Episode Transcript
[00:00:00] Speaker A: Le 2 novembre, le jour de la vengeance. Il y a une planète à sauver. Il y a 30 degrés de plus dans l'Antarctique. Je comprends qu'on n'est pas dans l'Antarctique, mais on a aussi à vivre avec les changements climatiques.
[00:00:13] Speaker B: La vengeance.
[00:00:14] Speaker A: Ce troisième lien, pourquoi il faut l'avoir? La première raison, c'est la sécurité.
[00:00:18] Speaker B: La vengeance.
[00:00:19] Speaker C: Notre maire, présentement, est rendu assis à la table des enfants. Il n'est plus à la place où les choses se décident. Ça se passe au-dessus de sa table.
[00:00:25] Speaker B: La vengeance.
[00:00:26] Speaker D: Voyons donc.
[00:00:27] Speaker C: Voyons donc, il y a bien d'autres.
[00:00:28] Speaker B: Choses qui sont possibles de faire que le tramway.
[00:00:30] Speaker E: Mais j'ai des questions avec les toilettes écologiques.
[00:00:59] Speaker F: Je vais aller voir les Eagles. Je sais pas s'ils sont en tournée actuellement. Les Eagles. J'adore les Eagles. In the city. Quelle maudite bonne toune. Chante-nous tes tounes, mon Dan. C'est toi qui as joué stage.
[00:01:11] Speaker B: Ça a commencé d'une drôle de façon. Voici comment le président a ouvert la séance du conseil municipal d'hier.
[00:01:16] Speaker G: D'entrée de jeu, je vais juste rappeler quelques petites consignes. Le respect et l'éthique, j'espère, sera respecté. Car si vous faites ça vite, ce soir, vous pouvez aller mettre votre respect et l'éthique en jeu devant vos citoyens. On aurait du temps pour faire du porte-à-porte, si vous voulez. Alors, on peut faire ça rondement. On finit ça à 7 h. Donc, soyez respectueux, car les citoyens vous regardent. Donc, moi, j'ai tout mon temps, parce que vous savez que je ne me représente pas le 2 novembre. Donc, c'est à votre choix.
[00:01:49] Speaker D: Respecter le respect.
[00:01:50] Speaker B: Je ne comprenais pas. Je voulais aller faire du porte-à-porte. On fait ça vite. Dépêchez-vous. Il y avait une ambiance de collegialité hier dans l'enceinte du conseil municipal.
[00:02:01] Speaker F: Une ambiance de cours d'école le 15 juin.
[00:02:04] Speaker B: Exactement. C'est à ça que j'ai pensé hier après-midi.
[00:02:07] Speaker F: On pense pareil toi et moi.
[00:02:09] Speaker B: La journée où tu es à l'école juste parce que tes parents n'ont pas de gardienne. Ça ressemblait à ça hier.
[00:02:15] Speaker F: À midi et quart, tu pensais à quoi hier? On pense pareil.
[00:02:18] Speaker B: À midi et quart, je pensais à mon sandwich au tomate.
[00:02:22] Speaker F: Ben voilà, même affaire, moi aussi, même affaire.
[00:02:25] Speaker B: On a voté une motion hier sur l'orientation de l'information du côté de la Ville de Québec. On veut être plus transparent. Ce qui a amené à cette question-là de Claude Villeneuve, il y a des citoyens qui ont payé en double le paiement du mois de septembre pour les taxes municipales, mais on veut pas leur dire.
[00:02:41] Speaker C: Quelle influence un tel comité va avoir au réel qu'on se donne en matière de transparence et de discussion de l'information? Je voudrais vouloir déposer un document, M. le Président. Je tiens ici une fiche sésame où on dit un lot de transactions a été traité en double dans TFP. Un très gros nombre de dossiers ont des paiements en double entre le 8 et le 11 septembre. Si vous avez des appels de citoyens demandant un solde, il ne faut pas leur mentionner. Il faudra nous transférer l'appel afin de nous permettre de faire des vérifications. Alors, est-ce que de ce comité-là, on va continuer de donner consigne à nos services de ne pas mentionner aux citoyens qu'ils ont effectué un paiement en double.
[00:03:21] Speaker B: Donc, on dit au monde de ne pas dire aux citoyens qu'ils ont fait un paiement en double s'ils demandent leur solde. C'est difficile à comprendre. Puis en même temps...
[00:03:28] Speaker F: Voyons donc!
[00:03:29] Speaker B: Oui, c'est ça. Travailler contre le citoyen! Oui! Pierre-Luc Lachance décide d'y répondre.
[00:03:37] Speaker C: Pour moi, ce sont vraiment les plus.
[00:03:42] Speaker B: Belles Je suis un grand garçon, oui.
[00:03:47] Speaker A: Quand on est du document qui a été déposé par le collègue, on va en prendre connaissance, mais l'objectif n'est pas de cacher quoi que ce soit jamais au niveau de l'information. On est là pour assurer que les citoyens puissent avoir réponse à leurs questions, mais que le tout soit fait de façon confidentielle et respectueuse.
[00:04:08] Speaker G: Merci.
[00:04:08] Speaker B: Donc, c'est une réponse remplie de vides.
