Maurais Live - Intégral du 17-09-2024

September 17, 2024 03:59:56
Maurais Live - Intégral du 17-09-2024
Maurais Live
Maurais Live - Intégral du 17-09-2024

Sep 17 2024 | 03:59:56

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Maurais Live - Intégral du 17-09-2024
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[00:00:00] Speaker A: Générique de fin Sous-titres réalisés para la. [00:00:38] Speaker B: Communauté d'Amara.org. [00:01:03] Speaker A: Live avec Dominique Morin. Morin. Live avec Dominique Morin, Dan Gravel et Dom Dumas. Radio X. Bon réveil. Bienvenue à Radio Wix dans Montréal Live. Mon nom est Doom Morin en compagnie de Doom Juma, l'autre Doom que vous avez entendu pendant une demi-heure, Dan Gravel. On est en direct de Grande Allée. C'est mardi et l'été qui refuse de mourir. On aime ça comme ça, oui. [00:01:40] Speaker B: L'été ne fait que commencer. [00:01:43] Speaker A: Oui, exact. On a sauté par-dessus l'automne et par-dessus l'hiver et par-dessus le printemps. Et on a fusionné. J'ai entendu hier des gens se plaindre. Oui, mais dans tel secteur, l'humidité dans tel secteur, il reste quatre jours. [00:02:00] Speaker B: L'humidité du mois de septembre, là. [00:02:02] Speaker A: Il reste quatre jours. [00:02:03] Speaker B: C'est pas pénible, là. [00:02:05] Speaker A: Ah non, c'est juste parfait. [00:02:08] Speaker B: À moins que vous fassiez de l'escalade sur votre mur de briques, là, c'est pas pénible de rester dehors. [00:02:13] Speaker A: C'est juste parfait. [00:02:14] Speaker B: C'est la perfection. [00:02:15] Speaker A: 17 degrés actuellement à Québec. On aura 27 aujourd'hui. Demain, 28. Jeudi, 27. Donc la trifecta, elle est parfaite. Je vois pas de pluie avant une maudite secousse. Vendredi, 22. Et c'est là que la banane s'inverse par la suite. On s'en va tranquillement pas trop vite vers l'automne. Il faut bien y arriver à un moment donné. Les feuilles commencent à changer de couleur. On aura du 19 et du 18 en fin de semaine. Mais c'est du soleil. C'est parfait. La nuit, 8 degrés. On dort les fenêtres ouvertes. C'est juste parfait. Y'a personne qui se plaint. 886709098. Dans quel coin vous êtes? [00:02:57] Speaker B: Bon, on veut le savoir. [00:02:58] Speaker A: Les auditeurs, dans quel coin vous êtes? Décrivez-nous. On a tout un show pour vous autres. Frank s'en vient. Anthony Marcon, j'ai hâte de l'entendre. Anthony qui a été affecté à la couverture du Canadien. Un rêve de p'tit gars. Mais oui, les p'tits gars, on veut tous être proches du Canadien. Les p'tits gars du Québec, oui je sais, vous avez été nordiques. Lui aussi, il a été nordique d'après moi. Son père avait des billets de saison. Il venait de Victo. Puis, il amenait son petit cul au Colisée. Ouais, mais les Nordiques sont plus là. Donc, il est content d'être affecté aux Canadiens. Et on va y parler tantôt. C'est le premier bloc hockey de la saison. Même s'il n'y a pas de hockey. Même si les gars sont en short, en gogounes et en calottes. On va jaser avec Anthony parce que ça sent bon. Il va falloir garder les attentes basses hier. Je trouve qu'on... Je trouve qu'on l'a... On l'a pas échappé, mais maudit, les attentes, les attentes. [00:04:02] Speaker B: Ah tu trouves ça... [00:04:03] Speaker A: Pour gérer, oui. [00:04:05] Speaker B: Ah moi je suis d'accord, pardon. [00:04:07] Speaker A: Ouais mais toi, t'es animateur de radio. [00:04:09] Speaker B: Ouais, je sais. [00:04:10] Speaker A: Eux autres, ils sont dans le bateau. [00:04:12] Speaker B: Je sais. Sauf qu'ils ont des billets de saison à vendre aussi. [00:04:16] Speaker A: Ils ont des billets de saison à vendre, pis ils peuvent pas dire ouvertement, on fera pas les séries. Sauf que là, ils ont mis les attentes élevées. Oui, le boss a fait sa job. Le boss a fait sa job. Le boss a fait sa job, c'est-à-dire... Le boss a dit quoi? a dit qu'à la période des échanges, il faut que le Canadien soit dans la course aux séries. Je pense que Martin est d'accord avec ça. Martin Saint-Louis qui est arrivé avec sa première comparaison de l'année. Il dit, un enfant de 6 ans, t'exige des choses, mais quand il est rendu à 17 ans, t'exige autre chose. Ça ressemble un peu à ça. Un extrait qui paraît-il a joué hier à Radio-X que j'ai pas entendu. [00:05:00] Speaker B: Je l'ai ici, je peux te le faire entendre. [00:05:01] Speaker A: Oui, mais ça c'était juste parfait. [00:05:03] Speaker B: Celui-là? Ouais, parfait. [00:05:09] Speaker A: Plus que c'est comme un enfant, tu sais. Les demandes d'un jeune de 10, 12 ans, 15, 16 ans versus un gars de 6, 7 ans, tu sais. Tu t'attends à plus. C'est comme ça, coacher une équipe. Tu t'évolues comme équipe. Voilà, c'est ça. Il a raison. Il a raison. Dôme du mort. [00:05:30] Speaker C: J'adore les images de Martin Zellweger. [00:05:31] Speaker A: Oui, c'est la première d'une collection. [00:05:33] Speaker C: Et honnêtement, il fait rire de lui à cause de ces images. On y comprend parfaitement. [00:05:37] Speaker A: Il fait pas rire de lui. Mais il serait bon animateur de radio. [00:05:41] Speaker C: Oui, oui, oui. [00:05:42] Speaker A: Il parle... Ils dessinent, ils dessinent à le monde. [00:05:45] Speaker C: Pour qu'il se comprenne. [00:05:46] Speaker B: Mais on lit quand il dit des affaires comme il faut jouer à la game dans la game. Ça c'est drôle, ça c'est drôle. [00:05:52] Speaker A: Tandis que ça, il a tout à fait raison. Et les boss, ils ont pas le choix de... comme vous dites, ils vendent des billets de saison, c'est sûr qu'à un moment donné... Oui, mais c'est square! [00:06:01] Speaker C: Être un fan des Canadiens, puis habiter à Montréal, bon, il faudrait avoir les moyens aussi, là. Mais j'y penserais bien de saison. Ou au moins aller voir le Canadien une couple de fois cette année. Je crois qu'ils vont être dans la course. Je crois même qu'ils pourraient faire des séries. Mais au-delà de ça, peu importe ce qui arrive, je pense que le Canadien va être intéressant cette année. Versus les dernières années où... C'est un tendu renduré, là. [00:06:25] Speaker A: Ils vont mélanger les cartes. J'aurais aimé ça qu'ils le disent de même. On va mélanger les cartes. [00:06:28] Speaker B: On va être tannant. [00:06:29] Speaker A: On va être tannant. On va embrouiller... [00:06:33] Speaker C: On a deux Jackals, on va être tannant. [00:06:35] Speaker A: Moi je pense que c'est plus Lainey et Cole Caulfield qu'il va falloir regarder. Les Jackailles, ils vont pogner des 5 minutes et ils vont nous mettre dans le trouble. [00:06:44] Speaker C: C'est étonnant ça. [00:06:46] Speaker A: C'est pas sûr que le deuxième va jouer aussi. [00:06:48] Speaker C: C'est pas sûr qu'ils vont jouer les deux. [00:06:50] Speaker A: Il y en a un qui a moins de talent que l'autre. On exagère beaucoup sur Jackailles, un nom qu'on n'était pas capable de prononcer il y a à peine deux ans. On est en train de peut-être l'échapper un peu de ce côté-là. Moi, je pense qu'il faut regarder Suzuki, qui est rendu dans le cœur de son développement. Crocophile, il faut qu'il soit plus régulier. [00:07:09] Speaker C: Toi, tu parles d'hérageant en mettant un puck dans le net. Moi, je parlais d'hérageant dans les coins. [00:07:14] Speaker A: Ben il faut que, c'est sûr, il joue contre Boston souvent, c'est sûr qu'il va falloir frapper à un moment donné, mais t'as beau regarder, parce que là on est dans les microstats, on comptait pas ça avant, les mises en échecs, t'as beau en avoir fait sur les 17 contre 42, si tu payes 4-1 contre Buffalo, t'es pas avancé. Il va falloir le mettre dedans, plus régulier Cole Caulfield. Laney, moi je pense que c'est le vol du siècle. Le vol du siècle. Si ce gars-là joue à la hauteur de son talent, qu'on a vu, qu'on a vu, moi je ne l'ai jamais rencontré, mais on l'a vu, on voit ses buts. C'est le vol du siècle. Très confiance en Montembeau. Personne ne parle de lui, mais Montembeau, c'est un Christy de goaleur. Excusez-moi, c'est un Christy de goaleur. Le goaleur le plus sous-estimé de la Ligue. Montembeau. Je ne suis pas en train de dire que c'est Carey Price ou je ne suis pas en train de dire que c'est Hellebocq. Hellebocq est numéro un goaleur de Winnipeg. Mais pis y'a pas d'éclassement que t'as donné de goaleur, Dan. J'aime ça qu'y'en parle pas. On n'en parle pas. Mais c'est ça que j'aime, le sous-marin! [00:08:19] Speaker C: Oui, pis ça fait du bien qu'à Montréal, pour la première fois en 25 ans, on parle pas des goaleurs. [00:08:23] Speaker B: Hier, je voyais les trios sortir. [00:08:24] Speaker A: Ça t'as raison. [00:08:25] Speaker B: J'ai vu les trios sortir, y'a plusieurs personnes qui s'essaient pis t'sais, ça ressemble pas mal à Suzuki, Slavkov, Phil, le premier trio. Et par la suite, les autres participants. [00:08:35] Speaker A: Slavkovski, quel joueur! [00:08:37] Speaker B: Ben oui, lui, ça va être le meilleur. [00:08:38] Speaker D: Oui! [00:08:40] Speaker B: Ensuite, le deuxième trio, on mettrait Dak avec Newhook, puis Lainey. [00:08:44] Speaker A: Dak, s'il se blesse pas. OK. Il le transe pas, lui. [00:08:47] Speaker B: Fragile. Dvorak, Roy Anderson. [00:08:50] Speaker A: Roy, aussi couru. [00:08:51] Speaker B: Evans, Armia Gallagher. [00:08:54] Speaker A: Dak, je le sais pas. Mais, quelle est la chance. By the book, c'est sûr que c'était un top, top, top choix de Chicago que Hughes est allé chercher, mais... Il était blessé pas mal depuis qu'il est arrivé à Montréal. Je sais pas, j'ai peur de ce gars-là. J'ai peur qu'il se blesse. Je veux pas trop en parler. Plus on en parle, plus... je sais pas. [00:09:16] Speaker C: Plus il a mal. Plus ils sont jinxés. [00:09:19] Speaker A: Plus ils sont jinxés, je veux pas... [00:09:21] Speaker B: Hier, en entrevue, j'ai compris, non seulement il était prêt, mais je pense que si les Canadiens faisaient série, il aurait été là. Ça a été une grosse blessure l'année passée, il a joué juste deux lignes. Mais les autres saisons qu'il a jouées, tu vois, 70 sa première saison à Chicago et 58 la deuxième à Montréal. [00:09:40] Speaker A: Avec 58, ça c'est quand même 25 matchs, 20 matchs de moins que le régime. Il a pas manqué des saisons complètes, c'est ça. [00:09:49] Speaker C: Je promets de ne pas le rendre dans mon pool cette année. Fait qu'il se blessera pas. [00:09:53] Speaker A: Il est jeune aussi, là. C'est un kid, là. C'est pas lui qui est dans la conversation, là. Je veux dire, c'est l'aîné, beaucoup. C'est Cole Café, plus régulier, Cole. Des fois, il est nuggé, mais sans scorer. L'euro, 15 buts en 12 matchs. [00:10:11] Speaker C: Ah mais ça, ça va se reproduire. [00:10:13] Speaker A: Ouais. [00:10:13] Speaker C: C'est un gars de séquence. [00:10:16] Speaker B: C'est un gars de séquence. [00:10:17] Speaker A: C'est ça. C'est un gars de séquence. [00:10:18] Speaker C: Comme plusieurs gars de talent dans la ligue. [00:10:20] Speaker B: Non seulement ça, Cole Caulfield, à cette heure, on peut le dire, il aimait la fête. [00:10:26] Speaker A: Ah oui? C'est un fête-art? [00:10:28] Speaker B: Fête-art, je le sais pas, mais il aimait ça. [00:10:30] Speaker A: Ça va pas. [00:10:31] Speaker B: Mais là, parce qu'il fallait lire entre les lignes que lorsque sa blonde du Wisconsin est venue le rejoindre à Montréal cet été, On comprenait que la vie allait changer pour Cole Caulfield, et possiblement que le hockey prendrait une place un peu plus au sérieux. Donc en gros, ce qu'on disait, c'est que Cole Caulfield, sa blonde, n'était pas là, puis il en profitait en masse. [00:10:51] Speaker A: Michel, tu écris encore du sport un matin? [00:10:54] Speaker B: Oui. Le monde se plaigne beaucoup sur le fait qu'on parle de sport le matin. Je ne comprends pas pourquoi, Chris. [00:10:59] Speaker A: C'est la vie, là. La vie, dans la vie, il n'y a pas juste la droite. Oui, je le sais, vous aimeriez peut-être. Moi, je l'adore, Adrien. Adrien, je vais y jaser un peu plus souvent dans mon podcast. Je peux pas faire des entrevues avec Adrien à 6h10 ce matin. [00:11:21] Speaker C: Vous voulez de l'enjeu analyse des deux partiels d'hier? [00:11:24] Speaker A: Le déficit de la France, puis le déficit du Royaume-Uni, puis je peux pas. On a du fun dans la vie, dans la vie et tout. Il y a de l'amusement, de l'entertainment, il y a des sourires, il y a du showbiz, il y a... Dom. [00:11:37] Speaker C: Parle-Nous de Elmwood Transcona. [00:11:40] Speaker A: C'est qui ça? C'est le ministre de Norfolk? [00:11:42] Speaker C: Non, c'est l'autre circonscription qui avait une élection complémentaire hier soir. [00:11:46] Speaker A: Ouais, le NPD, hein? [00:11:48] Speaker C: Oui, oui, au Manitoba. [00:11:48] Speaker A: On va en parler, mais tantôt. [00:11:50] Speaker C: OK. [00:11:50] Speaker A: Donc, dans la vie, il y a... À 10 ans et quart? Non. Tantôt. Dans la catégorie 11-6 courus. À 6h11. Et dans la vie, il y a le deep down également et on plonge dans les fonds des abysses. [00:12:03] Speaker C: On parle encore de sport. [00:12:07] Speaker A: C'est très gossant. [00:12:11] Speaker C: Sport. [00:12:11] Speaker A: J'en fais. Éric! Les gars! C'est des gars qui nous écrivent. C'est très gossant le sport le matin. Les gars! Vous êtes femellisés! [00:12:26] Speaker B: Mais tu vois, pour un gars qui écrit ça, tu en as 22 qui rient. Non, non, on aime ça. [00:12:31] Speaker A: Je sais. On cherche les poux. Alors voilà. Il y aura du sport, mais il y aura beaucoup de showbiz aussi. [00:12:39] Speaker C: Ceux que vous parlez de sport sont ceux qui empêchent les jeunes de jouer dans la rue. [00:12:43] Speaker B: Ben oui, c'est ça. C'est la même gagne. C'est exactement la même gang. [00:12:47] Speaker A: Des emmerdeurs. [00:12:48] Speaker B: Sidney Crosby, c'est digne de mention. [00:12:51] Speaker A: Prolongation et il se rend jusqu'aux Olympiques. [00:12:56] Speaker B: 19 saisons, mais ce qui est intéressant, c'est qu'il va gagner le même salaire pendant 19 ans. 8,7 millions de dollars par année. 8,7 millions de dollars par année pendant 19 saisons pour Sidney Crosby. On s'entend pour dire qu'il aurait pu faire pas mal plus de cash que ça. Hier, il a encore été distribué des billets de saison aux fans des Penguins. Il est complètement malade, ce gars-là. Sidney Crosby, c'est... C'est des athlètes comme on en voit trop peu. C'est des athlètes qui non seulement dominent le sport, mais qui en plus prennent le temps de saluer les gens qui le font vivre, c'est-à-dire les partisans, les fans. Y'en a pas tant des athlètes qui sont de haut niveau, là. Y'a Sydney Crosby pis Tadej Pogacar, c'est les seuls. [00:13:39] Speaker A: Au football, y'en a-tu? [00:13:43] Speaker B: Non. Basket non plus. Y'a peut-être Jason Kelsey qui le faisait, là. Je le voyais hier encore monter dans le football. Ce gars-là, c'est un kludd. [00:13:51] Speaker A: Ah oui, il donne un show là-dessus, il donne un show. Il est plus sympathique que l'autre. Ben oui, assurément. Il est plus sympathique que l'autre. Assurément. Dreiss Heitel, 14 millions. Matthews, 13,2. 12,6 pour Nathan McKinnon. McDavid, 12,5. Mais 8,7 pour Sidney. Il fait le même salaire que Patrick Laney, qui a rien prouvé à date. Mais il revient des limbes. Il a du talent. Mais Sidney Crosby, c'est l'un des meilleurs joueurs de l'histoire du Canada. [00:14:22] Speaker C: Lucas Raymond des Red Wings a signé quasiment pour ce montant-là hier. Lucas Raymond, Cynic Rosby, pas dans la même discussion. [00:14:31] Speaker A: Everybody loves Raymond. [00:14:32] Speaker B: Pis oui, tu le dirais, je suis qu'aux Olympiques. [00:14:34] Speaker A: Mais oui! Oui, c'est ça. C'est le capitaine. C'est le papa dans le vestiaire. Et les assistants, ça va être McKinnon et McDavid. Seigneur, je suis quasiment en mode Olympique. [00:14:47] Speaker B: C'est correct que tu sois en mode Olympique, parce que c'est le prochain grand rendez-vous qu'on veut voir. Moi, le tournoi de Gary en 2025, je m'entorche comme dans l'an 40. [00:14:56] Speaker A: Ça, c'est pour faire plaisir aux brasseries et aux commanditaires. [00:15:00] Speaker B: On a parlé du Canadien tantôt, c'était le tournoi de golf. [00:15:03] Speaker A: Encore du sport? [00:15:04] Speaker B: Ça va être le VO2max, puis après ça, on va commencer le camp d'entraînement. [00:15:07] Speaker A: VO2max! [00:15:08] Speaker B: Déjà lundi, premier match en concours. [00:15:11] Speaker A: On y va! On organise un bus qui est très vite, c'est le 7-0-9-0-9-8. [00:15:15] Speaker B: On attend un Kings, Zeph. [00:15:16] Speaker A: Pour le premier match, ça va être comme les Lyon-Trois-Rivières qui vont jouer. [00:15:19] Speaker B: Oui, c'est ça. [00:15:20] Speaker A: Mais vous pouvez y aller. [00:15:21] Speaker C: Alors, t'es excité. [00:15:22] Speaker B: Tu sais, au début, quand... [00:15:23] Speaker C: Quand le début de la saison commence, on va y aller. [00:15:25] Speaker A: Au début... Ça, c'est toi qui viens de m'imiter. Oui, c'est ça. [00:15:28] Speaker B: Au début, quand l'équipe joue deux matchs le même soir. L'équipe B à New Jersey, l'équipe A à Toronto, c'est un peu niaiseux. [00:15:38] Speaker A: Richard qui vient de la poignée, 87, 8,7 millions. [00:15:41] Speaker C: Il a toujours fait ça. [00:15:43] Speaker A: Richard vient de la poignée. [00:15:45] Speaker B: Salutations à Richard. [00:15:47] Speaker C: Il a voulu se faire fourrer de même pendant toute sa carrière. [00:15:49] Speaker A: Est-ce qu'il y a du salaire? C'est ça que je voulais conclure avec ça, ma question. Et la suivante, est-ce qu'il y a du salaire à porter? [00:15:56] Speaker C: Pas supposé. [00:15:57] Speaker A: Pas supposé. Comme Otani et quelques autres. [00:15:59] Speaker C: Non, non, non. Pas... Non? [00:16:01] Speaker A: Non. OK. [00:16:02] Speaker C: À moins qu'il y ait un contrat caché quelque part. [00:16:04] Speaker B: De toute façon, moi, si c'était les pingouins de Pittsburgh, je demanderais pas à ce que ce soit retardé. Je me fie à l'histoire avec Mario Lemieux, là. Je voudrais être payé là. [00:16:16] Speaker A: Oui, c'est ça. [00:16:18] Speaker B: J'avoue. Les Eagles de Philadelphia contre les Falcons d'Atlanta hier, encore une fois, une petite surprise. Mais tu sais, c'est drôle parce que dans la NFC, en début de saison, quand on parlait de Super Bowl, on parlait des Eagles, on parlait des Cowboys, on parlait des Lyons. Les trois ont perdu contre des clubs de la NFC South en fin de semaine. [00:16:34] Speaker C: Oui. [00:16:36] Speaker B: C'est ça qui arrive, c'est ça le football. Vous allez me dire que c'est la semaine numéro 2, faut pas overreact. Mais quand même grosse défaite pour les Eagles hier. On va dire grosse victoire pour Mathieu Bergeron, les fromageries Victoria et les Falcons atlantiques. [00:16:46] Speaker A: C'est-it! [00:16:47] Speaker B: C'est-it! Et où est meilleure? C'est-it! Hier, c'était ça beaucoup. Aflaldelphie en plus, là. Magique. Kirk Cousins le lundi soir, Aflaldelphie, tête, oui, boum, dans le cadis. [00:16:58] Speaker C: Les Eagles ont tellement eu une deuxième moitié de saison, médiocre l'an dernier que je suis sûr que ça se pose des questions à ma trèfle de Delphi. [00:17:08] Speaker B: C'est une grosse cuvée de carrières recrues. Tu sais, quand je vous dis les carrières recrues ne devraient pas jouer à leur première année. Il y a trois carrières recrues qui jouent cette année. Jayden, Daniels, Caleb Williams et Beau Nix. Deux matchs de jouées chacun. Aucune passe de touché. Zéro. Sweet fuck out. Aucun des trois. Ça n'est pas arrivé. Ce n'est pas la place pour un carrière recrue. [00:17:31] Speaker A: Ça dépend. Joe Burrow, il n'était pas pire. [00:17:33] Speaker B: Oui, je sais qu'il y a des exceptions. Mais il aurait été encore meilleur si... C'est pas correct. C'est juste ça. [00:17:40] Speaker A: Rester sur les lignes de côté. [00:17:42] Speaker B: Apprendre à rire. [00:17:44] Speaker C: Il y en a un qui a starté au premier match l'an dernier, qui avait des attentes, qui s'appelle Bryce Young, qui va être benché le prochain game. [00:17:50] Speaker A: Love, je comprends qu'il est blessé, mais Love a commencé son année recrue. Il a joué à son année recrue. [00:17:58] Speaker B: Il a resté 4-5 ans. [00:17:59] Speaker C: C'est ça, il était derrière Aaron Rodgers longtemps. [00:18:01] Speaker A: OK, c'est beau. Il était le back-up de Rodgers. [00:18:03] Speaker B: C'est pour ça, d'ailleurs, que Rodgers est parti. C'est parce qu'à un moment donné, il fallait que tu le fasses jouer, Love. Pat Ponce est resté attendu sur le terrain aussi. [00:18:10] Speaker C: Les Packers ont fait ça, ça fait deux fois de suite qu'ils font ça. T'as eu Brett Favre, ils ont repêché Aaron Rodgers avant que Brett Favre soit fini. Red Fire va m'emmener parti pour faire de la place à Rodgers, qui avait passé au moins trois saisons comme back-up. Puis là, ils ont fait la même patente avec Jordan Locke. [00:18:27] Speaker B: C'est ma dernière nouvelle de sport, vous dire que Telgate hante les Lyon de Détroit et les Buccaneers de Tampa Bay. [00:18:35] Speaker A: Y'a-tu de la bagarre? [00:18:36] Speaker B: Ben de la bagarre, tu dis, ça s'est tiré au gun. [00:18:38] Speaker C: Hé! [00:18:38] Speaker A: Voyons donc! J'ai même pas vu ça! C'était à Detroit? [00:18:41] Speaker B: Y'a eu une fusillade, c'était à Detroit, pis on vient d'annoncer le deuxième décès. [00:18:45] Speaker C: Ben voyons donc! Tab! [00:18:49] Speaker A: Ok. [00:18:49] Speaker B: C'est un tailgate qui branche un pultron. [00:18:51] Speaker A: Tailgate à Detroit. Ouais. Juste ça, c'est... Daniel's... C'est le nom d'un band. Tailgate in Detroit. Dernière soirée, ça va être bon, au festival d'été. Oui, oui, oui. Tailgate in Detroit. Ça va se battre anti-péché. [00:19:06] Speaker B: On est dans le deep down là, je vous parle de Sean Combs. Sean Diddy, comme il aime se faire appeler. [00:19:13] Speaker A: Quel beau jeu de mot, New York Post, Cough Daddy. Il était menotté. [00:19:20] Speaker B: En fait, il s'est rendu à New York avec son gars. Il s'en va à New York pour se faire arrêter. Il savait que c'était ça qui allait arriver. Puis il arrive là avec son gars. [00:19:29] Speaker A: Beaucoup de sangénie dans le domaine du showbiz. [00:19:33] Speaker B: C'est des allégations pour des agressions sexuelles. En fait, il y avait eu déjà, il est encore passé en cours, lui, une poursuite au civil l'automne dernier. Et suite à cette poursuite-là, il y a un paquet de plaintes qui a été fait. Il y a déjà les politiciens en Californie et en Floride qui avaient investigué, qui avaient fouillé ses maisons. Puis là, finalement, on a procédé à l'arrestation hier soir à New York. [00:19:53] Speaker A: « Sex trafficking » comme ils disent. C'est «one level up» là. [00:19:58] Speaker C: Tu sais à un moment donné que t'es pas capable de sortir le «bum» du gars? Moi, encore un moment. Parce que le gars vaut un milliard de dollars, là. [00:20:06] Speaker B: Pis y'a des artistes, là, qui sont sortis, Mary J. Blige, t'sais, t'en as un paquet, là. T'as des artistes très très connus qui sont sortis pour le dénoncer. Mais c'est un bombe qui va passer le restant de ses jours en prison, là. [00:20:15] Speaker C: Mary J. Blige, c'est l'ancienne femme, justement, de... [00:20:17] Speaker B: Je sais pas, là, j'ai... Les anciennes femmes... Ah, sure... Non, non. [00:20:21] Speaker C: Mais voyons comment il s'appelle, voyons... Notorious B.I.G. C'était sa conjointe, quand il est décédé. [00:20:27] Speaker A: Ouais, y'en a beaucoup qui... [00:20:28] Speaker C: Elle était dans l'entourage, elle était proche, même, de pauvre Daddy, là. [00:20:32] Speaker B: Un beau milieu. [00:20:33] Speaker A: Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. [00:20:35] Speaker B: Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. [00:20:36] Speaker A: Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. [00:20:37] Speaker B: Un beau milieu. Un beau milieu. [00:20:38] Speaker A: Un beau milieu. [00:20:38] Speaker B: Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. [00:20:40] Speaker C: Un beau milieu. [00:20:40] Speaker B: Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. [00:20:44] Speaker A: Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. [00:20:45] Speaker B: Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. [00:20:46] Speaker A: Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. [00:20:51] Speaker B: Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. [00:20:52] Speaker A: Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. [00:20:54] Speaker B: Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. Un beau milieu. [00:20:58] Speaker A: Comme aux States. [00:21:00] Speaker B: Pareil, comme aux States. [00:21:02] Speaker A: J'aime ça au moins. [00:21:03] Speaker B: Des caméras. Je veux te parler d'une fillette de 5 ans. Elle, elle va dans une école islamique. C'est un détail dans l'histoire. Et puis, je te rassure, non voilée. Elle a 5 ans, elle est non voilée. Puis je pense qu'elle ne sera pas non plus parce que j'ai vu sa mère aux nouvelles, puis elle ne l'est pas non plus. Mais ils envoient quand même leurs enfants dans une école islamique de New York où ça coûte 7000 $ par année envoyer une enfant de 5 ans à l'école. Et il y a un transport scolaire qui est fait par un minivan. Le chauffeur de la minivan a ramassé toutes les élèves comme il le fait chaque matin. Il est allé les porter à l'école. La petite fille de 5 ans s'est endormie dans le minivan. Lui, à 7h du matin, il arrête. Boum! À l'école, les enfants débarquent. Il ne compte pas les enfants. Il a un rendez-vous à l'hôpital dans un autre quartier de New York. Donc lui, il part, t'en vas, arrive, stationne son véhicule. Et le véhicule est stationné là pour la journée. Il fait 82 degrés New York. Il y a une jeune fille de 5 ans qui est enfermée dans le véhicule. Il n'y a pas d'air climatisé, il n'y a pas de moteur. [00:21:56] Speaker A: Il l'avait oublié. [00:21:57] Speaker B: Il était en avion. Exactement. La petite fille, imagine-toi donc, trois heures plus tard, elle s'est réveillée en âge. À quoi? En âge, tu sais, elle était toute tranque pis là, elle était de sueur, elle était mouillée, mouillée, mouillée. [00:22:09] Speaker A: Ah ben chaud. [00:22:09] Speaker B: Ouais. Elle a réussi à casser la fenêtre de l'auto avec son soulier. [00:22:14] Speaker A: De l'autobus? [00:22:15] Speaker B: Ben oui, c'est une minivan. [00:22:16] Speaker A: Ok, ok, ok. Côte d'Orléans. [00:22:18] Speaker B: Oui, exactement. Noir, je vous rassure. Elle a réussi à péter la fenêtre et à sortir de là. Le premier étranger qui est passé a donné le numéro de téléphone de son père, qui l'a appelé. Donc elle, elle réussit à elle-même de sortir de là à 5 ans quand même. C'est une super histoire. Puis le gars... Des bouillardes? Je sais pas, j'ai jamais vérifié. Je m'attendais pas à ce qu'en 15 minutes, un enfant puisse s'endormir... [00:22:41] Speaker A: Il s'endormait sur le bain, il l'a pas vu. [00:22:43] Speaker B: Il l'a pas vu, exactement. Donc c'est une histoire qui, heureusement, se termine de la bonne façon. Restaurant végétarien, comment vous aimez ça? [00:22:50] Speaker A: Je suis déjà allé au bol vert un moment donné, il y a 25 ans, à Trois-Rivières, mais c'était pour faire plaisir à une fille avec qui je voulais coucher. C'était mon histoire de restaurant végétarien. [00:23:03] Speaker C: Je pense que je serais pas allé. [00:23:04] Speaker A: Le bol vert, les amis! À Trois-Rivières! Let's go! Le bol vert! 88-770-9098. J'ai jamais été en manche à Trois-Rivières. [00:23:09] Speaker C: Juste le nom, c'est pas très regouttant. [00:23:10] Speaker E: Art! [00:23:10] Speaker A: Le bol vert. Le bol vert! Wow. Celui-là, là, Dan, il vient de me ramener un souvenir du boulevard royal. [00:23:24] Speaker B: Le boule vert royal, tu veux dire? [00:23:26] Speaker A: Ouais, le boule vert. [00:23:27] Speaker C: Je n'ai jamais mis le pied dans un restaurant végétarien. [00:23:30] Speaker B: Non, non. Tu n'as jamais fait ça? Je pense pas moi non plus. [00:23:32] Speaker C: Ça m'arrivera pas non plus. [00:23:33] Speaker B: Y'avait pas Georges Larac qui avait ça, un restaurant vegan? Ça se peut. Peut-être. Bonne chance, Georges. Je parle plus de viande avec. [00:23:36] Speaker C: Je me suis déjà pincé avec en oncle. [00:23:39] Speaker A: Je parle plus de viande. [00:23:42] Speaker B: Moi, ce que je trouve très drôle, c'est les histoires de Beyond Meal pis toutes ces patates-là. Si vous voulez en manger des burgers, mangez-en vierge avec du steak haché dedans. C'est bien correct, là. [00:23:52] Speaker A: C'est tough, les restos. Ben oui, c'est tough à Laurier. Je sais pas si c'est encore là. Copper, Cooper, Copper. Y'a... Comment ça s'appelle dans ce restaurant-là? C'est ça, c'est une galette de tofu. Je trouve ça rough. Ça prend beaucoup, beaucoup d'épices. Beaucoup, beaucoup d'épices. En fait, c'est des épices avec un peu de galette. C'est une belle chaîne et tout ça. Pour les gens qui aiment ça, c'est parfait. Moi, personnellement, je suis allé là une fois, je trouvais ça top. [00:24:23] Speaker B: Moi, j'ai goûté le Beyond, on m'a dit, j'ai fait voir que c'est pas tant. On m'a dit, essaye l'Impossible. J'ai essayé l'Impossible aussi. Non, ça goûte pas le boeuf. [00:24:30] Speaker A: Yves Végé, ça a commencé dans le coin de Vancouver. Moi, je restais là. Ah, essaye ça, Yves Végé. [00:24:35] Speaker B: Yves. [00:24:35] Speaker A: Il y a un gars qui s'appelle Yves que je connais pas, qui a inventé ça. Mais... Yves, Y-V-E-S. [00:24:41] Speaker C: Yves... [00:24:47] Speaker A: Et Les saucisses hot-dog, j'suis capable. Les saucisses hot-dog au-dessus, j'suis capable. [00:24:52] Speaker B: Ouais, j'ai pas essayé, j'ai pas essayé. [00:24:54] Speaker A: Ouais. C'est presque pareil, pour vrai là. Mais le reste, on s'est couru. [00:24:58] Speaker C: J'en recule le truc là, parce qu'il y a plusieurs questions. Le bol vert. [00:25:02] Speaker A: Ouais, il est fermé depuis un bout. [00:25:04] Speaker C: Ouais, non mais ça a-tu marché ce soir-là? [00:25:06] Speaker A: Oui. [00:25:06] Speaker C: Ok. Tu vois, c'est ça qu'on voulait savoir. [00:25:08] Speaker A: La luzerne, c'est payant. [00:25:09] Speaker C: Ça vaut la peine au moins. Au moins t'as pas fait ça pour rien. [00:25:12] Speaker A: Oui. C'est la seule fois où ça a été payant de manger de la luzerne. [00:25:17] Speaker B: Kevin Hart a ouvert une chaîne de magasin fast food qui s'appelle Hart House où c'est uniquement un menu vegan. Tu peux aller manger un burger, des frites, c'est vraiment la même espèce. une espèce de patente que tu retrouves partout avec des sauces toutes, mais c'est totalement 100% vegan. Ça a été ouvert il y a deux ans. Regarde, c'est le genre de menu que tu peux voir là. Tu vois, il y a des frites, il y a des burgers, ça a l'air d'être un menu de fast-food régulier, mais tout ça est vegan. OK, garde d'homme. [00:25:43] Speaker A: Oui, mais les frites, c'est des pommes de terre. [00:25:44] Speaker B: Ah oui, non, je comprends. [00:25:45] Speaker A: Ça, c'est correct. Je vais prendre beaucoup, beaucoup de frites avec une bouchée de burgers. Je te laisse le reste du burger. [00:25:51] Speaker B: Bien, je vous confirme que Art House, tous les restaurants ont été fermés hier. Ça marche. [00:25:59] Speaker A: C'est gros ce que tu racontes là, quand même. Le gars, il a quand même un nom, là. [00:26:02] Speaker C: Oui. [00:26:03] Speaker A: Wow! Il en avait combien? [00:26:05] Speaker B: Il en avait beaucoup. [00:26:06] Speaker C: Mais lui, est-ce que c'est vegan dans la vie? [00:26:07] Speaker B: Ben, je sais pas si c'est vegan dans la vie, mais tu trouves pas un restaurant vegan si t'es pas vegan. [00:26:11] Speaker C: Ben, ça me semble. [00:26:13] Speaker B: Mais ils ont tous fermé les restaurants hier. C'est chapter 11 pour la chaîne de restaurants. Comme quoi, les vegans pis des burgers, arrêtez là. [00:26:23] Speaker A: Vive Wahlburger. Wahlburg, la famille Wahlburg. Ils ressemblent à leur mère, Donny, pis Marc, Donny que j'adore dans Blue Blood, entre autres. Si vous mangez dans un Wahlburger, y'a pas assez de Wahlburger au Québec. En fait, y'en a pas. La salade au steak haché. À