Episode Transcript
[00:00:10] Speaker A: Breaking news! Salutations à l'auditeur Montréalais qui s'en vient nous voir, ici Région de Québec, qui demande juste « Je veux une poutine de cantine qui a du bon sang. Qu'est-ce que vous me recommandez? » C'est un gars qui vient pas souvent, puis il veut une poutine de cantine, donc je dirais pas bien réfraite, cantine, cantine, donc une roulotte. Roulotte à patates, comme on disait dans le temps. Je sais quoi, qu'est-ce qu'on dit? Je sais pas. Je sais pas, Marcotte. C'est une cantine, Marcotte? Je sais pas. À un moment donné, ça devient un restaurant établi.
[00:00:41] Speaker B: Puis ça, c'est le Catherine, là.
[00:00:43] Speaker A: Flashbourg.
[00:00:44] Speaker B: Ouais, Flashbourg, elle est très bonne. Richard, va chez Richard.
[00:00:48] Speaker A: Chez Richard ou Flashbourg dans mon hood? Notre-Dame-des-Pins.
Notre-Dame-des-Pins, Notre-Dame-des-Laurentides, pardon. Notre-Dame-des-Laurentides, ce qui est... En bas de la côte du lac Beauport, moi c'est ce que je te recommande, mais il y en a plein. Chez Magues, c'est une cantine. Ça devient gros. Là, ils ont deux succursales. Quand t'as une succursale, t'es disqualifié.
[00:01:10] Speaker B: C'est le règlement?
[00:01:12] Speaker A: C'est le règlement.
[00:01:12] Speaker B: OK.
[00:01:13] Speaker A: Donc, Tiwi, chez Michelin, du Sud du Nord.
[00:01:16] Speaker B: Hey, le vieux mou! Hey, si t'es prêt à aller dans Portneuf, le vieux moulin.
[00:01:18] Speaker A: Ouais, le vieux mou, très bon.
[00:01:20] Speaker B: Avec les frites, bien routis.
[00:01:24] Speaker A: Bien routis. Là, on vient de le mêler en sacrifice. On vient d'y donner 15 suggestions. Mais regarde, réécoute le tape pis fais ta propre opinion.
[00:01:33] Speaker B: Normandeux, 44 restaurants. Moi, c'est ça la nouvelle hier. 44 restaurants!
[00:01:38] Speaker A: Le plus proche de Montréal est à Sainte-Julie.
[00:01:40] Speaker B: 44 restaurants. Normandais. Normandais a été vendu hier. — C'est ça.
[00:01:43] Speaker A: — Ben oui. À une famille de Québec.
[00:01:45] Speaker B: — À une autre famille de Québec, oui. — C'est ça.
[00:01:46] Speaker A: Ils sont passés... Ils sont passés restaurant.
[00:01:49] Speaker B: — Comme quoi on n'est pas obligés.
[00:01:50] Speaker A: De... — Ça continue.
[00:01:50] Speaker B: — Comme quoi le maire n'est pas obligé d'investir 2 millions pour que les entreprises soient vendues à Québec.
[00:01:54] Speaker A: — Non.
[00:01:54] Speaker C: Ça peut bien aller.
[00:01:54] Speaker B: — Le marché s'en occupe.
[00:01:55] Speaker A: — Ça peut bien aller.
[00:01:56] Speaker B: — Le marché s'en occupe. Donc voilà. Ça changera pas. Les nouveaux propriétaires ont dit que ça va rester le même bon vieux normandin que vous connaissez déjà.
[00:02:03] Speaker A: — Oui. Avec les déjeuners, puis... — C'est ça.
[00:02:05] Speaker D: Notez que s'il n'y avait pas eu de tramway, il n'aurait jamais été vendu.
[00:02:08] Speaker A: Par contre, je sais... Non, c'est paralysé l'économie. Une fois qu'on aura le tramway, là, on va pouvoir manger trois fois par jour. Si y'a pas de tramway, y'a rien qui se passe.
[00:02:15] Speaker B: Ça va être l'enfer. CNN va mettre son siège social à Québec.
[00:02:18] Speaker A: Ah, c'est confirmé. Même qu'on dit siège social Québec, et y'aura un bureau satellite à Sainte-Catherine également. C'est pour le CNN. Mais ça ne s'est pas confirmé toutefois.
[00:02:28] Speaker B: Toi, tu t'en souviens pas, je le sais. Toi, je ne sais pas si tu t'en souviens. Mais Normandin, à 44 restaurants, ils ne peuvent plus faire ça. Mais à l'époque où moi, j'étais jeune, il n'y a personne à Québec qui vendait des meilleures patates frites que Normandin. Personne. Des normandais, des frites coupées à main, avec des vraies patates blanchies à l'huile.
[00:02:48] Speaker A: On parle de 1990, à peu près?
[00:02:50] Speaker B: 1987, je sais pas en quelle année ils ont changé leurs frites.
