Episode Transcript
[00:00:03] Speaker A: Live from Kobec.
[00:00:08] Speaker B: Donald Charette.
[00:00:11] Speaker A: In the.
[00:00:12] Speaker B: City with Donald Salut, Donald.
[00:00:15] Speaker C: Oui, bonjour.
[00:00:17] Speaker B: Trudeau va se faire faire un lavage en cours d'école. Par combien de personnes ? On le sait pas trop. C'est un peu flou ça, cette histoire là.
[00:00:25] Speaker C: Pareil.
[00:00:25] Speaker B: Là, je parle aux journalistes, c'est. Il y a pas de journaliste qui avait à l'être. Il y en a un qui dit 20, l'autre 30, l'autre 40. Non, c'est un peu bric à bras comme histoire. Il y a du mécontentement. Ça c'est réel. Et il y a des députés qui existent, qui sont sortis, c'est réel, mais en même temps on le sait pas trop où on s'en va avec cette histoire là puis forte à parier qui va être encore en poste.
[00:00:47] Speaker C: Comment tu vois ça, toi ? Bon, écoute, moi je m'attends pas à ce que Justin Trudeau claque la porte aujourd'hui. Ils essaient de voir à quel point les mutins, il faut bien les appeler. Les mutins vont se prononcer, vont aller vraiment au caucus puis aller au micro et dire écoutez, il faut vous quittiez pour l'avenir du parti. Alors est ce qu'ils vont oser, est ce qu'ils vont voir le gut d'y aller et de dire à leur chef vous devez partir ? Alors je pense que c'est sûr qu'il faut voir. Mais évidemment, tout ça est à huis clos. Et puis moi je pense qu'on va sortir en disant Écoutez, Justin nous a rassurés.
[00:01:20] Speaker B: Un bon plan de match.
[00:01:22] Speaker C: Les souris d'hypocrites va aller en campagne électorale avec un bon plan de match. Puis là, tu sais, ils vont pas meur. Je pense un peu resserrer les rangs. Mais ceci dit, je pense que Justin est condamné d'une certaine façon. Puis moi je trouve qu'il y a.
[00:01:33] Speaker B: Eu un mort vivant en plein temps d'Halloween. Ma foi, du bon lieu.
[00:01:36] Speaker C: Quel timing. Puis tu sais, il y avait encore un sondage ce matin où l'ensemble des canadiens disent Écoutez, 50 sept des gens disent il doit partir. Là, tu sais, je pense, c'est irrécupérable. Mais ceci dit, moi je trouve que les deux coups de poignard les plus durs qu'il y a eu au cours des derniers jours, c'est celui qui est venu aider Goldenberg d'abord, l'ancien conseiller spécial des gens chrétiens, qui a dit, puis j'ai trouvé l'argument assez on y avait pas pensé l'argument de Goldenberg. Justin doit partir parce qu'il faut le garder en réserve de la République pour un référendum. Il dit c'est l'unité nationale qui est en cause aux autres. Il regarde les sondages, il dit bon, le PQ s'en vient. Le bloc va être l'opposition officielle. On va voir un référendum. Donc ça nous prend un champion. À l'heure actuelle, il n'y a pas de champion du fédéralisme. Alors si Trudeau sort trop magané, puis il se fait humilier durant une campagne électorale, il pourra pas défendre le fédéralisme.
[00:02:25] Speaker B: Goldenburg, c'est comme quelqu'un qui est à la game des Canadiens hier, qui est un chandail de Jean Béliveau.
Il joue plus, donc il se fait une idée. Il est dans un vieux monde. Goldenburg, 1ʳᵉ des choses, dis moi ce que tu en penses. Moi, j'ai travaillé à Ottawa, brièvement attaché de presse d'Alan Rock. Goldenburg, tu es là, Jean Chrétien. Quand Goldenburg parle, c'est Chrétien qui parle. Exact.
[00:02:47] Speaker C: Tu es d'accord avec moi ?