Et là, c'est le directeur général, M. Monti, qui s'en mêle. Rajoutons donc un peu de vide. Bien sûr, à nos agents d'appel au 3-1, on les informe des fois des situations de contexte. On les met en contexte qu'ils peuvent.
[00:04:25] Speaker A: Recevoir des appels concernant les comptes à payer.
[00:04:32] Speaker B: Puis de ne pas avoir de surprise.
[00:04:34] Speaker A: Par exemple, dans ces situations-là, si des.
[00:04:36] Speaker B: Gens ont pu recevoir des comptes sur.
[00:04:40] Speaker A: Lesquels ils se questionnent. Alors, on met en contexte les agents.
[00:04:43] Speaker B: Avec ce genre d'informations-là. Mais là, alors c'est ça l'esprit de cette information qui a été donnée aux.
[00:04:50] Speaker F: Agents des centres d'appel.
[00:04:53] Speaker B: C'est ça. Moi, si vous aviez des paiements, si vous faites des paiements mensuels, j'appellerais au 311 pour savoir c'est quoi votre solde.
[00:05:01] Speaker D: My God!
[00:05:02] Speaker B: Je ferais ça aujourd'hui.
J'ai beaucoup de difficultés à comprendre ces patentes-là. On a parlé hier tantôt du trait serré. On a fait un référendum la semaine passée pour du bois. Il y a plusieurs choses comme ça. Il y a le secteur bois-porc également à Saint-Thérèse-de-Lizieu, en haut de la rue du Violet. On veut faire une construction également de tout ce qui s'appelle le bois-là pour rajouter des unités. En fait, partout où il y a du bois, où il y a des grands espaces verts sur le territoire urbain de la ville de Québec. C'est sûr qu'il y a beaucoup de projets qui vont être en demande du côté d'avoir des demandes de permis. Il n'y en a plus de place. Je pense que c'est construit comme quelque chose comme 76, c'est pas une zone unifamiliale à Québec l'année passée. Avant, on avait une moyenne de 1200 par année. Il n'y a plus de place pour bâtir. Donc, Mme Boucher, en parlant de ça, met des mots dans la bouche de Jackie Smith.
[00:06:00] Speaker E: Ce projet-là, j'imagine que Mme Smith va arriver à cet élément-là. On vient travailler en milieu boisé, donc à développer dans le milieu boisé, tant qu'elle est là, on va le travailler dans son ensemble et le faire au complet.
[00:06:14] Speaker B: Jackie Spiel, t'as pas aimé ça.
[00:06:15] Speaker E: Vous devez rappeler la question du respect. Souvent, les collègues de l'autre côté de la salle mettent les mots dans ma bouche, qui me nomment puis disent Mme Smith va dire ça. Je préférerais parler pour moi-même. Donc j'aimerais juste faire un petit rappel. Je ne vais pas embarquer dans le débat de retirer les traits de propos, mais je veux juste mettre la table pour le respect.
[00:06:41] Speaker B: Ça, je vais y donner à Jackie Smith. Elle fait pas de niaisage. Excusez-moi, M. le Président. Retirez les propos, retirez les patentes.
[00:06:49] Speaker F: Une communiste qui s'assume.
[00:06:51] Speaker B: Oui, exactement.
[00:06:52] Speaker F: Elle-même, elle-même.
[00:06:54] Speaker B: Je pense que c'est la plus transparente de tout le conseil municipal.
[00:06:57] Speaker F: Le pire étant? À part Marchand?
[00:07:00] Speaker B: Le pire, ils sont dans l'équipe à Bruno Marchand, c'est sûr. Jean-François Gosselin, il n'y a plus personne qui pense réellement du tramway.
[00:07:07] Speaker D: Non.
[00:07:07] Speaker F: Jean-François Gosselin, il y a quatre ans, c'est ça, a fait campagne contre le tramway. Mais Radkan, hier, je vais lui donner le mieux. Olivier Lemieux a fait quand même quelque chose de drôle. Il a pris Gosselin 2021, point de presse, et il a pris le point de presse de Sam Hamad.
Dans la fin de semaine, c'est la même affaire. Sa maman, elle fait campagne contre le tramway, mais pro-SRB. En tout cas, peu importe. Vous allez voir que c'est copier-coller, les deux. Mais là, Gosselin, il est rendu avec... En tout cas, il termine sa carrière. Anyway, il ne se représente pas. Mais c'est du copier-coller. C'était quand même correct, hier, ce qu'on fait à Radcan.
[00:07:47] Speaker B: Vous allez vous rendre compte qu'on a beaucoup ramené les verbatims de 2021, hier, dans le conseil municipal.
[00:07:53] Speaker F: Ils ont le droit.
[00:07:54] Speaker B: Oui, c'est ça.
[00:07:55] Speaker F: Tout le monde a le droit.
[00:07:56] Speaker B: Exactement. Jackie Smith, un peu plus tard, décide de... de faire une synthèse avec ce qu'a été dit par Pierre-Luc Lachance et regardez comment il l'a accueilli suite à sa sortie caviètre.
[00:08:10] Speaker E: Je trouve ça fort intéressant. Donc, ce que vous dites, M. Lachance, c'est que ce n'était pas une initiative de votre administration pour avoir un projet culturel pour animer Saint-Roch.
[00:08:22] Speaker G: M. Lachance?