[00:02:53] Speaker D: Les années 90, c'était encore le cas.
[00:02:54] Speaker A: Toi, tu t'en souviens, Dom?
[00:02:56] Speaker D: Oui.
[00:02:57] Speaker B: Quand j'étais petit pu.
[00:02:57] Speaker A: Tu te souviens du Bas-de-Charlebourg, donc c'est la troisième venue. C'est ça.
[00:03:01] Speaker B: Dans le fond du sac, c'est le bon vieux sac en papier brun.
[00:03:04] Speaker A: Ça, j'aime ça. Faut que ça soit mouillé.
[00:03:06] Speaker B: Exactement. Puis dans le fond du sac, t'sais, tous les petits bouts de croustillant.
[00:03:10] Speaker A: C'est ça qui est bon.
[00:03:11] Speaker B: Je finissais ça comme des chips.
[00:03:13] Speaker A: Comme la roulotte à patates, beau parler à Chahui.
[00:03:14] Speaker D: Exactement. Il faisait ça comme les roulottes à patates.
[00:03:17] Speaker A: Puis pour moi, c'est beaucoup de vinaigre, beaucoup de sel. Sel, beaucoup. Vinaigre, beaucoup. Ferme le sac. Browse.
[00:03:22] Speaker B: Oui.
[00:03:22] Speaker A: Repeat.
[00:03:24] Speaker B: C'est bon. Avec un verre de lait, Dom?
[00:03:27] Speaker A: Je n'ai pas vécu ça, cette période-là de Normandie. Moi, je suis arrivé plus... Je suis arrivé en 97, 96, 97 à Québec. Évidemment, toi, t'es un petit cul de Limoilou, tu t'en souviens.
[00:03:39] Speaker D: Charlebourg.
[00:03:40] Speaker A: Charlebourg. Oui, c'est ça. Bonjour Langue, Charlebourg, Limoilou. Charlebourg arrête où, d'ailleurs?
[00:03:45] Speaker D: Il arrête au Viaduc de la capitale.
[00:03:49] Speaker A: OK.
L'autre bord t'as l'ERA, après ça t'as l'IMOLU. Pas loin du McDo, toi tu venais pas loin du McDo, en bas de la côte.
[00:03:56] Speaker D: Ouais, mais moi en fait...
[00:03:57] Speaker A: La galerie de Charlebois, c'est ton secteur.
[00:03:59] Speaker D: Oui, mais en arrière de chez nous, c'était Laurentien qui passait là. Fait que j'étais plus... Parc Anicazo.
[00:04:05] Speaker A: Ah ouais, c'est bon.
[00:04:07] Speaker D: C'était mon parc.
[00:04:08] Speaker A: La triaphe. Oui, c'est beau.
[00:04:11] Speaker B: Donc voilà pour ce qui est du normandais. C'est fait, c'est vendu. Une fille, elle, sur TikTok hier, est allée dire qu'au Québec, on n'avait pas les priorités aux bonnes places au niveau des prix. Les compagnies ne font pas assez de profit sur les bons produits. Je te laisse l'explication.
[00:04:26] Speaker E: Comment ça se fait qu'un pot de yogourt à prix régulier coûte 8$?
Y'a de quoi que je comprends pas dans le procédé où... On peut-tu m'expliquer? On veut-tu mettre les chips à 8$ pis mettre les aliments santé moins chers?
[00:04:49] Speaker A: Moi je vote pour ça.
[00:04:51] Speaker E: Je vote.
[00:04:52] Speaker A: Y'a 2-3 patentes là-dedans, mais vas-y Dan.
[00:04:54] Speaker B: Ben y'a 2-3 patentes. Du yogourt à 8$ là. Faut que t'ailles dans une autre épicerie.
[00:05:00] Speaker D: Ouais.
[00:05:01] Speaker B: C'est le même.
[00:05:02] Speaker A: Le gros avec des bio-machins pis des ci pis des ça.
[00:05:09] Speaker B: C'est ça que ça coûte.
[00:05:13] Speaker A: Je ne l'achète pas non plus. Oui, oui, le pré-régulier.
[00:05:15] Speaker B: Mais t'es capable, t'es toujours capable de trouver une place.
[00:05:19] Speaker D: Oui.
[00:05:19] Speaker B: Super C, ou à Métro, ou IGA.
[00:05:21] Speaker A: 499 Walmart.
[00:05:23] Speaker B: C'est ça, qui va le vendre 499 la semaine-là.
[00:05:24] Speaker A: Faut que tu magasines.
[00:05:25] Speaker D: Exact. Parce qu'à 8 piastres, t'es capable d'avoir Yogo, l'espèce de grosse poche, je sais pas si ça convient.
[00:05:31] Speaker A: Oui, je l'ai jeté avant, la poche avec un bouchon.
[00:05:34] Speaker D: Oui.
[00:05:35] Speaker A: C'est beau ça.
[00:05:36] Speaker D: T'es capable d'avoir ça.
