Il y a beaucoup de choses qu'on ne veut pas voir sur le web

September 13, 2024 00:16:03
Il y a beaucoup de choses qu'on ne veut pas voir sur le web
Maurais Live
Il y a beaucoup de choses qu'on ne veut pas voir sur le web

Sep 13 2024 | 00:16:03

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Show Notes

L'intro de Maurais Live 13 Septembre 2024

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Episode Transcript

[00:00:00] Speaker A: J'veux vous faire entendre... Y'a des choses qu'on voit, là, en passant. Des choses qu'on veut pas voir, là. Des espèces de danses voodoo. Avec des chats écartelés, massacrés. Y'a des trucs qui se promènent. C'est le web, ok? Internet, ça existe à Port-au-Prince, ça existe partout. C'est des vidéos, des vieux, des récents. Ça se promène. Pas de ton côté. [00:00:29] Speaker B: Ben, je peux te faire entendre David Menzies. David Menzies est à Springfield, Ohio. Pis hier, il parle avec un citoyen qui lui dit ça. [00:00:37] Speaker A: Je vais l'entendre. [00:00:58] Speaker B: Les journalistes ne font pas le travail et se fient à l'opinion d'un gouvernement. [00:01:25] Speaker A: Un gouvernement par nature, et là on peut parler de la ville de Springfield parce que ABC News, très vite, on dit « Mais là, le représentant des services publics dit que ça n'existe pas. [00:01:38] Speaker B: » Le citoyen de Springfield lui dit « À deux maisons de chez nous, le gars s'est fait voler ses deux chats, ils l'ont dépecé, ils ont repitché les peaux de chat après ça sur le terrain, ils ont regardé le reste, ils mangent les canards, Pis ils répètent à plusieurs reprises. Ils ont appelé la police. La police a été avertie de ça. Donc ils mangent les canards, ils mangent pas les oies. Pourtant c'est bon l'oie. Mais bon t'sais, c'est... T'as du monde qui le raconte. Encore une fois, moi je vais quasiment avoir besoin d'une vidéo pour le croire on dirait là. Je suis Thomas, là. Mais là, de plus en plus, ça semble se multiplier. [00:02:15] Speaker A: Lui, c'est quoi l'avantage de raconter ça à un gars qu'il connaît pas, là? [00:02:17] Speaker B: En effet. [00:02:18] Speaker A: Dem Menzies est pas connu aux États-Unis. Lui va là, pose la question. Mon point est le suivant. Les journalistes font pas le travail. Ils vont pas fouiller. C'est un gros scandale? C'est juste de savoir ce qui se passe dans la vie. C'est le rôle d'un journaliste de savoir ce qui se passe dans une communauté. Trop souvent, les journalistes vont se fier à la version officielle. Ça, c'est parfait pour les paresseux. Ici comme ailleurs en passant. Regarde, je vais appeler les relations publiques de la ville, ils vont me dire comment ça se passe. Mais oui, un matin, prenez le téléphone, parlez aux relations publiques de la ville de Québec. Qu'est-ce qu'ils vont vous dire concernant la fameuse taxe de marchands? Oui, mais c'est pour votre bien. [00:03:01] Speaker B: Oui. [00:03:02] Speaker A: C'est ça la version. C'est pour votre bien. [00:03:04] Speaker B: C'est pour soulager la congestion. Ils seraient même capables de dire que la population est pauvre. [00:03:07] Speaker A: La population est pauvre. C'est un baratin. Ce sont des baratineurs. Par nature, une organisation gouvernementale se défend et se justifie. [00:03:19] Speaker B: C'est comme les nombreuses fois où le maire Marchand nous a dit « Oh, moi les gens à qui je parle sont en faveur du