VICKY LÉPINE: L'intimidation se poursuit SUR LE WEB!

October 08, 2025 00:14:30
VICKY LÉPINE: L'intimidation se poursuit SUR LE WEB!
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VICKY LÉPINE: L'intimidation se poursuit SUR LE WEB!

Oct 08 2025 | 00:14:30

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[00:00:00] Speaker A: On est en direct de Grande Allée, ça s'appelle More Live jusqu'à 10h. Vous écoutez Radio X. Je veux qu'on parle d'intimidation, de salissage, parce que ça s'est déroulé avant la campagne et ça se poursuit. Évidemment, vous avez le grand prêtre, on le sait, qui, lui, se place au-dessus de la mêlée. Moi, j'ai rien fait, puis je suis victime et tout. On comprend la manigance. Mais il y a un conseil, moi, qui m'a particulièrement marqué, avant l'élection, mais c'est pas le conseil de ville immédiatement avant l'élection, c'est arrivé il y a quand même quelques mois de ça. L'histoire du « salut nazi » entre guillemets. J'aimerais ça, Dan, que tu recordes la thématique que t'expliques précisément parce qu'avec nous ce matin, puis je vais le saluer d'emblée, Vicky Lépine qui est avec nous. Comment ça va? [00:00:50] Speaker B: Ça va, merci. [00:00:51] Speaker A: Juste expliquer factuellement Qu'est-ce que c'est que cette histoire-là? Et ensuite, on va parler de ce qui est arrivé au cours des derniers jours. [00:00:58] Speaker C: Ça se passe au mois d'avril-mai. C'est vraiment au printemps. C'est Pierre-Luc Lachance qui fait un segment pour dire à quel point... C'est pas ça qu'il veut dire, mais c'est ça qu'il dit pareil. À quel point c'est tout croche à Saint-Roch. Il dit... En fait, il soufflate l'égo. Qui est-ce qui a déjà ramassé une seringue souillée à terre, puis il lève la main pour dire «moi»? Qui est-ce qui a déjà ramassé de la merde à terre, il lève la main pour dire «moi»? Qui est-ce qui a déjà... [00:01:27] Speaker A: Il se donne l'importance, mais en même temps, il démolit la réputation de seringue. [00:01:30] Speaker C: C'est ça, exactement. Mais il lève toujours la main en disant «moi». Le conseil suivant, deux semaines plus tard, il y a une citoyenne, à l'époque c'est une simple citoyenne comme vous, comme moi, qui se présente pour dire moi aussi je connais la réalité et elle fait la même chose que lui en levant la main. Elle pose des questions, elle lève la main. Cette citoyenne-là c'est Vicky Lépine et lorsque elle a terminé, le maire est allé dire qu'elle avait fait un salut nazi. Écoute, je vous fais écouter la réaction. de marchands quand Vicky Lépine lui a parlé. [00:02:04] Speaker B: — Merci, Mme Lépine. [00:02:05] Speaker D: Vous pouvez reprendre votre place, s'il vous plaît. [00:02:07] Speaker B: — Merci. [00:02:07] Speaker A: — M. [00:02:08] Speaker D: Le Maire, vous avez 90 secondes. — M. le Président, on ne répondra pas à cette question-là. On ne peut pas commencer son intervention en faisant un salut nazi. On ne peut pas faire ça. Et vous ne pouvez pas tolérer ça. OK? Alors, non, on ne répondra pas à cette question-là. — Ça va aller, Mme Lépine, c'est correct. Mme Lépine, c'est correct. [00:02:25] Speaker A: — Président Potayau. [00:02:32] Speaker C: Voilà. [00:02:34] Speaker A: Allô, comment ça va ce matin? [00:02:35] Speaker B: Ça va bien, merci. [00:02:36] Speaker A: Menez-vous une bonne campagne? [00:02:37] Speaker B: Oui, ça va bien. [00:02:38] Speaker A: Pour l'équipe de Saint-Mamade? Oui, L'Héberche de Québec. Dans quel district? [00:02:42] Speaker B: District Capodiamant. [00:02:43] Speaker A: OK. Quand il a fait sa sortie marchand plus tôt cette