Marchand veut savoir où couper? 1M$ pour des arbres 25X TROP CHERS!

September 12, 2024 00:19:55
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Marchand veut savoir où couper? 1M$ pour des arbres 25X TROP CHERS!

Sep 12 2024 | 00:19:55

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Show Notes

Legion of Doom

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[00:00:00] Speaker A: On devient légionnaire et on reste jusqu'à la mort. Yes! Je reviens un petit peu sur Marchand, rapidement. On a joué un peu avec Alexa, mais quand même, il y a une cote entre autres que Gary a sortie. Regarde, il faut l'écouter. [00:00:54] Speaker B: Non, parce que les gens ont besoin de services supplémentaires qui nécessitent de nouveaux revenus. La rationalisation, elle a été faite, on vous a démontré et on le fait à la Ville de Québec, on fait cette rationalisation-là. C'est facile de dire « Ah, j'ai vu qu'il y avait du gras à couper », il n'y a pas de gras à couper. Est-ce qu'il y a des choses à changer? [00:01:09] Speaker A: Oui. [00:01:09] Speaker B: Est-ce que c'est fait? Oui. Est-ce qu'on va continuer de le faire de façon vigoureuse? [00:01:12] Speaker A: Oui. [00:01:12] Speaker B: Mais 87% des dollars ramassés qui vont en prestations de services, bien vous pouvez me dire « On va couper des chauffeurs, on va couper des autobus », c'est le client qui va être pénalisé. [00:01:22] Speaker A: Ça, c'est sa prétention, là. Oh non, canons et seines... Canons et... Canons et seines dans pièces, ça sert purement, uniquement pour le service. Prouve-moi-le. Vrai livre! Je sais pas, je... Parce que... Je ne vous crois plus. Quand... Désolé, mais quand il dit que... Non, non, il y a plus de gras, il y a plus rien à couper, c'est déjà fait. Puis comme de fait, comme Patrick Paguet disait, eux autres disent, on a coupé 10 millions. OK. Où, ça? [00:01:51] Speaker C: Nick va sortir tantôt, j'étais en feu, les 45 premières minutes, j'expose le gras au RTC, je donne les salaires des 5 grosses légumes en haut, et ensuite, des appels d'offres de jobs qui sont ouvertes là, là. Des jobs où tu te dis, si la personne n'est pas engagée, ça roule pareil les bus là, des jobs à 100, 120 000, 150 000 par année là. Pis dans tout ça là, des jobs qu'on peut couper un matin, t'enlèves les appels d'offres, tu vas te chercher, je te le dis, tu me donnes 5 secondes, je te coupe un demi-million là, Nick va sortir l'extrait tantôt à lire, écoutez ça. [00:02:28] Speaker A: Sinon, il y a le gras à la ville tout court. Alexa, elle, elle lui demandait pour à la ville, pas juste au RTC, à la ville, il y a-tu du gras à couper? Il y en a-tu du gras à couper? Renaud Labrecque, à chaque semaine, avec JC, nous le prouve. J'ai encore un exemple qui vient d'hier. [00:02:42] Speaker D: L'appel d'offre 90-608, la plantation de 2000 arbres de 5 cm, donc 50 mm, c'est des pousses. 2000 arbres sur le territoire pour une somme de 1 451 607 $. 