Episode Transcript
[00:00:02] Speaker A: Let's go live now from the tower of doom met on béret, légionnaire this is more live on deviant from the radio x world headquarters here is your legendary legion of doom.
Deux choses que j'ai retenues hier, des points de presse des différents politiciens, justement, concernant l'école Bedford. Je vais passer rapidement à autre chose, mais ça permet de mettre la table un petit peu.
Tout d'abord, je te fais entendre PSPP. Je t'en ai glissé un mot tout à l'heure. On veut. L'idéologie revient vite, là. On veut, on dirait se servir, puis je vais te donner deux extraits. Il a dit en point de presse puis en entrevue aussi. On veut comme se servir de son histoire de manque de mixité dans les écoles pour attaquer les écoles privées.
[00:01:04] Speaker B: Ce que je proposais hier, c'est d'au moins aller voir ce qui s'est proposé.
[00:01:07] Speaker C: Comme par exemple, l'école à trois vitesses.
[00:01:09] Speaker A: C'Est un problème parce que les québécois issus de l'immigration, ils n'arrivent pas tous.
[00:01:13] Speaker B: Avec les fonds pour aller à Brébeuf et à notre Dame. Donc, est ce que c'est juste ?
[00:01:17] Speaker C: Est ce que c'est bien planifié ?
[00:01:18] Speaker B: Je me suis fait répondre de manière intéressante aussi, qu'il y a des réflexions qui sont déjà en cours au Québec, notamment sur l'école à trois vitesses. Quel nouvel arrivant a vraiment les moyens d'envoyer ses enfants à Brébeuf ou à notre Dame ? Est ce qu'on peut se surprendre s'il y a une inégalité dans les ressources au niveau des écoles, qu'il y ait.
[00:01:37] Speaker A: Des microcostes qui se forment, qu'il y ait des incohérences avec le programme du ministère ? Donc. Donc, ça manque de québécois de souches dans les écoles. Fait que là, le problème, c'est à gros écoles privées. Mais le PQ, déjà, voulait s'attaquer aux.
[00:01:54] Speaker B: Écoles privées avant ÿousand. C'est très maladroit. C'est très maladroit. Tu es un.
[00:02:01] Speaker A: Immigrant, t'as pas moyen. En moyenne, c'est ça pareil, là. On le disait tout à l'heure pour l'île de Montréal. Il y a plus d'immigrants qui habitent sur l'île de Montréal au lieu de se sauver comme toutes les autres parce qu'ils ont pas les moyens. Parce que si admettons qu'il y avait pas d'immigrants au Québec, là, les gens qui habiteraient sur l'île de Montréal présentement.
[00:02:18] Speaker B: Ça serait plus pauvre, ça serait ça pareil. Moi, j'ai j'ai fréquenté les écoles privées parce que mes gars ont les envoyés au privé garde, il y a besoin d'un encadrement. Ça a bien été. C'est notre choix. Privé, primaire et secondaire, mon ami. Le petit séminaire, ça, c'est pour le secondaire et l'Institut Saint Joseph. Pour vous dire une chose, les immigrants, il avait beaucoup. Les parents d'immigrants, il y en avait beaucoup. Dans une réunion de parents donnée, mettons, pour 30 enfants, tu avais peut être trois, quatre nouveaux arrivants. C'est complètement faux de dire que tu arrives au Québec, t'as pas un moyen d'aller au privé. 1ʳᵉ des choses, c'est du faux privé. C'est pas du privé à 60000 piastres comme à New York, ok ? Avec le petit habit à quatre ans, là, avec le petit nœud papillon. C'est pas ça, là. Ok, oui, tu as l'uniforme ici aussi, là, mais c'est pas ça. C'est du faux privé. C'est du privé subventionné et ça soulage l'état, on le sait. Le parent assume une partie de la facture. Mais là dedans, tu as un élément d'encadrement, un élément de fierté, de suivi scolaire. Tu le sais, n. Je suis en train de te vendre l'école privée alors que tu l'as déjà acheté, là. Mais c'est faux de dire ça, là. En partant, sa prémisse, elle est fausse.