semaine, vous êtes intervenu sur son Facebook. Ça a été quoi l'essence de votre message? [00:02:52] Speaker B: Le sens de mon message, c'est que je n'ai jamais compris comment Bruno Marchand pouvait demander le respect, cesser l'intimidation, quand lui-même n'a même pas été capable de s'excuser publiquement à mon endroit. Je me dis, attendez, il y a quelque chose qui ne marche pas. C'est le maire que j'entends dire des choses sur les citoyens. Le pire, c'est violent. Qu'est-ce qu'il dit? C'est de l'intimidation pure. Ce qu'il a fait avec moi, c'est inacceptable. Dans ma tête, à moi, c'est une des pires insultes qu'on peut faire à des gens pour faire taire les gens. Puis je fais juste une petite parenthèse, vous savez, Bruno Marchand, il n'était pas là le soir du conseil de ville quand son collègue Pierre-Luc Lachance levait la main et il disait, moi je lève la main pour vous montrer tout ce que j'ai fait, donc je suis crédible. N'oublions pas que moi, Pierre-Luc Lachance m'a discrédité dans une assemblée en me disant, toi tu représentes les 15 000 résidents en me pointant du doigt. Moi j'allais là m'excuser. En lui disant le contexte, Pierre-Luc, moi aussi je suis crédible, j'ai habité dans Saint-Roch, j'en fais des bonnes actions, tu vas-tu m'écouter maintenant que tu sais que je fais des bonnes actions? C'est ça que j'allais lui dire, c'est la caricature que je faisais et je lui demandais des excuses. Le maire n'était pas présent quand Pierre-Luc Lachance insultait aussi l'opposition. Parce que quand il a fait ça Pierre-Luc Lachance, Il disait aux autres, regardez comme je suis bon, si vous le faites, vous autres aussi, levez donc la main, vous aussi. Moi, je suis allée lever la main pour lui dire, Berluck, je fais la même chose que toi, tu vas-tu m'écouter? Je suis-tu crédible maintenant? Et là, le maire, bang! Le maire m'a intimidé parce que je pense que je l'ai dérangé. Je demandais des excuses et là, j'allais directement où est-ce que ça le dérangeait. Je lui demandais vraiment qu'est-ce qu'il allait faire, qu'est-ce qu'il faisait et de respecter les gens. Je l'ai piqué à vif. Sa seule porte de sortie, ça a été de m'intimider. Maintenant, je vis avec ça. Et là, au lieu de m'écraser, je reste debout. Ça, c'est sûr. [00:04:49] Speaker A: Et ce qui est grave, c'est que ça laisse des traces. Vous avez beau parler, c'est l'enfantillage des chicanes. Non, non, non, ça laisse des traces. C'est du salissage qui laisse des traces et vous l'avez senti tout au long de la campagne. Moi, je me souviens de la pancarte, c'est la semaine passée, dans le soleil, pancarte incendiée de vous, dans votre district. Également des insultes, puis il y a du monde qui vous ont barré. Racontez un peu ce qui s'est passé au cours des dernières semaines. [00:05:18] Speaker B: Au cours des dernières semaines, j'ai des pancartes qui sont constamment arrachées. Mes pancartes sont assez élevées, on les a vraiment mis hautes parce qu'on se doutait qu'il y a des gens qui pourraient malheureusement faire du vandalisme. Les gens qui font du vandalisme ont besoin d'avoir une échelle. Donc c'est assez ciblé, on va se le dire. Deuxième chose, nous on a des groupes de quartiers, vous devez le savoir, dans chaque quartier, Faubourg-St-Jean-Baptiste, le quartier Montcalm, le Vieux-Québec-Cabelas. Donc c'est toutes des pages où j'ai été abonné. J'ai aucun problème avec Vieux-Québec, Cap Blanc, il y a beaucoup de respect, il y a beaucoup d'ouverture au débat. Saint-Jean-Baptiste, j'ai été bloquée depuis des mois. Et on écrit noir sur blanc, c'est pas parce