Plus les médias sont biaisés, PLUS LE PUBLIC PERD CONFIANCE!

September 17, 2024 00:17:28
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Sep 17 2024 | 00:17:28

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[00:00:02] Speaker A: Salut Frank! [00:00:03] Speaker B: Bon matin messieurs. [00:00:05] Speaker A: La fille se fait violer à l'avengib trop courte. [00:00:23] Speaker B: Trump s'est fait tirer dessus, ou s'est fait attaquer, ou le deuxième tireur n'a pas tiré dessus. Mais c'est une tentative quand même de meurtre. C'est de sa faute, il a couru après. C'est un peu ça. [00:00:35] Speaker A: C'est un peu à ça que ça ressemble. Écoute, tu vois ce matin, tout en nuances, dans le magazine L'Actualité, il y avait un article de Raphaël Jacob qui s'appelle « Le fou qui inspire la folie ». [00:00:47] Speaker B: Voyons donc. D'habitude, il est un petit peu plus mesuré que David. Charles-Philippe David, c'est un flyer. [00:00:55] Speaker A: Oh ouais, mais écoute, aujourd'hui, là, il dit la seconde tentative de meurtre contre Donald Trump ne doit pas être vue comme l'expression de la polarisation extrême des États-Unis, mais plutôt comme un signe du climat de folie dans lequel baigne actuellement la politique américaine. Donc, il y a un fou... Ça. [00:01:10] Speaker B: Il n'y a pas tant sur le climat de la folie, là, mais de leur dire que c'est un fou, ouais. [00:01:14] Speaker A: Ouais, mais tu sais, c'est des critères un peu psychologiques de même. Je ne suis pas sûr que ça explique vraiment les grosses tendances, puis... [00:01:21] Speaker B: Si on veut ouvrir le jeu, on peut regarder Ricaneuse aussi, là. Qui rit aux trois mots puis qui dit à peu près n'importe quoi. Qui répète toujours la même cassette. [00:01:31] Speaker A: C'est ça. Moi, ce qui m'intéresse, c'est les tendances de long terme, les statistiques qu'on peut avoir, les données qu'on peut avoir. Moi aussi, je peux écrire un texte et dire « Ah, ben là, eux autres sont fous. » Après ça, qu'est-ce qu'on apprend? Ça dit quoi, ça? « Il est fou. » OK, parfait, on finit la discussion, on arrête là. Je sais pas si vous avez vu, hier, en fait, ça a sorti sur les réseaux sociaux, Hilary Clinton qui est à MSNBC avec Rachel Maydow et qui a dit dedans clairement, ben j'ai même l'extrait si tu veux, je peux te le faire entendre. [00:02:05] Speaker B: Ouais. [00:02:05] Speaker A: Ouais, dis-y, ben regarde, je la laisse parler, on y va, ça va comme suit. Et je ne comprends pas pourquoi c'est si difficile pour la presse d'avoir une histoire consistante sur le danger que pose Trump. Le célèbre journaliste Harry Evans a un jour dit que les journalistes devraient vraiment essayer d'obtenir l'objectivité. Et par ça, il a dit, je veux dire, qu'ils devraient couvrir l'objet. Et l'objet dans ce cas est Donald Trump. Ce que vous avez compris, je le traduis dans mes mots. Elle dit à Rachel Maydow sur MSNBC, « Je ne comprends pas comment ça se fait que les médias ne sont pas capables d'articuler un narratif autour de Donald Trump qui va le traiter pour ce qui... » Elle, elle trouve que les médias ne sont pas encore assez anti-Trump. C'est quand même spectaculaire. [00:02:59] Speaker B: Ça prend un narratif constant, ça prend du monde qui disent tout le temps la même affaire, le même message. Je suis désolé, c'est les démocrates que je trouve dangereux par rapport justement à leur discours du contrôle de l'information. [00:03:12] Speaker A: Il y a ça qui est extrêmement dangereux, mais je trouve que ça tombe pile poil avec ce que je voulais parler ce matin. En fait, c'est un all sides. C'est