Episode Transcript
[00:00:00] Speaker A: On est rendu au débat de Lévis, mesdames, messieurs.
[00:00:06] Speaker B: J'étais.
[00:00:12] Speaker A: Sûr que c'était pour les faire sourire.
Isabelle Demers, bonjour, comment ça va?
[00:00:21] Speaker C: Bonjour, ça va très bien.
[00:00:23] Speaker A: Stephen Blaney.
[00:00:24] Speaker B: M. Morin, bonjour.
[00:00:25] Speaker A: Et M. Bonin.
[00:00:26] Speaker D: Salutations.
[00:00:26] Speaker A: Donc, merci. On n'est pas important, mais on vous présente la tribune. Ceux qui sont importants, c'est ceux qui votent. Ils sont de l'autre côté de la rive. juste l'autre côté du fleuve, et on vous écoute, donc nécessairement les auditeurs, les liveurs, vous pouvez intervenir par texto sans problème, mais c'est surtout après le débat, manquez pas ça, on ouvre les lignes, on veut savoir si ça vous a fait changer d'idée. Tu sais, des fois un débat peut être un game changer, sans prétention, l'après-match. Oui c'est bon, bonne expression, l'après-match. Premier thème, c'est, puis on est prêt, ça va être à peu près huit minutes chaque thème, il y en a trois. Premier thème, c'est transport. Est-ce qu'on va enfin bouger à Lévis? Comment on va faire pour désengorger la circulation? Est-ce qu'on veut élargir les routes, des nouvelles routes? Transport en commun, comment vous voyez ça? Le troisième lien, est-ce que vous y croyez encore et sous quelle forme, surtout? Et pourquoi les Lévisiens embarqueraient-ils dans le transport en commun aujourd'hui? Qu'est-ce que vous changeriez?
On y va avec une prise de position d'une minute pour chacun et ensuite on y va avec le débat. D'abord, Mme Demers.
[00:01:36] Speaker C: En fait, au niveau du transport, que ce soit transport ou mobilité, là, présentement, on a de la difficulté à circuler. Disons-le, on a vraiment de la difficulté à circuler sur le territoire de la ville. On a fait, dans les dernières années, on a fait des investissements majeurs sur le boulevard Guillaume Couture. Et ce qu'on voulait faire avec ça, c'est vraiment une adhérence à l'horaire du transport collectif. Donc, que les gens qui prennent l'autobus soient assurés que les horaires soient respectés. Alors c'est ce qu'on a voulu faire dans les investissements. Il reste, c'est la phase 1 qu'on vient de voir avec Guillaume Couture, avec des tronçons, quelques tronçons dans la phase 1. Et c'est ce qu'on veut continuer de faire avec l'appui du gouvernement provincial et fédéral. Mais au-delà de ça, j'en ai même discuté hier, l'élargissement de l'autoroute 20. C'est une priorité. C'est un dossier du provincial. Isabelle Demers ne peut pas. Je ne peux pas aller le faire moi-même. Mais les pressions et un leadership municipal, c'est de faire la pression pour que le gouvernement provincial, dès 2026, fasse l'élargissement de l'autoroute 20. On parlera du troisième lien un peu plus tard.
[00:02:45] Speaker B: Oui, premièrement merci à Chouette de nous recevoir ce matin. C'est clair que quand on regarde le Lévis qu'on se projette dans le futur, on a besoin d'un bouclage périphérique comme toutes les grandes agglomérations et c'est pas juste bon pour Lévis, c'est bon pour Québec, pour le bas du fleuve, pour la région de Charlevoix. donc un bouclage périphérique. C'est la vision et c'est par là qu'on s'en va comme collectivité pour équilibrer notre développement. Évidemment, à court terme, comme on le mentionnait, Transports Québec a dans ses cartons l'élargissement de l'autoroute 20 en direction ouest. Alors, ce qui est important, c'est de marteler que ce projet-là aurait dû se faire. Donc, il y a mis une vie S5 pour justement, je dirais, alléger légèrement les problèmes de congestion, tout comme l'aménagement en boulevard urbain de Marie-Victorin et de la route des rivières qui sont justement encore dans une zone de forte concentration. Ça c'est le premier point. Le deuxième, c'est déjà terminé.
[00:03:46] Speaker A: Vous en débattrez. Parfait. Et M. Bodin, pour finir, votre prise de position d'une minute. Allez-y.
[00:03:50] Speaker D: Merci. Nous, on propose un plan complet. L'élargissement de l'avance n'est pas suffisant avec l'entonnoir des ponts. Ça ne réglera pas tout le problème. Dans la vision 2040 de la Ville, on parle d'un gain de part modale. Il y a 5 % des gens qui prennent l'autobus. On veut aller à 10 %. C'est ça, la vision de la Ville. Le seul moyen de retirer des voitures, d'alléger le trafic, il n'y en a pas d'autres. C'est le SRB. Ça a été démontré par des études. Et on ne parle pas nécessairement de vous. Si vous ne pouvez pas prendre le bus, pour différentes raisons, vous allez porter les enfants, vous transportez du stock, ça peut être votre voisin qui prend le bus, puis là, on retire des voitures, c'est la seule façon de faire pour alléger le trafic. Les voies réservées ne changent pas ça, ça ne libère pas le trafic. Alors je défends la vision de la Ville là-dessus. Bien sûr, on est d'accord sur le troisième lien, des carrefours giratoires, des ronds-points, des virages à droite, des feux synchronisés, oui. Mais il n'y a pas d'autre solution pour régler le trafic. On va prendre le temps de le faire, mais on n'a pas d'autre choix. Sinon, l'A20 va rester un stationnement. On est conscient de ce que ça va coûter, mais ce qu'on va faire, c'est qu'on va dégager une réserve, on va attacher les partenaires, on va diminuer la dette d'abord. Tant que la dette est haute, on ne fait pas ça, mais on va y aller par phase ensuite avec des partenariats. Et là, on a besoin de savoir, d'avoir nos investissements à Lévis.
[00:04:54] Speaker C: Voilà.
[00:04:54] Speaker A: Merci. La maître du temps, c'est mieux qu'est-ce que c'est, Jens.
On peut y aller, Dan, avec le débat? Et c'est M. Blainy qui engage le débat.
[00:05:05] Speaker B: En fait, juste pour poursuivre ce que j'avais entamé, chers collègues, dans le fond, c'est que oui, on a besoin, bien sûr, de nos infrastructures, mais également, l'axe Guillaume Couture, c'est vraiment notre colonne vertébrale au niveau de la mobilité. Et ce qu'on a vu dans les dernières années, pourquoi les gens nous disent qu'on ne se reconnaît plus à Lévis et qu'on doit donner un coup de barre, c'est parce que la densification a été mal planifiée. On le sait, on va tantôt parler du moratoire, les infrastructures, mais aussi au niveau de la mobilité. Et c'est la raison pour laquelle il est important de poursuivre les efforts dans l'aménagement du transport en commun sur Guillaume Couture. Et là, on doit être pragmatique. Et on ne peut pas revenir sur... Il y a des choix qui ont été pris. On a des voies réservées. On vient d'investir 150 millions, malheureusement encore avec un dépassement de coûts de 60 millions. Donc, on doit poursuivre et bâtir là-dessus pour avoir cette fluidité-là et le transfert de part modale. Donc, juste pour terminer...