[00:03:45] Speaker A: Faux, c'est faux, c'est faux. Dom, il y a des immigrants qui.
[00:03:48] Speaker B: Privés de l'argent, ça oui. Il y a des pauvres québécois de 4ᵉ, 5ᵉ génération, je peux t'en présenter.
[00:03:53] Speaker A: Qui n'ont pas les moyens d'aller.
[00:03:55] Speaker B: C'est pas l'inverse qui a les moyens d'avoir un char à 150000. Puis il y a du monde qui a un moyen d'avoir un char à 30 5000. Il y a du monde qui a.
[00:04:03] Speaker A: Un moyen d'aller magasiner chez Ogilvy à Montréal Ÿousand. Mais la majorité des immigrants qui rentrent au Québec à chaque année, ils arrivent pas riches.
[00:04:14] Speaker B: Ça dépend.
[00:04:14] Speaker A: Oui, ça dépend. Je suis d'accord.
[00:04:15] Speaker B: Il y en a qui arrivent avec.
[00:04:16] Speaker A: Du cash en masse. Il y en a qui arrivent ici.
[00:04:19] Speaker B: Plus riches que toi puis moi, pis y'en a que c'est des classes moyennes. Il y en a qui se serrent la ceinture et qui choisissent le privé, qui est du faux privé. Encore une fois, je trouve que c'est cataloguer les gens. Je trouve que c'est un stéréotype. T'es ici, t'arrives, t'es pauvre, avec une boîte en carton, on va t'envoyer au public. Pis là, c'est de la discrétion. Le système, c'est ça qu'il dit. Au fond, le système québécois est discriminatoire envers eux. Ça, c'est la fin. Ouais, mais ça, c'est assis sur une fausse prémisse.
[00:04:48] Speaker A: Mais c'est ce que je t'ai fait écouter plus tôt cette semaine. Faut que tout le monde pareil. Faut ramener tout le monde à l'école publique.
[00:04:54] Speaker B: Tout le monde pareil. C'est le volet du pq que je déteste. Ils ont des bonnes traques de temps en temps. Comme là, ils se font sur une.
[00:05:02] Speaker A: Bonne traque, c'est la laïcité. Mais ça, c'est pour attaquer l'école privée.
[00:05:06] Speaker B: C'est ça, l'affaire. Ils disent ça pour cruiser qs. Arrêtez de cruiser QS avec votre christie d'autobus du oui, en passant. C'est un parti fédéraliste. Allez vous le comprendre à un moment donné ? Elle l'a dit gazal, en entrevue à Radio Canada quand elle va voter npd au fédéral. C'est pas des souverainistes, Qs.
[00:05:24] Speaker A: Je comprends pas leur obsession.
[00:05:25] Speaker B: C'est supposé être la souverainiste de la gang. Ils sont bandés jaune orange ÿousand arrêtez, les amis. Vous êtes sur une mauvaise traque. Vous voulez fonder en plus un pays avec une bande de communistes puis d'islamo.
[00:05:41] Speaker A: Gauchistes et de la gomme ? C'est mon seul autre extrait. C'est GND, hier, qui est allé attaquer.
[00:05:47] Speaker B: Le pq carrément de manière malhonnête. Ça prend pas un post doctorat en analyse politique pour voir qu'il y a sur le plan électoral, sur le plan politique, une compétition, une surenchère entre le Parti québécois et la CAQ. Le cas sur les enjeux d'immigration, c'est.
[00:06:02] Speaker C: Le cas sur les enjeux de laïcité.
[00:06:04] Speaker B: Aux yeux, on n'est pas là. On n'est pas là.
[00:06:08] Speaker A: Je pense que quand M. Plamondon dit qu'il y a peut être pas assez.
[00:06:11] Speaker B: D'Enfants nés au Québec dans certaines classes, je pense que c'est un problème, la souveraineté, si elle se fait parce que c'est un parti souverainiste. Aux dernières nouvelles, le Pq, ça va se faire avec des gens raisonnables.
[00:06:22] Speaker A: Eux, c'est des gens déraisonnables.
