Episode Transcript
[00:00:00] Speaker A: Éventuellement en janvier, mais laissez-nous vivre notre moment en prolongation. À Québec, nous sommes en prolongation et c'est du soleil jusqu'à lundi prochain. Et au-delà de, peut-être. Parce que là, mon ordi, ça se rend pas jusqu'à... Jusqu'à lundi prochain. Lundi, le 6 octobre. Drôle à dire, hein? Le 6 octobre. On est encore en septembre. Ça passe vite. On est le 29 septembre, mesdames et messieurs, et ça sera 22 avec du soleil. Mais c'est du soleil mur à mur. 16, 14, 16, 19, 23 et 24 dimanche prochain.
[00:00:39] Speaker B: Wow! Ma blonde a mis les décorations de Halloween en fin de semaine. Je le file pas par toutes.
[00:00:44] Speaker A: Non, plein de monde sont allés cueillir des citrouilles dans le coin de Charlebourg, Louis XIV. Il y a un champ de citrouilles, c'est super beau.
les gens se préparent. J'ai même vu des lumières de Noël, là, aussi. Fait que les gens sont un peu... Ils mélangent... On mélange les affaires. On mélange les affaires. Faut dire qu'il y a quand même des rangées consacrées aux décorations de Noël. Je suis vraiment pas là-dedans, là. Je sais que vous allez me picosser. Hein, Morin, étais-tu là-dedans? Pas toi, tu es pas là-dedans.
[00:01:09] Speaker B: Je comprends pas le monde qui...
[00:01:11] Speaker A: Tu es pas là-dedans du tout, là.
[00:01:12] Speaker B: Encore fait simplement, tel magasin est censé être les décorations de Noël.
[00:01:16] Speaker A: Oui.
[00:01:16] Speaker B: Ouais, OK. Costco, ça fait un mois et demi, là.
[00:01:18] Speaker A: C'est ça, qu'on se tatouaise, hein?
[00:01:19] Speaker B: Oui.
[00:01:20] Speaker A: Canac un peu plus vite qu'à l'habitude toutefois, mais je suis vraiment pas... Vraiment pas là-dedans. Dan Gravel, t'es salué!
[00:01:26] Speaker C: Yo, yo, yo!
[00:01:27] Speaker A: As-tu passé un gros week-end?
[00:01:28] Speaker C: Absolument! Absolument!
[00:01:29] Speaker B: Ah!
[00:01:30] Speaker A: Un week-end familial?
[00:01:32] Speaker C: Oui, oui, c'était la fête de la conjointe. Ah!
[00:01:35] Speaker A: Es-tu exigeante, ta blonde?
[00:01:36] Speaker C: Pas à toute!
[00:01:37] Speaker A: Ou un brin la satisfait?
[00:01:39] Speaker C: C'est la première fois depuis que j'étais avec qu'on faisait un party chez nous.
[00:01:43] Speaker A: Une surprise?
[00:01:44] Speaker C: Non, c'était pas une surprise. C'était évidemment pas une surprise, mais on voulait faire ça tranquillement.
[00:01:51] Speaker A: On a souligné ça.
[00:01:52] Speaker C: Exactement.
[00:01:54] Speaker A: Elle a 30 ans?
[00:01:55] Speaker C: Collée de lapides.
[00:01:57] Speaker A: 25 ans? 30 ans?
[00:01:59] Speaker C: 35, disons.
[00:02:01] Speaker A: On va lui faire plaisir. Ça fait plaisir aux femmes, là.
[00:02:04] Speaker C: C'est ça, exactement.
[00:02:05] Speaker A: Des faux-âges.
[00:02:06] Speaker C: Voilà. Pis le lendemain, son fils est descendu à Québec pour la fête de semaine, évidemment, c'est la fête à maman.
[00:02:12] Speaker A: Le gars du zoo, là?
[00:02:13] Speaker C: Ouais, le gars du zoo.
[00:02:15] Speaker A: Le gardien du zoo?
[00:02:17] Speaker C: Le monde, ils sont tarlants, là, c'est lui.
[00:02:19] Speaker A: As-tu commencé à changer d'accent? Il y a quand même deux mois qu'il est rendu à Saint-Félicien.
[00:02:23] Speaker C: Il n'a pas encore commencé à changer d'accent. Mais ça paraît, au niveau de la maturité, au niveau de...
[00:02:29] Speaker A: Il nourrit des tigres, à un moment donné. Quand tu te m'amènes en cage, tu deviens pirexflexe.
[00:02:35] Speaker C: Tu es même capable de le flatter. Puis par la suite, c'est ça, hier, on était dans le petit Champlain, un après-midi, il y avait du monde en déliage.
[00:02:45] Speaker A: Ça, c'est... c'est beau en maudit, mais en même temps, c'est une activité un peu boomeresque.
[00:02:50] Speaker C: Oui, oui, c'est très boomeresque. On était plus jeunes.
[00:02:52] Speaker A: Si t'es un touriste, t'as le droit.
[00:02:55] Speaker C: Mais si t'es quelqu'un de Québec... Ah non, t'as raison.
[00:02:58] Speaker A: ... qui va, c'est boomeresque.
[00:02:59] Speaker C: Ah oui, t'as absolument raison. Mais y'avait du monde.
[00:03:03] Speaker A: Ah oui, y'a du monde.
[00:03:04] Speaker C: Y'a du monde, on a fait un verre, on a mangé en terrasse. Ça a été une belle fin de semaine.
[00:03:10] Speaker A: Quand tu te promènes avec ta blonde, tu y tiens-tu la main? Moi, j'suis pas grave.
[00:03:13] Speaker D: Non, ben non.
[00:03:14] Speaker A: Non, mais il y en a qui prennent des marches, je les regarde, ils se tiennent la main, mais tu sais, des fois, ma blonde, elle me prend en main, je flatte la main un peu, puis après ça, je la remets dans mes poches. Tu sais, oui, oui, chérie, c'est bien moi, mais je suis pas capable de prendre une marche en se donnant en main. Ça crée un déséquilibre dans le mouvement.
[00:03:32] Speaker C: On était là tous les quatre, fait que c'est toujours la même affaire. C'est toujours la même affaire.
Moi pis le plus vieux qui est aux cinq minutes, on attend une minute pis qui nous rattrape. C'est tout le temps ça. Tous les autres on avance plus vite. Les autres, je sais pas, des souffleurs de verre, ça les intéresse, ça fait garette là.
[00:03:51] Speaker A: Pis regarde le téléphone au travail.
[00:03:53] Speaker C: C'est sans doute, sans doute, sans doute. Non, pour vrai, ça a été le fun. En plus, j'ai trouvé le temps de regarder le football dehors. Ah oui?
[00:04:02] Speaker A: T'as rangé une terrasse? Avec une TV?
[00:04:05] Speaker C: J'ai pas mis de TV, j'étais sur la tablette. Je me suis même endormi dans le hamac en regardant la game entre les Eagles puis les Bucs.
[00:04:12] Speaker A: Les Bucs ont failli revenir.
[00:04:14] Speaker C: Oui, les Bucs ont failli revenir.
[00:04:15] Speaker A: Ils sont revenus avec une interception.
[00:04:17] Speaker C: Il y a eu du gros football hier. Il y a eu du très gros football. On aura le temps d'en reparler.
[00:04:21] Speaker A: Les Corneilles puis les Corbeaux, je vais dire une chose, au dépotoir... Oui.
[00:04:26] Speaker B: Wow!
[00:04:26] Speaker A: La pire défensive de la Ligue. C'est un film d'horreur. Ce qui va se passer à Baltimore, c'est un film d'horreur. Ça va peut-être finir avec le congédiement du coach.
[00:04:35] Speaker C: Peut-être.
[00:04:36] Speaker A: J'espère.
[00:04:38] Speaker B: Ça commence à être une option, là.
[00:04:40] Speaker A: Oui, la semaine passée déjà, ça faisait jaser sur ESPN. Mais mon gars, qui est très peu des Ravens, il dit « Ah, c'est Stephenie, c'est de la marde. » Mais Stephenie, oui, oui, c'est sûr qu'il polarise. C'est un gars qui raconte toutes sortes d'affaires, au basket entre autres. C'est le show le plus écouté à ESPN avec...
Ça s'appelle le douche... Pat McAfee. C'est First Take, c'est un douche, c'est un vrai douche. Yannick Macamizol. Et First Take de Stephen A. À un moment donné, c'est pas eux autres qui vont décider de Harba et de son avenir, mais il y a un moment pour moi que s'ils mettent ça dans la conversation, Il y a une roue, à un moment donné, c'est comme au hockey, il y a une roue qui tourne.
[00:05:26] Speaker B: En même temps, ils sont 1-3. Je ne veux pas leur donner d'excuses, mais les 3 défaites, c'est contre les Biz, les Lyon et les Chiefs. Ça, c'était les Ravens. T'es supposé battre.
[00:05:36] Speaker A: Oui.
[00:05:36] Speaker B: T'es supposé aspirer au Super Bowl. Et surtout de la maire qui s'est fait sacré voler par les Chiefs. Les builds, c'était très serré. Les Lyons, ça a été quand même pas pire. Hier, ils se sont fait sacrer une volée.
[00:05:48] Speaker A: Une volée solide.
[00:05:49] Speaker B: Ils ont jamais été dans le game.
[00:05:50] Speaker A: Lamar a blessé O'Vera pendant combien de temps? Peut-être blessé plus à l'égo qu'autre chose.
[00:05:56] Speaker B: Oui, je pense que c'était plus ça, en effet.
[00:05:57] Speaker A: Mais il y a quand même des vrais blessés aussi. Il y a quand même beaucoup de blessés.
[00:06:01] Speaker C: La défensive est amochée. Déjà, la tertiaire, c'était pas fort, même si ça va bien. En plus, c'est l'identité des Ravens. Je comprends les fans. Je comprends les fans d'être au bout de leur chaîne, mais c'est vraiment l'identité des Revens, la défensive, donc une journée comme celle d'hier. Ça a été une journée qui a été catastrophique à bien des niveaux, hier.
[00:06:21] Speaker A: Pire défensive de la Ligue. D'accord, dans la moyenne, 33 points par match, à un moment donné.
[00:06:26] Speaker C: C'est dégueulasse. C'est dégueulasse.
[00:06:29] Speaker A: On va aller voir pareil. J'ai acheté mon billet. Fait que je peux pas reculer. On va y aller. On va aller voir Washington dans le long week-end, dans deux semaines.
[00:06:38] Speaker B: Là, c'est vrai qu'il aurait peut-être été moins cher si tu l'achetais dans 10 minutes.
[00:06:40] Speaker A: Ouais, je le sais. Ça me tente pas.
[00:06:42] Speaker B: Vu l'affiche, là.
[00:06:43] Speaker A: Je suis quand même bien situé, là. Tu sais, ça reste de la NFL, mais...
[00:06:47] Speaker B: Mais c'était pas prévisible, ça.
[00:06:48] Speaker A: Je veux pas aller là, là. Je veux pas retourner sur ce tabac, boire... dans ma section, c'est rendu à combien? Contre les Rams, dans deux semaines.
[00:06:55] Speaker C: Mais tu penses qu'au début, tu sais, ça change vite, là, mais au début de la saison, on regardait cette section-là de l'Américaine comme étant une section de la mort. Puis finalement, c'est... les Bengals sont morts, les Ravens ont plus beaucoup d'espoir, alors que les Steelers, Aaron Rodgers joue bien.
[00:07:12] Speaker B: Oui! Oui! Oui! L'air londonnier... OK, il est en Irlande. L'air irlandais l'a bien servi hier.
[00:07:20] Speaker A: Là, les Vikings, je comprends bien, ils restent en Europe parce qu'ils jouent à Londres. Fait qu'eux autres, ils visitent. Ils s'entraînent un peu au travers, mais il y a beaucoup de... beaucoup de bières, beaucoup de visites, le Big Ben, beaucoup de...
[00:07:37] Speaker C: Ils vont faire comme les sénateurs d'Ottawa cette semaine, ils vont visiter des hôpitaux puis... Ouais, peut-être.
[00:07:44] Speaker B: Faire du football.
[00:07:45] Speaker A: Bien, c'est bien fait, les sénateurs, pour vrai. Aujourd'hui, Sainte-Marie, vous allez avoir de belles visites. Shabbat, qui va aller vous voir. On disait, en fin de semaine, visite d'école primaire, mais hier, on a précisé que c'était plus un centre communautaire. Belle visite. Les sénateurs, bien organisés, classés, bien faits. Moi, je suis allé à la pratique en fin de semaine, je suis pas allé à la game. Il y a du monde pour une pratique de sénateurs où t'avais la moitié du club sur la glace.
[00:08:09] Speaker B: Là, ils vont avoir une pratique du Canadien aussi cette semaine, je pense.
[00:08:11] Speaker A: Pratique du Canadien. Ça patine, la Ligue nationale. Ça patine.
[00:08:15] Speaker B: Hein? Ouverte au public, là?
[00:08:16] Speaker A: Le Canadien? Ça, je le sais pas.
[00:08:19] Speaker B: C'est pas clair encore?
[00:08:19] Speaker A: Je sais pas. C'est gratis. Je veux dire, c'est pas... Ça implique pas... T'sais, il y a rien qui se passe, dans le fond. C'est une pratique, puis les restos sont ouverts. Donc beaucoup de kids, beaucoup de monde.
[00:08:33] Speaker B: La région de Gutawé aussi. Ils ont signé, les gars.
[00:08:39] Speaker A: Puis bravo au sénateur aussi, il présente une équipe complète. Les superstars sont là.
Mais quand je dis superstar, c'est les gros noms, là, peut-être pas des superstars, mais les gros noms sont là. Puis là, c'était Split Squad hier pour les Devils, donc c'était genre le troisième niveau des Devils. C'est pour ça que c'était une atmosphère feutrée, selon le soleil, c'est-à-dire plate.
[00:09:01] Speaker B: C'est ça.
[00:09:02] Speaker C: Le Canadien aussi va présenter du... va présenter une grosse équipe demain, là.
[00:09:06] Speaker B: Oui.
[00:09:06] Speaker A: Les autres veulent se faire respecter aussi.
[00:09:08] Speaker C: Bien, pas juste une question de respect. Ils ont retranché tout le monde.
[00:09:11] Speaker B: Oui.
[00:09:11] Speaker C: Ils ont retranché 30 joueurs.
[00:09:13] Speaker A: Alex Belzile encore sur le match.
[00:09:16] Speaker C: Tout le monde est parti.
[00:09:20] Speaker A: Il reste quasiment irrégulier.
[00:09:22] Speaker C: Exactement. Il reste deux matchs hors concours. Et par la suite, c'est le début de la saison, le 9 octobre.
[00:09:29] Speaker A: J'ai hâte. Ryan Baker blessé pour un but. Je ne sais pas, dans le cas de Dobson, s'il est blessé pour longtemps. Mais bref, ça va être ça. Je suis accrédité, comme vous autres, pour un mardi, mais je suis pas sûr que je vais y aller. Pour vrai, là. On verra, on verra. Je vais aller au rapport vendredi. Les gros week-ends, quand même, il y a des rapports, il faut le souligner. Trois matchs de suite, quand même.
[00:09:52] Speaker B: Dobson, il est D-to-D.
[00:09:53] Speaker A: D-to-D? OK, vous revenez.
Il va revenir, mais moi je le ramènerais pas là. Je le ramènerais en début de saison.
[00:09:59] Speaker B: Ça reste des matchs.
[00:10:00] Speaker A: C'est ça, ça reste des matchs insignifiants.
[00:10:02] Speaker C: Ce qui était le plus cool, en fait, ça mène dans le monde du hockey, c'est Marc-André Fleury.
[00:10:06] Speaker B: Oui.
[00:10:06] Speaker A: Marc-André Fleury.
[00:10:08] Speaker C: Moi, c'est la première fois que je voyais ça. Est-ce que c'est la première fois que ça arrivait?
[00:10:11] Speaker B: Je pense que oui. Parce que d'habitude, les équipes signent un joueur qui est à la retraite pour une journée, puis ils font surtout une conférence de presse, puis le gars remet le chandail.
