Maurais Live - Intégral du 08-09-2025

September 08, 2025 03:59:56
Maurais Live - Intégral du 08-09-2025
Maurais Live
Maurais Live - Intégral du 08-09-2025

Sep 08 2025 | 03:59:56

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Maurais Live - Intégral du 08-09-2025
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[00:00:00] Speaker A: Avec Morelive, il est 6h00, on est en direct de Grand Allée-Cocorico. C'est pas chaud. On est parti du char avec le démarreur à distance, mais pas trop longtemps. Un petit quoi, 2-3 minutes, c'est pas comme en février où on le laisse rouler pendant un bon 15, solide. Sinon plus. Et c'est comme ça. On est en période automnale, période de chemise carottée. Tranquillement, on s'en va là avec un excellent week-end de foot. Avec des petites grillades peut-être, avec des amis, un petit scotch. D'ailleurs, j'ai acheté le whisky canadien de Kiefer Sutherland en fin de semaine. Aïe, aïe, aïe. Étant donné que je n'ai acheté deux bouteilles, je peux vous dire l'endroit où il en reste. Fait que, tu sais, j'aurais pas le sentiment de tirer dans le pied. Je vais tout vous donner ça tantôt. C'est ma petite découverte de la fin de semaine. Et c'est en batch limitée, donc si vous voyez une bouteille de Red Bank, sautez dessus, parce que je ne suis pas sûr que la SAQ va en avoir. Un petit whisky canadien caramel, ouais, c'est comme ça. T'aimes ça le whisky, moi, Dan? [00:01:09] Speaker B: Plus les années passent, plus j'aime ça. Mais je ne suis pas un buveur, un très grand buveur de spiritueux. [00:01:16] Speaker A: Ok. T'es-tu buveur spirituel, toutefois? [00:01:20] Speaker B: Oui, très. [00:01:21] Speaker A: Avec la IPA, la New England. [00:01:23] Speaker B: Plus ça avance, c'est un peu comme tu te réchauffes. Tu commences à 3h30 de l'après-midi, t'es moins spirituel, mais rendu à 9h le soir, je suis très, très spirituel. [00:01:35] Speaker A: Dans notre cas, c'est vendredi à 9h15 du matin. [00:01:38] Speaker B: Oui, c'est ça. Vendredi, vers 10h, je commence à ressembler au Dalai Lama. [00:01:43] Speaker A: Et on finit souvent ça au pépé, chez pépé à Olé. Comment ça va d'ailleurs, les ventes du pépé tour? [00:01:51] Speaker B: Je peux pas te dire. En faite semaine, j'étais... En faite semaine, j'ai... T'étais très occupé? Même pas. [00:01:59] Speaker A: OK. [00:01:59] Speaker B: J'ai juste décidé que c'était off en faite semaine. [00:02:02] Speaker A: Bon, off. T'as mis tout à off. T'as mis ta vie à off? [00:02:05] Speaker B: Un peu, oui. Un peu. À un moment donné, j'ai comme dit. [00:02:09] Speaker A: À ma blonde, Arrête de m'embrasser, je suis en congé. [00:02:13] Speaker B: Non, non, ça, je voulais beaucoup, là, en fin de semaine. Mais en fin de semaine, c'est... D'abord, je me lève 8 mois et samedi matin. [00:02:18] Speaker A: Oui. [00:02:19] Speaker B: On a de la job à faire dans la maison qu'on fait pas parce que ça fait 3 mois qu'il fait soleil. Fait qu'on a commencé par faire ça samedi. Après ça, on se fait le souper, on mange. [00:02:27] Speaker A: Là, tu passes vite. Là, tu passes du lever au souper entre les deux. Il y a Billy un peu aussi au travail. [00:02:37] Speaker B: Oui, on est allé marcher le chien, ce genre de patente-là. Mais j'ai fait des meubles au sous-sol, je les ai montés au deuxième étage. [00:02:43] Speaker A: Ça, c'est du plat, ça. [00:02:44] Speaker B: On a démonté des meubles au deuxième étage qu'on a descendus au sous-sol, mais il fallait le faire. [00:02:47] Speaker A: Ça, ça me fait vomir, ça. [00:02:49] Speaker B: Il fallait le faire, c'était pas une super... Mais après ça, j'ai pris du vin. [00:02:52] Speaker A: Ah, t'as été récompensé. Bino Blanco. [00:02:55] Speaker B: Et voilà. [00:02:56] Speaker A: Oh, un petit blanc de l'Italie, un petit blanc de... Français. Français, oui. On est très français dans notre histoire. [00:03:04] Speaker B: Un petit bourgogne alligoté. [00:03:06] Speaker A: Let's go. Pour souligner le renversement de gouvernement qui aura lieu aujourd'hui. Trois gouvernements en un an, c'est quasiment un spécial. [00:03:14] Speaker B: C'est ridicule. [00:03:15] Speaker A: Les habits de jean. [00:03:15] Speaker B: C'est ridicule. [00:03:16] Speaker A: Trois jeans pour 30 $. [00:03:18] Speaker B: Dimanche matin, dimanche, j'ai essayé de faire une journée parfaite. Je me suis levé. [00:03:22] Speaker A: Avec le sourire. [00:03:23] Speaker B: Avec le sourire. J'ai été faire marcher le chien pendant une heure. [00:03:27] Speaker A: Oui. [00:03:27] Speaker B: Je me dis là, je vais avoir un petit break pour regarder deux courses de Bessic, parce qu'il y en avait deux hier matin. [00:03:32] Speaker A: Ça, c'est vraiment... spécial. [00:03:35] Speaker B: Fait que j'ai regardé la première. Puis là, quand elle a terminé, il restait 70 km à l'autre. J'ai dit, j'ai le temps de leur promener le chien. Fait que j'suis reparti, j'étais allé promener le chien, j'suis revenu, j'ai regardé la finale de l'autre. Après ça, le football commençait. [00:03:48] Speaker A: Oui. [00:03:49] Speaker B: Et là, j'me suis tapé les jets comme ça faisait longtemps que j'm'étais pas tapé une game des jets, c'est-à-dire... J'ai pas changé... J'ai même... J'ai regardé même les annonces. J'ai pas changé de poste une seule fois. [00:04:02] Speaker A: Tu m'as texté. [00:04:03] Speaker B: J'ai même texté. [00:04:04] Speaker A: Ce qui est quand même inusité durant une game de foot. [00:04:07] Speaker B: Effectivement. [00:04:08] Speaker A: Justin Fields est excitant. [00:04:10] Speaker B: Oui, j'ai aimé ça hier. C'est sûr que vous m'entendrez pas dire que j'ai aimé ma game souvent quand ils vont perdre. Mais j'aimais ça hier. Tu sais, les raisons pour lesquelles on a perdu ont été très... Tu sais, c'était de roder la semaine numéro 1, là. [00:04:24] Speaker A: Je veux dire... Tu peux donner crédit à Ron Rogers, quand même, aussi. [00:04:26] Speaker B: Oui, donner crédit à Ron Rogers, mais c'est sûr que quand tu récoltes le ballon deux fois... dans le Red Zone, parce que les unités spéciales te le donnent. Ça facilite la pause de toucher, si on veut, qui est très juste d'une sévère affaire. Puis on a manqué deux extra points quand même. C'est ça. Il y a des choses, des fois, que je me pose comme question. À chaque année, il y a des pépites qui bottent le ballon dans la NCAA. [00:04:52] Speaker A: Beaucoup de ballons ratés hier. Des bâtés ratés. [00:04:54] Speaker B: Nick Falk gâche encore des parties de football. [00:04:57] Speaker A: Il y en a eu quelques-uns, il a battu raté. [00:05:00] Speaker C: Puis en même temps, il y a des 60 verges qui se battent de plus en plus. [00:05:02] Speaker A: Aussi, à l'inverse. Moi, j'étais dans mon auto, puis j'ai regardé les scores live sur XM. Ils affichent les scores sans que je puisse écouter les games. Puis j'ai vu à un moment donné, j'avais quelque chose comme genre 38-0. Indiana Police, 0. OK, parfait. Je vais continuer à texter Dan. Je ne texterai pas Dom. Mais à un moment donné, j'ai pas pu m'empêcher quand même de dire «Hey, les dolphins don't callis.» Excusez, mais c'est mon texto. Je reproduis mon texto de manière vocale. [00:05:29] Speaker C: La seule question, c'est qui est le plus mauvais? L'attaque des dolphins ou la défensive des dolphins? [00:05:35] Speaker A: À toi de répondre! [00:05:36] Speaker C: Sérieusement, ça n'a pas de sens. [00:05:37] Speaker A: À toi de répondre! [00:05:38] Speaker B: Est-ce que toi, c'est blessé ou ils l'ont enlevé? [00:05:41] Speaker C: Je pense qu'ils l'ont enlevé, j'étais plus là en fin de game. J'étais à la sienne. [00:05:45] Speaker B: J'ai regardé les stats. [00:05:46] Speaker A: Oh seigneur! Il a couché avec la voisine! [00:05:49] Speaker B: Ben oui! [00:05:50] Speaker A: Il reluque la voisine! Il a regardé une game des Jets! [00:05:53] Speaker B: J'aurais fait la même chose que lui, j'étais rempli d'empathie hier. Vraiment rempli d'empathie. Il y a aucun... J'ai des fans de football, des dolphins dans mes groupes de football, des affaires, je n'ai jamais glissé un mot sur les dolphins hier. J'avais pitié. [00:06:07] Speaker C: C'était pathétique, sérieusement. En attaque, les revirements, en défensive, tout est passé. On est des bons joueurs, quand même, en défensive. C'est pas supposé passer de même. En même temps, il y a bien des résultats d'hier qu'il faut se calmer. C'est juste la première semaine. Les défensives, spécialement de bien des équipes, vont se roder. Mais on a eu une belle fin de semaine de football, bien simple. [00:06:29] Speaker A: Ah oui, vraiment. [00:06:30] Speaker C: Sérieux, là. [00:06:31] Speaker A: C'était quoi, votre match? Le match des matchs, c'est-tu Ravens-Bills? En soirée? [00:06:36] Speaker C: Je pense que c'est du rabat. Mais c'est lui des Jets. [00:06:37] Speaker B: Je l'ai pas vu. Je l'ai pas vu, Ravens-Bills. Je peux pas dire que c'est ça, le match. Fait que moi, c'est sûr que c'est Steelers-Jets. C'est leur jet. J'ai beaucoup aimé les Chargers qui ont battu les Chiefs vendredi soir aussi. [00:06:48] Speaker A: Oui, moi j'ai beaucoup aimé. Je regarde Red Zone, mais tu sais, à un moment donné, j'allume sur un match, fait que là, je focus sur un match. Green Bay-Détroit. [00:06:59] Speaker C: Oui, ça a été bon. [00:07:00] Speaker A: Green Bay-Détroit. Excusez-moi, Green Bay, là, ils ont une défensive qui semble redoutable. Oui. Détroit, je sais pas où ça s'en va. [00:07:09] Speaker C: Beaucoup de choses à roder pour les Lyons. [00:07:10] Speaker A: Oui. [00:07:11] Speaker C: Nouveau coordonnateur offensif, nouveau coordonnateur défensif. C'est pas les vrais lions que vous avez vus hier. [00:07:16] Speaker B: Ils se sont fait blower. [00:07:17] Speaker A: Oui. Mais Phil va être de bonne humeur. Je pense que Phil va avoir une belle saison. [00:07:21] Speaker B: Hier, les Packers ont été bons. [00:07:22] Speaker A: Oui, ils ont été bons. [00:07:24] Speaker B: Très, très bons. [00:07:24] Speaker A: C'est mon étoile obscure du week-end. [00:07:27] Speaker B: Moi, mon étoile obscure du week-end, bien en fait, c'est pas... Mon fesse à yant obscure du week-end, on va le dire de même. C'est les Browns de Cleveland, OK, qui en deuxième demi ont accordé seulement 7 verges. de gain à l'attaque des Bengals. Cette verge a une demi. C'est quelque chose. Ils ont perdu pareil. [00:07:46] Speaker A: Comment il s'appelle la beast des Browns qui fait des sacs, là? [00:07:49] Speaker B: Miles Garrett. [00:07:50] Speaker A: Oui, c'est ça. Et je regarde ça un moment donné, puis là, ils ont pensé même qu'à un moment donné, c'était trois sacs en trois jeux. Finalement, ils n'ont pas donné le sac à lui pour... Mais il a fait deux sacs en deux jeux, mais je pense que ça aurait été un record dans la NFL. Trois jeux consécutifs, trois sacs par le même joueur. Mais Garrett, c'est un méchant malade, ce gars-là. [00:08:13] Speaker C: Ça démontre jusqu'à quel point il protège pas Burroughs, cependant. [00:08:15] Speaker A: Ouais, je sais. Burroughs a de la misère à classer ses bois par couleur. Faut pas qu'il vide la sécheuse, à mon avis. [00:08:20] Speaker C: Surtout qu'il a beaucoup de couleurs, lui, dans ses bois. [00:08:22] Speaker A: Oui, effectivement. [00:08:23] Speaker B: Il demandera à son ami de le faire. [00:08:25] Speaker C: Oui, oui. [00:08:26] Speaker B: Ça, je comprends pas, d'ailleurs. Mais je comprends pas. T'sais, c'est clair que la NFL, c'est encore un monde de mâle alpha. Malgré tout ce qu'on peut dire sur Taylor Swift et toutes les patentes. Le fait que Joe Burrow ne puisse sortir du garde-robe publiquement fait... Puis t'sais, là, vous allez me dire, ouais, mais où c'est que tu prends ça? Où c'est que je prends ça? [00:08:54] Speaker C: Non, il est très vieux garçon. [00:08:57] Speaker B: C'est pas juste très vieux garçon. C'est clair. On le voit aussi sur des photos avec un illustre inconnu, son ami. C'est pour ça que je dis son ami. [00:09:08] Speaker A: Pourquoi? OK. 2025, tu devrais être ouvert par rapport à ça. [00:09:14] Speaker B: Je pense que oui. [00:09:14] Speaker C: Oui, mais c'est vrai que, par exemple, un QB, Il y a déjà eu des joueurs, ben pas tant, dans la NFL, des joueurs ouvertement gay pendant qu'ils jouent, je veux dire. [00:09:24] Speaker A: Oui. [00:09:24] Speaker C: Il n'y en a pas eu énormément. QB, un des gros noms de la Ligue qui sortirait, c'est sûr que ça ferait beaucoup de bruit. Ça ferait plein de distraction pour l'équipe et pour le joueur lui-même. [00:09:37] Speaker B: C'est niaiseux en 2025. C'est niaiseux. [00:09:39] Speaker C: Oui, mais c'est parce que ça va être le premier. [00:09:40] Speaker B: Je veux pas qu'ils sortent en public. Je veux juste qu'ils disent, mon ami, c'est mon chum. [00:09:45] Speaker C: Le premier va avoir à le subir pour que le deuxième le subisse moins. [00:09:48] Speaker A: Ben oui, ben oui. C'est là que tu vois qu'il y a encore des progrès. [00:09:51] Speaker B: Oui, effectivement. [00:09:52] Speaker A: Dans l'acceptation, la tolérance. C'est la base, moi. Ça veut dire... De toute façon, je. [00:09:58] Speaker B: Devrais pas être surpris. Juste les commentaires qu'on reçoit des fois de temps en temps quand on parle d'Éric Djem. [00:10:02] Speaker A: Ouais. Encore de l'homophobie. [00:10:04] Speaker B: Il y en a encore de l'homophobie. [00:10:05] Speaker A: Oui, oui. Puis ça a joué à Artabasco, là. Ça a peut-être pas été le facteur numéro un, mais ça a joué. On a entendu des affaires. C'est pas beau, là. L'autre game que j'ai aimé... C'est sûr qu'on regarde Redzone. J'ai pas regardé au grand complet, là. Mais t'aimes pas... Tempah, c'est ça le fun à regarder. J'ai trouvé ça le fun à regarder, Tempah contre Atlanta, 23-20. Il y a un gars de Tempah dont je n'avais jamais entendu parler. Peut-être que vous le connaissez sûrement. Je vais essayer de vous donner le nom de ce gars-là. Je pense que c'était un receveur. [00:10:40] Speaker C: Je ne sais même pas qui a gagné finalement. C'est Tempah. [00:10:42] Speaker B: C'est Léba Kenner qui a joué à 23-20. Est-ce que tu parles d'Egg Buka? Oui. [00:10:47] Speaker A: Egg Buka. [00:10:48] Speaker B: C'est un bon joueur. [00:10:49] Speaker A: C'est qui ce gars-là, Dan? Des rives d'eau, c'est une recrue. J'ai trouvé les patents, en tout cas. Je connais pas, là. J'avais jamais entendu parler de ce gars-là avant. [00:11:00] Speaker B: En fait, Egbuka, c'est sûr que c'est un jeune joueur, là, à 23 ans. [00:11:05] Speaker A: Oui. [00:11:05] Speaker B: Je ne sais pas quelle année il a été repêché. Je pense que c'est cette année, là. [00:11:11] Speaker A: OK. [00:11:11] Speaker B: Mais effectivement, c'est un très bon joueur. On le savait qu'il allait être bon. Il sortait quand même assez rapidement d'InFantasy également. [00:11:19] Speaker A: Ah, OK. [00:11:20] Speaker B: Hier, il y a beaucoup de gens qui se posaient des questions, puis effectivement, il était là, là. Godwin, qui est blessé, c'est sûr que ça... Tu peux pas juste passer le ballon à Chris Evans, ça. Fait que le résultat a fait que oui, il a bien sorti, mais on s'y attendait, là. [00:11:33] Speaker A: OK. [00:11:34] Speaker C: Les Bills gagnaient pas tard hier soir, là. Il y avait aucune équipe dans la division qui gagnait, là. Les Pats ont perdu contre Oakland. Ben, Oakland-Vegas... Peu importe. C'est... Il y a quand même une surprise, là, aussi. [00:11:49] Speaker B: Ah! Ouais, moi c'est deux clubs que je. [00:11:52] Speaker A: Voyais... Deux clubs égals. [00:11:55] Speaker B: Ouais, c'est deux clubs que je vois avec une fiche de 500 fait de l'année. [00:11:57] Speaker C: Oui, mais je voyais pas-tu plus en montée que les Raiders. [00:12:01] Speaker B: C'est sûr que les Raiders, c'est un corps arrière qui ont... Ça fait quoi, ça fait... C'est Derek Carr, le dernier corps arrière qu'ils ont eu. [00:12:10] Speaker A: Le corps des Saints. Rattler. C'est une joke, là? Sinon, bien, eux autres sont mauvais rares. Rattler, c'est qui ce gars-là? J'ai jamais entendu parler de ce gars-là de ma vie. Rattler. [00:12:26] Speaker B: Spencer Rattler, on l'a vu l'année passée. C'est sûr qu'il a un look bizarre. C'est ça. C'est un... Moins que les Saints, c'est clair que les Saints sont en train de... De tanker, hein? Oui, je pense que oui. [00:12:38] Speaker A: Tanker pour Manning. [00:12:39] Speaker B: Peut-être que les Ruffins devraient... Non. [00:12:41] Speaker A: Est-ce que Manning est aussi bon qu'on le dit? J'ai vu le premier texte, je pense. [00:12:49] Speaker C: Que c'était l'USC Today, je sais plus c'est quel journal qui a diffusé ça, mais le premier texte qui pose la question, est-ce qu'Arch Manning n'était pas juste moyen? [00:13:01] Speaker A: Ouais, ben Dan l'a vu. Moi j'ai vu des petits bouts des highlights avec des passes de toucher. Qu'est-ce que t'en as pensé, Dan? C'est-tu le premier choix overall? [00:13:11] Speaker B: Je pense pas que ça va être le premier choix overall. [00:13:13] Speaker A: Non? [00:13:14] Speaker B: Non, je pense pas. Je pense encore que ça va être l'espèce de placard défensif de Clemson, qui est une beast. C'est T.J. Parker, je pense son nom. Puis il y a le gars de LSU, je ne me souviens plus de son nom de famille, le carrière de LSU, lui aussi, il y a toute la saison, mais il est bien placé. Arch Manning va sortir en première ronde, c'est sûr. Il y a un club assez souvent... [00:13:40] Speaker A: LSU, on dit, il s'appelle Garrett Nussmeier. [00:13:42] Speaker B: Oui, c'est ça, Nussmeier. Je m'attends à ce que... C'est sûr qu'il y a un club qui veut la Legacy Manning dans son stade, à un moment donné, dans un match d'ouverture. [00:13:54] Speaker A: La famille, la merch, la mémoire, grand-papa. Exactement. [00:13:58] Speaker B: Ça va arriver. Ça va arriver. Mais moi, être mal pris, c'est quand tu veux rebâtir ton futur. Je sais que c'est la première semaine, il ne faut pas le virer fou, mais hier, je me couchais et je pensais à ça. Je me disais, être les Dolphins. J'irais chercher de l'hiant de paire, puis je m'arrangerais avec les Browns pour aller chercher Shedder. T'in toi. [00:14:19] Speaker A: Être dans le management des Saints? [00:14:21] Speaker B: Non, des Dolphins. [00:14:22] Speaker A: Des Dolphins. Oh. [00:14:24] Speaker B: Ouais. [00:14:26] Speaker C: J'ai... Ah, je te montre, c'est ça, c'est vraiment l'USA Today, là. [00:14:30] Speaker A: OK. [00:14:31] Speaker C: Selon eux autres, Archman et Just Average, c'est ça qu'il y a de l'air récemment qui existe. [00:14:35] Speaker A: C'est sûr qu'il y a deux matchs de jouer dans la saison, mais tu sais, c'est ça. Mais juste pour revenir à ce que Dan dit, effectivement, au lieu de laisser poireauter sur le banc, tu fais un pitch, donc tu... Tu fais un show, mais tu fais un choix aussi d'abandonner Thoua complètement, c'est ça? [00:14:51] Speaker D: Oui. [00:14:51] Speaker B: Mais hier, Thoua... [00:14:53] Speaker A: Tu en penses quoi? [00:14:54] Speaker B: Hier, visiblement, ils ont pris le ballon des mains de Thoua, puis ils l'ont mis dans les mains de Zach Wilson. [00:14:59] Speaker C: C'était un très mauvais match pour toi hier. Je pense que c'est le pire match que je l'ai vu jouer alors qu'il était supposément en santé. [00:15:06] Speaker B: Il faut pas virer fou après semaine numéro un. [00:15:08] Speaker C: C'est ça, c'est juste une semaine. [00:15:09] Speaker B: Il faut jamais virer fou après semaine numéro un. Il y a des réactions excessives ce matin. [00:15:13] Speaker C: Mais ça serait pas surprenant si c'était le pire match des Dolphins de l'année. [00:15:17] Speaker A: Ok, je suis d'accord avec vous autres. Parfait, ok. C'est week one, on capote pas. Mais les Ravens qui perdent en fin de match comme ça contre les Bills, est-ce que ça peut laisser une marque mentale? [00:15:33] Speaker B: Ben ça va laisser une marque. [00:15:34] Speaker A: Ça là, sérieux là. Encore? [00:15:37] Speaker B: Il y a deux choses là-dedans. Moi, je pense que c'est la finale de conférence qu'on joue en semaine numéro 1. [00:15:41] Speaker A: Oui, comme l'an passé. [00:15:43] Speaker B: La marque que ça peut laisser, ça se pourrait que ce match-là soit à Buffalo plutôt qu'à Baltimore en fin de saison. [00:15:49] Speaker A: Mentalement, là... [00:15:51] Speaker B: Mais l'autre chose pendant, depuis que Josh Allen est avec les Bills, les Bills gagnent les mauvais matchs. Les Bills gagnent les matchs contre les gros clubs en saison régulière, mais les perdent en série. [00:16:04] Speaker C: Oui, sauf que les Ravens perdent aussi en série et généralement de leur propre faute, comme le match d'hier. Le match d'hier, ils l'ont échappé. [00:16:13] Speaker A: Ils l'ont échappé. C'est Harry qui l'a échappé, mais en même temps, c'est dur de le crucifier. [00:16:17] Speaker C: C'est tough. [00:16:17] Speaker A: C'est à cause de ce gars-là qu'ils ont dominé. [00:16:20] Speaker B: Le timing de l'erreur. [00:16:22] Speaker C: C'est ça. [00:16:22] Speaker A: Le timing de l'erreur, comme tu m'as dit dans le corridor tantôt. [00:16:24] Speaker C: Les Ravens, c'est souvent ça. [00:16:27] Speaker B: Tu sais, je regarde Jalen Ramsey hier avec les Steelers, qui pogne une pénalité stupide qui amène au touché au sol de Justin Fields. Ça, ça se passe à la fin du troisième quart, mais il fait un plaqué phénoménal à la fin du match. C'est sûr que tout le monde retient le plaqué phénoménal à la fin du match. Ils n'ont pas la pénalité stupide qu'ils ont pognée au troisième quart. C'est ça. Alors qu'Henry, hier, 170 verges, deux touchés, Il a échappé le ballon. Tout le monde a échappé le ballon. [00:16:56] Speaker A: Timing is everything. Je veux dire, c'est 3-3, une game de hockey à deux minutes de la fin, t'enfarges un gars, tu t'en vas au bain, l'autre score. C'est ça, là, dans le fond. C'est timing is everything. Même si les trois plus de ton. [00:17:05] Speaker C: Équipe, c'est toi qui les as. [00:17:06] Speaker A: C'est ça. Ça, c'est déjà arrivé. On a déjà vu ça. Donc, la pénalité de Nash. Colisée de Québec, 2008. J'étais là. Lance le puck des Estrades. Hein? Rick Nash. Et finalement, les Russes ont gagné puis se sont saoulés sur Grande Allée. [00:17:25] Speaker B: L'autre chose que j'ai remarqué aussi, les réactions à Los Angeles suite à la victoire des Chargers, je pense que les médias ont choisi leur équipe à Los Angeles. [00:17:35] Speaker A: Par rapport à la game de vendredi. [00:17:37] Speaker D: Oui. [00:17:38] Speaker B: Je trouve qu'il y a beaucoup plus d'happiness autour des Realcit, les Chargers, que des Rams. [00:17:45] Speaker A: Pourquoi? [00:17:46] Speaker B: C'est une perception que j'ai. Pour vrai, ça se peut que je sois complètement dans le champ, mais c'est une perception que j'ai parce que j'ai jamais vu de grande... J'ai pas de souvenirs d'avoir vu de grandes explosions de joie à Los Angeles, malgré le fait qu'ils ont gagné le Super Bowl. [00:18:00] Speaker A: Ils ont battu les Chiefs. [00:18:01] Speaker C: Ils ont battu Taylor Swift. [00:18:02] Speaker A: Ouais, c'est ça. [00:18:02] Speaker B: Je sais, je sais pas si c'est ça, mais tu sais, Justin Herbert, qui était pas capable de sortir en fin de semaine parce que tout le monde courait après, il a été invité dans les plus grands restaurants, il a... Tu sais, je sens vraiment quelque chose de tripant autour des Chargers que, malgré le fait que les Rams aient gagné le Super Bowl... [00:18:19] Speaker A: Si battent les Browns, c'est-tu la même affaire? Ils l'ont battu, les Chiefs. [00:18:24] Speaker B: Non, mais ça se bâtit avec le temps. Tu comprends, visiblement, au courant des dernières. [00:18:30] Speaker A: Années, il y a du bon corps arrière. [00:18:32] Speaker B: Le fait que le club jouait une heure et demie de là avant aussi, ça peut aider. Les Chargers étaient... Mais les Rams ont déjà joué à Los Angeles aussi. [00:18:40] Speaker C: Mais les Rams, maintenant, oui, ils ont gagné un Super Bowl, mais quand ils l'ont gagné, on savait que c'était une équipe qui avait hypothéqué son avenir. Tandis que là, les Chargers sont en train de bâtir de quoi qui va être vraiment bon au cours des prochaines années. C'est peut-être plus ça, je sais pas. [00:18:56] Speaker A: Mais Andrew Hopkins, très impressionnant. Les livers commentent d'Andrew Hopkins, c'est son catch à une main. [00:19:02] Speaker C: C'est un serveur que j'adore depuis de longues temps. [00:19:03] Speaker A: C'est malade, là. [00:19:05] Speaker B: Et il ne rajeunit pas, en plus. [00:19:06] Speaker C: Non, c'est ça. [00:19:07] Speaker A: Mais il est encore bon. C'est le fun. [00:19:10] Speaker B: Ah non, c'était vraiment trippant, cette semaine. Sans parler du Rouget Havre. [00:19:14] Speaker A: Rouget Havre, victoire convaincante quand on regarde le score contre Sherbrooke. Mais à lire les dépêches, on dit, ouais, ils ont eu de la misère un peu contre Sherbrooke. [00:19:23] Speaker C: Ils ont donné combien de points? [00:19:25] Speaker A: C'est ça. [00:19:26] Speaker C: Moi, c'est ça. Je comprends qu'au 3e quart, ils étaient pas en train d'y planter, mais ils ont donné toujours juste 5 points dans toute la game. [00:19:33] Speaker A: Ouais, c'est quoi les attentes? Faut que tu gères les attentes. On s'attendait à ce que ça finisse 71-0. C'est ça. [00:19:38] Speaker B: On veut des bons matchs. Moi, je le regardais un peu sur le fast-forward la game après. Ce que j'ai compris, c'est que la défensive du Verrières avait un bon plan de match, était prête, a réussi à bien faire les choses. Ce que je comprends également, c'est que... On fait beaucoup d'erreurs, des petites erreurs du côté du Rouge et Or, genre des remises qui sont au sol, ce genre de patentes-là. Arnaud est sur la coche, mais il y a quand même 2-3 erreurs qui sont faites. C'est du football de début de saison pour eux autres aussi. Mais c'est clair que si tu veux battre les Carabins, Tu sais, le Rouge et Or, c'est le meilleur club au Canada à l'heure actuelle. C'est ce que tout le monde dit, c'est ce que tout le monde pense. [00:20:15] Speaker A: C'est un défensif qui te fait gagner des championnats. [00:20:17] Speaker B: Son favori pour gagner la Coupe Vanier cette année. Donc, tu t'attends, quand il arrive contre le Varéor, à ce qu'il les accrace. C'est pas ça qui est arrivé, tu sais. Tant au troisième quart, c'était encore 14-5. Mais ça finit 28-5. L'offensive du Varéor n'a pas bougé. [00:20:37] Speaker A: Et l'Académie Saint-Louis qui a perdu contre la Mercedes Nation. Ça, on va revenir là-dessus nécessairement aujourd'hui beaucoup. C'est ça, la grosse nouvelle. La grosse nouvelle à Québec, c'est ça. C'est qu'une bande d'égoïstes, une bande de nombrilistes, une bande de boomers qui ont décidé par méchanceté d'étouffer le fun. C'est pas fini, cette affaire-là. Ce qui est un peu particulier, c'est que Bruno Marchand, ça se peut qu'il se sauve avec le ballon dans un autre début, à la fin du match, alors qu'il s'est poigné le beigne pendant au moins un an. Puis au bout du compte, on va se rejouer pour les enfants. [00:21:20] Speaker C: C'était pas présenté à la game jusqu'à maintenant. [00:21:22] Speaker A: C'était pas présenté à la game. [00:21:23] Speaker C: Il arrive au quatrième quart, il marche, puis il se dit « je vais aller gagner ça ». [00:21:26] Speaker A: Oui, oui. Donc demain, ça va être un gros conseil, Dan. [00:21:29] Speaker B: Oui, mais ça, je vous l'avais prédit dès le début. C'était clair. Il a dit « je vais laisser Véronique Dallaire se planter ». Il ne l'a pas dit dans ces mots-là, mais il a dit « je vais laisser Véronique Dallaire se planter, puis après ça, je vais m'en occuper ». Jean-François Gosselin, lui, c'est un... c'est un spin docteur, dans le sens... Lui, il vient spinner le message de... Il est venu spinner le message... Oui. [00:21:54] Speaker A: Carrière faite, alors qu'elle ne pouvait pas faire bien plus que ça, Véronique, parce qu'il y a un avis juridique qui dit qu'en tant que politicienne, va pas s'impliquer directement dans un dossier de par le fait que ses enfants fréquentent cette école-là, donc elle a fait... Son conjoint y travaille. Son conjoint y travaille, en plus, de pas loin mis. [00:22:08] Speaker B: Il y a trois... [00:22:09] Speaker A: Il faut faire attention. [00:22:10] Speaker B: Tout le monde dans la maison... [00:22:11] Speaker A: Elle aime bien s'œuvrer. [00:22:11] Speaker B: Tout le monde dans la maison passe ses grandes journées-là. Elle peut pas, elle... Elle est en conflit d'intérêts. [00:22:16] Speaker C: Elle fait le plus qu'elle pouvait. [00:22:17] Speaker A: Elle l'a très bien joué. D'ailleurs, on va y parler ce matin. Puis c'est pas fini, cette affaire-là. Mais quel est le constat qu'on doit faire de ce score-là? Ça a été une victoire écrasante. des bougonneux et des égoïstes. 75 %, grosso modo, des voix sont allées contre les enfants. C'est un vote contre les enfants. Toi, t'es allé faire un tour, puis je veux que tu me parles de ce que tu m'as raconté. Comme ça, t'as un constat géographique. [00:22:44] Speaker C: Oui, j'en revenais pas, en fait. Puisque, un moment donné, j'étais avec Gabardy, qui, lui aussi, son gars joue là plus du côté juvénile. Pis c'est lesquels, les condos, coudons? Parce que t'sais, y'en a... Y'en a plus haut que son loin, y'en a plus bas que tu vois à peine. [00:23:00] Speaker B: Sont en bas. [00:23:01] Speaker C: Sont en bas. Quand t'es sur le terrain, là, quand t'es à la hauteur du terrain de football, tu vois peut-être le dernier étage pis le toit de ces condos-là, c'est tout. Fait que j'peux pas croire que, spécialement pour tous ceux qu'on voit pas, que le son... va aller vibrer à ce point-là. T'sais, est-ce que c'est des matchs de football scolaire? C'est pas le Rouge et Or. C'est pas le même ambiance, t'as pas. [00:23:24] Speaker A: 20 000 personnes qui font du bruit. T'as 100 personnes, 150, peut-être grosso modo dans ces eaux-là. [00:23:29] Speaker C: C'est des estrades, un relâchement ordinaire avec des parents surtout qui sont là. Des amis un petit peu, des cheerleaders qui sont là. Oui, il y a de la musique entre les jeux, mais c'est rien d'aussi hors de l'ordinaire que ça. [00:23:43] Speaker A: J'en ai fait du scolaire longtemps, moi j'en ai fait 7 ans de temps, mes deux qui ont joué. Grand-papa, grand-maman, mon oncle, ma tante, Il y a quelqu'un qui fait des hot-dogs en bas pour ramasser de l'argent pour les kids, pour racheter de l'équipement, etc. [00:23:57] Speaker C: Annonceur maison, on a un micro-poche. [00:24:01] Speaker A: Il y a un boum-boum de toune que t'as de la misère à reconnaître parce que les speakers sont assez zéros. C'est ça une game de foot, mais t'as pas... C'est pas la NFL, c'est pas la NCAA avec les fanfares. Pépam-pam. [00:24:11] Speaker C: À aucun moment, l'équipe visiteuse a de la misère à s'entendre à cause de la foule. [00:24:16] Speaker A: Bien non. [00:24:16] Speaker C: Ils n'arrivent pas. On n'est pas dans la NFL, on n'est pas dans le CIA. [00:24:19] Speaker A: Tu as beaucoup de parents de l'équipe visiteur aussi. Tu as beaucoup de parents de l'équipe visiteur. C'est du local. [00:24:23] Speaker C: Oui, oui. [00:24:24] Speaker A: Tu sais, comme mon kid, il est dans le coaching staff des Allerions. Les Allerions, c'est pas dans la division 1, mais les Allerions, ils jouent quand même au plateau, ou pas trop. Puis ils jouent en fin de semaine contre les Maristes. Pas un moment de céléries, ils étaient là, les Maristes. Tu sais, c'est pas une foule de homers. Oui, homers un peu, mais quand même, c'est une fight. C'est une fête, c'est pas agressif, c'est la joie. C'est grand-papa et grand-maman qui voient les petits-fils. [00:24:53] Speaker C: Justement, le Cégep de Limoilou jouait là, c'était contre Garneau ou contre Notre-Dame. Peu importe, mais ils jouaient sur le terrain du patro. Le terrain du patro, c'est ça, c'est le comparatif par rapport à l'Académie Saint-Louis. Sur le même niveau, t'as juste une petite clôture. frost entre le terrain pis les maisons qui sont là. [00:25:16] Speaker A: C'est un très beau terrain. C'est JP Moilloux, campus de Charlebourg. [00:25:20] Speaker C: Oui, poly de Charlebourg pis campus de Charlebourg, pis campus de Limoulou. [00:25:23] Speaker A: Très récent, quasiment neuf. [00:25:25] Speaker C: Oui. [00:25:25] Speaker A: Mes kids ont joué au soccer là. [00:25:27] Speaker C: Aussi. [00:25:28] Speaker A: C'est trop liquide. [00:25:29] Speaker C: En plus, y'a du soccer, y'en a de l'activité là, c'est pas mal. [00:25:33] Speaker A: J'ai jamais eu de plainte dans ce coin-là. Ça fait partie de la vie, comme St-Jean-Eude. St-Jean-Eude, t'as trois terrains d'hommes. T'as un gros terrain, puis t'as deux terrains de pratique. [00:25:42] Speaker C: Mais les gens à côté de la poli de Charlebourg, puis du patro, ça fait que c'est à l'année, là. Le patro, l'été, les kids, ça fait du bruit aussi. Les gens qui habitent là, c'est ça. [00:25:50] Speaker A: Ils savent que... T'achètes ta maison à côté d'une école. [00:25:53] Speaker C: Oui. [00:25:54] Speaker A: Tu prends la décision d'aller chez le notaire. [00:25:56] Speaker C: Il y a du monde avec qui j'allais au secondaire qui habitait dans ces maisons-là. Des fois, on se ramasse dans la piscine, d'ailleurs. [00:26:01] Speaker A: Dan, vide-toi le coeur. [00:26:03] Speaker B: Je peux pas parler. Je suis pas capable de me calmer. Je suis pas capable de... Bien, je. [00:26:10] Speaker A: Veux pas que tu te calmes. [00:26:10] Speaker B: Je le sais, sauf que je veux... [00:26:12] Speaker A: C'est pas le temps de se calmer. Je suis... [00:26:14] Speaker B: J'en revenais pas. J'en revenais pas. Je suis complètement dépassé. En fait, je suis attristé plus que fâché. [00:26:20] Speaker A: Moi, c'est l'écart. Je m'attendais à ce que ça soit serré, mais c'est une victoire écrasante des gens méchants qui n'aiment pas les enfants. C'est ça que c'est, là. [00:26:30] Speaker B: Puis il y a 40 personnes qui n'ont pas été votées. [00:26:32] Speaker A: Oui, c'est ça. Il y a une centaine de personnes sur 140. [00:26:35] Speaker B: T'sais, t'as 101 personnes qui ont été votées sur... Ouais, ben c'est ça. T'sais, je suis... Ça, c'est révélateur de. [00:26:43] Speaker A: La prochaine campagne électorale, en passant. La prochaine campagne électorale, ça se peut que marchands passent serrés puis qu'on se dise « Ouais, qu'est-ce que tu dis, il y a tant de dizaines de milliers de personnes qui sont pas allées voter, là. » T'sais, quand on dit qu'il y a des enjeux importants, déplacez-vous. Il n'y a pas de raison de pas aller voter hier. sont pas allés. Et le score, c'est grosso modo 75 %, la proportion anti-enfant. [00:27:06] Speaker B: C'est ça, c'est une mesure anti-enfant. C'est des gens qui n'aiment pas les enfants. [00:27:10] Speaker C: C'est des gens qui... Qui habitent à quoi des écoles? [00:27:13] Speaker B: C'est des gens qui... qui iront engueuler un père de famille dans les estrades au baseball pour avoir une balle. [00:27:20] Speaker C: Oui! [00:27:21] Speaker A: Comme on a vu. [00:27:22] Speaker B: Je vais vous en reparler dans le débat. Mais c'est ça, c'est du... C'est méchant. C'est... [00:27:30] Speaker A: C'est dégueulasse. C'est dégueulasse. C'est les calottes Mercedes qui se sont vengées. C'est ça qui s'est passé. [00:27:39] Speaker B: C'est des gens qui ont souvent eu... [00:27:41] Speaker A: C'est ça. Bien là, on en est dans le présent. 