Myrtle Beach, manger ça. [00:26:43] Speaker B: La salade au steak. [00:26:44] Speaker C: Ah, c'est malade. [00:26:45] Speaker A: Non, non, il y a du steak en étoile, là. Mais c'est des burgers. Fait que je vais prendre une salade pour bien me sentir, mais au steak haché. C'est bon, c'était qu'un rêve pour vrai, là! Une salade avec beaucoup de steak haché dedans. [00:26:57] Speaker C: C'est bon! [00:26:57] Speaker A: Une salade au poulet, c'est-tu bon? Bon, c'est ça. Salade au steak haché, c'est très bon. [00:27:01] Speaker B: OK. [00:27:01] Speaker C: T'as quoi? [00:27:02] Speaker A: Wahlburger. Ça m'en prend au Québec. Y'a pas assez de Wahlburger au Canada. [00:27:06] Speaker B: Pas assez de burger. Moi, je mangerais des burgers tout le temps. [00:27:09] Speaker A: D'ailleurs, j'ai une bonne histoire de burger tantôt. Conclusion de mon spectacle. [00:27:13] Speaker B: Je te fais entendre un extrait maintenant d'un balado qui s'appelle Plume dans le cul. [00:27:17] Speaker A: Oui. [00:27:18] Speaker B: Plume. [00:27:19] Speaker A: Ouais, c'est qui qui l'anime? [00:27:21] Speaker B: Je sais pas c'est qui qui l'anime, mais cette fois-ci, on a... [00:27:22] Speaker C: La personne avec les plumes dans le cul, là. [00:27:24] Speaker A: Parce que c'est un nom de plume, visiblement. [00:27:26] Speaker B: Ça doit être une... Y'a une drague, fait que ça doit être elle qui l'anime. [00:27:28] Speaker C: J'imagine. [00:27:29] Speaker A: C'est une drague! [00:27:31] Speaker B: Donc là, y'a une drague, y'a un gay qui est là, et puis Safia Nolain. [00:27:35] Speaker C: Fait que deux inconnues, puis Safia Nolain. [00:27:38] Speaker A: Ouais, j'ai entendu, mais il fallait jouer pour elle. [00:27:42] Speaker B: J'aime bien les gays. [00:27:42] Speaker A: Ben oui. [00:27:43] Speaker C: Faites-tu ça le nom de son livre? [00:27:44] Speaker A: Oui, oui, oui. Ben moi, je le dirais toujours, c'était mon p'tit 11 septembre. [00:27:47] Speaker E: Il a dit qu'il était gay! [00:27:48] Speaker C: Ah moi je me souviens que j'étais ouf! Moi j'étais comme catastrophe! [00:27:51] Speaker A: Qu'est-ce qui se passe? On le reconnaît pas. [00:27:55] Speaker E: C'est-à-dire on le respecte dans sa sexualité. [00:27:57] Speaker C: No king shaming. [00:27:59] Speaker A: No orientation shaming. Mais on le réclame pas. [00:28:02] Speaker C: Il est déjà perdu. [00:28:05] Speaker A: La belle gauche, le coeur sur la main. [00:28:07] Speaker B: Parlez d'Éric Duhem. [00:28:08] Speaker A: Inclusif! Nous sommes inclusifs. La liberté et l'inclusion, la diversité, c'est tout du blabla. Vous le voyez que c'est tout de la bullshit. C'est du baratin, c'est du blabla. Je m'aime et gay. [00:28:23] Speaker C: C'est pas un bon gay. [00:28:24] Speaker A: C'est pas un bon gay. C'est un mauvais gay. Très, très mauvais gay. On l'a vu de toute façon quand il a fait son coming out. Éric, tout le monde en parle entre autres. Il l'a fait dans un lit, mais y'a pas ça tout le monde en parle. Moi je m'en souviens. Ça a vraiment donné la couleur de la gang. La ga-gang qui exclut, la ga-gang qui aime beaucoup se parler entre elles. Ben voyez. Un autre exemple. [00:28:45] Speaker C: T'es pas un bon gay, Michel Blanc, c'est pas une bonne trans. [00:28:47] Speaker A: Safia Nolin qui crie à tue-tête « Ah ouais, moi j'suis exclu, on rit de moi, j'suis magané, j'suis insulté », fait pareil envers Duhem. [00:28:57] Speaker D: Wow. [00:28:58] Speaker C: Safia, imagine ce matin qu'Éric Duhem jouait à la victime comme toi tu l'fais. [00:29:04] Speaker B: Donc c'est ça, je voulais absolument vous faire entendre cet extrait-là, c'est quand même... Moi c'est le gars qui dit « C'était mon 11 septembre ». [00:29:11] Speaker A: Amen. La belle éclusion de Montréal. [00:29:15] Speaker B: D'abord, être tombé des nues quand il a fait son annonce aussi, c'était assez surprenant. [00:29:18] Speaker C: Il a ça. [00:29:19] Speaker A: Je peux pas. [00:29:20] Speaker C: Ouais, c'est parce que nous autres on le savait depuis longtemps aussi. [00:29:23] Speaker B: Ouais, peut-être ça là. Je suis rendu dans mes Springfield News. [00:29:28] Speaker A: C'est bon. J'aurais aimé ça que tu me donnes une toune de vaudou. [00:29:33] Speaker C: On parle du train de nos nez rouges ou on parle de... Comment il s'appelle déjà le chat? Snowball. [00:29:38] Speaker B: Snowball. Maintenant on y va avec d'abord le gouverneur qui dit que les alertes à la bombe ça vient de l'extérieur de l'OIU. [00:29:44] Speaker A: Les alertes à la bombe, parce qu'il y en a, je sais pas pourquoi. [00:29:47] Speaker B: Oui, ils ont des alertes à la bombe. [00:29:48] Speaker C: Et ça, c'est toute la faute de Trump. C'est prouvé. [00:29:51] Speaker B: Oui, je sais. Tabarnouche l'enfer. Mais la nouvelle la plus drôle, c'est qu'un shérif dans le coin, élu, un vrai shérif, qui se promène avec une pancarte de Kamala Harris et qui prend en note tous ceux qui votent pour Kamala Harris, il pose la question, puis il invite tous les autres républicains à faire exactement la même chose parce qu'il dit, un coup qu'elle va être élue présidente, ça nous prend des adresses pour envoyer le surplus de monde qu'on a. [00:30:15] Speaker A: Très bon. [00:30:16] Speaker B: Donc on va fournir les adresses et les noms de tous ceux qui votent pour Kamala Harris, histoire de monter des campements sur ces terrains-là et non pas sur les nôtres. [00:30:27] Speaker C: C'est fou comment la gauche parle de cette histoire-là sans parler de cette histoire-là. [00:30:33] Speaker A: Ben ils vont pas. Ils sont pas allés. [00:30:35] Speaker C: Ils parlent pas de la crise qui se passe là. Ils s'en servent juste de manière politique dans le titre. Ah les chiens, il est dégueulasse d'avoir dit ça. Ah là, il y a des alertes à la bombe, c'est de la faute à Trump. [00:30:45] Speaker A: Alors que fondamentalement, l'histoire, c'est une crise sociale, c'est une crise de communauté. [00:30:49] Speaker C: Oui. La première fois qu'on en a parlé, c'était avant le débat, c'était Dan qui nous en a parlé, du monde qui se réveille le matin, il ouvre le fenêtre, pis il y a du monde qui sont campés sur le terrain. Pis tu peux pas rien faire. [00:31:01] Speaker A: C'est ça l'histoire. Oui. Les chats, les chiens, c'est de l'anecdote. En fait, c'est ça que Menzies nous l'a dit hier. Même lui, il n'en a pas la preuve. Menzies a un excellent point. [00:31:12] Speaker C: Il a bon pif. [00:31:13] Speaker A: Dans l'ère où tous les journalistes... Comment je pourrais dire ça? Dans l'ère où tout le monde peut être journaliste civique. En fait, tout le monde a un cellulaire. Si, par exemple, il y a un... Je raconte un peu n'importe quoi, là. Conducteur du RTC se baisse les culottes un matin. On va le savoir, on va le voir. Il y a 90% des gens dans tel, tel, tel autobus à Québec qui ont un cellulaire. Est-ce qu'on se comprend? OK, parfait. Comment ça qu'on n'a pas vu de vidéos? Oui, on a vu des vidéos de gens qui ont été arrêtés pour de l'abus d'animaux, mais lorsqu'on parle d'haïtiens comme tels, montrez-moi pas des vidéos de paro-prince, montrez-moi des vidéos de là-bas qui commettent ce genre de crime-là avec des gens qui ont été arrêtés pour animal cruelty. Ce qu'on n'a pas... C'était le point de Menzies quand il l'a exprimé. Donc, il faut regarder, je pense, la crise dans son sens large. Puis c'est une crise de débordement. Débordement communautaire, Danville. Tu l'as dit, Dan, dans ton Deep Dan, parce que ça vient quand même du Deep Dan, cette nouvelle. À l'origine, t'es le premier, en tout cas, à mes oreilles, à moi, à en avoir parlé. Une ville de la grosseur de Shawee, il y en a 20 000 qui débarquent. [00:32:27] Speaker B: 58 000, il y a deux ans. [00:32:29] Speaker A: Pour des promesses de job. [00:32:31] Speaker B: 78 000 aujourd'hui. [00:32:32] Speaker A: Du blabla, viens travailler et tout ça. [00:32:36] Speaker B: Ça a commencé il y a des... [00:32:36] Speaker A: Les gens qui veulent travailler, c'est des gens qui aspirent à mieux. [00:32:39] Speaker C: C'est ça. Il y a des jobs, mais il n'y en avait pas tant que ça. [00:32:42] Speaker B: C'est ça. Puis c'est pas juste ça, c'est du bouche à l'oreille. Les premiers arrivent, leur famille arrive par la suite, il y avait des maisons à vendre, là, il n'y en a plus. [00:32:48] Speaker C: C'est ça. [00:32:48] Speaker A: C'est le chemin roque-sable. Je comprends tout le monde là-dedans. [00:32:51] Speaker C: C'est le chemin roque-sable. Ça a fonctionné de la même manière. [00:32:55] Speaker A: Puis ils ne retourneront pas en passant. Vous pensez qu'ils vont retourner à Cap-Soleil, Cité-Soleil? [00:33:00] Speaker B: Non, non, non, non, non, non, non. [00:33:01] Speaker A: Non, non, non, non, non, non, non. [00:33:02] Speaker C: Non, non, non, non, non, non, non. [00:33:03] Speaker A: Non, non, non, non, non, non, non. [00:33:04] Speaker B: Non, non, non, non, non, non, non. [00:33:04] Speaker A: Non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non. [00:33:08] Speaker B: Non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non Là, il fait sa coup de bâton sur les machines amicales. Il est en train de démolir l'immobilier dans un pizza Salvatore. À quelle place? Ça semble être dans la région de Montréal. [00:33:37] Speaker A: Ils sont installés à Montréal, maintenant? [00:33:40] Speaker B: Ils sont partout, une nouvelle par semaine. [00:33:42] Speaker A: Je savais qu'au Grand Prix à Montréal, il y avait des kiosques Salvatore. [00:33:45] Speaker B: Et puis, à un moment donné, il y a un employé qui est intervenu, et puis il est intervenu en donnant un coup de boule. On va l'écouter. [00:33:53] Speaker C: Ben voyons donc. [00:33:54] Speaker B: Il a fait un Zidane. Il n'y a pas de son sur la vidéo. Il a fait un coup de boule. [00:33:58] Speaker C: Oui, il a fait un Zidane. [00:34:00] Speaker B: Il est allé parler avec. Il était mano à mano. Un moment donné, il est boum, dans le chess. [00:34:05] Speaker A: Ok, dans le chaise. [00:34:06] Speaker C: C'était plus, c'était quasiment en dessous. [00:34:08] Speaker B: C'était au-dessus du cou, dans le cou à peu près. [00:34:10] Speaker C: C'était quasiment en dessous du menton. [00:34:12] Speaker B: Il l'a sorti de cette façon-là, mais c'est des vidéos qui ont évidemment fait le tour parce que Salvatoré... Beauport. [00:34:17] Speaker C: C'est à Beauport. [00:34:18] Speaker B: C'est à Beauport, ok. Quand il se passe quelque chose chez Pizza Salvatoré, il publie. [00:34:22] Speaker A: Tout est filmé, même dans la cuisine. Eux-mêmes, de leur propre chef. Ils font une sorte de vidéo. [00:34:28] Speaker B: Ils font même des vidéos sur les pizzas les moins vendues. [00:34:31] Speaker A: Il y a le tour, les médias sociaux. [00:34:35] Speaker B: C'est quand même capoté. Je vous amène à Boston maintenant. École de police. La police à Boston, ça semble être quatre choses. [00:34:41] Speaker C: On se rappelle... Police académie. [00:34:43] Speaker B: On se souvient, l'automne dernier, une madame qui était poursuivie pour le meurtre de son mari, qui était policier à Boston, elle se défendait en disant non, non, non, c'est ses collègues qui l'ont tué et qui essaient de passer ça sur mon dos. Puis elle a gagné en cours. L'enquête est encore, mais elle, elle a gagné au tribunal. Elle a réussi à prouver qu'il y avait vraiment de grosses, grosses, grosses défaillances dans l'enquête policière par la ville de Boston. Puis, ils ont enlevé les accusations de meurtre sur la madame. Là, ce qui arrive, c'est qu'on est à l'école de police de Boston, l'école de police qui est vraiment pour la police, la ville et de l'État du masse. Il y a un gars qui rentre à l'hôpital mort. C'est un cadet, là. Lui, il a des jobs. Il était engagé par la police. Puis là, il est en train de suivre sa formation, puis il arrive mort suite à un entraînement de boxe. Là, tout le monde a des questions. Voyons, tu peux pas faire un entraînement de boxe pour des futurs policiers, puis il y en a un qui est mort. Puis suite à l'autopsie, on révèle que le gars est magané à peu près comme s'il était rentré à 160 km heure. Ben voyons. 100 000 à l'heure d'un mur de béton. [00:35:51] Speaker C: Ils ont mis 12 dessus? [00:35:53] Speaker B: On le sait pas. Tout le monde veut avoir les caméras parce que tous les entraînements de boxe à cette école de police sont filmés. Impossible. [00:36:01] Speaker C: Hein? [00:36:02] Speaker B: De voir les caméras. [00:36:03] Speaker C: Les caméras fonctionnaient pas. Ça donne de la même. [00:36:04] Speaker A: Règlement de compte. Ou initiation. [00:36:08] Speaker B: Je sais pas ce que c'est. Mais c'est louche. C'est louche sur un moyen temps. Le jeune homme quand même, il est âgé de 25 ans, diplômé universitaire. Il s'appelle Enrique Delgado Garcia. Lui, c'était son rêve de rentrer dans la police. En fait, il a tout fait de ses études universitaires par rapport au fait qu'il voulait travailler en criminologie. Il était rendu là, il était rendu à l'école de police pour rentrer dans sa vie professionnelle. Et puis finalement, sa mère qui pleure son décès, le gars qui est mort vendredi passé, à l'hôpital. Tu sais, c'est bien beau le gros fond de mie, puis la plaque de police sur son chest dans le cercueil. Mais toujours est-il qu'on veut savoir ce qui s'est passé. La police dit, pas la police, mais le médecin dit, c'est l'équivalent d'un gars qui rentre d'un char, d'un mur de béton à 160 km heure. Ça a zéro sens. [00:36:56] Speaker C: Tu parlais des Wahlbergs tout à l'heure. Boston a une belle image. Boston, c'est une ville universitaire, les grosses universités. [00:37:03] Speaker A: Boston a deux images. [00:37:05] Speaker C: MIT, Harvard, compagnie. [00:37:06] Speaker A: Mais il y a des coins que. [00:37:09] Speaker C: C'Est pas des doux. [00:37:11] Speaker A: J'ai pris un hôtel à un moment donné. On est allés quand même une couple de fois à Boston. Pis je suis allé me m'emmener seul, pis je voulais prendre l'hôtel le moins cher, là. Habituellement, c'est ce qu'on fait pour avoir le reste du cash pour dépenser. Mais j'étais dans le mauvais quartier. South Boston. C'est un quartier comme un film de Mark Wahlberg. Je sors de l'hôtel pis c'était pas un design. Je pense que c'était un genre de comfort inn, de clarion, quelque chose de même. Les personnages, les blocs appartements. [00:37:41] Speaker B: Les poteaux à travers le béton. [00:37:42] Speaker A: Les poteaux à travers le béton crochent. J'ai dit « Mark Wahlberg va sortir d'une rue à un moment donné. [00:37:48] Speaker C: » T'as pas besoin de parler des filles. [00:37:49] Speaker A: C'est la même affaire. [00:37:51] Speaker B: Les égouts pas de grilles. [00:37:52] Speaker A: Oui, c'est la même chose. Des Irlandais. [00:37:55] Speaker C: La jeunesse des Wahlbergs? [00:37:57] Speaker A: Non. [00:37:58] Speaker C: Ils ont un casier judiciaire. Les deux. C'était pas des doux. C'est pas des petites affaires. [00:38:05] Speaker B: Non, non, effectivement, il y a deux Boston. Si c'est pas trois, parce que le Boston des cols bleus aussi. [00:38:11] Speaker A: Parce que le Boston chic, c'est plus à Cambridge. On aime dire que c'est à Boston, mais c'est plus à Cambridge, avec les fils à papa qui font de l'aviron le samedi matin. [00:38:19] Speaker C: C'est ça, c'est exact. [00:38:20] Speaker A: C'est le MIT, puis Harvard, ça c'est de l'autre bord du pont. [00:38:23] Speaker B: Les immigrants qui ont de l'argent, puis les fils à papa. [00:38:26] Speaker A: L'autre bord du sixième lien, c'est ça? [00:38:28] Speaker B: Ou le septième lien? Quel était vos biscuits préférés quand vous étiez jeunes? [00:38:34] Speaker C: Les biscuits préférés quand j'étais jeune. [00:38:36] Speaker A: Les galettes, les pâtes d'ours, j'aimais bien ça. Les pâtes d'ours. Ah oui! Les galettes à melasse! Les... [00:38:44] Speaker C: Écoute, c'est basic, là, mais les chips. [00:38:45] Speaker B: Ahoy, les... Ouais, moi, les chips Ahoy, c'est encore aujourd'hui mes préférés. [00:38:49] Speaker C: Moi, j'les mettais dans tout. [00:38:50] Speaker A: C'était un grand classique, là. [00:38:51] Speaker B: Ben oui, c'était un grand classique. [00:38:53] Speaker C: J'les mettais dans l'yogourt, j'les mettais dans la crème glacée. Moi, j'ai inventé les bizarres. [00:38:58] Speaker A: Ah, toi t'étais un trapeu, un sauceux, des goglus trappés dans le lait. [00:39:03] Speaker B: Des goglus, c'est vrai que c'était bon. [00:39:04] Speaker A: Ouais, dans le lait. [00:39:05] Speaker B: Tu sais, on faisait un beau tour, les pirates au beurre d'arachide, vous aviez les biscuits beurre d'érable, les dare au chocolat, tu sais, les deux gâteaux au chocolat pis le fudge dans le milieu au chocolat. Les fudgeos aussi. Oui. Tu sais, on était... Les biscuits gaufrés, ils en avaient des bruns, des blancs pis des rouges, là. Ça, je trippais pas là-dessus, t'avais comme trois étages de gaufres avec du fromage dedans. [00:39:28] Speaker A: Biscuits feux d'érable, c'était bon. Mais j'en avais pas en maison, j'en mangeais chez grand-maman. [00:39:32] Speaker B: Confiture, t'sais, on en avait des biscuits pis ils en avaient assez pour... pour qu'on s'amuse, là. Ils en avaient assez pour se créer une belle enfance. J'veux qu'on m'explique. Les Oreos Coca-Cola. Hein? [00:39:46] Speaker A: Oui, il y a toutes sortes de... [00:39:47] Speaker B: Je sais, j'ai vu ça. [00:39:49] Speaker A: Les Oreos... On est dans le mix, là. On est dans les... [00:39:53] Speaker C: C'est non. [00:39:56] Speaker A: Moi, je te relance. [00:39:58] Speaker B: Vas-y, donne-en. Oui, on joue, on joue. [00:40:00] Speaker A: Ce qui vient de sortir en spécial 97 scènes chez IGA, Crab Dinner au Kentucky. [00:40:08] Speaker B: Oui, j'ai vu ça. [00:40:09] Speaker C: Ça, j'y goûterais. [00:40:10] Speaker A: Es-tu bon? [00:40:11] Speaker B: Ben, j'suis pas sûr. [00:40:12] Speaker A: J'en ai acheté deux boîtes. Ben, c'est pour les gos quand vous mangez ça. Les gars veulent pas en manger. [00:40:17] Speaker C: Mais ça, j'y goûterais. Des oreos au Coca-Cola, j'veux même pas y goûter. [00:40:21] Speaker B: Ben, sais-tu quoi? Quand j'ai vu hier, j'ai fait trois épiceries pour en trouver parce que j'voulais tant d'acheter une boîte. [00:40:27] Speaker A: Il est comme identifié à Star Wars. Je vois des céréales Weirdos, je prends des photos. [00:40:33] Speaker B: J'ai fait le tour pis j'en ai pas trouvé. J'ai même essayé sur Amazon pis j'en ai pas trouvé. J'ai trouvé des Oreos Star Wars Edition, mais pas au Coke. Pis t'as un des deux biscuits qui est rouge. [00:40:45] Speaker A: Oui, j'ai vu. Je les ai pas achetés. [00:40:49] Speaker B: Pis c'est ce que je comprends bien, c'est ce biscuit-là qui goûte le Coke. [00:40:52] Speaker C: Ok, mais c'est parce qu'ils ont aussi fait l'inverse. Ils ont aussi sorti de le coke au oreo. [00:40:56] Speaker B: Arrgh! [00:40:56] Speaker A: Viande! [00:40:57] Speaker C: Mon gars en a acheté, c'est pas buvable. [00:40:59] Speaker B: C'est sûr que c'est pas buvable. [00:41:00] Speaker A: Y'a-tu du coke au oreo au coke? On revient après la pause. Très bon le Kraft Dinner au PFK nous a dit Jérôme. C'est rempli de science, hein? J'ai pas vu les ingrédients là, mais tabarouette. Il doit y avoir des ingrédients à boucher dehors. [00:41:15] Speaker B: J'ai pas envie de manger du Kraft Dinner. Kraft Dinner là, il reste que c'est... [00:41:18] Speaker A: Kraft Dinner c'est le bon dépanneur pour vrai. [00:41:20] Speaker B: Hein? [00:41:21] Speaker A: Ben oui! [00:41:21] Speaker B: Mais mets-en! [00:41:22] Speaker A: Mais Kraft Dinner au Kentucky, je l'ai pas goûté. Ben je l'ai acheté, là. Ça se peut que ça arrive aujourd'hui, là. Ça se peut que je m'en fasse. [00:41:27] Speaker B: Kraft Dinner, oignon, saucisse à hot-dog, extra fromage, pis le fromage, là, tu prends le fromage boivin jaune, là. Oui, oui. [00:41:34] Speaker A: Tu l'écheffes, tu le passes dans la raupe, là. [00:41:35] Speaker C: Il y a vraiment du cross-branding, là, parce que chez PFK, Cross-branding. [00:41:40] Speaker A: Oui. [00:41:40] Speaker C: T'as un wrap au poulet avec du Kraft Dinner dedans. [00:41:43] Speaker A: Oui. [00:41:44] Speaker B: Mais c'est pas un burger. [00:41:46] Speaker C: Ben je sais pas, quelqu'un me dit c'est un wrap. [00:41:49] Speaker A: Quel est le pire exemple de cross-branding à l'heure actuelle? 88-670-9098. Vous englobez là-dedans tout. Les desserts, les pizzas, les cossins, les sandwiches, les biscuits, tout! Toutes! Je sais que les fritos, c'est les doritos. Les doritos ça explose aussi. Les doritos, il y en a à peu près 25 sortes. [00:42:21] Speaker B: Ah oui, tu peux... Je sais pas! [00:42:25] Speaker A: Le pire! Le pire c'est la tentative de Cheetos de faire du scrub dinner, ouais. Ben c'est des... Ouais, je sais. Je l'ai acheté pis ça a pas... C'est so-so. Vous avez raison. Frank, j'avais avancé la couleur. Coco-Cerise. Ouais, Coco-Cerise, c'était tellement mauvais, c'est devenu bon. [00:42:43] Speaker C: Ouais, mais c'était pas du cross-branding. [00:42:45] Speaker A: C'est juste une saveur, puis ça goûte le Dr. Pepper. [00:42:48] Speaker B: C'est ça, puis le Coco-Cerise, aux États-Unis, ils en vendent à peu près autant que du Coke normal. C'est quelque chose qui est ben, ben, ben aimé. [00:42:54] Speaker A: C'est pas ça du cross-branding, c'est carrément deux grandes mélanges. [00:42:58] Speaker C: On mélange deux gros noms, on les met ensemble en disant « Hey, ça va futer ». [00:43:03] Speaker A: Ouais, c'est ça. [00:43:03] Speaker B: Exactement, genre... [00:43:05] Speaker A: Les céréales que je t'ai envoyé, c'était quoi donc, Dom? [00:43:07] Speaker C: C'était des Oreos? Non, pas des Oreos, des Quicks. [00:43:10] Speaker A: Mais c'était du Captain Crunch aux Quicks. [00:43:13] Speaker B: OK. Genre, Yuzu... [00:43:15] Speaker A: Mais le Captain Crunch, la céréale, dans le milieu, il y a du liquide. Ça, c'est saucé, là. Ça, c'est du cross-branding. Là, les jeunes écoles sont debout sur leurs chaises. [00:43:28] Speaker B: Toi, tu veux dire genre Yuzu qui ferait un Pokéball avec la galette de... Avec la galette de poisson McDo, là. [00:43:37] Speaker A: Ouais, ou Doritos, là. Ah! C'est quoi ça? C'est la photo que j'ai prise. C'est quoi, Dom? [00:43:44] Speaker C: C'est juste des Nesquik, par exemple. Je ne vois pas de Captain Crunch. [00:43:47] Speaker A: Non, il n'y a pas de... OK. [00:43:49] Speaker C: C'est juste des Nesquik. [00:43:49] Speaker A: Je ne les ai pas essayés. C'est juste une saveur. [00:43:51] Speaker C: Mais c'est clair que je vais les essayer un moment donné. [00:43:53] Speaker A: Avec un centre vanillé. Tabarouette. Poutine aux cornichons. [00:43:58] Speaker C: Tu dirais qu'ils parlent Ruffles et PFK. [00:44:01] Speaker A: Oui. [00:44:02] Speaker B: On se souvient de... Voyons comment ça s'appelle ces céréales-là rondes avec le sable toucan. Les Fruit Loops! Les Fruit Loops à la bière! Les Farnham, la microbrasserie qui avait fait sortir une bière aux Fruit Loops. [00:44:16] Speaker A: Chips au Saint-Hubert. Chips Saint-Hubert, c'est bon. Les chips à Poutine, j'haïs pas ça. [00:44:21] Speaker B: Les chips qui ont essayé trop d'affaires. [00:44:22] Speaker C: Ouais. Le monde pense trop, là. Cross-branding, le Parti libéral pis le Bloc. [00:44:27] Speaker A: Pour ça, c'est pareil. Ouais, c'est ça. C'est du bonnet blanc, blanc, bonnet, là. C'est comme Mini Wheat. C'est la même céréale, mais deux couleurs. [00:44:33] Speaker B: C'est quand même assez drôle, là. [00:44:35] Speaker C: Oui. Y'en a plusieurs qui ont pensé ça. C'est sérieux. [00:44:39] Speaker B: C'est vrai que c'est un peu ça. [00:44:40] Speaker A: Oui. QS pis PQ, c'est pas du cross-branding. Y'en a un c'est à la céréale orange, l'autre c'est une céréale au bleuet, c'est la même céréale. Ça goûte pas mal pareil. [00:44:49] Speaker C: C'est pas du cross-branding, c'est deux gars qui essaient d'avoir la même fille. [00:44:53] Speaker A: C'est un genre de céréales identique aux couleurs différentes. [00:44:58] Speaker C: C'est ça. [00:44:59] Speaker A: Ruffles L de poulet. Oui! C'est bon ça! [00:45:03] Speaker B: Ah non? [00:45:04] Speaker A: Ouais, j'haïs pas ça. [00:45:05] Speaker B: Moi, j'ai souvent trouvé que ces chips-là, dans lesquels on essayait, tu sais, là, ils se faisaient des concours. Oui. Inventer de la nouvelle sorte. Il n'y en a pas une qui est restée. Moi, j'y ai participé. J'essayais, pour vrai, l'Octoberfest à saucisses. Je leur en shootais des idées. [00:45:20] Speaker A: Ça, c'est trop. [00:45:22] Speaker B: Mais c'est trop... ce qu'il sortait c'était... [00:45:24] Speaker A: Croffdener barbe à papa. Arc! [00:45:26] Speaker C: Ils ont vraiment fait ça? [00:45:28] Speaker A: Tu l'as vu? Croffdener barbe à papa. [00:45:31] Speaker C: Benlaise à l'érable. [00:45:35] Speaker A: Ouais. [00:45:36] Speaker C: À l'érable. Ouais. [00:45:38] Speaker A: McFlurry oreo. [00:45:39] Speaker C: Au bacon à l'érable. [00:45:40] Speaker A: Écœurant. McFlurry oreo c'est hot là. [00:45:43] Speaker C: C'est la base. [00:45:44] Speaker A: Ça c'est... [00:45:45] Speaker B: C'est ça. [00:45:46] Speaker A: Je pense que les McFlurry... McFlurry, il faut que t'écrases des cochonneries. [00:45:50] Speaker C: La première fois qu'ils ont été inventés, c'était avec des oreos dedans. [00:45:53] Speaker A: C'est peut-être l'un des premiers en fait. [00:45:54] Speaker B: Je pense qu'ils l'ont inventé pour ça. Oui, effectivement, il est très bon. Meilleur que n'importe quel autre. [00:46:00] Speaker A: Blizzard aussi, c'est clair. [00:46:02] Speaker C: Je te dis, j'ai inventé Blizzard quand j'étais jeune. J'aurais dû se mettre un trademark là-dessus. [00:46:08] Speaker A: La machine, hein? C'est le fun, hein? Le bruit de la machine. Quand le gars prend sa petite cuillère et tout ça. Ben parlons de ça! Regarde, on va le divaguer pis on va s'en aller un peu ailleurs. Les menschies, c'est pourquoi ça a pas poigné ici? Ben c'est Ben & Cheese aux États-Unis. [00:46:22] Speaker B: Ben & Cheese c'est des yogourts. [00:46:24] Speaker C: Oui, c'était bon, c'était très très bon. [00:46:25] Speaker A: C'était très très bon et tu as un choix écœurant. Moi je mets juste des fruits là-dessus. Les bleuets là, ça coûte cher. En temps, mettons, hivernal, ça coûte plus cher que là. [00:46:34] Speaker C: Sérieusement? [00:46:35] Speaker A: Les framboises, je mets juste de ça. Lui, il épaise. Parce que c'est une balance, c'est la fin. [00:46:40] Speaker C: Je crois que c'était l'entreprise qui était mal bâtie. Je pense, c'était pas le produit. [00:46:43] Speaker B: Ça marche partout ailleurs. [00:46:44] Speaker A: Le gros hit aux États-Unis là. Aux États-Unis, c'était un moment au Canada. [00:46:48] Speaker C: Parce qu'il y avait à Beauport. Au Nouveau-Brunswick, ça a fermé aussi. [00:46:51] Speaker A: Je faisais des lives de Manchese. [00:46:54] Speaker C: Ça a fermé au Québec, ça a fermé au Nouveau-Brunswick, je sais pas s'il en reste ailleurs au Canada. [00:47:02] Speaker A: C'était pas loin du top-là à Beauport. [00:47:06] Speaker C: C'était très bon. J'avais beaucoup aimé, sérieusement. J'ai encore des cuillères. [00:47:11] Speaker B: J'ai encore des cuillères. Moi, je viens de l'ouest de la région de Québec. Je suis né quasiment à Saint-Augustin. Je naissais à l'ancienne Norette. Beauport, c'est la place où j'arrête pisser quand je vais à Charlevoix. [00:47:21] Speaker A: Il y a beaucoup de monde dans ce coin-là. [00:47:23] Speaker B: Je sais qu'il y a beaucoup de monde. [00:47:24] Speaker A: Énormément. Ça a explosé. Beaucoup de trafic. J'ai pas de... Saint-David. [00:47:29] Speaker B: J'ai pas de souvenir. Moi, je me souviens qu'il y en avait un. [00:47:32] Speaker A: Il y en avait un à Lévis. [00:47:33] Speaker B: Je voulais y goûter, moi, puis j'étais pas capable d'en trouver. Fait que finalement, c'était peut-être l'emplacement le problème. [00:47:37] Speaker C: Menchies, il y en a encore un au 10-30. [00:47:39] Speaker B: Il y en a à Montréal. Un au 10-30, un au centre-ville de Montréal. [00:47:41] Speaker C: Ah oui? [00:47:42] Speaker A: OK. [00:47:44] Speaker B: Je me souviens que je voulais goûter, mais il était mal situé l'emplacement. C'est tellement important quand tu pars en business. Il y a beaucoup de monde qui se fait endormir par des promoteurs. Le power center qui est ouvert au coin, Chauveau, Robert Bourassa, Parfait pour les commerces de proximité. Il y a un IGA, un Jean Coutu, une caisse populaire. Mais t'sais, c'est quand même pas le power center où tu t'en vas veiller une soirée. [00:48:12] Speaker C: Mais au-delà de ça, oui oui, il. [00:48:13] Speaker A: Y a Tim Wharton avec la crème glacée Cold Stone. [00:48:17] Speaker B: Je sais pas. [00:48:18] Speaker C: Je sais pas si Robert Bourassa, oui oui. [00:48:19] Speaker A: Mais au-delà de ça... Sur l'ère à gauche, il y a Vodek. [00:48:22] Speaker B: Je pense qu'il y en avait un dans ce coin-là à Manchese, mais c'est qui qui va là, t'sais? [00:48:26] Speaker C: Mais au-delà de ça, je pense qu'il y avait un problème entre le franchiseur et les franchisés au Canada. Ils leur chargeaient trop cher pour les produits. Fait qu'ils arrivaient pas. Fait qu'ils ont tout le famille quasiment en même temps. [00:48:36] Speaker A: Ça prend un Five Guys à Québec. [00:48:39] Speaker B: Ça là, t'as entièrement raison. [00:48:40] Speaker A: Ben oui. Ben oui, ben oui, ben oui. Y'en a un, ben y'en a plusieurs à Montréal, y'en a un à Mirabelle, pas loin du Power Center, l'autre côté des Outlets, là. Où t'as un archibal. Five Guys. Avec les frites. Five Guys, c'est frites. Oui, le burger, je comprends. On va te coller une grosse frite avec ça. Ok, parfait. La grosse frite, le burger dans le sac. Mais c'est pas fini! Le gars, le gars, ouais le gars aussi, le gars, prend deux pelletées de frites, et les sacs dans le sac. Bang, bang. Une grosse frite, tu peux te mettre à quatre dessus, là. Et ça goûte comme la roulotte à patates à cinquième achat, oui. Beaucoup de sel, beaucoup de vinaigre. [00:49:22] Speaker B: Five Guys, puis en plus les Smash Burgers, j'en mangerais à tous les jours. Pour vrai, là, c'est vraiment à l'heure actuelle, depuis un an ou deux, mon mets préféré, les Smashburgers. Puis à Québec, il y en a des bons, il y en a d'excellents. Effectivement, Five Guys, on est dû pour en avoir un. On peut-tu m'acheter une franchie? [00:49:39] Speaker A: Avec les gros sacs à... Ouais, peut-être. Peut-être pas. J'ai peut-être pas d'argent pour ça, là. Les gros sacs de patates de Idaho, quand t'arrives. Keep it basic, hein? Basic, basic, basic. Ça me fait beaucoup penser à In-N-Out Burger. [00:49:53] Speaker B: Oui, In-N-Out. [00:49:53] Speaker A: Surtout dans l'ouest américain. [00:49:56] Speaker B: T'as trois burgers avec des frites. [00:49:58] Speaker A: Ben, c'est comme Five Guys, mais d'une autre couleur, si tu veux. [00:50:01] Speaker B: Ouais. Donc, ben, bon appétit tout le monde. [00:50:03] Speaker A: Bon mardi. Bon appétit. On s'est donné faim. 6h50, t'as le petit dernier ou tu vas aller en pause? [00:50:07] Speaker B: Je vais aller en pause. [00:50:08] Speaker A: On va en pause. Parfait. Beaucoup de stock ce matin. Beaucoup de monde. On fait la pause là. Et on revient. Vous êtes à Radio X. Here we go. Moray. Live. [00:50:18] Speaker F: Radio X. [00:50:22] Speaker C: L'intelligence artificielle est capable maintenant de plus. [00:50:26] Speaker A: En plus de capter de façon intelligente la discussion et de décrire une note dans le dossier. Moi, ça me ferait sauver dans ma journée facilement 50 %. 