Les Québécois devraient UNIQUEMENT REGARDER LA TÉLÉ QUÉBÉCOISE!

September 17, 2024 00:14:34
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Les Québécois devraient UNIQUEMENT REGARDER LA TÉLÉ QUÉBÉCOISE!

Sep 17 2024 | 00:14:34

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[00:00:00] Speaker A: Let's go live now from the Tower of Doom. The Legion of Doom. Bon, faisons du domien un petit peu. On a glissé un mot hier, pis là je vais vous le faire entendre carrément. Un match de la NFL à Montréal, ça vous tente-tu? [00:00:16] Speaker B: C'est chouette que Montréal puisse accueillir le Québec, le gouvernement du Québec souhaite accueillir des événements comme ceux-là. Comme je te dis, notre intention, c'est d'aller davantage et encore plus vers des événements comme ceux-là. À l'NFL, la semaine passée, Roger Goodell a dit « Peut-être 16 matchs à l'international. » Montréal, évidemment, lève la main. On est là-dessus. On veut jaser avec l'NFL et on jase déjà avec l'NFL. [00:00:38] Speaker A: Ils sont déjà en discussion avec l'NFL pour un match comme on a fait au Brésil dans l'NFL, bien en faire un ici à Montréal au Stade Olympique. [00:00:46] Speaker C: Bien oui, remplis ça bien tête là. [00:00:49] Speaker A: Ah mais arrête ça! [00:00:51] Speaker D: Avec... voyons, Delorme. Gilbert Delorme. [00:00:55] Speaker C: Gilbert Delorme, oui. [00:00:56] Speaker A: Mais ça serait rempli, oui. Mais ça n'arrivera pas. [00:01:00] Speaker C: C'est sûr que ça va être rempli. [00:01:01] Speaker D: Non, il y a beaucoup de choses. [00:01:02] Speaker A: Si la NFL vient à Montréal, c'est sûr que ça remplit. Ça, il n'y a pas de question. [00:01:05] Speaker C: Ça remplit à les églises aussi. [00:01:06] Speaker D: Vous êtes trop excités. [00:01:08] Speaker A: Ça chiale sur le Brésil. [00:01:10] Speaker D: Elle a dit, on jase avec la NFL. On veut jaser avec la NFL. [00:01:16] Speaker A: Après ça dit, on jase déjà avec la NFL. [00:01:19] Speaker D: C'est flou. Moi, je veux jaser avec Eva Longoria. Je pose son numéro. Je veux jaser avec une telle, une telle, une telle. [00:01:27] Speaker A: Non, non, non, non. Tu jases déjà avec Evalyn Gaurier. [00:01:30] Speaker D: Ouais, sur un site de fan club. C'est ça. Mais! Ma peur est la suivante. C'est... The King's Fear. J'ai peur qu'il nous... King's... King's... Zeer. [00:01:46] Speaker A: Oh, man. Ouais, non. Non, non, non. [00:01:48] Speaker D: Le King's 2.0. Non. [00:01:50] Speaker A: Ça lui va pas. [00:01:51] Speaker D: Ben c'est ça. Le gouvernement veut. C'est ça qu'elle a dit. [00:01:55] Speaker A: Oui, je sais. Mais ça n'arrivera pas. La NFL, c'est un sac, ça. Ils sont trop riches pour ça. Parce qu'écoute... [00:02:01] Speaker D: Mais on va déplier, on va déplier, on va déplier, on va leur faire une offre. Oui, je comprends. [00:02:04] Speaker A: Mais c'est parce que la NFL, ils viennent d'aller au Brésil. Le Brésil, il y a bien des affaires tout croches, mais les sports sur gazon, ils connaissent ça quand même pas pire. Puis les joueurs ont chialé encore une fois. La qualité du gazon, non, ça fait pas... [00:02:16] Speaker C: En fait, les seuls qui sont capables de coter, d'équivaloir, c'est les Européens. [00:02:21] Speaker A: C'est ça. [00:02:22] Speaker D: Roger Goodell, qui s'appelle comme ça. [00:02:24] Speaker C: Puis eux autres, ils font ça pour vendre le sport. La NFL, à chaque vendredi, ils sortent des centaines et des centaines d'autobus du Canada remplis de fans qui vont remplir les stades aux États-Unis. Ils n'ont pas besoin de venir ici. [00:02:38] Speaker D: Ben non, ils n'en ont pas besoin. Roger Goodell vient. Là, il est dehors du stade. Il a le goût de vomir. On l'amène dans le stade, juste les jodeurs, il a le goût de vomir. On l'amène au milieu du terrain, il regarde ça, puis il dit « qu'est-ce qu'elle fait là ? » et il le dégobille. Qui, maintenant, tiendra le plat pour ramasser le vomi ? C'est là qu'est la question. [00:03:00] Speaker A: Jordan Love. [00:03:02] Speaker D: C'est qui qui va ramasser le vomi de Roger Goodale quand il va voir le stade ? Là est la question. [00:03:10] Speaker C: Très bonne question. [00:03:12] Speaker D: C'est impossible, là! [00:03:13] Speaker C: Sortir des États-Unis pour aller d'un stade intérieur, comment? [00:03:16] Speaker D: Non, mais ils ont démoli plein, plein de stades totalement wack, la NFL. Le Silverdome. Il y en a plein, là, des stades qui ont boulé, là, des dernières années, des dernières décennies. Le stade de Montréal. Ils ont tout boulé. Si ça avait été un stade de la NFL, il aurait été dynamité. Ici, on fait du blabla, on veut protéger la station de métro. C'est un barnache, voyons donc. Redis. [00:03:39] Speaker A: Je le sais que le stade des Saints, il est lait pis il est vieux, là. Mais ils ont mis beaucoup d'argent du pareil. [00:03:43] Speaker C: En dedans, il est beau. [00:03:45] Speaker A: Ouais, en dedans, il est beau. Dehors, il est vraiment lait. [00:03:47] Speaker D: Ouais, il est très lait. Ça ressemble à un bouton. Un pustule. [00:03:51] Speaker A: Ouais. Ça a l'air d'une... [00:03:53] Speaker D: Un bouton... [00:03:54] Speaker A: Un cheminée nucléaire. [00:03:55] Speaker D: Oui! [00:03:56] Speaker A: Ça a vraiment l'air de ça. Janet Bertrand, elle était aux Gémeaux dimanche soir. C'était les Gémeaux dimanche soir. Et elle a dit quand même ceci. [00:04:05] Speaker E: Notre télévision, elle est très bonne parce que nous formons un couple depuis 1952. J'étais là en 1954. En 1952, on forme un couple, la télévision et nous, parce qu'on se reconnaît. C'est nous autres, c'est notre télévision. Dans les couples, il y a toujours un ou une qui veut aller voir si c'est meilleur ailleurs. [00:04:24] Speaker A: C'est vrai, de temps en temps, mais c'est pas... [00:04:26] Speaker E: Mais il faut pas y aller parce que notre télévision est meilleure! [00:04:30] Speaker C: Oui! OK? [00:04:32] Speaker A: C'est vrai ça. Ça aussi c'est une belle sagesse. [00:04:34] Speaker B: Oui vraiment. [00:04:35] Speaker A: Jeannette Bertrand qui parlait pour la télé québécoise lors de la cérémonie des Gémeaux. Ah de la belle sagesse. Restez, faut pas regarder ce qu'il se fait ailleurs. Regardez juste ce qu'il se fait au Québec. Ailleurs c'est tout de la mal. Je sais, je sais. C'est comme dans le temps de... Elle a l'âge qu'elle a. [00:04:52] Speaker D: C'est dans le temps de quelle famille? Avec ma caire, ma caire. [00:04:57] Speaker A: Mais je pense qu'il y en a... [00:04:59] Speaker D: Avec le chien, ma