Maurais Live - Intégral du 03-11-2025

[00:00:00] Speaker A: Votre propre opinion. [00:00:01] Speaker B: Moray Live, présenté par Multiconfort FP. C'est le mois de novembre, fou, fou, fou! Des rabais exceptionnels sur nos thermopompes du 1er au 30 novembre. Informez-vous. [00:00:11] Speaker A: Multiconfort FP. [00:00:13] Speaker B: En face de l'aéroport. [00:00:15] Speaker A: Dominique Moray. [00:00:16] Speaker B: Moray. Moray. Moray. [00:00:18] Speaker A: Moray. Moray. [00:00:21] Speaker B: Moray. [00:00:22] Speaker C: Moray. [00:00:22] Speaker B: Moray. [00:00:23] Speaker D: Moray. [00:00:23] Speaker A: Moray. [00:00:26] Speaker B: Avec Dominique Moray. Dan Gravel et Dum Dumas. [00:00:33] Speaker A: Radio-X. [00:00:37] Speaker E: Bienvenue dans Montréal Air. Bon lundi. Première semaine de novembre. Tout est réglo. 886709098. Lendemain d'élection. D'abord, bravo à Dum Dumas. et à sa gang. Vraiment un excellent show hier, pour vrai. C'était juste parfait pour quelqu'un qui était en voiture, quelqu'un qui était... Quelqu'un qui voulait la couleur de Québec aussi, là, en direct avec la gang sur le terrain. Que ce soit Gary ou Max. Max, il y avait de la misère. Il y avait de l'eau dans le gaz pour la ligne. Ça arrive sud. Ça a bien été après. [00:01:15] Speaker F: Oui, c'était juste au départ. [00:01:16] Speaker E: Juste au départ, ben oui. Ça a bien été, honnêtement, avec... L'aide que t'avais en coulisses, opérer tout ça, bravo. Carbo qui était aussi... Et Carbo aussi, mais ça je dormais j'imagine. Je l'ai pas entendu Carbo. Carbo qui était avec Respect Citoyen. Donc voilà, on va vivre un autre moment les amis et je me sens très bien ce matin. Très à l'aise. J'ai pris ma marche avec mon chien hier suite à ma seule intervention dans le show de soirée. Et je regarde par la fenêtre, moi. Je regarde par la fenêtre, comme quand j'ai regardé par la fenêtre pour le match des Jays. Tout le monde regardait le match des Jays. Ça, c'est vraiment... C'est pas scientifique, mais ça me donne la couleur de l'activité humaine. Et hier, il y a personne qui a regardé les élections. Je voyais le logo de HBO Max, à un moment donné, dans une autre maison. Je voyais... Oui, oui, il y a du monde qui a vraiment regardé la game des Flames contre les Flyers. C'est arrivé, cette affaire-là. [00:02:19] Speaker D: Tout le monde en parle, il va y avoir 800 000 personnes. [00:02:22] Speaker E: Oui, sauf que je n'ai pas vu tout le monde en parlent, mais effectivement, eux autres, ils ont leur clientèle. [00:02:27] Speaker F: Tu veux pas te faire spoiler le résultat final des Jays. Tu t'en sacs de te faire spoiler le résultat final de l'élection. [00:02:35] Speaker E: Ouais, c'est ça. C'est ça. Puis tu vas vivre la trille du moment, là. Donc voilà, mais bravo, Adam. Dan Gravel est salué parce que Dan a travaillé en Maudit ce matin dans une Légion où il y aura un général différent. Ce sera Dan qui va nous offrir Peut-être pas une Légion, dans le fond. Peut-être que... Quoi? C'est un Laboum Watch? C'est ce que tu me disais? [00:02:58] Speaker D: Oui, ça va être un mélange de tout ça. [00:03:01] Speaker E: Un mélange de deep down, de Laboum Watch. [00:03:04] Speaker D: J'ai même été capable de parler à Doom du mois, en fin de soirée, pour lui faire une analyse de la game de football. Bon! [00:03:10] Speaker C: Oui. [00:03:11] Speaker F: Ça se finit 28-0? [00:03:12] Speaker D: Non. Ça finit quelque chose comme 37-14. On en reparlera. Je n'ai pas encore sorti mes résultats. [00:03:19] Speaker E: OK. [00:03:20] Speaker F: En tout cas, ça a coûté un bras à Washington. Faut pas, je sais pas... Non, le quart d'hier, Jalen Daniels s'est démantipulé le bras. [00:03:29] Speaker E: Ah, OK. Donc, ils engageront un autre. Ils engageront chose, le gars, l'ancien des Ravens qui fait le tour de la ligue, Flaco, il va aller le chercher. [00:03:39] Speaker F: Il est occupé hier. [00:03:41] Speaker E: Ouais, mais il faut que... Moi, je veux que Flaco ait cinq équipes cette année. Il en manque trois. [00:03:46] Speaker F: Quand Burrows va revenir, il va être libre. [00:03:49] Speaker E: J'aimerais ça! J'aimerais ça! Qu'est-ce. [00:03:57] Speaker F: Qui a fait plus mal ta quête en fin de semaine? La défaite des Jays ou la victoire de Marchand? [00:04:01] Speaker E: Défaite des Jays. Défaite des Jays, assurément. Défaite des Jays. Évidemment, quand il y a une défaite sportive comme ça, Là, on tombe dans l'analyse, la micro-analyse. Il aurait dû laisser Yes Average plus longtemps, blablabla. Ça peut être des mois et des années d'analyse. [00:04:22] Speaker F: Yes Average a donné un circuit pareil. [00:04:23] Speaker D: Oui. [00:04:25] Speaker E: C'est ça. On tombe dans l'analyse, la micro-analyse et on tombe dans... C'est ça. Ils ont laissé beaucoup, beaucoup de courage sur les buts. [00:04:31] Speaker B: Beaucoup. [00:04:32] Speaker E: C'est ça, l'histoire. [00:04:33] Speaker F: Ça n'a pas de sens. [00:04:34] Speaker D: C'est ça. [00:04:34] Speaker E: À un moment donné, il faut que tu fasses entrer... Quand tu vois grand-maman au casino, À un moment donné, tu mets des sous, à un moment donné, la machine doit payer. [00:04:42] Speaker F: Ouais. [00:04:43] Speaker E: Et la machine n'a pas payé. [00:04:45] Speaker G: Regarde. [00:04:45] Speaker E: Résultat, c'est quand même pas honteux de perdre contre les Dodgers non plus. [00:04:48] Speaker D: Non. [00:04:48] Speaker E: Je sais pas comme si elle avait été éliminée par... [00:04:50] Speaker F: Alors, il y a deux semaines, je disais que ça serait un plantage. Peu importe qui se rendait contre les Dodgers. Et on s'est rendu en 7 en prolongation. En fait, le seul feeling après la déception, c'était « Il faut refaire ça l'an prochain. [00:05:04] Speaker E: » « Il faut refaire ça l'an prochain. [00:05:05] Speaker F: » « Foutreur 5 bêchettes. [00:05:07] Speaker E: » « Mais oui. [00:05:08] Speaker F: » « Chars 2 va revenir. » « Man Max. [00:05:11] Speaker E: » Ouais. [00:05:12] Speaker F: Mad Max a dit « j'ai pas lancé mon dernier lancé ». [00:05:15] Speaker E: Ok. C'est un Christy de gagnant ça là. C'est un Christy de chef. Mais c'est sûr que les salles d'opérations sont prises ce matin à Toronto. Je sais pas si vous avez un rendez-vous chez l'orthopédiste ou whatever, faire changer une hanche ou n'importe quoi, mais à Toronto ce matin, Il y a beaucoup de Jays qui se font pairer. C'était un club Maganese. [00:05:37] Speaker F: Springer qui grimassait à chaque swing qu'il faisait. [00:05:41] Speaker E: « On s'en socle des Jays », nous le dit un Livers ce matin. [00:05:44] Speaker F: Ah non, moi ça a été... [00:05:44] Speaker E: On s'en socle pas du tout des Jays. [00:05:45] Speaker D: C'est l'événement de la fête de semaine. [00:05:47] Speaker E: C'est l'événement de l'année. C'est l'événement de l'année. [00:05:49] Speaker F: Possiblement de l'année, en effet. [00:05:50] Speaker E: Qu'on paraisse qu'il sent bien que marcher, on s'en fout des Jays! On s'en fout pas des Jays. [00:05:54] Speaker D: On va parler de ça pendant 4 heures. [00:05:55] Speaker E: Ouais, c'est ça. [00:05:56] Speaker F: On va parler de ça pendant 4 ans. Pas 4 heures, 4 ans. [00:06:01] Speaker E: On vit le moment. Il faut vivre l'actuel. Faut pas aller se pendre au grenier. Y'a pas question de se couper les veines, quoi que ce soit. Les gens ont parlé, en passant. Je suis d'accord avec... c'est un ancien chroniqueur de Radio X, je sais plus si c'est chroniqueur ou pas, la fin de semaine, des fois, ça se promène la staff et tout. Bref, c'est un gars de chasse épais, je dis Claude, qui écrivait. Mais en durée, vous n'êtes pas allés voter, vous savez le résultat que vous avez. Beaucoup de gens qui sont pas allés voter. Il y avait beaucoup d'opportunités pour le faire. Il y avait, oui, dimanche passé, mais il y avait lundi, mardi aussi. Dans mon coin, c'était à l'atrium, c'était ouvert, c'était écrit sur le carton. Stéphane Lachance, lors de sa dernière intervention avec The H, vous vous en souvenez? Il y a eu le tandem Amade et par la suite Lachance. Il est allé voter ici, grosse pancarte, à côté de Radio X. C'était ouvert à tous les jours. Quelqu'un qui voulait aller voter. voulait aller voter, il pouvait aller voter. Il y a pas d'excuses. Et le résultat que vous avez là, c'est le résultat que vous avez. [00:07:08] Speaker F: Le pourcentage de participation sera trop bas tout de même, mais si mon calcul est bon, il y a environ 40 000 personnes qui ont voté de plus qu'il y a quatre ans. [00:07:16] Speaker E: Combien? [00:07:17] Speaker C: 40 000. [00:07:17] Speaker E: OK. [00:07:18] Speaker F: Ça va être autour de ça. [00:07:19] Speaker E: De l'amélioration? [00:07:20] Speaker F: Oui. [00:07:21] Speaker E: Amélioration. [00:07:22] Speaker D: Marchant 40 000 votes de plus, c'est bien plus que 40 000 votes. Il y a 50 000 votes de plus que la dernière fois. [00:07:28] Speaker E: Donc regardez, c'est ça qu'on a. Puis on va faire le tour de ça, l'étonnant et aboutissant de ça. Moi, je suis... Je suis surpris et pas surpris. On avait collé la shot ici, victoire de marchand. J'ai été cité dans la presse par le journaliste Gabriel Chose. Mais maintenant, ce qu'on souhaitait, c'est de l'opposition. C'est sain de l'opposition, on passait un message aux médias. C'est sain. Dans une société, c'est sain d'avoir de l'opposition. Donc, il y en aurait une, l'opposition. Mais selon Pierre Couture, elle sera en ondes ici. Entre autres. Entre autres, voilà. Il y aura Stéphane Lachance, mais la société civile également, la société civile, au fil du temps, va se manifester à un moment donné. L'histoire de dire autrement, on y va, let's go. Il y a des conjonctures. L'argent ne pousse pas dans les arbres. Il y a des conjonctures qui sont immuables à Québec comme aux fédérales. On verra, comme on dit. Dan? [00:08:34] Speaker D: Ben oui, c'est vrai que l'opposition, ça va être ici. Sauf que nous autres, on vote pas, là. [00:08:41] Speaker F: Non, au conseil municipal, on n'a pas le droit de voter. [00:08:44] Speaker D: Je comprends qu'on va surveiller, qu'on va faire tout ça. L'autre chose, moi, c'est le... Croyez-vous au sondage? Auditeurs, tout le monde, croyez-vous au sondage? [00:08:54] Speaker E: Un sondage? Bien fait, avec un bon échantillonnage, je suis obligé de dire qu'il y a des exemples de sondages qui sont proches de la réalité. C'est sûr que là, il faut que tu m'identifies. Un sondage comme tel, en particulier? [00:09:08] Speaker D: Bien, je vais te dire que les sondages concernant le tramway, il y a juste des sondages, jusqu'à maintenant, qui m'indiquent que les gens de Québec sont contre un tramway. Parce qu'à toutes les fois qu'il est venu le temps d'aller le dire au vote, c'est jamais arrivé. Jamais, jamais, jamais, jamais. Jamais, jamais, jamais, jamais. Moi, ce matin, Je suis obligé d'arriver avec le constat que les gens de la ville de Québec veulent un tramway. On n'a pas le choix. On est obligés. On est obligés. Ils ont voté pour Mark Carney la dernière élection. Ils ont voté pour François Legault. Ils ont voté pour Bruno Marchand la dernière fois. [00:09:40] Speaker E: Ils ont rejeté du M tant que ça. [00:09:41] Speaker D: Ils ont rejeté du M. [00:09:42] Speaker E: Ils ont voté massivement pour Legault. [00:09:44] Speaker D: Absolument. Et la seule chose qu'on me dit, qui me dit que les gens de Québec sont contre le tramway, c'est des sondages. Parce que quand il est venu le temps d'aller voter, ils sont pas allés voter ces gens-là. [00:09:55] Speaker F: À toutes les paliers, en effet. [00:09:57] Speaker D: Donc, allons-y. Moi, c'est la démocratie. Les gens de Québec veulent un tramway. Donc, je vais participer au sondage Choisir la couleur. [00:10:05] Speaker E: Moi, je vis dans le réel. Je vis pas dans le parallèle. Je vis pas dans le virtuel. Je vis pas dans le surnaturel. On le vit. On va vivre ça et on vit ça. Regardez. Je n'irai pas me magasiner un cancer, je n'irai pas faire de l'insomnie. Je vis le moment présent là. Ils viennent chercher mon cash à tous les ans. Dans le cas des autres gouvernements, c'est aux deux semaines. Beaucoup de cash. Et on paye nos taxes à la ville. Tout ce qu'on souhaite et tout ce que je veux, c'est que ça aille bien. Moi, je veux une ville bien gérée et je veux que ma ville roule. On va surveiller, on va questionner. Je suis obligé de dire que les gens, les affaires municipales, je suis pas sûr que ça les intéresse tant que ça. Moi, j'ai connu. Moi, je connais du monde. Ils sont pas allés voter hier. Moi, je vais pas voter, je vais aux remparts. Man. Dis-moi pas ça. [00:11:03] Speaker F: C'est ça que Dame t'avait dit. [00:11:05] Speaker E: Dis-moi pas ça. [00:11:06] Speaker F: Il y avait Chief's Bills hier. Il y avait Chiefs contre Bills hier. [00:11:10] Speaker E: Toutes les raisons sont bonnes. [00:11:11] Speaker F: Très bon match. [00:11:12] Speaker A: Fini serré. [00:11:13] Speaker E: Puis ma tante Suzanne est descendue. Puis elle voulait aller manger de la poutine au Ashton. Puis l'autre qui voulait aller aux Galeries de la Capitale. Puis l'autre qui avait du patin fantaisie, puis blablabla. Toutes les raisons sont bonnes pour rester sur son gros cul. [00:11:25] Speaker F: Je voulais aller voter, mais Chiefs-Bills ont fini trop tard. [00:11:27] Speaker E: Il me restait pas assez de temps pour aller voter. [00:11:29] Speaker F: Il me restait genre 15 minutes. [00:11:31] Speaker E: Toutes, toutes, toutes, toutes les raisons sont bonnes pour ne pas aller voter. Viens pas chialer au cours des quatre prochaines années. J'ai le droit de chialer? Je chiale tout seul. Donc vous êtes pas déplacés, vous avez pas fait votre geste. À un moment donné, là, tout a été dit et re-redit. Toutes les raisons étaient bonnes pour aller voter. Bon. C'est fait, c'est fait. Maintenant, Sam Ahmad, quelle catastrophe Paris, là. C'est un écrasement d'avion live. [00:12:02] Speaker D: Si le fait s'engage, je pense. [00:12:04] Speaker E: Ben oui. Il tirait à quasiment 40 %. [00:12:08] Speaker D: En fait, je pense que Steven Melençon, là... Oui. Le fait... Oui. [00:12:15] Speaker E: Sa mamade doit... Sa mamade doit s'excuser. [00:12:19] Speaker D: ... à Steven Melençon. [00:12:20] Speaker E: Oui. Il était battu. [00:12:21] Speaker F: Si Steven Melençon est avec respect citoyen hier, il passe la gratte. Il gagne facilement. C'est de la même... moi, je le comprends, là. Parce que regarde les résultats de toute la gang de Sam Hammad, excepté Stevens, Melanson, il y a personne qui passe proche de Gornier, là. [00:12:39] Speaker E: Isabelle Roy, qui était la première à aller sous Sam Hammad. Isabelle Roy, 21 %, a fait le reste. Emilie Robitaille... C'est une volée à la grandeur. [00:12:52] Speaker D: Mais ce qui fait encore plus mal, là, je vais vous le dire. On va commencer par Robert Giffard. Si je calcule la division du vote, on en a parlé pendant combien de fois, la division du vote? Robert Juffort. Je prends toujours le leadership Québec contre plus respect citoyen, OK? C'est 4740 à 3975. Donc le vote anti-marchand est passé dans Robert Juffort. Mais malheureusement, la division du vote fait que c'est Québec fort et fier. Chut, Montmorency, c'est... [00:13:23] Speaker E: C'est Éric Courtement-Jbeil qui a été élu. Quelqu'un qu'on connaît pas, mais qu'on pense qu'on a connu et qui est là pour 4 ans. [00:13:29] Speaker D: Si je vais dans les chutes, chute pour Morancy, c'est Melançon au B qui se présentait là. Les deux ensemble ont 5 915 votes. QFF gagne à 3 668. [00:13:41] Speaker F: Je vois qu'il a fait un bon résultat à la fin, mais il a pêché Melançon. [00:13:45] Speaker D: Division du vote, Melançon perd par 187 votes. [00:13:48] Speaker F: Je l'ai fait le calcul hier, je sais pas si tu veux que je saute à cette table-là. [00:13:51] Speaker E: Oui, on est dedans là. [00:13:52] Speaker D: Attends un peu, je veux juste y aller. Desbons, Louis XIV, Saint-Rodrigue, même des Sceaux-de-l'Éméande, parce que j'ai calculé ce que Véronique Dallaire a fait, parce que c'est la seule qui a été cherchée pas mal de votes du côté de Québec d'abord. Puis là aussi, tu vois, presque partout, Misaport, Caproche, Pointe-Sainte-Foy, Duplateau, Sainte-Foy-Sillerie, puis le centre-ville, tout le reste. La population a voté contre l'équipe de Bruno Marchand, mais c'est la division du vote qui fait que c'est Québec-Fortefières qui est passée. Donc, c'était écrit dans le ciel. S'il y a deux partis anti-tramway... Donc, l'argument est valide? [00:14:28] Speaker E: L'argument qu'on a tenu ici, en Ontario, depuis le début? [00:14:30] Speaker D: Il y aurait une opposition. Ils seraient minoritaires s'il n'y avait pas eu deux partis qui se sont présentés contre. [00:14:36] Speaker F: À la mairie, même si tu additionnes, Ahmad et Lachance sont pas proches de gagner. À moins, tu sais, s'il y avait eu juste lui un parti, il aurait-tu eu un air d'aller différent, peu importe, mais avec le résultat qu'on a hier, c'est quand même Bruno Marchand qui aurait passé relativement facilement. Dans les districts, moi j'en calculais hier soir 9. que, disons, Respect citoyen, là, mettons que le mix, ça serait fait sous ce nom-là, aurait gagné ou aurait été très, très proche, puis avec un petit swing à peine, il gagnait, là. Donc ça aurait été quand même 12-9 en faveur de Marchand. Il aurait été tout de même majoritaire, mais l'opposition aurait été beaucoup plus forte. Il y aurait pas d'histoire... Il y aurait pas des titres, ce matin, Ranmaré ou Victoire la Beaumienne, ce qui est totalement ridicule, là. C'est totalement faux, en fait, là. À son pire résultat, Régis Labeaume était beaucoup plus fort que Bruno Marchand hier. [00:15:33] Speaker E: Mais Dan disait, quand on s'en parlait, qu'il y avait plus d'opposition à l'hôtel de ville. Le vote populaire était très fort, mais l'opposition était plus... [00:15:42] Speaker D: Il y avait plus de monde dans l'hôtel de ville. de parties différentes, t'sais, y'avait Bussière qui était indépendante, y'avait 3 Québec 21, t'sais, t'avais Pat Paquette, Jean Gosselin, pis Steven Melançon. [00:15:56] Speaker F: Mais la bombe était très très très forte. [00:15:58] Speaker D: Mais la bombe était très forte. Mais là, oubliez ça, là. 18 à 3, là. C'est toutes les fois qu'il va y avoir un vote, Dom, ça va finir 18 à 3. [00:16:08] Speaker E: Oui. Mais sur la question du tramway, parce que je le sais que vous êtes tanné d'en entendre parler, vous étant peut-être pas les livers les plus allumés, là. Mais la guéguengue, la guéguengue de LCN, la guéguengue de Radio-Canada, c'est parce que vous pouvez pas dire d'un côté, c'est plus entre les mains de marchands, et de l'autre dire, si tu tenais plus au tramway, il faut aller de l'avant. Vous avez dit que c'était plus entre ses mains. Et ce n'est pas entre ses mains, ce n'est plus entre ses mains. Vous l'avez dit et redit, mais c'est la vérité ce matin. C'est entre les mains de la caisse de dépôt et le montage financier n'est pas fait. Ça, c'est la vérité. C'est la vérité. Il manque de l'argent provenant du fédéral et il y a rien. Il y a plusieurs questions sans réponse d'ailleurs ce matin. Restons-en juste à celle-là. [00:16:57] Speaker F: Ça coûte combien? [00:16:57] Speaker E: C'est ça. Ça coûte combien? Mais il n'y a rien qui nous garantit que le fédéral va mettre de l'argent dans ce tramway-là. Dans l'ancien projet, il n'y avait pas mis l'argent. Là, c'est un nouveau projet avec un nouveau véhicule. Un tramway, pourquoi, plus étroit. C'est ce qu'il avait dit lors de la première conférence de presse à laquelle tu avais assisté, Dan. On verra bien. Le BAP, qu'est-ce qui va arriver avec ça? Qui va payer la facture? Regarde, toutes les questions essentielles demeurent. Moi, en ce qui me concerne, il n'y a absolument rien qui a changé hier. Il n'y a rien qui a changé hier, dans la mesure où la question essentielle sur le tramway, c'est la question du financement qui paye. Et on a deux gouvernements qui sont dans un trouble majeur. Et deux gouvernements, dont un en particulier qui envisage des coupes massives. On verra bien Champagne, là, de quel bord il va pencher, là. [00:17:52] Speaker F: La CAQ est en train de faire des coupures. [00:17:54] Speaker E: Et la CAQ, c'est pas des coupures massives, mais c'est des coupures en cabochon. C'est ça. C'est des coupures en maillet, en cabochon. On coupe les médecins. On coupe... un tel, un tel, à gauche, à droite. Ça, c'est pas structuré. Tu vois que c'est à la sauvette. En milieu de semaine, la semaine passée. On coupe les subventions. [00:18:15] Speaker F: On a coupé en éducation, puis des profs, puis des aides il n'y a pas longtemps. [00:18:19] Speaker E: C'est comme quelqu'un qui a les yeux bandés puis qui essaie de trouver la piñata avec un bâton. C'est un peu bric-à-brac, mais c'est la CAQ. On n'est pas surpris. Donc, face à cette situation-là, la conjoncture, à mon avis, elle est complètement différente. Donc hier, il n'y a rien qui a changé. Oui, il a été élu. par l'apathie des gens et par le fait que les gens qui sont allés voter, c'est des gens qui votent par habitude. Il est là, il est là, on vote. Merci, bonsoir. Et on vote. Si je vote marchand, je vote pour le conseiller marchand. Beaucoup de gens ne comprennent pas le mécanisme de l'opposition. C'est une élection qui est différente du fédéral et du provincial. Beaucoup de gens, humblement... [00:19:04] Speaker F: J'en ai eu un qui a appelé dans les lignes ouvertes, parce que je vais être une ligne ouverte en fin de show hier, puis il y en a un qui a appelé. [00:19:09] Speaker D: C'est pas si évident que ça, là. C'est pas si évident que ça, là. Tu vois, dans plusieurs circonscriptions, t'as des milliers de personnes qui ont voté Marchand, mais qui ont pas voté Québec vote et Pierre. C'est juste que... [00:19:21] Speaker E: C'est la division du vote qui fait. [00:19:25] Speaker D: Ça, parce que s'il n'y avait pas eu trois... Parce que souvent, même dans l'équipe de Claude Villeneuve, c'était des candidats de qualité. Les candidats étaient de qualité, même dans les différentes districts. [00:19:38] Speaker E: Donc, le résultat, c'est... [00:19:40] Speaker D: C'est à splitter le vote. [00:19:41] Speaker A: Mais il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup. [00:19:43] Speaker D: Je vous dirais, à part Limoilou et La Haute-Ville, les autres, ils ont voté contre... ils ont voté pour Marchand comme maire, mais contre Marchand comme conseiller. Puis malheureusement, la division du vote fait que c'est Québec fort et fier qui va être représenté. [00:20:00] Speaker E: Bravo à Stéphane Lachance. Je regarde les performances dans les différents districts. Ça attirait fort. Ça attirait fort. Respect citoyen. Marc Roussin a gagné dans Lac-Saint-Charles-Saint-Émile. Marc Roussin au conseil. Ça va brasser, mais Stéphane Lachance, ça va au conseil. Stéphane Lachance, ça va au conseil. [00:20:26] Speaker F: C'est la seule opposition qui a gagné. [00:20:28] Speaker E: C'est la seule opposition qui sera à l'hôtel de ville avec... Jacky est plus. [00:20:32] Speaker F: Là, Claude Villeneuve est plus là, puis de son équipe. Puis là, je parle des équipes aussi, là. Puis la gagne à Saint-Mamanne, ils n'ont rien gagné. [00:20:39] Speaker E: Je vais vous dire une affaire. Ça va brasser son majoritaire. Mais quand je dis que ça va brasser, ça sera des questions directes, et discipliné grâce, entre autres, à Mélanie Sauvé, qui a gagné dans Sainte-Thérèse de Lisieux. Mélanie Sauvé, on l'a vue ici, la face dans la fenêtre, lors de nos dernières entrevues avec Stéphane Lachance. Elle a du gut, ça? une femme alpha et qui a du caractère. Et qui a du caractère. Ça, au conseil, vraiment, ça va être le fun à voir. Stéphane Lachance sera au conseil et également Roussin. Donc, trois personnes de l'opposition. C'est le joyeux trio. [00:21:24] Speaker D: Ça intéresse Elysieux, c'est la circonscription qui avait voté deux fois pour Québec 21 lors des dernières années. C'est une des deux circonscriptions qui avait été coquifiée par les gens de Québec 21 de l'époque, c'est-à-dire Jean-François Gosselin dans ce cas-ci. Ils ont voté pour respect citoyen. Tu vois, tout est dans tout. La même chose pour Val-Belair. Val-Belair, les gens se sont sentis coquifiés par Bianca Dussault. Bianca Dussault, c'est une des seules membres de Québec fortes et fières à faire partie du conseil municipal. Donc, elle était déjà là. [00:21:59] Speaker F: Il n'a pas envie de gagner. [00:22:00] Speaker D: Puis là, elle perd. Puis là, elle vient de perdre. Ce qui n'était pas le cas dans les autres circonscriptions. Donc, elle, c'est la seule qui s'est représentée et qui a perdu. Et ce n'est pas à cause de son travail de député, de conseillère dans Val-Balaire. C'est à cause qu'elle a coquifié les électeurs de Val-Balaire. C'est tout. [00:22:22] Speaker E: Pour ça, d'autres réflexions avant de tomber dans les extraits, dans le deep down après la pause? [00:22:27] Speaker F: Oui, bien j'ai hâte de voir le comportement des médias pour les quatre prochaines années. Parce que là, l'opposition, c'est des gens qui le méprisent. Ils méprisent leurs électeurs et ils méprisent les gens, leurs idées, etc. Donc quel sera le traitement? Est-ce qu'on va lever le nez sur cette opposition-là et être all-in comme si Marchand était tout seul pour les quatre prochaines années? Parce que rappelez-vous aussi à une autre époque, Régis Lamont m'avait dit « Pas besoin d'opposition. C'est les médias qui vont être mon opposition. » Ce qui n'est jamais arrivé. Mais ce qui est arrivé déjà plus dans le temps que ça arrive aujourd'hui. Il y a ça que je n'ai plus confiance. J'ai perdu totalement confiance en nos médias, puis les titres ce matin, puis la couverture encore ce matin le prouve aussi. Mais on va faire un autre tour de roue pour ce qui est du tramway. À un moment donné, prochainement, moi je m'attends à ce que ce soit même rapidement, on va nous faire une mise à jour de combien coûte le tramway, le coût va être élevé, Parce qu'on va commencer à placer des pions aussi de ce côté-là. C'est pour rentrer dans la tête que. [00:23:27] Speaker E: C'Est 10 milliards pis c'est pas grave. [00:23:30] Speaker F: C'est au-dessus de 10 milliards pis c'est pas grave. Comme on a augmenté, on était à 4 au départ. On était en bas de 4 milliards même au départ pour être amoué. Donc là, on va mettre ça tranquillement dans la tête des gens. Mais il va y avoir un sondage après. Pis là, soudainement, l'appui va être autour probablement de 35%. Mais on va continuer pareil. La CAQ va construire pareil, puis après ça, possiblement le PQ va poursuivre pareil. [00:23:53] Speaker E: Non, non. T'oublies le fédéral aussi, pour vrai. [00:23:55] Speaker F: Le fédéral, il rajoutera pas une scène. [00:23:57] Speaker E: Donc, le provincial va payer entièrement le projet. Je comprends ça. [00:24:02] Speaker H: Oui! [00:24:02] Speaker F: À moins que... À moins justement que... C'est la seule option. Qu'il y ait quelqu'un mondial qui dise, c'est trop cher, on peut pas. [00:24:09] Speaker E: C'est très, très, très loin d'être fini, cette affaire-là. [00:24:12] Speaker D: En tout cas, ils vont le promettre. [00:24:14] Speaker E: Ils sont déjà en train de... S'il y a des choix... Si on veut travailler dessus, bien en creusant, en changeant la canalisation et tout ça, il faut travailler dessus. [00:24:23] Speaker D: C'est pas ça mon point. Mon point, c'est que EPQ, EPLQ et CAQ, lors de la prochaine campagne électorale, vont promettre de casquer l'entièreté. [00:24:33] Speaker F: Et il y a jamais un seul média provincial qui est à l'aisir aux gens de Montréal. Admettons, c'est dégueulasse, les hôpitaux sont en ruine, les écoles aussi, ils vont aux routes, puis construisent un tramway à 10-12 milliards. comme ils ont fait pour le troisième, bien. [00:24:49] Speaker D: Ils font bien parce que ça fait gagner des élections, être pro-Tramway. [00:24:54] Speaker E: Pas faux. C'est un raccourci, là, mais... [00:24:57] Speaker F: Les résultats sont bons. [00:24:57] Speaker D: Je veux faire mal au monde. Je sais que c'est un raccourci, mais c'est ça, pareil. C'est Mark Carney. Les gens de Québec ont voté pour Mark Carney, là. Les gens de Québec ont voté pour François Legault. Les gens de Québec, dans les sondages, veulent voter pour PSP. [00:25:11] Speaker E: Voilà! [00:25:14] Speaker D: Puis là, ils ont voté deux fois pour Bruno Marchand. Donc, les gens de Québec votent pour l'autre à moi. Il n'y a pas d'autre. [00:25:20] Speaker E: Puis plus que ça, les gens trouvent que le gouvernement dépense trop. Les gens trouvent qu'ils sont trop imposés. Mais vote contre Duhem, qui est le seul à vouloir préconiser un nettoyage dans les finances publiques. Ça, c'est particulier, ça aussi. [00:25:36] Speaker F: Vive ma contrainte! [00:25:37] Speaker E: On en redemande le PQ qui tire comme c'est pas possible, qui se dirige vers une super majorité, et même à Québec! Et même à Québec! Dans les comtés à Québec, le PQ serait majoritaire. [00:25:51] Speaker F: Vive ma contrée de la Rive-Sud, qui vote pour Stephen Blainey, conservateur à la mairie, qui vote pour... Dans les intentions de vote, dans les sondages, élirait certains du Parti conservateur, Derek Duhem, et qui, au fédéral, vote conservateur all the way. La Rive-Sud versus la Rive-Nord, présentement, à Québec, le clash est assez clair. [00:26:13] Speaker E: Schizophrène bipolaire, appelez ça comme vous voulez. Drenville, si ça représente, il y a des chances de repasser. Oui, mais c'est la Rive-Sud. [00:26:19] Speaker F: Ah, ça, je suis pas sûr, là. [00:26:21] Speaker E: Bien... Ils ont élu beaucoup de péquistes au. [00:26:24] Speaker G: Cours des 30 dernières années. [00:26:24] Speaker F: Oui, bien, ça se peut que Lévis-Lévisante, là, donc la conscription de Drenville, ça se peut que ça soit péquiste. Moi, je pense qu'il y a plus de chances que ça soit péquiste que Drenville. Mais il y a une carte Léaulier qui est possible. [00:26:40] Speaker E: Ça, on verra, par contre. C'est un fantasme. Si Gilles fait campagne avec Éric, c'est possible. C'est possible. Il fait campagne porte à porte. [00:26:48] Speaker F: Il n'a pas fermé cette porte-là. [00:26:49] Speaker E: Gilles veut faire des croisières. Gilles veut s'amuser aussi, ce qui est tout à fait compréhensible. Je parle, nous, de la Rive-Sud. T'as entre-ouvert la porte, quand même. Est-ce que c'est une super majorité dans le cas de Blaney? [00:26:59] Speaker F: Ce n'est pas une super majorité, mais c'est une majorité quand même. Il y a 15 districts à Lévis. Stephen Bledé en a 9. La gang de Serge Bonnet en a 4. Et la gang de Mme Demers en a 2. [00:27:13] Speaker D: 17, c'est beaucoup, hein, Lévis? 