tramway. » C'est ce genre de choses-là. [00:03:28] Speaker A: Il parle à sa gang de QS. La gang qui va voter pour lui beaucoup, il y a pas un chrétien qui va voter pour lui dans les banlieues par exemple, mais dans Québec Centre, ça c'est clair que ça va voter pour lui. [00:03:40] Speaker B: Regardez les libéraux fédéraux ces temps-ci, ils ont toutes la même cassette d'ailleurs. Ah moi les gens ils me parlent pas d'avoir des élections. Ah non, les gens veulent pas que... ils veulent qu'on fasse la job, ils veulent qu'on fasse notre travail, puis ils veulent qu'on reste là jusqu'à la fin, fin, fin de notre mandat. J'ai entendu Mélanie Joly, entre autres, hier, là-dessus, pis ils vont toutes la même ligne. [00:04:01] Speaker A: Je vais vous faire entendre, ça dure 48 secondes. C'est en anglais, mais je vais le traduire par la suite. [00:04:06] Speaker C: Listen, I am not Haitian, but I am from the Caribbean. The Haitian immigrants are indeed eating animals. Let me tell you something about these people. Not only are they harvesting cats for food, but also for witchcraft purposes, voodoo purposes. Understand this. If you don't want to take my word for it, go out there. Meet a Haitian. Talk to them about it. This is not something they aren't proud of. It's their culture. They eat these animals. Oh, oh, oh! Raciste! Raciste! C'est un raciste! [00:04:59] Speaker A: Je vais le dire à Carmen, c'est un raciste! [00:05:01] Speaker B: Raciste! [00:05:01] Speaker A: Raciste! Raciste! C'est une culture différente de la nôtre. Mon opinion, je trouve ça barbare. Par contre, ma phrase n'est pas finie. Oui, il y a du monde qui va essayer de prendre le premier bout de ma France. Nous, on est barbares aussi. Aux yeux, je vais vous donner un exemple, des Indiens. Non, là, je veux parler de la culture, exact. Pour les Indiens de l'Inde, une vache, un bœuf, c'est sacré. Mais nous, on les envoie à l'abattoir et on mange des burgers. C'est sûr que hier, J'ai mangé un steak, je l'ai dit. Mais si vous me passez l'image en boucle du dit boeuf qui s'est fait tuer et qui m'a donné quatre excellents filets mignons, c'est sûr que j'ai pas le goût de le manger, mon boeuf. Je déteste ça. Je vais pas en boire, ça m'intéresse pas, mais je suis pas cave. Le bœuf n'est pas descendu du ciel sous forme de steak. Voici des steaks pour la famille Moray. Il y a un processus. Il a été élevé, peut-être dans le champ ou pas, et il a été tué. Bon, je ne tripe pas, mais aux yeux de certaines autres cultures, on passe pour des barbares. Le halal. et les sacrifices de juifs parce qu'il y a également le fameux rituel religieux pour tuer la viande, pour tuer les animaux, pour faire de la viande. Perso, c'est barbare. Mais savez-vous quoi? Moi, je suis barbare. Aux yeux des autres aussi. Donc, à quelque part, on a dans nos traditions Des trucs vraiment pas agréables pour d'autres. Donc c'est dans les yeux des autres qu'on est barbare, mais à nos yeux, les autres sont barbares. [00:07:04] Speaker B: Il y a une autre histoire qui dit qu'il y a une différence entre une vache, un chat et un chien. Ben c'est toute la viande. C'est ce qu'ils se voient là, mais en réalité c'est ça pareil. Mais en même temps, il y a un bout d'où je débarque, c'est pas tous les haïtiens qui sont vaudous non plus. [00:07:17] Speaker A: Qui a ça? Il n'y a personne qui a dit ça. [00:07:20] Speaker B: Non, mais c'est