carrière, quelle famille? [00:05:01] Speaker A: L'autre qui embarque, il y a 40 ans, là. [00:05:03] Speaker D: Après, là. [00:05:03] Speaker A: Il a de la sagesse, ça. Faut pas regarder ce qui se fait ailleurs de la TV, c'est juste ici, là. [00:05:09] Speaker D: Mais elle, c'est ça, c'est intouchable. Jeannette a le droit. [00:05:12] Speaker A: Je sais. [00:05:12] Speaker D: Mais elle a le droit. [00:05:14] Speaker A: Mais je pense qu'il y en a beaucoup qui, à moitié de son âge, qui pensent de même. [00:05:17] Speaker D: C'est ça. Si t'as... À partir de 60 ans, t'as plus le droit, t'sais. T'as un stade où elle a le droit. Elle, elle a le droit, mais les autres ont pas le droit. On se comprend? [00:05:26] Speaker C: J'ai un meilleur coup de pas à faire. [00:05:28] Speaker D: Vas-y donc. [00:05:29] Speaker C: La semaine passée, j'ai regardé le premier épisode d'une série québécoise. Et j'ai aimé ça. [00:05:35] Speaker D: Oui, c'est correct. [00:05:36] Speaker C: Moi, c'est très rare. Moi, c'est très très rare. Les armes. [00:05:40] Speaker D: Moi, je l'ai regardé, mais je ne l'ai pas écouté encore. [00:05:42] Speaker C: Moi, j'ai écouté le premier épisode, je ne pensais pas écouter le deuxième. J'étais malade, j'étais là, il jouait. J'ai vraiment aimé ça, je veux plus écouter les autres parce que je sais que je vais vouloir tout écouter en rafale. [00:05:52] Speaker D: As-tu regardé Dumas? Moi je les tape et à un moment donné je vais m'en claquer deux-trois en ligne. [00:05:55] Speaker C: J'ai pas regardé Dumas. [00:05:56] Speaker D: Moi je les enregistre les deux, j'ai plus confiance en Dumas qu'en les armes. [00:06:00] Speaker A: C'est une fois par semaine ça? [00:06:01] Speaker D: Oui, c'est un combat. C'est Fabienne contre Fabienne. [00:06:04] Speaker A: Oui, c'est vrai. [00:06:05] Speaker D: C'est le Fabienne de Fabienne Show. [00:06:07] Speaker C: C'est sûr que Fabienne va gagner. [00:06:10] Speaker D: Fabienne a l'épicerie d'après moi le prix des Bleuets à sa balance. [00:06:13] Speaker C: C'est que dans un, elle a pris... Elle avait deux vedettes dans District 31, c'est son plus gros show. [00:06:19] Speaker A: Elle les a splittées. [00:06:20] Speaker C: Avec Hildar Vincent-Guillaume-Otis, elle les a splittées. [00:06:22] Speaker D: Ouais, je sais! Ça a l'air bon pour vrai. Je vais la regarder à un moment donné. [00:06:28] Speaker A: Pis dans deux cas, Québécois gagne. [00:06:31] Speaker D: Ben ça je sais pas, y'en a. [00:06:32] Speaker C: Un qui est à... Radio-Cannes. [00:06:34] Speaker A: Qui est à Radio-Cannes, ouais. C'est qui qui l'a produit? C'est Fabienne, pis Fabienne, Québécois de l'argent dedans. [00:06:39] Speaker D: — Je sais pas. [00:06:41] Speaker A: — Ah oui, c'est vraiment dingue, sérieusement. Fait que même si tu passes à Radgan, des fois, les Québécois auraient les doigts dedans, pareil. [00:06:46] Speaker D: — Jonathan, puis il faut donner la parole aux militaires, là. Jonathan, il a été militaire, puis il confirme que c'est très bon. [00:06:51] Speaker A: — Ah oui? OK, c'est mieux. [00:06:53] Speaker D: — Si vous dites, les militaires, que c'est bon, on va vous écouter. [00:06:55] Speaker A: — La pub sur le français, Eddy Van Roberge. [00:07:02] Speaker F: Mais en