15. [00:27:16] Speaker G: 15. [00:27:17] Speaker D: Même 15, c'est beaucoup. [00:27:18] Speaker F: Ben, c'était 10 il n'y a pas si longtemps. [00:27:20] Speaker D: Il y en a 21 à Québec pour 600 000 personnes. Puis pour 150, il y en a 15. Même 21 à Québec, c'est trop. [00:27:28] Speaker F: Le parti de Madame Demers, d'ailleurs, qui s'appelait encore Lévis Force 10, c'était parce qu'il y avait 10 conseillers avant. [00:27:36] Speaker E: Ça va prendre un rebranding. Plein de monde nous écrivent, dont un. Bonjour M. Morin, mon analyse est que vous et votre gang avez participé en chialant jour après jour à faire ailer Bruno Marchand. Arrête de mettre de la pression sur le... Mais moi je mets de la pression sur personne. Moi je suis payé pour émettre une opinion, je mets de la pression sur personne. Ça c'est dans la tête de beaucoup de monde. Si on n'est pas là, il arrive quoi? Arrête de mettre de la pression sur la population de Québec car vous avez manqué votre coup trois fois. Paul-Yves Duhaime est lâchant. Savez-vous quoi? Je vais agrandir votre liste encore une fois. On était contre le NPD, il y a eu une vague orange. On était contre l'abôme et l'abôme a été réélu majoritaire. Le point n'est pas de faire aider les gens. [00:28:18] Speaker D: On n'a jamais eu d'impact. [00:28:20] Speaker E: Bien, vous allumez. Exact. On surévalue, on surestime l'impact de Radio X. L'impact de Radio X, c'est quoi? C'est qu'à l'écoute du monde, on exprime les doléances. de groupes dans la population. Les commerçants, les gens, les citoyens. Il y a le monde ordinaire. Et chaque animateur s'exprime. Arrêtez de penser Radio X en passant. Prenez les animateurs principaux et toutes les équipes, t'sais, dans une salle, les équipes à grandeur. On a toutes des opinions différentes. [00:28:54] Speaker D: C'est l'enfer. [00:28:54] Speaker E: Toutes des opinions différentes. Moi, j'ai exprimé mon opinion. Oui, mais ça, moi, j'ai dit que j'avais voté la chance. Mais moi, j'ai pas entendu ça de tous les animateurs. Il y a peut-être des animateurs qui l'ont exprimé. Il y a des animateurs qui n'étaient pas d'accord avec moi, qui ne l'ont pas exprimé. Il y a des animateurs qui n'ont pas voté la chance. Mais savez-vous quoi? Arrêtez de penser que c'est une église monolithique Radio X. Les gens sont obsédés par ça. Chaque animateur parle en fonction de ses opinions, tout simplement. [00:29:25] Speaker D: Puis souvent aussi, moi, c'est... Les conversations qu'on a avec les auditeurs peuvent nous faire changer d'opinion. C'est moi écouter ce que je disais sur le troisième lien il y a 10 ans quand je suis rentré ici versus ce que je dis sur le troisième lien aujourd'hui. [00:29:38] Speaker E: C'est quoi? [00:29:39] Speaker D: Ben moi j'ai... [00:29:40] Speaker E: Ton opinion? [00:29:41] Speaker D: Ben j'ai jamais été convaincu. qu'il y avait 3-4 000 personnes qui partaient de l'est de la région de Québec pour aller dans l'est de la région de Lévis. Puis moi, je partais simplement du fait que je ne connaissais pas ça. Comme je ne connaissais pas ça, j'y allais avec mon feeling. J'ai habité dans le Vieux-Lévis. Dans les 20 dernières années, j'ai habité dans le Vieux-Lévis sur la rue Bottrell. J'ai habité dans l'ouest de Lévis, dans le secteur Saint-Nicolas. J'ai habité sur la rue McCarty, sur Saseville, dans Sainte-Foy. Quand je me suis séparé, je me suis trouvé un appartement dans le coin du Gros Héctor, dans l'est. Après ça, je suis revenu à Sainte-Foy. Puis là, je reste à Val-Balaire. Tout ça, les dernières années. J'ai aussi travaillé au centre-ville de Lévis pendant 10 ans. J'ai travaillé à l'Ancienne-Norette, puis j'ai travaillé au centre-ville de Québec. Toutes ces expériences-là me disent, je ne vois pas qui est-ce qui quitte l'est de la région de Québec pour s'en aller vers l'est de la région de Lévis. Mais les auditeurs m'ont convaincu que oui, oui, il y a au moins 3-4 000 chars qui vont prendre le pont vers Rive-Nord, vers Rive-Sud. Donc c'est fait, OK. Moi, je connais pas ça, fait que je vais vous croire sur parole, puis je vais défendre l'opinion de la majorité des gens de Québec, c'est-à-dire on veut un troisième lien à l'est. Tu vois, c'est vraiment suite à des conversations avec les auditeurs que j'ai changé mon point de vue. [00:30:50] Speaker E: C'était pas nouveau. Moi, je suis à Radio-X depuis 21 ans. Je me souviens très bien, puis c'est récupérable, sur la Banque d'archives numériques du Québec. Je me souviens d'une élection partielle dans Vannier, la DQ. Les médias sont obsédés. [00:31:04] Speaker D: Cinq. Cinq. [00:31:05] Speaker E: Cinq, cinq, parce que Danpout, à l'époque, avait dit cinq parce qu'il y avait un cinq... [00:31:09] Speaker F: Il y avait un concours. [00:31:10] Speaker E: Un chiffre cinq. [00:31:11] Speaker F: Alors c'est un concours, puis je pense que c'était le... Je sais pas, le cinquième et dix, ou whatever. Puis là, il y avait... Ah, c'est un message subliminal pour faire passer un cinquième député. [00:31:21] Speaker E: Ben oui, Sylvain Légaré. Danpout, il était zéro politique, c'est comme de quoi vous parlez. Non, c'est de la folie, mais ça n'a pas changé, ça. [00:31:28] Speaker F: Non, ça, ça n'a pas changé. Ah, ça a empiré. [00:31:32] Speaker E: C'est empiré, à cause des médias sociaux. [00:31:34] Speaker F: La folie est pire aujourd'hui. [00:31:35] Speaker E: C'est plus polarisé dans les médias mainstream. [00:31:37] Speaker F: Ah, mais moi, je parle juste des médias mainstream, là. Leur folie est pire aujourd'hui qu'elle était il y a 15 ans. [00:31:43] Speaker E: Absolument. Donc, je suis très, très à l'aise pour vrai fils. C'est quasiment une journée comme une autre. Moi, je me sens très, très bien ce matin. J'ai mis mon chandail de Shawnee Gun. Enfin, Shawnee Gun s'est tenu debout. Let's go, Yves Lévesque. J'essaie de le rejoindre, mais je sais qu'Yves, il y a bien des trucs à gérer, d'autant plus que ces gars qui restent aux États-Unis sont venus... sont venus dans la famille. C'est un trip de famille. Yves, t'es... J'ai entendu Yves quasiment pleurer hier. C'est rare. Yves, ça reste un stud, là. [00:32:16] Speaker D: Il était temps qu'il revienne aussi. [00:32:19] Speaker E: Oui, il était temps. Il était temps, mais Yves a tout mis sur la table. Lui, il s'est dit, regarde, je vais à Chahui, je fais pas de conférences de presse, pis je mets pas de pancartes de coquilles, là. Je parlais avec Yves, un vendredi. Pis il me dit « J'ai-tu bien fait de pas mettre de pancarte? [00:32:34] Speaker F: » Ok, là il faisait du second guessing là. [00:32:37] Speaker E: Il est trop tard là. [00:32:38] Speaker F: Ouais. [00:32:38] Speaker E: Mais ça se passe les maudits sondages. Ça c'est une autre affaire. J'ai entendu dire qu'il y a tel sondage. Méfiez-vous. Méfiez-vous. Moi, tant que j'ai pas vu le papier et que j'ai pas lu la méthodologie, ces sondages-là, c'est de la frime. [00:32:54] Speaker F: C'est ça. [00:32:55] Speaker E: Puis, t'sais, dans l'entourage de Yves et à Shawneegan, notre placotage, il paraît que Yves tire à 50 %. Yves, méfie-toi. Parce qu'il y a des vieux échoués. Je le sais, mon père est en de même. Et mon parrain, qui est toujours vivant, il est en de même. C'est un gars de Trois-Rivières. Jamais je voterai pour lui. T'sais. Un raisonnement de cabochon, là, c'est bon. Mais Yves a passé par plus de 50. Très, très content. Luc Trudel aurait dû aller avec Yves. Je sais qu'ils se sont rencontrés au début. Mais Luc, il dit non. Regarde-moi, j'aimerais ça être maire un jour. Mais maire un jour, peut-être que ça arrivera pas. Ceci dit, tout mon respect pour tous ceux qui se présentent en politique. C'est pas évident. Mais Yves Lévesque... On va y jaser, mais moi, il m'a jasé de plusieurs projets qui s'en viennent à Chahui, là. dont une annonce prochaine. Je vous le dis, votre Yves-Lévesque, là, vous allez l'aimer. Vous allez quasiment avoir une photo d'Yves-Lévesque dans votre cuisine. Make showy great again. Puis comme tu le dis, Dan, il était temps qu'il en gagne une, mais effectivement... Celle avec le recontage dans le comté de Trois-Rivières, c'était pas facile à accepter. Lui, il reste à Chauilly. Il est resté à Chauilly, puis il a parlé avec sa femme à un moment donné, puis il s'est dit « Je me présente à Chauilly, il est au lac à Tortues, let's go! » « On y va! [00:34:15] Speaker F: » T'inquiète, dans ce coin-là, au bain à Trois-Rivières, ça dit quoi? Je connais pas ce gars-là. [00:34:19] Speaker E: Moi non plus. Moi, j'ai commencé mon messieur à Trois-Rivières, mais j'ai moins d'attaches. sentimentale par rapport à Troisvière, mais il a été élu, là, je donnerais des descriptions tantôt, par rapport à ce gars-là, mais c'est... Ce que j'ai remarqué aussi, c'est qu'il y a beaucoup d'anciens ministres, t'sais, on a parlé d'Ahmad beaucoup ce matin, on va en reparler, là. Mais il y a beaucoup d'anciens ministres qui voulaient revenir à la politique. Il y en a pour qui ça n'a pas pogné, Sam Ahmad. Mais l'ancienne ministre libérale, ça n'a pas pogné, Bibeau élu à Sherbrooke. Mais le suspense, ce matin... Saguenay. Le DGE qui va venir s'en mêler à matin? Est-ce que le décompte est suspendu depuis une heure et demie du matin? [00:35:02] Speaker F: Deux heures, ouais, même. [00:35:03] Speaker E: C'est... qu'est-ce qui se passe, Dom? Trop serré. Ouais, c'est sérieux. [00:35:09] Speaker F: Il y a quand même un genre de... [00:35:11] Speaker D: Ils ont perdu 4000 votes, là. [00:35:13] Speaker E: OK. [00:35:13] Speaker F: Ouais, c'est ça, là. Soit ils ont perdu 4000 votes ou il y a 4000 votes de trop. [00:35:18] Speaker D: Il y a une différence de 4000 votes dans les... Il y a une différence de 4000 entre le nombre de bulletins et le nombre de personnes qui ont été votées. En gros, c'est pas mal ça, là. [00:35:28] Speaker F: OK. [00:35:30] Speaker E: OK. [00:35:31] Speaker D: Je ne sais pas s'ils ont 4000 bulletins de trop ou 4000 bulletins en moins, mais il y a une différence de 4000. [00:35:38] Speaker E: J'aimerais ça donner les derniers chiffres, mais là, on dirait que le site est... [00:35:41] Speaker F: C'est Boivin qui avait pris les devants. [00:35:42] Speaker E: Je les ai. [00:35:43] Speaker F: Par, je pense, 200 votes. [00:35:44] Speaker E: 232. [00:35:45] Speaker F: 232 votes. [00:35:46] Speaker E: Ce matin, Luc Boivin, 232 contre André Laforêt, ex-ministre qu'acquise. et le reste s'est aussi couru. [00:35:54] Speaker F: Donc c'est la seule place présentement au Québec qui n'a pas de résultat. Puis en plus, il y a une ancienne ministre caquiste, puis il y a eu l'histoire de... l'ancienne mairesse. Elle s'est faite planter solide, là. [00:36:04] Speaker E: 2,5 %, c'est-à-dire qu'elle aurait... qui offrait. [00:36:08] Speaker F: Des choses à des candidats pour qu'ils se retirent. Il y a de ça quatre ans, puis il y a même huit ans, je pense, quelque chose comme ça. Donc il y a bien des choses qui sont... qui se sont passées dans cette élection-là. Ils repartent-tu un matin, là? Ils repartent de la machine, ils vont tout recompter, j'imagine. [00:36:22] Speaker E: Dan, pour ça, dans ta grande sagesse? [00:36:24] Speaker D: Ben pour ça, tu veux-tu qu'on deep ça un peu? [00:36:27] Speaker E: Une dernière, ça peut être quasiment le début du deep. Yvon Deshaies a été réélu. Yes! C'est le début du deep, let's go! [00:36:35] Speaker A: Dan. [00:36:37] Speaker E: Putain de bordel de merde. [00:36:40] Speaker A: Deep Dan. [00:36:42] Speaker E: Y'a été réélu beaucoup. [00:36:44] Speaker F: Dan, our favorite jock. [00:36:48] Speaker E: Salut Yvon, à qui on devrait parler demain, c'est 64% pour Yvon Deshaies. [00:36:53] Speaker D: Selon toi ce matin, qui est-ce que les Montréalais connaissent plus? Soraya Martinez ou Cole Caulfield? [00:36:59] Speaker E: Même pas proche. [00:37:01] Speaker D: Ben oui, c'est sûr, le Canadien encore une fois, le Canadien extraordinaire. en tête de la Ligue nationale de hockey. Nick Suzuki, quatrième meilleur poéteur. Cole Corfield, meilleur buteur de toute la Ligue nationale. Vous avez un des meilleurs poéteurs, le deuxième meilleur poéteur en défensive, qui est Lane Hudson. [00:37:19] Speaker E: La Coupe. [00:37:19] Speaker D: Tout va bien. Le Canadien s'en va à la Coupe, là. [00:37:22] Speaker E: Dobech, troisième goaler au niveau de la moyenne. Et au niveau de la moyenne de buts à accorder. Et quatrième au niveau des... du pourcentage d'arrêt. C'est bon. [00:37:34] Speaker D: Ben oui, c'est très bon. C'est parfait. [00:37:36] Speaker E: Le gola du Canadien dans cette catégorie-là, on n'a pas vu ça depuis le Carey Price. [00:37:40] Speaker D: Absolument. [00:37:41] Speaker G: Il veut pas. [00:37:41] Speaker E: D'Aubèche... D'Aubèche, ils ont golé deux fois sur trois. Puis Montembeau... Montembeau, c'est... Ça te faut dire que c'est pas fait t'aider. Le dernier but que Montembeau s'est fait scorer, Dobson, t'es allé prendre un café. C'est bizarre. Vous regarderez à la reprise pour vrai. Dobson... protège la passe en théorie, là, j'essaie de m'imaginer, mais... il est tout seul devant le goaleur, là. C'est bizarre, ce but-là, pour vrai. Il n'a pas été très, très bien aidé, ceci étant dit. Ils ont gagné! Je vais pas être négatif. Ils ont gagné en prolongation. Ils jouent avec le feu, puis ils gagnent. [00:38:22] Speaker D: Mais ils réussissent à gagner pareil. [00:38:23] Speaker E: L'avantage numérique, parce qu'on en parle depuis des années de ça. L'avantage numérique, ça passe pas aux Canadiens, gnagnagna. Le deuxième but en avantage numérique, là, Ce deuxième but-là, c'est un highlight de la semaine. Le premier but, c'est un échappé de Caulfield. Le deuxième, tic-tac-toe, bing-bang. C'est un spectacle. Bing-bang, let's go, bouge. Les joueurs adverses ne savent pas ce qui se passe. [00:38:48] Speaker D: Absolument, t'as entièrement raison. [00:38:49] Speaker E: C'est beau, c'est beau avoir allé. [00:38:50] Speaker D: Prochain match, c'est demain contre les Flowers. On va voir qui a gagné, on va le dire de cette façon-là, les remparts. les remparts, Doom. [00:38:59] Speaker F: Je peux te faire mon rapport? [00:39:00] Speaker E: Oui, on en reparle des remparts avant que Doom... [00:39:03] Speaker F: Pour ce qui est du canadien? [00:39:05] Speaker E: Oui. [00:39:05] Speaker F: Les bus font beaucoup un avantage numérique. Quand on est rendu en série, il n'y en a plus d'avantage numérique. Les arbitres, lol. [00:39:13] Speaker E: On va vivre notre roman, lol. J'essaie. [00:39:15] Speaker F: Vivez la saison. [00:39:17] Speaker E: C'est trop loin. Il faut vivre notre 3 novembre. On va vivre notre 3 novembre. C'est comme quelqu'un qui m'écrit «Morin, fais une saisie d'écran, Dobech, ça durera pas.» Vous le savez pas, on vit le présent. Le deep, c'est deep now. C'est là qu'on le vit. Demain, on va peut-être être morts, en vérité, humblement. Je sais que c'est plate, là, à matin, vous êtes en train de prendre votre café. Mais la seule assurance qu'on a, c'est qu'aujourd'hui, on est vivants. Puis quand je dis aujourd'hui, c'est là. Après-midi, il peut se passer des affaires. [00:39:54] Speaker D: Je vous souhaite à tous de le vivre, le 4 novembre 2025. [00:39:58] Speaker E: Oui, c'est-à-dire demain. [00:40:00] Speaker F: Il y a un budget fédéral, il faut être là. [00:40:02] Speaker D: Les remparts ont perdu hier contre l'Océanique. [00:40:05] Speaker E: Et oui, entrevue ce matin. Il est bon, la lancette, je l'aimais. Bonne l'entrevue aussi avec Éric Veilleux. Il a été maudit bon, Jacques. C'est pas ça le point. Le point, c'est que... Ça marche pas. C'est ça. Mais là, Ray, que j'adore, Ray, Ray, Ray, qui m'est arrivé avec sa twist. Il m'est arrivé avec sa twist. La vraie histoire, c'est que les Remports sont à la troisième année de leur cycle. Mais là, Ray est arrivé, comme un magicien, jeudi, ici, en studio, avant la pause, qu'est-ce qu'il m'a dit? Il dit, « Dom, regarde ça d'une autre manière, on est à la deuxième année de cycle. » Parce que la première année du supposé cycle, c'est quand les Remports n'ont pas fait les séries, puis qu'ils sont débarrassés de Kassem Godet puis de Komarov. Oui, mais ça, c'est... Ça devait lever, là. Ça n'a pas levé, ils n'ont pas fait les séries. C'est la première année du cycle, c'est Ground Zero, si vous voulez. Mais regardez, dans la tête des remparts, ça va bien. Ils sont à la deuxième année du cycle. Mais Éric ne trippe pas quand même. Éric Veilleux n'est pas satisfait de son équipe. Il faut quand même dire la vérité, puis il l'explique très bien dans une longue entrevue quand même dans le Soleil. Très, très bon article dans le Soleil en passant. Un bon article sur les remparts, complet, pas complaisant. Et Éric Veilleux n'est pas de bonne humeur. Mais Éric Veilleux, en même temps, dans l'article que vous irez lire, dit « Avant, j'étais trop bouillant, j'ai pris trop d'amandes. J'ai eu trop d'amandes. » Des amandes, là, pas des amandes pour manger en regardant un film. [00:41:36] Speaker A: D'étiquettes. D'étiquettes. [00:41:37] Speaker E: « J'ai eu trop d'étiquettes parce que je m'excitais trop avec le drankard et avec les cats. Maintenant, je suis plus zen. » J'aimerais ça que ce soit plus bouillant, mais ça a l'air qu'en 2025, C'est pas de même, ça marche. On va essayer le National en passant, avant que 60 personnes m'écrivent d'aller au National. Je vous le dis d'avance, on va y aller au National. Vive le National! [00:41:59] Speaker D: Football, le Rouge et Or, qui a gagné son match, ça a été un peu plus... Le début du match a été un peu plus compliqué qu'on pensait, là. Elle a eu la tendresse régénérale, elle a fait la job comme il faut, tellement que McGill menait 14-0, on a dit wow! Il va falloir se raligner. Mais c'est fait, victoire de 47-25, les Carabins ont complètement détruit Elle est à Concordia, donc... [00:42:20] Speaker E: C'est un cas d'abus, c'est quasiment criminel. [00:42:22] Speaker D: Stadthellus ce week-end. McGill, tu faisais... Ah non, Concordia... McGill jouait contre Laval. [00:42:29] Speaker F: Ah ok, tu parlais du carabin. [00:42:31] Speaker D: Donc c'est samedi Stade Ténus, le Rouge et Or de l'Université Laval, qui va affronter le carabin pour la Coupe Jacques Dussault. La première édition de la Coupe Jacques Dussault. Downsburg a changé son nom. Je le sais, c'est le même match qu'on a à chaque année. [00:42:47] Speaker F: Mais c'est le match qu'on aime pareil. [00:42:48] Speaker D: Oui, c'est le match qu'on aime. [00:42:49] Speaker E: Il n'y aura pas de tailgate pour l'occasion parce que... [00:42:53] Speaker D: On a un événement privé. [00:42:54] Speaker E: Il y a un événement privé ici à la station, donc... Mais regardez, ça vous empêche pas d'aller dans d'autres tailgates pareilles. Amusez-vous, profitez de la vie, vivez votre moment présent. C'est ça, ma nouvelle devise, bien passé. Exactement, oui. [00:43:09] Speaker D: Même chose pour les Alouettes qui ont fini la saison en se faisant battre par Winnipeg, mais qui commencent les séries en battant Winnipeg. Donc voilà pour les Alouettes de Montréal qui vont jouer la semaine prochaine, demi-finale. Pour jouer contre Hamilton, ces gars, ce match-là, ils seront à la Coupe Grise. Et finalement, dans la NFL, beaucoup de surprises. Beaucoup de surprises hier. J'étais même un peu défaite. J'étais un peu démoli quand j'ai regardé les résultats puis j'ai regardé ça hier après-midi. T'sais, j'pensais aux pauvres fans des Packers. J'pensais aux pauvres fans des Lyons-de-Detroit. C'est pas facile, c'est pas facile. C'est même très difficile. Même les Falcons qui ont lutté jusqu'à la fin contre les Patriots. Les Steelers qui se sont fait les Colts. C'était le fun à regarder hier après-midi. C'était intéressant, là. Des Niners qui viennent de marquer 34 points à New York. Tout était là, tout était bon, mais il y a eu des surprises. [00:44:04] Speaker F: Les Bills ont gagné la game de saison. [00:44:06] Speaker D: Comme d'hab. [00:44:07] Speaker F: Est-ce qu'ils vont perdre la game de série? [00:44:09] Speaker D: Comme d'hab. [00:44:10] Speaker E: Luc Boivin, confirmé maire. C'est confirmé, ça vient de tomber. [00:44:12] Speaker B: Oui, c'est ça. [00:44:13] Speaker F: Oui, ils se sont levés de balai. [00:44:13] Speaker E: Confirmé maire, ça a gré. [00:44:15] Speaker F: Ça fait que le 232 votes que tu voyais tout à l'heure, c'est l'écart par lequel ils gagnent. [00:44:20] Speaker E: Boum! Alain... André Laforêt, 49 ans, qui... voulait être couronnée. Elle menait dans les sondages, moi je me souviens des premiers sondages, par 20 points. Donc pensait, ancienne ministre, ça vous fait penser à quelqu'un? Ancienne ministre. [00:44:39] Speaker F: Ils vont m'élire. [00:44:40] Speaker E: Ils vont m'élire parce que j'étais aimé, j'étais connu, etc. Elle se fait pas ramasser comme ça ma mère, ma père. C'est deux défaites là. T'sais, que t'es perdu au football, 17-14 ou 52-0, tu t'en vas à la maison pareil. [00:44:55] Speaker F: C'est ça. [00:44:56] Speaker E: C'est un L dans la fiche. [00:44:59] Speaker D: Et puis, je vais finir en disant Yoshinobu Yamamoto a éliminé les Blue Jays à lui seul. [00:45:06] Speaker F: Quel lanceur. [00:45:08] Speaker E: Ben oui. [00:45:08] Speaker D: Ils ont quatre victoires, il y en a trois, man. Pense-y. [00:45:10] Speaker E: C'est ça. MVP. Voilà. Cote d'écoute record en passant au Canada, même aux États-Unis. Et Japon, c'est sûr. Au Japon, c'est clair, clair, clair. Je sais pas quelle heure il était au Japon. C'était-tu le matin, c'était-tu le soir? On mangeait-tu des dumplings, des sushis? Est-ce qu'on était sur la grosse... [00:45:29] Speaker F: J'aurais tendance à dire... [00:45:30] Speaker D: C'était certainement pas le soir. [00:45:31] Speaker F: Non, c'est clair que non. [00:45:32] Speaker E: Le décalage orange. [00:45:34] Speaker F: C'est 16h, je pense que c'est 16h. Ça doit être pas mal comme l'Australie. [00:45:38] Speaker D: Les gars, je suis en train de regarder, je le sais pas. [00:45:42] Speaker E: C'est record. Record, record, record. [00:45:45] Speaker D: Mais c'est sûr que c'est un record. [00:45:46] Speaker E: Dans les bars où gros sac à bouteilles, là. [00:45:49] Speaker F: Présentement, c'est 14 heures de différence. À Tokyo, présentement, il est 8h45 le soir. [00:45:54] Speaker E: Alors ça, c'est ce qu'on disait du côté de... Je crois que c'est Denis Kazama, je pense. À qui était le début d'après-midi. Il a fait un bon job en français pour les gens qui regardaient ça en français aussi. Les gars étaient là. [00:46:04] Speaker F: Ils étaient sur place. [00:46:05] Speaker E: Les gars étaient là, exact. [00:46:06] Speaker F: Ce qui est le problème souvent, c'est qu'on fait ça à la personne d'un studio. [00:46:10] Speaker E: Reste dans le studio, RDS. [00:46:13] Speaker F: Mais là c'était pas le cas pour la série mondiale. [00:46:15] Speaker E: Bravo. [00:46:16] Speaker D: Je trouve que les gens sont pas très débouillards non plus que les postes de TV. Je trouve qu'il y a beaucoup de monde qui vont sur les médias sociaux pour me demander comment je fais pour regarder le baseball qui était diffusé sur... 3652 postes! T'étais même pas obligé d'avoir le câble pour être capable d'avoir la game tellement tout le monde passait ce game-là. Des fois, j'ai fait le voyeur aussi. Prends ta télécommande disable, tu vas tomber dessus. [00:46:44] Speaker E: Je le sais. [00:46:44] Speaker F: Mais je te dirais que quand tu fais une recherche Google, il n'y a pas juste ici que le monde cherche. Et que ce soit pour le baseball, que ce soit pour le hockey, que ce soit pour le tennis, le football, whatever. [00:46:54] Speaker E: 6H46, ça passe ça? [00:46:55] Speaker D: Ça passe ça. [00:46:57] Speaker E: T'as même pas parlé de tes bears. [00:46:59] Speaker D: J'ai pas parlé de mes bears. Un festival offensif. C'est les Bengals qui sont surprenants là-dedans, parce que les Bengals marquent des points en profusion tant en veux-tu en veux-là, mais ils sont pas capables d'arrêter. La défensive arrête rien. Rien, rien, rien. Fait que finalement, elle a encore une espèce de... [00:47:17] Speaker F: C'est quoi, c'est 47 à... 47-42. 4 passes de touché de Joe Flacco. En chaise roulante. [00:47:25] Speaker E: Ça va vers l'hiver tranquillement. Je me suis mis à la musique de Noël, c'est confirmé. [00:47:29] Speaker G: C'est fait, là. [00:47:30] Speaker E: Autorisé. Aussitôt que l'Halloween est terminée, autorisé, dans la maison, ça joue, là. Ils n'ont pas pu résister. Et l'envoi, ça met du smile, ça met du sourire. Partout dans la maison, il y a la musique de Noël, les gars chantaient. C'est sûr qu'ils vont être écoeurés, rendus au 24, mais ça, c'est pas mon problème à moi. [00:47:45] Speaker F: Toi, tu promènes avec tes gros loups. Ben oui, le 24, tu vas être écoeuré, toi aussi. [00:47:48] Speaker E: Quasiment. Oui, je vais être écoeuré. Je vais être écoeuré autour de ma fête, 18. [00:47:52] Speaker F: Tu vas être rendu à Pâques. [00:47:54] Speaker E: Ben, je vais être rendu à l'été. Oui, c'est ça. [00:47:56] Speaker F: Quand est-ce que commencent les camps d'entraînement du baseball? [00:48:00] Speaker E: Exactement. [00:48:00] Speaker F: Les Masters. [00:48:02] Speaker E: Pas le Master, ça ne m'intéresse pas, mais les camps, c'est carrément bullseye. [00:48:05] Speaker F: Le Master, c'est juste pour voir du gazon. [00:48:07] Speaker E: Gazon, gazon, gazon, gazon. 886709098. Et dans votre coin, à vous autres, qui a été élu? Je le sais qu'il y a des livers de Laval, je sais qu'il y a des livers de Longueuil, je sais qu'il y a des livers de partout. Gatineau, un passé proche. La mairesse de Gatineau, elle a été réélue. Une élection très facile à Longueuil. Longueuil, c'est pas compliqué. Elle est là. Elle peut rester là jusqu'à 80 ans. Un peu comme la mairesse de Mississauga, je pense, qui était vieille, vieille, vieille, vieille, vieille, vieille. Les autres... Oui, oui. [00:48:42] Speaker F: Les autres, je l'ai vu sur une autre famille. [00:48:44] Speaker E: C'était comme le mairesse Boucher de l'Ontario. [00:48:46] Speaker F: Les autres, mecs quelque chose. [00:48:47] Speaker E: C'est un record. La mairesse de Longueuil. [00:48:51] Speaker F: Le Callian. [00:48:52] Speaker E: Là, elle vient de donner naissance à un magnifique garçon, disons, qu'elle a salué hier. Mme McCallion, exact. Mais la mairesse de Longueuil, dans 40 ans, va faire un speech pour saluer ses petits-enfants, là. Ça va arriver, cette affaire-là. C'est incroyable. La majorité, je pense que c'est 86 %, m'en fait de fou. T'sais, regarde, c'est... Walk in the park. [00:49:17] Speaker F: Pensez pas que ce soit par acclamation. [00:49:19] Speaker E: Ouais, exact. Exactement. On va faire la pause là. Mais je veux vous lire, quelle que soit votre région, si c'est par acclamation dans votre cas, c'est-tu un village, c'est-tu quelqu'un qui vous fait triper, qui est là dans votre place, à vous. Il y a eu tellement, tellement, tellement de décisions qui sont prises hier. N'hésitez pas, on va vous lire assurément. Et on va faire la pause là à 6h49 parce qu'en revenant, c'est un mélange de Légion, de deep down et de... oh, la bombe watch, me dit-on. Tiens, on revient. [00:49:57] Speaker A: Il y a un auditeur qui dit, Léo est un économiste de gauche, c'est important que vous lui donniez la parole. En plus, il est drôle. [00:50:08] Speaker C: Ah bon, bien ça, tu vas pas. [00:50:10] Speaker A: Aimer ça, là, que je... pour la première fois... Non, on vient de le bloquer. On vient de le bloquer. On vient de le bloquer, il pourra plus écrire. [00:50:22] Speaker B: Lundi au vendredi, 15h. [00:50:38] Speaker D: Tu veux-tu apprendre à chauffer toi? As-tu le goût d'apprendre à conduire? L'école de conduite Poit-Lévis. L'école de conduite Poit-Lévis sont là, sont prêts, on est situé à Saint-Charles-de-Bellechasse également, à Lévis. Appelle tout de suite nom Radio X et tu pourrais, ben en fait tu pourrais, il y a pas de conditionnel là-dedans, tu vas épargner 50% sur ton manuel de conduite. On a 250 heures de cours par semaine, jour, soir, week-end. 15 formateurs, 7 véhicules, formateurs qui sont très très bons. La pédagogie est efficace, elle a fait ses preuves. Puis en plus, chez nous à l'école de conduite Pointe-Lévis, les étudiants sont assurés d'avoir des permis dans les délais minimums qui sont déposés par la SAC, soit 12 mois et moins. Appelle-nous, 88-53-54-50, 88-833-54-50, ou passe nous voir sur la page Facebook à École de conduite Pointe-Lévis. [00:51:34] Speaker A: Faire du bateau. Vous faites donc affaire avec CAA parce que CAA organise les meilleurs voyages. Génial ! Mais maintenant vous revenez de Grèce. Votre sous-sol est inondé. Votre moral est au plus bas. Pas comme l'eau dans votre sous-sol. Vous pouvez donc faire affaire avec CAA parce qu'ils assurent votre habitation et vous aident dans les pires moments. Ça fait que là, mon sous-sol y est correct, là. Du voyage à l'assurance, pour le meilleur et pour le pire, c'est à Québec. [00:51:57] Speaker B: La but de plaisir n'est pas dangereux pour la santé. Magasinez au sensationplus.com et découvrez tous nos produits érotiques pour couple. Les vraies sont rapides et discrètes. [00:52:06] Speaker A: Sensationplus.Com La confiance, c'est savoir que l'on est prêt à faire face à tout ce qui se présente. C'est ce que l'on ressent lorsqu'on entreprend une journée de travail avec Syntas. Il s'assure que vos DEA sont à jour, vos armoires de premier soin sont approvisionnées, vos tapis sont nettoyés et livrés, et vos vêtements de travail sont beaux, agréables au toucher et fraîchement lavés grâce au programme de vêtements de Syntas. 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Le Crabouin a démissionné, t'es arrivé deuxième. T'es Gilbert Thibodeau, t'es arrivé troisième. 31 000 personnes, quand même, qui ont voté pour Gilbert Thibodeau. Québec! Bruno Marchand, 101 000 personnes. Grosso modo, on va arrondir. On votait pour 102 000, Bruno Marchand. Ce que j'ai ici, j'ai-tu les derniers résultats? Je vais aller chercher les derniers résultats. Le ranking, c'est Marchand élu, Lachance deuxième, Hamad troisième. Hamad, ça a été une catastrophe. Allons dans les chiffres. 49,4 % pour Marchand, 23 pour Lachance et 13 pour Hamad. Dans les détails maintenant, et ensuite je parlerai brièvement des autres villes, Capodiamant, C'est Québec fort et fier. Respect citoyen, ça a été plus tough dans ce quartier-là. Cap Rouge, fort et fier. Louis Martin, qui était dans l'équipe au pouvoir et qui a quitté pour sa mamade, a perdu. Deuxième est arrivée deuxième. Steven Dumélençon a perdu ça. C'est un des faits saillants de la soirée hier. Steven Dumélençon, chaud de lutte, mais il est arrivé deuxième dans Chute-Montmorency-Seigneurial. Pointe de cette fois. Jean-Luc Lavoie, haut la main. Québec fort et fier avec 66,6 %, le chiffre de la bête. Lac-Saint-Charles-Saint-Émile. Roussin, de Respect citoyen, s'en va à l'Hôtel-de-Ville, plus de 39 %. Le Plateau-Québec-Fortéfières, avec Gabriel Dussablon-Lémon, Gabriel Fortéfières-Raphaël, Le Bailly, Éric-Ralph Mercier, battu, ça a été très serré. Les Saul-Leméandre, j'ai pas besoin de trame. On continue, c'est Special Edition ce matin, c'est des patates pour tous. Les Saul-Leméandre, 43 %, Catherine Deschamps, Québec fort et fière. Patrick Paquette, 15 %, est arrivé troisième, Leadership Québec. Limoilou, C'est Québec Fortefières Raymond Poirier, très fort. 43 %. Lauretteville Leschatel, Marie-Josée Asselin, 47 %. Très fort. Louis XIV, Donald Gagnon, est arrivé troisième. Leadership Québec, 14 %. C'est une victoire pour Marie-Pier Boucher de Québec Fortefières, 47 %. Maiserelle Héret, 40 %, Québec Fortefières, Marie-Lou Bouliane. Montcalm-Saint-Sacrement, 71 %. J'ai pas vu ce chiffre-là ailleurs, sur la grille. Et très certainement pas supérieur à ça. C'est Catherine Vallière-Rolland qui gagne le prix. Neuchâtel-Lebourneuf-Québec-Fortéfière. Je regarde ici... Oui, c'est quand même bien assumé. Neuchâtel-Lebourneuf, 45 % pour Maxime Elmaleh. Robert Giffard. 39% Québec Fortéfière. Et peut-être tu peux renchérir, Dan, en faisant les calculs, comme tu disais précédemment, parce qu'il y a plus de monde à l'antenne qu'à 6 heures, nécessairement. T'avais fait le calcul et il y avait quand même... la division du vote qui a opéré pour ces districts-là que. [00:57:09] Speaker A: Je suis en train de nommer. [00:57:23] Speaker E: Marianne White, élu 68 %, Saint-Louis-Scellery. Ça va à peine dénommé. Oui, il faut rouler, mais en même temps, il y avait quand même une élection avec des êtres humains. Je veux quand même les nommer. Saint-Roch-Saint-Sauveur, Hélénie Lepage, Québec forte et fière. [00:57:38] Speaker F: L'attaché de presse de Bruno Marchand. [00:57:39] Speaker E: L'attaché de presse de Bruno Marchand. Saint-Rodrigue, Québec forte et fière. Beaucoup, là. Et François Bollé, 16 %, Leadership Québec. Sainte-Thérèse de Lisieux, respect citoyen. Mélanie Sauvé, 38,8 %, et Val Belair, 45 % pour Morneau, respect citoyen, ce qui fait en sorte que c'est la chance qui s'en va, parce que c'est son coalicier, la chance s'en va à l'Hôtel-de-Ville. Bianca Dussault, battue, et finalement, Vanier Duberger... Oui, vas-y, Dan, dis-le. [00:58:14] Speaker G: C'est quoi? [00:58:14] Speaker D: Bianca, c'est la seule députée de l'équipe de Bruno Marchand qui se représentait à avoir perdu ses élections. [00:58:21] Speaker E: Et finalement, Vanier-Duberger, Québec fortifié, à Clément-Bourdeau. Et Hugo Langlois a perdu avec 22 %. Alors voilà, ça fait le tour, mesdames et messieurs. Restez là, soyez-y. On continue les analyses et le placotage. 