une société américaine qui évalue le biais des médias. Dans le fond, ça a été fondé au milieu des années 2000-2012, je crois. Et eux, ce qu'ils font, c'est qu'ils font des enquêtes sur plein de médias, puis ils regardent, bon, lui est un peu plus à gauche, lui est un peu plus à droite, tout ça. Et avec l'université de Syracuse, ils ont sorti une étude qui évalue comment les journalistes se décrivent politiquement de 1971 à aujourd'hui. En 1971-72, 25,7% des journalistes se disaient républicains, 35% démocrates et 32% indépendants et d'autres qui voulaient pas répondre. Grosso modo, c'est ça. Combien... Si vous pensez au chiffre d'aujourd'hui, à quoi ça peut ressembler selon vous? [00:04:17] Speaker B: Ben moi j'ai le chiffre, fait que je veux pas tricher. [00:04:19] Speaker A: Tu veux pas tricher, ben regarde. [00:04:20] Speaker B: J'ai le chiffre dans le line-up. [00:04:22] Speaker A: On laissera pas languir les auditeurs. Aujourd'hui, 52% se disent indépendants, 36% démocrates, 3% républicains. Il y a un écart de 33% entre les démocrates et les républicains. Et indépendants, vous aurez compris, c'est le genre de courbeau. J'étais démocrate quand j'étais sur CNN, maintenant je suis rendu indépendant. OK, là, mais je ne sais pas si on peut vraiment accorder une crédibilité à ceux qui se disent indépendants. Mais ils ont le droit, c'est leur droit. Mais 3 % républicains. Et là, on dit qu'on... [00:05:02] Speaker B: C'est 3 % de trop, selon Hillary. [00:05:04] Speaker A: C'est ça, mais c'est ce que vous comprenez, le lien entre les deux, c'est que elle arrive, elle dit là, là, c'est pas assez, il va falloir qu'on articule un narratif qui est anti-républicain, anti-Trump, il faut que ce soit plus systématique, plus global. Alors que tu dis, ok, mais dans les médias, il y a à peine 3% des gens qui ont un discours favorable ou plus favorable aux républicains qu'aux démocrates. Et là, ce qu'on dit dans cette étude-là, c'est que tu peux faire des courbes à peu près juste à poser entre l'évolution de ces répartitions-là et la confiance que les Américains ont envers les médias. Seulement 7% des Américains aujourd'hui déclarent avoir une grande confiance dans les médias d'informations. Ce chiffre-là était à peu près aux alentours de 40 en 1972. C'est une catastrophe. Je sais pas si les gens réalisent ce que ça veut dire, mais c'est catastrophique. [00:06:00] Speaker B: C'est la fin. Regarde combien ça coûte d'abonner à un journal aux États-Unis. J'arrête pas d'avoir des offres. Washington Post, U.S. Today, la semaine passée. Combien, U.S. Today, pour un an d'abonnement? U.S. Today, combien? Pour un an. C'est des... Ah! [00:06:18] Speaker A: Je sais que c'est des Pinottes, là. Ça doit pas être grand-chose, là. C'est... C'est genre 22 piastres pour un an. [00:06:21] Speaker B: C'est moins que ça, je pense. Une piastre. C'est ça, hein? [00:06:23] Speaker A: Une piastre pour un an? OK, ouais. C'est un bon modèle d'affaire. [00:06:25] Speaker B: Une piastre. Les cotes d'écoute de CNN. Le score est lourd. Le score est dans le montant que tu dois payer pour un abonnement. Ils ont plus une scène. C'est un modèle qui est fini. Et la cote d'écoute de CNN, c'est une cote d'écoute qui était comparable à Télé 4 dans le temps de Pierre Jobin. Pour les shows de pointe. Les shows de pointe là, c'est dégueulasse là. Y'a plus personne qui écoute là. Donc à quelque part, l'influence elle est déjà partie. C'est le déclin de la télé aussi, le déclin de la télé normale. Regardez les pubs, tout est là. Pub de Fox News, moi je regarde Fox. Je regarde toutes