735 $ l'arbre planté. [00:02:57] Speaker A: Je t'annonce que des pousses de 5 cm tempèrent la moitié. [00:03:00] Speaker D: Les essences sont toutes détaillées dans le fichier Excel avec l'entrepreneur en question qui a réussi à avoir le contrôle. Donc c'est une pépinière, je vous apprends rien. Et quand on se connecte sur le site de la pépinière, ces mêmes 10 arbres sont vendus au coût de 19,99 $. [00:03:13] Speaker C: 18,99 $. [00:03:14] Speaker A: Combien ça nous revient l'arbre? [00:03:17] Speaker D: 735 $ la plantation. Bon amalant, même s'il mettrait une bâche et un tuteur, on est loin du compte. [00:03:24] Speaker C: Les entreprises privées nous fourrent aussi, sachant qu'elles font affaire avec le gouvernement. C'est le cas avec les pépinières. C'est le cas avec les grosses compagnies informatiques. Elles savent que c'est le gouvernement. Elles facturent 2, 3, 4, 5 fois, 10 fois la coche. L'histoire de l'agence de voyage. [00:03:43] Speaker A: 800 000, j'en reviens pas encore. Plus que 800 000, mais mettons, je vais remettre ça à 800 000. [00:03:51] Speaker C: Tout le monde veut se gaver dans le buffet. Mais le problème, est-ce que c'est les personnes qui se gavent dans le buffet ou c'est le buffet qui n'est pas sous surveillance? Ça prend un chien de garde au buffet. C'est pas très, très compliqué. Tout le monde a déserté le resto et le buffet est là. Tout le monde se sert. À mon avis, le problème, c'est pas que les gens se servent. Ça, c'est la proportion de l'humain. C'est la part du gain. Le problème, c'est le buffet qui est abandonné, qui n'est pas gardé, qui n'est pas surveillé et qui n'est pas bien géré. [00:04:27] Speaker A: Il n'y a pas de guerre à l'auto. [00:04:28] Speaker C: Est-ce que quand vous dites que vous. [00:04:29] Speaker A: Faites la guerre à la congestion, ce ne serait pas une guerre à l'auto, en fait? [00:04:35] Speaker E: Non. [00:04:35] Speaker C: Non. [00:04:36] Speaker A: La preuve est démontrée. [00:04:36] Speaker B: Vous pouvez continuer de dire ça, mais. [00:04:38] Speaker A: Non, c'est la guerre à la congestion. Vous pouvez continuer à le dire, mais c'est démontré. Démontré par qui? C'est plus démontré que vous faites une guerre à l'auto. Tu lances ça de même là, c'est démontré, c'est démontré. Ben moi, ok, c'est démontré, tu fais une guerre à l'auto. [00:04:49] Speaker C: C'est pas une guerre à l'auto, donc c'est démontré, donc ferme ta gueule. [00:04:52] Speaker A: J'arrête pas d'enlever de la place à l'auto, mais y'a pas de guerre à l'auto. J'veux que vous preniez plus votre auto, mais y'a pas de guerre à l'auto. Voyons, arrête ça, là. Arrête de nous niaiser là. [00:05:00] Speaker C: Il est-tu déplaisant lui? Il est-tu déplaisant lui? Le tremblement climatique, wow. [00:05:05] Speaker A: La CAQ le trouve déplaisant aussi. [00:05:07] Speaker C: La ministre Guilbault disait que c'est son choix, qu'il devra l'assumer, mais n'empêche c'est un pouvoir que ce même gouvernement vous a donné. Donc on vous fait porter l'odieux là. [00:05:16] Speaker B: Oui, on nous dit qu'il n'y a pas de revenus de plus à donner aux sociétés de transport, il n'y a pas d'argent de plus. Il en manque même, on a des problèmes, on a un déficit prévu de 40 millions en 2025. Mais débrouillez-vous et si le maire charge des taxes, à lui de porter l'odieux. Je pense que le Québec a une mission qui est celle notamment de permettre aux gens de se déplacer. Il doit mettre l'argent qu'il faut. Présentement, il ne le fait pas assez. [00:05:36] Speaker A: La CAQ aurait pas dû permettre à des maires Q.S. de taxer. [00:05:40] Speaker C: Méga scandale, là. [00:05:42] Speaker A: Mais l'odieux qu'ils leur reviennent aussi, je pense qu'ils le méritent. C'est parce que lui, il demande. « Non, non, il faut que ça soit le gouvernement provincial, ça