418-670-9098. [00:58:35] Speaker A: Québec. [00:58:38] Speaker B: Avec DoomDuma. Lundi au vendredi. Radio X. [00:58:47] Speaker A: Présenté par la lunetterie Bélan. Obtenez le meilleur prix garanti avec nos forfaits vert et monture SimpleVision à 99. [00:58:53] Speaker D: $ et Progressif à 249 $. La lunetterie Bélan, service qualité bas prix. [00:59:00] Speaker F: Traffic, transit and weather. [00:59:02] Speaker C: Première! [00:59:04] Speaker A: Les circulations de Québec ont facilité la fluidité. [00:59:07] Speaker D: Ben oui, c'est 1h du matin, comme les autres, c'est jamé un peu partout dans la grande région de Québec. On commence avec un incident, c'est sur la 73, c'est direction nord, donc direction Lépons. C'est un peu afin d'arriver à la sortie vers les chutes chalzières, juste où il y a le rving. Donc évidemment que ça va causer différents ennuis. C'est compliqué également sur l'A20 direction Est. C'est à partir de la halte routière où c'est pare-chocs à pare-chocs. Sur l'A20 direction Montréal, c'est à partir du chemin des îles où on fait l'attente pour les ponts. Capital est congestionné dans les deux directions. Rajoutez à ça, sur Robert-Brossard, la hauteur de Capital, c'est Robert-Brossard direction nord. Donc, heureusement, c'est dans le sens inverse de la circulation. Mais il y a un incident, ça va causer des ennuis de circulation. Et déjà, on commence à voir, sur Henrica, direction sud également, que ça va jammer dans le coude aux alentours de l'ancienne orête Neuchâtel. Entre la sortie Sainte-Geneviève et Jean-Marchand, déjà, c'est pas mal par choc à par choc. Et je vous dirais que Pour ce qui est de charret, ça va encore, somme toute, assez bien à cette heure de matin. C'est un beau matin pour cette heure-ci. On va le prendre parce qu'effectivement, les bonnes nouvelles de ce temps-ci sont le fun. Les promos Uniprix de la semaine sont là. Découvrez une foule de rabais. C'est exclusif dans la circulaire. Pensez en sécurisant pour en profiter ou consultez les uniprix.com pour tous les détails. [01:00:25] Speaker E: Qu'est-ce qu'on mange pour souper? [01:00:27] Speaker B: J'sais pas, j'suis tannée de cuisiner. [01:00:29] Speaker A: On se fait livrer du fusée? [01:00:31] Speaker B: Là tu parles! Moi j'prends la cuisse. [01:00:33] Speaker A: Parfait, j'prends la poitrine. Le duo des fêtes des rôtisseries fusées. Un repas cuisse et poitrine pour 19,99$ au comptoir. Des frais de livraison s'appliquent. [01:00:42] Speaker B: Pis pour 15$ de plus, on se fait un vrai festin avec deux desserts pis deux breuvages. [01:00:47] Speaker A: Finalement, tu peux prendre congé de repas plus souvent. Commandez en ligne sur rotisseriefusée.com ou passez nous voir à la rôtisserie la plus proche. Rôtisserie fusée? [01:00:55] Speaker B: Pas de chicane, juste du bon poulet! Du 3 au 9 novembre, c'est la Semaine québécoise des rencontres interculturelles. [01:01:03] Speaker A: Pissons des liens entre nous. [01:01:04] Speaker B: Car nous avons le Québec en commun. [01:01:07] Speaker A: Qu'on le soit d'ailleurs ou d'ici. [01:01:09] Speaker B: Participons à des activités qui nous rassemblent partout au Québec pendant cette semaine québécoise des rencontres interculturelles. [01:01:16] Speaker E: Consultez les calendriers pour les activités dans votre région sur québec.ca baroblic rencontres interculturelles. [01:01:24] Speaker B: Un message du gouvernement du Québec. C'est le temps de l'entretien saisonnier? Olympia Service s'occupe de tout! Déningement manuel, nettoyage de gouttières, installation d'abris Tempo et plus encore! Olympia Service, une seule entreprise pour tous vos services. [01:01:39] Speaker D: Olympiaservice.Ca Multiconfort FP, c'est le novembre fou, fou, fou des rabais exceptionnels sur les thermopontes. 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[01:03:22] Speaker A: Oh que oui! Des vêtements, des accessoires et même des séjours avec randonnée. Et comme c'est le seul salon de l'industrie au Québec... Ah ben là, c'est. [01:03:30] Speaker B: Sûr qu'on y va! [01:03:31] Speaker A: De vendredi à dimanche, au Centre de foire d'Expo Cité, place au Salon de la motoneige et du quad de Québec, présenté par Beneva. Les John of Doom, présentés par Canabec. Les 6-7 novembre, c'est la grande vente d'entrepôts Canabec. Rabais imbattable. Cuisse de canard confite. Médaillon de cerf. Magret de canard. Tomahawk de bison. Canabec. 115 des Grands Lacs, à Saint-Augustin. Moray. Live. [01:03:56] Speaker B: Avec Dominique Moray. [01:03:58] Speaker A: Pourquoi pas? Dan Gravel. [01:03:59] Speaker B: Et Doom Dima. Radio X. [01:04:04] Speaker E: Monsieur Labo, éloignez-vous de ce carousel. Ne vous approchez pas de l'horloge. Et surtout, tenez-vous loin de cette grande roue. [01:04:18] Speaker C: Et personne ne sera blessé. [01:04:20] Speaker A: Le Labo Watch. [01:04:24] Speaker D: C'était un cadeau hier, double, là. J'arrive, j'ouvre la TV, regardez, RDI, boum! T'as étoilé la baume sur le panel. Je me suis dit, tabarnouche, c'est sûr que je vais te défoncer, je vais avoir trop d'extraits. Et ça commence en partant, dans la première minute, Régis Labeaume qui va de... À Québec, ça fait 17 ans qu'il y a des maires pro-tramway. [01:04:44] Speaker A: Régis Labeaume, bon, le tramway qui divise. [01:04:47] Speaker E: C'Est infini comme histoire. [01:04:50] Speaker A: D'Investir sur le tramway de Québec. Et s'il y a encore des gens qui le comptent, ils ont le droit. On vit en démocratie, mais quand même. Je pense que cette fois-ci, s'il fallait que le maire soit élu, j'espère qu'on n'en parlerait plus. [01:05:06] Speaker E: Il est en bonne posture. D'abord, vous, vous ne l'avez pas dit jusqu'ici. [01:05:10] Speaker A: Pour qui vous avez voté? Je vous ai entendu dire que je ne peux pas le dire maintenant. [01:05:13] Speaker E: Là, on peut le dire ce soir. [01:05:15] Speaker A: Écoutez, à minuit certain, je vous le raconterai. [01:05:19] Speaker D: Savez-vous pourquoi il l'a pas fait? [01:05:21] Speaker F: Il l'a pas dit à minuit. [01:05:21] Speaker G: Il l'a pas fait parce qu'à minuit. [01:05:21] Speaker F: Il était encore en ode. [01:05:23] Speaker D: On peut le dire, on le sait, parce qu'il a voté pour la continuité du tramway. [01:05:27] Speaker F: Mais son calcul est pas bon pareil là. Parce que je suis désolé, mais Régis Labeaume c'est vers la toute fin qu'il était pro-tramway là. Il a été contre longtemps là. [01:05:36] Speaker E: Au début, c'est moi qui organisais le débat, là. C'est pas l'ours qui a vu l'homme qui a vu l'ours qui a vu zi qui a vu ça, là. J'ai organisé un débat à la dernière semaine avant le scrutin, lui contre Anne Bourget. Et c'est Anne Bourget qui voulait un tramway. Et la bombe l'a démoli. La bombe était l'anti-tramway. primaire, là. [01:06:00] Speaker F: Puis même à son avant-dernière... [01:06:02] Speaker E: On a vu ces extraits-là, malheureusement. Je sais pas, ils ont changé de serveur ici, pour vrai. Moi, je vous en passerais des extraits et tout. [01:06:09] Speaker F: Ça, les gens s'en souviennent, je crois, quand même. Mais à la dernière élection de Régis Labeaume contre Anne Guérette, Anne Guérette était pro le tramway. [01:06:17] Speaker E: Oui, beaucoup. [01:06:18] Speaker F: Puis Labeaume était contre. Puis c'est toujours excusé après. [01:06:22] Speaker E: «Ouais, mais c'est parce que j'étais contre. [01:06:23] Speaker F: Le tramway juste à la Haute-Ville.» Non. [01:06:25] Speaker E: Non, il était contre beaucoup, là. [01:06:26] Speaker F: Il était contre. [01:06:27] Speaker E: Il se fait connaître. C'était un Stéphane Lachance. La bombe, c'était un Stéphane Lachance bourru. «On va recouper d'indépense, anti-tramway.» La bombe était... [01:06:38] Speaker F: Le candidat de la radio poubelle? [01:06:41] Speaker E: Ben, on l'a bâti, là. [01:06:42] Speaker D: Écoute, il reste juste la bombe qui nous dit le tramway, là. Les gens de Québec, c'est parce qu'ils se rendent pas compte qu'ils habitent plus d'un village. Tout était là, la science, écoutez ça. [01:06:55] Speaker E: Vous et les autres n'avez pas réussi. [01:06:57] Speaker A: À vendre ça à tous les Québécois. C'est le coût qui fait peur essentiellement? Je pense que les gens de Québec n'acceptent pas que Québec n'est plus un village. C'est devenu une ville où la circulation est intense et on leur a dit qu'on ne peut pas faire deux étages d'autoroute. Ça ne se peut pas à Québec. Alors, je pense qu'il y a un problème qui est exactement là. Les gens pensent qu'on peut vivre comme il y a 20-25 ans, mais ça ne se peut plus. Et sincèrement, la réponse est toujours la science. Vous savez, au début de septembre, le maire Marchand et Samamad étaient à égalité, ou quasiment. Et là, ça s'est mis à débouler. Samamad a fait une campagne catastrophique des erreurs, pardonnez-moi, mais d'amateurs d'organisation. Et le maire s'est bien comporté. Et tout ça pour dire qu'aujourd'hui, où on en est, au dernier sondage, le maire avait 20 % d'avance et le deuxième n'est plus Samamad. Le deuxième est un gars qui vient de Lévis, qui habite Lévis, temporairement à Québec, évidemment, et qui arrive de nulle part, évidemment, appuyé vers une radio. Alors, c'était une campagne, Olivier Diroc-Cambolesque, à la limite gênante. [01:08:13] Speaker E: Il était correct au début de son propos, sans dérailler. [01:08:15] Speaker F: C'est ça. Mais tu le dis, Stéphane Lachance, c'est un Régis Labeaume, de la manière dont il a été bâti. [01:08:22] Speaker E: Je l'ai vécu à l'interne. C'est Bibi, en toute humilité, et je peux même m'en excuser, qui a amené la bombe à Radio X. [01:08:32] Speaker F: Mais là, la bombe lève le nez sur... [01:08:34] Speaker E: La bombe chroniqueur, ça s'est réglé au Saint-Hubert-sur-Amel. Sacrifice, je le sais. J'étais là. C'est moi qui ai bouclé le débat. Hey, Régis, on fait un débat. Le tramway, il va débarquer. Anne Bourget est pour le tramway. Ah oui, oui, on fait ça. Bang! Ça a explosé. Mais la bombe dans le temps, c'est en quelle année ça? C'est en quelle année qu'il a commencé? [01:08:56] Speaker F: 2007. [01:08:58] Speaker E: En 2007, c'était le Stéphane Lachance du moment. Il l'oublie, là. Parce qu'à un moment donné, un politicien, ça dérape, puis il y a du love, il y a du ci, il y a du ça. Régis, t'es bon, t'es bon, t'es bon. À un moment donné, la tête, il a enflé. Aujourd'hui, il est rendu analyste. [01:09:15] Speaker F: Ou à la marchand. [01:09:16] Speaker E: Mais il n'y a pas de bonne mémoire. Il n'y a pas de bonne mémoire, Régis, malheureusement. [01:09:21] Speaker D: À 20h33, il arrive ceci. [01:09:25] Speaker E: Ils ont-tu mis de musique? [01:09:27] Speaker D: Voyons, comment ça marche-tu ces affaires-là? [01:09:29] Speaker E: Comme aux provinciens? [01:09:33] Speaker D: À 20h33, il arrive ceci. [01:09:39] Speaker A: À 20h33, Radio-Canada prévoit que Bruno Marchand est réélu maire de Québec. Il augmente son score de plus de. [01:09:49] Speaker E: 25 points de pourcentage. Bruno Marchand, voyez les chiffres, qui est. [01:09:55] Speaker A: Loin devant Stéphane Lachance. [01:09:56] Speaker D: Donc à 20h33, Radio-Canada qui met Bruno Marchand gagnant. Il réagisse là-bas. On réagit de cette façon-là? [01:10:03] Speaker A: Ah, c'est une victoire éclatante et j'espère qu'on va cesser d'être content de moi. Ça va faire bientôt 20 ans. Il faut y aller, c'est le temps. C'était une... 50 % de la population a voté pour Bruno Marchand. 50 % du monde avait le choix de dire oui ou non très moins. Ils ont dit oui, tout simplement. Alors là, j'espère qu'on va arrêter d'en parler un jour. Et quand on parle des jeunes, les jeunes veulent un très moins. [01:10:30] Speaker I: Voilà. [01:10:30] Speaker A: Vous connaissez la dynamique de Québec, là. [01:10:33] Speaker E: Il a pas mal la main mise sur tout, là. [01:10:35] Speaker A: C'est-à-dire qu'au limite, la Ville, c'est là où il y a le moins de votes. Plus ça se concentre vers le milieu, c'est là qu'il va chercher beaucoup de votes. Alors, il y a quand même une opposition à... Il y a 50 % qui sont pas d'accord avec lui, mais ce qui est important, c'est l'autre 50 %. Puis on a parlé beaucoup de travail. Il avait des opposants. Ses deux principaux opposants étaient contre l'autre à moi. C'est terminé, là. C'est terminé. [01:11:00] Speaker E: Mais voyons donc, quel propos bizarre, là. Quel propos bizarre. Hé, la phrase, il y a un 50% qui est con, mais l'important c'est que c'est un 50% qui est pas. Ouais, c'est ça. Quel propos bizarroïde. Voyons donc. Ça, ça c'est dit où, ça, Dan? [01:11:16] Speaker D: RD. [01:11:17] Speaker E: Attends, barouette. Mais la... c'est la... Dans leur tête, eux autres, c'est le femme, ta gueule, toi, tais-toi, c'est décidé. [01:11:26] Speaker C: C'est ça. [01:11:27] Speaker E: Mais il y a la société civile, les amis. Il y a les commerces. Il y a les gens, il y a le monde, il y a la société. On verra comment ça va se dérouler. Et il y a les gouvernements, répétons-le, qui n'ont pas encore financé, because le montage financier n'est pas fait. [01:11:45] Speaker A: « Ah, il est fait. [01:11:46] Speaker E: C'est décidé. » Oui, un peu. Non, c'est pas décidé. dans l'analyse. Et Donald Charrette va nous parler de ça ce matin, d'ailleurs. Je vais l'envoyer là-dessus parce que Donald a eu une soirée quand même très longue hier en compagnie de Daume Dumas, donc il va venir un peu plus tard dans l'émission. Mais le montage financier n'est pas fait. Mais au-delà de ça, femme de yole, c'est décidé. Non, non. La société va continuer de parler. La société va s'exprimer. Et des commerçants, qui vont être emmerdés par la construction de ce tramway-là parce que ça va arriver, vont s'exprimer de toutes sortes de manières. La dynamite sous le Grand Théâtre. Ça se peut qu'il y ait du monde qui chiale. Les camions remplis de roches pendant deux ans, 24 sur 24, ils vont sortir. dans le bas de la ville, à côté de l'ancien TQS, parce qu'ils vont dynamiter, si ça arrive, le tramway, parce que vous me dites que ça va arriver. Il y a du monde qui va chialer. Donc, on va dire à ces gens-là, fermez vos yeules. Ah non! La société civile, elle est là, elle existe et elle va s'exprimer. [01:12:44] Speaker F: Les médias vont leur dire, fermez vos yeules. [01:12:46] Speaker E: Ah, j'ai bien hâte de voir. [01:12:47] Speaker D: Bruno Marchand qui, lors de son discours, vous le savez, à Québec, il y a Bruno Marchand, Nelson Mandela et Desmond Cloutier. [01:12:53] Speaker A: Il faut faire mieux parce qu'une ville. [01:12:55] Speaker E: Une ville comme la nôtre, peut faire. [01:12:57] Speaker A: Une différence pour chacun de nous, chacun des citoyens. Et j'ai la responsabilité, et nous aurons. [01:13:02] Speaker E: La responsabilité de faire mieux. Nelson Mandela et Desmond Tutu nous ont. [01:13:06] Speaker A: Fait connaître le concept de Ubuntu. [01:13:08] Speaker E: Je suis parce que nous sommes. Je n'existe pas seul. Je ne suis pas le construit de mon seul effort. [01:13:15] Speaker A: Nous sommes le résultat de quelque chose de plus grand. [01:13:18] Speaker E: Plus grand que nous-mêmes. [01:13:20] Speaker A: Si ma communauté souffre, je souffre aussi. Mon environnement me façonne et les gens qui l'habitent aussi. De là toute l'importance de construire une ville, notre ville, pour prendre soin. [01:13:29] Speaker D: Ben, es-tu content de nous ça encore pour 4 ans? [01:13:31] Speaker E: Oh oui! [01:13:32] Speaker F: Ah non, hier, ce gars-là, j'ai eu. [01:13:34] Speaker E: Le feeling... Ça, c'est quand t'es sur la première fois que j'entends ça. [01:13:36] Speaker H: Ah non, là... [01:13:36] Speaker A: Quand il a parlé de Nelson Mandela. [01:13:40] Speaker D: J'Ai éclaté de rire. [01:13:41] Speaker E: Tu l'as entendu, là? [01:13:42] Speaker F: Ah oui, on l'a mis live, son discours. [01:13:45] Speaker E: T'as pogné ça live? [01:13:45] Speaker F: Oui, je l'ai pogné live. [01:13:46] Speaker A: J'suis parti serrer. [01:13:47] Speaker F: Mais mon constat, à la toute fin, là, ce gars-là se voit Premier ministre du Québec. C'est clair dans ma tête. [01:13:57] Speaker E: C'est l'égo 100 % pur. Ce gars-là, c'est un rock star, matin. [01:14:03] Speaker D: Qu'en est-il du tramway, Bruno Marchand, le tramway? [01:14:06] Speaker A: OK, donc, si je décode, le tramway, vous dites, il faut arrêter même de. [01:14:10] Speaker E: Mettre un point d'interrogation dans les phrases. [01:14:13] Speaker A: C'est une certitude. Il faut que ça aille de l'avant, puis il faut qu'on arrête de s'entredéchirer entre Québécois. [01:14:20] Speaker E: S'entredéchirer. [01:14:23] Speaker A: Puis je pense que c'est ce que les citoyens ont dit. C'est qu'il y a beaucoup de gens à qui, si vous leur demandez, est-ce que le tramway, vous êtes pour ou contre? Vous avez vu les sondages, 43 %. [01:14:31] Speaker E: Pour, 48, 49, 50, 52 contre. Ça dépend des sondages. [01:14:35] Speaker A: Mais ce que les citoyens ont dit ce soir, au-delà du tramway, c'est pas la question de l'urne. On a envie que notre ville avance. [01:14:41] Speaker E: Arrête, Dan. [01:14:42] Speaker D: Arrête. [01:14:43] Speaker E: Arrête. [01:14:43] Speaker F: Arrête. [01:14:45] Speaker E: Arrête. [01:14:45] Speaker D: Arrête. Arrête. Arrête. [01:14:47] Speaker E: Arrête. [01:14:47] Speaker A: Arrête. [01:14:47] Speaker B: Arrête. [01:14:47] Speaker E: Arrête. Arrête. Ar Arrêtez ces deux référendums. Le non et le non t'en avances. Arrêtez, faut pas en parler. Si ce raisonnement-là est bon pour le tramway, il est bon pour la souveraineté. [01:15:00] Speaker F: Quand c'est bon, c'est bon. [01:15:03] Speaker E: Quand c'est pas bon, c'est pas bon. OK. [01:15:05] Speaker D: Steven Malençon, maintenant. [01:15:07] Speaker C: C'est bon. [01:15:08] Speaker E: Moi, là, j'ai toujours dit que la. [01:15:10] Speaker G: Politique, il faut que tu acceptes... En politique, tu acceptes le verdict. [01:15:13] Speaker E: Le verdict est tombé. [01:15:15] Speaker G: Moi, j'ai passé huit belles années. [01:15:17] Speaker C: Là, c'est terminé. Ma carrière politique est terminée. [01:15:20] Speaker E: Donc, je respecte la décision des citoyens. [01:15:22] Speaker G: Ça a été démocratique. [01:15:23] Speaker C: Alors, c'est comme ça. Alors, le peuple a parlé. [01:15:26] Speaker D: Sur la division du vote. [01:15:27] Speaker E: Il est entre vous et Respect Citoyens. [01:15:29] Speaker B: Comment vous réagissez au fait qu'il y a eu une division du vote et. [01:15:32] Speaker I: Que ça a permis à l'équipe de Bruno Marchand de faire sa place dans votre district? [01:15:36] Speaker E: Les gens nous en ont énormément parlé. [01:15:38] Speaker G: La division du vote, mais là, on l'a vraiment. [01:15:40] Speaker C: Donc oui, ça a eu un impact. [01:15:42] Speaker G: Quand je viens regarder mes différents pôles. [01:15:44] Speaker D: Oui, ça paraissait énormément. [01:15:45] Speaker C: Les votes que je perdais au niveau. [01:15:47] Speaker G: De Respect Citoyens ont fait en sorte qu'ils se sont confinés. [01:15:50] Speaker D: Mais c'est ça, la game politique. Lorsqu'on va en politique, c'est pas un. [01:15:53] Speaker C: Monde de câlins-ours, c'est pas un monde de unicornes. [01:15:56] Speaker D: Voilà, c'est exactement ça. Il le voit de la bonne façon. Dans les chutes Montmorency, c'est un total. Les deux, les respect citoyen et leadership Québec, ont été recherchés tout près de 6000 votes. Et le gagnant, c'est Québec-Fortéfières avec 3668 votes. Donc, c'est vraiment le district dans lequel on le voit plus, l'impact de la division du vote. Jack Smith également parle de la division du vote. C'est pour cette raison. Elle, en fait, c'est pas la division du vote, c'est le vote C'est Anybody, Butte, Lachance et Ahmad dans les circonscriptions. Elles se pensaient fortes. Ça fait qu'elles disent que c'est pour ça que le monde a voté pour. [01:16:33] Speaker A: Qu'Il y ait changement. [01:16:33] Speaker J: C'est juste que ce n'était pas notre moment. En ce moment-là, il y a des partis progressistes qui reculent partout puis on n'a pas ressenti ça. La montée de respect citoyenne puis le vote stratégique pour bloquer M. Ahmad puis M. Lachance était vraiment, vraiment forte. [01:16:53] Speaker D: De l'opposition. [01:17:14] Speaker E: C'est de un Shawinigan... [01:17:15] Speaker A: On n'a jamais peu vu ça. On n'a jamais vu ça. [01:17:17] Speaker E: Est-ce qu'on a... [01:17:18] Speaker A: C'est drôle, j'allais vous poser la question. J'ai jamais vu ça. [01:17:20] Speaker E: Non. [01:17:21] Speaker A: Je la ne me souviens pas dans. [01:17:22] Speaker F: L'Histoire même du chose. [01:17:22] Speaker A: Québec que c'est arrivé. [01:17:24] Speaker E: Je rajouterais peut-être pas juste on n'a. [01:17:26] Speaker A: Jamais vu ça, mais c'est surtout la façon que ça s'est fait parce que. [01:17:29] Speaker E: La veille où il annonce qu'il y a la Shawinigan, il disait qu'il irait à Trois-Rivières. [01:17:33] Speaker A: C'est ça, exactement. Ça s'est fait un vendredi, il est rentré chez lui, c'est lui qui a tout expliqué ça aux médias en direct. Pourquoi Shawinigan? Bien, c'est sûr que c'est la même. [01:17:40] Speaker D: Région, mais... Non, mais il a demandé où se soyez. [01:17:43] Speaker E: Il a fait un sondage sur sa. [01:17:43] Speaker A: Page Facebook pour dire aux gens où. [01:17:45] Speaker E: Vous voulez que je sois maire. C'est pas où vous voulez que je sois candidat. [01:17:47] Speaker A: C'est comme si c'était un fait. [01:17:49] Speaker E: Donc, moi, je continue à le dire. Yves Lévesque, très respectueusement, puis je suis. [01:17:54] Speaker A: Content, les gens de Shawinigan font un choix démocratique, mais ça reste un personnage. La maire qui s'en va à Shawinigan, qui dit je vais être maire de Shawinigan, et ça regarde bien. [01:18:02] Speaker E: On peut pas vous élire tout de suite, M. Lévesque, parce qu'il manque des chiffres un peu. Il est avec moi. Yves Lévesque, bonsoir. Bonsoir, vous avez oublié Trois-Rivières-Ouest. J'ai été maire à Trois-Rivières-Ouest avant aussi. [01:18:14] Speaker A: Mais c'est quoi votre stratégie, M. Lefebvre? C'est très drôle. [01:18:18] Speaker D: Donc, il a été le maire de trois villes. [01:18:20] Speaker E: Il reste tellement anti-conservateur, maintenant. Il s'en va à Shawnegan. Il reste là. Yves, c'est loin de maison, à Lac-à-Tortue. Lac-à-Tortue, sur le bord du lac, c'est le fun. Moi, j'ai un bug avec les avions, c'est bruyant. Les avions, il y en a qui aiment ça. Yves aime ça. Des avions. Je suis allé prendre une bière chez eux au début de la campagne. On était sur le bord. Un avion qui arrive, on s'entend pas. Ça, c'est s'emputernel. S'emputernel, l'histoire du lac à tortues, là. Mais Yves s'est fait bâtir l'autre bord du lac, une maison d'oeuvre. Il est là, c'était son choix. Il paye des taxes à Chahui, c'est sa décision. Il a pas reviré son capot de bord. Moi, c'est ça Chahui pour boire une petite trempette. Il reste là, il paye des taxes. Voilà. On va y parler un peu plus tard dans l'émission, d'ailleurs. [01:19:06] Speaker D: Ouais, voilà, donc c'est pas mal le tour le plus rapide que je peux faire. [01:19:09] Speaker E: Toute une transformation de Raïs, en passant, je dis ça de même. Raïs, c'est plus woke. et de gauche, gauche BCBG, gauche petit doigt en l'air, que n'importe quel libéral que vous pouvez me nommer. [01:19:24] Speaker D: Patrice Roy a eu la chance d'avoir peut-être un petit peu de chicane sur son plateau au début entre Alériaise et Régis-Labeaume, puis il les a pas laissés aller. Moi, je les aurais laissés aller. J'aurais aimé ça voir ce que ça donne, parce qu'Andréas voulait défendre le troisième lien, lui, c'est sûr, il n'a pas le choix. À Victoriaville, que tu sois de gauche ou que tu sois de droite, ça te prend un troisième lien. Et puis, t'aurais juste la bombe qui lui était totalement contre. Puis les deux gars avaient le goût de s'astyner un peu, là. Mais Patrice Roy a mis un terme à tout ça et... [01:19:51] Speaker E: Très bien. 7 h 20, on fait la pause là. En revenant, c'est gros. Stéphane Lachance vient d'arriver. Mais d'abord, on va jaser avec le nouveau maire de Lévis, Stephen Blaino-Rato. [01:20:04] Speaker B: T'as quelque chose à dire? [01:20:05] Speaker A: Ça va bien aller. [01:20:06] Speaker B: Tu veux réagir? [01:20:17] Speaker A: Bonjour! [01:20:27] Speaker B: Ici Jessica, de Lebeau Vitreux d'Auto. [01:20:29] Speaker I: Vous devez faire réparer votre pare-brise? [01:20:31] Speaker B: Avec Lebeau, c'est facile. Rendez-vous sur lebeau.ca et prenez rendez-vous au moment qui vous convient le mieux. [01:20:37] Speaker I: En moins de 60 minutes, nos experts réparent votre pare-brise. Et si vous êtes assuré, c'est gratuit! [01:20:43] Speaker B: On reçoit même l'approbation de votre assureur instantanément. Lebeau vous facilite la vie. Prenez vite rendez-vous en ligne. Détaillez les conditions sur lebeau.ca. ♪ Le four est prêt, le four en place ♪ Les Sports de Dan, présentés par Peinture Chénard, qui est à la recherche de compagnons et apprentis pour travailler partout au Québec. Envoie ton CV à info-peinturechénard.ca pour faire partie de l'aventure. [01:21:07] Speaker E: Plongez dans 888casino.net. 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[01:22:11] Speaker B: Au cours de la dernière année, le gouvernement a fait plusieurs propositions au syndicat de médecins pour améliorer l'accès aux soins de santé. Malheureusement, toutes ces propositions ont été refusées. Devant l'urgence d'agir, le gouvernement a adopté une loi qui permettra à plus de Québécois d'avoir accès à un médecin de famille, notamment le soir et la fin de semaine, et de pouvoir consulter un médecin spécialiste plus rapidement, par exemple pour obtenir une chirurgie, parce que notre priorité, c'est l'intérêt des patients. Un message du gouvernement du Québec. [01:22:40] Speaker A: Cette semaine, écoute le retour. Tu pourrais gagner une auto téléguidée Arma Typhoon Grom 4x4 gracieuse T de Pro-RC. À chaque fois que t'entends la voiture téléguidée, c'est le moment pour participer. Rejoins la communauté de passionnés au pro-rc.ca. Pro-RC, ta destination téléguidée à Québec. [01:23:01] Speaker B: Dans la vie, il y a deux sortes de monde. 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Stéphane Lachance, à qui on parlera dans quelques secondes, vient de s'installer en studio. Véronique Dallaire s'en vient. Yves Lévesque, nouveau maire de Sherwood un peu plus tard. Mais d'abord, le maire nouveau de Lévis, Stephen Blainey. Bravo, M. Blainey. Comment ça va? [01:25:27] Speaker C: Ça va bien. Merci, M. Moret. Ça fait tout drôle encore, cette désignation-là, mais ça se prend avec fierté, humilité puis gratitude. [01:25:35] Speaker E: J'ai pas les résultats très précis dans chacun des districts à Lévis. Pouvez-vous nous éclairer ce matin, nous donner leur juste quant aux proportions? Dans la salle du conseil, ça va ressembler à quoi? [01:25:47] Speaker C: Écoutez, on a 15 conseillers et conseillères pour les 15 quartiers de Lévis. Et ce matin, la répartition est environ d'un district pour Lévis force 10. On en a 4 ou 5 pour, puis je dois compléter encore pour, disons, Repension Lévis. Et chez nous, on est à 9 ce matin, district. 9 quartiers, 9 candidats et candidats de l'équipe Prospérité Lévis. [01:26:12] Speaker E: Qu'est-ce qui a joué dans la balance? Qu'est-ce qui a fait en sorte que vous avez été élu? C'est quoi le discours qui a pesé dans la balance, selon vous? [01:26:19] Speaker C: Les gens, premièrement, je pense que les gens sont fiers. On a une communauté fière et prospère, il faut le dire. Toutes les données économiques sont formidables. Au niveau de développement économique, on a des entreprises parfois qui disent même je refuse des contrats parce que je manque de main-d'oeuvre. On a une qualité de vie qui est exceptionnelle. On a une ville qui est sécuritaire et qui veut se développer aussi sur le plan au niveau des indices. Donc, c'est une ville qui a connu une croissance rapide. Et là, les gens disent OK. Ça s'est développé rapidement. Maintenant, on veut un peu, je dirais, reprendre notre souffle. Et notre thème de campagne, c'était de reprendre en main nos finances et notre développement. Et manifestement, ça a résonné au sein de la population libyenne. [01:27:00] Speaker E: Les 100 premiers jours, ça va ressembler à quoi dans le cas du maire Blainey? [01:27:05] Speaker C: Je dirais que d'abord, on va commencer... Je dirais que j'ai... À part l'inverse, je dirais qu'aujourd'hui, c'est beaucoup de textos. On va démobiliser. On a une équipe qui s'est vraiment démenée depuis plusieurs jours. Et je dois dire que ce n'est pas la seule. Puis c'est à saluer vraiment. On a eu une belle campagne à Lévis. Je parlais à Mme Demers hier. Je laissais un message à... à M. Bonnet. On a vraiment une belle campagne d'idée et on peut être fier. Les gens de Lévis peuvent être fiers et je suis curieux, j'ai hâte de voir les données au niveau du taux de participation. Mais d'après moi, Lévis est une des villes où le taux de participation a été le plus élevé au Québec. Et ça, ça vient de quoi? Ça vient premièrement de la mobilisation des gens, mais aussi du travail acharné des trois équipes. Et ça, vraiment, c'est tout à l'honneur de Lévis. Donc oui, à court terme, c'est la démobilisation et la transition, évidemment, pour s'assurer d'une transition harmonieuse. On sait qu'on a un budget qui s'en vient. On a une première réunion du conseil, donc ça va regarder ça pour les prochaines heures et les prochains jours. [01:27:56] Speaker E: La sermentation, c'est quand? Comment ça fonctionne? C'est de la mécanique, je comprends, mais pour qu'il y ait un budget, il faut que ça soit sermenté. Ça va être une grosse semaine, non? [01:28:05] Speaker C: En fait, pour les quatre prochains jours, les maires, par exemple, les candidats peuvent toujours... On est en validation parce qu'on sait que c'est très serré. Il y a beaucoup de résultats encore. Les sièges se sont gagnés par à peine une centaine de votes. Donc, il peut y avoir des contestations dans les quatre prochains jours. Vendredi, normalement, s'il n'y a pas de contestation, on passe de désigné à vraiment en quelque sorte à élu en bonne et due forme. Et la sermentation est prévue le 16 novembre, c'est-à-dire dans... pas le dimanche prochain, mais l'autre. [01:28:36] Speaker E: Je vois ça quand vous dites des majorités serrées, des victoires serrées. Éric Nadeau, par 83, vote d'en peintendre. J'ai Karine Lavertue, par 109 voix. Anne-Marie Tremblay, par 115 voix. C'est du serré. Alain Quirion, par 116. Annick Tremblay, par... 176 pour Quirion. 116 pour Annick Tremblay. Donc, et 117 pour Audrey Bédard. Très serré, Lévis. Très serré. Donc, ça sera validé, comme vous dites, avec des agents officiels, en fait, du monde peut-être même du DGEQ qui vont venir vérifier. [01:29:16] Speaker C: Au besoin, c'est ça, oui. Effectivement, des luttes serrées dans les quartiers. Et on voit aussi, dans le fond, c'était des luttes serrées qui démontrent un peu cette volonté-là de changement. Les gens se sont mobilisés, les équipes étaient sur le terrain. Effectivement, des luttes serrées dans plusieurs quartiers. Au niveau, bien sûr, de la mairie, c'est un peu plus tranché. Mais quand même, encore une fois, je pense que ça démontre le travail des trois équipes. Puis je lève mon chapeau. Vous savez, on a même eu... Vous avez vu l'anecdote de Mme Bernier. Je pense que c'est une belle anecdote à raconter. Audrey, vous savez, a été mordue par un chien pendant la campagne. 