Episode Transcript
[00:00:01] Speaker A: Le grand Journal, présenté par Dominique Moret.
This is more live real talk hockey, avec Dominique Moret, le grand Journal.
Justin Trudeau se prépare mentalement. Il va se faire faire un lavage dans la cour d'école.
La loi 21 sera renforcée et on appuie le gouvernement à cet effet. Qui sera maintenant le capitaine de la loi ? Oh, Eddie van Roberge.
[00:00:39] Speaker B: Ok.
[00:00:39] Speaker A: Je veux. Je veux. Je veux que ça marche. Je tente d'avoir confiance. Es tu bonne, celle là ? Luc Poirier, le gars qui avait vendu Ethereum Nordville. T'es prêt à racheter terrain par faire encore plus de cash en subdivisant Ethereum pour faire des maisons ? On est le même, nous autres.
On est cocu. La une de la presse. Es tu bonne, celle là ? Il n'y a pas de déblocage dans le bloc opératoire. On va opérer. On va rattraper le temps perdu. Bien sûr, à cause de la Covid, il y a moins d'opérations actuellement qu'avant. Covid, ça va bien, non ? Le système n'est pas un échec. On va aux nouvelles. Est ce une trop grosse nouvelle ? Est ce une nouvelle qui est gonflée ?
Soufflée ? Parfois, vous envoyez des nouvelles soufflées. Trudeau, le caucus, aujourd'hui, partie libérale. Ben oui, il faut jaser de quelque chose, parce qu'il se passe pas grand chose à Ottawa. On est comme en attente de. Les pancartes sont prêtes, mais là, t'as le bloc qui attend son ultimatum. T'as les conservateurs qui, je vous dirais, ne peuvent pas être bien plus près qu'ils le sont. Eux autres sont sur le idle, sont sur. Comme la formule un. La voiture est. Et sur la piste. Puis on attend justement que ça parte, la course. Personne ne veut aller. La fameuse lettre, aucun journaliste qui l'a vu. Est ce qu'elle existe ? Est ce qu'elle existe ? Paraît il que oui. Mais là, ça va de 20 à 30 à 40. Non, moi, je pèse 200 £. Non, je pèse 400 £. Tu peux pas aller du simple au double. Va falloir avoir un chiffre. Et au moins, il y a trois personnes qui l'ont signé. Mais c'est trop lâche. Oui, j'ai signé la lettre, mais je veux pas que Trudeau s'en aille. En fait, je veux pas qu'il soit congédié. Je veux que. Il réfléchisse et qu'il prenne sa propre décision. C'est pas n'importe quoi. Je veux qu'il prenne l'aide médicale à mourir. Ouais. Politique. C'est ça. Puis c'est trois. Trois Waco dans. Dans Maritimes qui ont bien peur de perdre leur job.
[00:02:53] Speaker C: Siousand. Ils ont peur de s'en aller travailler au privé. C'est du monde qui veulent qu'on change.
[00:02:56] Speaker A: Le chef de famille sans qu'il y ait de chicane dans la famille.
[00:03:00] Speaker D: C'est ça.
[00:03:01] Speaker A: Donc aujourd'hui, qu'est ce qui va se passer ? Il n'y aura pas de caméra sur place. Ça va être à huis clos. Et bien sûr, il va rester, convaincu qu'il va rester. Il y a trop de. Trop de check in. Il y a trop de check in. Puis on est à l'aube d'une élection, les amis. Je veux dire, on dégomme le chef. Pour mettre qui ? Christophe Whelan disait qui on va mettre ? Un non élu. Tu peux pas mettre un non élu comme chef, comme l'ancien. Bon. On pourrait mettre Mᵐᵉ Bibaud, de la Banque du Canada.