même temps, on fera pas des lois pour tout sur tout. À un moment donné, les Québécois sont ceux qui choisissent la langue qu'ils utilisent. Puis on veut faire prendre conscience aux gens qu'écoutez, on se lève le matin, on s'intonise à une émission de radio, la vôtre peut-être, en français, c'est un choix. Ça se choisit aussi lorsqu'on se... On choisit d'écouter de la musique, des artistes. Ça se choisit aussi lorsqu'on choisit une série télé. On le voit, il y a beaucoup de campagnes publicitaires. C'est la rentrée automnale. Beaucoup, beaucoup de télévisions francophones de grande qualité, québécoises de grande qualité. Ça se choisit aussi en syntonisant Mace Bourria le matin plutôt qu'une autre émission qui serait dans une autre langue. J'imagine que vous êtes d'accord avec moi, M. Mace Bourria. [00:07:47] Speaker A: Ah, si les gens nous écoutent, je. [00:07:48] Speaker D: Vais être d'accord avec tout ce que vous allez dire, M. Roberge, non. [00:07:51] Speaker A: Donc c'était à deux émissions de radio différentes, puis il y avait la même ligne. C'est un choix, écouter en français à la radio. [00:07:57] Speaker D: Et est-ce que ça s'est fini par... auriez-vous un peu de gargarisme parce que j'ai la langue foutuement brune? Non. Il y a une langue brune là. Moi j'aime pas ça les brown nose, les langues brunes j'aime pas ça, les politicos là. Oui vous avez tellement un bon programme M. Moret, vous avez tellement... Dominique, on se connait, on va se tutoyer. Non merci. C'est un brown nose. Beaucoup de gens... Andy, va à la roberge. [00:08:21] Speaker C: Beaucoup de gens réagissent au fait que, parce qu'on a parlé de séries télé, du mois pis les armes là, beaucoup d'anciens militaires, la moitié qui écrivent c'est une parodie de l'armée pis l'autre moitié qui nous disent c'est exactement ce qui se passe dans l'armée. [00:08:32] Speaker D: Parce que ceux qui l'ont écrite, ils ont été consultés, ils ont utilisé des ressources militaires pour l'écrire. Oui je sais, mais c'est quand même. [00:08:43] Speaker C: Romancé parce que c'est de la TV. Je veux juste vous dire quelque chose, toutes les shows de TV, peu importe le domaine, c'est jamais du réel. [00:08:50] Speaker D: J'écoute Chicago Fire, c'est sûr qu'un pompier regarde ça, mais c'était pas moi là. C'est pas vrai qu'on regarde la TV à trois jours. [00:08:56] Speaker A: J'ai pas écouté District 31, mais de ce que je comprends, il y avait juste un journaliste qui couvrait la police. [00:09:01] Speaker D: District 31, y'avait vraiment par contre juste une cafetière. [00:09:10] Speaker A: C'est la seule chose que j'ai vu, j'ai vu une publicité pour les armes, y'a l'air d'avoir du budget un peu plus. [00:09:16] Speaker C: Mais c'est normal que ce soit pas réaliste, c'est de la TV. On le sait que c'est pas réaliste. [00:09:20] Speaker D: C'est ça, exact. Les shows de police non plus, c'est. [00:09:22] Speaker C: Pas... Non, c'est pas réaliste. [00:09:24] Speaker D: Non? [00:09:24] Speaker E: OK. [00:09:25] Speaker D: Puis ça arrive-tu des fois les émissions comme sur les motards, des fois, il y en a un qui se fait livrer devant un bunker en steak haché, comme c'est arrivé à Frampton. [00:09:37] Speaker C: Ou en saucisse. [00:09:38] Speaker D: Ouais, en