Maurais Live - Intégral du 04-11-2025

November 04, 2025 03:59:56
Maurais Live - Intégral du 04-11-2025
Maurais Live
Maurais Live - Intégral du 04-11-2025

Nov 04 2025 | 03:59:56

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Show Notes

Maurais Live - Intégral du 04-11-2025
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[00:00:00] Speaker A: De l'aéroport. [00:00:25] Speaker B: J'adore, j'adore, j'adore, je vous adore. Je me sens bien ce matin. Je me sens libéré. D'autant plus qu'on est sur la même longueur d'onde, Dan et moi, puis sûrement que le Légionnaire le sera aussi. Est-ce qu'il y a des imprimantes? La réponse est oui. On peut produire. On tombe en mode production. On imprime. C'est la planche à billets, comme disait Bercoff, et comme le dit toujours Bercoff. Et voilà. dans AmoreLive. On est désormais... dans le quoi qu'il en coûte. Allez voir le vidéo, c'est réglé, c'est réglo. Moi, j'ai... je suis dans le positif. Et on y va, on l'a demandé. Regarde ce qu'on demande, on l'a, on l'aura, on le doit, ils nous le doivent. Donc les gens le demandent, tout simplement. Bienvenue dans AmoreLive. Belle journée aujourd'hui, on est le scat. Scat, scat, scat. Novembre. Au matin, On est en 2025! [00:01:25] Speaker C: Oui! [00:01:26] Speaker B: Salut, Dan! [00:01:28] Speaker C: Salut! [00:01:28] Speaker B: On se sent bien! [00:01:30] Speaker C: Oui, mais... [00:01:31] Speaker B: On se sent libéré! [00:01:32] Speaker C: C'est un mode dans lequel j'ai... Hier, j'ai abandonné, moi. Je sais pas ce que t'as fait hier, là. Moi, j'ai écouté la série Friday Night Lights. [00:01:43] Speaker D: Ah oui? [00:01:44] Speaker C: Une série pour ados. [00:01:45] Speaker B: OK. [00:01:46] Speaker C: Qui est vraiment pour ados, là. J'ai décidé que ça me prenait une journée de... Ben d'abord, je pouvais pas écouter la citation parce que j'avais déjà écouté le show qu'on avait fait le matin. [00:01:59] Speaker B: Bon oui, mais c'est ça, ils ont les opinions, ils se trouvent bien chaque... [00:02:04] Speaker C: Non, non, c'est pas ça le point. [00:02:05] Speaker B: Chaque show a ses opinions. C'est sûr, la diversité, mais... [00:02:08] Speaker C: C'était un gag sur les titres des extraits de Stéphane Lachance. [00:02:11] Speaker E: Ah! [00:02:11] Speaker B: Seigneur, ouais. [00:02:12] Speaker C: C'était juste ça. C'était juste ça. [00:02:14] Speaker B: Chien de garde, chien de garde, chien de garde. [00:02:16] Speaker C: C'est ça, ouais. C'est comme si... [00:02:17] Speaker B: On l'avait écrit le matin. [00:02:18] Speaker C: C'est comme si le gars au titre était syndiqué à Radio-X. [00:02:22] Speaker B: Le gros titre, plus tard en journée, regarde pas les titres qui ont été faits la matinée. [00:02:26] Speaker C: C'est ça que tu dis? Mais moi, j'en viens avec la conclusion que je suis comme toi, quoi qu'il en coûte, les gens de Québec ont demandé un tramway, les gens de Québec ont demandé un troisième lien. Moi, je pense que les deux projets, on doit y aller de front maintenant. [00:02:38] Speaker A: Go! [00:02:38] Speaker C: Bang! Les deux, on les fait les deux. [00:02:40] Speaker B: Creusez, démolissez, faites exploser. [00:02:44] Speaker C: C'est tout. [00:02:45] Speaker B: Et vous l'avez demandé, vous allez l'avoir. Vous l'avez demandé, vous allez l'avoir. J'adore. Et quoi qu'il en coûte, effectivement, aujourd'hui, budget fédéral, on va suivre ça. De près, il y a des trucs par solaire qui sont publiés à gauche et à droite, dont la une du Globe and Mail. Mais moi, j'aurais pas fait une une avec ça, honnêtement. C'est parce qu'ils lancent un montant naissaire sur les investissements. Enveloppe de 50 milliards pour les infrastructures. Ça, ça comprendrait peut-être le troisième lien et le tramway. Sauf que quand tu lis, L'article, la suite étant en page 4. Ils t'amènent toujours ailleurs ce genre de teaser qu'ils font. Là, tu lis, tu lis, tu lis, puis tu te rends compte que notre source n'a pas pu établir sur combien d'années. C'est de la merde. Dan, tu recevras en cadeau un voyage. Je peux pas te dire qui va te le donner et en quelle année. C'est un peu n'importe quoi. Donc, on verra bien. Une chose est sûre, c'est que ce sera un budget qui sera tripoté, c'est-à-dire qu'ils vont mettre deux colonnes, une colonne pour payer les salaires et les dépenses courantes. Et l'autre colonne, pouf! Ce ne sont pas des dépenses, ce sont des investissements en toutes sortes de trucs. Toutes sortes de trucs. Infrastructure, c'est gros comme terme. C'est une rénovation d'aéroports, d'autoroutes, de ponts, de coins. On donne ça aux provinces, on donne ça aux villes. C'est pas clair. [00:04:22] Speaker C: Ça va être taponné par un banquier. [00:04:24] Speaker B: Oui. [00:04:25] Speaker C: Vous avez voulu un banquier. On a un banquier. [00:04:28] Speaker B: Moi je suis très à l'aise avec ça. [00:04:29] Speaker C: Il taponne. [00:04:29] Speaker B: Vous l'avez. Vous l'avez demandé. Je suis beaucoup dans vous l'avez demandé, vous l'avez. Moi aussi. Je suis très très à l'aise là-dedans. Et je dirais que je suis en recul sur mes cancers. Tu sais, mettons que je me magasinais des cancers à ronger mon frein et tout, je suis en être culte ce matin. Ça va bien. Je regarde mon estomac, les intestins, tout ça, c'est en pleine symbiose. Ça va très bien. Mes organes... [00:04:55] Speaker C: Je te suis, moi je te suis. [00:04:57] Speaker B: Mes organes sont tous synchronisés ce matin. [00:05:00] Speaker D: Moins de brûlement d'estomac. [00:05:01] Speaker B: Non, c'est fini. [00:05:02] Speaker C: Puis pour le bien de la démocratie, écoute, à Québec, ils ont voté cinq fois pour le tramway. Ce serait scandale qu'ils le fassent pas. [00:05:09] Speaker B: Je me suis répété ça pour vraiment venir travailler ce matin. Je me suis dit «Christine, Dan a raison». Je suis en pleine symbiose. Moi je regarde. Vous l'avez, vous l'avez, vous l'aurez, vous l'avez demandé. Vive la démocratie. Et ce sont les mardis Celebrini. Dorénavant, à tous les mardis, je porte mon chandail de Celebrini. Pas juste celui-là. [00:05:27] Speaker D: Un différent chaque semaine. [00:05:29] Speaker B: Oui. Je vais en avoir un autre. C'est pour une prochaine. Quoi qu'il en coûte! [00:05:34] Speaker C: Quoi qu'il en coûte! [00:05:35] Speaker B: Quoi qu'il en coûte, je l'applique à moi-même aussi! [00:05:38] Speaker C: Ce gilet-là me fait penser aux anciennes annonces de Sprite. [00:05:42] Speaker B: Il est vert beaucoup, hein? [00:05:42] Speaker C: Il est vert libre et jaune citron. [00:05:46] Speaker B: Je ressemble à une canette de Sprite. [00:05:48] Speaker C: Absolument. [00:05:49] Speaker B: Peut-être que je suis pétillant ce matin. [00:05:51] Speaker C: Tu es assurément pétillant. C'est clairement pas un Sprite Zéro. [00:05:56] Speaker D: C'est les couleurs des North Stars, pratiquement. [00:05:59] Speaker B: C'est les couleurs de l'équipe qui est affichée toutefois. C'est les Seals. [00:06:02] Speaker D: C'était une vraie équipe. [00:06:03] Speaker F: Oui, oui, oui. [00:06:03] Speaker C: Mais les Seals, ils ont peut-être déménagé au milieu de ça. [00:06:05] Speaker D: Oui, c'est eux autres qui sont devenus... [00:06:07] Speaker B: Les Seals, c'est une défunte franchise. Les Golden Seals. Je pense que c'est comme des petits poulets. Mais je pense qu'ils ont déménagé à Cleveland, les barons de Cleveland. Je pense, de mémoire. Les barons de Cleveland qui étaient très poches. [00:06:22] Speaker D: Ils sont devenus les barons de Cleveland. D'après ça, ils sont juste morts. [00:06:26] Speaker B: C'est ça. Ils ont été dissous. Les Barons, c'est ça? [00:06:30] Speaker D: C'est rare. [00:06:30] Speaker B: C'est un très petit bon nom. [00:06:31] Speaker D: Oui, ça n'a pas vécu longtemps, par exemple, juste deux ans. [00:06:34] Speaker B: Les Barons. J'ai le goût qu'on s'appelle les Barones à Montréal. Je ne sais pas, les Barons du tramway. Je ne sais pas. [00:06:43] Speaker D: Prochaine équipe qu'on a à Québec, c'est les Barons. [00:06:47] Speaker B: J'aimerais ça. [00:06:48] Speaker D: Puis si c'est une équipe féminine, les Barones. [00:06:49] Speaker B: Oui. Ça, les barons, on laissera ça au maire de Louisville. Mais nous autres, ça sera les barons et tous les joueurs vont conduire des Chrysler le baron. Donc, c'est réglé. J'ai signé des entêtes avec la maison Chrysler. Ah, c'est fermé! Ah ben quoi, les filoudas. [00:07:05] Speaker C: Ça va pogner. [00:07:06] Speaker B: Ça va pogner. Salut, Dom! Yes! T'embarques-tu dans notre vibe? C'est quoi qu'il en coûte? [00:07:12] Speaker D: Ils l'ont demandé? Ils l'ont demandé? [00:07:15] Speaker B: Vous l'avez demandé, vous allez l'avoir. [00:07:17] Speaker D: Aujourd'hui, ça va être beaucoup, quoi qu'il en coûte. [00:07:19] Speaker B: Il le faut. Il faut que le fédéral se commette aujourd'hui. Ils l'ont dit? [00:07:25] Speaker E: Oui. [00:07:26] Speaker D: Ça prend 100 milliards. [00:07:28] Speaker B: 100 %. Ça prend 100 milliards. [00:07:30] Speaker D: Dans les infrastructures, je pense. [00:07:32] Speaker B: Oui. C'est passé. Ce que le Globe dit, 50 milliards. C'est un article un peu whack. On sait pas sur combien d'années. [00:07:38] Speaker D: OK. [00:07:39] Speaker B: Détail. Détail. L'autre histoire... Arrête de t'en faire. Ben oui, c'est vrai. [00:07:45] Speaker D: Ça fait combien d'années? Voyons, c'est pas grave. [00:07:47] Speaker B: Mais l'histoire, par contre, ils sont vraiment en panique. C'est l'histoire de la presse. [00:07:55] Speaker D: On laissera ça à nos enfants de ramasser le tas. [00:07:57] Speaker B: La presse, ce matin, nous dit qu'ils vont donner 5 milliards pour les hôpitaux. Ils sont vraiment en mode... On arrive l'élection, mais on s'en va en élection. Ils préparent leur prochaine élection. Hein, mais attends, Suzanne, on a donné de l'argent pour les hôpitaux. T'es-tu contente? C'est très racoleur. [00:08:16] Speaker D: C'est des investissements. [00:08:18] Speaker B: 5 milliards pour construire des hôpitaux. Mais c'est sur plusieurs années pour la grandeur du pays. C'est de la marbre, là. C'est pas vrai. Je veux dire, ça va coûter au-dessus d'un milliard, ça, l'enfant Jésus, ici. Un hôpital. [00:08:28] Speaker D: Bien au-dessus. [00:08:29] Speaker B: Un hôpital. Et bien au-dessus. Un hôpital. Là, c'est 5. L'ensemble du pays. Il n'a-tu des malades à Toronto? Il n'a-tu des malades à Vancouver? Il n'a-tu des malades à Montréal avec Maisonneuve-Rosemont qui devra être démoli? Mais là, on est allé au parking. [00:08:46] Speaker D: Aux dernières nouvelles, c'est 2,7 milliards, l'enfant Jésus. [00:08:50] Speaker B: Bon, voilà. Alors, on va suivre ça de près. Vous le savez désormais, si vous avez fréquenté le Facebook de Montréal Live, qu'il y aura Pierre Poilièvre, Pepper Style, qui sera ici jeudi, 8h45. [00:09:04] Speaker D: Et là, tu vas lui dire quoi qu'il en coûte? [00:09:06] Speaker B: Non, je vais lui poser des questions beaucoup sur Doug Ford aussi, sur les conservateurs. Organisez-vous pour Gagnant prochain. [00:09:13] Speaker C: Oui, ce serait le fun. [00:09:14] Speaker B: C'est peut-être ça les questions. Organisez-vous pour mettre une équipe front page aussi? La dernière campagne et les photos, on les regarde, on dirait que c'est un album de mariage. J'adore Anna, je l'adore. Sauf qu'on aurait aimé ça savoir qui s'en va aux affaires étrangères, qui s'en va aux finances, qui s'en va à l'industrie, c'est qui le conseil du trésor, doctor no, c'est qui, c'est qui, c'est qui. Pas d'équipe. Donc, on a fait ces critiques-là. Et on va lui répéter ce matin pour voir s'il a changé. Parce que la même recette de gâteau qu'il lève pas, bien, ça serait un autre gâteau qu'il lève pas. Donc, nécessairement qu'ils devront changer un peu la recette. À moins que vous vouliez vraiment la même recette, parce que ça va être le même résultat. Même recette, même résultat. Pas très compliqué. [00:10:03] Speaker D: Parce qu'il faut y donner, Carney est habile. Si tu lis aujourd'hui sur le budget, il y en a certains qui vont dire que c'est de l'austérité, puis d'autres vont dire que c'est un déficit de malade, ça n'a pas de sens. [00:10:12] Speaker B: C'est un ensorceleur. [00:10:13] Speaker C: C'est tout et rien. [00:10:14] Speaker B: C'est incroyable. [00:10:15] Speaker C: Je comprends les gars, mais le plus grand problème, c'est la grosse majorité des gens qui vont rien dire. C'est ça le plus gros... Ouais, le. [00:10:23] Speaker B: NPD qui va rester à la maison. C'est grâce à ça que ça va passer. [00:10:27] Speaker C: Puis pour un paquet de monde, le budget, tout ce que ça va faire, c'est... Ça va prendre de la place dans les nouvelles, moi. Je voulais regarder la météo, là. Ils prennent trop de place avec le budget. [00:10:36] Speaker B: Ouais, exact. Exact. [00:10:37] Speaker D: Mais je comprends ces gens-là, tu sais, qui... qui commenceront pas à fouiller tout le budget au grand complet. S'il y en a qui disent que c'est un grand budget d'austérité, puis d'autres disent que c'est un déficit de malade, ils vont faire... « Oh là, je fais qui, je crois, regarde la marde. [00:10:51] Speaker B: » Les 16K vont beaucoup crier. Moi, j'aime pas ça. Ils ont déjà commencé à crier. On coupe des services, toujours la même maudite chanson. Ça a été une explosion d'embauche sous Trudeau. Exagérée. Donc, il essaie de back-pédaler, croyez-le. Mais eux autres sont... C'est un gouvernement minoritaire, même si ça l'est, majoritaire. Et ils sont en mode nanane. Mais ils vont tenter de travestir des dépenses en investissement, bord de voie. et la réaction des conservateurs, mais on l'aura suite à ça. Et comme je viens de vous le dire, ça sera ici, en direct, avec Pierre Poilievre, qui vient faire un important discours, paraît-il, jeudi, devant une chambre de commerce quelconque. Là, j'ai pas trop compris le gros meeting, mais il y aura un genre de rassemblement, quelque chose, avec Pierre Poilievre, jeudi, à Québec. Alors voilà. Voilà, voilà, voilà. 6 h 11, Canadiens, ce soir. [00:11:49] Speaker C: Oui. [00:11:50] Speaker D: Oui, je l'aurais pris hier, quasiment. [00:11:52] Speaker B: On l'aurait pris hier. [00:11:53] Speaker D: On avait besoin. [00:11:54] Speaker C: Moi, hier, je me suis couché à 6 heures. Quand Bruno Savard a dit «Hey, salut, comment ça va?» Moi, j'ai dit «Ça. [00:12:01] Speaker B: Va, je file pour aller me coucher.» On était claqués. On était claqués. Moi, j'ai écouté beaucoup de choses. J'ai écouté, entre autres, Bruno Marchand sur d'autres antennes. Parce qu'il va sur plusieurs antennes. En fait, toutes les antennes le reçoivent. Et on a compris pourquoi il venait pas à Radio-Ox. Il l'a dit. parce qu'on fait des montages avec ses déclarations ridicules. Oui, c'est pas un montage, c'est pas de la fabrication. Il a parlé de Desmond Toutou. Oui, il y aura un autre montage ce matin. Et ça lui fait beaucoup de peine aussi, les montages photographiques des extraits de Morin Live. Alors, c'est ça qu'il a dit. Les mimes, ce qu'il appelle des mimes, qui sont des espèces de montages. Comment tu appelles ça, Dom? Tu y mets des paroles... dans la bouche qui sont ses paroles, mais c'est paraphrasé dans des bulles pour en faire des bandes dessinées. [00:12:55] Speaker D: Hier, j'ai mis sa tête sur le corps de Nelson Mandela. [00:12:58] Speaker B: C'est ça, il l'a dit. C'est ça qu'on appelle ça la caricature. [00:13:01] Speaker D: Oui, Bruno Marchand n'est pas noir. J'ose juste le rappeler. [00:13:05] Speaker B: Il n'était pas fait de blackface, évidemment. [00:13:07] Speaker D: Non, c'est ça. Lui, sa face, elle restait blanche, mais le reste du corps, les mains Nelson Mandela... [00:13:13] Speaker E: C'est lui. [00:13:13] Speaker B: Il l'a dit. [00:13:13] Speaker D: C'était sa couleur. [00:13:14] Speaker B: Même combat, il l'a dit. Donc, il veut jouer dans le film, mais il ne veut pas jouer dans le film. Oui. C'est des caricatures. On a compris que c'était quelqu'un de très sensible. Le monde nous regarde. Mais je vous le dis, Tout est réglo ce matin. 100% pur. Morelive. Let's go. On y va. Quoi qu'il en coûte. J'adore. J'adore, j'adore, j'adore. 6h13. Beaucoup de monde de ce matin à l'antenne. Beaucoup de monde. C'est le grand retour de Joey Obé. Oui, j'étais emmaudi après Joey Obé. Parce qu'il est parti un peu en sauvage. Il est parti un peu en sauvage. Mais j'étais excusé. Regardez. J'ai un grand coeur, hein? Puis honnêtement, pour être sérieux, là, deux secondes, c'est un bon kid. C'est un bon kid, puis on s'est vus, puis c'est correct. C'est juste qu'il fait une chronique, puis le lendemain, j'apprends sur Facebook qu'il s'en va candidat au respect citoyen. [00:14:12] Speaker D: Il l'avait pas dit à personne. [00:14:13] Speaker B: Il l'avait pas dit à personne. [00:14:14] Speaker C: Non seulement ça, il nous avait demandé un nouveau thème. [00:14:17] Speaker B: Il nous avait demandé un nouveau thème. [00:14:18] Speaker C: J'ai travaillé tout le thème toute la journée, le lendemain, il est plus là! [00:14:24] Speaker B: L'actrice, c'est ça. C'est un peu, mais regarde, good kid. J'ai-tu déjà fait des erreurs moi-même? [00:14:29] Speaker G: Oui. [00:14:29] Speaker B: J'ai déjà manqué de jugement par moment dans ma carrière? Absolument. Puis regarde, il a manqué de jugement. On tourne la page. [00:14:35] Speaker D: Ça va m'en servir, le thème. [00:14:37] Speaker B: Je peux pas crucifier tous les chroniqueurs qui nous ont dépliés au cours des dernières années. Si je fais ça, on n'aura plus de radio. Donc voilà, Joey, je suis content qu'il revienne. Et je suis quasiment content qu'il ait perdu. Mais en même temps, il a pas assez proche de gagner le tabarouette. Il a eu un bon score! [00:14:53] Speaker D: Oui! Ben, quelques pourcents là. [00:14:55] Speaker B: Ben bravo! Puis Joey va venir aux deux semaines, puis il fait partie de la jeune génération de conservateurs qu'on veut entendre. Il fait partie de la relève de ce mouvement-là, qui est un mouvement d'idées. Pour bien du monde, on est juste des chialeux. Mais ça a l'air de rien, mais on aimerait ça, nous autres aussi, vivre dans un meilleur Québec, dans une meilleure ville. On a des idées. Est-ce que toutes nos idées sont bonnes? La réponse, c'est peut-être non. Mais c'est des idées qu'on a. Et on les exprime. Voilà. Donc, Joey exprime ses idées-là de manière brillante, intelligente, fait partie de la jeune mouture. Il va venir ce matin. Je suis très content. [00:15:35] Speaker C: Puis ce matin, on n'est pas dans les idées. Ce matin, on est dans le constat. La cause de ça, c'est que les gens veulent qu'on dépense 30 milliards dans les infrastructures routiers à Québec. [00:15:43] Speaker B: Ils le veulent. Massif. Des deux bords. [00:15:46] Speaker C: Des deux côtés. [00:15:47] Speaker B: Massivement. Vous avez parlé. Les gouvernements doivent livrer. [00:15:52] Speaker C: Il faut que ça saute. [00:15:54] Speaker B: La dynamite pendant deux ans sous le lieu Québec, moi j'attends ça. [00:15:57] Speaker C: Vous l'avez demandé. Moi, j'espère pouvoir mettre de la pub de Noël sur les wagons du tramway, là. [00:16:03] Speaker B: Y'en a-tu un qui va chialer, vraiment? Si y'a de la boucane? Si y'a du bruit, des vibrations? Vraiment? [00:16:09] Speaker C: Ben non! [00:16:10] Speaker B: Et si ça arrive, Dan? [00:16:12] Speaker C: C'est quoi qui l'encoûte? [00:16:13] Speaker B: On va ressortir le résultat de l'élection? [00:16:15] Speaker C: Exactement, on va vous le dire. [00:16:16] Speaker B: Vous l'avez demandé! [00:16:18] Speaker C: À Québec, les gens ont demandé un tramway, les gens ont demandé un troisième lien depuis plusieurs élections. Et cette gang de pourris, là, ont pas été capables de rien livrer. [00:16:28] Speaker B: Exact! Tataouinage? [00:16:31] Speaker C: C'est ça. [00:16:31] Speaker B: Tataouinage, ça se traîne les pieds. Faut vous dire une affaire, ils vont nous avoir dans le derrière, cette gang-là. [00:16:37] Speaker C: Moi, je me suis rendu... Ça prend des projets. En novembre 2025, là, attendre l'oreille à 5h du matin et entendre le wagon du drambouille. Non, ça arrive pas. [00:16:46] Speaker B: J'adore. [00:16:46] Speaker C: Ça n'arrive pas. J'aimerais ça entendre les hornes de bateau parce qu'ils arrivent en dessous du pont, en dessous du troisième lien, mais non, ça n'arrive pas encore parce qu'ils tataouinent. On va dire ça de même. [00:16:59] Speaker B: Nous sommes bléinés, nous sommes marchands. Nous sommes dans le quoi qu'il en coûte. Très heureux, à l'aise, je suis content, regarde, je vous le dis. [00:17:07] Speaker C: On se sent mieux. [00:17:07] Speaker B: Mon transit intestinal est réglé, tout est synchronisé. Mes organes sont comme une symphonie. Les reins répondent aux poumons. [00:17:16] Speaker C: Les sels coulent. [00:17:17] Speaker B: Les poumons... Oui, mais ça, c'est à la fin de mon histoire. [00:17:19] Speaker D: Oui. [00:17:20] Speaker B: C'est l'aboutissement de... Il faut que j'ingère. [00:17:23] Speaker D: Entre les deux, il y a peut-être de la musique un peu. [00:17:25] Speaker B: Je croque la tomate. La tomate descend. Elle est bien déglutinée. Et les enzymes s'en mêlent. Yam, yam, yam, yam. Et la digestion se fait dans l'estomac. Ça commence le processus. Et le gros intestin, là, ça descend, bien sûr, parce que toute la nourriture est désintégrée dans ce qu'on appelle le duodenum. En tout cas, c'est ce qu'on nous disait à la petite école. Je sais pas si c'est encore valide, tout ça. Et ça s'en va dans un genre de petit labyrinthe qu'on appelle le petit intestin grêle. Et ça descend, ça descend... jusqu'au rectum. Et voilà. Et tout est réglo. Ils se sont parlé, mes organes. Les reins appellent les poumons, les poumons appellent le coeur. Es-tu prêt? J'arrive. Et c'est une belle symphonie. Moi, je suis très à l'aise avec ça, mon frère. Ça va très bien. Je suis même un peu rajeuni, je dois dire. Ce matin, quand je me suis vu, j'ai comme eu une image de... de moi à 22 ans. Ouais, c'est peut-être pas une bonne image, finalement. Je faisais encore de l'acné. C'est moi à 35 ans. Ah non, j'étais fucking overweight. Je ressemblais au pirate Maboule. Bon, finalement, je vais reprendre ma face, mais dans un corps tout à fait réjoui. Un corps pleinement synchro. Êtes-vous synchro, les livers? 88-670-9098? [00:18:43] Speaker D: Est-ce qu'il y a des wagons de tramway aux couleurs de Radio X? [00:18:47] Speaker C: Certainement qu'on va mettre de la pub dessus, oui. [00:18:49] Speaker B: Oui, ils vont l'avoir, c'est sûr, c'est sûr. Le Montréal Live Express. Ça va rouler, ça va rouler, anti-péché. 18 km heure, il n'y aura jamais eu un 18 km heure aussi vite que ça. Vous allez en être dépeignés. [00:19:01] Speaker C: Bon, à l'Ave Express, l'avantage c'est qu'il n'arrête pas lui. Il faut sauter 18 km heure, on est capable. [00:19:06] Speaker B: On est capable. Gary va nous dépasser à bicycle à pédales à côté, mais il fera des bobailles. Parce que, tout sera réglo. On aura le sourire! On aura le sourire! [00:19:19] Speaker C: Comment veux-tu qu'on ait pas ça? [00:19:20] Speaker D: On va avoir la santé! [00:19:21] Speaker C: La santé! On va avoir écouter le monde! Un pont! Un tramway! Putain, Barnouche! [00:19:30] Speaker B: On l'a demandé! On le veut! Ça, c'est du privé. On contrôle pas ça. Nous autres, c'est le public. [00:19:37] Speaker E: Qu'est-ce qu'il dit, du privé? [00:19:38] Speaker B: Tu veux un investissement dans les activités sportives. [00:19:41] Speaker D: Oh oui! Pourquoi pas une équipe gouvernementale? [00:19:44] Speaker B: Pourquoi pas? Mais ça, il faudrait faire une élection là-dessus. [00:19:46] Speaker D: Les choix, ça serait des fonctionnaires. [00:19:47] Speaker B: Les gens ont voté pour les infrastructures. [00:19:50] Speaker C: C'est ça, ça nous prend vraiment la réaction. [00:19:54] Speaker B: Il y a un mandat. [00:19:54] Speaker D: Oui, mais on n'a voté pas aussi. Moi, je me souviens de députés conservateurs de la région et d'un maire avec des chandelles énordiques. [00:20:01] Speaker B: José Vernet et Daniel Petit, toute la collection. [00:20:05] Speaker D: Et Régis Labeaume. [00:20:06] Speaker B: Oui, juste là-bas, on met le petit bras. Petit bras dans les airs. 6h20. OK, les petits bras. Hé, hé, hé, hé! Canadiens, ce soir, c'est contre qui, donc, déjà? [00:20:17] Speaker D: Contre les Nordiques. [00:20:18] Speaker B: Contre les Fleurs. Contre les Fleurs. [00:20:20] Speaker D: Contre Michkov. [00:20:21] Speaker C: Contre les Fleurs jusqu'à Delphi. Un autre victoire? Un autre victoire pour le Canadien? [00:20:26] Speaker B: Un autre victoire. On a le double de points de l'année passée. On continue. [00:20:30] Speaker D: Ils vont en gagner 92. [00:20:31] Speaker B: On pousse. C'est le fun, c'est une belle saison. [00:20:34] Speaker C: On route vers la 25e. Il y avait des affaires quand même pas pire hier dans le sport. Un Monday Night Football qui... Oui, j'ai. [00:20:42] Speaker B: Vu Gary Bettman une heure avant. Vous l'avez vu? C'est toute une annonce, ça. [00:20:47] Speaker C: Je viens de te dire, je me suis couché à 6 heures. [00:20:49] Speaker B: Ouais, c'est vrai. Je devrais t'écouter, Patin. Écouter ton cœur. Je peux-tu te parler, toi, donc? [00:20:54] Speaker C: Il a annoncé... [00:20:56] Speaker B: As-tu vu Gary Bettman? [00:20:57] Speaker C: Oui, il est là avec le parti de hockey. Gary Bettman était là pour annoncer la partie de hockey au AT-AT. [00:21:01] Speaker B: T'es en plein ça, en 2027. [00:21:03] Speaker C: J'ai vu qu'il y avait une annonce de parti de hockey, mais j'ai pas vu Gary Bettman. [00:21:06] Speaker B: Une game de hockey, il annonçait ça avec Jerry Jones. Ça flashait, là. Les deux ont annoncé ça. Game de hockey 2027 dans le stade des Cowboys. [00:21:14] Speaker C: Ça va être très bon. [00:21:15] Speaker B: Ben oui, les Stars, très bon. Bon, comme ça, il va peut-être avoir. [00:21:18] Speaker D: Une équipe de Dallas qui gagne dans le stade. C'est pas pire. [00:21:22] Speaker B: Ouais, pas pire. Ils sont bons, en plus, les Stars. [00:21:24] Speaker D: Il y a même un des receveurs de passes hier de l'Arizona qui, après un toucher, a dit « C'est trop facile, ce game-là. [00:21:30] Speaker C: » Fait que les Cowboys ont perdu hier. [00:21:35] Speaker B: Il était content avant le match, mais après le match, c'était pas de bonne manière. [00:21:39] Speaker C: Ce qui fait jaser, c'est surtout Kamenetol, son botté de 68 verges, qui a... [00:21:44] Speaker D: Le record. [00:21:45] Speaker C: C'est un nouveau record, mais lui, Kamenetol, il dit arrêtez. Arrêtez de faire de moi un espèce de dieu du botté, là. Il dit on est au moins 20, là, dans LCA, qui sont entraînements capables de faire des bottés faciles de 70 verges, de façon quand même à dire régulière. [00:22:01] Speaker D: Moi, c'est ça ma prédiction. D'ici la fin de la saison, il y a un botté de 70 verges. [00:22:05] Speaker C: Donc, attendez-vous pas à ce que c'est un record qui tienne très très longtemps. Je vous dirais que l'année prochaine, l'année d'après, pas mal toutes les équipes vont avoir un jeune botteur qui botte 70 verges. Mais on s'entend pour dire qu'en même temps, botter 70 verges, ça change la game. Oui, ça change la game beaucoup. [00:22:22] Speaker B: Le fait que ce soit intérieur, ça a un impact. [00:22:26] Speaker C: Oui, c'est sûr que ça a un impact. [00:22:27] Speaker B: Pas d'obstruction. [00:22:28] Speaker C: Mesdames, tu comprends qu'il y a cinq ans, il n'y a personne qui faisait ça. [00:22:31] Speaker B: Oui, les pattes sont solides, les pattes sont fortes. [00:22:33] Speaker D: Quand j'ai commencé à écouter le football, le botteur des Dolphins, c'était Pete Stajanovic. Puis des bottées de 45 verges, c'était bon des fers. 50, ça arrivait pratiquement jamais. [00:22:45] Speaker B: C'était qui? Je me souviens de son nom, mais il bottait pour qui, lui? [00:22:49] Speaker C: C'est les Viettunes. [00:22:50] Speaker D: C'est à Lévis, c'est les Dolphins. C'est mon batteur, à l'époque. Les Bills avec Chris Christie. [00:22:58] Speaker C: Les Jets avec Tom Tupa, il était carrière substitue. [00:23:02] Speaker B: C'était comme une job à débarrasser. [00:23:04] Speaker C: C'était comme les Gaulards en 75. [00:23:08] Speaker B: Très beau comparatif. [00:23:09] Speaker C: Si t'es pas capable de patiner, mets-y des pattes, il va goûter. [00:23:11] Speaker B: Oui, bonnet Larocque et compagnie. Il va goûter 10 games par année. [00:23:15] Speaker C: C'est notre bon receveur de passes, puis on dit comment battre un ballon. [00:23:18] Speaker D: Il y a jamais personne qui drafte des batteurs, pratiquement. Ça arrive un petit peu de plus en plus. [00:23:23] Speaker C: Mais là, ce qu'on raconte, c'est que maintenant, toutes les universités ont un club de soccer. Ce qui n'était pas le cas avant. Mais là, toutes les universités ont un club de soccer, qui est un sport qui, aux États-Unis aussi, est de plus en plus en vogue. de passer le hockey, assurément. [00:23:38] Speaker B: Donc, des botteurs, il y en a. [00:23:41] Speaker C: Oui, des botteurs, il y en a. [00:23:42] Speaker D: On parlait des Cowboys qui jouaient hier. Le botteur des Cowboys, j'ai déjà raconté, c'est un ancien de la MLS qui a joué pour Toronto. C'est un des meilleurs botteurs de la Ligue. Maintenant, dans la NFL, fait. [00:23:54] Speaker B: Johnny Kowski, Pats, Une Machine. [00:23:57] Speaker C: Mais ce qui est drôle, c'est que... [00:23:58] Speaker B: Johnny Kowski, le connaissez-vous? Ça me dit absolument rien. [00:24:01] Speaker C: Bien oui, c'est... Johnny Kowski. Il était avec les... Mais arrêtez de parler des vieux, là. Ça change rien. [00:24:07] Speaker D: Non, c'est ça. [00:24:07] Speaker C: Vous comprenez pas, là. [00:24:08] Speaker B: On est dans l'actuel. On est le 4 novembre. [00:24:11] Speaker C: Tu sais, tout ce que vous avez connu, là, Adam, Vinateri, tout ça, oubliez ça, là, on n'est plus... on parle plus de ça. On parle de gens... [00:24:19] Speaker B: On est dans le nouveau monde. [00:24:20] Speaker C: On parle de gens qui deviennent botteurs de football à l'âge de 13 ans et qui continuent tout au long de botter des ballons et puis qui arrivent à Annecy et qui frappent 70 verges, ils frappent 15 verges le plus loin. [00:24:34] Speaker B: Le gars quitte la maison le matin. Sa femme a dit «Où tu t'en vas?» Je m'en vais botter. [00:24:41] Speaker C: Ouais, ben je vais botter toute la journée. [00:24:43] Speaker B: Elle a dit, je te fais-tu à dîner? Non, non. T'as pas compris, fille. Je botte. Je reviens à 10h à soir. Je m'en vais botter. [00:24:52] Speaker D: Oui. [00:24:53] Speaker C: C'est ça que je fais. [00:24:54] Speaker B: Oui, mais tu vas-tu aller travailler? La petite a besoin de patins, elle fait du patin de fantaisie. C'est ça que je fais. Je fais ça, c'est ma job. Je suis un fucking botteur, là. T'as pas compris, là. Si tu veux pas de botteur dans ta vie, sacke-moi là. Ça va arriver là, dans le code de part. Si tu rejettes un botteur, il y a d'autres filles maintenant qui sont désormais intéressées à fréquenter un botteur. C'était pas le même il y a 5 ans, mais c'était en train de changer. [00:25:26] Speaker D: Statue surprenante, cependant, je viens d'aller vérifier. Je vais te dire que les gars de 70 verges dans l'NCA, présentement, ils y font en pratique. Parce que le record de l'NCA, c'est 69 verges. Et quand est-ce qu'il a été fait? [00:25:39] Speaker C: Ça date? [00:25:40] Speaker D: 1976. [00:25:41] Speaker C: Oh, quand même. [00:25:42] Speaker B: C'est l'Olympique Nadia Comaneci? [00:25:44] Speaker C: Oui, c'est elle, voilà. Juste avant, c'était Wayne Gretzky. Il y avait une parade à Los Angeles hier. [00:25:51] Speaker B: Ouais, les Dodgers. [00:25:53] Speaker C: Ils ont dit qu'ils en feraient un autre l'année prochaine. On revient l'année prochaine, tu es prêt là? [00:25:57] Speaker B: On peut remettre ça. [00:26:00] Speaker D: Elle est ton tour l'an prochain. [00:26:02] Speaker E: Go! [00:26:03] Speaker B: Faites donc votre parade à Tokyo, vous autres. [00:26:07] Speaker H: Les japonais. [00:26:08] Speaker C: On a fait les nominations également pour les... [00:26:11] Speaker D: Il y avait des sujis tant qu'à y être. [00:26:14] Speaker B: Ah il m'assemble 30 autres, l'une d'eux, des makis, des sushis, des sashimis, des yakuzas, tant qu'à y être. [00:26:24] Speaker D: C'est pas la même affaire. [00:26:26] Speaker C: Non pas pareil. Donc, on a mis, entre autres, les joueurs par excellence, les nominations de joueurs par excellence dans la Nationale. C'est évidemment chaud, oui. Schwarberg qui est là, puis Juan Soto, qui est en nomination comme joueur par excellence. [00:26:44] Speaker D: Chaud! [00:26:45] Speaker C: Puis dans l'américaine, c'est évidemment le juge. [00:26:48] Speaker B: Oui, le juge risque de passer la rafle, mais je suis moins un fan du juge. Le juge, il siège juste en saison régulière. [00:26:56] Speaker D: De grande saison. On avait en série que... Guerrero Junior y écloche. [00:27:02] Speaker B: Oui. Et la cour ne siège pas, malheureusement. [00:27:05] Speaker C: Non. [00:27:05] Speaker B: Le tribunal ne siège pas en Syrie, malheureusement. [00:27:08] Speaker C: Pas facile, hein? [00:27:09] Speaker B: Non. [00:27:10] Speaker C: Dans les autres nouvelles, dans le merveilleux monde du sport, on va revenir dans la NFL parce qu'il y a eu beaucoup de blessures en fin de semaine. Ça tomba au combat. Les Chargers de Los Angeles qui ont perdu un gros joueur de ligne offensive. Des pertes du côté des Packers de Green Bay également. [00:27:26] Speaker B: As-tu des échanges? T'aimes ça quand ça brasse? [00:27:29] Speaker D: Les Dolphins, JLM, c'est pas une grosse échange de ça. [00:27:32] Speaker C: C'était hier matin pendant le show. [00:27:34] Speaker B: Les Ravens aussi, mais moi je veux que ça brasse. [00:27:37] Speaker C: Tout le monde s'attend à ce que ça brasse pas. Un des gros noms qui étaient disponibles c'était Breesall, puis là semble-t-il qu'on va apprendre que Breesall va prononger son contrat avec les Jets. T'en dis quoi? J'en dis que j'ai pas acheté un gilet pour rien. [00:27:54] Speaker B: Moi non plus, d'ailleurs, ce matin. [00:27:56] Speaker C: Non, non, toi non plus. [00:27:57] Speaker B: Celebrity devrait être pas pire, hein, Dan? [00:27:59] Speaker C: Celebrity devrait être pas pire. [00:28:00] Speaker B: C'est les mardis, Celebrity, hein? [00:28:02] Speaker C: C'est les mardis, Celebrity. Dan Quinn a dit, écoute, c'est de ma faute. C'est de ma faute. J'aurais jamais dû laisser Jaden Daniel jouer au football. Je l'ai laissé jouer au football, puis là, je l'ai perdu. Je prends 100 % du blond, ce qui était la chose à faire pour le coach des Hurricanes de Washington. Qu'est-ce qu'il y a d'homme? [00:28:21] Speaker D: Ben c'est juste que ça vient de sortir, le faux con, l'ancien vice-président Dick Cheney qui est décédé. [00:28:28] Speaker B: Ok. [00:28:29] Speaker D: Je suis tombé lourd. [00:28:31] Speaker B: On continue les sports. [00:28:32] Speaker D: Oui. Je l'ai coupé en deux. [00:28:35] Speaker B: On continue les sports, Dan. [00:28:37] Speaker C: Dick est mort. [00:28:38] Speaker D: Dick est mort. [00:28:39] Speaker C: Il y a une couple d'affaires dans le sport quand même qui sont intéressantes. Connais-tu Sébastien Telfair? [00:28:46] Speaker B: Non. [00:28:46] Speaker D: Ok. [00:28:48] Speaker C: Manuel vient de mourir. [00:28:50] Speaker B: Minipot, Ultimate Frisbee. [00:28:53] Speaker C: Non, on parle d'un phénomène de basket qui était le premier choix total de la NBA en 2004. [00:29:03] Speaker B: Je l'ai manqué celle-là. [00:29:03] Speaker C: Il a joué avec les Knicks de New York. [00:29:05] Speaker B: Il a pas livré. Il va pas être très bon parce que je l'ai manqué. [00:29:08] Speaker C: On dit une rock star de la NBA. En tout cas, il est en prison. Puis la raison pour laquelle on jase de lui, c'est que son partenaire de crime en prison, le gars avec qui il passe la majorité de son temps, c'est P. Diddy! Les deux qui jouent au basket ensemble en prison, toi! [00:29:25] Speaker B: Il joue avec qui? [00:29:26] Speaker C: P. Diddy! [00:29:27] Speaker B: Oh, Seigneur! [00:29:29] Speaker C: On les voit en photo, les gars sont tout le temps morts de rire, regarde. Les deux gars sont en train de jaser. [00:29:38] Speaker D: Ça c'est Telfer, t'as pu l'idée l'autre. [00:29:41] Speaker C: Bon, les gars ont bien du fun. Écoute, check ça, c'est beau, on jase des patentes. On a nos tucs, on est tout habillés pareil, on s'amuse, c'est la vie. [00:29:51] Speaker B: C'est pas ça, c'est donc bien cocasse. [00:29:54] Speaker C: Ben oui, c'est drôle. [00:29:55] Speaker B: Est-ce qu'ils ont du temps, je pense? Ils peuvent faire des longs, longs matchs. [00:29:59] Speaker C: Ils ont du temps, certain. [00:30:00] Speaker D: Est-ce qu'ils fournissent le lub à prison? Parce que P. Diddy aimait beaucoup ça. [00:30:06] Speaker B: Oui, oui. [00:30:07] Speaker C: Non, je pense qu'il y en a. Je pense qu'il manque de rien. Tu sais, P. Diddy à prison doit pas manquer de rien. [00:30:13] Speaker B: Comme la femme d'Epstein. Elle a le câble, d'après moi, on se comprend bien. Oui, c'est ça. Elle a des nanannes. [00:30:20] Speaker D: Elle s'inquiète pas pour payer ses abonnements aux applications. [00:30:24] Speaker B: Exact. Exactement. [00:30:25] Speaker C: Il doit y avoir beaucoup de monde qui... [00:30:27] Speaker B: Il y a du budget. [00:30:27] Speaker C: Avez-vous suivi ça, cette semaine, la prince qui a perdu toutes ses affaires? [00:30:32] Speaker E: Oui. [00:30:33] Speaker B: Je trouve ça plate pour son ex, par exemple, qui n'a rien à voir là-dedans. Elle est cocue, cocue, double cocue, cocue et plus encore. Mais là, elle perd tout. [00:30:42] Speaker D: Parce que quand il enlève à lui, il enlève à tout le monde autour. [00:30:44] Speaker B: C'est ça. [00:30:45] Speaker D: Ses filles, sa honneur, ses sacrifices. [00:30:48] Speaker B: Faudrait qu'elle retourne porte-parole de Wade Rogers. [00:30:50] Speaker C: Mais Fergie, d'abord, qui a jamais été la bienvenue dans la famille royale. [00:30:54] Speaker B: Parce qu'elle était rousse? [00:30:56] Speaker C: Non seulement parce qu'elle était rousse, parce qu'elle était quand même assez... Ah, c'était ça? Elle était quand même assez de party, là. Fergie, c'était comme... [00:31:03] Speaker B: C'était une belle femme. Pour vrai, là. [00:31:05] Speaker D: D'ailleurs, on voit bien que l'autre kid, il exclut toutes les roues. [00:31:09] Speaker B: Ouais, Harry, d'après moi, il a pas eu de gamine. Non, c'est ça. C'était une red zone. [00:31:13] Speaker C: Mais Fergie, elle avait du fun dans la vie. [00:31:15] Speaker I: Elle riait. [00:31:16] Speaker C: Puis je pense que la grand-mère aimait pas ça. Bien, la mère, en tant que telle. [00:31:19] Speaker B: Là... Elizabeth, là, c'était une coquine, là. Quand elle flattait son corgi, là... [00:31:24] Speaker C: C'est la chose la plus coquine qu'elle faisait, selon moi. [00:31:27] Speaker D: Eh boy! [00:31:27] Speaker B: Elle passait des jugements, je pense. Elle jugeait beaucoup. [00:31:30] Speaker C: Elle prenait ce qu'on sort, là. [00:31:32] Speaker D: Oui, hein? [00:31:33] Speaker C: J'y disais, quand est-ce qu'on sort? [00:31:35] Speaker A: Très bon. [00:31:38] Speaker B: Quand est-ce qu'on sort? Je suis prêt à prendre le volant, j'ai pris 4 jeans en 15 minutes. [00:31:42] Speaker C: Tu sais, tout de suite après le mariage, ta femme elle dit « on fait chambre à port » là. [00:31:46] Speaker B: Boum, boum, le Bentley dans le ravin. [00:31:48] Speaker C: Tu comprends que... [00:31:50] Speaker B: Après quatre décaïpers. [00:31:51] Speaker C: Ouais, c'est ça après. [00:31:51] Speaker B: En train de flatter le chien, l'autre chien. En train de flatter un chien en plaque, tu sais. Décaïper, on prend ça Bentley, fille. [00:31:59] Speaker C: Puis c'est quand il pétait des coches parce qu'il était infidèle. « Mais oui, mais écoute, tu veux que je fasse? » « Je comprends pas, je suis quand même pas pour aller voir le Corgi. [00:32:08] Speaker B: » Ouais, c'est ça. [00:32:09] Speaker C: Il faut qu'il se passe quelque chose. [00:32:10] Speaker B: Il y a des drôles de chiens, les corgis. Il y en a pas beaucoup au Québec, des corgis. Êtes-vous des propriétaires de corgis? On veut vous parler. [00:32:18] Speaker C: Ça vient toujours à coups de deux, ça. Je sais pas pourquoi, quand tu es propriétaire de corgis, il y en a toujours deux. Hey, Shoei Ohtani a décidé de mettre une... Je sais pas laquelle. Shoei, je le trouve cheap, là. Des fois, j'ai... Tu sais, le gars, il vit... Son. [00:32:32] Speaker B: Salaire serait à peu près 60 ans. [00:32:33] Speaker C: Mais c'est surtout pour le ramener au Japon. Yamamoto fait la même chose. Ils ramènent l'argent américain au Japon. C'est ça le but. [00:32:41] Speaker B: Ils veulent se venger! Ils veulent se venger! [00:32:43] Speaker C: Lui, il a signé 700 millions. Il va prendre 1 million par année le temps qu'il vit aux États-Unis. Et tout le reste, il va le ramener au Japon, mais qu'il prenne sa retraite. [00:32:52] Speaker D: Payer ses impôts, là. Tantôt, oui. [00:32:55] Speaker C: Il va tout aller payer ses impôts là-bas, puis il ne restera plus une Christitienne ici. Yamamoto fait la même chose. D'ailleurs, lui, c'est ça du coup, on en reparlera. Mais Showa Otani a décidé, t'sais, à un moment donné, le monde l'écoeurait. Ils ont dit « t'as frappé trois circuits d'un match en série ». Il pourrait donner les balles pour des enchères. Me semble que ça ferait plaisir aux enfants. Il a dit « ok, je vais en donner une, le deuxième, tantôt ». C'est un peu cheap. Donne-les trois, vierge! La quantité de circuits tu frappes dans ta vie. [00:33:27] Speaker B: C'est des takers. [00:33:28] Speaker D: Les deux autres, c'est pour le Japon. [00:33:30] Speaker C: C'est ça, il va tout ramener ça, lui, dans un musée au Japon. Ils sont venus ramasser. [00:33:36] Speaker B: Ils sont venus ramasser. C'est des takers. Ils veulent se venger. [00:33:38] Speaker C: Ils veulent se manger beaucoup. Hé, Victor Conte est mort. [00:33:41] Speaker D: Là, on reçoit des photos de corgis. [00:33:44] Speaker B: J'adore ça. [00:33:45] Speaker C: Victor Contemars, si vous n'avez jamais vu le documentaire, je pense que c'est un untold. Il est sur Netflix. Sur la façon dont lui, il a dopé à peu près tout ce qu'il y avait d'athlètes dopés dans les années 80-90. [00:34:00] Speaker F: Ah oui? [00:34:01] Speaker B: Il a-tu dopé des cyclistes de ce sport pur? [00:34:04] Speaker C: Bien, c'est un Américain. [00:34:06] Speaker D: C'est le gars du balle court. Ça c'est le baseball. [00:34:11] Speaker C: C'est tout le baseball. [00:34:12] Speaker D: Le baseball majeur au grand complet. [00:34:14] Speaker B: C'est beau. C'est le juicer en chef. [00:34:16] Speaker C: Oui, exactement. Moi j'ai rien fait de pas correct. Je n'aurais jamais rien vendu. Mais la façon dont ça procédait, c'est que le monde allait acheter les affaires ailleurs. C'était lui qui les prescrivait. [00:34:28] Speaker B: José Canseco. [00:34:30] Speaker C: Oui, tout ça. [00:34:31] Speaker B: Un matin, lui, il pèse ça à côté du bol. J'osais. [00:34:35] Speaker C: Selon moi, il pisse assis. [00:34:37] Speaker B: Il pisse assis, il josait un matin. [00:34:40] Speaker D: Oser qu'Annie Seycroft et Barry Bounds, entre le début et la fin de carrière, c'est les plus gros gap qu'il n'y a pas coté. [00:34:46] Speaker B: La carte de base n'est pas pareille. [00:34:49] Speaker C: Non. [00:34:50] Speaker B: En fait, il ressemblait... Ken Seko, début de sa carrière, ressemblait un commis au Kmart. À la fin, il ressemblait à le Bonser, le club de danseuse à Vegas. [00:34:59] Speaker D: Barry Bonser, début de carrière, il avait la shape à Ken Griffey. [00:35:01] Speaker B: Carrément. Un p'tit gars. [00:35:03] Speaker D: Oui. [00:35:03] Speaker B: À la fin... Mais il était pas... Mais il était pas difforme comme... Mark McGwire ou... Il était... Oh, il était juicy, là. Mais il était massif, là. Il était massif. Full juice, big juice. [00:35:18] Speaker C: Puis c'est bien beau de parler de baseball, mais les athlètes olympiques également. T'sais, Marion Jones, elle... Oui, elle l'aimait, elle, à la course. Elle a perdu des médailles, là. Elle se disait victime de Victor Conte. C'est pas juste des belles histoires autour de tout ça. C'est pas juste des histoires de baseball où le monde pissait jamais dans des patentes. D'ailleurs, tu sais qu'une de ses dernières déclarations publiques, c'est que des sprinteurs olympiques qui ne sont pas dopés, ça n'existe pas. Ça n'existe pas. C'était son point. J'ai dit, vous avez bien beau organiser des... Des gros Ben, hein? [00:35:53] Speaker B: Ben Johnson, je l'ai vu live. [00:35:54] Speaker D: Bruni, il dit qu'il y a jamais de chariots. [00:35:56] Speaker B: Dans ma résidence à l'université, à York et à Toronto. Je l'ai vu live, la course. Ben Johnson. Ben Johnson. T'es échappé comme un joueur de ligne. Gong le 100 mètres. [00:36:04] Speaker C: D'ah! [00:36:05] Speaker B: D'ah! [00:36:07] Speaker D: Balle record à l'époque. [00:36:08] Speaker B: T'sais, ça a ni queue ni tête, ça, Ben Johnson. Ça a été vraiment la canne de poire qu'on a ouverte. [00:36:13] Speaker C: J'avais 9 ans, et je me souviens de cette course-là. [00:36:16] Speaker B: Oui, je l'ai vue live, dans le common room, à l'université. [00:36:19] Speaker C: OK, oui, je pensais que t'étais à Séoul. [00:36:21] Speaker B: Ben Johnson, non. Lui, t'es à Barcelone, je crois... [00:36:25] Speaker C: C'était Séoul. [00:36:26] Speaker B: C'était Séoul, pardon. [00:36:27] Speaker C: Moi, je me souviens de l'avoir regardée aussi live. T'sais, c'était une permission spéciale de mes parents, parce que c'était très tard. [00:36:34] Speaker B: En 88. [00:36:35] Speaker C: Puis j'ai regardé Ben Johnson courir levé le bras dans les airs. [00:36:39] Speaker B: Levé le bras dans les airs. [00:36:40] Speaker C: Un mètre avant d'arriver. [00:36:41] Speaker B: Chippé comme un joueur de ligne. Chippé comme un porteur de ballon. Gong le 100 mètres. C'est sûr qu'il y a du format, là. [00:36:48] Speaker C: Puis il y avait le même médecin que le gars qui a fini deuxième, Carl Lewis, qui lui, ils lui ont donné sa médaille, puis il prenait exactement le même jus. [00:36:56] Speaker D: Oui. [00:36:56] Speaker B: Puis ils ne l'ont jamais enlevé. [00:36:58] Speaker C: Non. Dans la thèse olympique, c'était... C'était de la marde. C'était de la grosse, grosse marde, on s'entend. Tout le monde de sa dope à côté, puis ça dépend pour quel pays tu courais, quel était ton médecin, quel était tes commanditaires, si oui ou non... [00:37:14] Speaker B: Tu venais de pays riche, t'avais des bonnes chances d'être bien connecté. Si tu venais de Trinida del Tobago, mange la marde. [00:37:20] Speaker C: Oui, voilà. Ça ressemblait pas mal à ça. [00:37:23] Speaker B: T'as reçu le 27e, mais t'es en santé. Et aujourd'hui, tu pisses pas assis, mais Ken Seko pisse assis. [00:37:28] Speaker C: Mais il y avait certains pays qui dopaient aussi leur performance sans nécessairement un ajout chimique. Les États-Unis puis le Canada, t'es bon là-dedans. T'es allé à Jamaïque chercher le gars qui court vite, il met un drapeau américain sur le dos puis il te dit « viens courir chez nous ». Le Canada a fait ça avec Ben Johnson. C'est un Jamaïcain, Ben Johnson. Si c'était recommencé aujourd'hui, il courrait comme Usain Bolt. [00:37:51] Speaker B: Il aurait un uniforme jaune. [00:37:52] Speaker C: Exactement. [00:37:52] Speaker D: Bailey, t'es-tu Jamaïcain aussi? [00:37:54] Speaker C: Je sais pas. Je pense que Donovan Bailey est né à Toronto, mais je sais pas pourquoi je te dis ça. [00:37:59] Speaker B: Je pourrais demander à Rob Ford s'il se tenait que ça gagne. [00:38:02] Speaker C: Mais tu sais, c'est ça. [00:38:04] Speaker B: La Four Nation. [00:38:05] Speaker D: Ah non, il est né à Manchester, Jamaïque. [00:38:07] Speaker E: Ah, à Jamaïque. [00:38:08] Speaker C: Tu vois, on allait chercher Sprinter à Jamaïque pour qu'il vienne ici. [00:38:11] Speaker B: C'est ça. [00:38:11] Speaker C: Là, un moment donné, les autres, ils se sont dit, on serait niaiseux de pas aller chercher nous-mêmes les médailles. [00:38:16] Speaker B: Un passeport en spécial. Il est pas cher, hein? Un passeport canadien. Quand t'es bien connecté. [00:38:20] Speaker C: Non, non, je... Ça va bien. Selon moi, le... Ça va bien. On me dit que certains scholarships dans des écoles privées ou secondaires, c'était pas au football aussi. C'est pas trop chiant. [00:38:32] Speaker D: Il a immigré à 12 ans. Fait qu'il était pas encore sprinteur à ce moment-là, nécessairement. [00:38:37] Speaker B: OK. Bon, mais c'est good, ça. [00:38:39] Speaker C: Je ferais une pause, puis on se dirigerait vers le deep, Dan. [00:38:42] Speaker B: On est quasiment en mode deep. Mais on va continuer de déconner, en revenant. On le dit, là, on est sur un bel élan. [00:38:48] Speaker C: Ça creuse pas, ce matin, je suis déçu. [00:38:51] Speaker B: Ça a pas commencé à creuser. [00:38:52] Speaker C: J'aimerais ça savoir tous les résultats du carottage. [00:38:54] Speaker B: Ça a pas commencé à creuser, le carottage. Les carottes sont cuites, dans mon relife. [00:39:00] Speaker D: Les meilleurs au monde, on revient dans pas long. Les gens de Québec, vos comptes de. [00:39:11] Speaker C: Taxes, ça va monter, là. [00:39:12] Speaker D: C'est à peu près... Écoute, là, c'est un 3 à 4 % par année. [00:39:16] Speaker C: Après ça, les taxes d'immatriculation, ça va être du 60 à 100 $ par année de plus. [00:39:20] Speaker B: La taxe sur l'essence, le 3 cents. [00:39:22] Speaker C: Votre taxe sur l'essence... Oui, il va. [00:39:23] Speaker B: Aller chercher un 3 cents de plus. [00:39:25] Speaker C: Il va chercher plein d'affaires comme ça, là. [00:39:26] Speaker D: Et attendez-vous à payer. [00:39:28] Speaker B: Si c'est ça que vous vouliez, bien. [00:39:29] Speaker C: C'Est ça que vous allez avoir. [00:39:36] Speaker A: En ce moment, profitez de gros rabais comme du vinyle clique à 1,79 $ le pied carré et du plancher flottant à 99 sous le pied carré. Céramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand. Les sports de Dan, présentés par Peinture Chénard, qui est à la recherche de compagnons et apprentis pour travailler partout au Québec. Envoie ton CV à info-peinturechénard.ca pour faire partie de l'aventure. [00:40:01] Speaker C: Je salue les gens de Peinture Chenard, qu'on a vu la semaine passée lors du dernier Telgate Radio X. Une belle gang, tout le monde était là. C'est le fun, j'aime ça les entreprises qui sont capables de se faire de belles activités de week-end. Toute la gang ensemble, on invite la famille. Et si vous faites ça, vous avez besoin d'équilibre traiteur. Si vous manquez de temps pour faire vos repas, vous avez besoin d'équilibre traiteur. Si vous êtes tanné de manger tout le temps la même chose, vous avez besoin d'équilibre traiteur. C'est sûr que quand on fait une activité 50, 100, 200 personnes, là, oui, on a besoin d'un traiteur et l'équilibre traiteur est vraiment parfait pour ça. Mais également, si au travail, Vous avez un petit meeting, un petit cocktail dînatoire, ce genre de trucs-là, Équilibre Traiteur sont bons, je vous le dis, sont parfaits, que ce soit pour les colocs, les lacs à l'épaule, les parties de Noël qui s'en viennent, c'est une excellente référence, votre boss va être content, surtout quand vous allez lui parler du prix, parce qu'Équilibre Traiteur, ce qu'il vous offre, c'est la meilleure qualité au meilleur prix. En plus d'être des professionnels des grands événements, ils font aussi délicieux repas pour tout heure de la journée, pour quelques déjeuners ou dîners individuels également. Passez voir le site internet équilibre-traiteur.ca, équilibre-traiteur.ca. Commande en ligne, vous allez voir les repas. Il y a un menu extraordinaire, il y en a vraiment pour tous les goûts. équilibre-traiteur.ca, dans le 88 929 72 99. [00:41:25] Speaker A: Mon fils est loin d'être égocentrique. Il est loin de se tourner les pouces. Il est loin de me laisser seul. En m'accompagnant à mes rendez-vous, en m'aidant pour mes soins personnels ou en m'écoutant quand ça ne va pas, c'est de loin mon meilleur soutien. Mon fils est une personne proche aidante. Je suis loin de pouvoir m'en passer. [00:41:45] Speaker D: Les personnes proches aidantes, elles en font plus qu'on pense. Pour connaître les ressources disponibles, visitez québec.ca baroblique personnes proches aidantes. Un message du gouvernement du Québec. Après les lunchs, le soccer pis le ménage, ben j'ai mon voyage. Pis ça tombe bien parce que Super C t'accueille à bord du concours « J'ai mon voyage » pour la chance de gagner l'un des cinq Rites Voyages de 10 000 $. Pour embarquer, t'as juste à acheter un produit participant pis présenter ta carte « moi » à la caisse ou en ligne. Pis c'est le temps de troquer la boîte à lunch pour la valise. Pis manque pas ton vol, le concours prend fin le 19 novembre. Pour qu'il y ait un achat requis de 18 ans et plus, détaille les conditions au superc.ca. Hey, c'est super Super C! Transformez votre journée en jour de casino. Jouez au jackpot, jeux de table en direct et plus. Découvrez les machines à sous les plus populaires comme Book of Dead et Immortal Romance. Ou jouez à la roulette, au blackjack et bien d'autres à Casino Days. Ouvert à tous les joueurs 18 ans et plus, ça vous permet de vous amuser gratuitement. [00:42:38] Speaker C: Veuillez jouer de manière responsable. [00:42:40] Speaker D: Les petites patates, présentées par les Cliniques vivants. [00:42:42] Speaker B: Profitez de nos forfaits des fêtes. [00:42:44] Speaker C: Laser triton, traitement pour la peau, perte de cheveux et plus encore. Achetez un forfait et courez la chance. [00:42:49] Speaker D: De gagner un crédit voyage de 2000 $. [00:42:51] Speaker B: Cliniquesvivants.com. [00:42:54] Speaker C: As-tu des petites patates? [00:42:56] Speaker B: C'est gros aujourd'hui. C'est le premier budget carney, churney. Êtes-vous prêts, elbows up? Oui, on va y mettre au point, les Américains. On va leur dire comment ça marche. Oui, ça va être un déficit de combien? On commence à avoir un peu de coulage, mais c'est du coulage partiel. Attendons ce qui sera annoncé. Aux alentours de 16h, donc, cet après-midi. Le déficit sera massif, mais il y en a à Tourloupette. Il y aura deux colonnes. Vous, deux colonnes, vous autres à la maison? La colonne de l'hypothèque puis la colonne du paiement de char. Non, d'après moi, ça prend pas mal dans le même compte avec la même paye aux deux jeudis. Mais c'est ça qui est particulier. Et le directeur du budget au fédéral remet en doute un peu cette façon de faire en disant que c'est une première dans le monde. C'est une première dans le monde. Mais c'est Churney, on l'a dit, puis on a fait des fingers à la caméra. C'est notre meilleure, Poiliev doit pas être élu, c'est lui qui va mettre au pas Trump. D'ailleurs, concernant cette histoire, ils s'entendent pas dans leur menterie Ford et Carney. Carney qui l'a dit, j'ai dit à Ford de ne pas diffuser la pub. Mais Ford dit non, non, non. On avait l'autorisation du fédéral de diffuser la fameuse pub, vous vous en souvenez. Ça fait l'objet du quiproquo entre les États-Unis et le Canada. La pub sur Ronald Reagan et résultat, les États-Unis ne parlent plus. C'est ça. Ce matin, la presse annonce que... Entre autres, il y aura un fonds de 5 milliards de dollars mis à la disposition des provinces et territoires pour construire des hôpitaux. Wow! C'est quoi cette affaire-là? Sur 3 ans! 5 milliards sur 3 ans! C'est des pinottes! On est rendu à combien, Dom, pour l'Enfant-Jésus, ici, à Québec? 2,6 milliards? Hé! Des pinottes! On va annoncer ça tantôt. On va suivre ça. Pendant ce temps-là, c'est quand même gros. L'OCDE qui a publié un rapport à l'effet que le Canada devrait réduire progressivement le soutien des prix qu'il accorde aux producteurs de lait de volaille et d'œufs. Dixit, la gestion de l'offre. C'est un document qui s'appelle « Suivi évaluation 2025 politique agricole ». Donc c'est très, très, très récent. et s'analyse les politiques de 54 pays dans le monde. Un peu ce que faut le professeur, nous dit, à toutes les semaines, dans le show de Tis-Pierre. Money, money boy! Ça a passé inaperçu, mais c'est quand même gros, cette affaire-là. Netflix et Spotify n'ont pas comparu devant la commission parlementaire concernant la loi sur le mur... le mur de Chine, on l'appelait comme ça, le firewall, le mur aux alentours des... des... des plateformes, des plateformes de service, si vous voulez. Il faut mettre Paul Piché en haut, absolument. Il faut mettre les trois petits cochons en une de Netflix. Ils n'ont pas comparu, sauf qu'il y a Québec Art qui a obtenu copie de leur document. qui ont été déposés, et les ministres et députés en ont pris connaissance. Et eux autres disent juste, faites pas ça, s'il vous plaît, faites pas ça. Amazon, vous avez Disney, vous avez Netflix, vous avez Spotify qui ont dit, n'allez pas là, parce que ça se peut qu'il y ait des poursuites. Je vous le dis, on s'en va dans un territoire neuf, il y a aucun autre pays dans le monde qui fait ce genre de truc-là. Les députés de la CAQ sont en crucifix après leur boss, parce que quand Carmen est partie, Ils avaient été invités à un caucus virtuel avec une allocution de Dubé. Mais Dubé leur a fait faux bord! Le ministre s'est jamais présenté au Zoom. Fait que t'avais les députés qui sont là comme des oufs, qui regardent le gros écran en avant, mais Dubé leur a fait un fi douda. Ça va pas bien. Ça va pas bien. Et finalement, j'ai fini avec Villeneuve, qui a fait un discours hier. Il a perdu beaucoup ses élections. Mais il a dit que Bruno Marchand majoritaire, il y a des risques de dérive. C'était vos patates! [00:46:59] Speaker D: Janpro, c'est votre partenaire de confiance en entretien ménager commercial. Que ce soit pour votre entreprise, une clinique, une garderie, un bureau et bien plus, comptez sur Janpro. Que vos besoins ménage soient petits ou gros, le nom à retenir, c'est Janpro. Le Gros Luxe a une nouvelle section sur son menu. Le Petit Luxe. Format adapté et repas à petit prix. Smashburger, poutine, mac'n'cheese ou tacos pour moins de 12 $. Le Gros Luxe, ton resto de quartier, avenue Miran. [00:47:30] Speaker B: Chez Multiconfort FPC, le novembre fou, fou, fou! [00:47:34] Speaker D: Des rabais exceptionnels sur nos thermopompes, du 1er au 30 novembre. [00:47:37] Speaker B: 1000 $ de rabais sur un système central. [00:47:40] Speaker D: 750 $ de rabais sur un système. [00:47:43] Speaker B: Multizone et 500 $ de rabais sur une simple zone. [00:47:46] Speaker A: Rabais fou, confort doux. C'est ça la chaleur. Signez Multiconfort. Gardez vos orteils au chaud sans faire fondre votre portefeuille. Multiconfort FP, le confort à prix fou, tout le mois de novembre. de l'aéroport. [00:48:29] Speaker C: Se trouver une espèce de paix d'esprit, tu sais, se trouver une place dans laquelle, écoute, ouais, ça, c'est nos revenus, ça, c'est nos dépenses, puis au travers de tout ça, bon, on est bien, on est heureux, puis on n'est surtout pas menottés par la vie. Des soucis financiers, c'est souvent passager, ça peut arriver à n'importe qui. L'important, c'est de pas laisser aller les choses. C'est là que tout dérape, puis pour ça, Jean Fortin et toute l'équipe sont bons. Ils peuvent rééquilibrer le budget, établir un plan de réduction de dettes, consolider les dettes ou faire une proposition au consommateur, tout ça. Ça se passe du côté du jeanfortin.com ou encore au 1-877-LIBERTÉ. Mettez toutes les chances de votre côté. Parlez-en à Jean Fortin, syndic autorisé en insolvabilité. 88-670-9098 en tout temps pour nous dire ce que vous voyez sur les routes dans la grande région de Québec. On le sait, c'est de plus en plus compliqué. Il y a de plus en plus de compagnies qui disent « savez-vous quoi, le télétravail, c'est bon, mais pour les autres. » On veut que les employés reviennent travailler au bureau. Puis ça apparaît sur les routes, la tête des ponts, c'est compliqué. 20-S, 20-Ouest, 73 également. Le pont de Québec, je vous dirais que c'est assez costaud ce matin. Henri-Claude, direction Sud, c'est très, très lourd dans la portion. Val-Bélair, Anselmerecht, Neuchâtel, Capitale, on n'en parle pas, c'est encore jamais. Donc, ce sera encore une fois un matin difficile. Continuez à nous écrire pour nous dire ce que vous voyez sur les routes, si vous avez 50 ans ou plus. Parlez à votre professionnel de la santé de Prevnar 20, un vaccin contre la pneumonie à pneus moqueux. Visitez prevnar20.ca. [00:50:05] Speaker D: L'exploratrice. [00:50:06] Speaker A: Sexualité. Amour. Relation. [00:50:10] Speaker D: Et beaucoup plus. [00:50:11] Speaker A: Sans tabou. [00:50:12] Speaker D: L'exploratrice. [00:50:14] Speaker A: Avec Mel Trudel. Tous les vendredis. 19h. [00:50:18] Speaker D: L'exploratrice. Radio X. [00:50:23] Speaker B: Présenté par Planète X. [00:50:24] Speaker D: À la recherche de nouvelles sensations? Avec Planète X, explore et découvre tous les plaisirs. [00:50:31] Speaker B: Planète X. [00:50:31] Speaker D: C'est succursale et sur monplanètex.com. [00:50:34] Speaker J: Je suis parce que nous sommes. Nous ont fait connaître le concept de Ubuntu. Nelson Mandela et Desmond Tutu nous ont fait connaître le concept de Ubuntu. Je suis parce que nous sommes. Nelson Mandela et Desmond Tutu nous ont fait connaître le concept de Ubuntu. Je suis parce que nous sommes. Nelson Mandela et Desmond Tutu. [00:50:53] Speaker D: Avertissement. L'équipe de Moray Live tient à vous informer que la discussion qui suit traite de... d'érotisme. Il est donc classé 18 ans et plus. Le Deep Down présenté par Équilibre Traiteur. [00:51:16] Speaker C: Prends tes semaines de travail savoureuses avec le nouveau site. Commande en ligne, sans nombre minimum de repas. Commande la veille avant midi. Équilibre-traiteur.ca. Moret. [00:51:26] Speaker D: Live. Très, très, très, très bon. Live. [00:51:30] Speaker C: C'est pas une blague. [00:51:31] Speaker A: Avec Dominique Moret. [00:51:33] Speaker J: Les meilleurs au monde. [00:51:35] Speaker A: Radio Équilibre. [00:51:55] Speaker D: Metaball. [00:52:00] Speaker B: Breaking New, j'ai des tickets pour les Livers, 18 novembre, Jean-François Mercier. Il se faisait appeler le gros cave, il se faisait-tu appeler le gros cave? [00:52:09] Speaker C: Non, il aime plus ça. [00:52:10] Speaker B: Il aime plus ça, OK. Bon, coudon. Jean-François Mercier, donc, que j'aime beaucoup. Un nouveau show qui s'appelle «Avis d'ébullition», on te donne des étiquettes. Texte-nous ta blague la plus grinçante, puis je lire ici, avec le mot «ébullition». Donc, «ébullition», let's go, fais des jeux de mots, n'importe quoi. Texte-toi au 887709098. J'ai deux paires d'étiquettes pour toi. Et voilà, alors amuse-toi. Pendant ce temps-là, nous, on s'en va dans le deep. [00:52:37] Speaker C: Oui, on s'en va dans le deep. Évidemment que la grosse histoire, c'est cette histoire du DJ Diplo qui est allé dans un podcast, lui, et c'est le podcast Smart Girl Dumb Question. Puis il se met... Mais le bout qu'on retient, le bout qu'on trouve hyper intéressant, je vais vous le faire entendre maintenant, il parle, il se fait poser une question, en fait il parle à quel point... Au Québec, Québec City et Montréal, c'est une place de dépravés sexuels. C'est une place où les gens sont chauds. [00:53:12] Speaker B: Montréal? Il parle de Montréal. [00:53:13] Speaker C: Et Québec. [00:53:14] Speaker B: Et Québec. [00:53:14] Speaker C: Et c'est des places où, si vous allez veiller à Québec et à Montréal et que vous êtes, mettons, une star, genre Alex Ovechkin, c'est sûr que vous allez passer une soirée de laquelle vous allez vous rappeler toute sa vie, toute votre vie, puis un moment donné, il arrive cette histoire-là. [00:53:27] Speaker A: Ils ont un premier ministre chaud maintenant. [00:53:29] Speaker D: Et maintenant, Katy Perry et Justin Trudeau. [00:53:31] Speaker A: Je sais. [00:53:33] Speaker D: C'est pas mal. [00:53:33] Speaker A: J'ai connu des gens qui... Qui ont. [00:53:35] Speaker B: Daté de Katy Perry, comme moi ? [00:53:36] Speaker C: Oh, t'as daté de Katy Perry ? [00:53:37] Speaker A: Je veux dire Trudeau. [00:53:38] Speaker G: Oh, j'ai daté de Trudeau aussi. [00:53:40] Speaker C: Ouais. [00:53:40] Speaker A: C'est bon. [00:53:41] Speaker B: C'était bizarre. Vraiment ? [00:53:43] Speaker C: Pourquoi ? [00:53:43] Speaker G: Parce que je suis juste... [00:53:44] Speaker C: Il est un Prude, n'est-ce pas ? [00:53:45] Speaker D: Je ne suis pas dans la position. [00:53:47] Speaker B: Je l'appelle Prudeau. [00:53:48] Speaker D: Tu l'as rencontré avant ? [00:53:49] Speaker C: Non, je ne l'ai pas rencontré. [00:53:50] Speaker B: Je pense qu'il est chaud. [00:53:51] Speaker C: Donc, ce qui est... [00:53:53] Speaker B: Il parle à qui, là? Lui, il parle à qui? C'est qui, là? [00:53:55] Speaker D: C'est la podcasteuse. [00:53:56] Speaker C: Ben, c'est la podcasteuse, ça. C'est ce que je viens de te raconter avant. Et puis, lui, il dit que... [00:54:02] Speaker E: Il dit... [00:54:03] Speaker C: Comment tu trouves ça que... Parce qu'il est en train de parler du Québec. Ça fait qu'il dit... Comment tu trouves ça que Justin Trudeau, le Québécois, date Katy Perry? Puis lui, il dit que... qu'il y a déjà des tés, Katy Perry, et qu'il y a aussi déjà des tés, Justin Trudeau. C'est ça qu'il raconte. [00:54:17] Speaker D: S'il avait coupé là, j'aurais pensé qu'il faisait une joke, la manière dont il le disait. Mais t'sais, il a comme renchéri par la suite, fait que non, il est sérieux là. [00:54:24] Speaker C: T'as peur? Les médias québécois disent que ça se peut pas parce qu'au moment où il aurait fait ça, il était avec Sophie Grégoire. Fait que techniquement... Ben là! S'il était marié, il peut pas faire ça. [00:54:34] Speaker D: Ben oui, bien sûr. Un homme marié, ça va jamais voir ailleurs. [00:54:40] Speaker C: Il a été en couple avec Sophie Grégoire de 2005 à 2023, alors à moins que cette idylle ne soit passée très récemment, ça me semble faux. [00:54:47] Speaker D: Ben voyons! [00:54:47] Speaker C: Ben voyons donc! Je veux dire, il y a 7 coupes sur 10 qui, cette semaine, il va avoir une infidélité, là. Je comprends pas le fait qu'on puisse s'excuser de tout ça. Ça se peut, là. Justement, il a le droit de faire ce qu'il veut. [00:55:02] Speaker B: Parce que l'histoire, c'est qu'il sera aux deux, c'est ça? [00:55:03] Speaker C: Il a le droit de dépayer. [00:55:05] Speaker B: Est-on surpris? La réponse est non. [00:55:07] Speaker C: Il a le droit de dépayer ce qu'il veut. [00:55:08] Speaker B: Moi, je suis pas surpris, là. [00:55:09] Speaker C: Non, non, moi non plus. [00:55:11] Speaker B: En même temps, c'est moins hardcore que les déclarations de Jonathan Roy, là. [00:55:15] Speaker D: Oui. [00:55:15] Speaker B: Jonathan Roy, c'était saucé en Christie. Ça, c'est très léger, là. Mais Jonathan Roy c'était saucé en maudit les histoires de fellation là. [00:55:24] Speaker C: Mais Jonathan c'est local. Là l'histoire que je viens de te raconter ça a fait le tour du monde. [00:55:27] Speaker D: C'est international. [00:55:28] Speaker B: Ok. [00:55:29] Speaker C: Fait que oui c'est moins saucé mais c'est plus gros pareil. [00:55:31] Speaker B: Là Trudeau il a-tu réagi à ça? [00:55:33] Speaker C: Ah Trudeau il réagira pas à ça là. [00:55:35] Speaker D: Non, il a d'autres choses à faire. [00:55:36] Speaker B: Parce que c'est vrai. [00:55:37] Speaker C: Ben je sais pas si c'est vrai ou non mais le gars était quand même premier ministre d'un pays là. T'sais avoir des ragots puis être capable de ne pas réagir à ça, c'est un spécialiste là. L'autre ragot... [00:55:48] Speaker B: Mais si c'est pas vrai, Vraiment pas vrai. Parce qu'il y a quand même des enfants, Trudeau. C'est sûr. Moi, je réagirais. [00:55:56] Speaker C: Bien, s'il réagit, ça a de l'air vrai. Tu peux pas réagir à un podcast d'un gars qui est DJ. [00:56:04] Speaker B: C'est un clown, le gars c'est un clown. C'est ça, je connais pas le gars. C'est un clown. [00:56:06] Speaker D: Si tu réagis en fait, tu donnes l'importance à la nouvelle. Puis peu importe ce que tu vas dire, ben en fait si tu dis oui, si tu dis oui c'est arrivé, le monde va faire comme « ok, ça confirme ». Mais si tu dis non, les gens le croiront pas. [00:56:21] Speaker C: Fait que si quelqu'un, moi en tout cas, moi c'est ça, si quelqu'un dit quelque chose qui est faux sur moi, j'ai même pas le goût de réagir. Non mais ça me