[00:02:49] Speaker B: Tout à fait. Chrétien, lui, a une télécommande. Il contrôle Eddy. Lui, il peut pas parler Chrétien parce qu'il veut pas passer pour un couillon. Il a quand même une belle image. Il veut pas passer pour le gars qui poignarde le fils de celui qui a donné une job. Là, finalement, entre Pierre. Donc il demande à Eddy, blablabla, fais la job. Mais capitaine Canada, si on repassera. Tandis quoi ? Ben là, ça, c'est un coup de jarnac envers Pierre Poiliève aussi. Il sera pas capable, dit Pierre, d'être capitaine Canada. Il est plus vendable. Il est plus sortable. Justin, ils vont leur sortir dans l'autobus du nom.
[00:03:21] Speaker C: Mais tu sais, c'est parce qu'il y a toujours. Il y a toujours eu un québécois.
[00:03:24] Speaker B: Qui a défendu l'option. Ça, je te l'accorde que c'est pas.
[00:03:27] Speaker C: Un québécois, Pierre Poiliet.
[00:03:28] Speaker B: T'as raison.
[00:03:29] Speaker C: C'était Jean Chrétien.
[00:03:30] Speaker B: Jean Charest.
[00:03:30] Speaker C: C'était Jean Charest. Il y a toujours eu un champion. Ça prend un goût du Québec. Je pense que si tu fais un référendum en D, je me mets à la place des canadiens anglais. Ils regardent la scène, ils disent oh, regarde, pq monte. Le bloc est très fort. Puis poil Saint Pierre veut faire un autre. Il voit ça, il dit regarde, on retourne dans les années quatre 20 10, quatre 20 14, etc. Fait qu'il se dit, il faut préserver.
[00:03:49] Speaker B: Moi, j'ai trouvé l'angle intéressant.
[00:03:50] Speaker C: Oh oui, c'est intéressant. Et venant de Jean Chrétien dans le fond, Jean Chrétien ici, un gars qui est connecté au Parti libéral du Canada. C'est Jean Chrétien, ça, c'est vraiment la. C'est Chrétien qui a parlé. Bon, alors moi, je pense ça, déjà. Je pense déjà. Ça, c'est un coup de poignard assez dur. C'est dire aux Canadiens anglais, regardez, là, zweitausendein. Au nom de l'unité nationale. Il faut que Justin s'en aille.
[00:04:07] Speaker B: Moi, c'est un angle, honnêtement, que j'avais pas vu encore.
[00:04:12] Speaker C: Intéressant.
[00:04:13] Speaker B: Pile, Adley, mais recule le char un peu. Gerald Butts. Qu'est ce qu'il a dit, l'ancien chef de cabinet ? L'équivalent de Goldenburg pour Chrétiens, c'est à dire Butz pour Justin Trudeau. Qu'est ce qu'il a écrit ? La semaine passée, Butz, il dit il y a un référendum qui s'en vient. Les Canadiens anglais dorment au gaz. Cassez vous pas la tête. Il y a un référendum et il y a de fortes chances que le Québec se sépare. Grosso modo, c'est ça. Faut connecter les deux. Moi, je pense. Je pense commence à y avoir une.
[00:04:41] Speaker C: Trouille chez les élites canadiennes anglaises. Tandis quoi ? Ouais, tout à fait.
[00:04:43] Speaker B: C'est ce que je viens de dire là.
[00:04:46] Speaker C: Puis là, il dit qui va. Qui va nous défendre la prochaine fois, là ? Qui va mener le camp du nom au Québec, là ? Alors, c'est là. C'est pas évident, là. Effectivement, po lièvre. Ben, écoute, c'est pas un Québécois. Puis bon, c'est pas. C'est pas Jean Chrétien. C'est pas Jean Charest. Il. Il peut pas défendre ça. Alors là, il commence à chercher un champion. Fait que, tu sais, moi, c'est un angle que j'avais pas vu, mais je comprends les Canadiens anglais d'avoir un peu la trouille. Parce que quand tu regardes les sondages, tu dis Oui, on est en train.
