JULIE la Texane: Meurtre de Charlie Kirk: Démocrates vs Républicains... C'EST DEVENU RELIGIEUX!

September 16, 2025 00:17:19
JULIE la Texane: Meurtre de Charlie Kirk: Démocrates vs Républicains... C'EST DEVENU RELIGIEUX!
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JULIE la Texane: Meurtre de Charlie Kirk: Démocrates vs Républicains... C'EST DEVENU RELIGIEUX!

Sep 16 2025 | 00:17:19

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[00:00:00] Speaker A: Don't mess with Texas. La Texane. Don't mess with Texas. [00:00:08] Speaker B: Avec Julie, la Texane. Salut Julie, comment ça va? [00:00:16] Speaker C: Ça va bien, ça va bien. [00:00:17] Speaker B: Bon, là on a parlé beaucoup de Charlie Kirk au Québec. On vous a fait entendre des Québécois de tous horizons. Enfin, on parle une Américaine. Ou qu'est-ce que t'en penses toi? T'es concernée plus directement, c'est ton pays, c'est là où ça s'est passé. Qu'est-ce que tu pensais d'abord de Charlie Kirk et de ses discours? [00:00:42] Speaker C: OK, j'ai tellement de choses à te dire là-dessus, mais je veux premièrement dire que je comprends un peu maintenant pourquoi c'est arrivé. Ça m'a fait découvrir des choses. En fait, ça m'a même fait découvrir que ma que ma fille de 20 ans était... Elle le suivait énormément, chose que je ne savais pas. Parce qu'à la base, Charlie, c'est pas vraiment... Oui, je le connais. On voyait ce qui se passait souvent sur les réseaux sociaux, ces débats, tout ça. On sait c'est qui, le personnage. Mais c'est pas vraiment quelqu'un que je suivais un petit peu trop conservateur pour moi. Sauf que je me suis rendu compte que c'est ma fille Elle, c'est que c'était une idole, puis donc qu'elle se sentait interpellée parce que lui envoyait comme message. Puis quand on regarde ce que lui pensait, donc ce qu'il essayait d'amener dans les universités, on voit vraiment que c'était très conservateur. Et d'un côté, on s'en va de plus en plus à droite avec les Républicains, et de l'autre côté, on s'en va de plus en plus à gauche avec avec les démocrates, puis là, c'est... c'est vraiment rendu comme une religion où l'autre parti, c'est vraiment... c'est le démon. C'est juste... c'est la façon dont je le vois. [00:02:06] Speaker B: Vis-à-vis ça. [00:02:08] Speaker C: Oui. [00:02:09] Speaker B: Toi, là-dedans, au plan politique, tu reconnaissais-tu dans les propos de Charlie Kirk? [00:02:17] Speaker C: Je me reconnaissais pas nécessairement, non. Moi, je suis plus du genre Tea Party. Moi, je suis plus du genre Tea Party. Droit économique. Exact. Ron Paul. Je suis vraiment là. Ça fait longtemps que je le dis. Tout ce qu'on essaie de faire de l'autre côté, même avec Donald Trump, même si je ne l'ai plus encore, on s'en va de plus en plus à droite. On veut le nationalisme. On essaie vraiment de... Tu sais, avant, là, quand c'était... Je me souviens, quand je déménageais aux États-Unis, on parlait de politique, mais, tu sais, on parlait, mettons, de l'immigration. On avait... Oui, on n'était pas d'accord, mais c'était sur des politiques, tu sais, t'es-tu d'accord avec ça ou ça? C'était pas... Là, mettons, l'immigration, maintenant, c'est, bon, bien garde, bienvenue chez nous, tu sais, tout le monde, on rentre, ou we're gonna build a wall, tu sais? Il n'y a pas de... C'est plus vraiment des politiques à ce qu'on va laisser qu'est-ce qu'on va permettre aux immigrants de venir? Non. Là, c'est rendu vraiment d'un côté, si on les veut pas, puis de