Le gars qui a survécu à deux attentats... SE VICTIMISE!!!

September 17, 2024 00:20:51
Le gars qui a survécu à deux attentats... SE VICTIMISE!!!
Maurais Live
Le gars qui a survécu à deux attentats... SE VICTIMISE!!!

Sep 17 2024 | 00:20:51

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[00:00:00] Speaker A: Allons-y en live maintenant, de la Tour du Dôme. C'est Moray Live. On devient un légionnaire et on reste jusqu'à la mort. De la radio X World Headquarters, voici votre légendaire Cajun du Dôme. Yes! Parlons de la médiocrité de nos médias. Regarde, je me lance là-dessus. Frank m'a inspiré un petit peu tout à l'heure. Ça fait un bout que je garde ces extraits-là, puis après ça, on va embarquer direct dans l'actualité. Charles-Philippe David est passé à l'émission de Marie-Louise Arsenault il y a de ça un peu plus qu'une semaine maintenant. Ça a été une grande séance de lichage. Ah, montre juste ma slide. [00:00:50] Speaker B: Avec notre invité Charles-Philippe David. Je le disais en ouverture d'émission, je considère que vous êtes un politologue superstar, n'est-ce pas Jean-Philippe Dupriani? C'est quand même un politologue superstar. Je pense que oui. Moi, je le regarde à RDI depuis. [00:01:01] Speaker A: Presque 20 ans maintenant de nous expliquer les aléas de la politique américaine. [00:01:04] Speaker B: C'est passionnant. Il y a vous, couvert de prix, chercheur reconnu, qui commentez la politique américaine et on a vu se multiplier au cours des dernières années des ex-politiciens, des animateurs qui font ça. [00:01:18] Speaker A: Y'a vous qui êtes un expert là, pis y'a les autres là, ils s'improvisent un petit peu. Hé, parce qu'on parle pas de médecin, on parle pas de recherche nucléaire non plus. [00:01:30] Speaker C: C'est pas une anesthésiste non certifiée. [00:01:34] Speaker D: En plus, on parle de gens qui analysent une politique qui n'est même pas celle de notre pays. [00:01:40] Speaker C: Oui, c'est ça. On parle de gens qui ne vivent pas dans ce pays-là. [00:01:43] Speaker D: Ça, pour un chroniqueur télé, c'est exactement la même Christy Patentagoste. [00:01:47] Speaker C: Oui, quand on analyse, on est un peu des imposteurs, on ne vit pas là. Lui, c'est un imposteur universitaire. [00:01:54] Speaker A: On l'écoute un peu. [00:01:55] Speaker E: Je pense qu'il faut expliquer les contextes, expliquer les acteurs, expliquer les enjeux et donner le plus de clés aux gens pour qu'ils se fassent leur propre idée sur ce qu'ils pensent sur la question. Donc en un mot, mon but dans la vie c'est de vulgariser une connaissance pour permettre aux gens de disposer de ses clés. Je vais pas leur dire après ça, écoutez, lui est bon, lui est pas bon, faut voter pour lui, faut pas voter pour lui. Entre un sénile qui dit des choses de contenu qui sont convaincantes et un pas sénile qui est fou. [00:02:27] Speaker C: Ça c'est un autre clip ailleurs que j'ai fusionné. [00:02:29] Speaker A: Oui, mais c'est pas au monde qui est bon, qui est pas bon là. [00:02:35] Speaker C: C'est des clowns. Ce sont des clowns. [00:02:38] Speaker A: C'est les pires analystes qu'il y a pas. C'est ceux qui sont à la tête, là je dis ceux parce que je parle de Charles-Philippe David pis après ça je vais parler de Madame Valère. [00:02:45] Speaker C: Ronald McDavid. [00:02:46] Speaker A: C'est les pires analystes qu'on a au Québec. Stéphane Bureau est des milles meilleurs qu'eux autres. Parce que justement, il vit pas dans la haine d'un bord ou de l'autre. Ça c'est ce qu'il