[00:08:23] Speaker A: Ce qui est intéressant, c'est que Mme Smith me met des mots dans la bouche, puis elle vient de me demander de faire le contraire envers elle, mais je lui anticiperais pas. Regarde, M. le Président, ce qu'elle lui a assuré. C'est ce que j'ai dit.
[00:08:34] Speaker G: Tu l'as fait? C'est tout d'un coup, c'est présent.
[00:08:39] Speaker B: C'est deux choses complètement différentes.
[00:08:41] Speaker F: Faire est étané, là.
[00:08:42] Speaker B: Des fois, je ne comprends pas.
[00:08:44] Speaker F: On est tané!
[00:08:45] Speaker B: Elle résume un point en faisant une synthèse. Elle dit tu mets des mots dans ma bouche à l'autre que l'autre avant, littéralement.
[00:08:51] Speaker F: C'est des enfantillages. C'est vraiment des enfantillages pour vrai.
J'aime ça que tu couves ça, parce qu'on apprend.
[00:08:59] Speaker B: Oui, oui. C'est du niaisage.
[00:09:01] Speaker F: C'est ça, on apprend la perte de temps.
[00:09:02] Speaker B: Mais c'est montré à quel point l'équipe du maire, c'est des empêcheurs de tourner en rond. Steven Malençon demandait est-ce qu'on fasse un stop sur tous les projets de tramway, parce qu'on a voté en bloc hier plusieurs projets pour le tramway.
[00:09:15] Speaker C: M. Marchand, tu dois cesser immédiatement, à notre avis, avec la somme de sommaire qu'on a aujourd'hui, d'adopter de nouveaux sommaires concernant le tramway.
et de ne prendre aucune nouvelle décision concernant le projet de tramway, et ça jusqu'au 2 novembre. Est-ce que je peux être clair avec ça?
[00:09:36] Speaker B: Donc lui, ce qu'il demande, c'est qu'on devrait tout, tout, tout arrêter ce qu'on est en train de faire pour le tramway jusqu'à l'élection du 2 novembre prochain.
[00:09:44] Speaker D: Les travaux qui sont en train de commencer sur Laurier, ils sont pas commencés, là. Ils ont juste joué d'interplains jusqu'à maintenant pour se faire de la place pour les travaux qui s'en viennent. Ils vont se mettre à creuser très prochainement, là.
C'est pour le tramway.
[00:09:58] Speaker F: Ils creusent là, sur Laurier.
[00:09:59] Speaker D: Non, non, je parle pas de ce que le MTQ fait plus loin. Là, ils ont commencé à jouer sur les terres pleines, dans le milieu de Laurier.
[00:10:06] Speaker F: C'est pour le tramway?
[00:10:07] Speaker D: Oui, c'est pour le tramway.
[00:10:08] Speaker F: C'est écrit, ça, en fin de semaine, dans le Soleil.
[00:10:09] Speaker B: Oui, il y en a partout dans le Vieux-Québec, des travaux qu'on est en train de faire pour le tramway. C'est comme ça. Donc hier, ce qu'on demandait de l'équipe de Leadership Québec, l'équipe à sa mamade, c'est d'arrêter tous les travaux jusqu'à temps qu'on ait le résultat de l'élection. Et Louis Martin est venu seconder.
[00:10:27] Speaker A: Mais je pense que d'attendre 60 jours.
[00:10:29] Speaker B: Avant le prochain conseil de ville, c'est une suggestion qui est raisonnable pour laisser.
[00:10:34] Speaker A: Le temps à la démocratie de prendre.
[00:10:36] Speaker B: Place et pour pouvoir prendre par la suite la décision éclairée suite au 2 novembre.
[00:10:41] Speaker A: Merci.
[00:10:42] Speaker B: Et là, Bruno Marchand se lève. Êtes-vous prêts à voir du bon Bruno Marchand?
[00:10:46] Speaker D: Vas-y mon Bruno!
[00:10:47] Speaker B: Bruno Marchand sort les verbatims de 2021 sur Louis Martin.
[00:10:51] Speaker A: Pour citer M. Martin, avec le tramway, on se rapproche de la ville du futur.
J'arrive mal à réconcilier ce que M. Martin a déjà dit.
[00:10:59] Speaker B: M. le Président, question privilèges.
[00:11:01] Speaker G: Il cite vos paroles. Il ne vous a pas insulté, présentement?
[00:11:04] Speaker B: Est-ce que vous voulez vous lever si.
[00:11:06] Speaker G: Vous voulez me parler, M. le Président?
[00:11:07] Speaker B: Oui.
[00:11:07] Speaker G: Merci.
[00:11:08] Speaker B: M. Marchand prend des propos hors contexte de quelque chose que j'ai peut-être dit il.
[00:11:13] Speaker A: Y a quelques années.
[00:11:14] Speaker B: On parle ici de sommaire d'expropriation sur le tramway. Donc, j'étais pas content, mais le Président ne donne pas raison et Bruno Marchand continue.
[00:11:22] Speaker G: Il n'y a pas d'insulte. Là, il n'y a pas d'atteinte à votre intégrité. Donc, il est libre de dire ce qu'il veut dans son trois minutes de réponse, comme chaque conseiller a le choix de ne pas répondre aux questions. Il peut dire n'importe quoi, en lien. Donc, M. le maire va continuer.
