Episode Transcript
[00:00:11] Speaker A: Il.
[00:00:16] Speaker B: Est temps qu'on règle les vraies affaires, les gars.
[00:00:18] Speaker C: Les vrais dossiers.
[00:00:19] Speaker B: Les vrais de vrais dossiers. Je vous ramène à la semaine passée, une émission qui se terminait. Bonsoir, bonsoir. La chroniqueuse Élise Guilbeault qui avait ceci à dire. Mesdames, écoutez. Écoutez attentivement. Messieurs aussi, c'est vraiment d'intérêt public.
[00:00:34] Speaker D: Et c'est comme ça que j'étais témoin de phénomènes vestimentaires absolument inquiets.
C'est le port du legging. Du legging en guise de pantalon. Ma mère dirait, c'est-tu les pantalons où on distingue toutes? C'est le triomphe du mou. C'est très bavard. C'est incroyable. C'est très bavard. Ma mère dans ses lignes de bowling.
[00:00:58] Speaker A: Il y en a une qui est toujours en legging.
[00:00:59] Speaker D: Quand elle se penche pour relancer sa boule... C'est vive le W. C'est une belle façon de le dire. C'est incroyable. Alors là, c'est incroyable. C'est vraiment tout le monde tout nu en fait. Ah, n'importe où, au salon funéraire, je veux dire au bureau, en avion, je vous dis pas, en avion et tout, on dit tout. Juste une brassière, un petit legging, franchement, puis nu, bien sûr, comme s'il faisait pas froid dans un avion. Non mais c'est incroyable, j'ai même vu dans un mariage une mariée avec un legging blanc. Ben voyons donc, c'est vulgaire. Non, c'est vulgaire. C'est vulgaire.
[00:01:31] Speaker B: Est-ce que le legging est vulgaire, à vous de juger?
Médecin, je veux faire le lien entre ça et les articles de samedi dans le journal de Québec, le journal de Montréal, concernant la taxe rose, OK?
[00:01:43] Speaker C: Oui, oui.
[00:01:45] Speaker B: Les filles, les plus grandes critiques de leur visage, les plus grandes critiques de la façon dont elles s'habillent, c'est les autres filles.
[00:01:53] Speaker C: Ben oui! Ben oui!
[00:01:55] Speaker A: On a déjà parlé par le passé que les filles sont passées à Radio X.
Débordez de ça, là. Les messages qu'ils reçoivent sont toujours plus hard. Mais les messages de femmes sont probablement les pires, là.
[00:02:07] Speaker C: Oui.
[00:02:08] Speaker A: Sur ce que t'as de l'air, sur.
[00:02:10] Speaker C: Ta voix, sur ta coupe de cheveux... Les femmes sont bitches, là, envers d'autres femmes. Oui, on va se le dire, là.
[00:02:17] Speaker A: Quand y'en a qui s'offrent pis qui le racontent, c'était qui qui avait fait ça?
[00:02:19] Speaker C: Beaucoup plus que les gars.
[00:02:21] Speaker A: Guylaine Tremblay, dans les dernières années?
[00:02:22] Speaker B: Absolument.
[00:02:22] Speaker C: Ben oui, oui. Mettons que Pierre arrive ici avec un veston, pis où Jean-Claude arrive avec un hoodie punk. Vas-y, ben oui, c'est Jean-Claude qui est encore habillé pareil. Ouais, je veux dire, je m'en fous là, pour vrai. Moi, je m'en balance de l'habillement.
[00:02:38] Speaker A: Le pire, c'est que ça va arriver qu'on regarde les TV pis tu vas trouver qu'une personne s'est habillée tout croche une journée. Mais tu y écris pas pour y dire! Les femmes, oui!
[00:02:47] Speaker C: On est en milieu de travail. Toi, t'as travaillé à Desjardins. Moi, ça donne que j'ai un chum qui a travaillé aussi.
[00:02:53] Speaker B: Dans une caisse.
[00:02:54] Speaker C: Le bavassage, le placotage, elle me parle plus. Elle me regarde, elle m'a pas dit que j'étais belle, elle m'a dit que j'étais grosse, elle m'a dit que j'avais du poids à perdre. Là, ça commence dans la salle de repos. Là, ça part.