35 points de suture. Et il y a des formations politiques adverses, dont M. Bonin, qui l'ont rejoint. J'ai trouvé que c'était un beau geste. Ça démontre aussi qu'au-delà des lignes partisanes ou des débats d'idées, on peut se respecter puis on peut... on peut démontrer notre côté humain dans une campagne politique. Et avant, pendant et après, et ça, je pense que ça augure bien pour la suite des choses, parce qu'on l'a vu pendant la campagne, même si on parlait du 20 % qui nous divise, on a beaucoup de points en commun, les trois formations politiques. On le sait, au niveau des finances, on s'entend qu'il y a un redressement effectué. Au niveau du développement, on est d'accord pour avoir un développement équilibré, avoir une meilleure planification pour ne pas se retrouver avec un moratoire, des poursuites sur le dos et des situations qu'on ne veut pas revivre. Donc, il y avait un consensus là-dessus. Alors, je suis confiant, M. Moret, qu'on va avoir une... Je suis impatient d'avoir le premier conseil municipal qui va se tenir une fois que l'affirmation va être faite le 16 novembre. [01:30:42] Speaker E: Le troisième lien sur une échelle de priorité de 10, il est où? [01:30:47] Speaker C: Troisième lien, c'est un projet qui est essentiel pour notre développement à long terme. On a besoin de ce projet-là pour désengorger nos artères, dont l'autoroute 20. Et on a besoin aussi de ce projet-là pour encadrer notre périmètre urbain. Donc, c'est un projet qui est prioritaire. Et ça, là-dessus, on n'est pas... Il faut le préciser. Je pense qu'il faut toujours le dire maintenant. C'est pour ça que j'utilise l'expression « bouclage périphérique ». parce que c'est pas juste un lien pour un lien, ça prend un troisième lien à l'Est. Et ça, c'est fondamental. C'est la raison pour laquelle, au cours de la campagne, on s'est clairement exprimé en défaveur du projet actuel qui n'apporte pas de gains au niveau de la mobilité régionale. Bien, d'abord, je vais rencontrer notre vis-à-vis, le député de Lévis, le ministre Rainville. Et oui, au besoin, ça me fera plaisir de faire toutes les démarches nécessaires pour, j'aurais le goût de vous le dire, inviter le gouvernement à recadrer son projet et revenir à la promesse qu'il nous avait faite en 2018. On s'en rappelle, hein? C'était très clair. C'est un troisième lien à l'Est. Donc ça va me faire plaisir de rappeler au gouvernement québécois sa promesse originale. [01:31:51] Speaker E: Merci beaucoup. Félicitations. On se reparle. [01:31:54] Speaker C: Au plaisir. [01:31:54] Speaker D: Bonne journée. [01:31:55] Speaker C: Merci beaucoup. Au revoir. [01:31:56] Speaker E: Stéphane Lachance en studio. Bon matin. Félicitations Stéphane, mais t'es pas content, bien évidemment t'es pas content, mais en même temps... Et moi, j'aime mieux prendre le verre à moitié plein et je reprends la balle au bon de plusieurs de tes partisans qui nous ont écrit tôt ce matin pour dire Stéphane n'existait pas il y a deux ans à peine, à part à Radio-Irk, c'était pas un joueur politique, il n'y avait pas de parti, ça n'existait pas. Et maintenant, on parle de respect citoyen avec une bonne dose de respect. Le respect citoyen sera l'opposition officielle à l'hôtel de ville. Mais c'est sûr que c'est une majorité... Une majorité marchande. Tu penses quoi du résultat? [01:32:40] Speaker G: Bon matin pour commencer. [01:32:41] Speaker E: Bon matin. [01:32:42] Speaker G: Est-ce que je pense... C'est sûr que je ne suis pas content. Je ne peux pas dire que je suis heureux. C'est sûr qu'on est parti de rien il y a deux ans avec une idée seulement. On a construit une équipe. [01:32:53] Speaker E: Un programme. [01:32:53] Speaker G: Un programme. On a proposé des choses. On a fait beaucoup de terrain. On n'avait pas de sous, on se rend pas de cachette, on n'avait aucun financement. Donc on n'avait pas de sous, on a presque 56 000 $ qui nous ont été donnés en dons par des gens. Donc c'est dur de faire... On a vraiment travaillé avec le maximum de ce qu'on avait. Je suis content, bien évidemment, que les gens de Val-Bellaire nous aient fait confiance, donc à moi et à Pascal, parce que les deux noms étaient sur le ticket. Marc aussi, Lac-Saint-Charles, Mélanie dans Saint-Thérèse-Elysieu. 169 voix de différence avec Éric-Ralph Mercier. Il y a des chances qu'il y ait du recomptage à ce niveau-là pour s'assurer qu'on... Je déplore aussi, nous on a fait fermer un bureau de vote dans Val-Belair hier parce qu'il y avait de la mauvaise utilisation. On demandait aux gens, si vous n'aviez pas votre carton de votation, de scanner un code QR. Il y a des gens qui n'étaient pas à l'aise avec ça. Ça fait qu'il se faisait retourner à la maison sans avoir voté. On a dû faire appel au directeur des élections, qui a fermé le bureau pendant 20 minutes pour donner une formation aux gens qui étaient sur place. Je trouve aussi que... là, j'ai pas... je sais que le dernier chiffre que j'ai vu, je sais pas si, Dan, toi, t'as quelque chose, mais c'était 41 % à 16 heures, mais je sais pas si par la suite, on a eu un plus d'informations sur le taux de participation. [01:34:11] Speaker E: Je n'ai pas le chiffre devant moi. [01:34:12] Speaker D: Moi non plus, je ne l'ai pas encore, mais je vais aller voir si c'était bien à jour sur le site. [01:34:16] Speaker G: Mais je pense qu'il y a une chose, il y a beaucoup de gens qui m'ont dit aussi, justement, en tout cas, ça n'a rien à voir, je veux dire, directement, mais il va falloir que les gens des GÉQ évoluent aussi sur la façon de voter. Je pense qu'avec maintenant, avec les facteurs de double identification, il y aurait moyen que les gens puissent voter avec leur... et à ce moment-là, on aurait sûrement... 51,16 %. 51. Bon, écoute, quand même, 2017, c'était 54. Ça fait qu'on est remonté parce que c'était plus bas que ça, je pense, en 2021. Donc ça, c'est quand même bon. Mais bon, écoutez, moi, je... il faut recevoir le vote. Je reconnais... je reconnais le résultat. C'est sûr que moi, j'étais pas là pour être deuxième, mais on va faire en sorte de faire le maximum avec ce qui nous a été présenté. On est 3, peut-être 4. et puis on va être face à quand même une majorité de M. Marchand. On va voir comment on va être capable de naviguer dans tout ça, mais chose certaine, on va être une vraie opposition, puis on va vraiment... pas critiquer pour critiquer, mais on va vraiment amener les points qui sont importants, puis... [01:35:17] Speaker E: Surveiller? Surveiller, oui, puis mettre... Parce que le discours que j'entends, c'est... Puis on l'a entendu à deux, trois reprises depuis le début de l'émission. C'est fini, c'est terminé, on n'en parle plus, le tramway va se faire. Autrement dit, fermez vos yeux, ça va se faire, c'est réglé. Il y a beaucoup de choses qui ne sont pas réglées. Non, c'est parce que de l'autre côté, on dit... Ce n'est plus entre les mains du maire Marchand. Le tramway, c'est ce qu'on nous dit depuis des mois. Évidemment, c'est entre les mains de la Caisse de dépôt. Mais de l'autre côté, on nous dit, Marchand a été élu, donc le dossier du tramway est réglé. Oui, mais là, c'est parce que vous avez dit qu'il n'était plus entre ses mains. Alors, faites-vous une idée. [01:35:53] Speaker G: Le gouvernement du Québec n'a pas d'argent. Ils viennent d'enlever 120 millions à la Sûreté du Québec parce qu'ils n'ont pas d'argent. [01:35:59] Speaker E: C'est pour faire quoi? [01:36:01] Speaker G: Puis le fédéral n'a pas plus. Ils n'ont pas du tout de... Oui, puis exactement. [01:36:05] Speaker E: Demain, c'est une grosse journée en passant. [01:36:06] Speaker G: Demain, ils n'auront pas d'argent non plus pour le tramway. Moi, je vous le dis, là, en tant que tel, puis ça demeure. Je changerais pas d'idée, là. Je changerais pas d'idée. Le tramway, c'est un mauvais projet. Alors, en passant, en passant, Très condescendant, M. Régis Labeaumière à RDI, je l'ai écouté, m'a traité comme si j'étais un moins que rien. Au début, même pas capable de nommer mon nom. Même pas capable, je suis deuxième, j'étais deuxième dans les sondages, même pas capable de nommer mon nom, juste le gars de Lévis, le gars de Lévis. Ça, c'était donc important. Alors, très, très condescendant dans sa façon d'agir à ce niveau-là. [01:36:40] Speaker E: Alors qu'à l'époque, quand il est venu ici, 2017, ils criaient sur tous les toits, il n'y en aura pas très outsider, un peu bourru, un caractère, faisais penser à toi pour vrai, un caractère bronceux, c'est vrai. Ça va changer à l'hôtel de ville quand je vais arriver. Je suis anti-tramway, anti-tramway beaucoup, beaucoup, beaucoup. Quentin de Bourget, c'était... Mais là, le gars s'est complètement transformé. Qu'est-ce que vous vouliez que je vous dise? [01:37:09] Speaker A: Il s'est pas transformé. [01:37:10] Speaker D: Moins. Il fait croire au monde qu'il s'est transformé. En 2025, là, En 2025, le gars fait des reportages documentaires contre le bullying alors que c'était le plus grand bully à TV hier soir. En fait, Régis Labeaume, c'est comme un curé qui prêche pour la bonne paroisse, mais qui passe toutes ses soirées dans les bordels. C'est ça, Régis Labeaume. [01:37:32] Speaker E: Il s'est transformé au contact de Montréal, par contre. T'sais, à force de se faire dire « Je t'aime, je t'aime, je t'aime », c'est bon, donne une chronique dans la presse. [01:37:37] Speaker D: Là-dessus, il s'est fait transformer, mais je veux dire... [01:37:38] Speaker E: Là, il donne de l'assaut à Vladimir Poutine le matin dans la presse. [01:37:41] Speaker D: Mais c'est pas une meilleure personne que celui d'Étienne Robinette. [01:37:43] Speaker E: Ça, c'est clair. On va se comprendre le matin. [01:37:45] Speaker G: Alors, on va se relever les manches. Là, c'est sûr qu'on sort de quand même... Écoute, nous, on est... Moi, c'est... Moi, j'ai quand même... Puis je suis pas sûr de faire brûler du monde, mais j'ai quand même roulé une business en même temps que j'ai fait de campagne. C'est du 125 heures semaine que j'ai faite. Fait que je suis brûlé. Je le cacherai pas, je suis brûlé. On a besoin de reprendre un peu mon souffle à ce niveau-là. [01:38:02] Speaker E: Sam Hamad, avec le recul, tu penses quoi de tout ça? Parce qu'on l'a relaté, Donald Gagnon du PCQ a beaucoup travaillé en coulisses depuis deux ans. J'ai vu des vidéos de Donald dans les rassemblements de respect citoyen. Parlez-vous, unissez-vous. [01:38:21] Speaker G: Donald, il pensait que Jean-Saint-Évarel est un meilleur chef que moi. Après ça, c'était Sam avant, après ça, c'était Jean-Saint-Évarel, puis après ça, c'était moi pas longtemps. [01:38:31] Speaker E: Puis Patrick Paquette aussi, en arrière. [01:38:33] Speaker G: Patrick finit troisième. Jean Gagnon qui finit de loin dans Lac-Saint-Charles, qui nous a vraiment démonisés sur ses pages Facebook. [01:38:40] Speaker E: Ah, ça j'ai pas lu. [01:38:42] Speaker D: Épouvantable. [01:38:42] Speaker G: Il va avoir des suites à ça, je te le garantis. [01:38:46] Speaker E: Mais t'as-tu... sans dire des regrets, t'sais, on aurait dû faire ça. Y'a-tu eu des occasions ratées? [01:38:53] Speaker G: J'vais m'expliquer comme ça, Stéphane. [01:38:56] Speaker E: Des occasions ratées, j'vais le dire comme ça. Vas-y, j't'écoute. [01:38:58] Speaker G: Non, non, mais nous, on a tout fait avant l'élection, là, pour faire quelque chose. J'pense que M. Hamad avait un trop gros égo. Il pensait qu'il allait arriver pis que toutes les portes allaient s'ouvrir devant lui, pis il nous parlait de son expérience. Bien, son expérience, c'est 13 %, j'en ai eu 23. Fait que je m'excuse, là, mais c'est ça. Puis Steven Melanson, s'il aurait choisi respect citoyen, il serait élu ce matin. Il serait élu. Parce qu'on avait même offert un deal en tant que tel pour faire en sorte que... En tout cas, avant l'élection, on avait offert quelque chose à Steven. Puis bon, il a choisi M. Ahmad. C'est son choix, je respecte ça. [01:39:33] Speaker E: Sur l'arrogance de... [01:39:35] Speaker G: Mais l'arrogance, M. Hamad ne m'a jamais respecté. Jamais, jamais, jamais. Il m'a jamais pris la preuve. [01:39:39] Speaker E: Et à la rencontre de Villeneuve aussi, souvenez-vous du débat. Bruno Savard, très baveux envers Villeneuve. Vous, qu'est-ce que vous avez fait? C'est parce que Villeneuve l'a attaqué. Sam Hamad voulait se faire courtiser. Il voulait entrer à l'hôtel de ville un peu comme Jésus dans le Nouveau Testament, assis sur un âne, puis tout le monde avec les branches d'olivier. Le couronnement, c'est ce qu'il cherchait, là, pour vrai. [01:40:03] Speaker G: Il cherchait le couronnement. [01:40:04] Speaker E: Il cherchait le couronnement, pour vrai. Il ne voulait pas se faire challenger. Il y a eu tout un temps où ça fut discuté, où tu lui avais dit, présente-toi à la chefferie, t'étais prêt même à te retirer de la chefferie de respect citoyen, mais fais voter les membres! C'est un parti! Il a refusé de... de faire face aux membres. Oublie ça, là. Ça, ça a été une catastrophe. [01:40:28] Speaker G: C'est pour ça que quand j'entendais Vincent, puis j'ai beaucoup de respect pour Vincent, mais hier, j'ai entendu un extrait de Vincent qui disait qu'il aurait fallu qu'on mette chacun de l'eau dans notre vin. On a essayé d'en mettre de l'eau, puis je veux dire, ça peut pas venir toujours de l'autre côté. Alors, c'est ça, le résultat. Mais bon, on va être à l'hôtel de ville. [01:40:43] Speaker E: On va être trois. On vit le moment présent, le 3 novembre. [01:40:45] Speaker G: On va surveiller, puis on va être là pour brasser, puis ça sera pas de la complaisance, parce que vous connaissez ma façon de faire. Donc on va être là pour offrir une vraie opposition. Puis c'est sûr qu'on va être entouré de gens de Québec fort et fier. Je suis quand même très, très surpris de voir en tant que tel tous les élus de Québec fort et fier. Il y en a là-dedans qu'on n'a pas du tout vu durant toute la campagne qui ont été élus. Mais ils ont été élus avec la vague Bruno Marchand. Il y a eu une vague hier, il ne faut pas se le cacher. En passant, je tiens quand même à dire que Bruno Marchand avait gagné avec 59 000 voix. En 2021, j'en ai eu 40 000, donc c'était quand même pas si pire. [01:41:21] Speaker D: Il y a beaucoup de circonscriptions, quand je faisais le calcul ce matin, qui ont voté pour Bruno Marchand comme maire, mais qui n'ont pas voté pour Bruno Marchand comme conseiller municipal. Le problème, c'est juste que le monde savait pas pour où voter pour aller porter de l'opposition à... Fait que le vote, c'est divisé. [01:41:37] Speaker G: C'est... Ah non, c'est assez évident. Je veux dire, sans M. Hamad, je veux dire, j'aurais probablement cinq ou six conseillers avec moi ce matin. Bon, c'est... Ça sert à rien de regarder en arrière, c'est ça la game. [01:41:49] Speaker E: Le travail des médias, qu'est-ce que t'en dis? Au niveau des attaques, c'est quoi ton bilan? Les attaques envers Roussin aussi, les trucs, l'intimidation. C'est Yvan qui avait eu de l'intimidation, quand même. [01:42:08] Speaker G: Marc était obligé de quitter son domicile pour la fin de campagne. Depuis mercredi passé, il était à l'hôtel parce qu'il recevait des photos de sa maison, puis on lui disait des choses... [01:42:19] Speaker E: Des photos de sa maison? [01:42:21] Speaker D: Par des journalistes? [01:42:22] Speaker G: Non, non, pas des journalistes. [01:42:23] Speaker E: Des qui-dames? [01:42:23] Speaker G: Non, non, c'est des espèces de... Je sais pas trop sur quelle plateforme, mais tu reçois ça, tu le vois, puis dès que tu l'ouvres, ça s'efface. Mais bon, écoute, il y a eu beaucoup d'intimidation, il y a eu beaucoup de mauvaise foi. On est toujours revenu... C'est drôle, j'ai voté à Québec, moi, avec mon carton de Québec, mais c'était toujours le temps de gars de Lévis. [01:42:44] Speaker E: T'as voté ici, à côté, avant de la DH. [01:42:46] Speaker G: Exactement. Fait que c'était tout le temps de gars de Lévis, mais j'ai trois adresses à Québec, puis après ça, c'était mes tickets, 24 ans. On sort 24 ans de mes tickets pour me mettre... Tu sais, j'étais l'ennemi à abattre, là, c'est assez clair à ce niveau-là, mais bon. On s'est tenus debout, on n'a pas pliés genoux, on sort de là avec des bleus, fait que là, on va mettre de la glace, ces bleus, comme on dit. Puis on va se relever, puis on va continuer, puis on va faire en sorte d'être... Je vais être très fier de représenter les gens de Val-Balaire. Je le reçois, ce mandat-là, avec beaucoup d'humilité. Puis même chose pour Mélanie dans Sainte-Thérèse-de-Licieux. [01:43:20] Speaker E: Qui est-elle, Mélanie, pour les gens qui la connaissent pas? Parce que c'est l'autre. C'est-à-dire qu'on connaît Marc Roussin, on te connaît, mais elle, humblement, on la connaît moins. Peux-tu nous la décrire un peu? C'est quoi sa spécialité, ses compétences? [01:43:34] Speaker G: C'est une fille qui a travaillé dans le domaine municipal. Elle a travaillé entre autres au niveau de... dans Montérégie, elle a travaillé au niveau de l'urbanisme. Donc c'est une fille qui est aussi une gestionnaire de projets aussi. Elle travaillait chez le groupe Océan. Donc, c'est une fille qui est habituée de travailler avec des gars. Donc, c'est une fille qui est capable de... qui a beaucoup de caractère. Et c'est une personne que j'apprécie énormément, qui est... [01:43:54] Speaker E: C'est elle ta bosse? [01:43:55] Speaker G: Non. [01:43:56] Speaker E: Non. [01:43:56] Speaker G: Non. [01:43:57] Speaker E: Ha! [01:43:57] Speaker J: Ha! [01:43:57] Speaker B: Ha! [01:43:58] Speaker E: Ha! [01:43:58] Speaker C: Ha! [01:43:58] Speaker G: Ha! [01:43:58] Speaker B: Ha! [01:43:58] Speaker E: Ha! [01:43:58] Speaker A: Ha! [01:43:58] Speaker C: Ha! [01:43:58] Speaker A: Ha! [01:43:58] Speaker C: Ha! [01:43:58] Speaker G: Ha! [01:43:58] Speaker F: Ha! [01:43:58] Speaker E: Ha! Ha! Ha! Ha! [01:43:59] Speaker B: Ha! [01:43:59] Speaker E: Ha! Ha! Ha! Ha! [01:44:00] Speaker G: Ha! [01:44:01] Speaker C: Ha! [01:44:01] Speaker H: Ha! [01:44:01] Speaker E: Ha! [01:44:01] Speaker G: Ha! [01:44:06] Speaker E: Ha! [01:44:06] Speaker B: Ha! [01:44:06] Speaker G: Ha! Ha Toutes les candidats en tant que tels qui ont fait campagne chez RSP Citoyens, puis je le dis pour tous les autres aussi, mais je vais parler de ma gang, si vous me permettez, ce matin. Ils ont fait le maximum de ce qu'ils étaient capables de faire. Ils ont fait une très, très belle campagne. Il y avait beaucoup de peine hier soir. J'ai fait un petit caucus à la fin, ensemble, parce qu'il y en a plusieurs qui avaient le... qui avaient beaucoup de difficultés à voir le résultat. Mais ils ont fait un beau travail. Je les félicite. Et puis, respect citoyen, c'est loin d'être terminé. Le parti va rester vivant. On a eu aussi beaucoup de succès au niveau des médias sociaux. Par contre, on a eu beaucoup de succès sur les réseaux sociaux, mais avoir du succès, puis d'avoir allé chercher un vote, il y a quand même une marge entre les deux, mais on va le développer. Puis on va continuer, puis on va... Chose certaine, on va être là pour représenter les gens de Québec, puis on va surveiller comme il faut ce gouvernement municipal-là de Bruno Marchand. On avait des mots... [01:45:11] Speaker E: On a des extraits à te faire jouer. [01:45:13] Speaker D: Oui, bien en fait, un extrait, c'est Bruno Marchand qui a parlé de toi hier. [01:45:16] Speaker G: Ah oui? [01:45:16] Speaker D: Bien oui. [01:45:17] Speaker E: Ça te semble bien qu'on va essayer. [01:45:18] Speaker B: De prendre la chance, le chef de position? Comment vous voyez ça? [01:45:21] Speaker A: Bien, on lui souhaite de faire quatre ans, mais s'il n'y a rien de garantie là-dessus, hein? Alors je le félicite pour sa victoire. Maintenant, la suite, je la connais pas. [01:45:27] Speaker C: On va travailler avec eux. [01:45:29] Speaker E: Qu'est-ce que t'en dis? [01:45:30] Speaker G: Je vais faire 4 ans, il n'y a pas de souci à ce niveau-là. Il veut encore faire des suppositions, faire des peurs, puis ces choses-là. Il n'y a aucun souci en ce qui me concerne. On va être là pour faire les choses, puis on va le surveiller comme il faut, puis quand ça va être le temps, on va le brasser quand ça va être le temps. [01:45:47] Speaker E: Le party à 50 000 au Château Frontenac, ça va être un party de QFF. Ça, c'est carrément Renaud qui a lâché ça sur nos ondes la semaine passée. Il y a des dossiers qui vont... Il y a des dossiers qui arrivent plus naturellement, avec Renaud, qui est le midi et qui va continuer de faire des chroniques présumément le midi. Il n'y a rien qui va changer. Il y a des dossiers qui sont sur la table qui ne sont pas traités. [01:46:09] Speaker G: Écoute, il y a beaucoup de choses qu'on a soulevées durant la campagne et que les médias ne reprennent pas. On a cherché vraiment, de mon côté, à trouver toutes les petites bêtes noires qu'il pouvait y avoir, mais M. Marchand, on a parlé de ses comptes de dépense, de son alcool qu'il avait mis sur ses comptes de dépense. On a parlé de toutes sortes de choses. Puis ça n'a pas sorti. Puis je veux dire, t'sais, on a une presse, de façon générale, qui est assez favorable à Bruno Marchand et au tramway. Puis c'est assez clair. Puis c'est ce qui s'est un petit peu déroulé durant cette campagne-là. Puis nous, on a essayé de faire en sorte de faire notre place. Mais je veux dire, on fait ce qu'on peut avec les moyens qu'on a. [01:46:45] Speaker E: Les livers écrivent, «Ah, j'aimerais ça que tu te présentes aux prochaines élections provinciales.» Il est à l'hôtel de ville. Il vient d'être élu. Les gens, on va expliquer les règles. Bon, Colistier a été élu. Stéphane prend la place. C'est lui qui va siéger à l'hôtel de ville, en compagnie de deux autres conseillers. Oui, ça sera majoritaire, donc évidemment, ça sera le rouleau compresseur, bien souvent. Ça va être 18 contre 3. C'est ça. Ça va être ça, le score de la game de foot. [01:47:14] Speaker D: Ça va toujours finir 18 à 3. [01:47:15] Speaker E: Vous aurez un botté de placement tout le temps. On va essayer de mettre en lumière. [01:47:22] Speaker G: On va essayer de mettre en lumière en tant que tel les situations qui sont problématiques. [01:47:27] Speaker D: Tu sais ce qui va être le plus frustrant, Stéphane, c'est qu'à un moment donné, vous allez faire des propositions qui n'ont rien à voir avec le travail ou quoi que ce soit. Ils vont voter contre votre proposition. [01:47:35] Speaker G: On demande le vote. [01:47:36] Speaker D: Cinq semaines plus tard, ils vont rappeler la même proposition, puis après ça, ils vont dire, c'est nous autres qui a fait le pas, c'est ça. [01:47:41] Speaker E: Ils vont aller recycler. [01:47:42] Speaker G: Ça, ça fait partie de la game. [01:47:43] Speaker D: Ça, tu le sais. [01:47:46] Speaker E: Dans le dossier du tramway, C'est pas fini, c'est pas réglé, là. C'est quoi les dossiers précis qui devraient nous intéresser dans ce dossier-là? Puis je sais qu'il y a plein de monde qui vont dire «Morin, on est écoeuré d'en entendre parler, mets-tu ça!». [01:47:59] Speaker G: Mais non, on va voir, là, j'ai... [01:48:01] Speaker E: Mais qu'as-tu à dire d'abord aux gens qui sont écoeurés d'entendre parler, t'sais? [01:48:05] Speaker G: Écoutez, c'est quelque chose qui va affecter votre quotidien pendant 4 à 6 ans, donc je trouve ça dommage que les gens qui sont opposés, il y a quand même 55%, parce que tout à l'heure j'entendais l'extrait de Bruno Marchand qui disait 51, 52, dépendamment des sondages, c'est 55% des gens qui ont dit qu'ils étaient opposés au tramway. Je trouve dommage que les gens qui sont opposés au tramway ne sont pas allés voter, c'est clair à ce niveau-là, parce qu'on va être pris avec ça pendant 4 à 6 ans, puis ça va être un système... Le REM marchait pas la semaine passée parce qu'il ventait. Ça marchera pas, le tramway, là. Arrêtez de dire ça, là. Mais t'sais, bon. Mais on a entendu aussi, j'ai entendu, lorsque j'ai fait des RPA, j'ai entendu des gens qui m'ont dit «Ah, ça va être le fun, on va aller s'asseoir dans le tramway, ça va nous permettre de nous divertir.» Ça fait un divertissement qui va coûter très cher aux gens de la Ville de Québec. Alors, écoutez, les gens ont voté majoritairement pour une administration qui a augmenté de 27,5 % le budget, qui a jamais eu un cabinet de maire avec aussi de personnes. On proposait un gel de taxes, on proposait une diminution de taxes au niveau du commercial. Les gens sont allés vers une autre direction. Il faut respecter le choix démocratique. Là, ça fait partie de la politique. [01:49:09] Speaker D: Mais toi, sur le terrain, tu me rassures, t'as-tu vu les gens qui sont contre le tramway? Parce que moi, je pense qu'ils existent pas, ce matin, ces gens-là. [01:49:15] Speaker G: Non, non, ils existent. Il existe, pis moi, il y a un paradoxe entre le terrain pis le résultat... [01:49:20] Speaker E: Ils sont pas déplacés. [01:49:21] Speaker G: Non, non. Entre le... [01:49:22] Speaker E: Pour quelles raisons ils se sont pas déplacés? [01:49:24] Speaker G: Je sais pas, je sais pas. [01:49:25] Speaker D: Pour quelles raisons ils se déplacent jamais? Ils se sont pas déplacés aux dernières fédérales, ils se sont pas déplacés aux dernières provinciales, ils se sont pas déplacés aux dernières municipales. [01:49:32] Speaker G: Parce que les gens de centre droit, ils aiment ça chialer, mais quand c'est le temps de faire l'effort, ils veulent pas le faire. [01:49:36] Speaker E: On râle! On râle, on râle, on râle et on chiase. [01:49:40] Speaker G: Chion les pas là, tu sais. Chion les pas là, ce qui va arriver. Donnez les clés à quelqu'un qui va continuer à faire. La seule chose qui me rassure dans tout ça, Dominique, c'est que le gouvernement n'a pas d'argent. Le provincial n'a pas d'argent. Le fédéral n'a pas d'argent. [01:49:53] Speaker E: Exactement. [01:49:54] Speaker G: Je ne peux pas comprendre comment ils pourraient faire pour mettre en place ce projet-là. [01:49:59] Speaker E: On coupe des postes de police en Abitibi. [01:50:01] Speaker G: Puis là, tout l'argent qui avait été mis de côté ou qui avait été donné à la Ville de Québec pour faire les travaux opératoires, là, ils l'ont épuisé. Ça va prendre de la nouvelle argent s'ils veulent aller plus loin. Alors, on va voir comment ça va se dérouler, mais nous, on va surveiller ça. [01:50:13] Speaker E: Penses-tu que la CAQ est vraiment pour ça? On a senti que Geneviève Guilbault, à plusieurs reprises, n'était pas très pro-tramway. Mais là, et puis là, Jonathan Julien, lui, est encore là. [01:50:28] Speaker G: Mais là, j'ai vu un commentaire, je sais pas s'il l'a fait, mais j'ai. [01:50:30] Speaker D: Vu un commentaire hier dans l'actualité qui. [01:50:32] Speaker G: Disait que la journée du vote que Jonathan Julien a dit, peu importe le résultat de l'élection, le tramway va aller de l'avant. J'ai trouvé ça assez ordinaire comme commentaire sur la journée du vote. Mais au final, ils ont pas d'argent. Ils n'ont pas d'argent. Ils n'ont pas d'argent. Quand c'est rendu, tu coupes 120 millions dans le budget de la Sûreté du Québec. [01:50:49] Speaker E: Coupes le salaire des médecins. Tu coupes partout, t'as coupé les subventions la semaine passée. Ça, c'était très particulier. La dernière minute, une espèce de décret pour couper toutes les subventions émises. Mais on a de la misère avec les hôpitaux, puis ça prendrait des nouveaux hôpitaux et tout ça. [01:51:06] Speaker G: Léonel Carmant qui a quitté, c'est parce qu'il n'était pas fier de ça face à ses collègues médecins. [01:51:10] Speaker E: Exactement. Mais face à sa femme, face à sa fille aussi. [01:51:12] Speaker G: Aussi, mais c'est un autre dossier. Nous, on va s'occuper du mandat qu'on a reçu hier. [01:51:18] Speaker E: Et à court terme, dernière question, qu'est-ce qui passe à court terme? Il y a-tu un bilan de parti? [01:51:23] Speaker G: Bien là, on a des réunions à faire. C'est sûr que là, il semblerait, on va se faire confirmer ça, mais avec notre pourcentage, qu'on aura un budget en tant que tel, donc on va pouvoir avoir du personnel en tant que tel. Il y a des gens dans notre équipe qui n'ont pas été élus, mais qui ont fait du très bon travail au niveau des communications, donc on aura sûrement à monter un cabinet. [01:51:40] Speaker E: Vous allez avoir un bureau politique. [01:51:41] Speaker G: Un bureau policier. [01:51:42] Speaker E: Avec de la recherche pour faire de la recherche. [01:51:44] Speaker B: C'est ça. [01:51:44] Speaker G: Puis les gens, bon, écoute, je pense... Écoute, je pensais qu'au niveau d'une visibilité, puis une... personne me connaissait. Là, je veux dire, je suis rendu que là, je vais à l'épicerie, puis il y a personne qui... Je peux pas faire deux pieds quelqu'un qui me salue. Donc, ça va augmenter. On va faire les scrums aussi à l'Hôtel-de-Ville, ces choses-là. Et puis, on va faire monter la notoriété. Puis... [01:52:05] Speaker D: C'est surtout que tu vas être assis en face de Bruno Marchand au conseil municipal. [01:52:08] Speaker E: Et tu vas te lever. [01:52:09] Speaker D: C'est ça. [01:52:09] Speaker G: Ah, ça, c'est sûr que je vais m'enlever. [01:52:11] Speaker E: Je changerai pas là-dessus. [01:52:12] Speaker D: Et tu vas sentir les regards sur toi parce que tu sais qu'en arrière de toi, ça va être du monde de QFF. Ils vont te souffler dans le dos. [01:52:19] Speaker E: Je pense que ça va le motiver. [01:52:20] Speaker D: Ça commence le 18 novembre, on va être là. OK, c'est bon, tu me le dis. Merci. [01:52:24] Speaker E: Stéphane Lachance, êtes-vous le candidat de la radio? [01:52:28] Speaker G: Non, vraiment pas. [01:52:31] Speaker E: Il y a encore ça ce matin. [01:52:33] Speaker G: Je sais, mais c'est tout le temps ça. C'est une presse qui est très partisane en faveur de cette administration-là. Je prends juste l'exemple. Karine Gagnon du Journal du Québec. Je vais juste le dire comme ça. Elle a écrit des choses sur moi épouvantables. Je n'ai jamais rencontré cette femme-là. Jamais. Elle ne me connaît pas. Elle ne m'a jamais vue. Elle a écrit des choses immondes à mon sujet. Puis après ça, il y a du monde qui lit ça puis qui prenne ça pour du cash. [01:52:59] Speaker D: Écoute. [01:53:00] Speaker G: Ça fait partie de la game, mais regarde, on va... Là, on va mettre de la glace, nous, au bleu, parce qu'on en a beaucoup. Donc on va se guérir, puis on va se construire, puis on va organiser une opposition qui va être efficace. Puis comptez sur nous pour défendre les intérêts des gens de la Ville de Québec. [01:53:16] Speaker E: Stéphane Lachance, chef de respect citoyen, qui s'en va à l'Hôtel de Ville. Merci beaucoup d'être passé. [01:53:22] Speaker G: Merci. [01:53:22] Speaker E: Bonne journée à vous. Bonne journée. 7h53, 88-670-9098. On est en direct de Grande Allée. On est avec vous autres jusqu'à 10 h dans Montréal. [01:53:30] Speaker A: Moray. [01:53:33] Speaker B: Petite pause. De retour dans un instant. Vous êtes fait fort, mais les virus de la grippe et de la COVID-19 aussi. C'est important de vous faire vacciner, surtout si vous vivez avec le diabète, un système immunitaire affaibli ou une maladie du cœur, des poumons ou des reins, si vous êtes enceinte ou si vous avez 65 ans et plus. Dans ces cas, vous êtes plus à risque de complications graves face à ces virus. Pour plus d'informations et pour prendre un rendez-vous, visitez québec.ca baroblic campagne vaccination. La vaccination, c'est la meilleure protection. Un message du gouvernement du Québec. Pickleball Lévis s'agrandit! Un tout nouveau centre intérieur ouvre dès novembre à la sortie Lévis-Centreville-Pintendre de l'autoroute 20. Plus de terrain, plus de plaisir. Devenez membre dès maintenant sur pickleballlevis.com Enverro. [01:54:24] Speaker E: Confort, à Lévis par Québec, c'est le cas de le dire. Oui, Lévis, Québec. Ça a commencé à Lévis, c'est toujours à Lévis, bien sûr. Et à Québec, sur Pierre Bertrand, 900 Pierre Bertrand. Avec le deal qui est toujours en vigueur jusqu'au... En vigueur, là, je te dirais qu'il est moins viguete un peu. J'ai une promo, elle est borderline. Est-ce que je l'annonce ou pas? Savez-vous quoi? J'annonce les thermopompes. Let's go, on planche parce que la promo, t'as fini le 31. Ils vont me chicaner, Dan! Parce qu'on est rendu le 3 novembre. Viens magasiner ta thermopompe chez nous. Une chose est sûre, ça je le sais parce que ça a été la compagnie qui a mis deux thermopompes dans la maison. Et les thermopompes, à un moment donné, ils ont brisé. Le meilleur service à la clientèle. Oui, tu peux acheter ta thermopompe d'une grande surface, on le sait. Achète donc ça de spécialistes qui vont d'abord bien te conseiller à l'achat avec des photos, avec même une petite vidéo de ton salon, du corridor dans lequel tu vas installer ça. 