[00:05:56] Speaker C: Il n'y a pas juste pour terminer cette période de débat. Vous n'aviez pas le 8 minutes pour.
[00:06:00] Speaker D: Vous... Non, c'est ça. On va se partager quand même.
[00:06:03] Speaker C: Alors, je vais sourcier le dépassement. D'où vous prenez ça, le dépassement?
[00:06:09] Speaker B: Écoutez, madame, ma chère dame. Les dépassements de coûts. Tous les projets à Lévis ont connu des dépassements de coûts dans les cinq dernières années. J'ai une liste.
[00:06:16] Speaker D: L'alimentation après la pandémie, évidemment.
[00:06:18] Speaker B: 35 millions, centre culturel 20 millions, poste de police 74 millions.
[00:06:22] Speaker C: Si on crie, est-ce qu'on se permet...
[00:06:25] Speaker A: Oui, allez-y Madame Demers.
[00:06:26] Speaker C: Oui, excellent, parce qu'on peut clier là. Moi, je vais vous donner des chiffres.
[00:06:29] Speaker A: C'est le chandail d'arbitre un peu.
[00:06:30] Speaker C: Excellent, vous avez un beau chandail. En fait, ce que je veux dire, ce n'est pas des dépassements de coûts, c'est que les contrats ont coûté plus cher. On a pensé des projets majeurs à la Ville de Lévis. Juste pour Guillaume Couture, on parle de plus de 30 millions supplémentaires pour faire le projet comme il était prévu. Je suis un peu surprise parce qu'utiliser les bons mots, M. Blainet, ce n'est pas des dépassements de coûts parce que les projets respectent les coûts qui étaient prévus. Ce sont des coûts qui sont plus chers, les appels d'offres qui ont sorti plus chers et on a décidé d'aller de l'avant aussi. Je suis aussi un peu surprise, M. Blainet. Oui, c'est pas très long pour ça.
[00:07:08] Speaker B: Je pense que c'est au tour de M. Blainet.
[00:07:09] Speaker D: Oui, je vais y aller.
[00:07:11] Speaker C: Tout à fait.
[00:07:12] Speaker D: M. Blainet, votre discours a changé maintenant. Vous dites qu'on ne reconnaît plus Lévis alors que vous disiez qu'il fallait développer le plus vite possible. J'ai un peu du mal à vous suivre. Le problème en ce moment avec les voies réservées, c'est qu'il n'y a pas de gens qui vont prendre davantage l'autobus. Ça a été prouvé. Donc, si on continue dans cette voie-là, on le sait, il y a neuf phases qui sont prévues. Donc, il va y avoir des travaux, on le sait. Maintenant, le seul projet qui nous permet de changer la part modale, de passer de 5% à 10% de gens qui prennent le bus, donc de retirer des voitures, c'est le SRB, c'est le Linea qui était là en 2013 et qui a été abandonné en 2017, malheureusement. C'était le seul projet possible. Donc, on est conscient que ça va coûter un certain coût, mais il faut le préparer. On ne peut pas faire autrement. On ajoute des portes, des portes, des portes. Tant qu'on ne change pas le système routier, On ne peut pas remettre la.
[00:07:57] Speaker B: Pâte à dents dans le sub de dentifrice et revenir vers le passé. On doit être pragmatique.
[00:08:02] Speaker D: Il y a seulement 2,9 kilomètres de faits.
[00:08:04] Speaker B: Il y a 150 millions qui viennent d'être investis. Vous dites on va tout jeter sur la terre. Ça c'est démoli. On ne peut pas faire ça et.
[00:08:13] Speaker C: On ne doit surtout pas mettre en contrepartie les deux projets. Si le projet du tramway, c'est le projet de Québec, laissons l'air. On va s'occuper de nos citoyens à Lévis. Moi, je vais vous dire, appelons-le le SRB Léger, si c'est ce que vous voulez.
[00:08:28] Speaker A: Est-ce qu'il traverse l'ensomme même?
[00:08:30] Speaker B: Est-ce qu'il traverse... M. Moret, il y a déjà l'interconnectivité qui est déjà en cours.
[00:08:34] Speaker C: Tout ce qui sera la tête des.
[00:08:35] Speaker B: Ponts au niveau du boulevard Laurier, c'est pour nous connecter sur le réseau de Québec. Et l'interconnectivité, c'est fondamental pour justement notre fluidité. Les gens de Lévis veulent migrer. Regardez, on est tous à Québec à matin.
[00:08:46] Speaker C: Et c'est pour ça qu'on a...
[00:08:47] Speaker B: C'est.
[00:08:55] Speaker C: L'Adhérence à l'horaire. On fait des horaires avec la société de transport. Vous siégez comme moi la société de transport. Les gens embarquent dans l'autobus et on n'est même pas capable de respecter les horaires.
[00:09:08] Speaker D: Mais c'est parce qu'il est écrit, on va gagner 20 minutes, c'est ça la publicité.
[00:09:10] Speaker C: Le 5% de part modale qu'on veut respecter dans la vision 2040, dont vous avez voté contre au conseil de ville, je trouve ça un peu, non mais que vous disiez que vous vouliez embarquer dans la vision.
[00:09:21] Speaker B: Non mais moi je suis d'accord avec.
[00:09:21] Speaker C: Cette partie-là, je suis d'accord avec cette.
[00:09:22] Speaker D: Partie-Là de la vision.
[00:09:23] Speaker C: Alors on dit qu'on vote contre au conseil de ville, mais on est pour et on est contre.
[00:09:27] Speaker D: Ça je vais y revenir, je vais vous dire pourquoi je suis contre, parce qu'il y a deux centres-villes qui sont des points de convergence, on pense pas au quartier, donc moi j'ai un problème avec ça.
[00:09:34] Speaker C: Je suis contente d'entendre ça ce matin qu'on a deux centres-villes. Parce qu'hier, on n'en avait rien qu'un.
[00:09:38] Speaker D: Moi, en tout cas, ça, c'est une autre chose.
[00:09:40] Speaker B: On va y aller, mais... Pendant que vous assistinez chez un collègue...
[00:09:43] Speaker D: On s'assistine pas, on discute, M. Blainet.
[00:09:46] Speaker B: Oui, M.
[00:09:46] Speaker A: Bonnet, M. Bonnet.
[00:09:47] Speaker D: Juste dans cette perspective-là, c'est écrit sur nos publicités qu'on va gagner 20 minutes entre le cégep et le pont. Mais ça prend, en dehors des heures de pointe, 20 minutes aller entre le cégep et le pont, c'est ça que ça prend. Donc, qu'est-ce qu'on va gagner? On va y aller en zéro minute, on n'embarquera plus personne. Ça prend 32 à 34 minutes en heure de pointe. Il y a quelque chose qui ne fonctionne pas là. Cette publicité-là, pour moi, elle était manipulatrice pour les gens. On ne peut pas gagner 20 minutes. Ce n'est pas vrai. Ce ne sera pas possible. Il faut embarquer et débarquer des gens sur le trajet.
[00:10:15] Speaker C: Il faut aussi laisser de la place aux... Je vais le dire, tout le monde n'ira pas dans le transport collectif. Tout le monde, demain matin, même si on mettait qu'on va sauver 12, 15, 20 minutes, tout le monde ne prendra pas l'autobus. Les gens veulent pouvoir se déplacer à moto, à vélo, à pied.