dérange pas d'homme. Qu'est-ce que tu veux que je te dise? Ça me dérange pas. [00:56:33] Speaker B: Quelqu'un écrit que Dan Gravel, c'est un pédophile. Il y a des affaires que tu n'as pas le choix de te défendre. Dan, pour vrai. [00:56:41] Speaker C: Écris-les. Moi, je vais appeler un avocat. Je vais faire ce genre de truc-là. [00:56:44] Speaker B: Oui, donc tu vas te défendre. [00:56:45] Speaker C: Oui, mais je n'irais pas crier, faire. [00:56:47] Speaker B: Une conférence de presse. se défendre par ton propre moyen. [00:56:51] Speaker C: Si y'a du monde qui sont à ses caves pour le croire, je vais dire oui, il va falloir que je me défende. Mais t'sais, je le ferai pas de façon vocale, c'est ça que je veux dire. [00:56:58] Speaker B: Mais je comprends ton point de vue. [00:56:59] Speaker C: Parce que quand tu le fais de façon vocale, ça a de l'air vrai. Je me suis toujours dit, le monde qui se défend de façon très très vocale quand il se passe quelque chose, c'est parce qu'ils sont heurtés dans une espèce de réalité. [00:57:09] Speaker B: Parce que aussitôt que tu réagis de manière, quand tu dis vocale, c'est sur Twitter, etc., là publiquement, c'est ce qu'on veut dire dans le fond, c'est que là, Tous les trolls vont réagir. Et le toit, c'est pogné contre des millions de haters. et tu peux pas gagner. C'est ça l'histoire. C'est fermetagueule.com. Je pense que c'est une bonne réaction. De toute façon, c'est pas criminel. [00:57:38] Speaker C: Non, non. [00:57:38] Speaker B: Il l'accuse d'avoir sauté à la clôture, puis quoi? D'été, c'est quoi? Frenché, il l'a collé. [00:57:44] Speaker C: C'est ça. [00:57:45] Speaker B: C'est pas ce qui s'est passé. [00:57:46] Speaker D: C'est du potinage. Pour le reste, la seule personne que ça peut intéresser, c'est Sophie. [00:57:51] Speaker C: Je suis turbo dans le potinage, je suis prêt. Je veux vous parler de JD Vance. et je veux vous parler de la... Et le couche? Non. Non, le couche. Tout le monde se souvient de l'histoire du couche. À toutes les fois qu'on pense à JD Vance, on pense au couche, on n'a pas le choix, mais là, ça n'a rien à voir avec le couche. Ça a plus à voir avec les pantalons de cuir que portait la veuve de Charlie Kirk lors d'un événement qui a eu lieu la semaine passée. En fait, l'Internet est parti ça en part. Charlie Kirk et... La veuve de Charlie Kirk et J.D. Vance sont... C'est vraiment des ragots, là. Ça part de nulle part, là. Ça part à peu près de la même place que la femme Emmanuel Macron est un homme, là. Ça part de la même place. Mais là, on dit... J.D. Vance, ce salopard-là, est en train de se faire la veuve de Charlie Kirk alors que le corps est encore chaud. [00:58:40] Speaker D: Mais voyons, c'est impossible. Il est marié. [00:58:43] Speaker B: Il est pas surpris. Pas surpris. Lisez la vie, lisez la biographie du fils Biden. Fils Biden, ça c'est pas beau là. Le coquin là, comment il s'appelait? [00:59:00] Speaker C: Hunter. [00:59:01] Speaker B: Hunter il est parti avec la veuve de son frère qui est mort. [00:59:07] Speaker D: Oui. [00:59:07] Speaker C: Beau. Oui. [00:59:09] Speaker B: Même que sa femme, la femme de Beau, quand Beau était malade, elle sautait à la clôture avec. Aussitôt qu'il est mort, merci, bonsoir, au funérail, elle était avec. La femme de Beau, il est là pis il pleure devant l'une. Il part, il s'en va en char, quasiment, avec sa femme. C'est saucé, là. Pis il s'en va, il est en l'air avec. Ouais, pis y'a un laveur qui vient de répéter sensiblement ce que je viens de dire avec la synchronisation du texto. Bon point, c'est ça, c'est Hunter, c'est la femme de son frère. C'est son signe, là! Donc, tu me racontes ça, Dan, je me dis... J'suis pas surpris. pas surpris, mais en même temps, si tu es vrai, si tu n'es pas vrai. Mais ça, c'est du potin plausible. À date, tes deux potins sont plausibles. [00:59:59] Speaker D: Ça peut être arrivé. [01:00:00] Speaker C: Mon prochain potin, ce n'est pas un potin, ça s'est passé pour un autre potin. [01:00:03] Speaker B: Un autre potin, let's go! [01:00:04] Speaker C: Je te fais entendre Annie Brocoli. C'est ça qui traîne. [01:00:08] Speaker B: Ça, j'ai hâte d'entendre ça. [01:00:11] Speaker A: Avec les hommes, j'étais un peu un aspect madone, désexualisé. Tu sais, genre, j'entendais des hommes dire « ah, c'est la chanteuse pour les papas ». Écoute, c'est ce qu'on entendait beaucoup, même ce matin, je l'ai dit un peu du bout des lèvres, parce que j'avais pas envie nécessairement de te qualifier par ton physique, t'es une femme extrêmement magnétique et charismatique, c'est ce qu'on a dit ce matin. Mais donc c'est ça, Ça circulait, je me souviens à l'époque, les papas étaient contents d'y aller. Mais donc, c'est intéressant de savoir que de l'autre côté, il y avait comme l'inverse qui se produisait. Ah totalement! Ben oui, parce qu'en fait, tu peux peut-être la trouver cute, mais t'imagines au lit avec, il y a quasiment quelque chose de dégueulasse. Faut que ça reste pur. Faut que le personnage reste pur. Ça a été ça, difficile. Tu sais, prendre un verre, puis être un peu cocktail, ça paraît pas bien non plus, puis je faisais attention à tout ça, tu sais, fait que c'est... En public, c'est ça. Oui, en public. Il fallait que tu te comportes convenablement au cas où un enfant passait par là. Ou le parent. Oui, c'est ça. Parce que la mère que je suis, tu veux pas voir, je sais pas, l'idole de ton enfant sur la brosse ou... Tu sais, il y a quelque chose de... Puis je dis ça, je ne reproche pas ça à personne parce que la mère que je suis, ça me faisait ça aussi, tu sais. [01:01:36] Speaker C: En gros, Annie Brocoli s'est jamais faite crouser de sa vie malgré le fait qu'elle passait pour une sex-symbole au Québec. [01:01:42] Speaker B: Assurtenu. [01:01:44] Speaker C: Ben c'est retenu, c'est parce que le monde la crousait pas. Elle allait dans les bars pis les gars voulaient pas y toucher. [01:01:48] Speaker B: Les gars étaient intimidés pour l'interrogation? [01:01:50] Speaker C: Ben moi j'pense que c'est ça, parce que Guylaine Tremblay avait déjà eu ce discours-là en disant « Quand j'étais célibataire... [01:01:57] Speaker B: » « Quand j'étais célibataire... [01:01:59] Speaker C: Je sortais d'un bar, je sortais, pis les gars viennent pas nous voir parce qu'on est connus, ils sont intimidés. Alors que l'inverse, un gars connu, célibataire, il rentre d'un bar, là, il enchaîne. [01:02:11] Speaker B: Arthur L'Aventurier, » qui est le pendant masculin d'Annie Brocoli. [01:02:14] Speaker D: Ouais, je suis pas sûr que ça a le même attrait. [01:02:16] Speaker B: Pas sûr, non. S'il arrive avec son chapeau, sa veste pas de manche. On s'en va faire un safari, gang! [01:02:21] Speaker C: C'est pas certain que ça a le même attrait. [01:02:22] Speaker D: Non, c'est ça. [01:02:23] Speaker B: Mais Annie Brocoli, est-ce que tu parles d'Annie Grenier? [01:02:26] Speaker C: C'est ça son vrai nom. [01:02:30] Speaker B: Il est 7h et 2. [01:02:31] Speaker C: On parlait d'année grise. [01:02:32] Speaker B: Marc Simono en venant. [01:02:33] Speaker C: Donc voilà pour ce qui est des potins du Monde en couple. Maintenant je te parle d'une histoire qui s'est passée. [01:02:40] Speaker B: Tu passes vite sur les brocolis, je trouve. Il semble qu'il y a beaucoup de choses à dire. [01:02:44] Speaker C: Je trouve ça... [01:02:45] Speaker B: Est-elle encore active pour les enfants? Je sais pas, est-ce qu'elle est en tournée encore? [01:02:49] Speaker C: Je sais pas. [01:02:51] Speaker B: À vérifier. [01:02:52] Speaker C: Je pense plus qu'elle soit active pour les enfants. [01:02:53] Speaker B: Je pourrais faire tirer des billets, peut-être. Selvion Grand Théâtre, quelque chose. [01:02:57] Speaker C: Toi, as-tu vécu ça, le phénomène Annie Brocoli, quand tes enfants étaient jeunes? [01:03:01] Speaker B: Non. Mes gars tripaient sur Arthur L'Aventurier, qui est un Christy de bon Jack, by the way. Mais c'est pas vrai, là. [01:03:08] Speaker D: Mais c'était après, ça, OK. [01:03:09] Speaker B: Oui. Mais tu sais, dans Jeunesse pour Jeunesse, là. [01:03:11] Speaker D: C'est quoi les grosses années d'Annie Brocoli? [01:03:13] Speaker B: C'est les mêmes années qu'Arthur L'Aventurier. [01:03:15] Speaker D: Ah oui? OK, je pensais que ça c'était après. [01:03:17] Speaker B: À peu près. Puis ils ont tripé sur Dora l'exploratrice, qui depuis est devenue mairesse de Montréal. [01:03:22] Speaker D: Oui! [01:03:22] Speaker B: Alors voilà. Mais Dora, ils ont trippé un peu là-dessus. Ils ont trippé sur Curious George. [01:03:28] Speaker D: Ça fait qu'il parle-tu espagnol? [01:03:30] Speaker B: Non. [01:03:30] Speaker D: Non? Ah, ça n'a pas marché. [01:03:31] Speaker B: Mais c'est sac à dos, sac à dos. Il écoute en français. [01:03:34] Speaker C: Mais il n'avait pas changé de nom, lui, Arthur Lamenturier. [01:03:37] Speaker B: C'est encore Arthur, je l'ai vu... Non. [01:03:39] Speaker C: Je sais, mais avant, il me semble que c'était autre chose. Puis ça faisait ambigu, fait que j'ai changé de l'aventurier. Non, mais effectivement, c'est un super bon gars. Moi, je l'ai eu en entrevue deux fois. [01:03:49] Speaker B: Oh, vraiment, c'est un bon Jack. [01:03:50] Speaker C: Deux fois, j'ai... C'est François Tremblay, son nom? [01:03:52] Speaker B: Oui, vraiment. [01:03:53] Speaker C: Deux fois, j'ai eu l'occasion d'y parler. C'est vraiment... Puis c'est quelqu'un qui aime ça. Il aime vraiment ça. [01:04:00] Speaker B: Il aime les enfants. C'est un tripeu, et surtout, Les tunes étaient bonnes. Excusez-moi, là. Les tunes étaient bonnes. Moi, je me souviens de taux de machine que je faisais avec ma blonde, pis les gars se faisaient garder par leur grand-mère. Hé, on met-tu Arthur L'Aventurier dans le show? On écoutait du Arthur L'Aventurier. Les tunes étaient bonnes, pour vrai! Pis y avait un guitariste exceptionnel qui était avec, un gars de là-bas où je me souviens pas de son nom. Mais honnêtement, les tunes étaient bonnes, pour vrai. [01:04:25] Speaker C: Je peux pas laisser passer ça, là. [01:04:27] Speaker B: Vas-y donc. [01:04:28] Speaker C: T'étais... tout seul! Avec ta blonde dans l'auto. [01:04:32] Speaker B: Oui. [01:04:33] Speaker C: Puis vous écoutiez Arthur L'Aventurier. [01:04:35] Speaker B: Oui. Oui. Quand on est... Quand on a des kids, on parle des kids. [01:04:45] Speaker C: Oui, je comprends. [01:04:46] Speaker B: Oui. Même encore aujourd'hui, on se remet mort des souvenirs quand il était petit. [01:04:50] Speaker C: Je comprends tout ça. [01:04:50] Speaker B: On adore ça. [01:04:52] Speaker C: Je comprends tout ça. [01:04:53] Speaker B: Arthur, le coureur des bois qui est devenu Arthur L'Aventurier. [01:04:55] Speaker C: C'est ça, c'était le coureur des bois. [01:04:56] Speaker B: Là, tu vas me faire jouer. Ça, je l'ai moins aimé, cet album-là. C'est là que Costa Rica, on a décroché. [01:05:03] Speaker C: C'est lequel ton album, toi? [01:05:04] Speaker B: Prends l'album, ma veine. Attends un peu. Je les connais toutes, les tunes. Attends, là. Non, c'était pas ça, là. Attends, là. Je vais y aller, là, dans Arthur l'aventurier, là. Je l'ai quand même pas sauvegardé sur une liste de lecture, là. Ça me prend de la manipulation un peu. Arthur l'aventurier. [01:05:21] Speaker C: De un océan à l'autre, j'ai un album de Noël. De un océan à l'autre, peut-être 2006, ça doit être... Peu de stress va loin. [01:05:26] Speaker B: Oui, oui. La saison à ballons, c'était le nôtre, ça. Oui, oui. Ça, c'était hot, ça. C'est l'album d'avant, les saisons à ballons. C'est ça qu'on écoutait. Je les aime toutes ces tunes-là, pour vrai, les saisons à ballons. C'est juste l'album avant, sorti en janvier 2004. Victor avait un an, même pas. Il est né en novembre 2003. [01:05:55] Speaker D: C'était un peu après. Les grosses années d'Annie Brocoli, c'est 99 à 2005 de ce que je vois. [01:06:00] Speaker B: OK. Pis Pinacle, son Pinacle à elle, c'est autour de... [01:06:03] Speaker D: C'est début, début, début année 2000. [01:06:05] Speaker C: Ben oui. [01:06:07] Speaker B: Ça a dû jouer 600 fois dans la maison chez nous. Pirouette! [01:06:14] Speaker D: C'est donc la maudite. [01:06:22] Speaker B: C'était pas ma préférée, mais c'est souvent à faire jouer. Je suis très à l'aise avec ça. Je te vois pas avec ta blonde. [01:06:28] Speaker D: Dans la chambre à écouter ça. [01:06:29] Speaker B: Ah oui, ça, ça c'est... Victor s'endormait là-dessus. Ben oui, mais justement... Ça avec une petite neige, là. [01:06:36] Speaker C: Ben oui, non, c'est ça, mais... Ça peut faire. [01:06:38] Speaker B: La vraie vie est dehors C'est une bonne toune, c'est pour vrai. À travers les saisons C'est une maudite bonne toune, pour vrai, là. [01:06:45] Speaker D: Et viens, monte à bord de mon. [01:06:47] Speaker B: Joli ballon Petit bon guitariste. On vole nous dans les airs... Je suis le droit d'avoir mon jambon et de jouer du passe-partout, ça se fait abroyer. Les gens qui ont tripé par la suite sur les cow-boys fringants, ça c'est la génération de passe-partout. Fait qu'on peut faire broyer le monde. On met tous les records de passe-partout à matin, pis on va finir avec les combats effringants. Ça, on va partir à broyer. Oui, mais on les écoutait enfants. [01:07:33] Speaker D: Vous écoutez pas adultes. Je me vois pas être ma blonde. [01:07:36] Speaker B: Moi, quand j'avais des petits-enfants, je l'écoute pas ça aujourd'hui, mais quand j'avais des petits-enfants, ça jouait dans la maison, pis ça restait imprégné dans nos... dans nos souvenirs. [01:07:42] Speaker D: Ben, j'ai jamais écouté Baby Shark ou, je sais pas, Thomas le train dans l'auto avec ma blonde. [01:07:47] Speaker B: Moi, je suis spécial, regarde. Moi, j'écoute la musique de Noël actuellement, là. [01:07:51] Speaker C: Tu sais qu'il y a plusieurs mondes qui, hier, ont mis sur les médias sociaux et sur Instagram leur Saint-Père-Noël. Donc ça c'est fait en fait, ça vient des gens qui ont monté ça. C'est de la régularité. 10 mois par année, pas de sapin, 2 mois avec un sapin, c'est ça qu'on veut. [01:08:05] Speaker B: Il y en a partout des magasins. [01:08:07] Speaker C: On est rendu là. Depuis samedi, effectivement, tous les magasins sont remplis de décorations de Noël. [01:08:13] Speaker D: Mais la règle, c'est pas avant le jour du souvenir? [01:08:15] Speaker C: Non, je suis allé chez Simon dimanche, puis c'était full d'écouts de Noël. C'était full, full, full d'écouts de Noël. [01:08:20] Speaker B: On peut avoir un coquelicot puis une boule de Noël en même temps. Ça peut bien aller. Et surtout, d'avoir à l'air, vous le savez désormais, c'est le quoi qu'il en coûte. Donc vous allez chez Home Sense. Sentez-vous très à l'aise avec la carte de crédit. Ça va très bien. Il y a à peu près quatre rangées maintenant de Noël. [01:08:35] Speaker C: Gold Jims! On est du côté de la Californie, à Los Angeles. C'est la chanteuse T. Shineman qui est sortie pour dire que là, il faut qu'on se parle. En fait, elle, elle s'est faite sortir. Elle s'est faite sortir, elle s'est faite exclure parce qu'elle a décrié les gros. [01:08:55] Speaker B: Filet de porc! Là, tu fais un geste avec tes mains qui est effarant. [01:09:00] Speaker C: Les 12 pouces, 5$ dans le vestiaire des filles. Elle a décrié ça, en fait. Elle a beaucoup décrié ça parce qu'ils n'ont pas de vestiaire pour trans. Je ne comprends pas pourquoi les gars qui sont... Il est là, la matraque attraîne. T'attraines partout, partout, partout où tu vas. Tu te lèves, t'es prêt avec. C'est vrai qu'on va se faire des hommes. [01:09:26] Speaker B: Oui, oui. [01:09:28] Speaker C: Ne serait-ce que par respect. Là, elle a dit que toutes les femmes du gym m'ont salué parce que j'ai fait ça, mais le gym, ils l'ont quand même sorti. Là, les TMZ, là-dessus, sont en train de courir après les propriétaires des gyms, possiblement qui auront à répondre à ça. Mais je comprends pas. [01:09:44] Speaker B: Question toilette. Parlons toilette dans Montréal Live. Ça prend un thème. Il y a deux places que je fréquente qui ont des toilettes. Comme une mix. J'ai pas de problème mix. Mais! Je m'alaise quand même quand j'ouvre la porte pis y'a une fille qui sort. J'suis porté à m'excuser, mais c'est mix! Deux places. Blackstone, centre Vidéotron. [01:10:12] Speaker D: Ou il y a genre les lavabos d'un bord pis il y a plein de... [01:10:15] Speaker B: Il n'y a pas de lavabos d'un bord, c'est tout le monde ensemble. [01:10:17] Speaker D: Oui, oui, tout le monde ensemble. [01:10:19] Speaker B: C'est comme au thème du vivre ensemble, tout le monde ensemble. [01:10:21] Speaker D: Mais d'un bord du mur, t'as le lavabo, pis de le reste, c'est tout des cabines. [01:10:25] Speaker B: Des cabines. Moi, je suis dans la cabine, je fais ce que j'ai à faire. J'ouvre la porte, y'a trois filles qui sont en train de se laver les mains pis de jaser, jasettes de filles. [01:10:34] Speaker D: Ah oui? [01:10:35] Speaker B: J'm'excuse les filles. Mais j'suis légal! [01:10:38] Speaker D: Ben oui! [01:10:38] Speaker B: Même affaire chez Smith, en face de All Together. Ça va bien être un affaire, come together! Chez Smith, en avant de l'université. J'adore Smith, là. Mais, j'm'en vais aux toilettes un moment donné, j'ai des besoins. J'ouvre la porte, y'a une gang de filles qui sortent. À l'aise! Je m'excuse les filles. Non, non, vas-y, sors-toi pas à l'aise. J'ai un malaise avec ça. Mais... J'suis en train de vivre ma... J'suis en train de vivre ma modernité. Tout le monde ensemble, Dan? Pas de problème. [01:11:08] Speaker C: Tout le monde ensemble. [01:11:08] Speaker B: Bistro B, c'est juste des isoloirs, là. C'est pas la grosse toilette. Mais la grosse toilette du Blackstone, là. La première fois que vous allez là, vous vous êtes saisi. C'est correct, tout est réglo, c'est beau. Je sors de l'isoloir, quatre-cinq filles en train d'avoir une josette de filles, moi j'arrive, wow, là tout le monde arrête de parler. Là tu te dis dans ta tête, vite, vite, vite, me suis-tu trompé de toilette moi là? [01:11:30] Speaker C: Ouais, non. [01:11:31] Speaker B: Non, non, t'es dans la bonne toilette. [01:11:33] Speaker C: Je t'ai dû surcompter que moi je m'étais trompé de toilette à un moment donné. [01:11:37] Speaker D: Pis t'en sortais que tu t'en es rendu compte? [01:11:38] Speaker C: Pis t'en sortais que je m'en étais rendu compte, pis sérieusement c'était une symphonie là, GG. J'étais beaucoup trop pressé pour prendre le temps de bien l'analyser, pis je suis dans un Apple Green en plus. [01:11:52] Speaker B: Apple Green? [01:11:53] Speaker C: Ouais, je suis dans un Apple Green aux États-Unis, donc je suis dans une alle trottière. [01:11:56] Speaker B: C'est pas Appleby, Appleby? [01:11:58] Speaker C: Non, non. Je suis dans une alle trottière. Apple Green. [01:12:01] Speaker B: OK, OK. [01:12:01] Speaker C: Oui, il y a une alle trottière à New York. [01:12:02] Speaker B: OK, OK, OK. [01:12:03] Speaker C: Et puis le corridor, c'est loin. [01:12:07] Speaker B: Ils mettent loin les maudits toilettes. [01:12:09] Speaker C: De chaque côté, t'as 25 cabines. Donc t'as 50 cabines d'un corridor. [01:12:12] Speaker D: Oui. [01:12:13] Speaker C: Là, moi, je me dis, c'est un voyage organisé avec un sportif, je suis dans l'autobus, puis dans un autobus, On ramène pas ça. On ramène pas ça au Canada. Fait que t'attends d'être rendu... d'être rendu dans un hall trottinière. Et là, je sors le premier, je me mets à courir, je m'en vais jusque dans le fond pis je me dis, écoute, par respect pour les autres pis quand je suis sorti, je me suis rendu compte qu'il y avait juste des filles partout autour de moi. Mais là, faut que je marche tout le corridor, là! Au complet, il est long. Après ça, faut que je me lave les mains, là, avec une barbe. Il y a une barbe qui est. [01:12:48] Speaker I: Là à côté de moi avec ses. [01:12:48] Speaker C: Culottes blanches en plein automne. Pis je fais comme tabarnouche que là j'ai l'air d'un abruti. Pis tout le monde me regarde en voulant dire «T'es qui toi le cave? C'est que tu fais ici?» Tu veux que je leur dise? Mise à part, je me suis trompé. [01:13:01] Speaker B: Sorry, no English. [01:13:02] Speaker C: Non, je me suis... J'ai juste dit que j'étais trompé. Tu voulais que je dise. Il y avait rien d'autre à dire. Alors, on a passé un avertissement tout à l'heure. J'ai pas le choix. Faut que j'y aille. Ça se passe là. Un des moments les plus bizarres de l'histoire de la radio au Québec. [01:13:18] Speaker B: Ouais, ok. [01:13:19] Speaker C: On est tombé là-dessus double morée et moi la semaine passée. C'est un médecin qui s'en va voir Penélope. [01:13:27] Speaker B: Ah boy, ah boy, ah boy. Petit avertissement les amis si vous êtes en train de manger une tartine au Nutella. [01:13:34] Speaker C: C'est ça. On a mis l'avertissement pour ça. [01:13:36] Speaker B: Nutella watch. [01:13:38] Speaker C: Écoutons le premier extrait. [01:13:46] Speaker B: De qualité autorisée par le fédéral, car on a une licence du fédéral, on se doit de partager ce qui se diffuse sur les antennes hertziennes. Et ça, c'est diffusé sur une radio que vous payez à 100 %, c'est-à-dire la radio d'État. [01:14:01] Speaker C: C'est ça. Il est 10h05 le matin, on vous raconte que si vous voulez pas que... si vos enfants ont beaucoup de microbes, c'est peut-être parce qu'il est venu par césarienne puis vous n'avez pas fait ce qu'il fallait. [01:14:12] Speaker D: Les études épidémiologiques qui se sont accumulées. [01:14:14] Speaker H: Au fil du temps montrent que les. [01:14:16] Speaker D: Bébés nés par césarienne ont un risque beaucoup plus élevé de développer certains troubles. [01:14:20] Speaker H: Immunitaires comme l'asthme ou les allergies ou certaines maladies inflammatoires. [01:14:25] Speaker D: Et la clé de cette différence, c'est vraiment la colonisation bactérienne initiale. On revient sur ces premiers jours. [01:14:31] Speaker A: Vagin et rectum. [01:14:32] Speaker D: C'est ça. [01:14:32] Speaker A: La combinaison de tout. [01:14:34] Speaker C: Donc en gros, ce qu'on dit, parce que j'essaie de le faire, parce que c'est un long segment de 15 minutes, puis je veux que ça soit le fun pour le monde qui écoute à la radio. En gros, ce qu'on dit, c'est qu'il faut que le bébé traîne dans le jus. Ça lui permet d'aller chercher une petite immunité contre la bactérie. [01:14:50] Speaker B: C'était pas une évité le fun. Moi, j'écoutais le segment au complet. Et c'est les recherchistes qui bouclent ça. Elle, Penélope, elle est là. [01:14:58] Speaker C: Penélope n'a pas de larmes, elle met ça là. [01:14:59] Speaker B: Elle ne trippe pas. Elle n'est pas niée avec. Il est en studio. [01:15:02] Speaker D: Ils ont eu un meeting après le show. [01:15:04] Speaker C: Et là, arrive ce moment-là où on parle de tartinade. [01:15:08] Speaker D: Et c'est important de penser que ce. [01:15:10] Speaker H: Transfert-Là de microbes vaginales est quelque chose d'efficient. [01:15:16] Speaker D: La question, est-ce qu'on peut le restaurer? [01:15:19] Speaker A: Ah, OK. [01:15:20] Speaker D: Donc, on arrive à ça. Étant donné que les bébés n'ont pas bénéficié de ce passage vaginal, les chercheurs. [01:15:26] Speaker C: Se sont posé la question, est-ce qu'on. [01:15:27] Speaker D: Pourrait restaurer en faisant une transplantation de microbiome vaginal au bébé et ça s'est fait. Je vois où vous voulez aller là. Avec le lait maternel. Les tartines de vagin sur le corps du bébé. [01:15:44] Speaker A: Oui, c'est ça que j'ai vu récemment. [01:15:46] Speaker D: Donc, on va parler de ça. [01:15:48] Speaker C: Les tartines sur le corps de bébé. Faut laisser une tartine, une compresse pendant une heure dans les parois, la ressortir et après ça tartiner le bébé. [01:15:58] Speaker B: T'es pas sérieux. Oui je suis très sérieux. [01:16:01] Speaker C: Ça c'est dit ça. [01:16:01] Speaker B: Ça c'est dit saison de public. [01:16:02] Speaker D: Wow. [01:16:04] Speaker B: Ça c'est dit. [01:16:05] Speaker C: J'aurais pu vous sortir 28 extraits. [01:16:07] Speaker B: Vous avez payé pour ça. [01:16:09] Speaker C: Mais je trouvais ça trop débile pour le faire. [01:16:11] Speaker B: On a payé pour ça? [01:16:12] Speaker C: Oui on a payé pour ça. On a payé pour ça. Cependant, vous n'avez pas payé pour le prochain extrait que je vais vous faire entendre. Mais vous pouvez payer si jamais vous avez des problèmes. Est-ce que tu te rends compte qu'il y a une mode à l'heure actuelle, surtout avec la Turquie... Je sais pas pourquoi la Turquie... [01:16:26] Speaker B: Je sais pas pourquoi la Turquie est. [01:16:30] Speaker C: Très très forte là-dessus, mais il y a des gars qui se font des voyages organisés de boys pour aller se faire faire des greffes de cheveux en Turquie. [01:16:39] Speaker B: Les gars, quand tu... Les gars, quand tu... Les gars, quand tu... [01:16:43] Speaker F: Les gars, quand tu... [01:16:43] Speaker B: Les Les gars, quand tu... [01:16:43] Speaker E: Les gars, quand tu... [01:16:43] Speaker C: Les gars, quand tu... [01:16:44] Speaker D: Les gars, quand tu... [01:16:44] Speaker C: Les gars, quand tu... Les gars, quand tu... [01:16:45] Speaker E: Les gars, gars, quand tu... [01:16:45] Speaker J: Les gars, quand tu... [01:16:45] Speaker C: Les gars, quand tu... Les gars, quand tu... Les gars, quand tu... [01:16:47] Speaker B: Les gars, quand tu... [01:16:48] Speaker C: Les gars, quand tu... Les gars, quand tu... Les gars, quand tu... [01:16:52] Speaker E: Les gars, tu... [01:16:52] Speaker C: Les gars, quand tu... Les gars, quand tu... [01:16:58] Speaker B: Les gars, quand tu... Les gars, quand tu... [01:16:58] Speaker C: Les gars, quand tu... Les gars, quand tu... Les gars, Si quand tu... [01:17:07] Speaker A: Les mon gars, homme n'a pas quand tu... un Les minimum gars de calvitie, ça veut dire « it's not my man ». Genre, si tu cales pas un petit peu, ça le fera pas. That means either you're too young... La calvitie, ça l'arrive avec l'expérience et l'âge. Et des fois, il y en a qui finissent chaudes. Là, c'est un petit peu trop. Mais... Un petit peu de calvissie, c'est parfait. Sel et poivre, parfait. [01:17:38] Speaker C: Donc vous voyez, chaque torchon trouve sa guenille. Vivez votre calvissie. Gardez votre argent et surtout vos tripes de chum. Pour aller à Vegas, laissez faire la Turquie, les greffes de chevaux. [01:17:51] Speaker B: Moi je l'écoutais au début, je me disais... Fille, notre boss qui revient au bureau le matin, il veut s'en valoriser, sauf que elle complète sa phrase puis elle dit complètement le show, c'est off. [01:18:00] Speaker D: Non, ça marche pas. [01:18:01] Speaker J: Ouais. [01:18:02] Speaker D: Moi non plus, je punk pas avec elle. [01:18:03] Speaker B: Quels scores elle achope ici? [01:18:05] Speaker C: Heureusement, heureusement ça va prendre... [01:18:07] Speaker B: Il y a-tu quelqu'un qui se qualifie? [01:18:08] Speaker C: En matière de calvétie? [01:18:10] Speaker B: En boîte? [01:18:10] Speaker C: En matière de calvétie? [01:18:11] Speaker B: Pour elle. Pour elle. [01:18:13] Speaker C: Je n'ai pas le coup d'embarquer là-dedans. [01:18:15] Speaker D: Ben, Frank, si il se fait pousser les cheveux le moindrement, c'est parce que c'est rose, là. [01:18:20] Speaker B: Ouais, mais elle, elle veut calvitie naturelle. [01:18:23] Speaker D: Ah, Gary, Gary. Il est pas à Bruxelles. [01:18:27] Speaker C: D.H., bâtard. [01:18:29] Speaker D: Oui. [01:18:30] Speaker B: Il a-tu chauve? Semi-chauve. Elle, elle veut un semi. [01:18:32] Speaker D: Ben, elle veut qu'il cale. [01:18:34] Speaker B: Ah oui, il cale, D.H.? Ben, je sais pas. [01:18:38] Speaker C: Ça se dérange, mais oui. T'as jamais entendu ses live de Viva? [01:18:42] Speaker B: Non? [01:18:42] Speaker C: Ah oui, il cale. Ah oui. [01:18:44] Speaker B: Fait qu'il se qualifie. [01:18:46] Speaker C: Oui. [01:18:46] Speaker B: Fait qu'on lui donnera le numéro de téléphone. Toi t'es parfait. [01:18:48] Speaker D: Ça sera pas moi, moi je cale pas. [01:18:50] Speaker B: Non, non. Toi, tu t'auto-mouses. [01:18:53] Speaker D: Mes chums m'en veulent des fois. Ils disent « Manice, vas-tu caler toi? [01:18:56] Speaker B: » Non, non. [01:18:56] Speaker D: « Si je me fais à mon père? » Non. [01:18:58] Speaker B: Est-ce que c'est la biologie? La réponse est oui. [01:19:01] Speaker I: C'est les gars qui disent... [01:19:02] Speaker B: C'est moi, je calerais pas moi non plus. [01:19:03] Speaker C: Je mets pas de calotte parce que j'ai peur de caler. [01:19:05] Speaker D: Oui, c'est cette histoire-là. [01:19:07] Speaker C: J'ai des cheveux jusqu'au milieu du front, j'ai une calotte tatouée Christy Joe. [01:19:09] Speaker D: C'est ça. [01:19:10] Speaker C: C'est la génétique plus que d'autres choses. [01:19:13] Speaker B: OK. [01:19:13] Speaker C: Mais en gros, les filles aiment ça, fait que lâchez la Turquie, les gars, puis assumez votre calvétie. [01:19:17] Speaker B: That's it. À 7h19, de ce pont, on s'en va à la pause et on revient dans Morelive. [01:19:22] Speaker A: Tu as quelque chose à dire? [01:19:25] Speaker C: Ça va bien aller. [01:19:26] Speaker A: Tu veux réagir? 418-670-9098. Morelive, présentée par Multiconfort FP. C'est le mois de novembre, fou, fou, fou! Des rabais exceptionnels sur nos thermopompes du 1er au 30 novembre. Informez-vous! de l'aéroport. [01:19:45] Speaker D: Les généreuses assiettes en sauce sont à. [01:19:47] Speaker C: Seulement 12 $ chez Ashton. Avec notre onctueuse sauce maison, des légumes croquants et nos frites fraîches et croustillantes, c'est un régal assuré. [01:19:55] Speaker D: Les assiettes en sauce à 12 $. [01:19:57] Speaker C: Disponibles pour un temps limité. Ashton, frais, frais. [01:20:00] Speaker D: Traffic, transit and weather. La circulation de Québec pour faciliter la fluidité. [01:20:10] Speaker C: Ça ressemble beaucoup à ce que je vous disais tantôt, la tête des ponts. C'est principalement ce qu'on surveille ce matin. C'est sûr que c'est un peu plus compliqué que celui d'été. Il y a de ça une vingtaine de minutes. C'est très lourd, sans... Tabarnouche, je m'attendais à ce que ce soit rouge rosé. Non, non, c'est rouge vain, un gros rouge, rouge, rouge vif. 20 direction Est, si vous êtes à la hauteur de la route Lagueux et que ça arrête, dites-vous que c'est parce que c'est la tête des ponts. Même chose pour ce qui est de la 73 en plus. La 73, il y a un accrochage. Cet accrochage-là est vraiment dans les échangeurs des ponts qu'on arrive à la hauteur de l'autoroute 20. Donc évidemment que ça va occasionner des problèmes supplémentaires. Si vous partez de Lévis-Centreville-Bellechasse, c'est à partir de la sortie chemin des îles où c'est par choc à par choc. C'est ce qu'on a l'habitude de voir chaque matin. Charin, ça commence à être compliqué. C'est compliqué à partir de... de la route de Françambourg, se rendant jusqu'à la sortie du chemin du lac et ça redevient compliqué à partir de Duplessence, se rendant jusqu'à Saint-Sacrement. Hurricane, direction sud, très très lourd dans le secteur Neuchâtel, dans le secteur Rancine-Lorette. Lourd également sur la route de Bravoure, ce matin, dans le secteur du chantier naval. Ça va, Tan? Ça va? Non, non, ça va pas. Dans le secteur de la base militaire. et vous dire également que leur ancienne direction sud, à la hauteur des travaux, c'est assez compliqué. Je ne vous ai pas parlé de capital, parce que capital, c'est capital. Jusqu'au 23 novembre, dans les boulangeries Première Moisson, toutes les baguettes sont à seulement 2 $. Découvrez la variété de baguettes fraîchement confectionnées par leurs artisans boulangers si certaines conditions s'appliquent. [01:21:42] Speaker A: J'ai reçu ta note vocale. Tes choix des économies Sephora, j'adore. OK, dans mon panier, j'ai mis Tatcha Charlotte Tilbury pour ma cousine, un sérum pour les cheveux Kerastase et j'ai ajouté le parfum Tom Ford dont tu me parles tout le temps. J'ai utilisé le code promo EVERYTHING parce que oui, je t'écoute. Texte-moi ton choix final. Tout est en solde durant les économies Sephora. Les membres rouges ont accès en avant-première le 31 octobre. Les membres VIB et Insider économisent dès le 4 novembre. Les promos se terminent le 6 novembre. En ligne sur sephora.ca ou en magasin. [01:22:12] Speaker D: Lise a vendu sans effort et en moins de 48 heures leur maison à airfortin.com. [01:22:17] Speaker C: Et c'est une vente sans stress? [01:22:19] Speaker A: Sans aucun stress. [01:22:20] Speaker D: Sans conditions ni garanties légales? [01:22:22] Speaker A: Sans conditions ni garanties. [01:22:24] Speaker D: Devant notaire? [01:22:25] Speaker A: Devant notaire. [01:22:26] Speaker D: Sans ménage ni plusieurs visites? [01:22:28] Speaker A: Absolument. Vite de même. [01:22:30] Speaker C: Vite de même. [01:22:32] Speaker D: Demandez à airfortin.com votre offre d'achat en ligne et vendez-vous aussi vite de même. [01:22:37] Speaker A: Lui qui va l'acheter ton bloc. Airfortin.com. Yes! [01:22:41] Speaker B: Petite ou grosse fissure dans ton pare-brise, il faut que tu arrêtes chez Automod. Tu peux continuer si tu veux, tu vas te scraper à grandeur, il n'y a pas de problème. On va te le réparer. Si c'est trop gros comme fissure, on va te le changer tout simplement. On va tout rebrancher, on va tout calibrer. On a toute l'expertise chez nous avec les équipements nécessaires. Automode est recommandé par les assureurs et votre pâterie sera garantie pour 10 ans. Suite à un remplacement et jusqu'au 30 novembre, on te donne une carte cadeau d'une valeur jusqu'à 100 piastres. Ça vaut vraiment la peine. Viens nous voir. Compagnie de Québec, gérée par une famille de Québec. Je vous le dis, c'est juste parfait. On est à Vannier-Beauport-Lévis, Sainte-Marie-Beausvelle, Sainte-Justine-Saint-Raymond, Sainte-Catherine et sainturbainautomode.qc.ca. [01:23:26] Speaker I: L'embarquement pour le vol 246 à destination de Montréal est retardé de 50 minutes. [01:23:31] Speaker B: Ah ben là! [01:23:32] Speaker D: On dirait que c'est l'heure d'Oh Joe! Play Oh Joe? [01:23:35] Speaker C: Bonne idée! [01:23:36] Speaker D: Profitez de tous vos jeux préférés comme Wolf Gold et Joker's Jewels et des jeux exclusifs que vous ne trouverez nulle part ailleurs. [01:23:42] Speaker B: Wouhou! [01:23:43] Speaker D: J'ai gagné! [01:23:44] Speaker A: Sentir le plaisir, Play Oh Joe! [01:23:48] Speaker I: L'embarquement commencera dès que les passagers auront fini de célébrer. [01:23:51] Speaker D: Ouvert à tous les joueurs de 18. [01:23:52] Speaker C: Ans et plus, il ne s'agit pas. [01:23:53] Speaker B: D'Un site de jeu. [01:23:54] Speaker D: Veuillez jouer de manière responsable. Quand t'as les deux mains sur le volant, tes horizons s'ouvrent. C'est comme si tout d'un coup, tout devenait possible. Même repousser tes propres frontières pour aller. [01:24:05] Speaker B: Au bout de tes rêves. [01:24:06] Speaker D: Toi, le bout de tes rêves, ça. [01:24:08] Speaker A: Va te mener où? [01:24:10] Speaker D: Découvre-le avec la formation en transport par camion du CFTC. C'est gratuit et ça prend juste 4 mois et demi. Informe-toi aujourd'hui sur parcourirlemondeautrement.com. En bas, ça va te mener loin. Cette semaine, écoute-moi les temps de direct. Raconte-nous ton histoire de motoneige et tu pourrais gagner un forfait de 2000 $ à la pourvoirie L'Horre-Piste dans les Monts-Valents. Le Salon de la motoneige, c'est le happening annuel des passionnés. Nouveautés, conseils et rencontres, un rendez-vous de 3 jours. Pour plus d'infos, visite salonmotoneigequad.ca et viens nous voir au Centre de foire de Québec du 7 au 9 novembre. [01:24:51] Speaker A: Hey Simon, Luc est tombé de l'échafaudage. Viens, j'ai besoin d'aide. [01:24:55] Speaker D: C'est parce que je suis vraiment dans le jus. [01:24:56] Speaker A: Il y a du sang partout, vite! [01:24:58] Speaker D: Écoute, je le connais bien cet échafaudage-là. [01:25:00] Speaker I: Pis c'est pas son genre de blesser le monde. [01:25:01] Speaker D: Faudrait peut-être que Luc arrête de dramatiser. [01:25:04] Speaker A: Ben là, faut faire quelque chose. [01:25:05] Speaker I: Bah, j'aime mieux pas m'en mêler. [01:25:07] Speaker D: C'est pas vraiment de mes affaires. [01:25:10] Speaker A: Si on réagissait face aux blessures physiques comme on le fait trop souvent face aux blessures psychologiques, on verra à quel point c'est absurde. Ensemble, agissons pour que nos milieux de travail soient sains pour tous. Un message de la CNESST. Chez Walmart, vous n'avez pas à attendre un solde. Vous pouvez compter sur nos bas prix de tous les jours. Par exemple, procurez-vous un sac de 3 livres de carottes ou d'oignons jaunes Mon Marché Fraîcheur à seulement 1,58$ chacun. Économisez plus, vivez mieux. Emballage LPOBU avec vous depuis 80 ans. Pour vos boîtes de tout format, rubans, sacs-sélos ou cadeaux corpos, pensez LPOBU. Ouvert au public aux 12 20 rue de l'Escargot ou lpobu.com. [01:25:50] Speaker B: Choua. [01:25:51] Speaker A: Choua. Oh yeah! [01:25:52] Speaker D: 98. 