6h28, on fait quoi? Les gens demandent à quand la manif, tout ça. J'ai hâte de voir le plan de match aussi de Dan Fleury, qui va nous parler ce matin. Véronique Dallaire également. [00:27:56] Speaker C: Ça va dépendre du conseil municipal aussi. [00:27:57] Speaker A: Ça va dépendre du conseil de demain, qui est le dernier, hein, Dan? Prochain match avant les élections, hein? Oui. [00:28:02] Speaker B: Ça reste nébuleux. Moi, j'ai toujours dit qu'il en restait trois, mais le monde me dit non, non, non, il en restait deux, Dan. Mais sur le site de la Ville, il y en a un le 1er octobre aussi. [00:28:11] Speaker A: Ah, OK. [00:28:12] Speaker B: Fait que j'ai... Donc, il y a plusieurs personnes qui me disent que demain, c'est le dernier. Mais moi, si je me fais au calendrier, il y en a un autre dans deux semaines aussi. [00:28:20] Speaker A: OK. [00:28:20] Speaker C: Prochain match est dans deux semaines pour l'Académie Saint-Louis sur place. Les prochains matchs y en ont deux cette journée-là. [00:28:27] Speaker A: Bien, il faut faire du bruit. Oui, il faut que ça continue. Pas plus, pas moins de bruit. On continue, là. Moi, si j'étais le coach... On continue. [00:28:38] Speaker B: Moi, si j'étais à l'école, je ferais comme si ce référendum-là n'avait pas eu lieu. [00:28:41] Speaker A: C'est ça, exactement. On continue. Ça n'a pas existé. Convient nos vies. [00:28:46] Speaker B: Je mettrais au défi la police de venir m'arrêter. [00:28:49] Speaker A: Ah oui, c'est ça. Ah non, puis tu vas pas être le policier qui est filmé. [00:28:52] Speaker B: C'est ça. [00:28:52] Speaker C: Non. [00:28:53] Speaker A: Par un Radio-Canada ou un TVA de ce monde. [00:28:55] Speaker C: On va donner des tiquettes. [00:28:56] Speaker A: Sa face, partout, sur le web. Ben l'autre option... Donne des tiquettes, ça tente pas d'être ce policier-là pour vrai. [00:29:02] Speaker C: L'autre option, mettons qu'on change rien à la réglementation. Là, si je comprends bien, je ne sais pas les technicalités, parce que la règle s'applique au bout où le terrain est. Pas le bout où l'école est. Qu'est-ce qui arrive si tu mets les speakers sur le top de l'école? [00:29:17] Speaker A: Il y a d'autres gens qui parlaient. [00:29:19] Speaker C: De ça la semaine dernière, puis il y en a d'autres qui m'ont parlé de ça. [00:29:21] Speaker A: Dan Fleury, je pense qu'il l'a dit, ça. Ou il y a quelqu'un, en tout cas, dans le groupe qui l'a mentionné. Oui, oui, je sais. Oui. On va mettre les speakers sur le toit, là. [00:29:34] Speaker C: Parce que le gymnase, c'est juste à côté. Toutes les écoles font ça maintenant, là, parce que les kids, ils se préparent dans le vestiaire, tout ça, puis le vestiaire étant à côté du gymnase, ils sortent de là puis ils s'en vont sur le terrain. [00:29:44] Speaker B: C'est triste. Il y a eu deux histoires sur la Rive-Sud, souvenez-vous, dans le coin du Collège de Lévis, puis une autre histoire à un parc qu'il y avait dans le secteur Lawson. [00:29:51] Speaker A: Oui. [00:29:52] Speaker B: Plus ça. Moi, ce qui me déçoit là-dedans, c'est que je suis en train de me rendre compte que la... [00:29:57] Speaker C: Le CPE aussi, dans l'ouest de Québec. [00:30:01] Speaker B: Oui, c'est vrai, t'as raison. [00:30:02] Speaker C: Tu te souviens dans quel coin exactement, mais des voisins chialaient contre un CPE parce que ça faisait trop de bruit. [00:30:07] Speaker B: Je suis en train de me rendre compte que les boomers, les gens qui... [00:30:12] Speaker C: Ça a commencé avec l'Agora dans le temps. Ils ont tué l'Agora. [00:30:15] Speaker A: Voilà. On a fait un entrevue ici avec des gens... Le Russell Crashtice. Il manifestait contre une patinoire de deck. [00:30:22] Speaker B: Je m'étais promis que c'était fini de m'en prendre aux vieux tabarouettes. aux vieux... qui empêchent... qui ont eu du fun, eux autres, sans bon sens. Ils ont eu du fun, là. Ça a pas eu... Ils se sont amusés. [00:30:38] Speaker A: Ils ont tout fait. Ils ont fait du Woodstock. C'est la génération de Woodstock, les amis. Gros batte au cégep. Ça a tout fait, là. La libération sexuelle, la pellule, c'est le temps. C'était cette période-là, la génération. On ne renie pas ça, au contraire, on les remercie. Ils ont foutu en l'air le clergé, la libération sexuelle, l'année de la femme en 1975, la pellule, on enlève les brassières, on va travailler. Ça, c'était vraiment une génération de liberté, mais c'est capoté de constater que cette génération-là, qui a défoncé des clôtures pour la liberté aujourd'hui est liberticide et veut étouffer des jeunes qui ne veulent que vivre. C'est capoté, là. [00:31:21] Speaker C: Mais sais-tu quoi? Je demande aux gens de cette génération-là, qui sont en désaccord avec ça, d'être un peu plus bruyants. Parce que hier, j'ai fait un post, lorsqu'on a eu le résultat, Pis j'ai eu des Denise qui ont écrit « Gang de vieux crisse de chialeux ». J'ai eu des Marguerite qui ont critiqué aussi, je regarde. Pis des gens, des madames avec les cheveux blancs. [00:31:47] Speaker A: J'ai un Claude qui vient de nous écrire. « Je suis un boomer X et j'en veux à ma génération ». Merci Claude. [00:31:57] Speaker C: Faut les entendre plus ces gens-là. [00:31:58] Speaker A: Faut les entendre plus. Sortez. Ne soyez pas gênés. Je me suis fait apostrophé, d'ailleurs, à S.A.Q. à Beauport, en train d'acheter mon petit whisky canadien, Red Bank, de Kiefer, Southerland. Êtes-vous M. Moret? Ça, c'était une question piège. Je suis pas nié de dire oui. J'en fais ce que j'ai. Je peux pas dire je m'appelle Gilbert sans façon. Oui, oui, c'est moi. On sait jamais ce qui va arriver après. Je vous aime assez, mais j'ai assez honte. Je suis une Boomer X. C'est arrivé, ça, vendredi, à Beauport. Quand je vous salue, Madame, continuez de nous écouter. Il y en a plus qu'on pense des boomericks, mais sortez, manifestez-vous. [00:32:45] Speaker B: Le gars qui est sorti, le gars qui gère le syndicat de copropriété, qui semble-t-il a dirigé la campagne du non, s'appelle Daniel Carmin. Je trouvais ça important de le signaler. [00:32:57] Speaker A: Mais il voulait pas venir en ondes, vendredi. [00:32:58] Speaker B: Non, mais c'est pas grave. Il faut quand même donner son nom. [00:33:01] Speaker A: Oui. [00:33:02] Speaker B: Daniel Karma. [00:33:03] Speaker C: C'est un gars, je te dirais, qui a, d'après moi, un maximum de 50 ans. [00:33:06] Speaker A: Donc c'est un ex? [00:33:08] Speaker C: Oui. [00:33:09] Speaker A: C'est pas un boomer? C'est pas un boomer? C'est pas un boomer? C'est boomer? C'est un boomer? [00:33:11] Speaker D: Boomer? [00:33:11] Speaker C: C'est un boomer? C'est un boomer? C'est un boomer? [00:33:13] Speaker A: C'est un boomer? [00:33:13] Speaker D: C'est un boomer? [00:33:13] Speaker B: C'est un boomer? [00:33:14] Speaker C: C'est un boomer? [00:33:14] Speaker A: C'est un boomer? C'est un boomer? [00:33:16] Speaker B: C'est un boomer? [00:33:18] Speaker A: C'est un boomer? C'est un boomer? [00:33:21] Speaker B: C'est un boomer? C'est un boomer? [00:33:24] Speaker A: C'est un boomer? C'est un boomer C'est eux qui ont tué le Red Bull Crashtice, les amis. [00:33:32] Speaker C: C'est ça. [00:33:32] Speaker A: Peut-être. [00:33:33] Speaker C: Pis l'Agora. [00:33:34] Speaker A: Red Bull Crashtice, c'est extraordinaire. Pensez à ça. Le Red Bull Crashtice, moi, c'est ce que j'ai vu à Québec de plus spectaculaire. [00:33:42] Speaker C: Ça durait une semaine en hiver quand t'as les fenêtres fermées. J'suis en février, là. [00:33:47] Speaker A: J'peux pas me parquer sur ma rue, j'peux pas. Quand j'vas faire l'épicerie, faut que j'marche avec mes sacs. [00:33:52] Speaker C: Peux-tu te parquer aujourd'hui? [00:33:53] Speaker A: Ouais. [00:33:54] Speaker C: Ben, un marchand, il veut pas trop. [00:33:55] Speaker A: Non, hein? [00:33:55] Speaker C: Non. [00:33:57] Speaker A: C'est ça, cette manifestation-là, de pas dans ma cour, pis je veux pas entendre, pis je veux le silence. Mais tu vis en ville. Il faut, à un moment donné, faire des compromis. Il faut... Oui, les maudites mobilettes, je les entends dans mon quartier. Oui, mais c'est ça, c'est l'été. Ça se peut qu'on entende des Harley Davidson. Oui, mais c'est ça, c'est l'été. C'est des motos. Tu comprends? Si on veut m'emmener partir à la chasse aux bruits, tu pars à la chasse aux humains. C'est pas ça que ça... C'est pas le même, ça marche. [00:34:29] Speaker B: Quand tu veux du silence, à la grosseur que la province... [00:34:32] Speaker A: Tu vas vivre dans le fin fond de Borneuf. [00:34:34] Speaker B: C'est ça. [00:34:35] Speaker C: Il y en a en masse de places pour toi. [00:34:37] Speaker A: Prends tes décisions. [00:34:37] Speaker B: Selon moi, t'es capable de trouver un rang à Saint-Casimir. [00:34:41] Speaker A: Va à l'étape dans le fin fond de. [00:34:42] Speaker C: Faut pas habiter à côté de la piste d'accélération à Port-Rouge. [00:34:45] Speaker B: Voilà. Le Québec est tellement grand, des places où tu fais juste entendre la rivière couler, il y en a. [00:34:52] Speaker A: Et? [00:34:53] Speaker B: Il y en a. Et déménage! Faites quoi? [00:34:56] Speaker C: Ça se peut que l'épicerie soit pas proche. [00:34:58] Speaker A: C'est ça. Prends tes décisions. [00:35:00] Speaker B: Les boomers, si, par exemple, la vie de condo est pas faite pour vous, là, allez pas vivre en condo, bâtard! [00:35:08] Speaker A: Ou aller vivre en condo, mais... dans le fin fond de Sainte-Catherine-de-la-Joie-Quartier, où t'en as des condos, là. Ça peut être très tranquille dans Sainte-Catherine, là. Ça se développe un petit peu. [00:35:16] Speaker C: Ouais, mais y'en a qui aiment pas les voisins. [00:35:18] Speaker A: Ouais. Condos que t'aimes pas les voisins, c'est comme... [00:35:21] Speaker B: C'est ça, mais c'est clairement ça. [00:35:23] Speaker A: C'est comme tu vas à la pêche, t'aimes pas le poisson. [00:35:24] Speaker B: Y'a rien de plus normal comme voisin qu'une école. C'est dans chaque quartier, il y a une école. Dans chaque quartier, cette école-là a des voisins. Et là, voici un quartier... Êtes-vous vu ça souvent, vous autres? Voici un quartier où la population dit qu'on ne veut pas que l'école fasse du bruit. C'est complètement fou, là! C'est complètement fou! S'il vous plaît, faites pas sonner la cloche dehors, on l'entend. [00:35:52] Speaker A: Puis il y a peut-être une question plus fondamentale qu'on peut se poser. Est-ce que le Québec aime ses enfants? Moi, j'ai vu, dans des écoles fréquentées par mes gars, j'ai vu beaucoup de rencontres, de directions, où des jeunes se faisaient sanctionner parce qu'ils parlaient dans le vestiaire en mettant le utuque puis l'humitaine. «E.T.L. est privé de telle affaire parce qu'il a parlé.» «E.T.L. est privé de telle affaire parce qu'il a parlé en descendant les marches.» Il y a quelque chose peut-être de plus fondamental que ça. C'est peut-être un genre de petite guerre au masculin. Les petits gars bougent. Les petits gars sont turbulents. Les petits gars sont grouillants. Les petits gars font du bruit. Les petits gars me dérangent. Il y a peut-être quelque chose de plus fondamental que ça. On veut geler les petits gars. Ça, c'est une réalité. Si on n'en parle pas au Québec, parce que ça fait partie, c'est usuel maintenant, ça fait partie de la culture. « Hey, as-tu ton vivance? » « Hey, prends ton vivance, pis tout ça. » Moi, j'englobe tout ça là-dedans. On veut étouffer la jeunesse et on veut contrôler toute forme de perturbation, quelle qu'elle soit. Et je pense que cette problématique-là, à laquelle on est confrontés, ça peut s'inscrire là-dedans. [00:37:10] Speaker B: Moi, je pense que le syndicat de copropriété qui est administré par Daniel Carman aurait voté contre un référendum sur les récréations dans une école primaire. [00:37:19] Speaker A: C'est la même chose. [00:37:21] Speaker B: C'est pareil, pareil, pareil. [00:37:23] Speaker A: Contre un CPE. CPE, tu sortes dehors, les kids, CPE, allez dans ces CPE, là. Je n'ai vu des CPE, là, mais les gars, ils ont fréquenté ça. Kalinosaur à Charlebois, ils s'abrassaient, là. Avec les camions et tout. Les gardiennes dehors, il y en a quand même mal à la tête, là. Puis c'est tellement des gens pour qui. [00:37:43] Speaker B: C'Est important, puis c'est des valeurs importantes à défendre, qu'on n'est pas capable d'en trouver un seul pour venir essayer de nous expliquer pourquoi on compte au micro ici. [00:37:52] Speaker A: Il y a beaucoup de ces boomers-là qui adoraient le COVID show. [00:37:58] Speaker C: Oh, quel livre, hein? [00:38:01] Speaker A: Les mesures. Il y en a beaucoup qui étaient contents. C'est plate, mais je crois vraiment ce que j'avance, là, qui étaient contents de pas trop voir leurs petits-enfants. Je serais pas pogné pour ramasser des casse-têtes puis des Legos. Il y en a beaucoup là-dedans qui aimaient ça, juste à travers la vitre. « Salut mamie! Ah parfait! Salut mon p'tit gars! Bye! » Juste à travers la vitre. « Fait fred, va-t'en! » « Fait fred, va-t'en! » « Donne pas le microbe à grand-maman, là! Garde tes distances! » Il y en a beaucoup qui se sont complains, complains, complains, qu'à la complaisance, ils se sont... Ils se sont sentis rassurés, je vais le dire comme ça, par rapport au couvre-feu et aux mesures. Il y en a beaucoup là-dedans. [00:38:48] Speaker B: Il y a du monde qui aimerait ça y retourner. [00:38:50] Speaker A: Il y en a beaucoup là-dedans. Il y a des mesures sanitaires qui sont imposées à 13h d'un point de presse par Legault après-midi. Il y en a beaucoup qui sont contents. Ils vont s'acheter un vigner et qui vont dire enfin une belle messe à 13h. Avec Legault, mes amis, Dubé, tout ça. Ils vont me rassurer. On va fermer les rues. Couvre-feu à 8h, pas de bruit. On écoute TVA, pyjama toute la journée, à Joe Bridge. Avec... On va tricher quand même, hein? Il y a des amis Beaumont sur le sable. [00:39:18] Speaker B: Les voisins de palier. [00:39:19] Speaker A: Ben oui, les voisins de palier. Ça compte pas. On est comme dans une bulle. On est comme dans une bulle. C'est notre bulle à nous autres. Bulle de Beaumont. Alors regarde, je vous dis, c'est... C'est très, très navrant. Mais faut pas lâcher les amis. Faut pas abandonner. C'est une mince manche. C'est une petite manche qu'on a perdue, mais c'est comme au base. Des fois, tu perds une manche, puis tu fais quatre circuits d'an prochain. Ça se peut que ça finisse de même. Moi, je suis confiant que les jeunes vont continuer la saison. [00:39:50] Speaker B: Si on invite les coachs et les... [00:39:54] Speaker A: Les membres de la direction de continuer comme si de rien n'était, comme si le référendum ne s'était pas passé. [00:39:59] Speaker B: Non, c'est ça. Ça, c'est l'autre affaire. C'est l'autre côté à cette médaille-là. C'est que le maire a laissé ça aller, puis là, aujourd'hui, lui, il va... [00:40:06] Speaker A: C'est ça, passe le champion du monde. C'est ça. [00:40:08] Speaker B: Il y a rien qui va changer à l'Académie Saint-Louis. Ils vont pouvoir continuer à faire leur match comme ils pouvaient. C'est juste qu'ils vont le faire de par une loi du conseil municipal, de par un règlement du conseil municipal. [00:40:19] Speaker A: C'est là que je comprends pas trop comment ça peut se dérouler, mais Véronique Dallaire va nous en parler. C'est comme une disposition de... Mais ça, il aurait fallu le savoir avant aussi. Le maire prend le ballon, s'envoie dans la zone de toucher, lève les bras. C'est de la politique. [00:40:34] Speaker B: Tu te souviens-tu de Jerry Rochard du rock'n'roll? [00:40:36] Speaker A: Oui. [00:40:37] Speaker B: Tu sais, le gars qui nous trouvait 4 tonnes sur 5. [00:40:41] Speaker A: Oui. Ah ouais, ouais, ouais, ouais, ouais! La cruauté du jury Rochon! [00:40:45] Speaker B: Le gars, il réussissait 4 tonnes sur 5. On se disait, voyons, ce gars-là, il est bien fort. Il manquait en 5e. [00:40:50] Speaker D: Puis il y a quelqu'un qui est. [00:40:50] Speaker B: Arrivé, il ramassait ça à terre. [00:40:52] Speaker A: Oui. [00:40:52] Speaker B: C'est ça que le maire va faire avec le dossier de l'Académie Saint-Louis. Donc non, j'ai trouvé ça bien plate, j'ai trouvé ça dégueulasse. [00:41:00] Speaker A: Mais on va suivre ça pour pas mettre de la pression et on va en reparler aujourd'hui assurément. Restez là à l'antenne d'ici dix heures, c'est sûr qu'on va en reparler. [00:41:07] Speaker B: Mais il reste que c'est du fun, c'est le football qui a commencé un peu partout, puis c'est bien tripant. Puis le hockey, ça en vient aussi, là. [00:41:13] Speaker A: Oui, ça en vient. [00:41:14] Speaker B: J'ai regardé dans ma rue, en fin de semaine, très tôt, parce que samedi matin, je me suis quand même levé très tôt. [00:41:20] Speaker C: Ça commence à jouer dans la rue? [00:41:21] Speaker B: Non, pas jouer dans la rue, oui. Mais moi, dans ma rue, chez nous, ça arrête jamais de jouer au hockey. [00:41:25] Speaker A: Ça joue au hockey l'été. L'été, il y a du hockey. [00:41:30] Speaker B: L'été, moi, pour vrai, les gens qui restent proches de l'Académie Saint-Louis ne seraient pas capables de rester dans ma rue. Ça joue au soccer, ça joue au hockey, ça joue au basket. [00:41:40] Speaker A: Basket, exact. [00:41:40] Speaker B: C'est de l'enfer. [00:41:41] Speaker A: Beaucoup de gagnés dans mon coin. [00:41:43] Speaker B: Puis moi, j'ai tout le temps le goût d'aller jouer avec eux autres. Je ne sais pas si ça se fait. [00:41:46] Speaker A: Non, pas là-dessus. C'est là que je vais intervenir, Ben. Je suis obligé d'intervenir. Tu peux jouer avec le père. Mais non. [00:41:56] Speaker C: Non, ça se peut que le père dise qu'est-ce qu'il fait le bonhomme avec mes kids. [00:41:58] Speaker A: Non, c'est ça. [00:41:58] Speaker B: Ça se peut qu'il y ait un appel d'enfant. Si le père est là... [00:42:00] Speaker A: Si le père est là, mais parle au père avant. [00:42:03] Speaker B: Ces kids-là, c'est devenu mes amis depuis que j'ai un chien. [00:42:05] Speaker A: Si tu parles aux kids de 6 ans, «wanna be your friend», c'est pas bon. [00:42:08] Speaker B: Tu ris, mais les kids ne me regardaient même pas depuis le temps que je reste là. Depuis que j'ai un chien... [00:42:16] Speaker C: Ils te regardent pas plus, mais ils regardent ton chien. [00:42:18] Speaker A: Non, non. [00:42:18] Speaker B: Ils connaissent mon nom. Ils viennent cogner chez nous. Samedi matin. [00:42:25] Speaker A: Vas-tu promener Billy? [00:42:26] Speaker B: Est-ce que je peux aller marcher Billy? Non. Non, tu peux pas aller marcher Billy. Faut mettre les choses au clair. Mais non, ça se joue beaucoup au hockey chez nous, mais hier, ce que je vois hier, fin de semaine, c'était des mères puis des parents de famille. [00:42:39] Speaker A: Qui mettent la poche dans le... Ça. [00:42:42] Speaker B: Commence tranquillement, on y va, puis... [00:42:44] Speaker A: Les Remparts ont fini leur séquence hors concours avec deux matchs avec le staffing régulier, puis ils commencent le 22. Mais c'est long, c'est loin, le junior. D'ailleurs, parenthèse de même, je veux pas tomber trop dans le technique, on va parler avec Ray de sports demain de ça assurément, c'est sûr que je vais y en parler. Avez-vous ça, la Ligue nationale, nouvelles règles? qui va vraiment emmerder le junior. Ça, c'est une très grosse règle. Tu l'as-tu lue, Édouard? Donc, t'as l'histoire de la NCA, on a abondamment parlé. Mais l'autre règle qui va tomber en vigueur l'an prochain, parce que c'est la nouvelle convention collective qui s'applique l'an prochain... [00:43:20] Speaker B: Moi, je l'ai appelée la règle Gréco-Rénicaud. [00:43:24] Speaker A: C'est-à-dire? [00:43:25] Speaker B: Tu te souviens, quand il a été repêché par les sables de Buffalo? [00:43:27] Speaker A: Oui. [00:43:28] Speaker B: Il avait été joué là-bas. Finalement, quand il l'a retourné, il a fallu qu'il vienne absolument dans le junior. C'est pour ça qu'on avait été obligés de faire des échanges. [00:43:36] Speaker A: Oui, oui. [00:43:36] Speaker B: Parce qu'il avait 19 ans. [00:43:37] Speaker A: Il pouvait pas rester là. [00:43:38] Speaker C: C'est pour ça que Kouchérov va pas jouer avec les Rapports. [00:43:40] Speaker B: Exactement. [00:43:41] Speaker A: Ah, c'est ça. Le change-à-coups est très loin, c'est ça. [00:43:42] Speaker B: On avait été obligés d'échanger Kouchérov à cause de ça. [00:43:45] Speaker A: Oui. [00:43:45] Speaker B: Alors qu'avec ce nouveau règlement-là, il aurait pu l'envoyer dans le club-école. [00:43:48] Speaker A: C'est ça. 19 ans, le joueur... et repêcher, mettons, par, je sais pas, Boston. Mais s'il fait pas le club, il est obligé, là, cette année, de revenir chez les remparts. Prenons cet exemple-là. Mais là, étant donné que ce gars-là, mettons, qui est tout à fait fictif, est bon, mais il est... que l'équipe de la Ligue nationale veut vraiment contrôler son développement, vraiment l'accompagner, au lieu de le renvoyer, ça, c'est à partir de l'an prochain, dans le junior, on va l'envoyer à Providence. Ça, c'est le club école 3 des Bruns. Ça, c'est dangereux pour le junior. Oui, mais pour le junior, on les voit perdre de talent. [00:44:32] Speaker C: Mais ça a toujours été fait pour la business du junior. C'était pas fait pour les jeunes. Parce que tu bloques son développement. T'sais, t'es pas assez... t'sais, t'es assez vieux pour jouer dans NHL, mais t'es trop jeune pour jouer dans la Ligue américaine. Voyons, c'est quoi ce règle-là? [00:44:48] Speaker A: Tu donnes la liberté aux parents pour aux jeunes aussi. Le jeune, mettons, s'il insiste vraiment, D'après moi, il peut revenir avec les remparts. C'est à vérifier. Parce que t'as la volonté, c'est ton corps, ton choix, ton joueur, ton choix. [00:45:02] Speaker C: Ça peut peut-être se dealer. C'est le kid, il est avec une équipe qui peut gagner un coup Memorial. S'il veut jouer le championnat junior, c'est des choses comme ça, peut-être. Mais je pense que généralement, ils vont prendre la Ligue américaine. [00:45:15] Speaker A: Ça, c'est sûr que ça va affecter le junior. Il y a une paye qui vient. [00:45:17] Speaker C: Un peu avec aussi, là. [00:45:18] Speaker A: Ouais, mais attends, on voulait être payé 35 piastres, on a été payé plus cher, moi. [00:45:21] Speaker B: Puis le développement, le Canada joue avec des adultes, là. [00:45:24] Speaker A: C'est ça, exactement. Tu joues contre des hommes. [00:45:26] Speaker B: Donc, effectivement, la Ligue canadienne de hockey fait face à beaucoup, beaucoup, beaucoup d'adversité. [00:45:31] Speaker A: Beaucoup de défis. Beaucoup. [00:45:33] Speaker B: Puis on n'a pas l'impression qu'ils agissent. Les choses restent pareilles, les patentes... [00:45:38] Speaker A: Tu sais, Keeny, là, je lisais ça, là, en fin de semaine. Ah oui, c'est grave, c'est... Chikini, c'est pas... C'est pas un gars de hockey. [00:45:45] Speaker B: Mais tu peux pas t'objecter contre ça. [00:45:47] Speaker A: Mario, c'est pas un gars de hockey, pour vrai. Soyons honnêtes. [00:45:50] Speaker B: Non, non, c'est pas un gars de hockey. [00:45:50] Speaker A: C'est un gars de radio. [00:45:51] Speaker B: Mais tu peux pas t'objecter contre ça parce que c'est... C'est bon pour le joueur, tu sais. [00:45:57] Speaker C: Oui. [00:45:58] Speaker B: Fait que... [00:45:59] Speaker A: C'est ça. [00:45:59] Speaker C: Je me demande si l'avenir, en fait, de la Ligue junior majeure du Québec, c'est pas de se mixer avec le midget. Pis de descendre de tranche d'âge quasiment, là. Des développés jusqu'à 17. 18. [00:46:12] Speaker B: Une catégorie U18. [00:46:15] Speaker A: Faut tout remettre sur la table. [00:46:18] Speaker C: Oui, parce qu'après ça, faut quasiment que tu te considères qu'ils vont partir. [00:46:22] Speaker A: Faut tout remettre sur la table. Hey, un liveur qui, avant d'aller à la pause, me rappelle, quand il gagne, que ça commence à soir. Oh oui. On programme ça. On va reprendre les vieilles habitudes de District, c'est-à-dire je m'en tape quatre jeudi soir. Don't spoil, gangs! Ça va faire jaser demain, c'est la première d'Antigang. [00:46:41] Speaker B: Ça se peut qu'il y ait du. [00:46:42] Speaker A: Spoil alert demain, mais je me claque ça jeudi soir. [00:46:46] Speaker B: Mais attends un peu, c'est une heure cette semaine. [00:46:48] Speaker A: Oui, je sais, mais c'est en séquence jusqu'à jeudi. Moi, je fais un binging le vendredi soir. [00:46:54] Speaker B: Le vendredi soir, ça va être 4 heures. [00:46:57] Speaker C: Quatre fois 45 minutes, mettons. [00:46:59] Speaker A: Ah, j'ai bingé la fin de semaine. J'ai fait du Chicago binging. J'avais la tête en forme de poteau saumon à la fin de la veillée. J'étais plus capable. Je reconnaissais pas les personnages. Tu sais, me m'emmener quand t'en écoutes cesse de fil, t'as de la misère à... OK. 6h47. Dan, tu fais le saut? [00:47:13] Speaker B: Ouais, j'ai vu l'heure. [00:47:15] Speaker A: Tu n'as plus l'heure? [00:47:16] Speaker B: J'ai vu l'heure. [00:47:17] Speaker A: OK. [00:47:18] Speaker B: Puis j'ai fait le saut, je pensais qu'il était genre 6h30. [00:47:20] Speaker A: Ben c'est une belle heure ça, 6h47. Numéro 47, chez les Nordiques c'était qui donc? Un beau chiffre ça. [00:47:26] Speaker C: 47 c'était Claude Lapointe. [00:47:27] Speaker A: Bon voilà. Qu'est-ce que t'as contre Claude Lapointe? [00:47:30] Speaker B: J'ai absolument rien contre Claude Lapointe. [00:47:31] Speaker A: As-tu un Lapointe aux femmes? [00:47:32] Speaker B: Moi, sais-tu quoi, 47 c'est le numéro que j'aurais eu jouer au football. [00:47:35] Speaker A: Ah oui, c'est vrai que c'est un beau numéro. [00:47:37] Speaker B: Moi, j'aurais aimé ça avoir ce numéro-là. [00:47:38] Speaker A: Je sais que les batteurs, c'est des petits chiffres, là. 47, c'est un joueur de ligne, ça? [00:47:43] Speaker B: 47, c'est un... [00:47:44] Speaker C: C'est un linebacker. [00:47:45] Speaker B: Oui, ou... [00:47:45] Speaker A: Je t'aurais vu linebacker, justement. [00:47:47] Speaker C: Ou un fullback. [00:47:48] Speaker B: Oui, oui, un fullback ou... 47, j'aurais aimé ça comme numéro. [00:47:52] Speaker A: C'est très bon. C'est à 48, maintenant, vois-tu? On repart. 48, maintenant, t'sais. [00:47:56] Speaker B: Oui, 48, Scotiabank. [00:47:57] Speaker A: Le gars fait ça. Scotiabank, on est bien. Et vous êtes dans More Life. Moré! [00:48:05] Speaker C: Les meilleurs au monde. [00:48:06] Speaker E: On revient dans pas long. [00:48:09] Speaker C: Voilà, on a un État cassé, on a un gouvernement qui s'occupe pas des dépassements de coûts, pis on est dans le déficit, qu'on s'en va vers un déficit de 13 milliards à peu près, là, au provincial. [00:48:22] Speaker A: Au provincial, 13 milliards à peu près. Combien au fédéral? On parle de 100 milliards. Pas grave, à peu près. Pas grave, ça, Pierre. Voyons donc, le déficit. La fiscalité québécoise est passée dans... [00:48:38] Speaker E: Présenté par Céramique L'Entrepôt. En ce moment, profitez de gros rabais comme du vinyle clic à 1,79$ le pied carré et du plancher flottant à 99 sous le pied carré. Céramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand. [00:48:51] Speaker C: Les prix employés Ford sont en cours et vous payez ce que nous payons pour un nouveau Ford. Visitez votre détaillant Ford du Québec ou Ford.ca. [00:48:59] Speaker A: Dès maintenant, obtenez jusqu'à 900 $ de rabais lors du super événement d'échange de points chez Pharmaprix en échangeant jusqu'à 500 000 points PC Optimum. Détail en magasin. [00:49:09] Speaker C: Partout où les Canadiens lèvent leurs verres. [00:49:11] Speaker A: Mon son est là. Pis c'est pas pour rien. Quand ça fait plus de 230 ans que t'es au Canada, t'as été partout. [00:49:17] Speaker C: Dans les verres et les frigos des Canadiens de génération en génération. [00:49:22] Speaker A: Molson a une bière pour tout le monde cet été. Alors, lève ton verre ou ce dans quoi tu bois ta Molson. Santé! Parce que l'important, c'est pas dans quoi. [00:49:30] Speaker C: Elle est versée, mais où elle est brassée. [00:49:32] Speaker A: Canadian Export Ultra Excel. Molson. [00:49:36] Speaker B: Tous ensemble. [00:49:37] Speaker A: Vous devez avoir l'âge légal de consommer. [00:49:39] Speaker E: Air Transat présente des amis déçus que l'été tire déjà sa fin. Ça a passé tellement vite, on aurait dû aller à la piscine plus souvent. Tellement. On aurait dû aller à la plage. C'est clair. On aurait même pu essayer quelque chose de nouveau. C'est sûr. Oh, si on réservait un tout-inclus. Oh, toi t'es officiellement ma géo du bonheur. Vous aussi, étirez votre été en profitant de rabais allant jusqu'à 40% sur nos forfaits sud. Rendez-vous sur transat.com ou contactez votre conseiller voyage pour tous les détails. Des conditions s'appliquent. Air Transat, le voyage nous transporte. [00:50:09] Speaker B: Doom, as-tu des petites patates? [00:50:13] Speaker A: Le fameux référendum sur les matchs de football en silence. C'est pas joli, hein, ce qui s'est passé. Les jeunes footballeurs de l'Académie Saint-Louis, on passe à vous autres ce matin. Le résultat est le suivant. Les condos de la Tombola Nation ont parlé. 101 personnes ont voté. 76 disent non, oui, les jeunes doivent jouer en silence. Ils ont voté non à une proposition de changer un règlement qui aurait permis l'utilisation de speakers, finalement, avec... du vrai monde et un vrai annonceur maison et du vrai bruit sur un vrai terrain de football. Donc à suivre, Marchand a réagi très tard hier suite à ce résultat catastrophique-là. Il mentionne que demain, dernier conseil municipal avant les élections, il va déposer une motion spéciale Ça reste à voir parce que c'est un règlement qui s'applique à une portion de la ville. Le règlement de la ville comme tel, il existe, il s'applique. On peut pas faire un festival techno 24 sur 24 sur les terrains de football. J'ai bien hâte de voir comment ça va se dérouler tout ça. Un groupe de citoyens de Saint-Augustin, la ville voisine de Québec, qui demande aux ministères des Affaires municipales de faire preuve de nuance, de mettre un peu d'eau dans le vin concernant ce règlement-là sur la sécurité des piscines. Vous le savez, on a besoin de clôturer avec de nouvelles normes, les clôtures. Et là, bien hier, ça a été quand même un reportage percutant à TVA hier, où il y a un monsieur qui a une grosse clôture, fin forgée, qui ne répond pas aux normes pour seulement 1,6 mm. Il est obligé d'arracher sa clôture au grand complet. C'est complètement fou. Il y a un groupe, donc, de citoyens qui demandent au gouvernement, s'il vous plaît, mettez un peu d'eau dans le vin, levez la pédale un peu. Au ministère du Conseil du Trésor, on a octroyé, c'est pas une grosse somme, 222 000 $, mais quand même, dans une période où on coupe des écoles, Donc on a donné ça à une école de mentorat pour offrir une formation de coach professionnel certifié à une soixantaine de gestionnaires du gouvernement. Ça revient à 3700 $ par tête de pipe. Et finalement, à Montréal, sont mêlés comme une poignée de Smarties. Près de deux tiers des Montréalais qui souhaitent un changement aux prochaines élections, parce que Valérie s'en va, mais une très forte proportion des gens n'ont aucune espèce d'idée pour qui voter. Ça va très, très bien à Montréal. [00:52:55] Speaker D: À tantôt! [00:53:08] Speaker B: Vous allez à Montréal. Je vous souhaite de passer une belle semaine. Ça va être le fun. Mais ne passez pas par Lavin. Ça va être compliqué. Il y a deux accrochages ce matin. Une avant la route Lagueux, l'autre après la route Lagueux. Mais c'est collé, c'est la route Lagueux, les deux. Donc vous comprendrez que ça cause bien des ennuis. Direction Montréal sur Lavin. Dans l'autre direction, pour les gens qui s'en vont travailler à Québec, ben oui, c'est costaud. L'accès aux pompiers à la porte, c'est du compliqué. Peu importe de... que ce soit 20 S, 20 Ouest ou la 73, il y a quand même pas mal d'achalandage ce matin. Sur la Rive-Nord, visiblement, il y a des gens qui ont changé leur habitude parce qu'il est 6,53, puis on voit moins d'achalandage que la semaine passée. Oui, ça aurait un coup que vous passez Henri IV en direction vers la ville. Il y a du monde, il y a du monde également qui commence à se pointer sur Capitale, direction Ouest, sur Dufresne-Montmorency, sur Henri IV Sud, mais on est très, très loin de l'achalandage de la semaine dernière dans la catégorie. Enfin, des bonnes nouvelles. Pour des fruits et des légumes frais et de qualité, il y a Adonis qui est votre destination. Jusqu'au 10 septembre, les tomates italiennes du Québec sont à 99 cents la livre. [00:54:11] Speaker E: La différence entre « j'ai vendu ma maison » et « j'ai vendu ma maison », c'est des milliers de dollars de plus grâce à l'expertise de l'équipe Gagnon Courtier Immobilier. 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Avec un carnet de commandes rempli jusqu'en 2040 et des conditions de travail solides, ose le grandiose pour ta carrière. Postule à davierecrute.ca Et la grande ventailleuille chez Super C. [00:55:27] Speaker C: On est complètement tombés sur la tête. Cette semaine, l'emballage de 6 bouteilles de. [00:55:31] Speaker A: Coca-Cola est à 2,97$. Puis le papier hygiénique Cachemire 15 rouleau. [00:55:34] Speaker C: Double est à 6,44$. [00:55:36] Speaker D: Ah! [00:55:36] Speaker A: Puis les sacs de 5 livres de. [00:55:38] Speaker C: Carottes ou oignons jaunes du Québec sont à 1,97$. C'est pas bien lent. On a tellement coupé les prix que c'est rendu des confettis. Mais ce qui est vraiment capoté, c'est que la grande vente ailleurs, bien, ça ne dure pas juste une journée. Et ici, Super Super C, valide jusqu'au 10 septembre dans le magasin et en ligne. Détails au superc.ca. [00:55:54] Speaker E: Plancher BFC FlorDeco, fiers dépositaires de la peinture Benjamin Moore. 