[00:06:23] Speaker B: Et c'est pas ce que pspp a dit. Ben non, mais c'est des menteurs, qs. Qs également. Je veux dire, c'est des propagandistes. C'est des menteurs. C'est des sorciers. Oh. On va te donner des lunchs École, mon petit gars. Hey, les parents. Vous m'aimez, vous, hein ? Je veux donner du manger aux enfants. Voyons donc. C'est des patenteux, c'est des igoneux. C'est des amateurs. Amateurs. Hours qs et au travers, t'as quelques islamo gauchistes à l'abouasie qui va crier.
[00:06:56] Speaker A: Au fascisme en parlant de la seq.
[00:06:58] Speaker B: Quel bizarroïde, lui. Parce qu'ils ont des vins israéliens. Oui, oui. Ils ont du vin brassé par le Hamas aussi, en quatre parties. Il y a une quarantaine de produits qui viennent du Liban, contrôlés par Paul Hamas. Mais le Hezbollah, il y a quelqu'un qui nous écrit je reviens avec Jésus Marie. Les pins maristes. Allez voir le taux d'immigrés à la sortie des cours. Effectivement, ça pogne. Ça pogne, les gens. Les nouveaux arrivants qui arrivent ici veulent une structure, veulent de la qualité. Et souvent, ils viennent de pays de culture qui mettent l'éducation en 1ᵉʳ. Ces gens là sont prêts à se priver de repos pour envoyer leurs enfants privés. Donc PSPP a tombé dans stéréotype. Désolé, c'est pas bon.
[00:07:40] Speaker A: Pas une bonne traque, v. La souveraineté, les amis. Non, je passe à la religion verte. On a eu du monde qui sont montés dans le pont Jacques Cartier hier. C'est pas la 1ʳᵉ fois que ça arrive. C'est arrivé il y a quelques années. Les deux qui l'ont fait, d'ailleurs, ont fait un vidéo et eux, ils disent carrément là, à un moment donné, on est allé bloquer le pipeline Dan Bridge à une place, puis on n'a pas eu de couverture médiatique.
[00:08:06] Speaker B: Les éco terroristes.
[00:08:07] Speaker C: Donc on est monté dans le pont. On s'est fait énormément critiquer quand on a grimpé le pont Jacques Cartier. On s'est fait dire qu'on se trompait de cible, qu'on dérangeait les gens. Mais on s'est fait entendre partout. Là, les activistes de partout au Québec commencent à comprendre que la seule façon de faire passer leur message que l'urgence climatique, elle est réelle et que nous sommes en danger et que nous devons nous défendre, c'est de déranger et de choquer. La leçon est claire. Si on n'arrive pas à faire passer nos messages en étant plus soft, en faisant des actions qui perturbent énormément l'activité des pétrolières, mais qui ne dérange pas le quotidien des gens et qui ne choque pas, on nous entend pas. Les activistes comprennent ce message là. Il va falloir arrêter de se plaindre quand on va vous déranger, parce que l'heure est grave. On est en danger, il faut se défendre.
[00:08:56] Speaker A: On est le vivant qui se défend. Arrêtez de vous plaindre. C'est nous autres qui ont raison. Puis subi. En fait, vous devez accepter ce qu'on veut vous imposer. Non. Les enfants, c'est des fachos. C'est des fachos. C'est ça, ce que je dis depuis le début. C'est des gens qui veulent que le gouvernement Zweitausendein, par la force, impose à la population ce pourquoi elle n'a pas voté.
[00:09:16] Speaker B: Mais ce que eux autres souhaitent, dom.
[00:09:19] Speaker A: C'Est avant tout des enfants rois. Le gars.
[00:09:23] Speaker B: Qui est monté hier, d'ailleurs, avec la gourde, c'est des bébés, là.
[00:09:26] Speaker A: Là, c'est la canne de soupe sur la Joconde. Le gars avec la gros pro, hier, là, en passant, il s'appelle Olivier. Oh, c'est un Qs. C'est un Qs. Olivier Huard, candidat de QS dans 2010 Huit à Repentigny. Zweitausendein.
[00:09:40] Speaker B: Belle enfoirée. Pareil.