[00:03:09] Speaker B: Moi, quand je m'habillais le matin pour aller travailler chez Desjardins, je pensais pas à mes... Je me disais pas que mes chums de gars vont me trouver...
[00:03:15] Speaker C: Mais non!
[00:03:17] Speaker B: C'était pas ça le point.
[00:03:18] Speaker C: Je mettais de l'eau de cologne pour bien paraître auprès de la jante féminine.
[00:03:22] Speaker B: Puis tu sais combien de chums disent à leurs blondes « t'es bien plus belle pas de maquillage ». Mais tous les jours, tous les matins en se levant, avant d'aller travailler, elles rentrent dans la salle de bain parce.
[00:03:31] Speaker C: Qu'Elles se mettent du maquillage. Pour plaire.
[00:03:33] Speaker A: Pour les autres filles.
[00:03:34] Speaker B: Pour plaire au bureau pour pas que les autres filles...
[00:03:36] Speaker A: La jugent.
[00:03:38] Speaker B: Tu sais, c'est ça. Donc voilà, les leggings, c'est vulgaire. Sachez-le. Mais pas toujours. Il y a des fois, ça l'est moins. Des fois, ça l'est pas mal moins vulgaire. Évidemment que ça a beaucoup réagi. Je vous fais entendre une décennie.
[00:03:51] Speaker C: Mais les leggings, c'est pas fait pour tout le monde, hein, Dan?
[00:03:53] Speaker B: Non, c'est pas fait pour tout le monde. Mais moi, je fais attention, maintenant, aux jokes de leggings. Par exemple, Doom Dumas en leggings, C'est.
[00:04:01] Speaker C: Comme le Speedo, dans le fond, pour les gars. Moi, j'ai oublié ça. J'avais l'air d'un cave.
[00:04:06] Speaker B: Speedo, c'est pour les joueurs de water polo.
[00:04:08] Speaker C: C'est ça. Exact. La torpille. Comment ça s'appelait? Michael Phelps. Ce genre de phénomène.
[00:04:16] Speaker B: Ils mettaient des cuissards.
[00:04:18] Speaker C: C'est ça, exact.
[00:04:20] Speaker B: Donc, on y va avec une réaction au commentaire d'Élise Guilbeault. C'est une réaction qui est...
C'est une réaction que... En fait, c'est un commentaire qui a fait beaucoup réagir, donc on écoute.
[00:04:33] Speaker D: Moi, m'entends. Là, je vous mets un extrait, mais je vous invite à aller voir la vidéo intégrale sur la page Facebook de Bonsoir Bonsoir. Puis non, je n'ai pas écouté l'émission au complet parce que l'extrait était suffisant pour moi, je vous le jure. Puis si c'était vraiment juste un extrait pour faire réagir, bien, ça fonctionne. Fait que trois points importants, je pense, qu'il faudrait qu'on aborde aujourd'hui.
Le premier, c'est la grossophobie dans les commentaires. Parce que là, on a plein de Réjean, Sylvie et Dominique qui se sont autoproclamés polices de la mode et qui viennent nous expliquer jusqu'à quel poids on devrait avoir le droit de porter des leggings. Parce que eux, ce qui les dérange, c'est pas que les femmes portent des leggings, c'est la grosseur de la femme qu'il y a dedans. Ensuite, on est en 2025. On peut-tu arrêter de juger ce que les femmes portent? Parce que oui, on le sait, c'est toujours ce que les femmes ont sur le dos qui dérange.
Et pour terminer, je reviens à mon sujet principal qui est l'autisme. Moi, j'ai une petite fille qui a refusé de porter autre chose que des leggings jusqu'à passer 11 ans. Elle n'est pas toute seule. Je parle avec des mamans régulièrement qui ont des petites filles TSA qui, elles aussi, n'acceptent de porter que des leggings parce que c'est tout ce qu'elles sont capables d'en porter.
[00:05:44] Speaker B: C'est ça le Québec, Ben. Un commentaire insignifiant dans une chronique d'humeur sur des leggings.
[00:05:49] Speaker C: C'est ça.
[00:05:50] Speaker B: Puis il y a du monde au.
[00:05:50] Speaker C: Bout de l'océan en disant « ma.