l'autre bord, si on les veut, t'sais. Puis je pense que c'est comme ça pour tout, t'sais. C'est comme ça pour l'avortement. T'sais, même dans mon État, le texte vert, c'est devenu illégal, totalement. Ça fait que, t'sais, on voit qu'on se radicalise des deux côtés. Puis c'est sûr que quand tu parles comme une religion, c'est vraiment dangereux, il faut l'arrêter. Bien, c'est exactement ça qu'on a vu. [00:03:54] Speaker B: Un républicain, t'sais, un démocrate à la Clinton. Je parle pas de son comportement, là, je parle de ses politiques. Il était quand même salué pour plusieurs de ses politiques. Politique de workfare, entre autres, où il a fait, en 92, quand il est arrivé, au début de son premier mandat, son arrivée en politique fédérale, on a imposé le workfare, ce qu'il avait fait dans son État, c'est-à-dire faire travailler les incités sociaux pour avoir une rémunération, t'sais, ce genre de responsabilité-là. T'sais, un démocrate modéré, raisonnable, est-ce qu'il y en a encore? Est-ce qu'un républicain dit normal à l'Aaron Paul un peu? Rubio l'a peut-être déjà été, ou l'est-il encore? Ça existe-tu encore? [00:04:34] Speaker C: Non. Moi, j'aurais aimé ça. Moi, j'aimerais tellement ça retourner à Kennedy. Je l'aurais aimé, lui. Puis tu sais, c'était... Quand on voit qu'est-ce qui se passe... Regan. [00:04:48] Speaker B: Regan aussi. Les discours de Regan étaient extraordinaires. Il était pas polarisant, il était tranché. Mais je veux dire, l'autre ennemi, c'était l'URSS. C'était pas les démocrates. Oui, il y avait de la politique partisane. Évidemment, c'est le jeu partisan de la politique. Mais il y avait pas la diabolisation de l'autre tout azimut, tu comprends? [00:05:12] Speaker C: Exact. Puis en ce moment, c'est... Parce qu'on. [00:05:16] Speaker B: Va arracher des têtes, là. Carrément. Sans se figurer, bien entendu, on va arracher des têtes. C'est mon ennemi, je veux l'annihiler. Tu sais, c'est rendu... c'est rendu toxique. Et le jeu aussi, qui a commencé qui, quoi, quand, là, ça devient redondant aussi. T'étais là avant, t'as commencé avant. Qu'est-ce que tu dis, là? Il y avait Black Lives Matter, mais avant, ça a été créé à cause de quoi? Tu sais, là, ça devient un tourbillon de violence, un tourbillon de craquage. [00:05:45] Speaker C: Exact. Mais la majorité des gens, par contre, des gens comme moi, Moi, dans ma vie de tous les jours, je rencontre des démocrates, des républicains, mais on n'a pas de débat comme ça. Tout le monde va dire non, la personne n'aurait pas dû se faire tuer. C'est juste normal. Je pense que c'est une réaction normale à ce qui s'est produit. Mais bien entendu, ce qu'on voit, c'est toujours les extrêmes. On voit juste les extrêmes. C'est ce qu'on nous présente aussi sur les réseaux sociaux. Je veux dire, moi, ce qu'on me présente est probablement très différent de ce qu'on te présente, toi. Donc, on voit, tu sais, à tous les jours, tu sais, on se fait... on voit l'extrême d'un côté juste pour nous faire fâcher encore plus. Je pense aussi que ça, ça contribue à ce qui s'est passé. Puis de dire, oh, mon Dieu, je suis pas seule à penser dans ma tête qu'il y a vraiment... T'sais, il a cherché... il a cherché ce qui lui est arrivé. Bien, ça les réunit en soi, puis j'ai comme l'impression que c'est tellement malsain. Puis t'sais, on... Vous en avez chez vous, mais on en a ici aussi beaucoup de... des enseignants qui ont été congédiés à cause de ça. T'sais, des gens qui sont allés sur