en profiter. On est comme ça. Et ça va être comme ça, savez-vous quoi? Toute la journée. À la joute. Au clip des ex aussi, et la Dussault ce soir, etc. [00:02:46] Speaker A: En parlant de la Dussault, ils ont passé une partie de la fin de semaine, puis elle a commencé ça vendredi. Ah Trump, l'histoire à Springfield, ça crée de la violence. Il y a des attentes. Les haïtiens ont peur à Springfield et compagnie. Tout ça pour des histoires totalement inventées. Non, il y a... Springfield, c'est vraiment, je l'ai compris encore plus en fin de semaine là, Springfield en Ohio, c'est le chemin Roxham. C'est une rumeur qui part, comme quoi, hey, on va aller à cet endroit-là. Le chemin Roxham, c'est que c'était la place où passer pour rentrer au Canada. Le Canada, ils ont dit qu'ils allaient nous recevoir. C'était Trudeau qui avait fait un tweet. Springfield, c'est une histoire que, hey, il y a de la job là! Des immigrants, si vous voulez de la job, c'est là. Let's go, pis c'est pas cher en plus, pis ta ta ta. Fait que là sont venus, pis une rumeur, pis des passeurs qui se font du cash. [00:03:34] Speaker B: Exact. [00:03:35] Speaker A: Pour ramener ce monde-là, c'est carrément ça. [00:03:36] Speaker B: En disant qu'ils se font exploiter. [00:03:38] Speaker A: J'te fais entendre un bout du conseil municipal, ça existe pas c'histoire-là, ok. le conseil municipal du côté de Springfield, en Ohio, c'est un citoyen qui vient... En passant, le citoyen est noir, j'te souviens pas ça. [00:03:50] Speaker D: Je vous demande vraiment de sortir ici et de faire quelque chose. Ces Haitiens s'envolent dans des sacs de verre. Ils s'envolent dans des bâtiments. Je ne sais pas comment vous pouvez être à l'aise avec ça. J'ai l'impression d'avoir été payé par quelqu'un en arrière-plan. Il y a beaucoup de gens sur le bus qui s'envolent à la station de gaz pour venir ici. Je connais une seule mère qui m'a facetimé ce soir. Elle m'a facetimé ce matin à l'office de l'agriculture qui a vraiment besoin de quelque chose. et c'est rien qu'immigrants là-bas et je ne veux même pas ressembler à des immigrants parce que c'est les gens qui les amènent là-bas parce que là où ils sont, c'est ce qu'ils sont habitués à faire. Ils sont dans le parc, attirant des oiseaux par leur nez et coupant leur tête et marchant avec eux et les mangeant. [00:04:32] Speaker A: C'est pas pour les immigrants, mais y'a du monde qui les amène ici. Y'a du monde qui se font du cash sur leur dos. Pis nous autres, on s'amasse un peu avec les problèmes. Pis en effet, à la fin, il dit qu'il ramasse les cadavres d'impares, qu'il coupe la tête, pis il part avec. Ils vont y manger. [00:04:50] Speaker B: Je referai pas le bloc que j'ai fait la semaine passée, mais on a tous le barbare de quelqu'un. Effectivement, y'a des pratiques usuelles dans certains pays. que je trouve barbare, mais en même temps, moi, aux yeux de certains, moi, nord-américain occidental, je peux être barbare aux yeux d'autres. On a parlé du boeuf en Inde, etc. Il y a un clash. Faut le vérifier. Faut aller sur place. Et David Menzies, tantôt, va nous enjaser The Rebel News. Il a roulé dix heures pour aller là. Il va nous enjaser tantôt. [00:05:21] Speaker A: Je termine avec les États-Unis avant de retomber dans nos patentes. Kamala Harris au débat la semaine dernière. Elle est allée dire de quoi un moment donné qui là depuis ce temps là a été démonté mais pas à peu près. Mais la meilleure manière que ça a été démonté, c'est live. Elle est allée dire que il n'y avait présentement plus aucun militaire américain dans le monde en zone de combat. Écoutez le vidéo, je vous l'explique au pire après. C'est des militaires américains qui sont en Irak. qu'ils sont en zone de combat pis qu'ils sont en train d'écouter le débat pis qu'ils font comme... Hein? C'est parce que... On est où nous autres là si on n'est pas des militaires américains en zone de combat? [00:06:17] Speaker B: Elle