[00:09:41] Speaker A: C'est ce galère fière de son cou égoïste au cube. Ceux de qui je viens de te parler, c'est le collectif Antigone. Collectif Antigone, c'est eux autres. Il y avait bloqué. C'est ça. Occupation du terminal Valero de la. Du pipeline B. C'était il y a quelques années. 2020. Deux, en fait, ça fait pas si longtemps que ça. Donc il y avait bloqué ça. Juste après, il avait fait une lettre ouverte dans le Devoir qui avait été publié, où il demandait la fin du pétrole au Québec. Faut réduire de pétrole. Signé en passant par plein de monde, dont Laure Varidel. Je vais y revenir dans quelques instants.
[00:10:20] Speaker B: Et tous ses organismes, mais aussi Mᵐᵉ Potfun, Patrick Bonin. Oh. L'ancien Kingpin du Black. Pas l'ancien, le nouveau King Pierre.
[00:10:30] Speaker A: L'ancien Kingpin de Greenpeace. Ça, je veux dire Padbo.
[00:10:34] Speaker B: Candidat maintenant.
[00:10:35] Speaker A: Padbo. C'est le bon vieux Padbo.
[00:10:37] Speaker B: Padbo, oui. Patrick Bonin, padbo qui n'aime pas les paquebots. Hey, les gars, tassez vous. Attends un peu. Je suis en train de faire relever quelque chose. Ça va relever, toi. C'est beau, c'est gros, ça lève. Ce magistral doigt d'honneur en bois est tourné v. Le pont Jean Cartier. Et il est illuminé. Et c'est une gracieuseté de mort à live. Et on l'a envoie au dé manifestant ailleurs.
[00:11:02] Speaker A: Ÿ Tassez vous, c'est gros. C'était pas ça, ton thème d'épisode ?
[00:11:06] Speaker B: Non, c'est plus ça. Ouais, c'est ça. Ouais, c'est celui là. J'en ai un autre. Celui là, il est en plastique. Parce qu'il mène la guerre.
[00:11:15] Speaker A: En plastique.
[00:11:16] Speaker B: Tassez vous. Tassez vous, gang. Tassez vous.
[00:11:18] Speaker C: Oui, oui.
[00:11:18] Speaker B: Tassez vous, la poussette. Tassez vous. Écartez vous un peu. Il est très, très gros, lui. Il est magistral. Il est tourné. V. Le pont Jean Cartier, il est illuminé, il est jaune. Arrange.
[00:11:30] Speaker A: Et c'est le droit d'honneur de Morenaï. Mais là, il faut que vous compreniez. On veut pas, nous autres, bloquer les.
[00:11:35] Speaker C: Ponts, mais on n'a pas le choix. Personne n'a envie d'être ici ce matin, mais on n'a pas le choix parce que le message ne passe pas autrement. Mais j'invite la population à déposer sa colère. V. Le gouvernement. V. Les compagnies pétrolières qui continuent encore dans nos dos de faire des ententes pour des nouveaux projets pétroliers, de continuer d'extraire, de produire, de consommer du pétrole. Quand on sait très clairement que ce sont les 1ᵉʳˢ responsables de la crise climatique et qu'au Canada, on est le.
[00:11:57] Speaker A: 4ᵉ plus grand pollueur au monde. Choquez vous pas contre nous. Choquez vous contre le gouvernement qui vous permet de tainquer votre char.
[00:12:05] Speaker B: À toutes les fois que quelqu'un bloque quelque chose de même, je mets le feu d'un tireur. Comme en Haïti. Oui, comme en Haïti. Ils mettent la personne au centre du pneu.
[00:12:16] Speaker A: Ouais.
[00:12:16] Speaker B: C'est peut être pas bon, là. Et quand je disais plus tôt que perle brun.
[00:12:21] Speaker A: La torture s'appelle comme ça. Les médias se font complices de ça. C'est que, à Radkan, après ça, on.
[00:12:26] Speaker C: Va demander à Laure Varidel, qu'est ce que t'en penses ? 100000 automobilistes qui empruntent ce pont quotidiennement, est ce que c'est à eux de payer ?
[00:12:36] Speaker B: Grosse question.