les réseaux sociaux pour dire, moi, je suis vraiment contente que ce gars-là soit mort. T'sais, c'est fou, là. [00:07:17] Speaker B: T'es-tu d'accord? Est-ce qu'il a été congédié? [00:07:21] Speaker C: Non, bien en fait, c'est vraiment le message qu'on envoie surtout aux enseignants. Je pense que tu dois avoir une certaine neutralité. Mais de dire que des gens soient congédiés pour leur opinion, non jamais. D'un côté ou comme de l'autre, c'est vraiment pas dans mes valeurs. Oui, moi j'aime ça quand les gens disent Qu'est-ce qu'il pense? Parce que ça nous permet de l'identifier, mais si on est comme tout... parce que ça ne veut pas dire qu'il ne le pense pas, mais en étant capable d'en parler publiquement, je pense que ça l'identifie ceux avec qui je veux passer ma vie, que je veux engager ou je ne sais pas. Moi, j'ai toujours été pour la liberté d'expression vraiment à cause de ça. [00:08:14] Speaker B: Qui va le remplacer? Doit-il être remplacé? Est-ce que son oeuvre doit perdurer? Et si oui, de quelle manière? [00:08:23] Speaker C: Je suis encore en train de me poser cette question-là, puis je vais dire une chose. Ça m'a comme faissé un peu aller voir ce que ce gars-là disait. Encore une fois, je pense qu'il y a des très bons points sur ce qu'il amenait, vraiment, tu sais. Je veux dire... son côté religieux me dérange un peu. Puis, bizarrement, ma fille... Nous, on n'est pas... On ne fait pas partie d'église. Je ne me considère pas nécessairement athée, agnostique. Ma fille s'est fait tenir une Bible. J'ai trouvé ça vraiment bizarre parce que ça ne vient pas de nous. Et je ne sais pas, ça me dérange, ce côté-là. Je ne peux pas t'expliquer encore pourquoi... [00:09:14] Speaker B: C'était pour la liberté d'expression même de ceux qui expriment la haine. Tu vas laisser la liberté à ta fille de faire ses propres choix? [00:09:21] Speaker C: Exactement, parce que ce n'est pas moi. Sauf qu'en même temps, ça vient d'où et je ne veux pas qu'on... Parce que ce qu'il y avait souvent, ce que Charlie faisait souvent, c'est de dire... Bon, genre, vous n'avez pas besoin au sang, mais souvent en ferme, vous avez... Trouvez-vous un mari et dans le fond, élevez vos enfants. Ils le disent souvent. J'ai un petit peu de difficulté avec ça. [00:09:51] Speaker B: Quel est le propos avec lequel tu étais le plus en difficulté? Est-ce que c'était celui-là ou c'était sur l'avortement? [00:10:02] Speaker C: Eh boy! Lequel? Celui sur l'avortement, c'est très, très, très radical pour moi. Je me considère encore pro-choix, même si, bon, j'ai des grosses limites. Ça, ça me dérange beaucoup. Mais je pense que dans l'ensemble, il était très à l'extrême. C'est-à-dire qu'il disait, tu sais, contre les mariages gais. Pourquoi on est contre les mariages gais, dans le fond? Si on est pour la liberté d'expression, tu as le droit. [00:10:36] Speaker B: Moi, ça m'enlève rien. Quand je donne un droit, ça m'enlève rien. Tu comprends, moi, c'est ma mentalité à moi. Moi, ça m'enlève quoi? Ils veulent être heureux. Ça m'enlève rien. Tu m'enlèves rien. C'est ma mentalité. Mais c'était pas la sienne, nécessairement. Lui, il avait une définition biblique du mariage. [00:10:55] Speaker C: Oui, exact. Exact. [00:10:57] Speaker B: Et de la famille aussi. [00:10:59] Speaker C: Tu as le droit d'avoir ton opinion. Tu as le droit de penser ça. Mais là, je pense que c'était comme rendu trop... [00:11:04] Speaker B: Mais qu'est-ce qui devrait perdurer, alors, à