ne lui pardonne pas toute la gang, c'est qu'il hait pas Trump. Il se lève pas la nuit pour haïr Trump, fait qu'il fait pas partie de la gang, fait qu'il est pas bon. C'est ça leur pensée. [00:03:08] Speaker C: Les bons et les méchants. Il faut que t'aimes l'Ukraine beaucoup si tu parles à quelqu'un qui peut-être vient de Russie ou... Parce que Xavier Moreau, on va y parler tantôt. Stéphane Béraud, dans son blog, parle à Xavier Moreau. Il va parler avec des médecins qui n'ont pas tout à fait cru au COVID show. Entre autres, le docteur qui a les cheveux longs à Marseille. Ça n'a pas d'allure de lui parler. Il a perdu sa job à cause de ça, d'ailleurs, à Red Can. [00:03:32] Speaker A: Il parle à tout le monde, puis il essaye de comprendre. Tu sais, puis regarde, la fin de semaine... By the way, Charles-Philippe David ne parle plus la fin de semaine avec Bureau. Qui veut pas parler à qui, c'est un hasard. [00:03:41] Speaker D: C'est pas un spécialiste. [00:03:44] Speaker A: Ouais, c'est ça, fait qu'il veut plus parler à qui. Moi, je suis certain que Stéphane Bureau. [00:03:48] Speaker D: Ça lui dérange pas. [00:03:49] Speaker A: Non, en effet. [00:03:49] Speaker C: Ouais, vous avez raison. C'est lui qui veut plus parler à Bureau. [00:03:52] Speaker A: Moi, je pense que c'est ça. J'aurais tellement de questions à leur poser. [00:03:54] Speaker D: Mais ils voudront jamais répondre. [00:03:59] Speaker A: C'est drôle ça. Mais pourtant Charles-Philippe David, il aimait ça, il était beau. [00:04:03] Speaker E: Parfois, oui, on peut avoir des opinions divergentes. Mais est-ce que ce n'est pas le but d'une université que d'être capable de tolérer des points de vue divergents? C'est énorme ce que tu dis. C'est dangereux, c'est dangereux. Dans le respect, par exemple, et non pas dans l'invective. Et je n'ai pas entendu en 30 ans de gens s'invectiver. J'ai entendu des gens bien débattre de leurs idées. Quand Hitler a été élu, tu dirais, il faut respecter le choix démocratique des Allemands. [00:04:30] Speaker A: Je vais faire des montages avec ses débats avec Bureau justement là. T'arrêtes de mettre B parce que là. [00:04:35] Speaker C: On est... Moi je suis capable de suivre... Parce que c'est des choses que. [00:04:38] Speaker A: J'Ai déjà jouées là. Parce qu'on pense que c'est dans le même bunch. [00:04:40] Speaker F: Non, non, non. [00:04:40] Speaker A: T'sais, il y a sa discussion avec McLouis Arsenault, qu'il les botte avec Bureau. [00:04:44] Speaker C: Où il se contredit ni plus ni moins. [00:04:46] Speaker A: Ben c'est ça, il arrête pas de se contredire, ce n'est que ça. Là, l'extrait de Mme Vallée dont Frank parlait tout à l'heure. [00:04:52] Speaker G: Parfois, on va se retrouver comme experts, comme scientifiques, au travail, quand on est dans nos tours d'ivoire, et on va se retrouver mis en confrontation avec des gens qu'on va présenter comme des experts aussi, mais qui ne sont pas des experts. Mais qui, parce qu'ils donnent une voix alternative, une autre voix, parce qu'ils parlent la voix des réponses. [00:05:16] Speaker A: Oui, ils sont très difficiles à trouver. [00:05:17] Speaker G: C'est ça, mais il y en a quelques-uns qui s'expriment, et ces gens-là vont être présentés comme nos alter-égos, ce qu'ils ne sont pas, et nous allons du coup nous retrouver dans une position où on va être dépeints dans une classe partisane, ce qui n'est pas le cas. [00:05:30] Speaker A: C'est un message à lancer à Stéphane Bureau, merci énormément. Ils sont pas du