[00:10:36] Speaker D: C'est 5% l'objectif.
[00:10:38] Speaker C: Doubler la part moderne. Vous avez raison et c'est ce qu'on est en train de faire présentement. Vous l'avez vu dans les dernières minutes.
[00:10:44] Speaker B: Écoutez, c'est clair. Juste tantôt, Mme Demers, les dépassements de coûts, hausses de coûts. Vraiment, parce que là, c'est le PQI. Lui, il n'y a pas de flexibilité pour les dépassements de coûts. Mais je veux revenir quand même. Il faut penser aussi à nos rues. Il y a les grandes artères, mais c'est important aussi qu'on investisse dans nos rues. Les gens nous disent qu'ils n'aiment pas ça. On le sait bien, l'état de nos rues et trottoirs. Donc, nous, on va investir 20 millions pour Vraiment, par exemple, refaire les rues qui en ont vraiment besoin. Et également, tout ce qui est notre boirie et les travaux pluviaux. On pourrait y revenir, mais moi, une qualité de vie, c'est pas juste de vivre proche d'un parc, c'est de ne pas avoir de l'eau dans ma cave quand il mouille, c'est d'être capable de me déplacer, c'est d'avoir des services de qualité. C'est ça à quoi les gens s'attendent de la ville de Lévis et c'est ce qu'on veut leur donner avec Prospérité Lévis.
[00:11:28] Speaker D: On quitte un peu le transport. Je vais revenir dans votre plateforme. M. Bléné, il est écrit « Adopter un règlement spécifique. » J'imagine que c'est au conseil. On va dire que tu es à la ST Lévis. Quoi faire? Ça, c'est étrange. « Pour le transport collectif dans les quartiers à faible densité afin d'offrir des services plus souples, efficaces et économes. » J'aimerais savoir comment ça coûte le flexibus à Québec en moyenne pour un transport.
[00:11:49] Speaker B: Je suis content de poser la question parce que moi, je vous poserais la question. Quelle est la décente actuellement?
[00:11:54] Speaker D: Combien ça coûte le flexibus?
[00:11:55] Speaker B: Ça coûte 50$.
[00:11:56] Speaker D: Ben voilà.
Alors combien ça coûte pour le transport d'une personne à Lévis à ce moment?
[00:12:00] Speaker B: Je suis content que vous ayez lu.
[00:12:01] Speaker D: Notre plateforme, parce que ça veut dire.
[00:12:03] Speaker B: Que vous vous intéressez à l'avenir de Lévis.
[00:12:04] Speaker D: Donc 50 piastres pour un transport, vous dites que c'est économe? C'est économe, effectivement.
[00:12:08] Speaker B: Ce qu'on dit c'est qu'il y a.
[00:12:09] Speaker D: Ce que ça coûte actuellement de déplacer une personne, elle paye 3,75$ là-dessus.
[00:12:13] Speaker B: Mais on a pas dit flexibus.
[00:12:15] Speaker C: En 50$ c'est économe.
[00:12:16] Speaker B: On a dit qu'on voulait être un.
[00:12:17] Speaker D: Solution souple et économe, c'est ça que ça donne.
[00:12:20] Speaker C: C'est comme ça qu'on va économiser.
[00:12:23] Speaker B: Qu'est-ce que vous faites à Pintendre? Tout le monde, quand je fais du sport à Pintendre, me dit, ils sont où les autobus? Il n'y en a pas d'autobus.
[00:12:29] Speaker D: On a dû améliorer la DSS.
[00:12:33] Speaker C: On est arrivés les 3e sur toutes les sociétés de transport.
[00:12:39] Speaker D: Juste pour la performance de la société de transport. Sauf le financement à per capita où on est dernier malheureusement.
[00:12:46] Speaker B: La société de transport de Lévis, c'est les meilleurs. On est les meilleurs à Lévis.
[00:12:49] Speaker C: Sortez de Pintendre, M. Blainet. Lévis, ce n'est pas que Pintendre.
[00:12:54] Speaker A: Il reste 15 secondes.
[00:12:56] Speaker B: On doit avoir un service comme tous.
[00:12:57] Speaker D: Les intermédiaires dans toute l'intercity.
[00:12:59] Speaker A: 10 secondes.
[00:13:01] Speaker D: Toujours dans la plateforme, il est écrit, optimiser la flotte des véhicules pour les transports en commun en tenant compte de l'analyse du cycle de vie économique. C'est quoi le cycle de vie économique d'un bus?
[00:13:08] Speaker C: C'est des beaux mots, ça, M. Blainet.
[00:13:10] Speaker B: Ça veut dire que quand on investit... C'est bon! C'est terminé, Mme Morin.
[00:13:15] Speaker D: Merci.
[00:13:17] Speaker C: Aïe, aïe. OK.
[00:13:18] Speaker A: Le logement. Les loyers explosent à Lévis. C'est quoi votre plan concret pour loger le monde? On densifie les quartiers existants ou on ouvre de nouveaux quartiers? Il y a la question également des démoratoires. Vous pouvez y arriver là-dessus. C'est des questions quand même essentielles. Les familles et les aînés peinent à se loger. Comment la Ville? peut aider sans tout refiler. Comment on gère, autrement dit, la croissance, mais côté logement, je veux commencer d'abord. Ben allez-y, on va y aller avec les prises de position. M. Bonin, M. Blainy.
[00:13:48] Speaker D: Alors Lévy, la Ville nous dit 25 000 portes, 25 ans, mais on en donne de 3 à 4 000 par année. J'ai pas un doctorat en maths, mais il y a quelque chose qui ne marche pas. Comment on va arriver à 25 ans? Dans 7-8 ans, on frappe le mur à nouveau. Alors, ça prend 4-5 ans à faire une usine de traitement des os, aussi bien qu'à en commencer une autre tout de suite ou tripler la capacité au lieu de la doubler. Moi, je dis, planif 25 ans, c'est 25 000 portes, c'est 1 000 par année. Si la ville dit que c'est plus, je suis prêt à aller à plus. J'ai pas de problème avec ça, mais on planifie sur 25 ans. Les promoteurs, ils dépensent pour leurs projets, ils empruntent, ils payent des intérêts, puis la ville tire la plug sans prévenir, paf, moratoire, il y a une perte de confiance. Là, ils ont besoin d'une chose, ils ont besoin de la prévisibilité. En ce moment, il y a une crise du logement. Il y a le taux d'inoccupation qui est super faible. Il y a des logements allévés au-dessus de 2000 piastres par mois. Ça prend du logement qui est abordable. On vient de financer un projet 12 millions de villes, 36 millions de gouvernements pour des 3,5 à 956 piastres. Est-ce que 956 piastres c'est abordable? À la Chambre de commerce j'entendais dans une conférence un promoteur qui disait « On en fait des logements abordables à 1500 piastres, pour moi ça n'a pas la route.
[00:14:54] Speaker B: M.
[00:14:54] Speaker A: » Blainy, une minute.