[00:05:37] Speaker A: À vanille, hein?
[00:05:38] Speaker D: Oui, bien t'as un vanille pis il y en a aux fraises, je crois.
[00:05:40] Speaker A: Comme on dit en Beauce, drette d'engueule.
[00:05:42] Speaker D: Oui.
[00:05:44] Speaker A: Tu bois ton yogourt. C'est sûr que première date, tu fais pas ça.
[00:05:47] Speaker D: Non.
[00:05:48] Speaker A: La blonde, elle vient à la maison, première date, t'es un peu championne, j'arrive, le yogourt, t'es écrasé sur le divan. La poche de yogourt dans la gueule, d'après moi, elle prend son manteau pis elle sacre son casque.
[00:06:00] Speaker D: Veux-tu une shot?
[00:06:01] Speaker B: Quand j'étais jeune, ma mère, elle achetait 4 yogourts par personne. Elle nous disait quand elles sont finies, il n'y en a plus.
[00:06:07] Speaker A: Oui.
[00:06:08] Speaker B: Elle est terminée là.
[00:06:09] Speaker A: Les petits yogourts là.
[00:06:09] Speaker B: Oui, les petits yogourts.
[00:06:10] Speaker A: C'est ça, y'a plein là.
[00:06:11] Speaker B: Puis souvent, elle faisait l'épicerie le samedi. Souvent, elle arrivait le lundi matin, il n'y avait plus de yogourts.
[00:06:15] Speaker A: Fausses couleurs de fraises.
[00:06:17] Speaker B: Oui, fausses fraises.
[00:06:17] Speaker A: Des fraises, c't'octoire-là, y'a eu une attaque nucléaire avant.
[00:06:20] Speaker D: Moi, j'faisais à manger du yogourt à l'époque, j'savais de me rappeler. Le yogourt ferme.
[00:06:25] Speaker A: Moi, c'que j'faisais... Oui, mais les fruits dans le fond.
[00:06:29] Speaker D: Non, non, non, pas de fruits, juste vanille. Yogourt ferme, parce qu'après ça, j'mettais des biscuits dedans.
[00:06:34] Speaker A: Man! Là, on comprend.
[00:06:37] Speaker D: Là, tu comprends. Mais l'yogourt ferme, en fait, je le revirais de bord.
[00:06:42] Speaker B: J'ai tellement fait ça.
[00:06:43] Speaker D: Je le revirais de bord. Puis si tu cassais le fond, qu'il y avait une craque, il pouvait comme... Tout tomber dans ton plat. D'une shot. Pas besoin de gratter.
[00:06:53] Speaker A: Tu connaissais les trucs.
[00:06:55] Speaker B: Mais des biscuits. Mettre des biscuits dans le yogourt.
[00:06:58] Speaker A: Oui, c'est classique.
[00:06:59] Speaker B: J'ai fait ça.
[00:07:00] Speaker A: Des biscuits aux pépites de chocolat. Là, il y a beaucoup de gens qui nous écrivent. Effectivement, le grain qui est toujours à 8 piastres, toujours. Tu sais, c'est un grand mot, toujours, tout le temps, partout.
[00:07:08] Speaker D: Mais là, tu en as spécialisé un peu plus.
[00:07:09] Speaker A: Il faut magasiner. C'est ça le point. Moi, ça, c'est pas compliqué. J'arrive d'arranger. Mais là, on parle des produits laitiers. Je regarde les stakers. Les gros stakers, ça, c'est spéciaux. Les stakers sont où? OK, parfait. Tel lait. On le prend pas d'habitude, mais là, on le prend en 4, 9, 9, le 2 litres.
Tell, Yugo, Wise, Poyable, ou Banane, bla bla bla. Ouais mon vau, apprends à aimer ça. Parce que sinon, c'est la gestion de l'offre aussi qui fait ça. Tu n'auras jamais de yogourt à 1,99$. Mais aux États-Unis, ça arrive. Des méga, méga, méga deals. Et les chips à 8$, moi je n'achète pas. Elle semble faire une équivalence. Si vous voulez protéger votre marge bénéficiaire, montez les chips et baissez le yogourt. Ce n'est pas tout à fait comme ça fonctionne. Beaucoup de choses sur TikTok.
[00:08:00] Speaker B: Je te le dis, là.
[00:08:01] Speaker D: By the way, le yogourt, c'est un produit laissé.
[00:08:04] Speaker A: C'est ça.
[00:08:05] Speaker D: Ça vient avec un prix.
[00:08:06] Speaker B: On parle souvent des chauffeurs de camions... arabais. Je vais le dire de même.
[00:08:12] Speaker A: D'ailleurs, ils vont commencer à étudier ça. Ils ont l'air de se réveiller, finalement. Ça a pris des morts et des morts et des morts.
[00:08:20] Speaker B: Est-ce que ça se peut des conducteurs de véhicules de tourisme arabais aussi? Je vous fais entendre ça, puis après ça, on s'en reparle.