parce que le gars il dit ça dans la partie de leur culture, blablabla. Moi je conseille à dire encore que, à la base, quand t'as faim, tu manges ce qu'il y a. Moi, je pense que c'est beaucoup ça. Si c'est arrivé, mais en tout cas, depuis ce temps-là, ça semble être arrivé à Springfield. [00:07:34] Speaker A: Aux États-Unis, terre d'abondance. Même les migrants illégaux arrivissaient avec des chèques. Food stamps, ils ont le service de santé gratis, ils sont aidés. Il y a quand même un filet social. Il faut lire là-dessus. Les migrants arrivent pas là. « Hey, mangez de la marde ! » Il y a quand même un filet social. [00:07:50] Speaker B: Ils vivent dans des tentes, quand même, par exemple. [00:07:52] Speaker A: Oui, mais eux autres, ils ne vivent pas dans les temps dont ils parlaient. Mais oui, oui. Oui, mais en même temps, moi je connais en même temps des immigrants qui arrivent à Québec, qui ne chassent pas les chats à Beauport et à Charlebourg. [00:08:05] Speaker B: C'est ça. [00:08:05] Speaker A: Tu sais, il y a une structure, il y a un encadrement, il y a une structure, il y a des lois. Mais c'est ça, regardez, le cheval par exemple, le cheval, moi personnellement, c'est à mes coeurs. Mais savez-vous quoi? Quand j'étais petit, ma mère en achetait. Oui, je me souviens de ça vaguement. Bien une chevaline. T'as pas hâte? [00:08:25] Speaker B: Oui! [00:08:25] Speaker A: Puis on en... On restait sur la rue Saint-Marc. En bas de chez nous, il y avait une épicerie. Là, oui. L'ancien Tim Hortons sur la rue Saint-Marc. C'est là que j'ai été élevé, là, chez OUI. Puis, viande chevaline, ça a l'air que c'était pas cher. Puis, on était souvent sur le chômage, sur le BS, nous autres, on gagnait pas cher. Donc, ma mère, elle achetait ça là. J'ai vagues souvenirs de ça. Personnellement... [00:08:45] Speaker B: C'est pas de la viande qui est très tendre, c'est parce que c'est de la viande qui est très peu grasse. [00:08:48] Speaker A: Peu importe la qualité... Mon point, c'est pas la qualité de la viande. Mon point, c'est que c'est le jugement culturel. C'est ça, la discussion là. Moi, ma belle-mère a des chevaux. Ça me fait pas triper de manger de la viande de cheval. Mais savez-vous quoi? On n'est pas mieux que les autres. On tue des chevaux. Moi, ça m'écoeure. Envoyez-moi pas des vidéos. Je veux rien savoir de ça. Ce que je dis, c'est qu'on est barbare nous-mêmes aux yeux de certains et les autres peuvent l'être à nos yeux à nous. Je comprends l'histoire des chiens et des chats, qui sont des animaux domestiques. Effectivement, mais selon l'intervenant qu'on a entendu, ils sont élevés. sont élevés, mais encore là, sont élevés par certains haïtiens pour faire des sacrifices comme ça, là, avec des danses. Ça, c'est une danse voodoo, là, tu danses pis c'est assez fucké, le voodoo, là, quand même. Là, tu vois ça, tu vois des vidéos sur YouTube pis là, il y a un gars qui est joué à l'envers, il prend un cock, il est mort le coup du cock, les ailes se font aller, Là, y'a une statue de la Sainte Vierge. Voyez-moi qu'est-ce que la Sainte Vierge envoie là-dedans. C'est flyé, là! Mais savez-vous quoi? On en a des patentes flyées, nous autres aussi. Alors voilà. [00:10:12] Speaker B: On voit ici, Y'a quelqu'un aussi qui. [00:10:15] Speaker A: Est en transe, actuellement. Qui est en transe et qui est en train de se promener avec une Sainte Vierge en