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Moi, en fait, un matin, je me suis levé, on me disait, on se tâchera pas que des feuilles de chou. Je me suis rasé avec le rasoir à ma blonde. [00:58:01] Speaker A: Yes! Parle-moi de ça! Ça coûte tellement plus cher être une femme qu'un homme, hein, le dossier de Québécois en fin de semaine. Wow! Une invention pour faire jaser. [00:58:14] Speaker C: Vous n'êtes pas obligé d'être publié dans. [00:58:16] Speaker A: Celui-Là, les journaux de 20 semaines? C'est une révention victimaire. Les menstruations, tout ça, savez-vous quoi? J'ai appris très tôt dans mon métier que je ne parle pas de menstruation. Je ne suis pas menstrué. Je ne veux pas parler de ça. OK? C'est un dossier que je tasse. On va se concentrer sur des choses qu'on peut changer, des choses qu'on peut consommer. Chaussures, vêtements, hygiène, coiffure, allons-y vite, là. Les femmes, une coloration, c'est trois heures. Bien, c'est sûr que ça va coûter plus cher que nous autres qui se faisons passer au Clipper, la gang de Montréal Live. [00:58:51] Speaker C: Ça prend une demi-heure. [00:58:51] Speaker A: Nous autres, ça prend dix minutes, douze minutes. Alexandra, Omerta, douze minutes, bing, bing, bing. [00:58:58] Speaker B: Mais moi, je vais aux trois semaines. [00:59:01] Speaker A: OK. [00:59:01] Speaker B: Ma blonde, elle va moins souvent que moi, là. [00:59:03] Speaker A: Mais ça coûte cher, les filles qui vont pour une coloration chez le coiffeur. Le coiffeur, il faut qu'il paye son local, il y a des salaires à payer, l'électricité, gna gna gna. [00:59:12] Speaker B: Non, mais là, ils font ça pour qu'on les trouve belles. [00:59:14] Speaker A: Ben, c'est ça. [00:59:14] Speaker C: Oui. [00:59:15] Speaker A: Ouais. Mais il y a des gars qui s'habillent, il y a des gars qui s'achètent des souliers, il y a des gars qui se rasent à tous les jours, il y a des... Vous avez des souliers, t'aimes ça les souliers, Dan? T'en as-tu plus que ta blonde? [00:59:28] Speaker B: J'ai plus de souliers que ma blonde. [00:59:29] Speaker A: Breaking news, Dan Gravel, ça coûte plus cher que sa blonde. En esthétique. [00:59:34] Speaker B: Pis j'y jette pas en plus, ça, ça la tue. [00:59:37] Speaker A: Ouais, ça c'est vrai. Même quand ils sont finis, on les jette pas. [00:59:40] Speaker C: Moi je pense que c'est pour ça que j'en ai plus que ma blonde. Ma blonde n'a pas beaucoup de souliers, pis moi j'ai les gardes. [00:59:45] Speaker A: Même quand ils sont finis. [00:59:47] Speaker B: Je pourrais venir travailler pendant deux semaines avec une paire d'espadrilles différentes, pis il n'y en a pas une qui serait finie. [00:59:52] Speaker C: Je dois avoir trois paires de souliers en me disant « Ouais, monsieur, j'ai des travaux à faire en arrière. » Des affaires de même. [00:59:57] Speaker A: Vêtements. J'aime ça magasiner. J'ai beaucoup de hoodie, j'ai une coupe de veston, j'en ai moins qu'avant des vestons, bicoche, j'fais de la radio. J'aime ça m'habiller, mais j'ai plus de linge que ma blonde. Ça déborde de mon bord de garde-robe. Bon, là, ça vient débanquer l'histoire du journal. Hygiène et produits de beauté. J'ai du shampoing, j'ai un gel douche, j'ai une moumoute. Ma blonde a un shampoing, un gel douche et une moumoute. Mais oui, elle, ça sent le coconut. Moi, ça sent le... Ça sent le sang bon. Je ne sais pas trop ce que ça sent. C'est un adidas. [01:00:35] Speaker C: 90-95 % de ce qu'il y avait dans le journal en fin de semaine, c'était les hommes et les femmes ont des goûts différents. [01:00:42] Speaker A: Oui, il y a juste ça. Selon la consommation que tu veux bien. [01:00:45] Speaker C: La seule affaire que j'ai vue dans les dernières années, semblerait-il que les rasoirs pour femmes coûtent un peu plus cher que les rasoirs pour hommes. Mais sais-tu quoi? Il y avait des articles, il y a genre 4-5 ans, où il y a des femmes qui disaient, sais-tu quoi? La seule différence, c'est qu'un gars qui est rose, l'autre qui est jaune. [01:01:00] Speaker A: Ben c'est ça! [01:01:00] Speaker C: J'achète ceux pour hommes. [01:01:01] Speaker A: Ça là, pour vrai là... D'ailleurs, je te trouve tellement beau depuis que tu prends un rasoir rose sur ton visage. [01:01:07] Speaker B: C'est pas vrai, hein? J'ai l'air plus riche. [01:01:10] Speaker A: Non, t'es plus velle. En tout cas, t'as une peau douce. [01:01:13] Speaker B: Non, c'est vrai. [01:01:14] Speaker A: Et non plus une peau d'ours. [01:01:16] Speaker B: Je sens que ça glisse mieux vu que ça s'appelle Vénus, quand ça s'appelait rasoir. C'était rough, c'était drue. [01:01:26] Speaker A: Gillette! [01:01:26] Speaker B: Oui, oui, c'était pas facile. [01:01:28] Speaker A: Là, Vénus, t'as une peau rose. [01:01:30] Speaker B: Mais ça, je me suis posé la question sur le shampoing. Moi, le shampoing, je ne sors pas acheter mon propre shampoing, puis ma blonde ne sort pas. Je m'en vais me chercher du shampoing. C'est dans le budget. Ma blonde a un shampoing, moi, je n'ai un. Mais c'est dans le budget de l'épicerie, là. Je veux dire, j'ai pas de... Il n'y a pas de chacun... Fermet-prix, guys. [01:01:52] Speaker A: Des oeufs, du lait, un shampoing. Fermet-prix, c'est un mess one-stop shopping que tu vas pas avoir. [01:01:57] Speaker B: C'est ce bout-là que je comprends pas. Je me disais, voyons, il me semble que tout ça, ça fait partie des choses que... J'ai l'impression que je paye la moitié des affaires d'hygiène de ma blonde, pis elle paye la moitié des miennes, dans le sens que... [01:02:08] Speaker A: C'est sûr qu'on se met pas de mascara pis de rouge à lèvres. Bon, bien, est-ce qu'on est à l'aise avec ça? Il y a des gars qui se mettent du Q-Tex. OK, bon. Puis, pas grave ça. [01:02:18] Speaker B: Ah oui. [01:02:19] Speaker A: T'en mets-tu du Q-Tex, donc? [01:02:20] Speaker B: Non, je mets pas de Q-Tex. [01:02:21] Speaker A: Moi non plus. [01:02:22] Speaker B: Mais je mets du tape sur ma palette. Pour moi, ça me coûte aussi cher de tape que ça peut coûter de mascarade. [01:02:28] Speaker C: Je suis une femme et j'achète des rasoirs pour hommes. [01:02:31] Speaker A: Bon, breaking news. Un dossier. Demain, on fait ça. Hybride. La consommation hybride. [01:02:37] Speaker B: OK! [01:02:38] Speaker A: Tu vas nous faire entendre une Karen? [01:02:40] Speaker B: Bien, je ne peux pas te la faire entendre. [01:02:42] Speaker C: C'est un visuel. [01:02:42] Speaker B: C'est un visuel, mais je vais te faire entendre les gens d'ESPN qui en ont parlé parce que ça a fait le tour. C'est vraiment la vidéo qui a été, et de loin, la plus visionnée partout dans le monde. Je vous fais entendre ce qui se passe à ESPN. On va vous le traduire par la suite. [01:02:58] Speaker A: On va vous expliquer ce qui s'est. [01:02:59] Speaker B: Passé et tout ce qui a découlé. [01:03:04] Speaker E: Et Bader fait un bon travail pour les Phillies. C'est une course à la maison, 410 pieds. [01:03:08] Speaker D: Regardez les gens. [01:03:09] Speaker E: L'homme prend la balle, c'est le gars en rouge, et il y passe, vous. [01:03:13] Speaker A: Voyez la dame dans la rue. [01:03:15] Speaker E: Il y passe vers son fils. Regardez-le, il l'embrasse. [01:03:18] Speaker A: Oh, elle s'en va. [01:03:19] Speaker B: Elle est folle. [01:03:20] Speaker A: C'est un grand match. [01:03:22] Speaker E: Il est allé dans son espace pour l'obtenir. [01:03:25] Speaker A: C'est comme ça. J'allais bien décrire la situation, mais je. [01:03:28] Speaker C: L'Ai vu au bout de la vidéo. Parce que les estrades sont aux trois quarts vides dans ce coin-là, je te dirais, puis il y a un circuit, donc ça va dans full. [01:03:35] Speaker A: C'est ça. [01:03:35] Speaker C: Le gars se déplace, il suit à la balle des yeux, puis il se déplace plus loin, puis c'est lui qui ramasse. Elle tombe en terre, puis c'est lui qui ramasse. [01:03:41] Speaker B: Elle tombe en terre dans sa rangée. [01:03:42] Speaker C: Oui. [01:03:43] Speaker A: J'ai vu ça au rempart, quand il y a un puck qui revole dans les estrades. [01:03:48] Speaker C: Il s'en va donner à son kid, qui est là avec son gant de baseball, qui est tout content. [01:03:51] Speaker B: Qui est là pour sa fête. [01:03:52] Speaker C: Ah, ça je savais même pas. La Karen qui t'arrive, « Hey, t'es. [01:03:56] Speaker B: Venu à chercher la bourse, t'es à. [01:03:57] Speaker C: La moitié... » Un moment donné, le gars fait juste comme, « Regarde, prends-la la balle, maudite folle de sac ton cain. C'est... Cresse-moi la paix, là. J'étais en train de vivre un bon moment avec mon fils, t'es en train de le gâcher. Cresse ton cain, v'la la balle. [01:04:09] Speaker A: » Parce que le monsieur, il fait un câlin à son fils, c'est un beau moment. L'autre folle arrive pour l'anguirlandais. Mais ça finit bien l'histoire, par exemple. [01:04:17] Speaker B: Ça finit que l'équipe des Marlins, l'équipe de communication des Marlins de la Floride descendent. Ils ont donné un paquet de souvenirs, autant des félices que des Marlins, aux petits gars et à sa sœur. Et le frappeur en question, qui a frappé un coup de circuit, a signé le bat. [01:04:32] Speaker A: Arrête donc ça, j'étais pas au courant de ça. [01:04:33] Speaker B: Il a signé le bat puis il a donné. Fait que lui, il a été gâté. [01:04:37] Speaker C: Les philistes se sont occupés de lui. [01:04:38] Speaker B: Les philistes, pendant la suite, ils ont donné des balles toutes. Ils ont pris des photos avec. Les philistes se sont bien occupés de lui. [01:04:42] Speaker A: La leçon, c'est quoi? [01:04:45] Speaker B: La leçon, c'est que... [01:04:47] Speaker A: Fais pas une folle de toi quand t'es filmé. Comme l'histoire de Coldplay. Comme elle qui fait une folle d'elle, mais filmée partout. À matin, là... À se faire connaître au Dunkin' Donuts? [01:04:58] Speaker C: Ouais, mais ça c'est ça le problème par exemple. T'as une histoire dans le New York Post ce matin. [01:05:02] Speaker B: C'est-tu l'histoire de la commission scolaire du New Jersey? [01:05:04] Speaker C: Non, non, non, non, non. Il y a une madame qui s'appelle Cheryl Richardson Wagner qui a fait un post hier sur les réseaux sociaux. Elle a oké tout le monde là. C'est pas moi la folle des féministes. [01:05:13] Speaker A: C'est ça qu'on se dit? [01:05:15] Speaker C: Elle a l'air que ça lui ressemble. Elle dit que moi je suis plus grosse qu'elle. Déjà en partant, elle se hâte elle-même. Elle dit que je suis une fan des Red Sox. Je ne suis pas une fan des Phillies. Sacré mois à paix, ce n'est pas moi. [01:05:26] Speaker A: C'est grave. [01:05:27] Speaker B: Moi ce que j'ai trouvé le plus grave encore, c'est que quelqu'un s'est trouvé intéressant en inventant une vie à cette fille-là et en disant que c'est une enseignante au New Jersey. [01:05:36] Speaker C: OK. [01:05:37] Speaker B: Et cette nouvelle a été répandue tellement férocement, puis qu'elle avait perdu sa job, OK, que la commission scolaire... T'sais, il y a des faux documents qui ont été produits tellement que hier, la commission scolaire a dû émettre un communiqué pour dire que non, c'est une fake news. Cette femme-là ne travaille pas pour une école du New Jersey. [01:05:55] Speaker A: T'sais, c'est vraiment... [01:05:55] Speaker B: C'est paru... C'est parti de n'importe comment, cette nouvelle-là, mais chose certaine, c'est qu'elle, elle passe pour une christie de folle partout. Ses amis savent, là, on s'entend. Ses amis savent, la femme des Phillies qui reste en Floride, ses amis la connaissent et ils savent que c'est une folle. Elle a pensé pour une folle. [01:06:13] Speaker A: C'est world wide. Quand tu fais des folies comme ça, c'est world wide. [01:06:18] Speaker B: Surtout qu'on l'apprend, on le sait qu'il y a des caméras partout. [01:06:22] Speaker A: Oui, il y a des caméras partout. Comme le gars Freeman qui se décrote le nez. C'est des caméras partout. Les gens ont des caméras sur eux. Ça s'appelle des téléphones. [01:06:33] Speaker B: Exactement. Parlons maintenant de cette fille-là, l'histoire de Coldplay, parce qu'on en a beaucoup parlé. La madame qui s'est faite pogner en matière de... Celle qui était mariée à un calvote. [01:06:46] Speaker A: Celle qui se fait faire des câlins. [01:06:47] Speaker B: Les papiers de divorce ont été signés... Fait qu'elle est partie avec la moitié de sa maison, puis tout a été réglé. Selon ce qu'on a compris cependant, le monsieur faisait partie du problème aussi. Le gars a... [01:07:02] Speaker A: Lui aussi, il a eu une femme, il était marié, les deux étaient mariés. [01:07:05] Speaker B: Non, je veux dire le conjoint, le monsieur qui abote le conjoint de la madame. T'sais parce que j'en regardais pis t'sais le monde patine beaucoup aux États-Unis là pis j'en regardais Patin du divorce pis il aurait pas dû lui donner à moitié de la maison, à moitié de ses affaires, elle l'a trompé pis à un moment donné y'a comme des nouvelles qui disent ouais j'pense que... [01:07:21] Speaker A: Lui aussi? [01:07:21] Speaker B: Il voulait pas... il voulait pas ouvrir ce porte-là. [01:07:24] Speaker C: Ok. [01:07:25] Speaker B: Lui il voulait pas ouvrir ce porte-là non plus. J'trouvais ça quand même assez drôle. Dans les autres choses, j'veux vous faire entendre les patins du Patin. Qu'est-ce qui s'est passé en fête semaine? Ben il s'est passé des affaires en fête semaine en commençant par... Imaginez-vous, tranquillement, dans une librairie, en train de lire un livre, à Montréal. Une librairie, là. Et puis, soudainement, bien, ça sonne de même. [01:07:49] Speaker D: Il est. [01:08:02] Speaker A: Sauvage. [01:08:04] Speaker B: C'est une manifestation pro-palestinienne dans une librairie. [01:08:09] Speaker A: C'est pas n'importe quelle librairie. C'est Indigo Chapters sur Sainte-Catherine. C'est l'une des plus grosses librairies au Québec. Quand je vais à Montréal, je vais moins. C'est un librairien à deux étages avec un café en haut. C'est huge. [01:08:22] Speaker B: On le voit que c'est gros parce que... [01:08:24] Speaker A: C'est aucunement religieux. Il n'y a pas de croix... L'étoile de David. [01:08:28] Speaker B: C'est un orchestre. [01:08:29] Speaker A: C'est pas... Non, mais le magasin comme tel, c'est pas un magasin pro-israélien. On dit qu'il est propriété de juifs. [01:08:36] Speaker C: C'est ça que j'allais chercher. [01:08:38] Speaker A: Mais Indigo, c'est une chaîne. C'est Indigo Chapters, ça a fusionné. Mais c'est une chaîne de livres. En fait, c'est un renombré intéressant, OK? C'est un renombré le fun, puis c'est un renombré qui est beau. C'est huge. Eux autres, la gang de sauvages pro-palestiniens arrivent, puis ils te foutent le bordel. [01:08:59] Speaker B: Avec des violoncelles, des caméramans. [01:09:00] Speaker A: Mais le vidéo, c'est quoi le vidéo? [01:09:03] Speaker B: C'est la police. [01:09:04] Speaker A: C'est la police. [01:09:05] Speaker B: C'est ça. [01:09:05] Speaker A: Raconte, Dan, raconte. [01:09:06] Speaker B: Bien, la police est là, ils regardent face, et bien juste, ils tapent pas des mains, eux autres aussi. Pis ils regardent faire pis ils sortent pas de la librairie. [01:09:14] Speaker A: Ça n'a pas de sens. [01:09:15] Speaker B: En fait, la police de Montréal... [01:09:17] Speaker A: Complice. [01:09:18] Speaker B: C'est la police espagnole. Là, je m'en viens à vous parler de Bessic. Je fais un croche pour vous parler de Bessic. Parce qu'on vous en a parlé deux fois la semaine passée, l'équipe israélienne qui est en train... En fait, il y a un coureur qui est tombé à terre. On n'est pas capable de voir les images parce que je ne sais pas pourquoi ils ne veulent pas les montrer. Mais il y a un gars manifestant qui a sauté sur un coureur. Il est tombé, le coureur. [01:09:42] Speaker A: Ça, c'est voix de fait. C'est dans vos palais de justice, là. [01:09:45] Speaker B: Encore une fois, hier, ils ont pensé pas que je serais obligé d'annuler l'arrivée d'un État à cause de manifestants. Puis l'équipe a décidé d'enlever le nom Israël sur son maillot, OK? [01:09:57] Speaker C: Ils ont plié. [01:09:57] Speaker A: Pour l'Espagne. [01:09:58] Speaker B: Ils ont enlevé le nom du commandissement principal pour l'Espagne. Mais pendant ce temps-là, il y avait deux autres courses de vélo en fin de semaine. Il y en avait une au Royaume-Uni où l'équipe Israël peut rapidement, peut facilement circuler avec Israël sans que... Il y en a un des manifestants au Royaume-Uni aussi, mais la police les arrête, tu comprends? Il était au Maryland également en fin de semaine parce qu'il y avait une course là-bas puis ça se promenait, ils étaient... Tu sais, il y avait encore le logo Israël. Sur eux autres, ils vont être à Québec en fin de semaine avec le logo Israël. [01:10:29] Speaker A: Pourquoi au Maryland? Il s'est passé quoi? [01:10:30] Speaker B: Il était invité parce qu'ils étaient juifs, eux autres, là-bas, donc ils ont fêté, ils ont célébré. Ici, à Québec, vendredi, j'ai pas trop d'inquiétudes, tu comprends. le SPVQ va faire sa job, puis ça va bien aller. Puis d'autant plus qu'on va s'entendre, je veux dire, des cyclistes canadiens sur le World Tour, il y en a pas une tonne. Puis tous ceux qui sont là sont pour Israël, sauf un qui est avec Ineos Grenadier, mais les autres sont tous avec Israël. Fait que Hugo Houle, Michael Woods, les meilleurs Canadiens que vous allez voir lundi vont porter l'étoile de David sur leur tunique. C'est le même, c'est le même, ça marche. Mais Montréal, permettez-moi d'être inquiet. [01:11:11] Speaker A: Oui. C'est tellement une ville de dingo. C'est tellement une ville de dingo. [01:11:15] Speaker B: Surtout que la presse, comme ça a eu la semaine passée. [01:11:18] Speaker A: Mais oui. Quasiment une invitation aux Hooligans pour aller faire de la marde. [01:11:22] Speaker C: Ce vidéo-là en est la preuve. À Montréal, il l'échappe. [01:11:25] Speaker A: Non, c'est une ville. [01:11:26] Speaker C: C'est une ville qui n'est pas au Moyen-Âge. [01:11:28] Speaker B: L'équipe Israël-Premier Tech a été faire une course de vélo aux Émirats arabes unis. [01:11:33] Speaker A: Mais oui, donc... dans un pays musulman. Et il y a rien arrivé. C'est une place de dingo. Montréal, c'est une ville complètement, complètement folle. C'est une ville qui est finie. Pas compliqué. Les Montréalais veulent du changement, ils savent pas pour qui voter. Moi, j'ai une gang mêlée comme un pilote Smarties. [01:11:55] Speaker C: Puis eux autres vont être une méchante gang à pas à aller voter. [01:11:58] Speaker A: Ouais. Les résultats, ça va être le Rabouin, chose qui va être élue. C'est-à-dire le successeur de Valérie Plante, plus la gauche, plus le gars gauche. [01:12:06] Speaker C: On croit que le leader, celle qui mène ce matin, c'est Martinez. [01:12:09] Speaker A: Ah oui? Ouais. Mais par... par une poignée de change. C'est ça. C'est le chef de police aussi qui... On va être des amis, tous ensemble. C'est pas le temps de faire des arrestations. Aïe, aïe, aïe, aïe, aïe. On va se souhaiter un beau week-end cycliste, mon cher Dan. [01:12:25] Speaker B: Ah oui, en espérant... [01:12:25] Speaker A: Puis ce sera d'ailleurs aux premières loges. [01:12:27] Speaker B: En espérant que ça se passe super bien. Tant qu'à être dans la police, je vous fais entendre l'extrait du SPVQ qui a fait le tour du web en fin de semaine. C'est des polices qui font un inter... Regarde, je sais même pas si ça vaut la peine de vous faire jouer. Je vous le fais jouer juste parce que ça roulait. Moi, je défends beaucoup la police dans ce dossier-là. C'est bien rare que la police de Québec débarque quelque part pour absolument rien. Surtout qu'un moment donné, on se rend compte que le gars qui cherche, c'est le gars qui filme. [01:12:52] Speaker A: Est-ce que c'est fait ici? [01:12:53] Speaker D: Non, non. Pardon? Pardon? [01:12:56] Speaker A: Est-ce que c'est fait ici? [01:12:58] Speaker D: On fait un barbeque. [01:12:59] Speaker A: Un barbeque tranquille? [01:13:01] Speaker D: Ok. [01:13:03] Speaker A: Pourquoi? Hein? [01:13:05] Speaker D: Pourquoi? Je veux savoir. Vous autres, vous faites quoi? [01:13:08] Speaker B: On fait pas de bruit. [01:13:09] Speaker A: On fait pas de bruit. [01:13:10] Speaker D: Ok. [01:13:11] Speaker A: Vous étiez-tu là tantôt? [01:13:13] Speaker D: Non. Non. [01:13:14] Speaker A: Mais qu'est-ce que t'as venu t'encore? Je sais pas, il y a des. [01:13:17] Speaker B: Personnes qui se sont poignées ou je sais pas, la police a frappé quelqu'un je pense. [01:13:20] Speaker A: C'est juste pour savoir si vous étiez dans le groupe qui était là, pour savoir qu'est-ce qu'il se passait. Toi qu'est-ce que tu fais ici? [01:13:25] Speaker D: Hein? [01:13:26] Speaker A: Qu'est-ce que tu fais ici? Qui ça? [01:13:28] Speaker D: Toi. Non? [01:13:31] Speaker C: C'est le chef de police ici, t'y. [01:13:33] Speaker A: Es à peine 6 minutes. Tu sais c'est moi, pourquoi tu viens juste me voir? [01:13:39] Speaker B: Si tu sais déjà que c'est moi. [01:13:40] Speaker A: Pourquoi tu viens me voir? Hein? Qu'est-ce que tu fais ici? Parce que j'étais avec mon cousin, t'as-tu un problème? C'est quoi ton problème? J'viens juste de te dire, j'suis chez mon cousin. [01:13:50] Speaker D: J'ai un problème avec ta présence à Québec du coup. Hein? [01:13:52] Speaker A: J'ai un problème avec ta présence à Québec du coup. [01:13:54] Speaker B: Merci de me l'avoir dit pendant que je filme avec un iPhone 16 Pro. [01:13:57] Speaker C: Max, on a bien entendu, on a. [01:13:58] Speaker A: Vu... Donc c'est quoi, raconte, ça vaut l'appel d'expliquer. La vidéo, ça se passe à Québec en fin de semaine. [01:14:05] Speaker B: Évidemment, ça semble être une intervention policière puis ils cherchent quelqu'un. Là, la police s'en vont, ils sont sur un balcon, ils sont surélevés les gens qui filment, puis la police savent que c'est eux autres qui cherchent. [01:14:19] Speaker A: Puis lui, il dit qu'est-ce que tu. [01:14:21] Speaker B: Fais ici, tu fais semblant que c'est pas lui. Puis finalement, la raison pour laquelle la vidéo fait le tour, c'est qu'à la fin, le policier dit, moi, mon problème, c'est ta présence ici à Québec. [01:14:30] Speaker C: Mais le gars, as-tu le droit d'être à présent à Québec? [01:14:32] Speaker A: Je ne sais pas. [01:14:33] Speaker B: C'est ça qui arrive. [01:14:34] Speaker E: C'est ça. [01:14:34] Speaker A: Il y a plein de choses qu'on ne sait pas, là. [01:14:36] Speaker B: Mais c'est vous, quoi. Il y a une certaine quiétude à Québec. Puis cette quiétude-là nous est offerte par le SPVU. [01:14:42] Speaker A: On n'avait pas de problème. Oui. OK. C'est-tu clair, là? On n'en veut pas de problème, puis avant que ça débarque, on veut pas de prière de rue. Ça, je le dis des mois ou des années à l'avance, là. On n'en veut pas, c'est-tu clair? On n'en veut pas de prière de rue. Ça, je vous le disais à l'avance. Les petits tapis, là, mettez-vous ça dans le coco, là. On n'en veut pas. [01:15:04] Speaker B: Tu sais qu'Adil Chokawi a réagi, justement, aux prières de rue. Tu veux-tu l'entendre? [01:15:08] Speaker A: Oui. Parmi les conditions qui permettent aux musulmans d'habiter dans des pays qui ne sont pas musulmans, la première condition, c'est d'idharuddin, que le musulman puisse pratiquer sa religion d'une manière apparente. Donc, eux, ce qu'ils appellent les signes ostentatoires, les signes apparents, qui sont le niqab, le hijab, la barbe, les mosquées, les prières, ce type de pratiques, C'est ce qui permet justement aux musulmans d'habiter dans un pays non musulman. Ouais. La provocation, c'est un provocateur. [01:15:49] Speaker B: Ben oui. [01:15:49] Speaker A: Regardons le CV de ce gars-là. Il a déjà été interpellé pour ses liens avec Al-Qaïda dans le passé. Il y a un passé, il y a un passif. [01:15:58] Speaker C: C'est un gars qui, dans des discours, demande la mort de tous les juifs. [01:16:01] Speaker A: C'est ça. C'est un gars qui est là pour foutre la merde. [01:16:03] Speaker C: Et qui est un ennemi du Québec. Il s'en sort parce qu'il agrose la religion, justement. [01:16:06] Speaker A: C'est ça. C'est un ennemi du Québec. J'ai rien contre les gens qui prient, mais prions dans des endroits spécifiques. Synagogue, mosquée, église. Aucun problème avec la liberté de culte. C'est garanti par les chartes, anyway. Pas de problème, là. J'ai aucun problème avec quelqu'un qui fait sa prière 27 fois par jour chez eux, dans son auto, avec le chapelet ou pas. C'est que là, on parle de perturbation urbaine. C'est une forme d'agression. [01:16:34] Speaker C: On dénature des lieux. [01:16:36] Speaker A: C'est ça. [01:16:37] Speaker C: Puis c'est l'abus à un moment donné. C'est la répétition, répétition, répétition. De la même manière que les carrés rouges ont monopolisé le centre-ville de Montréal pendant des mois. [01:16:46] Speaker A: Il faut que Legault arrive avec quelque chose d'intéressant. Legault s'est avancé, il a promis des choses. Au lieu de suggérer des trucs comme donner 300 millions à Télé-Québec, il va falloir qu'il arrive à quelque chose d'intéressant, structurant. Mais le goût n'est plus là. Les amis, on n'a plus de premier ministre. On apprend ce matin que les seuls qui seraient écartés du Conseil des ministres, c'est Lamontagne et Suzanne Roy. Voyons donc, passe Montagne, passe Caro. Il faut que tu changes plus que ça, là. Si Legault ne change pas son conseil des ministres de manière plus profonde que ça, c'est sûr que ça va à l'abattoir. Oubliez ça. [01:17:18] Speaker C: Le reste, c'est juste rebrasser les mêmes casques. [01:17:20] Speaker A: C'est ça. [01:17:21] Speaker B: Il va changer l'ordre des tonnes sur le disque. [01:17:23] Speaker A: Oui, c'est ça. C'est les mêmes disques. Les mêmes tonnes. [01:17:26] Speaker B: Exactement. [01:17:27] Speaker A: Ils apprennent le conseil en passant. [01:17:29] Speaker C: Si t'es tanné des ententes, qu'elle joue troisième ou huitième, ça change rien. [01:17:33] Speaker A: C'est la même affaire. [01:17:33] Speaker B: Je vous fais entendre l'autre extrait du week-end. C'est Donald Trump. qui rentre au stade Arthur H. [01:17:42] Speaker C: Oui, je l'ai pas entendu. [01:17:43] Speaker A: Ça se fait huer pour vrai? Ben, dis-t-on. J'ai hâte d'entendre. [01:17:47] Speaker B: À vous de juger. Ça. [01:18:00] Speaker A: Se fait huer cette nuit-là. Il y a des applaudissements vers la fin. [01:18:05] Speaker B: C'est surtout pendant l'hymne national. Donc c'est ça, c'est le même que ça s'est passé. Il y a eu des applaudissements, il y a eu un mélange. [01:18:13] Speaker C: Le New York Post dit que ça faisait applaudir. Je pense que c'était CNN qui disait que ça faisait huer et nos journaux à nous autres. Puis t'avais l'US Today qui disait un mix de huer et d'applaudissements. [01:18:23] Speaker A: Il l'a fait réagir. Je pense que c'est la bonne manière de... C'est Donald Trump. Dans une ville qui veut élire Mamdani, communiste hardcore en passant. [01:18:35] Speaker C: À New York, full de tennis. Je me serais plus attendu à ce qu'il se fasse lui. [01:18:41] Speaker A: Bruce Springsteen, t'as l'eau, là. Stephen Curry. Stephen Curry. Donc, t'sais, je veux dire, c'est beaucoup de motubus, beaucoup de gauche caviar. T'sais, y'avait pas le camelot du New York Post hier dans le stand, là. c'était Red Carpet. La madame d'NBC, le monsieur d'ABC, Springsteen, Curry, la gauche caviar, c'est ceux qu'ils ont hué. Spike Lee, c'est ceux qui ont hué Trump. [01:19:07] Speaker B: Puis selon moi, ces gens-là ont pas dit un mot. Tu sais, ça crie pas... Ça crie... [01:19:12] Speaker A: Non, non, mais la confection de la foule fait en sorte que c'est de la gauche caviar. [01:19:17] Speaker B: Ben oui, non, je sais. [01:19:18] Speaker A: Mais quel match, pareil, hein? Quel match de tennis, hein? Moi, je ne l'aime pas, ce nœud. [01:19:23] Speaker B: Ça a été un gros week-end de sport. [01:19:24] Speaker A: Je n'y aime pas en face. Oui! [01:19:26] Speaker B: Un gros week-end de sport. [01:19:27] Speaker A: Il a battu notre Félix, mais je n'y aime pas en face. Il est détestable, ce gars-là, mais Alcaraz est toujours attachant. Le nouveau Nadal. Six grands chlems, 22 ans. [01:19:37] Speaker B: Ah non, il est vraiment malade. C'est vraiment un bon joueur de tennis, ça. C'est impossible pour les autres d'espérer. [01:19:43] Speaker C: C'est lui qui a sorti Djoko. [01:19:45] Speaker A: Oui. [01:19:46] Speaker C: C'est-à-dire que là, l'ère des Djoko... Ben, Federer et René Nadal sont persé à la retraite, là. Il reste Djokovic de cette ère-là, mais pas mal fini. [01:19:55] Speaker A: Oui. C'est vraiment... Ça, là, c'est une guerre qui va durer dix ans, là. [01:19:59] Speaker C: C'est Noel Carraz qui va se courir, oui. [01:20:00] Speaker A: L'Italien contre l'Espagnol. Un-deux, un-deux, un-deux, là. Lui, numéro un, Carraz, là. [01:20:05] Speaker B: Oui, mais en même temps, on n'est pas à l'abri non plus qu'il y en ait un autre bébête comme eux autres qui arrive aussi. [01:20:10] Speaker A: Oui, mais confédéraire et natal. [01:20:12] Speaker B: Parce que les Espagnols, je sais pas ce qui se passe actuellement en Espagne, mais des athlètes de 14 ans qui dominent des adultes au foot, Au tennis, c'est hallucinant. [01:20:25] Speaker A: Dans le basic à pédale? [01:20:27] Speaker B: Dans le basic à pédale aussi, il y en a. Il y a de la belle jeunesse qui s'installe. Il y a de jeunes sportifs qui sont très, très talentueux. Puis veux, veux pas, j'imagine que ça doit être très facilitant. Surtout dans un pays où tu peux jouer au tennis à l'année. [01:20:47] Speaker A: Quelqu'un qui m'écrit, «Senner, c'est un bon joueur de tennis, il court en salle.». [01:20:50] Speaker B: Oui, il est numéro 2. [01:20:52] Speaker A: On n'est pas en train de dire qu'il n'est pas bon, j'espère qu'il est bon, il est numéro 2. [01:20:54] Speaker B: Il dit que sa face, il ne revient pas. [01:20:56] Speaker A: Oui, c'est ça. Je ne sais pas, il n'est pas attachant. Il n'est pas attachant. [01:20:59] Speaker B: C'est ça. [01:21:00] Speaker A: Alcara, c'est charmant, c'est un beau brumel. Parabens, c'est un... Je ne sais pas, il est attachant. C'est 22 ans aussi, c'est la cardeur d'un gars de 22 ans. Le gars de 22 ans, c'était un kid. [01:21:13] Speaker B: Et je terminerai en vous disant Ken Dryden. [01:21:17] Speaker A: Ken Dryden, c'était mon gardien, c'est le gardien de la fleur. Premier match que j'ai vu de hockey de ma vie, 1975, la Ligue nationale, les Highlanders contre les Canadiens au Forum. Ken Dryden, c'est... quel joueur? Là, les gens disent, ah oui, mais là, il y avait le Big Three devant lui. Oui, mais il n'a pas joué longtemps dans la Ligue nationale. Mais regardez le ratio Coupe Stanley, il en est joué. Les meilleurs à lire, c'est les vétérans. Je pense que Réjean, c'est le meilleur à lire. Réjean, exceptionnellement, en fin de semaine, Réjean était dans la presse. C'était pas Notre-Dame-du-Québec en fin de semaine. La presse a publié Réjean Tremblay en fin de semaine, en une. C'était bon, là. C'est le souvenir de Ken Dryden. C'est gros. Je me suis commandé beaucoup de cassins de Ken Dryden sur eBay hier. [01:22:06] Speaker B: J'ai lu ces patentes-là. Je trouvais ça intéressant à peu près. Ça me faisait penser à la mort de... Je ne compare pas les deux individus. Je parle de l'impact de moi à la lecture des articles des gens qui se souviennent. Ça me faisait penser à la mort de Pierre-Eliott Trudeau. Dans le sens, voici quelqu'un dont je connais l'existence, je sais c'est qui, je sais qu'il a été important, mais je l'ai pas vu aller, moi. T'sais, je suis trop jeune pour avoir connu ces années-là. Donc, je trouvais ça intéressant de lire la panoplie d'anecdotes qu'on pouvait lire en fin de semaine, parce que pour moi, Ken Dryden, c'est un ministre du gouvernement crédit. [01:22:39] Speaker A: C'est pas votre génération, c'est plus la mienne. [01:22:41] Speaker B: Moi, les souvenirs que j'ai de Ken Dryden, c'est avec les mains polies de Toronto, parce qu'il était là dans l'administration. [01:22:48] Speaker A: C'est ça. Puis très bon gestionnaire aussi. Il a emmené l'équipe dans deux finales de conférences. [01:22:53] Speaker B: Le Ken Dryden, qui était le gardien de but du Canadien de Montréal, c'est un personnage que je n'ai pas connu. [01:23:00] Speaker C: Deux choses que je veux le faire entendre. Un, bien, Serge Chabot, on l'a entendu partout, mais c'est la seule place où je l'ai entendu le dire. Puis il a tenu comme je veux ajouter une dernière chose à RDI. Puis je pense que c'est une des raisons probablement pourquoi bien des Québécois l'ont aimé. [01:23:13] Speaker A: Puis si je pouvais ajouter juste une petite chose. [01:23:16] Speaker B: Il est arrivé à Montréal, puis il. [01:23:19] Speaker D: A réellement voulu s'intégrer à la communauté. [01:23:23] Speaker A: Il est un de ceux qui, en. [01:23:26] Speaker B: L'Espace de quelques mois, a appris la. [01:23:28] Speaker A: Langue française et a été capable de. [01:23:30] Speaker B: Faire des entrevues en français dès la deuxième année. Dès la deuxième année, puis il insistait. [01:23:39] Speaker A: Pour faire les entrevues en français lorsqu'il. [01:23:42] Speaker D: Parlait à un francophone. [01:23:43] Speaker B: Et c'est tout en son honneur. [01:23:45] Speaker D: C'était un être admirable. [01:23:48] Speaker C: Puis l'autre chose, Vince, je sais pas si tu peux jouer le vidéo que je t'ai envoyé, Dan. C'est Al Michaels qui participe à un podcast. [01:23:54] Speaker A: Oui, ça, je n'étais pas courant. [01:23:55] Speaker C: Parce qu'Al Michaels et Ken Dryden ont fait la description du Miracle On Ice. C'est ça que je comprends. Je savais qu'Al Michaels était là. Je savais pas que c'était Ken Dryden qui était un peu son analyste. [01:24:03] Speaker A: Tu m'as appris ça ce matin. [01:24:04] Speaker C: Puis il raconte comment ça s'est passé. parce que Dryden a toujours mis les études de l'avant. Avance-là au pire de 30 secondes. Quand Dryden, il s'en fait jaser, il veut pas trop donner de dédaille, puis un moment donné, il se dit « Moi, je vais te le raconter. [01:24:22] Speaker B: » « Je vais te raconter c'était. [01:24:23] Speaker C: Quoi ton horaire dans le temps. » Ce n'était pas si loin. [01:24:27] Speaker A: C'était environ une 5h de conduite. Il faut passer par Buffalo, passer par. [01:24:32] Speaker C: Toronto, est-ce que je suis correct ? [01:24:33] Speaker A: Je pense que ce n'était pas si loin. Et en plus, on avait fait le. [01:24:37] Speaker C: Match de West-Germany, le dimanche soir, et. [01:24:40] Speaker A: Ken est arrivé dans la voiture. Et si tu as oublié, Ken, je sais que beaucoup de choses ont disparu de ta mémoire, mais laissez-moi te remplir. Tu es allé à Ottawa, tu as passé la barre avec des couleurs volantes, tu es revenu à Lake Placid, et. [01:24:53] Speaker C: Puis le vendredi, c'était le match de l'USSR. [01:24:56] Speaker D: ... ... ... [01:25:21] Speaker C: Il essaye de diminuer ce qu'il a fait là, mais en gros, ils ont décrit le match contre l'Allemagne de l'Ouest. Il a embarqué dans son char, il est allé passer l'examen du barreau à Ottawa, il est à Lake Placide là. Il s'en va à Ottawa en char, passe l'examen du barreau, retourne à Lake Placide, puis là ils font la description du Miracle Bonus. [01:25:42] Speaker A: Sans dormir ou presque. [01:25:43] Speaker C: Sans dormir ou presque. [01:25:46] Speaker A: C'est bon. Dans le film, est-ce qu'on voit... Oui, dans le film, Miracles, c'est Dryden... Il y a un autre... Avec Hans-Michels, OK. Il y a Hans-Michels qui décrive. Ah, OK. [01:25:55] Speaker C: Parce que c'est le... la phrase du miracle ornaise, elle vient d'Hans-Michels. Je savais même pas que c'était avec Dryden qu'il l'avait faite. [01:26:01] Speaker B: C'est trois ans de route. [01:26:02] Speaker A: «Do you believe in miracles?», la phrase. [01:26:04] Speaker C: Oui. [01:26:05] Speaker B: Oui. [01:26:06] Speaker A: Ah, c'est pas une route commode, là. C'est pas... [01:26:07] Speaker C: Mais c'est l'examen aussi, là. [01:26:09] Speaker A: Lake Placide, qui est dans le fin fond de nulle part, là. Lake Placide, c'est Baie-Saint-Paul, OK? Quand vous allez là, moi j'ai visité les installations, je trouve que ça fait pitié, ils devraient mettre ça en valeur. Vous avez l'aréna où ça s'est joué, où tu peux y aller. C'est un aréna de village. Et dans un local attenant, je me souviens plus si c'est dans le sous-sol ou à côté, je suis allé avec l'équipe, ma blonde a eu plusieurs années de ça, il y a une quinzaine d'années. T'as le but de Jim Craig, le but, le métal, t'as le hockey de Dave Christian, t'as beaucoup de memorabilia, mais c'est un peu amateur. C'est fait, c'est écrit sur du mask and tape, genre, Jim Craig's goal. Mais ça, là, c'est un musée qui devrait être un musée national aux États-Unis. [01:26:59] Speaker B: Oui, le musée des Olympiques de la Ligue placide, effectivement. [01:27:02] Speaker A: C'est un peu amateur, j'ai trouvé. [01:27:04] Speaker B: Puis juste à côté d'une... L'anneau de glace. [01:27:09] Speaker A: C'est en plein ça, qui était embouché. [01:27:10] Speaker B: Exactement, qui était à l'extérieur. [01:27:13] Speaker A: Oui! [01:27:13] Speaker B: On était loin des Olympiques de cette année, non? [01:27:15] Speaker A: Effectivement, les placides, c'est... C'est les astrades d'Académie Saint-Louis. Je te dis, tu ne reverras plus ça, là. Les Olympiques, à cet endroit-là, comme ça, c'est comme si t'avais les Olympiques à Baie-Saint-Paul. Oublie ça, ça n'existe plus, là. [01:27:27] Speaker B: Les Lameurs, les derniers qu'on a eus. [01:27:29] Speaker C: Albertville. [01:27:30] Speaker A: Oui, oui, exact, exact. [01:27:33] Speaker B: Quoiqu'à Grenoble, dans une couple d'années, ça va ressembler peut-être un petit peu à ça aussi, mais Grenoble, c'est une plus grosse ville qu'Albertville. [01:27:39] Speaker A: C'est une plus grosse ville, quand même. [01:27:40] Speaker B: Voilà, ce qu'Andre Aydan, ça finissait de même. [01:27:42] Speaker A: Ben oui, ça te revient tout. On fait la pause et en revenant, on prend un petit café et on s'en va en Abitibi. L'Abitatibi, mon Don, let's go! [01:27:52] Speaker E: Tu as quelque chose à dire? [01:27:53] Speaker A: Ça va bien aller. [01:27:54] Speaker E: Tu veux réagir? 