50 %, ça veut dire qu'on pourrait. [00:50:37] Speaker C: Améliorer directement sur les soins au lieu. [00:50:40] Speaker A: De faire de la paperasse. [00:50:41] Speaker C: Écoute, là, on vient de gagner dans. [00:50:42] Speaker A: Le réseau, c'est incroyable. Tout à fait, parce que moi, je passe autant de temps à écrire les notes qu'à voir mes patients. Couture dans le mid. [00:50:54] Speaker E: Lundi ou vendredi, 10h. [00:50:54] Speaker A: Présentée par Chapo Ben, la marchandise d'automne est arrivée. Obtenez en moyenne 20 à 60 % de réduction sur le prix régulier du marché. Passez voir nos beaux produits saisonniers. Chapo Ben, à Québec et Saint-Georges. [00:51:09] Speaker F: La maudite congestion. [00:51:11] Speaker C: Traffic southbound. [00:51:14] Speaker F: 24-24 with Dan the Traffic Man. [00:51:16] Speaker B: 886709098 pour nous dire ce que vous voyez sur les routes. Vous êtes nos yeux et encore une fois, c'est un matin qui sera chalandé. Je sais qu'il y avait pas mal d'école hier qui était déjà... en congé pédagogique, des choses qui arrivent, vice-versa, rentre dans l'ordre, donc continuez de nous écrire. Évidemment qu'il y a certaines problématiques déjà à l'heure actuelle. Entre autres, sur la réussite, c'est vraiment vous qui êtes les plus touchés par un accrochage, entre autres, qui est à la jonction, tu sais, quand vous arrivez de l'A20, direction Est, vous arrivez de Saint-Apollinaire, en gros, vous voulez rentrer au pont. Là où on fait la jonction avec la 73, il y a un accrochage dans ce secteur-là, donc évidemment, que ça va causer des problèmes et s'en en cause également dans l'autre direction. Si vous êtes direction ouest, c'est à partir de la sortie du boulevard Kennedy où c'est par choc à par choc et c'est comme ça jusqu'au pont. Bon matin. Sur la rive nord maintenant, c'est un peu moins pire. Je vous dirais qu'il y a deux endroits qui sont problématiques. Essentiellement, c'est capitale direction ouest dans le secteur Beauport et on voit également Un début de ralentissement sur Charest, direction Est, direction Centreville. Je vous rappelle le numéro via le texto 88670909. Et chez Uniprix, du 5 au 18 septembre, c'est la grande vente anniversaire. Une foule de rabais qui vous attendent. Participez aussi au concours. Célébrez et gagnez des tailles dans l'étique curselle Uniprix Participants. [00:52:40] Speaker A: Attention, le prochain gros lot du LotoMax est tellement gros que vous pourriez tomber dans les pommes. 80 millions plus 18 max millions. [00:52:47] Speaker G: C'est encore un record. [00:52:49] Speaker A: Mettez un casque. [00:52:50] Speaker B: Je suis tellement content d'accueillir Carl d'Occasion. [00:52:52] Speaker A: Ville de Québec dans la gang du SpaceCast. [00:52:54] Speaker B: Premièrement, parce que si vous êtes comme moi, quand vous faites un achat d'importance comme l'achat d'un véhicule, vous voulez que. [00:53:00] Speaker A: Ça clique avec les gens avec qui vous faites affaire. Moi, je trouve ça important. T'sais, les clients à câbles qui font affaire avec depuis 10 ans lui ont donné sur Facebook une note de 4.9 sur 5. S'il a une place parfaite pour manger. [00:53:12] Speaker B: Notre prochain, c'est bien Facebook. [00:53:13] Speaker A: Fait que s'il a une note de 4.9 sur 5 depuis 10 ans, pour. [00:53:17] Speaker B: Moi le choix est clair, tu t'en vas pas ailleurs. À moins que ton trip, c'est d'avoir une énergie bizarre, avoir l'impression de t'être fait avoir et d'être pris de haut une fois que t'as craché le cash. [00:53:26] Speaker A: Là, si t'es à l'aise avec ça, va ailleurs. Mais si, comme moi, tu cherches de l'intégrité, de la qualité et un bon prix, tu t'en vas voir mon chum card chez Occasionvilledequebec.com. [00:53:36] Speaker E: L'automne est la saison idéale pour visiter le Nouveau-Brunswick. Sentiers et routes panoramiques, paysages aux couleurs flamboyantes, festivals captivants, saveurs qui réchauffent le coeur, soirées chaleureuses autour d'un feu de camp. On vous invite à faire une escapade mémorable chez nous. Planifiez votre séjour d'automne au Nouveau-Brunswick sur tourismenb.ca. [00:54:03] Speaker A: Travaillez efficacement sur votre terrain avec un tracteur Massey Ferguson de chez S.A. Services agricoles. Creuser, charger, tirer et plus! Garantie 10 ans à partir de 59 $ par semaine à l'achat. Pour les meilleurs tracteurs, saservicesagricoles.ca Pour un projet de fondation clé en main, fourniture de béton ou concassage, Béton Laurier est votre entreprise depuis 62 ans, que vous soyez résidentiel, commercial ou industriel. Nous offrons aussi un service de grue et du transport par fardier. Béton-Laurier, c'est plus que du béton. Béton-Laurier.com. [00:54:34] Speaker B: Êtes-vous prêts? Êtes-vous prêts pour la fin de la semaine 19-20 septembre? Deux jours seulement. Manquez pas, le plus gros événement dans le domaine de l'outillage à Québec, c'est l'événement Milwaukee. Ça se passe chez Outils Plus. Outils Plus, vous le savez, sur le boulevard Louis XIV. OutilsPlus.com. Les 19 et 20 septembre prochains, on vous offre les meilleurs prix de l'année sur tous les outils de la couleur que vous préférez. Le rouge Milwaukee, des prix imbattables, des promotions exclusives. Vous voulez des cadeaux? On a des cadeaux avec achat sur tous les outils de marque. Milwaukee, il va y avoir des démonstrations sur place, il y a des représentants également. Vous pouvez aller consulter notre page Facebook de Outiplus ou encore outiplus.com pour plus de détails. Manquez pas ça, c'est deux jours seulement. 19-20 septembre, sur le boulevard Louis XIV, au 295, l'événement Milwaukee chez Outiplus. Achetez plus, recevez plus, outiplus.com. [00:55:36] Speaker E: Vous vous demandez à quoi ressemble le quotidien dans une résidence pour aînés? Visitez l'une de nos 7 résidences Chartwell à Québec lors de notre événement Portes ouvertes les 20 et 21 septembre de 10 à 16h. Les détails sur chartwell.com. Pour tous vos projets de clôture, alliez-vous à l'entreprise la mieux notée à Québec et Lévis, Clôture Terrien. Notre équipe se démarque par son service incomparable et la grande qualité de ses produits. Clôture Terrien, l'art de bien s'entourer. 88 473 2783 ou au Clôture Terrien. [00:56:06] Speaker B: Travaille dans le domaine de la construction? Tu rêves de devenir ton propre patron! La Sécu Québec t'accompagne de A à Z dans tes démarches pour devenir entrepreneur en construction. La Sécu offre des cours en ligne ou en classe qui sont reconnus et qui t'évitent de faire les examens de qualification de la Régie du bâtiment du Québec. Tu seras accompagné et supporté par une équipe spécialisée en construction pour passer à travers toutes les étapes afin d'atteindre ton rêve. N'attends plus, passe à un autre niveau avec l'ACQ Québec. Pour information, acq.org. [00:56:36] Speaker A: Dans la vie, on ne peut pas faire confiance à certaines choses, comme à un enfant qui apprend à jouer au baseball. Mais chose certaine, on peut faire confiance à Toyota. Quand on cherche un véhicule électrique, c'est rassurant de pouvoir se tourner vers le BZ4X de Toyota. Un VUS 100% électrique à la conduite exaltante et au design novateur. Jusqu'au 30 septembre, profitez d'un incitatif du manufacturier de 3500 $ sur le BZ4X 2024, en plus des rabais gouvernementaux allant jusqu'à 12 000 $. Réservez un dossier routier dès aujourd'hui sur achetez-ma-toyota.ca ou chez votre concessionnaire Toyota du Québec. [00:57:06] Speaker E: Ce soir, c'est Télé-Québec qui vous présente ce beat. Le délire commence au moment où tu cliques. À 20h, au-delà du sexe. Je suis tellement contente d'être de retour. À 21h30, soirée quiz. [00:57:19] Speaker A: Bonne réponse! [00:57:21] Speaker E: Bonne réponse! Et votre mardi soir à Télé-Québec. Des histoires hors du commun. Des idées hors du commun. Une soirée hors du commun. Hors du commun. Et encore plus sur l'appli, c'est gratuit. [00:57:35] Speaker A: La poutine, c'est l'incontournable de la rentrée pour toutes les familles. Et devinez quoi? La meilleure est près de chez vous, à la Fromagerie Victoria, avec du fromage en grain frais tous les jours. Fait de lait à 100%, c'est une sauce de bonheur, de calcium et de réconfort. Même Mathieu Bergeron, joueur professionnel de football, le dit, la meilleure poutine... Chez Fromagerie-Victoria, en salle à manger, au service, au volant ou en livraison, toutes les raisons sont bonnes pour vous gâter. La Fromagerie-Victoria, plus de sucre sale au Québec, maintenant à Place de la Cité. [00:58:04] Speaker B: Le perceuse sans fil, ça serait-ce que. [00:58:06] Speaker A: C'Est que tu, ça? [00:58:07] Speaker B: Bah, au pire, y agiterait au centre de tri. [00:58:09] Speaker A: Ben oui, au pire. Au pire, ta perceuse, elle va se briser dans le camion. Pis au pire, le lithium de la batterie va créer une réaction chimique au contact de l'air pis la faire exploser. Ça fait qu'au pire, ça pourrait mettre le feu au centre de tri, endommager les machines pis blesser les employés. Mais t'sais, au pire, au pire, je. [00:58:25] Speaker B: Peux regarder si ça va dans le bac. [00:58:27] Speaker E: Ce que vous mettez dans le bac a un impact. Contenant, emballage, imprimé, c'est tout. Un message de Bac Impact, la nouvelle référence en collecte sélective. Tu veux travailler pour une entreprise en constante expansion? Une entreprise qui t'offre d'excellentes conditions de travail? Applique chez Veolia. Stéphanie engage présentement des journaliers en chargement et déchargement de camions. Tu veux une job bien payée? Chez Veolia, on t'offre les assurances collectives, le fonds de retraite et même les vêtements de travail. C'est pas compliqué. Tu écris à Steph maintenant chez Veolia. Envoie ton CV au stephanie.boucher à commercialveolia.com. [00:59:03] Speaker B: L'École de conduite Pointe-Libye, c'est 15 formateurs. [00:59:06] Speaker A: 7 véhicules, des cours de jour, soir. [00:59:08] Speaker B: Et week-end, 300 places et des délais respectés en 12 mois ou moins. Inscris-toi, nomme Radio Wix et épargne 50 % sur ton manuel de conduite. L'école de conduite Pointe-Lévis, à Saint-Charles et Lévis. [00:59:19] Speaker A: Beauport Mazda! Profitez de l'événement Découvrez Mazda! 1,9% au financement à l'achat sur 36 mois pour tous les modèles 2024, plus jusqu'à 1000$ en bonnie Mazda sur certains modèles. Beauport Mazda rue Clémenceau, 667-3131. Membre du groupe d'Aigle. [00:59:35] Speaker F: Les Kings débarquent à Québec pour l'étape ultime de leur camp d'entraînement. Ils disputeront deux matchs préparatoires au Centre Vidéotron. Le jeudi 3 octobre, face aux Bruins de Boston, assistez aux vibrantes hommages rendus à Patrice Bergeron. Et le samedi 5 octobre, voyez les Panthers de la Floride, grands champions de la Coupe Stanley. Venez encourager le Québécois Philippe Danault et assister au proest des plus grands talents de la LNH. Vies en vente sur gestef.com et ticketmaster.ca. [01:00:06] Speaker A: On peut-tu commencer juste à être fort? Vous êtes à Radio X dans Moray Live. Sur le route, ça a l'air de quoi, Dan? Ça se congestionne tranquillement? [01:00:25] Speaker B: Sur le Rive-Nord, ça va bien. La Rive-Sud, c'est le dawa total. Mais il y a eu un accrochage un peu plus tôt ce matin dans l'entrée du pont, à la tête du pont. Dans ce temps-là, vous pouvez être certain que ça va être compliqué jusqu'à au. [01:00:36] Speaker A: Moins 9 h. Restez avec nous jusqu'à 10 h. On a beaucoup, beaucoup de stock et on plonge, dirais-le, avec Le Grand Journal, vos nouvelles. [01:00:45] Speaker F: Le Grand Journal, présenté par Dominic Moray. This is Montréal Live. Real talk, talk real. [01:00:54] Speaker E: Avec Dominique Morel. [01:00:56] Speaker A: Le Grand Journal. Je vais y aller clean, je ferai pas d'André Arthur. Je pose la question net Fred Seck. Faut-il rembourser l'Ozempic pour la perte de poids? C'est ça la question. C'est super intéressant comme débat. Et je dois lever mon chapeau à la Docteur Morin, qui va peut-être se reconnaître et qui nous écoute, de l'hôpital Laval. Très, très bonne hier, très dosée. J'ai aimé ça. Non, la communauté médicale n'est pas pour le bord ouvert. On va en parler dans quelques secondes. Également, Une histoire rocambolesque qui pourrait carrément être un film Netflix. C'est la une de la presse. Trafic d'armes. Dirigée au sein même de l'organisme des Nations Unies qui est basé à Montréal. Quand vous allez au Centre Bell, il y a des hôtels dans ce coin-là. Vous avez à un moment donné les Nations Unies. C'est l'organisation de l'aviation CBN International qui a son siège à Montréal. Alors il y a beaucoup de fripouilles qui travaillaient à cet endroit-là. qui menait carrément du trafic d'armes impliquant la Chine. C'est gros. Et c'est assez complexe comme histoire. C'est carrément un film d'espionnage. À part ça, dans l'actualité, vous avez une guerre, s'empiternal-guerre, qui se poursuit entre le gouvernement du Québec et les médecins. Là, on a sorti le nombre de jours travaillés par les médecins. Hommes et femmes, il y a peut-être une différence un peu, mais là, n'est pas l'enjeu. L'enjeu, c'est qu'il y a 365 jours d'une année, puis... Il n'y a pas beaucoup de jours de travail pour les médecins québécois. On comprend que ça a été coulé par la CAQ et la CAQ ressort. La menace que Barrette avait brandie, la menace des amendes et la menace des peines monétaires, on va le dire comme ça. Et beaucoup d'autres sujets, bien entendu. On pique ou on pique pas? Tu parlais des gâteaux. C'est une annonce, ça, qu'il n'y a pas eu ça. [01:02:56] Speaker B: Oui, les piques. [01:02:57] Speaker A: Ça existe-tu encore, les piques? Peut-être au cycle géant, vous pouvez l'avoir. [01:03:02] Speaker B: Au micro-ondes, c'était-tu bon. [01:03:05] Speaker A: Je sais que le concepteur des piques pensait vraiment que c'était comme un jeu de cartes. Je sais. Il a fumé peut-être du bon. [01:03:12] Speaker C: Mais sérieux! [01:03:13] Speaker A: C'est un rectangle au chocolat. C'est un genre de joulouis en rectangle. [01:03:17] Speaker C: Mais pic, c'est un jeu de cartes. Un pic, c'est un maywest en rectangle. [01:03:22] Speaker A: Oui, oui, maywest, c'est ça que je veux dire. C'est un maywest en rectangle. [01:03:25] Speaker C: C'est vraiment... c'est la même affaire. C'est la même crème. [01:03:28] Speaker A: Mais le thinking en arrière de ça, c'est que c'est un jeu de cartes. Un pic ou un pic pas, mais je le sais, dans ce temps-là, il y avait, même avant le wax pen, il y avait quand même des belles substances. Ça prenait de l'imagination. [01:03:39] Speaker B: C'est ça. [01:03:40] Speaker A: On pic ou on pic pas? Osem pic? Pic, pic et collégramme? Oui, c'est remboursé. Pour ceux qui ont le diabète. J'ai les chiffres ici, c'est remboursé. Et j'avais des chiffres, le nombre de prescriptions, mais peu importe. Mais là, la question est, est-ce qu'on doit rembourser à large? C'est 500 dollars par mois, les amis. L'idée vient de l'Institut national d'excellence en santé. Projet pilote duré de deux ans. On prend 1000 personnes. Qui sont gros, qui sont grosses. Oui, ils viennent de le dire, gros, grosse, ça n'a pas d'allure. Des obèses. qui sont pas nécessairement malades de diabète, parce que, je viens de le dire, le diabète, c'est couvert. Le médicament est couvert. Et ça, c'est déjà organisé, si vous voulez. Mais c'est un suivi très serré pour éventuellement, ultimement, déboucher sur un OZMP qui serait payé par les contribuables ou par les assurances privées. Dan, tu voulais dire quoi? [01:04:46] Speaker B: C'est du monde bien triste parce qu'ils sont pas capables de rentrer les deux fesses dans le même miroir, quand ils se regardent. [01:04:52] Speaker A: Ben, c'est du monde... c'est très complexe. C'est pour ça que... Oui! Pis Gab Hardy, qui est en ligne, va nous en parler. Moi, ce que je déplore là-dedans, c'est qu'il y a pas une approche santé intelligente et holistique. T'sais, on dit, il y a des gros Ils veulent maigrir. Effectivement, c'est un miracle. La Ozempic, elle le raconte très bien dans l'entrevue. Je ne sais pas si tu as sorti des extraits, Dom. [01:05:24] Speaker B: J'en ai un. [01:05:25] Speaker A: Tu l'as? Avec Capresse-moi hier. C'était vraiment très, très, très bon. [01:05:29] Speaker B: J'ai un extrait d'à peu près une minute. [01:05:31] Speaker A: Ça vaut la peine, on va l'écouter. [01:05:32] Speaker B: En fait, la question que Patrice Roy a posée, c'est est-ce qu'on rembourse ça pour tout le monde? [01:05:36] Speaker E: Je crois que ça doit être réservé pour une catégorie de personnes qui est très malade. Donc, il faut que ce soit vraiment ciblé. On ne veut pas un bar ouvert pour tout le monde, loin de là, parce qu'effectivement, les coûts vont exploser. Et on sait qu'il y a eu des dérives dans les derniers mois, les dernières années. On a vu des exemples dans les médias, des gens, des vedettes qui prenaient ça vraiment pour des raisons esthétiques. Donc, je pense que moi, je travaille dans un institut universitaire dont la mission, une des missions, c'est l'obésité. On voit des patients avec des obésités c'est très sévère, beaucoup de problèmes de santé, souvent des personnes qui ne sont pas candidats pour la chirurgie bariatrique, des personnes qui doivent faire du poids pour une question de vie ou de mort, que ce soit des greffes, que ce soit une attente de chirurgie, des patients qui ont un cancer qui ne peuvent pas se faire opérer parce que techniquement ce n'est pas faisable, doivent faire du poids. C'est ce genre de patients-là que je vois jour après jour dans ma pratique. Et je crois que c'est pour les patients les plus malades que ce traitement-là devrait être réservé. Et il faut que ce soit quand même prescrit en concomitance avec une équipe multidisciplinaire qui va faire faire des changements d'habitude de vie aux patients. [01:06:40] Speaker A: Voilà! Extraordinaire, Dan! On ne s'est pas parlé, c'est carrément l'extrait que je voulais. C'est carrément l'extrait que je voulais parce qu'elle, elle parle à la fin de son affirmation de quelque chose qui me tient à coeur, le changement des habitudes de vie. Kentucky, à tous les jours. On va se parler, là, autour de la table, là. Gros cul, Kentucky, lait, chips, la liqueur, enwaidons. Un p'tit Ozempic. [01:07:09] Speaker B: Ben non. [01:07:10] Speaker A: C'est ça. Il y a du monde qui souffre. Il y a du monde qui ne s'aime pas. Il y a du monde qui sont vraiment malades à cause des glandes et de l'hérédité, etc. Il y a des gens qui sont négligents. Moi, je prône une approche complexe. Si on est pour lutter contre l'obésité, luttons comme du monde. Oui aux MPIC, dans les cas autorisés par la communauté musicale. Moi j'embarque à 100%, à 1000% avec Dr Morin, qui est très rigoureuse dans son affirmation. J'aime beaucoup ce qu'elle dit. Il faut pas que ça soit du... « Ah, elle va prendre mon OZMP que t'arrives au Jean Coutu. Ah, on va mettre ça sur l'assurance médicaments. » Sacrifice. Ça va exploser. C'était 500$ par mois. On va juste se raisonner. Mais pourquoi ne pas intégrer là-dedans l'approche santé communautaire? Sport. Y aller avec... Tu t'abonnes au gym. Tu t'abonnes à un sport. Crédit d'impôt sur l'abonnement. Pourquoi on ne fait pas ça? Gab Hardy qui est en ligne. Salut Gab! [01:08:17] Speaker G: Comment ça va, gang? [01:08:18] Speaker A: Ça va très bien, toi? [01:08:19] Speaker G: Ça va très bien, merci. [01:08:20] Speaker A: T'es encore en charge des gyms, de l'association des gyms au Canada, c'est ça? [01:08:24] Speaker G: Oui, c'est en plein ça, oui. [01:08:26] Speaker A: Qu'est-ce que tu penses de tout ça et de cette approche-là, justement, qui est complexe, qui semble pas être privilégiée par la CAQ actuellement? [01:08:36] Speaker G: Je pense que c'est une approche qui est une demi-bonne nouvelle ou une demi-mauvaise nouvelle. Vous pouvez la regarder comme vous voulez. Le gros problème avec l'Ozempic et les médicaments qui peuvent ressembler à ça, il y a différents noms et différents dérivés, c'est que les dernières études démontrent qu'il y a une perte de poids énorme, mais qu'elle est liée à 50% et plus. Dans certaines études, on voit même 75% à une perte de masse musculaire. Et ça, ça fait peur parce que de perdre du poids c'est une chose et je comprends comme la docteure le disait un petit peu plus tôt, avant une chirurgie si t'as vraiment pas le choix d'aller perdre du poids parce que sinon tu peux pas accéder à ta chirurgie ou autre, c'est une solution inévitable. Mais une personne qui commence à prendre du ozempique visant une perte de poids sans se soucier vraiment c'est quoi le poids que je perds réellement, peut vraiment causer des problèmes de santé à long terme. Parce qu'on le sait, en vieillissant, puis on vise la longévité, on vise à vieillir en santé, puis vieillir, pas juste être vieux dans la ville, mais être vieux, puis être capable de faire des trucs, être capable de jouer dehors avec tes petits-enfants, aller jouer au golf, aller marcher, des choses comme ça. On le sait qu'avec le vieillissement, la perte de masse musculaire a un lien direct avec le risque de chute, un lien direct avec les fractures, avec l'ostéoporose. [01:09:51] Speaker A: À partir de 35 ans, tu commences à te décliner, Gab. [01:09:54] Speaker G: Oui, exactement. Alors, de perdre la masse musculaire est un grave problème. Et si on prescrit ces médicaments-là sans l'approche holistique, sans avoir un nutritionniste qui va calibrer la nutrition pour s'assurer qu'on protège le muscle, avoir un kinésiologue qui va s'assurer que tu fais de la musculation pour garder ta masse musculaire, bien là, on crée un plus grave problème, je crois, que juste la perte de poids. Et si en plus on trouve ça bord ouvert comme tu le disais tantôt, là on va avoir un grave problème de société tantôt. Alors c'est pour ça que je pense qu'on doit penser à cette approche-là, la considérer, mais certainement inclure les kinésiologues, les nutritionnistes dans l'aventure, et je pense que les gyms aussi devraient faire partie de la réflexion. [01:10:38] Speaker A: Ben oui. Inclure... Si tu veux favoriser un équilibre de vie, si tu veux aller au crédit d'impôt, je veux dire, tu t'entraînes, t'as moins de chances d'être malade, t'as moins de chances de te retrouver à l'hôpital. À ce moment-là, t'évites des coûts à la société. La dernière pub, juste pour en chérir sur ce que tu viens de dire, la dernière pub d'Ozempic est partout. Ozempic, c'est partout, partout. En fait, aux Olympiques, je pense qu'on les a eues. Présentateur du ciel. C'était les Jeux Ozempic. Vous voyez, dans les pubs qui roulent encore, une personne très bien portante, obèse, qui fait de la boxe. Elle s'entraîne à la boxe, comme bien du monde font. Mais elle est grosse. Elle a dit aux Impics, c'est ma solution. Tu sais, elle dit pas, je souffre de diabète, de type 2, blablabla. C'est carrément les pubs de Novo Nordisk, c'est eux autres qui font ce pharma danois. Ça cible directement les gros pays grosses. On tombe pas dans le blabla du diabète. C'est vendu désormais comme étant quelque chose pour maigrir. C'est vendu comme un médicament miracle, excusez-moi. C'est carrément ça et c'est ça qu'il faut éviter, à mon avis. [01:11:54] Speaker G: Il faut vraiment l'éviter et comme tu le dis, quand c'est présenté comme la solution facile, Là, ça devient un problème parce que, encore une fois, la perte de poids, c'est une chose. Mais c'est quoi le poids que tu perds? Si tu perds de l'eau, ce n'est pas compliqué. Ce que tu veux, c'est, oui, perdre ton gras viscéral qui est le plus dangereux, le gras qui est à l'intérieur des organes. Oui, après ça, c'est une belle manière pour beaucoup de monde, je crois, qui ont un frein à la mise en place d'activités physiques quand ils ne se sentent pas capables. C'est très difficile au début. Donc, si tu mets un mode de vie sain, en plus que tu rajoutes ce médicament-là, tu vas accélérer la mise en place d'un mode de vie sain et actif, la mise en place des saines habitudes de vie. Et ça, je pense que c'est un point positif. Alors, c'est à considérer. Mais sans programme de déprescription, entre guillemets, parce que ça, c'est l'autre chose, tu sais, je te mets sur du ozempique, quand elle s'arrête, Il n'y a personne qui a dit ça. La déprescription, si tu es juste sur le médicament et que tu n'as pas une équipe qui te suit, ça devient un problème encore plus grand. Alors je comprends qu'on l'analyse au Québec parce qu'on est rendu presque à 27 ou 28 % de personnes obèses au Québec et il y a même des provinces qui passent le 40 %. Donc l'obésité gagne du terrain de manière importante et ça devient un problème de santé. [01:13:10] Speaker A: Les pharma gassent des compagnies par action. Donc c'est sûr qu'il y a un marché. C'est des compagnies par action donc ils sont là pour faire de l'argent aussi. [01:13:18] Speaker G: Oui, puis on vit dans une société présentement où est-ce que la sédentarité gagne de plus en plus de vitesse. Et ça, ça amène un burden, un poids sur notre système de santé qui n'arrête jamais. Les médecins sont surchargés de travail en curatif. Plein de monde se présente avec des maladies. Les plus gros soirs au Canada, c'est les maladies cardiaques, c'est les cancers, c'est le diabète, c'est les maladies pulmonaires. Mais tout ça peut être évité en très grande partie quand je suis une personne qui est active physiquement. Donc si l'Ozempic me permet de partir la machine et de me remettre sur la bonne voie, moi je pense que c'est une bonne nouvelle. Mais pas bien encadré, pas bien structuré. Et pas à long terme. Pas d'abonnement. Exactement. Tu parlais de crédit d'impôt. Moi, je pense que ça passe par les entreprises. Ça, c'est mon opinion personnelle. Mais je pense que les entreprises qui investissent à faire bouger leurs employés, ça devrait pas être un avantage imposable. Alors ça, c'est au gouvernement du Québec, je crois, à être visionnaire un peu. Abonner le staff. [01:14:22] Speaker A: Les compagnies devraient abonner le staff avec des abonnements corpo. [01:14:27] Speaker G: Abonnement corporatif, puis ça devrait pas être des avantages imposables aux employés. Parce que si tu sors faire un abonnement, c'est comme si on augmentait ton salaire. Ça, je pense que c'est un problème. [01:14:35] Speaker A: C'était le bon flash. Très bon. [01:14:37] Speaker B: Puis c'est compté comme étant des avantages imposables. [01:14:40] Speaker C: Oui, c'est ça. [01:14:41] Speaker B: À l'heure actuelle, parce que moi, mon ancien employeur, il remboursait mes souliers de golf, mes bords de golf, l'équipement de hockey, il remboursait tout. [01:14:46] Speaker A: C'était-tu imposable? [01:14:47] Speaker B: Ben oui, c'est un avantage imposable. [01:14:48] Speaker A: Ça devrait pas le lire. [01:14:49] Speaker B: Non, ça devrait pas. [01:14:50] Speaker A: Très, très bon, Gab. Merci encore. Merci à vous autres, les boys. [01:14:54] Speaker B: Merci, bye. [01:14:55] Speaker A: Le prenez-vous Ozempic, les auditeurs? [01:15:00] Speaker C: 418-770-9098. [01:15:00] Speaker B: Il y a 5 médicaments. On dit Ozempic tout le temps. [01:15:03] Speaker A: Ozempic est plus, comme on va dire, italien, mais il y en a d'autres. [01:15:06] Speaker C: Ozempic est plus supposé officiellement servir pour la perte de poids. [01:15:10] Speaker B: Oui, Oegovi, le Sexanda, le Mugendo et le Ribelsius. [01:15:15] Speaker A: C'est ça, c'est ça. Puis ils font tous des pubs. [01:15:16] Speaker B: Moins de jarreau, il n'y a pas de dos, c'est roh, moins de jarreau. [01:15:19] Speaker A: Ils font beaucoup de pubs, énormément. Les auditeurs, écrivez-nous, continuez de nous écrire, je trouve ça intéressant. [01:15:25] Speaker B: Parce que c'est sûr, ça va faire... [01:15:26] Speaker A: On ne vous juge pas, en passant, c'est... Puis les auditeurs le prennent pas mal. On a une discussion d'adultes. Actuellement, il n'y a pas de shaming de quoi que ce soit. C'est juste de comprendre pour pas que ce soit bord ouvert, bien ciblé. C'est une excellente médication pour les personnes qui en ont besoin. C'est un médicament miracle. Il n'y a personne qui nie ça. C'est juste qu'à un moment donné, si tu vas avoir une approche holistique aussi de penser à faire autre chose que de prescrire des pellules dans vie. [01:15:53] Speaker B: Puis c'est tout ce qui vient avec, parce que si le gouvernement accepte ça, les compagnies d'assurance privée vont le faire aussi. Quand on parle d'explosion de coûts, on parle pas juste pour les contribuables, on parle aussi pour toutes les gens qui souscrivent à des assurances collectives. [01:16:05] Speaker A: Parce que ton assurance collective va monter. Oui, c'est sûr. Mettons que tu es dans une compagnie de 80 employés, il y en a 6 qui sont là-dessus, 8 ou 10 aux MPIC, perdent de poids, c'est sûr que le quotient du package d'assurance va monter. Comment ça, ça a monté? J'en prends pas de Bigovie, j'prends pas de médicaments. Ah, ben c'est ça. Le groupe est plus à risque. [01:16:31] Speaker B: Voilà. [01:16:32] Speaker A: La providence. Comme les burn-out, par exemple. Si t'es dans un groupe où t'as beaucoup de burn-out, beaucoup de réclamations, quand t'as beaucoup de réclamations, tu le suis, t'as travaillé en assurances. [01:16:42] Speaker B: À l'heure actuelle, à chaque fois que vous avez une paye, vous avez beaucoup d'argent qui sort de vos poches à cause des burn-out collectifs. [01:16:47] Speaker A: Je pense que oui. Oui. Est-ce que Trudeau va faire un burn-out? Il est comme dans sa bulle. On dirait qu'il s'en fiche. [01:16:55] Speaker B: Il l'est peut-être déjà, là. [01:16:56] Speaker A: Je le sais pas. Mais il y a une drôle de réaction. Il allait vraiment baveux au-dessus de la mêlée. Hier, c'était à la rentrée à Ottawa. Hier soir. Bien, en fait, c'est tantôt. C'est cette nuit confirmée. Le Bloc québécois, qui l'eut cru, château fort libéral de Lassalle-et-Mort-Verdun. Vous êtes dans la région de Québec, peut-être que ça vous intéressait pas, mais on a la température de l'eau, là, sur la qualité de performance des libéraux. Un nommé Louis-Philippe Sauvé. Lui, il est mieux de laisser ses pancartes, ses poteaux, parce qu'on s'en va à une élection prochainement. Je le sais. Techniquement, on n'a pas le choix d'aller en partiel. [01:17:34] Speaker C: Ça se peut que lui ait jamais sa pension du fédéral. [01:17:36] Speaker A: Ouais, exact. Ou ça se peut qu'il garde la cravate. En fait, le conseil, dors en veston cravate, tu repars en campagne. [01:17:45] Speaker C: C'est quasiment ça. C'est quand même le gars qu'Yves-François Blanchet avait abandonné un moment donné pour aller voir Kamala Harris à Chicago. [01:17:52] Speaker A: Tu verrais? [01:17:53] Speaker C: Ben oui, il y avait une réunion. Il y avait une espèce de soirée. [01:17:57] Speaker A: Il n'y avait pas confiance, le bloc, au début. [01:17:59] Speaker C: Non. [01:18:00] Speaker A: Et résultat, c'est au photo finish, cette affaire-là. Grosso modo, les scores, c'est 28% bloc, 27,2% libéral, 26,1% NPD. On a aussi couru conservateurs qui n'avaient pas d'espoir, vraiment, dans ce comté-là. Donc très très très serré et puis dans l'autre côté au Manitoba. Là les conservateurs avaient de l'espoir. Ça c'est NPD. Oui les conservateurs avaient de l'espoir mais. [01:18:26] Speaker C: C'Est NPD qui a été... Ça finit quand même proche. 4% de différence. [01:18:29] Speaker A: Alors voilà, c'est pour vous montrer que la marque libérale, si on parle de la circonscription du Québec, est très endommagée. Ça se remonte pas. C'est impossible. En fait, je le sais qu'il n'y a rien d'impossible, mais le dernier sondage donne 47 % conservateur. [01:18:49] Speaker C: C'est... 220 députés selon les projections. Ça joue pas mal autour de ça depuis plein de sondages. 