Ouais. Mᵐᵉ Bibaud, elle s'est magasinée une job. Ça, c'est une autre affaire. Il faudrait que ça soit illégal que quelqu'un qui occupe une fonction publique rémunérée lorgne un autre mandat public. Lire ici. Éric Fucking Lefebvre. Yé. Fin Morin m'a t elle présenté I don't care des Goffins. J'en ai croisé trois, un matin, au McDo. Quitte ta job. Quitte ta job. Oui, lui, il est plus caquisse. Il est mis sur le carreau, mais il encaisse encore. Ça, ça paye à côté de la machine à liqueur. Mais il est sur le téléphone de Joe, la porte fermée. Attendez, je vais fermer la porte. On sait comment ça marche. Ben, puis si on vise, il va même pas. Il n'a jamais fait ça. Non, non, mais il va pas. Mais mettons qu'il y ait. Attendez, je vais fermer la porte. Prend le téléphone. Il joue avec la gang à poilième. Ça s'en vient. Tu vois les pancartes ? C'est l'imprimeur. En tout cas, regarde les bénévoles. Il organise sa campagne. Mais même affaire sur le bras du gouvernement du Québec. Là, je parle de Lefebvre.
[00:04:27] Speaker C: Oui.
[00:04:28] Speaker A: Si on vise le fait, faut viser Pablo.
[00:04:30] Speaker C: Je vise Pablo aussi. Puis faut viser Bibou, là, je vise Bibou beaucoup.
[00:04:32] Speaker A: Assurément. Je comprends qu'elle a besoin d'argent. Elle se coupe les cheveux elle même. Sauf que. Et boy et boy, les plats. Les plats de crème anglais, ça émet pas recyclage. On s'en sert pour la kfure tab. Ok. Ce sont là, ce sont quand même le look, parce qu'on a tous le look. On est tous dans le on a tous le look qu'on veut bien nous donner. Je sais, je. Je suis vraiment désolé. Mais elle a fait quand même un point de presse. Elle, ministre. Donc, la limousine en arrière, deux, trois. Malgré que les. Les gardes du corps, les bottes de garden, il y en a pas tant au fédéral, il y en a quasiment plus au provincial. Mais bref, la limousine du fédéral est là. Elle. Elle se présente cette semaine faire un point de presse pour annoncer qu'elle se présente à la mairie de Sherbrooke. Mais elle est encore ministre, puis là, elle se fait questionner. Donc, c'est la crème anglaise trois couleurs. Une question sur son ministère, une question sur la mairie de Sherbrooke, une question sur trudeau. Une question. Celle là, ça vient mêlant. À un moment donné, elle a dit Oui, j'aime Trudeau, je veux pas que ça en aille. C'est un peu une. Elle est la reine des réponses insignifiantes, cette personne là. Jamais vous allez trouver une réponse. Une réponse avec la couleur. Une réponse en clip. Mais c'est ça. Elle est ménisse, mais elle empoche son salaire. Tu comprends ? Salaire de ministre. Au fédéral, on est au dessus de 2,50.
[00:05:55] Speaker D: Ok.
[00:05:55] Speaker A: Mais elle, elle se présente à mairie. Fait que là, le fameux. Attendez, je vais fermer la porte. Ferme la porte. Ah, mais ça arrive pas, ça. Mais non, ça arrive pas à l'empoche son chèque de ministre. Ferme la porte, prend le téléphone, organise sa campagne. Arrêtez, là. On n'est pas des valises, là. Ok ? Bénévolement, normand puis l'autre va poser des pancartes sur la rue King West. Whatever ? C'est la seule rue que je connais. Toi, t'es resté à Sherbrooke, dom. [Sos/eos] c'est qui qui va me poser des pancartes King West ? Ah, ok. C'est Armand, son frère. Alain, es tu là ? Oui. Parfait. Je ferme la porte. Ok. Tu peux rouvrir la porte. Voyons donc, sur Dofferin. Ça a ni queue ni tête, cette.
[00:06:38] Speaker C: Affaire là sur la rue Dufferin. Parce qu'eux autres, ils disent comme du monde, quoi.
[00:06:41] Speaker A: C'est un anglais, Dofferin.