tout partisans, pas en tout. D'ailleurs, théorie, un moment donné, Charles-Philippe David revient à la maison pis elle dit « Qu'est-ce que tu fais à des pattes avec ce gars-là? [00:05:44] Speaker C: » Non, c'est clair. Ben oui, c'est clair. Voyons donc. [00:05:49] Speaker A: C'était ça, là. Mais eux autres ne sont pas du tout partisans. [00:05:53] Speaker G: On en est à avoir quelqu'un de splendidement compétent, soyons honnêtes, qui a le malheur d'être une femme noire et démocrate, face à un homme qui est avant tout une personnalité médiatique, un gourou à certains égards, et qui dit des faussetés et en enchaîne 33 d'affilée pendant qu'elle est air sur une ou deux fois, si on s'en fie à ce qu'a dit Daniel Dayle sur CNN. Et là on se demande comment est-ce qu'on peut être impartial. [00:06:24] Speaker A: Mais elle est pas partisane. Puis elle aime pas ça se faire traiter, se faire dire d'ailleurs qu'elle apprend juste d'un bord. À un moment donné, elle apprend juste deux oreilles, puis ça devient clair. Mais c'est ce mood-là que bâtissent depuis des mois, si c'est pas des années, autour de Trump, et autour des Républicains tout court, mais mettons autour de Trump. Les Biden ont embarqué là-dedans, nous disent que c'est un danger, c'est un dangereux, c'est un Hitler. Je vous l'ai fait entendre tout à l'heure, Charles-Philippe David, qui a fait la comparaison Trump-Hitler. Ça, c'est fait aux États-Unis aussi. Donc, il y a un expert du FBI qui est en entrevue avec CNN et qui dit ceci. [00:06:58] Speaker F: Le dernier tireur en Pennsylvanie, je ne veux pas dire son nom parce que je ne veux pas le promouvoir de toute façon, mais il était clairement un gars qui cherchait la notoriété de prendre ce tir. Je pense qu'on va trouver qu'il est extrêmement politiquement motivé, et qu'il a probablement été inspiré de la plupart des diatribes politiques qui existent aujourd'hui, en parlant de Trump, en l'équantant à Hitler, etc. Donc je ne pense pas que ce soit la dernière fois qu'on verra de la folie qui essaie de faire ça. [00:07:24] Speaker A: Donc un expert du FBI qui dit, regarde, l'autre gars à Pennsylvanie, lui, il voulait juste le fame. Il voulait les caméras, puis il voulait, regarde, c'est celui qui a tiré sur Trump. Puis si ça avait pu être Biden, ça aurait été Biden. Celui, en fin de semaine, il était motivé par la politique, par l'idéologie. Et il dit, il a été motivé par tout le discours qui dit Trump égal Hitler, Trump est dangereux. Puis il dit, je pense qu'il va en avoir d'autres comme ça. [00:07:54] Speaker C: Trump a publié des phrases de choc. [00:07:58] Speaker A: Concernant... Toutes des citations, là. [00:07:59] Speaker C: Toutes des citations. [00:08:00] Speaker A: De Biden, de Kamala, d'autres démocrates importants. [00:08:04] Speaker C: Il doit être éliminé, il doit être recasé, il doit être discarté. Au plus vite, c'est un danger pour la société. C'est du fascisme. Le fascisme est à nos portes. [00:08:13] Speaker A: S'il est élu, c'est la fin de la démocratie. [00:08:15] Speaker C: C'est la fin de la démocratie. Hé, il y a quelqu'un qui m'a envoyé une saisie d'écran. Ça, je peux pas la mettre sur les médias sociaux, là, parce que ça vient d'LCN. Est-ce qu'ils ont fait un spécial, tu l'ajoutes, à un moment, il y a des auditeurs qui écrivent. C'est une agente des meubles de Montréal qui écrit... C'est une invention d'après moi. Y'a des Américains qui l'ont appelé pour s'acheter une maison à Montréal parce que Trump est subbar d'être élu pis