LE GRAND COMPLOT JUIF à Rad-Can...

September 17, 2025 00:19:03
LE GRAND COMPLOT JUIF à Rad-Can...
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Sep 17 2025 | 00:19:03

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[00:00:00] Speaker A: Je vais vous parler de Radio-Cannes et de la journaliste qui était suspension. On a-tu l'extrait? Je veux juste mettre ça donc en exergue. C'est spécial, pareil, coïncidence. Début de semaine, je vous ai fait des posts et je vous en ai parlé en honte hier. J'ai fait des posts avec cette journaliste-là, Mme Serret, en vous disant qu'elle et la treille, c'est un combo qui est très saucé. Juste la treille, en après-midi, je vous dis RDI en après-midi. Depuis quelques années, C'est un méga anti-Trump entre Bovet et Patrice Roy. Oui, non, non, la chaîne a débarqué. Mais il remplit le temps. Mais vous oubliez de dire ce qu'il est réellement, là. C'est un chef d'antenne. C'est un somnifère. Oui, je sais, mais ça fonctionne. Oui, il est pourri, là. Mais je veux dire, au-delà de ça, c'est un chef d'antenne. Autrement dit, c'est pas un Jean-Luc Montgrain. C'est pas quelqu'un qui est supposé de monter. Tu sais que déjà que Bovet, il fait un petit peu de commentaires. Il fait des jeux de mots. Son plus gros hit à vie, c'est d'avoir entré dans une bâtisse d'Hydro-Québec pendant que personne l'avait pogné. La train? Je sais pas. Je pense qu'il était à Radio-Cannes. OK, dans ce temps-là, il était à Radio-Cannes déjà. C'est très saucé, là. Puis elle est à Washington. Elle, c'est une ancienne remplaçante du Week-end. Ah, puis des fois, le matin. Puis des fois, le matin. Oui. Il y a donc bien du monde à Washington. C'est léger. Non, mais il y a du monde à Radio-Canada. C'est plus sur la France. Il y a du monde, eux ou pas. Oh, ça y est, je l'ai pas vu depuis. Tu sais, prends l'exemple qui a pas rapport dans cette histoire-là. Une très bonne journaliste qu'on a eue ici à Québec, par exemple, Madame Dufresne. Très bonne journaliste. [00:01:40] Speaker B: Pouf! [00:01:40] Speaker A: Disparue complètement. Pendant 7-8 ans. C'est pas un congé de maternité. Pendant 7-8 ans, je l'ai pas vue. [00:01:47] Speaker B: Pouf! [00:01:47] Speaker A: Un reportage de l'année passée. Il était pas pire, son reportage. Un reportage pertinent. Je me souviens pas du sujet comme tel, mais je l'avais pas vue. Mais étais-tu à l'étranger? 8 ans! Non, j'étais à Montréal. Beaucoup de tablettes à Montréal. Beaucoup de tablettes. Il a envoyé cette journaliste-là serrée à Washington. c'est pas fait fort, là, OK? Et voici ce qu'on a entendu hier et par la suite, je vous parlerai des conséquences, et c'est à la une de tous les journaux au Canada. Juste ajouter du contexte, c'est un 5-6 minutes qu'ils font, puis ils parlent de la situation israéle, puis la position des États-Unis par rapport à ce passe. qui Ils se parlent du voyage de Rubio, en fait. Oui, exact. À Washington pour tenter de contrôler Netanyahou, là, qui semble être hors contrôle. Alors voilà. Comment se fait-il et comment expliquez-vous que les Américains ont tant de difficultés à prendre leur distance d'Israël, même dans les moments les plus difficiles? [00:02:44] Speaker C: Ma compréhension, et celle de plusieurs analystes ici aux États-Unis, c'est que ce sont les Israéliens, en fait, ce sont les Juifs qui financent beaucoup la politique américaine, les Super PAC. Il y a vraiment une grande machine derrière, ce qui fait en sorte que ça devient très difficile pour les Américains de se détacher des positions d'Israël. C'est vraiment l'argent ici aux États-Unis. Les grandes villes sont dirigées par des Juifs. Hollywood est dirigé par des Juifs. Vous savez, hier, moi, j'ai remarqué, j'ai écouté la soirée des Emmys et je m'attendais à ce que plusieurs artistes parlent publiquement de ce qui se passe aux États-Unis. Il y a eu à peine deux commentaires dans toute la soirée. On voit qu'il y a vraiment quelque chose qui se trame. [00:03:23] Speaker A: Ça se passe. Oui, mais tu continues l'extrait, là. Tu