[00:08:26] Speaker E: Sachez que j'ai passé le permis 17 fois et je l'ai enfin réussi !
[00:08:32] Speaker B: La fille a passé son permis 17 fois pas le U.
[00:08:35] Speaker A: C'est au Québec ça ?
[00:08:36] Speaker B: Ouais.
[00:08:36] Speaker A: Hé !
[00:08:38] Speaker B: Elle roule sur nos routes depuis hier.
[00:08:41] Speaker A: Les 16 autres fois c'était quoi les...
[00:08:42] Speaker D: On peut savoir dans quelle région.
[00:08:44] Speaker B: Je peux pas dire c'est quoi.
[00:08:45] Speaker A: C'était quoi les fails.
[00:08:47] Speaker B: Mais je pense qu'il y a dépassé 5 qu'on devrait te donner une passe d'autobus à vie.
[00:08:50] Speaker A: Oui !
Fait du pouce. C'est à quoi les fails d'Indien? L'angle mort, ça me donne mal dans le cou quand je me réveille. C'est à quoi les fails? On ne les saura jamais.
[00:09:01] Speaker B: Je ne sais pas comment est-ce qu'on fait pour couler ça. Moi, je me souviens de quand j'ai passé mon permis de conduire. Je n'ai pas été parfait, mais je l'ai eu pareil. Il faut vraiment que tu sois mauvais.
[00:09:10] Speaker A: Mais y'en a qui sont très très très très très pointieux. Faut que t'arrêtes quasiment le char au complet pis que tu sors du char au stop.
[00:09:19] Speaker B: Mais 17 fois.
[00:09:20] Speaker A: 17 fois c'est beaucoup. 17 fois jusqu'à 17 c'est long.
[00:09:24] Speaker B: C'est parce que quand il dit de parquer en parallèle, il est pas capable de se parquer.
[00:09:26] Speaker A: Non, je sais bien.
[00:09:28] Speaker B: Il est pas plus capable aujourd'hui.
[00:09:29] Speaker D: Non. Fais-tu partie du test?
[00:09:32] Speaker B: Je le sais pas. Je pense que non.
[00:09:34] Speaker A: Ben le parking en parallèle, ça, assurément que ça fait partie du test. Toi, le, le, le, le... Oui!
[00:09:38] Speaker C: Oui, oui, oui, oui, oui.
[00:09:39] Speaker B: Moi, je me souviens, il fallait que je me parque de reculons dans un stationnement entre deux chars, là.
[00:09:42] Speaker A: Oui.
[00:09:44] Speaker D: Mais c'est pas parallèle.
[00:09:45] Speaker B: On était au...
[00:09:46] Speaker D: On fait un boat aussi, là.
[00:09:47] Speaker B: On était au marché aux puces, les sols.
[00:09:49] Speaker A: Ça, ça aborde, là, le parking. Oui, oui, oui, oui.
[00:09:52] Speaker D: C'est pas une question, je suis capable, y'a pas de problème.
[00:09:53] Speaker A: Le truc, c'est, à partir de la moitié du char, tu vas y aller. C'est ça où? C'est mon truc. En haut, là? Ça fait longtemps que j'ai gardé ça. Les loisons de conduite, achète, oui. C'est le truc, c'est ça, c'est la moitié du char tu vis. Ça fonctionne tout le temps, tout le temps, tout le temps. Je suis le king du parallèle.
[00:10:08] Speaker B: Depuis que je me suis racheté un GTI, moi je n'ai plus de truc, je le parque tout seul. Voyons, à grosseur que le char.
[00:10:15] Speaker A: C'est une Canbergeoire.
[00:10:17] Speaker B: L'autre jour, je vous parlais de Pierre Falardeau qui a fait un retour sur les médias sociaux. Oui. Parce que bon, avec la souveraineté, les jeunes, toute la patente, c'est la même chose pour Michel Chartrand. Hier, j'ai facilement écouté une quarantaine de minutes de Michel Chartrand. Facile, facile, facile.
[00:10:35] Speaker A: T'es proche du monde, proche du peuple, c'était pas les personnes de la CSN douteuses d'aujourd'hui.
[00:10:40] Speaker B: Ben regarde, c'était la social-démocratie de l'époque. J'ai sorti trois extraits, quand même assez courts. La social-démocratie, à l'époque, c'était quoi? C'était ça.
[00:10:49] Speaker F: Le socialiste, c'est quoi? C'est des chances égales pour tout le monde. Pas l'égalité, comme disent les abrutis.
C'est des chances égales pour tout le monde, y compris le voiture, le paraplégique, l'autre qui vient au monde aveugle, il y a une chance de s'épanouir. On vient au monde pour le bonheur et pour s'épanouir. Et on s'épanouit d'abord par le travail. Or, il y en a 400 000 qui ne travaillent pas. De toutes sortes d'âges, je veux dire. Or, les baveux économistes du monde entier, ils ne nous ont jamais trouvé de solution à ça.