a aucune notion de rien. Elle a aucune notion de quoi que ce soit. [00:06:21] Speaker A: C'est un mensonge et bien sûr elle donne pas l'entrevue locale qu'elle a donnée. [00:06:25] Speaker B: C'est honteux, cette entrevue-là, si vous ne l'avez pas vue, c'est honteux, c'est gênant. À la télé locale de ses amis ABC, gênant, honteux. L'immense majorité, voire la totalité des politiciens noeux du Québec des 30-40 dernières années sont meilleurs qu'elle. Nommez-les toutes. Moi, le premier souvenir que j'ai d'une politica, c'est Lise Bancon. Je t'ai dit que le ministre de Robert Bourassa, c'est quoi, les autres? Monique Jérôme-Forget, Pauline Maroit. Toutes meilleures! Sont meilleures de très, très loin. Elle a aucune notion de ce qui se passe. C'est quelqu'un qui est dangereux. [00:07:03] Speaker A: C'est quelqu'un qui est dangereux. [00:07:04] Speaker B: Elle est vice-présidente. [00:07:06] Speaker A: C'est pas quelqu'un qui a aucune expérience, entre autres en international. C'est l'actrice qui veut devenir président. Ça arrive des fois des candidats présidentiels qui n'ont pas une grande connaissance ou une grande expérience à l'international. Trump avant de devenir président, ses connaissances de la politique internationale étaient limitées quand même. C'est-à-dire qu'il n'en avait pas fait, il n'avait pas d'expérience là-dedans. Mais là, Kamala est vice-présidente présentement, là. Oui. [00:07:33] Speaker B: Elle est en fonction. [00:07:34] Speaker A: Oui. [00:07:35] Speaker B: Moi, il y a une situation qui m'inquiète. On n'en parle pas beaucoup. Peut-être qu'avec le prof Caron, tantôt, on va en parler. On va parler de Trump, on va parler de l'Ukraine. Faites comme ça, ça n'a l'air de rien, mais vous avez un Biden et un Trudeau qui ont l'air à fêter ça. Ils ont l'air bien contents. Ah oui, on va pouvoir utiliser des missiles longues portées en Russie. Ouais. OK. Longues portées pour attaquer Moscou. Ouais, ok. Poutine dit qu'il va répliquer automatiquement vers des capitales de l'OTAN. Mais ça, ça passe comme un entrefilet. C'est très très inquiétant ce qui se passe. Et vous avez, grosse enquête de LCI en France en fin de semaine sur des désertions dans l'armée ukrainienne à cause de la corruption. Mais c'est impossible! C'est nos amis! Maudits! corruption majeure dans l'armée ukrainienne. Ça, c'est jamais relaté ici. Ici, c'est nos amis, c'est parfait. Faut envoyer plein d'argent qu'on n'a pas à l'Ukraine. Faut bâtir des armes, construire des armes. Faut se dégarnir. On a dégarni l'armée canadienne pour équiper l'armée ukrainienne. C'est inquiétant. Mais c'est elle qui est supposée d'avoir le lead au bâton, là. [00:08:43] Speaker C: Actuellement, s'il y a un conflit mondial qui commence, on n'a pas assez de munitions pour recharger. [00:08:48] Speaker B: Exact. Pis on a un ricaneux patte en l'air à Ottawa qui allait retrouver ça ben le fun. C'est très inquiétant ce qui se passe, les amis. Je sais que ça vous intéresse peut-être pas, là, mais je vous disais ça comme ça, c'est inquiétant. [00:08:59] Speaker A: On revient à nos histoires, parlons du modèle québécois. on n'est pas sur le bord que ça change. Yori Chassin a quitté la semaine dernière et critique le modèle québécois. Entrevue avec PSPP, vendredi matin. [00:09:10] Speaker E: Sur le fond, moi, je pense qu'on met pas assez d'argent sur les services. On pourrait mettre plus d'argent sur les services. Oui, puis qu'on en mette moins sur les couches de bureaucratie et de contrôle pour protéger l'image du gouvernement. [00:09:21] Speaker B: Blabla. [00:09:21] Speaker E: Quand on parle aux gens en santé, en éducation, dans les groupes communautaires, à la DPJ, le message est le même. Au cours des 15-20 dernières années, on a ajouté les contrôles, ajouté de la paperasse pour protéger le gouvernement de toute erreur possible. Et les gens nous disent littéralement, je peux plus faire ma job. Et ça, ça coûte cher parce