ils veulent venir vivre au Canada. [00:08:43] Speaker A: Voyons donc! [00:08:46] Speaker C: Arrête de ça! [00:08:48] Speaker A: Hollywood au grand complet avait promis qu'il allait déménager au Canada en 2015 avant l'élection pis y'en a aucun qui est parti. [00:08:55] Speaker C: Ils sont partis payer moins d'impôts au Texas. [00:08:57] Speaker D: Ça c'est comme les Québécois qui disent qu'ils vont déménager en Ontario si le PQ est élu, mais ils restent tout le temps ici. [00:09:02] Speaker C: Oui, c'est du blabla. [00:09:04] Speaker A: Mais ça c'est dégueulasse. Trump qui dit que les démocrates c'est de la faute de leur discours, ça n'a pas de sens. Donald Trump vient d'attribuer la responsabilité de cet attentat aux démocrates. On n'a pas besoin d'être délirant d'imagination pour penser que ça peut inspirer des répliques. C'est ce qui était à craindre après le premier attentat. Mais Donald Trump s'était bien gardé d'accuser. Ça, c'est inquiétant parce que c'est pas le moment d'en rajouter. Ok, minute là. Donc, Trump, ça fait deux fois qu'il... Ben, la première fois, il s'est fait tirer dessus. La deuxième fois, il est manqué de se faire tirer dessus. Il faut pas que tu dises que c'est la faute des démocrates. Parce que tu risques de créer des gens qui vont vouloir tirer sur les démocrates. Ah mais là, c'est arrivé pour vrai, là. Mais tout est toujours de la faute de Trump, peu importe ce qui se passe, là. [00:09:52] Speaker C: Imaginez exactement le même scénario. Harris joue au golf. Le golf gagne. C'est un MAGA à côté avec une collection de calottes rouges dans le truck. [00:10:03] Speaker A: On sait bien, espéré par Trump, par son discours, par... Ça serait ça, là! [00:10:08] Speaker C: Ça serait des immissions spéciales. Pis si Kamala le disait, on l'applaudirait pis t'as raison! Là c'est le contraire. Pis dangereux! Ceci étant dit, le gars c'est un fucking crackpot, là. [00:10:18] Speaker A: Ben oui! [00:10:18] Speaker C: Regardez ça à la tête. C'est un cas de santé mentale. Le gars, c'était du recrutement, il voulait aller en Ukraine. C'était un crise de fou, là. [00:10:25] Speaker A: Puis l'Ukraine a rien voulu savoir de lui parce que justement, c'était un fou. [00:10:28] Speaker C: C'est ça. C'était un cas de psychiatrie. [00:10:30] Speaker A: Mais il reprenait toutes les lignes qu'il démocrate, disait sur Trump. [00:10:33] Speaker C: Oui, puis il y avait un sticker de Biden sur son truc, puis toutes les lignes, effectivement. « He must be eliminated. [00:10:39] Speaker H: » Il a commencé à citer en fait, il a donné des exemples, il a dit que Joe Biden a déjà dit qu'il était une menace, que Donald Trump était une menace pour la démocratie, que Donald Trump était une menace existentielle, qu'il fallait absolument pas qu'il redevienne président, que c'était un danger pour la démocratie. Donc il cite Joe Biden, Kamala Harris, il cite un peu l'administration Biden. C'est vrai qu'il est une victime de deux tentatives d'assassinat, mais lui affirme que c'est vraiment le résultat des propos tenus par Joe Biden et Kamala Harris. Et ça, ça n'a rien pour aider vraiment au climat, pour que le climat se calme un peu. [00:11:14] Speaker A: En effet. Trump divise. Trump divise, c'est vraiment ça. Et en plus, il se victimise. [00:11:19] Speaker B: C'est presque normal pour Donald Trump de réagir comme ça, dans sa rétrographie, d'accuser les autres et lui, il devient la victime. C'est réel qu'il aurait pu être victime d'une tentative d'assassinat et