[00:11:39] Speaker A: Merci, M. le Président. On est parti pour le tramway. Maintenant, c'est sûr, on ne l'arrêtera plus. Lance-Louis Martin d'une voix enthousiaste. C'est dur de réconcilier tout ça. Alors, c'est vrai qu'on ne l'arrêtera pas.
Le tramway est maintenant dans les mains d'un partenariat avec la CDP-Qinfo.
[00:11:56] Speaker B: M. le Président, question de privilège?
[00:11:58] Speaker G: Quelle est votre question de privilège?
[00:12:01] Speaker B: Est-ce qu'au moins le maire pourrait mettre une date sur les affirmations qu'il donne pour montrer si effectivement c'est une insulte ou non?
[00:12:06] Speaker G: M. Martin, il n'y a pas d'atteinte à la réputation et d'atteinte à votre honneur et d'intégrité ici présentement. C'est des paroles qui ont été dites, que je vois. Si vous voulez en faire appel à ma décision, on peut y aller, mais il n'y a pas d'atteinte à votre réputation. Vous avez dit ces paroles-là dans un autre temps.
[00:12:20] Speaker D: Le président a raison. La réponse à donner à Bruno Marchand, c'est ses propres citations aussi qu'il a faites pendant la campagne électorale, où il disait qu'il n'était plus sûr qu'il fallait aller de l'avant avec le tramway, que ça allait dépendre de la population.
[00:12:33] Speaker F: Passé à l'attaque... Marchand... Désolé, mais il a une bonne campagne à date. Désolé. Ça arrive même pas. Karen Gagnon, blablabla. Ça, c'est du blabla. On va en parler. On va en faire du blabla. Là, je vous parle. du plan de match, de marchand, ça, ça serait été mon style. Tu ressors, t'en as des citations, t'en as 600 citations à donner.
Ben toi, passe à l'attaque, va chercher le puck dans le coin, pis ressors du coin, bataille un contre un, tu ressors avec le puck.
[00:13:10] Speaker D: J'commence pas à dire « il est pas fin ».
[00:13:12] Speaker F: Là, Hamad, dis-moi, on va parler de tramway là, où est le tramway. Allô, la campagne commence vendredi. Il ne passe pas à l'attaque. C'est lui qui mène dans l'opposition, Ahmad. Que vous le vouliez ou non, lui doit passer à l'attaque. C'est une question de survie politique. Il commence cette midi moins une, pas pire, là.
[00:13:34] Speaker D: Ben il aurait mené au moins le dossier du tramway hier, là.
[00:13:35] Speaker F: Ouais, mais d'homme!
[00:13:36] Speaker D: Si c'était nécessaire.
[00:13:37] Speaker F: Oh, big fucking deal!
[00:13:38] Speaker D: Mais on n'en parle pas sinon! Les journalistes vont faire tout ce qu'il est possible de faire pour éviter le sujet.
[00:13:42] Speaker F: Non, mais il revient dans la politique pour ça! Christy, il est venu, Hamad, il y a six mois. Je me lance en politique, contre le tramway, big fucking deal. Il dit qu'il est contre le tramway, en fin de semaine, il en parle. Allô, comment ça te tent? Il parlait de quoi? Depuis trois, quatre mois, Hamad, vire en rond, blablabla, ou être carrément invisible. Ou mettre des photos bizarres, tirées d'un chalet en Ontario et tout ça, des distractions. Il contrôle pas son plan de match et il ne supporte pas à l'offensive. Il joue défensif, espérant gagner. En termes d'NFL, mettons, 7-3, il va gagner. Non, non! Faut que tu gagnes 42 à 7. C'est ça le point. Il faut que tu lances le ballon. Il faut que tu joues au sol, que t'alternes le sol, la passe, le sol, la passe. Il aime ça parler de football, Ahmad. Son gars peut aller jouer au football. Mais c'est ça qu'il faut. C'est pas bon à date. C'est pas bon. La chance est à Mad, c'est pas bon. Désolé, je le dis, 7h05. Broyez-moi ça dans les oreilles si ça vous chante. Sur texto, j'en ai rien à cirer. À date, Marchand, il mène. Et à date, Marchand gagne. Il gagne le plan de match. Il gagne la bataille. Il a les meilleures tactiques. Désolé, ça me fait de la peine de le dire, mais à un moment donné, On peut être intelligent aussi, puis constater la situation. La situation, vous l'avez, elle est exposée, elle est là.
[00:15:11] Speaker B: En fait, je n'ai plus de raison. Tu sais, Bruno Marchand, il y a eu une crainte la semaine passée quand l'équipe leader chez Québec a annoncé Hugo Langlois dans Vanier. Puis pour y répondre, il a décidé qu'il y avait un coalicité, ce qu'il n'a jamais dit qu'il allait y avoir dans Vanier. Donc dans Vanier, ça va être marqué pour le conseil municipal, Bruno Marchand contre Hugo Langlois.
C'est ça que ça va être écrit, parce qu'il doutait que celui-là, il pourrait le perdre. En fait, dans l'équipe de Bruno Marchand, dans le livre, selon moi, il pense gagner les 21 circonscriptions.