78. [01:25:55] Speaker E: 1 1. [01:25:55] Speaker A: La fameuse bourgeoisie. [01:25:57] Speaker E: Choua. Choua. [01:25:59] Speaker D: Radio X à Québec. C'est Radio X. Sois Radio X. C'est vous. [01:26:06] Speaker A: C'est drôle. [01:26:07] Speaker D: Votre propre opinion. [01:26:09] Speaker A: Joanne Plourde-Têtu, elle tente d'être élue à la mairie de la Quai de Chemin. Elle est membre de l'armée de Marie. Elle est membre de l'armée de Marie. Trois autres conseillers qui tentent de se faire élire au sein de son parti qui sont également membres de l'armée de Marie. Qui sont également membres de l'armée de Marie. Avec Dominique Moret. Radio X. [01:26:50] Speaker D: On devient légionnaire et on reste jusqu'à la mort. [01:26:58] Speaker I: From the Radio X World Headquarters, here. [01:27:00] Speaker D: Is your legendary Agent of Doom. Yes, beaucoup de choses à te faire entendre ce matin. Je vais commencer par ça. Je trouvais que ça fessait quand même comme révélation. Puis je pense que d'hommes, ils n'ont pas entendu. [01:27:25] Speaker B: J.C. [01:27:26] Speaker D: Recevait Renaud hier. C'était un peu en analyse. On revenait sur la campagne puis il donnait des prix. Mais il nous a fait des révélations un petit peu sur lui, comment il a été approché par certains partis. Il disait même Jack Smith. qui l'a approché pour avoir son appui. [01:27:41] Speaker B: Ça tombe pas numéro, elle vous laisse commander une pizza. [01:27:43] Speaker D: Mais oui, c'est pas... Y'a pas appuyé personne. [01:27:45] Speaker B: D'après moi, y'a un numéro... Y'a un problème de chiffre, t'sais, des fois, quand y'a juste un chiffre de différence, tu tombes sur une pizzeria. [01:27:50] Speaker C: Ah, mais moi, je crois ça. Renaud, y'a des skills, pis même Jackie Smith avait besoin de ses skills-là dans son équipe. Elle avait besoin que du monde soit capable. [01:27:56] Speaker B: Lui, c'est des skills de rigueur. Elle est d'en gauche, à côté, dépensière. [01:28:00] Speaker C: Je sais, je comprends, Dom, sauf que... [01:28:02] Speaker B: Elle voulait quelqu'un qui sait compter. [01:28:04] Speaker C: C'est un premier centre. Elle voulait un premier centre. [01:28:08] Speaker B: C'est sûr. [01:28:08] Speaker D: Exact. Mais il y avait eu Sam Hammad aussi qui l'avait approché à un moment donné. Et là, il a rencontré. [01:28:15] Speaker F: J'ai effectivement rencontré Sam Hammad pas plus tard qu'en février. Ça fait que ça fait déjà un bout. Février-mars, au moment où je présentais, et on était devant un monsieur, bien, je. [01:28:22] Speaker B: Dis, homme et moi, on était devant. [01:28:23] Speaker F: Un monsieur totalement dépassé, qui avait aucune idée de comment la politique municipale se jouait. Il m'avait offert à l'époque le poste, en fait, de me présenter comme conseiller dans Lac-Saint-Charles-Saint-Émile. Chose qui disait, bien, c'est pas grave, t'habites pas là. Je dis, non, moi, c'est ce que je préconais, j'habite pas là. Personne va me voir marcher avec mes chiens là-bas. C'est pas grave, Renaud, ils vont en parler juste une semaine ou deux. C'est pas le genre de politique que j'approche. C'est pas ça que je veux. Donc c'est pas ça que j'ai accepté. J'ai refusé ça en aidant un monsieur qui était dépassé, surtout très, très, très, très mal entouré, qui avait aucune idée de la réalité de la politique municipale et de la politique municipale. [01:28:58] Speaker B: J'ai eu vent qu'il n'était pas capable d'ouvrir des PDF. Oui. Il l'a-tu raconté, ça? [01:29:04] Speaker D: Non, il ne l'a pas raconté, ça. Alors bien moi aussi j'ai eu vent de citoy là. [01:29:08] Speaker C: Moi j'ai beaucoup de choses... Ça tronquait bien des affaires toutes les choses qui ont été prises pour acquises par un certain parti politique. T'sais moi à un moment donné je pensais réellement que Renaud allait se présenter avec Samaman. Je l'ai réellement pensé. Je l'ai réellement pensé puis je sais que vous deux aussi parce que ça nous a été dit ici dans le studio pendant une pub. par quelqu'un qui était très, très bien placé. « Ah oui, Renaud, il se présente avec sa maman. » Puis moi, en échange, tu sais, sur le côté, je parlais avec du monde de respect citoyen qui me disait « Ah, on est toujours en contact avec Renaud. » Puis là, je disais « Voyons, qu'est-ce qui se passe, ça ? » « Il y a de quoi qui marche pas, là. » Puis tu sais, après ça, les gens viennent nous dire « Pourquoi vous avez demandé une fusion ? » Là, on est en train de vous dire vraiment tout ce qu'on se faisait dire à micro fermé, là. Moi, j'étais convaincu à un moment donné dans la campagne que Renaud se présentait avec sa mamade. Aussi convaincu que Renaud se présentait avec sa mamade que sa mamade était convaincue que Véronique Dallaire allait se présenter pour lui. [01:30:00] Speaker B: Ça bouillonnait, on vous rapportait ça. On n'a jamais fabriqué ça. Au contraire, on était témoins. de vidéos, d'audios, de témoignages et de rencontres mutuelles entre les deux. Stéphane nous racontait des choses aussi. Ahmad me racontait des choses. Mais untel, untel nous a raconté des choses aussi, comme tu viens de le relater. Concernant Donald Gagnon, concernant Renaud, etc. Quel. [01:30:26] Speaker D: Nom que tu viens de dire aussi, Dan? [01:30:28] Speaker C: C'était Steph, la chance. [01:30:30] Speaker D: Véronique Dallaire. [01:30:31] Speaker C: Véronique Dallaire, oui. [01:30:32] Speaker D: Voici. [01:30:32] Speaker F: Véronique Dallaire a mentionné à M. Paquette, « Ah, ben, ton chef, Sam Hammad. [01:30:36] Speaker C: Il m'a offert le poste que tu. [01:30:38] Speaker F: Reconnaisses présentement dans Vanier. » C'est vrai! Sam Hammad m'a demandé lui-même de rencontrer Véronique Dallaire pour la motiver, puis lui faire changer d'idée, puis de quitter Québec d'abord. Ce que j'ai refusé de faire avec Véronique, j'ai dit, « Hey, il veut que je te rencontre, mais je veux pas faire ça, je suis pas de même. [01:30:50] Speaker E: » On n'est plus dans les années. [01:30:51] Speaker F: 90, les politiciens provinciaux sont déconnectés. Cette personne-là n'était pas digne de faire de la politique municipale, et cette personne-là a coulé la carrière politique municipale de Stephen Melençon. Cette personne-là a été un boulet pour Stephen Melençon, et c'est à cause de lui, de son inaction, de son parti, des gens qui l'entouraient, de son manque de professionnalisme et son manque d'assurance qui a fait en sorte que Stephen Melençon et bien d'autres ont perdu leur élection. [01:31:17] Speaker B: C'est une bonne analyse. [01:31:19] Speaker D: C'est une bonne analyse, certain. Je veux dire, quand tu regardes les résultats de tous les candidats, tous les districts, ceux qui ont gagné dépendaient uniquement du parti. Le seul qui a passé proche de gagner malgré son parti, c'est Stevens-Melençon. [01:31:35] Speaker C: Oui. [01:31:36] Speaker D: Ça a passé proche. Si Stevens-Melençon... Je lance ça de même. Si Stevens-Melençon se présentait pour respect citoyen, plutôt que Sam Ahmad, il passait comme une balle. Il aurait ramassé 40-quelques % du vote probablement. [01:31:52] Speaker B: Je suis rasé ailleurs. [01:31:54] Speaker D: Ah, je sais. Mais c'est vrai que ça allait terminer... Tu sais, là, il prend sa retraite, Steven Smalanson, là. Il dit « Je fais plus politique, aucun niveau, c'est fini. À l'âge que je suis rendu, c'est terminé. » Mais il aurait pu être encore là. [01:32:06] Speaker B: Moi, je suis... Je suis ailleurs. Il y a trois respects citoyens à l'hôtel de ville. Ils vont poser les bonnes questions. Il y a un bon budget. il va engager le bon monde. J'ai hâte de voir, mais je suis confiant. Oui, c'est une super majorité. Et Villeneuve avait raison de le dire hier dans son discours. C'est un dangereux. Marchand est un dangereux. Mais il y en a beaucoup qui prennent le coup l'aide dans des radios de Québec. Ah, tout le monde est beau, tout le monde est fin, tout le monde est gentil. C'est correct. Mais... on a quatre ans, les amis, là. Il y a des dossiers, là. Il y a des dossiers à gérer et tout. Puis le respect citoyen, c'est une jeune formation politique. Ils vont se professionnaliser. Je vous le dis, ils peuvent surprendre. Le respect citoyen pourra nous surprendre. Moi, je le souhaite. Je suis confiant. Et on veut que la ville vire bien. Et pour répéter trois extraits hier qu'on a mis sur le site de Radio X, ça va être un bon chien de garde, je pense. Ils l'ont-tu dit dans Morelive? Ils l'ont-tu dit dans Le Retour? Ils l'ont-tu dit, Pierre... Il l'as-tu dit, Pierre Couture? [01:33:20] Speaker D: Trois mêmes extraits. [01:33:23] Speaker B: Très bon. [01:33:25] Speaker D: Il y a une semaine, par exemple, qui commence à m'énerver un peu, puis là, ça fait deux jours que ça dure, voici. [01:33:30] Speaker H: L'élection d'hier, puis je disais que c'est une majorité qui nous ramène aux années Labeaume, est-ce que ça vous donne l'espèce de levier que le maire Labeaume avait à l'époque, c'est-à-dire que quand il frappait à la porte des gouvernements, on répondait puis on lui donnait pratiquement ce qu'il voulait? [01:33:43] Speaker J: Je pense que oui. Je pense qu'une ville qui parle, pas unanimement, mais qui parle quand même majoritairement dans une voix, ça donne un levier au maire, ça donne un levier pour aller cogner aux portes et obtenir des gains pour la ville. [01:33:54] Speaker D: Là, soyons clairs, il y a 18 conseillers dans son équipe sur 21. Ça, c'est une super majorité, tu peux pas y enlever. Mais en pourcentage de vote, ce que Bruno Marchand a eu cette élection-ci puis l'élection d'avant, c'est le maire le plus faible depuis la création de la Nouvelle-Ville de Québec. [01:34:11] Speaker B: J'ai pas fait les calculs. [01:34:12] Speaker D: Ben, c'est facile d'aller regarder les résultats. Les années Labeaume, la mairesse, puis Jean-Paul Lallier, le maire le plus faible de tous, c'est Bruno Marchand, avec des majorités... En fait, t'sais, il a pas eu 50 % du vote avant hier. Puis, t'sais, c'est pas pour rien que la CAQ lui a enlevé le dossier du tramway. C'est qu'il savait que ça dérangerait absolument personne. Il savait que c'était un maire faible à qui il pouvait faire ça, sans manger de coups par la suite. Ça va demeurer comme ça, d'après moi. Les quatre prochaines années, oui, il y a une super majorité. Au conseil municipal, il va s'amuser comme un fou. Mais par rapport au gouvernement provincial, je ne suis pas sûr qu'il va avoir du poids tant que ça. Ça dépend. [01:34:58] Speaker B: Nous, on le répète dans Montréal Live, c'est le quoi qu'il en coûte. Les gens ont voté pour ça. La pépine, la dynamite. Il faut creuser, il faut faire du bruit. Qu'est-ce que certains magasins ferment? Bien, il y a un prêt payé pour avoir un transport pour la collectivité. Peut-être qu'il y aura des restaurants qui vont fermer, peut-être qu'il y a des magasins qui vont fermer. Mais les gens ont voté pour ça, Dan, et tu le sais très bien. C'est quoi qu'il en coûte. Et Rive-Sud aussi, ça prend les deux projets en même temps. Les gens ont voté pour ça. Il nous le faut, quoi qu'il en coûte, les deux. C'est 15 milliards chaque, là. Ça fait 30, ça, d'après moi? [01:35:34] Speaker C: Non, non, on y va. On n'a pas le choix. [01:35:36] Speaker B: Moi, j'ai dit à mes jeunes hier, vous allez payer. Ils sont très d'accord avec ça. Et leurs enfants et leur succession et les enfants de leurs enfants de leurs enfants, tout le monde a approuvé. [01:35:46] Speaker D: Le fédéral va payer à moitié. [01:35:47] Speaker C: Tout le monde est d'accord avec ça. On a voté pour ça. On respecte la démocratie. Donc, on construit un troisième lien et on construit un tramway. [01:35:55] Speaker B: En même temps? [01:35:56] Speaker C: Oui, en même temps. [01:35:57] Speaker B: S'il y a des conséquences, C'est le produit qui l'en coûte. [01:36:01] Speaker C: On imprimera. [01:36:02] Speaker D: On réglera les choses. On traversera le pont quand on sera rendu et qu'il sera construit. [01:36:06] Speaker B: Ben c'est ça. Tu as un peu de bruit et un peu de boucan. Si le Vieux-Québec a le Shake and Bake en dessous du Grand Théâtre quand on va creuser, c'est un prêt payé. [01:36:15] Speaker C: Attachez la vaisselle. [01:36:19] Speaker B: Oui, c'est ça. La cuillère à mon nez, ça va être correct. [01:36:22] Speaker D: Menez des petites barrures sur vos armoires. C'est comme quand vous avez des enfants. [01:36:27] Speaker B: Un bon tremblement, c'est bon pour le transit intestinal. Anyway. [01:36:32] Speaker C: Donc, Montréal Ave est pour le tramway, pour la construction. On construit un Québec. [01:36:36] Speaker B: Quoi qu'il en coûte. Vous avez voté pour ça. [01:36:39] Speaker D: Mais on dirait que le maire Marchand est quand même conscient qu'il n'y a pas réellement les majorités de la bombe, qu'il n'y a pas 80% du monde qui ont voté pour. Fait que là, il est parti sur une histoire que je veux vous écouter. [01:36:52] Speaker B: Je veux consulter. [01:36:54] Speaker D: Ouais. Pas longtemps, par exemple. [01:36:57] Speaker J: Mais la première affaire qu'on va faire, malgré le mandat qu'on a, malgré la plateforme qu'on a présentée qui était claire, on va retourner vers les gens. On va aller à la fois consulter et mobiliser. Je veux savoir qu'est-ce qui manque aux yeux des gens dans notre plateforme. Qu'est-ce qu'on doit faire dans les quatre prochaines années de plus que ce qu'on a pensé. Je veux entendre et continuer d'entendre les citoyens, la société civile, le monde économique, le monde communautaire, pour qu'on se dise, OK, c'est quoi notre plan de match pour les quatre prochaines années. [01:37:18] Speaker D: OK, alors je vous demande votre échéancier en terminant. [01:37:21] Speaker J: Mon échéancier de? [01:37:22] Speaker D: Pour ensuite nous arriver avec vos conclusions et mettre en marche votre progrès. [01:37:25] Speaker J: Janvier. Janvier, je vous arrive avec ça. [01:37:27] Speaker D: OK, donc là, on est le 4 novembre. [01:37:29] Speaker B: Oui. [01:37:30] Speaker D: Dans cinq semaines, le monde sera en mode full Noël, là. Tu sais, probablement qu'il va y avoir de la neige au sol, le monde va être dans le magasin... Est-ce que. [01:37:38] Speaker B: Je t'ai consulté dans le ponce-ouïe? Oui, mais je t'ai occupé avec mes sacs. [01:37:41] Speaker D: Après ça... [01:37:41] Speaker B: Je t'ai consulté. [01:37:42] Speaker D: On revient les vacances de Noël, on revient en janvier, puis là, il arrive avec les résultats de ses consultations. Oui. Ils vont aller vite, tes consultations, mon kid. Tabarouette! [01:37:51] Speaker B: Et on va lui demander, est-ce que vous avez consulté? Je vous ai entendu. [01:37:56] Speaker C: Oui, c'est tout. [01:37:57] Speaker B: Ça, c'est la phrase idéale pour me mettre en calvaire. Et ma blonde le sait. Quand qu'elle veut me mettre en calvaire, chérie, je t'ai entendu. Je prendrai la télécommande puis je la sacrerai dans TV. [01:38:14] Speaker D: Je t'entends. [01:38:15] Speaker B: Mais ça ne me tente pas de m'acheter une TV. Je l'aime ma TV. Là, je refoule en dedans. C'est pour ça que ça me fait du bien. Quoi qu'il en coûte, ce matin, ça libère un peu les toxines. [01:38:24] Speaker D: J'entends ce que tu me dis. [01:38:26] Speaker E: Ah! [01:38:26] Speaker B: J'haïs ça. Aimez-vous ça, vous autres, vous me faire dire ça? [01:38:29] Speaker C: Je me fais jamais dire ça. [01:38:30] Speaker B: Tu t'es jamais fait dire ça? [01:38:32] Speaker C: J'entends ce que tu me dis, non, je pense pas. [01:38:34] Speaker B: Les livers, quand vous me faites dire ça, est-ce que vous le dites vous-même, les livers, parfois? J'entends ce que tu me dis, là, ça, c'est la pire connerie qui a jamais été dite. Ça, ça veut dire que t'as pas écouté. Mettons que je te dis, Dan, t'es en maudit après moi, on a fait une gaffe, whatever, t'sais. Pis moi, je te dis, j'entends ce que tu me dis. Ça, c'est fourchère. [01:38:56] Speaker D: Ça, c'est une autre manière de dire... [01:38:57] Speaker B: Parce que je t'ai pas écouté. [01:38:59] Speaker D: Je me fous. C'est surtout ça. [01:39:01] Speaker B: J'ai écouté ce que t'as dit, mais. [01:39:03] Speaker D: Je m'en sacs totalement. Voici maintenant ce qu'on va faire pour vrai. [01:39:06] Speaker B: Merci, Dom. Ça, c'est la traduction. Ça vous est entendu, ça me dit... Ça m'est rentré vers l'oreille, ça m'est sorti par l'autre, j'ai entendu un épouffement. Maintenant, laisse-moi parler, c'est moi qui ai bossé. [01:39:16] Speaker C: J'ai entendu ce que t'as dit, mais j'ai pas de solution pour toi. [01:39:19] Speaker B: Ça peut être ça aussi. C'est très bon ça aussi, Dan. [01:39:22] Speaker D: Mais c'est surtout généralement... Je t'ai laissé t'exprimer juste parce qu'il fallait, là. [01:39:26] Speaker C: Moi je dis... Moi je dis qu'est-ce que tu veux que je te dise? Tu sais que quelqu'un me craint après pis que j'ai pas de solution? [01:39:32] Speaker B: Ça c'est un signe d'abandon. [01:39:33] Speaker C: Qu'est-ce que tu veux que je te dise? On parie. [01:39:34] Speaker B: Ouais c'est ça. [01:39:36] Speaker C: J'en ai pas, j'ai rien d'autre, même si ça s'est passé. [01:39:38] Speaker B: Mais je t'entends, je t'entends, je t'entends. Ça, c'est comme du gaslighting. Tu sais, je t'entends, mais t'as tort. Tu sais, j'ai entendu ce que tu me dis, mais t'étais un tatabareille. C'est moi qui ai raison. Tu sais, c'est comme neutre. C'est comme un statement neutre. [01:39:53] Speaker D: Et à la fin... Parle, parle, parle. [01:39:56] Speaker B: Cause toujours... [01:39:57] Speaker A: C'est ça. [01:39:57] Speaker B: Comme on dit ça, cause toujours mon chéri. [01:39:59] Speaker C: Je pense que si ma blonde me disait j'entends ce que tu me dis, je partirais à rire. [01:40:04] Speaker B: Ouais, mais t'as la bonne attitude depuis le coin qu'il en coûte. [01:40:07] Speaker C: Oui, c'est ça. [01:40:09] Speaker D: À la fin, il va se foutre totalement de ce que les gens disent. Tu le comprends un petit peu entre les lignes. Il l'a répété de plusieurs manières hier, mais je pense qu'il avait mieux dit encore la journée même de l'élection. [01:40:20] Speaker J: C'est impossible d'attendre pour prendre une décision que 100 % des gens soient d'accord. Nous sommes une ville complexe, plurielle, avec 600 000 personnes. Il n'y a pas une décision qui réalise 100 % des gens. Notre but, par contre, c'est de faire en sorte de tenir compte de ce que les gens disent, de ce que les gens ont comme objections, et c'est de faire avancer la ville. Si on attend d'avoir totale unanimité, on ne fera rien pendant quatre ans. [01:40:41] Speaker B: Alors oui, on peut avancer. [01:40:43] Speaker J: C'est ce qu'on croit. On a une ville qui avance, on a une ville qui a de l'élan. Ça donne des bons résultats. Et on va continuer de le faire avec des gens qui sont d'accord et pas d'accord. [01:40:50] Speaker H: C'est ça, la politique. [01:40:51] Speaker D: Oui, mais voyons, M. le maire, vous m'avez consulté, puis c'est ça qu'on vous a dit. Oui, mais c'est pas tout le monde qui peut être d'accord. Puis on a entendu ce que vous aviez à dire. Mais à un moment donné, il faut avancer. [01:41:02] Speaker C: Si j'avais déjà voté pour lui ou incité les autres à voter pour lui, là... Possiblement, je retournerai travailler chez Desjardins puis je me fermerai ailleurs à tout jamais. [01:41:11] Speaker B: Hé, c'est ça. Saint-Sauveur, c'est un bon exemple. Saint-Sauveur, les gens t'ont maudit à cause du tracé de l'autobus, à cause que la rue a été dérenchée, Saint-Belier. [01:41:21] Speaker D: Ça a décidé de devenir un one-way. [01:41:22] Speaker B: C'Est pas un bout? Exact, ça a été dérenché pendant longtemps. Mais on vous a entendu, mais faut avancer, faut progresser. Faut avancer, on est une ville en avant. [01:41:31] Speaker D: Il y a des commerces qui ont quitté. [01:41:32] Speaker B: Faut progresser. Bien, c'est ça, la toast. Moi, ça, on la connaît. On connaît la recette. Et c'est ce qu'on va vivre pendant 4 ans. Parce que... les gens l'ont décidé ainsi. [01:41:43] Speaker D: Tu parlais dans tes nouvelles tout à l'heure de Claude Villeneuve qui a parlé hier. Là, on va entendre Bruno Marchand. dans son entrevue, je pense que c'était avec Alexandre Duval, peu importe, mais d'hier, qui parle de lui-même, parle de comment il voit la ville. Puis après ça, j'ai mis Claude Villeneuve, parce que Claude Villeneuve, il l'a vécu dans les quatre dernières années, être avec Bruno Marchand. C'est drôle, ils n'ont pas du tout la même histoire. [01:42:06] Speaker J: Tony Blair disait qu'il y a des politiciens qui n'arrivent pas, avec le temps, à écouter. Et avec les mandats qui se cumulent, finissent par penser qu'ils sont plus grands, qu'ils ont leur fonction. Seules les prochaines années pourront le dire, mais moi, je vais me battre pour continuer à être encore meilleur à écouter. Je vais me battre pour continuer à être encore meilleur à être humble. Et à faire en sorte que cette ville-là, ce n'est pas moi. [01:42:25] Speaker C: Je pense qu'on n'a jamais eu autant besoin d'une opposition qui va bien travailler face à un maire qui confond souvent la ville et sa personne. [01:42:32] Speaker D: Quand il dit « si vous me. [01:42:33] Speaker C: Critiquez, vous n'aimez pas la ville ». [01:42:35] Speaker D: Ah, mais la ville, c'est pas moi, là. [01:42:37] Speaker B: Il y a une très bonne analyse. Ville-Neuve a une très, très bonne analyse. Non, non, Stéphane, il est mieux de s'acheter des Roll-Aids, là. Parce qu'il va se faire gaslighter aller-retour. [01:42:48] Speaker D: Bien... [01:42:48] Speaker B: Puis Stéphane, il peut se craquer. Très bon communicateur avec Fleg, mais il peut se faire craquer, là. Moi, je vois... J'ai une vision, là. Puis ça, tu vas le voir assez vite dans tes premiers conseils municipaux que tu vas couvrir, Dan. Ils vont mettre les ricaneuses en arrière. Les baveuses, les ricaneux aussi. [01:43:09] Speaker D: Oui, parce qu'ils sont encore là. [01:43:10] Speaker B: Oui, il y en a qui ont été réélus, mais il y a des nouvelles aussi qui vont apparaître. [01:43:13] Speaker D: Il manque les libertariens. [01:43:14] Speaker C: Le Parlement va garder le Conseil exécutif de son côté. Puis je dis, il y a beaucoup de ricaneuses dans le Conseil exécutif. [01:43:19] Speaker B: Mais ils vont rire de Roussin. Ils vont rire de Stéphane, ils vont rire de Mélanie, c'est ça, Mélanie Gagné, je crois, c'est ça? [01:43:29] Speaker D: Sauvé. [01:43:29] Speaker B: Sauvé, pardon. Puis, oubliez ça, là. Et là, Stéphane risque d'exploser, là. Parce que, respect citoyen, attachez-vous au-dessus qu'ils vont faire rire d'eux autres, là. parce que c'est la recette marchand. C'est la recette de je vous ai entendu, mais on fait ce qu'on a à faire. Je vous ai entendu, mais il faut progresser. Je vous ai entendu, mais on veut qu'une ville avance. Je vous le dis, là. Puis moi, je me connais, puis je veux pas être à la place à Stéphane. Parce que j'arrangerais... Là, les caméras sont là, puis ils t'entendent. Puis là, les caméras, les journalistes, Mais ils vont prendre pour marchands. Oui, vous avez perdu le contrôle. Qu'est-ce qui se passe? [01:44:11] Speaker D: Oui, c'est ça. Ils vont juste montrer lui... M. Lachance. [01:44:13] Speaker B: Vous avez perdu le contrôle encore une fois. [01:44:14] Speaker D: Ils parleront pas de ce qui se passe autour. Ils vont juste parler, voyons. [01:44:18] Speaker B: Ben, comme le salut nazi... [01:44:20] Speaker D: C'est ça. [01:44:21] Speaker B: Le salut nazi, 2.0, 3.0, 4.0, vous allez l'avoir, là. Y'a personne qui a contextualisé l'histoire. [01:44:29] Speaker D: Jamais. [01:44:30] Speaker B: À part toi, Dan. Y'a personne qui a contextualisé ça. Donc, ça va être Stéphane LeRager, Ça va être Marc qui parle le contrôle et ça va être Mélanie l'hystérique. La couverture, je vous parle là. La couverture de ce qui va arriver dans les quatre prochaines années, c'est ça que ça va être. Donc, beaucoup de self-control. Quitte peut-être à écouter Laura Brannigan et sa belle chanson à succès. [01:44:54] Speaker D: Mais juste quand même réécouter le début de l'extrait que... L'extrait que j'ai joué, après Nelson Mandela. [01:45:02] Speaker C: Surtout le premier. [01:45:02] Speaker D: C'était quoi déjà l'autre? [01:45:05] Speaker C: C'est Desmond Tutu. [01:45:06] Speaker D: Desmond Tutu. Ben là on a Tony Blair. [01:45:09] Speaker J: Tony Blair disait, il y a des politiciens qui n'arrivent pas avec le temps à écouter. Et avec les mandats qui se cumulent, finissent par penser qu'ils sont plus grands, qu'il y a leur fonction. Seules les prochaines années pourront le dire, mais moi je vais me battre. pour continuer et attendre. [01:45:23] Speaker D: Je l'ai coupé. Parfait. Je cherche une manière de le couper. Je voulais juste le faire entendre quand même. Maintenant, il cite Tony Blair. OK. Le pire, c'est qu'il fait exactement l'inverse. [01:45:32] Speaker B: Tony, si on l'appelle... Oui? Ça se peut qu'ils disent... Do you know Bruno? Who the fuck is that? Never said that. [01:45:40] Speaker D: Ça se peut aussi. [01:45:41] Speaker B: Pour vérifier. [01:45:43] Speaker D: C'est vrai que j'ai jamais... Moi, je. [01:45:44] Speaker B: Peux vous arriver avec le Dalai Lama qui vous dit... La politique, sans principe, peut devenir une forme de violence. Ah, ça, il l'a déjà dit. Parce que j'ai les citations du Delahay-Lama devant moi. [01:45:56] Speaker D: As-tu les citations de Churchill? Il y en a beaucoup, lui, des citations. [01:46:01] Speaker B: Donne-moi un scotch, je te fais la guerre. [01:46:05] Speaker C: C'est parfait ça. [01:46:05] Speaker B: C'est pas ce qu'il a fait ça qu'il a dit, mais donne-moi un scotch pareil. [01:46:07] Speaker C: Il l'a sans doute déjà dit. Il a déjà dit donne-moi un scotch avant toutes les phrases qu'il a dites. [01:46:12] Speaker A: C'est ça. [01:46:13] Speaker B: Donne-moi un scotch avant d'entrer dans le train. Donne-moi un scotch avant de débarquer du train et ainsi va la vie. [01:46:17] Speaker C: Donne-moi un scotch avant d'enlever mon pyjama. [01:46:19] Speaker B: Viva la vida loca. [01:46:23] Speaker D: Oui, ça aussi il a dit ça Churchill. Comme a dit Churchill. Viva la vida loca. Il a tellement de la chanson de Churchill. Maintenant, est-ce qu'ils vont travailler ensemble, justement, Bruno Marchand et Steph Lachance? [01:46:39] Speaker J: Mais l'opposition classique, dans laquelle on ne fait que s'opposer, moi j'aurais envie que ce soit d'autre chose. Si M. Lachance et son équipe ne vont que là, ça leur appartiendra, bien ils danseront tout seuls. On ne pourra pas danser avec quelqu'un qui nous critique tout le temps et qui cherche à gagner chaque journée et à nous planter. Ce sera sa façon de le faire, puis je dis pas qu'il rentre tard. Je veux juste dire qu'on travaillera pas ensemble. S'il a envie qu'on travaille ensemble, puis que dans quatre ans, lorsqu'arrivera la prochaine campagne électorale, chacun présente sa vision et tous ceux qui s'ajouteront au débat démocratique, bien, ce sera une occasion dans quatre ans de faire les débats, mais d'ici là, de trouver des solutions ensemble pour la ville. Mais oui, j'irai pas danser tout seul. [01:47:11] Speaker B: Stéphane, il y aura un tramway, mais je te laisse le choix, quand même. Je te donne trois couleurs. Bleu marais, bleu pâle, bleu royal. [01:47:17] Speaker D: Mais ça, c'est la même toune qu'il a jouée dans Les Faux-Choix, sont deux. [01:47:20] Speaker B: Dernières années, Les Faux-Choix. [01:47:22] Speaker C: Mais les seules motions qu'on vote actuellement pour le tramway au conseil municipal, c'est pour l'acquisition... [01:47:28] Speaker B: Les expropriations. [01:47:29] Speaker C: Exactement, c'est pour les expropriations de gré à gré ou par expropriation de parcelles de terrain. C'est là-dessus, parce que le projet en tant que tel, Il n'y a vraiment plus rien qui se passe au conseil municipal pour ça. Tout ça est rendu au ministère du Transport. [01:47:43] Speaker B: Mais vous avez tort. Parce que les expropriations, on laisse le choix aux gens. Que ce soit monnaie de transport ou des autres compagnies. On a les numéros de téléphone, on peut les donner. Allez vous faire vos boîtes ou vous préférez qu'on fasse vos boîtes. Vous avez le choix. Vous avez le choix de quitter, mardi ou mercredi. [01:48:02] Speaker D: Mais vous venez d'entendre de toute manière ce qu'il va dire. Il travaillera pas avec la gang de Stéphane Lachance pis il va dire que c'est de leur faute parce qu'eux autres sont toujours négatifs pis sont toujours contre lui. [01:48:14] Speaker C: Mais absolument! [01:48:15] Speaker D: C'est une majorité! Il disait ça de la gang à Villeneuve, il disait ça des autres gangs avant. [01:48:20] Speaker B: C'est une majorité! [01:48:21] Speaker D: Ils ont été dans la même affaire. [01:48:22] Speaker B: C'est une majorité! [01:48:24] Speaker D: Est-ce qu'il va venir nous voir à choix? [01:48:26] Speaker G: Allez-vous retourner voir les gens de Dechoit? [01:48:28] Speaker J: Pas à court terme, non. Cette radio-là a fait la promotion de toute la campagne d'un parti, sans équité par rapport notamment... On peut dire que je n'y ai pas été. Même si j'y avais été, je n'aurais pas été traité équitablement. [01:48:38] Speaker C: Ça, c'est bizarre parce que tout le monde nous accuse d'avoir pris en contre un parti. On se fait accuser d'avoir été pro-Ahmed, d'avoir été pro-Lachance, d'avoir été pro-Guérette. [01:48:47] Speaker D: Finalement, on était pro tout le monde. [01:48:49] Speaker B: Tout le monde est venu ici, by the way. [01:48:51] Speaker D: Oui, ils sont venus. Excepté lui. [01:48:53] Speaker B: Et 20 minutes du peuple, toute la. [01:48:55] Speaker D: Gang sont venues répondre aux questions des citoyens. Il n'y avait pas une manière de le gosser, c'était lui qui répondait aux questions des citoyens. [01:49:03] Speaker B: Trop la chance, passez la chance. [01:49:05] Speaker D: Oui, je sais, je te rassure. [01:49:06] Speaker B: Trop Ahmad, passez Ahmad. Finalement, je suis un queer. Voilà. Je l'ai dit à David Bowie, puis... Il m'a dit bienvenue dans Queerland. [01:49:16] Speaker D: Je l'ai dit toute la campagne, puis on le disait depuis des mois, puis c'était Dan le premier qui l'a dit. On était pour qu'il n'y ait pas de division. [01:49:23] Speaker B: Voilà. [01:49:23] Speaker D: Ça a toujours été juste ça, notre position. [01:49:25] Speaker B: Ça me semble assez clair. Tu l'as dit hier dans un post Facebook aussi. [01:49:28] Speaker D: Oui. [01:49:29] Speaker B: Les gens qui ont 40 de Q et plus sont en même temps de comprendre cette affirmation-là, qui est une affirmation somme toute assez facile à comprendre, à disséquer et à capter. [01:49:41] Speaker C: En gros, s'il n'y avait pas eu de division, possiblement que Bruno Marchand serait maire aujourd'hui, mais il serait un maire minoritaire. [01:49:47] Speaker B: C'est ça. Avec un programme commun. Mettez qui vous voulez à la tête, je m'en balance, mais un programme commun, d'une vraie vision unifiée, anti-tramway. [01:49:57] Speaker D: Mais je te dirais que c'était mon autre verdict un peu hier. Il y a des bonnes chances que même unifié, il aurait été non seulement en maire, mais je pense qu'il aurait été même majoritaire. Avec une opposition beaucoup plus forte, là. [01:50:05] Speaker B: On le sait pas, là. [01:50:06] Speaker D: Oui, je sais. Mais tu sais, mais si on mettait. [01:50:08] Speaker B: La bouteille, ça aurait créé une autre dynamique complètement. C'est ça. Parce que t'aurais eu comme une espèce de référendum. [01:50:13] Speaker D: Il y aurait pas de déchirement. [01:50:14] Speaker B: Oui, quand du non. [01:50:16] Speaker D: Puis il n'y aurait pas eu de déchirement entre deux gangs ensemble. [01:50:18] Speaker