88 670 9098. [01:28:13] Speaker A: Le Last Call. [01:28:14] Speaker D: Bonsoir. [01:28:15] Speaker A: Bonsoir. [01:28:16] Speaker E: Avec Max Lacasse. [01:28:21] Speaker A: Bonsoir. Le Last Call. [01:28:24] Speaker E: Lundi au jeudi, 22h. [01:28:29] Speaker A: Le groupe Nanox a complètement viré sa tête. Une autre promotion, ça s'arrête pas. Une promotion, il y en avait une avant. Non, non, non, non. Regarde, on regarde en avant nous autres, ça n'en prend. Ça prend des prix, ça prend de la qualité aussi. Les spécialistes de la toiture, ils l'ont l'affaire. Pour un temps limité, on t'offre la promo Rabin Éclair. sur les toitures de Bardot. Économie de 250 à 1050 $. Soumission acceptée dans un délai de 10 jours. Prends ton temps, mais fais ça vite. Prends des photos, envoie-nous ça, ou tout simplement... Appelle-nous, on va se déplacer. On va prendre les mesures, prendre les photos. On va t'arriver très rapidement avec le meilleur prix pour la meilleure qualité de travail, assurément. 5-8-1-9-8-5-69-49. Nanouk, comment ça s'écrit? N-A-N-U-U-Q-point-C-A. Il me semble que c'est simple. la circulation de Québec pour faciliter la fluidité. [01:29:27] Speaker B: La fluidité, c'est compliqué. Premièrement, c'est sûr qu'il faut qu'on parle de la 20 Direction Montréal dans le secteur de la route Lagueu. Il y a un accrochage, ça cause des ennuis. C'est par choc à par choc, presque depuis le pont, en tout cas, du moins. Il y a un long segment de trafic. Direction Montréal, c'est assez rare. Et évidemment que Direction Québec, c'est compliqué. C'est compliqué. 20 Est, 20 Ouest, c'est également compliqué à partir de la 73, c'est l'accès au propriétaire de la porte. qui rend ça tough, c'est très très lourd sur charret. À partir de la sortie Chemin-du-Lac, même un petit peu avant, je vous dirais, à partir du boulevard Amel, c'est par chaque aparture qu'on a un petit tacle mis quand ça devient trois voies à la hauteur de Jean-Gauvin, mais ça redevient compliqué à la hauteur du Ikea et c'est comme ça. jusqu'à Saint-Sacrement, du Fremont-Morancy, de l'accès à la colline parlementaire, c'est du costaud, costaud également, de passer sur Capitale, dans le secteur Beauport, sur Laurentienne, dans la section nord, là, où il y a des travaux, là, je vous dirais, à la hauteur de la rivière Jaune, c'est très, très lourd. Lourd également sur Henri-IV, direction sud. Donc c'est un matin qui est, en somme toute, assez compliqué, 88, 6, 0909, pour nous dire ce que vous voyez, il existe des traitements d'ordonnance contre la COVID. 19 légères à modérés demandent à votre formation ou à votre médecin quels sont les risques de maladies sévères comme avoir plus de 60 ans. [01:30:37] Speaker A: Pour devenir véhicule certifié d'occasion Paquette-Nissan et. [01:30:42] Speaker C: Saint-Nicolas-Nissan, il y aurait beaucoup d'appelés et peu d'élus. [01:30:46] Speaker B: Car ce n'est pas n'importe quel véhicule. [01:30:47] Speaker C: Qui peut entrer dans la famille. [01:30:49] Speaker B: L'équipe les teste, les inspecte et garantit. [01:30:51] Speaker A: Qu'Ils donnent encore leur 100 % en tout temps. [01:30:54] Speaker B: Profitez du financement à partir de 2,99 % et des plus, dont le programme. [01:30:58] Speaker A: De changement de la vie. [01:30:59] Speaker B: Vous verrez que même d'occasion, votre Nissan du groupe Paquette est encore au sommet de sa forme. Détails chez Paquette-Nissan et Saint-Nicolas-Nissan. [01:31:08] Speaker E: J'ai une question qui me travaille. À combien de semaines de vacances payées ai-je droit par année? [01:31:12] Speaker A: Tout dépend depuis combien de temps vous. [01:31:13] Speaker D: Travaillez pour le même employeur. [01:31:15] Speaker A: Exemple, si ça fait trois ans, vous avez droit à trois semaines de vacances payées par année. [01:31:18] Speaker E: Les normes du travail pour les questions qui vous travaillent. [01:31:21] Speaker A: Un message de la CNESST. [01:31:22] Speaker E: Promutuelle Assurance félicite tous les parents qui sont là pour veiller sur les bois talonne, les bas perdus et les devoirs oubliés. Lâchez pas! Pendant que vous jonglez avec l'horaire de fou, Promutuelle Assurance protège votre chez-vous. [01:31:34] Speaker C: C'est la grande vente Ayoye chez Super C. [01:31:37] Speaker A: Faire son épicerie au superc.ca. [01:31:39] Speaker C: C'est gagné sur toute la ligne. On aligne même des nouveaux prix réduits chaque jeudi. Fait que tu t'enlignes pour la cueillette. [01:31:45] Speaker A: Gratuite ou bien la livraison le jour même. [01:31:47] Speaker C: Hey, c'est super Super C. [01:31:48] Speaker A: Détails au superc.ca. Vous êtes propriétaire d'une maison et vous êtes étouffé par vos dettes? Carte de crédit, prêt personnel, deuxième hypothèque à taux élevé. Stop! Vous perdez des milliers de dollars chaque année. Chez GMOT.ca, nous avons la solution. Le refinancement hypothécaire et la consolidation de dette. Économisez plus de 1300 par mois. Et retrouvez enfin la tranquillité d'esprit. Une seule mensualité, zéro stress. Visitez GMOT.ca. C'est simple à retenir. ou appelez-nous maintenant au 88 655 36 86 partout au Québec. [01:32:23] Speaker E: Devoir se taper le trafic et la construction, c'est pas humain. C'est pourquoi, Mondou vous invite à économiser sans détour avec la livraison automatique qui vous offre plein d'avantages mois après mois au mondou.com. Ce serait bête de pas en profiter. La but de plaisir n'est pas dangereux pour la santé. Magasinez au sensationsplus.com et découvrez tous nos produits érotiques pour couple. Livraison rapide et discrète. sensationsplus.com. [01:32:48] Speaker B: Dom, as-tu des petites patates? [01:32:51] Speaker A: Ça a passé vite, vendredi, et on n'en a pas beaucoup parlé, mais il y a quand même des recommandations qui sont issues d'un rapport concernant l'aide aux médias, l'avenir des plateformes culturelles du Québec. Et parmi ces suggestions-là, bien, il y en a qui vont faire sourcier, c'est sûr, investir davantage dans Télé-Québec. Moi, je pensais qu'un jour, on était pour privatiser Télé-Québec. Non, il faut faire passer le budget de 95 millions à 300 millions au Télé-Québec. Ça va, les marionnettes? Également, il y a plusieurs choses dans ce rapport-là, mais ce que je retiens également, c'est qu'il faut donner un crédit d'impôt. Aux gens des radios, les plateformes électroniques, vous le savez, il y a des subventions pour des crédits d'impôt à la masse salariale pour les journalistes dans l'écrit, mais il n'y en a pas pour, entre autres, la radio. Non merci, on ne veut pas de crédit d'impôt pour ça, mais il y a un rapport commandé par la CAQ qui suggère ça. Une entreprise immobilière de Québec qui est condamnée à verser 7000 $ à une femme À qui on a refusé un logement parce qu'elle avait un chien. D'assistance, c'est le tribunal des droits de la personne qui a tranché François Legault et sa garde rapprochée. Se penche sur le remaniement, c'est dans 48 heures finalement, c'est confirmé, c'est mercredi. Et on aurait visé et André Lamontagne et Suzanne Roy. Deux obscures ménistes, là, on va le dire, qui seront écartées. Si vraiment c'est ça, le nouveau jeu de cartes, de logos, d'écarter la montagne et roi, bien, c'est pas très très impressionnant. Ça nous concerne pas, mais c'est en France. Renversement de gouvernement, dissolution de la Chambre, c'est ce soir. Il y a un vote de confiance. Le premier ministre s'est soumis à un vote de confiance. Et l'immense majorité des députés de l'Assemblée nationale, là-bas, vont renverser le gouvernement, dont des ministres qui seront convoqués à Matignon. Matignon, c'est le siège du gouvernement, si vous voulez, le siège des ministres, à 20 h 30 ce soir. Il y a par la suite Macron qui va parler. Et on va connaître, ce qui est intéressant, c'est qu'on va connaître en détail les votes des députés. Est-ce qu'ils ont voté pour un renversement de gouvernement ou pas? Donc, ce sera le troisième gouvernement en un an en France. Quand même particulier. Et finalement, les paroles, les paroles, les paroles. Donald Trump qui a dit hier, c'est un dernier avertissement au Hamas pour un retour des otages israéliens. Il me semble qu'il avait dit ça une couple de fois dans les derniers mois. À tantôt. [01:35:30] Speaker E: Faire circuler, recycler, redonner. C'est ce que fait la Fondry Horn, l'un des plus grands recycleurs de matières électroniques au monde. Elle fait circuler une ressource critique pour la transition énergétique, le cuivre, en recyclant chaque année des milliers de tonnes d'appareils. Elle soutient plus de 3000 emplois au Québec, réduit ses émissions, agit pour la qualité de l'air et a généré près de 850 millions de dollars en 2023 pour notre économie. Fondry Horn, solide pour l'avenir. [01:35:59] Speaker C: Ta voiture est comme pas neuve, mais t'en veux une neuve? [01:36:03] Speaker A: On peut reprendre ta com'neuve et même t'en trouver une neuve. [01:36:07] Speaker C: Pour une voiture, c'est Charlebourg Toyota. [01:36:10] Speaker A: Évalue ta com'neuve au comneuve.com. Moray, c'est une bonne idée. C'est une bonne idée. [01:36:17] Speaker E: Avec Dominique Moray. [01:36:18] Speaker A: Ça m'inspire. [01:36:19] Speaker B: Ça m'inspire. [01:36:21] Speaker C: Moray, live. [01:36:24] Speaker E: Radio X. [01:36:25] Speaker A: En ligne, l'ex-député de la CAQ, mais toujours député d'Abitibi Est, Pierre Dufour. Comment ça va? C'est. [01:36:39] Speaker D: Sûr et certain que quand on maintient sa ligne et puis on maintient toujours notre défense de la région, la raison pourquoi on est élu, je pense, à la base, bien, on reste quand même serein dans toute cette dynamique-là. [01:36:53] Speaker A: Est-ce qu'on vous présentait à la mairie de Val-d'An? [01:36:57] Speaker D: Il ne devrait pas. Comme je l'ai mentionné, différents enjeux. Le premier, c'est aussi en tant qu'individu qui se fait élire lorsqu'il fait une élection puis que tu te retrouves au pouvoir. T'es là pour quatre ans, donc je crois que c'est mon mandat de finir mon mandat, comme ça devrait être. [01:37:16] Speaker A: Donc il vous restera un an. [01:37:19] Speaker D: Il me restera un an, présentement, l'affaire, présentement, sous la bannière indépendante, naturellement. [01:37:25] Speaker A: La bannière, mettons, conservatrice, si Éric Duhaime vous invite à manger un petit spaghetti, est-ce que ça vous tente? [01:37:34] Speaker D: Non, je pense pas. Je pense pas. Pourquoi? De un, on va laisser couler aussi, je pense, l'eau sous l'épaule présentement. Je pense que c'est des grands enjeux, je peux vous dire une chose. Autant les gens au bureau que ma conjointe, ça les affecte aussi un petit peu. L'individu qui est en politique, c'est une chose, mais t'as aussi des gens dans l'entourage. Donc je pense qu'il faut aussi penser à tout ce monde-là. Puis de l'autre côté, bien, il faut prendre le temps de regarder quelles seront la suite des événements pour moi-même, tu sais. Donc je suis pas prêt à faire des sauts rapidement ou quoi que ce soit, d'aller sur d'autres plateformes. [01:38:10] Speaker A: Comment vous pourriez qualifier votre relation avec François Legault? [01:38:15] Speaker D: Relation professionnelle dans le sens qu'entre un premier ministre et un de ses députés, je pense que... Elle n'était pas différente qu'avec les autres députés. [01:38:28] Speaker A: Si par là, Legault, on n'est pas Nick Koskinen? [01:38:32] Speaker D: Non, il y a toujours une ouverture pour être capable de discuter d'un à un si on veut avoir cette discussion-là. Naturellement, le principe est de passer au départ, si on a des revendications, par le bras droit, qui est M. Martin Koskinen. Mais il y a une possibilité de jaser avec M. Legault. C'est peut-être pas lui qui va s'avancer, mais nous, si on fait la demande, on est capable. [01:38:56] Speaker A: Est-ce que vous êtes capable de faire un bilan lucide de la CAQ? [01:39:00] Speaker D: Bien, bilan lucide de la CAQ, je dirais deux temps. Le premier mandat de 2018 à 2022, très à l'écoute de la situation. Naturellement, une situation pandémique qui a fait en sorte qu'on a, comme gouvernement, qu'on a travaillé pendant deux ans par décret, qui est différent de travailler de façon conforme avec une démocratie longue et qui crée peut-être beaucoup d'attentes, mais qui souvent fait en sorte qu'on doit attendre les résultats parce que tout doit être procédé de façon démocratique. Donc c'est sûr et certain que la pandémie a peut-être changé la donne pour l'après suivant, en fonction de... Quand tu es gouverné par décret, c'est un peu plus simple pour un gouvernement que de l'autre façon. [01:39:46] Speaker A: Mais oui, c'est une dictature. [01:39:47] Speaker D: Bien, ce n'est pas une dictature. Ça dépend toujours... [01:39:51] Speaker A: Dictature à l'érable. [01:39:53] Speaker D: Oui, on peut le mettre comme ça, si vous dites. Mais ça fait en sorte que la CAQ, je pense que dans les quatre premières années, a vraiment été à l'écoute davantage de ce qui se passait. Puis on l'a vu, il y a plusieurs projets qu'on a été capable de mettre en action dans les régions. Il y avait, entre autres, si vous vous souvenez, le fameux projet de loi 66, qui avait commencé par être le projet de loi 61, qui était devenu le 66. Après, ça a changé. [01:40:16] Speaker A: Oui, mais là, on fera pas l'exégèse de tous les projets de loi. Moi, je veux savoir pourquoi la CAQ était à queue dans les sondages ce matin. Pourquoi la CAQ était à la queue dans les sondages ce matin? [01:40:26] Speaker D: Je pense que ce projet de loi-là que je vous parle, c'était le projet de l'accélération des projets, si vous vous souvenez. Et ce projet-là... C'était le projet où jusqu'à peu près tous les députés avaient des enjeux dans leur territoire, ont mis de l'avant certains projets. Et si on regarde aujourd'hui, il n'y a pas eu tant que ça une grande résultance. Donc je pense que quand tu te lances à dire qu'il va y avoir beaucoup de projets qui vont être réalisés... Moi, j'ai été chanceux, j'avais une courbe qui a été modifiée, qu'on ait accéléré le processus, qu'on ait fait des expropriations de deux terrains pour être capable de le faire. Mais il y a plusieurs projets qui sont restés sur la glace. Et ça, à un moment donné, bien, tu te le fais ramener par les maires, tu te le fais ramener par les préfets, tu te le fais ramener par les individus qui pensaient que ça serait accéléré. Je pense que ça, ça a été important. [01:41:17] Speaker A: Mais je vais poser ma question autrement. Complétez les phrases. La CAQ est trop... compléter la France. Et la CAQ n'est pas assez compléter la France. Donc, commençons par le premier. La CAQ est trop quoi? [01:41:32] Speaker D: Moi, comme je l'ai dit, c'est que je pense que la CAQ a oublié de où ils avaient été élus. [01:41:41] Speaker A: Trop fermé. [01:41:43] Speaker D: On a été élus par les régions, par l'ensemble des régions du Québec. C'était quand même une grande réussite d'avoir des députés dans tous les endroits. Puis les projets régionaux ont semblé cette année. Donc je pense que c'est là qu'est l'enjeu... On dirait que dans le deuxième mandat, les enjeux de Grand Centre ont pris le dessus. Difficile à dire. [01:42:12] Speaker A: Si vous le savez pas, moi, je le sens encore moins. J'étais pas là. Je regarde Dubé, je regarde Fitzgibbon dans le temps. Je regarde le go, c'est la gang de Montréal. C'est la clique de Montréal qui mène, là. [01:42:26] Speaker D: Il y a beaucoup d'interactions qui viennent de Montréal, je crois, puis... Donc la réponse est oui? Je pense que le principe de tous les gouvernements, c'est d'essayer d'avoir une bonne base solide à Montréal d'élus, ce qui n'a jamais été le cas de la CAQ. [01:42:43] Speaker A: Mais non, il y en a eu une dans l'est de Montréal. [01:42:45] Speaker D: Donc c'est sûr qu'il y a possiblement d'autres acteurs de proximité qui ont pris le relais. [01:42:51] Speaker A: La CAQ n'est pas assez quoi? [01:42:55] Speaker D: Comme je l'ai dit... Oui, mais il. [01:42:58] Speaker A: Y a-tu d'autres choses? [01:42:59] Speaker D: Bien, il y a-tu d'autres choses? Je peux vous le mentionner, c'est que je crois que la CAQ doit revenir à sa base, réécouter un peu. Quoi, les enjeux régionaux? Moi, je vais vous dire une chose. On a des hôpitaux, par exemple, à peu près partout à travers le Québec, qui ont des problèmes de déficience. Puis on s'en va investir de l'argent pour une toiture au Stade olympique. Je pense que ça, c'est des choses comme ça qui, à un moment donné, viennent qu'être affectées. [01:43:24] Speaker A: Ça fait dur, les hôpitaux en Abitibi, hein? [01:43:27] Speaker D: Bien, on a des problèmes avec l'hôpital d'Amos, particulièrement le bloc opératoire. Donc, c'est sûr qu'il y a des enjeux. Chez nous-mêmes, à Val-d'Or, il y a eu l'incendie dernièrement à Rouyn-Noranda qui n'a pas aidé la cause non plus au niveau de la natalité. En Abitibi, comment ça fonctionne? C'est que chaque secteur, étant donné qu'on est tous à environ 1 heure de distance, ont des spécialisations. Donc, c'est sûr et certain qu'il y a quelqu'un qui a une spécialisation qui prend un coup dur comme à Rouyn-Noranda, bien, c'est sûr que ça l'affecte le restant, là. [01:43:54] Speaker A: Donc, vous allez déchirer votre carte de membre de la CAQ? [01:43:58] Speaker D: Ben, écoutez, c'est eux qui m'ont sorti, donc je vois pas pourquoi que je maintiendrais une carte demande d'un parti qui t'a sorti. [01:44:04] Speaker A: L'avez-vous déchirée? Quand que vous allez la brûler ou vous l'avez brûlée? Vous faites un feu de joint à. [01:44:11] Speaker D: La fin de semaine? Elle est pas déchirée, mais on sait sûr qu'on sera pas au Congrès aux activités qui vont suivre, partisanes. [01:44:18] Speaker A: Entendez-vous quel genre de député vous allez être au cours de la prochaine année? [01:44:23] Speaker D: Bien, la première chose, c'est d'essayer de voir un peu c'est quoi le rôle que peut avoir un député indépendant. Donc, dès cette semaine, je vais contacter le secrétaire général Sigfried Peters pour savoir qu'est-ce que j'ai le droit, qu'est-ce que je n'ai pas le droit, comment ça fonctionne exactement. J'ai déjà eu une conversation avec Youri Chassain hier soir. [01:44:42] Speaker A: Un autre courageux. Lui, il est en compé que vous, il avait gardé sa carte de la CAQ. [01:44:48] Speaker D: Donc avec Youri, on va regarder. Déjà, il m'a donné quelques éléments d'alignement. Qu'est-ce que t'as le droit de faire aussi? Donc c'est de découvrir un peu ce rôle-là où t'es moins accompagné par un groupe qui fait une partie de ton travail. [01:45:05] Speaker A: Comment vous le trouvez, Éric Duhem? [01:45:07] Speaker D: Éric, je pense qu'il y a des bons éléments. Par contre, des fois, je pense qu'il... La manière qu'il travaille, je pense qu'il coupe les coins ronds des fois. Prenons le cas de la bourse carbone ou de la taxe carbone. J'écoutais un peu ses discours lorsqu'il faisait sa campagne Arstabaska. Je pense qu'Éric devrait quand même définir la différence qui existe entre la manière dont on fonctionne au Québec et ce qui se passe au niveau des autres provinces. Non, mais je vais rester poli avec lui et tout ça. Il n'y a pas de trouble d'avoir une... [01:45:48] Speaker A: Mais s'il vous invite, vous allez y aller? [01:45:50] Speaker D: Pas obligatoirement. Je pense qu'il peut avoir une conversation téléphonique s'il veut. [01:45:54] Speaker A: Au téléphone, c'est correct. [01:45:56] Speaker D: Mais je n'aurai pas l'utilité d'aller m'asseoir présentement. OK. [01:46:01] Speaker A: M. Dufour, merci beaucoup. [01:46:03] Speaker D: Merci, M. Dumas. [01:46:05] Speaker A: M. Dumas, c'est mon collègue, mais c'est pas insultant d'être débaptisé pour autant. Asseyez Johnson, moi, par contre. M. Dufault, merci. [01:46:15] Speaker D: Merci beaucoup. [01:46:15] Speaker A: Ma bête. [01:46:16] Speaker B: Ma bête. [01:46:16] Speaker A: Oh, c'est une erreur. C'est pas grave, c'est drôle. OK, on est d'hommes, d'hommes, d'hommes, d'hommes. Les Double D's. Les Triple D's avec toi, mon cher. T'en as pensé quoi? Finalement, t'es à l'image des textos qu'on a eus. [01:46:31] Speaker B: Il y a beaucoup de choses qui... Il y a beaucoup de choses à ressortir de là. D'abord, un, il y a vraiment quelque chose dans la classe politique, ils veulent pas s'accoquiner à Éric Duhem. [01:46:40] Speaker A: Arrêtez! Voyons donc! [01:46:41] Speaker B: Je comprends pas. [01:46:42] Speaker A: On pourrait pas aller manger avec. [01:46:43] Speaker B: L'histoire de la bourse carbone, on a tout compris. Duhem fait juste expliquer au monde qu'on paye notre gaz plus cher à cause de ça. [01:46:49] Speaker A: C'est du marketing politique. Il a raison, on paye le gaz plus cher. Et on veut surtout le payer moins cher. [01:46:54] Speaker B: Ouais, mais tu peux pas t'attendre, pis là je veux pas que ça ait l'air d'un régionalisme, mais c'est sûr qu'en région, pis t'sais la Bitibi c'est la région beaucoup. [01:47:05] Speaker A: Oui. Les mouches noires, elles ont des laisses. Elles sont grosses. [01:47:11] Speaker B: C'est sûr qu'une région qui plus est beaucoup accrochée aux médias montréalais, le monde, ça doit être beaucoup moins érectuellement habitué qu'en Beauce. Tu comprends? [01:47:21] Speaker A: Non, je comprends. Non, mais si tu veux un porte-voix, si tu veux provoquer, c'est une forme de provocation dans le fond. Ce que Claire a fait, c'est... Claire était, je comprends, déconnante de fortune et tout ça, mais t'sais, c'est un genre de provocation pour dire, regarde, in your face, la cague d'un midéor, fuck you! [01:47:38] Speaker B: Claire, oui. Youry, oui. Youry, je comprends pas pourquoi il le fait pas. [01:47:41] Speaker A: Youry, je comprends rien dans son affaire. [01:47:42] Speaker B: Mais lui, il s'est juste exprimé puis il a perdu sa job, là. [01:47:44] Speaker A: Oui. [01:47:45] Speaker B: C'est un caquiste, ce gars-là, là! C'est un caquiste qui n'est pas sorti de la CAQ. Il voulait rester dans la CAQ, lui. [01:47:54] Speaker A: Yuri? [01:47:54] Speaker B: Non, pas Yuri. Lui. [01:47:56] Speaker A: Ah, Yuri aussi, Dan. Tu t'en souviens, il est venu ici. [01:47:58] Speaker B: Ah oui, Yuri aussi. [01:47:58] Speaker A: Il a gardé sa carte. Je garde ma carte. Voyons donc. Ça, c'est comme un gars qui se fait coquifier par sa femme et garde son alliance. [01:48:04] Speaker B: Yuri, là, je suis certain que... [01:48:06] Speaker A: Le gars filme à l'hôtel. Ta fameuse allégorie, là. Le trépied à l'hôtel. Oui. Puis il garde son alliance, là. Ça, c'est fou, là. Je comprends pas, ça. Je comprends pas des gens comme ça. C'est des gens qui ont pas de fierté. [01:48:20] Speaker B: Non seulement ça, je suis certain qu'il y aurait, étant donné qu'il y a un remaniement ministériel cette semaine, regret de son mouv'. Parce que si, là, j'aurais été biaisé. [01:48:28] Speaker A: Ouais. Moi, je pense qu'il y a d'autres plantes vertes. Il y a une couple de géranium qui vont le remplacer, là. [01:48:34] Speaker B: Ouais. Vous aimez le poulain? Hé, attends un peu là. [01:48:37] Speaker A: Oui, ça se peut ça d'ailleurs. [01:48:39] Speaker B: C'est Rémi Nadeau en fête semaine qui. [01:48:41] Speaker A: Disait... Oui, bien il en nommait. Il a fait un peu notre truc, ce qu'on a fait ici en Onde. Hein? Il a fait de la collection des plantes vertes. [01:48:48] Speaker B: C'est pas ça. C'est quand il a dit, il va peut-être sauver le siège en Beau... Beau Sud! Il va sauver le siège de Beau Sud en nommant Samuel Poulin ministre. [01:48:57] Speaker A: Oui. [01:48:58] Speaker B: Beau Sud là. [01:48:59] Speaker A: Il sait que c'est conservateur à l'os. [01:49:00] Speaker B: C'est incroyable à quel point le conservateur passe. À l'os. Incroyable. [01:49:04] Speaker A: Incroyable. OK, alors voilà, dossier réglé. [01:49:08] Speaker B: Est-ce que... est-ce que c'est encore une fois qu'on vit dans un monde de pleutre? [01:49:13] Speaker A: Moi, j'ai trouvé mou, ça c'est clair. Je veux pas manger avec, je veux juste parler au téléphone. Come on! Come on! [01:49:19] Speaker B: Bon, lui, clairement, il voulait pas nous dire... Come on! Il voulait pas nous dire le fond de sa pensée sur Éric Djet. [01:49:23] Speaker A: Ouais, peut-être, effectivement. OK, on va à la pause. En revenant, on attaque le dossier de la Mercedes Nation, les boomers enragés qui n'aiment pas les enfants veulent canceller, un peu comme le Grinch qui veut canceller Noël, eux veulent canceller le football. Bien, ça finira pas comme ça. Hier, c'était une très mauvaise nouvelle. Grosso modo, 75 % des boomers voisins de l'Académie Saint-Louis ont dit qu'on veut museler les enfants, on veut canceller le plaisir. Mais ce n'est que partie remise, les amis. Et ça va aller en prolongation, ce match-là. C'est pas effifi-anini. Donc en revenant, Véronique Dallaire avec nous autres, manquez pas ça. Dan Fleury et Marcel Bouchard, qui est en sacrifice, qui vient nous parler, oui, de sa génération. Marcel va brosser la cage. Tu veux pas manquer ça. [01:50:21] Speaker E: Petite pause. De retour dans un instant. Radio X. [01:50:37] Speaker A: Présenté par Ice-Tech. Tu veux du vrai? Des gros chantiers, une gang soudée pis du temps plein. Bien payé. Chez Ice-Tech Climatisation, on engage maintenant. Des ferbles entiers, frigoristes. Postule sur icetechclimatisation.com. [01:50:51] Speaker B: As-tu mal? Ça fait mal. Peu importe où t'as mal. T'as mal à la tête, mal aux jambes, mal aux pieds, mal au dos, bursite, épicondylite, les genoux te font mal, la tendinite aux coudes, la colonne vertébrale. Peu importe où t'as mal, le Centre de correction vertébrale de Québec est là pour toi. Ça fait plus de 25 ans qu'on s'occupe de la santé des gens de Québec dans nos trois cliniques à Caprouge-Lévis et Pont-Rouge. Si vous souffrez, on a des soins de qualité et surtout des soins à la fine pointe de la technologie. de la chiropratie assistée par ordinateur, de la décompression disicale, le laser thérapeutique, tout ça pour vous aider à vous soulager. Vous êtes tanné de ne pas pouvoir défaire le lave-vaisselle parce que ça vous fait mal dans le dos de vous pencher. Pire encore, aller jouer au hockey que les enfants dans la rue, vous n'êtes pas capable parce qu'à cause de la chrystite tendinite, centre-cvq.com, le centre de correction vertébrale de Québec, sont là pour vous, sont là pour vous aider. [01:51:47] Speaker C: La confiance, c'est savoir que l'on est prêt à faire face à tout ce qui se présente. C'est ce que l'on ressent lorsqu'on entreprend une journée de travail avec Syntas. Il s'assure que vos DEA sont à jour, vos armoires de premiers soins sont approvisionnées, vos tapis sont nettoyés et livrés, et vos vêtements de travail sont beaux, agréables au toucher et fraîchement lavés grâce au programme de vêtements de Syntas. Alors, êtes-vous prêt à affronter la journée? Visitez syntas.ca baroblique fr et soyez prêt pour la journée de travail. [01:52:15] Speaker A: Levy Ford, les phares de Lévis. Je vais le dire au début du live, mais ça se peut que je le dise à la fin du live aussi. Pourquoi pas, Dan? Je suis de bonne humeur un matin. Tu veux profiter des prix employés? C'est la plus grande promotion dans l'industrie de l'automobile que les prix employés de Levy Ford et ça se poursuit tout le mois de septembre. 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On est en 2025, OK? Lévis Ford, c'est extraordinaire. Viens nous voir! On est fort de Lévis! la circulation de Québec pour faciliter la fluidité. [01:53:52] Speaker B: Oui, c'est compliqué ce matin. On va commencer par la Rive-Sud parce qu'il y a un accrochage sur l'A20, c'est direction est cette fois-ci. L'accrochage qu'il y avait direction ouest, on a réussi à tasser tous les véhicules, mais c'est encore problématique si vous sortez du pont en se rendant jusqu'à la route Lagueux. Maintenant, on a un accrochage de l'autre bord, c'est juste avant la route Lagueux, donc cette fois-ci, ça va nous permettre d'avoir un peu plus Ce sera un peu moins nuisible, mais c'est déjà très, très compliqué l'accès aux pompiers à la porte. 20 S, 20 Ouest, 73. Compliqué également sur la route 132 dans le secteur Saint-Nicolas. Le pont de Québec qui est multijammé. Boulevard Laurier également. Les troncs sont là, l'échangeur, les ponts, la rive Sud, c'est très très lourd ce matin. Sur la 40, direction Est, direction Centreville, à la hauteur du boulevard Hamel, il y a un accrochage dans ce secteur-là. Donc là aussi, c'est compliqué, vous êtes arrêté à la hauteur, bien, juste avant le virage. Vous êtes sur la 40, c'est presque à la hauteur de la route Fort-Sambour où vous êtes arrêté. Ça reprend cependant et ça reste quand même pas si mal en se rendant jusqu'à un Henri IV, capitale, direction ouest, c'est lourd à partir du secteur Beauport jusqu'à Robert Bourassa. Laurentienne et Henri IV, direction sud, très très lourd également. C'est un matin qui est compliqué, on va se le dire. C'est un gros lundi matin sur les routes dans la grande région de Québec. La rentrée peut coûter cher. Ebox t'offre pour un temps limité un mois gratuit avant l'abonnement au forfait Internet fibre 500 Mbps ou 1 Gbps. Abonne-toi au ebox.ca. Ça s'en vient ? [01:55:20] Speaker A: Réservez votre party des fêtes chez Dooley's avant le 19 octobre pour une soirée entre le 1er et le 16 novembre. [01:55:26] Speaker B: Et profitez du billard à 50% ! [01:55:28] Speaker A: On organise votre party à votre goût ! [01:55:33] Speaker E: Plancher BFC Flore Deco, fiers dépositaires de la peinture Benjamin Moore. Tous les revêtements de plancher et la décoration sont présentement en promotion. Des rabais de 10 à 50 %. Venez rencontrer nos designers aux 2700 rue Jean Perrin. Plancher BFC Flore Deco, beaucoup plus que des planchers. Escalvaire s'installe aux Galeries de la Capitale. Rabais jusqu'à 20 000 $, taux exclusif et vérification de vos joints d'étanchéité plus La fermeture et l'ouverture de votre VR pour deux saisons avec achat. Escale VR, aux Galeries de la Capitale, jusqu'au 19 octobre, face à meubles RD. [01:56:06] Speaker A: Vous voulez vendre votre maison? 