La CAQ, c’est du marketing ting!

September 13, 2024 00:17:42
La CAQ, c’est du marketing ting!
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La CAQ, c’est du marketing ting!

Sep 13 2024 | 00:17:42

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Entrevue avec Claire Samson

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Episode Transcript

[00:00:00] Speaker A: Tu peux rester là, Donald. J'ai Claire Sanson en ligne. Je veux qu'on aille la rejoindre. Tu peux rester là si tu as une question. Au passage, évidemment, tu peux t'en mailer. La Claire Sanson, la vraie de vraie. Est-ce la vraie Claire Sanson? [00:00:13] Speaker B: C'est la seule et unique. [00:00:16] Speaker A: Comment ça va, Claire Sanson? [00:00:17] Speaker B: Ça va très bien, merci. Et vous, ça fait longtemps que je n'ai pas parlé à quelqu'un de Québec. [00:00:22] Speaker A: Oui, ça vous fait de l'effet, hein? [00:00:25] Speaker B: Il s'en passe des affaires à Québec. [00:00:26] Speaker A: Mais tu sais... Qu'est-ce qui va se passer avec M. Chassin au cours des prochaines semaines? [00:00:35] Speaker B: Je sais pas, mais je suis... Toutes mes pensées sont avec lui et je salue son courage. Parce que d'abord, Youri s'est imposé lui-même une coupure de salaire d'à peu près 25 ou 30 000 $ par année, comme adjoint parlementaire. [00:00:55] Speaker A: Juste ça, Claire. Juste ça, là, c'est intéressant. Restons-en juste à ça. Claire, quand t'as eu ta première paye après que t'aies quitté la CAQ, as-tu vu une différence? [00:01:09] Speaker B: Moi, j'avais perdu 15 000 piastres. [00:01:13] Speaker A: Wow! Puis t'as appelé au service de la paye pour savoir c'était quoi, puis ils t'en l'ont expliqué? [00:01:20] Speaker B: Ils m'avaient appelé pour me le dire, Mme Samson, on va devoir... parce que moi, j'avais un 15 000 ou 18 000, je me rappelle plus, pour être présidente de session. Et puis là, bien, naturellement, ils m'ont enlevé ça. Alors... Et puis le plus difficile, a priori, c'est que pour se rendre compte aussi qu'être indépendant, là, vous êtes tout seul, dans votre petit bureau au troisième étage, un petit cocron, là, pas d'imprimante, Seul au monde, personne avec qui jaser parce qu'il n'y a plus personne qui va y parler. [00:02:02] Speaker A: C'est comme s'il y a la gale, comme s'il y a la peste. Ça serait le pestiféré. [00:02:07] Speaker B: Oui, et ils ne vont pas lui rendre la vie facile. Moi, je peux vous donner un exemple. Quand je suis parti de Québec, je suis rentré à mon bureau de comté. Tout ce qu'il y avait dans mon bureau de comté, c'était des lettres de démission. Ils avaient sorti tout mon personnel. Une avait été envoyée au bureau de Simon-Jolin Barrette. L'autre avait été reprise par la direction générale du parti. J'étais tout seul. [00:02:36] Speaker A: C'est qui les rancuniers? C'est-tu Legault ou Koskinen? [00:02:40] Speaker B: Bon, je pense qu'ils se valent tous les deux, là. [00:02:45] Speaker A: Comment doit-il manœuvrer? Je veux qu'on se projette un peu dans l'avenir, Claire, sans que tu lui donnes des conseils publiquement. Comment doit-il manœuvrer? Comment doit-il devenir un excellent député indépendant? Parce que là, à ce qu'on sache, il n'est pas parti conservateur. Pas encore, puis peut-être qu'il ne le sera jamais. Mais comment peut-il fructifier sa nouvelle position Il y a plus de liberté. Donc comment mieux l'utiliser? Qu'est-ce que tu y dirais ce matin? [00:03:15] Speaker B: Bon, d'abord, la première chose qu'il devrait faire, c'est d'aller rencontrer le personnel de l'Assemblée nationale, qui