bédaine et avec de la peinture rouge sur l'estomac. Ouais, tout a été sauvé, mon cher. Qu'est-ce que tu dis, Dom? [00:10:30] Speaker B: Ah, c'était juste ça. Quand j'étais au secondaire, j'avais des amis qui faisaient de l'équitation, pis eux autres, manger du cheval, c'était... [00:10:37] Speaker A: C'était spécial? [00:10:38] Speaker B: C'était dégueulasse à l'horreur. T'sais, eux autres, ils avaient une relation autre avec... [00:10:43] Speaker A: Ils faisaient de l'équitation? [00:10:44] Speaker B: Ils faisaient de l'équitation. Ils avaient une relation autre avec les chevaux, là. Mais ils aimaient? Mais oui! Donc, de voir des gens qui mangent, pis de voir juste des places où ils vendent de la viande de cheval, ils en revenaient pas, là. [00:10:55] Speaker A: Quelqu'un qui nous écrit... Arrêtez la guitare, s'il vous plaît. Peut-être que son chat est en trance. Peut-être. [00:11:01] Speaker B: Pis bon point d'un auditeur ou d'une auditrice. Le lapin. C'est un animal de compagnie, le lapin? Oui. Pendant la pandémie, il restait plus de chat pis de chien. Ça l'aurait-il à adopter? Y'a plein de gens qui se sont ramassés avec des lapins. [00:11:11] Speaker A: Ça m'écoeure. [00:11:12] Speaker B: Mais allez à l'épicerie, y'en a même pas mal du lapin. Ça m'écoeure. [00:11:14] Speaker A: Je le sais, Dom. Ça m'écoeure. Je vends un lapin entier des fois. Je pense qu'au Costco, y'en vendent un lapin entier. Ça m'écoeure. Mais... Il y en a qui mangent ça. Le Lapin sauté, d'après moi, c'est un restaurant qui est très bien coté à Québec. Moi, j'aime pas ça, mais savez-vous quoi? T'sais, on peut pas se mettre en haut et dire, nous, on est parfait, blanc comme neige et tel, tel, tel peuple. C'est... Dans chaque culture, on a des... Les rognons, par exemple. T'sais, Dan, des fois, parle de ça. Mes grands-parents parlaient de ça. Les rognons, tout ce que... Les abeaux. Moi, je mange des abeaux. Je veux rien savoir de ça. C'est dégueulasse, les abeaux. Mais il y en a qui mangent... Tu comprends? Il y en a qui mangent la cervelle de... Dan nous avait raconté ça une patante, là. La cervelle de Daniel whatever. C'est dégueulasse. [00:12:03] Speaker B: Mais du riz de veau, c'est pas de la cervelle, ça. [00:12:06] Speaker A: Riz de veau, je pense que c'est dans la gorge du veau. [00:12:09] Speaker B: C'est dans la gorge, je peux... [00:12:12] Speaker A: Le boudin, est-ce que c'est assez dégueulasse? [00:12:13] Speaker B: Ça, c'est du sang. [00:12:14] Speaker A: C'est du sang. [00:12:15] Speaker B: C'est ça, Nick? [00:12:15] Speaker A: T'aimes-tu ça, le boudin, Nick? Ouais, c'est ça, du boudin. T'aimes-tu ça, le boudin? Non. Moi, j'en ai tellement mangé du boudin que je ne peux rien savoir. Hein, qu'on en a mangé! Chez nous, le menu, c'était pas compliqué. C'était pâteau au saumon, sauce aux oeufs, peut-être que c'est pour ça que j'arrête pas de répéter pâteau au saumon. Peut-être que j'étais marqué par ça. Foie de veau avec du bacon, patate pilée, pas de sauce, rien, c'était sec. Il y avait du thé caché. C'était caché, ma mère, elle le faisait cuire, rosé. Aujourd'hui... Mais dans ce temps-là, en 1975, c'était quasiment bio. Il y avait pas mal moins de patentes dans la viande. On allait chez Campanosi, puis ma mère, elle faisait cuire ça. Je me souviens très bien de ça. Je coupe la boulette, c'était rosé en dedans. Ma mère, on mangeait également du thé de