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À la colline parlementaire, si vous avez 50 ans ou plus, parlez à votre professionnel de la santé de Préveneur 20. C'est un vaccin contre la pneumonie à plume à coque. Visitez préveneur20.ca. [01:56:31] Speaker A: Le Deep Down présenté par Équilibre Traiteur. Rends tes semaines de travail savoureuses avec le nouveau site. [01:56:37] Speaker D: Commande en ligne, sans nombre minimum de repas. [01:56:40] Speaker A: Commande la veille avant midi. Équilibre-traiteur.ca. Vos dettes vous étouffent? alexandrewallet.com. [01:56:45] Speaker B: Moi avant, chaque mois je payais 2000 $ d'hypothèque, 800 $ de cartes de crédit, 900 $ de prêts personnels et 700 $ pour mon auto. Ça me déprimait, puis toute ma paie passait en paiement. J'ai appelé alexandewallet.com et maintenant j'ai un seul paiement qui comprend tout et j'économise 1600 $ par mois. Enfin, je respire! [01:57:05] Speaker A: Pour diminuer vos paiements, Alexandre Ouellet, c'est LE spécialiste. [01:57:12] Speaker E: Gestion, solution, construction. GSC formé pour bâtir. Ton rêve c'est d'être entrepreneur, c'est d'être ton propre boss. Ça fait des années que tu bûches, ça fait des années que t'es plombier, tu travailles pour un autre. Afifi, Anini, je vais l'avoir ma remarque. Je vais avoir deux remarques, je vais avoir trois remarques, je vais avoir mon staff. Mais pour ça, ça te prend tes papiers RBQ. Pour ça, faut que t'ailles à l'école. Façon de parler, bien entendu. Formation ultra rapide, ça roule. Ça va vraiment bien. On est partout au Québec. Et on est à Québec depuis quelques années, d'ailleurs. On est les meilleurs à Québec. À distance, en personne, tu mélanges, peu importe, on est les meilleurs. Appelle-nous et on te boucle un cours. Gestion Solutions Construction. [01:57:54] Speaker B: Êtes-vous prête pour l'ultime sortie entre filles à Québec? Rassemblez vos amis et venez au Salon National de la Femme les 15 et 16 novembre au Centre de Foire Exposité. Tout le plaisir au même endroit. Magasinez au marché de Noël. Venez voir Karine Jonka et les danseurs enflammés sur la scène principale. Découvrez les dernières tendances ou défilés de mode. Dégustez des bouchées et des vins délicieux. Et partagez des moments inoubliables avec vos amis. Arrivez tôt pour un snack d'échantillon gratuit. Il n'y a rien de mieux que l'ultime sortie entre filles. Achetez vos billets pour le Salon National de la Femme les 15 et 16 novembre au Centre de foire Exposité. [01:58:27] Speaker E: J'ai bu ça, Dan. C'était très bon. Il y a Véronique Dallaire qui s'en vient dans l'émission. Ne manquez pas ça. Yves Lévesque également. L'émission spéciale qui se poursuit. Je veux vous parler de Nanook parce que je vous dirais qu'on est dans un rush actuellement, mais on a de la place. On peut booker vite pour justement faire installer Façon de parler, je sais pas si c'est le bon terme. Votre nouvelle toiture, la réparer, la refaire, tiens, pourquoi pas. Mais même le bardeau en dessous, même. Regarde, on va vérifier si c'est pourri, mais on va la refaire grandeur. Votre toiture, c'est pas très très compliqué. Nano-Kenahan, UUQ. Pour un temps limité, on t'offre la promotion rabais éclair sur les toitures en bardeau. Économie de 250 à 1050 $. Soumission acceptée dans un délai de 10 jours. Let's go, appelle-nous. 581-985-6949. [01:59:14] Speaker A: Cette semaine, écoute le retour. Tu pourrais gagner l'un des 10 certificats cadeaux de 50$ chez Fromagerie Victoria, au signal de D.H. Là, je vous pose la question. On veut savoir ce que tu mets dans ta poutine. [01:59:26] Speaker E: Je suis content. [01:59:27] Speaker A: À la Fromagerie Victoria, notre fromage emmène large. Frais du jour, tous les jours et du fromage, on en retrouve partout sur notre menu. C'est pas pour rien que tout le monde adore la Fromagerie Victoria. Fromagerievictoria.com L'école de conduite Pointe-Lévis, c'est 15. [01:59:42] Speaker D: Formateurs et 250 heures de cours par semaine, jour, soir et week-end. Les cours débutent tous les mois. Inscris-toi, nomme Radio X et épargne 50 % sur ton manuel. L'école de conduite Pointe-Lévis à Saint-Charles-de-Bellechasse et Lévis. [01:59:55] Speaker A: L'embarquement pour le vol 246 à destination de Montréal est retardé de 50 minutes. [02:00:01] Speaker E: Ah ben là! [02:00:02] Speaker A: On dirait que c'est l'heure Dojo. Playojo? Bonne idée! Profitez de tous vos jeux préférés comme Wolfgold et Joker's Jewels et des jeux exclusifs que vous ne trouverez nulle part ailleurs. [02:00:12] Speaker B: Wouhou! [02:00:13] Speaker A: J'ai gagné! L'embarquement commencera dès que les passagers auront fini de célébrer. Ouvert à tous les joueurs de 18 ans et plus, il ne s'agit pas d'un site de jeu. Veuillez jouer de manière responsable. Les généreuses assiettes en sauce sont à seulement 12 $ chez Ashton. 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[02:01:10] Speaker A: Le Salon de la motoneige éduquade de Québec, présenté par Bénéva, c'est pour tout le monde, autant les débutants que les passionnés. [02:01:17] Speaker F: Ah oui? [02:01:18] Speaker A: Oui, parce que sur place, il y a des centaines de motoneiges équades neufs et d'occasion. [02:01:22] Speaker B: Cool! [02:01:23] Speaker I: Puis est-ce que je vais pouvoir magasiner? [02:01:24] Speaker A: Oh que oui! Des vêtements, des accessoires et même des séjours avec randonnée. Et comme c'est le seul salon de l'industrie au Québec... Ah ben là, c'est. [02:01:32] Speaker E: Sûr qu'on y va! [02:01:33] Speaker A: De vendredi à dimanche, au Centre de foire d'Expo Cité, place au Salon de la motoneige éduquade de Québec, présenté par Bénéva. [02:01:40] Speaker B: Depuis plus de 30 ans, Gestion Lac Auto offre des véhicules de qualité jusqu'à la moitié du prix d'un oeuf. Nos pros conseillers vous accompagnent sans pression dans votre choix. GestionLacAuto.com Morelive, présenté par Multiconfort FP. C'est le mois de novembre, fou, fou, fou! Des rabais exceptionnels sur nos thermopompes du 1er au 30 novembre. Informez-vous! [02:02:02] Speaker E: Multiconfort FP! [02:02:04] Speaker B: En face de l'aéroport. [02:02:05] Speaker A: Chouaa! [02:02:06] Speaker B: Chouaa! [02:02:08] Speaker A: 98! [02:02:09] Speaker E: 98! [02:02:13] Speaker A: Et. [02:02:25] Speaker B: Dans. [02:02:37] Speaker E: Ce scrutin, il y a des bonnes personnes qui ont perdu. Il y a des bonnes personnes qui avaient les valeurs à la bonne place qui sont tombées. Je vous avouerai que c'est une déception parce que c'est quelqu'un quand même qui avait le bon discours et la bonne énergie. Mais Véronique Dallaire a perdu et elle est quand même avec nous autres ce matin et on la remercie de s'être déplacée pour nous. Comment ça va? [02:03:04] Speaker I: Ça va bien. [02:03:05] Speaker E: Est-ce que c'est... Un gros 2x4, un petit 2x4, un moyen 2x4 ou c'est pas un 2x4? [02:03:13] Speaker I: Ça change d'heure en heure. [02:03:15] Speaker E: Des fois, il est plus gros, des. [02:03:16] Speaker I: Fois, il est plus petit, mais ça va bien. [02:03:18] Speaker E: Qu'est-ce qui s'est passé hier? Qu'est-ce que les gens de Québec ont décidé ou pas décidé ou rejeté? [02:03:25] Speaker I: C'est encore à froid. Non, encore à chaud. [02:03:29] Speaker E: Mais t'es avec nous autres quand même, je me permets de poser la question. [02:03:31] Speaker I: Oui, bien mon interprétation à moi, c'est très personnel, c'est que les gens ont choisi Bruno Marchand pour ne pas faire rentrer Stéphane Lachance. [02:03:41] Speaker C: Wow! [02:03:42] Speaker I: Je pense que Stéphane Lachance a fait gagner Bruno Marchand. [02:03:45] Speaker E: C'est gros? C'est un peu gros? [02:03:47] Speaker I: Je le pense. Je le pense. [02:03:48] Speaker E: Pourquoi? Explique. [02:03:50] Speaker I: Bien, écoute, on n'aurait pas la vague qu'on vit, puis qui est arrivée hier, si c'est pas ça qui s'était passé. sur le terrain, les gens voulaient voter pour nous, voulaient voter pour moi. Je vais prendre ma situation personnelle. [02:04:03] Speaker E: Claude Villeneuve, quand même, le chef. Ton chef. [02:04:05] Speaker I: Pour Claude, mais si j'y vais vraiment dans le district que je représentais, les sols, les méandres, les gens me disaient, j'ai envie de voter pour toi, mais je ne veux pas que Stéphane Lachance rentre. Et on avait beau expliquer qu'au municipal, il y a deux votes, donc s'il y avait une stratégie à faire, il fallait le faire au niveau de la mairie et pas au niveau des conseillers, ça n'a pas percolé, puis c'est ça qui s'est passé. [02:04:26] Speaker E: Dans les saules éméantes, Isabelle Dufour a quand même eu quasiment 24 %. Si les gens voulaient vraiment rejeter Stéphane Lajance, ça aurait été transition Québec à 2 %. [02:04:37] Speaker I: Mais si on prend l'ensemble des districts, puis j'ai pas fait une analyse exhaustive, mais on prend Leadership Québec et Respect citoyen, ils se sont séparés les voix. Dans la plupart des districts, ils sont deuxième ou troisième. [02:04:49] Speaker E: On l'a bien expliqué tantôt. [02:04:50] Speaker I: Deuxième ou troisième, donc se sont séparés les voix. Mais ce qui s'est passé avec la victoire de QFF, c'est qu'ils ont pris, puis là, je vais prendre mon district encore une fois, les voix qui seraient revenues si les gens n'avaient pas décidé de faire un vote stratégique. Puis c'est la même chose pour plusieurs districts. Et là, je finis quatrième sur cinq, puis je ne l'interprète pas contre mon travail des quatre dernières années. Mon interprétation, puis je pense qu'on peut l'étendre à la majorité des districts, c'est que les gens ont dit non. On veut pas Stéphane... Pardon, on veut pas Stéphane Lachance. On va voter marchand all the way. Puis c'est ce qui fait en sorte qu'il se retrouve avec 18 conseillers. [02:05:24] Speaker E: Mais il y a une majorité de gens qui veulent pas le tramway, là. Les gens ont voté Stéphane Lachance qui n'existait pas politiquement il y a un an. Il y a quand même eu... Il y a quand même trois candidats. de son parti qui s'en vont à l'Hôtel-de-Ville. La seule opposition qui va à l'Hôtel-de-Ville, c'est quand même Stéphane Lachance. C'est quand même gros ce qu'il a bâti. Il faut le reconnaître aussi. Même si tu l'aimes pas. [02:05:46] Speaker I: J'ai jamais dit que je l'aimais pas. [02:05:47] Speaker E: Non, mais peu importe. Dans les explications que tu nous donnes, c'est possiblement négatif. Mais t'étais pro-tramway. [02:05:54] Speaker I: J'étais et je suis. Et t'sais, on a beau dire qu'il y a une majorité de personnes qui le veulent pas, si on prend les chiffres des partis qui étaient pour le tramway, dans l'élection d'hier, pas dans les sondages. Il y a eu une élection hier, là. [02:06:06] Speaker E: Les antitramways ne sont pas allés voter, puis ça, c'est Dixit-Dane qui l'a analysé tantôt. [02:06:10] Speaker D: Les antitramways ne sont jamais allés voter. Jamais, jamais, jamais. Ils vont jamais, jamais. [02:06:14] Speaker E: Les cinq dernières élections, quel que soit le pays. [02:06:16] Speaker D: Jamais, jamais. Moi, je pense que... Je vais répéter ce que je vais dire ce matin. [02:06:20] Speaker E: C'est des râleurs, des fioleux. Exactement. [02:06:22] Speaker D: Moi, je vais répéter ce que je vais dire ce matin. Tant il y a aussi longtemps que j'ai pas une preuve que la majorité des gens sont antitramways, là, à partir d'aujourd'hui, je vais commencer à penser que les gens de Québec veulent un tramway. J'ai pas le choix. 4 fois, 4 fois sur 5 ans, les gens de Québec ont eu l'occasion d'aller parler du tramway en élection et les 4 fois, ils ont donné pas une majorité, une immense majorité au tramway. J'ai pas le choix de penser que c'est peut-être du monde qui n'existe pas. [02:06:49] Speaker E: Tu dis un gros « prove me wrong ». On va inviter les auditeurs à te contredire. [02:06:54] Speaker D: C'Est sûr qu'il faut me contredire. [02:06:56] Speaker E: C'est la réalité. Oui, mais t'as la réalité des scrutins. [02:06:59] Speaker I: Mais tu sais, rendu là, ils pourront plus ramener que dans les sondages, il y a juste 40 % qui sont pour le tramway. Là, on a un vote au municipal. C'était la même chose il y a quatre ans. Il y a quatre ans, les parties qui étaient en faveur du tramway avaient obtenu plus de voix. Je parle de Transition Québec, je parle de nous, je parle du maire marchand. Et encore, les gens disaient non, on veut pas du tramway. Là, on a une élection hier. Le maire est rentré, écoute, avec une énorme... Mais là, les gens qui viendront dire qu'on ne veut pas du tramway, bien, vous aviez l'opportunité d'y aller hier. Moi, j'espère sincèrement, M. Moret, que les quatre prochaines années ne seront pas on ne veut pas du tramway. Ils pouvaient se mobiliser hier et aller le bloquer. [02:07:40] Speaker E: On peut questionner. On va surveiller quand même. C'est un projet qui est aucunement financé et pas attaché. Mais ça doit être surveillé. Non, mais c'est un projet qui n'est pas attaché. [02:07:47] Speaker I: Mais c'est pas un chèque en blanc, puis on l'a toujours dit. Ça doit être un projet qui est surveillé, d'autant plus que M. Marchand nous a montré qu'il était pas capable d'être le meneur de ce dossier-là. Il doit être surveillé. [02:07:58] Speaker E: Supermajorité Marchand, ça veut dire quoi? Est-ce dangereux pour Québec? [02:08:02] Speaker I: Je crois que oui. [02:08:04] Speaker C: Pourquoi? [02:08:05] Speaker I: Marchand a un attrait assez particulier envers le pouvoir. Vous avez même passé des extraits. [02:08:11] Speaker E: Mais on a un extrait pour toi qu'on va rejouer en reprise d'ailleurs. Et ça parle même de ouf Nelson Mandela et Desmond Tutu. [02:08:20] Speaker A: Il faut faire mieux parce qu'une ville. [02:08:22] Speaker E: Comme la nôtre peut faire une différence. [02:08:24] Speaker A: Pour chacun de nous, chacun des citoyens. Et j'ai la responsabilité et nous aurons. [02:08:29] Speaker E: La responsabilité de faire mieux. Nelson Mandela et Desmond Tutu nous ont fait connaître le concept de Ubuntu. Je suis parce que nous sommes. Je n'existe pas seul. Je ne suis pas le construit de mon seul effort. Nous sommes le résultat de quelque chose de plus grand. Plus grand que nous-mêmes. [02:08:46] Speaker A: Si ma communauté souffre, je souffre aussi. Mon environnement me façonne et les gens qui l'habitent aussi. De là toute l'importance de construire une ville, notre ville, pour prendre soin de tous les citoyens. [02:08:57] Speaker E: Est-ce quelque chose, là? Véronique. [02:09:00] Speaker I: Excuse-moi, je suis sans mots. [02:09:02] Speaker E: On est dans la grosse sauce. [02:09:05] Speaker I: C'est pas une mauvaise personne, Bruno Marchand. Mais dans sa façon de gouverner, je l'entends, il faudrait qu'il revienne un peu sur le plancher des vaches. Là, je suis parce que vous êtes, là, nous sommes. C'est pas ce qu'il a démontré dans les quatre dernières années. Dans les quatre dernières années, il a démontré aux citoyens qui pensaient pas comme lui puis qui avaient pas le même discours que lui, qu'ils étaient dans l'erreur puis qu'ils comprenaient pas. C'est ça que les citoyens se faisaient dire. Et nous aussi dans l'opposition, si on pense pas comme lui, ah, tu comprends pas, ah, c'est toi le problème. Bien là, avec une majorité comme il est allé chercher, ça va être dangereux. C'est dangereux parce que non seulement il va faire ce qu'il veut, mais encore plus qu'avant, Les gens vont se faire servir le discours à savoir si on pense pas comme lui, comme maintenant j'ai une majorité, donc j'ai le droit de faire ce que je veux, je suis légitime. Ça va être ça, ça, penser à Bruno Marchand. [02:09:54] Speaker E: Ton parti, es-tu déçu de la performance? Est-ce que vous auriez pu faire mieux? C'est quand même pas fort. Vous n'avez pas eu 10 %, quand même. Un peu d'introspection, peut-être, ce matin, par rapport à Claude Villeneuve, qui est un très bon jack, qui va sûrement se présenter pour le PQ. On ne peut pas lui reprocher, quand même. Il est péquiste. Un péquiste à se présenter pour le PQ. Le PQ va passer dans le coin de Québec, me dit-on, dans le coin du Québec. Je n'ai pas de problème avec ça, humblement. C'est un bon Jack. C'est une bonne personne, Claude. Mais on a des idées opposées. Tandis quoi, peut-être saluer ces gens-là aussi dans ce parti-là. Un parti qui voulait du bien pour Québec. Mais vous vous êtes planté. Peut-être saluer des gens. Des gens dans ton équipe de bénévoles, peut-être aussi. [02:10:39] Speaker I: Oui, bien merci pour l'opportunité. En fait, moi, je ne pense pas qu'on s'est planté. Je pense que, puis on l'a dit à plusieurs reprises, cette campagne-là, ça n'a pas été une campagne le fun. les citoyens, en fait, ont été les grands perdants de cette campagne-là, parce que ça a été alimenté par des sideshow, mais je suis fière de m'être présentée avec Claude Guillenot, je suis fière de m'être présentée pour Québec d'abord, puis d'être restée là, contrairement à d'autres qui ont fait le choix d'aller vers le pouvoir puis qui se retrouvent ce matin pas mal le bec à l'eau, là. [02:11:08] Speaker E: T'as été invitée à aller dans l'équipe de Saint-Mamade. C'est connu, là, c'est connu, c'est public. [02:11:14] Speaker I: Oui, à plus d'une reprise, puis... T'sais, j'avais pas de doute à ce moment-là que je voulais rester avec Claude, puis ce matin. Puis t'sais, il y a pas juste ça, maman. En cours de mandat, rappelez-vous, quand Bruno Marchand m'a exclue du comité exécutif, l'offre qui m'avait été faite, c'était de rejoindre son parti. Sinon, j'allais être exclue du comité exécutif. Gosselin dit oui. Moi, j'ai dit non. Donc t'sais, je suis fière de Claude. Je suis fière du parti. [02:11:39] Speaker D: OK, il t'a faite la même offre qu'a faite Jean-François Gosselin. [02:11:41] Speaker E: Oui, il a fait un Gosselin, mais il m'a dit non. [02:11:43] Speaker I: Ben oui. [02:11:45] Speaker E: Il a fait un gosselin. [02:11:46] Speaker D: C'est bon de le préciser. [02:11:47] Speaker E: Ou un duceau. Un duceau, c'est ça. [02:11:51] Speaker I: Moi, je termine ce mandat-là. C'est sûr que ce n'est pas le résultat qu'on espérait. Ni Claude, ni moi, ni l'ensemble des candidats extraordinaires qu'on a présentés. Mais je pense qu'on peut... pas je pense qu'on peut. On termine ça la tête haute. On l'a fait pour les bonnes raisons. On a fait une campagne d'idées. Ça n'a pas percolé. On peut nommer plein de raisons, mais on était là pour les bonnes raisons. Puis surtout, on l'a fait avec intégrité. Ça, ça va me suivre, peu importe la suite. [02:12:15] Speaker E: Tu retournes dans le privé? [02:12:18] Speaker I: J'ai jamais été au privé, moi. [02:12:19] Speaker E: Non, mais quand je dis le privé, à l'extérieur de la politique, je veux dire... [02:12:22] Speaker D: Simple citoyenne. [02:12:23] Speaker E: Simple citoyenne. [02:12:24] Speaker I: Véronique Dallaire, citoyenne de Québec. [02:12:26] Speaker E: Bon, parfait. On va faire quoi dans la vie? Avocate quand même, avocate. [02:12:31] Speaker I: Je suis avocate. [02:12:32] Speaker E: Est-ce que tu es dans un cabinet? Tu fais quoi? Quel genre de droit? On n'a jamais parlé de ça. Quel genre de droit tu pratiques? [02:12:38] Speaker I: En fait, moi, j'ai pratiqué pour le réseau des services de garde à la petite enfance. Je formais les directions générales des CPE à travers le Québec. Est-ce que je vais retourner là? Je ne sais pas. J'ai enseigné au Cégep, puis à l'Université Laval à la Faculté de droit. Je supervise la clinique juridique, donc on offre des services juridiques gratuits. Je supervise les étudiants. Donc, super ouverte pour l'instant. Je pense qu'on va prendre le temps de se poser. [02:13:02] Speaker E: De digérer. [02:13:03] Speaker I: Oui, de se poser. [02:13:04] Speaker E: Qu'est-ce qui s'est passé? Le mot de la fin, peut-être, de cette campagne-là, la couverture médiatique, as-tu quelque chose à dire là-dessus, sur les enjeux qui n'ont pas été discutés, pas assez discutés? [02:13:15] Speaker I: Ah, mais il y en aurait tellement. Il y a tellement d'enjeux qu'on a essayé d'amener puis qui n'ont pas été ramenés par les médias. Claude le disait encore hier, on a mis le doigt sur des éléments qui auraient dû être rapportés, sur lesquels Bruno Marchand aurait dû être questionné, puis son bilan n'a pas été assez questionné dans cette campagne-là. Mais comme mot de la fin, j'ai envie de dire... Merci. Merci à l'équipe qui a fait campagne avec nous. On a plusieurs personnes, là, dans notre cabinet, puis à la permanence, qui se retrouvent ce matin sans emploi. Puis ces gens-là, là, ils étaient lucides depuis le début sur d'où on partait dans cette course-là, puis ils l'ont fait avec nous, avec leur coeur. Puis j'ai envie de leur dire merci, parce qu'eux aussi étaient là pour les bonnes raisons. [02:13:55] Speaker E: Merci beaucoup d'être passés. [02:13:56] Speaker I: Merci à vous. [02:13:57] Speaker E: C'est une émission qui se poursuit, on va aller jaser tantôt avec Anne Guérette, on va aller jaser tantôt avec Donald Charrette, on va aller à Shawie jaser avec le nouveau maire Yves-Lévesque, avec le maire, l'unique maire de Louisville tantôt. Restez là, on fait la pause et on revient dans Morel Live. [02:14:27] Speaker A: Ray de Sports. Dans Montréalais. Tout le monde ensemble! Et loué le temps direct. Ray de Sports. [02:14:34] Speaker B: Radio X. [02:14:37] Speaker A: La chronique Ray de Sports. [02:14:38] Speaker D: Hey, c'est moi ça. [02:14:39] Speaker A: Une présentation du Charbon Steakhouse. Avant le match, passez chercher vos côtes levées, burgers, steaks ou plats cuisinés. Le charbon pour apporter, c'est une bonne idée. [02:14:49] Speaker B: Tu veux faire partie d'une équipe jeune, dévouée et motivée? Peinture Chénard recrute! On cherche des compagnons et apprentis prêts à travailler sur des projets variés. Peinture, plâtre, époxy, tapisserie et plus encore! Joins-toi à l'équipe de Peinture Chénard et bénéficie de primes au sens des normes de la Convention, d'une ambiance de travail professionnelle et dynamique et des opportunités de travailler partout au Québec. Envoie ton CV à info-peinture-chénard.ca pour faire partie de l'aventure. [02:15:16] Speaker E: Plonger dans 888casino.net. [02:15:20] Speaker A: Conçu pour jouir des machines à supprimer. Pour découvrir un monde de plaisir. C'est fait pour divertir. Pour se délecter de la roulette. Super! [02:15:36] Speaker E: C'est juste pour jouer. Ouais, ça marche! On. [02:15:52] Speaker A: Est de. [02:16:04] Speaker E: Bonne humeur, un matin, on est de bonne humeur, les légionnaires qui travaillent fort. Vous travaillez fort, on vous salue, on vous souhaite une belle semaine. En ce début de semaine, oui, Automod est là pour vous. Automod, compagnie de Québec, gérée par une famille de Québec, on est là pour vous, pour remplacer votre pare-brise. Belle promotion, jusqu'au 30 novembre, avec tout remplacement de pare-brise, on t'offre une carte cadeau d'une valeur de 100$. T'as laissé aller, t'as niaisé, il y avait juste un petit picot, là c'est rendu une grosse craque, oui, fais le réparer. Et Automod est recommandé par les assureurs et votre pare-brise sera garantie pour 10 ans suite à un remplacement. On est à Vannier-Beauport-Lévis-Sainte-Marie-Broseville-Sainte-Justine, Saint-Raymond-Sainte-Catherine et Saint-Urbain-Automod.qc.ca. [02:16:52] Speaker A: La circulation de Québec a facilité la fluidité. [02:17:00] Speaker D: OK, circulation, ça a l'air de quoi ce matin? Ça a l'air d'un lundi matin, on va se prendre pour ça qu'on prenne. C'est sûr que la tête des ponts, c'est surtout pour les gens qui arrivent de Labos que ça peut être hasardeux. Pour ceux qui arrivent de Lévis-Centreville, je vous dirais que c'est un gros samedi après-midi. Capitale, on n'en parle pas, c'est jamais ben raide dans les deux directions. Il y a Charest qu'on arrive au Centreville où il y a congestion, mais rien de... Vous allez rouler quand même. C'est pas arrêté du frais Montmorency-Laurentienne, l'accès au centre-ville, qui peut être compliqué également jusqu'au 23 novembre dans les boulangeries. Première moisson, toutes les baguettes sont à seulement 2 $. Découvrez la variété de baguettes fraîchement confectionnées par leurs artisans boulangers. Certaines conditions s'appliquent. [02:17:43] Speaker B: C'est une grande famille de plus de 200 passionnés qui, en prenant grand soin de votre véhicule, prennent d'abord soin de tous ceux qui montent à son bord. Parce que rouler en confiance et en sécurité, c'est juste parfait. [02:17:55] Speaker A: Du 15 septembre au 20 décembre, obtenez une remise postale allant jusqu'à 100 $ à l'achat de 4 pneus Nokian Tires sélectionnés pour la tranquillité d'esprit en toutes circonstances. Nokian Tires, c'est un parcours exceptionnel. Détails et prise de rendez-vous sur da.ca. [02:18:10] Speaker B: Des harnais, c'est juste parfait. [02:18:12] Speaker E: Problèmes à l'épaule, au coude, à la main, à la hanche ou au genou? La Croix Chirurgie privée offre des services en chirurgie orthopédique pour traiter tous ces problèmes. Le remplacement complet de la hanche et du genou par prothèse sont aussi offerts en chirurgie d'un jour et presque sans délai d'attente. Obtenez un rendez-vous rapidement en nous appelant. 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C'est exactement le discours qu'on entend dans la société, se tenir debout contre les boulets, surtout quand une femme fait face à un boulet. Mais j'ai trouvé qu'elle s'est faite joliment ramasser. Ça m'a étonné, ça m'a très déçu de lire ça, en fin de semaine et d'autres fois aussi. Mais je pense qu'elle est faite solide. Et je la remercie d'être avec nous ce matin. Anne Guérette, en ce lendemain d'élection, comment elle va? Quelle est la lecture du verdict ce matin? [02:22:01] Speaker J: Écoute, moi, personnellement, je suis fière de ce que j'ai fait. Je suis allée au bout de mes convictions avec mes petits moyens, OK? Puis je suis allée jusqu'au bout. Puis ce que j'ai dit, ce que j'ai mis de l'avant, j'y croyais, j'y crois encore. Mais la démocratie a fait son oeuvre. Donc je veux féliciter Stéphane, les quelques élus qui vont être autour de lui, puis féliciter Marchand. Je veux dire, Marchand, il avait une grosse, grosse machine, beaucoup, beaucoup d'argent. Il se prépare depuis longtemps. Il a quand même fait une campagne rodée au quart de tour. Ça fait que c'est difficile de déloger le pouvoir en place, comme on peut voir aussi. [02:22:48] Speaker E: Population, c'est-à-dire ceux qui sont allés voter. Il y en a beaucoup qui ne sont pas allés voter, pour toutes sortes de raisons, malheureusement, mais il y en a qui sont allés voter. C'est quoi le message qu'on doit comprendre de ce verdict-là d'hier? [02:23:02] Speaker J: Bien, moi, comment je le vois, c'est que les gens se collent au pouvoir. Les gens se collent à l'argent, au pouvoir. T'sais, c'est... Être contre le pouvoir, bien, c'est plus risqué, c'est plus difficile. Donc les gens sont dans la vague, on dit « ben coudonc, ça doit pas être si pire que ça ». Mais t'sais, ils vont l'avoir, les gens se réveillent aussi souvent. Quand on est rendu dans le précipice, finalement, c'est difficile aussi de faire valoir des choses en amont de quand ça va se passer. Parce que c'est sûr que moi, je suis très déçue pour le tramway. Je suis convaincue, puis je l'ai toujours été, le problème, il y a un problème avec le tracé, puis il y a un problème avec le mode, le véhicule. Donc, c'est évident... [02:24:00] Speaker E: Le problème avec le financement aussi? [02:24:02] Speaker J: Puis le financement. Alors, c'est sûr que des rails, là, en ville, ça, c'est le gros, gros problème. Il existe des modes sur roues beaucoup plus flexibles, parce que là, il va arriver comme à Ottawa puis à Montréal. Quand il y a une panne, là, bien, il n'y a pas personne qui peut continuer puis décontourner, là. Quand il y a une panne, c'est toute la colonne vertébrale qui est paralysée. Tout le système va être paralysé sur roues. ça coûte beaucoup moins cher. On n'a pas besoin de refaire les infrastructures. Je ne comprends pas pourquoi on s'entête à mettre des rails en ville. Je l'ai dit, on verra bien dans l'avenir combien ça va coûter, comme tu dis, au niveau financier. Donc, il nous reste un espoir. L'espoir qui nous reste, bien, c'est le fait que nos gouvernements, en ce moment, coupent partout. On va se croiser les doigts, mais la caisse de dépôt est donc bien forte. Puis comment ça se fait qu'on... On n'est qu'encore capable d'imposer un train sur rail quand il y a des technologies sur roue qui feraient tout autant le travail. Moi, je comprends pas la réponse à cette question-là. [02:25:02] Speaker E: Est-ce que les gens de Québec ont voté en faveur du tramway? [02:25:05] Speaker J: Ah, je pense que les gens ont voté pour le pouvoir, ont voté pour être dans le gang, ont voté pour dire... Bien, regarde, on va voter du bon bord, là. Je veux dire, c'est humain, c'est quelque chose qu'on a vu souvent. [02:25:17] Speaker E: Est-ce que les médias ont fait le travail de soulever vraiment le bilan marchand? [02:25:21] Speaker J: Est-ce que ça a joué, ça? C'est difficile d'être en marge. Moi, je le sais. J'ai toujours été en marge, t'sais. J'ai jamais été élue dans une vague. J'ai toujours gardé ma liberté d'expression, ma liberté de penser. J'ai toujours, t'sais... Et je suis toujours... J'ai toujours été un petit peu en marge. Par contre, ce que je veux dire aussi d'important, c'est que le résultat de l'élection aujourd'hui, bien, il me rappelle le résultat de l'élection en 2013. Souvenez-vous, en 2013, On a été juste trois à l'opposition, contre 18, on avait une force tout puissante devant nous. Stéphane, la chance, prépare-toi, repose-toi bien, Stéphane, parce que tu vas avoir beaucoup de travail, mais il va avoir un budget, il va quand même pouvoir s'organiser. Mais c'est sûr que ce qui arrive aussi, c'est que peu importe les arguments qu'on fait valoir, peu importe les bonnes idées qu'on met sur la table, le pouvoir en place d'eux autres, ils vont gagner tous les sommaires décisionnels. Donc Stéphane va pouvoir faire valoir des idées, va pouvoir mettre de l'avant des arguments. Mais est-ce qu'il va réussir à gagner des votes? En tout cas, nous autres, entre 2013 et 2017, c'était pareil. On était juste trois à avoir survécu à la vague de Régis Labeaume, tout-puissante aussi. Donc, d'après moi, c'est un peu ça. [02:26:48] Speaker E: Qui va se répéter. Quels seraient les conseils que tu pourrais donner, issus de ton expérience, justement, face à un boulet? La situation est similaire ou presque. Quels seraient les conseils que tu pourrais donner à Stéphane Lachance ce matin? [02:27:01] Speaker J: Je pense que Stéphane va être capable de le faire. Il faut qu'il continue de se tenir debout, il faut qu'il continue de se lever, de suivre les dossiers de près au quotidien. Il faut pas qu'il se laisse s'intimider. Il est capable. Moi, je suis pas inquiète. Je pense que Stéphane va faire un très bon chef de