[00:06:42] Speaker C: Tu peux même pousser plus loin puis rentrer au bureau double, là, au même maudite affaire, en passant. Ben oui, tu peux bien rentrer plus loin puis rentrer dans ton bureau de.
[00:06:50] Speaker A: Comté, ramasser la liste de bénévoles puis leur demander de venir t'aider pour ta campagne en municipale. Ça, c'est jamais arrivé. Non, jamais. Avec. Je la nommerai pas, mettons, dès député conservateur très proche du parti libéral. Du Québec qui était très proche de Jean Charay. C'est arrivé, ça ? Oui.
[00:07:11] Speaker C: La liste des bénévoles sous John Charay.
[00:07:13] Speaker A: On fait campagne. Jean Charest, du parti conservateur. Les anciens libéraux provinciaux, ça va arriver avec sa mamade aussi.
[00:07:19] Speaker C: Et.
[00:07:19] Speaker A: Oui, mais ça, c'est un peu un changement de sujet. Dan moi, c'est d'empocher le salaire. C'est ça qui. [sos/eos]. Je le sais. C'est ça. C'est un bug avec ça. Puis Pauliev veut pas répondre à ça. J'ai posé deux fois question. Il peut pas planter son candidat. Les amis, là, vos attentes. Gérez vos attentes.
[00:07:33] Speaker C: À un moment donné, elle m'a dit ouais, s'il va te planter le fè.
[00:07:37] Speaker A: Gérez vos attentes, les amis. Eux autres, ils partent du principe que.
[00:07:39] Speaker C: Quelqu'Un a besoin d'un salaire d'envie. C'est ça. Mais c'est son candidat, il va le défendre. Il y a des jobs, ils en ont plein. Vous n'êtes pas obligés de travailler pour le gouvernement. Vous êtes pas obligé. C'est quand tu décides de t'en aller pour le parti conservateur fédéral et que tu es un député provincial, tu démissionnes et en attendant l'élection, tu trouves un autre job.
[00:08:05] Speaker A: Ça peut être sur un conseil d'administration, ça peut être faire des boîtes chez Costco.
[00:08:09] Speaker D: Voilà.
[00:08:09] Speaker A: Il faut que tu fasses autre chose. C'est ça. Si tu as été le moindrement intelligent avec ton argent. Le salaire d'un ministre au fédéral, c'est.
[00:08:18] Speaker C: -260 5000, parce que ça, c'est 2010 neuf 2020, plus les comptes de dépenses, fait qu'aujourd'hui, ça doit avoir monté. Ah, mais dame, je comprends, mais il.
[00:08:25] Speaker A: Y a du monde qui gagne 260 5000 par année, qui a besoin d'une paye quand même une semaine sur deux. Elle va avoir une grosse baisse de salaire. Elle va gagner 160 10000 comme mairesse de Sherbrooke. C'est ça. C'était ça, mon histoire. Donc, Trudeau va se faire faire un lavage, mais il va survivre. Banque du Canada, aujourd'hui, a surveillé, les amis. Peut être que ça sera. Ça sera une baisse, dit on, importante. On va le vivre quand on va le vivre. Et Pierre Couture va vous en parler maintenant. L'école, l'école, l'école, l'école. Bedford librevins ont été suspendus. Waouh. Waouh. C'est gros.
[00:09:04] Speaker D: Ok.
[00:09:05] Speaker A: Fallait s'y attendre. Maintenant, l'autre chose sur lequel je suis d'accord, la loi 21, la loi sur la laïcité. Ÿ les caquets veulent la rouvrir. Oui. Avec l'histoire de la garderie. Je sais pas si vous avez entendu l'extrait après la roque. Pas beau, là.
Ben, l'extrait. As tu les extraits de Bérubin ? Ils en ont parlé de PQ. Je veux pas voler ta légion, mais c'est très bon, là. Mais c'était très bon. Dommage, c'est quand même évil. Moi, j'aimerais ça l'avoir en extrait parce que. On a empêché les enfants de fêter Noël puis Halloween. Vous avez entendu les imams of the day. D'ailleurs, vous allez les entendre jusqu'à vendredi. Ce qu'on dit, entre autres, sur l'Halloween. Ce qu'on dit sur Noël.