qu'il soit loué et que rien n'arrive de grave. Puis l'individu a été intercepté, mais il se place en posture de victime. [00:11:39] Speaker H: C'est pas très surprenant. [00:11:41] Speaker D: C'est du monde qui braille parce qu'il y a du monde qui écrit il va faire caca sur Facebook. C'est du monde qui chiale parce qu'il y a du monde qui parle de leur coupe de cheveux sur internet. Puis ils banalisent le fait qu'il y ait un gars sur un trou de. [00:11:55] Speaker C: Golf qui attendait Donald Trump avec une Kalashnikov. [00:12:03] Speaker D: C'est un scandale ça à ma tête. [00:12:04] Speaker C: Ben oui c'est un scandale. Ben c'est du ça. [00:12:10] Speaker D: On écrit des insultes sur internet, c'est un alerte national, ça prend une loi. Le gars fait deux fois qu'on essaye de tirer dessus, à banalise ça. [00:12:21] Speaker C: Mais ça va pas. De toute façon on le savait que ça allait pas dans le code du show. Je sais qu'elle est allée dire que c'est un anti-vax alors que c'est Trump qui a mis tout l'argent pour développer les vaccins le plus rapidement possible avec Warp Speed. Elle dit, c'est une menteuse à la base, à la base d'Anne. C'est une pas bonne, c'est une menteuse, c'est une propagandiste et c'est une incompétente. Allez réécouter en boucle si vous le désirez l'entrevue avec Le Pen. Marine Le Pen y met le nez dans son diplôme. Elle a été démasquée et c'est la seule politico qui l'a démasquée ouvertement, Marine Le Pen. Toutes les autres y ont un chien autour de la table pis ils mangent dans le diplôme. [00:13:03] Speaker A: Je n'ai pas l'audio malheureusement de cet extrait-là, mais l'émission de Gérald Filion qui est en après-midi à RDI. Voici la citation d'Emily Foster, l'ancienne députée de la CAQ. Donald Trump met de l'huile sur le feu. Régulièrement, il a tenu des propos haineux. Il traite les gens de non. Ça fait des années que ça dure. Donc, c'est sûr que c'est une spirale qui n'aide pas au climat social. [00:13:28] Speaker C: Ça, c'est lui qui traite le monde de non. On n'est pas en train de dire qu'il est parfait. Donc, c'est de sa faute s'il se fait tirer dessus. Ben, ça, c'est la passe. Ça fait des années qu'elle se promène en gros talons hauts. Ça fait des années qu'elle se met des minijupes. Ça fait des années qu'elle est décolletée. Ah! Elle se fait agresser au party de Noël. C'est carrément ça, là. C'est carrément ça, là. [00:13:50] Speaker A: Et pendant ce temps-là, les démocrates ou les autres, ils ont un langage au moins qui est rassembleur. [00:13:55] Speaker H: Mais voilà, donc il n'y a rien vraiment du côté en tout cas de l'administration de Trump qui porte à croire qu'ils veulent baisser un peu le ton, qu'ils veulent calmer les choses parce qu'encore une fois, on se trouve dans un pays extrêmement polarisé. Joe Biden, souvenez-vous, il a même allé jusqu'à porter une casquette de Donald Trump pour dire qu'il faut arrêter de nous battre. Donc il est allé quand même assez loin, là. [00:14:16] Speaker C: Elle l'a pas compris là. [00:14:19] Speaker A: Ok, il a porté la casquette dedans l'autre temps pour dire « Ah, faut se rassembler, faut tout rassembler ». [00:14:24] Speaker C: Non mais elle est pas bonne elle non plus. Sacré fils. [00:14:29] Speaker A: Les amis, nos médias sont médiocres. [00:14:32] Speaker C: C'est la faillite. C'est une faillite monumentale. C'est un effondrement. C'est terminé. C'est terminé. On ferme le néon, le magasin est fermé, on ferme le néon pis on vide l'inventaire là. [00:14:46] Speaker A: Mais