que la taille de la bureaucratie augmente. Et pendant ce temps-là, est-ce qu'on investit dans les services eux-mêmes? [00:09:49] Speaker A: Depuis le plus loin que je me souviens, c'est le discours de tous les politiciens qui ont voulu être élus que j'entends. [00:09:53] Speaker C: Genre, qui mangent un char. Un péquiste qui chiale contre la bureaucratie, c'est comme Laurent Proulx qui chiale contre la poutine. [00:10:01] Speaker A: Même un libéral, c'est des protecteurs du modèle québécois. Ce qu'il décrit là, c'est le modèle. Alors, votez pour moi, moi je vais bien le gérer cette fois-là et l'argent va aller à la bonne place. Ça c'est des promesses que j'entends depuis des années, des années, des années et ça n'arrive jamais. Ce que PSPP veut faire, c'est garder le modèle québécois. [00:10:21] Speaker B: Est-ce qu'on peut régler le déficit de 12 milliards de dollars en jouant sur les structures? [00:10:26] Speaker E: Tu peux en faire moins et ça va aider. Donc Santé Québec, Mobilité, tout ce que la CAQ a pu créer. Mais je ne vous cacherai pas qu'à long terme, je ne vois pas d'avenir financier pour le Québec si on ne rapatrie pas l'argent qu'on envoie à Ottawa. Parce que presque la moitié de nos impôts, 82 milliards, sont envoyés à Ottawa en échange de presque aucun service, puis la taille de la fonction publique à Ottawa a doublé. C'est monstrueux, c'est du gaspillage, parce que, justement, ça se traduit en rien de concret. [00:10:56] Speaker B: Il faut récupérer la partie de la dette, OK? La dette du Canada. [00:11:00] Speaker A: Puis, on touche plus à l'argent qu'on envoie, il faut toujours le répéter. Il y a beau le nier ou quoi que ce soit, ça demeure la réalité. [00:11:08] Speaker B: Pareil, au-delà d'un milliard, c'est un trillion, c'est ça? C'est trillions? C'est ça le terme? 1,346,264,259... Ah non, regarde, c'est monstrueux. La dette du Canada, OK? Il faut que tu la divises par 4. Grosso modo, là, c'est 22%, à peu près, la population du Québec. On va l'hériter, là. C'est pas vrai. Ça n'arrivera pas, les amis, mais je vous parle en termes techniques. Lui, il veut se séparer. Pouf, on récupère les revenus. Parfait. Tu vas ramasser une partie de la dette, mon petit loup, par exemple. [00:11:38] Speaker C: Ben oui, ben oui, ça vient avec. [00:11:39] Speaker B: Avec la même population. Nous autres, on n'augmente pas de population. [00:11:42] Speaker C: Non. [00:11:42] Speaker B: C'est 8 milliards. Le ratio per capita va exploser. [00:11:49] Speaker A: C'est un problème de revenus, c'est pas un problème de dépenses. [00:11:51] Speaker E: Pour ce qui est de l'augmentation de taxes, je pense que la CAQ s'est payée un profit politique en baissant les impôts. Ça, c'est très populaire, baisser les impôts. Mais avec les revenus en moins, il a fallu prendre des décisions difficiles qu'on refile aux villes. Donc, les villes sont prises devant des missions vraiment importantes, comme enlever de la congestion, prévoir les transports, mais avec des budgets insuffisants parce que la CAQ a prise des décisions, mais qu'elle n'assume pas dans la mesure où Les fonds manquants, ce sont les villes qui doivent expliquer aux citoyens que soit qu'on n'aura pas le service ou soit qu'on va devoir augmenter les taxes. [00:12:26] Speaker A: Ça c'est le gars qui est en tête. [00:12:28] Speaker C: Pourquoi il a tout le temps l'air essoufflé? [00:12:32] Speaker A: Mais c'est le gars qui est en tête pour être premier ministre présentement, là. On n'a pas un problème de dépenses, on a un problème de revenus au Québec. Les villes n'ont pas de problème de dépenses, ils ont un problème de revenus. Ça perd plus de taxes, plus de taxes, plus de taxes. Puis comment il faut y faire, les villes? [00:12:44] Speaker E: En transport, il y a un choix du gouvernement du Québec de ne pas croire ou investir dans les transports collectifs. Et c'est complètement à l'opposé du programme du Parti québécois