l'opposition. Puis je pense qu'on n'a pas d'inquiétude que Stéphane va traverser de l'autre bord. Ça, c'est rassurant parce que, tu sais, Claude Villeneuve... On parle de lui, mais Claude, il aurait peut-être dû se présenter avec Bruno Marchand s'il avait voulu continuer de faire de la politique. Je veux dire, Claude Villeneuve et Bruno Marchand, c'est un peu pareil par rapport au projet du tramway. Donc... [02:27:41] Speaker E: Alors Stéphane, bonne chance. Pardon? Pour une contribution, ne serait-ce qu'à temps partiel, à l'équipe de Stéphane Lachance ce matin, quelle serait ta réponse? [02:27:53] Speaker J: Bien, moi, de mon côté, j'ai toujours été là, je suis toujours là. [02:27:56] Speaker E: Es-tu disponible? [02:27:57] Speaker J: Je suis toujours là. Si je peux donner un coup de main, si je peux donner des conseils, ça va me faire plaisir, là. Mais tu sais, comme... c'est ça, on verra, là. Je suis pas là pour ça. [02:28:09] Speaker I: Non, je comprends. [02:28:09] Speaker J: Je vais attendre, attendre des lieux, mais c'est sûr que pour le transport, faire valoir. La question du mode sur roues, je trouve que je ne l'ai pas assez martelée pendant la campagne. J'ai beaucoup parlé du tramway, mais on ne peut pas refaire le passé. Je vous l'ai dit d'entrée de jeu, puis je le répète, la question de mettre un mode sur roue, sur un bon tracé, on pourrait changer complètement la mobilité à Québec à court terme. Donc moi, si je peux donner un coup de main, je connais le dossier, je l'ai étudié en profondeur. [02:28:38] Speaker E: Entends-tu demeurer publique, activement impliqué dans le dossier? En venant ici à Radio-X, c'est tout, ou tu vas te trouver un autre dossier? Et retourner à ta vie privée, dans le fond. T'étais dans le privé, Anne, pour vrai. [02:28:50] Speaker J: Oui, oui, c'est ça. J'ai donné beaucoup. Ça fait 25 ans que je donne. Je suis toujours là, mais de dire que je vais suivre au quotidien pour être en mesure d'en parler aux semaines, non. Mais vous m'appelez de temps en temps, ça va toujours me faire plaisir. Je vais quand même suivre ça. Bien sûr, la politique, parce que ça me passionne, puis je connais ça. J'espère tellement, justement, que financièrement, nos gouvernements vont vont être ceux qui vont pouvoir faire changer ça, faire résonner... résonner la ville, là, au niveau du train. Puis ce qui arrive avec le train aussi, c'est que tu peux pas changer de voie, là. Une fois qu'il va être installé, tu peux pas dire au moins, bien, finalement, on devrait peut-être passer par Charest un peu. Peut-être que le monde de Charlebois puis de Beauport, ils ont pas besoin de monter en ville. C'est quoi, cette affaire-là? Peut-être qu'eux autres, on peut les diriger vers Sainte-Foy sans monter sur René-Lévesque. On va mettre plus de... tu sais, d'autobus ou de mode sur rail. Il y a toute une souplesse, une évolution de la ville qu'on pourrait faire avec un mode sur roue. Donc j'espère que les gouvernements vont entendre ce message-là, ce qu'on va leur déprive sur le train de la caisse de dépôt. Ça mériterait presque une enquête, je vais te le dire. C'est comme pas normal, c'est incompréhensible. J'ai pas de réponse à cette question-là. Donc oui, j'ai toujours été là. Les gens font appel à moi. Moi, je suis une femme très généreuse aussi. Quand je crois en quelque chose, je vais jusqu'au bout, je suis toujours là. Je ne fermerai pas ma porte demain matin, sauf que je vais penser à moi un petit peu plus, Dominique. Je pense à l'âge que je suis rendue. Je pense un petit peu plus à moi. Puis oui, je vais m'occuper de mes dossiers personnels. J'ai beaucoup de choses à faire aussi dans mes affaires que j'ai mis de côté. Donc là, je vais reprendre le retard. Puis je vais vous écouter, je vais suivre ça. Puis si vous avez besoin de moi, Je serai là à la demande, c'est sûr. J'ai toujours... Je suis comme ça. C'est normal à ça. [02:30:48] Speaker E: Merci à vous. [02:30:50] Speaker C: Bye-bye. [02:30:50] Speaker E: Salut. [02:30:54] Speaker D: Elle a la tête haute avec raison. C'était une bonne campagne pour Anne-Guerrette, vraiment une bonne campagne. Je pensais qu'il y aurait moins de signifiance que ça au fait qu'elle ait mis son nom sur le panneau. Finalement, elle a fait brasser bien des idées pendant la campagne électorale. On le voit à tous les débats dans lesquels elle a été invitée. En plus, elle s'en sortait super bien. Vraiment bien travaillée. C'était la plus petite équipe. Parmi toutes les équipes qu'on voyait se présenter en élection, c'est elle qui avait la plus petite équipe et puis ça n'a pas paru tant que ça dans la livraison du message, donc chapeau pour ça. [02:31:31] Speaker E: On va aller en pause et en revenant, c'est vous qui allez parler. C'est quoi vos sentiments? Votre analyse? Votre regard de la situation, c'est quoi? On est en direct de Grand Allais, Québec. Vous écoutez CHOIX FM, communément appelé Radio X. 418-670-9098. Énormément de textos, mais je veux vous entendre de vive voix, où que vous soyez. Québec, Lévis, Victo, Drummond, Montréal, Laval, Longueuil, Chauvi, Trois-Rivières, peu importe! On veut vous entendre. Et par la suite, on repart le bal, Donald Charrette en studio, Yves Lévesque, on aura le maire de Louisville et on relance l'émission. Tout de suite après la Tribune libre qui suit à Radio X. [02:32:23] Speaker A: Dans le Mid. [02:32:24] Speaker D: Là, on s'en va vers des dossiers numériques. [02:32:27] Speaker E: Tu vas avoir ton passeport numérique. Non, non. [02:32:29] Speaker A: Puis tu vas te faire taguer numérique. [02:32:30] Speaker E: Non, non. [02:32:30] Speaker D: Tu dis non, mais ça va être oui. [02:32:32] Speaker E: Non, non. [02:32:33] Speaker A: Sinon, tu vas avoir ton crédit carbone. Puis, même que tu aies atteint ton crédit carbone, tu n'iras plus en voyage. [02:32:38] Speaker E: OK. [02:32:38] Speaker A: Parce qu'il va falloir que tu compenses. [02:32:39] Speaker E: Il va falloir que tu achètes des crédits carbone. Sauvez-vous. Voilà. C'est bon? Oui, c'est full bon. [02:32:44] Speaker A: Couture. Dans le Mid. [02:32:46] Speaker B: Lundi au vendredi. 10h. [02:32:49] Speaker A: Radio. [02:32:50] Speaker B: Présenté par Céramique L'Entrepôt. En ce moment, profitez de gros rabais comme du vinyle clic à 1,79$ le pied carré et du plancher flottant à 99 sous le pied carré. Céramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand. [02:33:05] Speaker E: C'est à mon tour. Pourquoi pas, je suis prêt. Calinette 666666. Pour les gros ménages, pour le nettoyage des conduits d'aération, pourquoi pas. On est l'automne, on commence à tousser un peu pour les gens qui font de l'asthme. Parlez-moi-en. Et Nick aussi, Nick Cloutier me disait ça en fin de semaine. Il recommence à avoir des problèmes aussi, mais c'est comme ça. Mais nettoyer dans la maison, ça, ça peut faire. On l'a fait justement cet été. Nettoyer les conduits de ventilation. Quoi? Ça n'a jamais été fait. Il faut idéalement faire ça aux 5-6 ans, je vous dirais. Enlever la moisissure, les poils, surtout si vous avez des animaux, dans les conduits d'aération de la maison. Nettoyer les changeurs d'air. On le fait très bien. Contactez-nous. Dès maintenant. 4866666. Calinette! [02:33:55] Speaker A: La circulation de Québec pour faciliter la fluidité. [02:33:59] Speaker D: Mise à part l'accès aux pompiers à la porte pour la 73 puis le capital qui est tout le temps jammé, je vous dirais que ça va assez bien dans le secteur de Québec. L'accès au centre-ville, ça peut être assez compliqué, surtout pour les gens qui arrivent par charrette, mais la congestion matinale est maintenant chose du passé. Uniprix pense à votre budget, consultez les rabais de la circulaire. Chaque semaine, il pensez en succursale pour en profiter. Certaines conditions s'appliquent, détaille au uniprix.com. [02:34:28] Speaker B: La Grande Allée s'illumine et l'atelier t'attend. Pour un lunch, un apéro entre amis ou une soirée qui se prolonge, c'est la destination pour manger, boire et célébrer. Tartare, cocktails, miniatures, ambiance festive, on s'occupe de tout, même de ta voiture, avec notre service de voiturier disponible tous les jours dès 16h. Prochaine sortie, Grande Allée. Pour manger, boire et célébrer. Réserve dès maintenant sur bistrolatelier.com. [02:34:56] Speaker A: Lise a vendu sans effort et en moins de 48 heures leur maison à airfortin.com. Et c'est une vente sans stress? [02:35:03] Speaker B: Sans aucun stress. [02:35:04] Speaker A: Sans conditions ni garanties légales? [02:35:06] Speaker B: Sans conditions ni garanties. [02:35:08] Speaker A: Devant notaire? [02:35:09] Speaker B: Devant notaire. [02:35:10] Speaker A: Sans ménage ni plusieurs visites? [02:35:12] Speaker B: Absolument. Vite de même. [02:35:14] Speaker A: Vite de même. Demandez à airfortin.com votre offre d'achat en ligne et vendez-vous aussi vite de même. [02:35:21] Speaker B: Groupe Saillant Autocrédit, c'est quoi? Groupe Saillant Autocrédit, c'est plus de 50 ans d'expérience cumulée en financement automobile. Groupe Saillant Autocrédit, c'est l'art de travailler vos dossiers avec précision et détermination afin de tout mettre en œuvre pour rendre l'impossible possible. Groupe Sayanto Crédit, c'est quoi? C'est LA référence en crédit spécialisé, ou si vous préférez, en deuxième ou troisième chance au crédit. Pour ta nouvelle auto, adresse-toi à des pros. Parce que nous, notre force, c'est le crédit. Groupe Sayanto Crédit, point com. Au cours de la dernière année, le gouvernement a fait plusieurs propositions au syndicat de médecins pour améliorer l'accès aux soins de santé. Malheureusement, toutes ces propositions ont été refusées. Devant l'urgence d'agir, le gouvernement a adopté une loi qui permettra à plus de Québécois d'avoir accès à un médecin de famille, notamment le soir et la fin de semaine, et de pouvoir consulter un médecin spécialiste plus rapidement, par exemple pour obtenir une chirurgie. Parce que notre priorité, c'est l'intérêt des patients. Un message du gouvernement du Québec. [02:36:25] Speaker E: La promo-manteau La Tulipe est de retour! [02:36:28] Speaker A: À l'achat d'un manteau de 250 $ ou plus, recevez un crédit cadeau La. [02:36:32] Speaker E: Tulipe de 75 $. [02:36:34] Speaker A: C'est l'occasion parfaite de vous équiper et de vous gâter deux fois. [02:36:39] Speaker E: Parbrise à réparer ou à remplacer? Chez Automod, la réparation est gratuite si vous êtes assuré. Faites remplacer votre parbrise d'ici le 30 novembre et obtenez jusqu'à 100 $ en cartes cadeaux applicables chez Automod. Prenez rendez-vous en ligne. [02:36:52] Speaker A: Automod.Qc.Ca La confiance, c'est savoir que l'on est prêt à faire face à tout ce qui se présente. C'est ce que l'on ressent lorsqu'on entreprend une journée de travail avec Syntas. Il s'assure que vos DEA sont à jour, vos armoires de premiers soins sont approvisionnées, vos tapis sont nettoyés et livrés, et vos vêtements de travail sont beaux, agréables au toucher et fraîchement lavés grâce au programme de vêtements de Syntas. Alors, êtes-vous prêt à affronter la journée? Visitez syntas.ca baroblique fr et soyez prêt pour la journée de travail. Gâtez-vous avec le Spa des Neiges. Le Spa des Neiges vous offre son forfait espace semi-privé pour 8 à 15 personnes. Profitez d'un accès complet au site et d'un espace privé aux tarifs habituels, sans frais de réservation, possibilité de manger et permis d'alcool sur place. [02:37:38] Speaker E: Depuis plus de 15 ans, le Groupe GSC vous offre des formations complètes et intensives pour réussir vos examens de la RBQ. 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Et c'est à vous autres, cette tribune-là, où que vous soyez au Québec. Beaucoup de monde de Québec qui nous écoute. Mais ça peut être de partout. Ça peut être de la Gaspésie. Ça peut être de la Métibi. Et ça peut être aussi Tchaoui, mais on reste à Québec pour pire au cours des prochaines minutes avec Martin de Duberger. Comment ça va, Martin? [02:39:55] Speaker C: Qu'est-ce qui s'est passé hier? Bien, honnêtement, là, écoute, ça fait 3, 7, 8 ans que j'ai pas gagné une élection. On dirait qu'au fédéral, je suis pas dans le bon pays. Puis au provincial, on dirait que je suis plus dans la bonne province. Puis là, avec les élections marchandières, j'ai l'impression que je suis plus dans la bonne ville. Ça fait 3 000 ans, je me reconnais pas nulle part. Mais en même temps, je trouve que c'était l'une des pires campagnes électorales municipales depuis... Moi, j'ai 46 ans. Depuis un bon bout de temps que je n'ai pas vu ça. Pourquoi? Je comprends que vous n'ayez pas partagé mon point de vue, mais ça ne me dérange pas que c'est le mien et que ça donne mes proches. Moi, à l'instant, je n'avais pas le goût de voter cette année. Quand je voyais la chance, puis Ahmad, long bis-bis, l'enfant de cet âge, Ahmad, que ça a vraiment été tout croche, puis pas nécessairement que c'était sa faute à lui, son équipe, whatever... [02:40:49] Speaker E: Un écrasement d'avion, il a commencé par 14, 40 %, puis il a fini dans la queue. [02:40:54] Speaker C: Ah ouais, puis il a commencé à énerver bien du monde parce qu'il a niaisé à mettre son nom un peu, ah ouais, dès qu'il y va petit à petit. Puis la chance, bien, je le connaissais pas vraiment, j'ai entendu souvent, ils victimisaient souvent, tout le temps en faute des autres, je trouvais, puis ils chialaient souvent, puis je suis victime de ci, puis ça. Je comprends, mais c'était juste ça qui ressortait, puis moi, ça m'énervait. À la limite, je trouvais ça vraiment agressant, puis tannant, ça fait que je savais même pas par qui voter. J'ai fini par voter pour Anand, pareil, parce qu'en premier lieu, je voulais voter pour lui, puis je comprenais que sa campagne, c'était tout croche. Puis là, je me dis que tous ceux qui ont chialé, qui chialent, ralentissent, mais trame-moi. Moi, je comprends pas. J'entends juste ça de tout le monde. Personne veut le trame-moi. Pour de vrai, j'entends juste ça. J'ai pas un proche qui dit que j'ai hâte de rembarquer dans le métro. Très moins personne. Mais ça passe pareil. Je trouve bien que ça aurait pu être marchand tous les conseillers de l'autre équipe. Mais regarde, honnêtement, je suis vraiment désappuisé aujourd'hui. Là, je regarde le PQ qui arrive dans un an, ça va être un autre mur. Honnêtement, j'ai comme pas de mots. Je suis vraiment inquiet. [02:41:57] Speaker E: Ça reflète beaucoup, beaucoup, je pense, l'opinion des gens de Québec. C'est tellement bon! [02:42:00] Speaker D: C'est tellement bon! [02:42:01] Speaker E: Tout est là. Tout est là sans complaisance. Là, il y a trois qui arrivent avant deux dans le texto. C'est Yann de Québec. OK. Yann de Québec, on t'écoute. Qu'est-ce qui s'est passé, Yann? [02:42:12] Speaker C: Bon matin, messieurs. [02:42:13] Speaker E: Salut. [02:42:14] Speaker C: Bien, c'est pas le résultat inconté dans mon cas. Un peu comme l'autre auditeur. À la base, moi, quand Ahmad se disait qu'il allait se présenter, je vivais plein d'espoir. Et comme t'as dit, l'écrasement d'avion, le constat qu'il faut faire, si on peut parler de gauche et de droite au municipal, c'est qu'on va dire qu'il y a une gang qui se tient, que l'autre qui chiale. Puis au lieu de ramer dans la même direction pour essayer d'aller chercher des appuis, bien, on a vu que t'as deux candidats qui ont passé la majorité de la campagne à essayer de s'entretuer pour se prendre un vote. d'un bord et de l'autre, pendant que, bien, ça a laissé la voie libre à un marchand qui... qui regardait ça... [02:43:01] Speaker E: Qui était mort de rire. Mort de rire. [02:43:03] Speaker C: Ah oui. C'est ça. Ça fait que tout le monde a embarqué dans cette bandwagon-là. Je pense que l'erreur de Stéphane Lachance, en tout cas, c'est mon opinion, c'est de s'être présenté sans projet. La réalité, c'est qu'on est tous conscients qu'on va avoir besoin d'un transport structurant. puis je pense qu'il y aurait eu intérêt à peut-être plus écouter... En tout cas, je sais pas, peut-être qu'ils ont essayé de s'entendre, mais moi, ce qu'Anne Guérette proposait, puis même dans les propos qu'elle tenait tantôt, bien, je le trouvais beaucoup plus modéré qu'à l'époque de Régis Labeaume, puis ça, ça me parlait un peu, mais en même temps, elle s'est présentée sans équipe, donc... C'est un constant, mais... Comme je partageais avec mes amis, je disais, malheureusement, tu sais, le tramway, t'as ceux qui vont en bénéficier puis t'as ceux qui vont le subir. Maintenant, bien, ça va être... en espérant que l'équipe portefeuilleure fasse les choses pour qu'il y ait une majorité de gens qui en bénéficient versus ceux qui vont le subir, tout simplement. [02:44:12] Speaker E: Merci beaucoup d'avoir appelé. [02:44:15] Speaker C: Au revoir. [02:44:15] Speaker E: Salut, bye. Des appels intelligents ce matin, j'aime ça. J'aime ça. Le volet de Stéphane, Stéphane l'a emmené vers la fin. Oui, on est ouvert à un projet, mais on veut discuter que tout soit sur la table. C'était pas ça qui avait été compris. Tu t'en souviens? À la fin, la dernière semaine de campagne, on est ouvert à un projet structurant, même un métro. [02:44:37] Speaker D: Moi, j'avais compris ça dès le début. Lui, le référendum que voulait faire Stéphane Lachance, c'était référendum, pas de oui, pas de non, c'était quel projet tu veux. Pas de projet, tramway, train sur rail ou métro. Lequel tu veux. [02:44:51] Speaker E: Mais ça n'avait pas été clair comme ça moi au début. Je ne le comprenais pas comme ça. J'étais d'accord avec sa position, mais elle est arrivée un peu trop vers la fin. En tout cas, lui non plus, l'auditeur ne l'avait pas compris comme ça. Mais là, c'est sûr que l'on tombe dans la micro-analyse. [02:45:04] Speaker D: C'est ça, c'est comme ça. [02:45:05] Speaker E: C'est Monday morning quarterback. Mais là, est-ce qu'on aurait dû demander un time-out au troisième quart? Tu vois le genre, là, c'est correct! J'adore ça! Et les deux aplats, t'es excellent. On continue comme ça. Pierre Boischatel ou Bernard, peu importe. [02:45:20] Speaker D: Bernard de Charlebourg. [02:45:21] Speaker E: Bernard de Charlebourg. Allô Bernard! [02:45:23] Speaker C: Personnellement, je suis très déçu du résultat de l'élection hier, je m'en cacherai pas. [02:45:29] Speaker E: Pour qui vous avez voté, Bernard? [02:45:31] Speaker C: J'ai voté pour Stéphane Lachance. Puis ce matin, je suis en train d'enlever des pancartes de Stéphane Lachance. Présentement, c'est ce que je suis en train de faire. [02:45:36] Speaker E: Et puis candidat dans Charlebourg pour Lachance aussi, parce qu'il y a deux volets, là, les candidats aussi. [02:45:41] Speaker C: Oui, oui, j'ai voté pour la candidate Marie-Jo Béjeun des tourneaux dans Charlebourg, là, qui je trouvais supérieur à Donald Gagnon, qui tant qu'à moi était un genre de vire-capot, parce qu'il faut juste se rappeler que Donald, en février ou en mars dernier, Il disait que le meilleur chef, c'était Stéphane Lachance, puis tout d'un coup, il se vire vers Sam Hammam. Il y a beaucoup d'opportunisme dans son cas. Mais où est-ce que je suis très déçu puis très inquiet, je devrais dire, c'est ce qui va se passer avec l'économie de Québec. On vient de donner à un gars qui aime dépenser énormément le pouvoir de dépenser comme il veut. Juste ici, à Charlebourg, le compte de taxe est explosé. Pour mon cas, c'est affreux. C'est 1 000 $ de plus cette année. [02:46:20] Speaker E: Sur votre maison? [02:46:22] Speaker C: Oui, pour ma maison, c'est 1 000 $ de plus cette année. C'est 37 % depuis que Marchand est en place, que j'ai subi comme augmentation. Puis Marchand a toujours dit, il l'a dit encore la semaine dernière, il veut payer de très moins cash. Avec quoi? Avec l'augmentation de la valeur de résidence selon du parcours. [02:46:40] Speaker E: Il a dit ça hier à Radio-Canada. Ça fut dit clairement. [02:46:43] Speaker C: C'est ça, c'est étendu clairement. [02:46:44] Speaker E: Fait que les pauvres agents... On va le payer cash! [02:46:47] Speaker C: Bien oui, mais les pauvres agents de Limoilou, la valeur des maisons va exploser, les logements vont exploser. Ils seront plus capables de rester là. [02:46:54] Speaker E: C'est vous qui allez le payer, c'est ça? C'est les gens qui vont le payer. [02:46:59] Speaker C: Oui, puis les gens n'ont pas l'air à comprendre ça, que c'est directement dans leur poche que ça va être pris. Puis moi, dans mon cas, dans quelques années d'ici, si ça continue, si la tendance se maintient, comme certains disaient, Mon compte de taxes va presque doubler après un deuxième mandat de M. Marchand. Je n'aurai plus les moyens de demeurer chez moi. Je vais être obligé de penser à vendre. Puis c'est peut-être ce qu'il veut. Il veut peut-être tout simplement ramasser des droits de mutation. Ça doit être ce qu'il veut, le monsieur, là. Des droits de mutation, plus d'argent à dépenser. Moi, c'est comme ça que je vois ça. Je suis excessivement déçu puis excessivement inquiet pour l'avenir économique de Québec, malgré tout ce qu'il en dit. [02:47:33] Speaker E: Il y a-tu... on se force-tu à trouver un peu de positif? T'sais, puis je vais vous donner l'exemple de Stéphane Lachance quand même qui va avoir un budget, qui s'en va à l'hôtel de ville. On verra ce qui arrivera avec le DGEQ, là, on n'a pas de contrôle là-dessus. Ça peut être dans deux ans, trois ans, je sais pas. Là, on vit le moment présent, on est le 3 novembre ce matin. Il s'en va à l'hôtel de ville. Il va être assermenté en compagnie de deux autres. C'est-tu positif un peu, ça, pareil? On essaie-tu de trouver du positif à la gang un peu un matin? [02:48:02] Speaker C: Oui, ça, c'est sûr que c'est positif parce qu'on va avoir quelqu'un qui a les intérêts des citoyens, c'est ça. puis qui, j'espère, avec bien entouré, qui va être capable d'aller chercher le paquet de petits dossiers qui fait que M. Marchand dépasse, mais qu'on ne voit pas aller. Beaucoup de petits dossiers mystères, comme on pourrait dire, qui existent. Et ça, il faut que ça soit sorti public. Je sais qu'il ne pourra pas faire grand-chose, mais de les dénoncer, ce qui va peut-être finir par réveiller la population, mais il ne faut pas se rappeler, il ne faut pas oublier que dans quatre ans, La ville de Québec va être détruite. Ça sera plus Québec comme on le vit là. Ça va être détruit avec le projet du tramway. Et ça va être irréversible, malheureusement. Mais il faut se préparer pour cette rendue-là. Des fois, comme ils disent, il faut détruire pour rebâtir, malheureusement. [02:48:47] Speaker E: Merci beaucoup d'avoir appelé. Merci, ciao. Très bon ce matin. C'est toi qui es le gardien du temps, mon cher Dan? [02:48:54] Speaker D: Oui, Yannick, de Donnaconnais. [02:48:55] Speaker E: On continue? [02:48:56] Speaker H: Oui. [02:48:57] Speaker E: Let's go! Qu'est-ce que vous dites à Donna? [02:49:00] Speaker C: Oui, comment ça va, vous? [02:49:02] Speaker E: Oui, ça va bien, vous? [02:49:03] Speaker C: Bien, moi, j'ai déménagé quand Marchand a eu l'histoire du règlement avec les foyers. [02:49:08] Speaker E: Il m'a eu. Oui! [02:49:10] Speaker C: Je suis parti, je suis rendu à Donnacona. [02:49:13] Speaker E: Pas de regrets. [02:49:14] Speaker C: Puis je suis tellement bien, M. Moret. Bien, savez-vous? [02:49:18] Speaker E: Allez-y. [02:49:19] Speaker C: C'est pas la victoire de Marchand. C'est la victoire des médias traditionnels. En 2008, rappelez-vous, moi, j'étais dans la peltrie. pas loin de la rue du Golfe. Et puis les gens ordinaires comme vous et moi, les gens des banlieues, ont sorti Josée Werner pour mettre Alexandrine Latane. [02:49:40] Speaker E: Et voilà! [02:49:44] Speaker C: Le monde des banlieues qui chiale contre le tramway, puis qu'on n'a pas de service dans les villes, puis que les marchands... Ils étaient où, ces images? Ils étaient où, ce monde-là? Ils ont-ils été votés? Comment ça? Le marchand était 4 ans! Oubliez les banlieues! Ils sont où, ce monde-là? Comment ça qu'ils ont voté pour Québec fort et fier? Au moins, mettent une opposition. Moi, je suis à Donnacona, mais je suis découragé, un matin, de voir le monde comment ils se sont embarqués, entubés. Il a dépassé, il a menti. Moi, je suis un ancien de police à Québec. OK, M. Marchand? Quand il a dit que leur contrat du directeur venait à échéance, c'était même pas vrai. C'est un contrat à durée indéterminée, c'est des menteries. Puis le monde a voté pour ça. Puis là, il va falloir que le monde arrête avec le réseau structurant, là. La congestion, elle est nord-sud. Les autobus sont vides l'après-midi après les heures de pointe. Ça serait pas possible de rajouter des autobus comme qu'ils sont au festival d'été, des navettes, puis le soir, puis l'après-midi, ils vont mettre une coupe d'autobus pour le monde qui travaille pas, puis qui sont sur l'aide sociale ou qui sont sur le chômage, puis qui ont à se déplacer. Là, à un moment donné, là, 4, 5, 6 milliards, alors que la congestion est nord-sud. Moi, je suis tanné d'entendre parler d'un réseau structurant, là. On n'est pas à New York City, on n'est pas à Paris, puis on n'est pas là. Un moment donné, là, il faut arrêter, là. Puis savez-vous, M. Morin, mon chum est allé sur boulevard Lormière dans une maison d'RPA, puis il y avait des boîtes, puis il y avait du monde de Québec fort et fier qui disait aux vieux de voter. OK? Les boîtes. Moi, là, je me demande, quand est-ce qu'on va avoir droit à un vote numérique? À la maison, là, les gens de la classe moyenne qui sont avec les enfants le dimanche, puis qui sont avec... qui n'ont pas le temps, là, qu'on vote par Internet, vous allez voir, la droite va rentrer. Mais là, là, c'est fini. Le monde n'a rien qu'à déménager, M. Morin. C'est ça qu'il reste à faire. Parce que le monde qui écoute soi, là, puis qui sont de centre-droite, là, on n'aura jamais le pouvoir. Pour se rendre compte que la province de Québec, c'est une province de social-démocratie, puis que le monde aime ça, se faire gouverner, le monde comme moi puis vous, là, c'est nous autres qui n'avons pas notre place. C'est nous autres qui n'a pas d'affaires ici. Faut s'en aller aux États-Unis. On n'a pas d'affaires ici. Regardez à Montréal. Gilbert Thibodeau, c'était le meilleur, meilleur gars qu'ils n'aimaient pas. [02:52:27] Speaker E: Triste. [02:52:28] Speaker C: Ils ont nommé une fille de l'ancien Parti libéral. Ils n'en ont pas assez. Non, M. Moret. [02:52:33] Speaker E: La social-démocratie... Et on aura le PQ peut-être aux prochaines. [02:52:36] Speaker C: Et voilà. Et voilà. Il n'y a rien à faire. [02:52:39] Speaker E: Et s'il y avait des élections fédérales demain, Cornier repasserait. [02:52:43] Speaker C: Cornier repasserait. [02:52:44] Speaker E: Et voilà. Parce qu'il en a rajouté une quatrième boule sur le Sunday. [02:52:47] Speaker C: Puis votre ancien collègue, puis votre ami, Jeff Fillon, l'a dit, les Québécois sont extrêmement dangereux avec un bulletin de droite. [02:52:55] Speaker E: Mais oui, c'est juste des émotions. [02:52:57] Speaker C: Sir Wilfrid Laurier l'a dit, ils n'ont pas d'opinion. [02:52:59] Speaker E: Juste des émotions. [02:53:00] Speaker C: Ils n'ont que des émotions. [02:53:03] Speaker E: Merci. [02:53:03] Speaker C: C'est une victoire de Karine Gagnon et du Journal du Québec, disons. [02:53:06] Speaker E: Oui, il ne faut pas exagérer. Mais sur les médias en général, on est d'accord. Il ne faut pas personnaliser. Je peux vous en nommer une dizaine, non? des journalistes qui n'ont pas fait la job. Ça a été généralisé. La couverture a été généralisée, je vous le dis. [02:53:34] Speaker C: Moi, j'suis capote. J'suis capote à matin. J'suis capote. Au moins à Donnacona pis à Pont-Rouge, ils ont fait le ménage. Ils ont sorti l'ancienne administration pis ils ont fait du ménage à l'époque. [02:53:44] Speaker E: Ouais, c'est qui le maire en terminant? J'ai pas suivi ça à Donnacona. [02:53:47] Speaker C: À Donnacona, moi j'ai suivi Pont-Rouge. [02:53:49] Speaker E: Ça a de l'allure? [02:53:50] Speaker C: Oui, ça a de l'allure. Pis à Pont-Rouge, c'est Bisson. Un gars qui peut faire le ménage, un gars qui a sorti l'ancienne administration. J'suis bien content. [02:54:01] Speaker E: Merci beaucoup d'avoir appelé. Ciao, salut, bye. C'est bon, ce matin, c'est bon? 8 h 54. Un dernier, Dan? [02:54:08] Speaker D: Oui, un dernier. Luc de Québec. [02:54:10] Speaker E: Très bon, merci beaucoup. Allez-y, on vous écoute. Une petite dernière. [02:54:13] Speaker C: Bien, salut. [02:54:15] Speaker E: Qu'est-ce qui s'est passé hier? [02:54:16] Speaker C: Bon, moi, ça fait longtemps que je suis la politique. J'adore la politique. Je suis déménagé à Québec en 2008 pour justement faire évoluer la belle ville de Québec. Mais je trouve que depuis très longtemps, en passant, ça fait 30 ans que je perds mes élections. Je crois pas aux rêves. Je crois pas à tous les gens de la gauche qui veulent se séparer. Moi, je crois pas à ça. C'est tout dans le rêve. Puis tous ces gens-là, bien, c'est pas les travailleurs, c'est tout du monde qui rêve. Moi, ce que je reproche de la Ville de Québec, c'est qu'on est encore une personne sur quatre fonctionnaires, puis on l'a vu dans les résultats. Le plus grand problème de notre société, c'est la reconnaissance. Je crois qu'il n'y a plus personne qui a de reconnaissance envers aucun employé, envers aucun employeur. [02:55:01] Speaker E: La fidélité, hein? C'est la fidélité, oui. [02:55:03] Speaker C: Oui, la fidélité. Écoute, juste dans nos relations interpersonnelles, si les gens avaient plus de reconnaissance envers les autres, on avancerait ensemble. Aujourd'hui, un tramway, pour moi, c'est la travestie d'aujourd'hui. [02:55:16] Speaker H: On lui a mis un peu de. [02:55:17] Speaker C: Maquillage, on lui a mis un pénis, puis on lui a dit, voici le nouveau beau transport. C'est complètement ridicule. Quand tu regardes dans l'histoire de tous les peuples, les tramways ont amené des déficits dans toutes les villes, dans tous les pays. Le tramway, la raison qu'on a amené des autobus, c'est justement s'il y a un bris de la caduc, un bris de n'importe quoi... Avec Lucien Borne, le. [02:55:38] Speaker E: Maire, il a fait crampagne pour démolir les tramways. Vous avez entièrement raison. [02:55:42] Speaker C: C'est complètement ridicule. Mais là, quand on regarde et quand on suit un peu plus ça, que tous les fabricants de wagons, bien, c'est à Saint-Hyacinthe, après ça, à Saint-Anselme. Fait qu'il y a vraiment une grosse... il y a comme une clique, hein? La clique qui se tienne puis qui se garde au pouvoir, puis c'est ça qui est insultant et humiliant. Moi, personnellement, je suis pas violent. [02:56:03] Speaker E: Et conflit d'intérêts. Et conflit d'intérêts dans la mesure où la caisse est détenteur du gros des actions d'Alstom, qui risque de fabriquer le tramway à l'époque entière. [02:56:13] Speaker C: Exactement. [02:56:14] Speaker E: Le mot de la fin. Un petit 10 secondes, le mot de la fin. [02:56:17] Speaker C: Bon, la fin, reconnaissance, les gens, il faut s'aider, il faut s'entretenir ensemble, il faut bâtir. Pas être à moi, c'est complètement ridicule, surtout avec les températures qu'on a au Québec. Je peux même pas croire qu'on va de l'avant avec ça. Merci! [02:56:29] Speaker E: Merci, ciao! [02:56:30] Speaker C: Merci. [02:56:31] Speaker E: Dernière... bien, c'est pas le dernier bloc. Là, va au dernier bloc. Ça va être un gros en revenant, par contre. Yves Lévesque débarque dans le show. [02:56:38] Speaker D: C'est Donald, le prochain. [02:56:39] Speaker E: C'est Donald. Oui, t'as raison, c'est Donald. C'est parce que je suis excité. Moi, j'ai un maire. Ouais, il faut dire que je vis plus là depuis 40 ans. Mais ça, il ne faut pas le dire. Mais je compte à tour de force. Il a été élu. Pas de pancartes, pas de conférences de presse s'il voulait que ça revienne tantôt. Mais la grande analyse de Donald Charrette en revenant. [02:57:13] Speaker A: La Sexploratrice. [02:57:16] Speaker B: Sexualité, amour, relation. [02:57:19] Speaker A: Et beaucoup plus. [02:57:21] Speaker B: Sans tabou. [02:57:22] Speaker A: La Sexploratrice. [02:57:23] Speaker B: Avec Mel Trudel. Tous les vendredis, 19h. [02:57:27] Speaker A: La Sexploratrice. Radio X. Présenté par Planète X. À la recherche de nouvelles sensations. Avec Planète X, explore et découvre tous les plaisirs. [02:57:40] Speaker D: Planète X. [02:57:41] Speaker A: C'est succursale et sur monplanètex.com. [02:57:44] Speaker E: SA Service Agricole. C'est en Beauce. Mais en Beauce, beaucoup. Saint-Georges-Saint-Marie. Moi, je connais le garage de Saint-Marie. Le concessionnaire de Saint-Marie, c'est extraordinaire. Pont-Rouge, Coaticook, Mont-Joli, Warwick. Avec le 1GC. La série 1GC. Connaissez-vous ça? Massey Ferguson, les tracteurs. sont beaux, sont compacts, tu peux tout faire avec ça. Tu peux tout faire avec ça. Tu peux déneiger quand ça sera le temps. Charger, tirer, creuser, faire n'importe quoi, c'est ton meilleur allié. Et Dieu sait que pour le prix, c'est assez attrayant, merci. Je répète, 53 piastres par semaine, zéro comptant, garantie de 10 ans. C'est la plus longue garantie de l'industrie ou financement à 0 % sur 60 mois. C'est incroyable! 