[00:11:17] Speaker B: C'est parce que la social-démocratie aujourd'hui, c'est ce qu'il y a de dire pour les abrutis. Il faut que ça soit égal pour tout le monde, alors qu'à l'époque, il faut qu'on leur donne la chance de réussir.
[00:11:26] Speaker A: Égalité de chance, mais aujourd'hui, c'est égalité de résultat.
[00:11:28] Speaker D: Exactement.
[00:11:29] Speaker B: Si tu laisses passer ta chance, tu l'as laissé passer, mais tu l'as eue. C'est comme le gag du gars qui attend Dieu pour le sauver d'une inondation, puis rendu au paradis, Dieu lui dit « Je t'ai envoyé un hélicoptère, je t'ai envoyé un bateau, je t'ai envoyé du monde pour t'aider. » Il t'a jamais pris, il t'a jamais profité de ta chance.
[00:11:43] Speaker A: C'est ça. C'est très bon ça.
[00:11:45] Speaker B: C'était ça la social-démocratie à l'époque. Puis lui il dit pas égalité pour tout le monde comme les abrutis pensent.
[00:11:52] Speaker A: Comme les abrutis d'aujourd'hui.
[00:11:53] Speaker B: Exactement. Je vous fais entendre encore un autre extrait de Michel Chartrand qui... Bilba Gazal, mettons.
[00:12:01] Speaker A: Lui pis Rubas-Gasal.
[00:12:03] Speaker D: Michel Chartrand t'es moins gauche que Rubas-Gasal.
[00:12:06] Speaker B: Michel Chartrand qui nous parle des banques.
[00:12:08] Speaker F: Parce que les banques ont fait 4 milliards l'année dernière. La Banque royale, 3 milliards de profits. Ils demandaient au gouvernement 300 millions pour recherche et développement. C'est comme le gars qui te botte le cul pis il vient te voir pis il dit tu pourras-tu me passer de l'argent pour que je m'achète d'autres bottines.
[00:12:22] Speaker B: L'argent du peuple.
[00:12:28] Speaker A: Il rit, il rit, il est drôle.
[00:12:33] Speaker B: Mais t'sais-tu quoi? Il défendait l'argent du monde! Il défendait le portefeuille du monde!
[00:12:38] Speaker D: Non mais il était à droite, ce gars-là!
[00:12:40] Speaker A: Michel Chartrand, gros bon sang, qui dit.
[00:12:42] Speaker B: À quel point on est arriérés à l'époque pis cet extrait-là qui dure 7 secondes que je vais vous faire jouer est encore raccord avec la vie d'aujourd'hui.
[00:12:49] Speaker F: On est des arriérés, des gouvernements d'arriérés, des économistes d'arriérés qui valent pas mon cul pis encore s'insulter mon cul!
[00:12:56] Speaker A: Merde!
Lui, il aurait été bon sur Twitter.
[00:13:01] Speaker D: Oui, sur TikTok.
[00:13:04] Speaker B: Qu'est-ce qui se passe sur TikTok la nuit au Québec? Tu sais que TikTok, vous pouvez faire des vidéos, c'est ça. Ça commençait avec des filles qui faisaient des chorégraphies sur des tonnes de lollipops. Mais on est rendu à faire des lives la nuit. Voici le genre d'affaires qu'on entend la nuit sur TikTok au Québec en version live.
[00:13:26] Speaker A: Oui! Mais non!
[00:13:27] Speaker B: Rentrez chez vous!
[00:13:29] Speaker A: Comment ça? Parle-nous un peu plus là, continue!
[00:13:34] Speaker B: Continue! Continue! Continue!
[00:13:37] Speaker D: Parce que regarde là, ça fait trop de bruit!
[00:13:41] Speaker B: Continue!
[00:13:45] Speaker A: C'est une chicane de voisin.
[00:13:52] Speaker B: C'est juste une chicane de voisin.
[00:13:53] Speaker A: Quelqu'un filme une chicane dans laquelle il est.
[00:13:56] Speaker B: Quelqu'un fait un live sur TikTok, son voisin trouve qu'il fait trop de bruit, il défonce la clôture pour aller y dire. C'est ça que vous allez avoir. Vous avez également ce genre de vidéos-là sur TikTok la nuit.
[00:14:14] Speaker A: Ça, ils mettent ça en public, là.
[00:14:21] Speaker E: C'est live!
[00:14:30] Speaker B: Y'a plus de monde qui écoute ça qu'écoute la télé.
[00:14:32] Speaker A: On met nos vies live.
[00:14:36] Speaker B: Le monde pète des coches après d'autres personnes s'élèvent, t'es deux personnes. T'en as qui font juste ça, qui s'arrangent pour faire péter des coches à du monde pis après ça ils sont morts de rire. Ils les laissent aller, ils sont morts de rire pis ils disent « Ah ouais, elle le cache-franc là ». C'est ça qui se passe sur TikTok, c'est pour ça que le monde est pas productif. Le jour, ils sont productifs, la nuit, à chialer sur TikTok.
je vais terminer le deep down d'aujourd'hui.