parce que les coûts d'entretien des routes le coût de l'étalement urbain, à moyen terme, ce sont des décisions qui coûtent plus cher que si on densifie puis qu'on a des bons transports. [00:13:05] Speaker A: Écoutez-les, là! C'est lui qui est en tête pour devenir votre premier ministre. C'est lui que bien du monde écoute présentement. Vous voulez voter pour ça, là. Donc, moins d'argent sur les routes, plus sur le transport commun, plus de densification. Est-ce que c'est ça, le Québec, que vous voulez? Posez-moi la question, là. Parce que c'est pour lui que vous voulez voter. [00:13:23] Speaker B: Parce que ici, c'est les émotions. Aucun jugement, aucune réflexion. C'est une pancarte. C'est un beau petit bonhomme pirouette, cacahuète. Il est gentil, il est beau, il n'est pas polarisant dans son style à lui. [00:13:41] Speaker A: Il sent bon. [00:13:42] Speaker B: Il sent bon. J'aimerais ça que ce soit mon neveu, mon jeune, mon cousin à la fois. Et plus encore, on va voter pour lui. Il y en a 10 600 fonctionnaires de plus sous la CAQ. Et ça, je compte pas l'éducation par santé, on l'a fait le décompte la semaine passée. [00:13:55] Speaker A: Non, mais c'est pas un problème de dépenses, c'est un problème de revenus. Vous le savez. D'ailleurs, les... Nos politiciens et les gens dans nos médias, excuse-moi, c'est des idiots. C'est du monde qui comprenne rien à rien. Il y a de l'éducation à faire, pas à peu près. Faut repartir à zéro. [00:14:07] Speaker C: Les gens qui votent aussi, selon moi. [00:14:08] Speaker A: Oui, mais ils croient tout ça, là. Ils se font répéter ça aussi, les gens qui votent. C'est un problème de revenus, c'est pas un problème de dépenses. Mais la critique de Chassain n'est pas dénuée de fondements. Depuis 6 ans sous la CAQ, il y a 90 000 employés de l'État de plus. Ça, c'est presque 20 % de hausse, alors qu'on n'a pas l'impression nécessairement que les services se sont pour autant améliorés. Mais quand on lui demande si d'autres députés à François Legault, déçus des 11 milliards de déficit, pourraient imiter Youri Chassain, c'est la réponse en anglais du premier. [00:14:33] Speaker E: Ministre qui était la plus révélatrice. [00:14:41] Speaker A: Quand je demande à mes députés quelles dépenses vous souhaitez couper, ils n'ont pas de réponse. Et en effet, tout le monde au caucus était content de soutenir les baisses d'impôts, mais les finances publiques doivent maintenant vivre avec les revenus en moins. Ok donc, il dit, on a ajouté des dépenses, pis les gens ne voient pas la différence dans les services, mais il arrive à la fin en disant que non, le problème c'est qu'on a baissé les impôts. [00:15:02] Speaker C: La meilleure entrevue qui enrichissait un donné, c'est celle qu'elle a donnée ici avec toi. Parce que... [00:15:08] Speaker B: Finir un cul de poisson, mais j'avais pas le choix du point de la question. [00:15:11] Speaker C: Je veux dire, il y avait un paquet de questions qui étaient différentes, puis à un moment donné, à un moment donné, il l'a dit, là. Est-ce qu'il faut y aller de façon drastique? Je pense que c'est Udum qui a demandé ce qu'on a de quoi à faire. Est-ce qu'on est capable de changer de quoi? Il a dit qu'il faut y aller d'une façon drastique. Je pense qu'une seule façon de le faire, c'est de crisser tout le monde... Je m'excuse, là, mais c'est le bon terme. Tout le monde dehors et de recommencer à zéro. [00:15:34] Speaker B: Non, ça c'est pas réaliste. Peut-être pas tout le monde. [00:15:37] Speaker C: Je sais que souvent tu me dis. [00:15:38] Speaker B: Que c'est pas réaliste, mais... Non, mais tout le monde. C'est pas réaliste. [00:15:41] Speaker C: Je parle de la bureaucratie. T'as pas le choix. [00:15:44] Speaker B: On peut couper, oui, mais là, tout le monde... C'est parce que... Faisons comme Mike Harris, ça c'est réaliste. [00:15:49] Speaker C: Je parlais avec un boss, il me disait c'est tellement malé que c'est impossible