poursuis l'extrait? Ben non, je coupe à ça. C'est ce qu'elle a dit elle. Mais lui, elle laisse aller, là. Et à la fin, c'est «merci Elisabeth». Lui, il reprend jamais ou quoi que ce soit. «Les Juifs contrôlent le monde», la twist d'Hitler. ce qui est le fondement de Mein Kampf. Avec l'argent. Ils contrôlent les banques, ils contrôlent tout. Et à ce moment-là, il faut... C'est le complot ultime au final. Le complot juif. Le complot juif qui contrôle Washington. C'est vieux, vieux, vieux comme le monde. La communauté juive de Montréal, très rapidement, a porté plainte à Radio-Canada. Et je sais que j'ai été étonné par la rapidité de Radio-Canada, parce que communiquer Suspension, mais Latreille garde sa job. Ça, je vais y revenir. On va aller rejoindre l'un des... certainement l'un des plaignants au dossier. Certes, parce qu'il est dans l'organisation qu'on appelle le Centre consultatif de relations juives et israéliennes, donc un gros groupe pro-israël qui représente, on peut le dire, la communauté juive à Montréal. Julien Corona, qui est le directeur des coms. Comment ça va, Julien, ce matin? [00:04:29] Speaker B: Ça va bien, Dom. [00:04:30] Speaker A: Raconte-nous, un prime abord, qui vous a mis au courant de ces déclarations-là? Est-ce que c'est toi qui l'as entendu en direct? [00:04:40] Speaker B: Non, c'est plusieurs personnalités de la communauté qui nous ont envoyé l'extrait vidéo. C'était autour de 4 heures hier après-midi, si je me souviens bien. Avant-hier après-midi. Donc on reçoit... Pour dire en plus, je pars du bureau à ce moment-là et je reçois l'extrait vidéo. pendant que je suis en train de partir du bureau, donc l'appel avec les différents collègues et on doit se dire qu'est-ce qu'on fait, c'est incroyable ce qui se passe. Et je tiens à dire qu'au début de la vidéo, tu vois qu'elle fait un petit lapsus avant de se reprendre sur les Israéliens et les Juifs. Elle dit un lessio et elle change tout de suite. [00:05:14] Speaker A: Elle s'en va dire les sionistes. [00:05:15] Speaker B: Les sionistes. [00:05:17] Speaker A: Si on avait dit sionistes, qu'est-ce que ça représente pour vous? [00:05:21] Speaker B: On est toujours dans le même mot. Tu sais très bien qu'est-ce qui s'est passé au centre-ville de Montréal. Il y a des petites manifestations aussi à Québec sur le même sujet. C'est quand on dit les sionistes, on va dire les sionistes pour éviter de dire les Juifs. C'est vraiment des sionistes. qui est un antisémitisme au sens de la définition canadienne de l'antisémitisme. Donc pareil, on aurait été encore dans un mot de couverture. Mais la première rédaction, et c'est ce qu'on a retranscrit, je pense, dans nos déclarations publiques sur le sujet, même c'est ce qui a été retranscrit, c'est ce qui a été compris par beaucoup de politiciens qui sont sortis sur ce passage médiatique. c'est que si on se permet de dire ça, si une journaliste importante, correspondante à Washington en ce moment, se permet de dire ça en ondes, quel est le climat à l'intérieur de Radio-Canada et le climat dans la société qui te permet de te sentir libre? On voit... La traile est saliée, mais on voit quand même un regard de Christian Latrelle. Il est assez médusé. [00:06:23] Speaker A: Il n'intervient pas, Julien, par contre. Un anchor qui n'intervient pas, qui ne dit mot consent, c'est dommage. À mon avis, si elle est suspendue... [00:06:34] Speaker B: Il s'est excusé hier en onde. [00:06:36] Speaker A: Oui, mais si elle, elle est suspendue, et c'est la décision de Radio-Cannes, lui aurait dû l'être aussi. Excusez-moi, là-dessus, en broadcast, Si moi, j'ouvre les lignes et il y a du monde qui dise le N-word, et moi, je n'interviens pas, bien, c'est pas l'appelant armant à Saint-Charles-des-Memeux, là, qui est suspendu. C'est moi qui l'ai suspendu, là. [00:07:01] Speaker B: Tu comprends? [00:07:02] Speaker A: Une parenthèse importante quand même. [00:07:03] Speaker B: Sur la réaction de Radio-Canada, on va voir comment ça s'inscrit dans la durée, parce que le problème, c'est