Episode Transcript
[00:00:00] Speaker A: On devient un légionnaire et on reste jusqu'au la mort.
[00:00:02] Speaker B: Jusqu'au la mort.
[00:00:04] Speaker A: Jusqu'au Donc c'était le débat hier de la Chambre de commerce de Québec pour la mairie. Donc six candidats qui étaient présents. la mort. Bruno Marchand qui a chialé afin que... Ben pis pendant aussi le débat que ça parlait trop de tramway là. Lui il veut pas que ça parle de tramway pendant la campagne donc... Ça a parlé beaucoup trop de tramway mais en même temps, lui-même en a quand même parlé pas beaucoup là.
[00:00:41] Speaker C: Ça paraît que M. Hamad, Mme Guérette et M. Lachance-Tépollan, en 2021, ils refont exactement la même élection. On revient dans le temps, on prend un serpent et on recommence au départ. On nous fait croire que de reprendre 10 ans de travaux, 12 ans, 15 ans de travaux, ça va être bon pour notre économie. Aller trouver la solution à ça, je ne la trouve pas. Les gens de Québec sont tannés d'entendre parler juste de travaux. Ils ont envie de parler de plus que ça. D'ailleurs, les sondages le disent. On peut-tu passer à d'autres choses? Parce que pour notre économie, il y a toujours pergiversé. On y perd.
[00:01:09] Speaker A: Ah tiens, Bruno Marchand qui croçaille encore les chiffres et qui joue avec un sondage.
[00:01:13] Speaker D: Croçaille les chiffres et s'amuse drôlement avec toutes sortes de chiffres bizarroïdes sur la création d'emplois, entre autres.
[00:01:20] Speaker A: Ça aussi. Mais c'est vrai que les gens de Québec ont dit qu'ils sont écoeurés d'entendre parler de tramway. Ils n'ont jamais dit que, « Oh, on est écoeurés de parler de tramway, fait que va de l'avant avec ton projet. » Non, non, ils ne veulent pas le projet.
[00:01:29] Speaker D: C'est une invention, ça.
[00:01:30] Speaker A: Ça, c'est une invention. Ça, ça se pénaluit. Ils croçaillent, ils jouent avec un sondage. D'ailleurs, j'ai hâte qu'il y en ait un qui lui réplique à un moment donné, « Ah, vous voulez refaire la campagne de 2021. » C'est-à-dire, pourquoi t'es obligé de refaire la campagne de 2021? C'est parce que t'as menti en 2021. T'as été élu sur un mensonge. Et c'était le premier d'une très longue liste de mensonges pour les quatre années qui ont suivi. Pis après ça, si ça fusque, tu y sors la liste de mensonges.
[00:01:58] Speaker E: C'est facile à faire, là.
[00:01:59] Speaker A: Une liste, d'après moi, vous êtes capable d'en dire pendant deux minutes de temps, là.
des mensonges que Bruno Marchand a dit au cours des quatre dernières années.
[00:02:06] Speaker D: Le 80 000, ça c'est un mensonge? Le 80 000 d'hier?
[00:02:08] Speaker A: Ça, ça arrivera pas.
[00:02:09] Speaker D: Qu'est-ce qu'il a dit? Bon, il a dit, pis tu l'as pas en clip, je pense.
[00:02:13] Speaker A: Non.
[00:02:13] Speaker D: Marchand estime que la construction du tramway, pouf! 80 000 jobs. Les amis, si vous croyez à ça, 80 000 jobs, 88-670-9098, Mais on va dealer en privé là. J'ai un Passat 98 à vous vendre 70 000$. Si vous croyez à ça, j'ai des choses à vous vendre.
[00:02:39] Speaker A: Jamais sorti l'hiver.
[00:02:40] Speaker D: J'ai beaucoup de choses à vous vendre. Dont une carte de hockey de Ken Dryden 55 000$. Si vous croyez à ça, le 80 000 jobs du Docteur Strange, les mains se font aller. Oh! Dans le décor! T'es en arrière du décor! Pouf! 80 000 jobs! Ça tombe du ciel! Tout du monde qui peuvent travailler un matin, qui sont formés.