[00:05:52] Speaker B: Fille est autiste, elle ne voulait pas porter autre chose ». Je ne pense pas qu'Élise Guilbeault parlait des enfants de 11 ans.
Elle parle des filles qui se mettent en legging pour aller magasiner.
[00:06:01] Speaker A: Même pour se marier.
[00:06:02] Speaker C: Ouais, c'est ça.
[00:06:03] Speaker B: Même pour se marier.
[00:06:03] Speaker C: Au salon funéraire.
[00:06:05] Speaker A: Aussi, c'est accueillant.
[00:06:06] Speaker B: Ouais, c'est ça. Mais moi, c'est pas mon opinion, là. Vous mettez des leggings quand vous voulez.
[00:06:10] Speaker C: Ah oui. Très à l'aise avec ça.
[00:06:13] Speaker B: Moi... Pis c'est pas de la... Que ce.
[00:06:15] Speaker C: Soit grossoir, je m'en fous, honnêtement. Faites ce que vous voulez, vous habillez comme vous voulez, balance comme la 40, au gym, là. Il y a des gars pis des filles qui sont habillés tout croche. Je suis habillé tout croche. Des fois, il y a des gars en camisole. Ça vaut quoi? Je vais juger les gars. Cet été, j'ai vu beaucoup de gars, plus qu'à l'habitude, faire du jogging en bédaine. C'est pas fait pour tout le monde. Le jogging en bédaine, je le sais pas. Je le sais pas, pour vrai. Je suis pas sûr.
C'est ça, il y a des pratiques des deux bords.
[00:06:49] Speaker B: Puis non, effectivement, il n'y a pas de commentaire grossophobe à faire sur les feuilles à léguignes. La seule chose qui... En fait, on est curieux sur l'élasticité du pendex.
[00:06:59] Speaker C: Oui, c'est ça. Nous autres, on est des amateurs de textiles.
[00:07:01] Speaker B: C'est ça, c'est la science.
[00:07:02] Speaker C: Les textilophiles.
[00:07:04] Speaker A: Il y en a des fois que trop étiré, tu vois un peu à travers.
[00:07:07] Speaker C: Oui, mais tu vois beaucoup à travers. Oui, c'est ça. Surtout après une heure et demie de gym. Ou de badminton.
[00:07:14] Speaker B: Non, je le sais. Qu'est-ce que tu dis de badminton? Maintenant, tant qu'à être dans les vêtements, il y a beaucoup de vêtements de ce temps-ci. Les filles sont au bout de leurs cordes. Il y a une fille de Québec qui s'est faite expulser d'un gym.
[00:07:28] Speaker E: Aujourd'hui, je me suis fait refuser du gym que je m'entraînais il y a 3 mois. C'est un nouveau gym qui est plus proche de chez moi que l'ancien. On m'a dit clairement que je n'avais pas le droit de top de sport. Je veux juste dire que je ne suis pas une fille qui se met super sexy dans les endroits qui sont plus familiales, des choses comme ça. Je suis vraiment une fille qui se met un petit peu popona, oui, comme toutes les filles, mais je fais attention à des places. Je suis le genre de fille aussi que j'aime être belle, mais je n'aime pas avoir l'attention. Je suis en petite coupe de sport, vraiment. On ne voit même pas mon ombri.
[00:08:17] Speaker B: La fille, elle avait un top de sport pis des leggings.
[00:08:20] Speaker C: Tu l'as vu, là? Ah oui, il y en a plein de ça. À toi, Joe?
[00:08:23] Speaker B: Ben, elle s'est fait sortir du gym.
[00:08:25] Speaker C: Ce matin, 4h15 du matin, j'étais au Econo Fitness à Charlebois. C'est vrai, il y a des livers qui m'ont reconnu. Let's go, gang! Deux filles qui étaient sur le tapis avec moi, qui étaient habillées comme tu viens de le décrire. Leggings, top de sport. Let's go.
[00:08:42] Speaker A: C'est la version féminine de la camisole, là.
[00:08:44] Speaker C: Ben c'est ça, c'est 2025, là. On est en 2025, les filles, elles s'habillent de même pour faire du jogging.
[00:08:50] Speaker A: Parce que guess what, t'as chaud quand tu t'entraînes.
[00:08:52] Speaker C: Ma blonde, elle aime ça. Quand on va faire du jogging, let's go. Ça, c'est un gym retard, là.