un climat. On parle d'un climat qui permet de faire ça. Et c'est nous, on le ressent, la communauté le ressent. Il y en a d'innombrables retours de la communauté depuis de nombreux mois, et même depuis le début du conflit, depuis le 7 octobre, sur un biais à Radio-Canada. Je me souviens, avant que je commence au CISA, mes collègues avaient pu porter pointe auprès de l'Ombudsman et je crois même auprès du Conseil de presse à propos de... propos de Jean-François Lépine en direct à Radio-Canada. On a François Audet qui est souvent en ondes et qui va sortir la cassette habituelle. On a les émissions du matin avec Patrick Masbourian qui sont assez one-sided sur la couverture du conflit selon de nombreux membres de la communauté avec Rachat Dantonius qui est souvent invité. On était même sortis il y a quelques semaines sur une invitation de Rachat Dantonius où Antonius en onde avait dit que les juifs ne sont pas autochtones à la terre d'Israël et que l'Israël a été créé pour faire plaisir aux juifs à la suite de l'Holocauste et pour faire plaisir aux juifs européens donc niant l'existence d'innombrables juifs dans les pays arabes qui ont été chassés des pays arabes au lendemain de la Seconde Guerre mondiale avec des pogroms monstrueux tels qu'à Bagdad. En fait, on a ce genre de propos qui sont permis à Radio-Canada, assez one-sided, la communauté se sent exclue en écoutant cette couverture, et c'est problématique. Et donc c'est là qu'on dit qu'il y a un climat, parce que si la couverture est de la sorte à l'intérieur, dans le traitement de Radio-Canada, qu'est-ce qui se dit à l'intérieur ? Qu'est-ce qui se dit à l'intérieur d'un diffuseur public payé par nos impôts qui ne devrait pas laisser faire passer ce genre de messages? Il y a une responsabilité générale pour les diffuseurs de nouvelles à traiter l'actualité avec objectivité et à traiter l'actualité avec sérieux. Elle est encore plus forte lorsqu'un diffuseur est financé par nos impôts. [00:09:04] Speaker A: Maintenant, quelle est la suite? [00:09:07] Speaker B: — La suite des choses, c'est qu'on va rencontrer Radio-Canada demain. Donc on va voir qu'est-ce qui va se passer. On a... Immédiatement après ce passage télé, on a pu faire parvenir une lettre à Radio-Canada. On a préféré faire parvenir une lettre que de porter plainte à Long Beach Man, parce que mon sens, je préfère discuter directement avec les décideurs que faire une plainte telle que la majorité des gens l'ont fait. On remercie la plupart des gens qui ont porté plainte à l'Ombudsman et au Conseil de presse sur cette question-là. Mais on va pouvoir rencontrer la haute direction de Radio-Canada avec la directrice de l'information Louise Julien et la vice-présidente de CBC Radio-Canada, vice-présidente principale pour Radio-Canada, Dany Meloul. afin de pouvoir discuter de ces questions-là et de voir aussi l'engagement de Radio-Canada par rapport à la lutte contre l'antisémitisme et la couverture des questions d'antisémitisme. au pays parce que, comme je vous le dis, il y a une communauté juive qui se sent exclue de plus en plus et qui considère qu'il y a un climat qui permet de faire ça à Radio-Canada et c'est inacceptable au sein du diffuseur. Donc des discussions doivent être faites. On va voir l'engagement de Radio-Canada de continuer. Si la suspension qui s'est passée, qui a été faite et qu'on applaudit et qu'on espère qu'elle va permettre d'ouvrir, un nouveau cycle et une fin de ce climat à Radio-Canada, donc on va voir si l'engagement va pouvoir continuer dans la durée, mais c'est surtout rester vigilant, parce que ce genre de choses, comme je le dis, si Mme Serret se permet de dire ça en ondes, c'est que qu'est-ce qui se dit à l'intérieur, en salle de nouvelles, qu'est-ce qui se dit au sein des recherchistes ? qu'est-ce qui se dit dans la couverture du 7 octobre qui va s'en venir, dans les deux ans du 7 octobre, qui s'en vient assez rapidement dans les prochains jours et dans les prochaines semaines. [00:11:08] Speaker A: L'épine, l'épine, l'épine, l'épine. C'est ça, l'épine. Qui est revenu d'ailleurs en Inde par la suite, l'épine, qu'on a gardée, et qui est revenu... C'est ça. Et qui est au 98.5. Bon, bien, regardez, la tartine est des deux côtés. La taule s'est étourberée des deux bords. [00:11:27] Speaker B: Nous à Montréal, on a toutes les semaines des gens qui disent que ce groupe terroriste islamiste qui tue des gens et qui viole des femmes et des enfants est un groupe courageux et devrait être enlevé de la liste des groupes terroristes du Canada. C'est une honte absolue. Donc ce genre de discours parfait qui va légitimer les discours de haine qu'on entend dans les rues. On était sortis sur ça. Mais malheureusement, il y a toujours ce genre de spécialistes ou de toutoutologues qu'on invite souvent dans nos médias et qui vont sortir ces ignominies-là. Et c'est là où l'importance d'avoir une couverture la plus neutre possible, parce qu'on a des spécialistes qui existent. Et c'est pas une question d'être pour ou contre Israël, pour ou contre Netanyahou et tout ça. C'est qu'il y a des spécialistes qui vont pouvoir traiter avec sérieux et avec respect et surtout avec connaissance du sujet en vivant sur place, en étant parfaitement francophone, en ayant eu du vécu sur place. Et ces spécialistes existent, ils sont connus. On en voit beaucoup, par exemple, dans les médias français en France. Je vois pas pourquoi le Québec ne pourrait pas se permettre de les faire venir aussi sur nos antennes afin de pouvoir offrir cette couverture neutre qu'il faut par rapport aux filles et éviter ce genre de propos. [00:12:43] Speaker A: Qu'est-ce que vous pensez du député Housefather qui veut faire reconnaître justement l'antisémitisme comme un cancer de la société. Lui se bat au Parlement et il semble pas y avoir toutes les oreilles à lui au sein de son propre parti. Qu'est-ce que vous en pensez? [00:13:01] Speaker B: Toutes les personnes sont nécessaires à ce combat-là. Je veux pas rentrer dans la politique partisane et faire... et faire la croix. [00:13:10] Speaker A: – Au Parti libéral, ça semble pas être fulminantité. Il y en a qui sont de connivence avec les islamistes, mais il y en a d'autres, comme Guilbault, qui a dit hier, il a fait une bonne sortie, on va le dire. House Fathers se bat, mais c'est pas... Il y a de la misère. [00:13:23] Speaker B: – On a rencontré Marc Carnet lundi, ça s'est très bien passé. Il y a un engagement concret. On sait que le Parti libéral va mettre en place cette loi pour les safe space autour des lieux de culte. veut mettre fin à la glorification du terrorisme. C'est des demandes que la communauté juge en son ensemble, mais aussi d'autres communautés ont depuis d'innombrables mois, et ça va se faire. [00:13:45] Speaker A: Est-ce à dire que Carly est meilleure que Trudeau? [00:13:48] Speaker B: Pour l'instant, il y a des éléments qui s'en viennent et qui montrent que des demandes de la communauté vont être acceptées. Que Marc Carnet soit meilleur ou pas, ce n'est pas mon rôle en tant qu'analyste. [00:13:58] Speaker A: Non, mais à la matière, il semble être plus ouvert. [00:14:01] Speaker B: On voit une vraie volonté du gouvernement de mettre fin à cette glorification du terrorisme, par exemple. Et ça, c'est très bien. Et surtout, je tiens à y mettre dans l'actualité, on a des immenses manifestations monstres qui viennent de commencer en Iran depuis quelques heures et quelques jours. On a partagé une vidéo en retweetant une vidéo sur notre compte du Sijah hier qui montre ces manifestations mondes contre le régime de Raménei. On sait toujours que lorsque des manifestations monstres Contre le régime de Ramenei se passent les groupes pro-palestiniens, la plupart du temps proches du Hamas et proches des positions de cet axe de la résistance supporté par l'Iran, vont supporter le régime des Mollahs. C'est le genre de choses qui sera impossible dans la rue à la suite. On ne glorifie pas le terrorisme, on ne glorifie pas les guerres de la Révolution, on ne glorifie pas le Hamas. Et toute