[00:03:03] Speaker A: Retenez ça.
[00:03:04] Speaker D: On a de la misère à trouver du monde en construction pour rebâtir des cotéges.
[00:03:07] Speaker A: Retenez ça, parce qu'hier il parlait de 40 000 jobs directs et indirects. Quand quelqu'un vous parle de directs et indirects, autant que ce soit des retombées économiques ou des jobs créés, c'est de la bullshit. C'est quelque chose que tu seras jamais capable de vérifier, mais autant sortir un gros chiffre juste pour t'impressionner.
C'est carrément ça.
[00:03:27] Speaker E: On dirait que Bruno Marchand c'est comme le Père Noël. Il dit des affaires aux journalistes pis les autres...
[00:03:30] Speaker D: Aucunement challengez!
[00:03:30] Speaker A: Il croit pareil, oui! Ben les journalistes croient au Père Noël. Le Père Noël c'est Bruno Marchand.
[00:03:35] Speaker D: Le Mimozoko l'a appelé. Ah oui! Il l'a dit! Aucunement challengez! 80 millions! Auch challenge! Oui, où vous prenez ça? C'est quoi votre évaluation? Faut que tu le pousses dans les câbles. OK, il a dit 80 000. Parfait. Là, les journalistes se jasent entre eux autres. OK, tu lis dessus avec ça? Oui, moi je lis dessus avec ça. C'est bon. Oui, l'histoire de la chance aussi. Il y avait l'air d'un cave à Montréal. Oui, moi je vais parler de ça. Oui, Bruno a fait une bonne annonce ce matin. 80 000, c'est bon ça. C'est impressionnant, 80 000, c'est genre 400... C'est le MetLife.
[00:04:05] Speaker A: Moi je le pousse dans le même...
[00:04:06] Speaker D: Moi c'est le MetLife. Le MetLife.
Le MetLife pour construire le tramway, débuter des motos.
[00:04:15] Speaker E: Exactement, rempli à rebords.
[00:04:17] Speaker A: Bruno Marchand aussi, il croit des choses.
[00:04:19] Speaker C: Les trois candidats qui viennent de parler ont un grand projet économique pour vous. Ils vont travailler sur le virage à droite, les pistes slammes, ils vont enlever le tramway, ça va bien aller. La mobilité, c'est économique. C'est des retombées pour nos entreprises quand on construit une infrastructure de cette qualité-là et de cette trempe-là. C'est aussi une carte de visite. C'est une carte de visite pour attirer des travailleurs dans nos entreprises, pour attirer des jeunes ici, pour être une ville attractive. C'est une carte de visite pour attirer des capitaux, parce que oui, désormais, à l'ère des changements climatiques, les capitaux regardent quel est l'impact de leur investissement. Et les entreprises, avant de choisir un territoire, elles regardent comment, entre autres, leurs employés peuvent se déplacer. C'est ça une ville moderne, c'est ça un projet économique.
[00:05:03] Speaker A: Je t'ajoute ceci, Bruno Marchand connaît plus rien d'économie, parce que, il y a ça pas si longtemps, t'avais le ESG. Donc oui, en bourse, il y a des entreprises et des fonds qui voulaient bien paraître. Donc tu faisais des investissements qui étaient pour l'environnement et tout ça. Ça n'existe plus aujourd'hui.
[00:05:21] Speaker D: C'est comme la crème Budwig, ça n'existe plus.
[00:05:23] Speaker A: C'est terminé.
[00:05:24] Speaker D: C'est plus en mode.
[00:05:25] Speaker A: Les grands fonds de ça, les grands fonds, pas immobiliers, mais financiers, se sont tous retirés de ça. Les banques se sont retirées de ça. Ça n'existe plus selon les jarves.