[00:12:37] Speaker C: Non, ce n'est pas à eux de payer, évidemment, mais c'est aux élus de mettre en place des politiques publiques qui sont à la hauteur de l'urgence climatique. Je pense que l'intention n'était évidemment pas de nuire aux automobilistes. Ce qu'on entend beaucoup de la part en général, général, des gens qui optent pour la désobéissance civile, c'est de dire on a essayé tous les autres moyens avant. On n'est pas parvenu à faire entendre raison aux élus, à ce qu'ils prennent véritablement leur responsabilité pour protéger la santé.
[00:13:09] Speaker A: La sécurité des populations. Donc on est contraint de faire ça. Eux veulent que les élus deviennent des petits dictateurs. J'imagine que la question qui a été posée après par la journaliste, c'est.
[00:13:21] Speaker B: Donc comment expliquez vous que les gens.
[00:13:24] Speaker A: N'Élit pas de politiciens qui veulent mettre ça en priorité ? Parce que.
[00:13:28] Speaker B: Ils ont trois chars dans le cours.
[00:13:31] Speaker A: Puis ils utilisent les trois. Donc l'avion, quand c'est le temps, quand tu lui parles de pompe pour aller sur l'île de Montréal, pour aller travailler, ils veulent pas que ce soit fermé, ils en veulent même un autre. Eux souhaitent une dictature verte encore souhaitent que les. Puis ils vont faire ce genre de manifestation, c'est une secte, vont faire cette manifestation, des manifestations de même temps.
[00:13:49] Speaker B: Et aussi longtemps que les politiciens n'imposeront pas à la population leur idées à eux, non, non, c'est des fucking dangereux. Puis je vais te rappeler l'événement éco terroriste du chantier Nord Vault, quand il avait mis des clous dans les arbres, ils avaient saboté des. Il avait mis un genre de bombe ou pseudo bombe ou un élément explosif en dessous d'un camion, là. On les avait interrogés, ces gens là. Oui, mais c'est toujours le mais, hein ?
[00:14:16] Speaker A: Oui, mais c'est pour la cause.
[00:14:17] Speaker B: Oui, mais ils ne comprennent pas, c'est pour sauver la terre. C'est pour sauver la terre. Ils justifiaient l'injustifiable. Mais savez vous quoi ? Au final, ils sabotent une chose, leur propre cause, parce que hier, ils ont joué un vox pop de gens qui étaient tous en calvaire. Il y a des gens qui disaient Oui, oui, je l'aime la terre, mais ils sont dans le champ parce que je suis en retard.
[00:14:37] Speaker A: Puis je les appuyais là, je les appuie plus. Ils ont fait reculer leur cause hier. C'est l'ironie de la chose, là.
[00:14:43] Speaker B: Hier, le pont Jean Cartier était fermé.
[00:14:44] Speaker A: Au complet, incluant la piste cyclable. Oui, je sais. Ils ont eu à. Des cyclistes.
[00:14:56] Speaker B: Ah oui.
[00:14:57] Speaker A: Je t'amène à l'émission Feu vert, que Dan aime appeler Play goss. Très bon. La fin de semaine dernière, on se.
[00:15:02] Speaker C: Tu parlais de la religion à l'école tout à l'heure ? Oui, on s'en réjouissait un peu. Cette semaine, on a appris que l'université de Californie à San Diego impose maintenant une formation sur les changements climatiques. Et quand on dit impose, là, c'est qu'il n'y a pas de diplomation si on n'a pas suivi cette formation. On a lancé la question sur les réseaux sociaux de Radio Canada, d'environnement. Qu'en pensez vous ? Il y a eu beaucoup de bravo, bonnes idées. Absolument. Johan Bourgoin dit. C'est la moindre des choses. Il est grand temps d'assurer une éducation de qualité sur l'enjeu le plus pressant de l'histoire de l'humanité. Il y a Claudel Desrosiers, qui était le même médecin qui dit. Les changements climatiques et leurs impacts sur la santé sont désormais intégrés aux objectifs.
[00:15:41] Speaker A: D'Apprentissage de tout diplôme de médecine au Canada.