[00:10:21] Speaker A: Mais lui, il a vraiment joué.
[00:10:21] Speaker B: Non, lui, il a joué.
[00:10:22] Speaker C: Il a joué une période, là.
[00:10:23] Speaker B: Oui.
Moi, j'ai relaissé la game au complet, ta caillette, là, mais... Je comprends qu'il faut être très chauve d'être tes futurs gardiens, là.
[00:10:30] Speaker C: La vie, c'est pas un film!
[00:10:31] Speaker A: Ouais!
[00:10:32] Speaker C: Mais, t'sais, pis les partisans, là, j'ai quand même 2-3 extraits, là, les partisans qui l'ont vraiment... qui l'ont vraiment chaudement...
[00:10:41] Speaker A: Ah là, là, regarde, c'est extraordinaire.
[00:10:42] Speaker C: Oui, on peut écouter ce que ça donne.
[00:10:44] Speaker A: Il est vraiment aimé, là.
[00:10:51] Speaker C: Ils ont donné la première étoile du match.
[00:10:52] Speaker B: Oui, et j'ai appris une règle. Je savais pas qu'elle existait. Dans les pré-saisons de la NHL, l'équipe locale a la possibilité à tout moment, peu importe le score, parce que les Pingouins ont gagné 4 à 1, mais ils ont la possibilité d'organiser un shoot-out.
Après le match, après la fin de la troisième période, même si le score est très clair, ils ont fait ça. Il faut que l'autre équipe accepte, mais dans ce cas-ci, il aurait été malvenu de ne pas accepter. C'était pour donner un peu plus de spotlight à Marc-André Fleury.
[00:11:29] Speaker A: C'est vraiment bon. puis il s'est fait poser avec Malkin, Crosby, Letan. Ça gagne.
[00:11:34] Speaker B: D'ailleurs, les trois qui ont envoyé en shoot-out des pingouins, c'était Malkin, Letan puis Crosby.
[00:11:41] Speaker A: Ça va autant me la renommer. Première année d'éligibilité, possiblement. Pour ce qui est de fleurier, qui dit qu'il est fatigué. Il a dit qu'il était fatigué. Tu sais, parce que là, il y en a, évidemment, des journalistes qui disent « Ah, mais t'as l'air en shape, ça te tente-tu une autre année? » Il dit « Non, je suis fatigué. » Il a fait le tour, il a fait le tour. J'aurais aimé ça qu'il fasse ça avec Brodeur. Brodeur a fini que c'est lui.
[00:12:04] Speaker B: Yark.
[00:12:05] Speaker A: Mais il est revenu dans le management. Il était là d'ailleurs.
[00:12:08] Speaker B: C'est le plus gros nom qui était là pour les Devils hier. J'étais juste passé à la glace.
[00:12:12] Speaker A: Le deuxième c'était Lalim, qui n'était pas piqué des verres du tout pour ce qui est d'Ottawa, effectivement. Mais t'as raison. Brother était là hier. Ça fait partie du week-end. Puis, juste pour revenir brièvement sur les remparts, il y a quand même du positif. Il y a quand même du positif. On revient avec beaucoup de points, dont une première victoire à temps réglementaire, pas hier, mais avant-hier. Il y a du positif.
Mais comme écrit Rip, on va y parler de toute façon comme on y parle à toi et mordi à Rip, il va falloir que Maddox se dagenais, se mette le nez dans le trafic un peu pis s'alisse les mains. Parce qu'il est en périphérie. C'est first over all, hein. Maddox, premier choix, supposé être une superstar. Et honnêtement, on le voit pas. Ben t'sais, je veux pas m'acharner pis je veux pas être négatif parce qu'il y a du positif quand même avec les remparts. Entre autres, un défenseur connu ni d'Eve ni d'Adam. Un ami Ewens qui sont allés engager. Je sais pas où, je pense que c'était en Ontario. Très bon! Je pense qu'il mène au classement des compteurs, défenseur. Très bon. T'as Lebel, t'as Dorion, qui est revenu du camp des Blouges aussi. Ça patine. J'ai vu les trois matchs. Le troisième match, là, tu commences à avoir une chimie. Il va avoir plus de plaisir au centre vidéotron. Et il joue d'ailleurs contre Imooski vendredi.
Donc ils vont avoir du fun, quand même. Beaucoup plus que l'année passée. Mais il y a des points d'interrogation pareils. Maddox Dagenais, moi, je m'interroge sur ce gars-là. C'est un gars qui était blessé. Puis quand tu reviens de blessure, et là, il revient de blessure, la blessure de l'an passé, tu peux être craintif. Tu joues ses talons, t'oses pas. Moi...
J'aime pas une interrogation. Ça va prendre un peu de psychologue sportif.
[00:14:14] Speaker C: La saison est longue.
[00:14:17] Speaker A: La saison est longue. La saison est longue, bien vois-tu. Ils sont débarrassés, comme écrivait sur son Facebook. C'est fait. Ils sont allés en Abitibi. Il faisait 25 là-bas.
[00:14:27] Speaker B: C'est le bon moment pour y aller.
[00:14:28] Speaker A: C'est le bon moment pour y aller.
[00:14:30] Speaker B: Ça durera pas, le vrai fake.
[00:14:33] Speaker A: Non, ça durera pas. Comme pour nous autres, d'ailleurs.
[00:14:35] Speaker B: Ouais, non, en effet.
[00:14:36] Speaker A: Mais c'est ça fait, tu vas te débarrasser. Donc, une affaire de fête, comme on dit.
À part ça?
[00:14:42] Speaker C: À part ça, Louis-Georges ne jouait pas en fin de semaine. Ça, c'est... Si vous voulez savoir c'est quoi les scores, il ne jouait pas en fin de semaine. Le prochain match, c'est samedi.
[00:14:53] Speaker A: On y sera, mesdames et messieurs.
[00:14:54] Speaker C: Et nous y serons. C'est contre Concordia. Nous y serons sans faute.
[00:14:58] Speaker A: À quelle heure on arrive pour l'Hotel Gate?
[00:15:00] Speaker C: Moi, je ciblerai à 10 h.
[00:15:04] Speaker A: Beaucoup d'improvisations concernant le parking. Il y a des gens d'ailleurs de l'Université Laval qui m'ont écrit, mais c'est des livers, donc ils m'ont écrit de manière clandestine. T'écris quasiment...
[00:15:16] Speaker B: Le spot?
[00:15:17] Speaker A: Non, mais t'écris à Radio X, faut que ça paraisse, donc ils prennent un e-mail personnel et tout ça.
[00:15:22] Speaker C: C'est bien plate, effectivement.
[00:15:24] Speaker B: Frontenac, hein?
[00:15:26] Speaker A: Ouais, c'est ça. Ils m'ont écrit pour me dire que le bordel est pogné avec le parking.
Et à date, il n'y a pas beaucoup d'amendes qui sont données. C'est co-pilote, rappelons-le, qui est appliqué. Co-pilote plus, que dis-je, qui est appliqué sur le terrain de l'Université Laval. Donc, c'est le même règlement que la Ville. Il paraît que la foire est poignée. C'est assez compliqué, là. Mais qui gère quoi? Il y a un enjeu de gestion de parking. Tout ça pour vous dire que, venez en toute sécurité et en toute quiétude, vous ne pognerez pas de tiquette.
La fin de semaine, le soir d'ailleurs, il y a une personne pour tout le territoire de la ville de Québec qui donne des étiquettes. Ça serait bien mal pris si t'es parqué à Deconin pour aller voir ta blonde à résidence. Si tu prends une étiquette, va t'acheter un billet de l'auto, c'est ton week-end.
de parking pour tout le week-end. Mais on y sera, nous autres, puis on va avoir du fun, c'est le dimanche matin.
[00:16:27] Speaker C: J'ai eu beaucoup d'histoires la dernière game, la première où le monde me disait je l'ai pas mis, mon copilote, puis ils ont pas pogné de ticket, donc j'imagine que la première fin de semaine, ils ont laissé un petit break ou il y avait pas le staff pour s'en occuper.
[00:16:40] Speaker A: Ouais, c'est ça.
[00:16:40] Speaker C: À suivre. Ben, à part ça, dans le monde...
[00:16:43] Speaker A: Le baseball, man!
[00:16:44] Speaker B: Oui.
[00:16:45] Speaker A: Baseball. Baseball, yes.
[00:16:47] Speaker B: Hey, les gars, sérieux, l'horaire, les deux prochains jours, là. Ben, les trois...
[00:16:51] Speaker A: Bang, bang, bang! Les Yankees, mardi, mercredi, jeudi.
[00:16:55] Speaker B: Mais les games commencent à une heure, pis t'en as jusqu'à minuit de soir, là.
[00:16:59] Speaker A: Bonanza, c'est le fun.
Bravo aux Jays. Regarde, ton Yankees a gagné une game de plus contre les Jays, puis ils auraient gagné le championnat. Qu'est-ce que tu veux que je te dise? C'est égal. C'est un match nul.
[00:17:10] Speaker B: 162 games, puis t'es égal quand même à la fin. C'est ça qui n'a pas de sens.
[00:17:15] Speaker A: Match nul, mais je ne veux pas être mauvais perdant. Vous avez gagné, les fans des Jays, vous êtes contents? Parfait.
[00:17:22] Speaker B: Oui, content surtout parce que Beau Béchette, entre autres, est blessé, donc il n'aurait pas joué dans une série 2-3.
[00:17:28] Speaker A: Là, il peut-tu revenir?
[00:17:29] Speaker B: Je pense qu'il y a un oui, mais ça, ce break-là, il fait du bien.
[00:17:33] Speaker A: Non, ma blonde me le disait hier parce qu'elle comprend pas trop pourquoi je prends les Yankees. Moi, je prends les Yankees depuis 40 ans. Je prends les Yankees depuis 40 ans. Puis là, j'ai dit à Christine, ma blonde, j'ai dit, chérie, t'as allaité dans l'ancien Yankee Stadium, t'as allaité Charles dans l'ancien... On a une photo de ça. On est le dernier bien haut!
La dernière rangée, c'était assez épeurant. Dans l'ancien Yankee Stadium, parce que tu te reviras de bord, c'était le Bronx beaucoup. Il n'y avait rien en arrière. Tu pouvais te jeter dans le vide.
[00:18:06] Speaker C: C'était pas très sécuritaire. C'est ça aussi.
[00:18:13] Speaker A: Fait qu'on était là, pis là ça a été démoli, dans le nouveau, donc moi je suis un gros, gros fan des Yankees pour vrai. Ceci dit, ma blonde me demande « Ouais, mais là tu vas-tu prendre les Jayce, les Yankees sont éliminés? » Ben oui, je vais prendre les Jayce. Je veux que le pays soit représenté, même s'il n'y a pas un chrétien canadien qui joue pour cette équipe-là.
[00:18:30] Speaker D: Ben oui!
[00:18:31] Speaker B: Vlad? Il est à Montréal.
[00:18:33] Speaker A: C'est un Québécois.
[00:18:35] Speaker B: C'est un Québécois.
[00:18:36] Speaker A: Comme Paul Stassny, c'est un Québécois.
[00:18:37] Speaker B: C'est ça. Même affaire.
[00:18:39] Speaker A: Le Paul Stassny du baseball.
[00:18:41] Speaker B: Même combat.
[00:18:42] Speaker A: Mais c'est... Go Jays, ils ont une belle équipe pour vrai. Ils ont une belle équipe. Moi, j'ai des points d'interrogation sur les lanceurs. Ceci dit... C'est une belle équipe, mais l'équipe en feu, c'est les Yankees, les amis. 9-1 dans les 10 dernières.
[00:18:56] Speaker C: Mais en même temps.
[00:18:57] Speaker A: Mais c'est ça. Ça veut plus rien dire.
[00:19:00] Speaker C: En plus, c'est contre Boston, là.
[00:19:01] Speaker A: Je le sais. Ça veut plus rien dire. Ça commence dans le Bronx. Mais les Sox, je me méfie d'eux autres. Je pense qu'ils vont gagner. Je pense que les Yankees vont perdre.
[00:19:11] Speaker C: Tu sais, quand tu sais que les séries commencent au mois d'octobre dans le baseball, c'est correct, Mais qu'en plus, ça commence avec un duel Yankees-Red Sox.
[00:19:22] Speaker A: On ouvre une belle bouteille, là.
[00:19:23] Speaker C: Ça se rise sur le Sunday.
[00:19:24] Speaker A: On ouvre une belle bouteille, là.
[00:19:26] Speaker C: Et puis le baseball majeur doit être content parce que LA est là, Chicago est là.
[00:19:31] Speaker A: C'est un excellent point, Dan.
[00:19:32] Speaker C: Philadelphia.
[00:19:32] Speaker A: C'est un excellent point.
[00:19:33] Speaker C: Toronto dans le bullpen.
[00:19:34] Speaker A: C'est un très bon point.
[00:19:35] Speaker C: T'sais, c'est rêvé. On est partis pour des bonnes séries.
[00:19:39] Speaker A: Absolument.
[00:19:39] Speaker C: Puis on va prendre pour les Cubs contre les Padres.
[00:19:42] Speaker B: Oui.
[00:19:43] Speaker A: Moi, je prends pour les Padres. Tu veux me souhaiter les Cubs? Les Cubs, c'est le fun.
[00:19:48] Speaker B: Il veut voir les Cubs à Chicago.
[00:19:49] Speaker A: Ah non, qu'excuse-moi, t'as raison.
[00:19:51] Speaker B: Il fait le bon réglifère.
[00:19:52] Speaker A: OK, OK, je comprends. On go Cubs, d'abord. Je l'avais oublié, ton voyage. Pas compliqué, hein?
[00:20:00] Speaker C: Puis en fait, ça mène samedi, ça commence avec les Phillies, les Brewers, les Mariners puis les Jays.
[00:20:05] Speaker A: Comment ça a été, Juan Soto?
[00:20:08] Speaker C: Wow. Ça a bien été, hein?
[00:20:09] Speaker A: Ça a bien été. Peut-être en Jamaïque à l'heure actuelle.
Donc quel fail. C'est la une du poste de ce matin. Quel échec total.
[00:20:19] Speaker C: Mais il a encaissé le chèque, là.
[00:20:20] Speaker A: Ah oui, tous les chèques sont encaissés. Tous les chèques sont encaissés. Donc bon debarras, Juan Soto. Bon debarras. Et go Yankees!
Pour ça, les Capitales, non, ça, c'est fini.
[00:20:33] Speaker C: Les Capitales, c'est fini.
[00:20:34] Speaker A: Tu sais que... Non, mais... Non, on fait le tour et on se dirige. Bien, j'ai juste une question pour finir avec MLB. Si la série mondiale... Je regardais ça ce matin, Laurent. Si la série mondiale se rend au 7e match, quelle date sera-t-il? À quelle date on sera? Là, ça se peut qu'il y ait des décorations de Noël qui apparaissent.
[00:20:54] Speaker B: On sera-t-il ça en novembre?
[00:20:58] Speaker A: Ben oui, mais moi, je veux une date.
[00:20:59] Speaker B: Le 4 novembre.
[00:21:00] Speaker C: Le 2.
[00:21:01] Speaker A: Là, le 1er.
[00:21:02] Speaker B: OK.
[00:21:03] Speaker A: 1Er novembre. 1er novembre, ben... C'est ça, c'est des foulards.
[00:21:08] Speaker C: Grosse fête de semaine, ben oui.
[00:21:09] Speaker A: Foulards, tuques, cache-coups, les gants.
[00:21:11] Speaker B: Ben, Toronto, moins pire.
[00:21:13] Speaker C: Toronto, moins pire. Toronto sera pas là.
[00:21:15] Speaker A: Toronto sera pas là, effectivement, dans le merci. Donc, à ce moment-là, c'est réglé.
[00:21:22] Speaker B: Tous les espoirs sont permis.
[00:21:24] Speaker C: Mais dis-tu quoi, la série mondiale... Ouais.
[00:21:26] Speaker A: Mais le toit fermé pis la chaufferette.
[00:21:27] Speaker C: La série mondiale, ça se regarde avec des faux colles. C'est de même.
[00:21:32] Speaker A: C'est comme ça que ça marche.