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[03:01:44] Speaker A: Bah, j'aime mieux pas m'en mêler. C'est pas vraiment de mes affaires. [03:01:48] Speaker B: Si on réagissait face aux blessures physiques comme on le fait trop souvent face aux blessures psychologiques, on verra à quel point c'est absurde. Ensemble, agissons pour que nos milieux de travail soient sains pour tous. Un message de la CNESST. [03:01:59] Speaker A: Le Salon de la motoneige et du quad de Québec, présenté par Beneva, c'est pour tout le monde, autant les débutants que les passionnés. [03:02:06] Speaker B: Ah oui? [03:02:07] Speaker A: Oui, parce que sur place, il y a des centaines de motoneiges et quads neufs et d'occasion. [03:02:11] Speaker B: Cool! [03:02:12] Speaker I: Puis est-ce que je vais pouvoir magasiner? [03:02:13] Speaker A: Oh que oui! des vêtements, des accessoires et même des séjours avec randonnée. Et comme c'est le seul salon de l'industrie au Québec... Ah ben là, c'est. [03:02:21] Speaker E: Sûr qu'on y va! [03:02:22] Speaker A: De vendredi à dimanche, au Centre de foire d'Expo Cité, place au Salon de la Motoneige et du Coeb de Québec, présenté par Beneva. [03:02:29] Speaker E: Depuis plus de 15 ans, le Groupe GSC vous offre des formations complètes et intensives pour réussir vos examens de la RBQ. Un vrai clé en main pour les entrepreneurs en construction. Avec nos formations bilingues et hybrides, en classe ou en ligne, outillez-vous pour obtenir votre licence RBQ. Avec des horaires flexibles, concilier études, travail et vie de famille. GroupeGSC.com. Votre avenir en construction commence ici, à Laval-Brossard-Gatineau et Québec, au 1995 Franck Carrel. Groupe GSC. Formez pour bâtir! [03:03:00] Speaker A: Il manque encore la feuille de temps de Maxime? Jonathan t'as écrit 40 heures alors qu'il y avait un férié? Vous passez trop de temps à comptabiliser les heures sur des bouts de papier? Utilisez MobilePunch et dites adieu! [03:03:11] Speaker E: Problème de feuille de temps? 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Pour embarquer, t'as juste à acheter un produit participant pis présenter ta carte « moi » à la caisse ou en ligne. C'est le temps de troquer la boîte à lunch pour la valise. Pis manque pas ton vol, le concours prend fin le 19 novembre. [03:04:06] Speaker E: Pour que t'aies un achareki 18 ans. [03:04:07] Speaker A: Et plus, détaille les conditions au superc.ca. Hey, c'est super Super C! Choua. [03:04:13] Speaker B: Choua. [03:04:15] Speaker A: Choua. [03:04:15] Speaker E: Choua. [03:04:15] Speaker C: Choua. Choua. [03:04:15] Speaker E: Choua. [03:04:15] Speaker A: Choua. [03:04:17] Speaker B: Choua. Choua. [03:04:21] Speaker A: Choua. [03:04:22] Speaker I: Choua. [03:04:22] Speaker A: Choua. [03:04:23] Speaker I: Choua. [03:04:23] Speaker A: Choua. Choua. Choua. [03:04:26] Speaker B: Choua. [03:04:27] Speaker I: Choua. [03:04:27] Speaker C: Choua. [03:04:27] Speaker E: Choua. [03:04:27] Speaker A: Choua. [03:04:28] Speaker B: Choua. [03:04:29] Speaker A: Choua. Choua. [03:04:32] Speaker B: Choua. [03:04:33] Speaker A: Choua. Choua. Choua. Choua. Choua. Choua. [03:04:36] Speaker B: Choua. [03:04:37] Speaker C: Choua. [03:04:38] Speaker A: Choua. Choua. [03:04:41] Speaker G: Choua. [03:04:41] Speaker B: Choua. [03:04:42] Speaker D: Choua. [03:04:44] Speaker F: Donald Charrette. [03:04:46] Speaker A: Qu'est-ce qui se passe en ville? Avec Donald Charrette. [03:04:52] Speaker E: D'abord, merci Donald pour hier. Très bonne émission. Honnêtement, animée par Dume Dumas, avec Bessant Bégin. T'aimais ça? [03:05:04] Speaker H: Ben oui, c'était un plaisir. Surtout qu'on a fini pas trop tard, comparativement aux élections fédérales. [03:05:09] Speaker E: Qu'est-ce... quel est le message qu'on a entendu hier? [03:05:14] Speaker H: Écoute, vox populi et vox déli, d'abord, je pense... Écoutez, la première chose, je dirais, c'est que c'est jamais arrivé à Québec qu'un maire soit chassé du pouvoir après un seul mandat. C'est jamais arrivé. Alors, c'est comme naturel à Québec de donner deux mandats à un maire. Ceci dit, il est arrivé avec une vague, une déferlante, je dirais, irrésistible, qui a emporté beaucoup des figures connues dans le monde municipal. Je pense à Claude Villeneuve, à Jackie Smith, à Stephen Melençon. à Louis Martin, à Isabelle Roy, alors des élus qui étaient déjà là. Alors c'est une vague qui était assez irrésistible et évidemment, une vague, c'est souvent un peu irrationnel. C'est émotif, on disait tantôt. [03:05:51] Speaker E: La vague orange étant la pire. [03:05:52] Speaker H: C'est ça. À un moment donné, ça part d'un côté, puis c'est à peu près inarrêtable, et c'est pas toujours rationnel. Alors je pense qu'on se ramasse sur ce résultat-là ce matin. Ceci dit, ils vont un peu par... par le cas de M. Hamad, par exemple. Je pense que M. Hamad, bon, il a un peu surestimé sa notoriété. Ça faisait quand même 18 ans qu'il avait quitté la politique, là. Et je pense qu'il était extrêmement rouillé, là. Tu sais, c'est pas... Il était pas... Je pense que M. Hamad, il est arrivé à une élection en retard. Il devait se présenter en 2021. Et à la dernière minute, il a décidé de pas y aller parce qu'à l'époque, il demeurait pas à Québec. Alors je pense que si t'apprésentais en 2021, il aurait eu de fortes chances d'avoir... parce que Bruno Marchand était un inconnu à l'époque, alors que lui, il était connu. Alors il a comme raté son coup en 2021, il s'est réessayé ce coup-ci, mais ça a pas mieux marché, là. C'est un peu rouillé. Hier soir, il a dit une campagne un peu ringarde. Moi, je pense qu'il est allé avec une campagne un peu traditionnelle, pas beaucoup d'innovation. Puis ça lui a pris du temps de trouver ses marques, puis il s'est fait enfarger. Au début, il a été enfarger par des anecdotes, des incidents qui ont marqué l'imaginaire collectif. Ça lui a pris du temps de se rétablir, de retomber sur ses pieds, d'arriver avec des propositions, puis de dire, regardez, mettez un peu Bruno Marchand sur la défensive. [03:07:10] Speaker E: Et le résultat, c'est que ça a divisé le vote. Parce que t'avais quand même, Stéphane Lachance, qui, rappelons-le, n'était pas connu. Stéphane, t'es chroniqueur ici, pas connu. Décide de former un parti, t'as assisté au lancement du programme. Programme avec énormément d'idées. Bâti de toutes pièces, là. T'sais, il y a quand même beaucoup de crédit à y donner, là, avec un membership, des gens actifs, un genre de PCQ municipal. [03:07:40] Speaker H: Oui, tout à fait, oui. Écoute... [03:07:42] Speaker E: Ton analyse de la chance et de la suite des choses, c'est quoi? [03:07:45] Speaker H: Ben, dans le cas de M. Farnachon, je vais dire, effectivement, les gens ont travaillé, t'sais, mais le... Le défaut peut-être qu'il a, le respect citoyen, c'est qu'ils se parlent beaucoup entre eux autres, tu sais. C'est des gens convaincus, ils se connaissent. [03:07:58] Speaker E: Grosse chambre d'écho, il y a quelqu'un qui m'écrivait tantôt, hein, je comprends pas, dans mon entourage, t'es marchand 80... eh bien, la chance 80 %. Ça me fait beaucoup penser à des gens qui pensaient que Duhem était pour avoir 30 députés à la dernière élection. Quand vous êtes dans une chambre d'écho, quelle que soit la tangente politique en passant, les chambres d'écho de gauche, il y en a une, puis une autre aussi. C'est dangereux. [03:08:22] Speaker H: C'est du Kool-Aid. C'est des gens qui ont beaucoup mérité d'un autre à moi, puis qui sont là depuis le début. Alors, tu sais, ils se connaissent, ils ont parti un parti politique, c'est très honorable. Ils ont bâti un programme, etc. Ceci dit, je pense que là, leur défi, ça va être d'élargir un peu leur tente, puis aller chercher du monde à l'extérieur de ça. parce que là, il va être chef de l'opposition. Alors leur défi, ça va être ça, puis il va falloir qu'ils trouvent le bon ton. C'est pour M. Lachance, il y a une grosse commande en avant de lui, là, t'sais. Puis surtout qu'il va être deux ou trois, il va être trois, là, je pense. Alors c'est pas... c'est pas beaucoup faire face à la machine de Québec Forte et Fière, là. [03:08:53] Speaker E: Marchand supermajorité, es-tu dangereux pour Québec? [03:08:57] Speaker H: Bien, écoute, oui, moi, je pense que oui, parce que... Parce qu'il commence à. [03:09:00] Speaker E: Citer Desmond Tutu, là. Moi, maintenant, là... Peux-tu le faire jouer, l'extrait, encore, en rappel? Nelson Mandela, Desmond Tutu, c'est quelqu'un qui a une autre opinion de lui-même. Et là, il y a une super majorité. Écoute ça. [03:09:16] Speaker A: Il faut faire mieux parce qu'une ville. [03:09:18] Speaker E: Comme la nôtre peut faire une différence. [03:09:20] Speaker A: Pour chacun de nous, chacun des citoyens. Et j'ai la responsabilité et nous aurons. [03:09:25] Speaker E: La responsabilité de faire mieux. Nelson Mandela et Desmond Tutu nous ont fait connaître le concept de Ubuntu. [03:09:31] Speaker A: Je suis parce que nous sommes. Je n'existe pas seul. [03:09:36] Speaker D: C'est ça. C'est le concept de Ubuntu. [03:09:39] Speaker E: On est dans des dérapages... [03:09:43] Speaker H: Je l'ai écouté en direct hier soir, son discours de victoire. J'étais un peu déçu parce que je m'attendais à ce qu'il nous annonce des choses concrètes. Il m'a dit ce que je vais faire comme maire, comment je vais faire pour rallier le monde qui n'a pas voté pour moi. [03:09:54] Speaker E: Un prêtre. [03:09:55] Speaker H: Moi, j'avais l'impression d'entendre un gourou. Alors là, il est parti sur l'insulte. Puis il a terminé son discours en disant, on va inspirer la ville, on va inspirer le Québec, on va inspirer le monde entier. C'est-à-dire... puis il y a... Non, non. [03:10:08] Speaker E: Ça n'existe pas au monde entier, Bruno. [03:10:10] Speaker H: Puis il a joué hier un peu beaucoup sur... [03:10:12] Speaker E: Sacrifice. [03:10:12] Speaker H: Hier, il a dit, t'sais, lui, il est le candidat du positivisme et de l'espoir. Il a beaucoup présenté ça hier soir, t'sais. [03:10:17] Speaker D: Oui. [03:10:18] Speaker H: Alors ça, ça me rappelait beaucoup Barack Obama, là, c'est Hope, là. Alors, t'sais, c'était la campagne, là, de dire, là, l'espoir, c'est moi et le... Tu peux pas être contre l'espoir, tu peux pas être contre le positivisme, c'est évident. Par contre, je voudrais bien savoir ce que tu ferais pour la Ville de Québec. C'est ça que j'aurais aimé entendre hier soir. [03:10:32] Speaker E: Tu crées-tu pour la Ville de Québec? [03:10:33] Speaker H: Oui, je crains parce qu'il est... On sait déjà que M. Marchand, il est arrogant, disons le vu. Bon, il n'a pas beaucoup de respect des citoyens comme tels. Il nous a imposé, entre autres, un travail et bien d'autres choses. Il nous a imposé une espèce de vision de la ville. Il est en train de transformer la ville, tu sais, à sa façon à lui, en faisant la guerre à l'auto et tout. Alors je pense que ça va continuer. Alors ça, ça m'inquiète un peu. Puis là, écoute, avec la majorité qu'il y a là, ils vont pouvoir passer les sommaires décisionnelles. comme un rouleau compresseur au hôtel de ville. Alors jusqu'où ça va aller, je le sais pas, mais oui, ça m'inquiète un peu. [03:11:09] Speaker E: Le tramway, est-ce que c'est un vote pour le tramway? Oui ou non, et pourquoi? [03:11:17] Speaker H: Écoute, moi, je trouve pas qu'à matin, le projet de tramway est un meilleur projet qu'il était hier. Ça, c'est mon opinion à moi. Ceci dit, là, il n'y a plus d'obstacles pour empêcher le tramway. [03:11:28] Speaker E: À part les finances publiques? [03:11:29] Speaker H: Exactement. Alors, je pense que c'est ça qui va être plus décisif, c'est-à-dire est-ce que le Québec et Ottawa ont les moyens de... [03:11:35] Speaker E: Marchand a dit toute la campagne, c'est réglé. C'est réglé, c'est attaché. et les médias ne l'ont jamais challengé. [03:11:42] Speaker D: Le ministre aussi, là. Le ministre qui, au premier jour de la campagne, vient dire qu'on ne voulait pas de tremblements, il s'est réglé. [03:11:47] Speaker E: Jonathan Julien, exactement. Il ne s'est pas malé de ses affaires, il a fait de l'ingérence. [03:11:53] Speaker H: Le partisan numéro un du tramway, c'est Jean-François Jullien. Alors, le financement fédéral n'est pas encore attaché. On n'a jamais eu des cris pour dire qu'on met 1,4 ou 1,2 milliard. On ne le sait pas. Dans le cas du Québec, c'est encore un petit peu en pacte. On ne sait pas trop qui paye quoi. La Ville prétend qu'elle va mettre 750 millions au maximum. Mais est-ce qu'on a eu récemment une mise à jour du coût du tramway? que la Caisse des dépôts a pris le contrôle. Alors, il y a encore beaucoup d'interrogations. Ceci dit, bon, écoute, là, je pense qu'il a la voie libre, là, puis il peut aller de l'avant puis dire, regarde, j'ai tout ce qu'il faut pour réaliser le tramway, il faut que les gens le réalisent. [03:12:29] Speaker E: C'est quoi les prochaines étapes? Tu t'attends à quoi? Là, ce sera, oui, la sermentation, mais ensuite, c'est quoi les étapes? [03:12:38] Speaker H: Tu parles dans le cas de... [03:12:40] Speaker E: Dans le cas de la ville, dans le cas de la ville, puis dans le cas de... de la société en général, t'sais, s'ils nous ont rentré dans la tête, t'as moins pu rien en faire. Et c'est pas la question de combattre les moulins avant comme Don Quichotte le faisait, là. C'est juste d'être à l'affût, d'être aux aguets. Parce qu'il y a un budget fédéral qui s'en vient demain. Le fédéral va couper où? Il va falloir surveiller ça. Puis t'as le provincial aussi, qui est en train de couper des postes de police à gauche et à droite. Ils n'ont pas une scène! Les deux paliers n'ont pas une scène! [03:13:10] Speaker H: Oui, puis tu sais, les signaux qui viennent du Québec, entre autres, sont assez inquiétants. Oui, il y a les postes de police qu'on a menacés de couper, mais je voyais que vendredi, ils annonçaient la fin des subventions. Il y a des centaines de millions là-dedans. Alors, c'est à se demander... Moi, je commence à me demander, est-ce que le Québec, ça fasse une nouvelle menace de décote? Parce que, tu sais, quand je vois qu'ils coupent partout, c'est-tu le banquier qui l'a appelé en disant, regarde, resserre tes finances? Alors, moi, ça m'inquiète. Alors là, je pense que la CAQ va avoir des choix à faire. Moi, je pense que la CAQ aura pas détesté que Bruno Marchand soit battu. Ça aurait donné un prétexte pour dire, regarde, les gens veulent pas, puis il y a un mandat clair. Alors, c'est pas arrivé. Alors là, je pense que la responsabilité retombe sur les épaules de la CAQ et du gouvernement fédéral qui va nous dire si on y va et combien qu'on met dans la cagnotte. [03:14:00] Speaker E: On parle-tu de la République sud un peu? [03:14:02] Speaker H: Oui. [03:14:03] Speaker E: Vas-y, je t'écoute. [03:14:03] Speaker H: J'allais parler un peu hier soir, moi j'ai trouvé qu'à Lévis, il y a eu une belle campagne à Lévis. C'est une campagne qui était le fun. Moi, je suivais un peu. Il y avait trois bons candidats qui étaient très respectueux l'un de l'autre, qui ont arrivé, qui ont discuté de choses concrètes, l'aisine d'épuration, le prolongement de la veille, on construit-tu un aréna ou pas? Ah, t'sais, moi, j'ai trouvé qu'il a fait une belle campagne. Puis bon, M. Blainy, je pense que c'est pas une surprise qu'il ait été élu, là. Il a l'avantage de connaître ça. Puis pour en avoir parlé ici dans les studios avec lui, là, t'sais, lui, il me dit... Il dit, moi, là, je tripe sur les tuyaux. Il dit, moi, les tuyaux d'aqueduc, puis des gouttes, j'aime ça, c'est mon métier, là. Puis je veux me consacrer à ça, t'sais. Alors il a le profil parfait pour les défis de la Rive-Sud. [03:14:51] Speaker E: Il le dit, c'est la position du M. Et il n'en démore pas, et c'est une autre priorité. Il va avoir un clash avec Marchand à un moment donné. [03:14:59] Speaker H: Et je sais qu'hier soir, il l'a dit aussi, il l'a dit ici en entrevue. Il s'est présenté comme le défenseur du troisième lien. Il semblait dire, moi, je vais aller parler avec les chroniqueurs de Montréal et les convaincre que c'est une bonne affaire. C'est pas une lubie, le troisième lien. Alors, il y a un nouveau porte-parole pour le troisième lien. [03:15:15] Speaker E: Un clash avec Marchand après moi? [03:15:17] Speaker H: Ben, écoute, à ce point-là, ils sont pas sur la même longueur du tout, là. Pis là, voilà, je sais pas, le SRB ou le tramway, y a-tu un lien entre les deux, là? On verra bien, là. Mais après, après, m'aborde, quoi. C'est le troisième lien. Parce que, dans le fond, M. Marchand a jamais osé dire, je suis contre le troisième lien. Voilà qu'il le dit un jour, là. [03:15:32] Speaker E: Il est contre le projet actuel. Oui, mais Blainé aussi est contre le projet actuel, ça tombe bien. [03:15:36] Speaker H: Je pense que tout le monde est contre le projet actuel. [03:15:37] Speaker E: C'est un projet qui n'a pas de bon sens. Ça aboutit dans le parking de la broussaille. [03:15:41] Speaker H: Je me demande si le gouvernement de la CAQ est pour, s'ils font semblant d'être pour. [03:15:44] Speaker E: Non, non, c'est ça, exactement. Je vois que t'as plein de trucs écrits. Vas-y pour la fin, ta grande finale. [03:15:51] Speaker H: On a une nouvelle force politique à Québec qui s'appelle le respect citoyen. Ceci dit, je pense qu'ils ont des gros défis. Il faudrait que M. Lachance trouve le bon ton. Là, il est chef de l'opposition, il faut qu'il devienne politicien parce que ce n'est pas un politicien... [03:16:13] Speaker E: On comprend qu'il peut pas monter sur le bureau en se mettant à crier, ce qu'il fera pas là. Mais c'est très rigide. J'en parle à Dan aussi. Dan, les extraits que tu nous fais entendre, il va y avoir de la procédurite à apprendre. Personnellement, je serais pas heureux d'être dans ce cadre-là. [03:16:27] Speaker D: Stéphane Lachance va avoir... [03:16:28] Speaker E: C'est un drôle de poisson qui s'en va d'un drôle d'aquarium. [03:16:32] Speaker D: Stéphane Lachance va avoir en allocution de maximum 5 minutes à chaque conseil municipal. Sauf si le maire dépasse 5 minutes, mes marchands ne dépassent jamais. [03:16:41] Speaker E: Donc sa gang va crier sur le texto. Puisqu'il a tes avis de rester calme, c'est juste ça les règlements. [03:16:48] Speaker D: Et à chaque fois qu'il y aura un avis de proposition ou une motion à déposer, il va pouvoir poser des questions pendant trois minutes. Après ça, ses deux conseillers vont pouvoir poser des questions pendant trois minutes. [03:16:57] Speaker E: Ça va s'arrêter là. [03:16:58] Speaker D: Puis de l'autre bord, ils ne sont pas obligés de répondre. [03:17:00] Speaker E: Petit poisson, petit aquarium ou gros poisson, petit aquarium, une chose est sûre, c'est que, comme Donald a dit, c'est le rouleau compresseur qui va agir. [03:17:08] Speaker H: Alors, c'est ça. Écoute, alors... [03:17:09] Speaker E: On a besoin d'un Lachance pareil. [03:17:11] Speaker H: Ben oui, tu sais... [03:17:12] Speaker E: Il va tenir son bout en maudit et il va être là pour les médias aussi. Tu vas voir quand même le contrepoids médiatique quand même. [03:17:20] Speaker H: Oui tout à fait, mais ça c'est un autre défi. Il va falloir qu'ils soignent ses relations avec les médias. Tu ne peux pas boycotter les médias. Moi je trouve qu'ils ont fait une erreur en excluant des médias d'une conférence de presse. [03:17:30] Speaker E: Ils n'ont pas reçu un message. [03:17:32] Speaker H: T'Sais, c'est intentionnel, t'sais. Alors, t'sais... [03:17:34] Speaker A: Mais en même temps, le dernier qui. [03:17:35] Speaker E: A passé un message s'appelle Poilievre, puis il a pas été élu, t'en souviens? Pas de journaliste dans l'avion? Il a pas été invité, ça, là? [03:17:41] Speaker H: Oui, mais t'sais, tu deviens le chef de l'opposition à l'Hôtel de ville de Québec. [03:17:44] Speaker E: T'as pas le choix. [03:17:44] Speaker H: Alors là, t'as faute... T'as pas le choix. Puis il faut que tu utilises, dans le bon sens du terme, les médias pour passer ton message, t'sais. [03:17:50] Speaker E: Oui. [03:17:50] Speaker H: Alors, tu peux pas commencer à te mettre à dos tous les médias ou à dire, regarde, ils sont pas corrects, etc. Alors, je pense qu'il faut qu'il travaille un peu son discours, là, puis... qui comprennent que les médias, ça peut être fort utile. [03:18:03] Speaker D: Il faut aussi qu'il devienne le chef d'opposition pour les gens qui ont voté Bruno Marchand également. Parce qu'il y a du monde qui a voté pour Bruno Marchand qui ne seront pas contents, qui ne sont pas tout le temps d'accord avec Stéphane Lachance, mais c'est quand même lui qui va devoir les représenter. [03:18:15] Speaker E: Et Hamad et Villeneuve. Je sais que Villeneuve, c'est un marchand light, mais il était quand même contre... Tu comprends? Il y a toujours l'épée de Damoclès. [03:18:32] Speaker H: De l'enquête du DGQ. ils pourraient être disqualifiés, là, t'sais. S'ils sont reconnus coupables, bien, ils sont disqualifiés. Alors, ça, ça change là-dedans, normalement. Alors, ça, c'est une épée de Damoclès. Alors, t'sais, ça, c'est à suivre. Alors, il y a des défis importants. Ceci dit, un matin, bon, Bruno Marchand est roi et maître à Québec, puis il peut implanter ce qu'il veut dans les quatre prochaines années. [03:19:00] Speaker E: Merci beaucoup. Merci beaucoup, Donald. OK, parfait. On va aller dans ma ville natale. en revenant, on va aller voir Shawinigan avec Yves Lévesque, hein? Donnez à Yves Lévesque, quand même hot, hein? C'est quand même hot, pour vrai, là. Grosso modo, pas de programme, pas de partie, pas de pancarte, pas de point de presse. Mais un Yves Lévesque qui passe à plus de 50 %, c'est quand même... c'est quand même assez impressionnant. On va se le dire, on va aller à Shawinigan en revenant. Il est 9h20 et vous êtes à Radio X. [03:19:35] Speaker B: Pourquoi pas... Radio... X. [03:19:41] Speaker A: D'ailleurs là, c'est quoi le ramas? Sur Facebook, j'ai des pubs de cocaïne. [03:19:45] Speaker D: Avez-vous ça, vous autres? [03:19:46] Speaker E: Hein? [03:19:46] Speaker A: Des pubs de cocaïne? [03:19:48] Speaker I: Oui! [03:19:48] Speaker A: C'est marqué « Beau Sure Day ». [03:19:49] Speaker C: Ben voyons! [03:19:50] Speaker E: Toujours! [03:19:50] Speaker A: Comme s'ils vendaient des produits naturels. Facebook autorise ça. Tu vois un bout de mamelon, mon gars, mets-toi les alarmes bâcles, les sirènes. [03:20:00] Speaker E: Illégal! [03:20:01] Speaker C: Illégal! [03:20:02] Speaker A: Pis là, on est en train de. [03:20:02] Speaker E: Vendre de la poudre. [03:20:03] Speaker D: Ça, c'est pas grave. Ça part. [03:20:04] Speaker A: Où elle est? En direct. [03:20:07] Speaker B: Lundi au vendredi. Midi. [03:20:10] Speaker A: Radio X. [03:20:11] Speaker B: Présenté par l'Entrepôt de la réno. Pour vos réno au meilleur prix, on vous attend maintenant au 9030 rue John Simons, coin Henri IV et rue Jean H. Kruger, Trois-Rivières. [03:20:21] Speaker A: La Grande Allée s'illumine et l'atelier t'attend. 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[03:24:04] Speaker B: Je bouge pour être bien dans mon corps et dans ma tête, pour conserver mon autonomie, pour rester chez moi longtemps et pour continuer à jouer avec mes petits-enfants. Et bouger à mon âge, ça peut être simple. Je sors marcher dehors, je choisis parfois l'escalier plutôt que l'ascenseur ou je fais une activité qui me plaît, comme le vélo, la danse ou le taiji. Je l'intègre à mon quotidien pour moi et pour ceux que j'aime. Bouger plus, vieillir mieux. Un message du gouvernement du Québec. [03:24:34] Speaker A: C'est pas un problème, l'argent. [03:24:36] Speaker B: Pierre Couture. [03:24:37] Speaker E: Ça roule. [03:24:38] Speaker B: Suivez les chroniques de Pierre Couture. [03:24:40] Speaker A: Ça roule. [03:24:41] Speaker B: À Radio X. [03:24:42] Speaker A: Radio X. [03:24:44] Speaker B: La chronique de Pierre Couture présentée par Noréa Foyer-Napert. Les poêles et foyers Osborne fabriqués à Saint-Augustin sont arabais et vous économisez des milliers de dollars. Noréa Foyer-Napert à Sainte-Marie et à Québec. Morelive présentée par Multiconfort FX. C'est le mois de novembre fou, fou, fou! Des rabais exceptionnels sur nos thermopompes du 1er au 30 novembre. Informez-vous. En face de l'aéroport. Moi, je l'adore. Avec Dominique Moret. [03:25:17] Speaker A: C'est super. [03:25:19] Speaker E: Yves! Yves! C'est Yves! Voici Yves! Voici le nouveau maire de Shawinigan, Yves Léveille. Comment ça va? [03:25:40] Speaker C: Ça va très bien ce matin, mon cher Dominique. Très, très bien, très bien. [03:25:44] Speaker E: M. le maire, M. le maire, il paraît que ça a pas lâché durant la campagne, hein? Hein, M. le maire? Incroyable. [03:25:50] Speaker C: Oui, c'était très bon. Une campagne de terrain, tu sais que c'est une première maire de Trois-Rivières-Ouest, maire de Trois-Rivières, maintenant maire de Shawinigan. Après ça, ça sera maire de Québec. Vous allez être pas mal vieux, mais après ça, il va rester de Québec à aller. [03:26:03] Speaker D: Ha! [03:26:04] Speaker C: Ha! Ha! [03:26:04] Speaker E: Ha! [03:26:05] Speaker G: Ha! Ha! Ha! [03:26:05] Speaker A: Ha! [03:26:05] Speaker E: Ha! [03:26:05] Speaker D: Ha! [03:26:05] Speaker I: Ha! [03:26:05] Speaker C: Ha! [03:26:05] Speaker D: Ha! [03:26:05] Speaker A: Ha! [03:26:06] Speaker E: Ha! Ha! Ha! [03:26:06] Speaker B: Ha! [03:26:06] Speaker C: Ha! [03:26:06] Speaker E: Ha! [03:26:06] Speaker A: Ha! [03:26:06] Speaker E: Ha! [03:26:06] Speaker B: Ha! [03:26:06] Speaker E: Ha! [03:26:06] Speaker D: Ha! [03:26:07] Speaker I: Ha! [03:26:07] Speaker E: Ha! [03:26:07] Speaker G: Ha! [03:26:08] Speaker E: Ha! [03:26:08] Speaker D: Ha! [03:26:08] Speaker H: Ha! [03:26:08] Speaker E: Ha! Ha! [03:26:09] Speaker F: Ha! [03:26:09] Speaker C: Ha! [03:26:09] Speaker E: Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! [03:26:29] Speaker C: La crédibilité, c'est, Dominique, aujourd'hui, pour moi, ce qui est important. Tu sais, quand je me suis lancé en politique en 94, je me suis dit, c'est pas normal que les politiciens aient une cote de crédibilité très basse. Alors ça passe par passer une crédibilité. Puis je pense que c'est ça que j'ai fait, d'être authentique, de dire les vraies affaires aux gens, la transparence, et de défendre nos projets sur la place publique, d'écouter les gens. Puis je pense que les gens aiment ça, l'authenticité, puis d'être franc avec les gens, puis d'être sur le terrain, d'écouter le monde, puis de faire avancer les choses. C'est ma façon de faire. J'ai toujours dit, je vais gagner avec mes valeurs, mes principes, et je vais perdre avec mes valeurs, mes principes. [03:27:04] Speaker E: Qui était derrière toi? Peut-être décrire un peu la situation. Je sais que tu as fait ton rassemblement hier chez St-Onge Ford, donc la famille Maudoux était derrière toi. Des grands leaders du monde des affaires à Sherwood. Propriétaire des Cats, entre autres, pour Martin. Donc c'est des gens allumés, c'est des gens qui sont sur la coche. C'est des gens aussi qui ne voulaient pas nécessairement construire sa coquinette, l'ancien régime. Il y avait un ancien régime, il y avait un régime usé quand même aussi. [03:27:30] Speaker C: Oui, mais c'est surtout la population. T'as beau avoir des gens qui t'appuient, mais la ville, elle est grave. Alors, c'est la base de tout ça. C'est le terrain. Puis comme je dis, j'ai bâti quand même 24 ans d'expérience. Les gens ont vu mon CV, ce qu'on a fait avec la ville de Trois-Rivières et Cheyenne-Ouigane. [03:27:47] Speaker E: Mais les gens voulaient le changement. Les gens de Sherwood, on dirait qu'ils étaient tannés de se faire humilier sur la place publique avec des histoires complètement folles d'eau potable, obligés d'aller chercher ton eau potable dans le parking d'un arena. dans un camion-citerne. C'est-à-dire, c'est des histoires à rebrecadabran, des scandales en culture, scandale, le parc qui a été démantelé en cachette. C'est des trucs qui ont mal fait paraître la ville et ça, les gens, je pense qu'ils étaient queurés de voir ça. T'en penses quoi? [03:28:14] Speaker C: Moi, t'as absolument raison. Si t'regardes les gens qui ont été élus, ils sont des 6 %, c'est du changement total. Alors c'est quand même un message clair que la population a donné. Les gens sont conscients de la réalité. Si on a bosé, que ça va bien. Mais les chiffres parlent par eux-mêmes. Alors... Et pourtant, Sherbrooke-Ligon, c'est un beau terrain de jeu. Et Montrose, c'est vraiment, comme j'ai dit, c'est des... On a des... Chaque ville a ses outils qui peuvent faire en sorte qu'on peut performer. Alors moi, Montrose, c'est de dévorer le coffre d'outils puis prendre les bonnes outils pour les bonnes choses. Et déjà, c'est sur le terrain. Tu sais, quand t'arrives de l'extérieur, souvent, dans ton propre jardin, tu vois pas la beauté de ton jardin. Tu te dis que c'est plus beau chez le voisin. Mais chaque jardin a ses avantages, et Shermigan a un potentiel de développement incroyable. [03:28:54] Speaker E: Ça te fait-tu penser un peu quand t'es arrivé à Trois-Rivières, c'est-à-dire... Trois-Rivières était un peu maganée, on va le dire, la PFCP, tout ce quartier-là industriel en arrière du quartier Sainte-Cécile, c'était magané au possible. Vous avez renié Pessac à Trois-Rivières, ça n'a pas de bon sens. Tout le quartier aux alentours de l'amphithéâtre Cogéco, c'est l'enfer. Quelle belle place. Il y a des condos à 800 000, un sacrifice. La rivière Saint-Maurice, tu m'aurais dit ça il y a 15 ans, j'aurais jamais cru ça. C'est un renversement de situation totale avec l'aréna et tout. Ça te fait-tu penser à quand t'es arrivé à Trois-Rivières pour la première fois, suite à la fusion, mais comme maire de Trois-Rivières, Yves? [03:29:33] Speaker C: Oui, effectivement, t'as raison. C'est une ville mono-industrialisée, Trois-Rivières, à la Mauricie, on disait la capitale du papier, on a dit la capitale du chômage. Les gens quittaient Trois-Rivières, on était en décroissance, les chiffres donnaient une ville en décroissance. Et effectivement, alors j'ai dit aux gens, regarde, soit qu'on n'investisse pas dans notre ville ou qu'on attend que les gens viennent nous voir, mais ça ne marche pas de même. Le centre-ville était vide aussi. On avait plusieurs, 37 % des locaux étaient vides. Alors c'est le même portrait, mais on a beaucoup d'années de rattrapage d'affaires, mais il n'est jamais trop tard pour bien faire. Alors ça prend du courage en politique, ça prend de l'audacité, ça prend une vision. ça prend des gens autour de toi qui ont cette volonté-là de gagner. J'ai toujours