[00:09:55] Speaker D: Faut pas fêter l'Halloween. Faut pas fêter Noël. Non, non. Ça rend les enfants malheureux. Pas possible. On écoute. On apprend ce matin, dans une lettre ouverte dans le devoir, qu'un service de garde à l'aval. Et là, j'explique ce que. Ce qu'on dit. Une éducatrice qui dit que dans les faits, c'était une garderie à vocation islamique servant une population presque exclusivement musulmane.
Que chaque jeudi, nous étions obligés, les employés, d'assister pendant notre pause à un cours de religion donné par un imam. Qu'il était formellement interdit de célébrer des anniversaires, de parler de Noël, la Saint Valentin et de l'Halloween. Il fallait également formellement interdire de mettre de la musique relaxante pour les enfants. Ça.
[00:10:31] Speaker A: C'Est dans un service de garde qui n'est pas assujetti d'ailleurs à la loi 21. Ce qu'on avait demandé à l'époque. Il faut que tu mettes les garderies dans loi 21 Ÿousand. Mais plus que ça, il faut que tu mettes les cégeps et les universités. Je vais vous expliquer pourquoi, parce que ça va revenir, ça. Les islamistes, ils font un petit bout de chemin pas à pas. La controverse concernant les salles de prière, il y en a eu à Montréal. Il y en a eu à Québec également, au Cégep Guernaud. On veut une salle de prière, on veut le gym. Après ça, ça va être le gymnase. Non. La cafétéria. Non. Veut du halal juste dans la cafétéria. Non. On veut plus de porc. Là, ça va être le prosélytisme dans le hall. Université Laval. Ça va être les tapis à l'Université Laval. Ça va être les tapis dehors à l'Université Laval, comme ça arrive, là, pour moi qui l'invente au centre ville de Montréal. Donc, t'as pas le choix. D'inclure ces sphères là. Sinon, on se reparle dans deux ans, les amis. Ÿousand.
Puis j'aimerais ça qu'on. Si on rouvre cette loi là, qu'on le fasse comme du monde. Vous avez entendu le CPE. Je vous ai donné des exemples d'islamisme ou d'islam politique dans les cégeps, dans les universités. C'est déjà arrivé. J'ai déjà fait des reportages ici, il y a une dizaine d'années, où l'Université Laval s'est documenté, avait déjà fait venir des imams radicaux. Et c'est l'association musulmane de l'Université Laval qui avait fait venir des imams radicaux et on avait exclu les femmes. Bon, ça, c'est un exemple. Si les femmes sont exclues, oubliez ça. Là, il va falloir se lever et défendre nos femmes et défendre les droits, le droit, la liberté d'expression, l'égalité homme femme. Il faut se tenir debout, là. Moi, je pense que le Québec a un rendez vous avec l'histoire. Je veux saluer Marwariski, qui est courageuse, mais je veux faire un rappel historique aussi. On a joué dans ce film là il y a près de 20 ans aujourd'hui, avec Mᵐᵉ Ouda Pépin. Fatima Ouda Pépin. Qui est elle ? Ceux qui ont 20 ans, ils étaient jeunes. Vous étiez pas au monde libéral aussi, originaire du Maroc. Je vais faire jouer un extrait. Je vous rappelle le contexte. Les islamistes, il y a une vingtaine d'années, voulait amener la charia ici. C'est quoi la charia ?