[00:14:56] Speaker B: M. Moray, on a 10 milliards d'investissements qui s'en viennent au chantier d'Évie dans les 10 prochaines années, avec 1 milliard d'investissements pour moderniser les infrastructures. Ça, c'est une entreprise. On a les technions, on a les jambettes, on a les labris. On a un tissu économique extrêmement dynamique. Et ces gens-là, ces entreprises-là vont attirer des gens qu'on doit loger. Donc, on en est là à loger ces gens-là. Et présentement, on va se dire bien franchement, Évie, c'est extraordinaire. mais c'est une ministère d'environnement qui a tapé ses doigts de la ville et qui a dit écoutez là, ça marche plus votre affaire, vous n'avez pas planifié votre développement. Un ingénieur, une ville, des gens d'urbanisme, ça planifie et ça doit se parler. Comment se fait-il que l'urbanisme n'a pas parlé à l'ingénierie et dit avec la croissance que vous avez, on ne sera pas capable d'avoir les infrastructures. Donc nous, effectivement, c'est clair qu'on a besoin d'avoir de la présibilité. Ce n'est pas dans 25 ans, c'est dans 3 ans, combien de permis de construction est-ce que la Ville est en mesure d'émettre? C'est ça la question. Et c'est la raison pour laquelle dans les 4 premiers mois d'un mandat de Prospect Lévis, on va se pencher là-dessus.
[00:15:58] Speaker A: Merci beaucoup Madame Demers.
[00:16:00] Speaker C: Allez-y. Je suis contente d'entendre ce que mes collègues vous ont parlé ce matin parce que depuis 2021, on a mis sur la table notre prévision au niveau du logement social et abordable. Lévi-Force 10, ce qu'elle a fait, c'est qu'elle a dit 100 logements sociaux et abordables par année pour les 10 prochaines années. On est en 2025. Là, je vous parle de 2021, perspective de 2031. En 2025, on est rendu à 811. Donc, on a devancé toutes les sommes qu'on a mises au niveau de l'accompagnement pour des logements sociaux et abordables. 811, puis là-dessus, il y a un projet de 100 unités pour les aînés. Les gens vont pouvoir entrer à l'automne 2025, 100 unités directement, qui a été fait. Un très beau projet sur Guillaume Couture au niveau de l'unité aînée. Moi, ce que je veux dire, c'est que dans le schéma d'aménagement, on avait 850 logements de prévision par année. On en a fait le... On en a fait beaucoup plus, mais à partir du moment où les projets...
[00:17:02] Speaker A: Merci, Mme Demers.
[00:17:03] Speaker B: C'est bon.
[00:17:03] Speaker A: M. Bonin, M. Bonin, par le bal.
[00:17:06] Speaker D: Écoutez, en 5 ans, l'épicerie a monté de 27 %, le loyer, les maisons ont augmenté de 30 %, là. T'sais, c'est pas vivable. On peut pas dire 956 $, c'est abordable. On peut surtout pas dire 1500 $, c'est abordable. On n'est pas là. Quand on jase au monde, on n'arrive pas avec ces montants-là. Moi, j'aimerais ça connaître la position de mes adversaires. J'ai posé la question au débat de la Chambre de commerce. J'ai pas eu de réponse. Qu'est-ce que c'est pour vous un logement qui serait abordable?
[00:17:30] Speaker B: Moi, j'aimerais savoir ce que vous avez fait dans les quatre dernières années parce que...
[00:17:33] Speaker D: J'ai posé une question, M. Blainé. J'aimerais avoir au moins...
[00:17:35] Speaker B: Comment se fait-il qu'on se ramasse avec un moratoire? Comment se fait-il qu'on se ramasse avec un moratoire?
[00:17:39] Speaker C: Moi, je vais vous dire ce qu'on a fait.
[00:17:40] Speaker B: La vie n'a pas besoin d'un moratoire, c'est d'un plan.
[00:17:42] Speaker D: Ça, je suis d'accord avec vous. Il y avait des drapeaux rouges qui n'ont pas été regardés. Ça, c'est clair.
[00:17:46] Speaker C: On parle de logement, on parle de coûts...
[00:17:48] Speaker D: Mais vous n'avez pas répondu à ma question.
[00:17:49] Speaker C: Non, tout à fait. On parle de logement... Vous avez répondu.
[00:17:51] Speaker D: Merci, Mme Denis-Pasteur.
[00:17:52] Speaker C: Oui, bien moi... En fait, on s'écoute. Je veux dire, on peut, on s'écoute puis on veut répondre aux questions. Vous avez parlé du logement. La semaine passée, je discutais avec un citoyen qui me disait, moi, dans ma capacité de payer, j'ai 650 $ par mois que je suis capable de payer pour un logement, donc je n'y arrive pas. Je suis obligée de me trouver quelqu'un qui va m'aider ou on va faire de la colocation parce qu'on n'arrive pas à payer un logement. Au niveau de la ville, ce qu'on est capable de faire, c'est d'accompagner. Il y a du logement social, il y a du logement abordable. Le logement social, c'est qu'on va donner des sommes aux promoteurs pour que ces logements-là soient réservés pour des gens qui ont plus de difficultés avec les revenus et tout ça. Au niveau du logement abordable, il y a une portion par année qui est remboursée à l'Office municipal d'habitation pour compenser le prix du loyer.
[00:18:41] Speaker D: On vient de donner 48 millions au gouvernement Ville à un projet qui va nous sortir des 3,5 millions à 956 $. As-tu de la lueur? Ça fonctionne-tu comme système?
[00:18:50] Speaker C: En fait, avec la Société d'habitation du Québec, il faudrait voir ce qu'est un logement social et abordable. Aujourd'hui, beaucoup de gens vont payer 1 500 $, 1 700 $. Probablement qu'à 956 $, la Société d'habitation va dire que c'est acceptable.
[00:19:05] Speaker D: Mais vous venez de dire que vous avez rencontré quelqu'un qui avait 650 $ pour son loyer.
[00:19:08] Speaker C: Oui, et qui m'a dit qu'il était obligé d'aller en colocation.
[00:19:10] Speaker B: Si la ville va être en mesure d'accompagner le logement abordable et le logement social, on doit être en mesure d'avoir des revenus générés par le développement. Et là, vous, vous voulez étouffer la ville. Pourquoi?
[00:19:21] Speaker D: Parce que vous n'avez pas de vision.
[00:19:23] Speaker B: Allez-vous une vision pour justement devancer la crédibilité pour permettre pour permettre à nos bâtisseurs, à nos constructeurs d'être en mesure de se dire... Parce que présentement, ils frappent un mur à la Ville. La Ville leur dit écoutez, pas de développement, c'est terminé et nous on se prive de revenus et c'est près de 150 millions d'euros dont on peut se priver.
[00:19:45] Speaker D: Vous allez lever le moratoire comment, M. Blainet? Vous êtes un ingénieur, ok? Il y a des données à l'internet.
[00:19:54] Speaker B: Je suis même un phéno-ingénieur.
[00:19:58] Speaker D: Vous avez en plus une spécialisation à l'université. Vous n'avez pas les données des ingénieurs de la ville et vous les remettez en question avant de vouloir les diriger.
[00:20:07] Speaker C: Alors ici, présentement, on a un ingénieur qui est membre d'un ordre professionnel qui discute le travail d'autres ingénieurs. Permettez-moi de dire que c'est très discutable. Alors quand on est dans un ordre professionnel, habituellement, Non, habituellement, on ne discute pas.
[00:20:23] Speaker B: On ne discute pas. Vous ne voulez pas discuter de l'avenir de Lévis? Ça ne vous intéresse pas, vous, de savoir comment on va faire pour construire Lévis?
[00:20:28] Speaker C: On ne discute pas le travail d'un autre ingénieur.