n'est pas du personnel politique, c'est du personnel. Tout le bureau du secrétaire et tout ça. Et ils vont parce que là, il faut qu'il démêle tous ses privilèges, les périodes où il peut poser des questions, son temps de parole, à quelle commission il peut participer. Ça, il faut qu'ils fassent ça. Et ça, c'est la première chose à faire. Moi, si ça n'avait pas été de ces gens-là, j'aurais pas passé au travers. Ça, c'est la première des choses. Et ces gens-là sont dédiés à la chose, sont dédiés à la chose démocratique et ils vont l'aider, ils vont le démêler. C'est compliqué, désolé. Deuxièmement, il faut qu'il détermine ses priorités. Et puis travailler ces dossiers-là. Puis probablement que l'Assemblée nationale va lui donner un petit budget de recherche. Donc il pourra s'embaucher quelqu'un qui va l'aider un peu à creuser ses dossiers. Bien qu'après... Depuis le nombre d'années qu'il est là, là, J'imagine que Yoly a probablement creusé pas mal les dossiers qui l'intéressaient. Et puis, deuxièmement, là, il faut que l'article, c'est... Et là, tous ces gestes vont être scrutés par la presse, là. À chaque vote, ils vont dire qu'il a voté comme la CAQ ou il a pas voté comme la CAQ. Pourquoi? Là, il y a pas d'attaché de presse. Il y a personne, là. Il est tout seul, tout seul. [00:05:04] Speaker A: Toi, t'avais-tu gardé ta carte de la CAQ ou tu l'avais déchirée? [00:05:08] Speaker B: Ben, ils m'ont expulsé, alors... Ah, c'est ça. [00:05:10] Speaker A: Lui, il l'a gardée. C'est un peu particulier. C'est comme s'il souhaitait que la CAQ change. Un jour, ils vont changer. Peut-être que je vais revenir. Remarque que c'est des émotions, là. [00:05:20] Speaker B: Ben, moi, c'est ce que j'ai compris de son message d'hier, là. C'est que... Ben, vous savez, moi, je comprends sa réflexion, Ayouri, là. Parce que moi, je le connais un petit peu, Yuri, là, on a fumé quelques cigarettes ensemble. [00:05:36] Speaker A: Des grosses ou des petites? [00:05:37] Speaker B: Des petites, des petites. Au cendrier de la rue des Léosines, là, il y a un cendrier, là, pour les députés. Et puis on a pu jaser un peu. Et puis je pense qu'on avait un point en commun, c'est qu'on s'était lancés en politique tous les deux parce qu'on voulait travailler. On voulait améliorer les choses. Et puis, quand, après plusieurs années, tu te fais dire, quand on voudra ton opinion, on te l'enverra. Et puis, comme voici comment voter. Puis ça, on est d'accord. Puis ça, on n'est pas d'accord. Puis ci, puis ça. À un moment donné, quand on veut travailler dans la vie, on ne se contente pas d'être une plante verte ou de la tapisserie. [00:06:21] Speaker A: Parce que des plantes vertes, il y en a encore en masse. [00:06:26] Speaker B: Ah ben oui, il y en a beaucoup. [00:06:28] Speaker A: Plus que jamais. [00:06:29] Speaker B: Et d'ailleurs, la première, l'une des erreurs qu'ils ont faites dernièrement, c'est de penser que M. Seibia allait être un béni-oui-oui. Faut connaître M. Seibia d'Hydro-Québec pour savoir que ce n'est pas un béni-oui-oui ou un docile, comme dirait Mme Guilbeault. [00:06:46] Speaker A: Est-ce que c'est lui qui a peut-être un peu eu par la bande la tête de Fitzgibbon? Comment tu vois ça, Claire? [00:06:51] Speaker B: Ben, moi, je pense qu'il y a deux choses qui ont convaincu M. Fitzgibbon de partir. Un, le fait que M. Sébia ne sait pas avérer être un béni-oui-oui. Et deux, je pense que M. Girard, ministre des Finances, il est rentré au bureau du premier ministre un matin pour le caucus. Il a dit, là, là, ça va faire les folies, là. Là, ça