C'est la loi de Dieu. La loi de Dieu, évidemment, c'est le code. C'est l'espèce de code civil, islamique, de sanction, mais de. C'est le code qui régit toute la vie sociale. Et plus spécifiquement, c'était en Ontario que ça se passait. Je me rappelle bien, ouais, mais t'écouteras l'extrait. Ils ont commencé par ici, puis finalement ils ont tenté en Ontario, mais ils ont commencé par ici. Dans un extrait que je vais vous faire entendre, on explique très, très bien la situation. Qu'est ce qui était en jeu ? Il y a vingtaines d'années, quand effectivement, Ouda Pépin s'est levé, elle a dit non, il n'y en aura pas de charia. Because les islamistes, ce qu'ils voulaient faire, c'est faire de la médiation familiale. Divorce. Mais on contourne la loi sur le divorce, donc on contourne le code civil, ni plus ni moins. C'est codifié, ça, le divorce, c'est codifié. T'es marié, t'es pas marié. Société d'aquête. La patente, c'est un imam qui est le modérateur. Le théâtre p en indien, l'expression. Et là, t'as l'imam qui dit ok. Ÿousand toi, t'as pas le droit de divorcer. Toi, t'as le droit. Le mari l'a dit trois fois. Une histoire de patente. T'es religieuse. Elle l'a dit trois fois. Ça compte plus. Non, ça compte. T'avais tu tx ? On dit ça dernière fois. T'avais tu tx ? Oubliez ça. On veut pas d'un autre code de vie au Québec. On vit avec le code civil. On est une société civilisée. La structure sociale, elle est codifiée, elle.
[00:14:46] Speaker C: Est structurée avec des chartes des droits.
[00:14:48] Speaker B: Et libertés au Québec et au fédéral. Voici fatima Houda Pépin qui était question de légalisation de la charia. Vous êtes intervenu même si c'était pas dans votre province. Mais en fait, la revendication de l'implantation de la charia, c'est une revendication qui est portée par les intégristes et les groupes fanatiques et on le voit ailleurs dans le monde. Alors cette revanche des questions là n'a pas commencé en Ontario, elle a commencé au Québec. Mais les médias ne se sont pas emparés de ce dossier là. Et à ce moment là, je suis intervenue pour dire pas de charia au Québec. Je suis même allée en Ontario. J'étais invitée d'une association qui a organisé un événement. J'étais l'invité d'honneur, et j'ai placé mon message en disant il n'est pas question d'implanter la charia au Canada, ni au Québec, ni en Ontario, ni ailleurs. Ça, c'est la 1ʳᵉ chose. La 2ᵉ chose, c'est que ces groupes, ils ont cherché une faille. Ils auraient pu trouver ça au Québec, ils auraient pu trouver ça en Colombie Britannique, mais ils l'ont trouvé en Ontario, dans le système de droit et ils ont essayé d'entrer par là. Et si l'Ontario leur permettait d'implanter la charia, ça va faire jurisprudence et ça va aller ailleurs. Ils ne se gêneront pas pour ça. Pourquoi est ce que je me suis opposée à la charia ? Parce que c'est un système de droit complet. C'est parce qu'eux autres, ils sont arrivés en disant ah ben, on va faire de la médiation familiale sur la charia. Non, non, non, non. Si vous acceptez la charia, vous acceptez le système. Ÿousand système complet, système qui va nous amener très, très loin et surtout qui va nous éloigner des acquis que nous avons, au Québec et au Canada, les acquis au chapitre des droits des femmes en particulier. Alors je ne voulais.
[00:16:42] Speaker A: Pas du tout, du tout que ça s'implante ici.
[00:16:44] Speaker C: Puis je me suis opposée à ça.
[00:16:46] Speaker A: J'ai présenté une motion à l'Assemblée nationale qui a été votée. Non, ça, c'est Dan qui écoutait un autre extrait. Je l'écoutais pas, c'est l'ordinateur qui l'a starté. Ok. Vous avez entendu ça ? C'est un extrait qu'on fait. Je vois tantôt dans un autre contexte. Vous avez entendu. C'est un imam radical que vous avez entendu. Je pense que vous avez saisi le point de Fatima ou de Pépin. Je sais pas si elle est encore vivante aujourd'hui. En tout cas, je sais pas si elle est parmi nous encore. J'en ai aucune espèce d'idée.