C: Mais ça, Dom, tu prends en compte pour acquis qu'il y a une majorité de gens qui sont contre le tramway. Moi, je ne crois plus ça. Je ne crois plus... [01:50:26] Speaker B: Alors je comprends. Non, mais on parle de la dynamique qui serait issue d'une union. [01:50:29] Speaker C: Moi, je pense qu'actuellement, si tu fais un référendum sur le tramway, le oui gagne. [01:50:34] Speaker B: Peut-être. Encore là, c'est hypothétique. [01:50:36] Speaker C: Mais je sais que c'est hypothétique. C'est une prédiction, je le pense. [01:50:39] Speaker B: Mais je constate comme toi, le constat, on le fait. [01:50:41] Speaker C: Je ne les vois pas, les gens qui sont contre le tramway. On dirait qu'ils sont juste dans un sondage. Ils ne sont nulle part ailleurs. Ils ne vont jamais, jamais, jamais voter. [01:50:47] Speaker D: La Ville de Québec vote à gauche. Ça, c'est le constat qu'on peut faire. [01:50:52] Speaker B: C'est une telle de fonction publique. [01:50:54] Speaker D: Oui. [01:50:54] Speaker B: Protection des acquis. Quand on dit à gauche, c'est l'âge. Moi, je dirais plutôt une ville qui est beaucoup dans la protection des acquis, dans la poursuite des choses, dans le statu quo et la poursuite du statu quo, avec quelques agréments à gauche et à droite. Mais c'est une ville qui... Oui, oui, oui, il y a des compagnies qui font des sites Internet, là. Je comprends. Panda, KVO, puis tout ça. C'est des belles compagnies, je comprends ça. Mais c'est une ville qui est gouvernementale. Du jour au lendemain, le gouvernement ferme. Oubliez ça, là. C'est une ville qui crève de faim, là. C'est une ville, donc, qui dépend des gens, qui dépend de l'État et des États. Le fédéral très fort, d'Estimoville, la ville de Québec et, bien évidemment, le provincial. [01:51:39] Speaker D: Vous avez parlé de référendum sur le tramway. Oublions le tramway. Comment on fait pour que les gens participent plus aux élections municipales? J'ai aimé l'idée de lisez hier. [01:51:48] Speaker C: Il y a plusieurs options. Est-ce que ça devrait être en même temps que tes élections provinciales? Non. Il faut que ça reste distinct, parce que sinon, t'es complètement avalé par les autres débats. Mais moi, il me semble que si tu posais une question référendaire en même temps que l'élection, sur un ou deux sujets, ça mobiliserait autour d'un enjeu. Alors moi, je me chercherais une question pour la prochaine élection. [01:52:15] Speaker B: Voilà. Concernant la division, je veux juste dire cinq secondes. Ce soir, quand même une grosse élection dans la ville de New York. Un million de personnes vont voter. Les bureaux de vote sont ouverts depuis six heures et demie ce matin. Mais la question de la division du vote quand même dernier va être élue. Le communiste fou. On en reparlera demain. Mais la question de la division va revenir aussi. Est-ce que Sliwa Républicains appuyés par Trump auraient dû se liguer avec Cuomo, démocrate, indépendant maintenant. [01:52:48] Speaker D: Tu dis appuyé par Trump, mais Trump a appuyé Cuomo hier. [01:52:50] Speaker C: Oui, Trump a appuyé Cuomo hier. [01:52:52] Speaker B: Il a dit si j'ai le choix. Il a dit si j'ai le choix. [01:52:55] Speaker C: Entre un mauvais démocrate ou un communiste, je vais prendre le mauvais démocrate. [01:52:58] Speaker D: Et l'éditorial du New York Post ce matin, c'est « Let's get real, a vote for Sliwa is a vote to make Mandini mayor ». [01:53:05] Speaker B: Ben c'est ça l'histoire. C'est que Sliwa tourne autour de 24 %. Je pense que c'est 24 %. C'est un vrai républicain, Sliwa, là. C'est un vrai républicain. Et l'autre, c'est Cuomo avec tous les défauts du monde. Womanizer, le COVID show, il a tellement mal géré ça, il a tout regroupé les aînés dans des gens de CHSLD, c'est mon rappel. Comme ici, il y a une commission d'enquête qui l'a blâmé. Mais le pire des malaises est mieux que même Dany. Oui, c'est ça. Mais la division du vote, ça va faire beaucoup jaser ce soir dans les officines de New-Yorkaise, c'est ça que je voulais vous dire. [01:53:45] Speaker D: Tu le disais, je t'emmène peut-être là-dessus. Bruno Marchand, il était partout hier, en effet. Il est même allé voir Almarie Dussault en fin de journée. Puis, à la toute fin... En fait, elle recevait Bruno Marchand, la mairesse de Longueuil, la mairesse de Gatineau. Puis, à la toute fin, elle leur a demandé « Ça serait quoi votre ville rêvée? [01:54:03] Speaker B: Votre ville idéale, dans quatre ans, elle va ressembler à quoi, Bruno Marchand? [01:54:07] Speaker D: » Bien, je vais nommer une chose. [01:54:09] Speaker J: Elle offre la santé à ses citoyens. Elle bâtit des quartiers qui offrent la santé, qui permettent une meilleure espérance de vie, qui permettent une meilleure qualité de vie durant cette espérance de vie. On est capable de faire ça et ça englobe un paquet d'éléments, mais ça fait en sorte qu'on est capable de régler plein de problèmes du système de santé dans nos villes, notamment si on construit nos villes différemment. [01:54:26] Speaker D: Ça, c'est les villes sans voitures. [01:54:28] Speaker B: Voilà. [01:54:29] Speaker D: Parce que tu vas marcher, parce que tu vas faire du vélo. [01:54:31] Speaker C: Ça c'est n'importe quoi là. On aurait dit Jean-Daniel. On aurait dit Jean-Daniel qui répond. [01:54:35] Speaker B: Ben oui, c'est n'importe quoi. [01:54:36] Speaker D: Ben oui, c'est n'importe quoi. [01:54:37] Speaker B: Une ville différente. Ben oui, mais... Mais, mais, mais quoi Dan? Nous à Québec, on va vivre plus vieux, pis on va faire des fingers à ceux qui sont partis à Donnacona. C'est confirmé, si vous vivez à Donnacona, vous allez mourir plus jeunes. [01:54:53] Speaker C: Et on va danser sur votre tombe. [01:54:55] Speaker B: Et vous êtes dans Montréal Live. [01:54:59] Speaker A: Petite pause. De retour dans un instant. [01:55:05] Speaker D: Le temps file. L'incitatif provincial à l'achat et à l'allocation de véhicules électriques passera bientôt de 4 000 à 2 000 $. Alors faites vite, n'attendez pas! Louez la Ford Mustang Mach-E Select 2025 à traction intégrale d'une valeur de 39 861 $, incluant l'incitatif provincial de 4 000 $ avec zéro dollar d'acompte à seulement 489 $ par mois. Si certaines conditions s'appliquent, visitez votre détaillant Ford ou Ford.ca dès aujourd'hui. [01:55:37] Speaker B: Je suis rendu là, qu'elle est nette, mesdames, messieurs. [01:55:39] Speaker E: Hein? [01:55:39] Speaker B: Pourquoi pas? Ben oui. Là, vous êtes en panique, je le sais. Il y a un dégât. Vite, vite, vite, vite. Contrôlez vos émotions, soyez rationnels. Le numéro de téléphone est à retenir. 88666666. Vienne rapidement. S'occupe de tout. Et nettoie. Iréna va besoin et on s'occupe des assurances. Qu'est-ce que tu veux de plus? Et tout se fait à partir du Quartier Général, ici, pas très loin, à Beauport. On s'occupe des assurances. Ça, c'est tout en un, aussi, la maudite paperasse. On s'occupe de tout. Pas besoin de te casser la tête avec Calinette! [01:56:13] Speaker D: Traffic, transit and weather. la circulation de Québec pour faciliter la fluidité. [01:56:20] Speaker C: Ça va pas bien. Ça va pas bien. Ça va pas bien pantoute. Vous seriez bien mieux dans un tramway s'ils pouvaient s'enlever le doigt de dans le nez pis écouter enfin la population. Quoi qu'il en coûte, vous seriez bien mieux avec un tramway ce matin et un troisième lien pour l'instant. C'est jamais à Tête-des-Ponts, c'est jamais sur Charest, c'est jamais sur Capitale, c'est jamais sur Laurentienne, c'est jamais sur Henri IV. Y'a-tu une place où c'est pas jamais? Moi je vais vous le dire moi, la rue de l'église à Donnacona, ça c'est parfait. Jusqu'au 23 novembre dans les boulangeries Première-Moisson, toutes les baguettes sont à seulement 2$. Découvrez la variété de baguettes fraîchement confectionnées par leurs artisans boulangers. Certaines conditions s'appliquent. [01:57:00] Speaker A: Des articles coquins pour pimenter votre quotidien. Magasinez au sensationsplus.com et découvrez tous nos produits dédiés à la sensualité à deux. Livraison rapide et discrète. sensationsplus.com Salut, c'est Carbeau. [01:57:13] Speaker C: Pour le traitement de ma voiture, je fais confiance à Crown, une entreprise familiale. [01:57:16] Speaker D: Canadienne qui connaît les conditions d'ici. [01:57:19] Speaker C: Vous aussi, faites traiter votre voiture à l'anti-rouille Crown et économisez 10 $. Visitez le crown.com pour trouver nos 6 centres de la grande région de Québec. 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Tu pourrais gagner ta paire de billets pour assister au tout nouveau show de. [01:59:11] Speaker B: Jean-François Mercier à vie d'ébullition le 18. [01:59:14] Speaker D: Novembre prochain à la salle Albert Rousseau. Au signal de Dan Gravel, texte-nous ta blague la plus épicée et si elle est racontable en ondes, on la lit et tu gagnes. Jean-François Mercier, plus corrosif, plus vrai, plus drôle que jamais. Achète tes billets sur jeanfrançoismercier.com. [01:59:31] Speaker A: Saviez-vous que vous pouvez économiser sur votre ordonnance de Wegovie? Téléchargez votre carte rabais à Ouigovie.ca dès aujourd'hui. Des exclusions peuvent s'appliquer. [01:59:42] Speaker D: Salut Karine! Est-ce que ça va bien? [01:59:45] Speaker A: Oui, Nissa, mais pourquoi on est aussi rock? [01:59:47] Speaker B: Parce que ça prend une autre rame en matière que du mordant. [01:59:50] Speaker D: Le nouveau Rogue Rock Creek 2026 est arrivé. [01:59:52] Speaker A: Oh, avec son allure robuste, ses caractéristiques tout-terrain et l'attraction intégrale de série? OK, on repart ça. [01:59:58] Speaker D: Trois, Le nouveau Nissan Rogue Rock Creek est maintenant disponible à l'allocation à partir de 1,9 % jusqu'à 36 mois. Inclus réduction fidélité pour propriétaires Nissan admissibles jusqu'au 1er décembre sur approvision de crédit. [02:00:11] Speaker E: Des conditions d'application des tailles chez Nissan. [02:00:12] Speaker D: Ton employé t'écrit toujours 40 heures, t'es pas certain des heures que tes employés ont écrites. Tu vois des erreurs coûteuses se glisser dans les feuilles de temps? Passe à MobilePunch pour sauver temps et argent. Dis adieu aux problèmes de feuilles de temps. mobilepunch.com. [02:00:27] Speaker B: La promo manteau La Tulipe est de retour. [02:00:30] Speaker D: À l'achat d'un manteau de 250$ ou plus, recevez un crédit cadeau La Tulipe de 75$. C'est l'occasion parfaite de vous équiper et de vous gâter deux fois. André vient de vendre facilement et en moins de 48 heures son bloc à airfortin.com. [02:00:46] Speaker C: Et la vente s'est conclue sans conditions. [02:00:48] Speaker D: Ni garanties légales, devant notaire. [02:00:50] Speaker C: Oui, oui, devant notaire. Sans aucune complication. [02:00:54] Speaker D: Et sans commission ni rénovation. [02:00:56] Speaker C: Vite de même. Vite de même. [02:00:58] Speaker D: Pour votre bloc, maison ou terrain, demandez votre offre d'achat en ligne sur airfortin.com et vous allez vendre, vous aussi, vite de même. [02:01:06] Speaker A: Lui, il va l'acheter ton bloc. Airfortin.com. [02:01:10] Speaker E: Yes! [02:01:12] Speaker D: C'est pas un problème l'argent. [02:01:13] Speaker A: Pierre Couture. Ça roule. Suivez les chroniques de Pierre Couture. [02:01:18] Speaker E: Ça roule. [02:01:18] Speaker A: À Radio X. [02:01:19] Speaker D: Radio X. [02:01:21] Speaker A: La chronique de Pierre Couture présentée par Noréa Foyer-Napert. Les poêles et foyers Osborne fabriqués à Saint-Augustin sont arabais et vous économisez des milliers de dollars. Noréa Foyer-Napert à Sainte-Marie et à Québec. Morelive présentée par Multiconfort FX. C'est le mois de novembre fou-fou-fou! Des rabais exceptionnels sur nos thermopompes du 1er au 30 novembre. Informez-vous! En face de l'aéroport. [02:01:47] Speaker B: Choua. [02:01:47] Speaker A: Choua. [02:01:50] Speaker E: Choua. [02:01:52] Speaker A: Choua. [02:01:56] Speaker E: Choua. Choua. Choua. [02:01:59] Speaker C: Choua. [02:01:59] Speaker E: Choua. [02:01:59] Speaker B: Choua. [02:01:59] Speaker E: Choua. Choua. [02:01:59] Speaker F: Choua. [02:01:59] Speaker A: Choua. [02:02:01] Speaker E: Choua. Choua. [02:02:01] Speaker D: Choua. [02:02:02] Speaker A: Choua. [02:02:03] Speaker D: Choua. [02:02:05] Speaker E: Choua. Choua. [02:02:05] Speaker D: Choua. [02:02:05] Speaker C: Chou Les taux de participation de 51 % à Québec, quand même, les gens. [02:02:10] Speaker D: Se sont présentés aux jurys noirs. [02:02:12] Speaker F: Présentés aux jurys noirs. Présentés aux jurys noirs. Présentés aux jurys noirs. [02:02:17] Speaker D: Moray. Live. [02:02:21] Speaker A: Avec Dominique Moray. [02:02:23] Speaker D: Pourquoi pas? Dan Gravel. [02:02:24] Speaker A: Et Doom Dima. Radio X. [02:02:30] Speaker B: Est-ce qu'il y a quelque chose de réglé en santé? Est-ce que ça va bien? Est-ce que c'est réglo? Avez-vous un petit problème de liste d'attente, peut-être? La une du Journal de Québec de ce matin. On vous le dit comme ça, on va pas faire des unes à tous les jours. La liste d'attente pour cible, la liste d'attente pour ça, mais là, cette fois-là, c'est la Dermato. Manque de Dermato au Québec. Même que le Doc Lacroix, aux dernières nouvelles, il me disait qu'il avait de la misère à en recruter un, imaginez. Le privé a de la misère à recruter un Dermato. 108 000 patients sur la liste d'attente en Dermato. Et il y a une dermato qui parle, Dr Beauregard. Je travaille déjà 60 heures semaine. Je ne suis physiquement pas capable d'en faire plus. Je travaille beaucoup, mais 108 000 Québécois. Et peut-être là-dedans qu'il y a des cancers de peau potentiels. On lui a parlé il y a quelques semaines de ça et on veut avoir un update sur la situation de celui qui est l'un des plus, entre guillemets, vocal sur les marasmes dans notre système de santé. C'est le Dr Jean-Pierre Gagné, qui est à Québec, qui fait des vidéos, qui a des podcasts et qui est en ligne avec nous ce matin. Bonjour, Docteur. Comment ça va ce matin? [02:03:39] Speaker F: Bon matin. [02:03:40] Speaker G: Dans le contexte, on va dire que ça va. [02:03:42] Speaker B: Vous vous appelez Ford en Ontario? [02:03:45] Speaker G: Non, pas pour l'instant, mais je suis de près puis je suis amusé de voir à quel point le premier ministre peut être insulté par ça. On dirait qu'il se rend compte que c'est un marché qui est national, le marché de la main-d'oeuvre médicale. Puis c'est pas nouveau pour l'Outaouais. On parle des médecins, mais ça fait longtemps que les infirmières, que les techniciens en radiologie sont recrutés en Outaouais. L'Outaouais qui est depuis un certain temps un désert médical, comme vous le savez sûrement. Puis ça va être une catastrophe dans quelques semaines si ça continue, malheureusement. [02:04:13] Speaker B: Est-ce que ça va continuer? [02:04:15] Speaker G: Pour l'instant... Je ne vois pas d'apaisement. On entend que les députés de la CAQ commenceraient à lire le projet de loi, qui est quand même une chose surprenante puisqu'il a été adopté il y a une dizaine de jours. Mais on s'entend que la politique de parti a fait qu'ils se sont assis en chambre, puis ont voté oui. Mais on entend qu'il y a de la grogne, là, si vous suivez les chroniqueurs. [02:04:33] Speaker B: Ben oui, il n'y a pas fait de son Zoom. Dubé devait les rencontrer en Zoom suite à la démission de Carman, mais Dubé s'est jamais présenté. [02:04:40] Speaker G: Il faut présenter son projet de loi à postériorité, donc ça manque un peu de sérieux. Mais je sens peut-être un petit vent de panique, là, chez les députés de la CAQ, là. Je pense que la porte de sortie, dans le fond, la balance du pouvoir, là, comprenons-nous bien, elle est auprès de la députation caquiste. C'est eux qui ont en main les outils pour arrêter ça, je crois. [02:04:58] Speaker B: Qu'est-ce qui se discute dans les forums, les officines? Vous parlez avec beaucoup de médecins, la vie à l'hôpital et tout. [02:05:04] Speaker G: Il y a un projet de loi même qui m'empêche de parler, malgré que soit qu'on est dans un État qui est techniquement libre, mais j'ai un projet de loi sur la tête qui limite la liberté d'expression. Je suis prudent. Je suis prudent en étant quelqu'un qui peut être ciblé. Puis en même temps, ce serait quand même mal vu de la part du gouvernement de s'attaquer à moi. [02:05:23] Speaker B: Non, non, pas du tout. [02:05:27] Speaker G: Pas du tout. [02:05:31] Speaker B: De quitter. Par exemple, la dernière fois qu'on s'était parlé, vous m'avez dit que peut-être, peut-être, peut-être le Nouveau-Brunswick, ce sont des propos que vous ne pouvez plus répéter ce matin. [02:05:42] Speaker G: On se méfie, je vous dirais. On fait attention. C'est surtout ce qui s'apparente de la concertation ou, tu sais, d'avoir vraiment des actions concertées, là, qui est dangereuse. Mais on ne sait pas à quoi s'attendre face à ce gouvernement. On a eu un ministre de la Santé qui, pendant tout l'été, a dit des choses qui étaient fausses, interprète mal son propre projet de loi à ce stade, a mentionné récemment, encore une fois, qu'il n'y avait aucun objectif de volume dans son projet de loi, que ce qu'il disait, c'est de la qualité. Je me pose des questions sur l'intelligence collective de ce gouvernement-là, Ça n'en va nulle part. Puis en fait, ils sont en train de régler, encore une fois, je le répète, le désir de vengeance du premier ministre, qui date de près d'un quart de siècle, lorsqu'il était ministre de la Santé sous Bernard Landry, qui s'était fait mettre de côté à la veille des élections. Il est là pour ça. Puis le premier ministre, d'ailleurs, mentionne que c'est le temps de régler le problème des revenus des médecins. Alors qu'en théorie, c'est un projet-là qui vise à augmenter l'accès. Donc même au sein même des troupes caquistes, pas sûr que tout le monde a le même objectif. [02:06:51] Speaker B: Donc... Connaissez-vous des médecins qui vont quitter? Parce que là, ils ont dit, dans les nouvelles, dans les dernières informations, que l'Ontario recevait beaucoup d'appels. [02:07:02] Speaker G: Un nouveau Brunswick aussi. [02:07:04] Speaker B: Est-ce que vous connaissez? Vous êtes en mesure de me le dire? [02:07:08] Speaker G: Non, je ne peux pas vous dire ça. Je ne connais pas qui, personnellement, vont quitter. J'en connais qui vont, malheureusement, je vais dire que c'est presque pire, qui vont abréger leur carrière. Ça fait quelques années. [02:07:19] Speaker B: Des gens qui voulaient partir dans huit ans, puis ils vont partir dans deux ans? [02:07:22] Speaker G: Début de cinquantaine, je vous dirais milieu de cinquantaine. Ce qui était déjà, je vous dirais, épuisé... Ce dont on parle peu, je vous dirais, parce qu'encore une fois, les médecins, on est perçus comme des gens qui font beaucoup d'argent puis qui devraient se taire, c'est l'épuisement endémique dans le réseau de la santé. 50 à 60 % des professionnels de la santé, des médecins, ont des symptômes de dépression ou d'épuisement professionnel. Il y a eu un sondage de l'Association médicale canadienne récemment, qui va être rendu public bientôt, 15% des médecins ont des idées suicidaires. Alors imaginez dans une compagnie, vous seriez propriétaire ou président d'une compagnie, vous auriez 60% de vos employés qui sont en burn-out, puis il y en a 1 à 2 sur 10 qui ont des idées suicidaires. pensez-vous que vous devriez leur mettre des règlements de la nature de ceux qui sont attendus au premier degré? [02:08:13] Speaker B: Qui a fait cette étude-là? [02:08:15] Speaker G: La dernière dont je vous parle, c'est l'Association médicale canadienne, qui est une association non-partisane pan-canadienne. Mais vous allez en trouver partout de ça. Le PAMQ a des données. D'ailleurs, le PAMQ, les appels au programme d'aide aux médecins du Québec, les appels ont explosé. C'est catastrophique. Puis malgré le fait que les gens vont prétendre que les médecins sont bien payés, tout ça, ce qui est quand même... On ne se plaint pas de notre revenu comme tel, c'est l'ensemble du dossier qui nous irrite. Au 1er janvier, on parle quand même pour certains médecins, certains de vos auditeurs vont dire qu'on n'a pas à se plaindre, mais quand même des coupures de revenus au 1er janvier, immédiates, de l'ordre de 30, 40, 50 %. C'est quand même pas rien. Je veux dire, nonobstant les niveaux de revenus, donc ça crée un sentiment de panique. C'est faux, ça. Faut voir ce qu'on regarde comme données. [02:09:13] Speaker B: C'est les HEC qui publient ça. C'est sûr qu'il y a du coulage, il y a de la manipulation. On sait comment ça fonctionne, les médias. [02:09:20] Speaker G: Ça dépend toujours quelle statistique, quelle année on a pris, tout ça. Mais ce ne sont pas des... 2023. Non, il faudrait que je voie les chiffres. Honnêtement, je n'ai pas vu l'étude des HEC. L'étude dont vous me parlez, qui serait l'étude de la chère Jacques Parizeau, on parlait d'augmentation de revenus. Puis ces augmentations de revenus-là, encore une fois, il y a une fausseté parce que sous l'ère de Gaétan Barrette, il y a eu ce qu'on appelait un rattrapage salarial. pour les médecins spécialistes qui avaient été sous-payés pendant environ deux décennies. Donc, il y a eu un rattrapage salarial et non pas une augmentation de salaire pour mettre le revenu des médecins spécialistes au niveau canadien et finalement, si on veut, s'adapter à la compétition. Et le gouvernement, évidemment, utilise ces chiffres-là pour dire que ce sont des augmentations de salaire. L'autre fausseté qu'on entend régulièrement aussi, c'est de dire que les augmentations de salaire ne sont pas liées à une augmentation de la productivité chez les médecins. C'est de la dissociation cognitive. Dans la société en général, lorsqu'on donne une augmentation de salaire, ce n'est pas pour attendre plus de productivité, c'est pour s'ajuster à l'inflation, aux coûts de la vie, aux marchés environnants. Chez les médecins, on dit, écoutez, on vous donne, mettons, 3 % cette année d'augmentation de salaire. Vous n'en avez pas eu depuis 10 ans, mais on s'attend à ce que vous travailliez 3 à 5 % de plus, par contre. [02:10:38] Speaker B: C'est... c'est... Vous, dans votre cas, on exige quoi? Vous, votre situation... Je vous demande pas d'où vous êtes. [02:10:43] Speaker G: Avec le projet de loi. [02:10:44] Speaker B: Vous livrez votre T4 en onde, là. Mais vous, là, votre salaire va être coupé, grosso modo, de combien en pourcentage le 1er janvier? [02:10:54] Speaker G: En deux coupures. Il y a une coupure paramétrique de 13 à 14 %. on part avec ça. Et il y a une coupure aussi d'un acte, c'est très technique, mais qui est un supplément lié à la première visite. Moi, si je vous vois une première fois, la consultation est plus longue. Évidemment, je prends le temps de faire. [02:11:09] Speaker B: Le tour de... ou de compter. [02:11:11] Speaker G: On ne se connaît pas du tout. Alors moi, j'ai un petit supplément qui est lié à ça, qui va être coupé aussi. Mais sur le volume, écoutez, au niveau de l'Association des chirurgiens généraux, on estime que c'est une coupure d'environ 10 %, donc on parle de 25 %. C'est quand même pas rien, je vous dirais. compte tenu, je le répète encore, que nous n'avons pas eu aucune augmentation depuis 10 ans, puis qu'on a continué à travailler quand même, on a été plus productifs. Alors de ne pas avoir d'augmentation de revenus, on a déjà connu ça. Mais de se faire traiter avec mépris et d'avoir en plus un projet de loi dans lequel un article réserve aux ministres de décider des mécanismes de rémunération des médecins de façon unilatérale. Donc, c'est 25 % le 1er janvier. Ça pourrait être un autre 15 au mois d'avril, t'sais. [02:12:00] Speaker B: Alors... Pouvez-vous être plus productif? [02:12:02] Speaker G: Moi personnellement ou nous, dans l'ensemble? Écoutez, moi, je serais difficile, là, honnêtement. J'estime... t'sais, j'arrive à l'hôpital, disons, je vais vous dire, 7 h 30, 8 h moins 4, tous les matins. Je pars, je règle général à 17, à 18 h, plus les gardes. Alors, mais c'est un métier qui est difficile à expliquer. Moi, je suis de garde aujourd'hui. Donc là, moi, je suis de garde pour 24 heures, mais je travaille demain aussi. Donc il se peut que... Puis là, j'ai déjà travaillé 10 heures hier, environ 8 heures. Donc il se pourrait que j'arrive demain soir, que ma semaine de 40 heures soit faite, vous comprenez-vous? Mais il va me rester quand même deux jours après, donc une autre garde jeudi. Donc c'est difficile d'avoir plus de productivité. [02:12:41] Speaker B: Puis... Vous auriez besoin de quoi pour être plus productif? [02:12:45] Speaker G: Moi, personnellement, pour être plus productif, moi, j'aurais besoin d'un peu d'aide au niveau médico-administratif. Je vous dirais, je passe probablement... [02:12:52] Speaker B: La paperasse. [02:12:52] Speaker G: Bien, je passe probablement 4 à 5 heures par semaine à faire de la paperasse au lieu de voir des malades. Et l'autre élément, c'est... On parle de volume en clinique externe. Nous, on est un groupe de 6 chirurgiens ici. Si on avait, disons, une infirmière attitrée à la clinique externe qui voit des patients avec nous, qui nous connaît, qui connaît les pathologies qu'on traite, je pense qu'on pourrait probablement voir 30 à 50 % plus de patients. Mais pour réussir à faire ça, ça prendra un système décentralisé, reculé d'un quart de siècle, où le directeur général de l'hôpital pourrait dire, écoutez, Docteur Gagné, c'est une bonne idée ce que vous avez là, on va l'essayer. On va prendre une infirmière pendant six mois, on va voir si ça fonctionne. Mais actuellement, il faut que les gens comprennent que le directeur général de l'hôpital est nommé par le ministre. [02:13:37] Speaker E: Donc, il a les mains liées Et. [02:13:40] Speaker G: C'Est pour cette raison, vous ferez des recherches en ligne, vous ne trouverez aucun commentaire négatif de la part des PDG d'Hôpitaux du Québec sur la réforme. et le premier ministre, il y a quelques semaines, avait menacé de faire rouler des têtes dans le réseau. Je veux dire, c'est quand même... ce n'est pas loin du fascisme. [02:13:58] Speaker B: Et pendant ce temps-là, je ne sais pas si vous avez consulté le Facebook de l'émission, en fin de semaine, j'ai mis les 10 pages de l'organigramme de Santé Québec. [02:14:06] Speaker G: Puis je les consultais à quelques reprises. [02:14:08] Speaker F: Il y a des perles là-dedans. [02:14:09] Speaker G: Donc il y a un directeur de l'image de marque. [02:14:12] Speaker F: Alors, vous avez une société qui est un monopole d'État. [02:14:15] Speaker G: Oui, c'est ça. On a besoin de vendre l'image de marque d'une société d'État qui a un nom, une entité à deux noms relativement simples. Il y a aussi une direction qui s'occupe de la présence au travail. Donc, il y a des perles. [02:14:29] Speaker E: C'est une très bonne idée. [02:14:30] Speaker B: Absolument. Il y en a un qui est directeur droit du travail, mais tu as une direction du litige civil. Oui, mais fusionné. [02:14:38] Speaker G: Écoutez, que dire? [02:14:40] Speaker B: Non, mais il y en a plein. TG, service spécialisé en santé physique. [02:14:44] Speaker G: Tout à fait. Écoutez, ils se préparaient pour... Je pense qu'ils ont une certaine idée d'où ils s'en vont. Le ministre a dicté tout ça. [02:14:53] Speaker B: Bureau de projet, comme la tramway. Mélanie Lamontagne, on la salue ce matin, sûrement bien fine. Directrice du bureau de projet. Mais elle, ce n'est pas la même que la directrice de gestion de portefeuille de projet, qui est Geneviève Bélanger-Jasmin, qu'on salue. Ce n'est pas la même personne. Amélioration continue également, ça va bien, Madame Boubou. [02:15:16] Speaker G: Et vous constaterez aussi, en faisant des recherches, que l'ancienne directrice de cabinet du ministère de la Santé a été nommée à Santé-Québec. [02:15:23] Speaker B: C'est un hasard. Où s'en est les poursuites? Dernière question, Docteur, concernant... Écoutez, moi, je. [02:15:30] Speaker G: N'Ai pas de nouvelles, là. Donc, c'est une demande de sursis, là, donc vraiment pour certains articles du projet de loi qui attaquent... directement nos libertés individuelles, liberté d'expression, liberté d'association. [02:15:41] Speaker B: Le fait, vous pouvez pas me parler librement ce matin sur ce que vous voudriez faire d'anglais. [02:15:45] Speaker G: Le fait que je me méfie, le fait, si les gens... Vous constaterez aussi que la version anglaise du projet de loi, dans la version française, on parle plusieurs médecins qui parleraient ensemble pour faire une action concertée. Dans leur projet de loi anglais, on dit deux ou plus, two or more. Alors moi, ma conjointe est médecin de famille, donc moi, si je discutais avec ma conjointe le soir un peu de nos projets de vie, Puis la difficulté liée avec le projet de loi 2. [02:16:11] Speaker B: Vous êtes en infraction. [02:16:12] Speaker G: Je suis en infraction. [02:16:14] Speaker B: Donc, il faut que ça se passe juste sur l'oreiller. Et même encore. [02:16:17] Speaker G: Mais encore. Il disait bien que le premier ministre Trudeau avait dit que l'État n'avait rien à faire dans la Chambre d'État des citoyens. Dans un autre contexte. Mais écoutez, on en est rendu là. [02:16:25] Speaker E: Mais ça paraît irréel. [02:16:27] Speaker B: Absolument. [02:16:27] Speaker G: Mais c'est ça, là, tu sais. Donc... Mais j'ai bon espoir. Je sens un changement, là. Vous le sentez certainement, vous aussi, là, dans... [02:16:35] Speaker B: On voit que ça n'a pas d'allure. La députation commence à se réveiller. Il y a des plantes vertes à la CAQ qui commencent à s'éloigner. [02:16:40] Speaker G: Écoutez, on essaie de gagner l'opinion du public en vous parlant ce matin sur l'effort que je fais vraiment de voir qu'on se donne pour eux, pour nos citoyens. Mais je pense que c'est surtout que le gouvernement est en train de lui perdre son... Ben, le gars qui perd. [02:16:56] Speaker B: Les pédales envers Ford et tout. On voit qu'il y a une perte de contrôle. Absolument. [02:17:02] Speaker G: Écoutez, nous, on reste au poste. On continue à traiter les gens. Je veux rassurer les gens. Les gens vont être très bien traités quand même. Il n'est jamais question de prendre les patients en otage, jamais, jamais, jamais, parce qu'on fait ça pour eux. Puis moi, je comprends la frustration des gens qui n'ont pas de service, mais on avait des solutions sur la table. Martin Faure, qui est au cadre du réseau, qui a été limogé au printemps, avait un plan. de mise en place de la première ligne qui n'était pas liée sur l'inscription des patients, mais il était lié sur la prise en charge des problèmes. Autrement dit, vous, M. Moret, vous appelez à votre GMF, vous dites, moi, là, j'ai une... tord le genou en jouant au soccer hier. Alors, bien, on va pas dire, écoutez, prenez votre... Je vais vous mettre sur l'inscription du Dr Tremblay, là, puis il va vous voir dans un mois. On dit, OK, M. Moret, vous, c'est un physiothérapeute que ça vous prend. Alors, on va vous faire voir un physiothérapeute. [02:17:55] Speaker E: Et des projets pilotes étaient déjà préparé. [02:17:59] Speaker G: Dans plusieurs régions du Québec et M. Ford a appris, sans avoir jamais été informé, malgré le fait qu'il était très haut placé, que le projet de loi 106 a été déposé. [02:18:12] Speaker B: Donc bref... Oui, je vous laisse travailler. Merci beaucoup, Docteur. [02:18:14] Speaker G: De n'importe quoi. Puis on continue à se battre pour les bonnes raisons. [02:18:18] Speaker B: Merci beaucoup. Bye-bye. [02:18:19] Speaker G: Merci, merci. [02:18:20] Speaker B: On parle de santé, on parle de médecins. Vous êtes pour les syndicats? Non, ça c'est un risque. Ça, c'est une réflexion. Ça, on appelle ça de la bêtise. Mais la nature nous a constitué ainsi qu'on n'est pas des poissons rouges. On est capables de réfléchir. Là, j'espère que vous ne faites pas une adéquation entre la prestation de services de santé et le syndicat des cols bleus de la STM à Montréal, le syndicat qui emmerde le monde dans le transport en commun. Vous faites vraiment une adéquation? les chirurgiens du Québec, les conditions de travail et... un autre syndicat, la construction, mettons, FTQ Construction. Pour vous, c'est pareil, là? Wow! OK. Hein, les amis, on est capables de mieux que ça, là. On n'est pas des poissons rouges, là. On est capables juste d'évoluer puis d'y aller avec un petit peu plus de réflexion, un petit peu plus de juice, un petit peu plus de juice au deuxième, là. Je veux saluer les gens au passage dans l'organigramme de Santé Québec. On salue Julie Vielle, directrice de la rémunération globale et conditions de travail du personnel d'encadrement et de la classification. Mais Annie est réelle aussi, elle travaille très fort, hein? C'est la directrice de la culture et expérience employée. [02:19:39] Speaker C: Ha, ha, ha! [02:19:41] Speaker B: Aïe, aïe, aïe! Il y en a-tu des belles affaires. Marc-Antoine Rouillard, lui, travaille quand même à l'acquisition et mobilité des talents. Ha, ha, ha! Très bon. J'adore. Qu'est-ce qu'on a d'autre? Il y en a plein, il y en a plein. Yann Langlais-Plante. Un bon salaire, lui, et quand même, relations médias, affaires publiques et relations gouvernementales. [02:20:03] Speaker D: Il est rendu là, lui. [02:20:04] Speaker B: Mais c'est pas comme Nicolas Ciccani, qui est stratégie de marque. Ah, quand même, quand même. Ah, je vais rappeler Alice Microsoft, mon loulou. Fait que je veux tant pis... Je vais aller pour l'image de marque de Santé Québec. [02:20:18] Speaker C: Ta gueule, va chez Microsoft. [02:20:20] Speaker B: Planification et performance? Il me semble qu'on a besoin de quelqu'un. Dominique Cornelier, Lola Job, bravo. Promotion RSSS. C'est Dominique Cornelier aussi qui a ça, mais elle part à intérim parce qu'on s'en cherche un autre. Puis j'en ai plein comme ça. Bernard Caron, l'amélioration continue. Ça l'aide rien, moi, ça améliore. Hein, mon Bernie? [02:20:42] Speaker D: Hein, mon Bernie? [02:20:44] Speaker B: Très bon. [02:20:44] Speaker D: C'est pour ça que c'est tellement graduel que ça paraît pas. [02:20:47] Speaker B: C'est ça. [02:20:47] Speaker J: J'ai-tu cinq minutes? [02:20:49] Speaker C: Cinq? Non. Mais tu veux quoi? [02:20:52] Speaker D: Je vais prendre 30 secondes, juste d'abord. [02:20:54] Speaker B: T'es