220 députés sur 338. Non, non, c'est... [01:18:59] Speaker A: Ça va être un massacre. [01:19:00] Speaker C: Il va y avoir beaucoup de no-name là-dedans. [01:19:02] Speaker A: Ils s'en vont avec lui. Il n'y aura pas de course à chevreuil. Je n'ai jamais cru vraiment qu'il démissionnerait. Anyway, il est vraiment dans son monde. Il est dans sa bulle. Moi, je l'aurais trouvé très idiot, les libéraux, honnêtement. Moi, j'aurais vraiment... T'sais, être dans le parti libéral, tu te réunis, puis tu y vas à la gang, un vote quasiment unanime. Il faut que tu tasses, mais il y a beaucoup de pâtes molles là-dedans, beaucoup d'opportunistes. Et au manque de talent, je te dirais, c'est qui que t'as comme talent dans ton pool de talent? La petite chosière à talent, il y a pas grand-chose dedans. Freeland est pas bonne. Dart Vax, il est pas bon. Pablo veut s'en aller, mais il est pas bon anyway. De toute façon, c'est une fake news cette affaire-là. Il tire à 3% à la Parti libéral du Québec. La petite chosière à talent est vide. [01:19:51] Speaker C: Puis sérieusement, je pense que, de toute manière, Trudeau a mis à terre la marque libérale. Va falloir la rebâtir. Eux autres, ils savent qu'ils s'en vont vers une défaite. Puis ils l'ont accepté. C'est tout. [01:20:03] Speaker A: Comme John Charest à Québec, avec les libéraux. Voilà. John Charest, la marque est maganée. Oui, il y a eu brouillard après. [01:20:13] Speaker B: C'est parce qu'il y a eu Pauline Marois qui l'a rebâtie. [01:20:16] Speaker A: Oui, on est une clé qu'on se rôle avec son anti-partiel, son anti-gouvernement partiel. Pas partiel, mais minoritaire, minoritaire. OK, parfait. La Une, la presse, allez lire ça. C'est une histoire assez complexe, assez rocambolesque. C'est l'histoire, c'est une histoire de trafic international d'armes. orchestré à Montréal au sein même de l'ONU. Vous allez dire, l'ONU à Montréal? Oui, il y a une agence à Montréal qui s'appelle l'Organisation de l'aviation internationale, qui était le coeur d'un commerce illicite d'équipements militaires chinois hyper moderne. Donc vous avez des images en une de la presse qui ne viennent pas de Montréal. Il y en a d'autres qui viennent de Montréal, mais l'image à couleur, ça vient de la Chine, où il y a une espèce d'exposition d'aviation, où on vend des drones, on vend des missiles, c'est un peu particulier. Mais c'est carrément la Chine qui est au cœur de la patente, avec un commerce d'armes hyper modernes chinois selon la GRC. Donc visiblement, dans ce dossier-là, la presse était très, très bien branchée. Les suspects se seraient servis de la lutte contre COVID-19, comme par avant. Et allez lire ça. C'est vraiment, vraiment, vraiment fascinant. Vous avez des photos du matériel qui a été vendu à partir de Montréal. Vous avez la facture, à peu près un milliard de dollars américains. Les gouvernements et seigneurs de guerre d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient impliqués. L'adresse du vendeur, toujours la même, 999 Robert Bourassa, dans Côte, en Montréal. Vous voyez le building de l'OACI ce matin, si vous êtes dans ce coin-là, c'est huge, c'est un gros building. C'est à partir de là que ça se tramait et vous avez des arrestations. Ça date quand même d'avril, c'est une vieille histoire, mais C'était des documents secrets qui étaient, j'imagine, sous-cellés. La police fédérale qui a déposé des accusations en avril, on est quand même mi-septembre, envers un gars qui s'appelle Mahmoud Mohamed El Ayoui, 37 ans, de Brossard. Lui, il est toujours activement recherché. Il est peut-être même parti. Peut-être même parti en Afrique ou en Chine. Il est accusé d'avoir participé à un stratagème pour violer des sanctions de l'ONU en vendant des drones militaires à seigneurs de guerre libyens. Je vous le dis, là! Montréal, Libye, la Chine des armes. C'est une histoire rocambolesque à lire. Absolument. Vous avez des Africains impliqués là-dedans et vous avez des Chinois. On vous fait le graphique sur quatre continents de cette affaire-là. Tout part de Montréal, Libye, Égypte, Chine. Wow. OK. À part ça, je reviens, bref, aux communes, ce qui s'est passé hier. On va en parler tantôt avec Luc Berthold. On se dirige vraisemblablement vers des élections. Je sais pas si tu as de l'audio à nous faire entendre, mais moi j'ai trouvé que les libéraux très agressifs m'ont dit souvent « Oh, la rhétorique! » « Oui, la droite, la droite, la droite! » Les libéraux hier, ils ont été très, très cochons. Un fraudeur, un intimidateur, Poilievre. Et Poilivre hier, Il s'est fait parler très, très, très, très calme. Comme un petit chaton. C'était carrément pas le poilièvre. Pas selon Chantal Hébert. Pas selon elle. [01:23:51] Speaker C: Elle, justement, fraudeur, ça n'existe pas. Ça n'a jamais été dit. Puis poilièvre, il est encore très agressif. [01:23:59] Speaker A: Ça n'a pas été le cas hier, pour vrai. [01:24:02] Speaker C: Dans sa tête, oui. Ah, il a quand même dit qu'il allait avoir un hiver nucléaire. [01:24:08] Speaker A: Ouais. Ça, il a dit ça en point de presse. Il a pas dit ça en chambre. Effectivement, il l'a dit. [01:24:12] Speaker C: Non, c'était pas en point de presse. C'était devant son caucus. Mais en même temps, en anglais, c'est une expression. [01:24:19] Speaker A: «Nuclear winter», c'est ça qu'il a dit. [01:24:20] Speaker C: Quelque chose qui est «nuclear», c'est un désastre. [01:24:23] Speaker A: Ouais, je sais. [01:24:24] Speaker C: C'est juste ça. C'est une expression. [01:24:27] Speaker A: Je sais. [01:24:28] Speaker C: Faut pas le traduire en français, ça marche pas. [01:24:30] Speaker A: Mais ça s'est fait quand même, même en anglais, quand tu l'entends, tu te dis « Oh, il va se passer quelque chose ». OK. [01:24:35] Speaker C: C'est parce que, imagine, présentement, la taxe carbone sur ton litre d'essence, si je ne me trompe pas, c'est 17 cents que ça vaut. Là, ils montraient à 67. 50 cents de plus. Imagine le gaz à au-dessus de 2 piastres. [01:24:56] Speaker A: Fédéral, ça va pas bien. Une histoire touchante, quand même. L'immigration, il y aurait peut-être un ménage à faire là-dedans, dans le ministère. Moi, ça me crève le cœur de lire cette histoire-là. Ça se passe à Montréal. La famille Zamudio Quintana, des Mexicains. Ils sont ici depuis combien de temps, vous pensez? Six ans. Six ans, donc six ans. Cisse Noël... des 6 fêtes d'enfants et ainsi de suite, c'est une famille. Eux autres, ils ont eu les papiers du fédéral, faut que tu t'en ailles. Donc, tout le monde se mobilise, ils doivent être expulsés, imaginez vendredi prochain, c'est absolument dégueulasse. [01:25:36] Speaker C: Le problème numéro 1 de l'immigration au Canada, c'est ça. [01:25:40] Speaker A: T'as des illégaux, t'as l'enquête de Radio-Canada sur les passeurs, mais y'en a d'autres qui sont des Canadiens. Les enfants vont à l'école à Montréal dans ce cas-là. Faut les expulser. [01:25:51] Speaker C: Même les illégaux qui rentrent, même ceux qui rentrent pis qui se disent, faussement, des réfugiés, pis qui font une demande de réfugiés, avant qu'ils aient leur réponse, ça va prendre 2, 3, 4 ans. Ils ont le temps de s'installer, ils ont le temps d'avoir des enfants, ils ont le temps qu'il se passe bien des affaires. C'est ça le problème. Si tu veux envoyer un message aussi pour qu'il n'y en ait plus qui soient intéressés à venir au Canada et se prétendre réfugiés quand ils ne sont pas, il faut que ta demande soit traitée en trois mois. Après trois mois, tu n'es pas réussi, out. [01:26:20] Speaker A: Il y a tellement de fonctionnaires. Il y en a plus que jamais. [01:26:24] Speaker C: Des fonctionnaires au fédéral, mais ils ne sont pas capables de traiter les demandes. [01:26:26] Speaker A: Donc il y a un front commun quand même sympathique. Québec solidaire là-dedans, les libéraux, la CAQ, on est tous réunis. C'est sûr qu'on a tous de la peine quand on voit cette situation-là. C'est une famille avec trois enfants quand même. Il y a deux enfants qui fréquentent une école primaire qui s'appelle l'école Saint-Clément. Les autres, ils ne veulent pas retourner dans l'enfer des cartels. C'est juste un pays... un pays de marde. [01:26:53] Speaker C: Le Mexique, genre... [01:26:53] Speaker A: C'est amusant d'aller... oui. [01:26:54] Speaker C: Ils ont quel âge les enfants? [01:26:56] Speaker A: Ça, j'ai pas l'âge d'homme, je suis pas intéressé à ça. Ils connaissent peut-être même pas la seule. [01:27:04] Speaker C: Chose qu'ils connaissent ici. [01:27:06] Speaker A: Alors voilà, ça me crève le cœur de lire ça. Santé. Oui, la fée qui est année. Et oui, la menace était là. Oui, jeudi, on fait pas d'overtime. Ouais. Si tu ne fais pas d'overtime... Oui, je le sais. C'est un sujet qui est extrêmement litigieux que l'overtime obligée. Mais si tu n'en fais pas, il y a des chirurgies qui vont être annulées. Le gouvernement porte ça devant le Tribunal administratif du travail qui a rendu une décision hier après-midi. Le juge dit non, vous êtes obligés. Vous ne pouvez pas, vous les 80 000 membres, cesser de travailler de cette manière-là. C'est la juge Myriam Bédard qui déclare ainsi que l'action concertée de la FIC risque de porter, et c'est son langage, préjudice. Elle n'a pas tard. Je suis vraiment tanné de ce conflit-là, pour vrai. Parce que moi, je parle à du monde du gouvernement, je parle à du monde des infirmières, ils ont toutes des bonnes positions. On veut que ça se règle. Mais c'est long. T'en as-tu du monde qui te parle dans ce dossier-là? [01:28:15] Speaker B: Moi, je te dirais que dans mon entourage, j'ai pas beaucoup de gens très accrochés au syndicat et à la patience, c'est-à-dire les gens d'émission. [01:28:25] Speaker A: Oui. [01:28:26] Speaker B: J'avais une infirmière à qui je parlais, elle avait été rentrée travailler pas de masque à un moment donné parce qu'il en manquait, puis elle est plus infirmière aujourd'hui. Elle a décidé que c'était fini. [01:28:36] Speaker A: 7H28 et pendant ce temps-là, ça va pleurer sur les épaules des journalistes. J'aime pas beaucoup les... Je serais pas comme Bill O'Reilly. Bill O'Reilly lui dit non, les sources anonymes, c'est de la marde mur à mur. Moi je suis mitigé par rapport à ça parce que, évidemment, vous avez l'exemple de Deep Throat avec le Watergate. Donc ça a quand même son utilité si t'as quelqu'un dans la machine qui pisse l'information. Très importante, moi je pense que oui. Sauf que dans ce cas-là, sérieusement, y'a un fonctionnaire qui dame. qu'il y a juste à le dire à une journaliste du Journal de Québec. Ouais, on se sent comme en 2014. C'est comme l'austérité. Bang! Austérité! Ouais. C'est aux journalistes à débanquer le placotage et les rumeurs. Ce n'est pas de l'austérité, là. Austérité, c'est des... c'est Mileille. Ravieille Mileille. C'est des coupes de 25, 30, 40, 50 %. Ça, c'est de l'austérité. Dans le langage de papa et maman, austérité, c'est t'as une roulotte, t'as deux chars, t'as un gros cottage dans le Ménil. Tu vends le cottage dans le Ménil, tu vas t'acheter un bungalow dans l'ancienne Lorette, tu vends en roulotte, tu vends un char. Ça, c'est de l'austérité. Parce qu'on n'arrive plus. OK, on vient de... On vend le chalet. Tu vois le genre, là? Ça, c'est de l'austérité. Non, non, ça suffit. On parle de gel d'embauche temporaire. Lisez comme ça à nouvelle, les amis. C'est un gel d'embauche... C'est du raboutage! C'est du... Papa, maman, on a de la misère à arriver. Pendant deux mois, on n'a pas Netflix. On le reprend, promis, gang. Début novembre, on le reprend. [01:30:23] Speaker B: On va aller vendre les vides. [01:30:25] Speaker A: C'est ça, c'est du vendage de bouteilles vides. On se serre la ceinture en attendant. Honnêtement, c'est du... C'est du break à braque, c'est du break à cac. Gels d'embauche et restrictions dans les déplacements. Le temps supplémentaire, là, c'est... On peut pas en avoir là. On va en avoir plus tard. Mais là, juste pour que tu puisses rentrer dans les culottes. Tu te serres, tu te rentres la bédaine pour rentrer dans tes vieux Levi's. [01:30:49] Speaker B: On veut pas faire de trous de plus. On veut pas aller à un autre trou, ça gêne. [01:30:54] Speaker A: Retiens ton souffle, Dan. Retiens ton souffle. Faut que tu mettes tes culottes. Pis je sais que les culottes, elles te feront pas bien le jour, mais faut que tu t'offres. Demain, à la fin de semaine, t'es re-winner si t'achetais une autre paire de culottes. C'est un petit peu ça. OK? Tombez pas dans le baratin, les amis. Tombez pas dans le baratin syndical. Au Québec, on veut mourir, on veut aller au ciel, on veut pas mourir. Donc on veut pas couper. On veut pas couper, mais on veut payer moins d'impôts, c'est toujours la même affaire. Donc, elle ne touche pas à mes services, mais je vais payer moins d'impôts. Toujours la même patente. Est-ce qu'il est là, M. Berthold? Oui! On va aller à Ottawa. Je parle avec Luc Berthold, député conservateur. Comment ça va, M. Berthold? [01:31:31] Speaker D: Ça va très bien. [01:31:32] Speaker A: Puis, j'ai trouvé hier que Pierre Poilièvre était gentil, gentil, calme. C'était pour faire mal paraître l'autre, l'autre bord, qui avait l'air d'un enragé. Avec Mme Gould, je crois, qui a traité Poilièvre d'intimidateur et de fraudeur. [01:31:50] Speaker D: Et oui, puis par la suite, à la période de questions, c'est temps pressé de dire non, non, nous, on ne tolérera pas les attaques personnelles. [01:31:55] Speaker A: Exactement. Quels sont les gros projets de loi à surveiller? Parce que là, j'ai vu, il y a C-10, il y en a un autre également, un projet de loi qui est très, très important. Est-ce qu'il y a des projets de loi qui ont été entérinés au cours des dernières heures ou qui vont l'être. Quelle est la game politique, au-delà du blabla, parce qu'on comprend que c'est du théâtre, pour le commun des mortels, il y a-tu des gros projets de loi qui s'apprêtent à être votés en Chambre? Nous, on va présenter un important projet de loi pour protéger les enfants en ligne. [01:32:29] Speaker D: Qui ne touchera pas à la liberté d'expression. C'est notre collègue Michel Rampal-Garner qui a déposé ce projet de loi-là. Vous allez avoir l'occasion... qui va le déposer. Vous allez avoir l'occasion d'en entendre parler au cours des prochaines semaines. On pense qu'il y a des manières de protéger les gens contre l'intimidation en ligne, de protéger les jeunes contre l'utilisation de leurs images, sans faire en sorte de primer la liberté d'expression sur Internet. Et ça, On a travaillé très, très fort là-dessus. Michel Rempold-Garner a travaillé fort. Et ça, ça va être un des dossiers que nous, on va travailler aussi au cours des prochaines semaines et des prochains mois, de faire les choses différemment. À part de ça, je vous dirais que le programme législatif du gouvernement est assez mince. Il n'y a pas grand-chose. Cette semaine, on étudie des projets de loi qui sont... C'est-à-dire, si on va attendre... Ça se. [01:33:22] Speaker A: Peut que ça meure au feuilleton si vous allez en élection. [01:33:25] Speaker D: Effectivement, si on va en élection, et même avec le Sénat tel qu'il est actuellement, c'est pas évident. [01:33:32] Speaker A: Allez-vous aller en élection? This is the question. Il y a-tu moyen d'y renverser? On est tanné. Ou vous attendez peut-être de tirer à 60 % des sondages? Vous êtes déjà à 47. [01:33:49] Speaker D: Écoutez, M. Moret, honnêtement, nous, c'est clair, on va voter pour défaire ce gouvernement-là à la première occasion. On est en train de préparer des motions de non-confiance à l'endroit du gouvernement. La vraie question qu'il faut poser, c'est est-ce que le NPD et le Bloc québécois vont maintenir en place Justin Trudeau après tout le dommage qu'il a causé à notre économie? Écoutez, on n'invente rien. Les campements, les tentes dans les grandes villes, les prix à l'épicerie, il s'agit d'aller se promener à l'épicerie. puis faire des comparaisons de ce qu'on payait en 2015 et ce qu'on paye aujourd'hui dans les épiceries. [01:34:26] Speaker A: Comparé à 2015? C'est du simple au double. [01:34:29] Speaker D: Exactement. Ça a doublé. Ça a doublé les coûts de la vie. Les coûts des logements ont doublé. Les crimes partout, il y a une explosion dans les crimes. On l'a vu avec les vols automobiles. On l'a vu aussi avec les crimes violents partout. Donc, est-ce que c'est vraiment... [01:34:44] Speaker A: L'immigration? Il faut parler de l'immigration. [01:34:48] Speaker D: Oui, vous avez raison. C'est le chaos total. Les bureaux de députés vont faire que ça, des dossiers d'immigration, parce qu'il n'y a plus de fonctionnaires pour répondre, pour aider les gens. On a tellement accès à ces gens. Aujourd'hui, on est dans la vague où Immigration Canada expulse des gens qui auraient dû être expulsés il y a deux ou trois ans. Ces gens-là ont eu le temps de s'intégrer dans notre communauté. Certains se sont fait des amis, puis tout ça. Puis aujourd'hui, on leur dit, ben non, malheureusement, vous devez repartir. C'est inhumain. C'est inhumain. [01:35:16] Speaker A: Comme les Mexicains dont j'ai parlé. Ça n'a pas de maudit sens, ça. [01:35:20] Speaker D: Exactement. [01:35:20] Speaker A: Pendant ce temps-là, vous avez le reportage de Romain Chouet de Radio-Canada sur une gang de fripouilles de passeurs indiens qui rentrent illégalement au Canada pour rentrer aux États-Unis. Donc le Canada, encore une fois, paraît mal aux yeux des États-Unis. C'est une vraie passoire. À Montréal, nommément. [01:35:38] Speaker D: Exactement. Et donc, la question, tout ça pour dire que est-ce que le Bloc pense que c'est vraiment dans les intérêts des Québécois de garder Justin Trudeau encore un an? C'est ça, la vraie question. [01:35:50] Speaker A: Au plan technique, comment ça marche? Vous déposez une motion de blâme, comment ça marche? Comment ça marche? [01:35:57] Speaker D: Les partis d'opposition ont des journées d'opposition où le gouvernement doit absolument nous permettre de déposer une motion qui sera votée à la Chambre des communes. [01:36:05] Speaker A: Ça, ça s'en vient, là. [01:36:06] Speaker D: Et si ça s'en vient, c'est le gouvernement qui décide quand on aura ces journées-là. [01:36:10] Speaker A: C'est-tu la semaine prochaine, peut-être? [01:36:12] Speaker D: On le sait pas. Le gouvernement a jusqu'au 14 décembre pour nous donner nos cinq... parce qu'on a droit à avoir cinq journées d'opposition du côté du Parti conservateur. [01:36:20] Speaker A: Vous avez cinq chances. C'est un peu comme Expo-Québec, vous avez cinq boules. Cinq chances. D'ici Noël, vous avez cinq boules. [01:36:27] Speaker D: Exactement. [01:36:28] Speaker A: Ils sont obligés de vous les donner. [01:36:30] Speaker D: Il y a pas le choix. [01:36:31] Speaker A: À 24 heures d'avis, Luc Berton? [01:36:33] Speaker D: C'est un petit peu plus tôt que ça, c'est un 48 heures. [01:36:36] Speaker A: Vous êtes présent physiquement, vous devez être présent. [01:36:42] Speaker D: On doit être présent, mais aussi on doit faire un avis, c'est quoi le contenu de la motion dont on va parler le lendemain. Donc c'est 24 à 48 heures. C'est bon. Donc on va avoir, tout le monde va avoir, tous les partis vont avoir le temps de réfléchir au contenu de la motion qu'on va déposer. On est encore en train de voir quels sont les mots qu'on va utiliser exactement. Est-ce qu'on va utiliser des mots pour tenter de rallier les deux autres parties à notre volonté de défaire. C'est ça ce qu'on va voir au cours des prochains jours. Mais tant ou aussi longtemps qu'on n'a pas l'avis que le gouvernement a planifié une journée d'opposition, on va attendre. [01:37:20] Speaker A: Mathématiquement, si le NPD vous appuie, mettons, je ne pense pas que ça arrive, Pouvez-vous renverser le... Je n'ai pas le score exact devant moi. Je sais que c'est un minoritaire, mais c'est un faux minoritaire. C'est-tu assez? [01:37:33] Speaker D: Ça prend absolument le NPD et le Bloc québécois. [01:37:36] Speaker A: OK. Les deux ou rien? [01:37:38] Speaker D: Les deux doivent voter... Avec vous autres. ... non-confiance envers le gouvernement pour qu'on puisse défaire ce gouvernement et forcer le premier ministre à aller au bureau de la gouverneure générale pour demander la dissolution de son gouvernement. [01:37:53] Speaker A: Et là, Jagmeet Singh, lui, il a le goût de vomir. Quand on lui dit «Vous allez voter du même bord que Paulieb», il a le goût de vomir. Ça va prendre des petites carottes, des petites patates. [01:38:03] Speaker D: On voit des flip-flops, on l'a vu sur la taxicarphone. C'est juste avant l'élection partielle. Je pense qu'ils étaient vraiment désespérés par ce qui s'est passé dans Hellmuth-Transcona parce qu'ils ont gardé le comté par la peau des fessières. [01:38:16] Speaker A: Êtes-vous déçus de ça d'ailleurs? Vous aviez des chances quand même. [01:38:20] Speaker D: Non, honnêtement, regardez la progression du vote conservateur dans un comté qui est un château fort du NPD depuis une trentaine d'années. 16 % de plus qu'on a fait. Ça correspond à la tendance qu'on voit présentement partout au Canada. Donc, pour nous, c'est un signe qu'on est dans la bonne direction. [01:38:39] Speaker A: Dans le cas de Montréal, comment vous interprétez-vous ça? Par la peau des fesses, le bloc? [01:38:42] Speaker D: Même chose. Écoutez, ce qu'on doit retenir hier, c'est la défaite humiliante du Parti libéral dans un château fort. Je pense que c'est la grosse nouvelle aujourd'hui, c'est ça. 240 voix de majorité pour le Bloc. Donc, il n'y a pas aucun des autres partis qui a... [01:38:59] Speaker A: Il n'y a pas de matière à recomptage en passant. [01:39:02] Speaker D: Pardon? [01:39:02] Speaker A: Il n'y a pas de matière à recomptage, Luc Berthold, dans ce dossier-là. Maintenant, s'il passe par 18 voix oui, c'est serré, mais je ne pense pas. [01:39:10] Speaker B: Qu'Il y ait de recomptage. [01:39:11] Speaker C: Non, c'est 200 quelques votes. [01:39:12] Speaker A: C'est ça. [01:39:12] Speaker D: Je pense pas que les libéraux vont avoir le culot de faire ça parce que je pense qu'ils doivent en ce moment plutôt se poser la question est-ce qu'on doit mettre dehors Justin Trudeau ou pas. [01:39:24] Speaker A: Êtes-vous capable de le picosser encore un petit peu plus? Comme là, j'ai vu hier une dépêche. Trudeau a une semaine pour se conformer au vote et remettre à la GRC les documents relatifs à la caisse noire du fond vert. Moi, j'aime ça, ces affaires-là. Êtes-vous capable de le picosser comme il faut là-dessus? Pouvez-vous m'expliquer ça, ce dossier-là, là? [01:39:42] Speaker D: On ne le lâchera pas. Vous l'expliquez en... Mais d'une grande ligne, d'une grande ligne. C'est trop difficile, là. Mais Justin Trudeau a nommé une dame en 2017 à la tête du fond vert. libéral. Ça c'est pour donner, c'est un fonds qui était là pour aider les PME à développer des innovations technologiques en matière d'environnement. Et depuis un an et demi à peu près, il y a un lanceur d'alerte qui nous a avisé écoutez il se passe des choses pas correctes là et vous devriez investir là-dessus. On a fait et il y a eu deux enquêtes qui ont été faites par le vérificateur général et par le commissaire à l'éthique Et ce qu'on a trouvé, c'est qu'entre 2017 et 2023, ce fonds-là a approuvé 856 millions de dollars en subventions. Et il y a eu des conflits d'intérêts ou des subventions qui ont été données d'une manière incorrecte dans 44 % de tout ça. Donc on a 400 millions de dollars qui ont été versés par ce fonds-là. [01:40:44] Speaker A: À des amis? [01:40:46] Speaker D: À des amis libéraux ou tout simplement parce que la présidente du fonds qui a été nommée par les libéraux a octroyé des subventions à ses propres compagnies. Le commissaire à l'éthique hier a témoigné en comité et il a trouvé 24 manquement à la loi sur l'éthique de la part de Mme la Présidente dans son dossier sur des sommes qui ont été allouées à des entreprises dont elle était actionnaire ou dont elle était propriétaire. Donc c'est un vrai... [01:41:15] Speaker A: C'est grave en maudit! On n'entend quasiment pas parler de cette affaire-là. [01:41:20] Speaker D: Tout à fait. Et dans les conclusions du rapport du vérificateur général, il y a deux choses. Bon, le vérificateur général a conclu que les technologies de développement durable n'avaient pas toujours géré les fonds publics conformément aux accords. C'est ça, on le voit. Mais le pire, c'est que la surveillance, et ça, je vais le citer, la surveillance exercée par Innovation, Sciences et Développement Économie Canada n'avait pas garanti que les fonds publics étaient administrés conformément aux modalités des accords de contribution. C'est-à-dire qu'on n'a pas géré les fonds En fonction des normes, ce n'était pas. [01:41:53] Speaker A: Normé de manière serrée. [01:41:54] Speaker D: Ça veut dire quoi? Ça veut dire que le ministre François-Philippe Champagne, qui était le ministre d'Innovation, Sciences et Développement, Technologie et Économie du Canada à ce moment-là, et qui l'est encore, n'a pas fait son travail. de surveiller comment l'argent des Canadiens a été utilisé. Et pourquoi? Et c'est là qu'on se pose des questions, plein, plein, plein de questions. Est-ce qu'effectivement on a donné cette dame-là parce qu'on voulait une caisse droite pour être capable d'aider les petits amis ou pas? On ne sait pas. C'est ce qu'on veut aller plus loin. La motion que vous avez dit, le 10 jours qu'on a donné, le 2 semaines, c'est parce qu'on a adopté en juin à la Chambre une motion demandant à la vérificatrice générale de transmettre toutes les informations qui sont non confidentielles à la GRC pour que la GRC puisse enquêter sur cette situation-là. La vérificatrice générale a refusé de se soumettre à cette décision de la Chambre. Donc, ce qu'on dit au gouvernement, c'est que vous avez jusqu'à la semaine prochaine pour remettre les documents à la GRC. Sinon, on va faire une autre question de privilège qu'on a déposée hier, ce qu'on a commencé. Puis on va faire en sorte qu'on va demander à tous les partis de nous aider à publier cette demande de production de documents pour que la GRC puisse faire toute la lumière là-dessus. Le Parlement a le droit d'exiger des documents, tous les documents qu'il veut, Et c'est pas normal qu'on reçoive des documents quand on fait des demandes comme ça qui sont caviats. Ils sont éludés d'informations. Donc c'est ce qu'on est en train de faire comme processus pour tenter de faire toute la lumière sur ce fond vert libéral de la mauvaise gestion et voir si effectivement il y a eu de la corruption. [01:43:29] Speaker A: Bon ben allez imprimez vos pancartes là. On s'en va à l'élection. Merci. Salut, bye. Bye. Luc Berthold. On a-tu hâte? [01:43:38] Speaker B: Mais j'ai pas ton optimisme sur cet automne. [01:43:43] Speaker A: J'ai un souhait. Je suis pas optimiste, mais j'ai un souhait. [01:43:48] Speaker B: Le printemps, c'est sûr. C'est sûr qu'on sera pas à l'automne. [01:43:51] Speaker A: Les oiseaux, les bourgeons, les pancartes. [01:43:53] Speaker C: Jacques-Philippe, il aura pas sa pension. [01:43:56] Speaker B: Il va y avoir un budget et tu ne peux pas aller en élection en ayant voté pour le budget du gouvernement. [01:44:01] Speaker C: Ça va être sûr. [01:44:03] Speaker A: Puis un mot couvert, le conservateur. [01:44:05] Speaker B: Puis aussi le fait qu'il y a trois élections provinciales, puis le NPD provincial, puis le NPD fédéral, c'est le même parti. Les autres, ils ont trois élections à gérer, ils en veulent pas une quatrième. [01:44:14] Speaker A: On avait pas des coupures. Des coupures, des coupures. 7h44, vite de même un quiz. Il y a combien de jours dans une année? [01:44:24] Speaker B: 365. [01:44:24] Speaker A: Combien de jours travaillés par les hommes médecins? Hommes et femmes, Il y a une petite différence, mais là, c'est pas là l'histoire. C'est pas ça, là. [01:44:35] Speaker C: Je vais dire 200. [01:44:37] Speaker A: Ben moins que ça. [01:44:39] Speaker C: Par les hommes, médecin? [01:44:42] Speaker A: Ah oui? OK. 117. 184. 184. OK. C'est pas ben moins que ça, là. Ouais, ben moins que ça. [01:44:48] Speaker C: Moins que ça. 5 jours. [01:44:49] Speaker A: Non, mais... [01:44:50] Speaker C: C'est deux semaines de moins. [01:44:51] Speaker A: J'ai écrit 365 jours, 184 jours travaillés. Wow. La CAQ est pas contente. Puis nous autres aussi on devrait pas être content parce que ça travaille pas, ça travaille pas fort. Ils ont un tableau dans la presse, ça a l'air fou là. Il y a des milliers de médecins qui ont aucun patient d'inscrit. Eux autres ils attendent puis... Tsé, je sais pas où est-ce qu'on s'en va avec ça là, c'est une guerre qui se dessine, une autre guerre entre le FMOQ et le gars là, la prochaine étape qu'elle est telle. Il veut lier la rémunération des 10 000 médecins de famille à des indicateurs de résultats. Guilletin Barrette sort de ce corps. J'ai l'impression de revivre le moment Barrette. C'est notre moment Barrette ici à Radio-X. On est en train de le vivre. Oui, mais Guilletin Barrette, elle ajoute. Oui, mais c'est la même affaire avec la loi 20 sur les pénalités appliquées. Donc, le gars veut dépoussiérer ça et imposer des pénalités Donc, c'est le bâton et la menace de sanctions financières si on ne soigne pas assez de monde. On ne soigne pas assez de monde. On s'en va à Pinottes, mon cher ami. Très rapido. [01:46:03] Speaker F: Toutes sortes de pinottes. [01:46:04] Speaker A: Salé, barbecue, des pinottes, des pinottes. [01:46:09] Speaker C: Pinottes fest avec d'or. [01:46:13] Speaker F: Le plat de pinottes. [01:46:15] Speaker A: Les artistes pleurent. Deux affaires un matin. D'abord, il y a des artistes qui ont été faire des shows de marionnettes dans les écoles qui n'ont pas été payées. Mais ça, c'est à vous autres de s'organiser. « Ah oui, tu vas me payer mon monnaie, je vais y aller. » Oui, mais quand vous avez un contrat, ayez un contrat signé en bonne et due forme. « OK, le show de marionnettes, je vais être à telle école. » Là-dessus, il y a une responsabilité, à mon avis, de partager. C'est sûr qu'il y a du bric-à-brac dans les écoles du Québec. Je vous apprends rien là-dedans. Mais en même temps, toi, T'es appelé. C'est à toi de protéger. Ah, mouillez-les! Parce que t'aimes l'école, parce que c'est l'école de ton enfance, parce que... Là, y'a plein d'artistes qui ont pas été payés, c'est la une du devoir de ce matin. [01:46:57] Speaker B: T'es un peu naïf de s'entendre avec le gouvernement du Québec pis de pas demander à être payé avant... Ça te prend un papier! Ben oui! [01:47:03] Speaker A: Ça te prend un papier! T'es un artiste! [01:47:06] Speaker C: Je le sais! [01:47:08] Speaker A: Mais c'est ça pareil, t'es un artiste, faut que tu sois business un peu quand même. Oui, moi je suis un artiste, oui je comprends, mais faut que tu sois business quand même un peu. Ça te prend des papiers, ça te prend quelque chose de tangible pour te protéger. L'autre chose, c'est dans, je crois que c'est dans la presse, il y a une espèce de rapport qui dit que, ah c'est le drame, dans les salles de spectacle, 43% des Québécois de plus de 16 ans qui n'ont vu aucun show, aucun spectacle. Moi, je n'aimerais pas voir des shows pour vous faire plaisir. Il faut que ça me plaise. Bien, j'ai acheté des billets de show. Je vais en voir de moins en moins, des shows. Je suis plus sélectif. Comme là, j'avais acheté Heart. Le Heart, ils reviennent. Le ticket de ma soeur m'a offert de me faire rembourser, je me fais rembourser. Quand même, 440 piastres. C'était pas donné, hein? [01:48:00] Speaker B: Ben non. [01:48:00] Speaker A: OK? Deux billets. Je vais avoir Dubé Brothers, c'est mon band. J'ai acheté Pat Metheny. Yeah, c'est un guitariste exceptionnel. Pour ceux qui connaissent le jazz, c'est une légende du jazz à Québec. Pat Metheny, pour les gens qui connaissent le jazz, c'est un incontournable. Puis il est au Palais-Montcalm. Même pas 100 piastres l'etiquette, quand même bon. J'y vais! Mais j'y vais pas pour plaire au gouvernement, pas pour plaire aux artistes. [01:48:28] Speaker B: Ça fait pas son affaire, c'est pas des artistes québécois. [01:48:30] Speaker C: Ouais, ça compte dessus? [01:48:32] Speaker A: Non, ça compte pas. C'est des artistes québécois. Moi, j'y vais dans un théâtre québécois. [01:48:37] Speaker B: Tu vas aller au Rempart? [01:48:38] Speaker A: Ouais, ça me compte dessus, ça? [01:48:40] Speaker B: Ben oui, ça compte. Dans mon livre à moi, ça compte. [01:48:42] Speaker C: C'est pas tous des Québécois, là, mais mettons que ça fait. [01:48:45] Speaker A: J'ai mes billets de saison pour les Remparts, c'est de la culture, c'est du hockey. Parlant de hockey, puis je vais finir avec ça. On s'en va à Franck au retour. Quelle catastrophe, pareil. C'était un gars qui avait du talent. Gabriel Gagné. Je vais vous en parler, c'est un ancien cataracte chez OUI. Il a joué au Blé-Tigre aussi. Quand même, le choix de deuxième ronde des sénateurs, c'est dégueulasse. des accusations d'harcèlement, d'agression sexuelle, dans plusieurs cas. Et hier, c'était sa comparution au palais de justice de Saint-Hyacinthe, où il y a eu justement témoignage de la victime. Dans ce cas-là, l'athlète de 27 ans, accusé de voix de fait, agression sexuelle menace, agression armée. Fait à signaler, c'est son troisième procès pour agression sexuelle cet été. On lui reproche d'avoir violé deux autres femmes en 2016, quand il était dans la Ligue américaine. C'était un top choix des sénateurs. Un top choix, là. C'est un gars qui a une shape, beaucoup de patins. Gabriel Gagné. Il avait un beau talent ce gars-là. Faites ça sur hockey DB, tout ça. C'est catastrophique. C'est un écrasement d'avion. [01:49:58] Speaker C: Il avait un beau kit d'outils. [01:49:59] Speaker A: C'est dégueulasse. C'est ça, il a décidé de faire de la cochonnerie avec. Méchant cabochon. Méchant trou de cul. Et là, la violence avec quiconque s'est enlevé le cœur et envers les femmes. C'est doublement dégueulasse, à mon avis. Et il s'est attaqué à des femmes. Présumément, on verra la suite des choses. Mais on dit qu'hier, le témoignage était... Très renversant. Témoignage de Daphné, évidemment, c'est un faux prénom. Alors voilà. Une carrière, c'est une vie ratée. C'est une vie gaspillée. Une athlète qui a mal viré. [01:50:35] Speaker B: Daphné, elle a maintenant un chien d'accompagnement. [01:50:36] Speaker A: Ben oui, j'ai vu ça. En cours, elle l'a mis en cours, son chien. Tellement qu'elle est stressée. Épouvantable. 