Episode Transcript
[00:00:00] Speaker A: Elle ensorcelle les islamistes et elle déboulonne les gauchistes. Et elle emmerde beaucoup de monde à Montréal.
Les Montréalais. Ah ouais. Donc, comment ça va, Alexa ?
[00:00:12] Speaker B: Ça va super bien, là.
[00:00:13] Speaker A: On s'est jasé avant la pause. On est dans le cornet à trois boules. Malheureusement, il n'y a pas de thème pour ça. Trois patentes. J'ai pas le choix de commencer avec le fais nous un petit teaser du vidéo qui est pas diffusé encore ou paraît il que tu te call avec Steven Guilbeau, notre préféré. Oui. Raconte, raconte, raconte. Je me mets deux pieds sur le pouf.
[00:00:34] Speaker B: Ben, écoute, moi. Je savais que M. Guilbault allait être au Cosmos Laurier vendredi dernier pour avoir une rencontre avec ses supporters québécois. Ici ?
[00:00:43] Speaker A: Oui. Steven Guilbault à Québec ? Oui. C'est donc bien hot. Ouais. Toi, tu arrives avec ton caméraman.
[00:00:49] Speaker B: Oui, effectivement.
[00:00:49] Speaker A: C'est le même caméraman qui était là lors de mon podcast avec.
[00:00:53] Speaker B: Oui, vaccine la banane. Effectivement, il est bon, hein ?
[00:00:55] Speaker A: Oui. Il y a plusieurs nouvelles là dedans. Il y a plusieurs choses. Il y a beaucoup d'informations. Beaucoup, beaucoup d'informations. On va y aller une fois, une.
[00:01:02] Speaker B: Chose à la fois. Ben, pour M. Guilbeau, le pourquoi j'ai été là bas, il y a plusieurs questions qu'il faut qu'il réponde. Premièrement, avec la négligence qui s'est passée avec Jasper, on le sait avec les rencontres parlementaires que maintenant, le gouvernement est au courant depuis plusieurs années qu'il y avait des risques de feu. Ils ont rien fait. On sait également qu'il y a 20 camions de pompiers et 50 pompiers qui ont été tournés de l'autre côté lorsqu'ils ont essayé d'aider. On sait également que les adaptateurs pour le fire hydrant pour les. Pour l'eau, les bornes fontaines n'étaient pas adéquats à cet endroit là pour les camions de pompiers.
[00:01:44] Speaker A: Une cascade de gaffes et de décisions humaines sont à l'origine des.
[00:01:53] Speaker B: Feux, Jasper, de police. Puis en plus, c'est une ville qui est pas industrielle. C'est une ville que les gens habitent. C'est pas industriel ou c'est pas, mettons, à moitié inhabitée. On parle de plusieurs milliers. Ben, 1116, je pense, structures qui ont été brûlées. C'est quand même beaucoup, plusieurs millions de dettes pour ces gens là qui.
[00:02:14] Speaker A: Ils seront pas capables de se relever. C'est une catastrophe canadienne. Non, c'est un joyau canadien, Jasper.
[00:02:19] Speaker B: C'est une catastrophe. Et ensuite, de ça, je voulais qu'il me réponde par rapport aux 200 millions qui ont été donnés à Circle Capital, une compagnie pour laquelle il a été conseillé pendant 10 ans, où il a encore des parts dans cette compagnie là. Cette compagnie là a reçu 200 millions de dollars en subvention de la part du gouvernement. En ce moment, il y a une enquête, une motion. Qui est Guilbault ? Ça, ça a été donné par le Green Slush Fund, qui est le STDC.
[00:02:48] Speaker A: Qui est le sustainable technologie. C'est ça, l'espèce de fond vert sur lequel les conservateurs font un peu d'obstruction au parlement, effectivement, pour obtenir toutes les informations. Parce qu'il y a des documents qui sont retenus par le gouvernement qui refusent de divulguer, alors que c'est le vérificateur général, je crois, du Canada qui exigeait la divulgation, mais le gouvernement libéral veut pas les divulguer. Il y a plein de conflits d'intérêt.
[00:03:14] Speaker B: Là dedans, beaucoup, beaucoup. Puis en ce moment, j'invite aux gens, s'ils ont du temps à perdre, d'aller écouter toutes les travaux parlementaires, c'est long. On a, nous, notre. Notre collègue qui fait ça à journée longue, écouter puis montrer les parties qui.