[00:20:31] Speaker B: Mais comment se fait-il que comme élue.
[00:20:32] Speaker D: Vous ne dites pas?
[00:20:33] Speaker C: Alors vous, votre hôte professionnel, M. Blainet.
[00:20:35] Speaker B: Ah mon dieu, c'est charmant. Vous êtes charmante.
[00:20:36] Speaker C: Vous savez pourquoi? Merci de me dire que je suis charmante, parce que vous n'avez pas —.
[00:20:40] Speaker B: Parce que moi, mon rôle comme élu, c'est de dire à ces gens-là, mettons-nous en mode solution. Et vous, vous avez dormi sur la Switch pendant quatre ans.
[00:20:47] Speaker C: — C'est totalement faux.
[00:20:48] Speaker D: — J'aimerais ramener le débat à un niveau de discussion.
[00:20:51] Speaker C: — Mais M. Blané, vous êtes tellement hors propos parce que vous ne connaissez pas le dossier.
[00:20:56] Speaker D: — Moi, j'aimerais connaître.
[00:20:58] Speaker B: M. Blané, répondez. on a dit que dès qu'on est élu, on se donne quatre mois pour justement mettre un plan de présibilité et être en mesure de dire à nos artisans de la construction.
[00:21:08] Speaker C: Vous avez, pendant la campagne électorale, dit que vous alliez lever le moratoire.
[00:21:12] Speaker B: Merci de me couper la parole, madame.
[00:21:13] Speaker C: Ça me fait vraiment plaisir parce que vous le faites aussi. Vous avez dit que vous alliez lever le moratoire. Alors, c'est pas quatre mois.
[00:21:20] Speaker B: Oui, c'est notre objectif, c'est de faire en sorte qu'on ait la présibilité.
[00:21:24] Speaker C: Au moment de votre élection, vous allez lever le moratoire. Nous, on a permis que les logements sociaux...
[00:21:30] Speaker D: On s'excuse déjà qu'ils nous écoutent à la radio. J'aimerais, M. Blainet, avoir votre opinion sur le FAC.
[00:21:45] Speaker B: Alors là, moi j'aimerais savoir...
[00:21:47] Speaker D: Le PSAQ, le programme d'habitation abordable Québec.
[00:21:50] Speaker B: Justement, savez-vous, c'est pour ça qu'on a besoin d'avoir la possibilité d'émettre des permis de construction rapidement.
[00:21:58] Speaker D: Non, non, c'est pas ça. Le FAC, le programme de subvention pour le logement abordable.
[00:22:04] Speaker B: Ben justement, on a besoin de ces outils-là.
[00:22:06] Speaker D: Mais c'est quoi votre opinion là-dessus?
[00:22:08] Speaker B: Ben je suis plutôt favorable.
[00:22:09] Speaker D: Vous êtes favorable.
[00:22:10] Speaker B: Est-ce que vous savez? Ça me semble favorable, mais je ne le connais pas, le FAC. Ton abréviation, ton terminologie.
[00:22:13] Speaker D: Vous ne connaissez pas? C'est le programme de base pour aider le logement abordable.
[00:22:17] Speaker C: Exact.
[00:22:17] Speaker B: Mais j'ai travaillé avec le GRT, j'ai travaillé avec plein d'organismes.
[00:22:21] Speaker D: Si vous avez travaillé avec le GRT, vous ne connaissez pas le FAC?
[00:22:23] Speaker B: Oui, parce que je me fie aux professionnels. Justement, comme je le fais dans le domaine technique, je me fie aux professionnels pour me donner les meilleures solutions.
[00:22:29] Speaker D: Je vais vous dire le problème, puis en tout cas, à mon égard, vous pourrez... Le problème c'est la pérennité. Au bout de 15 ans, un promoteur peut se retirer, rembourser une partie de sa subvention et ne protège plus ses logements dans le marché. Et au bout de 35 ans maximum, ils ne sont plus protégés du marché. Donc pour moi c'est un problème, c'est ça que le gouvernement a mis en place, ça ne fonctionne pas.
[00:22:49] Speaker C: Et c'est un programme qui coûte 40 % plus cher aux villes et aux municipalités. Ce qu'il faut savoir c'est qu'il y avait un programme qui existait avant et le nouveau programme qui a été mis en place, 40 % plus cher qu'il coûte aux municipalités et moi j'appelle ça pelleter dans la cour des municipalités encore une fois. Mais effectivement aucun contrôle après 15 ans pour qu'on puisse garder ces logements-là en logements sociaux ou abordables. Et le promoteur peut faire ce qu'il veut.
[00:23:19] Speaker D: Donc, il faut trouver d'autres solutions. On peut acheter des terrains avec le droit de préemption. On peut faire en sorte qu'on donne des congés de taxes parce que ce n'est pas... Il reste moins de deux minutes.
[00:23:27] Speaker B: C'est beau d'avoir un droit de préemption pour acheter des terrains, mais ça, on n'est pas en mesure de construire parce que nos capacités sont à plus.
[00:23:33] Speaker D: Les logements sociaux...
[00:23:35] Speaker B: On doit se mettre en mode solution. Et le seul qui est en mode.
[00:23:38] Speaker C: Solution... Vous n'en trouvez pas de solution.
[00:23:40] Speaker D: Il n'y a pas de solution si il y a quatre ans à monter une usine avec le ministère de l'Environnement.
[00:23:43] Speaker B: Bon ben c'est ça, on s'assoit sur nos lauriers et on laisse... Non, pas du tout.
[00:23:47] Speaker D: Ah ben là vous remettez en question vos propres collègues ingénieurs à la Ville.
[00:23:51] Speaker B: Exactement. Au contraire, ils font un excellent travail. Savez-vous quoi? C'est qu'il y a personne qui leur a dit que quand on va dézonner là, on va... Vous dézonez quoi? Savez-vous ce qui me choque un peu ce matin?
[00:24:01] Speaker C: Vous dézonez quoi? Je veux juste savoir, vous dézonez quoi?
[00:24:04] Speaker B: Vous avez fait un dézonage à l'urbanisme.
[00:24:06] Speaker C: Sans planifier que ça... Dézonage à l'urbanisme?
[00:24:08] Speaker B: Il reste une minute.
[00:24:10] Speaker C: Oui, allez-y, allez-y, je vous écoute.
[00:24:12] Speaker B: C'est pas compliqué. La main gauche de la ville, il y a eu un manque de leadership flagrant à la ville, de leadership pour dire, si on fait du déshonnage, quel sera l'impact sur nos infrastructures? Et ça, le ministère de l'Environnement leur a dit depuis des années. Il y a même des gens à l'interne qui disaient, on va frapper un mur et on a fermé les yeux. On a préféré couper des rubans plutôt que d'investir dans les infrastructures qui nous permettent de gérer la vie des gens.
[00:24:37] Speaker D: C'est pas acceptable.
[00:24:38] Speaker B: C'est la raison pour laquelle on a besoin d'un changement à la ville de.
[00:24:42] Speaker C: Lévis pour poursuivre notre développement.