là tu sais que c'est la. [00:14:47] Speaker C: Dalle de béton, c'est fini là. [00:14:48] Speaker D: C'est la grande vente de fermeture? [00:14:49] Speaker C: C'est la grande vente de fermeture, c'est fini, c'est une vente de feu là. [00:14:52] Speaker A: Mais écoute, eux autres, ça les dérange quand même encore que justement, Trump, cette couverture-là, ça le victimise, ça le fait passer pour une victime. Donc, ramenons ça à nos diversions habituelles. [00:15:06] Speaker B: Puis ce qui trouble la situation davantage, c'est cette histoire de chat et de chien. Et hier, sur les chaînes américaines, le candidat à la vice-présidence, Lady Vance, dans une entrevue très corsée avec l'animatrice de CNN, Donna Bash, dit qu'il faut créer des histoires pour retenir l'attention, pourquoi pas. On vous présente cet extrait. [00:15:28] Speaker A: Comment décoder Martine, sinon qu'il accepte de porter la parole de citoyens sur des. [00:15:33] Speaker C: Faits qui sont non avérés. [00:15:56] Speaker A: Mais il a pas créé d'histoire. Il a créé le buzz, finalement. Ça revient à ça, là. [00:16:02] Speaker C: Il oriente la discussion. [00:16:04] Speaker A: Parce que j'ai retombé sur des extraits qui remontent à il y a trois mois, où J.D. Vance, devant une commission, je sais pas trop, à Washington, qui soulève le problème de Springfield en Ohio. Ah oui? Oui! Puis à ce moment-là, il y avait des entrevues à Fox News avec le maire, puis avec le gars, le DG de la ville, qui était content que J.D. Vance en parle. parce que ça brassait dans leur ville, parce qu'il y avait des problèmes. Il y avait une crise sociale qui était déjà en train de se développer. Il y a une crise sociale. Oui, il y avait déjà à ce moment-là et il y a encore. [00:16:35] Speaker C: Ils sont dans négation, ils sont dans négation totale. Il y a une crise majeure concernant les migrants aux États-Unis. Ville de Chicago, ville de New York, c'est complètement ignoré. Il y a beaucoup de choses dont on ne parle pas dans nos médias ici. Le maire Adams est à couteau tiré avec la Maison-Blanche depuis des mois. Le maire Adams qui est le maire démocrate de New York, qui est débordé, qui n'est plus capable. On ne parle pas de ça. Il y a plein de trucs dont on ne parle pas dans les médias d'ici. C'est la pire malbouffe. Les médias québécois, les médias traditionnels, c'est la pire malbouffe que vous pouvez pas avoir sur un menu de restaurant. Si vous consommez juste ça, c'est clair, net et précis que vous vous dirigez vers une maladie. C'est clair. [00:17:22] Speaker A: Donc déjà... [00:17:23] Speaker C: C'est votre job, les amis, de varier. Je suis pas en train de dire de m'écouter. Écoutez-nous. Écoutez d'autres choses. [00:17:29] Speaker A: Écoutez toutes. [00:17:31] Speaker C: Tout, tout, tout, tout. Les Français s'intéressent beaucoup à ce qui se passe aux États-Unis. Perspective différente. Oui, c'est anti-MAGA, mais il y a quand même des Républicains sur place. Un gars comme Boccoté, très balancé, très balancé. Fait penser un peu à Bureau. Mais évidemment, il se fait bâcher, Boccoté aussi. Il est long en horreur, le gars gauche. [00:17:52] Speaker A: Mais donc, des gens parlent à JD Vance, parlent de ce qui se passe là-bas, ils ont parlé des chocs et. [00:17:57] Speaker C: Des chiens, c'est crédible, c'est pas crédible, je sais pas. [00:18:00] Speaker A: David Menzies, même, à faire se fait parler, mais lui-même, il est pas trop sûr, il doute. Donc t'sais, ça c'est des histoires non avérées. Mais ce qui