[00:15:44] Speaker C: On dit bravo, à notre tour. C'est très saussé. Ah, mais c'était pas assez. Il manque un petit bout. Ÿ Béatrice Vaugrande, d'Oxfam. Absolument, absolument. Puis évidemment, mon angle, ça va être. Est ce qu'on inclut aussi l'angle des.
[00:15:59] Speaker A: Inégalités à travers les changements climatiques ?
[00:16:01] Speaker B: Parce que les inégalités impactent surtout les populations déjà vulnérables. Faut une formation en plus sur les inégalités par dessus ça. Comme les trans, les obèses, les obèses.
[00:16:15] Speaker A: Trans non voyants, binaires, ultra binaires, non.
[00:16:16] Speaker B: Binaires, les uber sexuels. Non, c'est complètement. Là, on est dans le Walcaroni 1 min. Les consulaires sont le Walcaroni à matin, j'ai pas faim.
[00:16:22] Speaker A: Habituellement, je mange pas, mais là, tu.
[00:16:24] Speaker C: M'En sers une grande platée. Ils ont des emails des auditeurs qui ont su à rentrer. Dernier commentaire de Jean François qui dit. Effectivement, c'est super pertinent. Je suis enseignante d'éducation physique aux primaires.
[00:16:36] Speaker A: Et j'essaie toujours de tracer le lien entre la santé physique et mentale et l'environnement. Le gars est prof d'éduque aux primaires, puis essaie de. De temps en temps Brainwasher. Du peu jeune.
[00:16:45] Speaker C: Ouais.
[00:16:45] Speaker A: Le climat. Êtes vous éco anxieux ? Pas assez. Non, pas assez. Vous devriez l'être plus. Il y avait Boucard d'Iouf, aussi, qui était invité à l'émission, puis il allait à fin Boucard. Il allait foutrement fin Boucard. Mon grand père disait. Ouais, mais là, Catherine, je pense qu'il faudrait aussi, peut être avoir une intelligence artificielle qui impose aux politiciens un programme dans leur programme les changements climatiques. Ÿousand donc, lui, il veut. Il veut que l'intelligence artificielle décide à.
[00:17:16] Speaker B: La place des politiciens ce que la.
[00:17:20] Speaker A: Population doit faire pour les changements climatiques. C'est planète montréal. On est là dedans.
[00:17:24] Speaker B: Si l'intelligence artificielle te dit de te tirer en bas du pont, va tu le faire ? C'est drôle, l'intelligence artificielle, pareil, ces temps ci. Les photos de Trump, là, j'arrête pas encore. C'est fou, on est dans le McDonald's. Oh.
[00:17:36] Speaker A: Rhum all, cette semaine. Merci, génie. En arrière de ça, oui. Vous avez pas vu sur Trump ou McDo. Je t'amène maintenant dans l'émission de Pénélope. Vendredi dernier, on fait un bloc spécial justement sur qu'est ce que la science.
[00:17:49] Speaker C: Nous dit sur les changements climatiques ? Puis là, on reçoit deux scientifiques qui sont éco anxieuses. Voici, on a réussi que tout le monde sait qu'il y a un problème de changement climatique. Tout le monde en parle, mais le geste suit pas. J'avais parlé avec Louise Nadeau, notre grande spécialiste des addictions au Québec, puis j'y avais dit, dans le fond, moi, je pense qu'on est juste accro au combustible fossile. On est accro à la consommation, puis on a comme une fausse idée que tous ces gestes très destructeurs pour la planète, ça nous rend heureux. Mais ça nous rend pas heureux. Quand on parle aux gens qui ont reçu Milton sur la tête ou l'autre ouragan en vent, les gens qui ont brûlé dans les feux après de 2020 trois, les gens qui sont inondés, on n'est pas heureux. Donc il faudrait juste, comme, faire un.
[00:18:39] Speaker B: Changement radical de notre mode de pensée et de développement.
[00:18:42] Speaker A: Et les gouvernements, ils ont la responsabilité de nous piloter là dedans, ok ? Puis à ce moment là, c'est rare. Si on suit ces idées, il n'y aura plus d'ouragan, puis il n'y aura plus de feu où les gens sont malheureux. Tout le monde va être heureux.