[00:21:33] Speaker C: C'est tout. Ils cherchaient pas plus loin. C'est juste de même. Dans les histoires, le fun... J'suis obligé de t'en parler. C'est pas moi, là. Honnêtement, je ne voulais pas parler, surtout pas de... Vélo féminin? Mais c'est ça qui arrive pareil!
[00:21:53] Speaker B: Ben c'est un must!
[00:21:54] Speaker C: C'est incroyable si c'est passé en fête de semaine!
[00:21:57] Speaker A: C'est quoi? C'est Jeanson avec son livre?
[00:21:59] Speaker C: Non, non, non. Oui, il y a ça, mais j'avais vraiment pas l'intention de te parler de ça. C'est les championnats mondiaux de cyclisme. Tant d'époque, Hachard a gagné chez les hommes, ça, c'est assez réglé. Puis il a gagné assez facilement, en plus. Mais chez les femmes, il y a un échappé, comme chaque course de vélo. Puis t'sais, ils ont pas d'oreillettes. Ça marche pas pareil, les championnats mondiaux, que les autres courses normales. Et dans l'échappé, il y a une Québécoise, une fille de Sherbrooke, qui s'appelle Magdalene Vallièrement. À deux tours de la fin, tu vois que les championnes de les grandes coureuses européennes s'ostinent, se regardent, n'aiment pas ça. Ils n'ont pas travaillé pour aller chercher l'échappée. Finalement, la Québécoise a gagné les championnats mondiaux de cyclisme.
[00:22:44] Speaker A: À quelle place? Dans quel pays?
[00:22:45] Speaker C: C'est la première fois depuis 1980 que c'est une non-européenne. C'était à Kigali. C'est la première fois que c'était une non-européenne qui gagnait. Et puis l'année prochaine, elle vient défendre son titre à Montréal.
[00:22:57] Speaker A: Au Rwanda, c'est ça? Ouais.
[00:22:58] Speaker C: Wow! L'année prochaine, elle vient défendre son titre à Montréal, donc ça va... Bravo!
[00:23:02] Speaker B: Alors, on était dans les... Le Canada, en fin de semaine, on était dans les sports non habituels, dont j'ose moins. Le rugby. Le rugby chez les filles.
[00:23:10] Speaker A: Contre l'Angleterre. Contre l'Angleterre en finale.
[00:23:12] Speaker B: C'est parce que la semaine passée, ils ont battu quand même la Nouvelle-Zélande. Ils ont battu les All Blacks.
[00:23:18] Speaker A: Pour faire des danses.
[00:23:20] Speaker B: Moi, j'étais persuadé. J'étais persuadé. Quand j'ai vu qu'ils allaient faire de la Nouvelle-Zélande, je me suis dit, oui, demi-finale, ça va s'arrêter là.
[00:23:26] Speaker A: Ils ne se sont pas fait intimider par gros yeux.
[00:23:28] Speaker B: Oui. Non.
[00:23:29] Speaker D: Non.
[00:23:29] Speaker A: C'est pas vrai. Cette danse-là, pareil.
[00:23:31] Speaker B: Ben oui. Ah, mais c'est trippant, par exemple, les AK, là.
[00:23:34] Speaker A: L'autre équipe, c'était toujours pas… T'étais pas allé quand t'es allé en OCLU?
[00:23:38] Speaker B: Il y avait une Coupe du monde à ce moment-là. J'suis pas allé sur place, mais on était allé au surf club, en tout cas, peu importe, là. Puis avec notre chum qui habite en Australie, là-bas. Puis on avait regardé une game, là. C'était Australie contre Nouvelle-Zélande. Fait que les All Blacks contre les Wallabies. C'était trippant, mais en même temps, les Australiens ont l'air de prendre ça un petit peu moins à cœur que les Néo-Zélandais.
[00:24:05] Speaker A: C'est bon. Toi, ton week-end, en tant que légionnaire, c'est quoi? Costco, boulot, dodo?
[00:24:12] Speaker B: Ça a beaucoup été ça.
[00:24:13] Speaker A: T'as-tu affronté le pont? Pas de pont?
[00:24:15] Speaker B: Non, pas de pont.
[00:24:16] Speaker A: T'as pas eu le temps?
[00:24:17] Speaker B: Non, pas de pont en 20 semaines. On ne traverse plus.
[00:24:19] Speaker A: Tu sentais-tu comme un Rocky, toi aussi?
[00:24:21] Speaker B: J'avais peur qu'il y ait du péage. Oui, c'est ce que Jackie aveux.
[00:24:25] Speaker A: Je ne vais même pas parler de ça, cette affaire-là.
[00:24:26] Speaker B: Non, Jackie aveux du péage sur les anciens ponts.
[00:24:30] Speaker A: Ah, je sais. Tu vas la jouer dans La Légion, d'ailleurs, hein, je pense.
[00:24:33] Speaker B: À la Porte Sainte-Lacote? Non, mais je l'ai pas. Je l'ai pas entendu. Je l'ai pas entendu, l'audio. Je l'ai lu, mais je l'ai pas entendu.
[00:24:39] Speaker A: Jackie qui... J'écoutais Yann and Frank en fin de semaine. Qui sera? Puis Frank... Anyway, il sera avec nous autres tantôt, ça fait que je vais lui demander. Jackie qui a accordé une longue entrevue à Yann and Frank, donc...
J'ai appelé le légionnaire puis j'lui ai dit « Gann, tout est possible. » Et Yann qui a même dit « Elle est super fine, elle est extraordinaire. » C'est juste qu'elle essaie de nous canceller puis elle nous a traité de radio poubelle. Mais au-delà de ça, j'imagine qu'elle est super fine.
[00:25:07] Speaker B: Mais moi, je pense que c'est électoral. C'est pour ça, Yann a fait...
[00:25:11] Speaker A: Mais radio poubelle, ça fait des années qu'elle nous traite de radio poubelle.
[00:25:14] Speaker B: Oui, mais je pense qu'on plaira sa gang.
[00:25:16] Speaker C: Elle est dans ces cercles-là.
[00:25:17] Speaker B: C'est ça.
[00:25:18] Speaker A: Le fait qu'elle décide d'aller là, elle veut passer pour une rebelle.
[00:25:21] Speaker B: C'est ça.
[00:25:22] Speaker A: Donc, elle peut venir à Radio X?
[00:25:24] Speaker B: Non, non, non, non. Je veux dire, dans sa gang... Oui. Yannine Frank doit être moins connue, là, veut pas, là. Donc, dans sa gang, venir à Radio X, elle gagne des points à pas venir.
[00:25:35] Speaker A: Mouais, mais je comprends pas. Elle gagne des points en allant là-bas, mais elle n'en gagne pas en venant ici.
[00:25:39] Speaker B: Ben, comme je te dis...
[00:25:40] Speaker A: Elle doit gagner full points. Les trois striches au casino, c'est en venant ici, là. Dans Morelive.
[00:25:46] Speaker B: Ben pas dans sa gang. À moins qu'elle nous envoie chier tout le long, je sais pas.
[00:25:49] Speaker C: Ce que Dom me dit, c'est que sa gang, c'est pas c'est quoi... Yann et Frank.
[00:25:54] Speaker B: C'est ça.
[00:25:54] Speaker A: Je sais pas ça là-dessus.
[00:25:56] Speaker B: Ben y'en a qui doivent le savoir en effet là. Oh oui quand même, y'en a qui doivent le savoir.
[00:26:00] Speaker A: Mais...
[00:26:00] Speaker B: Mais le hate contre Radio X existe depuis plus longtemps.
[00:26:05] Speaker E: Ah le hate!
[00:26:05] Speaker A: Le hate existe depuis Jeff 1ère édition.
[00:26:08] Speaker B: Donc c'est ça.
[00:26:09] Speaker A: C'est sûr qu'on est testé en billet.
[00:26:10] Speaker B: Fait que dans sa gang de... Sors-toi une poubelle, blablabla. De boycottés Radio X apparemment.
[00:26:13] Speaker A: Moi je sais. Ouais, c'est sûr.
[00:26:15] Speaker E: Ouais.
[00:26:15] Speaker B: Elle gagne des points.
[00:26:17] Speaker A: Marchand toujours en boycott?
[00:26:20] Speaker B: Oui.
[00:26:21] Speaker A: OK, parfait. Ce serait le fun qu'on l'aille. Des questions posées concernant l'histoire des pompiers. Quelle vidéo hallucinante.
[00:26:30] Speaker B: Gênant.
[00:26:31] Speaker A: Qui a été enlevée de Zone 9-1, mais bien repartagée par...
[00:26:36] Speaker B: Je l'ai vu à RDI tout à l'heure.
[00:26:37] Speaker A: Indécrottable Québec. Comment?
[00:26:39] Speaker B: Je l'ai vu à RDI tout à l'heure. Je vais leur donner, ils en ont parlé.
[00:26:43] Speaker A: C'est gênant.
Oui, ils en ont parlé, mais aller parler aux responsables, c'est marchand. Avec sa folie du tout-aux-piétons. Tu sais, tu peux mettre une zone piétonnière avec une barrière. Oh, les terroristes s'en viennent. Je comprends. Histoire de Nice, on veut pas que ça arrive. Ceci dit, l'entrée...
dans les murs, on va le dire comme ça, intramuraux, parce que c'est après la porte Saint-Jean, les espèces de barrières antiterroristes. Je les ai vues, moi, c'est ultra saucé. On veut vraiment pas qu'il y ait un camion bélier qui rentre. On veut tellement pas qu'il y ait de camions que les camions de pompiers sont pas rentrés non plus. Ils ont zigonné. Je revois le vidéo ici d'un indécrassable Québec.
C'est dégueulasse. C'est dégueulasse. Je trouve que les services d'urgence sont jamais, jamais, jamais dans la discussion. T'sais qu'on parle du tramway, et j'ose espérer que cette semaine, ça sera une meilleure semaine pour Amad.
[00:27:45] Speaker B: Qu'est-ce que Bruno Marchand a annoncé à la fin de la semaine dernière? Des do-downs. Le camion de pompiers, il rentre dans ta rue pis qu'il y a des do-downs.
[00:27:57] Speaker A: Faut que ça roule, là.
[00:27:58] Speaker B: C'est ça. La police aussi, même affaire.
[00:28:00] Speaker A: Faut que ça roule. Mais là, Marchand est en mode racolage du vote gris.
[00:28:06] Speaker B: Oui.
[00:28:07] Speaker A: Donc, mon oncle, ma tante, on va vous protéger.
Je reviens là-dessus brièvement, puis je sais qu'on aura Villeneuve ce matin. Bien entendu, c'est notre 20 minutes du peuple avec Villeneuve. Villeneuve sera avec nous autres, donc ensuite, ce sera Lachance et Hamad. À moins qu'ils cancellent, je pense pas. Claude va venir aux alentours de 7h30. Mais je m'attends à une grosse semaine, pour vrai. On te les a brassés la semaine passée, pas à peu près. Je sais qu'il y a eu des interventions également du côté de Renaud. Je pense qu'il y a des gens qui ont accès à ces documents, qui sont publics, anyway. C'est pas des gros secrets d'État. C'est des PDF que lui-même met sur son propre compte Facebook. Ça sera une très, très grosse semaine. Grosse apparition. Je vais plugger le chum Jean-Claude. Mercredi, manquez pas le show de Jean-Christophe Ouellet et de Pat et de Max. Des comptes de dépenses explosifs.
de marchands. J'ai vu quelques bribes parce que ça circule sur Internet.
Beaucoup de jet-set. C'est très, très, très jet-set. Mais toute la dope va venir de Renault, bien entendu, on le sait, avec les montants...
[00:29:28] Speaker C: Ils se gâtent-tu dans le Mimosa?
[00:29:29] Speaker A: Ils se gâtent en masse. Ils se gâtent beaucoup à Montréal. Ça, là...
Nous autres, dans Montréal Live, en tout cas, si j'ai qu'à aller à Chottes, il y a moyen d'organiser ça. Je veux une émission spéciale là-dessus jeudi. C'est clair. Je veux une émission spéciale, je veux Villeneuve, je veux Lachance, je veux Hamad en réaction. Pause, j'ouvre les lignes là-dessus. Ça va être un coup de circuit magistral de Renaud Labrecq, manquez pas ça, mercredi dans l'émission du midi, ici à Radio X.
Ça va être à eux autres à un moment donné de prendre le ballon et d'aller dans la zone début. Aux autres, tu ne peux pas les prendre par la main et leur dire que la zone début est là-bas, va-t'en faire un toucher. Il faut à un moment donné se dégourdir. Il y a une semaine de gaspillage la semaine passée. Ça, c'est une nouvelle campagne. Et me dit-on...
Ils seront beaucoup plus dégourdis avec, entre autres, du côté de la chance, dévoilement du cadre financier. J'ai hâte de voir. Je pense que c'est l'un des volets les plus forts de la campagne de la chance. La structure financière, le cadre financier qu'on disait assez rigoureux avec quelqu'un qui a des credentials.
donc j'ai hâte de voir ces sept semaines. Et du côté d'Amal, ça, j'ai aucune idée de ce qui se passe, mais il faut que ça roule. On est rendu début octobre.
[00:30:55] Speaker C: Tu te souviens, cet été, on avait parlé d'un gars qui s'occupe des... Oui.
[00:30:58] Speaker A: J'Étais pas ici, mais je l'ai entendu parler en bien.
[00:31:00] Speaker C: Qui s'occupe de l'économie. Effectivement, ça semble être quelqu'un qui est collé sous sa patente.
[00:31:06] Speaker B: Qui n'est pas un candidat, qui est externe, mais qui est très bon de fait.
[00:31:09] Speaker A: Et la question pertinente demeure, et je l'ai posé sur X et sur Facebook, Est-ce que vous allez voter avec les convictions, le cœur, la passion ou vous allez voter stratégique? C'est un split.
[00:31:25] Speaker B: Moi, j'ai pris ma décision en 20 semaines. Si j'étais à Québec, oui, ce qui n'est pas le cas. Mais si j'étais à Québec, il leur reste cinq jours, incluant aujourd'hui. S'ils ne s'allient pas ensemble, je ne vais pas voter. Moi, je suis là. Si vous n'êtes pas capable de vivre, de travailler ensemble pour gagner cette élection-là, vous ne méritez pas de gagner ni l'un ni l'autre.
Méritez pas mon vote. Moi j'en suis là parce qu'ils vont se diviser le vote. Ils vont le faire aussi dans les quartiers. Marchand va rentrer majoritaire. C'est ça qui va arriver. Ça sera de leur faute.
[00:32:00] Speaker A: T'as raison. T'as raison. C'est pas dans ma culture de pas aller voter. Arrêtez d'essayer de faire les pures. T'as entièrement raison. Moi, j'en veux pas de tramway, donc je vote Lachance. C'est sûr que si tu y vas sur cet enjeu-là uniquement, tu vas voter Stéphane Lachance. Et on va se le dire...
[00:32:21] Speaker B: Là, l'histoire s'est amalrante. Il va le faire, le tramway, pareil. Je vais donner une chose à Sam Mamad. Je tripe pas tant que ça Sam Mamad, là. Je vais donner une chose. Il a jamais été pour le tramway. Il l'était pas quand il était ministre.
[00:32:33] Speaker A: Il l'est pas encore aujourd'hui. Il a jamais été pour.
[00:32:36] Speaker B: Il a un SRB. Mais savez-vous quoi? Vu la ma stratégie...
[00:32:39] Speaker A: Un SRB comme ça existe en Australie...
[00:32:41] Speaker B: En fait, il y a deux choses. Un, son SRB, il est moins intrusif. C'est plus facile de backer. Admettons que le projet existe, là.
[00:32:49] Speaker A: Pas de fil, pas de dalles.
[00:32:50] Speaker B: C'est plus facile à défaire.
Un SRB, tu peux encore le bloquer. Le tramway, là, s'il marche en rentre... Oubliez ça, là, c'est fini, là.
[00:32:58] Speaker A: C'est terminé.
[00:32:59] Speaker B: Oui, c'est terminé. Déjà qu'il y aura un tramway.
[00:33:02] Speaker A: C'est enclenché de par les travaux, de par la volonté exprimée par la CAQ. Rocky, wow!