[00:03:29] Speaker A: Sont intéressantes au niveau. Mais là, reviens donc sur l'histoire de Guilbault. Je l'avais pas pogné, celle là. L'histoire de Guilbault qui a des actions dans une compagnie qui a reçu des subventions.
[00:03:37] Speaker B: Ça, je l'ai manqué, ça.
[00:03:39] Speaker A: C'est quoi, ça ? Circle capital. Circle capital, il y a des actions là dedans et c'est une compagnie qui a reçu des contrats pendant une dizaine d'années.
[00:03:46] Speaker B: Il a reçu. Là, en tout cas, on sait qu'il y a eu un 200 millions de dollars. 200 millions qui a été donné. Je pense que c'est récemment, en plus. Donc là, en ce moment, il y a des enquêtes, il y a une motion qui a été déposée également parce qu'ils veulent que M. Guilbault vienne témoigner de qu'est ce qui se passe avec l'argent ?
[00:04:04] Speaker A: Et la convention ?
[00:04:05] Speaker B: C'est bon, ça.
[00:04:06] Speaker A: C'est sexy, cette affaire là. Oui. Il était probable.
[00:04:07] Speaker B: Toi, tu débarques avec ton Kodak au cosmos, il arrive quoi ? Il arrive que je ne m'attendais pas à être capable de rentrer. Mais j'ai quand même resté un moment avec ces supporters qui se demandaient qu'est ce qui se passait ?
[00:04:20] Speaker A: Ils refusaient de me répondre pendant vraiment un an. Supportant du parti libéral.
[00:04:22] Speaker B: Je suis âgé, en bas. Tu sois dans les 16 ans, quand même.
[00:04:26] Speaker A: Âgé, je vais vous dire. Et ça m'a pas vraiment changé.
[00:04:28] Speaker B: Je savais pas qu'il y avait du pablum au cosmos.
[00:04:29] Speaker A: Il y avait pas beaucoup de personnes qui pouvaient. Ça fait longtemps que je suis allé, je dirais. En tout cas, la clientèle a changé, visiblement. C'est ça. Donc toi, t'arrives là avec le Kodak, les dents en plastique, ça se met à claquer. Toi, dans la salle, comprends tu ? Et là, Steven Guilbeau qui te reconnaît, il sait que t'es la fille de.
[00:04:49] Speaker B: Rebel, la rebelle de Rebel, il fait quoi ? Il se sauve tu par la porte d'en arrière ? J'y pose mes questions en anglais, puisque moi, ça concerne beaucoup d'anglais canadiens.
[00:04:59] Speaker A: Oui.
[00:04:59] Speaker B: Et me répondre en français et me dire on est au Québec, vous pouvez me parler en français. Bon. Il se la joue, là. Ben oui, effectivement. Mais c'est à peu près la seule chose qu'il m'a dit, à part qu'il a dit que non. Finalement, le ministre de l'environnement et les changements climatiques n'ont pas donné de subvention à Circo Capital. Ma question n'était pas est ce que c'est ce ministère là qui l'a donné ? C'est votre gouvernement, gouvernement libéral qui a donné cette subvention là ? C'est ça. Est ce que vous pouvez répondre à la question ? Qu'est ce qui se passe avec l'abus.
[00:05:34] Speaker A: De l'utilisation de l'argent des contribuables pour donner à vos amis libéraux, là, le vidéo de l'accrochage, ça va être bientôt. L'autre chose, la 2ᵉ boule du cornet islamiste, je veux que tu en parles, parce que bon, là, c'est dans les nouvelles. T'as pas enquêté sur Bedford, mais on a vu tes nombreuses vidéos. Tu t'es coltaillé avec des islamistes de Montréal ou ton caméraman. Ça m'a fait bousculer à un moment donné.
[00:05:55] Speaker B: Raconte ce que tu sais et raconte ce que tu as appris dans les dernières heures. Premièrement, avoir le rapport, essayer de lire le rapport. Tout est caviardé. On refuse de dire les choses comme elles sont. On refuse de dire qui, qui est en cause, à part quelques petits médias ou d'autres personnes qui ont osé dire que oui, c'est des Maghrébins. Oui, on parle de l'islam. Oui, on parle de telle, telle affaire. Extrêmement difficile de savoir qu'est ce qui. De quoi on parle, parce que les gens refusent de le dire. Ils refusent d'être catégorisés islamophobes. Premièrement, moi, c'est une chose qui me révolte un peu, parce que dès qu'on.