[00:15:38] Speaker D: Il essaie au moins.
[00:15:40] Speaker B: Il essaie. C'est ce qu'il veut.
[00:15:41] Speaker F: Tu penses quoi de ce que je viens de dire, Dan, dans ta grande sagesse?
[00:15:44] Speaker B: Je suis entièrement d'accord avec ça. J'ai dit ça, j'ai commencé à dire ça il y a un an.
[00:15:48] Speaker F: Oui, mais là, ça décolle. Oui, je le sais, mais là, il se passe rien.
[00:15:51] Speaker B: Moi, je me suis fait aller. Il est trop tard.
[00:15:52] Speaker F: La game, la lasagne bonnie et ça à la glace, on fait une bête glace.
[00:15:55] Speaker B: C'était le 5 septembre, la date limique. Là, s'il n'a un qui s'en va, son nom va quand même être sur le bulletin de vote.
[00:16:00] Speaker F: Il est trop tard pour reculer. Si l'achat se rencontre à Amade ou Normandin, je donne la main, c'est fini.
[00:16:09] Speaker B: Si, mettons, un respect citoyen décide de se joindre à Leadership Québec, t'auras quand même les deux sur le bulletin de vote.
[00:16:14] Speaker F: Bravo Bledivision.
[00:16:15] Speaker D: Les gros égaux sont passés avant la ville.
[00:16:17] Speaker F: Bravo Bledivision. Fait qu'on aura un tramway. Dix ans de bonne radio.
Mais dix ans de bordel, par contre. Dix ans de boucane, dix ans de dynamite, dix ans de marde, dix ans de bouette, dix ans de troc, dix ans de guernote, dix ans de poussière.
[00:16:34] Speaker D: Dix ans d'explosion des coups.
[00:16:35] Speaker F: C'est ça. Et peut-être, peut-être dix ans de corruption à suivre. On va surveiller ça de très près. De très, très près. Mais c'est jamais arrivé, ça, des contrats sans appel d'offre et tout ça. Ça va être un festival.
[00:16:48] Speaker B: Il me reste trois extraits pour le tramway. Bruno Marchand a finalement répondu à la question de Steven Malençon.
[00:16:54] Speaker A: Le projet va continuer. On a une entente avec le ministère des Transports. On a un partenaire qui s'appelle la CDPQ-Infra qui fait les travaux. On a une entente de faire, nous, des travaux préparatoires. On aura des pénalités si on ne les fait pas dans les délais. On s'est entendus. On a un contrat ensemble. Et pour l'instant, les choses vont bien. Les choses vont même très bien, on verra pour la suite.
[00:17:32] Speaker F: Eux autres, ils vont mettre leur homme à la caisse de dépôt. Hey, c'est pas politique la caisse de dépôt, la caisse politique. La caisse de dépôt, c'est la caisse politique qu'est le lapsus. C'est très politique, là. Non, non. PSPP, La Gagagne en haut vont mettre quelqu'un... Non, ça va rouler à plein, là. Ils vont subventionner des projets bleus.
[00:17:49] Speaker D: PQ beaucoup plus en faveur du tramway que la CAQ.
[00:17:51] Speaker F: Oui, des projets québécois. même si ça coûte plus cher. Ils vont faire travailler notre monde. Jean-Pierre Joly, il est partout. Le monsieur qui fait des petites vis. Marcel, Amos. Ça nous coûterait 7 fois moins cher. En Thaïlande, non, on va faire travailler notre monde. Et ça va être un tramway qui va nous coûter, ça va être un record mondial au kilomètre.
[00:18:14] Speaker D: Ça, on le sait.
[00:18:15] Speaker F: Mais qu'ils le fassent.
[00:18:16] Speaker D: Ils vont même pouvoir chialer que le fédéral n'en paye pas assez.
[00:18:18] Speaker F: Oui, oui, oui, tout ça serait ça.
Dan, des heures de plaisir. Moi, je suis rendu dans le prochain conseil.
[00:18:25] Speaker B: Stéphane Melançon, un peu plus tard dans le conseil, est revenu sur le tramway en parlant des promesses qu'avait faites Bruno Marchand lors de la précédente campagne électorale en 2021.
[00:18:36] Speaker C: Moi, ce que je veux dire là-dedans, c'est que je vais revenir, les citoyens n'ont jamais eu l'occasion de se prononcer directement sur ce projet. Peu importe ce que vous en pensez.
On va le rappeler là, le projet n'a pas été modifié selon ce que le maire avait dit. Au niveau des fils, la dalle de béton, la coupe d'arbre. Il s'était pourtant engagé, et les citoyens l'ont très bien écouté, pendant les élections, avant les élections de 2021, il s'était dit que ce projet-là ne se ferait pas sans l'acceptabilité sociale des citoyens, et il ne fera pas un tramway à n'importe quel prix. On se demande c'est quoi le prix aujourd'hui.
[00:19:13] Speaker B: En 10 ans, les citoyens n'ont jamais été consultés. Stéphane Malençon faisait référence au référendum qui n'a jamais eu lieu. Il n'y a jamais eu de référendum pour le tramway. Donc, Bruno Marchand... Bruno Marchand était bon. Je suis obligé de donner une étoile à Bruno Marchand sur la réponse que donnait Stéphane Malençon.