[00:33:08] Speaker B: Donc d'ici cinq jours, s'ils ne sont pas associés, la gagne à Ahmad, la gagne à la chance, marchant en rentre majoritaire, puis il y a un tramway.
[00:33:15] Speaker A: Oui, mais...
[00:33:16] Speaker B: C'est réglé.
[00:33:17] Speaker A: Factuellement, T'as raison. Et les gens de dire... Il y en a qui disent, j'aime pas Ahmad, mais je vote Ahmad pour le bloquer, pour bloquer Marchand. Et il y en a d'autres qui disent, moi, c'est la meilleure... Le meilleur programme, les meilleures idées, c'est la chance.
[00:33:35] Speaker B: Il est excellent le programme de la chance.
[00:33:36] Speaker A: Mais... On n'est pas dans qui a tort, qui a raison. Tu viens d'établir...
[00:33:41] Speaker B: C'est un autre à travailler ensemble.
[00:33:42] Speaker A: Tu viens d'établir ce qui arrive.
[00:33:44] Speaker C: Le mieux est l'ennemi du bien.
[00:33:46] Speaker B: Oui, à tout le monde mettre de l'eau dans son vin. Amas de faire, il est bon ton programme, on va prendre tel, tel, tel, tel point. Ils sont bons tes candidats, on va prendre tel, tel, tel. Mixer deux.
[00:33:56] Speaker A: Et la réalité est la suivante. Il y a une réalité numérique.
Amad est plus fort que la chance au niveau des chiffres. Oui, vous pouvez vous raconter du baratin, Stéphane à 58% puis Amad à 4%. Ça, c'est dans votre tête. Dans le réel, on n'a pas les chiffres exacts ce matin, mais dans le réel, étant donné que c'est un concours de notoriété, Amad, chez une clientèle votante plus vieille, Il est plus fort que Stéphane. Je ne suis pas en train de dire qu'il est moins fin, qu'il est plus fin. Ce n'est pas ça le point. Le point, c'est que dans les sondages, c'est lui qui peut lui faire sauter les pieds. Je vais vous dire une affaire très importante en ce qui a trait à mon vote et à ma volonté et à ma stratégie. Marchand a voulu empêcher mes enfants de manger. On va juste mettre ça au clair un matin à 6h35.
Il a voulu que je perde sa job, il a demandé formellement en conférence de presse et dans les médias, il a demandé à RNC Média de me sacrer la porte. OK? Ça c'est arrivé. Il a voulu empêcher mes enfants de manger. À la lumière de ça, je vais voter.
Je vais me faire une tête la dernière semaine de l'élection et je vais voter pour le candidat qui a le plus de chances de lui faire sauter les pieds. Je vais être bien clair avec vous autres. L'histoire du tramway, la ci, la ça, oui. Autant dans le quartier que... Moi, je l'ai pris personnel. Ça, c'est une élection personnelle. L'histoire du waxpen, on s'en souvient. Les sorties de marchands sur toutes les tribunes avec tous les médias. qui m'ont mis en une même. La presse, j'étais en une. Et en dessous, c'était Fitzgibbon blâmé par le commissaire à l'éthique. J'étais plus fort que ça. C'est arrivé, cette affaire-là. J'ai des saisies d'écran. C'est arrivé, là. Donc, à la lumière de ça, c'est le candidat qui a le plus de chances de faire sauter ce gars-là. Pis Stéphane, je le l'aime, pis tout. Y a tes chroniqueurs ici, pis blablabla, on a tous les idées, les ci, les ça. Non. It's personal, OK? Les idées, on va pas en parler jusqu'à demain midi, si vous voulez. Mais it is personal.
[00:36:11] Speaker B: Surtout que...
[00:36:12] Speaker A: C'est tout. C'est ça, mon analyse. Et je vous donnerai mon vote quand ça va arriver, le vote de la mairie, quand ça va arriver à la dernière semaine de l'élection. Pour ce qui est du candidat, je vote Donald Gagnon. Pourquoi?
C'est mon chum, il est bon, il est branché. C'est un gars de business. C'est un gars qui dépense de son argent pour créer des business. Il y a un Harvey's, il y a des Harvey's, pardon, il y a du Chico. C'est un gars qui a de l'argent, qui met son argent au bat. S'il vend pas de burger, c'est lui qui se fait frapper. C'est pas un gars qui t'aide des subventions. C'est un entrepreneur. Moi, je vote pour lui. Il est connu. C'est un ancien du Parti conservateur du Québec, en plus. Regarde, il est à droite économiquement. Il y a pas d'Orvénisé que gagnons. Dans mon quartier à Charlebois, je vote gagnant. Mais la mairie, mon idée n'est pas faite. Je vais voter, étant donné que c'est personnel, pour la personne qui risque le plus d'y faire sauter les pieds en marchant.
[00:37:06] Speaker B: J'ai pas compris.
[00:37:07] Speaker A: C'est un être détestable. Détestable.
[00:37:10] Speaker B: Il me disait hier une des choses que j'aime pas de Hamad, c'est qu'il dit qu'il voudrait si je suis un mandat. Ça devrait être un point positif, justement. Moi, je vois Hamad comme possiblement. un maire de transition entre Bruno Marchand et quelqu'un d'autre. On a quatre ans pour se trouver quelqu'un d'autre. Ça peut être Stéphane. Peut-être.
[00:37:27] Speaker A: Oui, mais moi et les politiciens, ce qu'ils disent, je crois que c'est impossible.
[00:37:29] Speaker B: Oui, je sais bien. Mais en même temps, il y a un certain âge aussi. Je ne sais plus exactement l'âge de M. Hamad.
[00:37:32] Speaker A: Oui, mais d'un mandat mélange, le goût disait un mandat.
Il n'y a là qu'un troisième mandat!
[00:37:38] Speaker C: Comment ça marche les frais quand tu te présentes en politique municipale? Parce que je sais qu'au provincial, c'est les candidats qui payent. Mais si c'est les candidats qui ont payé pour leurs pancartes, ça va être dire d'en tasser. On est commis beaucoup.
[00:37:52] Speaker A: On est commis beaucoup.
[00:37:53] Speaker C: On est loin.
[00:37:54] Speaker A: Je ne crois pas au rapprochement.
[00:37:55] Speaker C: Il y a beaucoup de panthère à sortir de ça.
[00:37:56] Speaker A: Je suis tout à fait d'accord avec Doom.
Je suis tout à fait d'accord avec Doom. Il m'a rejoint là-dedans, il m'interpelle. Il y a un aspect personnel à moi là-dedans que je veux.
Vous votez pour quelqu'un qui risque de le battre le plus, là. Donc celui, le candidat qui sera le plus proche de battre Marchand, c'est sûr que je vais voter pour lui. Ça chanterait bien que la division du vote nous amène vers une élection Marchand. T'étais le premier à le dire en nom de Dan. T'étais le premier à le dire. T'avais raison.
[00:38:22] Speaker B: Ça fait un an qu'on leur dit à toute la gang, là, pis dans le temps, il y avait Patrick Paquette et compagnie, on leur dit « Associez-vous. Si vous divisez le vote en deux, en trois, en quatre, on gagnera pas.
[00:38:34] Speaker A: » Regardez New York.
New York, même Danny, c'est un pur communiste, un dangereux comme on n'a jamais vu aux États-Unis.
[00:38:46] Speaker B: Là, c'est pas de l'afflux verbal, là.
[00:38:48] Speaker A: Le gars, c'est un islamiste communiste, un vrai communiste, un vrai. Le gars, il veut nationaliser les épiceries.
[00:38:52] Speaker B: Oui.
[00:38:53] Speaker A: C'est un malade, c'est un malade, malade, malade profond.
[00:38:56] Speaker B: On va taxer plus les quartiers blancs.
[00:38:59] Speaker A: Et là, t'as le maire de New York qui a confirmé qu'il se présente pas. Le maire actuel.
[00:39:04] Speaker C: Je suis pas sûr qu'il a aimé ça.
[00:39:06] Speaker A: Ben, il a pas aimé ça se retirer, mais le discours est le suivant. Il faut s'unir contre Mamdani.
[00:39:13] Speaker B: Oui.
[00:39:13] Speaker A: Aujourd'hui, New York Post, l'éditorial, sait que... là, ça prend juste un, une personne, Cuomo, pour l'affronter. Cuomo, c'est le Sam Hamad de New York. On peut quasiment l'appeler de même.
C'est ça, c'est le bout que Kamard n'a pas, là. Mais t'sais, vieux policier, establishment. OK? C'est pas vrai, c'est un bon lien. Et là, il a perdu contre... Il a perdu l'investiture d'un démocrate. C'est contre Mamdani, justement, qui est appuyé étonnamment par beaucoup de démocrates, mais le gars, c'est un peu pur communiste. Mais le seul moyen, d'après moi, de sauver la ville de New York, c'est de voter Cuomo. Capoté, hein?
Peut-être que ça ressemble à ça ici aussi. Parce que si Mamdani est choisi maire, ça n'ira pas bien à New York. Là, Donald Trump va sauter dans le tas. Donald Trump qui saute dans le tas, des fois, c'est pas des bonnes nouvelles. Parce qu'il polarise tellement que ça se peut qu'il fasse monter le vote de Mamdani. Ça dépend du type d'intervention à New York.
Parce que ça risque d'être le prochain champ de bataille, justement, de Trump. Combattre même Dany.
Mais des fois, il dit des niaiseries, Donald. Il est capable, donc ça dépend de ce qu'il dit. Ça dépend surtout de ce qu'il fait, polariser, c'est ça. Puis il y en a qui font le contraire de Trump juste parce qu'il l'haïsse. Donc, il voulait voter coup au mot. Trump, t'allais trop loin, vote Mme Dany ou vote pas du tout, comme toi. Tu pourrais le faire si tu demeurais sur la rive nord.
[00:40:53] Speaker B: New York va déjà pas bien, là. Faut pas que Mme Dany devienne maire.
[00:40:56] Speaker A: Ben non, c'est ça. Ben, la Floride, eux autres, ça les dérange pas parce que... Ils vont accueillir les New-Yorkais à bras ouverts, comme c'est déjà le cas. C'est ça, ramasse d'argent des New-Yorkais.
[00:41:06] Speaker B: Mais c'est en gros une ville où j'aime aller, New-York. J'aimerais ça que ça reste le cas.
[00:41:10] Speaker C: Oui, mais pour les touristes, là, il.
[00:41:12] Speaker A: Y a une chose qui est... Ah.
[00:41:13] Speaker B: Mais même, non, les dernières années, les dernières fois que j'étais allé à New-York, c'est plus... c'est plus comme il y a 10, 12 ans. Non, il y a une hausse de.
[00:41:18] Speaker A: Criminalité, les crimes de crime.
[00:41:19] Speaker C: Ça ne reviendra jamais comme c'était...
[00:41:20] Speaker B: C'est sale.
[00:41:21] Speaker A: Lui, il veut des fonds de police.
[00:41:22] Speaker C: Donc... Avec un Rudy Giuliani, ça ne reviendra jamais comme c'était dans ce temps-là, ça, c'est sûr. Par contre, Moi, tu sais, les touristes, les gens qui sont allés voir la NFL en fin de semaine, ils s'en rendent pas compte, la différence entre... Ah, mais c'est au New Jersey, la saison passée. Je veux dire, quand tu passes trois.
[00:41:40] Speaker B: Jours aux États-Unis... Ah, tu le sens pas.
[00:41:42] Speaker A: C'est sûr qu'on vote pas non plus. C'est les résidents qu'ils sentent, les résidents de la sécurité, le crime de la propreté, les sans-abri, etc. Donc... Alors voilà, on en est là. On me dit que ça va être une grosse semaine. Bien, hâte de voir.
Mais c'est une nouvelle semaine, et c'est la dernière semaine du mois de septembre, avec cinq semaines à faire avant l'élection.
[00:42:04] Speaker C: J'ai un petit extrait que j'avais prévu de faire jouer dans le Deep aujourd'hui, mais que je trouvais assez drôle. Tu sais, on parle beaucoup de Donald Trump dans les écoles, dans les garderies aux États-Unis, comme si c'était une méchante personne, un peu comme si c'était le bonhomme de 7 heures.
Y'a un p'tit gars en faite se mette, ses parents l'ont filmé. Il s'est rendu compte que... ben Donald Trump...
Le p'tit gars, regarde les nouvelles!
[00:42:42] Speaker A: Le p'tit gars s'est fait trincer les oreilles par quelqu'un à la garderie ou les parents.
[00:42:46] Speaker C: C'est ça! Les parents, ils trouvent ça drôle. Puis le père a de l'air découragé.
[00:42:51] Speaker A: Lui, il a entendu des affaires.
[00:42:53] Speaker C: Oui, oui, lui, il a entendu des affaires, c'est sûr. Il a peur.
[00:42:56] Speaker B: C'est le boogieman.
[00:42:57] Speaker A: La presse en fin de semaine. Comment stopper l'anxiété, l'éco-anxiété chez les jeunes? Arrêtez de leur en parler, École!
Grande, grande, grande étude d'une prof de... je pense que c'est Bishop's College. Une grande étude sur comment là, on est en train de constater finalement que ça va pas bien dans le coco de plusieurs kids au secondaire surtout là. Primaire, dans ce cas-là, c'est de la petite enfance là, ce que tu viens de nous faire entendre. Mais primaire et surtout secondaire. Arrêtez des écœurés avec ça!
C'est pas dans les priorités du monde, anyways. On vous a donné le classement des priorités pour la Ville de Québec. C'est la même affaire si vous faites le ranking des priorités au provincial et au fédéral. Tout ce qui s'appelle éco-anxiété, éco-écologie, changement climatique, la terreur climatique, le gagagougou... Le gagagougou, c'est du 10 % en baissant. Les gens veulent qu'on parle de l'inflation alimentaire, du prix du gaz, de l'inflation en général, je vous dirais, et du prix du loyer. D'ailleurs, l'inflation alimentaire, ça a fait une bombe sur Facebook, ma photo de Shish Tarouk, qui était très bon, en passant. J'ai jamais nié qu'il était pas bon. Il est très bon.
Je suis allé manger un shish taouk au Grand Marché. J'ai fait ma part, j'ai fait ma part. Oui, j'ai été un bon client. J'ai fait ma part avant d'aller à la pratique des sénateurs au centre Vidéotron. T'as-tu vu ça, Dan, la chire que ça a faite sur Facebook?
[00:44:41] Speaker C: Oui, j'ai vu ça.
[00:44:42] Speaker A: La fille, elle me dit 17 piastres. Je paye les taxes. Moi, le montant, c'est avec les taxes. Je paye des taxes, là, ici. On paye les taxes. T'sais, le char, un char que vous achetez, vous payez les taxes. Le paiement sur votre paiement de char, il y a des taxes dedans. Il y a des taxes en nourriture quand tu vas à l'épicerie. Dans ma tête à moi, un chiche Tahouk, c'est 7-8 piastres. Moi, je me souviens, un moment donné, être allé à Galette, c'est 7-8 piastres. Puis je le sais qu'on n'est plus à ce temps-là, on a ri 200 semaines passées, 12 pouces, 5 $. C'est pas 12 pouces un chiche, c'est peut-être plus un 8.
Mais là, elle me dit 17. J'ai dit, pardon? Un peu comme le gars d'RDS quand il a dit Sandor Mafflin, la chaise électrique. J'ai dit, ben non, pardon. Non, je prends pas de frites, je prends pas de liqueur. Non, non, elle disait ça, c'est 17 $. Oh! Là, j'ai comme reculé. Je l'ai le 17 $. Et je l'ai payé. Et je l'ai aimé. Puis c'est de la maudite bonne bouffe. Là, n'est pas le discours. Mais je me suis dit, oh boy! Là, on commence à être joliment dans la marde. C'est pas pour rien, d'ailleurs, que Restaurant Canada, le gros lobby de restaurant, nous a dit la semaine passée que la moitié des restaurants fonctionnaient à perte. Il y a eu du broyage également. En fin de semaine, les restaurants se plaignent parce que c'est plein de réservations single. C'est des réservations à une personne. Pas payées. Pas de bouteilles de vin, là, à une personne. À moins d'être un alcoolique.