que j'ai manqué de respect, c'est parce que je dérangeais trop avec les débats que je suscitais. Donc moi, je ne peux plus partager, ni même j'ai un poêle à donner, un frigidaire à donner, là, plus rien, là. [00:06:09] Speaker A: Tu sais, je partageais pas... Vous avez été cancellée. [00:06:11] Speaker B: Cancellée. [00:06:12] Speaker A: Et vaincée. [00:06:13] Speaker B: Et il y a un administrateur de ce groupe-là, un seul, Je lui ai écrit, j'ai essayé d'aller dans son commerce. Il y a des gens qui ont fait des pressions sur lui. Au conseil de quartier, on a demandé à plusieurs reprises à Mélissa Coulombe-Leduc d'intervenir. Elle a refusé. Et tout ça, c'est noté dans les PV. Par contre, elle, elle ose l'utiliser, à bon escient, pour faire sa propre campagne, pour dire que le mouvement Saint-Jean-Baptiste fait de la diffamation. Elle a osé écrire sur ce groupe-là, c'est faux ce que le mouvement dit, on n'enlèvera pas 50% d'instationnements dans Saint-Jean-Baptiste. à chaque rue qu'ils font, ils enlèvent plus que 50% dans Saint-Jean-Baptiste. [00:06:49] Speaker A: Est-ce que vous le dites durant votre campagne? [00:06:51] Speaker B: Ben oui. Je veux dire, Mélissa, elle est sur ce groupe-là, elle l'utilise. Et le leader de ce groupe-là, c'est un gars qui est attaché très proche à Transition Québec. Les gens peuvent même plus s'exprimer, ils ont peur. J'ai des témoignages de gens qui m'écrivent « Faut que tu fasses de quoi Vicky, on a peur de parler parce qu'on va être banni de ce groupe-là. » C'est un groupe qu'on parle pas de politique. Il y en a qui cherchent leur chat. Il y en a qui veulent juste s'exprimer sur un problème. Et là, j'en ai des témoignages pour que les gens viennent au conseil de quartier en parler. Et là, j'ai écrit à Jackie, j'ai dit « Fais quelque chose, je sais pas si elle va faire quelque chose avec le message qu'elle a dit hier, qu'elle tolérait pas ça, j'espère qu'elle va aller voir cette personne-là. » qui se connaît, qui n'habite même pas dans Saint-Jean-Baptiste. Même chose pour la page Facebook Mon Calme. La personne m'a insultée de nazi. Elle m'a barrée. Je ne peux plus écrire, je ne peux plus parler. J'étais respectueuse. La fille, elle m'a écrit en privé. Elle se foutait carrément. Elle se fout carrément de Mon Calme. Elle est présentement à Vancouver. C'est ça les administrateurs des groupes. Au lieu que ce soit la SDC, au lieu que ce soit les conseils de quartier. Donc ça, c'est tout ciblé. Les gens qui sont à la tête de ça, On s'entend, c'est des gens qui ont des intérêts politiques, puis ils bannissent, puis ils censurent. Ça, c'est de l'intimidation aussi. [00:08:06] Speaker A: Ben, c'est stalinien, là. [00:08:07] Speaker B: Exactement. C'est un beau gros concept qu'on censure. [00:08:10] Speaker A: Condamner, bannir, exclure. [00:08:13] Speaker B: Brûler. Brûler. [00:08:15] Speaker C: Des vacances. [00:08:15] Speaker A: Canceller. Qu'est-ce que vous pensez de votre compétitrice, Mélissa? Y avez-vous parlé? Avez-vous tenté de... d'y demander pourquoi ça arrive, tout ça? [00:08:26] Speaker B: Mais Mélissa, lors d'un conseil de quartier de... Mais elle, c'est Voldemort. [00:08:33] Speaker C: Mélissa Coulombe-Leduc, c'est la bully en chef. Pour vrai, c'est la tibreine de la cour d'école. Elle, d'abord, elle pogne du coeur tout le temps. Puis, elle s'en rend pas compte, mais c'est vraiment, actuellement, la personne qui fait le plus de bullying dans tous les élus municipaux qu'il y a à Québec. Vous pouvez inclure le maire, même l'ancien conseiller de Saint-Roch, Pierre-Luc