steak haché. Non, ça arrive plus ça. Ça arrive pas? OK. [00:09:41] Speaker A: Hier, le Bloc a gagné dans la salle, Verdun, Patent, tout ça, whatever. C'est une bonne chose, parce que le Bloc représente le Québec. Le Bloc représente les Québécois. [00:09:55] Speaker G: À chaque fois qu'il faudra voter, le Bloc québécois va dire, est-ce que c'est bon pour le Québec? Si c'est bon pour le Québec, on va voter pour. Si c'est mauvais pour le Québec, on va voter contre. Les gens n'ont rien à craindre de voter pour le Bloc parce que nos votes sont conditionnés par les intérêts du Québec. Sachant très bien qu'à terme, l'intérêt ultime du Québec, ce sera de s'approprier tous les attributs de la souveraineté. [00:10:18] Speaker A: Ah, OK, ouais. Ouais, fait que, bref. [00:10:20] Speaker C: OK. [00:10:20] Speaker A: Mais là, c'est parce que la majorité des Québécois sont pas sur l'est. [00:10:22] Speaker C: C'est parce que j'ai hâte à la campagne électorale! [00:10:24] Speaker D: Fédéraliste à l'os pour se ramasser une belle pension. [00:10:27] Speaker A: Oui! [00:10:27] Speaker D: Mais quand ça va venir le temps de poignarder le Canada, on va être là avec un p'tit PSPP. [00:10:33] Speaker C: Mais ça serait le fun qu'ils le poignardent à matin, là. [00:10:34] Speaker A: — La taxe carbone, aimez-vous ça au Québec, payer plus cher votre essence? [00:10:39] Speaker C: — Ça là. [00:10:39] Speaker G: — C'est le principe même de la reconnaissance des changements climatiques et des dangers des changements climatiques qui est en cause. C'est comme si, en jouant dans le mauvais théâtre des conservateurs qui disent «Oui, oui, on reconnaît que ça existe, mais surtout ne faisons rien!» Mais le NPD s'éloigne de ce qui devrait être sa propre définition du gros bon sens. Ça va des inondations, aux ouragans, aux sécheresses qui provoquent des feux de forêt. Mais la logique conservatrice que le NPD ne doit pas acheter, puis qui est pas si loin de celle des libéraux aussi, c'est subventionnons les pétrolières et on paiera peut-être après pour les dommages causés par les effets des changements climatiques. Les Québécois ne veulent pas ça. [00:11:24] Speaker A: Non, les Québécois ne veulent pas ça, là. Les Québécois, ils veulent payer des taxes. [00:11:29] Speaker D: Les Québécois veulent du transport en commun. Les Québécois veulent payer plus cher pour le courant, mais se faire contrôler pour l'utilisation du courant. Les Québécois, les Québécois... Ah non, je suis plus capable. [00:11:40] Speaker C: Je suis plus capable. Foisy, là. C'est quoi son nom, Foisy? Non, non, il est pas à TV là, là. Lui, là, toutes les fois qu'il parle, pis qu'il parle de ça, le panier-service, pis on a décidé d'avoir tout ça, c'est nous autres qui a décidé de payer nos impôts pis de... On l'a bien passé, c'est un choix de société. [00:11:55] Speaker D: C'est le porte-panier de PQP, là. [00:11:57] Speaker C: Honnêtement, j'ai... [00:11:58] Speaker D: C'est le porte-panier. [00:11:59] Speaker C: Il me donne de l'horticard. [00:12:00] Speaker D: Oui, mais c'est le porte... Non, mais là, t'en as déjà eu. [00:12:02] Speaker C: Je sais. [00:12:02] Speaker D: Il y a quelques heures à peine, je te ferais remarquer. [00:12:04] Speaker C: Mauvais gag. [00:12:05] Speaker