[00:05:10] Speaker B: De jouer dans le même film contre lequel on a déjà joué. À la lumière de ça, on l'a pas sous la main, mais Jean Charest a accordé quand même une entrevue pas inintéressante à un podcast où il dit carrément que le Canada reste à construire, que le Canada ait pas sa bonne traque. C'est sûr que c'est un coup de jardin qui est encore envers Poiliep, mais il va quand même loin.
[00:05:35] Speaker C: Sacrifice.
[00:05:35] Speaker B: Oui, mais Jean Charest, je sais pas.
[00:05:39] Speaker C: Si tu as écouté l'extrait particulier, tandis quoi ? Ben, écoutez, ce que Jean Charest, ce que j'en ai entendu, ce qu'il dit, écoutez, le fédéralisme est bon, mais on n'a pas les individus pour le faire marcher. Il y a personne qui veut réconcilier les différentes positions, tu sais. Puis blanc, autant le go que Trudeau, tu sais, dans le fond, là, ce qu'il dit là, on n'a pas des gens là qui parlent pour l'ensemble du Canada. Puis il est très inquiet pour l'avenir.
[00:06:03] Speaker B: Tu sais, alors venant de lui, alors tu mets tout ça ensemble, tu dis, lui est inquiet pour l'avenir. But c'est qui dit qui est inquiet, Eddy qui dit qu'il est inquiet.
[00:06:11] Speaker C: Il va avoir un t des inquiets là. C'est ça. Alors donc ça, aux autres, ils disent, Justin, c'est pas l'homme de situation. Fait que ça, c'est une pression énorme qui est exercée par B. Street, par les gens de Toronto qui disent, alors c'est ça qu'il faut voir aussi.
[00:06:24] Speaker B: Moi, pour ça, je trouve que c'est.
[00:06:26] Speaker C: Ça parle, tu sais, et là bas, Street a la chienne. Ouais. Puis tu sais, puis peut être avec raison. Écoute, moi, je me mets à. Je. Écoute, je regarderais juste les sondages. Regarde, là, on est parti pour un autre affrontement puis comment on va se défendre. Et l'autre chose qui est arrivée en fin de semaine, c'est Mᵐᵉ Clotte, l'ancienne 1ʳᵉ ministre de la britannique, qui dit, moi, je suis prête à sauter dans l'arène. C'est ça, c'est un autre message, là. Tu as quelqu'un qui était 1ᵉʳ ministre, qui était bien coté de ce que j'ai vu. Il y a une femme, etc. Assez jeune, qui a un beau potentiel, qui prend les cours de français puis.
[00:06:55] Speaker B: Qui dit s'il s'en va, moi je suis disponible. Alors tu sais, là, là, tu commences du métier. Elle a fait la job au niveau.
[00:07:03] Speaker C: Provincial, puis ce que je peux le français.
Elle est allée étudier à jonquière, alors elle a l'air sérieuse. Alors tu dis que dans leur thinking, ils sont dans l'après Justin.
[00:07:13] Speaker B: Alors on est dans l'après Justin. Alors moi, je trouve que c'est ça. Donc, est ce à dire, à la lumière de tout ce que tu viens raconter, qu'est ce qui arrive avec Justin à h ? Quand il va sortir de la salle.
[00:07:23] Speaker C: Il voit la face rouge 20, là, il va se faire faire un lavage. Ben, tu sais, après. Tu sais, moi, je pense pas. Moi, je peux me tromper, mais je pense pas qu'il qui lance la serviette aujourd'hui ? Mais c'est clair que dans les prochaines semaines, faut que décide ce qu'il fait là. Il s'en va. Tu est ce qu'il pro la session puis il dit on revient au mois de janvier, au mois de février ou si je m'envoie un scénario plausible, celui là, alors tu sais, proroger ou tout démissionner. Mais je pense qu'il y a personne qui va le forcer. C'est un gareux, et cetera. Là, il y a personne qui va y forcer la main. Il faut que ça vienne de lui, une réflexion intégrée. Je rappellerai l'exemple de son père, Pierre Eliott Trudeau, qui était de façon célèbre d'aller marcher dans la neige au mois de février, qui avait dit, il avait décidé de lui même. Il est allé faire une marche. Il dit, écoute, j'ai pensé à tout ça, puis je me retire de la politique. Alors c'est, je pense qu'il veut son moment. Je vais marcher dans les feuilles ou je sais pas trop quoi. C'est bon.