7h50. Oui, Dom. [01:50:45] Speaker C: Je savais que tu passais en pause. Dan va te donner tous les détails pour la circulation. C'est le bordel, c'est un peu résilient sur les voies. Il y a un incendie. Rue Bourbonnière, si vous ne connaissez pas, c'est collé sur l'université Laval et c'est collé sur le boulevard Laurier. Ça peut jouer aussi dans ce coin-là. Deuxième alarme. Donc, il y a des camions de pompiers, vous allez entendre les sirènes, tout ça. [01:51:02] Speaker A: Merci, Dom. Dan, circule. Ben c'est le doume qui passe à la pause. Fait que moi je te parle. Ah on fait ça durant la pause? On fait ça pendant la pause. On va respecter le protocole quand même. Franco au retour à Radio X. [01:51:21] Speaker E: Morelive, présentée par VendsTonChar.com. Le garage reprend ton char, mais tu es déçu du prix qu'on t'offre? Demande un deuxième avis à VendsTonChar.com. Règlement rapide en ligne ou sur place avec le meilleur prix du marché. [01:51:36] Speaker A: VendsTonChar.com. Cette semaine, écoute Ouellet en direct. Tu pourrais gagner la location et lessive de couches lavables pendant un mois, grâce au site de La Couche Écolo. La Couche Écolo passe chercher vos couches usées, les lave et vous les ramène. Solutions adaptées à vos besoins, c'est la façon de l'essayer. Visitez lacoucheécolo.com. SA Service Agricole, c'est un centre exceptionnel. C'est un centre exceptionnel qui vend une gamme d'outils pour justement, quand on dit agricole, faut élargir, t'as un grand terrain, t'es amateur de plein air, t'as une écurie, t'as une ferme. Où t'es une entreprise avec un grand parking, moi je pense que ça peut faire. Détenteur de la marque Massey Ferguson et Fent au Québec. Grand, grand parking avec des tracteurs à perte de vue. Ouais, les tracteurs rouges c'est du Massey, les tracteurs verts c'est du Fent. Et Dieu sait qu'on connaît ça. Et l'inventaire est juste parfait. Fait pour toi. Le petit tracteur Massive Ferguson, tu l'aimes, tu l'as, tu le prends. Il est disponible. Garantie 10 ans. C'est la plus longue garantie offerte sur le marché. Et tu pars avec. 59 par semaine. C'est-tu pas beau ça? saservicesagricoles.ca C'est où? C'est où? Je veux y aller. Saint-Georges-Sainte-Marie-Pont-Rouge. Quoi tu cooks, mon joli? Warwick. [01:52:57] Speaker F: La maudite congestion. Traffic southbound. 24-24 with Dan the Traffic Man. [01:53:08] Speaker B: En tout temps, les coordonnées 88-67-0909, faites pour nous dire ce que vous voyez sur la route à l'heure actuelle, Rive-Nord. Il y a un incident sur du frein Montmorency, direction ouest, dans l'accès qui arrive du boulevard des Chutes. C'est partiellement entravé dans ce secteur-là. On dit que tous les services sont sur place, le ministère, la police, les pompiers également. On a un accrochage, c'est sur Capitale, direction est, à la hauteur du boulevard Saint-Jacques, voie de gauche, voie de centre bloquée également. Il y a des travaux dans ce secteur-là aussi, donc ça accause beaucoup plus de problèmes. Puis quand on regarde le trafic en tant que tel, en temps réel, Charest, c'est bloqué. Henri-Cade, direction sud, dans le secteur Val-Belaire, ben, c'est rempli de monde également. Capitale, direction ouest, à partir de Seigneurial, en se rendant jusqu'à Henri-Cade, c'est congestionné. Rive-Sud, maintenant, la 20, dans les deux directions 20, S20 ouest, c'est à partir de la Halle Troutière, où c'est par choc à par choc pour des gens qui arrivent de Saint-Apollinaire. C'est à partir de la route Choupin-des-Îles, où c'est par choc à par choc pour des gens qui arrivent de Saint-Michel-de-Bellechasse. Et c'est par choc à par choc à partir de l'avenue de la Rotonde pour des gens qui arrivent de Sainte-Marie. L'accès au Pont-Pierre-de-la-Porte et l'accès au Pont-de-Québec également, très très dur. Puis tout ce qu'il y a, qu'avoisine les ponts dans ce secteur-là, 116-132. Secteur à éviter. 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Consultez la section carrière de la coopérative funéraire des Deux-Rives. Bonjour à tous, ici Josée. Vous savez, votre maison est sans doute l'un des plus gros investissements de votre vie. Et quand il s'agit de la protéger, il est essentiel de faire confiance à des experts. C'est là qu'intervient la financière. Depuis plus de 20 ans, notre équipe dédiée aide les propriétaires de maisons comme vous à obtenir de meilleurs taux d'intérêt et des conditions optimales pour leur hypothèque. Mais ce n'est pas tout. Surtout, nous savons que la vie peut réserver des surprises. Et c'est pourquoi nous offrons aussi des solutions de financement alternatifs pour répondre aux urgences. Que vous ayez besoin d'un coup de pouce ou d'un plan d'action sur mesure, nous sommes là pour vous. Et pour commencer, nous offrons une analyse gratuite de votre dossier. Rendez-vous sur notre site Web LaFinancière.ca pour en savoir plus. Vous pouvez aussi nous appeler directement ou nous contacter via Facebook. Chez La Financière, votre maison est notre priorité et nous avons à cœur de protéger ce qui compte le plus pour vous. [01:56:08] Speaker A: LaFinancière.ca Promutuel est l'assureur grand public le plus recommandé. [01:56:12] Speaker F: Moi, j'ai même entraîné mon assistant virtuel à recommander Promutuel. [01:56:15] Speaker A: Ah, je le sais. Chez qui assurer ma maison? [01:56:19] Speaker E: Il est midi quinze. [01:56:20] Speaker B: Non, non, non. [01:56:20] Speaker C: Faut dire, qui recommandes-tu? [01:56:22] Speaker E: Je recommande la pêche à la truite. [01:56:25] Speaker H: C'est peut-être pour ça qu'il y a. [01:56:26] Speaker A: Encore tout le monde pas assuré chez nous. Demandez-nous une soumission, vous verrez pourquoi on nous recommande autant. Et obtenez jusqu'à 25% de rabais sur votre assurance habitation. Certaines conditions s'appliquent, détail en ligne. [01:56:36] Speaker C: Promutuel Assurance et la la la la. [01:56:38] Speaker G: La la la la. [01:56:39] Speaker A: Il y a quelqu'un qui nous écrit «Pourquoi on me répond jamais?» C'est parce qu'on est trois dans le show et on est trois en studio. C'est ça. Les shows, les morning shows, habituellement, sont plus que trois. Nous, on est trois. « And then there were three ». [01:56:52] Speaker B: Voilà. [01:56:53] Speaker A: C'est Genesis, « And then there were three ». [01:56:56] Speaker B: Même les autres shows de la grille sont plus que trois. [01:56:58] Speaker A: Oui, c'est ça. Fait qu'il y a personne en arrière dans la cuisine. C'est pour ça. Mais si c'est important, Vous nous textez 886709098 tout simplement et on va le voir. Nanook.ca. Mettez-en qu'on les voit eux autres sur les routes. L'ours polaire sur la Venette. Nanook, ils sont à l'oeuvre, à pied d'oeuvre ce matin. Ils rentrent du même temps. Pour eux autres, ils font au moins une heure qu'ils travaillent sur les toits partout à Québec et dans la région. NANUUQ.ca. 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[01:59:06] Speaker E: Québec, c'est Radio X. Choua. Radio X. Faites-vous. [01:59:12] Speaker A: Faites-vous. Votre propre opinion. Moray. On y a toujours cru. Live. Avec Dominique Moray. [01:59:24] Speaker E: Live. [01:59:33] Speaker A: Salut Frank! [01:59:34] Speaker C: Bon matin messieurs. La fille se fait violer à l'avengib trop courte. [01:59:54] Speaker A: Trump s'est fait tirer dessus, ou s'est fait attaquer, ou le deuxième tireur n'a pas tiré dessus. Mais c'est une tentative quand même de meurtre. C'est de sa faute, il a couru après. C'est un peu ça. [02:00:06] Speaker I: C'est un peu à ça que ça ressemble. Écoute, tu vois ce matin, tout en nuances, dans le magazine L'Actualité, il y avait un article de Raphaël Jacob qui s'appelle « Le fou qui inspire la folie ». [02:00:18] Speaker D: Voyons donc. [02:00:19] Speaker A: D'habitude, il est un petit peu plus mesuré que David. Charles-Philippe David, c'est un flyer. [02:00:26] Speaker I: Oh ouais, mais écoute, aujourd'hui, il dit la seconde tentative de meurtre contre Donald Trump ne doit pas être vue comme l'expression de la polarisation extrême des États-Unis, mais plutôt comme un signe du climat de folie dans lequel baigne actuellement la politique américaine. Donc il y a un... Ça, il. [02:00:41] Speaker A: N'Y a pas tant sur le climat de la folie, mais de leur dire que c'est un fou. [02:00:45] Speaker I: Ouais, mais tu sais, c'est des critères un peu psychologiques de même. Je ne suis pas sûr que ça explique vraiment les grosses tendances. [02:00:52] Speaker A: Si on veut ouvrir le jeu, on peut regarder Ricaneuse aussi. Qui rit aux trois mots puis qui dit à peu près n'importe quoi. Qui répète toujours la même cassette. [02:01:02] Speaker I: C'est ça. Moi, ce qui m'intéresse, c'est les tendances de long terme, les statistiques qu'on peut avoir, les données qu'on peut avoir. Moi aussi, je peux écrire un texte et dire « Ah, ben là, eux autres sont fous. » Après ça, qu'est-ce qu'on apprend? Ça dit quoi, ça? « Il est fou. » OK, parfait, on finit la discussion, on arrête là. Je sais pas si vous avez vu hier, en fait, ça a sorti les réseaux sociaux, Hilary Clinton qui est à MSNBC avec Rachel Maydow et qui a dit dedans clairement, ben j'ai même l'extrait si tu veux, je peux te le faire entendre. [02:01:36] Speaker A: Oui. [02:01:37] Speaker I: Oui, dis-y, ben regarde, je la laisse parler, on y va, ça va comme suit. [02:01:41] Speaker A: Et je ne comprends pas pourquoi c'est si difficile pour la presse d'avoir une. [02:01:46] Speaker E: Histoire consistante sur le danger que pose Trump. Le célèbre journaliste Harry Evans a un jour dit que les journalistes devraient vraiment essayer d'obtenir l'objectivité. Et par ça, il a dit, je veux dire, qu'ils devraient couvrir l'objet. L'objet, dans ce cas, c'est Donald Trump. [02:02:11] Speaker I: Ce que vous avez compris, je le traduis dans mes mots, elle dit à Rachel Maynard sur MSNBC, elle dit, « Je ne comprends pas comment ça se fait que les médias ne sont pas capables d'articuler un narratif autour de Donald Trump qui va le traiter pour ce qui... » Elle, elle trouve que les médias ne sont pas encore assez anti-Trump. C'est quand même spectaculaire. [02:02:31] Speaker C: Ça prend un narratif constant, ça prend du monde qui disent tout le temps la même affaire, le même message. Je suis désolé, moi, c'est les démocrates que je trouve dangereux par rapport justement à leur discours du contrôle de l'information. [02:02:43] Speaker I: Il y a ça qui est extrêmement dangereux, mais je trouve que ça tombe pile poil avec ce que je voulais parler ce matin. En fait, c'est un all sides. C'est une société américaine qui évalue le biais des médias. Dans le fond, ça a été fondé au milieu des années 2000-2012, je crois. Et eux, ce qu'ils font, c'est qu'ils font des enquêtes sur plein de médias, puis ils regardent, bon, lui est un peu plus à gauche, lui est un peu plus à droite, tout ça. Et avec l'université de Syracuse, ils ont sorti une étude qui évalue comment les journalistes se décrivent politiquement de 1971 à aujourd'hui. En 1971-72, 25,7% des journalistes se disaient républicains, 35% démocrates et 32% indépendants et d'autres qui voulaient pas répondre. Grosso modo, c'est ça. Combien... Si vous pensez au chiffre d'aujourd'hui, à quoi ça peut ressembler selon vous? [02:03:48] Speaker A: Ben, moi, j'ai le chiffre, fait que je veux pas tricher. [02:03:50] Speaker I: Ben, tu veux pas tricher. [02:03:51] Speaker A: J'ai le chiffre dans le line-up. [02:03:53] Speaker I: On laissera pas languir les auditeurs. Aujourd'hui, 52% se disent indépendants, 36% démocrates, 3% républicains. Il y a un écart de 33% entre les démocrates et les républicains. Et indépendants, vous aurez compris que c'est le genre de court mot. J'étais démocrate quand j'étais sur CNN, maintenant je suis rendu indépendant. OK, là, mais je ne sais pas si on peut vraiment accorder une crédibilité à ceux qui se disent indépendants. Mais ils ont le droit, c'est leur droit. Mais 3 % républicains. [02:04:32] Speaker B: Et là, on dit... [02:04:33] Speaker C: C'est 3 % de trop, selon Hillary. [02:04:35] Speaker I: C'est ça, mais c'est ce que vous comprenez, le lien entre les deux, c'est qu'elle arrive, elle dit là, là, c'est pas assez, il va falloir qu'on articule un narratif qui est anti-républicain, anti-Trump, il faut que ce soit plus systématique, plus global. Alors que tu dis ok, mais dans les médias, il y a à peine 3% des gens qui ont un discours favorable au plus favorable aux républicains qu'aux démocrates. Et là, ce qu'on dit dans cette étude-là, c'est que tu peux faire des courbes à peu près juste à poser entre l'évolution de ces répartitions-là et la confiance que les Américains ont envers les médias. Seulement 7 % des Américains aujourd'hui déclarent avoir une grande confiance dans les médias d'information. Ce chiffre-là était à peu près aux alentours de 40 en 1972. C'est une catastrophe. Je ne sais pas si les gens réalisent ce que ça veut dire, mais c'est catastrophique. [02:05:32] Speaker A: C'est la fin. Regarde combien ça coûte d'abonner à un journal aux États-Unis. J'arrête pas d'avoir des offres. Washington Post, U.S. Today la semaine passée. Combien, U.S. Today, pour un an d'abonnement? U.S. Today, combien? pour un an. C'est des... Ah! [02:05:48] Speaker C: Je le sais, c'est des pinottes, ça. [02:05:50] Speaker I: Ça doit pas être grand-chose, là. Ça doit être genre 22 piastres pour un an. [02:05:52] Speaker C: C'est moins que ça, je pense. Une piastre. [02:05:53] Speaker A: Une piastre pour un an? [02:05:55] Speaker I: OK, ouais. C'est un bon modèle d'affaire. [02:05:57] Speaker A: Une piastre. Les cotes d'écoute de CNN. Le score est lourd. Le score est dans le montant que tu dois payer pour un abonnement. Ils ont plus une scène. C'est un modèle qui est fini. Et la cote d'écoute de CNN, c'est une cote d'écoute qui était comparable à Télé 4 dans le temps de Pierre Jobin. pour les shows de pointe. Les shows de pointe, là, c'est dégueulasse, là. Y'a plus personne qui écoute, là. Donc, à quelque part, l'influence, elle est déjà partie. C'est le déclin de la télé aussi, le déclin de la télé normale. Regardez les pubs, tout est là. Pub de Fox News. Moi, je regarde Fox. Je regarde toutes, là. Mais à Fox, ça me reste dans la tête, les pubs de marchette. des pubs de marchette, là il annonce ces temps-ci un téléphone avec un écran. Mettons que ton petit-fils t'appelle. « Grand-papa, je joue au baseball hier. » C'est écrit sur l'écran. Parce que t'es pas capable d'entendre. Mais c'est ça qu'on annonce. Quand vous avez un média qui, je vais insulter personne, annonce des maisons funéraires, des dentiers, des marchettes, Bad news! [02:07:06] Speaker I: Non, non, une pub de Polydent, là, c'est... Bad news! [02:07:10] Speaker A: Ça vous indique... la qualité, en termes qualitatifs, là, je vous dis pas en termes de sont bons, sont pas bons, là. En termes qualitatifs, l'auditoire. CNN, c'est terminé, là. Et les journaux, c'est terminé. Donc, c'est sûr qu'il y a une crise d'influence majeure chez les médias traditionnalistes. [02:07:30] Speaker I: Oui, et c'est ce qui explique, à mon avis, le fait qu'il... qu'il appuie sur l'accélérateur, qu'il y a un turbo down, dit-on. comme vous voulez, mais c'est parce qu'ils savent qu'ils sont comme en perte de contrôle. Et quelqu'un qui est control freak et qui est en perte de contrôle... [02:07:43] Speaker A: Il fait des folies. [02:07:44] Speaker I: Il fait des folies. Et là, dans cette étude-là, je termine avec ça, puis on va passer à un autre point juste après. Mais ce qu'ils nous disent aussi, c'est que tout ce qui est les agrégateurs de nouvelles... C'est quoi un agrégateur de nouvelles? Apple News. Apple News est un bon exemple. Yahoo News, Google News. Ce qu'ils disent là-dedans, c'est que même ces agrégateurs-là, quand ils les analysent, Sauf un qui s'appelle Real Clear, que je connais pas beaucoup. [02:08:08] Speaker A: Très bon, j'aime ça. [02:08:10] Speaker I: Ils sont tous à gauche. Smart News, Apple News, Yahoo News, Bing News, Google News, News Break, ils ont tous un penchant à gauche. Comment? Ils le mesurent comment les articles sont sélectionnés et mis de l'avant. Donc même dans ça, tu vois le biais fondamentalement démocrate. Et là, la question qu'ils posent dans l'étude, auxquelles il n'y a pas de réponse, mais moi j'aimerais vous amener un élément de réponse, ils disent un peu, oui, mais comment ça se fait que ces médias-là n'engagent pas juste du personnel Dans le fond, pourquoi ils n'engagent pas plus de chroniqueurs qui vont être plus républicains? Pourquoi ils n'engagent pas de journalistes plus à droite pour faire une balance? Pourquoi ils n'essaient pas d'équilibrer ça? Ce serait bon. Plus tu ratisses large, plus tu vas avoir de codes d'écoute, plus tu vas avoir de gens qui vont venir vers ton média. Mais le problème, c'est qu'il n'y en a pas. Le problème, c'est qu'il n'y en a pas. J'ai devant moi un graphique qui a été mis sur Twitter par un professeur d'université qui s'appelle Chris Freeman. C'est un économiste de la John Chambers College of Business. Lui, il met un graphique là-dessus et ce graphique-là, il donne pour chaque républicains, combien il y a de démocrates dans les facultés universitaires. Et ça, c'est un sondage qui a été fait sur une échantillon de 5000 personnes il y a quelques années, par le Brooklyn College. En économie, tu dirais, l'économie, normalement, c'est supposé d'être un truc quand même un peu plus libéral, un peu plus libéral au sens économique, un petit peu plus à droite. Pour un républicain, il y a 5,5 démocrates. C'est dans les moins pires. Si tu vas, mettons, en psychologie, il y a 16,8 démocrates pour un républicain. Si tu vas, mettons, en environnement, sans surprise, il y a 25,3 démocrates pour un républicain. Si tu vas en sociologie, il y a 43,8 démocrates pour un républicain. Et là, la cerise sur le Sunday, et ça va répondre probablement à toutes vos questions. [02:10:19] Speaker A: À journalisme. [02:10:20] Speaker I: En communication slash journalisme. Pour 108 démocrates, il y avait zéro républicain. Zéro. Ben là, faut qu'on sait pas votre tête, là. Les journaux, après ça, ils peuvent pas être balancés. Ils peuvent pas être neutres. Ils peuvent pas être équilibrés. [02:10:40] Speaker B: Mais pourquoi ça intéresse pas les républicains de faire ce job-là? [02:10:46] Speaker I: Je le sais pas si c'est parce que ça intéresse pas les républicains ou si c'est parce que si t'es républicain, tu t'en vas en com à l'université, t'es aussi bien de raser les murs parce que tu vas être exclu, y'a personne qui te parle pis personne veut se mettre avec toi pour faire les travaux d'équipe, personne veut... T'sais, « Been there, done that », là. Moi, je l'ai vu à quoi ça ressemble, l'université, pis c'est... Moi aussi, je l'ai vu. T'sais, vous l'avez tous vu, là, dans l'intérieur, là. Je veux dire, moi, j'ai vu un gars, dans le temps des Quarts et Rouges, se faire intimider parce qu'il avait une pine du Parti libéral du Québec sur son... sur son sac à dos, là. C'était ça, l'université au Québec, là. Je sais pas si vous réalisez, là, on parle pas d'un parti d'extrême-droite, là. C'était... c'était le PLQ, là. Donc imaginez si vous arrivez, imaginez le gars qui arrive dans son campus en communication à Harvard avec la casquette «Make America Great Again» sur la taille. Moi je pense qu'il finit pas. [02:11:40] Speaker A: Avec un drapeau d'Israël sur le packsack. Quelqu'un l'a rajouté. [02:11:43] Speaker I: Moi je pense qu'il finit pas la journée. [02:11:45] Speaker A: Ben non, il finit pas la journée. [02:11:47] Speaker B: Quand je suis allé à l'université, j'avais pas de sticker «Liberté» sur mon bumper de char. [02:11:51] Speaker A: Je comprends. [02:11:53] Speaker I: Non, mais moi, mon guesse, c'est dans ceux qui ne se déclarent pas. En fait, il y en a probablement un peu plus qu'on pense, sauf qu'ils répondent, quand tu leur poses la question, pour ne pas se faire écoeurer, ils répondent en bouche dans la politique. [02:12:06] Speaker A: Ils se cachent. [02:12:08] Speaker C: Ils se cachent. [02:12:09] Speaker I: Mais est-ce que les gens trouvent que ce climat-là est sain, est normal? Je ne suis pas en train de plaider pour la parité idéologique des campus. Je mets en sac, les gens pensent ce qu'ils veulent. Mais c'est juste que quand on regarde ces données-là, après ça, on ne peut pas se surprendre qu'on regarde la couverture médiatique et tu te dis, OK, pas mal 100 % des articles que j'ai vus aujourd'hui, c'était Harris, c'est la meilleure invention depuis Haru, puis l'autre, c'est un malade mental. Bien, quand tu regardes les données, tu te dis, OK, toutes les données montrent qu'il n'y a même pas 3 % de journalistes républicains, et si tu sondes les campus dans les facultés de journalistes, communications, il n'y a pas un républicain là, bien ceux-ci expliquent cela. C'est pas... Je veux dire, c'est... c'est... c'est... c'est pas cherché. [02:12:55] Speaker A: Mais c'est une plus grande diversité aux États-Unis qu'au Québec, pareil. Je vais te donner l'exemple. C'est RealClearPolitics dont tu parlais parce que les gens se posent la question. RealClearPolitics, c'est intéressant. Ça ressemble à cet Internet de 1998. Oui, exactement. Mais au moins... Quand Kamala Harris est première dans le sondage, ils le disent. C'est balancé. C'est intéressant à lire. Mais regardez les leaders d'opinion. Les leaders, moi, j'en écoute des blogs, des podcasts, des émissions de droite ou de centre-droite. Dan Bongino s'en est un. Glenn Beck, moi, je l'écoute à tous les jours, à 10 heures. Il est à Triumph sur XM. Mark Levin est là. Les animateurs de droite, tu sais, quand tu regardes le panorama médiatique beaucoup plus diversifié, les gros animateurs de radio aux États-Unis sont de droite. Ceux qui pendent le plus, ceux qui ont le plus de codes d'écoute. De Glenn Beck, de Sean Hannity, puis de Mark Levin, qui est entre autres à WABC, mais qui est syndicaté. Tu regardes Town Hall, moi je suis abonné à Town Hall, donc c'est un site internet, t'as plein de sites internet, plus de centre droite. Autrement dit, le client qui ne se retrouve pas dans le média traditionnel, parce que justement, il y a trop de billets, parce qu'il y a trop de journalistes démocrates, va dévier sa consommation, il va la varier en incluant X, il va aller jaser sur X, parce qu'il va se retrouver dans une communauté sur X, dans une communauté comme on en a une sur X, où je commande vos affaires, Yann commande les miennes, Johan Marcotte, etc., on a une communauté, mais Au Québec, c'est restreint, la communauté. Mais c'est beaucoup plus éclaté aux États-Unis. T'es moins malheureux si t'es républicain aux États-Unis, c'est ça que je veux dire. [02:14:51] Speaker I: Ouais, puis imagine, malgré tout ce qu'on a dit, c'est ton constat pareil. Donc imaginez ce que ça peut vouloir dire d'être, je sais pas moi, si on prend, mettons, le cas du Québec. Tu sais, je veux dire, c'est... Ah. [02:15:08] Speaker A: Le Québec, c'est le Biafra, là. Oubliez ça, là. [02:15:10] Speaker I: Ils veulent nous fermer, hein. [02:15:11] Speaker A: Je veux dire, la radio, la seule radio qui est de centre-droite, avec des tonalités différentes, même d'animateur en animateur, là, on n'a pas de meeting le matin pour dire «Hey guys, ok, let's go, on fait des entrevues avec du M, ça n'existe pas, cette affaire-là, chaque show fait ses affaires à sa tête.» On fait à notre tête, on fait le show qu'on fait. Si vous l'aimez, vous l'aimez. Si vous ne l'aimez pas, vous ne l'aimez pas. On carbure au sondage, puis les sondages ne sont pas bons. Si ils ne sont pas bons, on révise. À la date, ils sont bons. On continue. Mais c'est comme ça. Ils veulent nous fermer. Regarde les autres médias. Frank, il n'y a rien à faire au Québec. Même couleur. [02:15:45] Speaker I: Mais le lien entre tout ce qu'on a dit, Clinton, sa déclaration, puis le Québec, c'est la clip que peut-être, Dom, je sais pas si t'as fait de jouer, mais sûrement que tu vas le faire sinon, l'espèce de clip de « La soirée est encore jeune » où on voit cette universitaire qui parle avec... Madame Vallée! [02:16:01] Speaker B: Oui, c'est la femme de l'autre! [02:16:03] Speaker C: C'est la femme de... Louis-Philippe... Philippe-David, là! [02:16:07] Speaker I: C'est ça. Elle, elle dit en gros, moi je suis une experte, j'aime pas ça quand du monde pas expert contredit ce que je dis. Et au final, qui nomme les gens qui sont là? En tout cas, on salue Stéphane Bureau. Eux, ce qui les dérange, dans tout le phénomène, dans tout l'écosystème médiatique québécois homogène, dégoulinant d'uniformité et de consensus alentour de certaines questions, ce qui les dérange, c'est la ou les quelques personnes qui disent pas la même chose. exactement comme Clinton, ce qui la dérange absolument, c'est le 3 % de républicains qui restent encore. Ceux-là, il faut les faire fermer la gueule et que ça se finisse maintenant. [02:16:54] Speaker A: Incroyable. Très bon. Merci beaucoup, Frank. [02:16:56] Speaker B: Yes. [02:16:56] Speaker A: Très, très bon ce matin. Merci. Ciao. 8h16. On rappelompe ça avec la Légion, retour. [02:17:02] Speaker E: Pour rejoindre l'équipe de Moray Live, directement en studio, 418-670-9098. Moray Live, présenté par VendTonChart.com. Ta situation a changé et tu veux vendre ton véhicule? Va sur VendTonChart.com et rapidement reçois une offre en ligne. On paie le meilleur prix du marché. [02:17:22] Speaker A: Le Guide Resto Médi vous présente cette semaine le restaurant Eldorado. [02:17:28] Speaker E: Cet automne, le resto El Dorado vous séduit avec six plats réconfortants à déguster sur place, à emporter ou à faire à la livraison, du mardi au dimanche. Découvrez notre menu familial varié incluant pizza, poutine, smoked meat, burger et savoureux brunch. Et en septembre, les enfants de 12 ans et moins accompagnés d'un adulte mangent gratuitement. Passez nous voir! [02:17:49] Speaker A: Le seul et unique resto El Dorado. Votre destination bouffe au 1230 rue Jacques-Bédard-Lac-Saint-Charles. Je parlais au Levy Ford. Je suis en train de lire des histoires concernant le monde de l'automobile en pleine effervescence et eux le sont. D'ailleurs, j'ai regardé un reportage hier sur Ford. Ford fait un grand retour en Inde. Évidemment, ça vous intéresse plus ou moins parce que là, je parle de Levy Ford, mais quand même, c'est gros. Dans le déploiement de Ford et la réorientation de Ford, parce que c'est en pleine mouvance, Ford fait un grand retour en Inde. En tout cas, j'ai accroché là-dessus. Il y a du monde, d'après moi, qui achète des autos en Inde. C'est ce qu'on me glisse à l'oreille. Il y a du monde qui achète du Ford en masse aussi dans la région de Québec. Il y a du monde surtout qui va en acheter, parce que les deals sont excellents. F-150 2024, jusqu'à 10 964 $ de rabais. C'est-tu pas incroyable? Je peux te donner un autre exemple aussi qui est encore plus excellent. C'est la Mackie 2024. C'est la Mustang électrique. Parce que là, t'as des rabais et t'as les incitatifs du gouvernement. Jusqu'à 16 525 $ de rabais. Ça, ça inclut les incitatifs et le rabais. C'est incroyable, là. Paiement à partir de 140 $ par semaine sur la Select 2024. C'est un idéal. Regarde ton mode de vie. Si ça te convient, moi je pense que c'est une excellente voiture pour toi, pour vrai. 400 queues de kilomètres d'autonomie, t'es en ville, payes plus de gaz, je te donne un rabais de 16 525 piastres, rabais incitatif. C'est quand même assez incroyable. Viens nous voir à Lévis, Lévis Ford est fort de Lévis. [02:19:35] Speaker F: La maudite congestion. Traffic southbound. 24-24 with Dan the Traffic Man. [02:19:44] Speaker B: Ça crache à bien des endroits. On commence sur Rive-Nord. Il y a un incendie dans le coin de l'Université Laval. Il y a beaucoup de ORE, beaucoup de monde qui regarde dans le ciel. Ben oui, il y a de la boucane. Donc ça cause de la circulation. Rajoutons à ça, sur Grande Allée, un accident drette en face du 1134 Grande Allée. Ça se passe ici. Évidemment que ça cause différents ennuis aussi, deux véhicules impliqués, dont une madame très très fâchée. Capitale direction ouest, je vous dirais, à partir de Seignorial, c'est par choc à par choc jusqu'à Henri IV, Henri IV Sud. C'est très très lourd également à partir de... On va dire à partir d'Industriel en descendant jusqu'à Jean Marchand, jusqu'à Ancienne-Lorette. Je vous dirais également qu'il y a Capital dans l'autre direction, direction Est. Il y a eu un accrochage un peu plus tôt à la hauteur de Robert Bourassa, ce que ça a causé comme ennui. On le vit encore en ce moment-ci à cause des travaux. Chartre-Est. Très lourd à partir de la sortie en mêle en se rendant jusqu'au centre-ville. Parlons-en du centre-ville. L'accès par Dufresne-Montmorency-Laurentienne-Sud, c'est très, très lourd. Également à Grande Allée, il y a du costaud ce matin. Je n'ai pas encore parlé de la Rive-Sud. Je vais vous dire que l'accès au pont, très, très, très difficile. 132-116, c'est compliqué. 73. La 20 dans les deux directions continue de nous écrire au 88-670-9098 pour nous dire ce que vous voyez. 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[02:22:36] Speaker E: Retrouvez le plaisir de sourire en toute confiance. Chez Gérard et Martineau, nouvellement centre dentaire quartier, l'implantologie dentaire, on s'y connaît. Contactez-nous dès maintenant pour obtenir une consultation sans frais et découvrir nos solutions sans grain fausseuse. Nous offrons également des soins dentaires complets, du nettoyage à la dentisterie esthétique pour toute la famille. Girard et Martineau Centre dentaire quartier, c'est une équipe humaine et professionnelle qui saura être disponible et à l'écoute de vos besoins. [02:23:10] Speaker A: C'est Miranet avec les bouteilles qui sont dans le même style, nettoyeur à cuvette, je vois ça, le liquide à vaisselle, crème récurrente parce que des fois là, quand t'as un four avec une céramique, tu fais un genre de pâté, ben c'est ça, ça peut dégoûter, c'est du sacrant ça. On a tout ça! Les produits nettoyants utilisés par Calinet. Oui, on les a. 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[02:26:06] Speaker I: Écoute-moi, c'est pas compliqué. [02:26:07] Speaker A: Il faut que tu t'abonnes chez Oricum. Leurs connexions fibre sont pas chères, leur service est vraiment extra. J'te l'dis, tu seras pas déçu. Pis tes ados bouderont plus. Bon, ok, tu m'as convaincu. J'règle ça aujourd'hui, pas de temps à perdre. [02:26:18] Speaker F: Vous aussi, changez pour Oricum dès maintenant. C'est simple et rapide, comme la fibre. Abonnez-vous à Oricum.ca. Oricum.ca. [02:26:26] Speaker A: C'est la liquidation Nissan présentement chez Beauport-Nissan et Sainte-Foy-Nissan. En septembre, il n'y a jamais eu meilleur moment pour changer. Changez donc pour le Kicks, le petit VUS qui a de la personnalité, offert en location sur 48 mois, à partir de seulement 251 $ par mois. [02:26:42] Speaker C: Ah ah! [02:26:42] Speaker A: Avoue que ça vous tente, hein? Passez chez Sainte-Foy-Nissan ou Beauport-Nissan et venez essayer votre Kicks. 