Episode Transcript
[00:00:01] Speaker A: Let's go live now from the Tower of Doom.
[00:00:06] Speaker B: The Légion of Doom. Et je ris parce que j'ai eu le droit à un peu de sagesse de Dan. Pas du ton légionnaire. Parfois c'est simple. Tu veux un peu de sagesse des Québécois?
[00:00:19] Speaker A: Voilà. Vox Pop à RDI. Il y a ça cinq minutes.
[00:00:22] Speaker C: Je trouve ça dommage parce que c'est quand même une bonne personne et il est proactif. Il fait beaucoup de choses pour nous ici dans la région.
[00:00:27] Speaker B: Je trouve qu'il a fait un bon travail.
[00:00:29] Speaker D: Il a fait beaucoup pour Grenby. Si le premier ministre choisit de le faire, c'est qu'il y a des raisons. Moi, je trouve ça exagéré.
[00:00:36] Speaker B: Bonnard-Bell est pas plus que les autres. Bon bordel!
[00:00:40] Speaker A: Ils sont allés faire un vox pop à Grenby pour savoir ce que les gens pensaient de Bonnard-Bell. Il sera plus ministre. Qu'est-ce que vous en pensez?
[00:00:47] Speaker B: Ça prend quelqu'un qui paie le prix. C'est ça. Et ça donne que c'est lui qui paie le prix. C'est sûr que c'est insultant de se faire dire, par contre, je veux rajeunir.
Alors qu'il y a peut-être 2-3 ménisques qui sont plus vieux que mon bordel.
[00:01:01] Speaker A: Une coupe même.
[00:01:03] Speaker B: Ça c'est insultant. C'est de la grande hypocrisie à l'ego. C'est souvent l'air. Moi je suggère la turquie, la greffe capillaire. Ça rajeunit un homme. Un poil à la fois, point com.
[00:01:15] Speaker A: Est-ce qu'on parle du maire en télétravail?
[00:01:18] Speaker B: Ah oui! Mon Mimosa!
[00:01:20] Speaker A: Oui, le maire était à Montréal hier et tant qu'à hier, on est allé voir les amis de La Journée T'es Encore Jeune pis on a parlé de Radio X.
[00:01:28] Speaker E: Est-ce que c'est plus un trigger d'entendre Radio X parce qu'effectivement vous irriez plus à Radio X, maire marchand?
[00:01:33] Speaker D: J'y allais déjà je pense une fois dans deux dernières années.
[00:01:36] Speaker E: Mais vous pouvez faire ça, vous êtes contre la pluralité médiatique?
[00:01:39] Speaker D: Non, non, non.
C'est différentes voix. Oui, mais toutes les voix qui... J'ai fait pas juste des entrevues faciles. Je vais à Boulevard, je vais au 93.3. Je donne beaucoup aux médias. Le problème, c'est qu'on n'a pas une chance équitable de se faire valoir. Tu vas là, puis après ça, pendant 30 minutes, ils parlent de ton entrevue, puis ils disent n'importe quoi.
[00:01:57] Speaker E: Ils parlent contre la visite qui vient de sortir.
[00:01:58] Speaker D: Puis les chiffres ont pas d'importance. Les faits ont pas d'importance. Alors, pourquoi j'y vais? J'y vais pour faire quoi? Pour dire... La réponse est deux. Non, non, pendant une demi-heure après, ils vont dire c'est pas grave s'il y a dix-deux. Nous, on le sait. Dans notre tête, on a inventé que c'était quatre. Qu'est-ce que tu fais?
[00:02:11] Speaker A: Ok.
[00:02:11] Speaker B: Il n'y a jamais d'exemple.
[00:02:14] Speaker A: Sa dernière phrase est importante et moi je la comprends de même. Si je vous dis que c'est deux, vous avez besoin de croire que c'est deux. Vous ne dites surtout pas que je suis en train de mentir, même si je suis en train de vous mentir. Sinon, je ne viens plus vous voir. Donc si vous recevez encore Bruno Marchand et qu'il est content de venir chez vous, posez-vous des questions sur le travail que vous faites.
[00:02:34] Speaker B: Est-ce que je me fais challenger par les autres radios de Québec? La réponse est oui.
[00:02:38] Speaker D: Quel gag!
[00:02:42] Speaker A: C'est peut-être que vous gobez...
[00:02:43] Speaker B: C'est un gag incroyable! Incroyable!
[00:02:48] Speaker A: Si vous recevez encore Bruno Marchand, c'est peut-être que vous gobez trop ses mensonges. Simplement.
[00:02:53] Speaker B: Oui.
[00:02:54] Speaker A: Mais lui, il est content dans ce temps-là. On poursuit?