[00:08:12] Speaker B: Alors je pense qu'il veut le faire lui même, puis il a le droit très, très. Bon, on regarde, on prend un gros, gros recul au niveau local. Je veux pas oublier cette nouvelle là. J'en ai pas parlé. Histoire des immatriculations et lévis qui récupère la somme finalement, qui était donnée année après année pour le transport.
[00:08:34] Speaker C: En commun à Québec. Explique nous la nouvelle puis quel est l'impact potentiel pour la ville de Lévis. C'est une bonne victoire parce que des années qui réclamaient ça, dans le fond, ce qui arrivait, c'est que la taxe d'immatriculation qui est perçue à Lévis était divisée à moitié moitié Québec, moitié Lévis. Et ça, c'est à cause de raisons historiques. C'est parce qu'à l'époque, il n'y avait pas de service d'autobus à Rive Sud. Donc la taxe de matriculation a finançait le service commun, si tu veux. Alors là, la ville de Lévy a dit, écoute, maintenant on a la STL, etc. On n'a plus d'affaires à envoyer la moitié de notre argent à Québec. Alors ça dure depuis des années. Et finalement, la ville de Lévis a gagné. Le gouvernement a décidé que, bon, ok, on retire un 3 million de l'enveloppe, on envoie ça à Lévis. Ça veut dire que ça prive la ville de Québec de 1,3 million pour le RTC. Alors c'est ça, on est en train de préparer le budget, etc. Donc ça prive. Mais là, évidemment, t'as le gourmand du Québec qui est dans la coulisse qui dit, là, c'est drôle, parce qu'au bureau de Mᵐᵉ Guilbeault, ils disent, c'est pas réglé cette affaire là. Puis on n'est pas sûr qu'on va payer. Mais Jonathan, Julien, lui, il dit non, non, on va les accompagner, puis on va compenser, etc. Fait que là, il y a comme 1,3 million qui flotte, que tu ne sais pas trop si c'est le Québec, mais c'est clair que si le contribuable va payer quelque part.
[00:09:44] Speaker B: Mais Victoire de l'Ivy puis québec qui manque 1,3 million dans les autres nouvelles. Loi 21, pas le choix d'en parler. Qu'est ce que t'en dis, de toute cette histoire là de l'école Bedford et.
[00:09:56] Speaker C: Des islamistes dans nos écoles au Québec ? Là, on parle de Montréal. Ben, moi aussi, je pense que. Tu sais, on est rendu. Je pense à. Je suis plutôt d'accord pour renforcer la loi 21. Parce que la loi 21, en fait, elle s'applique aux signes ostentatoires. C'est ce qui est apparent. Est ce que la loi peut s'appliquer à l'enseignement comme tel ? Qu'est ce qu'on enseigne aux enfants ? Est ce qu'on peut interdire l'enseignement d'une autre religion ? Je sais pas si c'est faisable techniquement ou juridiquement, mais je pense qu'il faut regarder ça. Mais ceci dit, moi, je pense que dans. Tu as beau faire les lois les plus les plus contraignantes du monde, la différence, elle joue sur le terrain. Et moi, ce que je trouve là dedans, c'est qu'il y a eu un manque de leadership, d'autorité des autorités, là. Tu sais, c'est à l'école, à la commission scolaire, de faire des évaluations des profs, d'évaluer la matière enseignée et d'intervenir s'il le faut. Alors s'il faut sanctionner des profs, les.
[00:10:48] Speaker B: Suspendre, c'est d'abord le rôle des boss. Ils sont même pas congédiés encore ? Ben non. Alors, on leur a enlevé le brevet, ils sont suspendus. Ils peuvent plus retourner enseigner, mais ils sont pas congédiés. Donc ils sont comme dans un no man's land. Un matin, je t'enlève ton permis, mais t'es tu payé ? T'as tu quoi ?