là. Mais à Fox, ça me reste dans la tête, les pubs de marchette. une pub de marchette. Là, il annonce ces temps-ci un téléphone avec un écran. Mettons que ton petit-fils t'appelle. « Grand-papa, je joue au baseball hier. » C'est écrit sur l'écran parce que t'es pas capable d'entendre. C'est ça qu'on annonce. Quand vous avez un média qui, je vais insulter personne, annonce des maisons funéraires, des dentiers, des marchettes, Bad news! [00:07:35] Speaker A: Non, non, une pub de Polydent, là, c'est... Bad news! [00:07:39] Speaker B: Ça vous indique... la qualité, en termes qualitatifs, là, je vous dis pas en termes de sont bons, sont pas bons, là. En termes qualitatifs, l'auditoire. CNN, c'est terminé, là. Et les journaux, c'est terminé. Donc, c'est sûr qu'il y a une crise d'influence majeure sur les médias traditionnalistes. [00:07:58] Speaker A: Oui, et c'est ce qui explique, à mon avis, le fait qu'il... qu'il appuie sur l'accélérateur, qu'il y a un turbo-down, dit-on. comme vous voulez, mais c'est parce qu'ils savent qu'ils sont comme en perte de contrôle. Et quelqu'un qui est control freak et qui est en perte de contrôle... [00:08:11] Speaker B: Il fait des folies. [00:08:13] Speaker A: Il fait des folies. Et là, dans cette étude-là, je termine avec ça, puis on va passer à un autre point juste après. Mais ce qu'ils nous disent aussi, c'est que tout ce qui est les agrégateurs de nouvelles... C'est quoi un agrégateur de nouvelles? Apple News. Apple News est un bon exemple. Yahoo News, Google News. Ce qu'ils disent là-dedans, c'est que même ces agrégateurs-là, quand ils les analysent, Sauf un qui s'appelle Real Clear que je connais pas beaucoup. [00:08:37] Speaker B: Très bon, j'aime ça. [00:08:38] Speaker A: Ils sont tous à gauche. Smart News, Apple News, Yahoo News, Bing News, Google News, News Break, ils ont tous un penchant à gauche. Comment? Ils mesurent comment les articles sont sélectionnés et mis de l'avant. Donc, même dans ça, tu vois le biais fondamentalement démocrate. Et là, la question qu'ils posent dans l'étude, auxquelles il n'y a pas de réponse, mais moi j'aimerais vous amener un élément de réponse, ils disent un peu, oui, mais comment ça se fait que ces médias-là n'engagent pas juste du personnel Dans le fond, pourquoi ils n'engagent pas plus de chroniqueurs qui vont être plus républicains? Pourquoi ils n'engagent pas de journalistes plus à droite pour faire une balance? Pourquoi ils n'essaient pas d'équilibrer ça? Ce serait bon. Plus tu ratisses large, plus tu vas avoir de cotes d'écoute, plus tu vas avoir de gens qui vont venir vers ton média. Mais le problème, c'est qu'il n'y en a pas. Le problème, c'est qu'il n'y en a pas. J'ai devant moi un graphique qui a été mis sur Twitter par un professeur d'université qui s'appelle Chris Freeman. Donc, c'est un économiste de la... C'est John Chamber College of Business. Lui, il met un graphique là-dessus, et ce graphique-là, il donne, pour chaque républicain, combien il y a de démocrates dans les facultés universitaires. Et ça, c'est sur un sondage qui a été fait sur une échantillon de 5 000 personnes il y a quelques années, OK? Par le Brooklyn College. En économie, tu dirais, l'économie, normalement, c'est supposé d'être un truc quand même un peu plus libéral, un peu plus libéral au sens économique, un petit peu plus à droite. Pour un républicain, il y a 5,5 démocrates. C'est dans les moins pires. Si tu vas, mettons, en psychologie, il y a 16,8 démocrates pour un républicain. Si tu vas, mettons, en environnement, sans surprise, il y a 25,3 démocrates pour un républicain. Si