[00:05:35] Speaker D: Changement climatique. Ah pis l'autre patente, hein? Oui, quand il y a du monde qui magasine une ville pour aller y vivre, là, ils veulent du transport comme eux, je sais pas quoi, là. C'est ce qu'ils auraient compté, là. Wow. OK. Regarde, c'est du baratin, mais il y a une clientèle de journalistes devant lui, une clique.
[00:05:49] Speaker A: Oui.
[00:05:50] Speaker D: Qui reproduisent intégralement tout ce qu'ils disent. Donc, il y a pas de problème.
[00:05:55] Speaker A: Est-ce que les journalistes faisaient partie des gens qui applaudissaient hier quand Marchand parlait? Je pose la question.
[00:05:59] Speaker D: Je sais pas, j'ai pas regardé.
[00:06:00] Speaker A: Ben, je sais pas, j'avais pas de caméra dans la salle.
[00:06:03] Speaker D: Non.
[00:06:03] Speaker A: Je pose juste la question aux gens qui étaient là. Mais ça bloodissait quand Bruno Marchand parlait. On s'en reparle dans pas longtemps d'ailleurs. Une des bonnes lignes, des bonnes attaques que Stéphane Lachance a faites. Mais vous nous dites en tant que.
[00:06:16] Speaker E: Tel que tout va bien, mais malgré tout ça vous êtes toujours à la.
[00:06:18] Speaker A: Recherche de nouvelles taxes.
[00:06:19] Speaker E: Comment vous expliquez ça?
[00:06:20] Speaker C: On n'est pas à la recherche de nouvelles taxes. Cette nouvelle taxe-là...
[00:06:24] Speaker B: Il n'y a pas eu de nouvelle taxe.
[00:06:25] Speaker C: Celle-ci dont vous parlez nous permet de développer la mobilité pour faire quoi? Pour faire en sorte que nos biens et marchandises ne soient pas pris dans la congestion.
[00:06:33] Speaker A: Donc je cherche pas des nouvelles taxes, mais j'en crée, pis après ça, ben je t'ai justifié.
[00:06:38] Speaker D: — Taxe sur une matriculation.
[00:06:40] Speaker A: — Oui, c'est celle-là qu'il devrait parler.
[00:06:41] Speaker D: — Ah, c'est pas moi qui l'a créée? Ouais, mais t'as juste rajouté une boule sur le coordonné.
[00:06:44] Speaker E: — Ah oui.
[00:06:44] Speaker A: — Mais lui-même, il dit qu'il l'a créée. Donc le 60 piastres supplémentaires, c'est lui qui l'a créée, là.
[00:06:48] Speaker D: — Ben oui, c'est lui qui l'a créée.
[00:06:51] Speaker A: Non, c'est... — Mais elle est bonne, fait que c'est correct. Je cherche pas des nouvelles taxes. Les taxes que j'ajoute, elles sont bonnes, donc elles sont correctes. Ok, mais tu cherches des nouvelles taxes... Non, non, non, non, je cherche pas des nouvelles taxes!
[00:07:02] Speaker D: Faut mettre fin à cette bullshit-là. Pour qui que vous puissiez voter, libre à vous. C'est liberté. Mais il faut mettre fin à ce baratin-là. Questions comme ça, vous allez entendre, Renaud, ce midi, qui va vous arriver avec d'autres patentes et des compagnies opérées par des hauts cadres de la ville qui ont eu des nananes. Manquez pas ça, c'est jazzy.
Ces fameux voyages en passant, là, sont où les arbres qu'il a plantés pour compenser ça? Toutes ces cochonneries de voyages qu'il a faits, là.
Et les journalistes aussi. Les journalistes, où sont les arbres plantés par les journalistes qui ont accompagné le maire?
[00:07:40] Speaker E: Oh!