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Ils ont voté non à une proposition de changer un règlement qui aurait permis l'utilisation de speakers, finalement, avec... du vrai monde et un vrai annonceur maison et du vrai bruit sur un vrai terrain de football. Donc à suivre, Marchand a réagi très tard hier suite à ce résultat catastrophique-là. Il mentionne que demain, dernier conseil municipal avant les élections, il va déposer une motion spéciale Ça reste à voir parce que c'est un règlement qui s'applique à une portion de la ville. Le règlement de la ville comme tel, il existe, il s'applique. On ne peut pas faire un festival techno 24 sur 24 sur les terrains de football. J'ai bien hâte de voir comment ça va se dérouler tout ça. Un groupe de citoyens de Saint-Augustin, la ville voisine de Québec, qui demande aux ministères des Affaires municipales de faire preuve de nuance, de mettre un peu d'eau dans le vin concernant ce règlement-là sur la sécurité des piscines. Vous le savez, on a besoin de clôturer avec de nouvelles normes, les clôtures. Et là, bien hier, ça a été quand même un reportage percutant à TVA hier, où il y a un monsieur qui a une grosse clôture, fin forgée, qui ne répond pas aux normes pour seulement 1,6 mm. Il est obligé d'arracher sa clôture au grand complet. C'est complètement fou. Il y a un groupe, donc, de citoyens qui demandent au gouvernement, s'il vous plaît, mettez un peu d'eau dans le vin, levez la pédale un peu. Au ministère du Conseil du Trésor, on a octroyé, c'est pas une grosse somme, 222 000 $, mais quand même, dans une période où on coupe des écoles. Donc, on a donné ça à une école de mentorat pour offrir une formation de coach professionnel certifié à une soixantaine de gestionnaires du gouvernement. Ça revient à 3700 $ par tête de pipe. Et finalement, Montréal, son mêlée... Comme une poignée de Smarties, près de deux tiers des Montréalais qui souhaitent un changement aux prochaines élections, parce que Valérie s'en va, mais une très forte proportion des gens n'ont aucune espèce d'idée pour qui voter. Ça va très, très bien, Montréal. [01:59:24] Speaker C: À tantôt. [01:59:28] Speaker E: Bonjour, c'est Cécile, propriétaire des Cliniques Viva. Je suis hyper emballée de vous annoncer qu'on vient tout juste d'acquérir la nouvelle technologie Vasculaise. C'est un appareil laser spécialisé pour traiter efficacement les varicosités, les petites veines apparentes, les rougeurs diffuse, autant au niveau du. [01:59:43] Speaker C: Corps que du visage. [01:59:44] Speaker E: Les séances sont rapides, sécuritaires, donc si vous êtes concerné par tout ce qui touche les petites vénules, les varicosités, c'est le traitement pour vous. On est vraiment fiers d'être parmi les premiers à Québec à vous offrir ce nouveau traitement-là dans l'ensemble de notre réseau. 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C'est une question profonde sur notre société. Qu'est-ce que ça dit, ça, sur notre société, que ce vote hier? Donc, au pourtour de l'Académie Saint-Louis, il y a des gens qui ont voté pour qu'on impose le silence à des jeunes qui jouent au football. Saison de football très courte, surtout la saison scolaire. Pas beaucoup de matchs, saison courte. On veut du plaisir et c'est du plaisir familial dans le scolaire. Hier, ça a été un résultat brutal. Je pensais que c'était pour être plus serré que ça. Il faut vouloir se retrouver, se retrousser les manches et travailler. Véronique Dallaire, qui est la conseillère de ce quartier-là, comment ça va ce matin? [02:02:53] Speaker E: Ça pourrait aller mieux. [02:02:54] Speaker A: Qu'est-ce qu'on fait? On retourne au travail? C'est quoi? Qu'est-ce qu'il y a sur la plage à dessin ce matin? [02:03:00] Speaker E: On retourne au travail. Je pense que le plus grand défi, ça va être que l'ensemble des copropriétaires qui sont habiles à voter aient la bonne information. Et je pense que c'est là où il y a eu une problématique dans le vote qui s'est tenu hier. Il y a eu une missive qui a été acheminée à l'ensemble des copropriétaires dans laquelle ce qui était mentionné, c'était que l'Académie gérait déjà bien la situation avec environ 10 à 15 matchs, ce qui est raisonnable. Et par la suite, on leur disait que si la modification était acceptée, qu'on n'allait plus parler de quelques jours, mais de l'année au complet. Donc déjà, là, il y a une problématique, parce que c'est comme si les gens qui ont voté se sont fait dire que s'ils votaient non, que ça permettait tout de même à l'Académie de tenir ses matchs actuels, ce qui est faux. Parce que l'objectif initial de l'Académie, c'était de régulariser la situation puis de permettre l'amplificateur, l'annonceur maison pour la saison de football. [02:03:58] Speaker A: Comment ça, tant de mauvaises informations? Alors, ça fait des mois qu'on parle de ça. Pourquoi encore cette mauvaise information-là qui circule? [02:04:07] Speaker E: Bien écoutez, j'aimerais avoir la réponse. Sauf que moi, ça va être mon défi. En fait, c'est ma priorité. J'ai rencontré dans les dernières semaines le conseil d'administration de l'Académie. J'avais offert, lors de la rencontre avec l'académie et avec le syndicat, d'aller rencontrer l'ensemble des partis pour leur expliquer. L'académie a levé la main, je suis allée rencontrer le conseil d'administration, le syndicat ne l'a pas fait. Alors, je vous le dis, moi, ce que je veux, c'est aller rencontrer ces 139 personnes habiles à voter pour leur donner la bonne information et amorcer un nouveau processus de modification réglementaire. [02:04:42] Speaker A: Donc, comme Bruno Marchand? [02:04:44] Speaker D: Qu'Est-Ce que vous voulez dire comme mot? [02:04:45] Speaker A: Bruno Marchand veut faire ça aussi. Bruno Marchand veut s'activer. Il dit, regarde, je m'en mêle, c'est le temps, je saute sur le terrain. Je vais proposer une motion spéciale dès la prochaine séance du conseil, le 16 septembre, pas demain, mais c'est l'autre semaine, pour donner la légitimité à l'Académie de poursuivre la saison de football jusqu'à la fin de la saison. Donc vous allez travailler main dans la main avec le maire. [02:05:07] Speaker E: Parfait, le maire a proposé une motion pour que le bruit soit toléré. C'est ce qu'il a proposé. Puis évidemment, Québec d'abord va appuyer cette motion-là, parce que depuis le début, ce qu'on veut, c'est qu'on s'élève et qu'on travaille ensemble à trouver une solution. Donc évidemment, Québec d'abord va appuyer la motion du maire. Cependant, nous, on ne veut pas... une motion qui propose la tolérance sur une seule saison, on veut, je veux régler la situation pour l'avenir. Donc le maire propose une motion pour une tolérance, nous l'appuierons. Cependant, moi, il faut que je continue, comme je le fais depuis des mois, à travailler le fond du dossier. Et pour ça, je vous le dis, il faut que la bonne information se rende à toutes les personnes qui sont habiles à voter. Puis il est là, le problème. [02:05:52] Speaker A: OK. Donc, aujourd'hui, on est dans quelle situation-là? Admettons qu'il y ait un match ce soir, ce qui n'est pas le cas, mais en théorie, s'il y a un match ce soir, est-ce que ça devrait se passer dans le silence pour respecter le règlement? Comment ça marche? [02:06:09] Speaker E: Oui. En fait, si l'on prend à la lettre, là, le référendum a été, je vais le dire, perdu par l'Académie hier. Ce qui veut dire que nous, aucun élu, là, L'obligation de venir dire parfait, je l'endosse, lorsqu'il y a un référendum, ça s'applique automatiquement. Donc ce qui s'est passé hier, c'est de dire non, la modification réglementaire n'est pas acceptée, donc ce qui est en place demeure. Si on prend ce qui est en place, actuellement, il n'y a aucune amplification sonore qui est permise. C'est ça, la situation actuelle. C'est pas l'Académie peut le faire pour 10 à 15 matchs. La situation actuelle, c'est il ne peut pas y avoir d'amplification de son. Donc si on prend le règlement à la lettre, c'est ça qui s'applique. [02:06:53] Speaker A: Est-ce qu'on peut mettre des speakers sur l'école? Au plan mécanique, est-ce qu'il y a des trucs qu'on peut aménager? [02:06:59] Speaker E: Bien, c'est une bonne question que vous posez, parce que c'est deux zones distinctes, puis vous l'avez bien compris. Sur le terrain de football, l'amplification sonore est interdite. Sur le terrain de l'école, l'amplification sonore est permise. Et je sais que vous allez avoir un intervenant de l'Académie qui pourra vous l'expliquer. [02:07:14] Speaker A: Dan Fleury, dans quelques minutes. [02:07:16] Speaker E: Exactement. Mais ça fait longtemps que l'Académie aurait pu mettre l'amplification du son sur le terrain de l'école pendant les matchs de football, parce qu'ils ont le droit, légalement, réglementairement parlant, ils ont le droit de faire ça. Et ils ne l'ont pas fait. Ils souhaitaient régulariser la situation. Sauf qu'aujourd'hui, demain, prochain match, ils décident de mettre l'amplification du son sur le terrain de l'école, qui est voisin au terrain de football. C'est légal. [02:07:40] Speaker A: Et on fera ça. [02:07:42] Speaker E: Et on le souhaite. Ils pourront vous le dire, mais c'est illégal de le faire. [02:07:46] Speaker A: OK. Entre-temps, est-ce qu'il y a des manifestations à faire? Qu'est-ce que les gens peuvent faire? Est-ce que les gens ont du pouvoir? Est-ce qu'on a une prise sur la... sur cette décision-là? On se sent... on se sent désemparés parce que c'est de la tyrannie de la minorité. Il y a quand même une centaine de bougonneux. qui tiennent en otage des jeunes, une école. Tu peux pas laisser le comportement d'une centaine de personnes contrôler une communauté au complet. Tu peux pas te permettre ça dans une société normale, non? [02:08:16] Speaker E: Au-delà de ça, les votes hier, on a 24 oui, 76 non. C'est donc dire que 39 personnes ne se sont pas déplacées. Lorsqu'on regarde ça, il manque 47 voix pour que ça passe. Donc moi, je veux pas mettre tout le monde dans le même panier. Je veux pas mettre de l'huile sur le feu. Ce que je veux, c'est aller donner la bonne information à ces personnes-là, parce qu'on s'en sortira pas du référendum s'il y a pas de modification à la loi provinciale. [02:08:41] Speaker A: Et l'avis légal que vous avez, qui vous contraignait à ne pas trop vous impliquer, est-ce que là, vous avez pu avoir, je sais pas, une dérogation? Comment ça fonctionne, ça? [02:08:49] Speaker E: Au contraire, il a été renforcé. C'est la raison pour laquelle je ne me suis pas présentée sur le terrain pour faire du porte-à-porte. [02:08:55] Speaker A: Mais là, vous pouvez y aller. [02:08:56] Speaker E: Et que l'autre des neufs, je ne peux toujours pas y aller. Claude Villeneuve est allé. Claude Villeneuve va continuer d'être sur le terrain puis de militer pour cette modification-là. De mon côté, mon travail, c'est d'aller parler à chacun des citoyens. Ça, je peux le faire comme conseillère municipale. Je ne pourrai pas faire partie de manifestations. Cependant, les jeunes qui voudraient se faire entendre, l'académie, les copropriétaires qui souhaitent la modification, eux peuvent le faire. [02:09:23] Speaker A: Ils peuvent bien le faire. Très bon point. La vingtaine de personnes qui souhaitaient un changement, Parlez, n'ayez pas peur, affichez-vous, exprimez-vous publiquement. [02:09:35] Speaker E: Oui, moi je crois, puis je suis peut-être dans l'erreur, mais je suis pas mal convaincue que ces personnes-là qui sont allées voter, oui, c'est parce qu'elles disposaient de la bonne information. [02:09:46] Speaker A: OK, bien, on va suivre ça de très près. On va parler avec d'autres intervenants. C'est sûr que c'est une histoire qui est trop blanque. C'est une histoire qui, malheureusement, est une histoire d'égoïsme, à mon avis. Les gens, leur petit confort. Alors qu'au final, Dume Dumas est allé visiter, en fait, en fin de semaine, les terrains. Puis, pour beaucoup des bâtisses, bien, les bâtisses sont comme... sans dire une cuvette, sont comme plus, je veux dire, enfoncés. Il y a des gens au premier étage puis au deuxième étage qui n'entendent pas tant que ça le bruit. Donc, je comprends pas trop d'où ça vient le problème. C'est surtout les gens au dernier étage qui ont... qui ont le son des oreilles. Le son des oreilles, c'est terrible. [02:10:27] Speaker E: C'est pas mal avec ça que je me suis couché hier soir et levé ce matin, ce sentiment d'incompréhension, d'incrédulité sur ce qui se passe. Je vous dis, moi, je le prends, je retourne en table à dessin. [02:10:41] Speaker A: C'est ça. [02:10:42] Speaker E: J'ai pas envie de recommencer tout ça. Je vais cependant le faire parce que je veux qu'on arrive à une solution, je vous le répète, pas pour une saison, mais sur une solution qui va être pérenne dans le temps, puis qu'on n'aura pas besoin à chaque année de se reposer la question sur ce qu'on fait pour des jeunes qui veulent simplement pratiquer leur sport. [02:10:59] Speaker A: Merci beaucoup, Mme Dallaire. [02:11:00] Speaker E: Merci à vous. [02:11:02] Speaker A: Sam Ahmad en ligne. Bonjour, M. Ahmad. [02:11:04] Speaker D: Bon matin. [02:11:05] Speaker A: Qu'est-ce qu'on peut faire de votre côté? Qu'est-ce que vous pouvez faire et qu'est-ce que vous suggérez que le maire fasse? [02:11:11] Speaker D: En attendant de régler ce problème-là, il faut avoir une tolérance pour permettre aux jeunes de jouer puis avoir passé la situation. Parce que là, actuellement, le maire intervient maintenant, après deux ans de taponnage à gauche, à droite, puis là, il veut amener des idées puis amener des solutions. Qu'est-ce qu'il faisait il y a deux ans, il y a un an, il y a quatre mois? Il faisait rien. C'est le maire de tout le monde. C'est lui, c'est sa responsabilité. C'est triste parce que moi, mes enfants, mon garçon a joué au football, le joueur Rougéard, on a joué dans toutes les écoles. C'est important pour les jeunes de jouer, de profiter, d'avoir les parents autour d'eux. C'est triste où on est arrivés. Le maire, actuellement, il fait de hockey de rattrapage. Là, avec le règlement, la seule chose en attendant de changer le règlement, on doit avoir une tolérance de la Ville parce que là, c'est l'académie hors la loi, actuellement. Malheureusement, là. et on devrait tolérer puis accélérer le processus. [02:12:12] Speaker A: Qu'est-ce que ça dit sur notre société, ce qui est arrivé? [02:12:15] Speaker D: Ah, c'est triste. C'est honteux. C'est honteux. J'ai honte. Je suis allé dimanche rencontrer des parents. C'est honteux. Puis ça, là... Vous avez honte de. [02:12:24] Speaker A: Qui, puis vous avez honte de quoi? [02:12:26] Speaker D: Bien, j'ai honte... Il y a un chicane en citoyen. OK? Il y a un chicane en citoyen, premièrement. Le maire doit intervenir puis régler. C'est lui la première autorité à la Ville. Deuxièmement, évidemment, les 76 personnes qui ont voté contre le règlement, c'est un peu égoïste. Pour une douzaine, quinzaine de matchs par année, c'est égoïste un peu. Véronique a dit qu'ils n'ont pas compris. Non, ils ont compris. Ils ont compris ce qui est là. Ils ont présenté, même Véronique a présenté, cinq mois d'activité. Alors là, il y a eu des mouvements entre les conseils municipaux pour gagner de capital politique pendant que le maire regardait le spectacle comme d'habitude. Il aurait dû intervenir dès le début puis dire à tout le monde, ça, là, c'est inacceptable. On va aller dans ce sens-là. Il va y avoir des jeux. Il y a 15 matchs par année. Point final. C'est vraiment la signature de M. Marchand, là. Il intervient pas directement... [02:13:24] Speaker A: Dans les faits, il est pas intervenu avant. Je veux dire, factuellement, c'est correct, ce que vous avez dit, effectivement. Et lui arrive à la fin, prend le ballon, s'en va dans son début et veut célébrer. C'est sûr que c'est... Ça fait très opportuniste. Ceci étant dit, on vit dans le présent. On est le 8 septembre, 8 h 14. Appuyez-vous le maire si, au conseil, pas cette semaine, l'autre semaine, semaine prochaine, il va pour une dérogation. [02:13:54] Speaker D: Oui, OK. Oui, absolument. On n'a pas le choix. On n'a pas le choix là. Il faut trouver une solution temporaire. Rapidement. En fait, il y a minuit et quart. Là, on passe à appuyer. On enlève l'ajout politique entre les deux conseillers. Parce qu'oubliez pas, Véronique et François-Jeff Gosselin sont en chicane les deux pour voir qui gagne le capital politique. Elle est en conflit d'intérêts, l'autre est en conflit. Pendant ce temps-là, le grand-papa qui est assis là, le père de la ville, le maire de la ville, il regarde ça et il dit pas un mot. Il a dit à l'académie qu'il allait faire des porte-à-porte samedi ou dimanche, je sais pas quand. Il est jamais pointé là, il a jamais montré la face. Là, il veut faire... aller faire des porte-à-porte pour le référendum. Voyons donc! T'es une mère, toi, là! Décide avant. Le pouvoir est dans tes mains. Bien là, évidemment, c'est pas une sortie payable pour lui, là, parce qu'il a moins de sourire à faire puis moins de promenade à faire. C'est honteux, ce qu'on vit là, là. C'est honteux pour les jeunes. Je suis allé dimanche voir les jeunes jouer, les jeunes s'amuser. Les parents sont fiers. C'est avec les sports qu'on bâtit une bonne génération, une bonne relève. [02:15:03] Speaker A: Merci beaucoup, M. Hamad. [02:15:06] Speaker D: Merci. Merci, Donald. [02:15:07] Speaker A: Bye-bye. [02:15:08] Speaker D: Au revoir. [02:15:08] Speaker A: Dan Fleury, salut. [02:15:10] Speaker D: Salut, ça va bien? [02:15:11] Speaker A: Très bien. On fait quoi? [02:15:14] Speaker D: Écoute, ben... On attendait ça. On a travaillé fort pour gagner. On n'a pas réussi. [02:15:20] Speaker A: Es-tu surpris des résultats? Moi, je suis surpris. Je m'attendais à ce que ça soit plus serré. Honnêtement, toi? [02:15:28] Speaker D: Moi aussi, je m'attendais à ce que ça soit plus serré que ça. Je ne suis pas surpris de la défaite en tant que tel. On a été un petit peu préparé avec tout ce qui s'est fait. Nous, on est allé faire du porte-à-porte à plusieurs reprises, mais comparé aux citoyens qui sont sur place en tout temps, qui vivent là, les détracteurs avaient plus de pouvoirs d'influence que nous. Ils avaient accès à la liste aussi des courriels pour contacter tous les résidents quand ils le souhaitaient. fait que c'est certain qu'on y allait avec le vent d'en face. Mais on est restés confiants tout le long puis on souhaitait puis on espérait gagner puis on a passé la fin de semaine là-dessus encore. Puis on était vraiment très contents de la sortie du maire suite à la défaite. [02:16:08] Speaker B: Vraiment... [02:16:13] Speaker D: Sérieux, tu sais, tu parles de boomers, puis tu parles de gens plus âgés. Moi, je suis tombé en bas de ma chaise en voyant le jeune trentenaire à Radio-Canada qui a fait un témoignage disant que ça n'avait pas de bon sens quand il était sur sa galerie, qu'il ne pouvait pas profiter de sa galerie lorsqu'il avait un match, tu sais. Ça fait que je le sais pour toi. Je le sais pas, je suis des gens qui n'ont pas d'enfants, qui n'ont pas de fun, qui n'ont pas... Tu sais, moi, l'éducation sportive, c'est pour venir compléter l'éducation puis la formation des gens, puis on peut pas mettre ça de côté. Tu sais, c'est impossible pour moi, ça vient ensemble. [02:16:47] Speaker A: Là, on fait quoi, mettons? L'horaire, c'est quoi? Vous avez un match local le week-end prochain? [02:16:52] Speaker D: Oui, on a deux matchs, dans le fond, le 14, un match à 9 h puis un match à midi. [02:16:57] Speaker A: On fait quoi? Le plan B, c'est quoi? [02:16:59] Speaker D: Présentement, là, on réagit. On réagit à ce qui s'est passé hier. On a beaucoup de médias. On est... on est là pour faire faire attention. Oui, ça fait partie des... ça fait sûrement partie des solutions. Puis on n'a jamais voulu le faire. J'entendais Mme Dallaire le dire tantôt. Mais la raison, c'est parce qu'on ne veut pas écarver le monde. La raison, c'est qu'on veut pas écoeurer encore plus de monde parce que le son, si on le met sur l'école, les gens, c'est à peu près, là, mettons, 75 ou 100 mètres du terrain. Il va falloir se craquer le volume pour que les gens... [02:17:27] Speaker A: On craque! [02:17:28] Speaker D: On va y craquer jusqu'à Beauport. Ça fait que c'est ça qu'il faut. [02:17:32] Speaker A: Moi, je suis dans le nord de Charlebourg et je veux suivre le match. [02:17:35] Speaker B: Oui, moi aussi. Val-Bellart, j'aimerais bien ça. [02:17:40] Speaker D: Vous allez être capable de l'entendre. Si on a un vent de l'ouest vers l'est, là, vous allez être correct. [02:17:44] Speaker A: Parfait. Et quels sont les autres aménagements qui seront apportés le week-end prochain? Question de faire de la résistance. [02:17:54] Speaker D: Bien, pour le moment, là, on n'a pas décidé. Là, on s'enligne là-dessus, là. Vraiment, aujourd'hui, ça va être la journée de comment on enligne la fin de semaine prochaine... [02:18:01] Speaker A: Stratégie. [02:18:02] Speaker D: ... avant l'annonce, justement, de la motion du maire. est-ce que son annonce d'hier, elle serait suffisante pour dire que, t'sais, la semaine prochaine, on fait du bruit comme... Écoutez, il va y avoir une annonce demain avec le maire. Est-ce qu'on a vraiment besoin d'attendre... [02:18:16] Speaker A: Une annonce demain avec le maire? [02:18:18] Speaker D: Ça, j'ai pas sûr de... Pardon, excuse-moi. Quand ça va être... Quand on va être le samedi prochain, t'sais, il va y avoir une annonce le lundi qui va suivre. Est-ce que... Oui. ... juste le fait qu'il l'ait annoncé hier sur les réseaux sociaux, à grande pompe, est-ce que ça nécessite vraiment qu'on fasse des aménagements? T'sais, ça va faire partie des discussions qu'on va avoir aujourd'hui. [02:18:36] Speaker A: Allez-vous parler au maire? [02:18:38] Speaker D: Bien, assurément, je crois. Je pense qu'il faut qu'on soit un petit peu en ligne avec sa stratégie. [02:18:44] Speaker A: Nous, on n'était pas... C'est quoi vos attentes et vos attentes par rapport au maire de Québec? Il est quand même le boss. La dernière nouvelle, c'est le maire. Qu'on l'aime, qu'on l'aime pas, c'est lui qui est là. Il est dans la chaise. Vos attentes par rapport à lui, c'est quoi? Qu'est-ce que vous lui dites ce matin? [02:18:58] Speaker D: Bien, ce matin, premièrement, on va dire merci de sa sortie d'hier parce que je voudrais qu'on ait peut-être débiné pas mal notre gang, notre petite garde rapprochée. Fait qu'on va lui dire merci en premier. Après ça, on va voir c'est quoi la suite, parce qu'on le sait, puis Mme Dallaire l'a bien exprimé tantôt, il va y avoir encore une question de changement de règlement. Il va falloir que ça change. Est-ce que ça va passer par le nouveau ministre des Affaires municipales, parce que Mme Laforelle n'est plus là? Fait que, est-ce que ça va passer par là ou ça va passer par le règlement d'arrondissement qu'il va falloir refaire un processus Je le sais pas, mais ça va être un des deux. Il n'y a pas vraiment d'autre option que ça, au niveau juridique. [02:19:38] Speaker A: Les livers peuvent faire quoi, les auditeurs de Moray Live? On attend? On suit ça? On peut se reparler plus tard cette semaine pour connaître le plan de match pour samedi? [02:19:50] Speaker D: Oui, parce que t'sais, les gens se sentent impuissants, puis d'une certaine façon, nous autres aussi. Nous autres aussi, on s'est sentis impuissants parce qu'on a tellement investi de temps et d'efforts là-dedans pour avoir le résultat qu'on a eu hier. Ça fesse, honnêtement. On s'est dit qu'on avait l'impression qu'on avait réussi à convaincre des gens, et des gens qui nous ont dit oui probablement sont allés voter non. Les livers, les gens de Moray, premièrement, on a un soutien incroyable de votre part, puis ça a l'air de rien, mais le fait que la population soit derrière nous autant, ça fait une différence. On le sait, les politiciens interviennent, c'est ça leur rôle à quelque part, ils représentent les gens. Le fait que tout le monde soit de notre côté, puis là je dis tout le monde, c'est un 99,9% qui vont être avec notre dos aussi. De continuer à nous supporter, de continuer à écrire des messages, de continuer à répandre la bonne nouvelle qu'il faut que les jeunes puissent s'exprimer comme il se doit. comme le football le demande. [02:20:50] Speaker A: Merci beaucoup, Dan. Ça fait plaisir. Parfait. Très bon. Merci. Bye. Donc, on se fait un caucus, on se réunit, puis on punch, on y va. Ça, Marcel. Marcel Bouchard, salut. [02:21:00] Speaker D: Salut. Bon matin. [02:21:02] Speaker A: Qu'est-ce qu'on a vécu hier? C'est quoi, ce moment-là? Ça dit quoi sur notre société, Marcel? [02:21:07] Speaker D: Pour moi, d'abord, c'est pas une question d'âge. C'est une question d'état d'âme, dans un premier temps. Puis dans un deuxième temps, les gens oublient, tu sais, que demander à des oiseaux de ne pas chanter, c'est l'équivalent de les tuer. Ils ne pourront pas s'identifier, ils ne pourront pas se repérer, ils ne pourront pas vivre ensemble, ils ne pourront pas évoluer ensemble, ils ne pourront pas grandir ensemble. Les gens oublient ça. Une société, ça se fait ensemble. À partir du moment où ce qui. [02:21:34] Speaker E: Est le plus important est que si. [02:21:36] Speaker D: Ce que tu veux gérer, tu gères avec des cas d'exception, parce qu'à mon avis, c'est des cas d'exception, puis tu veux réglementer tout le monde pour des cas d'exception. Ah, c'est un exception, là. Garde-le avec les exceptions, puis t'en ai pas les autres avec ça, là. Laissez le monde évoluer. Faut que ça bouge. Pourquoi... Pardon, ça me fait de la peine au bout. Pourquoi empêcher Qu'est-ce que ça vient faire, les micros? Puis pourquoi ça crie pendant un match de football? Puis pourquoi ça demande au monde de faire du bruit? Ça s'appelle l'effet d'entraînement. Ce matin, quand je suis parti, parce que je m'en dirige en direction du Club Avantage de Québec, là, pour aller m'entraîner, j'aurais aimé ça, moi, savoir quelqu'un, quand je me suis levé, me disait Marcel, go! Envoye un matin, Marcel, c'est le training. Tu y vas, tu donnes un coup, tu donnes un coup de pied, puis il faut que tu bouges, puis c'est important. J'aurais aimé ça que quelqu'un me dise ça, moi, ce matin. Bien, quand les jeunes sont sur le terrain, puis le micro est là, C'est l'effet d'entraînement qui embarque. Puis l'effet d'entraînement, ça fait en sorte que tu te donnes, que tu te dépasses. Et ça, c'est vrai dans ton travail, c'est vrai dans ton couple, c'est vrai dans ta famille, c'est vrai partout. Et les événements sportifs, ça sert à ça, même à ceux qui sont passifs et qui ne bougent pas beaucoup, parce que tout le monde n'est pas versé dans le mouvement, ça sert à motiver ces gens-là. à se sentir partie prenante d'un environnement, d'une société, d'un regroupement. Et c'est important de se sentir comme ça. Parce que regarde toute la gang que t'appelles les livers, les gens qui écoutent Chouette, les gens qui vont là-dedans... [02:23:09] Speaker A: On peut pas être d'accord... Et t'en fais partie, mon cher Marcel. [02:23:11] Speaker D: Pardon? [02:23:11] Speaker A: Et t'en fais partie, mon cher Marcel. [02:23:13] Speaker D: Oui, exact, exact. On peut pas être d'accord avec tout ce que tu dis, Dominique. Hein? [02:23:17] Speaker A: On est d'accord avec ça. [02:23:18] Speaker D: J'espère. Ça, on peut être d'accord avec ça. [02:23:20] Speaker A: Mais... Même moi, je suis pas d'accord une fois avec moi-même. Mais ça, c'est un autre dossier. [02:23:25] Speaker D: Bien oui, c'est un autre point de dire que, règle générale, on s'identifie à un mouvement qui veut avancer, un mouvement qui veut faire évoluer la société. à des gens qui sont dynamiques. Ces enfants-là, ces jeunes-là, crier, se tirailler, se chicaner, aller jusqu'à résoudre les conflits, ça fait partie de leur évolution, ça fait partie de leur vie. [02:23:45] Speaker E: Et quand tu fais du sport, du. [02:23:48] Speaker D: Sport d'équipe, c'est un pan de mur dans l'éducation parce que t'apprends à gérer tes conflits, t'apprends à trouver ta place dans le groupe, t'apprends à connaître ton utilité dans l'avancement de ton équipe. Alors, il faut pas mettre ça à terre. Il faut aussi laisser ces gens-là avoir un effet d'entraînement. Je vais donner un exemple. Je fais des conférences, puis je fais de la musique dans des résidences de personnes âgées, des personnes retraitées aussi, que je pourrais faire. [02:24:14] Speaker A: T'es bon au piano, Marcel, t'es bon. [02:24:17] Speaker D: Ce qu'on fait quand on fait ça, on s'entraîne. on fait un effet d'entraînement. Je leur parle une demi-heure au début pour leur expliquer que c'est important de les bouger, puis ça vient faire quoi. Pourquoi je le fais ça? Si on rentre déjà à 80, il y en a qui ont 75, il y en a qui ont 90. Parce que quand on parle de ça tout le monde ensemble, on se tape dans les mains puis on jase, ça nous donne le goût, ça nous entraîne. C'est l'effet d'entraînement. Bien, il faut laisser ça dans ces parties-là. Il y en a qui comprennent pas ça. Qu'est-ce que tu veux qu'on fasse? [02:24:47] Speaker A: J'aimerais ça que t'ailles faire du porte-à-porte. Es-tu disponible? Faut se parler, là. Faut faire un caucus. Il me semble que j'aimerais ça avoir un Marcel qui va faire du porte-à-porte, qui va craquer le monde. T'as un grand pouvoir de conviction, Marcel, tu le sais. [02:25:01] Speaker D: Mais c'est ce qu'on fait avec toi, Dominique, ce matin, là. C'est ça mon but d'intervention. Moi, matin, mon but, c'est ça, là. C'est de dire aux gens, écoutez, l'effet d'entraînement, c'est ça qu'on vit avec beaucoup de gens à choix. C'est ça qu'on vit avec beaucoup d'événements sportifs. On voit le tennis de Saint-Cy, c'est un sport individuel. Le monde, ils sont en avant de la télé, ils sont à quatre pattes, ils sont bons, ils ne sont pas... C'est un effet... Tu sais que ça donne le goût? Tu revois des vieux dans le journal le lendemain avec la raquette, un groupe de vieux, t'es là, on ne parle pas de tennis. Ça leur a donné le goût. [02:25:28] Speaker B: Mais Marcel, le monde comprenne ça, là. Tout ça, ils l'ont compris. C'est juste qu'ils placent leur confort à eux en avant de ça. C'est dans la gestion des priorités que... [02:25:39] Speaker D: Alors moi, je pense que... Excuse, mais t'as raison, t'as raison. De toute façon, je dis pas que tu peux pas avoir raison, mais moi, je crois que c'est un état d'ombre. C'est du monde qui ne vive pas cet effet d'entraînement-là. Ils ont pas d'enfants, ils se sentent pas impliqués là-dedans. Puis pour eux autres, t'sais que c'est pas capable de te parler à ta galerie pendant deux heures, là. Ça arrive combien de fois par année? Ça n'arrive pas 12 mois par année, puis ça arrive à une certaine période. À un moment donné, tu te construis le projet d'une école, attends-toi que ça crie, là. Le projet d'un terrain de football, attends-toi que ça joue au football puis qu'il y ait du monde, qu'il y ait de l'esprit d'équipe puis que ça veuille brasser. Sinon, on va tant rester à Saint-Étienne de meumeur! [02:26:14] Speaker A: L'été, tu entends des motos. L'hiver, moi, je reste à côté d'une piste de skidoo. Je suis allé me bâtir là, pour vrai. J'entends des skidoo. Oui, mais c'est ça, la vie au Québec. [02:26:24] Speaker D: Dominique, ils font plus de bruit que le ton 12 l'été que t'entends dans les matchs de football. [02:26:29] Speaker A: Ça, c'est vrai, en passant. [02:26:30] Speaker D: Bon, bien voyons donc, on comprend qu'il faut que tu le coupes le gazon. [02:26:34] Speaker A: Voilà. [02:26:34] Speaker D: C'est fini, c'est fini, là. Bon, mais c'est la même chose pour le match de hockey, puis la match de football, puis la match de badminton, puis la match de volleyball, puis toutes les matchs. Tu veux avoir du monde. T'as des parents, il y a-tu quoi de plus plaisant que de voir des jeunes qui, entre eux autres, se challengent, bougent, plutôt que de voir des gangs de rue dans un journal le lendemain matin? [02:26:53] Speaker A: C'est l'avenir du Québec. C'est l'avenir. [02:26:55] Speaker D: Bien c'est ça, c'est eux autres notre avenir. Puis même si on vit de plus en plus d'immigration, ces jeunes-là s'intègrent à l'intérieur de ces équipes-là, se font des amis là-dedans, ils vont véhiculer une culture québécoise dynamique, intéressante, émergente et qu'il ne faut pas éteindre, nom de Dieu. [02:27:14] Speaker A: Merci, Marcel. Tu vois-tu, tu t'es auto-crinqué pour le Club Avantage. Tu vas pas bencher. [02:27:21] Speaker D: Merci, tout le monde. Là, j'ai pas resté actif, puis... Tu sais, il y a des places qu'il n'y en a pas de bruit, ça s'appelle les cimetières. [02:27:28] Speaker A: Voilà. Tu vois-tu, là, Dan et moi, on va t'encourager, là. Bench, bench, bench, bench, bench. [02:27:34] Speaker B: Bench, bench, bench. [02:27:35] Speaker A: Pousse. [02:27:36] Speaker D: Pousse la fonte. [02:27:38] Speaker A: Bye-bye. Très bon. Bonne idée d'un liveur avant d'aller à la pause. Avant d'aller à... soit à François Lambert ou à La Légion, on verra. Je sais que François veut parler de ça. De cette histoire-là qui fait le tour du Québec. On fait-y... un petit tailgate fun de Radio X à l'Académie Saint-Louis. J'aimerais ça. J'aimerais bien ça. On est-tu capables? Modèle réduit. Comme au Roger-Hart, mais avec des hot dogs. Keep it simple. Des hot dogs sur la plaque. Avec l'attente du Rouge et Or, si on le fait, samedi prochain, j'y vais. [02:28:18] Speaker B: Je trouve que c'est une bonne idée si l'Académie Saint-Louis trouve que c'est une bonne idée. [02:28:21] Speaker A: Parfait. On va parler à Dan. Dom a le bon contact avec Dan. Je pense qu'ils vont être d'accord. [02:28:28] Speaker B: Il faut voir aussi avec l'horaire du Rouge et Or. [02:28:29] Speaker A: C'est dans deux semaines, Dom dit que c'est dans deux semaines. Je pensais que c'était le week-end prochain. Dan me disait le week-end prochain. Il a regardé le calendrier. OK. Je veux le tailgate à l'Académie Saint-Louis, si c'est possible. Moi, je ne suis pas un bon organisateur, OK? Mais j'ai des idées. Moi, je suis un gars d'idées. Ben t'sais, j'peux pas prendre l'attente d'arriver pis tout ça. Y'a du monde ici pour ça, là, qui sont bons là-dedans. On est une équipe. On travaille en équipe, nous autres, à Radio X. Ben je lance l'idée. Faisons cheminer ça, gang. Ça prend Hotel Gate à l'Académie Saint-Louis. Est-ce que vous êtes là, les livers? Un p'tit hot dog à l'Académie Saint-Louis avec les kids. Ça me serait le fun, hein? Avec une p'tite bière on the side, Dan. [02:29:10] Speaker B: Ah oui, c'est sûr. [02:29:11] Speaker A: Pourquoi pas? [02:29:13] Speaker B: Je suis pas sûr de l'alcool, là, mais... C'est différent de ça. C'est resté en école secondaire. [02:29:16] Speaker A: Oui, non, mais pour les parents, les. [02:29:18] Speaker B: Parents... Oui, je sais, mais ça reste en école secondaire. [02:29:20] Speaker A: Un liqueur. Un petit Pepsi. [02:29:22] Speaker B: Les parents que vous voyez avec une tasse à café, qui regardent le football dans les écoles secondaires, c'est souvent autre chose que du café qu'il y a dedans, d'ailleurs. [02:29:30] Speaker A: 8H29, on fait la pause et on revient dans Morelle Live. Morelle! [02:29:35] Speaker E: Wow! Wow! Restez là. On revient dans pas longtemps. [02:29:38] Speaker C: Live. [02:29:38] Speaker B: Radio X. Ah voilà, voilà! Ça roule chaud, là! Ça roule! [02:29:47] Speaker A: Ça roule! [02:30:01] Speaker E: Participez au concours des Grands Prix de la CNESST, dans la catégorie Innovation, qui reconnaît les projets tangibles conçus et mis en œuvre avec succès pour