[00:18:57] Speaker B: Parce qu'il n'y aura plus de feu, plus d'ouragan, plus de tornades, plus de désastres naturels, plus de tremblements de terre.
[00:19:02] Speaker C: Ouais.
[00:19:03] Speaker B: Ça va être un décor de cinéma complètement stable. Je suis en train de chercher mon petit fichier.
[00:19:11] Speaker C: J'ai comme pas le choix, je le cherche rapidement. Qu'est ce qu'il faut faire ? Qu'est ce qu'il faut faire ? Qu'est ce qu'on peut faire ? Comment vous vous déplacez au Québec ? C'est pas compliqué, là. Il y en a une chose, c'est comment vous déplacez vous ? Mais le territoire est vaste. Nous autres, on n pas de voiture, puis on s'arrête, on est à Montréal, puis après, on est dans les cantons, puis on quête des lifts à tout le monde. Puis tout le monde est gentil, maintenant.
[00:19:38] Speaker A: En plus, ils nous disent Ah, c'est bien.
[00:19:41] Speaker B: Oui, avec plaisir, avec plaisir. Ça va nous déculpabiliser de vous apporter, de vous amener à la campagne. Ok. Mais c'est pas. On est là. On est carrément là, les amis. Ben oui, ben oui. Fabine et Bottine. Quelle belle émission.
[00:19:59] Speaker A: Si tu prônes le radicalisme, il faut que tu suives les babines. Elle. Elle l'a dit, ça. Elle dit qu'elle têtait des lifts. Elle vérifie 1 min. Mais c'est parce que si tout le.
[00:20:06] Speaker B: Monde fait comme toi, tu peux plus têter de lif, ils ont plus de char. Oh, c'est bon, t'en as plus de liffs à têter, là. Mais il faut que l'entièreté de ta vie soit ce que tu dis. Sinon ce que tu dis, c'est de la marde. C'est de la bullshit. C'est du baratin. Tu dis carrément des paroles dans le vide. Ÿousand ça va nous rentrer par une oreille, ça va sortir par l'autre. Donc fini les voyages consommation. Oh, on est dans le zéro déchet, là, ici. Au zéro déchet, zéro viande, zéro déchet, zéro transport.
[00:20:37] Speaker A: Avec de l'essence à tête des lits. Ouais, mais à peu à tête des lits.
[00:20:43] Speaker C: Fait que des gens qui ont des chars à gaz, c'est ça ? Ben, j'imagine. Mais l'autre chose vérifier, là. L'autre chose à faire. Horreur. Fayard. Pour vous, les choix de la consommation.
[00:20:55] Speaker B: Moi, je suis végétarienne.
[00:20:57] Speaker A: Je suis convaincue qu'il y en a qui adorent ça, la viande, mais c'est plus possible. Donc réfléchissez à comment vous consommez. C'est vraiment donneuse de leçons, la viande.
[00:21:04] Speaker C: Ce n'est plus possible. Non, non, ce n'est pas. Je termine là dessus. Ce n'est pas du donnage de leçons, c'est pas un jugement de valeur. Et de grâce, vous qui nous écoutez, ne pensez pas que c'est une posture morale, parce que. Il y a ça qui rentre en ligne de compte. Puis c'est vrai que les vies, il faut qu'on élève nos enfants comme ça, faut qu'on se déplace comme ça, faut qu'on mange comme ça. Ce n'est pas du tout la morale qu'on vous fait fait ce matin, là.
[00:21:33] Speaker A: Mini moins une, là.
[00:21:35] Speaker B: C'est.
[00:21:36] Speaker A: C'est le message de nos scientifiques ce matin, à qui on devrait juste dire un énorme merci pour le travail, vraiment pas facile. Donc c'est vraiment drôle. Ce n'est.
[00:21:45] Speaker B: Pas un jugement, mais il est 0 h 15.
[00:21:54] Speaker A: Il est pas mini moins une, là. Il pleut. Ah. Je me fais que du bacon. Ah.
[00:21:59] Speaker C: Ok.
[00:21:59] Speaker A: Il est h à radio x, Moray live Radio X. La Legion of Doom présentée par Crown, qui t'offre 10 de rabais.