tu vas en sociologie, il y a 43,8 démocrates pour un républicain. Et là, la cerise sur le Sunday, et ça va répondre probablement à toutes vos questions. [00:10:47] Speaker B: En journalisme. [00:10:48] Speaker A: En communication slash journalisme. Pour 108 démocrates, il y avait zéro républicain. Zéro. Ben là, faut qu'on sait pas votre tête, là. Les journaux, après ça, ils peuvent pas être balancés. Ils peuvent pas être neutres. Ils peuvent pas être équilibrés. Mais pourquoi ça intéresse pas les républicains de faire ce job-là? Je le sais pas si c'est parce que ça intéresse pas les républicains ou si c'est parce que si t'es républicain, tu t'en vas en com à l'université, t'es aussi bien de raser les murs parce que tu vas être exclu, y'a personne qui te parle pis personne veut se mettre avec toi pour faire les travaux d'équipe, personne veut... T'sais, « Been there, done that », là. Moi, je l'ai vu, à quoi ça ressemble, l'université, pis c'est... Moi aussi, je l'ai vu, c'est... T'sais, vous l'avez tous vu, là, dans l'intérieur. Je veux dire, moi, j'ai vu un gars, dans le temps des Corts et Rouges, se faire intimider parce qu'il avait une pine du Parti libéral du Québec sur son... sur son sac à dos, là. C'était ça, l'université au Québec, là. Je sais pas si vous réalisez, là, on parle pas d'un parti d'extrême-droite, là. C'était... c'était le PLQ, là. Donc imaginez si vous arrivez, imaginez le gars qui arrive dans son campus en communication à Harvard avec la casquette Make America Great Again sur la tête. [00:12:08] Speaker B: Avec un drapeau d'Israël sur le pack-sack. Quelqu'un l'a rajouté. [00:12:12] Speaker A: Moi je pense qu'il finit pas la journée. [00:12:13] Speaker B: Ben non il finit pas la journée. [00:12:15] Speaker A: Quand je suis allé à l'université j'avais pas de sticker liberté sur mon bumper de char. Je comprends. Non, mais moi, mon guesse, c'est dans ceux qui ne se déclarent pas. En fait, il y en a probablement un peu plus qu'on pense, sauf qu'ils répondent, quand tu leur poses la question, pour ne pas se faire écoeurer, ils répondent en bouche dans la politique. Ils se cachent. [00:12:37] Speaker B: Ils se cachent. [00:12:38] Speaker A: Mais est-ce que les gens trouvent que ce climat-là est sain, est normal? Je ne suis pas en train de plaider pour la parité idéologique des campus. Je mets en sac, les gens pensent ce qu'ils veulent. Mais c'est juste que quand on regarde ces données-là, après ça, on ne peut pas se surprendre qu'on regarde la couverture médiatique et qu'on se dise, OK, pas mal 100 % des articles que j'ai vus aujourd'hui, c'était Harris, c'est la meilleure invention depuis Haru, puis l'autre, c'est un malade mental. Ben, quand tu regardes les données, tu te dis, ben OK, toutes les données montrent qu'il n'y a même pas 3% de journalistes républicains. Et si tu sondes les campus dans les facultés de journalistes, communications, il n'y a pas un républicain là. Ben, ceci explique cela. C'est pas... Je veux dire, c'est... [00:13:24] Speaker B: Mais t'as une plus grande diversité aux États-Unis qu'au Québec, pareil. Je vais te donner l'exemple. C'est RealClearPolitics dont tu parlais parce que les gens se posent la question. RealClearPolitics, c'est intéressant. Ça ressemble à un site internet de 1998. Oui, exactement. Mais au moins, quand Kamala Harris est première dans le sondage, ils le disent. C'est balancé. C'est intéressant à lire. Mais regardez les leaders d'opinion. Les leaders, moi j'en écoute des blogs, des podcasts, des émissions de droite ou de centre-droite. Dan Bongino s'en est un. Glenn