[00:15:03] Speaker A: Ben oui, on revient brièvement sur le débat d'hier, en tout cas le débat Lévis. Ça a brassé, ça a brassé, mais je vous dirais que ça a brassé dans convivialité. À la base, le concept était connu et est le suivant, liberté, pleine liberté. D'après moi c'est un, le Hell Wall, vous le connaissez pas pire. Trois thèmes. Trois adultes, liberté. Moi, ça me tente pas de materner le monde. Puis on dirait que plus je vieillis, moins ça me tente de materner. Moi, j'aime ça plus léger, plus décomplexé, plus décontracte. Si vous criez, vous avez l'air fou. Si vous passez votre point, vous avez l'air intelligent. Et c'est aux gens de Lévis de juger. Mais ça a l'air que ça a pas fait l'affaire de tout le monde.
[00:15:42] Speaker B: C'est ça, ça a pas pris à tout le monde. Puis c'est ça, on l'a appelé 110%, c'est ce qu'on espérait. Écoute, on a été bien contents quand ça s'est terminé.
[00:15:47] Speaker A: Sans mettre de fiouls outre-mesure, On les a laissés aller. Et puis il y en a une qui vient du pouvoir établi. Elle c'est l'héritière de Lahuyer. Blainé arrive du fédéral, un retraité, mais qui veut s'imposer, puis il a des très bonnes chances d'être élu. Et t'as Bonin qui, dis-t-on, était un gars qui a des valeurs de gauche. mais qui répète beaucoup qu'il veut couper. Donc à vous de juger, c'est vous autres qui votez, pas moi qui vote.
[00:16:12] Speaker B: C'est ça. Puis il y avait trois segments de 8 minutes, puis quand il était ici dans le studio en train de nous parler avant qu'on rentre en onde pour le bloc, tu leur as dit, pendant les 8 minutes, moi j'interviens pas, vous vous arrangez. On a mis des conditions pour que ça sonne 110%.
Mais ça n'a pas plu à tout le monde. Je te fais entendre hier l'analyse qui a été faite dans le retour par D.H. et Pierre Couture.
[00:16:36] Speaker C: Je suis gêné. Maudit bon montage de Jordan. On en a parlé en début de show tantôt. Je suis gêné de la performance des trois candidats de Lévis. On reçoit Isabelle cette semaine, je vais lui dire. C'est ça?
[00:16:48] Speaker B: C'était cacophonie.
[00:16:50] Speaker C: C'était pas écoutable. Pis c'est pas parce que Morab pas fait le job, il avait très très bien monté la structure, les questions, tout était là pour que les citoyens de Lévis puissent bien voter avec des bonnes réponses. Mais on a rien compris, vous êtes des indisciplinés. On aurait dit des enfants d'une cour d'école. Pis tantôt, il a fait une espèce de comparaison. Louis, il a parlé de P.O.I. Moi, c'est des novices.
Ça marche pas. J'espère que ces gens-là, M. Bonin, Isabelle Demers, et aussi M. Blainet, qui a de l'expérience, un ancien ministre à Barouët, ce que vous allez nous donner, c'est de la boîte. C'est pas ça qu'on veut. On veut des politiciens intelligents qui sont capables de dialoguer. C'est gênant ce que vous avez fait ce matin pour la ville de Lévis. M. Lehoullier, s'il écoutait ce matin, il doit dire « je pense que je vais faire deux autres mandats ».
Ça faisait dur. Je sais pas si t'as écouté, Pierre.
[00:17:48] Speaker B: Là, mais... Non, non, mais écoute, moi, j'avais fermé les micros. Non, non, mais tu donnes, mettons, 30 secondes à chacun, puis tu fermes les micros des autres, là. Donc, voilà.
[00:17:57] Speaker A: Selon Pierre, t'as mal fait ta job.
[00:17:58] Speaker B: J'ai pas fait ma job. Je suis désolé, Pierre.
[00:18:01] Speaker D: Faut pas fermer les micros, faut qu'ils échangent. Sinon, ça donne des débats plates.
[00:18:06] Speaker A: Non, mais c'est de ma faute, Doug.
[00:18:07] Speaker B: C'est de ma faute. Je m'excuse, c'est de ma faute.
[00:18:09] Speaker A: Mais c'est...
Moi je voulais que ça soit wide open, stirring, vous jasez. Est-ce qu'il y avait de la cacophonie? Peut-être. On a ouvert les lignes et les gens avaient quand même une opinion à donner. Il y avait quand même des trucs qui ont été déclarés, qui ont été dits. Il y en a qui ont aimé à Madame, l'autre ont aimé Bléné, l'autre ont aimé Bonnet. Bon, c'est vous autres qui votez à Lévis, good for you. Pierre, il veut.