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Charles-Philippe David est passé à l'émission de Marie-Louise Arsenault il y a de ça un peu plus qu'une semaine maintenant. Ça a été une grande séance de lichage. Ah, montre juste ma slide. [02:28:30] Speaker E: Avec notre invité Charles-Philippe David. Je le disais en ouverture d'émission, je considère que vous êtes un politologue superstar, n'est-ce pas Jean-Philippe Dupriami? C'est quand même un politologue superstar. [02:28:38] Speaker A: Je pense que oui. Moi, je le regarde à RDI depuis presque 20 ans maintenant de nous expliquer les aléas de la politique américaine. C'est passionnant. [02:28:45] Speaker E: Il y a vous, couvert de prix, chercheur reconnu, qui commentez la politique américaine et on a vu se multiplier au cours des dernières années des ex-politiciens, des. [02:28:55] Speaker J: Animateurs qui font ça. [02:28:59] Speaker C: Il y a vous qui êtes un expert là, puis il y a les autres là, ils s'improvisent un petit peu. Hé, parce qu'on parle pas de médecin, on parle pas de recherche nucléaire non plus. [02:29:11] Speaker A: C'est pas un anesthésiste non certifié. [02:29:15] Speaker B: En plus, on parle de gens qui analysent une politique qui n'est même pas celle de notre pays. [02:29:21] Speaker A: Oui, c'est ça. On parle de gens qui ne vivent pas dans ce pays-là. [02:29:24] Speaker B: Ça, pour un chroniqueur télé, c'est exactement la même Christy Patentagoste. [02:29:28] Speaker A: Oui, quand on analyse, on est un peu des imposteurs, on ne vit pas là. Lui, c'est un imposteur universitaire. [02:29:35] Speaker C: On l'écoute un peu. [02:29:36] Speaker A: Je pense qu'il faut expliquer les contextes, expliquer les acteurs, expliquer les enjeux et donner le plus de clés aux gens pour qu'ils se fassent leur propre idée sur ce qu'ils pensent sur la question. Donc, en un mot, mon but dans la vie, c'est de vulgariser une connaissance pour permettre aux gens de disposer de ses clés. Je vais pas leur dire après ça, écoutez, lui est bon, lui est pas bon, faut voter pour lui, faut pas voter pour lui. Entre un sénile qui dit des choses. [02:30:03] Speaker B: De contenu qui sont convaincantes et un. [02:30:06] Speaker A: Pas sénile qui est fou. Ça c'est un autre clip ailleurs que de fusionner. [02:30:10] Speaker C: Oui, mais c'est pas au monde qui est bon, qui est pas bon là. [02:30:16] Speaker A: C'est des clowns. Ce sont des clowns. [02:30:19] Speaker C: C'est les pires analystes qu'il y a pas. C'est ceux qui sont à la tête, là je dis ceux parce que je parle de Charles-Philippe David pis après ça je vais parler de Madame Valère. [02:30:26] Speaker A: Ronald McDavid. [02:30:27] Speaker C: C'est les pires analystes qu'on a au Québec. Stéphane Bureau est des milles meilleurs qu'eux autres. Parce que justement, il vit pas dans la haine d'un bord ou de l'autre. Ça c'est ce qu'il ne lui pardonne pas toute la gang, c'est qu'il hait pas Trump. Il se lève pas la nuit pour haïr Trump, fait qu'il fait pas partie de la gang, fait qu'il est pas bon. C'est ça leur pensée. [02:30:49] Speaker A: Les bons et les méchants. Il faut que t'aimes l'Ukraine beaucoup si tu parles à quelqu'un qui peut-être vient de Russie ou... Parce que Xavier Moreau, on va y parler tantôt. Stéphane Béraud, dans son blog, parle à Xavier Moreau. Il va parler avec des médecins qui n'ont pas tout à fait cru au COVID show. Entre autres, le docteur qui a les cheveux longs à Marseille. Ça n'a pas d'allure de lui parler. Il a perdu sa job à cause de ça, d'ailleurs, à Red Can. [02:31:12] Speaker C: Il parle à tout le monde, puis il essaye de comprendre. Tu sais, puis regarde, la fin de semaine... By the way, Charles-Philippe David ne parle plus la fin de semaine avec Bureau. [02:31:21] Speaker A: Qui veut pas parler à qui, c'est un hasard. [02:31:22] Speaker B: C'est pas un spécialiste. [02:31:25] Speaker C: Ouais, c'est ça, fait qu'il veut plus parler à qui. [02:31:27] Speaker B: Moi, je suis certain que Stéphane Bureau, ça lui dérange pas. [02:31:29] Speaker C: Non, en effet. [02:31:30] Speaker A: Ouais, vous avez raison. C'est lui qui veut parler à Bureau. [02:31:33] Speaker C: Moi, je pense que c'est ça. [02:31:34] Speaker B: J'aurais tellement de questions à leur poser, mais ils voudront jamais répondre. [02:31:39] Speaker C: Non, en effet. C'est drôle, ça. Mais pourtant, Charles-Philippe David, il aime ça les débats. [02:31:44] Speaker A: Parfois, oui, on peut avoir des opinions divergentes, mais est-ce que c'est pas le but d'une université que d'être capable de tolérer des points de vue divergents? C'est énorme ce que tu dis, c'est dangereux, c'est dangereux. Dans le respect, par exemple, et non pas dans l'invective, et je n'ai pas entendu en 30 ans de gens s'invectiver, mais j'ai entendu des gens bien débattre de leurs idées. Quand Hitler a été élu, tu dirais, il faut respecter le choix démocratique des alliés. [02:32:11] Speaker C: Je vais faire des montages avec ces. [02:32:12] Speaker A: Débats avec Bureau justement. T'arrêtes de mettre Bip parce que là on est... Moi je suis capable de suivre. [02:32:18] Speaker C: Parce que c'est des choses que j'ai déjà jouées. Parce qu'on pense que c'est dans le même bunch. Non, non, non. Il y a cette discussion avec Marguerite. [02:32:23] Speaker A: Arsenault qu'elle éboute avec Bureau. Où il se contredit ni plus ni moins. [02:32:27] Speaker C: C'est ça, il n'arrête pas de se contredire, ce n'est que ça. Là, l'extrait de Mme Vallée dont Frank parlait tout à l'heure. [02:32:33] Speaker E: Parfois, on va se retrouver comme experts, comme scientifiques, au travail, quand on est dans nos tours d'ivoire, et on va se retrouver mis en confrontation avec des gens qu'on va présenter comme des experts aussi, mais qui ne sont pas des experts, mais qui, parce qu'ils donnent une voix alternative, une autre voix, parce qu'ils parlent la voix des réponses... Oui, ils. [02:32:57] Speaker A: Sont très difficiles à trouver. [02:32:58] Speaker E: C'est ça, mais il y en a quelques-uns qui s'expriment, et ces gens-là vont être présentés comme nos alter-égos, ce qu'ils ne sont pas, et nous allons du coup nous retrouver dans une position où on va être dépeints dans une casse partisane, ce qui n'est pas le cas. [02:33:10] Speaker A: Exactement. J'en ai marre. [02:33:12] Speaker C: C'est un message à lancer à Stéphane Bureau, merci énormément. Ils sont pas du tout partisans, pas en tout. D'ailleurs, théorie, un moment donné, Charles-Philippe David revient à la maison pis elle dit « Qu'est-ce que tu fais à des pattes avec ce gars-là? [02:33:25] Speaker A: » Non, c'est clair. Ben oui, c'est clair, voyons donc. [02:33:29] Speaker C: C'était ça, là. Mais eux autres sont pas du tout partisans, là. [02:33:34] Speaker E: On en est à avoir quelqu'un de splendidement compétent, soyons honnêtes, qui a le malheur d'être une femme noire et démocrate, face à un homme qui est avant tout une personnalité médiatique, un gourou à certains égards, et qui dit des faussetés et en enchaîne 33 d'affilée pendant qu'elle est air sur une ou deux fois, si on s'en fie à ce qu'a dit Daniel Dayle sur CNN. Et là on se demande comment est-ce qu'on peut être impartial. [02:34:05] Speaker C: Mais elle n'est pas partisane. Puis elle n'aime pas ça se faire traiter, se faire dire d'ailleurs qu'elle apprend juste d'un bord. À un moment donné, elle apprend juste deux oreilles, puis ça devient clair. Mais c'est ce mood-là que bâtissent depuis des mois, si ce n'est pas des années, autour de Trump et autour des Républicains tout court, mais mettons autour de Trump. Les Biden ont embarqué là-dedans, nous disaient que c'est un danger, c'est un dangereux, c'est un Hitler. Je vous l'ai fait entendre tout à l'heure, Charles-Philippe David, qui a fait la comparaison Trump-Hitler. Ça, c'est fait aux États-Unis aussi. Donc hier, t'as un expert du FBI qui est en entrevue avec CNN et qui dit ceci. [02:34:39] Speaker A: Le dernier tireur en Pennsylvanie, je ne veux pas dire son nom parce que je ne veux pas le promouvoir de toute façon, mais il était clairement un gars qui cherchait la notoriété de prendre ce tir. Je pense qu'on va trouver qu'il est extrêmement politiquement motivé, et qu'il a probablement été effacé par beaucoup de diatribes politiques qui se produisent aujourd'hui, en parlant de Trump, en l'équantant à Hitler, etc. Je ne pense pas que c'est la dernière fois qu'on va voir de la folie qui essaie de faire ça. [02:35:05] Speaker C: Donc un expert du FBI qui dit, regarde, l'autre gars à Pennsylvanie, lui, il voulait juste le fame. Il voulait les caméras, puis il voulait, regarde, c'est celui qui a tiré sur Trump. Puis si ça avait pu être Biden, ça aurait été Biden. Celui, en fin de semaine, il était motivé par la politique, par l'idéologie. Et il dit, il a été motivé par tout le discours qui dit Trump égal Hitler. Trump est dangereux. Puis il dit, je pense qu'il va en avoir d'autres comme ça. [02:35:35] Speaker A: Trump a publié des phrases de choc concernant... Toutes des citations, là. Toutes des citations. [02:35:41] Speaker C: De Biden, de Kamala, d'autres démocrates importants. [02:35:45] Speaker A: Il doit être éliminé, il doit être recasé, il doit être discarté. Au plus vite, c'est un danger pour la société. C'est du fascisme. Le fascisme est à nos portes. [02:35:54] Speaker C: S'il était juste la fin de la démocratie... [02:35:56] Speaker A: C'est la fin de la démocratie. Hé, il y a quelqu'un qui m'a envoyé une saisie d'écran. Ça, je peux pas la mettre sur les médias sociaux, là, parce que ça vient d'LCN. Est-ce qu'ils ont fait un spécial, tu l'ajoutes? À un moment, il y a des auditeurs qui écrivent. C'est une agenda d'immeubles de Montréal. qui écrit, c'est une invention d'après moi là, qu'il y a des américains qui l'ont appelé pour s'acheter une maison à Montréal parce que Trump est sur le bord d'être élu pis ils veulent venir vivre au Canada. Voyons donc! [02:36:26] Speaker C: Hollywood au grand complet avait promis qu'il allait déménager au Canada en 2015 avant l'élection pis y'en a aucun qui est parti. [02:36:36] Speaker A: Ils sont partis payer moins d'impôts au Texas. [02:36:38] Speaker B: Ça c'est comme les Québécois qui disent qu'ils vont déménager en Ontario si le PQ est élu, mais ils restent tout le temps ici. [02:36:43] Speaker A: Oui, c'est du blabla. [02:36:44] Speaker C: Mais ça c'est dégueulasse. Trump qui dit que les démocrates c'est de la faute de leur discours, ça n'a pas de sens. [02:36:50] Speaker J: Donald Trump vient d'attribuer la responsabilité de. [02:36:53] Speaker A: Cet attentat aux démocrates. [02:36:55] Speaker J: On n'a pas besoin d'être délirant d'imagination. [02:36:59] Speaker A: Pour penser que ça peut inspirer des répliques. Disent qu'il était à crainte après le premier attentat. Mais Donald Trump s'était bien gardé d'accuser. Ça, c'est inquiétant parce que c'est pas le moment d'en rajouter. [02:37:10] Speaker C: Ok, venez-être là. Donc, Trump, ça fait deux fois qu'il... Ben, la première fois, il s'est fait tirer dessus. La deuxième fois, il est manqué de se faire tirer dessus. Il faut pas que tu dises que c'est la faute des démocrates. Parce que tu risques de créer des gens qui vont vouloir tirer sur les démocrates. Mais là, c'est arrivé pour vrai, là. Mais tout est toujours de la faute de Trump, peu importe ce qui se passe, là. [02:37:33] Speaker A: Imaginez exactement le même scénario. Harris joue au golf. Le golf gone. C'est un MAGA à côté avec une collection de calottes rouges dans le truck. [02:37:44] Speaker C: Une calotte rouge, un t-shirt. [02:37:46] Speaker A: Héééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééé C'était un cas de santé mentale. Le gouvernement du recrutement voulait aller en Ukraine. C'était un crise de fou. Et l'Ukraine a rien voulu savoir de. [02:38:07] Speaker C: Lui parce que justement c'était un fou. [02:38:09] Speaker A: C'est ça. C'était un cas de psychiatrie. [02:38:11] Speaker C: Mais il reprenait toutes les lignes que les démocrates disaient sur Trump. [02:38:15] Speaker A: Et il y avait un sticker de Biden sur son truc. Toutes les lignes effectivement. « He must be eliminated ». [02:38:20] Speaker E: Il a commencé à citer en fait, il a donné des exemples, il a dit que Joe Biden a déjà dit qu'il était une menace, que Donald Trump était une menace pour la démocratie, que Donald Trump était une menace existentielle, qu'il fallait absolument pas qu'il redevienne président, que c'était un danger pour la démocratie. Donc il cite Joe Biden, Kamala Harris, il cite un peu l'administration Biden. C'est vrai qu'il est une victime de deux tentatives d'assassinat, mais lui affirme que c'est vraiment le résultat des propos tenus par Joe Biden et Kamala Harris. Et ça, ça n'a rien pour aider vraiment au climat, pour que le climat se calme un peu. [02:38:55] Speaker A: En effet. [02:38:56] Speaker C: Trump divise. Trump divise, c'est vraiment ça. Puis en plus, il se victimise. [02:39:00] Speaker A: C'est presque normal pour Donald Trump de réagir comme ça, dans sa rétrographie, d'accuser les autres et lui, il devient la victime. C'est réel qu'il aurait pu être victime d'une tentative d'assassinat. Il a dû se soigner, rien n'est arrivé de grave. Puis l'individu a été intercepté, mais il se place en posture de victime. [02:39:20] Speaker E: C'est pas très surprenant. [02:39:22] Speaker A: Non, non, c'est dégueulasse. [02:39:24] Speaker B: C'est du monde qui broille parce qu'il y a du monde qui écrit « il va faire caca sur Facebook ». C'est du monde qui chiale parce qu'il y a du monde qui parle de leur coupe de cheveux sur Internet. Pis ils banalisent le fait qu'il y ait un gars sur un trou de golf qui attendait Donald Trump avec une caleche McGuff. [02:39:39] Speaker A: C'est visible en COP 47. Oui. [02:39:40] Speaker C: Oh, il se vit que c'est mieux. [02:39:41] Speaker A: Il y en a donc. Il attendait pendant 12h. Bien, bien positionné. [02:39:43] Speaker B: C'est un scandale, ça, à matin. [02:39:45] Speaker A: Ben oui, c'est un scandale. Ben c'est du chaud. [02:39:49] Speaker B: C'est ça du show. On écrit des insultes sur internet, c'est un... C'est un alerte national, ça prend une loi. [02:39:56] Speaker C: C'est une agression. [02:39:57] Speaker A: Oui. [02:39:58] Speaker B: Le gars, fait deux fois qu'on essaye de tirer dessus, abanalyse ça. Mais ça va pas. [02:40:03] Speaker A: Non, non, ça va pas. De toute façon, on le savait que ça allait pas dans le code du show. C'est ça qui est allé dire que c'est un anti-vax alors que c'est Trump qui a mis tout l'argent pour développer les vaccins le plus rapidement possible avec Warp Speed. Elle dit, c'est une menteuse à la base d'Anne. C'est une pas bonne, c'est une menteuse, c'est une propagandiste, puis c'est une incompétente. Allez réécouter, en boucle si vous le désirez, l'entrevue avec Le Pen. Marine Le Pen y met le nez dans son diplôme. Elle a été démasquée et c'est la seule politico qui l'a démasquée ouvertement, Marine Le Pen. Toutes les autres y ont un chien autour de la table pis ils mangent dans le diplôme. [02:40:44] Speaker C: Je n'ai pas l'audio malheureusement de cet extrait-là, mais l'émission de Gérald Dufilion qui est en après-midi à RDI. Voici la citation d'un Émilie Foster, l'ancienne députée de la CAQ. Donald Trump met de l'huile sur le feu. Régulièrement, il a tenu des propos haineux. Il traite les gens de non. Ça fait des années que ça dure. Donc, c'est sûr que c'est une spirale qui n'aide pas au climat social. [02:41:09] Speaker A: C'est lui qui traite le monde de non. On n'est pas en train de dire qu'il est parfait. Donc, c'est de sa faute s'il se fait tirer dessus. Ça, c'est la passe. Ça fait des années qu'elle se promène en gros talons hauts. Ça fait des années qu'elle se met des minijupes. Ça fait des années qu'elle est décolletée. Elle se fait agresser au party de Noël. C'est carrément ça, là. [02:41:30] Speaker C: C'est carrément ça, là. Et pendant ce temps-là, les démocrates ou les autres, ils ont un langage au moins qui est rassembleur. [02:41:36] Speaker E: Mais voilà, donc il n'y a rien vraiment du côté, en tout cas de l'administration de Trump, qui porte à croire qu'ils veulent baisser un peu le ton, qu'ils veulent calmer les choses, parce qu'encore une fois, on se trouve dans un pays extrêmement polarisé. Joe Biden, souvenez-vous, il a même allé jusqu'à porter une casquette de Donald Trump pour dire qu'il faut arrêter de nous battre. Donc il est allé quand même assez loin, là. [02:41:57] Speaker A: Elle l'a pas compris là. [02:42:00] Speaker C: Ok, il a porté la casquette dedans l'autre temps pour dire « Ah faut se rassembler, faut se rassembler ». [02:42:05] Speaker A: Non mais elle est pas bonne elle non plus. Sacré fils. Les amis. Les amis. [02:42:11] Speaker C: Nos médias sont médiatiques. [02:42:13] Speaker A: Ah non, c'est la faillite. C'est une faillite monumentale. C'est un effondrement. C'est terminé. C'est terminé. On ferme le néon, le magasin est fermé, on ferme le néon pis on vide l'inventaire là. On met ça sur la dalle de béton, c'est fini là. [02:42:29] Speaker B: C'est la grande vente de fermeture? [02:42:30] Speaker A: C'est la grande vente de fermeture, c'est fini, c'est une vente de feu là. [02:42:33] Speaker C: Mais écoute, eux autres, ça les dérange quand même encore que Trump ait cette couverture-là. Ça le victimise, ça le fait passer pour une victime. Donc ramenons ça à nos diversions habituelles. [02:42:47] Speaker A: Puis ce qui trouble la situation davantage, c'est cette histoire de chats et de chiens. Et hier, sur les chaînes américaines, le candidat à la vice-présidence, Lady Vance, dans une entrevue très corsée avec l'animatrice de CNN, Donna Bash, dit qu'il faut créer des histoires pour retenir l'attention, pourquoi pas. On vous présente cet extrait. Comment décoder Martine, sinon qu'il accepte de porter la parole de citoyens sur des faits qui sont non avérés. [02:43:37] Speaker C: Mais il a pas créé d'histoire, il a créé le buzz finalement. [02:43:41] Speaker A: Ça revient à ça là. Il oriente la discussion. [02:43:44] Speaker C: Parce que j'ai retombé sur des extraits qui remontent à il y a trois mois. où J.D. Vance, devant une commission, je sais pas trop, à Washington, qui soulève le problème de Springfield en Ohio. Ah oui? [02:43:57] Speaker A: Oh oui! [02:43:58] Speaker C: Puis à ce moment-là, il y avait des entrevues à Fox News avec le maire, puis avec le gars, le DG de la ville, qui était content que J.D. Vance en parle, parce que ça brassait dans leur ville. parce qu'il y avait des problèmes. Il y avait une crise sociale qui était déjà en train de se développer. [02:44:12] Speaker B: Il y a une crise sociale. [02:44:13] Speaker C: Oui, il y avait déjà à ce moment-là et il y a encore. [02:44:16] Speaker A: Ah, ils sont dans négation. Ils sont dans négation totale. Il y a une crise majeure concernant les migrants aux États-Unis. Ville de Chicago, ville de New York, c'est complètement ignoré. Il y a beaucoup de choses dont on ne parle pas dans nos médias ici. Le maire Adams est à couteau tiré avec la Maison-Blanche depuis des mois. Le maire Adams qui est le maire démocrate de New York, qui est débordé, qui n'est plus capable. On ne parle pas de ça. Il y a plein de trucs dont on ne parle pas dans les médias d'ici. C'est la pire malbouffe. Les médias québécois, les médias traditionnels, c'est la pire malbouffe que vous pouvez pas avoir sur un menu de restaurant. Si vous consommez juste ça, c'est clair, net et précis que vous vous dirigez vers une maladie. C'est clair. [02:45:03] Speaker C: Donc déjà... [02:45:04] Speaker A: C'est votre job, les amis, de varier. Je suis pas en train de dire de m'écouter. Écoutez-nous. Écoutez d'autres choses. Écoutez toutes. Tout, tout, tout, tout. Les Français s'intéressent beaucoup à ce qui se passe aux États-Unis. Perspective différente. Oui, c'est anti-MAGA, mais il y a quand même des républicains sur place. Un gars comme Boccoté, très balancé, très balancé. Fait penser un peu à Bureau. Mais évidemment, il se fait bâcher, Boccoté, aussi. Il est long en horreur, le gars gauche. [02:45:33] Speaker C: Mais donc des gens parlent à JD Vance, parlent de ce qu'il se passe là-bas, ils ont parlé des chats et. [02:45:37] Speaker A: Des chiens, c'est crédible, c'est pas crédible, je sais pas. [02:45:41] Speaker C: David Menzies, même affaire, se fait parler, mais lui-même il est pas trop sûr, il doute. Donc t'sais, ça c'est des histoires non avérées. Mais ce qui est avéré par exemple c'est que... [02:45:49] Speaker E: On pourrait avoir tendance à dire que c'est l'équipe Trump, comme d'habitude, qui reprend des mensonges, sauf qu'il y a des conséquences graves pour les habitants de Springfield, c'est-à-dire où des mamans n'envoient pas leurs enfants à l'école de peur d'un représailles, où il y a eu une alerte à la bombe, etc. Donc c'est extrêmement grave. Il faut continuer d'essayer de faire démentir ces rumeurs parce qu'il y a des conséquences réelles. [02:46:10] Speaker A: Parce qu'en fond, Azeb, les conséquences de ces mensonges-là sur les chats et les chiens alimentent C'est un à l'endroit d'exemple, les alertes à la bombe et l'évacuation des écoles. Et ça, le camp Trump ne l'admet pas, ne le reconnaît pas. [02:46:26] Speaker C: Mais ça, c'est réglé que c'est de la faute de Trump. Ça, ils ont décidé, c'est fait, c'est officiel, c'est stampé. [02:46:32] Speaker A: Il n'aurait pas dû le dire, par contre. [02:46:33] Speaker B: Ça, c'est sûr. [02:46:34] Speaker A: C'est sûr qu'il a fait une erreur. [02:46:37] Speaker B: On le savait que c'est ça qui allait arriver avant le débat et il l'a fait. [02:46:40] Speaker A: Je vais se pogner en tête à deux mains. [02:46:41] Speaker B: Ah oui, je sais, c'est... [02:46:42] Speaker A: Il l'a dit et bon, gars, ça a été débunké, c'est correct. Mais en même temps, revenons à la pin-bêche d'outre-monde. La pin-bêche avec ses talons hauts et ses petits costards à 3500$, elle fera pas 10 heures de route pour aller à Springfield enquêter. Elle lit-tu l'anglais l'an passant? On va toujours bien savoir la vérité à un moment donné. Es-tu capable de comprendre l'anglais? Ou elle s'informe juste avec le devoir, elle lit ses petites amies. OK, on est prêt pour l'émission, là. On est prêt pour l'émission. Mon cher légionnaire, c'est le garde-à-vous final. [02:47:13] Speaker C: Oui, une dernière. Où il parle, justement. Eux autres se sont vraiment créé un narratif où Trump a été un raciste envers tous les Haïtiens. [02:47:22] Speaker E: La Floride, les chiffres sont encore très serrés. C'est un État qui a été républicain lors des deux dernières élections. Démocrate en 2008 et en 2012 sous Barack Obama. Mais il se trouve qu'il y a un groupe qui s'appelle Les Haïtiens pour les Républicains et Les Haïtiens pour les Démocrates. Et peut-être que... Ce deuxième groupe, c'est-à-dire haïtiens pour Harris, peut-être sentent qu'ils ont besoin de plus d'appui. Parce qu'il y a quand même beaucoup d'haïtiens en Floride qui vont voter. [02:47:49] Speaker A: C'est étonnant de penser qu'on puisse se faire accuser de tous les maux de la terre, de responsables de tout ce qui va mal, mais en même temps continuer de l'appuyer. Arrête ça, c'est des maudits de ma mère. C'est des ma mère, c'est du... J'ai l'impression d'entendre ma mère pis sa sœur. J'ai l'impression d'entendre des grands-mères qui font des pâtés, qui se mettent à parler de sujets qu'ils connaissent pas. [02:48:12] Speaker C: Anne-Marie Dussault, elle a compris que Trump a dit « tous les haïtiens mangent. [02:48:17] Speaker A: Des chats pis des chiens ». Ils se craignent. [02:48:20] Speaker C: Ça c'est ce qu'elle a compris. [02:48:21] Speaker A: C'est deux bonnes femmes qu'on écoute au téléphone se parler, qui se craignent. [02:48:26] Speaker B: En train de coller le Time Gold Stamp. [02:48:28] Speaker A: Ça fait beaucoup penser aux belles-sœurs. Oui, en effet. 8h48, attachez-vous au sucre. Ben oui, ils vont le faire. Ils vont parler à Xavier Moreau. Ouais, l'autre côté qu'on n'entend pas, en train de dire qu'il a raison très loin de là, ben je veux l'entendre. Xavier Moreau, aux locautés russes de la guerre en Ukraine, au retour. [02:48:49] Speaker E: Radio X. [02:48:52] Speaker C: La Legion of Doom, présentée par Crown, qui t'offre 10 $ de rebais sur le traitement de la tyroïe numéro 1 au Canada. [02:48:58] Speaker A: Évite l'attente. [02:48:59] Speaker C: Réserve maintenant. [02:49:00] Speaker B: Trouve l'un des 12 centres le plus. [02:49:01] Speaker C: Près de chez toi au crown.com. [02:49:04] Speaker A: Podcast. [02:49:06] Speaker E: Radio X. [02:49:09] Speaker I: Nouvelle section podcast. [02:49:11] Speaker A: Au Radio X.com. [02:49:12] Speaker E: Comme... Personne n'en parle. [02:49:18] Speaker A: Je me lève devant vous, l'académie, et je suis prêt. Fait que les Portshakers, t'en penses quoi, Alain? On est pas en 1924, on est en 2024. Pis nous autres, on travaille à l'usine. Ça se fera pas pour d'autres. Pis nous autres, il me semble que je mérite... Très bon. [02:49:38] Speaker E: Personne n'en parle. [02:49:44] Speaker A: Radio X. Ben oui, personne n'en parle. C'est débile, peut-être même un peu trop débile. On va se recentrer, on va recadrer le tout cette semaine avec des petites surprises intéressantes. Des petites surprises que vous avez un peu partout d'ailleurs. Il y en a-tu des surprises ces temps-ci? En véro-confort, ça c'est une belle surprise anti-péché. C'est l'automne qui est à nos portes. Quel bon timing pour magasiner des climatiseurs et des thermopompes murales. J'en ai deux à maison puis ça fait la job. Et c'est à bon prix. Là, vous allez dire, oui, c'est ça, une job à 25-30 000, pantoute. C'est pas ça, c'est pas du tout ça que ça coûte. Une thermoporme murale, pantoute. Amenez vos photos, des photos de votre salon. Salle à manger, c'est peut-être à l'endroit où vous allez installer ça. On va vous aider chez Envero Confort à bien positionner le tout et à les installer. Je vous le dis, vous ne le regretterez pas. Là, la fraîche s'en vient. Oh, une belle petite chaleur. Et la chaleur est là. Au mois de juillet, c'est humide. Ça casse l'humidité et ça vient tout tempérer la maison. Viens nous voir. Il y a deux succursales. La grosse succursale à Lévis et à celle de Québec également, 900 boulevards. Pierre Bertrand, enviroconfort.com. [02:50:55] Speaker F: La maudite congestion. Traffic southbound. 24-24 with Dan, the traffic man. [02:51:03] Speaker B: À matin, c'est long avant que ça passe. C'est comme une bouchée de steak qu'on n'est pas capable de défaire avec nos dents. On l'emmâche, on l'emmâche, on l'emmâche. On va essayer de finir par être capable de l'avaler. À matin, ça ressemble pas mal à ça. Le trafic, ça passe pas. Je vous dirais de la circulation très très lourde si vous arrivez de la 73 ou de la 20 direction Est pour l'accès au pont. Lourde également encore sur Charest à partir de Cap Rouge via Ikea en se rendant jusqu'au centre-ville. Encore costaud sur Capital direction Ouest à partir de Seignorial en se rendant jusqu'à Robert Bourassa. Il y a eu plusieurs accrochages ce matin. Tout semble vouloir rentrer dans l'ordre. Je vous dirais que l'accès au centre-ville est compliqué également. Charest, ça va quand même assez bien. Mais Laurentienne et Dufresne-Montmorency, c'est lourd. Lourde également sur Saint-Paul. dans le secteur Rodieux, Vieux-Port, 88-670-9098. Et si vous avez 50 ans ou plus, demandez à votre médecin, à votre professionnel de la santé si la vaccination contre la pneumonie à pneus Mococ avec Préveneur 20 vous convient. Visitez le site préveneur20.ca. [02:52:02] Speaker A: L'argent que vous dépensez en essence à chaque mois peut quasiment payer la location d'une Aria 100% électrique de Saint-Nicolas-Nissan, Montmagny-Nissan et Paquette-Nissan. Pendant la liquidation Nissan louée sur 48 mois, l'Aria Engage TA 2024 pour aussi peu que 428 $ par mois avec léger comptant. Je gagerais que l'essence épargnée va en payer une grosse partie, puis vous aurez le plaisir de rouler dans une splendide Aria électrique flambe en oeuvre. Détails chez Saint-Nicolas-Nissan, Montmagny-Nissan et Paquette-Nissan. [02:52:33] Speaker F: Vos rôtisseries Saint-Hubert de la région de Québec vous offrent présentement ses côtes levées à toutes les sauces. Classique, whisky et les deux nouvelles saveurs au pommageul et asiatique piquante. [02:52:43] Speaker B: L'École de conduite Pointe-Lévis, 15 formateurs, 7 véhicules, horaires. On donne des cours de soir. On donne des cours la fin de semaine. On a plus de 250 heures de cours par semaine et on se rend disponible quand les jeunes sont disponibles. On le sait que le mercredi après-midi, ils sont à l'école. Donc on y va le soir, on y va la fin de semaine. C'est des formateurs, des moniteurs qui se distinguent par leur écoute attentive. On a une pédagogie hyper efficace. On te garantit une disponibilité de cours en accord avec tes disponibilités, avec ton horaire. Nos étudiants sont assurés d'avoir le permis dans les délais minimums imposés par la SAAC, soit en 12 mois ou moins. NomRadio X, quand tu vas t'inscrire, ça va te permettre d'épargner 50 % à moitié prix sur le manuel de conduite École de conduite Pointe-Lévis, deux endroits, Saint-Charles-de-Bellechasse et bien sûr à Lévis. N'hésite pas à nous contacter si tu as des questions. 88 833 54 50 ou encore, on est disponible sur Facebook École de conduite Pointe-Lévis. [02:53:38] Speaker A: 19 et 20 septembre, c'est l'événement Milwaukee chez Outiplus. La plus grande vente d'outils Milwaukee de l'année. Prix imbattable, promos exclusives, cadeaux avec achats, démos et essais d'outils sur place. Outiplus boulevard Louis XIV. Outiplus.com pour les détails. Salut! C'est encore moi, votre expert en sommeil. [02:53:57] Speaker B: Dormez-vous à temps plein. [02:53:58] Speaker A: Thérapeutes de couple à temps partiel. Quand ils arrivent ici, ils sont cernés, ils s'endurent plus une vraie bataille d'oreillers. Je leur dis, c'est correct. Chacun ses besoins, chacun son oreiller idéal. Chez Dormez-vous, on veille à votre sommeil et sur les couples. Pour une durée limitée, achetez l'un de nos oreillers vedettes et obtenez-en un deuxième gratuitement. Les restrictions s'appliquent. Voir en magasin ou en ligne. Profitez de l'événement Découvrez Mazda! 1,9 % financement à l'achat sur 36 mois pour tous les modèles 2024, plus jusqu'à 1000 $ en bonnie Mazda sur certains modèles. Beauport-Mazda-Rue-Clémenceau 667-3131. Membre du groupe d'Aigle. [02:54:40] Speaker F: On recherche le prochain bloc avec lequel. [02:54:41] Speaker A: On va faire des merveilles. Rive-Nord et Rive-Sud de Québec. Grandes ventes de rénovation chez SM Sport. On doit faire de la place. Les Yamaha sont à l'honneur avec des rabais allant jusqu'à 4500 $ au financement à partir de 0,99 % sur les produits sélectionnés. La référence Yamaha Québec, c'est smsport.ca Thibault Électrique, c'est ton équipe d'électriciens dans la grande région de Québec. Installation des bornes de recharge, changement ou mise à niveau de ton panneau électrique, réno ou construction neuve, t'as besoin d'un électricien, rive sud ou rive nord, t'appelles Thibault Électrique. thibaultélectrique.ca C'est la rentrée et que tu. [02:55:20] Speaker H: Sois jeune ou vieux, ben certains vont être jaloux. Jaloux parce que le prof t'aime, parce que ton boss t'aime, parce que ça va bien avec ta blonde. Simplement parce que quand les gens vont bien, ont du succès, y'en a tout le temps pour être jaloux. Être jaloux de ta nouvelle voiture aussi. Ah ben oui, être jaloux maladif parce que toi t'as pas glandé, t'as mis la main sur un Yonix 5 Preferred à 100$ par semaine chez Sainte-Foyandé. Ben oui, tu vas faire des jaloux là aussi. Puis, occupe-toi de ceux qui t'aiment, comme nous autres. Sainte-Foyandé t'aime! [02:55:49] Speaker E: En ligne en toute intimité. Découvrez nos huiles, jouets, lingerie et plus. Disponible pour votre plaisir solitaire ou à faire découvrir à votre partenaire. Partagez le plaisir. sensationsplus.com. Livraison rapide et discrète. [02:56:02] Speaker A: Saviez-vous que Promutuelle Assurance protège plus de 60 000 entreprises partout au Québec? Autant d'entrepreneurs qui nous font confiance pour. [02:56:09] Speaker C: Assurer ce qu'ils ont bâti avec passion. [02:56:12] Speaker H: Choisissez-vous aussi un allié d'expérience. 