Elle parle de quel gym dans quelle région. C'est vraiment un retard comme attitude d'exclure cette fille-là pour vrai.
[00:09:06] Speaker B: C'est ce que je pense aussi. C'est ce que je pense aussi. Tyra Kill a reçu une accusation hier de violence conjugale sur une ex. Lui dit que c'était un mensonge parce qu'elle veut de l'argent. Il a fait un enfant. À un moment donné, Tyrex, c'est bien drôle, faire 12 enfants à 12 femmes différentes. Ça se peut que t'en pognes une des fois de temps en temps qui n'est pas équilibrée. Ça se peut aussi que ce soit lui qui soit coupable et qui ait fait la violence conjugale. Mais c'est clair qu'il y a des agissements qui te mettent dans le trouble. Puis la façon dont il agit depuis quelques années, visiblement, ça le met dans le trouble. Donc là, il se retrouve avec des poursuites sur lui. Ça va bien du côté des Dolphins de Miami. Juste des bonnes nouvelles. Tu sais que Bill Belichick a gagné en fin de semaine, hein?
[00:09:54] Speaker C: Oh! Ah oui!
[00:09:55] Speaker B: Oui, 20 à 3. Ça a été quand même une grosse victoire, la défensive qui a... Ça y.
[00:09:59] Speaker C: Est, on n'était même pas au courant!
[00:10:00] Speaker B: Qui a élevé son jeu d'un grand, mais c'est ce qui fait jaser encore une fois.
[00:10:04] Speaker C: Sablonne était contente.
[00:10:05] Speaker B: Et Jordan, oui, était contente. Elle était sur les lignes de côté, quand même.
[00:10:08] Speaker C: Jordan est allé au Derry Queen après la game.
[00:10:11] Speaker B: Oui, est allé au Derry Queen, mais le stade, là-bas, t'es obligé d'avoir des sacs transparents, OK? Tu n'as pas le droit de rentrer dans le stade.
[00:10:20] Speaker C: Elle l'a pas et elle a fait une crise. Non.
[00:10:22] Speaker B: Elle avait un sac transparent, tu sais. Donc, elle est rentrée dans le stade avec son sac transparent, les gens ont pris des photos et ils ont analysé le contenu.
[00:10:31] Speaker C: C'est bitch.
[00:10:34] Speaker B: Et le contenu est quand même assez intriguant. Parce qu'on retrouve dans ce sac-là...
[00:10:40] Speaker C: C'est comme fouiller dans la sacoche d'une fille.
[00:10:42] Speaker B: Oui, exactement. On retrouve beaucoup de factures. Donc, elle, visiblement, elle garde ses factures.
[00:10:48] Speaker C: Donc, une fille au Québec, tu vides sa sacoche plein de factures de Jean Coutu.
[00:10:52] Speaker B: Oui.
[00:10:53] Speaker C: Elle a des factures de quoi?
[00:10:55] Speaker B: On sait pas si c'est des factures de quoi, mais on voyait que c'est des factures. Il y a aussi des messages de la NFL.
[00:11:02] Speaker C: Oh.
[00:11:03] Speaker B: Officiels.
[00:11:04] Speaker A: Avec le crest.
[00:11:05] Speaker B: Qui était là en évidence. Un autre papier plié au hasard semblait être une sorte de contrat ou des mots droits moraux.
[00:11:12] Speaker C: Ben là!
[00:11:13] Speaker B: Sont mises en évidence.
[00:11:15] Speaker A: Y'a un surligneur jaune fluo.
[00:11:19] Speaker B: On dit, on ne sait pas exactement quelles notes Hudson semble essayer de relayer avec le sac à main, bien que tout cela semble trop méticuleusement placé pour être qu'une coïncidence.
Donc là, c'est toujours la théorie du complot en 2025. La théorie du complot, c'est dans toutes les nouvelles. Mais Jordan Hudson, c'est incroyable à quel point le monde la vérifie. Il y a du monde qui doit plus surveiller Jordan Hudson pendant les matchs de la Caroline du Nord que l'équipe de la Caroline du Nord.
[00:11:56] Speaker C: Donc, il est encore avec.
[00:11:57] Speaker B: Ben oui, il est encore avec. Il était sur les lignes de côté.