Puis même là, d'après moi, il y a le serveur qui peut faire une intervention en disant « Vous pouvez vraiment ramener le reste de la bouteille à la maison? » Tu sais, habituellement, c'est un petit verre à une pièce.
[00:46:21] Speaker B: Ça ne peut pas être sept piastres, un shish-tahouk, quand c'est cinq piastres pour un cappuccino glacé au Tim Hortons.
[00:46:27] Speaker A: Bien, c'est tout ça. C'est ça qui est mon point, puis je l'ai exposé. Puis là, c'est sûr qu'il y en a qui sont tombés de l'oeil mofesse. Ça, je m'en balance. Et l'explication de la propriétaire, Tout à fait d'accord.
[00:46:38] Speaker B: Ben oui!
[00:46:39] Speaker A: J'suis tout à fait, et j'y ai écrit, mais j'suis tout à fait d'accord avec elle!
[00:46:42] Speaker B: Elle, elle change pas de sapiens en se disant « Je vais lui vider les poches!
[00:46:45] Speaker A: » Pas du tout! Mais c'est une victime là-dedans, c'est ça qui est mon point. Pis je l'ai exposé, parce que c'est ça la réalité. Mais le prix du poulet a explosé, je savais pas qu'il avait explosé comme ça. Mais le loyer du grand marché, si on peut en parler par exemple. Est-ce qu'on peut parler du prix, du staff, le salaire? Je connais pas ces salariés. Je connais pas leur salaire. Moi, je peux vous dire que dans certains restaurants de Québec, laver la vaisselle, c'est du 26 piastres.
[00:47:16] Speaker C: Oui.
[00:47:18] Speaker A: Oui, mais c'est ça! Fait que t'ajoutes ça, t'ajoutes ça, tu te ramasses un cachet, j'étais haut qu'à 20 piastres. Elle a dit, je pourrais le vendre 20 piastres. Bien, c'est ça, 20. C'est comme un seuil psychologique, hein?
[00:47:27] Speaker B: Oui.
[00:47:28] Speaker A: Tu sais, quand t'atteins le 20 piastres, c'est que plus taxe, C'est 23 et que... Tu comprends? Là, c'est vraiment... Tu rentres dans une autre zone. Mais c'est rendu tellement cher. T'sais, c'est... C'est complètement fou, puis je les vois, les factures. Puis Olivier Primo en met souvent, puis t'as Jerry qui en met aussi, puis t'as... les pizzas, les croquettes de poulet. Les repas de base, ça, c'est un repas de base. Nous sommes tous assez santé, mais c'est un repas de base. Il y a pas personne qui arrive avec une facture du 47. On sait que le 47, c'est un restaurant qui est high class, qui est excellent, mais tu comprends, on compare les pommes avec les pommes. Mais c'est... Maudit que c'est rendu cher. Et ça, c'est un sujet. C'est le sujet. C'est l'inflation alimentaire. T'sais, il y a un gars qui me répond pis il dit « Ouais, mais là, c'est pas si pire, le brocoli est pas rendu à 150 piastres, l'épicerie... » Wow, wow, wow! Attends un peu, là! Moi, je me souviens très bien... J'ai deux gars en maison. On est quatre. Moi, je me souviens très bien d'une épicerie pour une famille de quatre. Il y a... 6 ans, à peu près, 5-6 ans. 150$, 160$, j'avais des affaires le fun. On pouvait faire la semaine. Pour 4 personnes, 150$. Magasine. Magasine serrée. Les affaires en gros, les affaires... T'sais, la viande, je la prends pas au Mexi. Mais t'sais, les cannes de soupe, le canage, les fruits pis les légumes, je vais au Mexi. C'est vraiment, vraiment moins cher pour vrai. Ça me tente pas d'emballer, mais à un moment donné, je me suis boité le cul. J'ai acheté des bacs bleus, puis là, je sacs tout ça là-dedans. Les bacs maxi, très pratiques. Mais aujourd'hui, une épicerie pour quatre, je comprends que mes kids ont grandi et tout ça, mais c'est pas quand même non plus... C'est pas Godzilla. Ça reste des humains qui mangent comme moi. C'est 300 piastres.
une épicerie pour quatre personnes, les repas pour une semaine. On est dans le 2,80$-3,00$, là. IGA des sources.
[00:49:27] Speaker C: Tu sais, même une poutine. Une poutine, c'est rendu que ça coûte un prix de fou.
[00:49:30] Speaker A: Voilà.
[00:49:30] Speaker C: Puis le problème, c'est qu'un coup que t'as mis le salaire des plongeurs à 20$, tu sais, c'est pas de la tarification dynamique, là.
[00:49:36] Speaker A: C'est ça.
[00:49:36] Speaker C: Tu peux pas le ramener à 18$ après.
[00:49:39] Speaker A: C'est fixe. D'ailleurs, une question comme ça, c'est pas une critique, tu sais, je le sais. C'est très sensible, hein. Aussitôt que tu parles des restaurants, « Hey, regarde! » La poutine au Ashton, à Place Sainte-Foy, est-elle plus chère que la poutine Ashton dans un Ashton ordinaire? Je pose la question, de par le loyer du centre d'achat. Il me semble que la régulière du Ashton, je suis allé, je vais toujours faire un tour le jeudi, je sais pas, je vais au Starbucks, j'aime bien ça. Je décante puis je...
Je pense aux shows puis tout. Je vais travailler là, j'adore ça. Le Starbucks dans le mail, j'aime ça quand il y a du monde. Puis là, je suis allé faire un tour pour manger. Finalement, je ne suis pas allé chez Ashton, je suis allé ailleurs, mais j'ai regardé les prix. La mini au Ashton est rendue chère en maudit. Puis je me posais la question, ah oui, c'est le vrai prix ou c'est le prix centre d'achat? Tu comprends?
[00:50:35] Speaker C: Oui, je comprends.
[00:50:36] Speaker A: Je pose la question. Je n'ai pas l'air. Je n'ai pas la réponse. Alors voilà, le shish taouf était très bon. Ça n'a jamais été un enjeu. Ça n'a jamais été mon poste. Ça n'a jamais été un enjeu. C'est l'inflation alimentaire. Et mon message, c'est qu'on s'en va dans le mur. Quoi faire avec ça? Pierre fait des bonnes entrevues avec le food prof.
Faut que tu magasines ta protéine, le.
[00:50:59] Speaker B: Boeuf... Non plus, j'avais pas remarqué que le poulet avait augmenté.
[00:51:02] Speaker A: Le poulet a beaucoup augmenté. C'est en gros l'explication de la madame du resto.
[00:51:07] Speaker B: La poitrine, il y a trois ans, pouvait être à 2,99. La livre, là, c'est rendu 4,99. Il y a autre chose qui prend.
[00:51:13] Speaker A: Du haut de cuisse. C'est très bon, mais c'est ce qu'il y a de moins cher pour ce qui est du shish taouk. Alors voilà, c'est rendu cher, c'est pas vrai. Regarde, on a quatre enfants de 16 à 10 ans, bref, presque quatre à gauche, c'est 300 par semaine, exactement. Et on ne va plus au resto, car c'est maintenant 150 facile. Je suis là, Yann. Je suis là. Hier, on est allé manger des sushis, ma blonde et moi. Je n'ai pas nié à Twango. Je suis retourné sur Twango. Il y a des locs sur Twango. J'ai pas ni écrit ce type de deal sur Twango. Mais le resto est cher. Mais Twango, vois-tu, j'étais content d'avoir mon petit Twango on the side. Ah, j'ai sorti ça. Twango, la fin de semaine, ça marche pas, mais dimanche, ça marche. Fait que les kids, ils regardaient NFL à la maison. Moi, on est allés manger des sushis.
[00:52:01] Speaker C: Tu sais, hier, nous autres, on est allés manger à l'Archibald, dans le petit champ plein, puis ils ont un menu Oktoberfest. Moi, là...
Je ne veux pas donner de leçons à personne, je ne dirais pas ça de moi-même, mais je vais dire ce que j'ai apprécié. Le menu n'était pas très cher, parce que c'est un menu spécial, ils veulent en sortir. Oui, Tabarnouche, on veut que le monde prenne ça. Je pense que je serais un adepte de plus souvent un menu d'une feuille dans un restaurant. Ça coûte le moins cher possible à tes clients. Si cette semaine, c'est les voiles au vin au poulet qui vont coûter moins cher, tu fais des voiles au vin au poulet. Puis la semaine prochaine, tu feras le burger de porc parce que le bœuf est trop cher.
[00:52:43] Speaker A: Le prix de la protéine, le porc étant la protéine la moins chère.
[00:52:48] Speaker C: Ça te prend un menu évolutif.
une carte qui change pour que tu puisses te permettre d'avoir... Là, ils vont te dire « Ouais, mais ça prend des classiques, il y a du monde qui revient juste pour des classiques. » Je comprends tout ça, là. Je veux pas vous montrer comment gérer vos restaurants. Mais je trouve que cette page-là, cette feuille-là, d'avoir une... Puis il y a beaucoup de restos qui le font, je le sais. Tu ouvres le menu, t'as une feuille qui est piquée dedans, qui a été imprimée, tu le sais que c'est ça. Mais moi, je pige là-dedans maintenant. C'est ça, mon truc. Parce que je le sais que ça, ça veut dire que les ingrédients, ils en ont en quantité industrielle en arrière, puis ils veulent que ça sorte. Ça, ça peut être un petit truc pour manger à...
[00:53:26] Speaker A: Mais vos impressions, vous autres, sur le prix de l'épicerie, remarquez-vous que ça a explosé?
[00:53:33] Speaker E: Oui.
[00:53:33] Speaker A: Vraiment.
Mais tu sais, il y a des bagnères plus chères que d'autres, nous oui, puis les bagnères les moins chères, on les connaît. C'est Merci et Super C.
[00:53:41] Speaker B: Plein d'auditeurs qui nous écrivent pour dire « Je fais quatre épiceries différentes, je chèque les circulaires, puis ça coûte une fortune pareille. » Ceux qui ont des ados, des grands ados, ça mange. Ça mange comme des adultes. Fait que tu nourris quatre adultes dans la maison.
[00:53:52] Speaker A: Absolument. Ça fesse. C'est un budget de médecins indigènes. J'y retourne la semaine, parce qu'il manque de lait. C'est des buveux de lait, puis ils se font des shakes. Je retourne trois fois quasiment dans la semaine.
[00:54:04] Speaker B: La plus grande, tranquillement, commence à manger comme une adulte. C'est pareil.
[00:54:08] Speaker C: Nous autres, il y a des choses qui ont changé un peu, c'est sûr. Le fait qu'il y en ait un qui est parti, ça a un impact. L'autre chose, tu sais, nous autres, on fait le souper. C'est ça le deal. On fait le souper. Si tu veux manger des gaufres égaux pour déjeuner, va à l'épicerie puis achète-toi des gaufres égaux. Tu sais, les petits caprices qu'ont maintenant les enfants, ils travaillent. J'aimerais ça avoir du fromage, de la vache qui rit. Je comprends, ma vache qui rit, c'est rendu à sa pièce. Tu travailles, va t'en chercher. Donc ça, on a stabilisé un peu la patente. Puis tu sais, de ce temps-ci, on mange des pommes. On n'achètera pas des fruits qui ne sont pas achetables. On mange des pommes, puis... Notre truc.
[00:54:51] Speaker A: On a adopté ça il y a une couple de mois. HelloFresh. Je vais vous expliquer pourquoi. On faisait beaucoup de gaspillage alimentaire. Moi, j'allais faire l'épicerie du jeudi. Ah oui, donc de la truite, du saumon, un steak, ainsi, un ça. Là, des fois, ma blonde, on a une réunion à ta place, elle n'est pas là. L'autre, il coache au foot, il n'est pas là. Il y a un cours à l'université. Puis finalement, là, c'est...
La semaine, ça swing, là. Vous le savez, là, dans vos vies, les livers, c'est jamais égal. Là, moi, j'arrivais des fois, à la fin de semaine, « Hein, on va faire le ménage des tiroirs à viande, puis surtout tiroir des légumes. C'est dégueulasse. » Mais le gaspillage alimentaire, c'est un Christy d'enjeu. HelloFresh, zéro gaspillage. Je calcule, là. HelloFresh, pour quatre personnes, On a six repas, je n'ai commandé six cette semaine. Ça me revient à 250. Pas de gaspillage! Ce qu'on fait, c'est que je vais chercher une grosse plate de steak haché et on pimpe chaque recette. Ça fait des lunchs en plus. Fait que t'as tes repas pour les ogres qu'on a, nous autres. Puis moi, je coupe un peu dans mes portions, ma blonde aussi. Puis on se fait des lunchs. Je viens de vous donner un truc de gestion interne, là. Mais HelloFresh, je pense que ça pogne beaucoup, GoodFood, des compagnies. Mais en coupant dans le gaspillage alimentaire, en gérant ça de cette manière-là, je pense qu'on réussit à s'en sortir. J'ai réussi à couper ma... ma facture au final.
[00:56:26] Speaker B: Il y a l'hosteur qui m'a pas donné de chiffre, là, mais il dit mes épiceries par mois... Il y a trois ados, là, à la maison. Mes épiceries par mois coûtent plus cher que mon paiement de maison.
[00:56:35] Speaker A: Absolument. C'est 1500 piastres.
Ça doit coûter autour de ça, 1500. Il y a trois ados?
[00:56:42] Speaker B: Trois ados.
[00:56:42] Speaker A: OK, donc on frôle 400 par semaine. 4 fois 4, c'est plus les à côté. Il faut que tu retournes à l'épicerie. Les oeufs, les oeufs! Il est parti là-dessus, Charles. Les oeufs, c'est l'enfer. Trois, quatre oeufs. Des fois, deux fois par jour. Ça n'a pas de sens. Ça n'a pas de sens, les oeufs.
Ça n'a pas d'allure.
[00:57:03] Speaker B: Mais regarde...
[00:57:05] Speaker C: Nous autres aussi, on en mange beaucoup d'oeufs, c'est...
[00:57:08] Speaker A: Mais ça roule, tu sais, puis il faut éviter, c'est ça. Éviter le gaspillage, parce qu'on gaspillait beaucoup. Il y a une gestion, il y a une meilleure gestion. On a resserré le boulon, puis moi, je me mets dans la photo aussi. Moi aussi, il faut que je fasse attention.
[00:57:21] Speaker C: L'espèce de patente de 30 oeufs au Costco, il est payant.
[00:57:26] Speaker A: Oui, il est payant. Quelqu'un écrit 250 pour 4, c'est pas cher, non? Moi, c'est plus 300 que ça coûte. Qui disait ça, 250?
[00:57:33] Speaker C: 250, c'est toi qui as dit pour ton halo fraîche.
[00:57:35] Speaker A: 250, non, c'est ça. C'est pas cher. Vous avez raison. Je vous montrerai la...
[00:57:39] Speaker B: Mais ça couvre pas ta semaine au gromblet, là.
[00:57:41] Speaker A: Non, mais...
[00:57:42] Speaker B: Je t'ajoute des choses par-dessus.
[00:57:43] Speaker A: C'est ça. Il faut que j'ajoute le pain et le lait, puis j'achète une slabe ou deux de steak haché.
Puis t'as le déjeuner, évidemment, les oeufs, le beurre. Tu sais, c'est les staples d'origine, de base. Mais la semaine est faite. Parce que le midi, on se bisoune toujours entre desserts. Il y a comme des restants, des restants de l'eau fresh où on se bisoune. Puis moi, honnêtement, avec l'horaire qu'on a, moi, je dîne pas. Déjeuner, dîner, là. Tu sais, tu prends une toast sur le fly, puis tout ça. Le gros repas, c'est le souper. Fait que c'est ça. On a fait de l'auto, je vous dirais.
[00:58:15] Speaker C: Je pense que oui.