fait partie de sa tâche, ça va être dépense. » OK. Je vais lui poser la même question qu'il a faite tout à l'heure. Tu le coupes où, l'argent? Parce qu'on est 11 milliards de déficit, là. [00:05:57] Speaker C: C'est ça. C'est le même portefeuille, là. [00:05:58] Speaker A: Fait que je vais le faire la même affaire que tu fais à des journalistes, là. C'est où qu'il y a du gras? C'est où que je coupe? Ben, OK, toi, fais ta job, là. Au provincial, où c'est que tu coupes? Parce que ton argent, on l'a pas. [00:06:08] Speaker C: On est rendu à couper dans la rénovation des écoles, là. [00:06:10] Speaker A: Oui. Ben, des écoles, des universités, des hôpitaux. Moi, on m'a envoyé tout à l'heure à un hôpital. Les budgets de rénovation ont été coupés de moitié. [00:06:20] Speaker C: Il y a une planète à sauver. [00:06:21] Speaker A: Oui. [00:06:22] Speaker C: La Chine. Les émissions de CO2 cette année. 30,9% c'est la Chine. 13,5% les États-Unis. 7,3% de l'ensemble pour l'Inde. Le Canada. Le C-C-C-C-Canada. 1,5%. Et cette année, ça j'ai mis deux posts, deux tweets cette semaine. Record de production et de consommation de charbon en Chine. Pour vrai là. Pendant ce temps-là, on a la deuxième voiture, puis... Moi, je vais aux Galeries de la Capitale en autobus, je chauve la terre. Voyons donc, maudite folie. [00:06:58] Speaker A: Et le pire, c'est qu'il est arrivé de quoi hier, puis il y a une nouvelle qu'on a appris hier, et là, tout le monde a levé le nez là-dessus. [00:07:05] Speaker B: Et les sociétés privées, elles font quoi? C'est quoi la proposition? [00:07:08] Speaker A: Elle donne l'exemple d'Airbus, par exemple, qui ne lisait des autobus pour ses employés ou quelque chose comme ça. [00:07:13] Speaker B: OK, donc on va demander à Industrielle-Alliance, on va demander à Benevo, on va demander aux grands employeurs de ne liser des bus. [00:07:18] Speaker A: Oui. Moi, je leur demande pas, mais s'ils veulent le faire, faites-le. Et c'est extrait si vous le faites. [00:07:23] Speaker C: Non, non, non, attends un peu. C'est là la twist du manipulateur. Lui, l'interviewee, l'intervieweur, pardon, il demandait pas un marchand de demander à lui ce qu'il disait, c'est qu'Airbus le fait parce qu'il trouve ça nécessaire. [00:07:42] Speaker A: Oui. [00:07:43] Speaker C: Ah mais c'est ça. [00:07:44] Speaker A: Pis c'est-tu qui propose, pas directement, pas exactement de même, mais quand même pas loin. [00:07:49] Speaker C: Ça c'est une bonne idée. [00:07:50] Speaker A: Qui proposait ça sur nos ondes? Y'a-tu ça une semaine, deux semaines? [00:07:53] Speaker C: Je sais pas. [00:07:54] Speaker A: Pierre-Olivier Pinault. [00:07:55] Speaker C: Ah ouais? [00:07:56] Speaker A: Oui. Lui, parce qu'il donnait l'exemple avec JC et avec Patricia du transport scolaire, comment ça fonctionne bien, puis il disait en région, ça pourrait bien fonctionner. Puis là, Patricia disait, ouais, mais c'est pas tout le monde qui s'en va à la même place. Ben, sais-tu quoi? Quand c'est un gros employeur comme ça, tout le monde va à la même place. Voilà. Fait que l'autobus peut faire une ronde de lait, aller chercher le monde, puis les amener tous à la même place. Là, ça marche. [00:08:19] Speaker C: Le privé, c'est diable. [00:08:20] Speaker A: Ouais, mais c'est du privé. Pourquoi ça serait automatiquement la ville ou le gouvernement qu'il faut qu'ils