[00:19:29] Speaker A: Monsieur le Président, j'ai une question à M. Malençon à la suite de ce qu'il vient de dire. Il pourra me répondre par oui ou par non. Donc, je comprends que si le parti qu'il représente gagne aux prochaines élections, ils vont soumettre leur projet de SRB à un référendum dans les années qui vont suivre. J'ai bien compris ça. Est-ce qu'il peut répondre à ça, s'il vous plaît?
[00:19:48] Speaker G: Il répondra.
[00:19:57] Speaker A: Pas. C'est ça qui est beau.
[00:19:58] Speaker F: Il voudra pas répondre.
[00:20:00] Speaker A: C'est exactement... On vient de voir toute la supercherie ici. C'est ça qui est beau. Parce que pour lui, son SRB, ce qu'il va nous dire... Je ferai pas de référendum. Alors qu'il nous parle de ça depuis... Combien d'années? C'est ça qui est intéressant. Il est trappé. Il est complètement trappé.
[00:20:21] Speaker F: Ou s'il nous dit, je vais faire un référendum.
[00:20:25] Speaker A: Ou s'il nous dit, j'en fais pas. Parce que s'il nous dit qu'il en fait pas, c'est parce que c'est l'élection qui prévaut. On a gagné. Ah, je me demande ce qui s'est passé en 2021.
[00:20:34] Speaker F: Même affaire.
[00:20:34] Speaker D: Non.
[00:20:35] Speaker F: Lui il votait la même affaire.
[00:20:36] Speaker D: La réalité c'est qu'il n'a pas gagné sur cette idée-là.
[00:20:39] Speaker F: Je le sais. Puis il a gagné avec une assemblée de chevaliers de colons.
[00:20:42] Speaker D: Mais il a gagné.
[00:20:44] Speaker B: C'est la politique canadienne.
[00:20:46] Speaker F: Marchand, il n'y a plus de sang dans les veines. Il y a du Mimosa dans les veines. Excusez-moi, Marchand est en feu. There's something going on. Il y a du Mimosa dans les veines.
C'est un knock-out, là, ce qu'on vient d'entendre. Puis lui, il peut pas parler parce que c'est pas lui le chef.
[00:21:08] Speaker D: Oui.
[00:21:09] Speaker F: Mais s'il dit « On y va avec un référendum », là, Ahmad va appeler.
[00:21:13] Speaker B: Ouais, il page, il appelle sur un paget. Ouais, c'est Ahmad, là.
[00:21:15] Speaker F: Parce qu'Ahmad a peur, les dérapages. « Oh, t'aurais pas dû dire ça, pis on n'est pas prêts, pis on va l'annoncer plus tard, pis on n'est pas prêts.
[00:21:21] Speaker D: » C'est parce qu'Ahmad dit « On va aller vite avec le SRB. C'est un référendum, ça ralentit.
[00:21:26] Speaker F: » Ça va être une campagne mimosa, les amis. Ça va être une campagne super ensoleillée.
[00:21:30] Speaker B: Et Anne Corriveau se lève à 100 milles. Elle, elle avait quelque chose à défendre dans ce dossier-là. C'est quelque chose qui s'est passé dans son district, la Montée Mendel.
[00:21:37] Speaker E: La Montée Mendel, c'est les autos, c'est les piétons, c'est les cyclistes. Pourquoi? Pour désenclaver les gens qui vivent dans le secteur Cap Rouge, dans le secteur de Domaine-le-Genre, Domaine-des-Hérables. À côté du décalque, là, on pense mettre entre 4 000 et 6 000 portes. Hé, on mettra pas d'auto sur la montée Mendel.
[00:21:55] Speaker F: Ça, c'est débile.
[00:21:56] Speaker E: Ça va créer de la pollution. Voyons! Comment est-ce qu'on peut accueillir 4 000 à 6 000 portes des nouveaux résidents? Ça, on double, là, parce que parfois, c'est des familles. Mais là, on mettra pas d'auto pour désenclaver. Ça fait qu'il va rester le gendre pour sortir du quartier. Puis la côte de Caprouge. Êtes-vous allés dans Caprouge, M. le Président?
[00:22:18] Speaker D: Oui, mais madame, ils n'auront pas de voiture ces gens-là. Ils vont faire du transport actif.
[00:22:22] Speaker F: Ça, c'est complètement débile. Je vais essayer. Regardez, c'est le EgoFest. Villeneuve d'un bar, je fais mes affaires. Amade d'un bar, je fais mes affaires. La chance d'un bar, je fais des affaires. pis les grands pattes morderaient. Façon de jogging, boum, boum, boum. Un p'tit peu de mimosas, un p'tit peu de... Oh, y'est de bonne humeur, un p'tit... Un p'tit... Ah ouais, un gag, deux gags, trois gags. Ah ouais, donne! Hé, bonne, hé, bonne! Je vais te dire une affaire. Marchand va beaucoup sourire dans cette campagne-là. Tout ça à cause de l'égo manifeste de politicos. C'est exactement ce qui met coeur avec la politique. Savez-vous quoi, les amis? C'est exactement ça. Je viens de mettre le doigt dessus. C'est...