[00:11:08] Speaker C: Ils sont pas congédiés comme tel. Et la Mᵐᵉ qui gère la commission scolaire à Montréal, elle, elle a toujours sa job. Mais si les garde fous qui sont là, en place, avaient fonctionné, on n'en sera pas là. Si l'école est intervenue. Si la commission scolaire est intervenue, alors tout ça, c'est un espèce de. Je dirais un laxisme administratif qui a.
[00:11:25] Speaker B: Fait en sorte qu'on laisse tout passer. Et on n'est plus capable de suspendre quelque chose de congédier quelqu'un au Québec. Mais ça, à mon avis, c'est un fait divers. C'est à dire, c'est pas une anecdote, c'est important, mais c'est un fait divers. Moi, je pense qu'il faut reculer, se reculer, regarder la forêt dans son ensemble, regarder le phénomène de l'islamisation. Toi, tu as travaillé à Québec durant l'époque de Fatima Ouda Pépin, dont je jouais un extrait ce matin. Elle, ça a été la 1ʳᵉ Mᵐᵉ marocaine. Un peu comme Marouaritski, qui a des racines marocaines, qui a allumé. C'est quand même particulier. 20 ans plus tard, une autre marocaine qui se lève, qui se défend. Incroyable. On l'aime, Marouaricki. On défend les femmes au Québec. Moi, je trouve qu'il faut se mettre derrière Maroua Ritsky, mais ça fait des années qu'on parle de ça. Il y a eu une tentative des islamistes de s'ingérer dans le droit, dans le droit civil.
[00:12:14] Speaker C: Ils vont revenir, mais ils passent par les portes qu'on veut bien laisser ouvertes aussi, là.
[00:12:18] Speaker B: Ouais. Je pense que Mᵐᵉ Fatima, au do.
[00:12:20] Speaker C: P, elle avait bien vu le. Le phénomène qui s'en venait, là. C'était gros, ça, à l'époque. Elle l'avait vu.
[00:12:22] Speaker B: Bon.
[00:12:23] Speaker C: Je pense qu'on a pas tout à fait prêt à l'entendre, mais elle l'avait dit. Puis tu sais, elle, elle l veut venir en Europe, parce que c'est un phénomène européen, évidemment. Alors si elle l veut venir. Puis elle avait donner des signaux d'alerte qu'on a plus ou moins entendus. Mais tu sais, je pense qu'elle avait raison.
[00:12:40] Speaker B: Puis écoute, là, tu parlais de marwa risqué.
[00:12:41] Speaker C: Tu sais que Charkaoui l'a traité d'indigène ?
[00:12:43] Speaker B: Oui, c'est ça. D'indigène d'espèce, d'esclave de service, alors. Puis tu sais, il y en a d'autres. J'écoutais Yasmine avec belle fadelle.
[00:12:50] Speaker C: Un islamiste insulte une femme. C'était toute une 1ʳᵉ aussi. J'ai un respect pour les femmes. C'est vrai. Un petit mardi, un petit mardi, j'ai entendu Yasmine, la belle fadelle, la chroniqueuse, elle dit Moi, je suis marocaine, musulmane.
[00:13:00] Speaker B: Puis elle dit Écoutez, je suis contre ça. Il y en a beaucoup. C'est la majorité. C'est ça qu'il faut dire, ce que j'ai dit tantôt. Il ne faut pas faire d'amalgame. C'est à dire. Ah, toi, musulman ? Pas du tout. Il faut combattre ça. Les musulmans équilibrés, modernes, ordinaires, qui pratiquent leur foi, ils ont bien le droit de le pratiquer. Abdel Fadel, tu l'as mentionné. Et Maroua Ritzki. C'est dans la sphère privée, de toute façon, la pratique religieuse. Mais ces personnes là, ce sont des.
[00:13:32] Speaker C: Personnes modernes qui acceptent nos chartes. L'égalité homme femme, Donald, c'est sacré. Faut se lever et défendre ça. On plie là dessus, on est foutu. Puis écoute, je te rappelle quelque chose qui est assez récent, qui date peut être d'un mois ou deux. Il y avait la conseillère nommée par Justin Trudeau pour combattre l'islamophobie, etc. Je sais pas si vous vous rappelez, Mᵐᵉ Elga Wabi. Mᵐᵉ Elga Wabe. Elle a envoyé une lettre. Ça date de début de l'automne.