va faire les déficits, puis les dépenses, puis c'est fini. Et puis je pense que M. Fitzgibbon, il s'est beaucoup amusé au cours des ans avec notre argent. Et là, il y a des petites planches qui retroussent un peu partout. Puis comme il n'aime pas répondre aux questions et se rapporter, il a décidé d'aller faire autre chose. [00:07:40] Speaker A: Alors... Où est la CAQ ce matin? Où se situe la CAQ? Ils ont perdu un ministre, ils ont perdu Chassain, Legault qui avoue que, ouais, ça grogne au caucus, puis il y a peut-être des alliés naturels. Ils ont perdu le whip il y a pas longtemps. Ils ont perdu le whip qui est rendu avec... Ça, c'est bizarre. Il est rendu indépendant lui aussi. Lefebvre, c'est ça, il va se présenter conservateur sous Poitlièvre. Quel est l'état de santé de la CAQ ce matin? Bien, je pense que la CAQ est. [00:08:04] Speaker B: Obligée de faire le constat que malgré tous les milliards qu'ils ont dépensés, Honnêtement, ils sont obligés de faire le constat qu'il n'y a pas grand-chose qui marche. Je pense qu'ils ne peuvent pas identifier trois patentes qui marchent bien. La santé, ça ne marche pas. L'éducation, ça ne marche pas. Les logements, ça ne marche pas. North Vault, on ne sait pas ce qui va arriver avec ça. [00:08:32] Speaker A: Et pourquoi ça ne marche pas? Pourquoi? La faute des syndicats? La mauvaise gestion? Mauvaise priorisation? C'est la faute à qui? [00:08:41] Speaker B: C'est la faute des immigrants, pauvre ami. [00:08:44] Speaker A: Pardon? [00:08:45] Speaker B: D'après eux, c'est la faute des immigrants. [00:08:47] Speaker A: Oui, ça doit être la faute des immigrants, en effet. [00:08:49] Speaker B: Non, moi, je pense qu'ils ont promis beaucoup de choses. Et puis, c'est une grosse machine, le gouvernement. Ça change pas comme on veut. Et puis, il y a quand même 10 000 fonctionnaires de plus, là, si j'ai bien compris les statistiques. Oui. [00:09:06] Speaker A: Ce que Donald vient de nous raconter, là. [00:09:09] Speaker B: Oui, il y a 10 000 fonctionnaires de plus. Pas sûr qu'on avait vraiment besoin de ça. Et puis, il y a un moment donné, là, je pense qu'ils ont fait beaucoup de promesses, puis tout ça, et c'est un parti qui, malheureusement, est parti avec des bons concepts, des bons principes, et qui se sont complètement convertis au marketing. [00:09:32] Speaker A: C'est dimanche... -"Marketing", mais c'est une canne de soupe avec pas beaucoup de soupe dedans, là. [00:09:36] Speaker B: C'est ça. Bien, moi, j'avais un professeur à l'université en marketing qui disait... Écoutez, là... Un bon produit mérite un bon marketing. Mais un bon marketing ne fait pas d'un mauvais produit un bon produit. Si ta soupe n'est pas bonne, même si l'étiquette est ragoutante, elle n'est pas bonne. Alors je pense qu'ils sont là. Ils doivent faire le constat que ça ne marche plus. Ils ont un sondage, une action, une pression publique, une action. Je pense qu'il faut qu'ils retournent. Je pense que Youri a raison. Ils doivent retourner à leur base. [00:10:15] Speaker A: C'est quoi leur base? Ça devient mêlant. Parce que l'ADQ a été digérée comme une mecroquette. Les adéquistes qu'on a connus, Bonnardel et Kerr, ça vaut pas cher la livre. [00:10:24] Speaker B: Ah ben, ils se sont... Sans manquer. [00:10:27] Speaker A: De respect, je veux dire, Bonnardel, on le voit le moins en main. Et Eric Kerr, c'est Eric Kerr. [00:10:34] Speaker B: Je pense qu'ils ont été pris dans cette mouvance-là de marketingting. Le marketingting, c'est un sondage, puis le monde veut ça, on va faire