[00:06:35] Speaker A: Essaye d'aller contre l'islam. Bon, on est islamophobe, mais depuis quand il y a moi je critique le Vatican, je ne suis pas catholiophobe, je veux dire, je critique, je critique. Est ce qu'on a une religion ?
[00:06:47] Speaker B: Je peux critiquer les témoins de Jéhovah, je peux critiquer la scientologie, tu sais, tu comprends ?
[00:06:50] Speaker A: Mais il y a un mot pour dire contre l'islam.
[00:06:55] Speaker B: Est ce qu'on a un mot pour.
[00:06:57] Speaker A: Contre la religion juive ?
[00:06:59] Speaker B: Pas de nom inventé. Quand on parle des personnes contre les.
[00:07:03] Speaker A: Juifs, il y a de l'antisémitisme et.
[00:07:04] Speaker B: C'Est le même mot pour les musulmans. Ce sont des sémites ? Oui, les peuples le sémite. Est ce qu'on peut utiliser le mot pour les personnes au lieu d'une religion ? Là on parle des religions qui vont.
[00:07:18] Speaker A: Dans l'extrémisme et on n'ose plus s'attaquer.
[00:07:22] Speaker B: Au problème parce qu'on a peur d'être catégorisé. As tu déjà été intimidé par eux autres ? Oui. De quelle manière ? Ben, premièrement, pendant leur grande marche que je vais dire que c'est anti juif là, moi on m'a attaqué à plusieurs reprises juste parce que j'essayais de leur demander des questions à propos du Hamas ou d'autres de questions qui est d'intérêt général. Je pense que le public a besoin de savoir est ce que c'est des gens qui glorifient une organisation terroriste ? Aujourd'hui ? On le voit de toute façon depuis le 7 octobre. On a vu bon, une célébration du 7 octobre du massacre de plus d'environ.
[00:08:05] Speaker A: De 1200 juifs en Israël. On a également des gens qui ont.
[00:08:12] Speaker B: Pleuré Yaya Sinwar qui est le chef du Hamas. Ça c'est saucer rare là.
[00:08:18] Speaker A: C'est saucer rare. Oh oui, c'est comme pleurait ben Laden.
[00:08:23] Speaker B: C'est l'équivalent là. Puis ils ont aussi pleuré Hassan Nasrallah qui était le boss du Hamas au Liban.
[00:08:28] Speaker A: Le Hezbollah.
[00:08:32] Speaker B: Ah, le Hezbollah. Au Liban, on a eu des gens qui font partie de Samidoun qui ont dit il faut tuer le Canada, l'israélien. Exactement. Et là on a. Il y a eu de la pression au niveau des conservateurs pour catégoriser cette entité là comme terroriste. Ça me donne maintenant c'est catégorisé comme un entité terroriste. Mais ces gens là qui font partie.
[00:08:51] Speaker A: De sa médon ici au Canada, est ce qu'ils ont été arrêtés, est ce qu'ils ont qui se passe quelque chose avec ça ?
[00:09:02] Speaker B: Pas du tout. Donc, on a des dispositions dans le code criminel sur la littérature haineuse. C'est un crime.
C'est un crime. Les autorités, les gouvernements refusent d'agir lorsqu'il y a clairement des gens qui font.
[00:09:24] Speaker A: La glorification de groupes terroristes, qui est banni selon le code criminel. Et les autorités refusent d'enforcer la loi et d'aller. Ils refusent de les arrêter. Ils refusent d'appliquer la loi. L'une des fripouilles qui a été grimpée dans le pont hier, il y avait un foulard palestinien. Ben oui, c'est la mode. Comme le bloquiste également. C'est devenu un élément à mode. Ah non, ça, c'est correct. Faire de l'appropriation culturelle. Oui, c'est correct. C'est correct. 3ᵉ élément. Et là, je veux vous envoyer les.
[00:09:51] Speaker B: Auditeurs, si vous avez un petit cinq.
[00:09:55] Speaker A: 10 min aujourd'hui sur le site de Rebel News.
[00:09:57] Speaker B: Enquête sur les subventions données pour les sans abri. C'est ça, c'est ton enquête. Où va l'argent ? Où va la follow the money ?
[00:10:04] Speaker A: Parce que moi, j'ai parlé avec des gens qui eux, travaillent dans les refuges.