Lachance, là-dedans. T'sais, toutes les fois qu'on parle à quelqu'un qui est membre du conseil municipal, pis qu'on lui dit comme... Pis t'sais, moi je veux pas le fait que je les regarde toutes de A à Z, j'envoie des affaires là, ils me disent toutes « Hey, merci de renommer pis de sortir les extraits de Melissa Coulombe-Lautrec et de Claude Lavoie aussi en même temps », qui sont des boulis là, et eux autres font partie de l'équipe du maire, et c'est vraiment des boulis là, c'est des méchants dans le cours d'école là. C'est des gens que t'empêches de sortir en récréation. [00:09:26] Speaker B: Moi, ce que je veux vous dire, là, je vais en reparler, désolée, de Jackie Smith, là, mais rappelez-vous Conseil de ville, quand Jackie Smith a simplement dit à Mélissa Coulombe-Leduc qu'elle était lobbyiste du pétrole, qu'est-ce qui est arrivé? La présidente, au lieu d'accepter, c'est un fait, elle n'a pas été respectueuse du tout. [00:09:42] Speaker C: Jamais, jamais, jamais. [00:09:43] Speaker B: Et qu'est-ce qui est arrivé? Qui a été supprimé du conseil? On a exclu, on a sorti Jackie Smith. Ça, c'est de la suppression, c'est de l'intimidation. Parce que c'était qui la présidente? [00:09:53] Speaker A: C'est de la censure. [00:09:54] Speaker B: La censure totale. Ce qu'elle a dit, Jackie, c'était vrai. [00:09:57] Speaker A: Au plan factuel, oui. [00:09:58] Speaker B: Oui, elle a été polie en le disant. Pourquoi c'est elle qui a dû... [00:10:01] Speaker A: C'est quand même pas une accusation criminelle en plus. C'est un fait soulevé. [00:10:04] Speaker B: Soulevé. Donc c'est ça le parti de marchands présentement. L'équipe marchands, c'est des gens, puis ils ont tout le monde de leur bord. On va cœurer tout le monde, on va censurer tout le monde pour bien paraître, parce qu'ils font rien dans les faits non plus. [00:10:17] Speaker A: Qu'est-ce que vous voulez faire après? On verra si vous êtes élu ou pas, mais il y a plein de gens qui écrivent « Oui, mais elle poursuit pas. Mais va-tu poursuivre? Tu devrais poursuivre. » C'est quoi votre thinking là-dessus? [00:10:30] Speaker B: Mon thinking présentement, c'est que je fais une campagne. Oui, vous êtes occupée. Oui, je suis occupée. Tu sais, je le fais pas parce que j'ai été... Oubliez pas que si j'ai été traité de ce que j'ai été traité, c'est parce que je suis une personne impliquée qui dérange. Je veux que ça bouge, je suis une fille d'action. Je pense que pour moi, là, je veux aller avec de la proactivité, c'est ça que je veux faire en politique municipale. Donc, ça, c'est mon objectif présentement, c'est de me faire connaître pour la fille que je suis, impliquer, décider à changer les choses, et surtout, je vais tenir mes paroles. Ça, vous pouvez en être certains, sinon vous me taperez ses doigts, ça va me faire plaisir. Maintenant, la poursuite. L'aspect poursuite envers le maire. Quand tout ça est arrivé, j'étais à une période de ma vie où j'avais un nouveau défi professionnel. C'était très émotif. Moi, je suis descendue quand même assez bas. C'était très, très, très difficile. J'avais de la misère à sortir de chez nous. C'était surréaliste. Je le dis souvent, mais c'est le mot. Paralysée complètement. Donc, à partir de ce moment-là, j'ai eu beaucoup de discussions avec des gens. Bon, poursuis, poursuis pas, fais ci, fais ça. Vous savez, une poursuite en diffamation, c'est pour avoir de l'argent. Ça, c'est ça que j'ai compris avec... J'ai un ami qui m'a référé à un avocat, quelqu'un que vous connaissez bien d'ailleurs, qui était la personne près de moi, qui me référait à des