[00:13:56] Speaker B: Elle a envoyé une lettre aux commissions.
[00:13:58] Speaker C: Scolaires, au Cégep du Québec, pour dire. Vous devriez embaucher ÿ plus de professeurs musulmans. Oui.
[00:14:01] Speaker B: C'est une islamiste. Alors, tu sais, d'abord, asma, ce qu'il.
[00:14:03] Speaker C: Regarde pas, c'est l'éducation. C'est provincial. C'est pas de ses affaires. Tout à fait. On l'a envoyé promener aussi. Puis on l'a envoyé promener avec. Mais pourquoi une personne ?
[00:14:11] Speaker B: Mais tu dis, là, tu fais le lien qui se passe à Bedford, etc. Tu dis garde, là, c'est un djihad. Ben là, il y a un djihad. C'est un djihad politique. Tout à fait. C'est une guerre religieuse. Politique. C'est 1 '' à la fois.
[00:14:27] Speaker C: C'est 1 '' à la fois. C'est 1 '' à la fois.
En terminant, faut tu changer d'heure ou pas ? Vite, comme ça, en 30 s. Ben moi, j'aimerais ça qu'on.
[00:14:41] Speaker B: Arrête de changer l'heure. J'aime pas ça.
Puis moi, j'ai ça quand tu fais noir à h. L'après 12 h, là, tu sais. Alors, oui. Sondage. Non, je l'ai pas fait.
[00:14:53] Speaker A: Consultation.
[00:14:53] Speaker D: Incapable de prendre une décision aussi.
[00:14:55] Speaker B: Tu prends une décision. Ils font un sondage.
[00:14:57] Speaker D: Peux tu voter 16 fois ?
[00:14:58] Speaker C: Dan.
[00:14:58] Speaker D: Mais en fait, c'est pour qu'on donne notre opinion. Ouais, je sais.
[00:15:02] Speaker B: Ben moi, je l'ai faite. Puis moi, j'ai marqué que je voulais qu'on avance l'heure. Qu'on garde l'heure qu'on a là, à l'heure actuelle. Oui. Qu'on recule plus.
[00:15:10] Speaker D: C'est mon opinion. Ouais, aussi.
[00:15:10] Speaker B: Mais ils vont tu vraiment le compter.
[00:15:12] Speaker D: Puis tout ça ?
[00:15:13] Speaker C: Ben, tu sais. Peux tu exprimer ça 16 fois ? Il y a de plus en plus de provinces pour influencer. Ah, je sais pas. Faudrait que je réessaie de le faire une autre fois.
[00:15:20] Speaker B: Deux remarques là dessus. D'abord, je m'interroge sur le timing.
[00:15:22] Speaker C: Comment ça se fait que ça, ça surgit tout d'un coup comme ça ? C'est parce qu'on est à bien de changer dans une dizaine de jours. Oui, je veux bien pour changer le discours sur Bedford puis sur d'autres affaires, puis sur la santé. Pourquoi tout d'un coup, diversion. Ça m'a l'air d'une grosse manœuvre de diversion. Puis l'autre chose, évidemment, c'est que tu peux pas faire ça en autarcie. Il faut que tu fasses ça en relation avec l'Ontario, les États Unis, le Nouveau Brunswick. Tu peux pas avoir trois, quatre fuseaux horaires, idéalement.
[00:15:49] Speaker B: Alors tant que les États Unis bougeront pas là dessus, je trouve. Bon, c'est.
[00:15:55] Speaker D: Ça mène pas nulle part. Tu peux pas faire ça tout seul.
[00:15:59] Speaker B: Mon cher Donald, t'es salué à l'heure normale de.
[00:16:04] Speaker A: L'Est. C'est ça, normal. On est à normal de l'est. L'heure avancée. Non, à l'heure avancée.