prévenir les accidents du travail et les maladies professionnelles, ou encore dans la catégorie Promotion de la santé, qui reconnaît les initiatives favorisant la santé physique et psychologique des travailleuses et travailleurs. Rendez-vous au grandpricenesst.com pour vous inscrire. Un message de la CNESST. [02:30:29] Speaker A: Transformez votre journée en jour de casino. Jouez au jackpot, jeux de table en direct et plus. Découvrez les machines à sous les plus populaires comme Book of Dead et Immortal Romance. Ou jouez à la roulette, au blackjack et bien d'autres à Casino Days. Ouvert à tous les joueurs 18 ans et plus, ça vous permet de vous amuser gratuitement. [02:30:42] Speaker B: Veuillez jouer de manière responsable. [02:30:44] Speaker A: Pas encore profiter de nos prix employés? Bonne nouvelle! Ça se poursuit tout le mois de septembre chez Lévis Ford. Épargnez jusqu'à 19 000 $ sur nos Mustang Mackie 2025. Les meilleures offres de l'année vous attendent dans une nouvelle concession chez Lévis Ford. L'effort des Lévis! Salut, c'est moi! [02:31:02] Speaker D: Votre sommeil? [02:31:03] Speaker A: Alors, selon le dernier rapport de Dormez-vous que j'ai ici sous les yeux, vous seriez plusieurs à me négliger. Quand vous regardez huit épisodes de L'amour est dans les tables, ou que vous jouez toute la nuit à Zombie Maximum Apocalypse Extrême Édition, ça m'affecte. Et dormir, vous avez du talent là-dedans. En plus, vous êtes capable de faire ça les yeux fermés. Laissez aller. [02:31:23] Speaker E: Pendant l'événement, votre sommeil mérite mieux. Nous payons les taxes sur tout. Pour un temps limité, seulement chez Dormez-vous. Certaines conditions s'appliquent. [02:31:29] Speaker A: Salut, c'est Carbo! [02:31:30] Speaker B: C'est le moment de faire traiter ta. [02:31:31] Speaker C: Voiture à l'Antiroi Crown. Une entreprise vient de chez nous et pour un temps limité, tu épargnes 20. [02:31:36] Speaker A: $ sur ton traitement à l'Antiroi canadien. [02:31:38] Speaker C: Numéro 1 au pays. Rendez-vous rapide! [02:31:41] Speaker A: Trouve le centre le plus proche au crown.com. Chez Aquavila, on sait qu'une belle salle de bain, c'est bien plus qu'un luxe. C'est du confort pour toute la famille. Bain autoportant, vanité, robinet de douche, plancher chauffant, céramique et vénile, on a tout ce qu'il vous faut pour rénover sans négliger la qualité et ça, au meilleur prix du marché. Passez voir nos produits et vous inspirez à Québec, à notre succursale du carrefour Neuchâtel et à Lévis sur Wilfrid Carrier. On est là pour vous, comme une bonne entreprise de chez nous. Pour une maison qui vous ressemble, Aquavilla. Votre allié en plomberie et plancher, aussi admirable qu'abordable. [02:32:14] Speaker B: As-tu des petites patates? [02:32:16] Speaker A: Ça a passé vite, vendredi, et on n'en a pas beaucoup parlé, mais il y a quand même des recommandations qui sont issues d'un rapport concernant l'aide aux médias, l'avenir des plateformes culturelles du Québec. Et parmi ces suggestions-là, bien, il y en a qui vont faire sourcier, c'est sûr, investir davantage dans Télé-Québec. Moi, je pensais qu'un jour, on était pour privatiser Télé-Québec. Non, il faut faire passer le budget de 95 millions à 300 millions au Télé-Québec. Ça va, les marionnettes? Également, il y a plusieurs choses dans ce rapport-là, mais ce que je retiens également, c'est qu'il faut donner un crédit d'impôt. Aux gens des radios, les plateformes électroniques, vous le savez, il y a des subventions pour des crédits d'impôt à la masse salariale pour les journalistes dans l'écrit, mais il n'y en a pas pour, entre autres, la radio. Non merci, on ne veut pas de crédit d'impôt pour ça, mais il y a un rapport commandé par la CAQ qui suggère ça. Une entreprise immobilière de Québec qui est condamnée à verser 7000 $ à une femme À qui on a refusé un logement parce qu'elle avait un chien. D'assistance, c'est le tribunal des droits de la personne qui a tranché François Legault et sa garde rapprochée. Se penche sur le remaniement, c'est dans 48 heures finalement, c'est confirmé, c'est mercredi. Et on aurait visé et André Lamontagne et Suzanne Roy. Deux obscures ménistes, là, on va le dire, qui seront écartées, si vraiment c'est ça. Le nouveau jeu de cartes, de logos, d'écarter la montagne et roi, bien, c'est pas très très impressionnant. Ça nous concerne pas, mais c'est en France. Renversement de gouvernement, dissolution de la Chambre, c'est ce soir. Il y a un vote de confiance. Le premier ministre s'est soumis à un vote de confiance. Et l'immense majorité des députés de l'Assemblée nationale, là-bas, vont renverser le gouvernement, dont des ministres qui seront convoqués à Matignon. Matignon, c'est le siège du gouvernement, si vous voulez, le siège des ministres, à 20 h 30 ce soir. Il y a par la suite Macron qui va parler. Et on va connaître, ce qui est intéressant, c'est qu'on va connaître en détail les votes des députés. Est-ce qu'ils ont voté pour un renversement de gouvernement ou pas? Donc ce sera le troisième gouvernement en un an en France. Quand même particulier. Et finalement, les paroles, les paroles, les paroles. Donald Trump qui a dit hier, c'est un dernier avertissement au Hamas pour un retour des otages israéliens. Il me semble qu'il avait dit ça une couple de fois dans les derniers mois. À tantôt. [02:34:54] Speaker E: Repartez en Toyota avec Charlebourg Toyota. Découvrez le Tacoma 4x4 TRD Sport 2025. Un camion puissant parfait pour toutes vos aventures. Disponible en inventaire. Chez Charlebourg Toyota, on ne paye pas juste pour vendre une voiture. [02:35:08] Speaker A: On ne jette pas de l'huile sur le feu. [02:35:10] Speaker B: On ne jette pas le bébé avec l'eau du bain. Surtout, on ne jette pas son vieux frigo. [02:35:14] Speaker A: On le recycle. [02:35:16] Speaker B: Jettez un coup d'œil sur gorecycle.com pour découvrir toutes nos solutions. [02:35:20] Speaker A: À GO, recycle ton frigo. [02:35:24] Speaker C: La circulation de Québec pour faciliter la fluidité. [02:35:31] Speaker B: Je vais vous le dire comme ça m'est envoyé. Troc de charognes renversés vers l'ouest. vers le chemin des îles. Ça pue en temps. Voilà, ça ressemble pas mal à ça. En fait, il y a une perte de chargement sur la baie ouest. Ça, c'est la façon au ministère du Transport de le dire. Évidemment que ça vient causer des ennuis, là, si vous allez travailler chez Desjardins. Aujourd'hui, appelez votre boss. Ça, ça pourrait vous aider tard-tard, parce que c'est Jamais-Soudalon, un peu avant Tagnetta. Et ça reste comme ça sur un bon moment. On va parler de l'autre direction, maintenant. C'est l'accès au pont qui est problématique. On a même une fermeture sur la 20 direction Montréal. Vraiment, sur la Rive-Sud, ce matin, je vous dirais que c'est le dawa complet. Que vous essayez de rentrer sous le pont ou non, dans toutes les directions, c'est compliqué. Compliqué également sur la Rive-Nord parce qu'il y a eu un accrochage à la hauteur du boulevard Amel sur la 40 direction Est, direction Centreville. Donc, tous les gens qui trouvaient que c'est une bonne idée de déménager à Donnacona puis faire une demi-heure de route venir travailler à Québec, bien, ils sont pognés dans le trafic ce matin. Je vous dirais également que Capitale, dans les deux directions, c'est assez compliqué. Compliqué également dans le secteur des travaux pour les gens qui sont sur leur ancienne direction sud. Et l'accès au centre-ville, c'est lourd également. Peu importe d'où vous arrivez, vous nous contactez au 88 70 9098 jusqu'au 28 septembre chez Premières-Moissons. Tous les pains carrés sont à deux pour 10 $. Profitez-en pour découvrir leur grande variété de pains artisanaux offerts en boulangerie seulement. [02:36:51] Speaker C: Astral Déménagement, c'est l'expertise d'une entreprise familiale. [02:36:58] Speaker A: Au service de votre tranquillité. Emballage, déballage, entreposage, tout est pris en charge. [02:37:04] Speaker C: Pour un déménagement sans stress, faites confiance aux experts. [02:37:07] Speaker A: Astral Déménagement. Plus qu'une entreprise, une famille qui bouge. [02:37:11] Speaker E: On le sait qu'avoir des problèmes de crédit, c'est pas l'idéal quand t'as besoin d'un financement auto. Mais savais-tu que chez Groupe Sayonto Crédit, les problèmes de crédit, c'est notre spécialité? Pour ta nouvelle auto, adresse-toi à des pros. Parce que nous, notre force, c'est le crédit. Il paraît que pour retenir un mot, il faut le répéter au moins cinq fois. Groupe Sayonto Crédit. Groupe Sayonto Crédit. Groupe Sayonto Crédit. [02:37:31] Speaker A: Groupe Sayonto Crédit. [02:37:32] Speaker E: Groupe Sayonto Crédit. L'avez-vous retenu? Pour ta nouvelle auto, adresse-toi à des pros. Parce que nous, notre force, c'est le crédit. Groupesayantocrédit.com. [02:37:40] Speaker A: C'est le meilleur temps de l'année pour réserver vos prix de 2025 chez Clôture Terrien. Sécurisez votre terrain, clôturez votre piscine ou offrez-vous enfin plus d'intimité avec une clôture à votre mesure. Clôture Terrien, l'art de bien s'entourer. Rue Armand Viau, clôtureterrien.com. Radio X à Québec. C'est Radio X. [02:38:08] Speaker E: Radio X. [02:38:12] Speaker A: C'est vous. [02:38:12] Speaker E: C'est drôle. [02:38:13] Speaker A: Votre propre opinion. [02:38:15] Speaker D: Dominique Moret. Moret. [02:38:17] Speaker A: Moret. [02:38:17] Speaker D: Moret. [02:38:18] Speaker B: Moret. [02:38:18] Speaker A: Moret. [02:38:20] Speaker D: Moret. [02:38:21] Speaker E: Moret. Moret. [02:38:22] Speaker D: Moret. [02:38:23] Speaker C: Moret. [02:38:23] Speaker A: Moret. [02:38:24] Speaker D: Moret. [02:38:24] Speaker A: Moret. [02:38:25] Speaker D: Moret. Moret. Moret. Moret. Moret. [02:38:27] Speaker E: Moret. [02:38:27] Speaker D: Moret. [02:38:27] Speaker A: Moret. Moret. [02:38:28] Speaker E: Moret. Moret. Moret. [02:38:32] Speaker A: Moret. [02:38:32] Speaker D: Moret. [02:38:33] Speaker A: Moret. [02:38:33] Speaker D: Moret. [02:38:33] Speaker A: Moret. [02:38:34] Speaker D: Moret. [02:38:34] Speaker B: Moret Radio X. Mesdames, Messieurs, voici le café de François Lambert. [02:38:43] Speaker D: Le café de François Lambert. [02:38:47] Speaker A: François, salut François, comment ça va? [02:38:50] Speaker D: Ça va, on dirait que je vieillis. J'ai commencé il y a quelques années des chroniques avec toi avec une grosse musique rock, puis là, c'est rendu smooth. [02:38:56] Speaker A: Ça se promène. Ça se peut que ça soit du Deftone la semaine prochaine. [02:39:01] Speaker D: J'ai bien aimé ça. [02:39:04] Speaker A: François, t'es à l'autre bout de la 20 ou de la 40, de ton œil de Montréalais, entre guillemets. Comment tu perçois toute cette histoire-là? de la guerre au plaisir. Moi, je vais l'appeler comme ça. Comment tu perçois ça? Qu'est-ce qui s'est exprimé hier? Ces personnes-là ont exprimé quoi? Qu'est-ce que ça dit sur notre société? [02:39:26] Speaker D: Écoute, on s'est pas parlé, donc je ne sais même pas ta position par rapport à ça. Donc je vais te donner la mienne. [02:39:31] Speaker A: La mienne n'est pas importante, je l'ai exprimée, mais c'est toi. Je veux t'entendre là-dessus. [02:39:34] Speaker D: C'est ça, mais t'sais, pour que les gens comprennent qu'on n'est pas arrangé ou quoi. [02:39:38] Speaker A: C'est pas pour contaminer, non, non. Je parle pas chroniqueur. [02:39:40] Speaker D: C'est pas pour contaminer. Écoute, moi honnêtement, là, j'écoute ça, je me dis OK, il y a quelqu'un à un moment donné qui a accepté ce règlement-là de pas de bruit, et ça reste comme ça. Ça n'a pas de bon sens que des jeunes ne peuvent pas pratiquer un sport, qu'il n'y a pas d'animateur maison, que 28 personnes dominent totalement un quartier. Ces référendums-là, il va falloir revoir la Ville. Moi, ce que ça me dit, le Dominique, là... Perso, je trouve que ça n'a aucun bon sens. Je pense que les jeunes, à un moment donné, ils ne sont pas à 4 h du matin en train de faire du bruit. Ils jouent le jour. Laissons les gens jouer le jour. C'est des jeunes de toute façon. On doit crier, on doit s'amuser et on doit l'avoir aîné. Ici, il faut qu'ils se foutent tous sur le terrain presque. À un moment donné, ça n'a aucun bon sens. [02:40:25] Speaker A: Mais ça dit quoi sur notre société? [02:40:29] Speaker D: C'est-à-dire que les petits groupes dominent. On est une société de gauche où tout le monde a le droit à son opinion puis qu'un référendum quand même que trois personnes qui vont voter peuvent changer un règlement d'une ville. Il y a des places. À Verdun, on a eu le même problème à un moment donné. Il y a un petit building qui ne veut pas être construit. À Pierrefort, Montréal, il y a une autre place. Ces référendums-là, pour donner la... Tu sais, je ne suis pas contre. Je ne suis pas en train de... de dire aux gens qu'ils n'ont pas le droit d'avoir leur opinion. Mais tu peux pas avoir 28 personnes qui décident pour une école. Tu peux pas avoir 28 personnes qui décident pour une société. Il faut que ce soit une grande majorité, si c'est le cas. Puis il reste, là, que ça aurait jamais dû passer un règlement où on demande de pas faire de bruit sur un terrain de football. Bon, en partant, là, il y aurait quelqu'un... Moi, ce que ça me dit, là, ça me dit qu'on a une ministre des Affaires, peut-être plus là, on a une nouvelle ministre des Affaires municipales, ça sert à rien. [02:41:21] Speaker A: Ça sert à quoi? [02:41:23] Speaker D: Ça sert à quoi? Ça fait plusieurs mois que je me pose comme question. Ça sert à quoi à part avoir un titre honorifique? un ministre d'affaires municipale, ça sert à quoi? [02:41:35] Speaker A: Bien, je me suis dit la même maudite affaire, parce que là, elle est partie se présenter, puis elle va se faire aller, mairesse de Saguenay. Fait qu'ils ont donné sa job comme si c'était un restant à la madame qui a des beaux souliers, là, Duranceau. Ils ont donné ça. Regarde, elle fait ça sur le side. T'sais, honnêtement, là, si c'était vraiment un gros ministère... il aurait pris une plante verte ou quelqu'un qui a absolument rien à faire, puis il aurait donné. Ils ont-tu fait donc ça, là, regarde? Amuse-toi, là. S'il y a des villes qui appellent, tu répondras. Ça faisait ça, pareil, hein? [02:42:05] Speaker D: Bien non, t'sais, la politique, pour moi, le rêve est terminé. OK? Je n'irai jamais en politique. Mais quand je regarde ça, là, je me dis, quand j'étais ministre des Affaires municipales, je mettrais mon pied à terre, je dirais, regarde, ce règlement-là, il est désuet, puis on va le laisser tomber. La même chose avec le ministre de l'Agriculture quand j'entends des histoires avec le CPTAQ basé sur 1976 sur l'aménagement du territoire agricole. Qu'est-ce qui fait notre ministre de l'Agriculture à part écouter l'UPA? Qu'est-ce qu'ils font les ministres d'affaires municipales alors que... Je ne sais pas ce que nos ministres font. On le sait que Fitzgibbon dépensait beaucoup, ça c'était visible, mais les autres? Comment ça se fait qu'un règlement comme ça a été possible de mettre ça dans une ville pour empêcher les gens Ça prend de la coordination, ça prend quelqu'un qui met son pied à terre, mais on n'a pas rien. [02:42:55] Speaker A: Et c'est pour ça que ça craque et dégringole. Il n'y a personne qui met son pied à terre. Là, le maire de Québec arrive en fin de match. Ça, on a commenté là-dessus. Mais effectivement, ça aurait dû être à la ministre d'intervenir. Ça, on l'a dit, on l'a répété. Mais il n'y a personne, il n'y a plus personne D'abord, ils ont toutes peur de parler. Si je dis ça, on va me faire ramasser par la presse, puis Isabelle Achère va écrire sur moi, puis l'autre va passer pour un boulé. Mais là, on n'aime pas les cassettes, mais on n'aime pas non plus quelqu'un qui parle vrai. On aime quoi, là? [02:43:27] Speaker D: On aime... C'est dur à dire, hein? [02:43:31] Speaker A: C'est dur à dire en maudit. [02:43:32] Speaker D: C'est dur à dire parce que si quelqu'un parle trop vrai, on va dire que c'est un boulé puis c'est un dictateur. [02:43:36] Speaker A: Oui. [02:43:37] Speaker D: S'il fait rien, on va dire que c'est un mout. [02:43:40] Speaker A: Oui. [02:43:40] Speaker D: Ils vont lancer une consultation, ça va nous coûter de l'argent. On fonctionne par consultation. Imaginez pas une entreprise qu'on ferait juste fonctionner par consultation. Ah, il faudrait automatiser. OK, parfait, on va lancer une consultation. C'est assez, là. C'est une école. Elle est ouverte le jour. Quand t'es acheté ton terrain, ta maison, l'école était là. Si l'école était construite après puis ça faisait pas ton affaire parce qu'on a besoin des écoles dans des quartiers, tu déménages, t'en vas habiter une autre place, tu vas avoir la paix. La paix, là, on l'a pas bien, bien. Moi-même, en campagne, là, j'ai eu un problème l'autre jour avec un réfrigérateur. J'ai loué un camion pour réfrigérer. Bien, il a fonctionné 24 heures par jour pendant une semaine. Le voisin, là, il était pas tellement content d'entendre. Moi, en campagne, là, il est venu me voir, il m'a dit, tu vas sûr réparer ton container, Monday. T'as pas la paix nulle part. Souvent, la paix, t'en vas dans le bois, pas de téléphone, tu l'as. Et ça, j'en avais un chez nous, un Monday, je sais pas ce que ce gars-là est devenu, là. Mais des années 85 à peu près, il y a un gars qui est débarqué dans le bois chez nous, il a passé l'été là. Lui, il voulait avoir la paix. [02:44:48] Speaker A: Bon, mais c'est ça, on évite les gens qui veulent avoir la paix à faire comme ça. Dans le fond, tu sais, je regarde la situation à Montréal, regarde, prends l'exemple. Du manque de leadership. Tu as entendu les deux candidats principaux à la mairie de Montréal qui disaient « Ah non, nous autres, on se mêlera pas de la prière de rue. On fera pas ça, on fera pas ça. » Le sondage ce matin, les Montréalais veulent du changement, mais ils savent pas pour qui voter. On est donc ben une gang de perdus, sacrifice, au Québec. [02:45:14] Speaker D: On est vraiment perdus parce qu'une des candidates, elle disait qu'elle était pour gérer la ville. et qui était pour mettre les cols bleus, de s'assurer qu'on dépense comme il faut. Les cols bleus de la Ville de Montréal s'en vont au palais des congrès, manifestent en fin de semaine. Et là, ils voient, ils ont besoin d'argent supplémentaire. Les cols bleus de la Ville de Montréal, gagnant de 50 000 à 95 000, veulent une augmentation de 20 %, puis c'est déjà les salariés les plus payés de toutes les municipalités. Mais là, ils ont besoin des votes. Mais là, les cols bleus de la Ville de Montréal habitent pas Montréal. Tu en es 15 % qui habitent en dehors de la Ville de Montréal, donc ils n'ont pas le droit de vote. Mais c'est le même choix. [02:45:53] Speaker A: Ah, c'est bon, ça! [02:45:55] Speaker D: Bien non, mais tu sais, tu peux au chalet, tu n'habites pas la Ville. [02:45:58] Speaker A: Mais a-t-il un candidat qui va mettre son pied à terre et qui va envoyer promener un syndicat comme le syndicat d'École Bleue de Montréal? qui fait du trouble année après année. À chaque fois qu'on a des problèmes à Montréal, c'est toujours les maudits cols bleus avec des grèves. Ça fait... Dans le temps, Gilles Proulx, Gilles était numéro un comme animateur dans le temps. Tu t'en souviens de ça? [02:46:22] Speaker D: L'affaire, Dominic, c'est que personne ne va se faire élire. Mettons, moi, je le dis, si je me présentais à la mairie de Montréal, que j'ai déjà voulu, L'École Bleue, là, je mets mon pied à terre, OK? Ça me prend la garde du corps. J'annonce tout de suite que j'ai besoin de la garde du corps, soit payée par moi ou par la Ville, parce qu'on fait un casse-à-deux-jambes, là. Deuxième étape, je mets les sociétés de transport gratuites. Il va falloir arrêter de... Même à Québec, partout, il faut que les sociétés de transport sont gratuites. 50 % des dépenses... [02:46:51] Speaker A: C'est ce qui va payer ça, François, par contre, là, c'est pas le Saint-Étienne. [02:46:54] Speaker D: Ah bien, il est devenu que c'est facile à faire, là. 50 % des dépenses, non plus. [02:46:58] Speaker A: Mais c'est-tu coup d'un syndicat? Là, on peut avoir une grande discussion. Il y a des chauffeurs qui sont bien payés. Il y a des gars à l'entretien qui sont bien payés aussi. [02:47:06] Speaker D: 150 000, un chauffeur à Ville de Montréal. [02:47:09] Speaker A: C'est ça. Tu peux pas supporter de masse salariale comme ça, mais t'sais, gratis. [02:47:12] Speaker D: Oui, mais t'sais, regarde, à Montréal, on est en train de faire un système pour payer notre téléphone, 135 millions. Si c'est gratuit, tu mets pas ces coûts-là. Gratuit, ça veut dire qu'il y a une famille de quatre qui a besoin de quatre cartes pour accéder. Ça coûte cher. Les riches de Westmount ou d'autres mondes qui prennent pas l'autobus, ils payent pas pour ça. Ils payent à 159 piastres. [02:47:32] Speaker A: Je comprends. Mais il faut que tu bases vraiment les coûts d'opération. Dis-moi que tu vas payer les coûts d'opération. [02:47:37] Speaker D: Mais chaque 50 % dehors. [02:47:39] Speaker A: OK. [02:47:39] Speaker D: Toutes les sociétés de transport dans le monde qui ont rendu ça gratuit, tout ce qui a rapport à la facturation, ils ont foutu ça à portée. Et c'est la même chose, ça coûte trop cher. Les opérations de nos sociétés de transport coûtent trop cher. Mais qui a le courage de tout ça? On n'a même pas le courage de dire à des enfants de faire du bruit. [02:47:56] Speaker A: On n'aura pas le choix. C'est ça, on n'aura pas le choix. Regarde, c'est sorti, entre nos deux chroniques, c'est pour ça que je t'en ai parlé la semaine passée, mais c'est sorti mercredi ou jeudi. la ville de Montréal qui aura un déficit de plus de 230 millions l'an prochain. Et s'il n'y a rien qui est coupé en 2027, c'est au-dessus de 400 millions. T'as pas le choix de mettre la hache. Mais à quelles solutions? Il n'y a pas un chrétien qui se présente à la mairie qui amène des solutions pour mettre la hache. Puis une ville peut pas faire de déficit, peut pas faire de déficit. Donc ils n'ont pas le choix de couper. François, parce que tu peux plus taxer. [02:48:28] Speaker D: Ils ont dépensé un milliard dans les pistes slabs. J'ai pas rien contre les pistes slabs, là. Mais on avait-tu vraiment un milliard de disponibles? Je ne dis pas qu'il ne faut pas le faire, mais il y a des places. On n'arrête pas de parler de la piste cyclable sur Saint-Denis, mais là, il y a les gens de Québec qui nous écoutent. Ils pensent peut-être que ça ne les impacte pas. Le 400 millions va venir de leur poche aussi. Ça vient de nos poches. Quand Québec fait des folies, quand Montréal fait des folies, c'est tout le Québec au complet qui paye pour ça. Donc, il faut se mêler des affaires des autres villes. Ça nous appartient, même si on vote pas pour eux. [02:49:04] Speaker A: Mais c'est un cas pour Montréal, pour vrai. Moi, j'ai vu ce rapport-là, puis j'ai dit que ça n'a pas d'allure. Au-dessus de 200 millions de déficit. Il faut que ça soit déficit zéro, une ville. Mais c'est inquiétant, appareil. C'est une ville qui est en perdition totale. [02:49:19] Speaker D: Elle a mis 250 millions pour rénover l'hôtel de ville. Elle a mis 100 millions pour une place des Montréalaises que personne ne va voir. T'sais, c'est l'épicelabe à un milliard. On peut continuer à l'infini comme ça, ça n'a aucun bon sens. Il y a 3 000, 2 500 nouveaux fonctionnaires à la Ville de Montréal. C'est la folie. D'ailleurs, dans tous les fonctionnaires fédéraux, provinciaux, municipaux, C'est comme un bar au pun. Ils ne sont plus capables de contrôler les embauches. Et on paie pour ça. Selon une étude, il y a 157 000 fonctionnaires de trop au fédéral quand on prend des comparables mondiaux et dans les entreprises. On a une masse salariale fédérale de 71,5 milliards. [02:50:06] Speaker A: Je le sais. C'est fou. C'est complètement... [02:50:09] Speaker D: Écoute, à un moment donné, tout est en train de péter, puis tout le monde continue... La vie est belle, tout est correct, de moins 20 %. Les agents de bord d'Air Canada... [02:50:18] Speaker A: Ils ont refusé de l'entendre. [02:50:19] Speaker D: ... 12 % d'augmentation en première année. Ville de Montréal demande 20 %. On va finir par plier parce que tout le monde a peur. Tout le monde a peur de se faire casser les jambes. [02:50:30] Speaker A: C'est ça l'histoire en terminant. Tout le monde a peur. Il n'y a personne qui a des bijoux de famille. Il n'y a personne qui dit que sa fille est néni. [02:50:39] Speaker D: Il y a à peu près juste une vie de fête et ce n'est pas quelqu'un que je crève dessus. Dans les ministres, il y a à peu près juste Simon Jolin-Barette qui affronte à peu près tout le monde puis il n'a pas peur, tu sais. [02:50:50] Speaker A: Oui, mais ça, c'est ordinaire. Il se pince contre les juges. C'est un peu ouac, là. Tu veux dire un ministre des Justices qui se pince contre ses juges, ça, ça fait un peu République bananière, là. [02:50:59] Speaker D: Un peu, mais il se pogne avec les mauvaises personnes, mais il se pogne. [02:51:02] Speaker A: Oui, je sais bien, je sais bien. Tu aimes... Je ne sais pas si tu l'aimes ou pas, là, mais deviens de plus en plus une lumière dans ces ténèbres-là, là. [02:51:13] Speaker D: Je l'aime, là, je l'aime, puis on... On en parle. Il y a des fois qu'il s'en va dans des directions, puis je dis, pourquoi tu vas là? Mais moi aussi, je m'en vais dans des directions, puis vous m'écoutez des fois. Je dis, pourquoi il va là? Bien, c'est comme ça, des fois. Quand t'es un libre-penseur... [02:51:27] Speaker A: Il n'y a personne de parfait, là. C'est le seul qui amène des solutions pareilles. Le seul qui sonne l'alarme. C'est le seul qui appelle le 911. [02:51:34] Speaker D: Il aurait mérité de gagner, définitivement, dans Tabasco. Puis je lui souhaite un siège pour qu'on l'entende plus, pour qu'il brasse un peu la cage. [02:51:42] Speaker A: Aucun doute là-dessus. Merci beaucoup François. Passe une belle semaine. Salut, bye. 8h52. Attachez vos tux, ça va arracher la Légion Retour. Le retour de Radio X. [02:52:03] Speaker D: Moi, ça m'arrive de boire de la bière avec du vin rouge. [02:52:06] Speaker C: La bière avec du vin rouge? [02:52:07] Speaker D: Oui. Ça a fait que la dernière fois, il y avait une grosse mousse dessus. Ok. Hey, je peux-tu me conter une petite blague? Un dinosaure homosexuel, ça s'appelle ça comment? [02:52:15] Speaker C: Oui, c'est quoi? [02:52:16] Speaker D: Trépotanus. Trépotanus. [02:52:20] Speaker A: Ok, merci beaucoup. [02:52:22] Speaker B: On n'allait pas là. [02:52:24] Speaker A: Le retour de Radio X. [02:52:26] Speaker E: Lundi au vendredi, 15h. [02:52:43] Speaker A: SimonsLaberge.com, encore près de 400 maisons vendues 2024. Je connais pas la tendance de 2025, mais je vous dirais que ça dérougit pas dans la région de Québec avec l'équipe Simons-Laberge de Via Capital Équipe. Ça achète, ça vend, ça se promène, c'est sur le marché. Ça reste pas longtemps sur le marché, c'est sûr. Quand t'es décidé, moi, de dire une affaire, Simons arrive avec son équipe, on enlève le cadre de la cabane à sucre, on fait le ménage, on enlève les plantes. Les violettes africaines, ça revole. OK, parfait, on prend les photos. C'est vendu rapidement. Attaches-toi dessus que ça va brasser. C'est le meilleur au Québec et pas à peu près. Il y a des raisons pour ça. Il y a du leadership et il y a une équipe de classe. SimonLaberge.com Salut, moi c'est Martin. J'ai une hernie discale. C'est tellement douloureux que je multiplie les visites à l'urgence, les absences au travail, pis je peux même plus jouer au hockey comme avant. Mettons que je trouve le temps long. [02:53:35] Speaker B: Martin était bien découragé. Mais l'espoir est revenu depuis qu'il a consulté les professionnels du Centre de correction vertébrale. Grâce à la décompression discale, Martin a repris sa vie là où il l'avait laissée. [02:53:46] Speaker A: Croyez-moi, le Centre de correction vertébrale, c'est la clé pour votre santé. [02:53:50] Speaker B: À Sainte-Foy-Lévis-Pont-Rouge et au centre cvq.com. [02:53:54] Speaker E: Promutuelle Assurance salue les entrepreneurs qui commencent la journée avec mille et une idées. Pour celles qui deviennent réalité et pour ce que vous bâtissez tout au long de l'année, Promutuelle Assurance est là. 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[02:55:54] Speaker A: Avec toutes ces nouvelles montures partout le fièvre, Baptiste, il faut surveiller son arrière-train. [02:55:59] Speaker E: Un message de l'intendance, pardon, de la Ville de Québec, qui vous rappelle qu'être colon sur la route, c'est dépasser. [02:56:05] Speaker C: Voici le portrait. Tu veux vendre ta voiture. [02:56:08] Speaker A: T'en veux une neuve. [02:56:09] Speaker B: Et tu veux faire ça simple. [02:56:11] Speaker C: Seule l'est avec Kia Beauport. [02:56:13] Speaker A: On fait partie du portrait. Rejoins la famille. [02:56:17] Speaker C: Évalue ton auto au kiabeauport.com. [02:56:19] Speaker A: Salut, moi c'est Martin. J'ai une hernie discale. C'est tellement douloureux que je multiplie les visites à l'urgence, les absences au travail, pis je peux même plus jouer au hockey comme avant. Mettons que je trouve le temps long. [02:56:30] Speaker B: Martin était bien découragé. Mais l'espoir est revenu depuis qu'il a consulté les professionnels du centre de correction vertébrale. Grâce à la décompression discale, Martin a repris sa vie là où il l'avait laissée. [02:56:42] Speaker A: Croyez-moi, le centre de correction vertébrale, c'est la clé pour votre santé. [02:56:46] Speaker B: À Sainte-Foy-Lévis-Pont-Rouge et au centre cvq.com. [02:56:50] Speaker E: Bonjour, ici Jessica de Lebeau Vitreux d'Auto. Besoin de remplacer votre pare-brise? Avec nous, rien de plus facile. Rendez-vous sur lebeau.ca, obtenez une soumission en quelques clics et prenez rendez-vous à l'endroit et au moment qui vous convient le mieux pour faire remplacer votre pare-brise par nos experts. En plus, notre travail est garanti à vie. Ça, ça facilite la vie. Prenez vite rendez-vous sur lebeau.ca. Détail et conditions sur lebeau.ca. [02:57:18] Speaker A: Faites vite, c'est la dernière fin de semaine de l'emblématique vente sous la tente de briques. Tout doit partir. 