[00:17:14] Speaker C: C'est.
[00:17:26] Speaker A: Un extrait d'archive, donc, que vous avez entendu, qui date d'une vingtaine d'années. À Sipac, on s'en va dans le vivre ensemble. Mon char, Dan, on est prête, tout le monde ensemble. Ah oui. Les vieux de la vieille ont reconnu le thème. Sinon, on salue les nouveaux auditeurs quand même, parce qu'il y en a plusieurs. Donc, je vais vous lire des trucs que vous n'avez pas dans vos journaux de ce matin, puis on verra pour la suite comment ça va se dérouler, cette enquête là. Donc, rappelons que Bedford. L'enquête, est ce que le. Est ce qu'elle est finie ? Ils ont été suspendus, puis ils ont plus de brevet d'enseignement. Donc les barbus sont à la maison. Sont ils encore payés ? Défendus par le syndicat.
Il y a beaucoup de choses quand même, qu'on ne sait pas. Une chose est sûre, c'est que le ministère fait enquête sur trois autres écoles, dont l'école la Voie. Qu'est ce que l'école lavoie ? C'est une école publique, donc, qui est rattachée à la commission scolaire de Montréal. Et l'école Lavoie était rendue disponible à des imams et des membres de la communauté musulmane de Montréal pour apprendre le Coran aux enfants et faciliter la mémorisation aux enfants. On verra avec l'enquête. L'enquête nous conclura pas que c'est la même chose que Bedford. Je veux juste vous le dire en partant, moi, j'ai pas ces informations là.
Fait que les enfants étaient torturés ou quoi que ce soit. Un peu comme à Bedford. Le jour, on a affaire surtout à une école, une infrastructure publique qui était louée le soir et les fins de semaine pour du bourrage. De crâne islamique. Je vous donne des exemples. J'ai un document à ma possession. Encourager l'apprentissage par l'octroi d'un prix chaque fois que l'enfant termine la mémorisation d'une partie du Coran. Parle de l'école publique, là, la commission scolaire de Montréal. La mémorisation commence par l'initiation et la répétition. C'est la 1ʳᵉ étape qui doit conduire à la facilitation de la lecture du Coran ÿousand et permettre à l'enfant de lire seul tout le livre sans l'aide de son enseignant. Lui donner l'habitude de réciter les parties mémorisées dans ses prières obligatoires quand il sera majeur. Lui donner l'habitude d'écouter des enregistrements contenant les éléments qu'il a maîtrisés pour améliorer la récitation et la prononciation. Choisir pour la mémorisation 1 h appropriée, pendant laquelle il y a moins d'occupation et de facteurs de perturbations comme l'heure qui suit la prière du matin ou celle située entre le Maghreb et Icha, tout en évitant les moments de faim, de fatigue et de somnolence. Rendre hommage à celui qui apprend devant ses parents et voisins pour l'encourager et pour les inciter à s'engager dans la même voie, tout en veillant à assurer sa protection grâce aux prières protectrice contre les yeux des envieux. On est vraiment dans la religion. Si vous voulez vraiment une école laïque, je pense qu'on n'est pas là, je pense qu'on est ailleurs. L'amener à utiliser le même exemplaire du Coran. On parle d'enfant dans une école afin d'ancrer dans son esprit l'emplacement des versets. L'encourager à écrire les parties mémorisées afin qu'elle puisse maîtriser l'écriture et fixer les éléments appris. Et là, c'est écrit. Le reste est écrit en arabe. Alors voilà, c'est là qu'on en est. Donc, à cette école là, c'est clair que. Il y a une école. Est ce que des profs, maintenant, qui étaient à cette école là, qui ont participé à ça ? J'en sais rien. L'enquête nous le dira. Une chose est sûre, c'est que cette enquête là se poursuit. Là, je vous parle de l'école la Voix. C'est à Côte des Neiges, à Montréal. Dans cette école là, on faisait. C'était une école coranique, ni plus ni.