[00:18:31] Speaker D: Un débat ou trois personnes qui font des monologues?
[00:18:34] Speaker A: C'est ça, c'est ça. Je voulais pas ça. Faire un débat comme j'ai fait il y a 15 ans avec la mairesse Boucher. Donc, voilà.
[00:18:42] Speaker B: De toute façon, c'est de ma faute.
[00:18:43] Speaker A: Tout est de ta faute, Dan!
[00:18:44] Speaker B: Tout est de ma faute.
[00:18:45] Speaker A: T'es pourri! T'es pourri!
[00:18:47] Speaker B: J'aurais dû fermer le micro. Ferme ton micro! Non, Tabarnouche, j'ai pas fermé le bon!
[00:18:54] Speaker A: Donc voilà.
[00:18:56] Speaker D: Trop de boutons.
[00:18:57] Speaker B: C'est ça qui arrive.
[00:18:59] Speaker A: Fait que t'as-tu un message à lancer à quiconque ce matin sur l'univers? Non, je veux... T'es pourri!
[00:19:04] Speaker B: Je me suis calmé. Je me suis calmé.
[00:19:08] Speaker A: On fait nos affaires, les autres font leurs affaires. Moi, je me mêle pas des choses des autres. Je veux pas que les autres choses se mêlent de notre show. Moi, j'aurais plein d'affaires à dire sur les autres shows, mais je fais ma gueule. C'est plein de chroniqueurs, des fois que je trouve pas rapport, qui sont là, mais c'est pas de mes affaires à moi! Moi je suis payé pour donner des résultats dans More Live! Je me mêle pas à des affaires des autres, fait que je deviens un peu plus, disons frileux quand les autres en onde commentent mon show. Parce que...
Moi, je vais pas là, tu comprends? Je me mets pas à commenter tel, tel show pis tel chroniqueur à part à part pis l'autre. C'est trop long, c'est trop court. Je ferme ma gueule, comme disait le célèbre humoriste. Et ça, j'ai appris ça, je vous dirais, assez de bonheur. Et je ferme ma gueule parce que je veux pas que les autres se mêlent à mes affaires. Mais là, quand tu te mêles à mes affaires, c'est là que je peux me mêler des affaires des autres. Ça me donne une petite clé. J'ai une petite clé, là, qui pourrait me permettre de commenter à un moment donné.
sur les shows des autres, je ne suis pas sûr que je vais l'utiliser, la petite clé. Mais chacun mène ses affaires. Et aux dernières nouvelles, on est pas mal numéro un ici. Je vous dirais que la recette, on l'a adoptée et on y adhère, on continue. Puis ça va être comme ça. Et s'il y a d'autres débats, ça va être la même recette.
Gérez-vous, pleine liberté. Et je suis de plus en plus, d'ailleurs, pro-liberté. Je suis de plus en plus libertarien. Libérez la parole, comme on dit. Et on y adhère ici, dans More Live. Il est 7h16. C'est un segment qui est rare. C'est un segment que j'ai pas fait depuis très longtemps. Mais je pense que ça vaut la peine de le faire. Ça dérape joliment, je vous le dirais, à la CSN. Et il y a personne qui parle de ça. Comme si c'était normal.
[00:20:55] Speaker D: C'est normal, voyons.
[00:20:56] Speaker A: On a fait un segment la semaine passée, puis c'était tout à fait civilisé, c'était le fun. Avec la madame de la FAE, puis j'ai compris son point, j'y adhère pas, je le respecte. Mais tu sais, les syndicats doivent s'impliquer dans la sphère mondiale, parler des droits humains, l'écologie, je comprends son point, j'y adhère pas du tout. Parce qu'on parlait justement du projet de loi de Boulay pour réformer l'utilisation et les dépenses de cotisations syndicales. Moi, pour moi, la cotisation syndicale, c'est de défendre les travailleurs, en arbitrage, ça compte aussi. Les griefs, ça compte, t'es protégé par ton syndicat. Donc, j'ai pas de problème là-dessus. Mais là, ça commence à joliment déborder. Et en revenant, et là, je vais m'adresser surtout aux plus de 300 000 membres de la CSN. Là, ça commence à déraper. Là, on n'est plus dans l'écologie.
Là, on n'est plus dans la défense du pauvre et de l'orphelin au Pérou ou au Bangladesh, ce genre de trucs. On est carrément en appui ouvert au Hamas. Ce week-end à Montréal, 7 octobre, tapons dessus, massacre des juifs, pogroms.
Plus de 1000 personnes torturées, tuées, violées, cuites. Des bébés, ça ne me tente pas de tomber dans une description, mais c'est abject. Et le Hamas devrait être l'ennemi de l'humanité, mais non. Pour beaucoup de personnes, ce sont les Juifs. C'est tout à fait décomplexé comme haine, c'est très inquiétant ce qui se passe.