Là, moi, moi, moi, moi, ma carrière, moi, j'ai des meilleures idées, puis j'ai des meilleures idées, moi, moi, moi. Ouais, mais avez-vous pensé à la ville? Ça va massacrer la ville, le tramway. Vous vous mettez ensemble?
Puis, vous mettez de l'eau dans votre vin. « Ah, moi j'aurais aimé ça enlever les parcs communs. » « Ben oui, on va les garder. » T'sais, il y a des affaires de même que tu peux enlever, pis tout ça. Tu y vas avec un tronc commun, un dénominateur commun, avec un parti pour contrer le tramway. Ça, c'est impossible, ça se fera pas. Donc, résultat, le futur maire de Québec sera Bruno Marchand. Et plus fort que vous pensez pour ça. Écrivez ça sur votre cartoon de cigarette.
[00:23:44] Speaker B: Tu sais, il y a plusieurs personnes qui nous écrivent, nous disant qu'Amad devrait se tasser, Amad devrait se tasser. Je comprends votre réflexion, mais c'est lui qui est en avance. Tu sais, si vous êtes sur un autoroute de trois voies, il y en a un en voie de gauche, un en voie de droite, puis la voie du centre est disponible, c'est qui qui a priorité sur la voie du centre? C'est celui qui est en avant. C'est le même. C'est ça. Donc là, dans ce cas-ci, c'est plate, bouge pas.
[00:24:09] Speaker D: Éloïe, il est trop tard. Citoyens de Québec, venez vous joindre à nous. On vous attend sur la Rive-Sud.
[00:24:13] Speaker F: Ah ben c'est ça. Blainet, d'où? Blainet qui lance sa campagne.
[00:24:18] Speaker B: Pour la deuxième fois aujourd'hui.
[00:24:20] Speaker F: C'est ça, il est venu deux fois à date. Mais là, il va sûrement serrer la main fort, fort, fort à quelqu'un puis il va le regarder dans les yeux.
[00:24:27] Speaker B: C'est ça.
[00:24:27] Speaker F: Encore une autre fois.
[00:24:29] Speaker B: Je termine en finissant sur le dossier de l'Académie Saint-Louis. Parce que hier, on l'a fait, on a voté la motion, l'Académie Saint-Louis a maintenant les mêmes droits que tous les autres terrains scolaires. C'est passé. Il y a Véronique Dallaire qui s'est levée pour en parler.
[00:24:42] Speaker E: On aurait pu parler d'une même voie en conseil plus tôt. Plutôt que de me faire mettre sur les épaules la responsabilité du dossier, j'aurais apprécié que ce qui se passe ce soir puisse arriver plus tôt.
que de se mobiliser et de se positionner pour les jeunes, et non pas pour l'Académie ou pour le syndicat de copropriété, mais pour les jeunes, M. le Président, je pense que ça aurait été s'élever pour le dossier et de mettre de côté la petite politique.
[00:25:13] Speaker B: Elle accuse Marchand de faire de la petite politique et lui répond en faisant de la petite politique.
[00:25:18] Speaker A: L'Académie Saint-Louis souffrait.
[00:25:20] Speaker B: Pourquoi?
[00:25:21] Speaker A: Pour un règlement mis en place par quelqu'un de leur parti que M. Mélenchon connaît bien, qui s'appelle Patrick Paquette, qui était conseiller en stade.
[00:25:26] Speaker C: M. le Président, question de privilèges. M. Paquette n'est pas ici pour se défendre. Il cite, effectivement, un règlement qui stipule qu'il tape sur M. Paquette, qui n'est pas dans cette chambre-là. C'est un règlement qui date de plusieurs années. Si je veux que je donne les tenants, les aboutissants de ce dossier-là, que.
[00:25:48] Speaker G: M. Mélenchon va connaître, il n'y a aucun préjudice contre M. Paquette.
[00:25:51] Speaker B: Et c'est sur la...
[00:25:54] Speaker F: Merci M. Mélenchon.
[00:25:55] Speaker B: M. le maire, vous pouvez continuer.
[00:25:57] Speaker F: Je suis honnête de vous entendre.
[00:25:58] Speaker B: Non, non, il dit merci. C'est un règlement qui a été voté ici. Il dit qu'on ne peut pas s'empêcher de parler des règlements qui ont été votés ici dans les 40 dernières années parce que le monde n'est pas élu.
[00:26:06] Speaker D: Bon point.
[00:26:07] Speaker B: Donc, il se termine avec Anne Corriveau qui, elle, en avait gros sur le cœur sur Jean-François Gosselin. C'est l'extrait du jour. Une minute, 15 secondes de bonheur.
[00:26:17] Speaker F: On s'en va à la pause avec ça.
[00:26:18] Speaker B: Écoutez à quel point Jean-François Gosselin se fait... Barboiter. Ça passe par là.
[00:26:22] Speaker E: Évidemment, on ne parlait pas de hockey, M. le Président. On parlait de football. Si ça avait été du hockey, j'ai l'impression qu'il y a un conseiller qui a eu le ventre à terre pour régler les affaires rapidement. Mais ça, c'est mon opinion. Mais je suis heureuse d'entendre les propos du maire. Il vient de dire que c'est facile de critiquer les autres. Allô!