s'en occupent? Tant mieux si un privé le fait. Le privé voit que ses employés sont dans le trafic. Ils perdent la productivité à cause de ça. Je vais m'organiser une bus, je vais rentabiliser la bus en question. [00:08:37] Speaker C: Je vais expliquer aux employés, au lieu que ça vous coûte 100$ par mois pour le stationnement souterrain. [00:08:42] Speaker A: Aussi. [00:08:42] Speaker C: Donne-moi en 30, t'as le bus à la porte. [00:08:45] Speaker A: Peut-être que justement l'entreprise a peut-être besoin d'avoir moins de stationnement, fait que le bout de stationnement t'agrandis ton usine. Y'a plein de possibilités là. C'est pas mauvais que Airbus fasse ça. [00:08:59] Speaker C: C'est là que tu vois que je. [00:09:00] Speaker A: Suis pas un leader. Good job! [00:09:02] Speaker C: Est-ce que ça va être à moi à demander à Industriel Alliance? Hein? Est-ce que c'est à moi de demander? Tu vois qu'il n'y a pas d'imagination, il n'y a pas de guts, il n'y a pas de leadership, il n'y a pas d'envergure. [00:09:12] Speaker A: Dimitri Soudaz avait un très bon point hier. Oui, donc essentiellement, c'est la journée du chantage. Parce que ce qu'on est en train de dire, c'est qu'il y a une élection partielle qui s'en vient à terre bonne. Est-ce que vous pouvez acheter nos votes? Non mais c'est quand même... Soyons sérieux. Première question aux différents maires qui toujours demandent, on a besoin de plus, on a besoin de plus. Une fois que leur système de transport collectif est construit par le gouvernement provincial, pourquoi est-ce qu'ils sont incapables de l'opérer au minimum en ne pas faisant de déficit? C'est le minimum des choses. Faites pas de déficit. On vous l'a construit. Le gouvernement provincial paye pour vous construire du transport commun. Après ça, gérez-les et essayez de pas faire de déficit. Parce que là, oui, t'avais des maires, c'est de la Couronne-Nord, je me trompe pas, de Montréal, qui venaient quêter de l'argent hier. On l'a échappé, nos médias l'ont échappé solide hier, suite au débat américain. L'histoire des chiens, des chats mangés par des migrants haïtiens, bon, c'est-tu ça, c'est-tu pas ça? Je regarde, ça, on le sait pas. Mais ce que ça démontre, en fait, c'est juste, il y a une crise sociale, présentement, 20 000 haïtiens d'une ville. [00:10:28] Speaker C: De 50 000, c'est ça l'histoire. Des chiens, des chats, des pigeons, on a un peu rien à foutre. C'est sûr que Trump aurait pas dû aller là, mais voilà. [00:10:37] Speaker A: Mais je vais te faire entendre J.D. Vance avec la fille de CNN, Collins. [00:10:42] Speaker C: C'est très très bon ça. [00:10:42] Speaker A: Caitlin Collins. [00:10:43] Speaker F: Et je pense que c'est important pour les journalistes d'aller sur le sol et d'étudier ce genre de choses eux-mêmes, quand vous avez beaucoup de gens qui disent que leurs chiens sont en train d'être abductés, ou que les fantômes du pont de la ville sont en train d'être abductés et tués juste devant nous. C'est de la folie. Et, encore une fois, si ces exacts rumeurs deviennent à la moitié vraies ou à la moitié vraies, quel que soit le cas, Cette ville a été ravagée par 20 000 migrants. Les coûts de la santé sont augmentés, les coûts d'habitation sont augmentés, les maladies communicables comme l'HIV et le TB ont éclaté dans cette petite ville d'Ohio. C'est ce que les politiques de frontières de