de couper. La seule façon de faire, c'est de revoir de tout de A à Z en commençant par la base. [00:15:59] Speaker B: Ça serait beau. [00:16:00] Speaker A: C'est impossible. [00:16:01] Speaker C: On peut pas le changer de modèle. [00:16:02] Speaker A: Je sais. — C'est ce que je dis. [00:16:03] Speaker C: — On est pris avec ce modèle-là. [00:16:05] Speaker B: — Faut vivre avec. [00:16:05] Speaker C: — Je le sais. [00:16:05] Speaker B: Je le dis, ça. [00:16:06] Speaker A: — On peut pas le changer tant qu'on arrive pas au niveau argentine. [00:16:09] Speaker B: — C'est ça. Je le dis, ça. Sauf qu'il peut, les amis. C'est ma phrase. [00:16:13] Speaker C: — Je vous annonce officiellement ce 16 septembre 2024 que j'arrête de voter. [00:16:17] Speaker B: — Moi, je vais continuer à voter pour me faire plaisir. Tu comprends? Mais sauf qu'il peut. Juste dire, l'augmentation des effectifs sous logo, là, 16% c'est du professionnel, 15% c'est de l'encadrement, 12% c'est du personnel de bureau. Fait que ça fait une jolie tartine. Fait que le reste ils ont aussi couvru. 7% personnel infirmier, 6% personnel enseignant. C'est des pousseux de crayons, des chemises blanches, puis du monde avec des tableaux blancs. [00:16:52] Speaker C: Il y a des superviseurs au gouvernement du Québec, dans les fonctionnaires, dans les employés de bureau, qui ont des employés à leur charge et ils ne savent pas ce qu'ils font. Tu lui dis, oui, lui, Jacques, qui travaille dans le cubicule là-bas. [00:17:04] Speaker B: C'est une maison de fou! [00:17:05] Speaker C: C'est ce qu'il fait dans la vie. [00:17:06] Speaker B: Je le sais pas. [00:17:07] Speaker A: Mais toi, t'es supérieur de Jacques, oui. [00:17:08] Speaker C: T'es son boss, je le sais. Mais je le sais pas. Je sais pas ce qu'il fait. Il doit lire un journal, jouer à Candy Crush, je sais pas. [00:17:15] Speaker A: Pendant ce temps-là, Éric Dulem passe à Masbourian, puis il se fait dire ça. C'est peut-être parce que le conservatisme économique que vous défendez, que Youri Chassain défend, c'est pas une avenue qui fonctionne pour réformer l'État québécois. Écoutez, je regarde au fédéral, M. Polliève. [00:17:30] Speaker E: Avec le même discours, je vois qu'il. [00:17:32] Speaker A: Est à 40 quelques pourcents. Être élu, c'est une chose, M. Duhaime, mais peut-être que s'il est élu très bientôt et qu'on se reparle dans 4 ou 5 ans, il n'y a peut-être pas grand-chose qui va avoir changé au fédéral. [00:17:44] Speaker E: En tout respect, M. Mazouran, si les services publics se détériorent, si ça fonctionnait. [00:17:47] Speaker A: Le modèle québécois, on le saurait. [00:17:49] Speaker E: Il n'y a personne qui veut nous. [00:17:50] Speaker A: Imiter parce que ça ne fonctionne pas. C'est un modèle. [00:17:55] Speaker E: Ce. [00:17:59] Speaker A: Qu'On fait depuis des décennies, c'est le statu quo. Puis Masbourian, ça va lui dire, ouais, mais là, peut-être que parce que... La raison pourquoi on fait pas, on coupe pas, c'est parce que ça marche pas de couper. On l'a jamais essayé. On ne l'a jamais essayé, mais lui, il est déjà dans sa tête que c'est réglé, ça ne fonctionne pas. Il demandait après ça un exemple à Éric Duhem. Où tu couperais? Il dit, regarde, l'exemple des subventions qu'on donne à des NordVault et compagnie. Arrêtez de choisir les gagnants en économie. Baissez les taxes et les impôts de toutes les entreprises. [00:18:26] Speaker B: Faut créer un climat de travail. Un climat de business. [00:18:29] Speaker A: Il y en a qui vont marcher, il y en a qui ne marcheront pas, mais ce ne sera pas le gouvernement qui décide qui fonctionne et qui ne fonctionne pas. Ce qu'on a fait exactement vendredi, je te lairais avec le panier bleu dans l'espace. C'est le plus grand programme spatial de l'histoire du Canada. Le plus grand programme spatial de l'histoire du Canada. qui accusent du retard. Québec et Ottawa avaient déjà fait part de leur intention de