[00:07:42] Speaker D: Où sont les arbres plantés par les hauts fonctionnaires et les conseillers de la ville, à gauche et à droite sur la boule? Tu sais, le petit calcul GES que tu prends quand tu achètes ton billet d'avion, que tu peux compenser ou pas, lui, c'est le grand prêtre. Il est obligé de compenser. Sont où ces arbres-là?
J'aimerais ça que mes nuits puissent les sentir. Ça existe pas, Zarb, les amis.
[00:08:05] Speaker A: Parlons des journalistes maintenant. Après le débat, il y avait des scrums. Et on a eu celui d'Anne Guéret entre autres. Dites-vous que le même narratif est revenu de la part des journalistes avec plusieurs candidats, en fait, tous ceux qui sont contre le tramway. Voici.
[00:08:19] Speaker C: — Devant la Chambre de commerce, la position anti-tramway, est-ce que vous trouvez ça audacieux? Parce qu'on sait que les gens d'affaires, de manière générale, sont en faveur de la tramway.
[00:08:28] Speaker F: — Moi, c'est pas ça que j'ai entendu, pas toutes. Je veux dire, beaucoup de gens d'affaires qui en arrachent. Il y a des gens qui me disent, moi, si le tramway vient sur René-Lévesque, je déménage. Je connais déjà des commerçants qui sont partis. Alors non, non, ça fait peur aux gens d'affaires. Moi, j'en rencontre du monde, j'en croise. Il y a eu plein d'appuis dans.
[00:08:46] Speaker E: La salle ce soir quand ça parlait de tramways.
[00:08:49] Speaker A: Pourquoi vous ne les rencontrez pas ces gens-là? Il y a aussi eu des sondages.
[00:08:51] Speaker C: Qui disent que les membres de la Chambre de commerce sont généralement en faveur du tramway. Est-ce que vous pensez qu'ils mentent quand ils répondent aux sondages?
[00:08:59] Speaker F: Non, non, pas du tout. Je pense que s'ils répondent comme ça, c'est parce que ça doit être leur vision.
[00:09:04] Speaker D: Alors pourquoi vous ne les rencontrez pas ces gens-là?
[00:09:06] Speaker A: L'histoire de... ça applaudissait dans la salle. C'était qui qui applaudissait dans la salle? Il y en a eu une couple pour qui ça a applaudi dans la salle. Ils le voient pas. C'est les gens du parti.
[00:09:15] Speaker E: Ils le voient pas. Eux autres, tout ce qu'ils voient, c'est les gens qui sont pro. Vous savez, vous êtes contre le tramway.
Manifestez votre opinion à ces journalistes-là. Vous pouvez le faire. Leur adresse courriel est un peu partout sur les sites web. Je ne suis pas obligé de vous les donner en ondes. Mais c'est toujours les mêmes journalistes, que ce soit Louise Boisvert... Non, moi j'aurais répliqué.
[00:09:34] Speaker D: Donc, à ce moment-là, les sondages que vous achetez vous-même dans le journal sont fouilles? Les sondages que vous payez chèrement à Léger Marketing, ils sont tous faux en succession, donc pourquoi vous continuez à faire des sondages avec sensiblement le même résultat?
[00:09:49] Speaker A: Les sondages de votre ami Bruno Marchand, qu'il a fait pour La Ville, ils étaient tous pas bons.
[00:09:53] Speaker E: Ouais, mais là il parlait des commerçants. Les sondages sont faits sur l'ensemble de la population.
[00:09:59] Speaker A: Ben ça c'est l'erreur en partant de dire les commerçants quand tu parles de la chambre de commerce. C'est deux choses différentes.
[00:10:03] Speaker E: Je comprends, mais moi mon point c'est juste si vous êtes commerçant pis vous êtes contre le tramway.
[00:10:08] Speaker D: Dites-le.
[00:10:08] Speaker A: Dites-le.
[00:10:09] Speaker D: Absolument. Soyez pas gênés, soyez décomplexés.
[00:10:12] Speaker A: Dites-le.
[00:10:13] Speaker D: Avant qu'il soit trop tard. Exact. 8h15, Bruno maintenant dans le Scrum.