l'inverse? Quel est le propos que tu aimais le plus? et qu'est-ce qui devrait perdurer? Est-ce qu'un gars comme J.D. Vance également est un peu, beaucoup habilité à poursuivre cette oeuvre-là? [00:11:20] Speaker C: Non. Je pense pas. Peut-être... Qu'est-ce que t'aimais le plus? [00:11:26] Speaker B: Quel est son disco qui doit perdurer en héritage? [00:11:35] Speaker C: Le côté traditionnel, je pense que c'est quand même bien de garder un espèce de côté traditionnel parce qu'on est maintenant, les gens qui essaient, on parle toujours du white supremacist, l'homme blanc, on ne doit plus le retrouver nulle part. Je pense que c'est dangereux vraiment d'étiqueter les hommes blancs de cette façon-là. Mais de revenir même, on ne parle pas de la bible, on ne parle pas de la religion, mais de revenir à des valeurs un peu plus traditionnelles, je pense que c'est bien. On dit pas non plus qu'on est contre les transsexuels et tout ça, de leur donner les droits, mais pas nécessairement de les promouvoir, parce que j'ai vraiment l'impression, en ce moment qu'on vit dans un monde où ce qu'on promouvoit, c'est vraiment des minorités. Mais t'sais, c'est à l'extrême de juste revenir à, t'sais, traditionnel. Je pense que ça, c'est ce que... c'est ce que j'aime de son discours. Puis je l'aimais, j'aimais l'écouter. Puis je pense qu'il y avait des très, très, très bons points. C'est juste qu'à la base, il était très extrême. Juste. [00:12:44] Speaker B: Est-ce qu'un gars comme Ben Shapiro pourrait poursuivre? [00:12:48] Speaker C: Ah, c'est ce qu'on dit, hein, qu'il veut prendre sa place. [00:12:51] Speaker B: L'aimes-tu? [00:12:52] Speaker C: Je l'ai jamais vraiment, vraiment aimé. Je pense que c'est un autre comme ça. Il y a Candace Owen aussi qui. [00:12:59] Speaker B: A fait de... Ah, elle aussi, c'est rare. Avec l'histoire de la femme du président Macron. [00:13:04] Speaker C: Mais elle est très, en ce moment, parce qu'ils se connaissaient beaucoup, ils ont commencé le début en politique ensemble avec Charlie. Donc, en ce moment, on voit qu'elle essaie de prendre beaucoup de place. Mais ça, c'en est une autre. J'adore ses discours souvent, mais encore une fois, c'est trop, trop à droite, trop radical. Non, je colle pas à ça. [00:13:31] Speaker B: Et Shapiro parle trop vite, carrément. Moi, je suis bilingue, mais Shapiro, il parle trop vite. C'est niaiseux. [00:13:38] Speaker C: Non, je ne suis pas capable, ça se voit. [00:13:40] Speaker B: Non, non, il est craqué. Il a su le juice. [00:13:42] Speaker C: Oui, c'est ça, exact. [00:13:45] Speaker B: C'est bon. Puis pour la suite, ta fille, j'imagine qu'elle éprouve un grand deuil par rapport à tout ça, elle qui était vraiment accrochée à ces discours. T'en as-tu parlé à ta fille en dernière question? T'as-tu échangé à ta fille? Comment t'abordes-tu ça, ce meurtre-là avec ta fille? [00:14:02] Speaker C: Ah oui, on en a discuté beaucoup parce que, bon, ça la touche, puis elle comprend pas pourquoi il y a des gens qui sont tellement haineux à ce point-là. Puis ça devient dangereux. Puis on a aussi peur que, Parce que, tu sais, on veut avoir des... Bon, l'influence, c'est bien d'avoir des influenceurs, d'avoir des gens qui montrent que, tu sais, tu peux penser d'une autre façon, d'amener des idées. Je trouve ça vraiment bien. Je voudrais pas qu'on arrête de le faire non plus. Je voudrais que ça puisse continuer et que les gens aient pas peur de donner leur opinion. Tu sais, je veux