[00:58:15] Speaker A: C'est rare qu'on parle de ça pareil, mais c'est la vraie vie. C'est de la bouffe. Tout le monde mange. Les oeufs au Costco, c'est un deal incroyable. Le fromage au Costco aussi. Le fromage au Costco. Les grosses, grosses, grosses briques de cheddar, c'est vraiment, vraiment, vraiment vendable. Il est 7h pile. On va faire la pause là. C'est une magnifique semaine. Il va faire beau mur à mur. Il y a vraiment pas d'histoire à raconter. En fait, les gens heureux n'ont pas d'histoire. Il va faire beau et ensoleillé jusqu'à mardi prochain. C'est incroyable. On fait la pause. Et c'est le deep down au retour dans Montréal.
[00:58:49] Speaker B: Les meilleurs au monde, on revient dans pas long.
[00:58:54] Speaker A: Les sports de Dan, présentés par Gold Wanted, qui cherchent des représentants sur la route. Tu es fonceur et débrouillard? Parcours le pays, dépenses payées. Pas d'expérience requise, salaire de départ entre 125 et 150 000 $. Écris-nous au RH à commercialgoldwanted.ca.
[00:59:12] Speaker B: Le retour de Radio-H.
[00:59:16] Speaker E: Les gens vont devoir prendre une décision. Est-ce que vous voulez un nouveau management avec une nouvelle pensée ou vous voulez revenir dans les années 90?
[00:59:22] Speaker B: Mais là, les gens disent, t'as donné.
[00:59:23] Speaker A: L'Étiquette du gars qui divise.
[00:59:25] Speaker B: Tu réponds quoi à ça?
[00:59:26] Speaker E: Bien, moi, j'étais là le 4 juillet 2023. M. Hamad est arrivé en avril 2025. Celui qui divise, c'est M. Hamad. M. Hamad est dans mes jambes.
[00:59:36] Speaker F: Lundi au vendredi, 15h.
[00:59:53] Speaker C: École de conduite Pointe-Lévis qui vous offre 250 heures de cours par semaine, c'est génial. Mais surtout, on a de la disponibilité pour vos kids le soir et les week-ends parce qu'on le sait que c'est là qu'ils sont disponibles. Il y a des groupes qui débutent à chaque mois avec 15 formateurs et une flotte de 7 véhicules. Les formateurs sont très très bons là. Ils sont bons. Vraiment bons. D'ailleurs c'est pas pour rien, on le remarque, ça conduit mieux. sur la Rive-Sud grâce à l'École de conduite Pointe-Lévis. Les étudiants, en plus, sont assurés d'avoir leur permis dans les délais minimums imposés par la SAC, soit 12 mois et moins. T'appelles au 88-833-5450, tu dis, moi, j'ai entendu ça à Radio X, tu vas épargner 50 % sur ton manuel de conduite. Les cas de promo, on aime ça, l'École de conduite Pointe-Lévis, on est à Saint-Charles-de-Bellechasse. Et à Lévis, passe-nous voir, École de conduite Pointe-Lévis.
[01:00:42] Speaker B: J'ai une question qui me travaille.
[01:00:44] Speaker F: Est-ce vrai que le pourboire m'appartient si.
[01:00:45] Speaker B: C'Est moi qui donne le service?
[01:00:46] Speaker F: C'est vrai, et ce, peu importe votre salaire. Il peut aussi exister une entente sur le partage du pourboire avec d'autres travailleuses et travailleurs. Énorme du travail pour les questions qui vous travaillent. Un message de la CNESST.
[01:00:57] Speaker B: Ici Stéphane Slogar, propriétaire et fondateur de Slogar Jury Conseil. Depuis 20 ans, l'équipe Slogar à récupérer plus de 71 millions de dollars à.
[01:01:05] Speaker A: Plus de 3 500 clients en indemnisation.
[01:01:08] Speaker B: C'Est un SST, SAAQ et assurance invalidité.
[01:01:11] Speaker C: Un accident de la route, ça bouleverse une vie. Avec nous, vous serez bien informés, bien.
[01:01:16] Speaker D: Accompagnés et surtout bien représentés.
[01:01:18] Speaker C: On protège vos intérêts pour obtenir les meilleures indemnités et vous permettre de bien traverser cette épreuve.
[01:01:24] Speaker B: Slogart.Ca, première rencontre sans frais.
[01:01:27] Speaker F: Ce n'est pas un solde. Chez Walmart, vous pouvez compter sur des bas prix tous les jours. Par exemple, procurez-vous des raisins rouges ou verts sans pépins à seulement 2,84 $ la livre, en magasin et en ligne, chez Walmart. À Télé-Québec, mercredi 20h, une époque formidable animée par Stéphane Bureau.
[01:01:46] Speaker B: On va commencer fort.
[01:01:48] Speaker F: Pourquoi les idées conservatrices ont le vent dans les voiles chez les jeunes électeurs?
[01:01:52] Speaker G: J'aime la réponse, polie et ordonnée.
[01:01:54] Speaker F: Pourquoi le départ à la retraite est-il sans cesse retardé? Est-ce qu'on doit le faire, même si.
[01:01:59] Speaker E: On peut le faire?
[01:02:00] Speaker F: Et à quoi ressemble l'intimité sexuelle chez les personnes âgées?
[01:02:03] Speaker G: Tu génères des passions.
[01:02:04] Speaker F: J'espère. Allez au-delà des préjugés avec une époque formidable. Mercredi 20h à Télé-Québec.
[01:02:11] Speaker B: Les petites patates, présentées par les Cliniques Viva. Offrez-vous l'épilation définitive avec le laser Triton, ultra-efficace et sans douleur. Épargnez jusqu'à 50 % en combinant les régions. Cliniqueviva.com.
[01:02:24] Speaker C: Doom, as-tu des petites patates?
[01:02:27] Speaker A: On va commencer, on va commencer deep low call ce matin. Je sais pas si vous avez vu des images en fin de semaine des pompiers qui ont eu de la misère à entrer pour éteindre un feu sur Saint-Jean dans le Vieux-Québec.
Ça va prendre quand même une intervention. Faut pas penser à ça. Clôture antiterroriste, anti-bélier, c'est correct. Mais là, on est en train carrément d'emmerder les services d'urgence et ça peut être très, très, très dangereux au final. Restons dans le municipal. Marchand son annonce en fin de semaine pour plaire aux aînés, c'est eux autres qui votent, hein, après tout. Il va faire, j'ai bien compris, de grandes, grandes, grandes traverses.
Donc il y a la traverse de piéton qu'on connaît. Mais là, il va en faire des super grosses. Sais-tu ça? Ça va coûter combien? Un investissement de 10 millions. Initialement prévu sur 10 ans dans la stratégie de sécurité routière, ce qu'on appelle les zones pour aînés. nécessite un investissement de 10 millions, serait donc achevé d'ici cinq ans, soit deux fois plus vite que prévu. Les cols bleus de Lévis ne sont pas impressionnés par Bonin, qui est allé fort dans ses discours ici et ailleurs. en disant qu'ils voulaient réduire la masse salariale, entre autres, à la ville de Lévis. Ça, c'est le syndicat des employés municipaux qui sort en disant, ça n'a pas de bon sens, on va vous combattre, on va sortir et on va... Finalement, ça rejoint un peu l'histoire de la semaine passée. On va prendre les cotisations. Puis on va vous combattre. Mais vous allez combattre aussi qui? Ça donne que la candidate de Laouillet est rigoureuse elle aussi, puis vous avez Blainé quand même, qui est un conservateur, qui veut vraiment couper lui aussi. Lui, c'est dans son ADN, c'est connu depuis longtemps.
OK. Qu'est-ce qui se passe? J'ai une autre histoire d'hôpital. Ça, c'était à la une de la presse de ce matin. C'est une histoire d'horreur. À un moment donné, on est quasiment habitués. Malheureusement, on est engourdi face à ce récit. Mais là, c'est une histoire de soins palliatifs. L'hôpital Sacré-Cœur, c'était à Montréal. Et on a découvert des aînés, la couche pleine. Tu sonnes la sonnette d'urgence dans la chambre. Ils viennent au bout d'une heure. Ça va avec le reste des employés de la DPJ de Joliette qui se font battre par des jeunes. Rapport de la CNESST qui exige plus de personnel s'occupe des adolescents. Il y a une intervenante de 19 ans qui s'est faite sauvagement battre par un kid en garde fermée là-bas.
Fitzgibbon, ça va très bien. Lui, il avait diffamé la présidente de Québécois, Sylvie Lalande. Lui, c'est reviré de bord puis nous a fait payer le billet d'avocat. 159 000 qu'on a payé, nous autres, pour des frais d'avocat à cause des niaiseries, que Fitzgibbon a pu dire. Le coût de l'entretien ménager des immeubles du gouvernement a augmenté de 36 % sur 4 ans. Ouais, une belle job de balayeuse.
François Legault qui se prend pour Rocky. Je l'ai pas mis en une parce que de un moment donné, ça devient farfelu. Oui, oui, il a fait jouer Eye of the Tiger en enlevant les paroles. C'était en anglais, c'était pas le temps, là! C'était pas le temps! Vous avez les caquistes qui l'ont un peu challengé sur le plancher, mais lui, il dit qu'il est capable de continuer. Le gouvernement du Québec va annoncer aujourd'hui l'agrandissement d'une usine à Varennes, l'usine Hitachi. Fabrication des transformateurs pour hydro.
Qu'est-ce que j'ai pour ça, vite comme ça? Bon texte de Girard en fin de semaine sur le pouvoir d'achat des Québécois qui a reculé. On le sait, marche arrière du gouvernement concernant les voitures qui seront vendues dès 2035. Ce ne sera pas juste des voitures électriques, mais on va pouvoir inclure les voitures hybrides rechargeables. Mais il y a un moment pour moi que les contraintes sont quand même assez serrées. Puis je finis avec Bad Bunny. On ne l'a pas parlé. Bien oui, c'est lui qui va chanter. Ça va être du latino. Ça va être du latino ce soir. Alors voilà, on en parlera dans le deep, j'imagine. Et voilà, passez une très belle journée.
[01:06:35] Speaker B: Au Québec, on l'aime notre bois. C'est un matériau renouvelable, écoresponsable et ça.
[01:06:41] Speaker A: Vient de chez nous.
[01:06:42] Speaker B: Et avec le bois, on peut pratiquement tout faire. Des beaux meubles en bois, des maisons en bois, des instruments en bois, puis.
[01:06:49] Speaker C: Plein.
[01:06:51] Speaker A: Puis un bille-boquet.
[01:06:53] Speaker B: C'est pas pour rien que c'est un pilier économique pour tout le Québec qui fait vivre plus de 900 municipalités. Le bois! C'est une ressource exceptionnelle. Et l'industrie forestière du Québec est fière de valoriser cette richesse si essentielle à nos vies. Dites stop à la perte de cheveux avec les Clinique Viva. Découvrez l'ensemble des technologies offertes chez Viva. PRP, exosome, micropigmentation capillaire et plus. Cet automne, toutes ces technologies sont offertes à 20 % de rebais. Cliniqueviva.com Salut!
[01:07:21] Speaker C: C'est moi.
[01:07:35] Speaker G: Ton sommeil.
[01:07:36] Speaker B: Je te prends une petite minute parce que mes camarades de Dormivouz et moi, on a remarqué quelque chose. Quand tu vas au restaurant, tu commandes.
[01:07:41] Speaker G: Pas nécessairement la même chose que ta blonde. Puis le matin, je suis pas mal.
[01:07:44] Speaker B: Sûr que tu m'aimes pas le même linge que ton chum. Alors pourquoi tu serais obligé d'avoir les mêmes goûts en matière de sommeil? Tu veux du moelleux, elle demande du ferme. Tu rêves de fluffy, lui de soutien. Ben go, go, let's go! On a ce qu'il vous faut.
[01:07:56] Speaker F: Pendant l'événement Milli Mello, obtenez 20 % de rabais sur presque tout, en ce moment, seulement chez Dormez-vous.
[01:08:03] Speaker B: Ben, passerais-tu la scie, mon grand?
[01:08:05] Speaker C: Question de lancer ton téléphone.
[01:08:06] Speaker B: Ha ha! Mais c'est pas un métier, couper des branches aussi proches des fils.
[01:08:10] Speaker A: Franchement, je suis capable.
[01:08:12] Speaker F: Tailler des branches près des fils électriques pourrait couper court à votre vie. Restez à plus de 3 mètres. Ceci est un message d'Hydro-Québec. Les meilleurs collaborateurs sont ici.
[01:08:36] Speaker B: Radio-X, Montréal, Louis-Cloutier, Gilles Proulx, Nathalie El-Ghrabi.
[01:08:39] Speaker F: Donald Charest, Ursula Terrien, Jean-François Caron, François Lambert, Béatrice Bouchard, Franck, le dédomiseur, Live, Couture, Gilbert Delorme, François Charron, Rodolphe Osmond.
[01:08:48] Speaker B: Dans le Mid, Charles, Ouellet, Jean-François Lézier.
[01:08:52] Speaker F: Stéphane Fidère, Catherine Laubie, Vincent Géloseau, Roland Ladrec, En direct.
[01:08:56] Speaker B: Le retour.
[01:08:58] Speaker F: Léopold Lauzon. Lino Zambito. Stéphane Monnet. Christian Page. Yann Alperin. Docteur Denis Boucher.
[01:09:03] Speaker A: C'est pas mal ça.
[01:09:04] Speaker F: Les meilleurs collaborateurs sont ici.
[01:09:08] Speaker B: Sois Radio X. Musique de Rocky. J'avoue que des fois c'est vrai que...
Je me sens un peu comme un boxeur qui encaise des coups. Ce n'est pas la force des coups qui compte, c'est la capacité des encaissés. Je suis prêt à continuer à encaisser des coups.
Je fais pas ça pour moi, là.
[01:09:41] Speaker G: Je fais ça pour vous autres.
[01:09:43] Speaker B: Je fais ça pour les Québécois. Il y en a qui annoncent notre mort. Je sens qu'on est, comme on dit, en mission. On y croit, on va se battre.
Présenté par Couvre-Plancher Orléans qui fête ses 50 ans d'érabais sur les flottants, vinyles.
[01:10:07] Speaker A: Céramiques, tapis, la peinture Benjamin Moore et.
[01:10:09] Speaker B: Plus, c'est Couvre-Plancher Orléans.
Un petit peu de... de Bad Bunny.
[01:10:45] Speaker C: J'étais pas le seul déçu, moi, t'sais. Hier, au Sunday Night Football, on annonce Bad Bunny. Show de la mi-temps, super bon.
On espérait beaucoup Metallica, on l'espérait. Ils l'ont levé en main, ils l'ont dit publiquement, on veut y aller, San Francisco c'est chez nous, c'est la maison. Mais non, ça sera pas Metallica. C'est plate de main. Visiblement, t'sais, on le voit, là, puis ils se suicident de la NFL également. Les gens étaient déçus. Les fans de la NFL demandent du rock depuis plusieurs années, puis la NFL ne le fait pas. La rumeur hier, tout ce qu'on sait, là, c'est qu'ils ont travaillé très, très fort, très, très, très, très, très, très, très fort pour avoir Taylor Swift comme show de la mi-temps au Super Bowl. Elle a refusé. C'est normal, je pense que je ne m'attendais pas à avoir Taylor Swift cette année au show du Super Bowl. Puis on s'est rejetés par la suite sur Bad Bunny.
[01:11:47] Speaker B: Ça va être ça. Ça passe quoi d'un très gros nom? C'est un très gros nom.
[01:11:50] Speaker C: Oui, c'est un gros nom.
[01:11:51] Speaker B: Sérieusement, ça pogne sur Spotify à checker les chiffres de Bad Bunny. C'est majeur. Je vais le challenger, Bad Bunny, à faire de quoi. Ça fait longtemps qu'on n'a pas vu ça d'ailleurs au show de la mi-temps de la NFL.
[01:12:05] Speaker A: Fais venir Metallica.
[01:12:07] Speaker B: Oui.
Bad Bunny et Metallica, faites un mix. Trouvez de quoi. Vous êtes assez créatifs, je pense, les deux bars.
[01:12:13] Speaker A: Ce serait quoi la toune qui pourrait se mixer? Whiskey in the jar avec des...
[01:12:19] Speaker B: C'est pas tout du bongo, là?
[01:12:23] Speaker A: Whack it!