[00:10:17] Speaker A: Est-ce qu'il y avait une espèce de.
[00:10:18] Speaker C: Surenchère entre les anti-tramway selon vous pour être le plus anti-tramway de la gamme? Et pour toujours parler de ça. Les gens de Québec sont tannés de toujours revenir et résumer l'économie à ça. Ils sont tannés de toujours revenir en arrière pour faire le simple éternel débat de l'élection de 2020. Il y a d'autres choses à dire par rapport à Québec. Il y a d'autres projets, il y a d'autres ambitions à avoir.
[00:10:37] Speaker A: Non mais oui, moi je suis tanné. Moi je suis tanné de parler de tramway parce que ce dossier-là devrait être abandonné depuis longtemps. Si on avait écouté la population, si on vivait dans une démocratie qui se tient, avec des journalistes qui font le.
[00:10:49] Speaker D: Job, c'est lui qui maintient ça. Avec les journalistes. Et il faut dire aussi la Caisse de dépôt et la CAQ, qui a un certain degré d'irresponsabilité.
[00:10:59] Speaker A: Ce projet-là devrait être mort et enterré depuis longtemps.
[00:11:01] Speaker E: C'est quand même dégueulasse qu'ils ramènent l'élection de 2021 en toute impunité, alors qu'ils avaient promis tous les changements que le monde voulait.
[00:11:08] Speaker D: Tout en disant également qu'il n'y a pas d'acceptabilité sociale.
[00:11:11] Speaker E: Exactement.
[00:11:11] Speaker A: Il a menti, menti et menti. Il est temps qu'il y ait quelqu'un qui le dise. Le gars ment comme il respire.
[00:11:17] Speaker D: C'est le team marchand pareil, l'UPMedia, main dans la main. Oui, ils gardent. Ça a-tu pas de bon sens, M. Marchand? Tant de haine envers le tramway. Un beau projet, M. Marchand.
[00:11:32] Speaker A: Parlons-en de la haine, justement, parce que hier, dans son point de presse, il est revenu sur ce que Jackie Smith avait dit la journée d'avant, parce que Jackie Smith a été la seule à ne pas embarquer dans la récupération.
[00:11:42] Speaker D: Jackie!
[00:11:43] Speaker A: Ou dans le tag-team qu'ont fait Journal de Québec et Bruno Marchand pour faire diversion pendant la campagne. Alors, pour plus qu'on parle des dépenses de voyage.
[00:11:52] Speaker D: Ah, je l'aime, Jackie. First baseman, number 12, Jackie Smith.
Donc ça sonnerait bien au Yankee Salem ce soir.
[00:11:59] Speaker A: Voici la twist maintenant de Bruno Marchand.
[00:12:03] Speaker C: C'est très décevant d'entendre Mme Smith parler comme ça. On ne peut pas justifier la violence en disant que les gens étaient déçus ou qu'il y a certaines personnes qui étaient en colère. Sinon, on va justifier n'importe quelle violence, il y aura toujours quelqu'un pour vous dire Moi, j'ai le droit d'être violent parce que je suis déçu de vous. Moi, je ne dirais jamais à une personne, que ce soit une femme ou un homme, qui est victime de violences ou de propos inacceptables qu'elle joue à la victime. Si les propos sont inacceptables, ils sont inacceptables, point.
[00:12:29] Speaker A: Entre violences pis propos inacceptables, y'a une marge.
[00:12:31] Speaker E: Les propos les plus violents qu'il y a eu, pis on va parler avec la victime dans le prochain bloc.
[00:12:35] Speaker D: Oui.
[00:12:35] Speaker A: Oui.
[00:12:36] Speaker E: C'est l'histoire du salut nazi. C'est d'une violence infinie.
[00:12:40] Speaker A: Et c'est venu de qui déjà ça? C'est venu de lui. Ah ok.
[00:12:43] Speaker D: Violence vicieuse.