en train de voler mon temps parce que t'as essayé une bonne lancée à te pêcher, mais vas-y. [02:20:57] Speaker D: C'est parce que tu parles de la structure et tout ça. David Levine, ancien ministre quand même de la santé au Québec, sur le PQ. qui a parlé en fin de semaine puis dit, arrêtez ça, c'est pas les salaires le problème, c'est le système. [02:21:12] Speaker E: Il y a 25 000 médecins actifs au Québec. Jusqu'à date, il y a 880 qui ont quitté. [02:21:19] Speaker B: C'est pas les 880 qui ont quitté. [02:21:22] Speaker E: Parmi 25 000. qui cause le problème d'accessibilité, qui cause le problème des salles d'op. C'est le système, c'est le réseau. Et quand on dit il y a un autre 200 médecins qui vont quitter, ça fait grande manchette médiatique et ça va, j'espère, forcer le gouvernement de retourner à la table. [02:21:43] Speaker D: Fait que tant mieux si ça fait jaser, mais c'est pas ça qui est le réel problème. C'est que ces docs-là, quand ils sont là, ils peuvent pas opérer entre autres. [02:21:50] Speaker B: C'est ça. C'est ce qu'il nous a dit, qu'il a besoin. Il a besoin de monde. Il a besoin de... Toujours le même maudit chanson. [02:21:54] Speaker C: C'est ça. C'est le modèle le problème, mais le modèle, les gens votent pas pour le changer, fait qu'on le change pas. [02:22:00] Speaker B: Même affaire. [02:22:01] Speaker D: En effet. [02:22:01] Speaker B: On vote pour pas changer le modèle. [02:22:03] Speaker C: Oui, on vote pour le garder. [02:22:04] Speaker B: Donc vous l'avez, ce modèle-là. C'est le modèle que vous choisissez. [02:22:07] Speaker C: On vous offre ce que vous avez choisi. [02:22:09] Speaker B: Le seul qui veut vraiment le changer, c'est LAUB et Duham. Ils n'ont pas de député aux dernières nouvelles. [02:22:15] Speaker D: Qui est le premier dans les sondages? [02:22:16] Speaker C: C'est le péquiste. [02:22:17] Speaker D: Ah ok. [02:22:19] Speaker B: More of the same. [02:22:20] Speaker D: Oui. [02:22:20] Speaker B: Mais c'est ça que vous voulez. Donc vous avez ça. 8h22 et vous êtes à Radio X. [02:22:33] Speaker D: En direct, t'sais, le monsieur débarquait comme quelqu'un qui débarque du paradis, là, puis je vais venir vous sauver ma gang. [02:22:38] Speaker C: De pêcheurs, là, puis il y a. [02:22:39] Speaker B: Pas de problème, puis je suis là. [02:22:41] Speaker C: Puis j'ai l'expérience, puis l'expérience. [02:22:42] Speaker F: J'ai rencontré M. Hamad. [02:22:43] Speaker I: Il m'avait offert à l'époque de me. [02:22:45] Speaker F: Présenter comme conseiller dans le lac Saint-Charles-Saint-Émile. Chose qui disait, bien, c'est pas grave, t'habites pas là. [02:22:49] Speaker C: J'ai dit non. [02:22:49] Speaker E: J'ai dit, moi, c'est ce que je. [02:22:50] Speaker F: Préconais, j'habite pas là. Personne va me voir marcher avec mes chiens là-bas. [02:22:53] Speaker D: J'ai refusé ça. [02:22:54] Speaker F: On est dans un monsieur qui était dépassé, très, très, très, très mal entouré, qui avait aucune idée de comment la politique municipale se jouait. [02:23:02] Speaker A: En direct lundi au vendredi midi Je. [02:23:15] Speaker B: Vais vous parler d'un docteur encore une fois. Docteur Steve Bernier. Oui, c'est un chirurgien. Il est à Lévis, mais il opère également à Québec et en Beauce. Médecine dentaire, résidence à McGill. Vous avez également une spécialisation maxillofaciale extraordinaire. Propriétaire de clinique Maestro, je veux vous parler. de vos dents. Je veux vous parler de votre bouche. Je veux vous parler d'implants. Les soins implantaires, extraordinaires. Chirurgie naviguée 3D. Fini la pâte dans la bouche, on s'en souvient. Pesez fort, fort avec vos dents, M. Morin. Ah oui, t'as un beau moule en plâtre. T'as des dents qui goûtent de la plasticine, après. Fini, cette affaire-là. Voyons donc. On est très avancé. On est les meilleurs à Québec. Plus de 20 ans de métier. Consultation gratuite si vous consultez pour des implants dentaires. Bien sûr, le financement, disponible sur place via Dentoplaine. On est dans l'édifice de Tanguay à Lévis, mais on opère également à Québec et en Beauce, drstevebernier.com. [02:24:29] Speaker C: C'est problématique ce matin, surtout pour les gens de la Rive-Sud. Il y a un accrochage sur la 20, c'est direction est, c'est à la hauteur de la station d'épuration des jardins. C'est à la hauteur du golfe qui est de l'autre bord de la rue. que ça vient causer beaucoup d'ennuis pour les gens qui s'en vont vers Lévis-Centreville. Déjà que l'accès au pont, c'est compliqué. Capitale, on n'en parle pas. Charrette, direction S, ben ben lourd, à partir du Ikea, se rendre jusqu'au Centreville. Dufresne-Montmorency et Laurentienne également à l'accès au Centreville. C'est du compliqué ce matin. Uniprix vous offre chaque semaine des rabais partout en succursale. Consultez la circulaire en ligne et rendez-vous en succursale pour économiser. Détails au uniprix.com ou en magasin. [02:25:11] Speaker A: J'ai reçu ta note vocale. Tes choix des économies Sephora, j'adore. OK, dans mon panier, j'ai mis Tatcha Charlotte Tilbury pour ma cousine, un sérum pour les cheveux Kerastase et j'ai ajouté le parfum Tom Ford dont tu me parles tout le temps. J'ai utilisé le code promo EVERYTHING parce que oui, je t'écoute. Texte-moi ton choix final. Tout est en solde durant les économies Sephora. Les membres rouges ont accès en avant-première le 31 octobre. Les membres VIB et Insider économisent dès le 4 novembre. Les promos se terminent le 6 novembre. en ligne sur sephora.ca ou en magasin. Emballage LPO But avec vous depuis 80 ans. Pour vos boîtes de tout format, rubans, sacs, cellos ou cadeaux corpos, pensez LPO But. Ouvert au public au 1220 rue de l'Escarbot ou lpobut.com. [02:25:55] Speaker D: Lise a vendu sans effort et en. [02:25:57] Speaker C: Moins de 48 heures leur maison à airfortin.com. Et c'est une vente sans stress? [02:26:02] Speaker A: Sans aucun stress. [02:26:03] Speaker D: Sans conditions ni garanties légales? [02:26:05] Speaker A: Sans conditions ni garanties. [02:26:07] Speaker D: Devant notaire? [02:26:08] Speaker A: Devant notaire. [02:26:09] Speaker D: Sans ménage ni plusieurs visites? [02:26:11] Speaker A: Absolument. Vite de même. [02:26:13] Speaker C: Vite de même. [02:26:15] Speaker D: Demandez à airfortin.com votre offre d'achat en ligne et vendez-vous aussi vite de même. [02:26:20] Speaker A: Lui qui vole, achetez ton bloc. Airfortin.com. [02:26:24] Speaker E: Yes! [02:26:25] Speaker A: Je bouge pour être bien dans mon corps et dans ma tête, pour conserver mon autonomie, pour rester chez moi longtemps et pour continuer à jouer avec mes petits-enfants. Et bouger à mon âge, ça peut être simple. Je sors marcher dehors, je choisis parfois l'escalier plutôt que l'ascenseur ou je fais une activité qui me plaît, comme le vélo, la danse ou le taiji. Je l'intègre à mon quotidien, pour moi et pour ceux que j'aime. Bouger plus, vieillir mieux. Un message du gouvernement du Québec. [02:26:54] Speaker D: Drolette-Ressort, c'est votre centre de mécanique de véhicules lourds à Québec. 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Je suis parce que nous sommes. Nelson Mandela et Desmond Tutu nous ont fait connaître le concept de Ubuntu. Je suis parce que nous sommes. Nelson Mandela et Desmond Tutu. [02:30:27] Speaker C: Dominique Moret. [02:30:28] Speaker A: Moret. [02:30:33] Speaker E: Moret. [02:30:35] Speaker D: Live. Live. [02:30:39] Speaker A: Avec Dominique Moret. Dan Gravel. Étonnement. [02:30:46] Speaker D: Radio X. Morelive présente... Joey Obé. Joey Obé. [02:30:54] Speaker G: Joey. [02:30:58] Speaker B: Voyons donc, j'avais oublié ce thème-là, mais c'est Alain qui a perdu ses élections et j'en suis fort content. Parce qu'il est parfait né comme chroniqueur. Joey, c'est triste, mais je suis de bonne humeur. Comment ça va? [02:31:13] Speaker F: Ça va bien? [02:31:14] Speaker B: Comment je devrais le dire? On a de la peine pour toi, mais re-bienvenue. Comment ça se dit, cette affaire-là? [02:31:24] Speaker F: Bof! Ça se dit pas mal comme ça, je te dirais. [02:31:26] Speaker B: Mais t'as bien perdu, pareil. Tu t'es pas fait humilier à 3 %, là. T'as eu quand même 22 %, c'est ça? [02:31:32] Speaker F: Oui, 22,10 %, puis je tiens à remercier les 2427 personnes qui ont voté pour moi, puis pour le respect citoyen dans la Chute Montmorency-Saint-Uriel, puis également tous les bénévoles qui ont donné du temps pour ma campagne. Ça fait que c'est vraiment... C'est chaud au coeur. Merci beaucoup. [02:31:46] Speaker B: Et finalement, pour le reste, qu'est-ce que t'as appris? Parle-nous un peu de la campagne. Qu'est-ce que t'as... T'sais, t'as tes opinions, t'es un gars d'opinion, puis t'es un jeune, ma jeune génération des conservateurs du Québec. Qu'est-ce que t'as appris en politique durant cette campagne-là? Fais-moi un top 3 des surprises, des trucs ou des déceptions que tu as appris durant cette campagne-là, pour respect citoyen. [02:32:13] Speaker F: Première chose, c'est sûr, j'ai entendu un peu, au du moins, on m'a dit à l'oreille que ça avait été une erreur de vouloir y aller. Je suis très conscient que c'était difficile de mon côté, dans le comté de M. Mélenchon à l'origine, bien que ce n'est pas lui qui ait remporté en bout de ligne. Mais je voulais quand même avoir l'expérience de tout ça. Puis la gang de Stéphane, la gang de Respect citoyen, c'est des gens que j'apprécie beaucoup, que j'ai appris à connaître. Donc c'est vraiment mon premier point. J'ai découvert beaucoup de nouveaux gens qui étaient vraiment passionnés, des gens qui tiennent leur vie, des écrivains qui ont leur ville à coeur. Puis c'est ça qui s'implique beaucoup au niveau du Trois-Litres Cycle, puis des gens vraiment extraordinaires, puis sérieusement, de toutes les équipes. Malgré les résultats finales d'hier, c'était quand même très bon, du moins pas de douce par rapport au fait qu'on partait. Vraiment, c'était vraiment... On m'a reposé la question, on s'en tombait dans le passé. Si j'aurais changé d'équipe, la réponse est non. Deuxième point, écoute, c'est sûr que la campagne médiatique, au-delà de tout ça, autant que je m'attendais un peu à ce qu'il y ait un peu de, on va dire en bon Québecois, de brassage de marde un petit peu, mais là, ça a été à un niveau quasiment stratosphérique. Sérieusement, ça montre à quel point la machine est prête vraiment à se défendre pour empêcher que des... disons que des positions adverses, au moins qui challengent un peu le statu quo, pour de vrai, puis sur les vrais enjeux, ils n'ont pas du signalement de vertu ou quoi que ce soit, qu'ils vont me fouiller absolument dans tout. Puis même moi, je l'ai fait. Autant que moi, je n'ai rien à me reprocher. C'est sûr qu'étant dans un podcast, puis je travaille pour l'autre toujours pendant au-dessus de deux ans et au-delà de ça, puis avec toi comme chroniqueur ici et là, j'en ai dit des affaires, mais très, très peu que je regrette, au moins aucunement qui sont criminelles ou quoi que ce soit. Mais même moi, avant d'être annoncé comme candidat, j'ai fait un clean-up de mes réseaux sociaux, puis c'est des publications souvent anodines que j'ai supprimées. Je me suis dit, ouais, mais juste ça, ils vont trouver que c'est ça d'une manière, puis ils vont peut-être paraître comme quelque chose de bizarre. C'était vraiment un modus operandi que j'ai fait, puis ils m'ont pas nécessairement attaqué durant cette campagne-là, mais de ce que j'ai vu de l'intérieur par rapport à tout ce qu'ils ont osé faire, autant respecter les citoyens, puis du côté de M. Hamad, je trouvais ça vraiment exécrable à ce niveau-là. Puis troisièmement, écoute, la campagne a été vraiment quelque chose que... Tu sais, j'ai quand même beaucoup appris. Au temps de municipal, je vous le cacherais pas, c'était quand même un univers que je connaissais quand même moins, bien que je m'en intéressais par définition avec la job que j'avais, mais que j'ai toujours. J'ai vraiment beaucoup appris. Sérieusement, t'sais, c'est bien beau donner du temps puis être militant, t'sais, pour un candidat X, pour un parti provincial, fédéral ou quoi que ce soit, mais quand c'est toi qui as la face sur le poteau, c'est une coche au-dessus. Puis c'est vraiment... c'est toute une autre... on va dire comme tu le dirais, c'est une autre gimmick complètement, là. [02:34:37] Speaker B: Et vraiment... Qu'est-ce que tu... savais pas que tu sais maintenant? [02:34:44] Speaker F: À quel point le... on donne... autant je le savais, mais je le sais encore plus, je te dirais. On parle justement... Les derniers jours, on a beaucoup parlé des gens qui ne vont pas voter. C'est le taux de participation qui a augmenté légèrement, mais qui est encore quasiment un citoyen sur deux qui n'a pas été voté. Vous savez pas à quel point... Qu'est-ce. [02:35:01] Speaker B: Que ça te fait comme effet? [02:35:03] Speaker F: Bien, je te dirais qu'autant qu'on s'y attendait un peu, autant que je suis content qu'il y ait quand même eu une légère hausse, mais en même temps, est-ce que c'est un retour anormal par rapport à la COVID versus vraiment une réelle volonté de changement? Ou c'est vraiment une sorte de... Écoute, on s'occupe de nos enfants. [02:35:16] Speaker B: Qu'est-ce que tu penses des gens qui ne vont pas voter? [02:35:19] Speaker F: C'est ça que j'allais dire. Je serais surpris à quel point il y a de la quantité d'argent, de jus de bras, de temps que les partis politiques, toutes idéologies confondues, mettent pour vous faire lever le derrière pour que vous allez voter. Autant les campagnes de pub, autant le travail sur le terrain, les campagnes de téléphone, les services de lift au cas, par exemple, vous n'êtes pas capable de vous dépresser, on vous offre un lift, les partis, vous les appelez, ils viennent vous chercher, vous puissiez aller voter. Écoute, les campagnes d'appels, C'est fou la quantité de jus de bras et de temps et d'argent qui est mis juste parce que, clairement, il y a une volonté. Au moins, les gens n'ont pas nécessairement le réflexe toujours de vouloir aller voter, puis les partis mettent énormément de temps là-dessus. Ça fait que ça m'a montré beaucoup plus derrière le rideau de tout ça, puis vraiment à puissance 10. [02:36:05] Speaker B: Est-ce que, selon toi, étant donné que c'est un jeune, jeune parti, le respect citoyen était désavantagé au niveau de la structure, tout ça? C'est monté de toutes pièces, là. C'est extraordinaire, ce que c'est fait. Est-ce que... ou au contraire, c'était bien huilé, puis t'as constaté de l'intérieur, vraiment, que... Tu sais, faire sortir le vote, il y avait du monde avec des... avec des vannettes. T'as dit, ouais, on va chercher du monde. Là, tu dis, go, on fait le tour. Tu sais, ça a été quoi, ton évaluation de ça? [02:36:30] Speaker F: Mais c'est sûr qu'il y a un respect citoyen, même depuis avant que j'arrive au sein du parti, puis annoncé comme candidat, on savait qu'on avait à l'époque un déficit de notoriété. Vraiment, il y a beaucoup de gens. [02:36:39] Speaker B: Qui... Ça a commencé à zéro, puis ils ont atteint... C'était un statut de parti pour Stéphane Lachance, quand même. [02:36:46] Speaker F: Oui, absolument. Mais au niveau de la machine, je te dirais que... C'est une machine qui est toujours très bien rodée, puis autant que les moyens n'étaient pas toujours là, autant on a maximisé un peu comme notre slogan qu'on me disait souvent, puis c'est vrai, on veut maximiser chaque dollar investi, mais c'est la même chose au sein de l'argent de notre parti. On a vraiment maximisé chaque pièce, chaque temps, chaque bénévole qu'on pouvait avoir de manière volontaire bien évidemment, mais on voyait clairement que malgré les moyens qui étaient moindres que d'autres parties, qu'il y avait déjà du financement électoral, on a vraiment maximisé le potentiel de chaque pièce investie, de chaque heure qu'on investissait, de chaque temps que les bénévoles nous offraient. Ça a vraiment fait la différence. Là, ce qui est le fun, c'est qu'avec le financement qu'on va recevoir pour les quatre prochaines années, bien, la machine était déjà bien rodée, bien, va l'être encore plus dans les prochaines années, ça, c'est sûr. [02:37:29] Speaker B: Le résultat de l'élection, il veut dire quoi pour toi? [02:37:34] Speaker F: Bien, c'est sûr qu'en même temps, on peut pas mettre à côté la division du vote, bien évidemment. C'est sûr que les citoyens ont pensé, puis ils se sont dit, bon, on ne mettra jamais ça en question. Mais clairement, c'est ça, j'en avais parlé hier là-dessus, à quel point c'est à plusieurs... bien, je le cacherais pas, là, tu sais. Autant qu'on peut le vérifier de tous les bords, mais de toute une manière, j'ai un peu volé la victoire à M. Mélenchon, là, tu sais. Puis je le... Écoutez, je le regrette aucunement dans le principe que je me suis présenté en faisant cette suite. [02:37:54] Speaker B: Mais les résultats en ont un sens large. [02:37:56] Speaker F: Oui, oui, oui. [02:37:57] Speaker B: La super majorité de marchands, c'est ça, nous, qu'on retient au final. C'est quoi ta compréhension de la dynamique municipale à partir de ce matin, là, mettons? Puis après, on parlera de la Rive-Sud. [02:38:10] Speaker F: C'est ça qu'à ce niveau-là, je te dirais que j'ai l'impression qu'on va avoir un maire qui était déjà, disons, arrogant. Il va le devenir de plus en plus, selon moi. Autant que je donne la chance aux coureurs, puis c'est ça. Donc, mon espoir est faible. Mais disons que c'est ça. On avait un maire qui était déjà avec une minorité entre au pouvoir il y a quatre ans, qui a réussi à ramasser une majorité avec les anciens de Québec 21. Il s'appelait quasiment comme Louis XIV, comme dirait Claude Villeneuve, que je trouvais qu'il avait bien exprimé le propos, d'ailleurs. Et là, maintenant, autant que j'ai une 100 % confiance en Stéphane, en Mélanie et en Marc, ça va être vraiment un trio du tonnerre, selon moi. Oui, ils sont 3 versus 18, mais croyez-moi qu'ils vont faire entendre parler d'eux autres. Puis à chaque intervention, comme j'ai dit tantôt, ils vont maximiser le temps puis ils vont maximiser le potentiel. Puis d'une manière ou d'une autre, ça va être super intéressant. Mais écoute, autant que... [02:39:01] Speaker B: On le dit quoi qu'il en coûte. Les gens ont voté pour le tramway et la Rive-Sud ont voté pour le troisième. Cinq fois plutôt qu'une. Et là, tu fais le calcul des deux. C'est un projet à 15 milliards, Rive-Nord, 15, Rive-Sud. Ça fait 30 milliards. Quoi qu'il en coûte, ils le veulent. Les gens l'ont décidé ainsi. Qu'est-ce que tu fais des vertiques démocratiques? Ta compréhension de tout ça, c'est quoi? [02:39:23] Speaker F: C'est sûr et certain qu'il faut respecter la volonté des citoyens rendus là. C'est sûr qu'en même temps, on ne peut pas mettre de côté, justement, le taux de participation puis la division du vote, mais le résultat final est en ce qu'il est. C'est sûr qu'en même temps, s'il y a une logique à appliquer sur la volonté des citoyens par rapport, par exemple, au projet de tramway, il faut l'appliquer aussi également sur plein d'autres enjeux, par exemple, la souveraineté ou quoi que... de tous les autres sujets aussi, qu'on ramène la même logique, le même calcul politique. On ne compte pas nécessairement tout le temps. C'est bon pour Pétou, c'est bon pour Minou aussi. Donc j'ai l'impression qu'à ce niveau-là, c'est... C'est assez spécial à mon niveau, je ne te le gâcherais pas. Autant que je suis toujours en contre de ce projet-là. Je trouve ça plate quand même qu'à ce niveau-là, les gens ne sont pas nécessairement déplacés. Je sais qu'il y en a plusieurs de notre équipe ou de nos partisans qui y ont été, mais ça n'a pas fait la différence exclusivement. Mais regarde, on va être présents. et je suis vraiment bien content du résultat qu'on a eu malgré tout ça. [02:40:16] Speaker C: Mais Joey, tu me rassures, il existe le monde qui sont contre le tramway parce que là, ça fait cinq élections de suite que ces gens-là se présentent pas pour aller voter, là. Ça fait cinq élections de suite que les... Puis là, je parle pas juste aux municipales, là. Au Québec, les gens ont voté pour Mark Carney en grosse majorité. Les gens ont voté deux fois pour Bruno Marchand, qui était pro-tramway. Ils ont voté pour la CAQ, qui arrivait avec un tramway. On a eu des élections partielles. On a encore voté pour la CAQ ou encore pour le PQ, qui lui aussi est pro-tramway. En fait, jamais, jamais, jamais, les gens qui sont contre le tramway ont été votés. Est-ce que ces gens-là existent pour vrai? Je veux savoir si tu les as vus en porte-à-porte. [02:40:57] Speaker F: J'en ai vu. Mais pour vrai, je pense que notre erreur d'analyse à tous, c'est qu'on ne se cassera pas. C'est surtout moi qui me présente à la politique. On est tous des geeks de politique. On suit l'actualité à longueur de journée. On n'est vraiment pas représentatif du citoyen lambda, du citoyen moyen. Mon but, ce n'est pas de voir le dire qu'il est moins intelligent que nous autres. Aucunement. Il a sa propre vie et on respecte ça bien évidemment. Ça me fait penser un peu à un tweet que Frank avait fait il. [02:41:20] Speaker E: Y a quelques semaines. [02:41:21] Speaker F: On est contre... On a voté... La majorité des gens sont contre le trameau au niveau des sondages, mais on vote pour nos marchands. Ils veulent élire PSP pour pouvoir, mais ils sont contre le référendum. Tu sais, ils veulent... Ils veulent justement... Ils n'hésitent vraiment pas à s'en confesser, mais ils veulent qu'on protège la gestion de l'offre puis qu'on fasse la promotion des produits locaux puis de l'économie circulaire. [02:41:39] Speaker B: On veut qu'on baisse les impôts, on veut transformer le système de santé, mais Dieu m'arrive quatrième au provincial. [02:41:45] Speaker F: C'est ça, je dirais que généralement les gens, puis je trouve ça plate, je n'aime pas ça dire ça, mais les gens ne votent pas pour les partis politiques par rapport à leur politique publique. J'aimerais ça que ça soit différent. J'aimerais ça que les gens prennent un cinq minutes liste que les partis ont à offrir, au-delà de ce que le bonhomme a fait avec ses taxes, ou au-delà si le gars ose la voix plus que l'autre, ou si l'autre a un meilleur soude que l'autre. J'aimerais bien ça, mais c'est ça. La politique est une question de perception pour bien des gens. Puis il y a beaucoup de gens qui ne veulent pas, entre guillemets, perdre leurs élections, donc ils votent pour le parti qui va gagner. Même si peut-être qu'ils s'y fouilleraient, il. [02:42:17] Speaker B: N'Y aurait aucun soin. Ça, j'aime ça. Oui, oui, oui. Reste là-dessus. L'histoire de gagner les élections. Il y a des ridicules personnages qui sont amusés avec toutes sortes de caricatures. J'en ai rien à foutre. J'aime ça. On aime caricaturer, donc si vous voulez nous caricaturer, amusez-vous. Vous avez perdu vos élections. Puis ça. Moi c'est pas un jeu là. T'as perdu la game hier. Oui ça c'est un jeu, mais perdu les élections. Moi ça me tente pas de gagner des élections. Moi si je veux gagner des élections, je vais voter contre mes convictions. À chaque fois. On va toutes les gagner. Ouais mais c'est pas un jeu ça. J'ai gagné mes élections. Ça c'est des fucking retards qui pensent comme ça. Hey j'ai gagné mes élections. Mais t'es un retard. [02:42:59] Speaker D: Yeah. [02:43:01] Speaker B: On vote en fonction de ce qu'on croit. On vote en fonction de nos idées. On vote en fonction de valeurs. On vote pas comme on fait un pool de hockey. C'est pas fantasy. [02:43:16] Speaker D: C'est pas un pool. [02:43:18] Speaker C: Y'a-tu d'autres qui votent pour gagner là? [02:43:20] Speaker B: T'es-tu d'accord avec moi? Non, mais que tu t'achètes avec moi, ça se passe bien autre. [02:43:25] Speaker C: Je suis entièrement d'accord. [02:43:26] Speaker B: J'ai gagné mes élections. Je suis fessé. Avec moi, ça fait 7 élections que je gagne. [02:43:30] Speaker C: J'en ai jamais gagné une, moi. [02:43:31] Speaker B: J'en ai rien à foutre. J'en ai rien à foutre que tu nous dises ça, que t'as gagné 8 élections sur 10. Rien. Zéro. Zilch. [02:43:39] Speaker C: Je vais me voter pour l'NPQ, là. C'est ça, tu vas gagner. [02:43:41] Speaker B: Ben, c'est ça. [02:43:42] Speaker C: Je veux gagner mes élections. [02:43:43] Speaker B: C'est ça. [02:43:44] Speaker F: Ta qualité de vie, as-tu gagné, elle, d'insister de gagner un élection? [02:43:46] Speaker B: Ben, c'est ça, l'histoire. [02:43:49] Speaker F: Ben non, c'est ça. Tu fais... Ben, on a perdu nos. [02:43:52] Speaker B: Élections à Radio X. Moi, je gagne pas pire les élections de numériste. C'est ce que numériste vient de me glisser à l'oreille. C'est ça, les élections de Morelive. Dans Radio Commercial, on est fucking numéro un, pis je gagne mes épaulettes, pis un beau bonnet qui est déposé dans mon compte Desjardins, pouf! Pis pour les boys ici aussi, c'est ça, les élections. Le reste, j'en ai rien à foutre, gang de dummies, gang de... gang de... de pleutre, gang de mitaines. Tu vas-tu gagner tes élections provinciales? Est-ce que tu te présentes PCQ maintenant? [02:44:31] Speaker F: Écoute, présentement, je suis... je te parle en direct. [02:44:33] Speaker B: C'est un beau camp d'entraînement, ça, de jouer au bay. C'est un beau camp d'entraînement pour les provinciales, ça. [02:44:38] Speaker F: Bien oui, absolument. Puis écoute, j'ai rencontré des gens extraordinaires que je connaissais pas avant, que je garde contact. Vraiment, comme je te disais, des gens passionnés, des gens qui se connaissent le terrain puis qui ont vraiment une grande expérience politique aussi. Puis sérieusement, on avait une chemise d'équipe extraordinaire. Mais écoute, je ferme pas la porte. Puis évidemment, t'écoutes, On a commencé à se connaître, toi et moi, en mars 2021, après mon départ de l'El Genescaquis. T'étais l'un des premiers à m'avoir jasé à l'époque, puis j'ai rejoint le PCQ un peu après. Puis ça, un mois avant qu'Éric Duhaime se fasse le meilleur chef. Fait que je suis là au PCQ depuis un bon bout de temps, puis je suis pas arrivé là comme un genre d'arriviste ou un genre de gars qui est juste là pour un avant-gardiste pour ce qui a été une job. Au contraire, j'ai milité vraiment pour les idées, puis c'est ça. Au-delà de gagner les devoirs, gagner ces élections, on veut gagner la guerre des idées. C'est un peu ce qu'Éric dit souvent. Mais non, je ferme pas la porte du tout. Au contraire, je vais vraiment y aller sérieusement. C'est sûr que la dernière campagne, ça a été quand même au travers de ma job avec Yann et Frank, que je faisais quand même au travers. C'était pas vraiment autant. J'ai mis du temps, beaucoup les fins de semaine, beaucoup les soirs de semaine et tout ça. J'ai eu beaucoup de porte-à-porte, mais c'est sûr et certain que je m'étais pas mis à 100 % de mon temps, parce que c'est ça, d'autres obligations. Bien évidemment, je suis pas indépendant de fortune. Mais c'est sûr et certain que si je me lance, puis si vraiment dans le côté de la... Un comté dans la région de Québec, au sein que j'aurais une réelle chance, c'est bien évidemment que j'ai l'intention de poser ma candidature. [02:45:50] Speaker B: Tu as du talent. C'est que tes candidats, ça va nous faire un plaisir de te congédier comme chroniqueur. Parce que tu pourras plus parler, évidemment. Je pense que les gens comprennent que tu vas mener campagne. [02:46:00] Speaker A: Hé! [02:46:00] Speaker B: Message en terminant, puis je vais finir sur une belle note. C'est Steven Melençon qui vient de m'écrire. Dis à Joey qu'il a fait une belle campagne, un chic type. C'est un gentleman, là, Steven. [02:46:10] Speaker F: Ah, bien, il y a apparemment M. Melençon. Puis ça, c'est jamais été quelqu'un que j'ai testé ou quoi que ce soit. En fait, on partageait beaucoup nos idées. Puis c'est sûr, je trouvais ça quasiment... C'était dommage pour lui qu'il nous ait pas rejoints, du moins du côté de respect citoyen. Puis pour vrai, j'étais dans la soirée électorale, autant que je voyais mes résultats, que je faisais troisième, puis je voyais la guerre serrée entre Mme Vérot de... de marchands, puis lui, puis je vous dirais que c'est ça. J'aurais aimé que peut-être que c'est ça, M. Mélenchon puisse quand même passer malgré tout, malgré que c'est ça. Faut jamais dire jamais, mais écoutez, merci, M. Mélenchon, je vous envoie un bon message, puis garde bonne continuation à vous de votre côté. [02:46:44] Speaker E: Merci beaucoup. [02:46:44] Speaker B: Ça fait du bien, un peu de classe, c'est le fun, ça fait du bien. Bien, re-bienvenue dans Montréal Live, mon cher, puis au plaisir de se reparler dans deux semaines. Ciao! [02:46:53] Speaker E: Salut! [02:46:54] Speaker B: 8H46. On est-il à une émission de radio, nous autres? [02:46:59] Speaker C: Je pensais que oui. [02:47:01] Speaker B: Parfait. On fait la pause et on revient. [02:47:21] Speaker A: Radio X. [02:47:22] Speaker D: Présenté par La Lunetterie Beland. [02:47:24] Speaker C: Obtenez le meilleur prix garanti avec nos forfaits verts et montures Simple Vision à 99$ et Progressif à 249$. La Lunetterie Beland. Service qualité bas prix. [02:47:35] Speaker B: Nanook, le groupe Nanook sont complètement tombés sur la tête. On ajoute une autre promotion à celle qui était déjà en place. Le spécialiste de la toiture pour un temps limité, il va avec l'offre de rabais éclair pour les toits en bardeau, les toits finalement pour les cottages, ce que vous voyez quand vous prenez une marche avec le chien pour garder les maisons. Les toits en bardeau. 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[02:50:41] Speaker A: Donc, je peux mettre ma bouteille d'huile d'olive? [02:50:43] Speaker D: Oui, contenant. [02:50:44] Speaker A: Mon papier d'aluminium? [02:50:45] Speaker D: Oui, emballage. [02:50:46] Speaker A: Les lettres d'amour de mon ex? [02:50:48] Speaker D: Imprimé. [02:50:49] Speaker A: Dites adieu aux anciennes règles de tri. La seule à retenir, c'est contenant, emballage, imprimé. Un message de Bac Impact, la nouvelle référence en collecte sélective. CAA Québec vous offre sa carte classique au meilleur prix de l'année. 6,25 $ par mois. Oui, c'est moins cher qu'un grand latté. 6,25 $ par mois pour des économies chez nos partenaires, dans les garages recommandés, sur l'essence, à la boutique CAA et même sur des offres voyage exclusives. Et bien sûr qu'à 6,25 $ par mois, ça inclut les services d'assistance routière, le dépannage, le survoltage et même un raccompagnement si vous ne pouvez pas conduire. L'hiver arrive, soyez prêts. 