Kamala Harris ont fait. Et je pense que c'est intéressant, Kaitlin, que les médias ne s'intéressaient pas à la carnage mené par ces politiques jusqu'à ce qu'on les transforme en meme. [00:11:31] Speaker A: About cats and dogs. Donc, les médias en parlent, mais c'est vrai, il y en a d'autres journalistes aux États-Unis. Sont où les journalistes sur le terrain? directement à Springfield, en Ohio, pour nous rapporter ce qui se passe là. [00:11:48] Speaker C: L'histoire de geese pis des... [00:11:49] Speaker A: Pis oubliez au pire! [00:11:50] Speaker C: Les lindox, les canards, ça, les oies, ça a déjà sorti. [00:11:53] Speaker A: Mais il dit au pire, oubliez c'histoire-là, c'est exactement ça qui se passe, pas rien. Mais y'a une crise sociale qui est en train de se passer là, une crise de santé publique. [00:12:00] Speaker C: La gauche utilise... comme au Québec, et on va y arriver, une anecdote pour salir Trump et une anecdote pour surtout ne pas parler du dossier. Le dossier, c'est pas la protection des chiens et des chats. Le dossier, c'est l'immigration. folle, débridée et illégale. Mais évidemment, ici au Québec, on est dans les émotions, on est dans le pas compliqué, faut pas que ça soit trop compliqué, et on est surtout dans le... on aimerait ça être dans photo. Résultat, on est allé chercher un ministre haïtien pour le faire pleurer, et on se met dans photo. Honnêtement, cette couverture-là, c'est complètement whack. Jamais Trump a dit que les médias aux États-Unis ont dit que Trump avait été raciste. Ils ont dit que c'était fourré. Il y a eu l'Ardencav, c'est correct. Mais l'histoire du racisme, ça ne fait pas partie de la discussion de la couverture. [00:12:57] Speaker A: Il est pas allé dire ça mange des chats pis des chiens parce que c'est des haïtiens. C'est pas ça la question. Dans le fond, c'est que la crise sociale est tellement amplifiée que tu as peut-être même du monde qui serait rendu à manger des chats et des chiens parce qu'ils n'ont rien d'autre à manger. Moi, c'est ça que je comprenais. Ça veut dire que c'est des péruviens. [00:13:13] Speaker C: Ça même la discussion. [00:13:14] Speaker A: Ben oui. Je reviens toujours à cet exemple-là. Les vénézuéliens, quand tu as eu Chavez qui est tombé dans le communisme, ils ont mangé des animaux doux. [00:13:24] Speaker C: Oh oui, c'est de la réalité. [00:13:25] Speaker A: T'avais plus rien à manger. Quand t'as faim, tu manges n'importe quoi qui va te tomber sur la main. Ça se résume pas mal à ça. Mais hier sont allés voir toutes les députés d'origine haïtienne. Si Dominique Anglade est encore là, il serait allé la voir, c'est clair. Mais du côté des libéraux, t'as Mme Nica Cadet. Puis on lui a posé la question, comment vous vous sentez en tant qu'haïtienne? Vous avez réagi comment? Vous l'avez écouté le débat hier soir quand vous avez entendu M. Trump parler des haïtiens qui mangent des chats. Écoutez, c'est absolument désolant. Je pense que ça ne fait pas honneur au rôle qu'il tente d'obtenir. Vous craignez pas quand même qu'il y ait un genre de stigma envers des haïtiens? Parce qu'en même temps, on sait que c'est des faussetés. Il y a des gens qui croient n'importe quoi. C'est toujours un risque. [00:14:12] Speaker C: Ben voyons donc, c'est une histoire inventée cette affaire-là! C'est une histoire inventée! De toutes pièces! [00:14:19] Speaker A: Pis