A: Mais regarde, si c'est pas assez clair que le bloc... [00:12:07] Speaker D: On va faire un zone-off-est si ça continue. Avec les familles. On va éviter les familles à te toucher. Guérissez, Dan. Donnez-y de l'amour. [00:12:17] Speaker A: Ou pognez-en zone-off. [00:12:18] Speaker D: Ou guérissez-le. [00:12:22] Speaker A: Si c'est pas assez clair que le bloc appuie la taxe carbone... [00:12:26] Speaker G: Si c'est à la taxe carbone, méchant, tarification carbone, méchant, ben je vais dire, écoutez, on n'est pas d'accord avec vous, donc on votera pas avec vous. [00:12:34] Speaker A: Ouais. Le Bloc, il veut que vous soyez taxés pour sauver la planète. Ça revient à ça. Puis, Mme Buzetti est bien d'accord. [00:12:44] Speaker H: Jeremy Tsing, le chef, se colle de plus en plus sur les positions populistes de Pierre Poilièvre. Les gens, donc les particuliers, et je le cite ici, ils font leur part pour lutter contre les changements climatiques. Alors moi, je ne sais pas, quand je regarde les données sur la croissance du parc automobile canadien, où le trafic aérien, Francis Vaille dans la presse nous expliquait cet été que les émissions du Québec imputables à l'avion ont triplé depuis 1990. C'est pas dans la bonne direction que l'on va. J'ai décidé, il y a eu doute sur les efforts. [00:13:13] Speaker A: Non, vous faites pas assez d'efforts. Faut vous punir les Québécois. Vous prenez trop votre voiture. Vous faites trop de voyages. Faut vous punir. Faut vous taxer jusqu'au jour où vous n'aurez plus les moyens d'avoir de voiture. Vous n'aurez plus les moyens de faire de voyage. C'est ça le but. On a une planète à sauver. [00:13:29] Speaker D: Quel délire. Vous savez ce que j'en pense de tout ça. Moi aussi j'ai hâte à l'élection Danny Boy. [00:13:36] Speaker C: J'ai hâte au débat. J'ai hâte de voir les face-à-face. [00:13:41] Speaker D: J'ai hâte de voir. Débat en anglais, Poirier va gagner, mur à mur. Ça va être une démolition frontale. En français, il va se débrouiller. Oui. Le gros bon sens. C'est pour ça que le Québec, non, ça va être bon aussi. Mais l'autre va picosser le bloc. Je pense que Trudeau va essayer de parler. [00:14:00] Speaker C: Oui. [00:14:00] Speaker D: Je pense qu'à peu près... Est-ce que ça va être un face-à-face bloc? conservateur. [00:14:04] Speaker C: Bloc conservateur, pis quand ça va faire... [00:14:07] Speaker D: Oui, ça y est, c'est ça. [00:14:08] Speaker C: Quand ça va faire 15 minutes que le débat va être commencé, pis ce sera déjà la 46e fois que Pierre Poilievre va utiliser l'expression bloc libéral. [00:14:15] Speaker D: Bloc libéral. [00:14:16] Speaker C: L'autre va sortir de ses gants. L'autre va être rouge. [00:14:17] Speaker D: Ah oui, c'est le débile. [00:14:18] Speaker A: Non, mais c'est parce qu'il va troller à l'os. [00:14:20] Speaker C: Il va être rouge libéral, d'ailleurs. [00:14:21] Speaker A: Mais c'est ça. Poilievre, je pense qu'il aime ça le piquer. [00:14:25] Speaker D: Ben oui! [00:14:25] Speaker A: Et François Blanchet. [00:14:26] Speaker D: C'est sa personnalité. Il l'haït. Je le sais, je le sais. [00:14:29] Speaker A: Bloc libéral. [00:14:31] Speaker D: Bloc libéral à fond. Hier, on a tué.

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