[01:12:30] Speaker C: C'est ça. Ça va être ça. Qu'est-ce que tu veux que je te dise? Peut-être que Metallica va faire l'hymne national. Peut-être qu'il y a un paquet d'affaires. Il y a le God Bless America aussi à faire. Ils ont d'autres annonces. Mais je ne vois pas l'éventualité de voir Bad Bunny. Lui, il paye pour être là.
[01:12:48] Speaker B: L'hymne national par Green Day, puis Metallica dans le mix avec Bad Bunny.
[01:12:53] Speaker A: Oui, ce sera le fun. Moi aussi, je déclare... C'est Lars qui joue de la tambourine en arrière.
[01:13:00] Speaker C: La chose certaine, c'est qu'on peut pas dire qu'ils ont pris... Ils ont pris la personnalité qui pogne le plus sur Spotify depuis 18 mois.
[01:13:08] Speaker A: C'est ça. Dans le bureau, ils sont arrivés, puis ils ont regardé, puis... C'est ça.
[01:13:13] Speaker C: Donc, bon show de l'habitacle. Tout ce qu'il nous reste à savoir, c'est quelles équipes vont s'affronter.
[01:13:17] Speaker A: Ça sera pas les Ravens. On le sait, il y a des clubs de jeux qu'on peut écarter.
[01:13:22] Speaker C: Ça sera pas les Ravens.
[01:13:23] Speaker A: Ils feront pas les séries. Ben là...
Non mais les deux fois où ils ont commencé 1-3, ils n'ont pas fait des séries. Donc je te dirais que ce serait avec l'état des choses.
[01:13:32] Speaker C: Ah non, ils sont découragés.
[01:13:34] Speaker A: Il n'y a pas de chance.
[01:13:35] Speaker C: On va les garder découragés, c'est correct.
[01:13:37] Speaker B: 1-3. Non, ça va être 1-4. Non, 1-3, ça va être... Il y a une de nos deux équipes qui va avoir cette fiche-là ce soir.
[01:13:44] Speaker A: Oui, c'est le Morelive Bowl ce soir.
[01:13:47] Speaker B: Oui, c'est le Morelive Bowl.
[01:13:47] Speaker A: La piste, c'est que ça risque d'être bon.
[01:13:50] Speaker B: Ça risque d'être un bon game. Fields qui est de retour.
[01:13:53] Speaker A: Vraiment? Ouais. La game... Vous allez regarder ça, les gars, là?
[01:13:57] Speaker B: Oui, oui, je vais la regarder.
[01:13:57] Speaker A: Bon, c'est sûr.
[01:13:58] Speaker B: Je vais regarder ça.
[01:13:59] Speaker C: En plus, ça s'éteint.
[01:14:00] Speaker B: C'est ça, c'est de bonheur.
[01:14:01] Speaker A: Ah oui, il est bonheur?
[01:14:01] Speaker B: Oui, il est bonheur.
[01:14:02] Speaker A: À Miami?
[01:14:03] Speaker C: À Miami.
[01:14:04] Speaker A: OK.
[01:14:04] Speaker B: Oui. Parce qu'il y en a un autre à 8h15, Cincinnati contre Denver.
[01:14:08] Speaker A: Oh, c'est un doubleheader! OK, parfait.
[01:14:10] Speaker C: Puis, t'sais, savez-vous quoi?
[01:14:11] Speaker B: Je pense que Miami et New York.
[01:14:12] Speaker A: Sont les plus intéressantes.
[01:14:12] Speaker C: Je pense que Miami et New York sont les plus intéressantes.
[01:14:14] Speaker B: Oui.
[01:14:15] Speaker C: T'sais, il y a la NFL qui donne ses prix des meilleurs matchs de la semaine, meilleure scie, meilleure somme, meilleure performance de la semaine à chaque mardi. Deux fois depuis, en trois semaines, les Jets ont été les meilleurs matchs de la semaine. Donc ça pourrait arriver. Ça n'arrivera pas cette semaine parce que le match d'hier soir était complètement malade. Mais ça va être un bon match, les Jets contre les Dolphins. Ça va être bon.
[01:14:37] Speaker A: On va check ça.
[01:14:37] Speaker C: Ouais, on va suivre. Il y a une fille qui était là chez le médecin. puis elle n'a pas aimé ce que le médecin lui a dit.
[01:14:45] Speaker A: Ah oui, ça c'est bon. Ça tu dois jouer ça vendredi.
[01:14:47] Speaker C: Exact.
[01:14:48] Speaker A: Mais c'est juste parfait pour commencer la semaine avec ça. Je suis allée au médecin, puis t'sais.
[01:14:52] Speaker F: C'Est un médecin focal, genre vu que j'ai pas de médecin de famille.
[01:14:55] Speaker B: Le commandant le plus grossophobe que j'ai.
[01:14:57] Speaker A: Jamais entendu de ma vie.
[01:14:59] Speaker F: T'es comme, tu fais combien de pas par jour, puis t'es-tu active?
[01:15:02] Speaker B: Que je voyage comme 6 mois par année.
[01:15:04] Speaker F: Pis là, ils me coupent tout de suite. Fait que pendant 6 mois, tu fais rien.
[01:15:07] Speaker A: J'suis comme non, au contraire.
[01:15:09] Speaker F: J'suis full active. J'ai mon gros sac.
[01:15:11] Speaker B: J'fais genre 20 000 pas par jour, an à an.
[01:15:13] Speaker F: Et là, ils me disent qu'ils devraient choisir des pays pauvres. Comme ça, ça va t'empêcher de manger.
[01:15:18] Speaker B: What the fuck?
[01:15:20] Speaker F: J'suis tellement sans mots et outré, là.
[01:15:23] Speaker B: What the fuck?
[01:15:25] Speaker A: Donc, le médecin, il a dit que t'es grosse.
[01:15:28] Speaker C: Ouais, il a dit t'es grosse. Change ça.
Puis elle est sortie, puis arbroyant.
[01:15:33] Speaker A: C'était quoi son... Qu'est-ce qui l'a amenée visiter le médecin? Mal au genou, mal au dos...
[01:15:38] Speaker C: Je sais pas.
[01:15:39] Speaker A: Aucune idée. Elle a du mal à se relier à sa condition?
[01:15:41] Speaker C: Aucune idée. Je peux pas te dire. Tout ce qu'elle dit, c'est que le médecin lui a dit qu'elle était grosse, puis elle a pas aimé la façon dont il lui a dit. Mais c'est un peu à la job du médecin de te dire ça, là.
[01:15:49] Speaker A: Être trop grosse, c'est pas santé. Je le sais que, dans le discours usuel woke qu'on a entendu, inclusive, inclusive, Oui, mais il faut... Non, mais l'obésité, ça n'existe plus. Il faut... C'est de la saine. C'est un proie qui est sain, après tout, mais c'est pas vrai. Des fois, t'es trop gros, puis des fois, c'est pas santé, là. T'sais, c'est tout. Faut quand même le dire que l'obésité, c'est pas santé, là. de là à donner du jugement à gauche et à droite. C'est là que, là-dessus, je pense que la société va évoluer. On se met pas à rire du monde. Tu comprends qu'on respecte tout le monde. Tout le monde est respecté. C'est juste que la science le dit.
[01:16:37] Speaker B: Il faut que tu juges la personne qu'il y a devant toi à un moment donné. Es-tu prêt à entendre que je dise de telle manière? Des fois, c'est tough à gauger. C'est pas tout le monde qui est prêt à entendre le Doc Boucher.
[01:16:48] Speaker C: Elle a fait une deuxième vidéo dans laquelle elle explique que le médecin, t'sais, il a shaké un peu le gras de bedon pis t'sais, il a... Ben.
[01:16:58] Speaker A: Le gras abdominal, c'est très mauvais, là.
[01:17:00] Speaker C: C'est ça.
[01:17:00] Speaker A: Ça se parle n'importe à quelqu'un... Non.
[01:17:02] Speaker C: Non, j'en tiens bien d'accord.
[01:17:03] Speaker A: Ben, elle est pas...
[01:17:04] Speaker C: J'aurais pas fait de vidéo avec ça, moi.
[01:17:07] Speaker B: C'est juste ça, j'aurais pas fait... Ouais.
[01:17:07] Speaker A: Elle s'est exposée, hein.
[01:17:08] Speaker E: Ouais.
[01:17:09] Speaker A: Elle s'est exposée.
[01:17:10] Speaker C: C'est tout.
[01:17:11] Speaker A: On avait un docteur à Shawi, quand j'étais petit. Je me souviens très bien comme si c'était hier. La Montagne.
Lui, il donnait l'heure juste. Puis j'étais allé à l'hôpital avec ma mère, puis avec mon père, je les accompagnais. Ça fait très longtemps de ça. C'est pas ma mère qui était visée. La patiente avant ma mère. La porte était ouverte. L'hôpital régional à Shumgan Sud, docteur Lamontagne. Les livers dans ce coin-là vont peut-être l'identifier. Il n'y avait pas langue dans sa poche. «Votre problème, madame, c'est quoi? On l'a entendu. Elle avait mal dans le dos. Qu'est-ce qu'il a dit?
[01:17:46] Speaker C: Vous êtes grosses.
[01:17:47] Speaker A: Lavez-vous.
[01:17:48] Speaker C: Lavez-vous?
[01:17:50] Speaker A: Lavez-vous! Il a dit ça.
[01:17:52] Speaker B: La malle dans le dos, lavez-vous.
[01:17:53] Speaker A: Votre problème, oui. Ça y grattait, j'imagine. Ça y piquait. Elle avait comme... Elle se voyait pas. J'ai-tu des boutons, etc., j'imagine. Mais il a dit ça, clairement, comme s'il était sur un stage. «Votre problème, madame, savez-vous c'est quoi? Lavez-vous!» Ça humilie à la bataille de se faire dire ça, hein? Donc c'est un genre de docteur... Comment il s'appelle notre docteur qui a pas la langue dans sa poche? «Docteur Boucher» dans le style. «Docteur La-Montagne». Ça rentre au poste anti-péché, lui. T'étais gros pis t'avais l'heure juste, pis... Ben ça, ça...
Avec la bien-pensance d'aujourd'hui, je comprends qu'on est ailleurs.
[01:18:35] Speaker C: Est-ce que... Est-ce que... En fait, je te fais entendre la vidéo, on en reparle après.
[01:18:39] Speaker F: Il n'a jamais...
Possiblement, j'ai malédité la clip.
[01:18:58] Speaker G: I'm so fucking tired of the athletes.
[01:19:01] Speaker F: I'm so fucking tired of these fuckboys.
[01:19:04] Speaker G: Where are the fucking nerds?
[01:19:07] Speaker A: Fait qu'en gros, qu'est-ce qu'elle dit? Elle cherche des gars qui sont déjà mis en herbe.
[01:19:10] Speaker C: Elle cherche des nerds parce qu'elle dit que les...
[01:19:13] Speaker B: Elle tenait des athlètes.
[01:19:14] Speaker C: Elle tenait des athlètes, elle tenait des gars qui penchent juste à leurs muscles puis qui... La fille, je vous le dis...
[01:19:20] Speaker B: Elle veut des Bill Gates.
[01:19:21] Speaker A: Elle veut des gamers.
[01:19:23] Speaker C: Les gars, si vous êtes nerds, allez la trouver sur Internet parce que c'est un bon deal.
[01:19:27] Speaker B: C'est ça qu'elle veut.
[01:19:28] Speaker A: Étant spécial, elle est ouverte.
[01:19:30] Speaker C: Au plan du physique, c'est pas dans votre ligue.
[01:19:32] Speaker B: OK.
Ben c'est parce que récemment elle a regardé... non je vais juger là mais... Récemment elle a regardé le top 10 des personnes les plus riches au monde avec Vernards.
[01:19:41] Speaker A: Ouais c'est sûr.
[01:19:42] Speaker B: Avec entre autres... Ben Elon Musk.
[01:19:45] Speaker A: Elon Musk.
[01:19:46] Speaker B: Bill Gates. C'est encore là, toute cette gang-là. Le gars de Microsoft...
[01:19:51] Speaker A: Comment il s'appelle l'autre? Il doit en avoir 3-4 d'Apple en haut aussi.
[01:19:56] Speaker C: Je te fais entendre, c'est toi qui m'as envoyé ça ce matin, Doom, puis je trouve que ça vaut la peine de l'écouter. On va beaucoup jaser d'un paquet de sujets qui ressemblent à ça cette semaine.
[01:20:10] Speaker A: Il y a du bon dans ce qu'elle dit. C'est que ça dérape. Quand tu ouvres la porte à ça, il faut se le dire, avec C9 et C2, projet de loi qui vont nous amener une forme de surveillance. Il y a quelque chose là. Aucun doute, il y a quelque chose là, les livers. On va en parler aujourd'hui, entre autres, avec François Lambert. Et demain, Puis en même temps, toute la semaine, on était en train de planifier une succession d'entrevues là-dessus, en espérant que les conservateurs vont se dégourdir, puis ils vont critiquer parce que c'est un projet libéral. Les conservateurs, pas mal d'autres sont dans l'opposition, donc ils vont se structurer une opposition, puis ils vont nous revenir aux alentours de jeudi, paraît-il. Ce qui n'est pas des jokes.
[01:20:54] Speaker B: C'est neuf au final, c'est juste une nouvelle twist à ce que Trudeau voulait déjà faire.
[01:20:59] Speaker A: C2, c'est un millimélo. C2, il est plus court. Je l'ai lu au complet, une dizaine de pages. On va y revenir. Sur le contrôle du discours haineux. Définir qu'est-ce que la haine, etc. Et, dans le cas de ton intervenante, c'est la surveillance électronique. Ils vont avec ces projets de loi-là, puis on en reparlera surtout demain. Ils vont pouvoir vérifier comment on dépense notre argent, dans quel genre de département, etc. Ils vont vraiment avoir accès, quand je dis « i », c'est le gouvernement, à tout notre mode de vie.
[01:21:34] Speaker C: Et là, écrivez-nous pas pour nous parler du messager. On comprend que c'est quelqu'un qui est très polarisant. C'est Karine Charpentier-Lafontaine.
[01:21:42] Speaker A: Oui, mais c'est le deep down.
[01:21:43] Speaker C: C'est ça, exactement. Donc on l'écoute.
[01:21:45] Speaker F: On essaie encore de nous faire croire que c'est pour simplifier notre vie, moderniser nos services, notre sécurité. Mais en réalité, c'est qu'avec Digital ID, on entre dans l'ère de contrôle total. Le principe est simple. Une seule identité numérique centralisée pour tout. Votre santé, votre permis, vos impôts, vos comptes bancaires, vos déplacements, vos achats, tout sera relié, tout sera traçable, tout sera analysé. Certains vont dire, bien, si t'as rien à cacher, t'as rien à craindre. C'est pas une question d'avoir quelque chose à cacher, c'est une question de liberté. Parce qu'une fois que ton identité, ta vie et tes ressources sont centralisées dans un seul système, il suffit d'un clic pour te couper de tout. Regardez la Chine. Leur système d'identité numérique est directement relié au crédit social. Tu critiques le régime? Tu perds l'accès aux trains, à tes comptes bancaires, à ton logement.
[01:22:45] Speaker C: Ici... Donc voilà, tu sais, ça ressemble pas mal à ça.