ça. J'écoutais hier les reportages et puis leurs allocutions sur leurs projets de lois sur les pourboires. C'est du marketing thing. Ben oui! [00:11:00] Speaker A: Ça, ils ont voulu étouffer l'histoire, l'annonce de Chassin en nous lançant toutes sortes de patentes à travers la gueule. La grosseur des prix, le pourboire. Si vous examinez la touffe, ils ont. [00:11:09] Speaker B: Une tuile qui leur tombe sur la tête. Ils font un petit coup de marketing thing. Ils en ont deux, trois dans leur poche. [00:11:17] Speaker A: Ben oui. Comme là, ce matin, je ne l'avais pas appris, je ne l'avais pas su, celle-là. Là, il va y avoir une réglementation qui va obliger les commerces à... mettre la même grosseur de suggestion de pourboire sur les terminaux. Tu sais, des fois, tu as un terminal pour payer avec ta carte, puis c'est écrit en gros 20% ! Puis 15% en petit. Là, il y a une nouvelle loi ou un règlement qui force le commerçant, qui connaît pas ma chaîne bien souvent, de mettre le format égal de suggestion de pourboire. Hé, clair. On est rendu là, là. On est dans le gouvernement. Mûre à mûre dans le contrôle, là. [00:11:56] Speaker B: Oui, alors, mais ça, c'est malheureusement... [00:11:59] Speaker A: C'est de l'artifice. [00:12:00] Speaker B: C'est de l'artifice, là, puis... Dans le fond, là, ils s'en sacrent pas mal combien vous laissez pour boire au... au... au magasin. [00:12:11] Speaker A: En fait, le plus t'en donnes, eux autres, ils l'imposent pour boire, fait qu'ils sont contents. [00:12:16] Speaker B: Ben oui, c'est ça. Mais d'ailleurs, s'ils avaient voulu faire quelque chose, ils auraient pu ajouter à leur projet de loi les types d'emplois qui sont des emplois considérés comme à pourboire. Et ceux qui ne le sont pas ne devraient pas avoir de pourboire. Oui, oui, oui, oui, oui. Moi, si je parlais au Tim Hortons de me chercher un bain et un café, je ne laisse pas de pourboire. Je suis allé le chercher. [00:12:43] Speaker A: Et voilà. [00:12:44] Speaker B: Ce n'est pas parce que le petit monsieur a pris un morceau de papier pour le mettre dans un sac que je vais lui donner une pièce. [00:12:52] Speaker A: Je vais t'entendre vite avant qu'on se laisse, parce que le temps file. Politique canadienne, vite comme ça, tu t'intéresses à ça, c'est sûr. Est-ce que Trudeau, c'est fini, fini? Est-ce que Paulieb a raison de dire que le Bloc, c'est le Bloc libéral? Il n'arrête pas d'appuyer, on le voit dans les données, il n'a pas arrêté d'appuyer Trudeau au cours des dernières années au Parlement. Comment tu vois la chose fédérale? [00:13:15] Speaker B: Je la suis de près. On n'en parle pas beaucoup. J'aurais aimé ça quand les médias en parlent autant qu'ils parlent de la politique américaine. Moi, je ne suis plus capable de les voir. Mais la politique canadienne, c'est sûr que pour M. Trudeau, ça ne va pas bien. Mais il y a encore une chance au Québec parce que je pense que M. Poilievre, ça part encore au Québec. Le Bloc, je pense qu'ils n'ont pas à s'inquiéter. Ils vont rentrer comme une tonne de briques. Les autres, ils n'ont rien à perdre. [00:13:48] Speaker A: Sont en avance pour l'élection partielle à Montréal, selon le dernier sondage. [00:13:52] Speaker B: Moi, je pense que... Mais pour M. Trudeau, là, ça regarde vraiment pas bien, puis ça grenouille aussi dans son entourage, je crois, là. On va voir ce que va faire M.... Voyons voir ce que... De Rodriguez. [00:14:07] Speaker A: Ouais. Le vois-tu à la tête du Parti libéral? Dernière question. Comment tu vois ça? Les Canadiens auraient-ils brûlé de par ces histoires