[00:02:57] Speaker E: Est-ce que Québec est plus réfractaire à la gauche qu'ailleurs, dans la province, par exemple?
[00:03:01] Speaker D: Pas tant que ça, non.
[00:03:02] Speaker E: Juste assez?
[00:03:02] Speaker D: Non, mais on a une radio propagande qui va de l'autre côté, puis tous les jours, mille lettres de l'autre côté. On a beaucoup de gens à Québec qui ont envie que ça change, qui comprennent pourquoi économiquement, on a un avantage à construire cette économie-là sur du long terme, sur quelque chose de périn, de faire du développement durable, d'amener de la mobilité active, d'amener... Il y a un paquet de gens qui ont envie que cette ville-là bouge, puis c'est ce qu'elle fait depuis 4 ans.
[00:03:26] Speaker B: Les auditeurs de Radio X, vous venez de l'entendre, vous êtes des débiles légers et des rétrogrades. des ignorants, débiles et rétrogrades. Les autres ont compris le progrès. Nous, on est des idiots consommés.
[00:03:46] Speaker A: Résumé Bruno Marchand, là, ce que je dis, c'est la vérité. Pis ceux qui pensent pas comme moi, ils ont pas compris. C'est vraiment ça. C'est le résumé en deux extraits, là. Ça n'est que ça. Pis c'est ses propres mots, là.
[00:03:58] Speaker B: Exactement.
[00:03:59] Speaker A: Mais ça, il va dire que j'imagine que c'est un masque.
[00:04:00] Speaker B: Mais c'est les auditeurs de Radio X.
les auditeurs de Radio X. C'est ça que vous devez comprendre. C'est lui qui vous crache au visage. Moi, je suis pas là, je me tasse. Il vient pas plus. C'est ça que vous devez comprendre, les amis. Moi, je me tasse, OK? Il est invité, il est seul en studio pour répondre aux auditeurs. Il ne vient pas. Donc, la réponse est quoi? La réponse est, c'est vous les tarés dans sa tête.
[00:04:29] Speaker A: Le tramway, c'est réglé.
[00:04:30] Speaker E: Le tramway, c'est réglé?
[00:04:32] Speaker D: C'est réglé.
[00:04:32] Speaker E: C'est réglé?
[00:04:33] Speaker A: Le chantier est lancé?
[00:04:34] Speaker E: Il me semble que ça ne se peut pas.
[00:04:35] Speaker D: C'est vrai que c'était presque impossible à croire, mais oui, c'est réglé. Le premier ministre avait dit qu'on y va. Il a donné le mandat à CDPQ. Là, CDPQ y va et ça avance. Il y a des travaux, il y a des chantiers et on prépare les prochaines années.
[00:04:48] Speaker A: Et je termine sur un autre. Ça, c'est une chose que je vous dis, puis j'ai réalisé depuis un temps. Bruno Marchand déteste Québec tel qu'elle est. Donc, Québec doit absolument changer.
[00:04:58] Speaker D: On pense que cette ville qu'on aime profondément, si on ne la transforme pas, elle va frapper un mur. Pas juste cette ville-là, mais parce que les changements climatiques, le contexte économique, fait en sorte qu'on doit se transformer. Alors, on a amené du changement. Et évidemment, dans le changement, il y a des gens que ça bouscule, il y a des gens que ça interpelle, il y a des gens qui ont peur de perdre des choses. Et nécessairement, ça crée un peu de friture sur la ligne.
[00:05:22] Speaker A: Chéri, je t'aime.
[00:05:25] Speaker B: Lui, il dit qu'il aime la ville de Québec. Chéri, je t'aime. Par contre... Tu vas perdre 115 livres, tu vas te mettre les cheveux bruns. Un petit peu de Botox peut-être, tu vas te refaire les lèvres. Je connais quelqu'un qui va te faire des implants. Puis t'es trop grande, mais regarde, je vais t'accepter comme t'es, là. Regarde. Mais ouais, le gros cul, par contre, tu vas me faire du tapis roulant, là. Au moins quatre fois semaine.
[00:05:47] Speaker A: Et quand je te demande quelque chose, tu réponds oui, chéri.
[00:05:50] Speaker B: Et pas de leggings, s'il vous plaît. Pas encore. Non, c'est vulgaire. C'est ça qu'il dit. C'est vulgaire. C'est ça qu'il dit. J'aime Québec, mais si ça, ça, ça, ça, c'est rétrograde, ça marche pas, il y a juste moi, la voie de salut, la voie de passage.
[00:06:03] Speaker A: Si vous aimez pas les changements qu'il veut faire à Québec, c'est que vous avez pas encore compris, pis que vous êtes juste réfractaires aux changements.
[00:06:09] Speaker B: Merci. Bonsoir.