[00:12:45] Speaker E: D'ailleurs, c'est eux autres qui m'ont montré ça. Tantôt, Fred Monchard qui m'a montré la photo. Dans le soleil ce matin, y'a une photo de Claude Villeneuve qui fait un salut nazi. Il fait juste saluer la foule là. Il a juste salué la foule.
[00:12:58] Speaker D: Et elle a du trouble par rapport à tout ça encore. Aujourd'hui, c'est resté, ça reste. Lui, il s'en balance comme l'an 40. La seule personne qui est importante, c'est lui-même, c'est Bruno incorporé. Son image, ses bebelles, son baratin, ses petits amis. C'est triste, les amis. Mais on s'en va à une élection, il y a de très bonnes chances d'être élu. Mais c'est une occasion que vous avez, là, de vous déguidiner, puis de sortir, puis d'aller voter.
[00:13:26] Speaker A: Il y en a deux qui ont commenté sur l'histoire des taxes de Stéphane Lachance hier. Il y a eu Claude Villeneuve.
[00:13:32] Speaker G: Il y a un enjeu de caractère ici. C'est les compétences premières qu'on a à démontrer. On dit souvent, je vais gérer l'argent des citoyens comme si c'était le mien. Ben là, maintenant, on voit comment il gère son argent.
[00:13:43] Speaker D: Claude, t'as déconné avec la mafia.
[00:13:46] Speaker A: Oui.
[00:13:47] Speaker D: On t'a donné une passe gratuite. Fait que, rajoute pas une deuxième boule sur le cornet. T'as eu ton pardon.
Les autres ont le droit à l'erreur. Toi t'as dit « Ouais, peut-être, mafia, je sais pas trop, je l'ai-tu dit, je l'ai-tu pas dit? » On a passé vite là-dessus. « Je l'ai-tu dit, je l'ai-tu pas dit? » C'est-tu le Journal de Québec qui a mis ça, là, que Hamad parlait comme un mafieux? Ouais, OK, ouais, on a passé vite là-dessus. Mais Claude... « Errare humanum est.
[00:14:15] Speaker A: Que l'autre pour faire des attaques, pis c'est normal de faire des attaques en campagne là, mais au lieu de viser sur des choses que les gens disent ou ont faites ou peu importe, » il va avec du mépris pis ça lui fait pas bien.
[00:14:27] Speaker D: Non ça va pas, parce qu'il a quand même somme toute assez bien performé hier au débat, je vais le donner, il a quand même des prises de position intéressantes, il est pas en toute dans ma sphère idéologique, mais ça c'est pas grave. c'est quelqu'un qui peut être intéressant à jaser. Mais ça, là-dessus, il l'échappe.
[00:14:44] Speaker A: Le bout où ça s'est poigné le plus hier, c'est quand il a essayé de dire à sa maman que si vous aviez déjà été ministre des Transports, vous auriez appris. Ah, c'est vrai, vous avez déjà été ministre des Transports. Il a essayé de jouer le mépris comme ça. Pis Sam s'est quand même réveillé comme « Toi, t'as fait quoi? » Excuse-moi, t'écrivais des discours pour Pauline Marois.
[00:15:01] Speaker D: « T'as fait quoi, toi? » Maman Pauline, non.
[00:15:03] Speaker A: C'était quasiment ça. Bruno Marchand maintenant sur l'histoire des taxes de Stéphane.
[00:15:07] Speaker C: C'est facile de critiquer les autres. Maintenant, quand on est aussi critique qu'il l'est, il me semble qu'on a un devoir d'exemplarité. Le devoir d'exemplarité, c'est-à-dire si je suis si critique, ça veut dire que moi je suis capable d'appliquer ces principes très critiques à ma gestion financière, à la gestion financière de mon parti, à mon paiement de taxes. Et présentement, il y a deux, il y a un double discours. Moi, je redis que l'erreur est humaine. Mais si tu veux qu'on accepte ton erreur, si tu veux qu'on soit humain avec toi, Tu peux pas être aussi virulent sur la ville avec des demi-vérités, dire que la physicalité est pas bonne alors que c'est pas vrai, dire que tout se fait mal à la ville alors que toi-même, dans ta propre gestion, t'as aussi tes propres défis.