dit, moi, je veux jouer dans la ligne majeure, alors je veux avoir des joueurs de la ligne majeure, je veux avoir des gens qui sont d'action, parce que c'est pas un match seul qui va faire le travail. Il y a quand même 10 conseillers municipaux. Mais il y a la fondation... Et. [03:30:24] Speaker E: T'As des rêves aussi, t'as des... t'as une vision pour la Ville. Il y a peut-être des annonces que tu vas faire dans les prochains jours, les prochaines semaines, Yves? On va-tu être surpris? [03:30:33] Speaker C: Oui, je vais être surpris à avoir une annonce économique assez intéressante. On parle de plusieurs centaines d'emplois. Et relancer une usine qui est fermée. Et l'autre chose que je caresse beaucoup, c'est que, comme j'ai dit tantôt, on a un potentiel. Tu sais que l'île Banane, que tu connais très bien, c'est une île à plein coeur du centre-ville. Puis pourtant, elle est en dormance. Il y a un pont qui doit être refait. La ville n'aura jamais les moyens de le faire. Alors moi, je rêve d'avoir... Avec la. [03:30:57] Speaker E: Vieille maison de bois vert et des mixes, à un moment donné, on est capable de faire de quoi de mieux. [03:31:01] Speaker C: Oui, moi, ce que je veux faire, c'est l'île de santé. L'Île-de-Santé, alors quelque chose d'unique au niveau santé, au niveau spa nordique, avec toutes les thématiques de santé. Vendre l'Île à un promoteur qui va y investir de l'argent, faire d'hébergement, et qui va être une place que les gens vont vouloir venir découvrir l'Île-de-Santé à Sherwin-Gannesburg. [03:31:22] Speaker E: T'as-tu déjà parlé de ça dans ta campagne, Yves? [03:31:24] Speaker C: Non, non, non. [03:31:26] Speaker E: Tu nous parles de ça pour la première fois à Radio X, là. Ça appartient-tu à la ville, l'île? [03:31:31] Speaker C: Oui, ça appartient à la ville, puis jamais qu'on aurait les moyens de la développer. [03:31:34] Speaker E: L'autre chose... Et t'entends, je veux juste m'assurer que j'ai bien compris, t'aimerais ça vendre l'île à un promoteur qui, lui, va la développer? [03:31:42] Speaker C: Exactement, qui va refaire le pont, qui va amener du tourisme, parce que... L'île de Santé, à plein cœur de la ville, les gens vont venir chez nous Et c'est la tendance aujourd'hui, la tendance des spas, la tendance du yoga, la tendance du calme et tout ça. Alors, c'est quelque chose qui va être unique. Et l'autre chose, une vérité d'énergie. à Trois-Rivières, que selon moi, il y a un potentiel incroyable. Vous savez que les centres de congrès sont pleins au Québec pour les quatre prochaines années. Et là, à l'espace Shawilgan, t'as des bâtiments avec une hauteur incroyable et on peut avoir un centre de congrès moderne et vraiment qui va se démarquer des autres. J'ai toujours dit qu'il faut se démarquer des autres. Des centres de congrès, il y en a partout. Mais d'avoir des bâtiments à l'espace Shawilgan qui ont un potentiel et on sait que le tourisme d'affaires, c'est très rentable. Mais avec ces bâtiments-là, ces anciens entrepôts qui sont là, on n'a pas assez de rentrer les camions puis faire plein de choses là-dedans. Alors si on a un terrain de jeu intéressant, il faut juste avoir cette vision-là puis le courage de l'amener à terme. [03:32:44] Speaker E: Théo Walker-Hourlique, les gens le savent-tu? [03:32:48] Speaker C: Oui, je pense que oui. Ma femme, elle le sait puisque je suis jamais à la maison. [03:32:52] Speaker E: Ça a pas d'allure! Là, c'est quoi? Tu t'en vas à l'hôtel de ville? Les prochains gestes? On va aller parler avec ton homologue de Louisville dans quelques minutes, mais tes prochains gestes, ça va être quoi? Avant d'être arrêté au restaurant chinois de grand-mère? [03:33:09] Speaker C: Alors, c'est sûr et certain, ce matin, on fait la tournée des médias. J'ai fait une belle rencontre avec le nouveau maire de Trois-Rivières, M. Aubin. Alors, une belle collaboration entre les deux villes. Là, on s'en va à Montcarmel faire une autre conférence de presse à mi-chemin entre les deux villes. Travailler beaucoup avec les autres municipalités. Mais après ça, c'est de rentrer à l'hôtel de ville, rencontrer l'ensemble des conseillers et conseillères, voir leurs priorités et être assemblés, puis garder le budget pour la première chose à faire. Je veux travailler aujourd'hui pour la nouvelle économique que je veux faire, alors il me reste des choses à attacher. J'espère annoncer ça d'ici 15 jours. [03:33:45] Speaker E: Incroyable, incroyable. Félicitations. T'es ému hier, t'étais en compagnie de ta famille, tes gars qui sont descendus des États-Unis avec tes petits-enfants, pareil. [03:33:54] Speaker C: Ah oui, c'est la richesse, tu sais. Quand tu rentres à la maison puis tu dis je t'aime, c'est vrai, c'est sincère. Quand les gens disent j'ai voté pour vous, M. le maire, j'ai des comptes, il m'en manque. [03:34:05] Speaker E: T'es allé voter avec tes deux petits gars, c'est quelque chose? [03:34:07] Speaker C: Dans les bons moments, puis dans les moments les plus durs. [03:34:20] Speaker E: C'est ça, t'as eu des défaites difficiles, mais là, c'est vraiment une victoire éclatante qui te revient. [03:34:24] Speaker C: C'est ma douzième campagne électorale. [03:34:25] Speaker E: M. [03:34:26] Speaker C: Chrétien m'a appelé tantôt. M. Chrétien m'a appelé. [03:34:28] Speaker G: Hein? [03:34:28] Speaker C: Oui, M. Chrétien m'a appelé tantôt. Et il m'a dit... On s'est parlé, il m'a félicité, puis j'ai toujours... J'aime des gens authentiques, puis j'ai dit, c'est ma douzième campagne électorale. Il dit, c'est drôle. Il dit, M. le maire, moi, j'ai fait douze campagnes électorales comme vous. [03:34:43] Speaker E: C'est très drôle. Bravo encore une fois. Félicitations. [03:34:46] Speaker C: Merci. Merci à tous les gens qui nous écoutent en région. [03:34:50] Speaker E: Vive Chaui. Bye. Salut. Bye. C'est le fun. C'est vraiment le fun. Ça va donner. Ça redonne. C'est niaiseux, ce que je veux dire, Dan, mais je sais pas. Il y a comme une fierté. C'est comme... Il y a du gaz. Il y a du charisme. Il y a rien qui s'est passé à date, mais... Il y a une fierté qui va s'opérer, qui n'était plus là, on va le dire. Chaui et Magané, tu sais, qu'on passe à la piscine municipale qui devait être rénovée. Là, je retourne là, Chaui, je regarde ça, ils l'ont remplie avec du sable. Tu sais, c'est pas fière, c'est pas... c'est pas sur la coche. L'histoire de l'eau potable, ça fait tiers monde. Ça fait pic-pic. Yvon Deshaies, pendant ce temps-là, lui, bien, il était avec nous autres, hein? C'est un élu! C'est un élu! C'est un maire! C'est un maire! C'est le maire! Le maire! [03:35:39] Speaker A: Voici le maire de Montréal Live. [03:35:43] Speaker E: Yvon Deshaies, comment ça va? [03:35:45] Speaker C: Ça va bien, M. Morel. [03:35:47] Speaker E: Jean-Chrétien, t'as-tu appelé, lui? [03:35:49] Speaker C: Pardon? [03:35:49] Speaker E: Jean-Chrétien, t'as-tu appelé? T'en qu'est-tu parti? Comme il a appelé Yves Lévesque? Nouveau maire de Chauville, quand même. Comment ça va? Hé, t'étais nerveux, Yvon. Laisse-toi aller, là. Laisse-toi aller. [03:36:01] Speaker C: On m'a fait attention. On m'a fait attention. Mais vous savez une chose, quand j'ai parlé à votre radio, t'sais, chez vous, il faut comprendre une chose. À force de se faire tirer dessus, tirer dessus, elle m'a emmené... Bien, c'est sûr que t'as envoyé un petit taux moindre. T'sais, elle m'a emmené... T'sais, on s'entend, là. Les gens disent un peu n'importe quoi. On m'a tiré pas mal dessus durant les élections, énormément. [03:36:24] Speaker D: On peut... [03:36:27] Speaker C: Non, mais tu sais, il va dire que c'était un pas d'allure. Tu sais, le maire de Louisville, c'était un pas d'allure, etc. Il sait pas administrer. [03:36:33] Speaker E: C'est qui qui a dit ça? [03:36:35] Speaker C: Bien, des gens, tu sais, des gens. Mais peu importe, tu sais. Mais là, c'est fini. M. Moret, j'en perds tout ça. J'ai été réélu pour une dixième fois. C'est quelque chose, ma dixième élection, monsieur, là. Non, non, j'ai travaillé fort. [03:36:48] Speaker E: Ce mandat-là, en quoi il va être différent? Cette victoire-là, en quoi elle est différente? [03:36:53] Speaker C: Cette victoire-là, cette année, je m'en m'arrêtais beaucoup aux jeunes, les gens sans-abri. On a quelques-uns de Louisville. Ils couchent pas dehors, là, mais ils couchent ensemble. Ils sont quatre-cinq dans un appartement. Les paniers... Quand on me dit la maison de la famille qui donne 175 paniers à Louisville, on a ça chez nous aussi, là. 175 paniers à Louisville que les gens vont chercher tous les semaines. Tu sais, c'est bien beau, la grandeur. Je pense que je veux aller, cette année, humainement sur le plancher des gens pour aider aux gens. Les appartements qui sont chers, sales, les gens d'amis et arrivés, on est là, on est rendu là. On sait pas vraiment arrêter à ça. On parle de grandiose, c'est bien beau, tout ça, mais le monde chez nous... Comment ils vivent? Ils vivent durement. On sait que les loyers, ça coûte une fortune. La nourriture a augmenté. Les gens, je sais que... Je vais faire mes marchés, moi aussi. La personne qui a deux, trois enfants, le panier... La mère à l'enfant, non, non, non, prends pas ça cette semaine, on n'a pas d'argent, t'sais. On entend ça régulièrement. C'est ça qu'on entend, M. Moret. Fait que moi, je regarde ça puis je dis comment on peut aider? C'est sûr comment on peut aider la ville, mais... Il faut s'arrêter à ça pour travailler ensemble, garder les habitats, les HLM. Pas seulement Montréal-Québec, ici. Nous, ici, on en veut, Louisville. Les HLM pour les gens à faible revenu. [03:38:12] Speaker E: Est-ce que votre équipe est 100 % de votre barre, toutefois? [03:38:15] Speaker C: Bien là, c'est sûr que j'ai du Nouveau Monde. [03:38:17] Speaker E: C'est qui, ça, ce Nouveau Monde-là? [03:38:19] Speaker C: Des nouveaux conseillers qui sont présents, qui sont présentés. [03:38:22] Speaker E: Puis, le connaissez-vous? Tout le monde se connaît, Louisville. [03:38:24] Speaker A: Bien oui. [03:38:24] Speaker C: Non, non. Je les connais. M. Moray, je les connais. C'est une bonne personne. Tout le monde va travailler pour le bien de Louisville. Quand on se présente, on se présente pour le bien. Ça, c'est important de le dire. [03:38:33] Speaker E: Sauf le malade mental, là, qui s'était présenté. [03:38:37] Speaker C: Non, pas du tout, M. Moray. M. Moray, s'il vous plaît. J'ai passé la commission municipale, M. Moray, vous savez. Non, non, c'est correct. [03:38:44] Speaker A: C'est correct. [03:38:44] Speaker E: C'est vous qui l'avez dit, mais c'est pas grave. [03:38:45] Speaker A: C'est fini! [03:38:46] Speaker E: C'est fini, l'élection, c'est fini. [03:38:48] Speaker C: Monsieur Morin, je suis allé au front, je peux vous dire ça, correct? C'est un gars qui est au front. [03:38:53] Speaker E: Alors... Oui, oui. [03:38:57] Speaker C: Oui, j'ai bien confiance, monsieur. J'ai confiance en moi-même, avec l'équipe qu'on va avoir, on va travailler ensemble. Oui, j'ai confiance. Je lui donne encore un beau 4 ans. On a des beaux projets quand même. On a des logements qu'on veut bâtir. On a le bouleodrome. On a le centre communautaire qu'il faut qu'on réalise. [03:39:17] Speaker E: Bon, mais j'aime ça, parler des vrais enjeux. Le bouleodrome, parlons-en. [03:39:20] Speaker C: Le bouleodrome, ça va très bien, monsieur. Ça fait 5 ans. Mais là, ça va bien. On a des montants d'argent provincial pédaval. La Ville a donné. Le Canada l'a embarqué. Donc il manque pas grand-chose pour le bâtir. [03:39:31] Speaker E: C'est quoi, le bouleodrome? [03:39:33] Speaker C: C'est un jeu de pétanque, ça. On appelle ça 12 allées. [03:39:40] Speaker E: On pourrait-tu y aller, Don et moi, quand ça va être fini? [03:39:42] Speaker C: Oui, monsieur, ça va me faire plaisir, monsieur, de vous inviter. [03:39:46] Speaker E: Ça va être fini quand? [03:39:47] Speaker C: Là, c'est pas bossé encore. Là, ils vont travailler les plans puis ça devra se commencer. Si tout va bien, au printemps, ils devraient commencer à bosser, si tout va bien, monsieur. [03:39:56] Speaker E: Combien ça coûte? [03:39:58] Speaker C: Ça coûte 800 000 $. Trois quarts de million. [03:40:02] Speaker E: Allez-vous avoir une taxe boule de rhum? [03:40:04] Speaker C: Non, non, non. Non, non, non. Pas du tout. Pas du tout, monsieur. Je vous le dis, pas du tout. On n'aura pas ça. C'est seulement que les compagnies vont nous aider, on va ramasser de l'argent. Il nous manque un petit peu d'argent encore, puis ça va se faire, monsieur. Les boules neuves... Louisville, le comté va avoir son boule de rond, monsieur Morin. [03:40:19] Speaker D: Les boules neuves ou usagées? [03:40:21] Speaker C: Ah, je sais pas si tu veux... [03:40:22] Speaker E: Ah, ça va être des belles boules, là. [03:40:24] Speaker D: Ah oui, ça va être des belles boules. [03:40:25] Speaker C: Les boules neuves, on joue, c'est fini. Après ça, ils tombent usagées. [03:40:28] Speaker D: Est-ce que les plus belles boules de la province vont être à Louisville? [03:40:32] Speaker C: C'est pour moi que c'est M. Gravel qui parle. Quand vous allez le savoir, on va. [03:40:41] Speaker E: Le savoir aussi, j'ai l'impression. [03:40:44] Speaker C: Les. [03:40:49] Speaker E: Gens sur la rue, ils vous disent quoi? [03:40:54] Speaker C: Ils sont contents. Ils sont contents que je sois là. C'est sûr qu'un mec coloré, je marque pas toujours des points. On s'entend. Je le sais. Mais si j'ai fait n'importe quoi, là, quand j'ai dit quelque chose, par exemple, les triporteurs, t'sais, j'ai parlé des triporteurs. Un moment donné, ils se sont mis à dire, le maire de Louisville, il est con, il est handicapé. Bien non. Bien non. Arrêtez. Ils sont tous venus chez nous dans la cour. Arrêtez. Seulement que les triporteurs, les quatre triporteurs, faites votre stop, s'il vous plaît. Marchez pas au centre-ville. C'est comme ça que j'ai dit, t'sais. Là, bien, c'est pas pire. Ça va bien. Tout le monde fait un petit peu plus attention. Puis il faut croire que la ville de Louisville, on est les seuls que les triporteurs qui font un petit peu... qui font pas leur stop. C'est drôle, ailleurs, dans toutes les villes, apparemment, tout va très, très, très bien. [03:41:33] Speaker E: Il y a-tu des affaires qui vous tombent sur les nerfs, là, que vous aimeriez régler dans ce dernier mandat-là? Peut-être que c'est votre dernier mandat, on verra. Mais il y a-tu des affaires qui vous tombent sur les nerfs? [03:41:43] Speaker C: C'est un gars assez nerveux quand même. Je veux dire, le centre moteur, il faut le bâtir. Ça fait quatre ans qu'on en parle. C'est sûr, M. Morin, on attend aussi des subventions. On quête tout le temps dans toute la ville. Les villes, on quête tout le temps. Le gouvernement provincial, fédéral, on quête. C'est ici qu'il est plus dur. On le sait que le provincial, c'est ici. Monétairement, c'est pas facile. Donc, ça nous prend de l'argent pour le bâtir. Le centre coûte à peu près 7,5 millions avec bibliothèque intégrée. On parle de 7 millions, là. Donc, on fait un emprunt de 2 millions. Puis après ça, ça prend 4 millions de subventions. Si on n'a pas de subventions, le. [03:42:16] Speaker A: Centre ne se fait pas. [03:42:17] Speaker C: Je l'ai dit. Moi, je ne promets rien à personne. S'il n'y a pas de subventions, malheureusement, le centre ne peut pas se faire. À même chaud que le bouleau de ronde, le provincial et le fédéral ont donné les montants d'argent. Mais si on n'avait pas eu ça, T'sais, on quête toujours. Ça coûte tellement cher, de plus en plus cher maintenant. On veut faire une rue, à peine une rue creusée, d'aller jusqu'au fond. Ça coûte des millions. [03:42:38] Speaker E: Il y a quelqu'un qui vous admire ici, qui nous écrit «Merci pour le parcours des becs sucrés de samedi...» OK, peut-être qu'ils sont... Mais il dit «Félicitations, c'est notre meilleure mère!» Ça, je pense que c'était à moi aussi. [03:42:49] Speaker C: Ça, c'est pas toi? C'était le parcours des becs sucrés? Ben voyons donc, comment ça qu'on n'a. [03:43:06] Speaker E: Pas été invités nous autres? [03:43:07] Speaker C: Dan et moi, pédome. [03:43:11] Speaker D: Ben vous nous avez invités à Galette, en Italie? [03:43:17] Speaker C: On va vous inviter. [03:43:20] Speaker E: C'est très bon. Hé, bravo Yvon, encore une fois. C'est un nouveau mandat. Là, pour la suite, toi, t'es assermenté, Yvon, mais tu te fais-tu réassermenter, comment ça marche, là? T'es déjà en fonction. [03:43:31] Speaker C: Ah bien, je suis en fonction, mais on est obligé, monsieur, oui, de commencer encore, comment peut-on dire, légalement... [03:43:36] Speaker E: C'est la main droite sur la Bible? [03:43:38] Speaker C: Non, il n'y a pas de Bible. La main qui fait en bas de Danzer. Je le sais plus, monsieur Morin. [03:43:42] Speaker E: La main Danzer? Moi, Yvon... [03:43:43] Speaker C: La main Danzer, puis les pattes en l'air, puis en tout cas, je le sais plus. [03:43:46] Speaker E: Mais bon. C'est très bon. Lâche pas, Yvon, t'es le meilleur. Merci encore, Yvon. [03:43:50] Speaker C: Merci à vous. [03:43:51] Speaker E: Bye-bye, M. Kersh. Salut, bye. [03:43:52] Speaker C: Bonne émission. [03:43:54] Speaker E: Salut, bye. Yvon Desaix, c'est l'unique, c'est le meilleur, c'est le maire de Louisville. 9h44. Faites un beau tour. [03:44:01] Speaker D: Ah oui, faites le tour. Ça, c'est à Mauricie. Dans le régime de Québec, il y. [03:44:07] Speaker E: A quand même des affaires qui peuvent être interprétées. [03:44:11] Speaker D: Tu sais qu'à Montréal, c'est une candidate de droite qui vient remplacer une autre mairesse de droite. [03:44:20] Speaker E: C'est le Média à gauche. [03:44:24] Speaker D: Qui dit que maintenant, c'est une droite décomplexité qui remplace une droite qui faisait ça un peu... Quand tu dis que Valérie Plante, t'es à droite. Parce que t'es pas là. À Saint-Augustin, juste à côté, c'est le maire Junot. Le maire Junot est passé, il est rapide, c'est assez simple. Tiens, toi, c'est fini. C'est la même chose pour Ansel Norette. C'est le maire sortant qui continue d'être là, Gaétan Pageau. Dans Beauce! [03:44:49] Speaker E: Salut, Gaët! [03:44:49] Speaker D: Hé, Gaët! Ça va être quatre belles années, Gaët. Et d'Arbeau, c'est deux madames qui ont été élues. Manon Bougie, dans le coin de Saint-Georges, qui a été élue elle aussi avec 81 %, ça a rentré comme une tonne de briques. Et à Sainte-Marie, c'est Luce Lacroix qui a été élue. Pour ceux qui se posent la question à savoir si l'armée de Marie est passée au pouvoir ou l'armée de Germain. L'armée de Marie n'est pas passée au pouvoir. Je vais entendre la présentation de celle qui se présentait comme mairesse à Radio-Canada hier soir. [03:45:16] Speaker B: Joanne Plourde-Têtu, elle tente d'être élue à la mairie de l'Aquette-Chemin. Elle est membre de l'armée de Marie. C'est un groupe religieux. Il y a trois autres conseillers qui tentent de se faire élire au sein de son parti, qui sont également membres de l'armée de Marie. [03:45:30] Speaker E: Moi, j'essaie. [03:45:32] Speaker D: Ça ne s'invente pas. [03:45:33] Speaker E: C'est spécial. [03:45:36] Speaker D: Ça, c'est dans le cas de l'Aquette-Chemin, mais ils ne sont pas passés. [03:45:39] Speaker E: C'est gros l'armée de Marie. T'as-tu vu les couvents pis tout ça? Ils ont du terrain, c'est gros, c'est huge, l'armée de Marie. C'est comme ça, ça existe. [03:45:50] Speaker D: Je savais pas. Je savais pas. On va aller visiter ça. [03:45:54] Speaker E: Est-ce qu'il y a une légionnaire? La légionnairette, l'armée de Marie. [03:45:59] Speaker D: Oui, c'est ça. Il l'appelle Marie, honnête. [03:46:01] Speaker E: C'est un peu spécial. OK, parfait. 9h46, est-ce qu'on fait la pause? [03:46:06] Speaker D: On va faire la pause et on revient tout de suite après. [03:46:08] Speaker E: Parfait, on revient dans Moray Live. [03:46:12] Speaker B: Je bouge pour être bien dans mon corps et dans ma tête. Pour conserver mon autonomie. Pour rester chez moi longtemps. Et pour continuer à jouer avec mes petits-enfants. Et bouger à mon âge, ça peut être simple. Je sors marcher dehors, je choisis parfois l'escalier plutôt que l'ascenseur ou je fais une activité qui me plaît, comme le vélo, la danse ou le tai-chi. Je l'intègre à mon quotidien, pour moi et pour ceux que j'aime. Bouger plus, vieillir mieux. Un message du gouvernement du Québec. [03:46:49] Speaker A: Drolette-Ressort, c'est votre centre de mécanique de véhicules lourds à Québec. Avec 30 mécaniciens et 18 heures d'ouverture par jour, on vous assure des délais de réparation imbattables. Maître-aligneur et mandataire SAAQ en vérification mécanique de véhicules lourds. [03:47:05] Speaker B: Dans la vie, il y a deux sortes de monde. Ceux qui connaissent et aiment Décathlon et ceux qui n'ont pas encore découvert notre marque. Avec une vaste sélection de produits pour plus de 60 sports, on a tout ce qu'il vous faut pour profiter de chaque instant dehors cet hiver. Trouvez innovation et qualité à des prix abordables, le tout sous un même toit. Venez visiter le magasin Décathlon de Sainte-Foy ou du Peps de l'Université Laval. Prêt à jouer cet hiver? [03:47:35] Speaker A: Le Carbo Show présenté par 888casino.net. Plongez dans 888casino.net. 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[03:49:41] Speaker B: Participons à des activités qui nous rassemblent partout au Québec pendant cette Semaine québécoise des rencontres interculturelles. [03:49:47] Speaker E: Consultez les calendriers pour les activités dans votre région sur québec.ca baroblic rencontres interculturelles. [03:49:55] Speaker B: Un message du gouvernement du Québec. [03:49:58] Speaker A: Capsule. [03:49:59] Speaker B: Radio X. [03:50:01] Speaker A: Chez Patisserie Michaud, les campagnes de financement ont pris un virage techno. Chacun a sa boutique en ligne pour vendre des gâteaux décadents. Demandez à l'école ou au club de vos enfants de s'inscrire sur patisseriemichaud.com. Depuis plusieurs années, la lunetterie Beland et Marie-France Proulx opticienne vous offre toujours le meilleur prix avec forfait verre et monture Simple Vision à 99 $ et Progressif à 249 $. C'est juste incroyable. La lunetterie Bella, service qualité bas prix. Slogar, jury conseil, un accident de travail s'est vite arrivé. 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[03:51:32] Speaker A: Vous savez, au début de septembre, le maire Marchand et sa malade étaient à égalité ou quasiment. Et là, ça s'est mis à débouler. Samah Mad a fait une campagne catastrophique des erreurs, pardonnez-moi, mais d'amateurs d'organisation. Et le maire s'est bien comporté. Et tout ça pour dire qu'aujourd'hui, où on en est, au dernier sondage, le maire avait 20 % d'avance et le deuxième n'est plus Samah Mad. Le deuxième est un gars qui vient de Lévis, qui habite Lévis, temporairement à Québec, évidemment, et qui arrive de nulle part, évidemment, appuyé par une radio. Alors, c'était une campagne, Olivier Diroc-Cambolesque, à la limite gênante. Ah, c'est une victoire éclatante et j'espère qu'on va cesser d'être contre très moins. Ça va faire bientôt 20 ans. Il faut y aller, c'est le temps. C'était une... 50 % de la population a voté pour Bruno Marchand. 50 % du monde avait le choix de dire oui ou non, très moins. Ils ont dit oui, tout simplement. Alors là, j'espère qu'on va arrêter d'en parler un jour. Et quand on parle des jeunes, les jeunes veulent un très moins. [03:52:38] Speaker I: Voilà. [03:52:39] Speaker A: Vous connaissez la dynamique de Québec. [03:52:41] Speaker E: Il a pas mal la main mise sur tout. [03:52:44] Speaker A: C'est-à-dire qu'au limite, la Ville, c'est là où il y a le moins de votes. Plus ça se concentre vers le milieu, c'est là qu'il va chercher beaucoup de votes. Alors, il y a quand même une opposition à... il y a 50 % qui sont pas d'accord avec lui, mais ce qui est important, c'est l'autre 50 %. Puis on a parlé beaucoup de tramway. Il avait des opposants. Ses deux principaux opposants étaient contre le tramway. C'est terminé. C'est terminé. [03:53:08] Speaker D: Il s'en est dit beaucoup des choses hier durant cette soirée électorale. Je vous rappelle que Bruno Marchand a gagné. Il vous le promet, ce sera le maire de tout le monde. La ville n'est surtout pas séparée en deux. [03:53:19] Speaker A: Partant que certains vont vouloir nous diviser. [03:53:22] Speaker E: Il faut se rappeler qu'il n'y a. [03:53:23] Speaker A: Pas à Québec une banlieue et à l'opposé un centre-ville séparé par une tranchée. Il y a une seule ville, pluriel. [03:53:31] Speaker D: Également, c'est la fin pour plusieurs personnalités. Entre autres, Stéphane Melançon qui avait ceci à vous raconter hier après l'élection. [03:53:39] Speaker E: Moi, j'ai toujours dit que la politique. [03:53:42] Speaker G: Il faut que tu acceptes la politique. [03:53:43] Speaker C: Que tu acceptes le verdict. [03:53:45] Speaker E: Le verdict est tombé. [03:53:46] Speaker C: Moi, j'ai passé huit belles années. Là, c'est terminé. Ma carrière politique est terminée. [03:53:51] Speaker E: Donc, je respecte la décision des citoyens. [03:53:53] Speaker G: Ça a été démocratique. [03:53:54] Speaker C: Alors c'est comme ça. [03:53:56] Speaker F: Alors le peuple a parlé. [03:53:57] Speaker D: Parlons de ceux qui font leur entrée maintenant du côté de l'Hôtel-de-Ville. Stéphane Lachance sera chef de l'opposition. Voici ce qu'il avait à dire hier immédiatement quand on a su les résultats. [03:54:09] Speaker G: Oui, absolument. Je pense que le message quand même était là. Pour nous, le terrain était bon aussi lorsqu'on se déplaçait. Puis effectivement, la majorité des districts ont fini deuxième. Donc c'était tout à l'honneur aussi des candidats qu'on avait dans notre équipe. et j'en suis très fier. [03:54:25] Speaker B: Je termine là-dessus rapidement. Allez-vous toujours militer contre le tramway? [03:54:28] Speaker G: Je ne changerai pas d'idée. Le tramway est un mauvais projet. [03:54:31] Speaker B: Merci, M. Lachance. [03:54:32] Speaker G: Merci. [03:54:33] Speaker B: Félicitations. [03:54:34] Speaker D: Donc voilà, il va continuer à militer contre le tramway et c'est également la fin de la carrière politique de Sam Hammad. Sam Hammad aussi avait des choses à dire. [03:54:41] Speaker A: Chaque jour, chaque matin, nous les avons faits ensemble. [03:54:46] Speaker E: C'est dans l'adversité que les relations humaines prennent tout leur sens. Nous sommes partis de loin. sans parti, sans programme, sans engagement et sans financement. Le chemin parcouru est immense. Je suis fier de mes candidats qui. [03:55:04] Speaker D: Sont... Donc voilà, en gros, ça ressemble pas mal à ça. L'élection municipale est maintenant terminée. On a un nouveau maire pour les quatre prochaines années. On est aussi bien de s'y habituer. [03:55:14] Speaker E: Et j'ai la responsabilité, et nous aurons la responsabilité de faire mieux. Nelson Mandela et Desmond Tutu nous ont fait connaître le concept de Ubuntu. [03:55:22] Speaker A: Je suis parce que nous sommes. Les manchettes sportives, présentées par BPM Sport. BPM Sport, la radio des sports au Québec. Hey, c'est Jordan. Quel week-end de sport! Malheureusement, on connaît le dénouement avec les Blue Jays, mais on a eu droit à l'une des meilleures séries mondiales ever. Que s'était relevé? On reprend ça l'année prochaine. Let's go, Jays! Dans le football universitaire, premier test réussi pour le Rouge et Or. Ça n'a pas bien débuté contre les Stingers, mais heureusement, on s'est bien repris. Un gros push de 32 points et une victoire de 47-25 contre McGill. Good job! L'Université de Montréal, de son côté, a sacré une volée de 51-2 contre Concordia. On aura donc un affrontement en finale provinciale pas trop surprenant entre les Carabines rouges et ors. Ça aura lieu samedi prochain, ici même au Stade Ténus Université Laval. Dans la Ligue canadienne de football, il y a aussi les Alouettes qui ont remporté ce week-end. L'attaque des oiseaux a fait la job et a fini par faire des gaffes. Les Blue Bombers ont leur tenté le tout pour le tout, mais la défense a fait la job. Résultat, victoire de 42-33 de Montréal sur Willie Pegg. Direction finale de l'Est, samedi prochain contre les Tiger Cats à Hamilton. Et dans l'NFL, Monday Night Football, les Cardinals seront à Dallas, un affrontement contre les Cowboys. L'Arizona tentera de stopper sa séquence de cinq défaites de suite. Et boy, manquez pas ça des 20h15. [03:57:00] Speaker D: Pour plus de sport, ici BPM Sport. [03:57:04] Speaker A: 100.9. Présenté par Canabec. Les 6-7 novembre, c'est la grande vente d'entrepôts Canabec. [03:57:10] Speaker E: Rabais imbattable. [03:57:12] Speaker A: Cuisse de canard confite, médaillon de cerf, magret de canard, tomahawk de bison. Canabec. 115 des Grands Lacs à Saint-Augustin. Janpro, c'est votre partenaire de confiance en entretien ménager commercial. Que ce soit pour votre entreprise, une clinique, une garderie, un bureau et bien plus, comptez sur Janpro. Que vos besoins ménage soient petits ou gros, le nom à retenir, c'est Janpro. [03:57:32] Speaker E: J-A-N près d'union, P-R-O. [03:57:33] Speaker A: En 10 secondes, on va vous dire pourquoi votre entreprise devrait faire ses courses chez Club Entrepôt. La livraison est gratuite pour tout achat de plus de 1000 $. Pas de frais d'adhésion, même prix en ligne qu'en magasin. Livraison dans certaines régions, détail en magasin ou sur clubentrepot.ca. [03:57:49] Speaker B: Bonjour, ici Jessica de Lebeau Vitreux d'Auto. Besoin de remplacer votre pare-brise? Avec nous, rien de plus facile. Rendez-vous sur lebeau.ca, obtenez une soumission en quelques clics et prenez rendez-vous à l'endroit. [03:58:01] Speaker E: Et au moment qui vous convient le. [03:58:03] Speaker I: Mieux pour faire remplacer votre pare-brise par nos experts. [03:58:06] Speaker B: En plus, notre travail est garanti à vie. Ça, ça facilite la vie. Prenez vite rendez-vous sur lebeau.ca. Détail et conditions sur lebeau.ca. [03:58:15] Speaker A: Le four est prêt. [03:58:17] Speaker B: Le four en place. [03:58:18] Speaker A: T'sais, ça fait des années qu'on parle du troisième lien. [03:58:21] Speaker B: Pis, penses-tu qu'on va le voir un jour? [03:58:23] Speaker A: D'après moi, on risque de l'attendre encore longtemps. SG Énergie, eux, ils font pas attendre. SG Énergie. Du service, pas des promesses. Plus de 50 ans à livrer mazout, carburant, lubrifiant et plus. 7 jours, 24 heures sur 24, pis toujours facile à joindre. 660-8888. 660-8888. En ce moment, épargner jusqu'à 15 % avec le code SG981. Certaines conditions s'appliquent. Le salon de la motoneige et du quad de Québec, présenté par Beneva, c'est pour tout le monde, autant les débutants que les passionnés. [03:58:55] Speaker I: Ah oui? [03:58:56] Speaker A: Oui, parce que sur place, il y a des centaines de motoneiges et quads neufs et d'occasion. Cool! [03:59:01] Speaker I: Puis est-ce que je vais pouvoir magasiner? [03:59:02] Speaker A: Oh que oui! Des vêtements, des accessoires et même des séjours avec randonnée. Et comme c'est le seul salon de l'industrie au Québec... Ah ben là, c'est. [03:59:10] Speaker B: Sûr qu'on y va! [03:59:11] Speaker A: De vendredi à dimanche au Centre de foire d'Exposité, place au Salon de la Motoneige et du Quai de Québec, présenté par Beneva. [03:59:19] Speaker B: Si tu veux faire partie d'une équipe jeune, dévouée et motivée, Peinture Chénard recrute! On cherche des compagnons et apprentis prêts à travailler sur des projets variés. Peinture, plâtre, époxy, tapisserie et plus encore! Joins-toi à l'équipe de Peinture Chénard et bénéficie de primes au sens des normes de la Convention, d'une ambiance de travail professionnelle et dynamique et des opportunités de travailler partout au Québec. Envoie ton CV à infoacommercialpeinturechénard.ca pour faire partie de l'aventure! [03:59:46] Speaker A: Good morning! Québec. [03:59:49] Speaker B: Avec Doume Dumas. Lundi au vendredi.