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On va tenter d'y voir plus clair, on va tenter de débroussailler sans avoir la prétention, comme l'ont les médias traditionnels, d'être d'être, comment je pourrais dire ça, donc totalement neutre. Bien sûr, il y a un biais. Tout le monde a un biais. Et en l'occurrence, vous le savez, c'est un français qui reste en Russie. On le connaît bien en Russie. Et il est russe depuis des années. Et c'est le volet russe, moi, que je veux entendre. Oh, ça n'a pas de bon sens! on lui parle de temps à autre. Je pense que c'est intéressant d'avoir une autre perspective pour bien juger la situation et se faire son opinion. Xavier Moreau qui est en ligne. Bonjour Xavier, comment ça va? Bien, et vous? Très bien. Xavier, tu es dans quelle ville actuellement? Je suis du côté de Moreau. Oh, j'ai mal entendu, la ligne est mauvaise. De quel côté? Il est parti. Bon, ça a été court comme entretien. On va essayer de le rappeler. Habituellement, quand on lui parle, c'est de Moscou. Xavier Moreau qui, évidemment, a le billet russe, alors que tous les médias où l'immense majorité de nos médias traditionnels, que ce soit québécois, canadiens-français, anglais et américains, ils sont le biais ukrainien. Quoi comprendre de ça? T'as-tu vu l'extrait? Je sais que t'es un cinéphile. L'extrait du film The Russians at War. «Russians at war». [02:59:27] Speaker B: J'ai pas vu. [02:59:28] Speaker A: C'est un film qui doit être présenté au festival des films de Toronto. C'est la perspective russe. Mais c'est des russes qui sont... qui jouent dedans. C'est comme un documentaire. C'est pas des acteurs, c'est des vrais bombes. J'ai vu un extrait de trois minutes. En fait, c'est comme la «bande-annonce» qui circule. Ça fesse. Ça fesse. Mais là, il y a des protestations. Je vois ça hier, entre autres, à Toronto. Russian propaganda kills. Xavier Moreau, salut! Oui, désolé, ça passe mal là où je suis. Là, je suis en train de parler du documentaire, film, «Russians at war», qui doit être présenté, je crois que c'est aujourd'hui le 17, c'est exactement ça, aujourd'hui, donc au festival du film de Toronto. Mais il y a des manifestations, «Russians at war», c'est «Russian propaganda», etc. Évidemment, c'est des Russes qui sont au combat en Ukraine. C'est pas joli comme réalité. Mais on ne veut pas entendre la réalité russe. On ne veut pas l'entendre, avec Xavier. Alors pourtant, il y a une réalité russe. Il n'y a pas une vérité russe. Il y a plusieurs vérités, en guillemets, dans les conflits armés. Mais il y a le volet russe, le côté russe. Ah, ça vient de tomber. On va se réessayer deux prises. Après la troisième prise, on va... [03:00:54] Speaker B: C'est un complot. [03:00:55] Speaker A: C'est un complot. Je veux parler avec lui des missiles de longue portée pour viser des bases militaires russes qui lancent des missiles sur l'Ukraine également. Ici, on nous dit que « C'est extraordinaire! C'est une bonne nouvelle! » Poutine dit. « Si tu attaques profondément un territoire russe, c'est une provocation de guerre. » Xavier, troisième essai. « Si ça fonctionne pas, on va s'en prendre une autre fois. » Comment ça va, Xavier? Oui, ça va. Très bien, très bien. Là, on se parle. Que comprendre? D'abord, plongeons dans le vif du sujet. Je parlais justement de cette annonce de déploiement de missiles à longue portée en provenance d'Ukraine. Ici, c'est dépeint comme une excellente nouvelle. Moi, personnellement, je trouve ça très inquiétant. Doit-on s'en inquiéter? [03:01:46] Speaker D: Je pense pas qu'il faille s'en inquiéter outre mesure parce que... déjà des technologies américaines pour pouvoir frapper dans la profondeur du pays. Alors pour l'instant, ils envoient pas d'émissiers, ils envoient des espèces d'ultra-légers mobsterisés. [03:02:03] Speaker A: Ça sera peut-être plus bien 1000, 1300. Non, ça marche plus. On va ré-accrocher. On va se reprendre. Xavier Moreau, on se reprend de la semaine prochaine. Question aux auditeurs. Et je te pose la question à toi. [03:02:16] Speaker B: Vas-y, vas-y. [03:02:18] Speaker A: Est-ce que ça t'intéresse encore, ce conflit-là? Ça intéresse énormément les Européens. [03:02:23] Speaker B: Oui. [03:02:23] Speaker A: Si vous regardez les chaînes françaises, Entre autres, c'est à tous les jours. OK? Est-ce que toi, comme Nord-Américain, Canadien, ça t'intéresse encore? [03:02:35] Speaker B: Bien, la seule chose qui m'intéresse, c'est la porte de sortie. En fait, c'est ce que je veux voir. [03:02:41] Speaker A: Donc, ce que tu n'as pas dit. Dans le fond. Oui. [03:02:45] Speaker B: Là-dessus, je suis un Trumpist. [03:02:47] Speaker A: Moi aussi. Trump, ce qu'il dit, c'est parce que dans le débat, Mueller, le débat à ABC, il faut que tu prennes pour quelqu'un, là. Il faut pas que tu prennes pour les Russes, il faut que tu prennes nécessairement pour l'Ukraine. Oui, mais c'est pas les Jets contre les Belges. [03:03:03] Speaker B: C'est ça. [03:03:03] Speaker A: C'est pas Canadiens-Nordiques. On ne veut pas de guerre et on veut que ça arrête. C'est de la folie des deux côtés. Et ça, ça horrifie le monde que Trump ait cette position-là. Il faut absolument prendre pour l'Ukraine parce que l'Ukraine, c'est des purs. C'est nos amis. [03:03:19] Speaker B: Mais c'est ça qui arrive, c'est que l'Ukraine, c'est pas des purs. On s'entend pour dire que les Russes, c'est des tout-croches. [03:03:25] Speaker A: Oui. [03:03:26] Speaker B: Mais pas loin après. Il arrive les Ukrainiens avant ce conflit-là. [03:03:29] Speaker C: À la base, c'est le même monde un peu. [03:03:31] Speaker B: Ben oui, voilà. [03:03:32] Speaker C: Ils ont mis le frontière, là, mais c'est un petit peu le même monde quand même. [03:03:34] Speaker B: Avant le conflit, sur l'échelle des démocraties, on donnait une note. 1 étant la meilleure, c'est-à-dire Canada, États-Unis, Angleterre. [03:03:41] Speaker A: Oui, la transparency... [03:03:42] Speaker B: Exactement. 10 étant la pire. On donnait 10 aux Russes, 9 aux Ukrainiens. [03:03:48] Speaker A: Ben voilà. Quelle belle enquête pour les gens. Évidemment, c'est pas dans nos médias. Ça cote pas avec le narratif. Multitude de soldats qui désertent pour fuir la corruption. Faites par LCI, publiées en fin de semaine. Pendant plus de 6 mois, une équipe d'LCI. LCI, c'est en France, tu connais Dan, Dom. LCI, c'est intéressant, c'est un volet qui a des opinions. Fait que t'en écoutes d'autres aussi, pis tu mélanges. Là, c'est LCI qui a fait l'enquête sur ces soldats qui désertent à cause de la corruption de certaines unités de l'armée ukrainienne. [03:04:19] Speaker C: Ça veut pas dire que la Russie est pas corrompue, là. C'est pas ça qu'on dit. [03:04:21] Speaker A: C'est pas ça qu'on dit du tout. [03:04:23] Speaker C: Parce qu'ils sont corrompus solides, d'ailleurs. [03:04:24] Speaker A: Ben oui! Ben oui, des deux côtés. Par peur de représailles, seuls quelques-uns ont accepté d'être enregistrés ou filmés. Donc c'est un phénomène loin d'être isolé. Au sein de l'armée ukrainienne, des soldats désertent pour fuir la corruption. Si tu veux pas aller en ligne zéro, tu dois payer entre 650 et 1000 euros, grosso modo, sous le couvert de l'anonymat, quelqu'un qui... Il y a plein, plein, plein, plein, plein d'histoires. Mais ça compte pas avec notre narratif. Notre narratif, quel est-il? Zelensky est notre ami. C'est le champion. On est de son côté. Ouais, même s'il y a des nazis qui ont combattu. [03:05:03] Speaker B: Tu peux faire son extrait à la matinée. [03:05:06] Speaker A: Ouais. [03:05:07] Speaker B: De Benjamin à... [03:05:09] Speaker A: Comment il s'appelle? [03:05:10] Speaker B: Benjamin Haddad. [03:05:11] Speaker C: Ah ok. [03:05:12] Speaker B: C'est la France qui doit accepter l'utilisation des missiles longues portées. [03:05:16] Speaker A: Oui, c'est ça. Mais ça, c'est un sujet qui est vraiment au cœur de la patente, super intéressant. Biden est content, Trudeau est content. Il n'y a pas beaucoup de débat à la Chambre des communes qui vient de se réunir pour la première fois hier. Il va falloir en parler à un moment donné de ça. On envoie des armes en Ukraine et on bombarde profondément la Russie. Moi, j'aimerais ça m'emmener à avoir mon mot à dire là-dessus. Je sais pas, on est en train de se foutre dans la merde, pas à peu près. On écoute l'extrait tiré d'une télé française au cours des dernières heures. [03:05:49] Speaker J: France doit accepter l'utilisation des missiles de longue portée. Je rappelle que la France, d'ailleurs, a été l'un des premiers pays à livrer des missiles de longue portée aux Ukrainiens. Et en effet, de quoi parlons-nous ? De pouvoir frapper des bases militaires russes à partir desquelles sont envoyés des missiles qui frappent des infrastructures, des infrastructures civiles parfois, dans le territoire ukrainien. [03:06:09] Speaker E: Mais les Etats-Unis redoutent justement l'escalade, cette fameuse escalade. [03:06:13] Speaker J: Oui, mais comme vous dites, cette fameuse escalade dont on nous parle depuis deux ans et qui fait qu'on a refusé d'abord de livrer des armes offensives, puis des tanks, puis des avions, puis des missiles de longue portée. Je crois qu'en fait, on a fixé énormément de lignes rouges à l'Ukraine plutôt qu'à la Russie et que si on avait donné à l'Ukraine tous les moyens de pouvoir non seulement se défendre, mais de pouvoir gagner cette guerre depuis le début. Aujourd'hui, le résultat serait bien différent. Le résultat de la contre-offensive de 2023 aurait été bien différent, donc donnant aux Ukrainiens les moyens de se battre et effectivement la possibilité, par exemple, de pouvoir frapper en profondeur sur les territoires russes, encore une fois, pour se défendre contre les frappes de missiles de la Russie. [03:06:49] Speaker E: Volodymyr Zelensky affirme désormais que la victoire de l'Ukraine peut être obtenue par voie militaire, parce que c'est compliqué pour lui dire autre chose, mais aussi par la voie diplomatique. Est-ce qu'il faut s'atteler dès à présent à un plan de paix ? [03:07:00] Speaker J: Oui, je pense qu'effectivement il faut réfléchir aux conditions d'une négociation, à ce que serait la victoire de l'Ukraine, à ce que serait peut-être un arrêt des combats. Je crois qu'il y a deux conditions pour cela. La première, encore une fois, c'est de créer un rapport de force, une négociation. Ça se crée aussi avec le rapport de force militaire pour faire comprendre à la Russie qu'elle ne peut pas gagner ce plan militaire. C'est pour ça que le fait de continuer à aider les Ukrainiens avec les livraisons d'armes, ce n'est pas antinomique avec le fait d'envisager une négociation. Et la deuxième chose qui est importante, et là-dessus, nous avons un levier, nous, Européens, c'est de donner une vraie perspective à l'Ukraine d'adhésion. à l'Union européenne et à l'OTAN. Cette victoire, elle sera politique. Les Ukrainiens se battent pour leur liberté, pour être un pays souverain et démocratique depuis la révolution du Maïdan en 2014. Et donc là, je crois que nous, nous avons une responsabilité. [03:07:45] Speaker C: Je suis peut-être pessimiste, mais c'est une des raisons pourquoi, moi, honnêtement, j'ai perdu un petit peu d'intérêt pour cette guerre-là. Je garde un oeil dessus, mais de loin. J'ai l'impression que je vais être grand-papa, que Vladimir Poutine ne sera plus à la tête de la Russie, que Zelensky ne sera plus à la tête de l'Ukraine et que la guerre ne sera pas finie. [03:08:06] Speaker A: Puis nous autres, on promet des choses qu'on peut pas livrer. Ce matin, il y a... C'est un auditeur qui me le rappelle, je l'avais dans mes nouvelles. Trudeau avait promis des tanks et elles sont pas livrées. Des tanks qu'on doit remettre à niveau puis c'est pas fait encore. Ça, c'est du maudit blabla de Trudeau. Ça en a dit plus sur Trudeau que sur le reste. Alors voilà, ça fait le tour. À 9h08. On fait-tu une petite ligne ouverte en revenant ou après la Légion? [03:08:30] Speaker B: Ou à Nicolas. [03:08:31] Speaker A: On fait Nicolas. On fait un Nicolas Gagnon. Il faut revenir absolument sur... Et puis j'ai des nouvelles qui se rajoutent ce matin concernant NordVote. Ils ont besoin d'un bail-out, autrement dit, d'une ligne d'aide de l'État. Non, la Suède ne veut pas. Nous autres, on donnerait ça, on donne ça aveuglément. T'as besoin d'aide, on le sait. Avec Lyon Électrique, c'est peut-être le meilleur exemple. La Suède refuse de secourir Norvod. Je veux parler également... [03:08:57] Speaker C: J'aime le modèle scandinave. [03:08:58] Speaker B: Moi aussi. [03:08:58] Speaker A: Ouais, c'est parce que je pense qu'ils sont tannés, les Suédois. Ils sont tannés du côté de l'immigration, du côté du nanan à volonté aussi. [03:09:06] Speaker B: Nous autres, on leur a donné la carte de débit que c'est nip. [03:09:09] Speaker A: Mais en échange, moi je leur dis que je suis tanné d'abas. Donc, c'est égal. Ah bon? Ouais, je suis étané. Je suis étané. [03:09:17] Speaker B: Officiellement, hein? [03:09:18] Speaker C: Ouais, ouais, c'est fait. [03:09:19] Speaker A: Le message a été passé. On revient, vous êtes à Radio X. [03:09:31] Speaker E: En direct. [03:09:32] Speaker A: En direct. C'était Pauline, effectivement. C'était Pauline Larotteux, c'était pas Karen. [03:09:35] Speaker E: Ah, c'était Pauline Larotteux. [03:09:36] Speaker A: Oui, Pauline Larotteux. [03:09:37] Speaker E: Puis là, il y a quelqu'un qui vient te voir pour dire que j'ai un don, là. [03:09:40] Speaker A: Oh, excuse-moi, il y a un esprit qui a pris possession de... [03:09:43] Speaker E: C'est ben dégueulasse! [03:09:44] Speaker B: Ben voyons, je m'excuse, là. [03:09:45] Speaker C: Elle m'a transféré son don. [03:09:47] Speaker E: Dans la vie, j'ai beaucoup de fun. Mais un rot, je sais pas pourquoi, on dirait que ça me fait pogner les nerfs. [03:09:53] Speaker A: Ben là, penche-toi pas là. [03:09:54] Speaker E: Je peux pas croire que t'as fait un rot. [03:09:57] Speaker A: C'était une blague. [03:10:03] Speaker E: Radio X. Présenté par l'Entrepot de la Rénault. Vinyl-clic SPC à 1,79$ le vicaré. 9300 rue John Simons, Québec et 3790 rue Jean H. Kruger, Trois-Rivières. Entrepot de la Rénault.com. [03:10:16] Speaker A: Simon Laberge.com. Je ne sais pas si vous avez vu les chiffres du marché de l'immobilier hier, ça n'a aucun rapport, dans le Québec au complet. Niveau d'activité, 1%, 1,5%. Puis ici, c'est 22%. Ça swing, ça avance, ça achète, ça avance, ça achète, ça avance, ça achète. Ça swing au bout. [03:10:36] Speaker B: Pourquoi? [03:10:37] Speaker A: Honnêtement, je vais vous le dire, je ne sais pas pourquoi. Pourquoi il y a cet écart-là, pour vrai, dans la région de Québec? Il faudrait demander à Simon. Une chose est sûre, c'est que ce qu'on comprend, c'est que c'est hot, hot, hot, d'autant plus que là, en plus, Si vous êtes un premier acheteur, si vous avez 23, 24, 25 ans avec votre petite blonde, avec votre chum, vous pouvez mettre ça sur 30 ans, l'hypothèque. Je sais pas si c'est commencé ou si ça va commencer. C'est une nouvelle disposition qui va tomber en vigueur. On en parle ce matin dans les médias. Donc, ça, ça fait du bien, t'sais, une entrée, une maison genre d'entrée de gamme, sur 30 ans, t'sais, sa tête assouflée, là. Parce qu'habituellement, une première maison, c'est pas une maison à 2,7 millions à céleri, là. Donc ce soir, appelez donc Simon si vous voulez faire vite et vendre votre maison rapidement. Et surtout à bon prix, simonlaberge.com Pour. [03:11:29] Speaker H: La rentrée, certains concessionnaires automobiles vont vous dire qu'ils sont moins chers qu'ailleurs. D'autres vont vous dire qu'ils sont de meilleure qualité. La vérité, c'est que les premiers sont en bas de gamme, pis vous payez pour le logo des autres. Pas chez Options Subaru. Ce mois-ci, on offre le Solterra 100% électrique 2024 à un taux de même pas un pour cent, location 48 mois, 20 000 km par année à partir de 126 $ par semaine. Ça inclut 12 000 $ de remise du gouvernement et 5 000 en rabais de Subaru. Slogan! [03:11:54] Speaker A: Ta meilleure option, c'est Options Subaru! Tout devient plus facile avec le M7-4 de Kubota. [03:12:01] Speaker B: Ce puissant tracteur offre des performances, un confort et une polyvalence lui permettant de. [03:12:05] Speaker A: S'Attaquer aux gros travaux d'automne. Économisez jusqu'à 7 500 $ sur un M7-4. Visitez votre concessionnaire Kubota pour plus de détails. [03:12:14] Speaker E: Vous vous demandez à quoi ressemble le quotidien dans une résidence pour aînés? Visitez l'une de nos 7 résidences Chartwell à Québec lors de notre événement Portes ouvertes les 20 et 21 septembre de 10 à 16 heures. Les détails sur chartwell.com. [03:12:28] Speaker H: Imagine une journée sans électricité. Tu prends ta douche à l'eau froide. Le matin, tu manges des céréales, t'as pas l'autre choix. Au travail, t'écris tes mémos à la main, tu vas les porter au boss en personne. Et le comble, tu conduis une voiture à essence. Une chance pendant l'événement C'est l'heure Toyota. 5 fois Toyota offre le BZ4XLE 2024 en location 48 mois, incluant 16 000 km par année, 124 $ par semaine, zéro comptant. On ne retournera pas en 1924. 5 fois Toyota avec vous depuis plus de 50 ans. [03:13:00] Speaker B: Tu travailles dans le domaine de la construction pis tu te dis tabarnouche que je t'écœurerai d'avoir un boss. Je veux devenir mon propre patron, ça va marcher comme je le veux, la Sécu. La Sécu Québec qui t'accompagne de A à Z dans tes démarches pour devenir l'entrepreneur en construction. Pis quand on dit de A à Z là, je vous le dis, on n'oublie pas une lettre. on y va avec les 19 consonnes, 7 voyelles, temps et toi, la sécu offre des cours en ligne ou en classe, c'est toi qui décide parce que déjà tu commences à être ton propre boss, ils sont reconnus, on t'évite de faire des examens de qualification d'arrichure du bâtiment du Québec, tu seras accompagné et supporté par une équipe spécialisée en construction pour passer à travers toute, toute, toute toutes les étapes afin d'atteindre ton rêve, celui d'être le boss. Attends plus. Passe à un autre niveau avec l'ACQ Québec. Passe des rêves à l'action ACQ.org. [03:14:11] Speaker A: T'en es de tes gouttières qui se bouchent? Chez Gouttières-Moisan, on installe le Double Pro d'Alurex. Avec le Double Pro qui garantit la vie, l'eau coule dans tes gouttières et toi, toute la couille douce. Cours la chance de gagner tes gouttières. [03:14:22] Speaker B: En signant avec Gouttières-Moisan avant le 30 septembre. Gouttières-moisan.ca. [03:14:28] Speaker A: Profitez de l'événement Découvrez Mazda! 1,9% financement à l'achat sur 36 mois pour tous les modèles 2024, plus jusqu'à 1000$ en bonnie Mazda sur certains modèles. Beauport-Mazda-Rue, Clémenceau, 667-3131. Membre du groupe d'Aigle. Personnellement, j'ai jamais entendu personne dire... «Hey. [03:14:45] Speaker E: J'Suis tellement contente, j'ai payé plus cher. [03:14:48] Speaker C: Qu'Esposé!» Pour économiser, ça commence par la. [03:14:50] Speaker A: Poste avec L'Antidote Plus, un carnet rempli d'aubaines et de rabais livrés directement chez vous avec le courrier. Restos, activités, soins, services, L'Antidote Plus a même une section habitation. Vous trouverez des entrepreneurs en tout genre pour vous faciliter la vie au quotidien. La prochaine fois que vous le recevez, conservez-le précieusement. L'Antidote Plus, un produit de L'Antidote Média. Le mois de l'habitation Profab est en cours jusqu'au 14 octobre. Obtenez jusqu'à 17 000 $ de rabais à l'achat de votre maison de rêve et courez la chance de gagner un grand prix de 10 000 $ en ameublement à l'usine Mobilier Design. Une occasion à ne pas manquer. Tous les détails au profab.ca. [03:15:24] Speaker F: Le boss est en vacances. Profitez-en chez Momany Hyundai. Yonex Sign Prefer 2024 en location, 100 $ par semaine, 48 mois, 2595 $ de comptant. C'est pas éternellement les vacances. À 20 minutes de Lévis, mon auto, mon concessionnaire, mon manihundi. [03:15:40] Speaker A: Bien que j'ai aimé l'entrevue hier. On l'a pas sortie, mais si vous l'avez entendue live, c'était juste parfait. C'était impressionnant. L'entrevue avec Dr. White. As-tu aimé ça, Cardiologue? [03:15:51] Speaker B: Oui, j'ai adoré ça. J'y ai repensé hier dans la journée. [03:15:54] Speaker A: Wow. Ça, c'est le genre d'entrevue que je vais refaire de plus en plus. J'ai écrit à Marc hier. Mais Marc, il accorde plus d'entrevues, là. Mais Marc, ça reste encore le boss. C'est la croix de la croix, là. Et puis il dit, ouais, c'était vraiment bon. Puis on va en refaire d'autres avec d'autres... d'autres médecins qui ont quitté le public pour soigner au privé parce que ça va plus vite, parce que la qualité de pratique est meilleure, parce qu'ils prennent du temps. C'est exactement le cas du Dr Éric Truffert, d'ailleurs, à qui on a déjà parlé ici. Neurochirurgien dans son cas, chez Lacroix médecine privée. Si t'es pogné avec une hernie discale, t'es pas capable de t'en défaire. T'as peut-être besoin d'une opération justement d'un jour pour décompresser le tout. Une chirurgie du tunnel carpien par endoscopie. la pose d'une prothèse cervicale. C'est un brain, c'est le cas de le dire. Éric Truffere, wow! Quel homme! Et il est pour vous disponible, vous pouvez l'appeler. Ce qui est intéressant, c'est que t'as pas de référence médicale récréée. C'est le tataouinage. Ouais, mais vous n'avez pas de médecin de famille, on pourra pas. Non, non, ça décide. Y'a pas de niaisage de ce style-là. Ça va rondement. Vous avez une relation directe avec lui. Vous racontez votre problématique et on va avoir l'heure juste pour pouvoir peut-être vous opérer. Clinique médicale Lacroix.com, c'est la référence en médecine privée au Québec. Obtenez votre licence d'entrepreneur en construction avec GroupeGSC.com et sa formation ultra innovatrice et hybride. Formation en ligne, en classe ou combinez les deux. GroupeGSC.com, la façon la plus simple d'obtenir votre licence RBQ. Formez pour bâtir. Besoin d'un break pour la rentrée? Le Charbon Steakhouse offre de succulents repas pour emporter. Côte levée, pâté chinois, lasagne, pâté à la viande, sauce à spaghetti, c'est pas le choix qui manque et c'est toujours bon. C'est sûr, c'est le charbon. Pour un projet de fondation clé en main, fourniture de béton au concassage, Béton Laurier est votre partenaire depuis 62 ans, que vous soyez résidentiel, commercial ou industriel. Aussi, service de grue et du transport par fardier. Béton Laurier, c'est plus que du béton. bétonlaurier.com Pour voir du hockey de haut niveau à Québec, c'est la nouvelle équipe de la LNAH, le National de Québec. Des joueurs de calibre et une équipe d'entraîneurs d'expérience chapeautées par Daniel Gauthier, appuyés par Donald Brashear, ancien joueur de la LNH. Assistez au prochain match au Complexe Bonheur de l'Ancienne-Lorette, billets au national.lnah.com. [03:18:46] Speaker F: La Business, avec Nicolas Gagnon. [03:18:51] Speaker C: The World of Money, Cash City, avec Nick Gagnon. [03:18:57] Speaker A: Nicolas Gagnon, de la Fédération des Contribuables. Comment ça va? [03:19:01] Speaker D: Ça va super bien, vous autres? [03:19:02] Speaker A: Très bien. Es-tu inquiet pour NordVault? La Suède qui refuse de secourir NordVault? Ça va vite, là. Ça commence à aller très vite dans ce dossier-là. NordVault International. Il y a des bulldozers sur le terrain un matin, là, à Montérégie. Mais ça va pas bien concernant NordVault, qui est carrément au bord de l'abysse. En fait, c'est le journal de l'automobile, qui est un magazine français, qui titre comme ça. NordVault est au bord du gouffre. Quelle bonne nouvelle! On a brûlé du cash encore, j'aime ça! [03:19:38] Speaker D: Oui, j'ai des très grosses inquiétudes. Au début, je pensais que les ralentissements étaient un peu normal, parce qu'on s'entend qu'on lance des gros projets d'infrastructure, des gros projets d'écosystème pour travailler. On peut s'attendre à ce qu'il ne. [03:19:50] Speaker A: Reste plus de stress. Mais là, ça fait un méchant bout. [03:19:53] Speaker D: Qu'On a des « red flags ». [03:20:00] Speaker A: Vous êtes obligé d'appeler Messenger ou CleanFeed les amis dans le cas de Nick. On avait-tu Clean Feed avec? Ou Messenger? [03:20:08] Speaker B: Ben, c'est disponible en tout cas. [03:20:09] Speaker A: Ben oui, il est québécois, il est à Montréal. Faut l'appeler Messenger. Je communique avec Messenger. On va l'appeler sur Messenger. Y'a-tu un Réussi-Lewisier-Richard de chez... Oui! Hahaha! Ils sont tous dans le même local. On va faire une conspie. Tous les chroniqueurs sont chez Michel Blanc. Dans le salon. Pis lui, ça regarde, pis c'est-tu à ton tour, c'est-tu à mon tour. Aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe. La nouvelle est quand même, selon les médias suédois, le groupe essaie d'organiser une nouvelle émission d'action pour surmonter cette difficulté. Je te pose la question. L'émission d'action, c'est 660 millions d'euros. Veux-tu jeter des actions? [03:20:55] Speaker B: Non, ça va être correct. [03:20:55] Speaker A: Ça va être correct, hein? [03:20:57] Speaker B: Puis je demande au gars qui gère mon portefeuille d'éviter ça aussi. [03:21:00] Speaker A: « Northvault prévoit couper dans les effectifs qui comptent à ce jour plus de 6500 salariés. L'ampleur du plan de suppression d'emplois n'a pas été communiquée. Aussi, le groupe scandinave a renoncé à construire une autre usine à Borlänge, c'est à 200 kilomètres au nord-ouest de Stockholm, où il avait initialement un projet de matériaux cathodiques. Question. J'appelle aujourd'hui Norvod, et je leur demande, on retire les billes du gouvernement, construis-tu pareil? C'est clair, clair, clair que ça clique, hein, là. Ils sont ici parce qu'on finance. Ils sont ici parce qu'on paye. C'est tout. On va se planter, les amis. Ça sent vraiment très, très, très mauvais. Tu as-tu réussi à le rejoindre, Dom? Non? Dom qui essaie de le rejoindre. Oui, non. Oui, peut-être... Dan, cherches-tu à le rejoindre? [03:21:57] Speaker B: Ben, moi, j'ai envoyé le lien CleanFeed à Dom, là. [03:22:00] Speaker A: OK. [03:22:00] Speaker B: Je peux pas faire ben, ben plus que ça. [03:22:02] Speaker A: Ouais, c'est ça. Faudra mieux se préparer à l'avenir, pour ce qui est des chroniqueurs québécois. On va aller à La Pause à 9h22 et on revient, on va faire un tour de Légion et on va peut-être ouvrir les lignes 418-670-9098. Présenté par Planetix. Devenez un aventurier du plaisir. Explorez vos fantasmes. Trouvez le produit adapté à vos besoins au meilleur prix. Planetix. Six boutiques pour vous servir. Monplanetix.com Dans la vie, on peut pas faire confiance à certaines choses. Comme à un enfant qui apprend à jouer au baseball. Mais chose certaine, on peut faire confiance à Toyota. Quand on cherche un véhicule électrique, c'est rassurant de pouvoir se tourner vers le BZKTX de Toyota. Un VUS 100 % électrique à la conduite exaltante et au design novateur. Jusqu'au 30 septembre, profitez d'un incitatif du manufacturier de 3500 $ sur le BZKTX 2024 en plus des rabais gouvernementaux allant jusqu'à 12 000 $. Réservez un dossier routier dès aujourd'hui sur achetez-ma-toyota.ca ou chez votre concessionnaire Toyota du Québec. Drolette Ressort, c'est votre centre de mécanique de véhicules lourds à Québec. Avec 30 mécaniciens et 18 heures d'ouverture par jour, on vous assure des délais de réparation imbattables. Maître aligneur et mandataire SAAQ en vérification mécanique de véhicules lourds. DroletteRessort.com. L'ultime repas est de retour chez Ashton. Pour un temps limité, profitez d'un burger Ashton, une bébé poutine et d'une boisson 16 oz. Un régal assuré. L'ultime repas à 13,50 $. Faites vite. Ashton, vrai, vrai. La promo prix employé se poursuit chez Lévis Ford. F-150 STX 2024, location 48 mois, léger comptant à 152 $ par semaine. C'est plus de 7500 $ de rebais. Pour les meilleurs prix de l'année, passez chez Lévis Ford. L'effort de Lévis. Écoutez, je suis un expert en sommeil chez Dormez-vous et un thérapeute de couple. Ça rentre ici et l'un veut moelleux, l'autre veut ferme, l'une veut rafraîchissant, l'autre veut douillet. Mais c'est possible de trouver un matelas et des accessoires qui plaisent à tous les deux. Chez Dormez-Vous, on veille à votre sommeil et sur les couples. Durant l'événement Méli-Mélo, procurez-vous un matelas grand lit qui offre le mariage parfait entre confort et soutien à seulement 449 $ jusqu'à mardi. Seulement chez Dormez-Vous. Cet automne, préparez votre véhicule à affronter l'hiver en le faisant traiter contre la rouille chez Antirouille Métropolitain, une compagnie d'ici avec un produit conçu ici pour affronter les hivers d'ici. Antirouille Métropolitain est le seul réseau spécialiste recommandé par le CA à Québec. Alors, n'attendez plus et prenez rendez-vous dès maintenant! anti-rouille métropolitain, les experts depuis 1976, grouille avant que ça rouille. [03:25:04] Speaker H: Savez-vous où on prend une chance? Au casino, quand on achète un billet de loterie, quand on se booke un rendez-vous sur Tinder. Là, on prend une chance. Savez-vous où on ne prend pas de chance? C'est quand on est décidé et qu'on veut changer de voiture. Là, on veut faire affaire avec un classique. Laurier Mazda est maintenant le classique dans le monde automobile de Québec. Non seulement on vous offre le CX-5 à seulement 104$ par semaine en location, mais Laurier Mazda vous promet que ce que vous voyez, c'est ce que vous aurez. Laurier Mazda, à Sainte-Foy, Saint-Cartonne! [03:25:33] Speaker E: Air Transat présente deux amis qui découvrent Lyon pour la toute première fois. Quelle exposition! J'adore l'impressionnisme. C'était incroyable. Bon, et maintenant? Ben moi je pense que je vais retourner à l'école et étudier l'art. Moi je parlais du souper. Ouvrez-vous à un monde de découvertes. Réservez dès maintenant votre vol de cet automne pour l'Europe à partir de 639 $. Visitez airtransat.com. Les conditions s'appliquent. Une bonne quenelle, ça te tente-tu? Air Transat. Le voyage nous transporte. [03:26:03] Speaker A: Pour une dose de réconfort, pensez au resto El Dorado. Un menu familial varié incluant pizza, poutine, burger, savoureux brunch et bien plus. Tout le mois de septembre, on offre le repas aux enfants de 12 ans et moins accompagné d'un adulte. Le El Dorado, rue Jacques-Bédard, lac Saint-Charles. [03:26:20] Speaker H: Pour la rentrée, certains concessionnaires automobiles vont vous dire qu'ils sont moins chers qu'ailleurs. D'autres vont vous dire qu'ils sont de meilleure qualité. La vérité, c'est que les premiers sont en bas de gamme, puis vous payez pour le logo des autres. Pas chez Options Subaru. Ce mois-ci, on offre le Solterra 100% électrique 2024 à un taux de même pas un pour cent, location 48 mois, 20 000 km par année à partir de 126 $ par semaine. Ça inclut 12 000 $ de remise du gouvernement et 5 000 en rabais de Subaru. Slogan! [03:26:44] Speaker A: Ta meilleure option, c'est Options Subaru! [03:26:49] Speaker E: Choua. [03:26:51] Speaker A: Choua. 