Il vient de dire exactement ce que son conseiller a pas arrêté de faire pendant toute la tenue de ce dossier-là. Parce que le conseiller responsable du sport, vous l'avez été, M. Verrett, et je sais que vous étiez présent partout, ce conseiller présent, il n'a cessé de vilipanter ma collègue, ici, dans cette salle, sur le terrain, porte-à-porte, et sur les ondes. C'est parce que c'est de valeur. On les entend, les ragots rapportés. L'administration est responsable du sport. Il va vouloir se lever, puis se défendre, puis dire qu'il possède la vérité. Dans ce cas, je pense que les gens au Québec, c'est une chance que vous ne vous présentez pas.
[00:27:35] Speaker G: Merci, Mme Collivaud, d'avoir respecté votre temps.
[00:27:39] Speaker B: J'espère qu'il ne se représentera pas. Faut que tu remettes tes écouteurs, j'ai deux autres extraits.
[00:27:42] Speaker F: On va en prolongation, mesdames et messieurs.
[00:27:44] Speaker B: C'est quoi le score?
[00:27:45] Speaker A: 2-2, 3-3, 4-4?
[00:27:47] Speaker F: On va en prolongation.
[00:27:48] Speaker B: Sur son allocution, Bruno Marchand a décidé qu'il se mêlait du GAFAM.
[00:27:54] Speaker A: Monsieur le Président, j'aimerais parler de culture et de comment on peut faire, comme ville, en tout cas ce qu'on fait dans notre rôle qui est important pour soutenir les artistes et les créateurs.
dans tous les domaines, littérature, musique, théâtre, cinéma et arts de la rue, pour ne nommer que ceux-là, à un moment où l'économie continue de se globaliser et où les plateformes de diffusion ne font pas beaucoup de place aux créations d'ici et aux artistes d'ici, les algorithmes ne sont en rien à leur avantage, alors que les GAFA poussent outrageusement les productions états-uniennes et étrangères vers le public d'ici, avec pour effet de fragiliser l'économie de la création et les revenus de nos créateurs, Comme le rapport du groupe de travail sur l'avenir de l'audiovisuel présenté par Mme Simard et M. Lamore l'a si bien expliqué, il faut que le gouvernement du Québec et les villes continuent à soutenir les artistes d'ici.
[00:28:46] Speaker B: On va faire ça comment?
[00:28:48] Speaker F: En empêchant gratuite guitare de chanteurs d'anglais!
[00:28:51] Speaker A: On a la chance de soutenir chanteurs, musiciens, acteurs, danseurs, artistes du cirque.
[00:28:58] Speaker F: Marionnettistes.
[00:28:59] Speaker A: On a la chance de mettre en lumière plusieurs de nos artistes qui animent notre ville à l'année longue. Plusieurs de ces artistes qui gagnent des prix.
[00:29:06] Speaker B: On va faire ça comment?
[00:29:08] Speaker A: On a adopté ici, il y a quelques mois, une nouvelle politique culturelle dont on peut être fier. Ça fait partie des réalisations de ce conseil municipal. À cet effet, nous nous sommes engagés à bonifier le budget de la culture de 25 % d'ici 2030.
[00:29:19] Speaker B: 25 %, encore, du budget de la culture qui va être bonifié dans les cinq prochaines années, c'est énormément d'argent. Vous vous dites « Ah, j'imagine que le chef de l'opposition Il s'est levé et il a dit « Wow, émoteur, là, faut qu'on se calme un peu sur ce qu'on dépense, on n'arrête pas de gâter de l'argent aux citoyens. » Non, non. Le chef de la position s'est levé et il a dit « Savez-vous quoi? La culture, c'est aussi important que le cul pis la boisson.
[00:29:40] Speaker C: » Quand on décline les principales responsabilités du monde municipal, pis on parle des matières résiduelles, de la sécurité police, pompiers, des eaux aqueductes, le déneigement de ces choses-là. À Québec, la culture, Ça fait partie de ces missions-là de base. Non, non.
[00:29:58] Speaker F: Pas en tout.
[00:29:59] Speaker C: Parce que nous sommes Québec. Parce que nous sommes la capitale.
[00:30:03] Speaker F: Parce que nous sommes... Fuck you, Joliette!
[00:30:04] Speaker C: ... la plus belle ville de l'Amérique du Nord.
[00:30:06] Speaker F: C'est donc ça.
[00:30:07] Speaker B: Donc voilà.
[00:30:08] Speaker F: C'est un peu ça, pareil.
[00:30:09] Speaker D: Ben oui!
[00:30:09] Speaker F: Parce que nous sommes Québec. Fuck you, Joliette!
[00:30:12] Speaker D: Nous sommes Québec, fait qu'on peut faire comme si on était le gouvernement provincial. Vous avez pas d'affaire là-dedans.
[00:30:16] Speaker F: Ben c'est triste, parce que c'est dénigrant envers les autres villes aussi.
[00:30:18] Speaker D: Ah oui, c'est ça. Les autres villes, ça n'a pas d'importance. Ils ont pas de culture. Nous autres, on a de la culture. On est meilleurs.
[00:30:23] Speaker F: C'est artificiel.
[00:30:28] Speaker A: Tu as quelque chose à dire?
[00:30:29] Speaker B: Ça va bien aller.
[00:30:30] Speaker A: Tu veux réagir? 418-670-9098.