[00:24:45] Speaker D: Monsieur Blainet, vous avez publié hier sur votre page Facebook que vous refusiez toute diversification de revenus. C'est 85% des revenus de taxes à Lévis. Alors je me demande comment vous allez payer vos nombreux projets, dont l'enfouissement des fils dans les quartiers historiques à 1,6 million du kilomètre, vos espaces de création et de diffusion de la culture dans tous les quartiers. Mais pas de nouveaux revenus! Vous voulez sauver les églises. Comment, combien, Pierre-Georges Roy? Ça fait plus que 10 millions. qu'on met là-dedans votre plateforme finalement, mais tassez à gauche votre plateforme là, dans ce que je dis.
[00:25:12] Speaker B: C'est tout!
[00:25:14] Speaker A: Ah, les micros sont fermés, yes! Merci, Dan. Dernier thème, vie communautaire et arénas. On manque de glace à Lévis, vous promettez quoi pour nos arénas? Les clubs sportifs et organismes tirent le yacht par la queue. Est-ce que la ville en a assez? Est-ce que vous en faites assez? Est-ce que la ville actuellement en fait assez? Puis le bilan aussi, tant qu'ailleurs, des dernières années. Les loisirs, les arénas, la vie de quartier, est-ce une vraie priorité pour vous ou est-ce du luxe?
[00:25:44] Speaker D: Allez-y, M. Blainen en premier.
[00:25:46] Speaker B: On a peu que rêver pour Lévis qu'on consomme notre culture, nos sports, chez nous. Et la semaine passée, on l'a vu, le mouvement sportif Lévis nous propose un amphithéâtre qui peut accueillir jusqu'à 8000 personnes avec trois glaces. Et quel est le rôle de la ville là-dedans? C'est de supporter notre milieu. Et Lévis, c'est un milieu riche et les gens, je vous dirais, les gens ont besoin, en ont marre un peu d'avoir nos jeunes qui sont dans des palais de gymnastique qui datent des années 70 où le système de ventilation est déficient. Ils en ont marre du stade George Maranda où les balles de baseball risquent quasiment de péter le menton parce que l'entretien n'est pas adéquat. Donc ce qu'on propose c'est de travailler avec des organismes à bon lucratif de s'inspirer des réussites qui ont fait en sorte qu'on va plus loin avec l'argent du payeur de taxes parce qu'on travaille en partenariat. Et c'est ce qu'on veut faire et c'est la raison pour laquelle, avec Prospérité Lévis, on va être en mesure d'accueillir les Jeux du Québec, d'attirer 5 millions d'investissements du gouvernement québécois, ce qui a généré à Trois-Rivières 25 millions de retombées économiques.
[00:26:52] Speaker A: Merci, allez-y, c'est à vous Mme Demers.
[00:26:54] Speaker C: Merci M. Moret. Je suis tellement contente qu'on parle.
[00:26:58] Speaker B: Vous êtes une merveilleuse.
[00:27:00] Speaker C: Je suis tellement contente qu'on parle de ce sujet-là parce que moi je suis une fille, l'hiver je suis dans les arénas, l'été je suis sur les terrains de baseball. C'est comme ça, ça a toujours été comme ça. Alors je suis à même de voir qu'il y a eu vraiment un manque d'entretien. Mais au-delà de ça...
On l'a toujours reconnu. Quand on dit qu'on veut accompagner le milieu, les organismes qui sont sur le terrain font des miracles avec les citoyens et avec les jeunes qui participent. On parle de culture, on parle d'aréna. Plus de 10 millions ont été investis, et ça paraît encore sur le terrain, dans les arénas actuels. Et on l'a annoncé, moi aussi j'étais là la semaine passée au Mouvement sportif Lévis, pour le merveilleux projet qu'ils ont. La Ville les accompagne parce qu'on a payé la moitié de l'étude de la phase 1, on va payer la moitié de l'étude en phase 2, qui va nous permettre d'arriver à un projet pour les citoyens de Lévis, parce qu'on le sait qu'on est en manque d'arénas. Ceci étant dit, La Ville est là pour accompagner tous les organismes culturels ou sportifs.
[00:28:09] Speaker A: Merci beaucoup M. Bonin. Et ensuite, on engage.
[00:28:12] Speaker D: Merci. Ça fait longtemps qu'on réfléchit à l'avenir de Lévis chez Repensons Lévis. Il y a beaucoup de gens de Lévis qui ont travaillé sur nos propositions depuis quelques années à travers nos congrès, à travers nos différentes propositions. On est allé chercher les idées ailleurs dans les autres villes pour les ramener chez nous puis voir c'est quoi qui fit avec ce qu'on a ici. On a une vision claire. La voici. Vision du centre-ville, passer de ville de passage à ville de destination. Oui, ça inclut l'amphithéâtre, mais ça inclut l'idée d'un quartier des spectacles, de Lucard-Lévis, ou peut-être l'Université du Québec à Lévis un jour. Une identité touristique lévisienne qu'on va bonifier tout le monde ensemble. C'est comme ça qu'on fonctionne. Les budgets, les PQI, depuis le début, on nous présente les budgets, on les vote, et après ça, on les présente au public. Il y a quelque chose qui ne fonctionne pas là-dedans. La liste des grands projets, il faut la présenter aux citoyens puis qu'on puisse échanger sur les projets avant de décider c'est quoi cette liste-là. Et ça, c'est ce qui n'est pas fait. C'est la différence, repensons Lévis. Pouvoir au quartier, on veut qu'il y ait des budgets dans chaque quartier, que les gens viennent se prononcer sur ce qui est important pour eux, puis que les gens viennent dire « moi je veux éclater le travail là-dessus plutôt que là-dessus Merci ».
[00:29:15] Speaker A: Beaucoup. Madame Demers, c'est à vous d'engager. C'est la dernière phase du débat. C'est le fun d'inclure l'éducation là-dedans. Le volet sur l'université, je trouve ça intéressant. Allez-y, c'est à vous. On engage le débat. 8 minutes.
[00:29:27] Speaker C: Si moi, je vous parlais des dernières réalisations, on parle d'un complexe aquatique multifonctionnel. On parle des arénas, on parle des terrains de baseball. On va avoir des projets. Moi, je n'ai pas fini avec les annonces qui vont se faire dans les prochaines semaines. mais on parle de terrain de baseball synthétique, on parle de glace réfrigérée pour permettre aux citoyens de... Vous savez, les glaces qu'on a présentement, les patinoires qu'on a, souvent, on les refait deux et trois fois avec le changement climatique. Ce qu'on veut, c'est d'avoir au minimum une glace réfrigérée pour permettre aux gens qui veulent en profiter. Mais on parle de la culture, on parle d'accompagnement du cégep pour la salle de spectacle. Pourquoi vous dites non? Vous êtes pas d'accord avec ça. Puis vous, ce que vous dites... Vous.
[00:30:07] Speaker B: Dites... Oui, mais ce que vous dites, c'est que...
[00:30:10] Speaker C: La qualité de vie des citoyens, la qualité de vie, tout ça fait partie de la qualité.
[00:30:15] Speaker B: Permettez-moi de vous dire qu'il n'est pas normal que des bénévoles fassent des miracles deux jours avant un tournoi de baseball pour remettre un terrain en ordre. Nos terrains devraient être des joyaux comme c'est le cas du stade Canac à Québec. C'est un peu ce que vous voulez.
[00:30:27] Speaker D: Faire avec les OBNL qui gèreraient l'été. C'est votre proposition.