[00:10:08] Speaker B: Et même eux ne comprennent pas où vont les millions de dollars qu'on donne en subvention. Qui donne des subventions ? La ville de Montréal. Il y a pas rien que la ville de Montréal. On a le gouvernement du Québec, le gouvernement fédéral. On a trois entités ici qui donnent de l'argent. De l'argent. Des millions. Des millions, des millions. Les camps de sans abri est en train de grossir. Et ce qui me répugne le plus, c'est les refuges pour femmes. Ok. Il faut comprendre que pour l'inclusivité, selon M. Trudeau et ses politiques woke, les refuges pour femmes, dont la plupart vont essayer de fuir la violence conjugale, sont mis ensemble dans les mêmes chambres et les chambres de bain avec des hommes biologiques s'identifiant comme femmes. C'est inacceptable, ça. Peu importe la transition. Même si ils ne transitionnent pas, ils n'ont pas pris d'hormones ou quoi que ce soit.
[00:11:02] Speaker A: Ÿousand seulement, ils s'identifient comme femmes.
[00:11:04] Speaker B: Ils ont le droit d'aller dans les.
[00:11:05] Speaker A: Refuges pour femmes et ils sont mixés dans les chambres et les chambres de bain.
[00:11:10] Speaker B: C'est le monde à l'envers. Et là, on a. Comme je vous disais, concernant l'argent, on ne trouve pas la trace de cet argent là. C'est ça que tu as décelé ? Ben écoutez, il faut se rappeler le scandale qu'il y avait eu en Colombie Britannique. On avait trouvé qu'une organisation en ombul, abus non lucratif avait engagé dans des dépenses extravagantes, des salaires extrêmement hauts. Écoutez, si on a pris une compagnie.
[00:11:41] Speaker A: Une organisation flagrant délit. Pourquoi il n'y a pas plus de personnes qui vont investiguer sur ces organisations ?
[00:11:44] Speaker B: Gros manque de rigueur. Il y a un gros manque de rigueur. On donne l'argent. On paraît bien, moi, le bruit de trouver à trace l'argent où il y a un besoin monétaire, où il y a une crise.
[00:11:58] Speaker A: Rappelez vous qu'il va toujours avoir de la corruption garantie.
[00:12:00] Speaker B: Juste en ce moment, avec le programme dentaire. Il y a des gens qui abusent.
[00:12:04] Speaker A: Du programme dentaire, en général.
[00:12:05] Speaker B: Oh, ça, je ne l'ai pas pogné, celle là. Ben non, non, non. Mais ça, c'est parce que moi, j'ai parlé à des sources. Ah oui.
[00:12:13] Speaker A: Ça, c'est une future enquête, ça.
[00:12:16] Speaker B: Ben, je vais essayer de investiguer. Mais oui. Qui. Qui va aller regarder si ce qui est chargé et vraiment ce qui devrait être chargé ? Oh, ça, c'est bon. Parce que là, les réfugiés, eux autres, ont le droit à cet accès là à tous les soins dentaires. Mais moi, j'ai eu des petites souris qui m'ont dit qu'il y avait des gens qui avaient été chargés sur des choses ou ce que c'était gratuit pour les réfugiés. Ils le savent pas, mais il y a eu de l'argent qui a la.
[00:12:47] Speaker A: Fausse facturation et qui a bénéficié des gens en arrière.
[00:12:50] Speaker B: Ça, c'est ta prochaine enquête. Ben, c'est dur. C'est dur de faire des enquêtes sur ça. Surtout, on n'a pas tous les contacts. Non, mais t'es pas rendu. Le fruit n'est pas encore mieux. J'ai quand même eu quelqu'un qui travaille dans ce domaine là, qui m'en a parlé et qui m'a donné cette information là. Et c'est important à s'en rendre compte.
[00:13:10] Speaker A: Parce qu'à chaque fois que le gouvernement.
[00:13:12] Speaker B: Intervient en donnant de l'argent, dites vous qu'il y a des gens qui vont trouver une manière pour profiter de cet.
[00:13:21] Speaker A: Argent là en arrière pour le miel fait des mouches. Ben Oui. Donc moi, j'invite n'importe quel journaliste ou autre d'aller sur cette piste là et probablement de trouver quelque chose pour les gens qui veulent dénoncer, pour les gens.
[00:13:33] Speaker B: Qui savent des choses, qui voient des choses.
[00:13:34] Speaker A: Alexa Lavoie, de Rebel News. Merci beaucoup. Merci à toi.
[00:13:37] Speaker B: Merci.
[00:13:37] Speaker A: Comment tu as trouvé ça, le podcast avec Roxane Zweitausendein ? Excellent. Mon veston, il est pas pire. Ben toi, t'es parfait. Non, mais mon veston, il a fait le jaser pareil.
[00:13:51] Speaker B: Il.