le pire après ça? [00:14:19] Speaker C: L'histoire des haïtiens, ce n'est pas une histoire sur les haïtiens. Remplacez haïtiens par péruviens, par... n'importe qui. Je veux dire, équatoriens, guatemaltèques, peu importe. C'est la même, même histoire. Trump s'est gouré. Yes. Maintenant, il mange d'autres animaux. Bon. Le dossier, tu l'as bien expliqué, c'est la crise sociale et l'intégration de ces gens-là dans cette ville-là. [00:14:47] Speaker A: Ils habitent dans des tentes. [00:14:47] Speaker C: Boum! Ils habitent dans des tentes, une ville grosse comme Shaweeb. Il y en a 20 000 qui arrivent. [00:14:52] Speaker A: C'est pas très compliqué. C'est passé, c'est bien simple. Pensez à comment le chemin Roxham s'est créé. Ça s'est créé à partir d'une rumeur. Le mot s'est passé. Puis en fait, « Hey, tout le monde, on passe par ici. » T'as eu un système qui s'est organisé. C'est ça. Pis les avions qui arrivaient pour amener le monde qui s'en venait au chemin de Roxham. [00:15:09] Speaker C: C'est-tu exposé ça? [00:15:10] Speaker A: Springfield, Ohio, ça a été ça. Y'a une rumeur qui est partie. Ils ont des jobs là-bas pour les migrants. Pis y'en avait, y'en avait quoi, 50, 100, je sais pas. Mais t'as 20 000 personnes qui sont arrivées. [00:15:23] Speaker C: Pour le gauche, l'immigration c'est extraordinaire. Parce que c'est la richesse culturelle et tout. Oui, l'immigration légale, bien intégrée, c'est effectivement toute une richesse. [00:15:34] Speaker A: Absolument. [00:15:35] Speaker C: Mais là c'est pas ça le discours. Le discours c'est l'immigration illégale, folle, et à l'intérieur de ça, Oui, il y a des criminels. C'est judiciarisé. C'est documenté. Ils ne sont pas tous criminels. Mais il y en a. Et ce n'est pas contrôlé. Et à l'intérieur de ça, ce dont ne parlent pas ou pas assez les journalistes et les démocrates, c'est qu'il y a des centaines de milliers d'enfants disparus. Des mineurs disparus. À l'intérieur de cette vague-là migratoire folle. Ça, c'est triste. C'est ça le vrai sujet. I make Carman a doctor again. [00:16:12] Speaker A: OK? [00:16:13] Speaker C: On se fait-tu des calottes à la gang? Carman. Un ménis sous-performant, c'en est un, là. Fait que t'as Chassain, il aurait dû l'être, ménis, mais lui, il aurait pas dû être ménis. Il est sous-performant à peu près, là. Il est bon en rien, lui. L'NPD... le DPJ, ça va bien, hein? On glisse à l'oreille que ça va super. [00:16:31] Speaker A: Mais le pire, c'est que là, hier, à Radio, de Radio-Canada, en après-midi, à Montréal, là, on était... Fait qu'écoute, on était choqués. [00:16:38] Speaker C: C'est une affaire qui a rebondi même ici au Québec où ce matin, imaginez la députée libérale de Bourassa-Sauvé à Montréal, Madwa Nika Kadeh a dû se prononcer sur ce sujet-là. [00:16:50] Speaker A: Ben oui mais c'est de votre faute. C'est vos journalistes, je sais pas si c'est un gars de Ratcan le gars là, mais c'est vos journalistes qui sont allés poser des questions Aux députés. Ah, ça rebondit ici. [00:17:02] Speaker C: C'est une histoire fabriquée de toutes pièces. C'est gênant. C'est la pire histoire de la semaine. [00:17:09] Speaker A: Il n'y a pas d'équivalent aux États-Unis. On ne va pas voir les haïtiens pour leur demander comment vous trouvez ça, le racisme de Trump. [00:17:16] Speaker C: Non, ça n'existe pas. Ah, c'est gênant. [00:17:19] Speaker A: Le pire, c'est que minute, la même animatrice, pourquoi elle parlait de ça, c'est qu'après ça, elle avait un expert. [00:17:27] Speaker E: Qui. [00:17:28] Speaker A: Lui se collait plus d'ailleurs sur l'antisémitisme, mais pour faire un lien. [00:17:34] Speaker C: L'étranger qui mange nos animaux domestiques, ce n'est pas un discours nouveau, ça, dans l'histoire. Il fait référence à quelle peur et à quelle mythe? Il faut bien comprendre que l'immigration, c'est un enjeu fondamental de l'histoire américaine depuis le début du 20e siècle. [00:17:56] Speaker A: Chaque président a dû faire face à ça. [00:17:58] Speaker C: Et ça se conjugue parfois avec des tendances racistes. [00:18:02] Speaker A: Mais là, ce qu'on voit, c'est d'abord. [00:18:06] Speaker C: Le discours anti-immigrant qui cache un discours raciste. [00:18:08] Speaker A: Ouais, ça, ça cache. Le but, c'est juste de dire « Trump égale raciste ». Ça se résume à ça, là, finalement. Là, juste pour rire, OK? [00:18:16] Speaker C: Juste rappeler que 541 000 Québécois qui ont regardé le débat traduit à LCN et à Fermez la lumière. [00:18:24] Speaker A: Là, c'est juste pour rire, ok? On s'entend, là? C'est un vieil extrait d'un show, je sais même pas c'est lequel, honnêtement, là, qui était animé par Julie Snyder à l'époque, et elle reçoit Dani Laferrière, qui, oui, est d'origine haïtienne, mais comme je dis, c'est pas ça, là. Et en plus, Julie Snyder, faut qu'on s'en rappelle, elle, je sais pas si elle l'était à l'époque, mais elle est végétarienne, si c'est pas végétalienne, là. Donc, Dani Laferrière, lui, lui partage ceci. [00:18:50] Speaker C: Pourquoi tu plumais des pigeons pour les. [00:18:51] Speaker A: Gens qui mangent des pigeons? [00:18:52] Speaker E: Pour les manger moi-même. [00:18:54] Speaker A: Ah, tu les mangeais toi-même? [00:18:55] Speaker E: Tu le mets dans l'eau chaude, hein. Dans l'eau chaude et c'est très... c'est pas très difficile. Il faut mettre des feuilles de papaye. Danny! Danny! Calme-toi, calme-toi. [00:19:02] Speaker C: Raciste! Danny! [00:19:03] Speaker E: C'est vrai. Il faut rendre sa tendre, la chair tendre et après deux heures, tu ouvres le pigeon et tu mets beaucoup de citron, tu le mets dans le four. [00:19:11] Speaker C: T'as fait ça pour vrai? [00:19:12] Speaker E: Bien sûr, ça se mange les pigeons, qu'est-ce que tu crois? [00:19:14] Speaker A: Non, mais moi je pensais que c'était. [00:19:14] Speaker C: Un travail de plumer des pigeons, mais. [00:19:16] Speaker A: Tu faisais ça pour te nourrir? [00:19:18] Speaker E: Oui. [00:19:19] Speaker A: Parce que t'avais pas d'argent? [00:19:20] Speaker E: Parce que j'aimais aussi le pigeon, c'est de la bonne viande. [00:19:23] Speaker C: Raciste du mort! [00:19:24] Speaker E: C'est un type qui m'avait dit ça. C'est un clochard sur le Carré Saint-Louis. Il m'a dit, tu sais, le pigeon c'est du steak qu'ils volent. [00:19:30] Speaker C: Raciste du mort! Raciste! [00:19:33] Speaker A: Oh mon dieu! [00:19:36] Speaker C: Mais là t'es rendu... Non mais c'est vrai! Mais t'es un raciste du mort! T'es un raciste! Mais là... Tu es raciste! 8h44. Merci Dom. [00:19:43] Speaker A: Yes. La personne sans abri qui a montré ça, elle devait pas être annexée. [00:19:46] Speaker C: Tu es raciste! T'es un raciste! OK. Sam Grenier au retour à Radio X.

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