pas que tout le monde pense pareil, non. Je veux que les gens, justement, soient capables de débattre, mais que t'es capable de respecter l'autre personne. Je pense que c'est ça que je veux donner comme valeur à mes enfants. [00:14:47] Speaker B: Merci beaucoup Julie. [00:14:48] Speaker C: Ça m'a fait plaisir. [00:14:49] Speaker B: Merci, passe une belle semaine. Bye bye. Salut, bye. Donc c'est l'opinion d'une américaine, puis les gens ne se contredit pas du tout. C'est une fille de droite qui me fait penser à une fille de droite qui suit Éric Duhem, qui était dans le rassemblement d'Éric Duhem. C'est une fille de droite économique, mais qui veut la sécurité, comme on dit, plus traditionnelle, qui cherche la sécurité dans une communauté, tout ça, mais c'est quelqu'un aussi qui, comme femme, normale, moderne, veut garder son corps, son choix. Tu me suis? [00:15:20] Speaker D: Oui, oui, je comprends, mais je trouve qu'il y a beaucoup d'auditeurs qui comprennent des choses qu'on n'a pas dites. Des choses qu'on n'a pas dites. Puis Julie, il y a du monde qui dit, voyons, mais non, Julie, elle n'a jamais dit qu'elle était démocrate ou quoi que ce soit du genre. [00:15:34] Speaker A: C'est la Julie que je connais depuis des années. J'ai entendu, je ne suis pas surpris de ses positions. Ça a toujours été le côté religieux, ça lui a jamais parlé par le passé. C'était déjà prononcé ici concernant l'avortement. Elle avait pas les mêmes visions là-dessus que Charlie Kirk. [00:15:53] Speaker B: Trop de droite. [00:15:54] Speaker A: Trop de droite. [00:15:56] Speaker B: Pour elle, c'est ce qu'elle dit. [00:15:57] Speaker A: Côté religieux, c'est ça. [00:15:59] Speaker B: La femme à la maison, la femme qui trouvait Marie, la femme qui fait des enfants, ça la dérange. Ça dérange beaucoup de monde au Québec. Ça nous rejoint pas du tout au Québec. Une femme qui va être un rassemblement d'Éric Dujeim, c'est pas le discours d'Éric. C'est pas du tout le discours de Pierre Poilièvre, en passant. [00:16:18] Speaker D: C'est pas le discours des femmes avec lesquelles on a décidé d'habiter aussi. [00:16:22] Speaker B: Non, c'est pas le discours de ma blonde. [00:16:25] Speaker D: Moi, c'est impensable, inimaginable que ma blonde travaille pas. [00:16:29] Speaker B: Ma femme, c'est une féministe. [00:16:30] Speaker A: Y'avait un dossier, en fait, ça mène dans la presse, les tradwives. Je me verrais pas être avec une tradwife. Ma blonde est plus éduquée pis elle fait plus que moi. [00:16:37] Speaker B: Hé, ma blonde, t'es crinquée par rapport à ça. [00:16:38] Speaker A: J'ai très bien que ça, là. [00:16:39] Speaker B: C'est un dossier qui m'intéresse pas. Ça nous touche pas au Québec. J'en connais pas, de Treadwell. [00:16:45] Speaker A: Ah, mais s'il y en a qui veulent vivre de même. Ils ont le droit aussi, là. [00:16:51] Speaker B: Oui, oui, liberté, mais... [00:16:53] Speaker A: C'est ça? [00:16:53] Speaker B: C'est ça. [00:16:54] Speaker A: Mais moi, ça me parle pas. [00:16:55] Speaker B: Non, non, c'est ça. OK. Toute ta maison. Tu peux jamais laisser traîner tes bas pendant une heure dans le salon. Moi, ça vide la lave-vaisselle. Ils vont prendre ça comme extrait, puis ils vont me faire virer ça. On déconne. OK. Il y a des gens qui... Hey, laisse-la parler! Elle parlait pas pire, Julie. Ça a bien été. Parce que c'est très bien exprimé. Ça allait très, très bien de ce côté-là.

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