personne qui lutte contre ces groupes-là, et contre ces régimes de mort, et ces cultes de mort-ci, est une bonne personne. Et on espère que cette glorification de terroristes ne sera plus permise dans nos rues, ce qui permettra aussi une restauration d'une bonne paix sociale, telle qu'on milite depuis de nombreux mois. [00:15:14] Speaker A: Est-ce que vous voyez la même chose du côté de TVA, si on parle des diffuseurs? Parce que c'est ça, le sujet de conversation. Les diffuseurs, vous avez parlé du 98.5 et de Radio-Canada, essentiellement, c'est ça, la nouvelle. Qu'en est-il de TVA? S-P? [00:15:27] Speaker B: S-P, on voit... C'est drôle parce que moi, je suis souvent dans des sujets invités à TVA et on voit une bonne... Il n'y a pas une bonne collaboration. Mais on voit une ouverture de TVA sur ces sujets-là. Néanmoins, on sent au niveau des journalistes en général un blocage de plus en plus. à vouloir traiter des sujets, des refus pour de nombreux membres de la communauté de voir leurs lettres d'opinion publiées dans les médias, des lignes éditoriales de plus en plus one-side pour dans certains jours nos papiers. Il y a une difficulté de plus en plus pour la communauté de pouvoir parler dans l'opinion générale de ces sujets d'anticipation. et de comment ces derniers subissent et vivent l'antisémitisme et comment ces derniers proposent de pouvoir lutter contre ce fléau. Il y a un sentiment général dans la communauté de se faire tasser de bord et de se faire refuser parce que ça va contre ses contraires à une inéditoriale. Ça, ça fait partie de ce climat que je dénonçais en début d'entrevue, et c'est pas que Radio-Canada, je pense, qui doit faire un peu une critique interne et une réflexion sur ce climat, c'est l'entièreté des médias, surtout par rapport à... On a une polarisation dans la société. La polarisation dans la société, c'est sûr qu'elle va toucher tout le monde, mais elle doit toucher au minimum, et elle doit même toucher pas du tout, des médias, subventionnés ou pas, qui ont à cœur la neutralité journalistique et l'objectivité. Et c'est là où on doit retrouver cette maxime, on doit retrouver le fait de respect de cette maxime au maximum, dans un moment où la société est de plus en plus polarisée, de plus en plus divisée, et on voit que les propos dits en ondes de la sorte, ça attaque, on parle souvent de valeurs communes et de valeurs du pays, ça attaque les valeurs du pays, c'est honteux qu'on ait le petit guide de Joseph Goebbels qui soit récité en ondes, à Radio-Canada, c'est les théories des sièges de Sion sur les juifs qui dirigent tout, c'est honteux que ce soit récité librement, c'est un climat, et ce climat doit être raconté, et si ce climat est en salle de nouvelles à Radio-Canada, c'est sûr qu'il est en salle de nouvelles ailleurs, et toute la profession doit se dire que l'objectivité doit être de retour, parce qu'à la fin, on en parle souvent, je pense que vous en parlez souvent, un nombre d'hommes, mais on en parle souvent même en privé, avec les amis, quand ça parle de nouvelles et tout ça, c'est une confiance envers les organismes de nouvelles qui est de plus en plus faible. Les gens refusent de regarder, refusent de croire ce qu'ils voient à la télé parce qu'ils n'ont plus confiance en des journalistes, plus confiance en des diseurs d'opinion, en des lecteurs de nouvelles. C'est le genre de chose parfaite qui va accroître ce manque de confiance. Et si ces organismes de nouvelles veulent pouvoir subsister dans les prochaines années, ils doivent restaurer la confiance et restaurer la confiance et lutter contre des climats de haine qui sévissent peut-être au sein de leur rédaction. [00:18:44] Speaker A: Bien dit. Merci beaucoup, Julien Corona. [00:18:46] Speaker B: Merci beaucoup, Don. [00:18:47] Speaker A: Merci. Bye-bye. Et je vous dirais que lorsqu'on lit les médias en général ce matin, c'est rien pas redoré à confiance. Les chroniqueuses, les bras à l'air... C'est ultra biaisé.

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