bonnes personnes. Et lui, il m'a dit, Vicky, prends ton temps, respire. Alors, ce que j'ai fait, j'ai pris l'argent, je l'ai mis de côté. Il n'y a rien qui a été touché là-dessus. Et si elle n'est pas utilisée, elle sera remboursée. Pour l'instant, je fais une campagne électorale. Après, est-ce que j'ai l'intention d'utiliser ce levier-là pour qu'on cesse les intimidations dans la ville de Québec? Ma réponse est définitivement oui. Ça va de quoi la meilleure façon? Je vais m'entourer des bonnes personnes, puis on va le faire. [00:12:16] Speaker A: Faire une poursuite. [00:12:18] Speaker B: On va faire la bonne action. Est-ce que c'est une poursuite? Est-ce que c'est des plaintes? Est-ce que c'est avec le conseil des municipalités? Est-ce que c'est aller parler au ministre? C'est pas normal que ce gars-là ait une immunité comme ça. C'est pas normal, on a un problème dans la ville de Québec. Il peut dire qu'est-ce qu'il veut, insulter, et c'est banalisé. Bon, mais il y a des bons. [00:12:35] Speaker A: Journalistes qui le challengent. [00:12:37] Speaker C: Oui, tout le temps. [00:12:38] Speaker A: Ça arrête pas. Est-ce qu'il y en a qui vous ont appelé pour faire un suivi? [00:12:43] Speaker B: Une. [00:12:43] Speaker A: À part celle du Soleil, quand même, où ils ont pris des photos, je sais pas jusqu'à quel point. [00:12:48] Speaker B: Ben, il y a vous, qui est sensible à la cause, et oui, il y a Émilie du Journal du Soleil qui a pris le temps de me parler. [00:12:55] Speaker A: Personne de Québécois, personne de Radio-Canada. [00:12:57] Speaker B: Personne, pourtant, il me connaît. Personne n'a questionné le maire à ce sujet-là. [00:13:01] Speaker A: Ça pourrait déplaire le cabinet du maire. Ça pourrait déplaire les amis. Ça, c'est tannant. C'est tannant, ça. C'est tannant, Colline. Merci beaucoup. On vous souhaite une bonne campagne. [00:13:12] Speaker B: Si je peux rajouter juste une chose, s'il vous plaît. Le 26 octobre, vote par anticipation. 2 novembre, le vote. Si vous êtes dans votre auto, au bureau ou à la maison, vous entendez ça, mettez-le dans votre agenda, s'il vous plaît. Allez voter. C'est ça qui va faire la différence. S'il vous plaît, allez-y. [00:13:30] Speaker A: Donnez des noms des grandes rues de votre district. [00:13:33] Speaker B: Des grandes rues. Donc moi, il y a tout le quartier Saint-Jean-Baptiste, il y a le Vieux-Québec, une section de Montcalm. [00:13:41] Speaker A: Donc Saint-Jean. [00:13:42] Speaker B: Ben oui, la rue Saint-Jean, Grande Allée. La Carotte Joyeuse. Ben oui, la Carotte Joyeuse. [00:13:44] Speaker A: Bon, les clients de la Carotte Joyeuse, let's go, des guédinées. [00:13:47] Speaker B: Richelieu, Desguillon, La Tourelle, la rue Champlain, il y en a, oui, toutes les plus belles rues, Grande Allée, Mon dieu, le Saint-Patrick... [00:13:57] Speaker A: C'est un peu le plus beau district, c'est un peu ça? [00:13:58] Speaker B: Oui, oui, je trouve. [00:13:59] Speaker A: Le Café historique. Intramuro, on dit ça? Intramuro? [00:14:04] Speaker B: Extramuro? Il y a cette expression-là aussi, mais j'ai le plus beau district, mais visuellement. Par contre, la ville de Québec est une belle ville. S'il vous plaît, il faut avoir du respect dans cette belle ville-là. Votez pour des maires et des candidats qui vont vous inspirer le respect. C'est important. [00:14:22] Speaker A: Merci beaucoup d'être passée. Magnifique campagne, donnez un coup. Il reste trois semaines. Merci beaucoup d'être passée. [00:14:28] Speaker B: Merci à vous.

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