fromager. On mangeait ça aussi. La langue de porc aussi, mon père achetait ça dans des pots, la langue dans le vinaigre. C'est-tu dégueulasse? Et du boudin! Et du boudin avec beaucoup de ketchup. Je me souviens encore de où j'étais assis dans la cuisine chez nous, c'est à Rue Garnier. Carmen, elle me sert du boudin. Je coupe ça, pis ça s'effiche. Ça tombe comme en... Il y a comme des graines. Pis là, je ramasse ça avec ma fourchette, je trempe ça dans le ketchup, pis je mange ça pis je retourne à l'école. [00:13:32] Speaker B: Ma mère est italienne, elle faisait le meilleur lapin au monde à Noël. C'est de la bouffe à Noël, les autres. Rabbit! [00:13:40] Speaker A: Rabbit! Rabbit for all! Du lapin. What's up, dac? As-tu mangé du lapin, Yannick? Non? [00:13:48] Speaker B: Non. [00:13:48] Speaker A: T'es un chaud lapin, par contre. Mais ça, c'est un autre sujet. Ça dépaille les canards. [00:13:52] Speaker B: Ça dépaille les canards. [00:13:55] Speaker A: Du foie de veau, nous écrit quelqu'un, avec un émoticône de vomi. C'est bon, du foie de veau. Mais ça fait tellement longtemps que j'en ai mangé que j'en mangerais là. C'est très bon, avec beaucoup de ketchup, là. Mais tu veux pas voir le foie de beaucru. Tu veux que quand ta mère, elle le prépare, tu veux juste entendre ta mère dire, c'est prêt, c'est dans l'assiette. Tu veux pas voir la préparation, c'est dégueulasse. C'est du foie. C'est un foie. Il était un foie. C'est ça. C'est pas beau. Ça reste du foie. Des cœurs de poulet. Hein, qu'on a mangé! dans du... dans de la sauce. Ma mère, elle faisait une sauce brune avec ça. [00:14:36] Speaker B: Hein? [00:14:36] Speaker A: Cœur de poulet? D'après moi, y'a de la prot là-dedans, cœur de poulet. J'étais très protéiné, visiblement, quand j'étais jeune. Pâteau au saumon, avec foie de veau, foie de poulet, cœur de poulet. [00:14:48] Speaker B: Wow! Mais j'en reviens, si ça se confirme à Springfield, là... Y'a eu... Y'a eu un Twig qui s'est promené il y a quelques jours, je l'ai trouvé drôle sur le coup, mais en même temps, je me disais, ça se pourrait, là! Ça commence par « il n'y a personne qui mange des animaux de compagnie ». Après ça, une semaine plus tard, pourquoi ça vous dérange que du monde mange des animaux de compagnie ? Il n'y a pas de problème. Trois semaines plus tard, voici un article pour vous expliquer pourquoi manger un animal de compagnie, c'est une bonne chose. Et finalement, refuser de manger des animaux de compagnie, c'est un white privilege. [00:15:23] Speaker A: Et c'est raciste! Et c'est raciste. Tu rejettes la cuisine haïtienne. T'aimes pas la cuisine haïtienne, donc t'es raciste. [00:15:31] Speaker B: Et il y avait aussi la passe que manger des animaux de compagnie, c'est bon pour l'environnement. [00:15:36] Speaker A: Ouais. [00:15:36] Speaker B: Parce que rappelez-vous que la taxe des chats à Québec, c'est à cause du poids environnemental des chats. [00:15:43] Speaker A: Oui, c'est une patente inventée, ça. La litière. [00:15:45] Speaker B: Oui! [00:15:46] Speaker A: Le traitement de la litière. Il y a quand même des daumiens qui sont entrés là-dedans, qui sont entrés dans le bandwagon, mais en minorité quand même. La majorité a comme conclu, la majorité des propriétaires de chats ont conclu que Marchand poussait le crayon un peu fort. [00:16:01] Speaker B: Oui.

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