[00:12:00] Speaker C: Sur les lignes de côté.
[00:12:01] Speaker B: Sur les lignes de côté, tu as déjà vu ça?
[00:12:02] Speaker C: À côté du coaching staff.
[00:12:04] Speaker B: Non, elle était pas dans le boot des équipes, là, mais elle était sur les lignes de côté. J'ai jamais vu ça.
[00:12:10] Speaker C: C'est toxique, là. Si on s'approche d'un genre de Yoko Ono, là.
[00:12:16] Speaker B: Ça se pourrait.
[00:12:17] Speaker C: C'est pas bon, là.
[00:12:18] Speaker B: Et finalement, vous savez, les manifestations à Montréal.
[00:12:21] Speaker C: Oui. Ben, il y en a.
[00:12:23] Speaker B: En fait, il y en a presque aussi souvent qu'à Paris. Ce qui n'est pas peu dire. Tout le monde déteste les autos.
[00:12:33] Speaker F: Salut, c'est moi la personne avec le mégaphone devant la bannière. Je vais juste prendre un moment pour expliquer le slogan « Tout le monde déteste les voitures ». C'est qu'on entend vraiment souvent des gens se plaindre des heures passées dans le trafic, ou du bruit des autoroutes, ou même de la condition des routes. Mais tout ça, c'est à cause des voitures. Ça peut-être que dans le fond, toi aussi tu détestes les voitures.
[00:12:59] Speaker B: Pensez-y.
[00:13:01] Speaker C: Non, non, regarde la gauche. Ils sont en train de tuer Montréal. Oui. Pas compliqué. Donc continuez comme ça, regarde. Les gens déménagent à Brossard, les gens vont magasiner à Mascouche. Ça va très bien.
[00:13:10] Speaker A: Grosse sortie hier des gens d'affaires du centre-ville de Montréal. Le centre-ville est en train de crever.
[00:13:14] Speaker C: Hé! As-tu vu les images? Du monde qui shake à terre, du monde en crise. Du monde qui prenne des selles de bain puis du fentanyl.
[00:13:23] Speaker B: Moi, c'est cette position-là.
[00:13:26] Speaker C: Ah oui oui, penchés. Ça j'en ai vu à Vancouver, Dan. Ça c'est des morts vivants.
[00:13:31] Speaker A: Oui, pis y'en a deux cachés à la terre.
[00:13:32] Speaker C: J'ai vu des zombies, à Vancouver. Parce qu'ils ont fait le comparatif avec le secteur East Tastings à Vancouver.
[00:13:37] Speaker B: Mais ils tiennent, là.
[00:13:39] Speaker C: Ils tiennent, ils se tiennent. Ils tiennent debout, mais ils dorment, ils sont gelés ben durs.
[00:13:42] Speaker B: Mais tu le fais à jeun, t'es pas capable de tenir.
[00:13:44] Speaker C: Non non non, eux autres ils tiennent, c'est des heures et des heures. Ils sont penchés. Mais où penchés?
[00:13:49] Speaker A: Parce que t'as le sang qui te monte en tête en plus, là.
[00:13:52] Speaker B: Pis c'est souvent, là, les culottes.
[00:13:54] Speaker C: Non, non, pis ça chie à terre aussi. Regarde, c'est ça. C'est le chaos. Non, non, c'est la zizanie, c'est le chaos. Prends une photo. Ouais, vas-y, prends une photo. Vous allez voir Dan dans une position louche. La position du drogué montréalais. Non, non, c'est tellement triste. C'est un cri du cœur de la communauté d'affaires qui dit « Aidez-nous ». Un cri du cœur à la police. Mais en même temps, t'es même pas en prison. Y'a beaucoup de gens là-dedans qui sont des malades mentaux. Tu fais quoi? Pis là, j'entendais hier Rabouin. Ils sont-tu pas gâtés, eux autres, comme candidats? Ils sont pas gâtés. Oui, mais là, on va faire des petites interventions dans les quartiers, des escouades. Ils étaient avec Plante. Plante est là depuis des années. Ils ont rien fait. Ah, c'est triste. C'est triste à mourir. C'est bourré, bourré de zombies. C'est Zombieland Montréal. C'est triste, triste, triste.