98.1. [03:26:51] Speaker E: C'est la fameuse ville régionale. À Québec. [03:26:56] Speaker A: C'est Radio X. Choua. Choua. [03:26:59] Speaker E: Radio X. Faites-vous. [03:27:02] Speaker A: Faites-vous. Votre propre opinion. Moray. Moray. Live Moray. Avec Dominique Moray, Dan Gravel et Dom Dumas. [03:27:14] Speaker E: Et je cède la parole à Radio X. [03:27:18] Speaker A: Ça passe un brin inaperçu, mais éco-camionnage, je sais pas si ça vous dit quelque chose, c'est fini. Donc c'est une autre nouvelle dans le tout électrique qui va très très bien. On suspend le programme éco-camionnage visant l'électrification de l'industrie du camionnage. Ah! [03:27:34] Speaker B: J'ai envie de dire ça. [03:27:35] Speaker A: Mais oui. [03:27:36] Speaker C: Hier, Éric Duhaime m'a demandé qu'on fasse la même chose pour ce qui est des autobus scolaires. [03:27:41] Speaker A: Oui, avec Adrien. [03:27:43] Speaker C: Mais sérieux, arrêtez pas aux autobus scolaires. Les autobus de ville, Faut arrêter ça au plus sacrant, là. [03:27:49] Speaker A: Ça coûte un prix de four. [03:27:50] Speaker C: Ça coûte une fortune. Vous voulez aider le transport en commun, là? [03:27:53] Speaker A: Faut que ça finisse. [03:27:54] Speaker C: Arrêtez ça. Même les greens sont d'accord avec ça. [03:27:56] Speaker A: Ben oui. Tu coupes ça, plus besoin d'agrandir les garages, plus besoin de taponner avec des installations de prises qui marchent pas. [03:28:04] Speaker C: T'as moins de déficit pour les réseaux de transport. [03:28:08] Speaker A: Tout le monde est gagnant. Je sais pas pourquoi ça zigonne. Pourquoi on n'est pas capable de prendre une décision? On coupe là-dedans parce que le lacat qui vient de couper là-dedans, peut-être qu'à la prochaine étape... C'est des lambineux. [03:28:18] Speaker C: C'est ça. [03:28:19] Speaker A: Éco-camionnage. Wow. Hé, il est où mon divan? Non, il est en train de charger à Saint-Étienne-des-Grais, le camion. Oui. Dans deux jours, il va arriver. [03:28:30] Speaker B: C'est ça, il faut qu'il arrête... [03:28:32] Speaker A: À Saint-Étienne des Grecs, que ce soit exactement... À Saint-Anne-de-la-Pérade, à Donnacona... [03:28:38] Speaker B: Quand il va être rendu à Donnacona. [03:28:39] Speaker A: Il va être... Seropé en mode. Quand vous allez avoir votre divan avec des fleurs dessus, il est seropé en mode. [03:28:43] Speaker B: Parce qu'à chaque recharge, les gars s'assoient dessus, t'sais. [03:28:46] Speaker A: C'est incroyable. Quelle maudite folie. On plonge dans la Légion en prolongation. [03:28:51] Speaker F: Let's go live now. [03:28:54] Speaker E: From the Tower of Doom. [03:28:57] Speaker A: The Légion of Doom. [03:28:58] Speaker C: Bon, faisons du domien un petit peu. On a glissé un mot hier, pis là je vais vous le faire entendre carrément. Un match de la NFL à Montréal, ça vous tente-tu? [03:29:07] Speaker E: C'est chouette que Montréal puisse accueillir le Québec, le gouvernement du Québec souhaite accueillir des événements comme ceux-là. Comme je te dis, notre intention, c'est d'aller davantage et encore plus vers des événements comme ceux-là. À l'NFL, la semaine passée, Roger Goodell a dit peut-être 16 matchs à l'international. Montréal, évidemment, lève la main. On est là-dessus. On veut jaser avec l'NFL et on jase déjà avec l'NFL. [03:29:29] Speaker A: Ils sont déjà en discussion avec l'NFL. [03:29:31] Speaker G: Pour un match comme on a fait. [03:29:33] Speaker C: Au Brésil dans l'NFL, bien d'en faire. [03:29:35] Speaker A: Un ici à Montréal au Stade Olympique. Bien oui, remplis ça bien tête là. Ah mais arrête ça! Avec... voyons, Delorme. Gilbert Delorme. [03:29:46] Speaker B: Gilbert Delorme, oui. [03:29:47] Speaker C: Mais ça serait rempli, oui. Mais ça arrivera pas. [03:29:51] Speaker B: C'est sûr que ça va être rempli. [03:29:52] Speaker A: Non, il y a beaucoup de choses. [03:29:53] Speaker C: Si la NFL vient à Montréal, c'est sûr que ça remplit. Ça, il n'y a pas de question. [03:29:56] Speaker B: Ça remplit à L'Élysée-Blessé aussi. [03:29:57] Speaker A: Vous êtes trop excités. Ça chiale sur le Brésil. Elle a dit, on jase avec la NFL. On veut jaser avec la NFL. [03:30:07] Speaker C: Après ça dit, on jase déjà avec la NFL. [03:30:10] Speaker A: C'est flou. Moi, je veux jaser avec Eva Longoria. Je pose son numéro. Je veux jaser avec une telle, une telle, une telle. [03:30:18] Speaker C: Non, non, non, non. Tu jases déjà avec Evalyn Gaurier. [03:30:21] Speaker A: Ouais, sur un site de fan club. C'est ça. Mais! Ma peur est la suivante. C'est... The King's Fear. J'ai peur qu'il nous... King's... King's... Zeer. [03:30:37] Speaker C: Oh man. Ouais, non. Non, non. [03:30:39] Speaker A: Le King's 2.0. Non. [03:30:40] Speaker C: Ça lui va pas. [03:30:42] Speaker A: Ben c'est ça. Le gouvernement veut. C'est ça qu'elle a dit. [03:30:46] Speaker C: Oui, je sais. Mais ça n'arrivera pas. La NFL, c'est un sac, ça. Ils sont trop riches pour ça. Parce qu'écoute... [03:30:52] Speaker A: Mais on va déplier, on va déplier, on va déplier, on va leur faire une offre. Oui, je comprends. [03:30:55] Speaker C: Mais c'est parce que la NFL, ils viennent d'aller au Brésil. Le Brésil, il y a bien des affaires tout croches, mais les sports sur gazon, ils connaissent ça quand même pas pire. Puis les joueurs ont chiolé encore une fois. La qualité du gazon, non, ça fait pas... [03:31:07] Speaker B: En fait, les seuls qui sont capables de coter, d'équivaloir, c'est les Européens. [03:31:12] Speaker C: C'est ça. [03:31:13] Speaker A: Roger Godel, qui s'appelle comme ça. [03:31:15] Speaker B: Puis eux autres, ils font ça pour vendre le sport. La NFL, à chaque vendredi, ils sortent des centaines et des centaines d'autobus du Canada remplis de fans qui vont remplir les stades aux États-Unis. Ils n'ont pas besoin de venir ici. [03:31:29] Speaker A: Ben non, ils n'en ont pas besoin. Roger Godel vient. Là, il est dehors du stade, il a le goût de vomir. On l'amène dans le stade, juste les jours d'heure, il a le goût de vomir. On l'amène au milieu du terrain, il regarde ça, puis il dit qu'il y a café là, et il le dégobille. Qui, maintenant, tiendra le plat pour ramasser le vomi? C'est là qu'est la question. [03:31:52] Speaker C: Jordan Love. [03:31:53] Speaker A: C'est qui qui va ramasser le vomi de Roger Goodale quand il va voir le stade? Là est la question. [03:32:01] Speaker B: Très bonne question. [03:32:03] Speaker A: C'est impossible, là! [03:32:05] Speaker B: Sortir des États-Unis pour aller d'un stade intérieur, comment? [03:32:07] Speaker A: Non, mais ils ont démoli plein, plein de stades totalement whack, la NFL. Le Silverdome. Il y en a plein, là, des stades qui ont boulé, là, des dernières années, des dernières décennies. Le stade de Montréal. Ils ont tous boulé. Si ça avait été un stade de la NFL, il aurait été dynamité. Ici, on fait du blabla, on veut protéger la station de métro. C'est un barnache, voyons donc. Redis. [03:32:30] Speaker C: Je sais que le stade des Saints, il est lait pis il est vieux, là. Mais ils ont mis beaucoup d'argent du pareil. [03:32:35] Speaker B: Le dedans, il est beau. [03:32:36] Speaker C: Ouais, le dedans, il est beau. Dehors, il est vraiment lait. [03:32:38] Speaker A: Ouais, il est très lait. Ça ressemble à un bouton, à un pustule. [03:32:42] Speaker C: Ouais. Ça a l'air d'une... [03:32:44] Speaker A: Un bouton... [03:32:45] Speaker C: Un cheminé nucléaire. [03:32:47] Speaker A: Oui! [03:32:47] Speaker C: Ça a vraiment l'air de ça. Janet Bertrand, elle était aux Gémeaux dimanche soir. C'était les Gémeaux dimanche soir. Et elle a dit quand même ceci. [03:32:56] Speaker E: Notre télévision, elle est très bonne parce que nous formons un couple depuis 1952. J'étais là en 1954. En 1952, on forme un couple, la télévision et nous, parce qu'on se reconnaît. C'est nous autres, c'est notre télévision. Dans les couples, il y a toujours un ou une qui veut aller voir si c'est meilleur ailleurs. [03:33:15] Speaker A: De temps en temps, mais c'est pas... [03:33:17] Speaker E: Mais il faut pas y aller parce que notre télévision est meilleure! [03:33:21] Speaker B: Oui! [03:33:21] Speaker A: OK? [03:33:23] Speaker B: C'est vrai ça. [03:33:23] Speaker C: T'as aussi une belle sagesse, hein? [03:33:25] Speaker E: Oui, vraiment, hein? [03:33:26] Speaker A: Jeannette Bertrand, qui parlait pour la télé québécoise lors de la cérémonie des Gémeaux. [03:33:31] Speaker C: Ah, de la belle sagesse. Restez, faut pas regarder ce qui se fait ailleurs. Regardez juste, juste, juste ce qui se fait au Québec, là. Ailleurs, c'est tout de la merde. [03:33:38] Speaker B: Je sais, je sais. [03:33:39] Speaker C: C'est comme dans le temps de... [03:33:40] Speaker B: Je sais. [03:33:41] Speaker C: Elle a l'âge qu'elle a, là. [03:33:43] Speaker A: C'est dans le temps de quelle famille? Avec ma quère, ma quère. [03:33:48] Speaker C: Mais je pense qu'il y en a... [03:33:50] Speaker A: Avec le chien MacLear, quelle famille. [03:33:52] Speaker C: L'autre qui embarque, il y a 40 ans, là. Après, là. Ah, de la sagesse, hein. Faut pas regarder ce qui se fait. [03:33:58] Speaker A: Ailleurs de la TV, c'est juste ici, là. Mais elle, c'est ça, c'est intouchable. Jeannette a le droit. Je sais. Mais elle a le droit. [03:34:05] Speaker C: Mais je pense qu'il y en a beaucoup, à moitié de son âge, qui pensent de même. [03:34:09] Speaker A: C'est ça. À partir de 60 ans, t'as plus le droit. T'sais, t'as un stade où elle a le droit. Elle, elle a le droit, mais les autres n'ont pas le droit. On se comprend? [03:34:17] Speaker B: J'ai un meilleur coup de pas à faire. [03:34:20] Speaker A: Vas-y donc. [03:34:20] Speaker B: La semaine passée, j'ai regardé le premier épisode d'une série québécoise. Et j'ai aimé ça. [03:34:26] Speaker A: Oui, c'est correct. [03:34:27] Speaker B: Moi, c'est très rare. Moi, c'est très, très rare. Les armes. [03:34:31] Speaker C: OK, oui. [03:34:32] Speaker A: Moi, je l'ai enregistré, mais je l'ai pas écouté encore. [03:34:33] Speaker B: Moi, j'ai écouté le premier épisode, je pensais pas écouter le deuxième. J'étais malade, j'étais là, il jouait. J'ai vraiment aimé ça, je vais plus écouter les autres parce que je sais que je vais vouloir tout écouter en rafale. [03:34:43] Speaker A: As-tu regardé Dumas? Moi je les tape et à un moment donné je vais m'en claquer deux-trois en ligne. [03:34:46] Speaker B: J'ai pas regardé Dumas. [03:34:47] Speaker A: Moi je les enregistre les deux, j'ai plus confiance en Dumas qu'en les armes. [03:34:51] Speaker C: C'est une fois par semaine ça? [03:34:52] Speaker A: Oui, c'est à chaque jour. C'est un combat. C'est Fabienne contre Fabienne. [03:34:55] Speaker C: Oui, c'est vrai. [03:34:56] Speaker A: C'est le Fabienne de Fabienne Show. [03:34:59] Speaker B: C'est sûr que Fabienne va gagner. [03:35:01] Speaker A: Fabienne a l'épicerie d'après moi le prix des bleuaires sans balance. [03:35:04] Speaker B: C'est que dans un, elle a pris... Elle avait deux vedettes dans District 31, c'est son plus gros show. [03:35:10] Speaker C: Elle les a splitées. [03:35:11] Speaker B: Avec Hildar Vincent-Guillaume-Otis, elle les a splitées. [03:35:13] Speaker A: Ouais, je sais! Oh God! Non, ça a l'air bon pour vrai. Je vais la regarder à un moment donné. [03:35:20] Speaker C: Pis dans deux cas, Québécois gagne. [03:35:23] Speaker A: Ben ça, je sais pas. Il y en a un qui est à... Radio-Cannes. [03:35:25] Speaker C: Qui est à Radio-Cannes, ouais. C'est qui qui l'a produit? C'est Fabienne, pis Fabienne, Québécois de l'argent dedans. [03:35:30] Speaker A: — Je sais pas. [03:35:32] Speaker C: — Ah oui, c'est vraiment dingue, sérieusement. Fait que même si tu passes à Radgan, des fois, les Québécois ont les doigts d'appareil. [03:35:37] Speaker A: — Jonathan, puis il faut donner la parole aux militaires, là. Jonathan, il a été militaire, puis il confirme que c'est très bon. [03:35:42] Speaker C: — Ah oui? [03:35:43] Speaker A: OK. [03:35:43] Speaker C: Ça m'aime mieux. [03:35:44] Speaker A: — Si vous dites, les militaires, que c'est bon, on va vous écouter. [03:35:47] Speaker C: — La pub sur le français, Edi Van Roberge. [03:35:53] Speaker A: Mais en même temps, on fera pas. [03:35:55] Speaker G: Des lois pour tout sur tout. À un moment donné, les Québécois sont ceux qui choisissent la langue qu'ils utilisent. [03:36:01] Speaker A: Puis on veut faire prendre conscience aux. [03:36:02] Speaker G: Gens qu'écoutez, on se lève le matin, on s'intonise. Une émission de radio, la vôtre, peut-être. [03:36:08] Speaker A: En français, c'est un choix. Ça se choisit aussi lorsqu'on... On choisit d'écouter de la musique, des artistes. Ça se choisit aussi lorsqu'on choisit une série télé. On le voit, il y a beaucoup de campagnes publicitaires. C'est la rentrée automnale. Beaucoup, beaucoup de télévisions francophones de grande qualité, québécoises de grande qualité. Ça se choisit aussi en syntonisant Mace Bourria le matin plutôt qu'une autre émission. [03:36:34] Speaker B: Qui serait dans une autre langue. [03:36:36] Speaker G: J'imagine que vous êtes d'accord avec moi, M. Mace Bourria. [03:36:38] Speaker A: Ah, si les gens nous écoutent, je vais être d'accord avec tout ce que vous allez dire, M. Roberge, non. [03:36:43] Speaker C: Donc c'était à deux émissions de radio différentes, puis il y avait la même ligne. C'est un choix, écouter en français à. [03:36:47] Speaker A: La radio, c'est... Et est-ce que ça s'est fini par... auriez-vous un peu de gargarisme parce que j'ai la langue foutue membrune? Non. Il y a une langue brune là. Moi j'aime pas ça les brown nose, les langues brunes j'aime pas ça, les politicos là. Oui vous avez tellement un bon programme M. Moret, vous avez tellement... Dominique, on se connait, on va se tutoyer. Non merci. C'est un brown nose ça. Beaucoup de gens... Andy, Val-Roberge. [03:37:12] Speaker B: Beaucoup de gens réagissent au fait que, parce qu'on a parlé de séries télé, du mob et les armes là. Beaucoup d'anciens militaires, la moitié qui écrivent c'est une parodie de l'armée, puis l'autre moitié qui nous disent c'est exactement ce qui se passe dans l'armée. [03:37:24] Speaker A: Parce que ceux qui l'ont écrite, ils ont été consultés, ils ont utilisé des ressources militaires pour l'écrire. Par exemple, des anciens combattants. [03:37:33] Speaker B: Mais c'est quand même romancé parce que c'est de la TV. [03:37:35] Speaker C: Oui. [03:37:36] Speaker B: Je veux juste vous dire quelque chose, toutes les shows de TV, peu importe le domaine, c'est jamais du réel. [03:37:41] Speaker A: Du coup, Chicago Fire, c'est sûr qu'un pompier regarde ça. « Mais c'était pas moi là! » « C'est pas vrai qu'on regarde la TV à trois jours! [03:37:48] Speaker C: » J'ai pas écouté District 31, mais de ce que je comprends, il y avait juste un journaliste qui couvrait la police. [03:37:53] Speaker A: District 31. [03:37:54] Speaker C: C'est pas la réalité. [03:37:54] Speaker A: Il y avait vraiment par contre juste une cafetière. Ah oui, dénoncée. [03:38:01] Speaker C: C'est la seule chose que j'ai vue. J'ai vu une publicité pour les armes. Il y a l'air d'avoir du budget un peu plus. [03:38:06] Speaker A: Oui, oui. [03:38:07] Speaker B: Mais c'est normal que ce soit pas réaliste, c'est de la TV. On le sait que c'est pas réaliste. [03:38:11] Speaker A: C'est ça, exact. Les shows de police non plus, c'est. [03:38:13] Speaker B: Pas... Non, c'est pas réaliste. [03:38:15] Speaker C: Ça arrive plus. [03:38:16] Speaker A: Puis ça arrive-tu des fois, les émissions comme sur les motards, des fois, il y en a un qui se fait livrer devant un bunker en steak haché, comme c'est arrivé à Frampton. [03:38:28] Speaker B: Ou en saucisse. [03:38:29] Speaker A: Ouais, en steak haché, non, ça arrive plus ça. Ça arrive pas, OK. [03:38:32] Speaker C: Hier, le Bloc a gagné dans la... La Salle, Verdun, Patente, whatever. C'est une bonne chose, parce que le Bloc représente le Québec. Le Bloc représente les Québécois. [03:38:46] Speaker A: À chaque fois qu'il faudra voter, le Bloc québécois va dire, est-ce que c'est bon pour le Québec? Si c'est bon pour le Québec, on va voter pour. Si c'est mauvais pour le Québec, on va voter contre. Les gens n'ont rien à craindre de voter pour le Bloc parce que nos votes sont conditionnés par les intérêts du Québec. Sachant très bien qu'à terme, l'intérêt ultime du Québec, ce sera de s'approprier tous les attributs de la souveraineté. [03:39:09] Speaker C: Ah, OK, ouais. Bref. [03:39:10] Speaker A: Bref. [03:39:11] Speaker C: OK. Mais là, c'est parce que la majorité des Québécois sont pas suriste. [03:39:15] Speaker A: Fédéraliste à l'os pour se ramasser une belle pension. [03:39:18] Speaker C: Oui! [03:39:18] Speaker A: Mais quand ça va venir le temps de poignarder le Canada, on va être là avec un p'tit pièce pipi. [03:39:24] Speaker B: Ce serait le fun qu'ils le poignardent à matin. [03:39:27] Speaker C: La taxe carbone, aimez-vous ça au Québec, payer plus cher à votre essence? [03:39:30] Speaker B: Ça là. [03:39:30] Speaker A: C'est le principe même de la reconnaissance des changements climatiques et des dangers des changements climatiques qui est en cause. C'est comme si en jouant dans le mauvais théâtre des conservateurs qui disent oui oui on reconnaît que ça existe mais surtout ne faisons rien, bien le NPD s'éloigne de ce qui devrait être sa propre définition du gros bon sens. Ça va des inondations, aux ouragans, aux sécheresses qui provoquent des feux de forêt. Mais la logique conservatrice que le NPD ne doit pas acheter, puis qui est pas si loin de celle des libéraux aussi, c'est subventionnons les pétrolières et on paiera peut-être après pour les dommages causés par les effets des changements climatiques. Les Québécois ne veulent pas ça. [03:40:16] Speaker C: Non, les Québécois ne veulent pas ça, là. Les Québécois, ils veulent payer des taxes. [03:40:20] Speaker A: Les Québécois veulent du transport en commun. Les Québécois veulent payer plus cher pour le courant, mais se faire contrôler pour l'utilisation du courant. Les Québécois, les Québécois... Ah non, je suis plus capable. Je suis plus capable. [03:40:33] Speaker B: Foisy, là. C'est quoi son nom, Foisy? Non, non, il est pas à TV, là. Lui, là, toutes les fois qu'il parle, puis qu'il parle de ça, le panier-service, pis on a décidé d'avoir tout ça, c'est nous autres qui a décidé de payer nos impôts. C'est un choix de société. [03:40:46] Speaker A: C'est le porte-panier de PKP, là. [03:40:48] Speaker B: Honnêtement, j'ai... [03:40:49] Speaker A: C'est le porte-panier. [03:40:50] Speaker B: Il me donne de l'horticard. [03:40:51] Speaker A: Oui, mais c'est le porte... Non, mais là, t'en as déjà eu. Il y a quelques heures à peine, je te ferais remarquer. [03:40:55] Speaker B: Mauvais gag. [03:40:56] Speaker C: Mais regarde, si c'est pas assez clair que le bloc... [03:40:59] Speaker A: On va faire un ZonaFest si ça continue. Avec les familles. On va éviter les familles à te toucher. Guérissez, Dan. Donnez-y de l'amour. [03:41:08] Speaker C: Ou pognez-en Zona. Les deux blocs. [03:41:10] Speaker A: Ou guérissez-le. [03:41:14] Speaker C: Si c'est pas assez clair que le bloc appuie la taxe carbone... [03:41:18] Speaker A: Si c'est A, taxe carbone, méchant, tarification carbone, méchant, bien je vais dire, écoutez, on n'est pas d'accord avec vous, donc on votera pas avec vous. [03:41:25] Speaker C: Ouais. Le Bloc, il veut que vous soyez taxés pour sauver la planète. Ça revient à ça. Puis, Mme Buzetti est bien d'accord. [03:41:35] Speaker E: Jeremy Singh, le chef, se colle de plus en plus sur les positions populistes de Pierre Poilièvre. Les gens, donc les particuliers, et je le cite ici, ils font leur part pour lutter contre les changements climatiques. Alors moi, je ne sais pas, quand je regarde les données sur la croissance du parc automobile canadien, où le trafic aérien, Francis Vaille dans la presse nous expliquait cet été que les émissions du Québec imputables à l'avion ont triplé depuis le 190. C'est pas dans la bonne direction que l'on va. J'ai décidé, il y a eu du doute sur les efforts. [03:42:04] Speaker C: Non, vous faites pas assez d'efforts. Faut vous punir les Québécois. Vous prenez trop votre voiture, vous faites trop de voyages. Faut vous punir, faut vous taxer jusqu'au jour où vous n'aurez plus les moyens d'avoir de voiture, vous n'aurez plus les moyens de faire de voyage. C'est ça le but. On a une planète à sauver. [03:42:21] Speaker A: Quel délire. Vous savez ce que j'en pense de tout ça. Moi aussi j'ai hâte à l'élection Danny Boy. [03:42:27] Speaker B: J'ai hâte au débat. J'ai hâte de voir les faces à face. J'ai hâte de voir... [03:42:32] Speaker A: Débat en anglais, Poilier va gagner. Mur à mur. Ça va être une démolition. En français, il va se débrouiller. Je pense que Trudeau va essayer de parler. Est-ce que ça va être un face-à-face bloc? Bloc conservateur. [03:42:59] Speaker B: Quand ça va faire 15 minutes que le débat va être commencé et que ce sera déjà la 46e fois que Pierre Poillard va utiliser l'expression bloc libéral. [03:43:06] Speaker A: Bloc libéral. [03:43:07] Speaker B: L'autre va sortir de ses gants. [03:43:08] Speaker A: Il va être rouge libéral d'ailleurs. [03:43:13] Speaker C: C'est ça. Poilier, je pense qu'il aime ça le piquer. [03:43:16] Speaker A: Ben oui! Il est François Blanchet. C'est sa personnalité. Il l'haït. Je le sais, je le sais. Blanc libéral. Blanc libéral à fond. On a du hâte. 9h43, vous êtes dans Radio X dans Montréal Live. Radio X. [03:43:31] Speaker F: Vos rôtisseries St-Hubert de la région de Québec vous offrent présentement ses côtes levées à toutes les sauces. Classique, whisky et les deux nouvelles saveurs aux pommes à jus et asiatique piquante. [03:43:40] Speaker A: Beauport Mazda. Profitez de l'événement Découvrez Mazda. 1,9% financement à l'achat sur 36 mois pour tous les modèles 2024, plus jusqu'à 1000$ en bonnie Mazda sur certains modèles. Beauport Mazda rue Clémenceau, 667-3131. Membre du groupe d'Aigle. [03:43:56] Speaker E: Vous vous demandez à quoi ressemble le quotidien dans une résidence pour aînés? 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Jeudi. Non, vendredi, samedi et dimanche. [03:48:20] Speaker A: Pis vendredi, on commence ça avec les Saguenay. J'ai hâte! J'ai hâte. On va avoir une belle équipe à Québec. On va mélanger les cartes. C'est sûr qu'on fait série. C'était une anecdote malheureuse l'année passée, mais là, cette année, les remparts... On ne gagne pas le championnat, mais on va mêler beaucoup, beaucoup de monde. Rapide, robuste. et beaucoup, beaucoup de talent. J'ai hâte. Canadiens, on va regarder le prix des billets. Hé, c'est cher, hein? Philadelphie, lundi, un match qui va absolument rien, rien, rien, rien dire. [03:48:52] Speaker B: Le premier match, là. [03:48:53] Speaker A: 200$ dans le milieu. [03:48:55] Speaker B: Ça n'a pas de sens. [03:48:56] Speaker A: De l'aréna, au Centre Bell. Ça n'a pas d'allure. [03:49:00] Speaker B: Allez voir les Chiefs de Kansas City, les parteurs concours. Ils ont gagné deux Super Bowls en ligne, ça coûte 8$. [03:49:05] Speaker A: Oui. C'est sûr que c'est pas Irrégulier non plus qui joue. Tu le dirais aussi. [03:49:08] Speaker B: Mais c'est pas Irrégulier qui joue au hockey non plus. [03:49:10] Speaker A: C'est ça, exactement. Surtout le premier. Surtout le premier match. Surtout Dan qui joue le lendemain contre les Devils. Ça va être un split-squad. Puis peut-être que Suzuki va jouer dans le deuxième. Si Suzie joue pas dans le premier, il va jouer dans le deuxième. [03:49:24] Speaker B: Mais dans les deux matchs, il va y avoir des joueurs des Lyon-Trois-Rivières. [03:49:27] Speaker A: Ben oui. Ça va s'appeler les Lyon de Montréal. Et Jeudi, ils jouent à Toronto aussi. Ça va être 1, 2, 3, 4 matchs en moins d'une... en 5 jours. C'est sûr qu'il va y avoir du talent que tu ne reverras plus. Il y a des noms de joueurs couchés dehors quand tu vas voir sur les chandelles. [03:49:45] Speaker B: Les numéros 47, genre. Oubliez ça. [03:49:48] Speaker A: S'ils vont devenir crisseurs à Delville-Huyville. C'est pas très loin des Lyons, un petit job sur le side. [03:49:55] Speaker B: C'est ça. Mathieu Bergeron hier a gagné la bagarre des oiseaux de proie. [03:50:00] Speaker A: Oui, les oiseaux. [03:50:02] Speaker B: Monday Night Football. Il y a des blessés au football, je sais pas si tu t'es vu ça. Pour vrai, je me demande si les Lyons de Trois-Rivières se mettront pas à jouer à l'NFL rendu en décembre. [03:50:13] Speaker A: Belle receveur étoile des Rams. Les deux? [03:50:16] Speaker B: Les deux receveurs de passes. Les Rams, je regardais ça. [03:50:19] Speaker A: Il en sait qui, le corps? Matthew Stafford? [03:50:23] Speaker B: Sur les 11 partants en offensive des Rams, il en reste deux. Il y en a deux qui ne sont pas sur la liste de blessés, un joueur de ligne. Puis le corps arrière, Matthew Stafford, ça va pas bien. [03:50:31] Speaker A: Cooper Cobb, ça a l'air être pour une bonne période aussi. [03:50:34] Speaker B: Non, non, c'est des longues, des grosses blessures. C'est le questi de talons de la chile. [03:50:40] Speaker A: Oui. [03:50:41] Speaker B: Tout le monde se déchire ça. [03:50:43] Speaker A: Aaron l'année passée, il y en a plein. [03:50:45] Speaker B: Oui, Kirk Cousins, tout ça. Bon sport, amusez-vous bien. [03:50:48] Speaker A: Très bon. 9h50, dernière pause à Radio X. La promo Prix employé se poursuit chez Lévis Ford. F-150 STX 2024. Location 48 mois, léger comptant à 152 $ par semaine. C'est plus de 7500 $ de rebais. Pour les meilleurs prix de l'année, passez chez Lévis Ford. L'effort de Lévis! Attention! Le prochain gros lot du lotomax est tellement gros que vous pourriez tomber dans les pommes! 80 millions plus 18 max millions. [03:51:25] Speaker G: C'est encore un record! [03:51:27] Speaker A: Mettez un casque. Problèmes à l'épaule, au coude, à la main, à la hanche ou au genou? Lacroix Chirurgie privée offre des services en chirurgie orthopédique pour traiter tous ces problèmes. 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[03:54:33] Speaker J: Le vélo en hiver à la prudence. [03:54:36] Speaker A: Moray. Live. [03:54:39] Speaker E: Re-écoute les meilleurs moments. [03:54:42] Speaker A: Radioix.com. [03:54:43] Speaker E: L'application Radioix. [03:54:47] Speaker B: Radio. [03:54:49] Speaker E: Morelive, présentée par VendTonChar.com. Ta situation a changé et tu veux vendre ton véhicule? Va sur VendTonChar.com et rapidement reçois une offre en ligne. On paie le meilleur prix du marché. [03:54:59] Speaker A: VendTonChar.com Les manchettes sportives, présentées par BPM Sports et sa nouvelle plateforme de podcast, la Commission athlétique. [03:55:11] Speaker F: Hey, c'est Jordan. Je vous parlais de surprises au carré ce week-end dans l'NFL. Eh bien, on en a eu une autre hier soir. Fly Eagle Fly a pris le bord anti-péché à Philly alors qu'Atlanta est venue casser le party. Et le choker par excellence s'est levé. Je parle ici de Kirk Cousins. L'ancien Viking a rejoint Drake London pour un toucher aérien avec 34 secondes à faire au 4e quart. Ce qui a fait la différence. Victoire des Faucons 22-21. Prochain rendez-vous NFL jeudi dans le MetLife, un duel Pat's Jets. Et dans la Major League Baseball, les Blue Jays sont maintenant au Texas. Trois matchs face aux Rangers et ça débutera dès 20h05 ce soir. Ben hâte de voir comment va jouer la troupe de John Schneider. Eux qui viennent de balayer les Cardinals au Rogers Center. Pour une fois qu'ils sont bons, on va le prendre. [03:56:01] Speaker A: Pour plus de sport, ici BPM Sport. BPM Sport. [03:56:06] Speaker E: 100.9 Du 3 au 6 octobre, c'est le retour de la Coupe du monde de vélo de montagne au Mont-Sainte-Anne, où les meilleurs athlètes de la planète affronteront les parcours mythiques de cross-country et de descente. Nouveau cette année, vous pouvez vivre l'événement en mode VIP. Passez trois jours sur une terrasse couverte échauffée, bar et repas à volonté, stationnement sur le site, le grand luxe! Si vous préférez la frénésie de la foule, réservez votre place au fil d'arrivée dans la zone fan Chalet-Village pour la finale de la descente. Les places sont limitées. Achetez vos billets maintenant à coupemtbmsa.com. T'as fini de payer ta proposition pis t'es convaincu que t'es enfin tiré d'affaires? Tu t'imagines déjà en train de magasiner ton nouveau char. En tout cas, je te dis ça de même, mais si tu veux vraiment faire le ménage de ton dossier de crédit une bonne fois pour toutes, bien adresse-toi à des pros. Même chose pour ta nouvelle auto. Parce que nous, notre force, c'est le crédit. GroupeSaintAutoCrédit.com. Pis si tu savais tout ce qu'on sait, c'est sûr que tu viendrais nous voir en premier. GroupeSaintAutoCrédit.com. [03:57:06] Speaker B: Une personne sans fil, ça serait sictue, ça. Bah, au pire. Y'a gêne trop au centre de tri. Ben oui, au pire. Au pire. [03:57:13] Speaker A: Ta perceuse, elle va se briser dans le camion. Pis au pire, le lithium de la batterie va créer une réaction chimique au contact de l'air pis la faire exploser. Ça fait qu'au pire, ça pourrait mettre le feu au centre de tri, endommager les machines pis blesser les employés. Mais tu sais, au pire... Au pire. [03:57:27] Speaker B: Je peux regarder si ça va dans le bac, hein? [03:57:29] Speaker E: Ce que vous mettez dans le bac a un impact. Contenant, emballage, imprimé, c'est tout. Un message de Bac Impact, la nouvelle référence en collecte sélective. [03:57:36] Speaker A: La poutine, c'est l'incontournable de la rentrée pour toutes les familles. Et devinez quoi? La meilleure est près de chez vous, à la Fromagerie Victoria, avec du fromage en grains frais tous les jours. Fait de lait à 100%, c'est une source de bonheur, de calcium et de réconfort. Même Mathieu Bergeron, joueur professionnel de football, le dit, la meilleure poutine est chez lui! Chez Fromagerie-Victoria. En salle à manger, au service, au volant ou en livraison, toutes les raisons sont bonnes pour vous gâter. La Fromagerie-Victoria. Plusieurs succursales au Québec. Maintenant, à Place de la Cité. [03:58:06] Speaker H: Si c'est la rentrée et que tu sois jeune ou vieux, ben certains vont être jaloux. Jaloux parce que le prof t'aime, parce que ton boss t'aime, parce que ça va bien avec ta blonde. Simplement parce que quand les gens vont bien, ont du succès, y'en a tout le temps pour être jaloux. Être jaloux de ta nouvelle voiture aussi. Ah ben oui, être jaloux maladif parce que toi t'as pas glandé, t'as mis la main sur un Yonix 5 Preferred à 100$ par semaine chez Sainte-Foyne-des. Ben oui, tu vas faire des jaloux là aussi. Pis, occupe-toi de ceux qui t'aiment, comme nous autres. Sainte-Foyne-des t'aime! [03:58:34] Speaker F: Les billets unitaires pour les matchs des Lyon-Trois-Rivières sont maintenant disponibles. Ne ratez rien de l'action. Le match d'ouverture du 18 octobre, nos matchs thématiques et nos rivalités. La saison 2024-2025 s'annonce chargée en émotions. Le retour dans la région de Morgan, Adams, Moisan, les frères Cormier qui jouent ensemble pour la première fois chez les pros. Soyez aux premières loges et vivez tous ces moments au Colisée Vidéotron. Les Lyons ont la rage de vaincre et ils sont prêts à rugir. C'est un rendez-vous! Billets à partir de 19$ au lion3r.com. [03:59:05] Speaker E: Pour tous vos projets de clôture, alliez-vous à l'entreprise la mieux notée à Québec et Lévis. Clôture Terrien. Notre équipe se démarque par son service incomparable et la grande qualité de ses produits. Clôture Terrien, l'art de bien s'entourer. 88 473 27 83 ou au clôtureterrien.com. [03:59:21] Speaker H: Savez-vous où on prend une chance? Au casino, quand on achète un billet de loterie, quand on se booke un rendez-vous sur Tinder. Là, on prend une chance. Savez-vous où on prend pas de chance? C'est quand on est décidé et qu'on veut changer de voiture. Là, on veut faire affaire avec un classique. Laurier Mazda est maintenant le classique dans le monde automobile de Québec. Non seulement on vous offre le CX5 à seulement 104$ par semaine en location, mais Laurier Mazda vous promet que ce que vous voyez, c'est ce que vous aurez. Laurier Mazda, à Sainte-Foy, Saint-Carthin! [03:59:51] Speaker F: Les Kings débarquent à Québec pour l'étape ultime de leur camp d'entraînement.

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