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Qui sont également membres de l'armée de Marie. [02:52:20] Speaker D: Moray. [02:52:21] Speaker B: C'est une bonne idée. [02:52:21] Speaker A: Avec Dominique Moray. [02:52:24] Speaker C: Ça m'inspire. Ça m'inspire. [02:52:27] Speaker D: Moray. Live. [02:52:29] Speaker A: Radio. [02:52:32] Speaker D: François Lambert! [02:52:36] Speaker B: François Lambert! Salut François, comment ça va? [02:52:49] Speaker E: Je peux pas m'empêcher de rire à chaque fois que je t'entends dire mon nom dans le jingle. [02:52:54] Speaker B: Ouais, bon, on exagère. On est crainqués, un matin. Comme tu devrais l'être aussi, car dans ta ville, tu as Dora l'exploratrice, quand même, comme mairesse. C'est pas rien, hein? [02:53:05] Speaker E: Écoute, bien, une première bonne nouvelle, c'est qu'on s'est débarrassés de l'équipe à Valérie-Planque. Ça, on pouvait plus vivre avec ça. Il fallait que ça se débarrasse. Ça aurait jamais dû être là pendant 8 ans. Ça a été là parce que et personne d'autre s'est présenté. Donc on était cuits d'être pognés avec l'équipe. Et Rabouin avait peu de chance, et c'est tant mieux. On ne veut plus de ça. [02:53:27] Speaker B: C'est bien. [02:53:30] Speaker E: Mais oui, mais tu sais, c'est parce qu'à un moment donné, c'est bien beau. On a tous des vertus. On veut tous être parfaits, on veut tous être ça. Mais à un moment donné, tu regardes la ville avec les pistes cyclables. Bon, il y en a une qui est fermée. Moi, j'habite là. Il y en a une qui est non boitienne en face de chez nous, là, en arrière de chez nous. est fermée depuis deux mois parce que c'était pour sauver le monde, puis finalement, c'est dangereux. On fait des pistes cyclables, Dominique. Moi, je venais un jour au Centre-Claude-Robillard, le matin. Ils ont mis une piste cyclable sur la rue 1000 Journaux, qui est à côté du Centre-Claude-Robillard. Donc là, nous autres, les autos, il y a pas de chose de béton. On se stationne à moitié dans la rue, donc ils ont réduit la rue. Quand je viens pour embarquer dans mon auto, les autos sont obligées de changer de voie pour aller faire un face-à-face de l'autre côté. Il y a des rues qu'on peut pas mettre de la piste cyclable. T'sais, à un moment donné, la foire était ça. Donc maintenant, Soraya, elle avait fait une promesse. On va défaire des pistes cyclables. Première conférence de presse avec une voix peu convaincante. On va demander... Non, non, mais regarde, c'est parce que t'as dit que t'étais pour le défaire. Donc tu savais quelles rues avaient une problématique, là. On déferait pas Saint-Denis, là. Saint-Denis, ça passe, c'est l'une des plus occupées dans le monde, on aime ça le dire, pas de problème. Mais là, c'est parce que t'as fait ta campagne électorale disant que tu vas défaire des pistes cyclables. Tu peux pas arriver 10 minutes avant ta première conférence de presse et être gêné de dire oui, on va en défaire parce que telle place, c'est non, telle place, c'est telle autre. Non, t'sais, moi, ce qui m'énerve des politiciens, c'est qu'on envoie des choses en l'air sans les valider. Moi, je t'en parle une, regarde, je t'en parle une. Émile Journeau, je l'ai vécu. Puis pourtant, cette mairesse-là va porter ses enfants au centre Claude-Robillard, une autre folie de l'administration plante. Il y a pas grand stationnement là-bas, puis quand c'est un grand centre sportif, Et elle avait décidé qu'elle pouvait faire payer tout le monde qui allait là-bas. Ça fait que c'est devenu problématique pour les parents d'aller porter leurs enfants à l'aréna. Soraya va porter ses enfants. Elle dit, moi, je vais remettre ça gratuit. Donc, tu sais, à un moment donné, les policiers, arrêtez d'envoyer des maudites choses dans les airs. C'est tu qui vas le faire? Bien, fais-le. Sinon, bien, arrêtez de vous faire élire sur des menteries puis des... Donc, elle. [02:55:41] Speaker B: Recule, puis elle vient juste de se faire élire. Ça va être beau au bout d'un mois, deux mois, trois mois. [02:55:46] Speaker E: Elle a pas reculé, mais elle était moins... moins convaincante qu'il y a deux jours. [02:55:53] Speaker B: Oui, c'est vrai, ça. Est-ce que c'est la pression médiatique? Sais-tu la pression? Moi, je pense qu'elle est très fragile, la pression. Je vais te donner le score sur la maudite grève de la STM, là, qui n'a pas de sacré bon sens. Elle a dit non, non, non, loi spéciale, non, non, non. Ça prend un règlement. Oui, mais ça prend un règlement. Ça dure huit mois. À un moment donné, ça va prendre une loi spéciale. On sent pas qu'elle est derrière les usagers. On dirait qu'elle est derrière les syndiqués. On voit qu'elle est molle. Elle est molle, puis le signal que ça envoie au lobby, aux petites chapelles, c'est que travaillez-la au corps un peu, puis elle va prendre pour vous autres. [02:56:32] Speaker E: Dominique, les employés de la STM, les syndiqués, on va parler plus des syndiqués, les mordus, ceux qu'on voit à la télévision. [02:56:39] Speaker B: Les barbures. [02:56:40] Speaker E: Ceux qu'on voit partout. [02:56:41] Speaker B: Oui. [02:56:42] Speaker E: Ce n'est pas des enfants de coeur. Ils ne règlent pas leurs négociations avec des mots polis. Ces mêmes syndiqués-là, il faut le répéter, il y a certains garages à Montréal que les cols blancs ne peuvent pas se présenter. pas parce qu'ils sont pas les bienvenus, parce qu'ils vont manger une volée. On est là, là. Oui, oui, à Montréal, c'est reconnu, le garage, le genre. [02:57:05] Speaker F: Il y a pas de col blanc. [02:57:05] Speaker E: Qui peut aller là, sur le plancher, parce qu'ils mangent des volées. [02:57:08] Speaker B: Oui, mais col blanc, c'est un boss, le gars qui arrive, les horaires, les ressources humaines. Le gars arrive, il y a pas mécano, il y a pas de coffre d'outils, il peut se faire donner une volée. [02:57:17] Speaker C: Il peut se dire, j'irai manger mon lunch dans le parking, moi. [02:57:19] Speaker I: Oui. [02:57:20] Speaker E: Oui, bien tu sais, moi, si j'avais été maire de Montréal aujourd'hui, la première conférence de presse, là, Elle se passait pas à l'hôtel de ville. Elle se passait dans le garage où on casse des gueules. Voilà. Voici mon message. Ici, c'est une société d'État. C'est une société municipale qui travaille pour les usagers. [02:57:38] Speaker F: On va se comporter. [02:57:39] Speaker E: Et c'est ici, maintenant, que je vais faire mes conférences de presse. L'affaire, là, c'est que... C'est 100 000, 120 000 piastres, un chauffeur d'autobus à Montréal. À un moment donné, là, ce sont des privilégiés de la société. Et j'aurais aimé... Hier, elle avait une chance de dire... Elle n'est pas obligée d'arriver en boulie, là. Mais elle peut lever la vérité. Regardez, vous gagnez déjà bien. La capacité de payer est dépassée. On a demandé de faire du ménage. On a demandé de gérer. Je suis là pour ça. Vous ne pourrez pas avoir l'augmentation, mais on va trouver une solution. Il faut qu'on trouve une solution ensemble, mais vous n'aurez pas l'augmentation que vous voulez. Sinon, donne-le l'augmentation de 20 %, 25 % qu'ils veulent avoir sur 5 ans. [02:58:26] Speaker F: Donne-le! [02:58:27] Speaker E: Puis après ça, va broyer au fédéral, au provincial pour avoir de l'argent, parce que la société de transport n'a pas de mauditienne. Mais on le sait qu'il y a trop de grottes partout, partout, partout, partout. C'est ça qui me déçoit sur la première journée. J'ai pas senti un ton de voix politicien de dire, regardez, voici comment ça va se passer. [02:58:45] Speaker B: Pour qui t'as voté, François? [02:58:47] Speaker E: J'étais en campagne, j'avais des problèmes à gérer. [02:58:50] Speaker B: Bon, en fait, je repose ma question de bord. Pour qui t'aurais voté? [02:58:53] Speaker E: Mais j'aurais voté pour Soraya. J'aurais voté pour elle. [02:58:55] Speaker B: OK. Pourquoi pas Thibodeau? [02:58:57] Speaker E: Thibodeau a un problème. C'est pas parce que t'es droite que tu mérites un passe-droit. Il a augmenté. Mais il n'est pas capable, depuis 1994, de se trouver une place dans les journaux. Les journaux le prennent pour un clown. Qu'est-ce que tu veux que je te dise? [02:59:10] Speaker B: Est-ce qu'il mérite ça ou non? [02:59:13] Speaker E: Écoute, il a fait un débat avec Soraya Martinez, puis il l'a appelée Tartinez. C'est à un moment donné... Ouais, je sais bien. Bon, regarde, à un moment donné, tu fais exprès pour envoyer une stupidité comme ça en te pensant bien drôle. On n'est plus en 1980. Cette joke-là en 1980 aurait peut-être été borderline drôle. là, si mon beau-père ne m'aime pas dire comment qu'elle se le déclare, c'est inacceptable. Donc il ne passe pas, puis on ne le voit même pas sur X non plus, à part quand elle dit... Cette fois-ci, je l'ai vu passer sur X, disant qu'elle a fait un bon score, donc il était content. Donc il y a beaucoup de porte-parole pour lui, non officiel, mais lui ne prend pas position réelle. Mais ce que ça veut dire, Gilbert Thibodeau qui augmente, ça augure bien pour 2029. Parce que je m'attends à ce que Soraya soit une mairie de passage. On a fait le ménage de la gauche. On a fait le ménage de Coderre avec ses menteries. La gauche est débarquée, la droite est en train de remonter un peu. Donc Soraya va devoir livrer la marchandise, mais d'après moi, elle n'est que de passage. [03:00:27] Speaker B: C'est une Trudeau light. C'est la première fois que vous élisez une femme issue de la diversité. Give me a break. [03:00:37] Speaker E: Aux États-Unis, il y en a plein. [03:00:38] Speaker B: Des... Honnêtement, des femmes en politique aux États-Unis, il y en a plein des gouverneurs dans des États majeurs. Tu sais, c'est... Je te pose la question. Est-ce qu'on devrait cesser de focusser là-dessus? Ah, c'est une femme, c'est une femme. Il y a des femmes dans le monde qui occupent des postes de PDG de grandes sociétés, qui dirigent des grandes villes. Los Angeles, on peut se mettre à en nommer. [03:01:04] Speaker E: L'État du Michigan est dirigé par une femme. [03:01:05] Speaker B: Voyons donc. [03:01:06] Speaker D: Bien, voyons. [03:01:07] Speaker B: Oui, voilà. Tu sais, ils vont pas donner, eux. [03:01:10] Speaker E: C'est-tu une grande dame? [03:01:11] Speaker F: Oui. [03:01:12] Speaker D: Le plein, là. [03:01:14] Speaker E: Il y en a eu, et des mairesse, il y a Gatineau qui en a une, il y a... Même Vincent Marissal aurait passé. Imagine-toi, je suis pas mal certain que Marissal aura moins. Il n'a aucun charisme. Il n'est pas capable de se défaire. Il ne peut pas se défaire de l'administration Plante. C'est lui l'administration Plante. Donc, on a voté contre, mais sauf qu'il faut être réaliste. Là, on est sévère un petit peu parce qu'elle nous a déçus sur la première impression. Montréal a besoin. Et quand je dis Montréal a besoin, le reste de la province, même les gens de Québec, là, vous autres, vous avez gardé Bruno Marchand, vous allez avoir votre tramway, c'est réglé. Ça fait presque un référendum pour le tramway. Vous allez l'avoir, c'est réglé. Mais Montréal coûte cher aux autres Québécois. Très, très cher en transfert, en argent qu'on met dedans pour la STM, entre autres. On ne peut pas avoir un maire ou une mairesse qui ne va pas être bonne. Donc il se faut que ce qu'elle entend des gens, ce qu'elle nous entend, elle nous écoute pas, là, Les échos qu'elle va avoir de sa première journée, c'était pas trop convaincant. Il va falloir qu'elle monte du leadership, il va falloir qu'elle soit bonne, puis qu'elle porte ses culottes, puis qu'elle dise à STM, sinon... [03:02:50] Speaker B: Marchand, t'en dis quoi, la super majorité de marchands à Québec? [03:02:54] Speaker E: Ben écoute, c'est sa mamade qui s'est écrasée, puis la bonté qu'il y a pas... Ils se sont chicanés les deux, fait que là, les gens ont dit ben écoute... Puis le tramway n'est pas une si mauvaise idée. C'est juste que ça coûte cher en maudit. Et moi, j'aime pas être à moi pas grand-chose. [03:03:09] Speaker B: T'es poigné des rails. Les rails, c'est retard. Pas vrai, François. C'est parce qu'on a besoin de flexibilité. Non, mais t'es poigné là. Le train, ils vont passer là pour les 100 prochaines années. On a besoin, avec les inventions qui existent, du transport modulable, du transport... Je suis pour le transport en commun. Ça, on va... on va établir ça. Non, mais le modulable et se promener de quartier en quartier, de rue en rue... [03:03:34] Speaker C: C'est parce qu'on va le dire, une fois pour toutes, oui, on est pour le transport en commun. On le sait que Québec, éventuellement, va avoir besoin d'un transport structurant. On fait juste dire que les rails, ça fait pas. [03:03:46] Speaker E: Mais non. Je me reprends, là. Je suis pour un transport structurant et je pense qu'en 2025, si tu penses pour le futur, tu penses peut-être à des voies peut-être réservées, mais pour des véhicules autonomes, électriques, pas des rails. [03:04:01] Speaker A: C'est tout ça. [03:04:01] Speaker B: Mais c'est ça le problème. Non, mais le projet de Marchand, c'est un projet de rails. Ramener les gens vers la ville, aider les gens à se mouvoir, absolument, c'est pour ça. Je voyage en masse, je peux en témoigner. Moi, j'aurais vu un genre de Skytrain qui utiliserait ou qui aurait utilisé une piste cyclable aujourd'hui, qui est l'ancien chemin de fer des cheminots, la piste des cheminots qu'ils appellent ici, que tu connais, parce que tu connais Québec quand même. C'est donc le genre de skytrain, ce genre de truc-là. Mais regarde, on peut pas le faire. [03:04:34] Speaker E: Mais là, regarde, on s'en va définitivement à Québec avec un tramway. Ça me dépasse quand même... [03:04:39] Speaker B: On n'a pas d'argent, là, François. On n'a pas d'argent, là. [03:04:42] Speaker E: On est cachés. Et je rappelle que la province a eu une décote. Aujourd'hui, ça va être le budget à quatre heures. Il n'y a plus grand surprise dans le budget qu'on va nous présenter au fédéral parce que tout est écoulé. Mais on risque d'avoir une décote au fédéral. On va frôler, on va dépasser le 100 milliards. Et je m'ennuie, moi, Dominique. Je m'ennuie du temps où le budget, personne ne savait rien jusqu'au moment. Là, en ce moment, c'est parce qu'ils cherchent des appuis. Est-ce que l'NPD est déjà en train de dire, OK, finalement, je vais t'appuyer, le budget n'est pas encore sorti? Donc, on fait une campagne de marketing autour de ça, alors qu'avant, c'était le huis clos total. Tu veux y aller, tu t'en vas dans une salle, t'es plus le budget. Probablement, c'est encore ça pour les virgules. Mais c'est décevant. Le budget, pour moi, c'est quelque chose de solennel. Les souliers, regarde, depuis une semaine, on voit François-Philippe Champagne aller choisir des souliers dans sa région. C'est cute, là. Mais tu sais, garder l'aspect solennel du budget, c'est sûr que pour nous autres qui font des chroniques, bien, c'est parfait, parce qu'on n'a pas tous les jours à se mettre sous la dent. [03:05:49] Speaker B: Mais qu'est-ce que tu penses de la tourloupette? Dernière question, parce que ça va être ça, c'est comme une entourloupe. C'est la première fois que tu auras deux types de dépenses, c'est-à-dire dépenses courantes, les salaires, entre autres, mais de l'autre bord, dépenses d'infrastructures. Lui, il appellera pas ça des dépenses. Il va appeler ça des projets ou des investissements. Moi, là, ma maison, l'hypothèque passe au mois, puis grosso modo, dans la même semaine, c'est mon paiement de char. Moi, je fais pas la différence, là. Mais qu'est-ce que tu penses d'un gouvernement qui, pour la toute première fois, va nous vendre la différence? Même le directeur du budget au fédéral dit que c'est louche, là. [03:06:28] Speaker E: L'idée n'est pas folle. L'idée, elle peut être noble, mais c'est une belle façon, soit qu'ils veulent mettre d'en face, au point de vue des fonctionnaires, d'utiliser ça comme une arme vers regarder comment ça nous coûte pour les revenus qu'on génère. Regardez, si François-Philippe Champagne veut utiliser ça comme moyen de levier de la population, parce que les fonctionnaires nous coûtent une beurrée, ça coûte 10 milliards de plus par année qu'il y a 15 ans. [03:06:56] Speaker B: Il va en virer, puis j'espère qu'il va en virer, ils n'ont pas le choix. [03:06:59] Speaker E: On n'a pas le choix. Donc s'il veut utiliser ça comme arme pour dire voici l'appareil gouvernemental, parfait. Cependant, à quel moment qu'une subvention, mettons, à Lyon Électrique, est-ce que ça embarque dans une dépense? Ou ça embarque dans un investissement? À quel moment qu'on l'envoie dessus? Parce que tant que la compagnie existe, puis on a espoir de récupérer notre argent, ça peut aller du côté investissement. [03:07:27] Speaker F: Parce qu'on va avoir une plus-value. [03:07:29] Speaker E: Mais regardez ce qu'Airbus vient d'arriver. On vient de décoter encore Airbus. Là, ça s'en va du côté des dépenses. Ça risque d'être une armée de comptables qui vont gérer ça cas par cas. Est-ce qu'on vient créer des nouvelles jobs? Si c'est pour nous mettre en face que les fonctionnaires nous coûtent trop cher et qu'on a trop pris, puis ils veulent se servir de ça pendant quelques années, je te dirais OK, parfait. Mais autrement, il ne faudrait pas qu'ils nous cachent non plus et qu'on dise non, non, ça, ça va aller dans la dépense, ça, c'est dans le revenu. Tu sais, à date, le gouvernement, on va se le dire, du côté investissement, ça a pas mal été plus dans la dépense. On peut parler de Trans Mountain, qui devait coûter 4 milliards quand on a coûté 34, donc il y a 30 milliards de dépenses, si on veut, puis 4 milliards d'investissements. Toutes les folies de la folerie, la filière électrique, c'est tout dans des dépenses. Techniquement, ça se voulait des investissements, ça a tombé à dépenses, puis ça a. [03:08:23] Speaker F: Tout tombé au flop. [03:08:24] Speaker E: Donc ça reste d'être extrêmement complexe. Moi, je reste positif. C'est pour un outil marketing pour nous montrer, voici ce que l'appareil gouvernemental nous coûte, voici ce qu'il rapporte, et qu'on peut... il peut avoir l'appui de la population, parce que mettre 100 000 personnes dehors aux fonctionnaires, là, au fédéral, ça prend l'appui de la population en tabarnouche, là, il va se faire décapiter. [03:08:45] Speaker B: L'autre affaire, puis je te laisse là-dessus. À RDI, hier, en débat, puis je sais pas si le Légionnaire a sorti l'extrait, mais Stéphanie Grammont, qui est une chroniqueuse économique de la presse, elle disait que le fédéral envisageait peut-être d'augmenter TPS. Ça se peut qu'on ait un boomerang en arrière de la tête, François, après-midi, là. Une belle augmentation de TPS. [03:09:08] Speaker E: Je veux dire, on est à côté. On est à une virgule. Tu sais, pour aller en récession, ça prend deux trimestres simultanés négatifs. Donc, on a eu moins 0,3. Là, on pense plus 0,4 pour le trimestre. [03:09:22] Speaker F: Donc, on frôle. [03:09:23] Speaker E: La récession depuis des années. Et la seule raison qu'on n'a pas eu un taux de chômage plus élevé et qu'on n'a pas été en récession, ce sont les gouvernements fédérales, provinciales et municipales qui ont embauché à pleine pelletée. Ils enlèvent leur capacité. [03:09:36] Speaker F: Vas-y. [03:09:36] Speaker B: Oui, j'ai un extrait à te faire jouer. Écoute ça, c'est en vert, l'extrait en vert, Dan. Écoute ça. Oui. [03:09:43] Speaker C: Je fais juste me rendre, ça sera pas bien. [03:09:44] Speaker B: Oui, oui. [03:09:46] Speaker A: Il a réduit ses revenus, puis c'est ça qui est embêtant. Il a annoncé une baisse de l'impôt, la première tranche d'imposition. Il a annoncé un recul sur le gain en capital que Justin Trudeau et Christopher Nolan avaient décidé d'augmenter. Il a dit « on le fera pas ». Il s'est privé de la taxe sur le numérique pour faire plaisir à Donald Trump, etc. Donc, tout ça, c'est des revenus qui rentrent pas dans les coffres. Donc, qu'est-ce qu'on peut faire? Il y a des gens qui disent, comme par exemple C. Dion, qui disent, bien, là, ça serait le temps d'augmenter la TPS pour aller chercher des revenus ailleurs. [03:10:23] Speaker C: Pouf! [03:10:25] Speaker B: À suivre, à surveiller. François Lambert, il faut se laisser. On surveille ça après-midi, assurément. Salut! Salut! François qui était parti. Mais je l'entends pas, mais François, t'es parti. Salut, bye. Je l'ai pas entendu, mais il est parti. Il est parti. 9h10, Rue de Sports en revenant. [03:10:53] Speaker D: Le retour de Radio X. [03:10:56] Speaker B: Il y a un auditeur qui dit, Léo est un économiste de gauche, c'est. [03:10:59] Speaker C: Important que vous lui donniez la parole. [03:11:01] Speaker D: En plus, il est drôle. Ah bon, bien ça, tu dois pas. [03:11:04] Speaker E: Aimer ça, là, que je... pour la. [03:11:06] Speaker D: Première fois... Non, on vient de le bloquer, Léo. On vient de le bloquer. On vient de le bloquer pour ne plus écrire. Le retour de Radio X. Radio X. Présenté par Donnacona Ford. Tu veux un F-150? Donnacona Ford. Tu veux du 0%? Donnacona Ford. Tu veux 2-3000$ de plus pour ton échange? [03:11:30] Speaker I: Où ça? [03:11:31] Speaker D: Bien, chez Donnacona Ford. [03:11:34] Speaker C: C'est cool. Vraiment cool comme site web parce qu'on est capable de dire pour ton véhicule à toi tout ce qu'on a et surtout payer moins cher, c'est ce qu'on veut. Vous avez dévalisé nos disques Brake Max et les plaquettes Bosch. Bonne nouvelle. Pièces Autoéconomiques prononcent les rabais. Tout le mois de novembre, les rabais qu'on vous a annoncés en octobre. Les disques de frein Brake Max qualité première et les plaquettes de frein broche à 10 % de rabais. On a également les essuie-glaces Rainix 20 % off. 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[03:13:41] Speaker D: Contacter notre équipe, ce sera simple et rapide. Merveilleux! Voilà qui est rassurant! Merci Bruno! [03:13:47] Speaker A: STO. Centre d'ordinateurs et solutions à faire, rue Franck-Carrel à Québec, au pied de la Côte-Saint-Sacrement. L'excellence intégrale. [03:13:57] Speaker B: Parbrise à réparer ou à remplacer? Chez Automod, la réparation est gratuite si vous êtes assuré. Faites remplacer votre pare-brise d'ici le 30 novembre et obtenez jusqu'à 100 $ en cartes cadeaux applicables chez Automod. Prenez rendez-vous en ligne, automod.qc.ca. [03:14:12] Speaker D: T'aimais que le ménage de votre environnement de travail soit fait comme le ménage d'une chambre d'ado? Faites affaire avec Janpro. [03:14:17] Speaker B: Commerce, clinique, garderie, bureau. Si vous voulez ça tout propre et tout beau, que vos besoins ménage soient. [03:14:22] Speaker D: Petits ou gros, choisissez les experts de Janpro. [03:14:28] Speaker A: Cette semaine, chez Métro, pour l'Halloween. 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[03:17:15] Speaker A: Avec Dominique Moray! [03:17:16] Speaker D: Plus que fier, là! [03:17:17] Speaker E: Ému! [03:17:18] Speaker D: Moray! [03:17:20] Speaker E: Live! [03:17:22] Speaker A: Radio X! [03:17:36] Speaker B: Salut, mon Ray! [03:17:40] Speaker I: Bon matin! Ce serait peut-être ça, la solution, si on faisait voter le monde aux juries noires, on serait sûr que le monde irait? [03:17:46] Speaker B: Oui, mais quand seraient-ils des petites papermans dans le fond des juries noires? Qu'est-ce qu'elles diraient, les papermans? [03:17:53] Speaker I: C'est très important, les papermans! [03:17:55] Speaker D: Très important! [03:17:58] Speaker B: Aïe, aïe, aïe. À chaque fois que j'entends ta pub du charbon, je me dis aussi, Ray Manly va m'inviter au charbon. Ça me donne faim! [03:18:08] Speaker I: Faudrait bien, assis au comptoir avec Richard qui vient jaser avec nous autres, on passe du bon temps au charbon. [03:18:14] Speaker E: J'aimerais ça. [03:18:14] Speaker I: C'est pas gênant. C'est pas gênant. [03:18:15] Speaker B: Qu'est-ce qu'on prend au charbon? [03:18:16] Speaker C: On va faire ça. [03:18:17] Speaker B: Un petit steak? [03:18:18] Speaker I: Qu'est-ce que tu penses? Oui, le steak, c'est sûr, mais non, voyons, le... [03:18:23] Speaker B: Le burger. [03:18:25] Speaker I: Non, pas le burger, pas le burger. [03:18:27] Speaker B: Mais un midi, moi j'ai pris un steak haché, c'est niaiseux. Steak haché, j'adorais ça. J'étais pressé, j'ai pris steak haché, ça fait le travail. [03:18:34] Speaker I: La soupe spéciale Nouvelle-Angleterre, ça peut faire aussi. C'est consistant assez. Tu prends ça avec un ou deux verres de vin, tu prends du bon temps. [03:18:43] Speaker B: Clam chowder, comme ils disent à Boston. [03:18:45] Speaker I: La clam chowder de Boston, au charbon, dans la grande région de Québec. Je suis un adepte de la clam chowder et je te dirais que c'est dur à battre, celle du charbon. [03:18:54] Speaker B: Les protéines, hein? Les protéines. Les pétoncles. Les pétoncles. [03:18:59] Speaker I: Oui, monsieur. Exactement. [03:19:01] Speaker B: Ben oui, c'est une dynastie. Je pense qu'on peut le confirmer. Les Dodgers, c'est une dynastie, Murray. [03:19:08] Speaker I: Mais oui, c'est une dynastie. Puis je sais qu'ils dépensent beaucoup d'argent. Évidemment, c'est une des équipes qui dépensent le plus d'argent dans le baseball majeur. Ça, c'est un fait. Mais c'est pas toutes les équipes qui dépensent autant d'argent qu'ils réussissent à gagner. Donc, il faut quand même leur donner du crédit. Gagner deux ans de suite, c'est pas rien. Puis on vient d'assister à une série mondiale, une des meilleures de l'histoire, c'est certain. Évidemment que les gens du Canada étaient un petit peu plus impliqués émotivement avec les Blue Jays. Ça a été toute une série, puis les Dodgers, c'est deux titres de suite, trois victoires en six ans. C'est sûr que c'est une dynastie, puis j'aime ça, moi, des dynasties. C'est la première vraie dynastie du baseball majeur en 25 ans, depuis les Yankees, de Derek Jeter, Mariano Rivera, Bernie Williams. T'sais, dans 10, 15, 30, 40 ans, l'histoire va retenir que les Dodgers, c'était, bon, oui, des Japonais, avec Otani et Yamamoto en tête. Mais il y a d'autres joueurs de balle, Freeman, le premier but, Betts, Larrecourt, Nomellet. Il y en a plusieurs des bons joueurs. Will Smith, le receveur. C'est tout un receveur, ce Will Smith, là. Bien oui. [03:20:12] Speaker F: Bien oui. [03:20:13] Speaker B: Kershaw a peut-être parti... Kershaw. Cette génération-là. Kershaw qui a joué son dernier match. Il était là avec sa tendre épouse et ses enfants. Donc c'est quand même... Qu'est-ce que ça... De quelle manière s'augure pour les Jays l'an prochain dans l'Est? Est-ce que ça va être la domination dans l'Est l'an prochain? [03:20:30] Speaker I: Oui, mais dans l'Est, c'est toujours compliqué, Doom, parce qu'il y a les Yankees et les Red Sox qui sont jamais bien loin. Les Rays réussissent toujours à se... je vais dire, à se gosser une équipe qui est très compétitive, même s'ils dépensent pas beaucoup d'argent. Les Rays sont presque tout le temps dans la course. Puis cette année, ça a été une mauvaise année pour les Orioles de Baltimore, mais c'est une équipe qui a beaucoup de talent. C'est comme... C'est une mauvaise saison, mais c'est pas impossible que les Orioles, l'an prochain, des meilleures équipes de la Ligue américaine. Ils ont commencé avec des blessés. Il y a des joueurs qui n'ont pas joué à la hauteur de leur talent. Ça fait que les Blue Jays, ça va toujours être compétitif, leur affaire, dans la division Est de la Ligue américaine. Évidemment, il y a le dossier Bo Bichette. Est-ce que Bo Bichette va vouloir rester à Toronto? Il va commander un gros, gros, gros salaire parce que c'est un excellent joueur de baseball. Les Jays, t'sais, ils ont fait la preuve avec Vladimir Guerrero junior, qui était prêt à dépenser. Ils ont donné un demi-milliard de dollars à Vladimir quand même. 500 millions pour 14 ans, est-ce que, quand tu fais ça, ça veut dire que t'es prêt à en étendre encore pour un autre joueur? Parce que Vladimir peut pas faire ça tout seul, là. Donc, si t'es prêt à déplier 500 millions pour un joueur, moi, je pense que t'es prêt à en déplier pas mal pour un autre, genre Beau Bichette. J'ai juste hâte de voir... C'est Bichette, hein? Il est-tu bien heureux à Toronto? Ça a l'air que oui. C'est là qu'il a commencé sa carrière dans le baseball. Il a-tu le goût d'aller ailleurs? Tu sais, pour un joueur de baseball, oui, les Blue Jays, c'est une affaire. Mais exemple, jouer à Los Angeles. Exemple, jouer avec les Yankees. Exemple, jouer avec les Red Sox. Tu sais, c'est attrayant pour un jeune joueur de baseball que maintenant, c'est ça dans le sport, maintenant, les meilleurs joueurs, les vedettes, c'est eux autres qui décident. Comme McDavid a décidé de rester à Edmonton, est-ce que Beau Bichette va décider de rester avec les Jays? Ou bien, donc, il va aller porter le chandail rayé des Yankees ou une autre organisation de prestige. C'est rien que ça qu'il reste à savoir. [03:22:24] Speaker B: Il a plus de talent que Dante, son papa, et le pad. [03:22:29] Speaker I: Le pad de Dante. [03:22:31] Speaker B: Non, il était bon, mais disons que les Rockies... Si Dante prenait le téléphone, voulez-vous m'engager? Il était bon, mais son fils est meilleur. [03:22:39] Speaker I: Bien oui, il est meilleur. Puis Dante, il a profité de l'air du Colorado qui favorise les frappeurs. Tu frappes un ballon à 300 pieds, il finit à 325, puis ça fait un coup de circuit. Il faut dire ça aussi. Mais il a connu quelques bonnes saisons, Dante. Mais la progéniture est meilleure là-dessus. Je suis d'accord avec toi. [03:22:56] Speaker B: LHJMQ, tu dis que le calibre de jeu est supérieur. En quoi il est supérieur, selon toi? [03:23:03] Speaker I: Il est meilleur parce que c'est plate à dire, mais les joueurs qui viennent de l'extérieur, de l'extérieur du Québec, mettons, et des Maritimes, parce que c'est la Ligue de hockey junior Maritimes-Québec, essentiellement le bassin de joueurs, il doit être au Québec et dans les Maritimes, mais comme on a ouvert les portes du hockey à travers l'Amérique du Nord, avec les nouvelles réglementations dans la NCA, bien, moi, je trouve que le calibre a augmenté parce que les joueurs peuvent un peu plus se promener. Donc, ils ont le libre choix. Il y a des joueurs qui essayent la Ligue de hockey junior Maritime Québec. Il y en a d'autres qui viennent dans la Ligue de hockey junior Maritime Québec parce qu'exemple, en Ontario, ils se sont pas trouvés d'équipe. T'sais, regardez juste les remparts, là. Deux de leurs trois joueurs de 20 ans, c'est des Ontariens, Antoine Dorion et puis Carl Ewens. Là, on peut commencer à dire « Ah, mais c'est pas correct pour les joueurs du Québec », mais sais-tu quoi? Les joueurs du Québec, ils ont juste à être meilleurs. [03:23:55] Speaker C: Ils ont juste à être meilleurs. [03:23:58] Speaker I: Ils peuvent aller à l'extérieur, mais s'ils veulent jouer dans cette ligue-là, c'est pas une ligue de participation, la JMQ, c'est ça que je veux dire ce matin. Puis les 18 équipes, ils essaient juste d'aller trouver les 24-25 meilleurs joueurs qui vont les aider à gagner des matchs. Oui, faire du développement, parce que c'est des joueurs de 16 à 20 ans, mais gagner des parties pour asseoir des paires de fesses dans les gradins pour qu'à la fin de l'année, le budget, ça arrive. On essaye le plus possible d'attirer du monde pour gagner des parties de hockey. Et en plus, bien, cette année, il y a trois joueurs européens par équipe au lieu de deux. Ça, c'est majeur. Écoute, les joueurs européens qui arrivent ici sont souvent parmi les 4-5 meilleurs de leur équipe respective. Regardez juste la colonne des marqueurs cette année dans l'AHJMQ, puis c'est souvent le cas. Je prends l'exemple de Victoriaville, qui a deux joueurs russes absolument extraordinaires, Vlasov et Shilov. Les Remparts ont des très bons Européens également. Strakas a un début de carrière un peu lent, mais Ovtcharov, entre autres, est en train de prendre son élan. Avec Karabayev qui est arrivé dans l'équipe. [03:24:56] Speaker B: J'ai l'air de quoi, Karabayev. Ça fait un match ou deux, peut-être? Je l'ai pas vu. [03:24:59] Speaker E: Qu'est-ce que t'en dis? [03:25:00] Speaker I: Il y a deux matchs. Je peux pas dire que j'ai été impressionné. Pour l'instant, non. En pratique, il est beau. En partie, c'est moins beau un peu. Mais il a juste joué deux parties. Il avait pas joué cette année encore. On va lui laisser un peu de temps. Admettons qu'on lui laisse quelques semaines. Mais tu vois qu'il a un potentiel intéressant. C'est un bon patineur, c'est un gros gars, 6 pieds 4. Il a un bon lancer. Mais ce que ça fait présentement dans l'entourage des Remparts, c'est que lui, il habite dans la même pension. que Ovcharov et Straka. Et celui qui était peut-être plus difficile pour son adaptation, c'était Ovcharov, parce qu'Ovcharov, il parle à peu près pas anglais. Il faut comprendre qu'un jeune homme de 17 ans qui débarque de la Russie, ça arrive ici à Québec où ça parle français, un peu anglais. c'est des paysans en joual vert. Donc l'arrivée de Karabayev, qui lui parle très bien l'anglais, parce que sa maman est une prof d'anglais, bien, ça aide aussi Ovcharov, qui est plus... t'sais, il est plus enjoué depuis une semaine ou deux, puis c'est normal, parce que là, il y a un gars avec qui jaser plus régulièrement. Karabayev est capable de jaser en russe. Alors c'est l'effet un peu secondaire de l'arrivée de Karabayev pour les remparts. Mais oui, oui, le calibre de jeu dans la JMQ, non seulement avec les remparts, partout dans la Ligue, Il a augmenté un petit peu à cause de ça. Et puis ici au Québec, il faut que ce soit un message qu'on comprenne que si on veut jouer dans la LHJMQ, il faut juste être meilleur. Le développement de notre hockey, il n'est pas parfait présentement parce qu'un des problèmes, c'est que les meilleurs ne jouent pas avec les meilleurs présentement. Avec le hockey scolaire qui est en parallèle au hockey civil, c'est très difficile de faire jouer les meilleurs joueurs avec les meilleurs présentement. C'est un peu ça, notre problème. Mais entre-temps, la LHJMQ, oui, c'est la continuité du hockey québécois, mais c'est pas fédéré par le hockey québécois. La LHJMQ, c'est 18 entités privées qui se sont faites une ligue et puis qui est gérée à travers la Ligue de hockey canadienne junior. Donc, le bassin de joueurs, il est partout pour les équipes de la LHJMQ. [03:26:51] Speaker C: Ça serait quoi, la meilleure façon? [03:26:54] Speaker I: La meilleure façon pour développer le hockey québécois, il faut que les meilleurs jouent avec les meilleurs. Moi, quand j'étais petit-cul, Dan, là, quand j'étais petit-cul, là, j'allais à l'aréna POC, puis il y avait des programmes doubles, Atome 3, Atome 2A, Bantam 2A, puis Oui 2A, Midget 2A. Les meilleurs jouaient avec les meilleurs. Là, le problème, c'est le développement du hockey scolaire. Je me reprends. Le problème, c'est pas le développement du hockey scolaire. C'est qu'il y a le hockey civil en parallèle avec le hockey scolaire. Donc, t'as des bons joueurs qui jouent dans le hockey scolaire, t'as des bons joueurs qui jouent dans le hockey civil, mais les très bons joueurs ensemble rarement se retrouvent ensemble pour grandir dans le monde du hockey présentement. [03:27:29] Speaker B: Il y a trop d'équipes. Comme la Suède le fait. [03:27:33] Speaker I: Oui, c'est ça. Puis est-ce que ce sera l'hockey scolaire qui va finir par prendre le dessus sur l'hockey civil? Peut-être, mais je vois pas quand est-ce que ça va arriver encore, ça, là. [03:27:43] Speaker C: On peut demander au hockey civil de gérer le participatif, puis le scolaire de gérer l'élite. [03:27:50] Speaker I: Oui, mais à ce moment-là... Oui, oui, c'est sûr. Ou le contraire, c'est ça, exactement. Il faut en venir à une certaine unanimité. Là, on a divisé tout le monde du hockey. Ça fait 10-15 ans que ça dure, là. On n'a pas la solution encore. Payer les entraîneurs aussi, ce serait peut-être une bonne idée parce que, prends l'exemple du football, le développement du football n'est pas étranger au succès du Rouge et Or. Le Rouge et Or paye ses entraîneurs. Les anciens joueurs du Rouge et Or sont à peu près partout dans la province comme entraîneurs, dans les cégeps et dans les écoles secondaires. a grandi exactement depuis 20-25 ans. Le football a gagné en popularité et en qualité également. Les joueurs de football 2025, ça n'a rien enlevé à ceux qui ont joué en 2010 avec le Rougéard. On est ailleurs complètement. Ça s'améliore tout le temps. Mais le hockey, il faut faire attention parce que souvent, on est très critique avec le hockey. Il y a encore d'excellents joueurs de hockey qui sortent du Québec. Mais il y a de la compétition, c'est ça que je veux dire. Ça s'améliore partout ailleurs. C'est à nous autres de s'arranger pour être meilleurs également avec notre hockey. [03:28:54] Speaker B: Bon texte de la lancette du soleil. Bonne entrevue avec Veilleux. Je sais pas ce que t'en as pensé, Éric Veilleux, qui est quand même lucide. Il est quand même très déçu du début de saison des remparts. Il faut l'être, déçu. Mais on comprend qu'Éric... Moi, j'aimais l'ancien Éric, mais il faut que je m'habitue au nouveau Éric. On comprend, quand il a commencé, le gars, il conseillait des hockeys. Il y avait des amendes, puis il y avait... Aujourd'hui, tu peux plus faire ça. Je comprends qu'il faut vivre dans notre temps, 2025, on comprend ça. Mais ça demeure quand même un début de saison très, très lent pour les remparts. Comment tu l'expliques, ce début de saison-là qui est très lent? Les remparts sont 6-9. Ils ont 16 matchs de jouées, mais ils sont 6-10. Moi, j'ai 6-9 sur le site. [03:29:41] Speaker I: Ils ont une défaite en prolongation. C'est juste ça, c'est 6-9 et 1. [03:29:46] Speaker B: Ils sont 6-10, ils sont 8e dans l'Est. T'expliques ça comment? [03:29:51] Speaker I: Un peu le calendrier parce qu'ils ont affronté des très, très bonnes équipes souvent depuis le début de la saison, entre autres Chichicoutimi trois fois, Blainville-Boisbriand