Mais je veux pas commenter ce qui se passe parce que je finirais pas. À Londres, à New York, ce qui s'est passé. À Toronto, ce qui s'est passé. À Paris, bon, vous avez vu ce qui s'est passé hier. La gauche est devenue tout à fait délirante. On va se concentrer sur nos bébelles et je veux qu'on parle de la CSN. Et je vais donner des numéros de téléphone à la fin du prochain segment et je vais faire appel à votre bon jugement. Si Vous aimez ça donner des cotisations syndicales pour un groupe qui est pro à masse? Good for you! Moi, j'appuie les terroristes! Je suis contre les juifs! Good for you!
T'es un cabochon! Ça c'est mon opinion! Mais j'contrôle pas ça!
[00:23:17] Speaker D: Mettons que ça coûte pas une scène. J'avance ça là. Mettons que ça coûte pas une scène. Êtes-vous quand même fier que des gens qui disent vous représenter disent faire ça en votre nom?
[00:23:26] Speaker A: Ouais mais t'es obligé de payer une concession.
[00:23:27] Speaker D: Ça là-dessus... Ah ça oui, mais mettons que...
[00:23:29] Speaker A: Mettons qu'il n'y a pas d'argent en jeu. Mettons que leur implication ne coûte pas.
[00:23:33] Speaker D: Une scène, mais ils disent quand même parler en ton nom. eux autres disent représenter leurs membres.
[00:23:37] Speaker A: C'est ton syndicat qui parle en ton nom et qui disent qu'ils t'ont consulté.
[00:23:42] Speaker D: Oui, ils disent qu'ils sont là parce qu'il y a eu un vote.
[00:23:44] Speaker A: C'est ça. Après la pause, je vais vous raconter la vie délirante d'une vice-présidente qui va manifester pro-hamas, anti-juif, from the river to the sea.
de la rivière, le Jourdain, à la mer, Méditerranée, pour tasser les Juifs, les éradiquer, et les envoyer, pouf, dans l'univers. Ça, c'est un appel au génocide. « From the river to the sea », un message qui, il y a quelques années, a été partagé par Ruben Gazal, qui vient nous broyer ça dans les oreilles. « Ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha D'ailleurs, le PQ, ça serait peut-être bon de m'emmener d'avoir un statement. On veut pas de proamas dans l'autobus du Oui. Parce que là, ça commence à jaser l'autobus du Oui, pis là, ça va être le livre bleu, pis là, on va jaser beaucoup de ça, là.
[00:24:43] Speaker D: Ça a pas été dit de même.
[00:24:44] Speaker A: Mais... Moi, Ruben Gazal, là, l'autobus, ça m'intéresse pas, là.
[00:24:48] Speaker D: Il commence à se décoller. Faut dire que le QS est rendu à 6%.
[00:24:50] Speaker A: C'est clownesque, Ronald McGazal.
Son speech cette semaine... L'as-tu pas loin?
[00:24:58] Speaker B: J'vais te trouver ça. Pis assez rapidement...
[00:25:00] Speaker A: La broyarde!
[00:25:01] Speaker D: Mais c'était à rire là!
[00:25:02] Speaker B: Essayez d'avoir l'air sérieux là! L'heure est grave! C'était n'importe quoi là!
[00:25:07] Speaker D: Écoute, moi je l'ai mis sur ma page, il y a du monde qui le disait. C'est des délégences artificielles.
[00:25:10] Speaker B: On l'écoute là.
[00:25:12] Speaker E: Chers progressistes du Québec, l'heure est grave. Nous vivons un virage du climat politique jamais vu au Québec. Les progressistes sont en train de se faire démoniser. On tente de nous faire porter la responsabilité de toutes les crises actuelles alors que la gauche n'a jamais gouverné. Ça se manifeste de plusieurs façons. De la caricature de nos propositions...
[00:25:38] Speaker B: C'est ça.
[00:25:39] Speaker A: Très drôle.
[00:25:39] Speaker D: La gauche n'a jamais gouverné au pouvoir depuis 65 ans.
[00:25:42] Speaker A: La gauche, depuis Jean Lessage. Jean Lessage, bon, c'était l'érection du modèle québécois tel qu'on l'entend aujourd'hui.
[00:25:49] Speaker D: Ben regarde, tu l'as fait entendre dans le fond avec Michel Chartrand. La gauche d'aujourd'hui qui est au pouvoir est plus à gauche que la gauche d'il y a 50 ans.
[00:25:57] Speaker B: Le Spacecast a fait un petit montage facile qui laisse ses...
[00:26:01] Speaker E: L'heure est grave. L'heure est grave. L'heure est grave.
[00:26:08] Speaker D: Elle a essayé de piner son trailer après Bruno Marchand. C'est vraiment ça, là.
[00:26:13] Speaker A: Oh, c'est ça. Ils me maganent, ils me traitent tout.
[00:26:15] Speaker D: Ah oui, les gens sont pas fins avec nous autres.
[00:26:18] Speaker A: Non, vous êtes clownesque. Ronald McGasal.