de fisc? [00:14:15] Speaker B: Je pense que M. Coderre n'a pas grand-chose. Je pense que M. Rodriguez mettrait un peu plus de couleur et de ouf à cette course-là. Moi, je nous le souhaite parce que j'espère que... Moi, j'ai toujours privilégié... D'ailleurs, c'est pour ça que je me suis joint à Éric Duhaime quand j'ai été expulsé de la CAQ. Je trouvais que les Québécois méritaient d'avoir le plus d'options possibles. Donc j'espère que les libéraux vont se trouver un bon chef et qu'ils vont être capables de faire des propositions qui vont donner l'opportunité aux Québécois de vraiment réfléchir. Et je pense que les Québécois, la téléréalité qu'on voit actuellement à Québec avec la CAQ, qu'on le veuille ou pas, ça éveille l'intérêt des Québécois à la chose politique. [00:15:09] Speaker A: Les Québécois sont plus réveillés qu'avant, tu crois? à la chose politique et à l'état des choses. [00:15:15] Speaker B: Médiocrité en éducation ou en santé, on se rivelonnait sur des services médiocres. [00:15:42] Speaker A: Dans la vie couronne de tous les jours, les gens sont en contact avec une machine totalement dysfonctionnelle. [00:15:49] Speaker B: Je pense qu'on ne les a pas les services. Moi, je vous avouerais bien franchement, j'ai réussi à avoir un médecin sané parce que je suis rentré en RPA. [00:15:58] Speaker A: Hein? T'es rentré en RPA? [00:16:01] Speaker B: Résidence pour personnes agréables, oui monsieur. [00:16:05] Speaker A: Ma chère Claire, on te souhaite une belle coupe de vino en fin de semaine avec une bonne cigarette. [00:16:11] Speaker B: Ah, peut-être avec Eric, tiens, je pourrais aller souper avec lui. Vous autres, bonjour à Québec. [00:16:16] Speaker A: Absolument. [00:16:16] Speaker B: Faites attention à vous autres. Faites attention à votre mère, là. Il s'en a gagné encore, lui. [00:16:21] Speaker A: Ouais, notre mère. Il préfère faire attention à nous autres, aussi. Ouais, effectivement. [00:16:26] Speaker B: Salut, Claire. Bonne journée. [00:16:29] Speaker A: Salut, Claire. Bye-bye. Donald, t'en penses quoi, Claire? Ça demeure... Ça demeure une femme qui a vécu une belle feuille de route pareille. [00:16:37] Speaker C: Moi j'ai bien aimé la partie où elle explique ce qui va arriver demain matin à Ivry-Chassin. Comme quoi il va être isolé dans son coin là. Pis qu'il faut qu'il retrouve des repères. [00:16:45] Speaker A: Faut qu'il se fasse une liste d'alliés moi je pense. Faut qu'il brise l'isolement. Elle l'a dit elle, elle l'a vécu le personnel de l'Assemblée nationale. Je connais pas trop ça. Elle a sûrement raison, elle l'a vécu. Mais moi je pense qu'il y a une liste d'alliés naturelle. Et à l'intérieur de ça, il doit y avoir Radio X. Je comprends que c'est le fun d'aller parler à Radio-Canada, mais ils prêchent à une église qui n'est pas ouverte. [00:17:09] Speaker C: Il faut qu'ils prêchent auprès. [00:17:11] Speaker A: Les médias sociaux sortent de l'isolement. Les médias sociaux, les vidéos, on est dans le web, c'est pas une chaîne YouTube, avec une vidéo par semaine, un peu comme Éric l'a fait. Absolument. [00:17:21] Speaker C: Alors parce qu'il va être traité, comme elle l'a dit, comme un pestiféré, alors il faut qu'il retrouve ses repères. Puis je pense qu'il faut qu'il utilise, parce que quand même, l'Assemblée nationale, c'est une tribune. Donc il faut qu'il utilise la tribune à bon escient. C'est ça qu'il doit faire. [00:17:32] Speaker A: Merci beaucoup. Bon week-end, Donald. On va à la pause de La Légion. Retour.

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