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[02:59:18] Speaker D: Ça roule! [02:59:18] Speaker A: Ça roule! Mais là, les artistes veulent faire parler d'eux, quand même. [02:59:20] Speaker C: Ah, mais juste avant, tu partais bien que ça roule, parce que ça va rouler. Ça va rouler à Québec, ça va rouler à Montréal. On parle du Grand Prix cycliste, on parle de la présence d'Israël Premier Tech. [02:59:30] Speaker B: Juste avant... Comme quoi, il n'y a pas juste moi qui parle de vélo, ici. [02:59:33] Speaker C: Oui, bien là, c'est parce que je m'en vais ailleurs. Mast-Brouillard avait une entrevue, puis il y a eu plein d'entrevues en fait, je vais vous faire écouter plusieurs choses, mais Mast-Brouillard avait une entrevue, l'organisateur du Grand Prix, puis écoute la twist, écoute le genre de questions qu'on leur demande. [02:59:50] Speaker A: Mais avez-vous demandé à l'Union cycliste internationale. [02:59:54] Speaker B: D'Intervenir ou même à l'équipe Israël Premier. [02:59:57] Speaker A: Tech de se retirer de son plein gré? [02:59:59] Speaker D: Alors, nous sommes en contact régulier et journalier avec l'Union cycliste internationale pour savoir si l'Union cycliste internationale prend position par rapport à la situation qui se passe sur la Vuelta en ce moment. [03:00:11] Speaker B: Mais vous l'avez demandé. [03:00:13] Speaker A: Leur avis vous le dit? Écoutez, on pense que ce n'est pas. [03:00:14] Speaker B: Une bonne idée que l'équipe concourt ici. [03:00:16] Speaker A: À Québec et à Montréal. [03:00:18] Speaker D: On n'a aucune raison de le faire. [03:00:22] Speaker B: Wow! [03:00:22] Speaker A: Wow! [03:00:23] Speaker C: C'était la twist... [03:00:24] Speaker B: Je m'excuse, je m'excuse. [03:00:26] Speaker C: C'était la twist qui était donnée par toi Radio-Canada, je vais faire entendre d'autres choses. [03:00:29] Speaker B: Attends un peu, attends un peu. Faut juste que je rappelle aux gens, ok, que cette équipe-là a été créée par un gars de la région de Québec qui s'appelle Sylvain Adams, ok, qui vient de la région de Québec, qui vient d'ici, son père était propriétaire des galeries de la capitale, bon, et qui ont pris Steve Bauer comme directeur technique qui était avec Spider-Tex avant. Je sais qu'il n'y a pas... [03:00:49] Speaker A: Il fait les Olympiques, je pense. [03:00:50] Speaker B: Et l'objectif est de créer, de former des cyclistes canadiens pour les amener au prochain niveau. Jusqu'à date, ils ont réussi avec Michael Woods. Ils l'ont fait avec Hugo Hull, quoiqu'Hugo était là un peu avant. Ils l'ont fait avec Derek Gee, qui était en train de devenir une pépite sur la scène internationale. Ils réussissent. Là où tout le monde a échoué dans le sport au Canada, eux autres, ils réussissent. Puis eux autres, dans la seule course qu'il y a en Amérique du Nord, ils ne voudraient pas que les cyclistes canadiens y participent. [03:01:17] Speaker C: Mais Dan, tu comprends pas. Non, non. [03:01:18] Speaker A: C'est complètement dingue. [03:01:19] Speaker C: C'est dingue, dingue, dingue. Le méchant, c'est Israël. C'est pas la Hamas. Donc, l'équipe d'Israël, il faut qu'elle se retire. L'équipe qui a Israël dans son nom, il faut qu'elle se retire, il faut qu'elle se tasse. C'est elle le problème. C'est pas le monde qui pitche de la pisse, qui bloque la route. Non, non. Le vrai problème, c'est l'équipe qui a Israël dans son nom. [03:01:38] Speaker A: Nous sommes comme dans les années 30. Dans les années 30, les lois de Nuremberg. Lisez là-dessus. Tu es un coiffeur juif, tu dois fermer. Tu es une boulangerie juive, tu as une boulangerie juive, tu fermes ton commerce. Après ça, t'as eu une succession de lois, là, OK? Tu es un petit juif, tu vas pas à l'école. Tu es une juive, t'as pas le droit de faire ceci et cela. Tu es un juif, t'as pas le droit d'écrire dans le journal. Tu es propriétaire d'un journal, il faut que tu fermes ton journal. C'est ça. Là, aujourd'hui, 2025, Tu es commandité par l'État d'Israël, tu ne peux plus courir dans une compétition internationale. C'est la même chose, les amis. Il va falloir se réveiller à un moment donné que nous sommes dans un territoire excessivement ténébreux. [03:02:33] Speaker C: Toujours à Radcan, mais ici, dans le retour à Québec, même intervenant, là, j'ai regardé juste les questions de l'animateur. Est-ce que selon vous, parce qu'on le. [03:02:41] Speaker A: Sait, donc Israël-Premier-Tech est la cible des. [03:02:43] Speaker C: Manifestants ces jours-ci, est-ce que ce serait. [03:02:45] Speaker A: Judicieux qu'elle ne participe pas aux épreuves. [03:02:47] Speaker C: De Québec et de Montréal? M. Limard, je reformule. [03:02:50] Speaker A: Est-ce que vous avez quand même eu. [03:02:50] Speaker C: Des discussions avec Israël-Premier-Tech pour ce qui. [03:02:52] Speaker A: S'En vient à Québec et à Montréal? Est-ce que là-dessus, vous avez quand même eu une certaine communication? Est-ce que vous avez fait part de certaines appréhensions avec des possibles manifestations chez nous? Est-ce que la situation pourrait changer justement d'ici vendredi prochain? Est-ce qu'il pourrait y avoir du nouveau? [03:03:06] Speaker C: Est-ce que l'équipe pourrait, par exemple, se retirer d'elle-même avec un cours préavis? [03:03:10] Speaker A: Vas-y Dan. [03:03:11] Speaker B: Les coureurs d'Israël Premier Tech ont fait toutes les courses World Tour depuis le début de la saison. Ils ont été en Australie, ils ont été en Angleterre, ils ont été en France, ils ont été en Italie, ils ont été en Belgique, ils ont été aux Pays-Bas, ils ont été aux États-Unis, ils ont fait tous les pays, ils ont été à Bahreïn. Ils ont été aux Émirats arabes unis. Ils ont été au Canada pendant les championnats mondiaux. Dans tous ces pays-là, il y a eu des manifestations. C'est pas cette semaine, là. Dans tous les pays, il y a eu des manifestations. [03:03:41] Speaker A: Et dans tous les pays, la police. [03:03:43] Speaker B: A fait sa job. En Espagne, ça fait le tour du monde parce que la police ne contrôle pas les manifestants. Mais la nouvelle reste la même, là. La nouvelle reste la même qu'autour d'Ononder, en janvier dernier, où des manifestants s'en prenaient au coureur. personne n'en a parlé à Radio-Canada à l'époque parce que la police les arrêtait. Là, en Espagne, la police ne les arrête pas. Bien, on demande le retrait des coureurs canadiens pendant la seule épreuve cycliste World Tour présentée en Amérique. [03:04:11] Speaker C: Mais le problème, ça demeure Israël. Et là, checker la twist. [03:04:15] Speaker B: Il y a quand même quelque chose. [03:04:16] Speaker A: Qui me chicote dans la mesure où. [03:04:17] Speaker B: C'Est un peu l'argument de l'Union cycliste. [03:04:19] Speaker A: Internationale qui dit que le cyclisme doit demeurer neutre, etc., etc. Et pourtant, souvenons-nous, en 2022, on avait exclu les équipes. [03:04:28] Speaker B: Russes et biélorusses des épreuves cyclistes par l'Union cycliste internationale. [03:04:33] Speaker A: On avait notamment retiré un statut à la formation russe Gazprom Russe Vélo. On est quand même devant deux poids, deux mesures ici. [03:04:40] Speaker D: Ecoutez, je suis d'accord avec vous, mais cette position de l'UCI, elle était suite à une position du comité international olympique. Si l'UCI prenait position, soyez assurés que nous suivrons les recommandations et les demandes de l'UCI. [03:04:55] Speaker A: L'Union cycliste ne demandera jamais à cette équipe-là de se retirer. [03:05:00] Speaker C: C'est comme si on demande à la. [03:05:03] Speaker A: Ligue nationale que les Hallers Edmonton arrêtent de jouer des matchs. [03:05:06] Speaker C: Je comprends que tu peux remonter à des décennies, mais la guerre présente, les attaques présentes d'Israël ont commencé par une agression du Hamas. [03:05:15] Speaker A: La Russie, c'est eux autres qui ont. [03:05:18] Speaker C: Starté la marde, même si encore là, tu peux dire que ça a duré depuis plus d'années. Mais les premiers vrais gros bombardements, c'est la Russie qui les a faits contre l'Ukraine. Là, ils disent que l'Israël, l'agressé, est égal à l'agresseur Russie. [03:05:33] Speaker A: Ah oui, c'est complètement tortueux. C'est propagandiste, c'est tortueux, c'est mensonger. et c'est raciste. C'est fondamentalement antisémite. C'est de mettre ça sur le dos des juifs. Vous êtes pro-juif. En fait, vous êtes supporté par un État juif. Donc, vous devez laisser votre bécane à la maison. C'est l'équivalent des lois de Nuremberg des années 30. Tu es juif ou tu portes l'étoile de David, tu fermes ton commerce et tu cesses d'exister. Nous sommes dans une cancel culture antisémite, les amis. Et ça, c'est à la société d'État du monde dont vous payez 100 % du salaire. Là, vous venez d'entendre des animateurs radio, OK? Il y a pas de commercial à radio. Vous payez 100 %, je paye, tu payes, tu payes, tu payes, et ma tante aussi. Le salaire de ces gens-là, afin que ces derniers recrachent des propos qui sont excessivement douteux, voire antisémites à quelque part. Tu laisses ta bécane à la maison parce que t'es commandité par Israël. C'est odieux. Au-delà de ça, il y a parmi les plus grands coureurs canadiens et québécois qui sont sous cette bannière-là. Je veux dire, c'est complètement whack, cette affaire-là. Vous le savez qu'on est en pleine période de contamination médiatique. Et regardez le délire aussi avec Indigo et la police qui s'assit sous ses deux mains. C'est délirant ce qui se passe actuellement au Québec. Ça fait vomir. Et c'était peurant quelque part. C'était peurant ce qui se passe. [03:07:14] Speaker C: T'as l'air un peu cranky. Voudrais-tu un mimosa? [03:07:17] Speaker A: Dan est plus cranky que moi, mais Dan est mauve. Vous savez... Dan est en train de... Je pense qu'il va aller pédaler sa petite pêchée tout à l'heure, hein, Dan? [03:07:24] Speaker B: Vous savez qu'il y a une fresque qui a été faite avec le maillot d'Israël Premier Tech sur les rues de Montréal pour célébrer la première victoire d'Hugo Hull. [03:07:32] Speaker C: Elle a-t-elle été vandalisée? [03:07:33] Speaker B: Non, mais ils n'ont pas mis le mot Israël dessus. Ça, c'est la fresque du Goal, à Montréal. [03:07:40] Speaker A: Ils ont redessiné. C'est comme mettre le chandail du Canadien, pas de logo. [03:07:43] Speaker B: Exactement. [03:07:44] Speaker D: Ouais. [03:07:44] Speaker A: Carrément ça. Bleu, blanc, rouge, pas de logo. [03:07:46] Speaker C: Ben, où il y a le logo, t'avais le H. Mettons. [03:07:49] Speaker A: Ouais. Un C... [03:07:51] Speaker C: C'est ça, il y a juste un C. [03:07:52] Speaker A: Classique. Ouais. Incroyable. Moi, Dan et moi, on irait pour un Mimosa, mais mettons double dose. [03:08:00] Speaker B: OK, parce que... Moi, beaucoup de jus d'orange. [03:08:02] Speaker A: C'est ça. Juste pour colorer, mousseux. [03:08:06] Speaker C: Vendredi dernier, là, ce soir, comment ça s'appelle la série que tu vas commencer. [03:08:09] Speaker A: À écouter la soirée? Antigang. [03:08:10] Speaker C: Antigang. Juste avant le crash, tu vas écouter ça? [03:08:17] Speaker B: Moi, j'ai écouté la première saison. [03:08:19] Speaker C: OK. [03:08:19] Speaker B: J'en revenais pas que ce soit fait par du monde québécois, ça. [03:08:23] Speaker A: C'est-tu bon? C'est pas bon? OK, c'est bon. OK. Anti-crash? [03:08:27] Speaker B: Juste avant le crash. [03:08:28] Speaker A: Juste avant le crash. [03:08:29] Speaker C: C'est écrit par Kim Lysotte et par son chum Éric Bruneau. Et là, il y a une troisième saison qui s'en vient. Ils en font la promotion au bout, en même temps aussi quand ils gagnent. [03:08:38] Speaker A: Etc. Mon ami Kim! [03:08:39] Speaker C: Oui? [03:08:40] Speaker B: Ça avance à un moyen temps juste avant le crash. Ça arrête pas beaucoup. Faut pas que t'écoutes ça avec des pauses, parce que c'est vraiment le genre d'émission que les pauses te manquent sacrément. [03:08:50] Speaker A: Donc je vais me parler en bien de Kim Lysotte, peut-être? [03:08:52] Speaker C: Peut-être, je sais pas, mais là, la troisième saison, ça s'enligne pour... on rentre dans la propagande, carrément, parce que... ben quoi que les deux autres l'étaient peut-être, mais la propagande pour leur cours, pour leur cause à eux, faut sauver la culture québécoise. [03:09:07] Speaker E: Et là, au coeur de l'ultime saison, la culture. [03:09:11] Speaker A: Non, mais tu sais, la saison 1, on parlait un peu des relations de travail plus toxiques, si je peux dire. Les sièges sociaux qui partaient du Québec. La saison 2, on a voulu le. [03:09:18] Speaker B: Faire sur la transition énergétique, puis il. [03:09:20] Speaker A: Y a eu le projet batterie. Moi et Kim, quand on écrit, on a toujours réussi à se servir du bout de notre société, puis qu'est-ce qu'il y a dans l'actualité. Puis là, quand on a commencé à écrire la saison 3, on était plus portés vers l'intelligence artificielle, puis il y a eu les coupes massives qui se sont produites chez Québec Art, puis on. [03:09:35] Speaker B: A fait « Ah non, il faut qu'on parle de notre culture, il faut. [03:09:37] Speaker A: Qu'On parle de nous. » Moi, je me rappelle, ça a été comme un coup de masse pour faire « Ah non, on est fragiles. [03:09:40] Speaker B: C'Est fragile en ce moment, cette affaire-là. [03:09:42] Speaker E: » Et c'est plus vrai que jamais, le rapport sur l'avenir de l'audiovisuel vient de sortir hier, donc vous êtes pile dans l'actualité. [03:09:48] Speaker C: On est pile dedans. [03:09:48] Speaker A: Avec le bureau aussi, Holstrom, ils veulent laisser une marque qui va être pérenne, qui va avoir un impact sur sa société. Donc ils essaient d'essayer de sauver la culture québécoise. [03:09:59] Speaker C: Donc ça donne bien parce que là, les artistes sont partis en fin de semaine. Let's go, il faut mettre de la pression, il faut que le gouvernement triple le budget de Télé-Québec, ça fait partie du rapport. [03:10:09] Speaker A: Allô les marionnettistes, vous allez avoir un salaire. [03:10:13] Speaker C: Il y a une partie de la taxe de la TVQ sur plein de produits qu'on veut ramasser aussi. En gros, on veut du cash, on veut du cash, on veut du cash. Je suis pressé, je suis comme ça. Mme Mimosa, Mme Néron, elle est grande chum avec Kim Lizotte. Elle l'a comme chroniqueuse pour cette raison-là. Puis là, elle est en train de faire en entrevue le chum de Kim Lysa. [03:10:33] Speaker A: Est-ce que je pourrais un jour souper avec Kim Lysa? La réponse est oui. [03:10:36] Speaker C: Je sais pas si ça n'a pas déjà été fait. [03:10:38] Speaker A: Est-ce que c'est un soupé-couple? La réponse est oui. [03:10:40] Speaker C: Donc là maintenant, c'est au gouvernement à sauver la culture. [03:10:44] Speaker A: Ça va juste tenir à une décision politique, si on va être capable de sauver notre culture ou non. [03:10:50] Speaker E: Et comment on va la financer? [03:10:51] Speaker A: Comment on va la financer? Mais il y en a des façons de financer. [03:10:53] Speaker B: Oui, oui, c'est ça, il y a des solutions. Si on tablait ce rapport-là, on va être fait. Mais tu sais, je reviens de France. [03:10:58] Speaker A: Puis c'est le CNC, ils prennent en. [03:11:00] Speaker B: Partie sur chaque billet qu'il y a au cinéma, que ce soit Avatar, un. [03:11:03] Speaker A: Film québécois ou un film français. Il n'en tient qu'à eux de prouver que la culture québécoise est importante. [03:11:07] Speaker E: Mathieu Lacombe a dit qu'il n'était pas question de tabletter ce rapport-là, mais on est bon au Québec pour tabletter des rapports. Alors on va lui donner le bénéfice du doute, mais on souhaite quand même cette réflexion-là. Elle est importante. [03:11:21] Speaker C: Puis en plus, parce que la culture, ça rapporte de l'argent. Comme de l'eau, ça n'a pas de sens. [03:11:25] Speaker E: Puis on oublie trop souvent de rappeler à quel point c'est favorable économiquement. C'est d'investir dans la culture. [03:11:34] Speaker A: Non, mais on dit c'est 11 milliards. [03:11:35] Speaker B: De retombées si on finance pas un spectacle de marionnettes. [03:11:37] Speaker A: Puis je veux dire, c'est l'équivalent de l'aéronautique. On questionne pas si l'aéronautique est valable, est essentielle. Alors que la culture, c'est des vraies retombées économiques. Puis on a souvent un narratif de pelleteux nuages puis viveux de subventions. Mais il faut se questionner pourquoi on s'est mis à prendre les artistes comme des types de turcs. [03:11:55] Speaker E: Ou des gens qui quêtent des subventions. Parce qu'on l'entend encore, ça, malheureusement. [03:11:59] Speaker A: Toutes les entreprises au Québec ont des subventions. C'est pas que la culture. Je pense qu'il faut juste réaligner un. [03:12:04] Speaker B: Petit peu ce discours-là. [03:12:05] Speaker A: On a essayé de le faire puis d'en infuser un peu dans notre saison 3. [03:12:08] Speaker C: C'est vraiment ça, tout le monde le fait, fait le don. [03:12:10] Speaker B: Mais c'est pas correct que l'aéronautique ait des subventions non plus. [03:12:12] Speaker C: Non plus. [03:12:13] Speaker A: Non, c'est ça, on veut tout couper. [03:12:15] Speaker B: Oui, c'est ça. [03:12:15] Speaker A: Les recommandations vite comme ça de ce rapport n'ont personne entendu parler parce que c'est tombé dans les craques du divan. [03:12:20] Speaker C: Vendredi après-midi, t'sais. [03:12:21] Speaker A: C'est ça. Élargir le crédit d'impôt pour soutenir la presse d'informations écrites à l'audio, la vidéo ou la multiplateforme. Autrement dit, il y a des crédits d'impôt dans l'écrit actuellement. Oui, oui. Une partie du salaire d'Isabelle Haché est pas mal payée par vos taxes. [03:12:38] Speaker C: T'élargis ça à tous les médias. [03:12:39] Speaker A: C'est ça. Autrement dit, le salaire de Gary serait en partie payé, là. [03:12:45] Speaker C: Oui. [03:12:46] Speaker A: C'est que non. C'est un non-sens, là. Mais évidemment, tout le monde trippe au 98.5 et partout. Parce qu'eux autres, ils en veulent. Pis là, le ministre est content. Pis oui, bien sûr. Oui, bien sûr. Oui, bien sûr. [03:12:55] Speaker B: Mais non, la radio ne veut pas de subventions. [03:12:57] Speaker A: Non! Faire de télé Québec, allô les marionnettistes, le catalyseur culturel du Québec, on passe de 95 millions à 300 millions! 300 millions! Allô les décors en papier mâché, misez sur la Sodec pour propulser la création, on hausse le budget de combien? 170 millions, on augmente ça. Let's go, optimiser les crédits d'impôt et la compétitivité. Ah oui, ça pour finir, crédits d'impôt progressifs pour les particuliers qui s'abonnent à Illico, entre autres, et aux plateformes québécoises. Voilà. Donc, on est subventionnés, on s'abonne à des plateformes. C'est n'importe quoi, là. [03:13:38] Speaker C: Même journée, encore à Radio-Canada, mais là, on est dans l'émission de Marie-Louise Arsenault. Qui c'est qu'on a comme invité? Kim Lysotte! Qui c'est qu'on a comme invité aussi? Sophie Laurin. [03:13:47] Speaker A: Tout le monde, la gang gang. [03:13:49] Speaker C: Oh oui! Regarde, puis ils sont impliqués là-dedans à fond. Mais là, on s'attend pas à ces chiffres-là. Le matin, ça disait 11 milliards de retombées. Là, on a un chiffre un peu moins gros quand même. [03:13:57] Speaker E: Il y a des retombées économiques. Je veux dire, c'est pourquoi c'est si facile de... C'est 3 milliards de dollars. Bien, c'est ça, mais pourquoi c'est si... de miser des 200 millions ici et là pour des stratégies de batterie, mais alors que nous, on est là, on fonctionne, il y a des retombées, il y a des gens qui travaillent. C'est pas juste des scénaristes comme moi, puis Luc, puis du monde qui chante à TV, la culture au Québec. C'est bien plus large que ça. C'est des techniciens, c'est des traiteurs, c'est des musiciens, c'est des auteurs, c'est des autrices, c'est des professeurs. C'est des restaurateurs, c'est monsieur et madame Tout-le-Monde, c'est beaucoup, beaucoup, beaucoup de monde. Et c'est notre identité, c'est notre langue. [03:14:32] Speaker C: Ah, c'est chaud ça l'argument à faire. Mais c'est beaucoup, beaucoup, beaucoup de monde qui vivent tout artificiellement là. Ou qui reçoivent une partie de leur revenu dans une année artificiellement. C'est pas, y'a pas de retombées. Arrêtez ça les retombées là, c'est de l'argent qu'on brasse entre nous autres là. [03:14:49] Speaker B: Hugo Dumont fait une semaine qui s'en prend à tous les artistes qui disent « moi j'écoute pas la TV ». Parce qu'il y a un paquet d'artistes eux autres qui sont pas abonnés non plus, qui ont pas le câble. Ils commencent par vous acheter le câble pis l'autre chose, ils parlent aussi des programmeurs télé qui mettent tous les bons shows le lundi soir. Si vous voulez que le monde les regarde, partagez-les donc. Spreadez ça au travers de la semaine. Le monde va peut-être avoir plus de chances. Aidez-vous entre vous autres. Puis deuxièmement, même aux États-Unis, même sur Netflix, les jeunes, les nouveaux auditeurs ne regardent pas de séries. Ils regardent pas de séries. Tes jeunes regardent-tu des séries, toi? [03:15:30] Speaker A: Ils regardent des animés. Ils sont ben ben là-dedans, les animés. C'est pas comme des séries, mais oui. Mais ils regardent des animés sur Crunch, quelque chose. Ça porte au bout, chez les ados, les mangas. [03:15:42] Speaker B: Oui, il y a eu le bout chez nous aussi, mais c'est des short vidéos. [03:15:46] Speaker A: Oui, exactement. [03:15:47] Speaker E: Beaucoup. [03:15:48] Speaker A: Non, non, c'est pas Breaking Bad. [03:15:48] Speaker C: Ben, il écoute des séries aussi. [03:15:50] Speaker A: Moi, ça dépend. [03:15:50] Speaker B: Non, non, toi, c'est des enfants. Moi, je te parle des jeunes adultes. [03:15:54] Speaker A: OK. Dans 20 ans. [03:15:55] Speaker B: À un moment donné, ils arrêtent les séries. C'est comme fini. Ils sont dans le short vidéo. Faut que la vidéo ne dure pas plus qu'une minute. [03:16:01] Speaker A: Faut que ça roule. [03:16:01] Speaker B: J'ai une demi-heure, moi, on écoutait 30. [03:16:03] Speaker A: Crunchyroll, ça pogne au bout. Crunchyroll chez les ados, là, ça pogne. [03:16:08] Speaker C: Mais il coûte beaucoup de... Non, mais. [03:16:10] Speaker A: Ça, ça me fait rire. Ils font virer la société. Oui, oui, mais un gars qui travaille dans une compagnie d'assurance, il fait virer les magasins de vestons puis de cravates. Il fait virer le garage parce qu'il y a une auto. Tu sais, je vais te dire, c'est quoi, ce discours-là? Il fait virer l'épicerie parce qu'il mange. Tu sais, je vais te dire, tout le monde consomme quelque part, ce discours-là. C'est un peu bidon. Il fait virer les travailleurs. Oui, mais moi aussi, je mange. Moi je fais virer les livreurs de pizza, je t'annonce ça. C'est pour ça que c'est une subvention. [03:16:41] Speaker C: C'est des chiffres bidons. Puis que Radio-Canada, il y a personne qui corrige autour de la table à chaque fois. En fait, ils en rajoutent. C'est tellement bidon qu'ils sont capables de passer de 11 milliards de retomber le matin à 3 milliards de retomber le soir. Mais c'est les mêmes chiffres. Tant qu'on se démilliore, le monde va trouver que c'est beaucoup d'argent. [03:16:58] Speaker D: Voilà. [03:16:59] Speaker A: Gagagougou. [03:16:59] Speaker C: Ah oui. Ça va justifier de donner des subventions. On va faire croire ça à du monde. [03:17:04] Speaker A: Voilà. [03:17:04] Speaker C: Mais y'a personne qui corrige sans se poser, passer de l'information. [03:17:08] Speaker A: C'est de la culture. C'est de l'art. [03:17:10] Speaker C: T'as raison, on a parlé souveraineté un peu. [03:17:12] Speaker A: On parle du cœur. [03:17:13] Speaker C: Parce que ça le disait, c'est notre langue, c'est notre culture, etc. Marine Louis-Arsenault demande à Kinisa Tamané de dire « Oh, Pékin, en fait, t'es-tu encore souverainiste? [03:17:22] Speaker E: » Vous vous identifiez depuis longtemps comme une indépendantiste. Est-ce que c'est encore le cas aujourd'hui? Il faut me pogner à un très mauvais moment pour parler de ça. Pourquoi? Parce que je suis... En ce moment, je me sens très orpheline de parti. Il y a une partie de moi qui était extrêmement surprise de la montée de la souveraineté chez les jeunes, qui s'en réjouit. Oui, il y a un sondage crop dont on a beaucoup parlé qui... Je me réjouis de la montée chez les jeunes. Les séparatistes sont plus décomplexés que moi, que nous, que les générations qui ont précédé. Ils sont décomplexés par rapport à aimer la musique québécoise, aimer ce qui est québécois, aimer être québécois, s'identifier comme québécois, que moi, dans mon temps, tu te cachais pour écouter du Jean Leloup. [03:18:15] Speaker A: Really? Non. Tu te cachais pour écouter du Jean Leloup? Il n'y a personne qui s'est caché pour écouter du Jean Leloup. [03:18:20] Speaker C: Ils ont appris que ce n'était peut-être pas le meilleur exemple pour Jean Leloup. [03:18:24] Speaker A: C'est une invention. [03:18:25] Speaker C: Je ne sais pas. Tant pis, Sophie Loré, comme moi, elle ne comprend pas non plus. [03:18:30] Speaker A: Si c'est si vivant et si tous les jeunes se garochent pour consommer du Québécois, pourquoi des subventions alors? [03:18:35] Speaker C: C'est ça, c'est ça, je ne comprends pas. Puis en même temps, ils étaient tous sur le 56 % du sondage. Puis ça redescendait à 42 l'autre d'après. [03:18:43] Speaker B: Ça n'existe pas. Moi, je l'ai toujours dit, la raison pour laquelle j'ai toujours considéré la culture québécoise comme étant ringarde, c'est parce qu'on me l'imposait. Puis moi, les choses imposées, dans ma tête, c'est quelque chose qui est plate. T'sais, on m'imposait de manger des vols au vent. On m'imposait pas de manger du... T'sais, tu comprends? [03:19:01] Speaker A: T'as tendance à manger un vol au vent à midi? [03:19:02] Speaker B: Bien là, à l'âge que j'ai, oui, j'en mangerais un. [03:19:08] Speaker A: Mais là, les jeunes se freinissent. [03:19:13] Speaker C: Pourquoi ils sont pas QS? [03:19:14] Speaker E: Cette quantité de jeunes-là, comment ça se fait qu'ils sont pas, je sais pas, dans un parti plus à gauche à ce moment-là? Pourquoi ils sont pas avec Québec solidaire? Pourquoi est-ce qu'ils sont là? [03:19:24] Speaker A: Leur conviction sont peut-être pas à gauche non plus. cette augmentation-là. Moi, j'ai l'impression que vous l'avez évoqué, Kim, que ce mouvement-là est moins inclusif que vous le souhaiteriez. Ça veut dire que vous voyez... [03:19:36] Speaker E: On ne leur a pas demandé s'ils allaient voter pour le PQ, les jeunes. [03:19:39] Speaker A: On leur a demandé s'ils allaient voter pour l'indépendance. Non, mais ce que Kim a dit, c'est que cet essor-là me semble moins inclusif que la souveraineté à laquelle j'aspire, moi. [03:19:51] Speaker C: Ils le disent pas, là, mais ça a déjà été dit dans un autre podcast, il y a un moment donné, j'avais joué l'extrait. Pour eux autres, les PKS, c'est des racistes. [03:19:56] Speaker B: Ben oui, c'est clair. [03:19:58] Speaker C: Pis ils veulent pas être avec eux autres. [03:19:58] Speaker A: Moi, je veux pas faire des pays avec des racistes. Ouais, c'est inclusif, hein. C'est inclusif. Nous, on veut... On va queer for Palestine. C'est ça qu'on veut. Queer for Palestine. [03:20:09] Speaker C: Il m'en reste deux. Sophie Lorrain, qui est allée encore plus loin. [03:20:11] Speaker E: Comment tu peux voter pour un parti comme le Parti québécois et ne pas avoir d'identité culturelle en même temps? Tu deviens au 51e état tout de suite à ce moment-là. Excusez-moi, je vais aussi loin que ça parce que c'est vers ça qu'on s'en va. On a une jeunesse qui n'est pas présente. 9 % de cette jeunesse dont vous parliez des 56 % tout à l'heure, c'est ceux qui regardent la télé. [03:20:32] Speaker C: Tu veux-tu devenir au 51e état, toi? Non, mais donne-moi de l'argent. Non, non, mais j'ai l'impression que le Québécois, il va dire non. Fait que non, fait que donne-moi de l'argent. [03:20:39] Speaker B: Le Texas est un état, il a sa propre culture. La Louisiane est un état, ils ont leur propre culture. Le Nebraska. [03:20:46] Speaker A: Oui. [03:20:47] Speaker C: Le Nevada. [03:20:47] Speaker B: La Californie. [03:20:49] Speaker A: Le Maine. [03:20:50] Speaker B: La Floride, là, on fait juste passer la frontière. [03:20:52] Speaker C: L'Oregon. [03:20:53] Speaker B: T'sais, t'as un pied d'une frontière, un pied de l'autre bord, puis tu le sens. [03:20:55] Speaker A: Je le sens ça, oui. [03:20:57] Speaker B: T'sais, ils ont... [03:20:58] Speaker A: La Floride et le Maine, t'as c'est différent. [03:21:00] Speaker B: Ben oui, voilà, voilà. [03:21:02] Speaker A: C'est ça. Pas pareil. [03:21:03] Speaker B: Non, non. Puis tu sais, j'ai pris le Texas, puis la Louisiane, puis la Floride, parce qu'eux autres, ils adéfendent leur culture. [03:21:09] Speaker C: Ils sont tous proches, en plus. [03:21:10] Speaker A: Ils sont tous proches, oui. [03:21:11] Speaker C: Ils n'ont pas besoin de monter jusqu'au max. [03:21:13] Speaker B: Très fiers. [03:21:13] Speaker A: Sans subvention. [03:21:15] Speaker C: Luc Dionne était aussi autour de la table. Lui, il leur a... [03:21:18] Speaker B: C'était un beau party. [03:21:19] Speaker C: Oui, oui. Mais lui, il essayait de plugger les nouvelles séries qui s'en venaient. [03:21:23] Speaker A: Oui. [03:21:23] Speaker C: Lui, il leur a scrappé un petit peu leur party. Il était là, il restait un petit peu silencieux, mais il a scrappé un peu le party. [03:21:30] Speaker B: Avec ce que je vois aujourd'hui, avant de parler d'un pays, on peut-tu parler d'un ménage? [03:21:38] Speaker A: C'est le pays qu'on propose, c'est le pays qui existe aujourd'hui, j'en veux pas. [03:21:42] Speaker E: Donc vous, s'il y a un référendum, si le PQ est élu, vous votez pas oui? [03:21:46] Speaker B: J'ai jamais dit ça. J'ai eu une réunion assez importante avec. [03:21:49] Speaker A: Des gens qui sont très très proches. [03:21:50] Speaker C: Du mouvement indépendantiste et souverainiste, puis on. [03:21:53] Speaker B: M'A demandé ce que je pensais de toute cette question-là, puis j'ai dit, si vous voulez être absolument certain que le. [03:21:58] Speaker C: Pays ne se fasse jamais, mettez ça. [03:22:00] Speaker A: Dans les mains des politiciens et des. [03:22:01] Speaker B: Artistes, c'est sûr qu'il n'y arrivera jamais rien. [03:22:03] Speaker A: Et je le pense très sincèrement. D'ailleurs, quand j'ai eu du son d'arrêter. [03:22:07] Speaker B: De me parler, on m'a pu parler. [03:22:08] Speaker A: Du reste de la journée. Sophie n'est pas d'accord, je vous vois. [03:22:10] Speaker E: Gang de pas bons. [03:22:11] Speaker A: Gang de pas bons. C'est juste le coeur, pas de tête. Pas de planif, pas de nettoyage, pas de rigueur. Très bon d'homme. [03:22:20] Speaker B: On va avoir un restant tantôt, de toute façon. [03:22:22] Speaker A: Absolument. Jean Lafrance et Jasmin Gilbert débarquent dans le show. [03:22:26] Speaker E: Toute l'équipe de Moray Live. [03:22:28] Speaker A: Moray. [03:22:28] Speaker E: De retour dans un instant. [03:22:30] Speaker A: Live. Oui, Mathieu. [03:22:32] Speaker E: Radio. [03:22:36] Speaker C: En direct! [03:22:37] Speaker A: C'est pas drôle, Max. [03:22:37] Speaker C: Où il trouve ça drôle, lui? [03:22:38] Speaker E: Je sais pas qu'est-ce qu'il y a. [03:22:40] Speaker A: Il est-tu pris de la drogue? Il est arrivé tard, hein? [03:22:42] Speaker E: Non, mais il est léger, Max, à matin. Moi, je soupçonne qu'à matin, c'est la bennété. [03:22:46] Speaker A: On a des matins qui sont... [03:22:48] Speaker E: Tu penses que... Ah oui, oui. [03:22:50] Speaker A: Je suis rayonnant. Petit oiseau. Il est léger. [03:22:52] Speaker E: Tu vois, je... Regarde! [03:22:54] Speaker A: Il est comme un contrôleur. Ferme-tu ta boîte? Ah oui, si vous voulez. 1000 piastres pour le sapin si tu fais ma gueule. Ouellet! [03:23:01] Speaker C: En direct! [03:23:02] Speaker E: Lundi au vendredi. Midi. Présenté par l'Entrepot de la Rénault. Pour vos Rénault meilleurs prix, on vous attend aux 9300 rue John Simons, Québec et rue Jean H. Kruger, Trois-Rivières. entrepotdelarenault.com. [03:23:16] Speaker A: Avec le groupe Nanoq, acceptez votre soumission de bardeau en 10 jours et vous pourrez bénéficier de notre rabais éclair allant de 250 à 1050 $. Ou prévoyez de changer votre revêtement extérieur pour le printemps prochain profiter du réno rabais extérieur allant de 200 à 1500 $. Appelez-nous pour plus de détails au 581-985-6949. Visitez le nanook.ca, N-A-N-U-U-Q.ca. Certaines conditions s'appliquent. Le Kona Électrique 2025. Puissant, pratique et 100% électrique. Pendant l'événement, prenez la route Hyundai. Obtenez 7000 $ en incitatifs et bonus sur le Kona Électrique 2025. En location à 95 $ par semaine, 24 mois. Léger comptant. Chez les sars Hyundai. Boulevard Louis XIV. de Québec pour faciliter la fluidité. [03:24:09] Speaker B: Beaucoup d'incidents ce matin. Évidemment, ce qui fait jaser, c'est la 20 direction Montréal. Il y a toujours une fermeture, fermeture de la 20 ouest. Dans le secteur Saint-Nicolas, c'est vraiment un détour obligatoire. Passez par la 40 si vous voulez aller à Montréal, quitte à revenir sur la 20 par Trois-Rivières parce que c'est encore ça qui est d'actualité ce matin. Pour le reste, ça rentre dans l'ordre tranquillement, mais sûrement. L'heure de point est maintenant terminée dans la grande région de Québec jusqu'au 28 septembre chez Première Moisson. Tous les pains carrés sont à 2 pour 10 $. Profitez-en pour découvrir leur grande variété de pains artisanaux offerts en boulangerie seulement. [03:24:46] Speaker C: Ah, le retour au travail. Les réunions, colloques, congrès. [03:24:51] Speaker B: Rends ça ultra savoureux avec Équilibre Traiteur. [03:24:55] Speaker C: Avec le nouveau site équilibretraiteur.ca, commande en ligne sans nombre minimum de repas. Commande la veille avant midi. équilibretraiteur.ca. [03:25:04] Speaker E: Plancher BFC FlorDeco, fiers dépositaires de la peinture Benjamin Moore. Tous les revêtements de plancher et la décoration sont présentement en promotion. Des rabais de 10 à 50 %. Venez rencontrer nos designers au 2700 rue Jean Perrin. Plancher BFC FlorDeco, beaucoup plus que des planchers. [03:25:21] Speaker A: La route, la route, les crains, les crains, la route, les crains, la route, la route, la route, la route, les crains, les crains, le piéton qui traverse, le pare-brise qui craque, le piéton à. [03:25:37] Speaker B: Terre, le piéton à terre, le piéton à terre. [03:25:42] Speaker A: Vos yeux ne voient qu'une chose à la fois. Si c'est l'écran, ce n'est pas la route. Garder son attention sur la route, c'est juste la base. Un message du gouvernement du Québec. [03:26:01] Speaker E: Capsule Radio X. [03:26:04] Speaker A: Bonne nouvelle, le restaurant Le Galopin est ouvert les midis. Le menu midi est de retour du mercredi au vendredi. Repas savoureux rapides que vous voudrez partager en bonne compagnie. Réservez votre party d'employés rapidement. Pour bien boire et bien manger, c'est le restaurant Le Galopin. Une toile à nettoyer ou à réparer? Nettoile.com. Besoin d'une toile sur mesure de qualité? WeCover.ca. Avant l'hiver, laissez-nous entretenir et nettoyer vos toiles incluant au vent, toile de bateau, toile d'hiver et plus. Nettoile.com et WeCover.ca, ouvert à l'année. En septembre, c'est la promo rentrée festive chez Lunetri Bella. À l'achat de paire de lunettes complètes, obtenez un rabais surprise et courez même la chance de gagner votre achat. Détail en succursale, Lunetri Bella, service qualité plus bas prix, Marie-France Proulx, opticienne. Pour vos projets de puits artésiens, contactez les Puits du Québec, des experts dévoués et de confiance. On évalue votre besoin et les conditions du sol pour un forage adapté et de qualité. Les Puits du Québec, exigez la qualité, puis avec un S, point com. Radio X à Québec, c'est Radio X. Radio X, c'est vous. [03:27:22] Speaker E: Fait drôle. [03:27:23] Speaker D: Votre propre opinion. Moret. [03:27:28] Speaker E: Live avec Dominique Moret. [03:27:33] Speaker A: Radio X. Wow, on parle d'auto, mais c'est pas ça le sujet. M. Lafrance qui rit, qui trouve ça bien drôle. Comment ça va à vous tous? On va vous saluer autour de la table. D'abord, Jean Lafrance, qui est avec nous. Bonjour. Tommy Caron, qui est le patron, le DG de Mercedes-Benz de Québec. [03:27:55] Speaker B: Bonjour, bon matin. [03:27:56] Speaker A: Allô, bon matin. Et Jasmin, comment ça va? [03:27:58] Speaker B: Très bien. [03:27:59] Speaker A: Très bien. [03:28:00] Speaker B: Bon matin à tout le monde. [03:28:00] Speaker A: Bon matin. Et on parle d'une soirée exceptionnelle pour les jeunes. Mais d'entrée de jeu, parlons des jeunes, mais on va parler de la soirée Country du 12 septembre. Plus tard, la soirée Hi-Ha! Avec un taureau mécanique quand même chez Mercedes. Ça, c'est du jamais vu. Vraiment. On lit ici sur le préambule, en fait c'est le texte sur le site des oeuvres Jean Lafrance, que depuis 98, plus de 1000 jeunes ont trouvé un accompagnement et un tremplin auprès de votre oeuvre. Ça c'est valorisant, c'est exceptionnel. C'est plus qu'un chiffre ça là. [03:28:35] Speaker D: Ah c'est plus qu'un chiffre, oui, parce. [03:28:36] Speaker A: Qu'Il y a de la vie à travers tout ça. Il y a du succès, il y a des choses mitigées. Tu sais, souvent, les gens me demandent, pour venir à la maison, ça prend quoi? Moi, je dis toujours, veux-tu ou tu veux pas? Si tu veux, on va faire un bout. On a un beau succès, là. Un de nos anciens vient de terminer son bac en intelligence artificielle. Puis quand, lui, on voit le parcours qu'il a fait, tu dis, ça se peut pas. Ça se peut pas. Quand je l'ai présenté au Collège Champigny, j'ai dit au directeur, M. Bouchard, vous le mettez pas dehors avant deux ans. Là, il m'a regardé, il dit, c'est tout un numéro. C'est plus qu'un numéro. Il a terminé son collège dans un des premiers. Il était deux ans à Rimouski. Il est revenu d'une université, puis là, il vient de graduer. Tout le parcours de ce jeune-là, puis il était vraiment pas mal une solde en vie, lui-là. Ah, tu sais, c'est extraordinaire. Et là, on veut ramasser de l'argent. C'est ce vendredi de 18 h à 23 h 30. On veut ramasser de l'argent pour quoi? Bien, justement, pour aider ces jeunes-là. J'en ai un qui s'en va... Il n'y avait pas de place dans les écoles publiques en mécanique. On a décidé qu'il s'en allait à Viron. Ici, il manque au four de Viron. Lui, là, c'est le temps de frapper dans le tour. Il part sous sa case. C'est un des deux. Alors, ces argents-là servent souvent, ça. Les jeunes... D'abord, il faut tenir cette maison-là. Cette maison-là nous coûte 1,2 million, 1,3 million par année. Il y a des frais d'opération, il y a du bon, il y a une permanence, il y a des gens qui sont payés à temps plein. Bien oui. C'est normal. 24 heures par jour, 365 jours par année. Dans toute mon expérience, une journée qu'on a fermée, un Noël, puis j'ai passé la nuit au téléphone. [03:30:25] Speaker D: Bon! [03:30:25] Speaker A: Wow! Wow! Jasmin? Ça coûte pas cher. Moi, je trouve que ça coûte pas cher cette soirée-là pour y participer. 