[00:15:45] Speaker A: Ça spin envers tout le monde. Dès que tu dis pas comme lui, tu mens. Il fait ça avec Renault. Il fait ça avec tous les candidats qui sont contre lui présentement. Tout le monde ment sauf lui. Ça revient à ça. J'en viens à l'entrevue de JC avec Dan Moisan hier. Dan Moisan, donc candidat dans Saint-Sac.
[00:16:01] Speaker E: C'était facile de se perdre.
[00:16:02] Speaker D: Oui, c'est Magical Mystery Tour.
[00:16:04] Speaker A: J'ai essayé de remettre de l'ordre, on a une main là-dessus, parce que c'est vrai que suivre une ligne directrice, je vais reprendre les termes de Patricia à la fin, une ligne directrice, dans son discours, c'était pas toujours facile.
[00:16:16] Speaker D: Sa faute à qui, c'est quoi, quand c'est arrivé, je vais peut-être l'apprendre ce matin.
[00:16:20] Speaker A: Oui, comme tu l'as dit, j'ai remis ensemble, mais surtout, ce qui a été la bougie d'allumage pour lui, c'est beaucoup le traitement médiatique.
[00:16:27] Speaker B: Imaginez s'en prendre un journaliste sans point de presse. C'est-à-dire, je trouve que t'es pas correct. Mais imaginez le load de marbre qu'on va avoir sur nous autres le lendemain. Vous vous rappelez de Lydie Pincemain, qui était le candidat qui s'est retiré pour des raisons de santé. Lydie était une personne gravement malade. Qui a eu un petit regain, puis qui a... qui a comme... décédé.
[00:16:49] Speaker G: Elle pensait qu'elle serait correcte, puis c'était pas correct.
[00:16:52] Speaker B: Bon, mais c'est une personne que la maladie, il y a deux années et demie, a fait basculer sa vie complètement. Elle a tout perdu.
et elle quitte le parti pour des raisons de santé. Et je lis une entreprise de démolition. Et puis là, là! Et puis là! Là, tu te dis, mais pourquoi? Pourquoi? Juste parce que tu t'écris « Leadership Québec » à côté d'elle. Tu comprends? À un moment donné, sacrement, c'est-tu la politique qu'on fait ou c'est des journaux apotheins, là?
[00:17:21] Speaker A: C'est des journaux apotheins. C'est de plus en plus ça, malheureusement, la politique, là. Mais il a totalement raison, là. La dame n'était plus candidate. Mais on dirait que la gang de journalistes ont dit « Hey, on a encore de la merde à pitcher sur elle. Bruno nous l'a donné, on a encore de la merde à pitcher. Fait qu'on va pitcher pareil même si elle n'est plus là.
[00:17:42] Speaker E: » Quand il dit « On ne peut pas critiquer les journalistes », je trouve que Jean-Claude a été très bon en lui rappelant qu'il y aurait juste la bombe. Ça a été 14 ans de critiquer les journalistes. Mais c'est lui qui n'était plus capable.
[00:17:52] Speaker A: En ayant la majorité de son bord par exemple.
[00:17:54] Speaker E: Il n'était plus capable d'y aller. Mais oui, la majorité des journalistes étaient de son bord.
[00:17:57] Speaker D: Il y a eu raison de certains journalistes. Je peux vous en nommer deux. Il y a eu raison de deux journalistes, dont un qui a quitté la boîte et l'autre qui a quitté la profession.
[00:18:08] Speaker A: Carl-Angelier.
[00:18:09] Speaker E: Ça explique peut-être des affaires. Ça explique peut-être pourquoi d'autres font plus attention.
[00:18:15] Speaker D: Mais c'est Staroff sous Reg.