[00:30:31] Speaker B: Pourquoi est-ce que la Ville s'est réveillée et s'est dit on va se tourner vers un partenariat? Parce qu'elle a fait une demande pour agrandir l'aréna de Lévis de 20 millions qui a essuyé une fin de non recevoir. Donc ce qu'on doit faire, c'est qu'on doit travailler avec le milieu et toutes les réussites à Lévis se sont faites en partenariat public-privé où on utilise le dollar. On utilise le dollar du payeur de taxes comme un levier, comme ça a été le cas pour le stade de soccer Onco, pour le stade du Collège de Lévis, pour le deux glaces Onco, et ça c'est un modèle dont on peut s'inspirer.
[00:31:04] Speaker D: Vous parlez du deux glaces Onco. J'aimerais ça que vous me parliez de ce modèle-là, en quoi c'est un bon modèle pour la ville. Combien ça coûte une heure de glace en ce moment au Onco?
[00:31:13] Speaker B: Ce que je vous dis c'est qu'on doit travailler.
[00:31:15] Speaker D: Combien ça coûte une heure de glace au Onco?
[00:31:17] Speaker B: Vous semblez le savoir.
[00:31:19] Speaker D: Vous savez pas, 500$ en ce moment, ça a coûté moins de 500 millions construire le Deux Glaces Onco au privé et maintenant on paie plus d'un million d'heures de glace à chaque année. C'est un bon deal, est-ce que c'est ça qu'on veut pour la vie?
[00:31:39] Speaker B: Ben c'est qui était le bon négocié? C'était vous autres. Ah oui, c'était moi?
[00:31:42] Speaker D: Je suis dans l'opposition depuis 4 ans, M. Blainey. Je vous ramène un petit peu sur terre. Ce n'est pas un bon deal, ce n'est pas un bon modèle. Il faut trouver un modèle gagnant. Ce n'en est pas un. Vous le prenez toujours en exemple, donc il y a un problème là. Là, je regarde votre plateforme, M. Blainet. Vous voulez instaurer les médailles du maire de Lévis. Vous n'êtes pas au courant qu'on a une signature de livre d'or et qu'il y a des statuettes du chevalier de.
[00:32:06] Speaker C: Lévis qui sont distribuées?
[00:32:07] Speaker D: Vous parlez de programmation culturelle diversifiée. En quoi ce n'est pas déjà le cas? Vous parlez d'améliorer les garderies. Ce n'est pas dans notre cours. Vous parlez de convention de cellulaire. Je n'ai pas l'impression qu'on vit dans la même ville, M. Blainet.
[00:32:18] Speaker B: Moi, j'ai l'impression que vous avez dormi au gaz Parce que la Ville de Trois-Rivières a mis en place des initiatives pour attirer les gardiennes et les gratifier. Parce que connaissez-vous, savez-vous la plus grande richesse qu'on a à l'Égypte?
[00:32:30] Speaker D: Attirer les gardiennes, c'est ça que j'ai compris.
[00:32:33] Speaker B: Oui, et savez-vous, j'adore que vous soyez... Écoutez, on a besoin...
[00:32:38] Speaker C: Je comprends même pas ce que vous dites pour les citoyens de l'Égypte.
[00:32:40] Speaker B: Oui, mais là, ça s'arrête pas de vous couper la parole.
[00:32:42] Speaker D: Allez-y, là, M. Delay.
[00:32:43] Speaker A: Allez-y, allez-y.
[00:32:45] Speaker B: Écoutez, la gratitude, la plus grande richesse de Lévis, c'est l'engagement de nos bénévoles, ce sont nos organismes communautaires et c'est la gratitude. C'est une grande richesse et ce sont ces gens-là, par exemple, qui ont fait que Thomas Chabot, vendredi soir, on a soulevé son chandail à l'aréna de Lévis. Pourquoi? Parce que l'Organisation des Chevaliers de Lévis se dévoue depuis des années pour nos jeunes et ça nous amène quoi? Au plus haut sommet. Alors oui c'est important de reconnaître la gratitude et c'est la plus grande richesse et je trouve que c'est méprisant envers les bénévoles, envers la fonction qu'on exerce, de ne pas démontrer de respect envers les gens qui se dévouent pour le travail.
[00:33:22] Speaker D: Mais c'est parce qu'on a déjà plein de reconnaissances, vous essayez d'inventer une nouvelle reconnaissance alors qu'on en a déjà plein.
[00:33:27] Speaker C: Et la médaille existe en passant, la médaille elle existe déjà. Mais moi je vais vous demander M. Bléné, concrètement qu'est-ce que vous allez faire pour les citoyens de Lévis? Parce que si je vous écoute ce matin, tout ce qu'on a fait, c'est pas bon. Concrètement, qu'est-ce que vous allez faire? Non, non, non.
[00:33:43] Speaker B: C'est quoi votre vision?
[00:33:45] Speaker D: C'est quoi votre vision de Centreville, par exemple?
[00:33:48] Speaker C: Je vous demande concrètement ce que vous allez faire. 12 000 bénévoles, 225 organismes.
[00:33:54] Speaker B: Les Jeux du Québec, c'est un très bon exemple. Comment ça vous n'avez pas fait ça des 10 dernières années?
[00:33:58] Speaker D: Il y en a eu à l'hiver. Ce qu'ils font à la balade, il y a eu les Jeux du Québec.
[00:34:02] Speaker B: Ça nous prend des projets pour ranimer notre fierté au ciel et l'amener encore plus loin. Développer des projets comme celui que nous propose Jacques Tanguay avec un trois glaces et un amphithéâtre. Consommer notre culture. Et aussi, je vais vous dire franchement, que c'est que vous attendez pour régler les problèmes. Pendant que vous coupiez des rubans, j'étais dans les sous-sols de Charny, de Saint-Étienne et de Saint-Rédempteur où il y a des problèmes de refoulement. Voilà, c'est ça. Alors, on a une vision pour faire de Lévis une grande ville. Reste 3 minutes.
[00:34:32] Speaker C: Concrètement, M. Blainet, parlez-moi de vos projets, à part les Jeux du Québec, parce que vous ne faites que parler de ça. Concrètement.
[00:34:39] Speaker B: Je contente. Allez voir notre plateforme.
[00:34:41] Speaker C: Je l'ai vue.
[00:34:42] Speaker B: Elle est truffée de richesses, de trouvailles.
[00:34:44] Speaker D: Elle est truffée d'ignorance sur ce qui se passe dans la ville et d'ingérence pour dire aux policiers quoi faire. Il y a quelque chose qui ne fonctionne pas dans votre plateforme. Ajoutons aux ingénieurs aussi. Est-ce qu'on préfère ne pas poser... Je ne sais pas comment elle a été construite, mais honnêtement, là-dedans... C'est de l'ingérence.
[00:35:19] Speaker C: – Les ingénieurs non plus.
[00:35:20] Speaker B: – Je pense qu'ils sont très contents de savoir qu'il va y avoir une administration qui va les appuyer pour protéger nos citoyens dans les quartiers sans feu.
[00:35:27] Speaker D: – Là, vous ne les appuyez pas, vous les dirigez. Vous dites, c'est ça que vous devez faire. – Il reste deux minutes.
[00:35:32] Speaker C: – Deux minutes au complet parce que j'aurais une question, M. Bonin. Comment vous allez faire avec votre gel d'embauche? La Ville a 40 000 de population de plus que quand on a fusionné en 2001. Comment vous allez faire avec un gel d'embauche?