contribuer au projet dès 2021. Le premier satellite, lui, devait initialement être lancé l'an dernier. L'entreprise blâme l'inflation et les perturbations dans les chaînes d'approvisionnement pour expliquer ce retard. Fait que ça marche déjà pour. Mais let's go! 2 milliards de prêts au fédéral, 400 millions de prêts au provincial. Facture totale du projet, 4,7 milliards de dollars. Ottawa prête plus de 2 milliards. Québec, 400 millions pour permettre à Télésat d'achever et d'exploiter son réseau. L'objectif? pour cette entreprise concurrencer le réseau Starlink de SpaceX, communauté Elon Musk. Un Starlink, mettons, va lancer 10 000 satellites. On peut faire le même job avec à peu près 200 satellites. Ok, mais t'as fait ça, John? [00:19:35] Speaker B: Voyons donc, Dom! [00:19:37] Speaker A: Starlink, ça marche là. En nous autres, on peut le compétitionner puis faire bien mieux. [00:19:40] Speaker C: C'est le panier bleu. [00:19:41] Speaker A: Allez voir. Voyons donc! C'est la même affaire. [00:19:45] Speaker C: Allez voir Boeing, qu'ils ont essayé là, qu'ils essaient fort. Il y a beaucoup de ratés. [00:19:49] Speaker B: Oui, ils sont venus pas de monde. [00:19:50] Speaker C: C'est gros Boeing là. C'est ça, il y a même des astronautes qui sont pris là. [00:19:54] Speaker A: C'est gros Boeing là. Ouais, mais les autres télésat, on va les battre. On va faire mieux. Ouais, mais les autres ils sont déjà en fonction présentement, pis ça va déjà bien. C'est le panier bleu. On pense compétitionner Amazon, c'est vraiment ça. [00:20:07] Speaker C: Commencer par trouver des nouveaux Snowbirds, c'est ça notre priorité. [00:20:10] Speaker A: Oui. Hey, je termine là-dessus, OK? Voulez-vous du dos au mien? La semaine dernière, Taylor Swift a donné son appui à Caballaris. On pourrait avoir l'équivalent ici. [00:20:19] Speaker C: Claupe elle gague, elle est avec Émile Bilodeau qui est très Québec solidaire. [00:20:24] Speaker B: Qui c'est qu'il y a d'autre? [00:20:25] Speaker A: Oui mais de la trempe de «. [00:20:27] Speaker B: J'Appuie tel candidat, allez voter » pis. [00:20:30] Speaker A: Que ça peut faire bouger l'aiguille. Déjà y'a personne au Québec qui a l'impact de Taylor Swift. Y'a personne dans le monde. [00:20:36] Speaker B: Y'aurait Céline! [00:20:36] Speaker A: Faudrait que Céline le fasse. [00:20:38] Speaker B: Non mais Daniel Bélanger, je sais pas. [00:20:42] Speaker A: C'est sûr que Taylor Swift personne a son impact. [00:20:44] Speaker C: Y'a qu'Émile Bilodeau avec Québec solidaire. [00:20:47] Speaker A: C'est Québec solidaire c'est ça? [00:20:48] Speaker B: Émile Bilodeau? [00:20:51] Speaker A: La fin est bonne, là. Elle dit, c'est ça Québec solidaire. T'es même pas sûr toi-même. Zéro impact. [00:20:59] Speaker C: C'est parce que je pense que les gens réalisent pas que le dernier artiste qui a eu autant d'impact que Taylor Swift c'est Elvis Presley aussi. Y'a... Y'en a pas 50 000 du monde de même. [00:21:11] Speaker A: Mais l'aveu du Dôme, c'est la fin, pis c'est Cassivy qui finit par le dire. Mais en même temps, chez nous, l'impact, ce serait plus quelqu'un qui dirait « Moi, j'appuie Pierre Poilièvre ». Anne Cazabonne. Et ce serait pas bon pour ces artistes-là. [00:21:29] Speaker C: Elle s'est lancée en politique pour le. [00:21:31] Speaker A: Parti conservateur du Québec. On est très frileux ici pour toutes sortes de raisons. Écoute, tu sais quand tu te chantes à la Fête du Canada et que tu te fais reprocher de chanter à la Fête du Canada, à un moment donné tu fais comme « Hey boy, on n'est pas là encore ». Le seul impact que tu peux avoir finalement ici, c'est sur ta propre carrière si t'es pas du bon bord. Parce que la gang vont te tasser. Ah oui, Isabelle Boulay. [00:21:54] Speaker B: Ça suffit. [00:21:54] Speaker A: Je m'appelle Isabelle Boulay et je vous dis de voter pour PSPP. [00:21:58] Speaker B: Merci Dom.

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