qu'ils ont battu d'ailleurs chez Winnegan, Rwineranda deux fois. Là, on parle de trois des quatre, cinq meilleures équipes dans la Ligue. Et un lent début de saison pour certains joueurs, des blessures. Tu sais, Morrison est revenu en fin de semaine dernière. Ça paraît déjà dans la brigade défensive. Oui, c'est ça. Devant le filet, il y a eu des performances irrégulières chez les Remparts. Patrick Denisier devrait jouer son premier match cette semaine. C'est un gardien de but qui a un bel avenir dans le monde du hockey. Puis un lent début de saison, ça peut arriver. Par contre, je dois dire que l'entrevue avec Éric Veilleux, c'est une affaire. Moi, je parle avec les gens de hockey, Simon Gagné, puis Marc Chamorre, puis le groupe de dirigeants des Remparts, ils sont très confiants avec le groupe qu'ils ont présentement. Ça veut pas dire que dans un an, deux ans, il y aura pas eu quelques changements à travers, mais le noyau est probablement installé avec les Remparts. Maintenant, il reste à le faire progresser, ce noyau-là. Ensemble, ça se mange. [03:30:55] Speaker B: Maddox, est-ce qu'il joue comme un first overall? [03:30:58] Speaker I: De qui tu parles? [03:30:59] Speaker B: Maddox. [03:31:00] Speaker I: Maldox, non. Non, pas pour l'instant. Pas pour l'instant, mais il y a une progression d'homme dans son jeu. Il y a une petite progression dans son jeu. [03:31:08] Speaker B: Je te le donne, je te le donne. [03:31:08] Speaker I: Un petit peu plus au filet. [03:31:11] Speaker B: Ses entrées à l'aile sont quand même explosives. Mais il manque de finition. [03:31:16] Speaker I: C'est pas un exceptionnel ou un gars du genre de Caleb dénoyé. Caleb, à 16 ans, il y avait un impact. À 17 ans, évidemment, il y a eu un impact avec Moncton. C'est lui qui a été repêché premier juste avant, l'année avant Maddox-Dagenham. On n'est pas dans ce genre de joueur de hockey-là. Mais Maddox Dagenais, il va se démarquer en lançant. Pour lancer, il faut que tu crées des chances, il faut que tu crées les occasions de lancer. Il s'en crée un petit peu plus. Mais non, pour l'instant, je peux pas te dire qu'il joue comme un premier de classe. Et puis, tu sais, où il serait repêché présentement dans la Ligue nationale de hockey au mois de juin prochain, c'est sûr que ce serait pas une première ronde de la façon dont il joue présentement. Certain que non. Il faut se dire les vraies choses également. [03:31:57] Speaker B: Il avait ça dans la tête. Il y a des recruteurs qui me regardent, il faut que je les épatte. C'est normal, c'est un kill, je comprends. Il le dit lui-même de par le match des étoiles et désespoir à Sherbrooke, il dit qu'il a changé son approche. [03:32:13] Speaker I: Ça l'a dérangé un petit peu. L'an passé, il faut quand même dire que sa saison a été amputée de quelques mois à cause de blessures, commotion cérébrale, ensuite une autre blessure. Ça n'a pas parti de façon parfaite. Mais ce qu'il doit améliorer, c'est souvent ça pour les jeunes joueurs, c'est la constance dans son jeu, dans ses présences sur la glace de toujours donner son 100 %. Là-dessus, il faut qu'il travaille là-dessus. Au niveau de l'éthique de travail, c'est ce qu'on dit, il y a ça à améliorer. Il y a 17 ans, ce n'est pas le temps de démissionner sur un jeune homme de 17 ans. Le potentiel est beau. Le potentiel est beau. [03:32:49] Speaker B: Absolument. Merci beaucoup Ray. On entendait des lancers, tu es-tu à l'Arena Park? [03:32:54] Speaker I: Oui, je suis à l'Arena. Je suis au centre Vidéotron. Pas à l'Arena Park, non. Pas à l'Arena Park. [03:32:57] Speaker B: C'est les ramparts qui pratiquent? Les ramparts pratiquent? [03:33:00] Speaker I: Oui, ils viennent de sauter sur la patinoire. [03:33:02] Speaker C: C'est radar cette semaine deux fois. [03:33:04] Speaker I: C'est Val-d'Or deux fois, oui. Oui, oui. Demain et vendredi, deux matchs à domicile contre Val-d'Or. Puis ensuite, c'est presque une semaine de congés, mais on s'en va à Charlottetown, sur l'île des Petates, et puis à Saint-Jean-Nouveau-Brunswick la semaine prochaine. [03:33:16] Speaker B: Faut-tu nous ramener un dîner? [03:33:18] Speaker I: Elle vous décommande, elle vous décommande un peu. Elle met des patates, elle en met dans les assiettes. Maintenant, tu te prends une assiette de saumon, il y a déjà une portion de patate. Mais elles vont te rajouter une autre patate dans ta portion de patate. Elles ne savent plus quoi faire de leur patate. [03:33:32] Speaker B: Et ce que tu ne sais pas, Maury, revire-toi de bord, il y a une table, c'est une collection de salades aux patates aussi. Tu as de la soupe aux patates également en fin de soirée. [03:33:42] Speaker I: Oui, monsieur. [03:33:43] Speaker C: Tais-toi. [03:33:44] Speaker B: Salut Ben. [03:33:45] Speaker C: Salut Ray. [03:33:46] Speaker I: Bonne journée. [03:33:46] Speaker B: Va manger tes patates pilées. Salut Ben. [03:33:48] Speaker I: Salut. [03:33:49] Speaker B: Salut. Moi, on va prendre des pilées, Adam. [03:33:51] Speaker C: Mais une bonne purée de pommes de terre l'automne, là. [03:33:54] Speaker B: Beaucoup de beurre. [03:33:55] Speaker C: Beaucoup de beurre dans la crème. [03:33:58] Speaker B: Faut qu'elle soit crémeuse. [03:33:59] Speaker C: Ça prend du sel aussi, puis il faut les effoirer, parce que c'est le vrai mot. On les effoire. [03:34:05] Speaker B: Ma mère faisait ça à fourchette. [03:34:07] Speaker C: Puis les chaudes. [03:34:08] Speaker B: Oui, elle faisait ça chaudes dans le chaudron au sacrifice. Comme dans le temps. Dans quel temps, ça je le sais pas, mais c'est une expression. [03:34:16] Speaker C: Oui. Non, non. Ce bon vieux temps. [03:34:19] Speaker B: Ce bon vieux temps. Parfait, ça. Hé, Jean-François Caron nous attend outre-mer. Attachez vos tueux qui étaient... Pas de cigarette dans le cockpit, s'il vous plaît. [03:34:34] Speaker I: Une présentation du Charbon Steakhouse. Avant le match, passez chercher vos côtes levées, burgers, steaks ou plats cuisinés. Le charbon pour apporter, c'est une bonne idée! [03:34:45] Speaker C: Le chantier des vies, c'est le plus grand chantier naval au Canada. On recrute activement. On a 1000 postes à l'heure actuelle. [03:34:50] Speaker B: Oui! [03:34:51] Speaker C: 1000 postes! On recherche des tuyaux-auteurs, des tuyaux-auteuses, des mécaniciens et des mécaniciennes. industrielles, des électriciens et électriciennes. En fait, tout ce qu'on dit, il faut le mettre au masculin puis au féminin. Donc, tu es un travailleur, tu es une travailleuse. Ose le grandiose pour ta carrière. Postule à dvrecruite.ca. Dv, le plus grand chantier naveur au Canada. Viens donc travailler avec nous autres. On t'attend, là. Le carnet de commandes est bien plein rempli. On regarde ça jusqu'en 2040. C'est plein, plein, plein. Marqué au stylo, ça s'efface pas. Ça va être... Le fun, travailler avec nous, les conditions de travail sont solides. Ose-le grandiose pour ta carrière, postule adevirecrude.ca. [03:35:26] Speaker B: Un nouveau produit débarque chez Stada Coney. [03:35:29] Speaker D: La collection Piñata s'agrandit avec une nouvelle saveur iconique, la cerise atomique. Parfaite pour tes cocktails ou pour consommation sur glace, Piñata est une liqueur alcoolisée inspirée par les bonbons. Sucrée, surette et délicieuse, la Piñata Cerise Atomique, c'est une explosion de saveurs qui te fera passer pour le meilleur mixologue de ta gang. Disponible dès maintenant à SACU et directement à la distillerie située à Limoilou. Santé! [03:35:55] Speaker B: Avec le groupe Nanoque, acceptez votre soumission de Bardot en 10 jours et vous pourrez bénéficier de notre rabais éclair allant de 250 à 1050 $. Ou prévoyez de changer votre revêtement extérieur pour le printemps prochain et profitez du Rénault rabais extérieur allant de 200 à 1500 $. Appelez-nous pour plus de détails au 581-985-6949. Visitez le nanook.ca, N-A-N-U-U-Q.ca. Certaines conditions s'appliquent. [03:36:25] Speaker A: Chez Walmart, vous n'avez pas à attendre un solde. Vous pouvez compter sur nos bas prix de tous les jours. Par exemple, procurez-vous un sac de 3 livres de carottes ou d'oignons jaunes Mon Marché Fraîcheur à seulement 1,58 $ chacun. Walmart. Économisez plus, vivez mieux. [03:36:40] Speaker D: Le salon de la motoneige et du quad de Québec, présenté par Beneva, c'est. [03:36:44] Speaker C: Pour tout le monde, autant les débutants que les passionnés. [03:36:46] Speaker D: Ah oui? Oui, parce que sur place, il y. [03:36:48] Speaker C: A des centaines de motoneiges et quads neufs et d'occasion. [03:36:51] Speaker E: Cool! [03:36:52] Speaker A: Puis est-ce que je vais pouvoir magasiner? [03:36:53] Speaker C: Oh que oui! [03:36:54] Speaker D: Des vêtements, des accessoires et même des séjours avec randonnée. Et comme c'est le seul salon de. [03:36:59] Speaker C: L'Industrie au Québec... Ah ben là, c'est. [03:37:01] Speaker A: Sûr qu'on y va! [03:37:02] Speaker D: De vendredi à dimanche au Centre de. [03:37:04] Speaker C: Foire d'Exposité, place au Salon de la Motoneige et du Coeb de Québec, présenté par Beneva. [03:37:09] Speaker D: La sex-ploratrice. [03:37:12] Speaker A: Sexualité. Amour. Relations. [03:37:16] Speaker D: Et beaucoup plus. [03:37:17] Speaker A: Sans tabou. [03:37:18] Speaker D: La sex-ploratrice. [03:37:20] Speaker A: Avec Mel Trudel. Tous les vendredis, 19h. [03:37:24] Speaker D: La sex-ploratrice. Radio X. Présenté par Planète X. À la recherche de nouvelles sensations. Avec Planète X, explore et découvre tous les plaisirs. [03:37:36] Speaker B: Planète X. [03:37:37] Speaker C: C'est succursale et sur monplanètex.com. [03:37:40] Speaker J: Je suis parce que nous sommes. Nous ont fait connaître le concept de Ubuntu. Nelson Mangala et Desmond Tutu nous ont fait connaître le concept de Ubuntu. Je suis parce que nous sommes. Nelson Mangala et Desmond Tutu nous ont fait connaître le concept de Ubuntu. Je suis parce que nous sommes. Nelson Mangala et Desmond Tutu. [03:38:01] Speaker A: Avec Dominique Morin. [03:38:03] Speaker B: Nous sommes profondément désolés. [03:38:07] Speaker C: Radio X. Jeff Caron. [03:38:19] Speaker D: Jeff Caron. [03:38:23] Speaker B: Salut Prof Caron, comment ça va? [03:38:29] Speaker H: Ça va bien, toi? [03:38:30] Speaker B: Très bien. Quelle est ton analyse du scrutin de Québec? [03:38:36] Speaker H: Ben oui, les élections municipales sont terminées, fait qu'on en tire les leçons qui s'imposent. Moi, ce qui a rendu mon attention, évidemment, c'est le double standard utilisé par les médias envers les candidats. Puis ça, c'est un double standard qui va inévitablement laisser des traces. Puis de quoi est-ce que je parle? Ben, c'est honnêtement d'une réalité que les gens de bonne foi vont comprendre, ce qui évidemment n'inclut pas les chroniqueurs aux cheveux en plastique de Radio-Canada. Donc le militantisme des médias, pour moi, a été flagrant. Puis les médias ont repoussé les limites de ce qu'ils considéraient jusqu'alors comme étant acceptable. Fait que, jusqu'à tout récemment, Puis, c'était dans la logique de la pandémie. Ils se contentaient d'utiliser des expressions typiquement NPC pour disqualifier les candidats antisystèmes. C'était des complotistes, des extrémistes, des antivax, etc. Puis, pourquoi je dis candidats antisystèmes? Parce qu'évidemment, les bonnes personnes, celles qui s'inscrivent dans la bonne conscience, sont évidemment épargnées par cette méthode-là. Il suffit simplement de se reporter aux dernières élections provinciales ou à la partielle d'Artabasca avec Éric Duhem. Il a été traité de la sorte par les chroniqueurs accrochés aux subventions de l'État, puis par les journalistes. Leur but c'était quoi? C'était simplement rien d'autre que de le discréditer. C'était de le faire passer pour un politicien dangereux. Puis ça a été la même chose avec Stéphane Lachance à Québec, puis dans une moindre mesure, parce qu'il constituait moins de menaces à Montréal, avec Gilbert Thibodeau. Puis cette méthode-là, ben, force est de constater que ça fonctionne, hein. Duvem a jamais flambé des millions de dollars en subventions dans des projets faits sur des coins de table, sur des napkins, mais ça reste le politicien le plus détesté du Québec. Tu sais, faut pas chercher de midi à 14h pour comprendre d'où vient la source de cette haine-là. Mais cette fois-ci, au cours du dernier mois, les journalistes ont poussé le bouchon encore plus loin. Ils se sont permis de contacter l'ex de Stéphane Lachance et ses enfants afin de savoir si c'est un bon père de famille et si c'est un bon mari. Ça, écoute, c'est tout simplement dégueulasse. C'est l'abysse de l'insignifiance. Puis ça, ça a été le déplacement de la ligne de ce qu'ils considèrent désormais comme étant acceptable. Donc avant, ils se contentaient que de fouiller dans les données fiscales de leurs adversaires politiques. Ce qui est, by the way, ce qui est en soi très problématique, parce que c'est des informations qui sont supposées être confidentielles, fait que pour y avoir accès, ils ont dû compter sur des fuites de la part de fonctionnaires. Donc, ils fouillaient là-dedans pour savoir si les candidats en question avaient été en retard de cinq jours dans le paiement de leur ticket de stationnement de 1997, ou s'ils avaient payé leur taxe municipale à temps. Fait que là, maintenant, on peut se poser la question, ça va être quoi la prochaine ligne qu'ils vont se permettre de franchir? Les victimes de cette méthode-là, évidemment, c'est uniquement les candidats anti-système. Parce qu'on s'entend qu'ils ne se sont pas intéressés aux affaires personnelles de Bruno Marchand. Ils ne se sont pas interrogés à savoir si c'est un bon père de famille malgré sa séparation. Évidemment que non. Ça, c'est ça le double standard des médias. Puis il faut pas avoir un doctorat en sciences politiques pour se rendre compte que leur objectif c'est pas d'informer mais c'est tout simplement de discréditer les gens avec lesquels ils sont en désaccord. Puis tu sais, honnêtement, pas s'en rendre compte ou s'en moquer ouvertement, c'est soit il faut être drôlement con ou bien se mettre délibérément la tête dans le sable. Puis ça, C'est une méthode qui typique des régimes autoritaires. L'opposition est systématiquement discréditée par des moyens qui sont absolument identiques. On présente ces gens-là comme étant des agents de l'étranger, des gens qui sont corrompus, qui n'ont pas payé leur taxe, etc. Bref, c'est exactement ce qui a été fait pour discréditer Alexei Navalny en Russie, où ça remonte un petit peu plus longtemps, ce qui a été utilisé pour discréditer Mikhail Khodorkovsky, qui était au moment de sa chute l'homme le plus riche du pays, Mais bon, on ne s'attend pas à ce que les amibes systémiques du complexe médiatico-politique, subventionnés jusqu'au tronion, soient en mesure de faire amende honorable ou de réaliser à quel point ils ont ouvert une dangereuse boîte de pandore. Parce que ça va être quoi la conséquence de cette méthode-là? C'est la même qui est souhaitée dans des pays qui ne sont pas des exemples de démocratie. Tu sais, les candidats potentiels anti-système, ils vont pas prendre le risque de se présenter en politique, parce que désormais, ils savent très bien ce qui les attend. Il y a des fouilles merdes qui vont remonter dans leur passé pour déterrer la moindre erreur commise, le moindre compte impayé. En plus de se faire traiter publiquement d'extrémiste, de fasciste, de complotiste ou d'être pro-russe et, pire encore, on va contacter désormais les membres de leur famille pour savoir si c'est des bons pères, des bonnes personnes, etc., etc. Bref, ce qu'ils font subir, c'est un procès de moralité de la part de gens qui n'ont pas inventé l'eau tiède, qui sont en fait des NPC à micro, des influenceurs de l'opinion publique, qui ont un agenda politique. Puis ces gens-là, c'est malheureux de le dire, mais ils détruisent à coups de canon l'esprit démocratique en développant un monde où les gens qui ont des opinions minoritaires vont être obligés désormais de s'auto-censurer. Ça, ces gens-là, c'est des influenceurs qui se moquent éperdument des conséquences de leur action. Puis moi, de l'extérieur, c'est la leçon que je tire de cette élection municipale-là. [03:44:02] Speaker B: Et Radio-X passe dans le crochard encore une fois. Radio Poubelle, là ça a évolué au sein de certains médias. On est passé en deux semaines de Radio Poubelle, en fin de semaine, à Radio d'Opinion. La chance est une fabrication de la Radio de Québec. Et là c'est Radio-X. On nomme Radio-X ce matin, c'est écrit Radio-X. Ça a évolué là. Peut-être qu'il y a des personnes qui ont compris que Radio-Poubelle... Ça va revenir. Ça va revenir. [03:44:31] Speaker H: Ben oui, ça va revenir. Puis inévitablement... Ben écoute, moi je le sais. Et puis c'est la contamination par association. Vous donnez... on donne une entrevue à Radio-X, on donne une entrevue à Jeff Fillon ou peu importe, puis automatiquement, on se fait donner l'hépitète de complotistes. de participants à la radio poubelle. Donc, t'sais, l'idée, c'est tout simplement, c'est la logique NPC, t'sais, qui est décrite par François Franck, le dédomiseur, dans son livre, qui est excellent, par ailleurs. C'est exactement ça, la méthode. Mettre une étiquette sur des gens, dans le simple but de les discréditer. Puis t'sais, les gens, malheureusement, les gens... [03:45:09] Speaker B: Bocoté aussi, dans son dernier, avant-dernier livre, parce qu'il en a sorti un, là. Un autre, le boulag, là. C'est ça. C'est la même logique qui est décrite là. Effectivement. [03:45:18] Speaker H: Écoute, son dernier livre, moi je suis pas particulièrement un amateur de Mathieu Bocoté, mais dans son dernier livre qu'il a publié il y a dix jours à peu près, c'était, il y a deux éditeurs, très à gauche, dont les noms m'échappent, le livre était même pas encore, il venait de sortir le matin même, il était encore tout chaud sorti des presses, pis ils portaient déjà un jugement sur le livre. Ils l'ont même pas lu. Prenez au moins la peine de lire ce qu'il a écrit avant de le critiquer. C'est ça l'état de la démocratie, malheureusement, au Québec. On donne des étiquettes aux gens, puis le simple but, c'est de les discréditer. Tu sais, chapeau à Stéphane Lachance, qui a été en mesure, qui a toléré ça pendant 30 jours. Vraiment, Éric, c'est... [03:46:02] Speaker B: On peut le féliciter, puis les quatre prochaines années, parce que ce ne sera pas facile. Comme j'ai décrit dans le show, Ça va être le festival du ricanage, le festival du on-le-vire en ridicule. Il va se faire troller Ligue majeure dans la salle du conseil. Puis là, les caméras et autres vont regarder ça. Puis là, au sortir de la salle du conseil, où Stéphane va être crainqué, pompé, pourquoi vous êtes agressif? Pourquoi vous êtes ici, vous êtes ça? Oui, mais il va se faire crainquer puis il va se faire incœurer pendant 3-4 heures de temps. Ça dure combien de temps, le conseil, Dan? [03:46:33] Speaker C: 5 ans? Ça commence à 14 heures et c'est fini. Et quand ça finit, normalement, c'est 6 heures après. [03:46:39] Speaker B: Bon, bien, c'est ça. C'est ça qui va arriver. [03:46:41] Speaker H: Évidemment, évidemment. Puis les journalistes, comme tu dis, ils vont simplement le chercher à mettre le doigt sur le deux ou trois secondes où il va rouler des yeux. C'est ça. Leur simple but, c'est de discréditer. Puis regarde, ça a été comme ça avec Éric Duhem pendant la dernière élection provinciale. C'était l'affaire des taxes. Mais ils n'ont pas jugé bon ou approprié à l'époque d'entrer dans sa vie privée. Puis de contacter des proches pour savoir s'il avait fait ci dans le passé ou s'il avait fait ça. Mais là, quand je dis qu'ils ont franchi une nouvelle ligne avec Stéphane Lachance, écoute, quand on est rendu à appeler l'ex-conjoint, l'ex-conjoint de quelqu'un, puis ses enfants pour poser des questions de nature personnelle, c'est dégueulasse. Je veux dire, en termes d'éthique, c'est niveau zéro. C'est comme je dis, c'est l'abysse de l'insignifiance. Mais pour eux, maintenant, c'est une méthode qui est acceptable. Puis ils vont continuer à le faire. Puis moi, je m'interroge simplement à savoir, ça va être quoi la prochaine dégueulasserie qu'ils vont faire pour discréditer les gens avec qui ils sont en désaccord? [03:47:46] Speaker B: Oui, bien, regarde, tentons l'expérience. Ils vont dire quoi? Ils vont faire quoi? Ils vont s'amuser comment? [03:47:53] Speaker H: Écoute, j'en ai aucune idée, pis à quelque part, ça me fait peur d'y penser. Parce que je me rends compte que ces gens-là, ils ont pas de limites. Moi, je suis persuadé qu'un moment... Écoute, mon conseil à Stéphane Lachance, c'est de pas mettre ses poubelles au chemin devant son appartement, sa résidence. Parce que moi, je m'attendrais à ce qu'un jour... [03:48:13] Speaker B: Ils vont aller chercher le sac pis ils vont le vider comme le FBI peut le faire ou la CIA. [03:48:18] Speaker H: Écoute, si on en est rendu à appeler l'ex puis les enfants, ils peuvent très bien aller fouiller. Au sens propre et au sens figuré, ils ont déjà commencé à fouiller dans les vidanges, mais ils sont très bien capables de le faire au sens propre aussi. [03:48:32] Speaker B: Moi, si demain ils vidangent à Charlebois, je fais quoi? Je les mange? Il me reste une journée pour les manger. Je vais aller les jeter dans le champ. J'étais à côté d'un champ. [03:48:40] Speaker H: Il commence à faire du compostage. Il n'a vraiment pas de chance. [03:48:44] Speaker B: Comment ça va mon cher prof en passant dans ta nouvelle destination, ta nouvelle ville? Comment ça se passe? [03:48:51] Speaker H: Ça va super bien. L'Arménie me traite très bien. Je commence à prendre goût à ce pays-là, puis... Est-ce que c'est plus beau. [03:48:59] Speaker B: Que ton ancien pays? Ça veut dire... Pas le Kazakhstan, mais le... Kazakhstan, oui, Kazakhstan. Oui, oui, oui. [03:49:07] Speaker H: La ville d'Astana. Bien oui, parce que Yerevan, c'est une vraie ville. On dit que c'est la ville la plus vieille où il y a eu une continuité en matière de... où les gens ont habité la ville sans arrêt. Donc la ville, techniquement, a le plus de 3000 ans. Tu sais, Québec, avec son 400e anniversaire, il y a une couple d'années. Ici, Yerevan, la ville a le plus de 3000 ans. Tu sais, il y a une arme. C'est sympathique d'aller se promener les week-ends en soirée dans la ville, marcher. Il y a des terrasses, des restaurants. Puis c'est pas pour vous écoeurer, mais il fait encore 15, 16, 17, 18 degrés à la fin octobre, début du mois de novembre. [03:49:42] Speaker C: Wow! [03:49:43] Speaker H: Fait que c'est... Écoute, en termes de météo, c'est absolument génial. [03:49:46] Speaker B: La madame est contente? [03:49:48] Speaker H: Oui, oui, puis écoute, l'université, c'est des gens qui sont très, très, très sympathiques. Puis ils appréciaient mon travail, j'appréciais leur travail. Ils m'ont permis la semaine dernière, d'ailleurs j'en ai mis sur mon site YouTube de l'État du Monde, ils m'ont permis la semaine dernière de faire une présentation sur le contrat social de Vladimir Poutine. Puis quand j'ai proposé cette thématique-là, il était enthousiaste, aucun problème. Alors qu'on s'entend très bien que si j'avais voulu faire une présentation comme ça au Québec, j'aurais été cancelé, hein. Parce que les gens, sans même avoir pris la peine d'écouter la présentation... — C'est un pro-russe! [03:50:21] Speaker C: — Ah! [03:50:22] Speaker H: Ben c'est ça. Il va faire l'apologie de Vladimir Poutine. Il va le défendre. Alors j'invite les gens, s'ils le souhaitent, à aller sur mon site de YouTube, de l'État du monde, pour écouter ma présentation. Je l'ai mis en ligne. Pis les gens qui vont se donner la peine de l'écouter pendant 30-35 minutes, ils vont réaliser que l'étiquette de Caron, c'est un pro-russe qui est payé par le Kremlin. Ils vont réaliser que les gens qui disent des choses pareilles, ils savent absolument pas de quoi ils parlent. [03:50:46] Speaker B: Merci beaucoup, on se reparle, bye. [03:50:48] Speaker H: Merci, bye. [03:50:49] Speaker B: 9H50 et vous êtes à Radio X. [03:50:52] Speaker A: Du 3 au 9 novembre, c'est la semaine québécoise des rencontres interculturelles. [03:51:08] Speaker B: Tissons des liens entre nous. [03:51:09] Speaker A: Car nous avons le Québec en commun. [03:51:12] Speaker B: Qu'on le soit d'ailleurs ou d'ici. [03:51:14] Speaker A: Participons à des activités qui nous rassemblent partout au Québec pendant cette semaine québécoise des rencontres interculturelles. [03:51:21] Speaker B: Consultez les calendriers pour les activités dans votre région sur québec.ca baroblic rencontres interculturelles. [03:51:29] Speaker A: Un message du gouvernement du Québec. [03:51:31] Speaker D: Le retour de Radio X. [03:51:34] Speaker B: Il y a un auditeur qui dit, Léo est un économiste de gauche, c'est. [03:51:37] Speaker C: Important que vous lui donniez la parole. [03:51:40] Speaker D: En plus, il est drôle. Ah bon, bien ça, tu dois pas. [03:51:43] Speaker E: Aimer ça, là, que je... pour la première fois. C'est rare que je... [03:51:46] Speaker B: On vient de le bloquer, les autres. [03:51:49] Speaker D: On vient de le bloquer. On vient de le bloquer, il pourra plus écrire. Le retour de Radio X. [03:51:54] Speaker A: Lundi au vendredi, 15h. Davie, le plus grand chantier naval du Canada, recrute pour plus de 1000 postes. Peintre, assembleur mécanique, électricien, contre-maître et plus. Avec un carnet de commandes rempli jusqu'en 2040 et des conditions de travail solides, pose le grandiose pour ta carrière. Postule à DavieRecrute.ca. Pickleball Lévis, ça grandit! Un tout nouveau centre intérieur ouvre dès novembre à la sortie Lévis-Centreville-Paintendre de l'autoroute 20. Plus de terrain, plus de plaisir. Devenez membre dès maintenant sur PickleballLévis.com. [03:52:40] Speaker B: Depuis plus de 15 ans, le Groupe GSC vous offre des formations complètes et intensives pour réussir vos examens de la RBQ. Un vrai clé en main pour les entrepreneurs en construction. Avec nos formations bilingues et hybrides, en classe ou en ligne, outillez-vous pour obtenir votre licence RBQ. Avec des horaires flexibles, concilier études, travail et vie de famille. GroupeGSC.com. Votre avenir en construction commence ici, à Laval-Brossard-Gatineau et Québec, au 1995 Franck Carrel. Groupe GSC. Fermez pour bâtir! [03:53:11] Speaker D: Mes amis, il est temps de dire un dernier adieu aux anciennes règles de tri. Elles emportent dans le deuil tous nos doutes devant le bac de récupération. [03:53:21] Speaker A: C'est vrai que c'est mélangeant. [03:53:23] Speaker I: Maintenant, la règle, c'est contenant, emballage, imprimé. [03:53:26] Speaker A: Donc, je peux mettre ma bouteille d'huile d'olive? [03:53:27] Speaker D: Oui, contenant. [03:53:28] Speaker A: Mon papier d'aluminium? [03:53:30] Speaker C: Oui, emballage. [03:53:31] Speaker A: Les lettres d'amour de mon ex? [03:53:33] Speaker D: Imprimé. [03:53:34] Speaker A: Dites adieu aux anciennes règles de tri. La seule à retenir, c'est contenant, emballage, imprimé. Un message de Bag Impact, la nouvelle référence en collecte sélective. [03:53:42] Speaker D: Écoute le retour. Tu pourrais gagner l'un des 10 certificats cadeaux de 50$ chez Fromagerie Victoria, au signal de DH. Là, je vous pose la question. On veut savoir ce que tu mets dans ta poutine. [03:53:53] Speaker B: Je suis content. [03:53:53] Speaker D: À la Fromagerie Victoria, notre fromage emmène large. Frais du jour, tous les jours et du fromage, on en retrouve partout sur notre menu. C'est pas pour rien que tout le monde adore la Fromagerie Victoria. [03:54:05] Speaker A: Fromagerievictoria.com Joanne Plourde-Têtu, elle tente d'être élue à la mairie de la Quai-de-Chemin. Elle est membre de l'armée de Marie. Elle est membre de l'armée de Marie. Trois autres conseillers qui tentent de se faire élire au sein de son parti, qui sont également membres de l'armée de Marie. Qui sont également membres de l'armée de Marie. [03:54:24] Speaker D: Oyez. [03:54:30] Speaker C: Oyez, Pierre Couture s'installe pour vous livrer. de l'actualité. De 10 à midi, c'est le même tous les jours. C'est pas comme si je vous annonçais une grande surprise. Jean-Claude sera là par la suite et toute l'équipe du retour. Carbeau! Carbeau, il y a des journées de malade de ce temps-ci. Carbeau, c'est comme... Il passe ses grandes journées à changer des pneus, puis après ça, il vient vous parler pendant une heure. C'est malade. On le salue. Et vous avez les soirées Radio X, entre autres Jean-Francis, qui sera là avec son Spacecast à partir de 19h. Nous, on vous souhaite de passer une agréable et succulente journée. On se reparle demain. C'est mercredi. Et puis, surtout, ne trompez-vous pas. Passez une bonne journée. C'est un super mardi. [03:55:14] Speaker J: Et j'ai la responsabilité, et nous aurons la responsabilité de faire mieux. Nelson Mandela et Desmond Tutu nous ont fait connaître le concept de Ubuntu. Je suis, parce que nous sommes. [03:55:23] Speaker D: Moret Live. [03:55:25] Speaker A: Réécoute les meilleurs moments. [03:55:28] Speaker D: Radio X.com. [03:55:30] Speaker A: L'application Radio X. Radio X. Moret Live, présenté par Multiconfort FX. C'est le mois de novembre, fou, fou, fou! Des rabais exceptionnels sur nos thermopompes du 1er au 30 novembre. Informez-vous. En face de l'aéroport. [03:55:49] Speaker C: Les manchettes sportives, présentées par BPM Sport. [03:55:52] Speaker D: BPM Sport, la radio des sports au Québec. Hey, c'est Jordan. C'est jour de match pour le Canadien. Après 12 duels, le club à Martin-Saint-Louis va très bien. Bon pour la première position dans l'Atlantique avec 9 victoires en 12 matchs et sur une séquence de 3 victoires consécutives. Solide. Ce soir, un club moyen sera en ville. Les Flyers. Lui a surveillé chez les Oranges et Trevor Zeigris. Une solide entrée en matière depuis qu'il a quitté les Docks. Pour l'alignement du CH, c'est quasi pareil au match de samedi. Seule à faire, il y a un switch entre Gallagher et Villaino sur la 3 et la 4. Gall et Isaac Bolduc qui se retrouvent, un fit naturel. Canadiens Flyers à 19h. Et dans l'NBA, c'est jour de match pour les Raptors. Toronto tentera d'aller en chercher une troisième de suite. Eux qui sont huitièmes dans l'Est actuellement. Manquez pas à 19h30, Raptors boxe. [03:56:42] Speaker C: Pour plus de sport, ici BPM Sports. [03:56:46] Speaker D: 100.9. Présenté par Canabec. Les 6-7 novembre, c'est la grande vente d'entrepôt Canabec. [03:56:52] Speaker B: Rabais imbattable. [03:56:53] Speaker D: Cuisse de canard confite, médaillon de cerf, magret de canard, tomahawk, de bison. Canabec. 115 des Grands Lacs, à Saint-Augustin. [03:57:01] Speaker A: Dès le premier matin où vous déciderez que vos dettes ne vous empêcheront plus de dormir, nous serons là pour vous. Les conseillers de Jean Fortin vous accompagneront où que vous soyez au Québec. Vous ne serez plus seul face à vos problèmes. Contactez-nous et en 24 heures, vous aurez un plan, les réponses à vos questions et des solutions autres que la faillite. Vous voulez mettre vos dettes derrière vous? Parlez-en à Jean Fortin, syndic autorisé en insolvabilité, et passez enfin à autre chose. [03:57:30] Speaker C: Vous avez dévalisé nos disques BrakeMax et plaquettes Bosch. [03:57:34] Speaker D: Bonne nouvelle! [03:57:35] Speaker C: Pièces d'auto économiques prolongent les rabais tout le mois de novembre. Les disques de freins BrakeMax qualité première et les plaquettes de freins Bosch sont à 10 % de rabais. Les essuie-glaces Rainix à 20 % de rabais et nos batteries pièces d'auto économiques à 10 % de rabais. L'hiver approche. Passez nous voir! Pièces d'autoéconomique, 9 magasins, 5 centres de distribution et 1 site transactionnel. pièceséconomique.com Janpro, c'est votre partenaire de confiance. [03:58:00] Speaker D: En entretien ménager commercial. Que ce soit pour votre entreprise, une clinique, une garderie, un bureau et bien plus, comptez sur Janpro. Que vos besoins ménage soient petits ou gros, le nom à retenir, c'est Janpro. J-A-N près d'union, P-R-O. Allô tout le. [03:58:13] Speaker C: Monde, c'est votre sommeil. [03:58:15] Speaker I: Alors l'équipe santé bien-être de Dormez-vous m'a. [03:58:17] Speaker D: Demandé de vous parler de toutes nos petites folies, parce qu'on en fait tous. [03:58:19] Speaker C: Hein, j'en fais des folies, vous en faites des folies vous aussi. [03:58:22] Speaker D: Dormir seulement un 3-4 heures par nuit. [03:58:23] Speaker C: Ça c'est fou ça. [03:58:25] Speaker D: Endurer un matelas fini par pure nostalgie, ça c'est très très fou ça. Mais manquer le vendredi fou alors que vous êtes tellement fatigué que vous êtes en train de virer fou, là, vous. [03:58:34] Speaker B: Avez vraiment l'air fous. [03:58:35] Speaker A: Pendant le Vendredi fou, obtenez 25 % de rabais sur presque tout. Toutes ces folies, ça se passe seulement chez Dormez-vous. Des conditions s'appliquent pour un temps limité. Pour vendre au meilleur prix avec une stratégie efficace, une mise en marché professionnelle et une prise en charge du début à la fin, contactez Christian Dagenais, courtier immobilier via Capital, à christiandagenais.com ou au 581 985 8906. [03:58:58] Speaker C: Salut les enfants! [03:58:59] Speaker D: Quoi de neuf pour ce mois-ci? [03:59:00] Speaker C: Chez Lévis-Chrysler, on a le ram 2026. [03:59:03] Speaker B: Garantie 10 ans, 160 000 km à. [03:59:05] Speaker C: 0 % sur 72 mois. On a vraiment confiance dans notre pickup. [03:59:09] Speaker B: Chez Lévis-Masda, le CX-30 a location 48. [03:59:13] Speaker D: Mois à 93 $ par semaine. [03:59:15] Speaker B: Il est beau, le CX-30, puis il. [03:59:17] Speaker D: Est fiable à part de ça. C'est bon, on y va avec ça. Et n'oubliez pas que c'est le temps. [03:59:21] Speaker C: De se faire poser les pneus d'hiver. [03:59:23] Speaker D: Il nous reste de la place. [03:59:24] Speaker C: Chez Auto-Québec, on s'occupe de vous! [03:59:30] Speaker D: La chronique Ray the Sports! [03:59:45] Speaker I: Hey, c'est moi ça! Une présentation du Charbon Steakhouse. Avant le match, passez chercher vos côtes levées, burgers, steaks ou plats cuisinés. Le charbon pour apporter, c'est une bonne idée!

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