[00:35:47] Speaker D: 22 % d'augmentation de la masse salariale en deux ans, ce n'est pas soutenable. C'est impossible de soutenir ça. 22 %, Mme Demers.
[00:35:55] Speaker C: Dites-moi quel service vous allez couper, parce.
[00:35:58] Speaker B: Que c'est sûr qu'on arrive...
[00:35:58] Speaker D: Les policiers et les pompiers sont dans les conventions collectives, on ne touche pas à ça, mais on va prendre une année. On va prendre une année. En ce moment, les directions rencontrent le comité des finances et c'est vous qui prenez les décisions sur qu'est-ce qui doit être priorisé. Ça ne fonctionne pas. C'est le conseil de ville qui devrait rencontrer toutes les directions et prendre les décisions. Et si vraiment il y a une démonstration urgente qu'on a besoin à certains endroits, peut-être qu'on va être souple là-dessus. Mais honnêtement, on ne peut pas arriver... Vous prévoyez tous les deux un plafonnement des taxes à l'inflation ou à l'indice des prix à la consommation, mais je n'ai entendu aucune mesure qui vous permet de plafonner ces taxes-là ou de diversifier les revenus. Vous êtes contre la diversification des revenus, M. Blainet, vous l'avez publié hier. Il n'y a aucun recours prévu. Donc moi, je parle d'un gel d'embauche.
[00:36:40] Speaker B: C'Est un moyen concret. C'est plus de taxes.
[00:36:44] Speaker D: C'est pas nécessairement, M. Blainy, c'est des partenariats.
[00:36:47] Speaker B: Diversification des revenus, c'est fouiller dans les poches des gens.
[00:36:48] Speaker D: Ah bien là, vous avez vu le rapport et vous avez dit c'est ça, c'est les taxes qui sont ailleurs.
[00:36:51] Speaker B: On va prendre connaissance du rapport, on va regarder ces éléments.
[00:36:54] Speaker D: Mais il y a une chose qui est claire, c'est que nous, on veut.
[00:36:55] Speaker B: Réduire les dépenses, on ne veut pas augmenter les dépenses.
[00:36:58] Speaker C: Quand on a présentement un plan d'effectif, donc on planifie sur cinq ans. Depuis 2024, on a un plan d'effectif. On nous a souvent dit qu'on ne planifiait pas, puis quand on planifie, on revient dessus en nous disant... Parce qu'ils.
[00:37:10] Speaker D: Changent tout le temps, c'est ça mon problème.
[00:37:11] Speaker C: Non, le plan d'effectif n'a pas changé.
[00:37:12] Speaker D: Le PQE change constamment, les montants changent constamment, la masse salariale augmente, on a beaucoup de cadres criants, très peu de gens au service, c'est ça moi le problème en ce moment.
[00:37:24] Speaker C: Le plan d'effectif n'a pas changé. Les montants autorisés au plan d'effectif n'ont pas changé.
[00:37:30] Speaker A: Merci! C'est tout? C'est tout? Mais un mot de la fin. Un petit mot de la fin. Une minute chaque.
[00:37:36] Speaker D: Oui.
[00:37:36] Speaker B: Oui.
[00:37:37] Speaker A: Il va selon l'ordre que j'ai devant moi. Les femmes d'abord. Vous êtes devant moi, il y a Mme Demers, M. Blainy, M. Bonin. Allez-y avec le mot de la fin, en conclusion Mme Demers.
[00:37:48] Speaker C: Laissez-moi juste vous dire que pour cette conclusion-là, je suis une fille de Lévis, je suis née moi à Lévis, j'ai élevé ma famille, j'ai Lévis, Saint-Nicolas, je suis née à Saint-Nicolas sans déménager, je suis maintenant une Lévisienne et j'ai Lévis tatoué sur le cœur. Je suis à ma 16e année de politique active, c'est ma 7e campagne électorale. Les gens doivent savoir que j'ai une carrière privée moi aussi, je suis toujours attachée, je travaille pour une banque, mais que j'ai décidé moi un jour de faire de la politique active. Alors, c'est ce que j'ai voulu faire et j'ai voulu être là sur le terrain pour représenter les citoyens. Je viens d'une grande famille, je ne me suis jamais cachée en arrière d'aucune décision qu'on a prise parce qu'on a toujours pris les décisions pour les citoyens. Alors, moi, pas de coupure de service, on n'aura pas ça. Je souhaite que les citoyens puissent nous entendre et continuer de nous voir sur le terrain.
[00:38:42] Speaker D: Merci.
[00:38:43] Speaker B: Merci à Chouette de nous recevoir ce matin pour le choix que les gens de Lévis ont à avoir. Ce sont les gens de Lévis, on peut leur faire confiance pour mettre l'avenir de notre collectivité dans les bonnes personnes. Et je suis très fier de l'équipe de Prospérité Lévis qu'on a montée, qui s'est jointe à moi. Je pense par exemple à Karine Laflamme d'Empintante, je pense à Mélanie Scott, je pense à René Gagnon qui a été un agroéconomiste. Donc une équipe expérimentée, aguerrie qui a besoin d'apporter ce vent de renouveau. Pour amener ce que j'appellerais dans le Lévis 2.0. parce qu'on est à la croisée des chemins. J'en ai parlé, on a manqué de planification et ça fait en sorte qu'on vit beaucoup de défis. Donc, ben écoutez, aux anciens combattants, j'avais un budget de 3,6 milliards, 3600 employés. Fait que oui, je sais gérer, mais en plus, je suis entouré d'une équipe excellente. Ensemble, on souhaite reprendre en main Lévis pour en assurer la prospérité. Et j'ai hâte de... Quand on va les couper les rubans, ça va être pour un amphithéâtre, trois glaces, avec une possibilité d'avoir des infrastructures pour nos jeunes.
[00:39:40] Speaker A: Merci beaucoup. Et M. Bonnet pour finir.
[00:39:42] Speaker D: Lévis est endetté, deuxième plus grande dette des grandes villes au Québec, pas mal taxé, quatrième plus taxé parmi les grandes villes. On commence par une saine gestion, on plafonne les taxes, on gèle les embauches, on baisse la dette, on entretient les infrastructures, on diversifie les revenus. et on fait tout ça avant d'investir ailleurs, on prépare le terrain, on met de l'argent de côté, puis quand ce sera le temps, on va faire ce qu'il faut pour frapper fort dans la mobilité, combattre le trafic, investir dans notre centre-ville, attirer du monde en tourisme à Lévis. C'est ça notre plan de match, c'est clair, c'est transparent, puis on va pas prendre les décisions d'en haut pendant quatre ans, on va venir vous voir. On va venir vous voir pour choisir pour vos quartiers, pour faire la liste des projets de la ville, pas juste vous consulter après la décision. C'est ça la différence Repensons Lévis. Ça prend du courage, ça prend de l'audace pour mettre de l'avant nos propositions. On est là pour ça.
[00:40:30] Speaker A: Merci beaucoup.
[00:40:31] Speaker C: Merci à vous de nous avoir reçus ce matin. Merci M. Moret.
[00:40:35] Speaker B: Merci aux gens de Lévis et aux gens de partout qui nous ont écoutés. On est là pour ça et on souhaite une belle continuité de campagne.
[00:40:40] Speaker A: C'est bon, merci beaucoup.
[00:40:41] Speaker C: Merci.
[00:40:42] Speaker A: Après la pause, on ouvre.