On rigole bien aujourd'hui hein, Régis, Régis.
[00:18:20] Speaker A: Non non, c'était rough.
[00:18:21] Speaker D: C'était rough.
[00:18:22] Speaker A: Si tu sortais du lot, si tu le contredisais trop, c'était rough.
[00:18:25] Speaker D: Il a essayé d'avoir le congédiement aussi d'animateur de radio, ça c'est arrivé.
[00:18:29] Speaker A: Oui. Mais comme Marchand.
[00:18:30] Speaker D: Marchand suit dans les traces de... Ah c'est carrément ça. C'est les plus grandis là. C'est Régis avec des échasses.
[00:18:34] Speaker A: Oui. C'est beaucoup ça. D'ailleurs, la peur des médias.
[00:18:38] Speaker B: Ben, je vais te dire, allez lire l'article sur Lydie Pincemain.
[00:18:42] Speaker G: Dans quel média?
[00:18:43] Speaker B: Dans le Journal de Québec. Allez lire ça, vous allez voir qui est l'auteur.
[00:18:47] Speaker G: Est-ce que vous avez identifié des médias qui ont une attitude différente?
[00:18:52] Speaker B: Je vais juste vous donner un exemple. À un moment donné, j'ai rapporté une nouvelle concernant Jean-Luc Lavoie, qui est le candidat d'En Pointe-Sainte-Foy, qui est à la fois candidat et éditeur de journal. Le Soleil en a parlé. Vous en avez parlé, j'en ai parlé avec Pierre Couture, SN93 aussi, et puis il y a un autre média que je nommerai pas, qui a dit non, moi j'en parle pas, Jean-Luc c'est un bon gars.
[00:19:18] Speaker G: Mais pourquoi on nomme pas le média?
[00:19:20] Speaker B: Parce que j'ai peur de cette personne-là. Pourquoi vous pensez?
[00:19:25] Speaker D: Ouais, ça là-dessus, j'embarque pas. Je sais pas lui, je parle, je parle, parle.
[00:19:29] Speaker A: Il devait oser plus, mais...
[00:19:31] Speaker D: Je sais pas là.
[00:19:33] Speaker E: Il y a de la musique avant lui.
[00:19:35] Speaker D: Ouais, mais j'ai peur. Je comprends pas l'aspect « j'ai peur » de cette personne-là.
[00:19:39] Speaker A: Y'a peur du backlash de certains médias.
[00:19:41] Speaker D: Ok.
[00:19:42] Speaker A: Y'en a qui sont gros. Y'en a qui ont du pouvoir.
[00:19:45] Speaker D: Ouais, mais là, c'est un citoyen privé, là. J'ai peur... J'ai peur de quoi? Que cette personne l'arrive avec un gun, Jésus? C'est quoi « j'ai peur » de...
Faudrait juste préciser l'histoire de la peur. Faut arrêter d'avoir peur. Ça, là-dessus, vous tombez dans le piège, les amis. Faut cesser d'avoir peur. Comme Vicky Lépine vient ici en studio ce matin, elle n'a pas peur. Elle dénonce ce qu'elle a dénoncé, elle se tient debout. Faut se tenir debout, là. Faut pas tomber dans peur, les amis.
[00:20:12] Speaker A: Le message qu'il y avait pour Bruno Marchand.
[00:20:14] Speaker B: Bruno a gagné, là. Bruno Marchand, je te le dis, je te parle en personne, t'as gagné, tu m'as sorti. Parce que c'est toi qui m'as sorti.
Je veux dire, ce sont des gens qui nous sortent comme ça.
[00:20:28] Speaker D: C'est ça, il n'est plus là. Donc résultat matin, Saint-Mamade, il y a un candidat de moins. Ce qui n'est pas une bonne nouvelle.
[00:20:36] Speaker A: Il y a un coin qui était accessible pour qu'il gagne.
[00:20:38] Speaker D: C'est ça, exact.