est avéré, par exemple, c'est que... [00:18:09] Speaker I: On pourrait avoir tendance à dire que c'est l'équipe Trump, comme d'habitude, qui reprend des mensonges, sauf qu'il y a des conséquences graves pour les habitants de Springfield, c'est-à-dire où des mamans n'envoient pas leurs enfants à l'école de peur d'un représailles, où il y a eu une alerte à la bombe, etc. Donc c'est extrêmement grave. Il faut continuer d'essayer de faire démentir ces rumeurs parce qu'il y a des conséquences réelles. [00:18:29] Speaker B: Parce qu'en fond, Azeb, les conséquences de ces mensonges-là sur les chats et les chiens alimentent C'est un à l'endroit d'exemple, les alertes à la bombe et l'évacuation des écoles. Et ça, le camp Trump ne l'admet pas, ne le reconnaît pas. [00:18:45] Speaker A: Mais ça, c'est réglé que c'est de la faute de Trump. Ça, ils ont décidé, c'est fait, c'est officiel, c'est stampé. [00:18:51] Speaker C: Il n'aurait pas dû le dire, par contre. [00:18:52] Speaker D: Ça, c'est sûr. [00:18:53] Speaker C: C'est sûr qu'il a fait une erreur. [00:18:56] Speaker D: On le savait que c'est ça qui allait arriver avant le débat et il l'a fait. [00:18:59] Speaker C: Moi je me suis pogné en tête à deux mains. [00:19:00] Speaker D: Ah oui, je sais c'est... [00:19:01] Speaker C: Il l'a dit et bon, gars ça a été débunké, c'est correct. Mais en même temps, revenons à la pinbêche d'Outremont. La pinbêche avec ses talons hauts et ses petits costards à 3500$, elle fera pas 10h de route pour aller à Springfield enquêter. Elle lit-tu l'anglais l'an passant? On va toujours bien savoir la vérité à un moment donné. Es-tu capable de comprendre l'anglais? où elle s'en sort juste avec le devoir, elle lit ses petites amies. OK, on est prêt pour l'émission, là. On est prêt pour l'émission. Mon cher légionnaire, c'est le garde-à-vous final. [00:19:32] Speaker A: Oui, une dernière. Où il parle, justement. Eux autres se sont vraiment créé un narratif où Trump a été un raciste envers tous les héliciens. [00:19:42] Speaker I: La Floride, les chiffres sont encore très serrés. C'est un État qui a été républicain lors des deux dernières élections. Démocrate en 2008 et en 2012 sous Barack Obama. Mais il se trouve qu'il y a un groupe qui s'appelle les républicains, les haïtiens pour les républicains et les haïtiens pour les démocrates. Et peut-être que ce deuxième groupe, c'est-à-dire haïtiens pour Harris, peut-être sentent qu'ils ont besoin de plus d'appui. Parce qu'il y a quand même beaucoup d'haïtiens en Floride qui vont voter. [00:20:08] Speaker B: C'est étonnant de penser qu'on puisse se faire accuser de tous les maux de la terre, responsable de tout ce qui va mal, mais en même temps continuer de l'appuyer. [00:20:16] Speaker C: Arrête ça, c'est des maudits de ma mère. C'est des ma mère, c'est du... J'ai l'impression d'entendre ma mère pis sa sœur. J'ai l'impression d'entendre des grands-mères qui font des pâtés pis qui se mettent à parler de sujets qu'ils connaissent pas. [00:20:31] Speaker A: Anne-Marie Dussault, elle a compris que Trump a dit « tous les haïtiens mangent des chats pis des chiens ». [00:20:37] Speaker C: Non mais c'est du ma mère. [00:20:39] Speaker A: Ça c'est ce qu'elle a compris. [00:20:40] Speaker C: C'est deux bonnes femmes qu'on écoute au téléphone se parler qui se craignent. [00:20:45] Speaker D: En train de coller le Time Gold Stamp. [00:20:47] Speaker C: Ça fait beaucoup penser aux belles-sœurs.

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