Beck, moi je l'écoute à tous les jours, à 10 heures. Il est à Triumph sur XM. Mark Levin est là. Les animateurs de droite, tu sais quand tu regardes le panorama médiatique beaucoup plus diversifié, les gros animateurs de radio aux États-Unis sont de droite. Ceux qui parlent le plus, ceux qui ont le plus de codes d'écoute. T'as Glenn Beck, t'as Sean Hannity, puis t'as Mark Levin, qui est entre autres à WABC, mais qui est syndicaté. Tu regardes Town Hall, moi je suis abonné à Town Hall, donc c'est un site internet, t'as plein de sites internet, plus de centre droite. Autrement dit, le client qui ne se retrouve pas dans le média traditionnel, parce que justement, il y a trop de billets, parce qu'il y a trop de journalistes démocrates, va dévier sa consommation, il va la varier en incluant X, il va aller jaser sur X, parce qu'il va se retrouver dans une communauté sur X, dans une communauté comme on en a une sur X, où je commande vos affaires, Yann commande les miennes, Johan Marcotte, etc., on a une communauté. Au Québec, c'est restreint, la communauté. Mais c'est beaucoup plus éclaté aux États-Unis. T'es moins malheureux si t'es républicain aux États-Unis, c'est ça que je veux dire. [00:15:19] Speaker A: Ah, puis imagine, malgré tout ce qu'on a dit, c'est ton constat pareil. Donc imaginez ce que ça peut vouloir dire d'être, je sais pas moi, si on prend, mettons, le cas du Québec. Tu sais, je veux dire, c'est... Ah. [00:15:37] Speaker B: Le Québec, c'est le Biafra, là. Oubliez ça, là. [00:15:38] Speaker A: Je veux dire, à passe, tout ça. [00:15:40] Speaker B: Ils veulent nous fermer, hein. Je veux dire, la radio, la seule radio qui est de centre-droite, avec des tonalités différentes, même d'animateur en animateur, là. On n'a pas de meeting, le matin, pour dire «Hey, guys, ok, let's go. On fait des entrevues avec du M. Ça n'existe pas, cette affaire-là. Chaque show fait ses affaires à sa tête.» On fait à notre tête, on fait le show qu'on fait. Si vous l'aimez, vous l'aimez. Si vous ne l'aimez pas, vous ne l'aimez pas. On carbure au sondage, puis les sondages ne sont pas bons. S'ils ne sont pas bons, on réveille. À la date, ils sont bons. On continue. C'est comme ça. Ils veulent nous fermer. Regarde les autres médias. Frank, il n'y a rien à faire au Québec. Même couleur. [00:16:14] Speaker A: Mais le lien entre tout ce qu'on a dit, Clinton, sa déclaration, puis le Québec, c'est la clip que peut-être, Dom, je sais pas si t'as fait jouer, mais sûrement que tu vas le faire sinon, l'espèce de clip de « La soirée est encore jeune » où on voit cette universitaire qui parle avec... Madame Vallée! Oui, c'est la femme de l'autre! [00:16:32] Speaker B: C'est la femme de... Louis-Philippe... Philippe-David, là. [00:16:36] Speaker A: C'est ça. Et elle, elle dit en gros, moi je suis une experte, j'aime pas ça quand du monde pas expert contredit ce que je dis. Et au final, qui nomme les gens qui sont là? En tout cas, on salue Stéphane Bureau. Là t'es comme, eux ce qui les dérange, dans tout le phénomène, dans tout l'écosystème médiatique, québécois homogènes, dégoulinant d'uniformité et de consensus alentour de certaines questions. Ce qui les dérange, c'est la ou les quelques personnes qui disent pas la même chose. Exactement comme Clinton, ce qui la dérange absolument, c'est le 3% de républicains qui restent encore. Ceux-là, il faut les faire fermer la gueule et que ça se finisse maintenant. [00:17:23] Speaker B: Incroyable. Très bon. Merci beaucoup, Frank. Très, très bon ce matin. Merci. Ciao.

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