100 $. [03:30:35] Speaker B: La nourriture est incluse parce que les food trucks, les offres dans la France sont là parce qu'on a des food trucks qui est un plateau de travail pour les jeunes également pour se stabiliser puis apprendre à travailler ensemble. Et ces food trucks-là vont être sur place. C'est-à-dire que les gens, t'arrives à 6 h, t'arrives à 7 h, t'arrives à 8 h, t'arrives à 9 h, tu. [03:30:52] Speaker A: Peux manger pendant toute la soirée jusqu'à 11 h le soir. [03:30:55] Speaker B: Il y a des consommations qui sont gratuites également, puis il y a beaucoup d'animations. Il y a un band qui est là. [03:31:00] Speaker A: Oui, oui, c'est ça. C'est Félix Poulain-Roy qui est là sur place pour faire danser. C'est un show de country. [03:31:06] Speaker B: C'est un excellent musicien, un excellent groupe. [03:31:07] Speaker D: Qui va être sur place. [03:31:09] Speaker B: Il y a un professeur de danse en ligne, country, qui va être sur place également. Dans les pauses publicitaires ou dans les pauses du groupe, il va y avoir un professeur de danse en ligne, country, pour leur montrer c'est quoi les mouvements qui doivent être faits. [03:31:24] Speaker A: C'était une soirée exceptionnelle. [03:31:26] Speaker B: Une soirée exceptionnelle à bas prix, c'est ce qu'on a dit. [03:31:28] Speaker A: C'est vraiment pas cher, pour vrai. [03:31:30] Speaker B: C'est vraiment pas cher. Tu vas au restaurant aujourd'hui pour 100$. [03:31:33] Speaker A: Ça n'existe pas bien, non. [03:31:35] Speaker B: Là, t'as une soirée, t'as de l'animation, t'as les concours de taureau mécanique. Il y a des prix d'attribuer là-dessus, dans un espace extraordinaire qui vient d'être rénové à coup de... Bien oui! [03:31:47] Speaker A: M. Caron, qui est le DG de Mercedes de Québec. Comment ça va? [03:31:51] Speaker B: Super bien! [03:31:52] Speaker A: Là, on va tasser les autos. Il faut faire de la place pour le taureau mécanique! [03:31:56] Speaker B: Absolument! [03:31:56] Speaker A: Le taureau mécanique, ça en vient? [03:31:58] Speaker B: On fait de la place pour le tour mécanique, on fait de la place pour la piste de danse. Oui! C'est un peu notre deuxième expérience. On a déjà fait quelque chose d'embryonnaire avec des employés il y a quelques années avec un tour mécanique dans la salle de monde. Puis honnêtement, ça avait été tout qu'une soirée agréable. Danseurs professionnels aussi sur la piste, c'est vraiment une belle soirée. On s'est dit, ce coup-ci, oui, on est là pour ramasser des fonds, mais on s'est dit, pourquoi pas faire connaître les oeuvres Jean Lafrance, puis faire un party agréable et non conventionnel, un peu comme tous les cocktails sur lesquels on est sollicités dans l'année. Fait qu'on s'est dit, go, on y va avec ça. 100$, c'est pas cher pour une belle soirée. Puis, en plus de faire connaître les oeuvres, on va avoir assurément beaucoup de plaisir à cette soirée. [03:32:38] Speaker A: Qu'est-ce que ça présente pour vous, personnellement, les oeuvres Jean Lafrance? [03:32:41] Speaker B: Je suis sur le CA des Oeuvres Jean-Lafrance. C'est l'appel du ciel qui m'a amené aux Oeuvres Jean-Lafrance. J'habite pas loin du Collège Champigny, où. [03:32:50] Speaker A: J'Étais allé à l'école, où mon fils. [03:32:51] Speaker B: Était allé à l'école. Je voyais ça, cette grosse maison-là, je me suis dit qu'est-ce qui se passe là-dedans. Par l'entremise de Jasmin, je suis rentré sur le CA. Et puis, pour moi, pour Mercedes-Benz de Québec, bien, c'est encourager la relève. Puis c'est aussi donner aux suivants en participant financièrement avec les Oeuvres Jean-Lafrance. On fait deux activités par année, dont le Jeff Open. [03:33:11] Speaker A: Auquel on est commandé. Oui, oui, dont j'ai entendu parler. Pardon? [03:33:14] Speaker B: Ce que Tommy a oublié de dire, c'est que c'est lui qui ramasse la facture de l'organisation. [03:33:18] Speaker A: Ah oui? [03:33:19] Speaker B: Alors les 100$, il va directement aux oeuvres. [03:33:21] Speaker A: Oui, absolument. [03:33:22] Speaker B: Parce que justement, lui, il assume les frais. Il y a pas beaucoup d'entreprises qui... [03:33:26] Speaker A: Donc c'est ça, tu sais, quand on donne des oeuvres de charité, quelle qu'elle soit, t'as toujours des frais d'administration, tu sais, du genre... L'organisation. 60 cents dans la pièce, on va... ça en va à l'organisme, donc ça faisait 40 cents, ça en va à l'administration. Donc ce que vous le disiez ce matin, c'est qu'il y a zéro cent qui s'en va à l'administration. Donc le 100$ plein s'en va injecté dans l'oeuvre. C'est jamais vu, là? [03:33:47] Speaker B: C'est aux oeuvres Jean Lafrance. [03:33:49] Speaker A: Ça vous tente pas de donner des leçons à d'autres oeuvres que je pourrais vous nommer? Très bon! Parfait! C'est touchant de voir ça. Quand Tommy est arrivé sur le conseil, il a dit qu'on allait faire un tournoi de golf. Ensuite, la soirée de Tomberfest, puis là c'est rendu la soirée de West End. Tu sais, pour nous autres, les... C'est communautaire, il faut s'organiser pour ramasser des argents. Puis je me dis, on est bénéfique. C'est-tu plus dur qu'avant de ramasser l'argent? Oui, oui. Parce que le caritatif veut, veut pas, l'argent se fait rare, les commerces serrent la ceinture, ils ont toujours des budgets de marketing ou en fait de bénévolat, de bénévolence, en tout cas, peu importe. Les compagnies veulent, veulent pas, elles se battent pour le dollar. C'est sûr, c'est plus difficile. Même pour nous autres, tu sais, d'aller chercher une paire de jeans à 25 $ aujourd'hui, c'est 50, 75, tu sais. Tu vois, je suis le coiffeur, ça coûtait 10 $, c'est rendu 40. C'est ça. Pousse-battre, hein? Ils ont exactement les mêmes besoins que n'importe quel enfant, ces jeunes-là. [03:34:50] Speaker B: Sans parler de la nourriture. [03:34:51] Speaker A: Sans parler de la nourriture, tu sais... Est-ce que l'enfance est plus maganée au Québec aujourd'hui? Parlez-moi de la société. Vers où on s'en va? Moi, je trouve que ça a changé beaucoup. Il faut prendre d'autres méthodes. Qu'est-ce qui a changé, M. Lafrance? Depuis la pandémie, on a laissé aller un paquet d'affaires. Là, on dirait qu'on a perdu le contrôle. OK? Puis là, on met des lois, puis on met des lois, puis on met des lois. Puis il y a un petit règlement ici, puis un autre petit règlement. On n'a pas le temps de vivre, on vit dans les règlements. Puis on peut-tu en garder un petit peu? L'année passée, vous en avez sûrement entendu parler. Il y a un jeune qui est arrivé dans le collège avec un revolver, puis qui a envoyé ça dans l'école partout. Puis là, c'est la police, puis la descente. Mais c'était un de mes gars. Et avec la directrice de l'école, on s'est assis ensemble, puis on a regardé le besoin de ce jeune-là. On a regardé le besoin. Et l'école a été assez bonne pour dire, bien, votre passé... l'orienteur deux fois, trois fois, six fois, puis t'essayais de t'orienter. Bien là, il a trouvé sa voie. [03:36:01] Speaker B: À la place de le mettre dehors. [03:36:02] Speaker A: On l'a gardé puis on a continué avec parce qu'il voulait. C'est une erreur de jeunesse, t'sais. Mais souvent, on est porté les mettre de côté. Comment il est, ce jeune-là, aujourd'hui? Oui. Ça va-tu bien? Pardon? Le jeune, aujourd'hui, est-ce que ça va bien? Il va très bien. Il commence l'école la semaine prochaine. Wow! Au lieu de le judiciariser puis de lui taper dessus, et de l'enfermer. Les policiers de Québec ont fait une belle job là-dedans. Ils ont fait une beauzeuse de belles jobs. Grâce à vous aussi, quand même, vous aviez les bras ouverts. Mais les policiers, là, c'était extraordinaire. Ils ont eu le cœur ouvert. [03:36:33] Speaker D: Oui, oui, oui. [03:36:34] Speaker A: À la bonne place. Nous autres, on n'a jamais eu de trouble avec la police. [03:36:37] Speaker B: Jamais. À Québec, jamais. [03:36:39] Speaker A: Vous êtes extraordinaires. Donc je réitère l'invitation rapidement. On achète les billets sur le site de l'œuvre Jean Lafrance. On les achète là en ligne. On peut les acheter à la porte, assurément. C'est ce vendredi, 18h. On va se souper chez Mercedes. Chez Mercedes, c'est pas compliqué. On va se souper là. Et on va veiller là, littéralement, parce qu'il y aura des petites ringues aussi. Puis on apprend à danser. Êtes-vous bons, vous autres, ou pas pire? Vous avez... Enfin, la soirée, on va être bon. Enfin, ça va être pas pire. Merci beaucoup d'être passés. Merci à vous. Merci. On fait la pause et on revient. Et vous êtes dans Moray Live. [03:37:21] Speaker E: Davie, le plus grand chantier naval du Canada, recrute pour plus de 1000 postes. Peintre, assembleur mécanique, électricien, contre-maître et plus. Avec un carnet de commandes rempli jusqu'en 2040 et des conditions de travail solides, ose le grandiose pour ta carrière. Postule à DavieRecrute.ca Pour améliorer votre qualité. [03:37:39] Speaker A: De vie et vous redonner confiance, les implants dentaires sont LA solution. Dr Steve Bernier, spécialiste et expert en implants dentaires. [03:37:53] Speaker C: S'il y avait un camp de recrutement. [03:37:55] Speaker B: Pour devenir véhicule certifié d'occasion Paquette-Nissan et. [03:37:58] Speaker C: Saint-Nicolas-Nissan, il y aurait beaucoup d'appelés et peu d'élus. [03:38:02] Speaker B: Car ce n'est pas n'importe quel véhicule. [03:38:03] Speaker C: Qui peut entrer dans la famille. [03:38:05] Speaker B: L'équipe les teste, les inspecte et garantit. [03:38:07] Speaker A: Qu'Ils donnent encore leur 100 % en tout temps. [03:38:10] Speaker B: Profitez du financement à partir de 2,99 % et des plus, dont le programme. [03:38:14] Speaker A: De changement de la vie. [03:38:15] Speaker B: Vous verrez que même d'occasion, votre Nissan du groupe Paquette est encore au sommet de sa forme. Détails chez Paquette-Nissan et Saint-Nicolas-Nissan. [03:38:23] Speaker E: Sous-titrage Air Transat présente Emma, incapable de résister à une bonne affaire. [03:38:28] Speaker A: Chérie, pourquoi il y a un château gonflable dans court? Un seul, puis il y a un super bon prix. Puis une autre souffleuse? [03:38:33] Speaker C: Ah ouais, super bon prix. [03:38:35] Speaker A: Une machine à bulles géante? Super bon prix. C'est pas dans le salon. Puis nos valises prêtent sur le bord de la porte? [03:38:41] Speaker B: Surprise! [03:38:42] Speaker E: On part maintenant. Avec des offres incroyables sur les vols vers le sud et l'Europe, vous aurez du mal à résister vous aussi. Visitez airtransat.com pour tous les détails. Des conditions s'appliquent. Air Transat. Le voyage nous transporte. [03:38:53] Speaker A: Société Radio-Canada Naguère, chemin faisant sur la grande allée, un cavalier à vélocipailles de 100, protection du chef, filait à brides abattues. Au même moment, une fillotte fonça en trottinette alors qu'elle parlementait avec une personne invisible dans sa main. Je me disions, si ces deux énergumènes venaient à croiser un char de fer. [03:39:11] Speaker C: Il faudra faire des prières. [03:39:13] Speaker A: Avec toutes ces nouvelles montures, partout le fièvre batait, il faut surveiller son arrière-train. [03:39:18] Speaker E: Un message de l'intendance, pardon, de la Ville de Québec, qui vous rappelle qu'être un colon sur la route, c'est dépasser. [03:39:24] Speaker C: Ta voiture est comme pas neuve, mais t'en veux une neuve? [03:39:27] Speaker A: On peut reprendre ta comme neuve et même t'en trouver une neuve. [03:39:32] Speaker C: Pour une voiture, c'est Charlebourg-Toyota. [03:39:35] Speaker A: Évalue ta comme neuve au commeneuve.com Vous voulez vendre votre maison? SimonsLaberge.com, les courtiers immobiliers numéro 1 au Québec du palmarès Via Capital. Ils ont les connaissances, l'expérience et le réseau de contact. Vous voulez vraiment vendre votre maison? SimonsLaberge.com, courtiers immobiliers Via Capital. SimonsLaberge.com. Chez Aquavila, on sait qu'une belle salle de bain, c'est bien plus qu'un luxe, c'est du confort pour toute la famille. 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C'est pas une blague, là. [03:41:30] Speaker E: Avec Dominique Moray. [03:41:32] Speaker A: Les meilleurs au monde. Tout va très bien, tout va très bien. [03:41:49] Speaker B: On jase. [03:41:50] Speaker A: OK, on jase. Il y a quand même une Légion sous le Seyde qui sera faite à l'instant. [03:41:55] Speaker B: C'est le camp des recrues qui commence aujourd'hui. [03:41:57] Speaker A: Canadiens, il y a une game à la fin de semaine. C'est les games d'espoir. Désespoir! Il y aura du beau talent, pareil. Demidov va jouer, c'est sûr qu'on va regarder ça. [03:42:06] Speaker B: Je viens d'en recevoir la liste des joueurs qui seraient là, là. Il y a du beau talent. [03:42:09] Speaker C: C'est blanc contre rouge, genre. [03:42:11] Speaker A: Non, non, non, non, non. [03:42:12] Speaker D: Non? [03:42:12] Speaker B: Non, c'est recru, genre. [03:42:13] Speaker A: Il joue contre les Winnipeg, Ottawa, contre Toronto. [03:42:17] Speaker D: OK, conflit. [03:42:17] Speaker B: Mais c'est juste des recrus. [03:42:17] Speaker A: C'est juste des recrus. OK. Les matchs de désespoir, en fait. [03:42:20] Speaker B: Donc là, vous allez voir David Ranbacker, Ivan Demidov, Owen Beck, puis... [03:42:24] Speaker C: Ils faisaient ça, les autres années? [03:42:25] Speaker B: Philippe Massard. [03:42:25] Speaker A: Oui, oui. Moi, je me fous des autres années. Je joue au moment présent. Je vis mon moment demi-d'oeuvre. [03:42:30] Speaker B: Et vous vous souvenez du missile australien Yam Torp? Ben, il y a son frère, Tyler Torp. [03:42:36] Speaker C: Ah ouais? [03:42:37] Speaker B: Qui fera pas l'équipe. [03:42:40] Speaker A: Et il y a demi-d'oeuvre qui va y aller avec son chien, Céline. [03:42:44] Speaker C: Masse Bonhiard donnait une entrevue la semaine dernière à Télé-Québec, la place qu'il faut tripler le budget. [03:42:50] Speaker A: Allô les marionnettes? [03:42:52] Speaker C: Oui, mais c'était à l'émission de Marie-Louise Arsenault, parce qu'elle a eu une autre émission, mais là c'est sur Télé-Québec cette fois-là. [03:42:59] Speaker A: Les salaires, ça va bien, hein? Chica-chic. [03:43:01] Speaker C: Puis ils ont parlé, à un moment donné, de l'entrevue qu'il avait faite avec Haroun Bouazi l'année dernière. Puis là, tu sais, l'homme bodyman l'avait... Rien que ça t'a passé là? [03:43:10] Speaker A: Il n'y a rien qui s'était passé là. [03:43:12] Speaker C: Ben écoute, regarde, je reviens où tu avais écouté. [03:43:14] Speaker A: Il a fait du «More Live». [03:43:15] Speaker C: Dans la boîte, il y a eu un blâme après ça de l'homme beau du monde. Mais dans la boîte, tout le monde l'a félicité. [03:43:22] Speaker A: Mais ce que je tiens à dire. [03:43:26] Speaker B: C'Est que j'ai eu une tonne de félicitations aussi. [03:43:28] Speaker E: Pour cette entrevue-là? [03:43:29] Speaker A: Pour cette entrevue-là. [03:43:30] Speaker B: Et des pairs aussi, des gens, même des gens à l'interne à Radio-Canada qui. [03:43:34] Speaker A: Sont soumis aux mêmes normes et pratiques journalistiques que moi, qui m'ont félicité. Pourquoi ils vous ont félicité? parce qu'il trouvait que c'était une bonne entrevue. Il trouvait que j'avais pas lâché le morceau. [03:43:43] Speaker D: Il trouvait qu'effectivement, j'avais pas été du. [03:43:47] Speaker A: Tout complaisant avec lui. [03:43:49] Speaker D: Mais ça empêche pas que j'ai commis une faute. Je veux dire, j'aurais pu arriver au. [03:43:52] Speaker B: Même résultat sans commettre de faute. Vous comprenez ce que je veux dire? [03:43:57] Speaker D: Mais beaucoup de gens m'ont félicité. [03:43:59] Speaker A: Il y avait pas beaucoup de gens qui l'appuyaient, M. Boisy, dans ses propos. Islamiste à cravate. [03:44:03] Speaker C: La seule faute ça a été quand il a commencé l'entrevue en disant j'espère que vous venez ici pour vous excuser. Il aurait dû dire est-ce que vous venez ici pour vous excuser. Ça aurait été juste ça. T'sais donc t'arrives au même point à la fin là, mais supposément que t'es moins biaisé. T'es autant biaisé, c'est juste tes manières pour contourner, pour croçailler. Parce que maintenant dans le code de déontologie de Ratkan, Je n'étais pas soumis. [03:44:30] Speaker A: À l'impartialité, ce qui n'est plus vrai. [03:44:33] Speaker D: D'Ailleurs, c'est relativement nouveau. [03:44:34] Speaker B: J'ai appris ça récemment que j'étais maintenant soumis à l'impartialité. [03:44:38] Speaker E: Ce sont les fameux NPJ, normes et pratiques journalistiques de Radio-Canada. [03:44:42] Speaker D: Oui, c'est ça, normes et pratiques journalistiques. Il y en a cinq. [03:44:44] Speaker E: À l'information. [03:44:46] Speaker B: Il y a cinq valeurs absolues ou. [03:44:47] Speaker A: Cinq vérités auxquelles on ne doit pas déroger. [03:44:50] Speaker C: C'est pas tombé dans l'oreille d'un sceau, ça, je peux vous le dire. Moi, j'ai pris une note, là. OK, maintenant, vous êtes supposés être impartial, OK. [03:44:57] Speaker A: Marie-Louise aussi, je imagine, là. [03:45:00] Speaker C: Entre autres, ben écoute, je vais te donner même des exemples là. Michel, ah non, regarde, je vais commencer avec Mme Boileau, qui était à l'émission de Alain Gravel en fin de semaine. [03:45:10] Speaker A: On a beaucoup d'exemples d'hommes, la liste. On a cherché du Bois-Vert. [03:45:14] Speaker C: Ça pleut, là. [03:45:15] Speaker A: Ça pleut, exact. [03:45:16] Speaker E: Mais le meilleur atout de Mark Carney. [03:45:18] Speaker A: Gouvernement minoritaire, c'est Pierre Poilièvre encore et toujours. Absolument. Parce que oui, c'est ça, M. Poilièvre. [03:45:23] Speaker E: Il fait part aux gens. [03:45:24] Speaker A: Donc, il n'a pas la personnalité pour. [03:45:27] Speaker E: Accoter celle tellement aimable de M. Carney. [03:45:31] Speaker A: On dirait que c'est une radio chinoise en Chine. [03:45:35] Speaker C: Pierre Poilievre fait peur aux gens et... Tu sais, jusque-là, tu l'as tellement... Propaganda, là. Tu l'as tellement entendu quasiment que ça passe, mais de dire que Mark Carney, il est tellement aimable, les gens l'aiment tellement, Mark Carney. Arrête ça, là. [03:45:48] Speaker A: C'est un croque-mort, là. Mark Carney, exactement. Mark Carney a la face d'un gars saccogne à la pâte. Voulez-vous acheter vos pré-arrangements? [03:45:57] Speaker C: Ben, Mark Carney, c'est le croque-mort dans Lucky Luke. C'est vraiment ça. T'sais, il est pas aimable, là. Tu peux dire au pire qu'il pouvait pas lui faire peur. [03:46:05] Speaker A: Il avait une drôle de couleur, hein. C'était pas la couleur peau des prismacolores qu'on avait. C'était plus vert. [03:46:13] Speaker B: Une chose qu'il y avait un oiseau, sinon il aurait été insignifié. [03:46:16] Speaker C: Là, il lance sur la course au NPD. La course au NPD a lancé, là. Le NPD remonte juste parce que le monde sont annoncés libéraux. [03:46:22] Speaker A: Écoute, t'as vu les règles, hein? [03:46:23] Speaker C: Ben oui, oui, oui, je le sais, là. Les hommes cisgenres, puis les patentes de même, il faut qu'il y en ait pas plus que 50 %, puis... Mais... [03:46:31] Speaker A: C'est parti de malade mental, là, si vous voulez mon avis. Ça n'a pas d'allure, cette affaire-là. Si tu veux être membre, Dan, ça te prend une liste de noms. Bien, sur cette liste de noms, t'as un quota de cisgenres. Oui. C'est-à-dire des gens normaux, handicapés. Les hommes, c'est genre. Mais après ça, faut que tu t'en ailles dans une autre talle. Un petit peu de queer, t'as un quota de ci, de ça, c'est complètement capoté. [03:46:55] Speaker C: Théoriquement, si t'avais 100% de femmes qui signent pour toi, t'es correct. [03:46:58] Speaker A: T'es dénoncé par l'agacé, là. On est rendu ouïe, là. Ça, c'est assez flyé à ton goût. [03:47:03] Speaker B: Pour vivre heureux, faut qu'on se questionne. [03:47:05] Speaker C: Madame Boileau, t'as pas nécessairement d'accord non plus avec l'NPD, sauf que quand même, elle est là. [03:47:10] Speaker B: J'aimerais vous entendre en terminant sur le. [03:47:11] Speaker A: NPD et sa course au leadership qui va limiter la présence des hommes cisgenres. [03:47:17] Speaker E: Alors là, permettez-moi, Alain, de citer Karl Marx, dont la pensée économique a quand même traversé... [03:47:23] Speaker A: À Radio-Canada, vous citez Karl Marx, ça va bien. [03:47:25] Speaker E: Oui, oui, oui, pour traverser l'État, donc il faut croire qu'il y avait un. [03:47:28] Speaker A: Petit fond derrière ça qui a dit. [03:47:29] Speaker E: « Proletaires de tous les pays, unissez-vous ». Il n'a pas dit « L'identité personnelle de chacun doit servir à déterminer qui. [03:47:35] Speaker A: A le droit de voter ou pas voter ». C'est la journée des grandes citations comptées dans ses propres buts et prolétaires de tous les pays. [03:47:42] Speaker B: Lissez-vous, je pourrais dire, faisons payer les riches, par exemple. [03:47:45] Speaker A: C'est pas la même ligue. [03:47:47] Speaker C: Faisons payer les riches, on l'entend souvent à Radical, nous aussi. [03:47:51] Speaker A: Oui, la même journée. [03:47:53] Speaker C: C'est parce que maintenant, il faut pas que le jupon dépasse trop. C'est ça, Radical, en fait. Il faut y aller juste assez hypocrite pour pas que ça dépasse trop. En fin de semaine, ton émission préférée, Dan, c'est revenu. [03:48:03] Speaker B: Ah, plein gaz! [03:48:04] Speaker C: Oui, plein gaz, l'émission Feu vert. Donc il est revenu où on nous a parlé de la taille des voitures. [03:48:10] Speaker A: C'est feu vert. [03:48:11] Speaker B: Normalement, quand le feu est vert, tu pinces à la suce. [03:48:17] Speaker C: Oui, mais les autres ne pincent pas beaucoup à la suce parce que là, il y avait un bout où ils parlaient de réduire la taille des voitures. Puis là, ils ont fait le tour de la table et ils se sont rendu compte que... [03:48:25] Speaker E: On va faire un petit tour de table. Valérie Boisclair. Moi, je n'ai pas d'auto. Je n'en ai jamais eu, mais j'ai un permis. Colin Baudrillard. [03:48:32] Speaker C: Ben moi, même chose. [03:48:33] Speaker B: En fait, moi, j'ai pas de voiture. [03:48:34] Speaker E: J'utilise... Oui, mais c'est très sérieux. [03:48:36] Speaker A: On n'est pas très crédibles, hein? [03:48:37] Speaker E: Le tour d'été n'est pas très surprenant pour les policiers. Isabelle, qui est une entrepreneur, Isabelle Dupuis, est-ce qu'on peut se passer d'une voiture? C'est exactement ça. On n'avait pas de voiture, nous. On allait en transport en commun, puis quand on a ouvert la boutique, malheureusement, là, ça prend un véhicule. Là, on va s'en aller un petit peu faire un tour en dehors, parce. [03:48:53] Speaker B: Que là, sinon, on va se faire. [03:48:54] Speaker E: Dire que nous, on est toutes des espèces d'écolos irréalistes qui vivons tous sur le plateau Montréal, ce qui est faux, d'ailleurs. [03:49:02] Speaker A: Ce qui est faux, mais ce qui fut démontré, c'est qu'une forte proportion des pleurnichards de la presse, la presse avec un petit P, restent sur le plateau. C'est démontré, ça. Ils restent sur le bord du parc. Ils restent pas sur le plateau, ils. [03:49:15] Speaker B: Restent dans le maillet. [03:49:15] Speaker A: Exactement, dans le coin de Laurier, où la station BPM était. [03:49:21] Speaker C: C'était ça, comment elle s'appelait? [03:49:22] Speaker A: Radio H-Montréal. [03:49:23] Speaker C: C'était ça, comment elle s'appelait? Radio H-Montréal. C'était ça, comment elle s'appelait? [03:49:27] Speaker D: Radio H-Montréal. [03:49:27] Speaker C: C'était ça, H-Montréal. Radio H-Montréal. [03:49:31] Speaker A: Radio H-Montréal. [03:49:32] Speaker C: Radio H-Montréal. Radio H-Montréal. [03:49:34] Speaker B: Radio H-Montréal. [03:49:34] Speaker A: Radio H-Montréal. [03:49:34] Speaker D: Radio Radio H-Montréal. [03:49:35] Speaker C: Radio Radio H-Montréal. Radio H-Montréal. Radio H-Montréal. [03:49:37] Speaker A: Radio H-Montréal. [03:49:37] Speaker C: Radio H-Montréal. Radio H-Montréal. [03:49:38] Speaker E: Radio H-Montréal. [03:49:39] Speaker A: Ils Radio H-Montréal. restent Radio H-Montréal. [03:49:39] Speaker C: Radio H-Montréal. tous un peu à la même place, puis ils viennent tous des mêmes programmes universitaires, puis ils pensent tous pareil. [03:49:46] Speaker A: Même code postal. Radio H-M C'est ça. [03:49:48] Speaker B: Comme les Joueurs du Canadien, ils restent tous dans le même quartier. Parler de Joueurs du Canadien, il faut closer là-dessus. Il y a une recrue qui s'appelle Israël Manscom. [03:49:56] Speaker A: Mais il est banni. [03:49:57] Speaker B: C'est banni. [03:49:58] Speaker A: Il est banni, il n'aura pas le droit de jouer. [03:49:59] Speaker B: En fait, on devrait bannir le cas des recrues. [03:50:01] Speaker C: Il devrait se retirer de lui-même. [03:50:02] Speaker A: Oui. [03:50:03] Speaker C: Au lieu de le bannir. [03:50:05] Speaker A: Très petite pause. On revient dans Montréal Live. C'est une bonne idée. [03:50:10] Speaker E: A Télé-Québec, le mercredi 20h, Une Époque. [03:50:20] Speaker A: Formidable, animé par Stéphane Bureau. Je vous propose une question audacieuse. Nous utilisons quotidiennement l'intelligence artificielle, mais qui en sort vraiment gagnant? Déjà, je sens que ça vous parle. Et bye bye les médias traditionnels, bonjour les médias sociaux. Même des journalistes quittent les grands réseaux sociaux pour se joindre aux plateformes numériques. Ça fait beaucoup de gens qui sont intéressés, j'adore ça! Et vous, où vous informez-vous? Allez au-delà des préjugés avec Une Époque Formidable, mercredi 20h à Télé-Québec. Le méga casse-coup de Princesse Auto se déroule du 9 au 21 septembre. [03:50:52] Speaker C: Préparez-vous pour l'automne avec des superbes offres. [03:50:54] Speaker A: Sur les scieries, les fendeuses, les déchiqueteuses, les poêles à granulés et beaucoup plus. [03:50:58] Speaker C: Profitez des meilleures offres de la saison. [03:51:00] Speaker A: Pour vous permettre d'en avoir plus pour votre argent. sur les outils et l'équipement qui vous aident à construire, réparer ou démolir presque tout. Ne manquez pas le Mégacascou du 9 au 21 septembre en magasin et en ligne à Megacascou.ca. Princess Auto. Des idées, des outils. C'est le moment de l'année où Profab vous accueille à son usine de Valais-Jonction. Les 20 et 21 septembre, laissez-vous impressionner. [03:51:22] Speaker B: Par la construction d'une maison en usine. [03:51:24] Speaker A: Vous pourrez discuter avec notre équipe d'experts. [03:51:26] Speaker B: Et visiter notre toute nouvelle maison modèle. [03:51:28] Speaker A: Promotion exclusive, surprises et concours sur place. On vous attend. [03:51:31] Speaker B: Ça s'en vient ? [03:51:33] Speaker A: Réservez votre party des fêtes chez Dooley's avant le 19 octobre pour une soirée entre le 1er et le 16 novembre et profitez du billard à 50% ! On organise votre party à votre goût ! [03:51:46] Speaker C: Voici le portrait. Tu veux vendre ta voiture. [03:51:49] Speaker A: T'en veux une neuve. [03:51:50] Speaker B: Et tu veux faire ça simple. [03:51:52] Speaker C: Seule l'est avec Kia Beauport. [03:51:55] Speaker A: On fait partie du portrait. Rejoins la famille. [03:51:58] Speaker C: Évalue ton auto au kiabeauport.com. [03:52:01] Speaker A: La route. La route. La route. L'écran. L'écran. La route. Les crins, la route, la route, la route, la route, les crins, les crins, le piéton qui traverse, le pare-brise qui craque, le piéton à terre, le piéton à terre, le piéton à terre. Vos yeux ne voient qu'une chose à la fois. Si c'est l'écran, ce n'est pas la route. Garder son attention sur la route, c'est juste la base. Un message du gouvernement du Québec. [03:52:30] Speaker E: Vous avez des points PC Optimum? Obtenez-en encore plus pour vos points pendant le super événement d'échange de points chez Fermaprix. Du 5 au 10 septembre, obtenez jusqu'à 900 $ de rabais lorsque vous échangez jusqu'à 500 000 points PC Optimum. Wow! Je peux me gratter avec une foule de produits gratuits, comme des articles de beauté, des essentiels Tout plein de belles choses pour passer une super journée. Ne manquez donc pas le super événement d'échange de points seulement chez PharmaPrix, une entreprise fièrement canadienne. Des restrictions s'appliquent, achat minimum requis, détail en magasin. 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Pierre Couture dans le mid, ça sent bien. Puis nous autres on se dit à demain, bye bye. [03:54:03] Speaker E: Moray Live. [03:54:04] Speaker C: This is the end of the show. [03:54:05] Speaker E: J'en ai ma claque, la merde. [03:54:07] Speaker C: Have a great day and remember, swim safe. J'inviterais tous ceux et celles qui pratiquent le vélo en hiver à la prudence. [03:54:15] Speaker A: On est comme dans une tombe au jeu. Le 2 novembre. Le jour de la vengeance. Moray Live. [03:54:24] Speaker E: Réécoute les meilleurs moments. [03:54:26] Speaker A: Radio X.com. [03:54:28] Speaker E: L'application Radio X. [03:54:34] Speaker B: Les manchettes sportives présentées par BPM Sport. [03:54:37] Speaker A: BPM Sport, la radio des sports au Québec. [03:54:40] Speaker C: Hey, c'est Jordan. On a eu un solide week-end de sport. Dans la frontière, débutons par nos capitales qui ont passé le coup de ballet aux Boulders de New York. Victoire en vendredi à Québec de 4 à 0 avec un grand match de Greg Duncan. En 7 points de manche lancée, aucun point, aucun but sur balle, seulement 3 coups sûrs et il a retiré 10 frappeurs sur des prises. Ça, c'est du solide, mon Greg. Place maintenant à la finale de conférence. Il s'agira d'une série 3 de 5. Et les prochains adversaires, les Valley Cats. Ça débutera ce mercredi à Tri-City. Au football universitaire, le Rouge et Or a gagné hier, mais on s'attendait à une plus grosse destruction. Victoire de 28-5 contre le Varrier de Sherbrooke. Après le 3e quart, c'était 14-5 seulement et on a eu droit à beaucoup de punitions sur les unités spéciales et la concentration n'était pas à 100%. Coach Glenn Constantin voit ça comme de l'apprentissage. Pas grave, l'important, c'est le résultat. Place à un gros défi ce vendredi. Direction l'Université de Montréal pour affronter les Carabins. Et dans la NFL, après un dimanche de fou, c'est l'heure du Monday Night Football. Un duel à Chicago entre les Bears et les Vikings de Minnesota. [03:55:48] Speaker A: Impossible de battre le duel de fou. [03:55:50] Speaker C: Entre les Bills et les Ravens 41-40 à l'avantage de Buffalo. Ou encore de Aaron Rodgers en grande forme contre ses anciens Jets de New York. Mais quand même, c'est le retour du Monday Night. Maudite bonne nouvelle. Ça débutera à 20h15. [03:56:07] Speaker A: 100.9! Vous rêvez d'une escapade en Europe, d'une croisière ou d'un voyage sur mesure? Mel Guilmet Voyage Aquaterra Lévis, Québec et Sainte-Marie vous accompagnent à chaque étape. Passez-nous voir en agence et concrétisez votre projet. Mel Guilmet Voyage Aquaterra. Trois succursales pour mieux vous servir. La route. La route. La route. L'écran. L'écran. La route. Les crains... La route. La route. La route. La route. Les crains. Les crains. Le piéton qui traverse. Le pare-brise qui craque. [03:56:41] Speaker B: Le piéton à terre. Le piéton à terre. Le piéton à terre. [03:56:46] Speaker A: Vos yeux ne voient qu'une chose à la fois. Si c'est l'écran, ce n'est pas la route. Garder son attention sur la route, c'est juste la base. Un message du gouvernement du Québec. Des classiques comme jambon forêt noir, poitrine de dinde, italien BMT, combiné de viande froide ou thon, pour 5,99$ chacun. [03:57:13] Speaker C: Tous mesurés en centimètres. Canada, c'est le temps de virer métrique. [03:57:17] Speaker A: Seulement chez Subway Canada. [03:57:26] Speaker E: Et j'ai vendu ma maison! C'est des milliers de dollars de plus grâce à l'expertise de l'équipe Gagnon Courtier Immobilier. Profitez de leur service de home staging sans frais supplémentaires et vendez votre propriété 8, 10, voire 12 % de plus. Pour un effet époustouflant, confiez votre maison à Rémi Gagnon et son équipe 418-841-4141. Gagnez à être bien entouré avec équipegagnon.ca. [03:57:52] Speaker A: Transformez votre journée en jour de casino! Jouez au jackpot, jeux de table en direct et plus! Découvrez les machines à sous les plus populaires comme Book of Dead et Immortal Romance. Ou jouez à la roulette, au blackjack et bien d'autres à Casino Days. Ouvert à tous les joueurs 18 ans et plus, ça vous permet de vous amuser gratuitement. [03:58:05] Speaker B: Veuillez jouer de manière responsable. [03:58:07] Speaker A: Votre cuisine ou votre salle de bain a vraiment besoin de Réno? Signature Simard a encore quelques places disponibles. [03:58:13] Speaker B: Pour réaliser vos projets avant les fêtes. [03:58:15] Speaker A: Oui, vous signez un contrat en septembre et on garantit la livraison avant Noël. On s'occupe de tout. Nos designers créent vos plans 3D tandis que nos experts de la construction donnent vie à votre projet. Vous n'avez plus qu'à choisir parmi notre vaste choix de matériaux à notre salle de monde de Charlebourg. Rénovez sans tracas avant les fêtes avec Signature Simard au signaturesimard.com Ah, comme les. [03:58:38] Speaker E: Feuilles commencent à tomber. Faudrait bien que je me prenne d'avance pour mes pneus cette année. Ah, comme les flocons sont pas loin d'arriver. Je prends rendez-vous drette là, chez Service Certifié. Pour Service Certifié, l'hiver, c'est inspirant. Faites installer vos pneus d'hiver avant le 30 septembre 2025 et obtenez un rabais instantané de 50 $. Faites vite, prenez rendez-vous en ligne chez votre concessionnaire Service Certifié Chevrolet, Buick, GMC, Cadillac dès aujourd'hui. [03:59:06] Speaker C: Tu penses t'acheter une voiture prochainement? [03:59:09] Speaker A: T'en veux pas une neuve, mais une comme-neuve? [03:59:12] Speaker C: Pour une voiture, c'est Charlebourg Toyota. Va voir nos comme-neuves au comme-neuve.com. [03:59:21] Speaker B: Capsule. [03:59:22] Speaker A: Radio X Avec la pâtisserie Michaud, les campagnes de financement, c'est plus pareil. Virage techno, chacun sa boutique en ligne, son tableau de bord, même un code QR. Les enfants peuvent gérer leur vente et apprendre à se débrouiller. Pour vos campagnes de financement, demandez à l'école ou au club de vos enfants de s'inscrire sur pâtisseriemichaud.com Le Dr Steve Bernier, spécialiste et expert en implants dentaires depuis 25 ans. Un seul numéro pour vous redonner le sourire. 418-835-5858. Maintenant à Lévis, Québec et Labos, drstevebernier.com.

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