[01:22:50] Speaker A: Anxieux et peut-être même anxiogène pour certains. Mais allons-y avec le verbatim de ce qu'il dit. Il y a beaucoup de vrai là-dedans dans ce qu'il dit. Désolé, il y a beaucoup de vrai. Mais est-ce qu'on va s'en aller vers la Chine? Il faut toujours faire attention. La Chine, bon, c'est quand même une dictature et on empêche quand même le monde de voyager. Moi, aux dernières nouvelles, si je vais prendre un avion demain pour aller à Toronto, le douanier ne dira pas, t'as pas été fin avec Bruno Marchand, t'as pas de points. On n'est pas là. Il faut quand même juste recadrer un peu la discussion puis l'amener dans un niveau digeste et réel, on va le dire comme ça. Ceci dit, dans le verbatim de ce qu'il dit, Il y a des craintes tout à fait légitimes sur l'identifiant numérique, ce qu'on fait, entre autres, en Angleterre. L'aboutissement de ça, c'est la Chine. On n'est pas en Chine, là. Si on était en Chine, je me ferais arrêter, je serais déjà au goulag. Il faut faire attention, mais il y a quand même une dérive. Dans ces projets de loi-là, il y a quelque chose de très inquiétant. Parce que c'est ça qui est le sujet, là. C2 et C9. Donc, c'est des sujets qui ne sont pas beaucoup jasés. Regarde, je vais te donner le crédit à la cube. Ils ont fait un job qui est correct, là, dans ce dossier-là. Tu sais, lorsqu'on dit les mainstream médias, là, tu sais, moi, je les mets pas dans un panier. Les mainstream médias, tu sais, il y a des médias qui l'ont traité. Bon, ils ont traité ça. Nous, on va le faire ici.
et on va le faire à notre mesure et à notre rythme et dans notre style. Mais il y a des trucs... il y a des trucs inquiétants qui se passent. Il s'agit juste d'être... de pas se laisser emballer, d'y aller avec des faits. Mais dans ce qu'elle dit, il y a des trucs qui m'interpellent beaucoup. Personnellement, je sais pas vous autres, là, mais c'est ça, le sélaton et tout, ça, ça devient... à un moment donné, ça devient anxiogène puis on glisse rapidement sur... Ils vont contrôler le monde au complet! Moi, j'aime les faits, Et ça donne que les projets de loi déposés par Carney la semaine passée, ce sont des faits.
[01:25:05] Speaker B: Ça leur donne des grosses poignées.
[01:25:06] Speaker A: Ça leur donne de grosses poignées. Effectivement, on va y revenir.
[01:25:10] Speaker C: On ne peut pas faire semblant que ça ne se passera pas. Celle qu'on vient d'entendre, Karine Charpentier-Lafontaine, fait partie des gens qui sont les organisateurs de cette manifestation-là, qui est prévue demain au Parlement parce qu'on veut renverser le gouvernement Legault, rien de moins d'homme. Je te la fais entendre.
[01:25:27] Speaker F: Ce message s'adresse à vous, à ceux et celles qui sont réveillés, à vous qui voyez clair dans tout ce qui se passe autour de nous, à vous qui avez passé des heures, des mois, parfois même des années, à chercher, à comprendre, à démystifier ce système corrompu. On a tous essayé de réveiller les autres, on a partagé, expliqué, débattu, crié parfois. Mais soyons honnêtes, la majorité est trop endoctrinée. Ils ne se lèveront pas. Pas maintenant, peut-être même jamais. Alors, ce 30 septembre, C'est pas à eux que je parle, c'est à nous. À nous, les éveillés, les lucides, les rétablis.
[01:25:59] Speaker C: C'est ça. Donc, c'est des woke de l'autre bord.
[01:26:03] Speaker B: Mercredi, François Legault va être accompagné.
[01:26:04] Speaker C: Oui, mercredi.
[01:26:06] Speaker A: C'est rocky!
[01:26:06] Speaker C: Pas juste ça, il y a une manifestation, il y a une commémoration également, puis une marche pour la journée. C'est une journée fériée partout au Canada, le 30 septembre, à cause des Premières Nations. Donc tout ça, tout ce beau monde-là va être ensemble devant le Parlement.
[01:26:21] Speaker A: C'est Rocky. C'est ça, Balboa.
[01:26:23] Speaker C: C'est rendu Rocky. Tant qu'à être dans la politique, est-ce qu'on a fait le tour? Je pense que oui.
Jacques Gourde qui crie comme un débile là. Je pense qu'on l'a fait plus tôt.
[01:26:43] Speaker B: L'autre bord il rit là.
[01:26:44] Speaker C: Ouais c'est ça, là c'est rendu une joke là. T'es même pas obligé d'être sérieux.
[01:26:49] Speaker A: C'est juste rire, on atteint la limite.
[01:26:52] Speaker C: Là je pense que c'est devenu une caricature. Tu fais rire de toi, je pense qu'on peut arrêter. C'était correct de revenir avec l'ouverture.
[01:27:00] Speaker B: L'autre bord, Lightbound se lève et dit ça nous avait manqué.
[01:27:03] Speaker C: Et voilà.
[01:27:04] Speaker B: C'est pas ça l'effet que tu veux avoir, là.
[01:27:06] Speaker A: L'effet que tu veux avoir, c'est que tu veux être élu. Oui. C'est-à-dire que tu veux caler l'autre bord pour éventuellement te préparer pour des élections.
[01:27:13] Speaker C: En France, ils sont prêts avec un problème. J'appelle ça un problème, OK? C'est un nouveau problème de reconnaissance de groupes mineurs qui se sentent outrés parce qu'on ne veut pas les reconnaître dans leur différence et dans leur marginalité.
[01:27:27] Speaker B: Les feuilles.
[01:27:27] Speaker C: Non, non. Je vous le dis, on s'en va.
[01:27:30] Speaker A: On est plus loin que ça.
[01:27:30] Speaker C: T'sais, je savais que ça existait, mais là, on est rendu là pis j'ai même vu également sur les médias sociaux un groupe Bébé Reborn Québec.
[01:27:39] Speaker A: Qu'est-ce que c'est que ça cette affaire-là?
[01:27:42] Speaker C: Voilà. J'ai demandé à faire partie du groupe Bébé Reborn Québec parce que je veux voir ce qui se passe là. Je te fais entendre c'est quoi Bébé Reborn.
[01:27:51] Speaker B: Est-ce que vous connaissez le Bébé Reborn? Non. Je vous laisse regarder, je vous en reparle après.
[01:27:59] Speaker F: Sortie entre maman de Reborn. Bon aujourd'hui on a été jusque Villeneuve d'Ascq, il n'y avait plus de métro donc on a dû prendre un bus relais. Une fois arrivé on a été changer les loulous parce que du coup ils avaient un peu trop chaud. Après on a été chercher du lait parce qu'on n'en avait plus.
[01:28:16] Speaker B: Alors pour ceux qui n'ont pas compris, les bébés Reborn c'est des poupées.
[01:28:22] Speaker C: C'est des poupées qui ressemblent à des vrais bébés.
[01:28:24] Speaker B: J'avais peur, je pensais que c'était des humains.
[01:28:26] Speaker A: On en prend soin comme on prenait soin des Tamagotchi dans le temps.
[01:28:28] Speaker B: Je pensais que c'était des asseurs.
[01:28:29] Speaker C: Mais ils demandent les mêmes droits. Ils veulent pouvoir aller au cinéma mère-enfant, ils veulent pouvoir aller... Avec des catins. Avec les poupées.
[01:28:38] Speaker A: Comment t'appelles ça? Baby reborn.
[01:28:40] Speaker C: Avec des poupées, j'en ai vu à 60$ sur Amazon, qui sont quand même assez réelles. Mais évidemment, à 60$, c'est pas de la top qualité. Il y en a avec des presque vrais yeux.
[01:28:49] Speaker A: Il y a une boutique.
[01:28:51] Speaker C: Oui, je sais.
[01:28:52] Speaker A: Il ressemble à un maudit, par exemple.
[01:28:54] Speaker C: Puis il y a une communauté actuellement qui est en train de se former au Québec.
[01:28:56] Speaker A: Il y a une boutique!
[01:28:57] Speaker C: À quoi ils ont d'autres? J'ai demandé à faire partie de la communauté parce que...
[01:29:02] Speaker A: Réalisme!
[01:29:03] Speaker C: Oui, c'est des bébés réalistes. Tu sais, le fait que tu aies un bébé réaliste pour mettre dans la bibliothèque chez vous, comme le ferait par exemple la madame aux ex du NPD, Françoise Moivet.
[01:29:14] Speaker A: Non, c'est débile.
[01:29:16] Speaker C: Ça, c'est une affaire.
[01:29:16] Speaker A: J'aime pas, j'aime pas ça.
[01:29:18] Speaker C: Mais d'acheter un carrosse, d'acheter des couches, de changer la couche! D'acheter du lait, on s'entend pour dire que c'est du gaspillage alimentaire là, le lait que t'achètes pour ça.
[01:29:26] Speaker A: T'as laissé, j'ai l'esprit tordu, mais il doit y avoir des pédophiles qui sont contents.
[01:29:29] Speaker B: Consulté.
[01:29:31] Speaker A: À 164 euros là, un pédophile qui a l'esprit tordu là, il s'en achète 3-4, il vit dans son rêve, dans sa lubie, il est perverse. Moi je trouve ça...
[01:29:41] Speaker B: Mais ça même elle est là, c'est.
[01:29:43] Speaker A: Pas à peu près.
[01:29:45] Speaker B: C'est fucké.
[01:29:46] Speaker A: Joliment fucké.
[01:29:47] Speaker B: Autant que les... On a déjà vu par le passé des reportages, le gars qui a une poupée...
[01:29:51] Speaker A: Les poupées sexuelles.
[01:29:53] Speaker B: Oui, mais c'est adulte.
[01:29:54] Speaker A: Les procès logiques.
[01:29:54] Speaker B: Je rentre pas dans les enfants là. Poupées adultes, ils soupent avec, puis ils jasent avec, puis ils écoutent la TV avec.
[01:30:00] Speaker A: Moi j'ai vu ça là, ce que tu racontes là. Où t'as vu ça? Je sais pas, Canal Day, whatever.
[01:30:04] Speaker B: Je sais pas, mais j'ai déjà vu des reportages.
[01:30:05] Speaker A: C'est sérieusement désaxé là.
[01:30:06] Speaker C: Ben oui, ben y'en a là. Ça existe du moins.
[01:30:08] Speaker A: Ben oui y'en a donc!
[01:30:09] Speaker B: Oui!
[01:30:10] Speaker A: Un ami...
Pas imaginaire, mais une amie artificielle.
[01:30:13] Speaker B: C'est ça, c'est ça. Une blonde artificielle.
[01:30:16] Speaker A: T'avais un poupé gonflant, mais là t'es une blonde artificielle qui ressemble à une vraie fille.
[01:30:20] Speaker B: Non, mais il payait cher la blonde.
[01:30:22] Speaker C: Tu l'invites à manger, là.
[01:30:24] Speaker A: Tu lui dis, mettons... Ben voyons donc!
[01:30:25] Speaker C: Tu viendrais-tu manger? Il va dire, je vais venir avec Candy. Ok.
[01:30:29] Speaker B: Oui.
[01:30:29] Speaker C: Puis il va même te rajouter. Puis elle aime pas l'ail, hein.
[01:30:33] Speaker A: Non, t'es un humain qui vient avec une poupée.
[01:30:37] Speaker B: Oui! Ah!
[01:30:38] Speaker A: Ben voyons donc, vous autres! Arrêtez!
[01:30:40] Speaker B: Faites un souper de couple! Faites un souper de couple!
[01:30:42] Speaker A: Faites un souper de couple! Toi, ta blonde, le gars pis la poupée. Vous êtes complètement capotes.
[01:30:47] Speaker C: Pis là, il dit être énergique aux noix. Non, arrêtez. Ah non, je vais remettre des noix pareilles dans la bouffe. Pis il rajoute ça jusqu'à ce qu'il y ait parfum, là! Pis il met une robe!
[01:30:59] Speaker B: Ah oui!
[01:31:00] Speaker A: Il y en a qui ont des problèmes, mais...
[01:31:02] Speaker C: Si tu l'invites pour regarder la game du Canadien, il va y mettre un gilet du Canadien.
[01:31:06] Speaker A: Merci beaucoup, Dan. Après la pause, oui, c'est le vrai Claude Villeneuve. C'est pas une catin, c'est pas... Non, non, c'est pas un mannequin, c'est le vrai. Il est vivant. Et vous aussi, vous l'êtes tout autant. Après la pause, et on fait ça pour tous les chefs qui veulent bien venir, c'est le 20 minutes du peuple. 418-670-9098. Viens s'asseoir ici en studio et c'est vous qui posez Vos questions, c'est votre tribune. Pendant 20 minutes, vous lui parlez. Qu'est-ce que tu vas faire avec la ville? Qu'est-ce que tu vas faire avec les routes, etc. Bon, c'est vos questions à vous. Vous les mettrez pas dans la bouche, c'est votre tribune. Moi, je me recule et je vous écoute. Et Claude Villeneuve vient s'asseoir en studio de Amore Life.
[01:31:47] Speaker F: Tu as quelque chose à dire?
[01:31:50] Speaker B: Ça va bien aller.
[01:31:51] Speaker F: Tu veux réagir? 418-670-9098. Radio X.
[01:31:57] Speaker B: Le deep down. Présenté par Couvre-Plancher Orléans, qui fête ses 50 ans. Des rabais sur les flottants, vinyle, céramique.
[01:32:04] Speaker A: Tapis, la peinture Benjamin Moore, et plus, chez Couvre-Plancher Orléans.
[01:32:07] Speaker B: Bon, qu'est-ce qu'on mange?
[01:32:09] Speaker F: Une pizza Ludo!
[01:32:10] Speaker A: Ingrédients frais, pâte et sauce maison, Ludo, la pizza congelée au vrai goût de resto. En ce moment, c'est 2,9 pouces pour 12 $. Dispo chez les marchands participants.
[01:32:19] Speaker B: Et un prix très, très, très spécial au IGA Amel.
[01:32:22] Speaker A: Ludo, décongelé, cuire, servir.
[01:32:25] Speaker B: Lise a vendu sans effort et en moins de 48 heures leur maison à airfortin.com. Et c'est une vente sans stress?
[01:32:32] Speaker F: Sans aucun stress.
[01:32:33] Speaker B: Sans conditions ni garanties légales?
[01:32:35] Speaker F: Sans conditions ni garanties.
[01:32:37] Speaker B: Devant notaire?
[01:32:38] Speaker F: Devant notaire.
[01:32:39] Speaker B: Sans ménage ni plusieurs visites?
[01:32:41] Speaker F: Absolument. Vite de même.
[01:32:43] Speaker A: Vite de même.
[01:32:45] Speaker B: Demandez à airfortin.com votre offre d'achat en ligne et vendez-vous aussi vite de même.
[01:32:50] Speaker F: Lui, il vole acheter ton bloc. Airfortin.com. Yes!
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[01:34:12] Speaker A: Ligne se fait encore plus vite qu'un café latté?
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[01:34:36] Speaker A: Promutuel Assurance est la la la la la la la!
[01:34:40] Speaker B: La circulation de Québec pour faciliter la fluidité.
[01:34:48] Speaker C: 88670909 pour nous dire ce que vous voyez sur les routes. Capitale direction ouest à la hauteur du boulevard Saint-Jacques. La voie de gauche qui est bloquée. Il y a un accident. On dit que tous les services d'urgence sont sur place. Donc le remorquage qui va se faire et ultimement ça devrait se dégager. Mais le mal est fait sur Capitale. C'est vraiment compliqué à partir de Seigneurial en se rendant. C'est par choc à par choc jusqu'à boulevard Masson ou Lormière. C'est selon votre Je vous dirais que Laurentien, direction sud dans le secteur des travaux, donc au nord de Georges-Muir, c'est quand même assez lourd également de la faune. Henri IV également très très costaud à partir de Sainte-Geneviève en se rendant jusqu'à Jean-Marchand. Boulevard Charest, c'est compliqué à partir du Ikea jusqu'au centre-ville. La tête des ponts, très très costaud, peu importe où vous arrivez, tout ce qui s'appelle le système autoroutier. 20 S, 20 Ouest, 73, 116, 132. Très compliqué l'accès à la Rive-Nord ce matin. Continuez de nous écrire. Connaissez-vous Paxlovid? C'est un médicament oral de Pfizer. Pour en savoir plus, c'est simple. Demande à votre pharmacien ou à votre médecin, si c'est le cas. Vous convenez, Paxlovid, découvrez-le.
[01:35:56] Speaker F: Jusqu'à jeudi, chez PharmaPrix, obtenez 20 fois les points PC Optimum à l'achat de 75 $ ou plus de produits de beauté, valables en magasin et en ligne. Depuis que j'ai parlé de mes dettes avec Raymond Chabot, j'ai retrouvé le goût d'organiser mes soupers de filles. On a payé du fun ensemble. J'ai aussi repris mes soirées cinéma avec mon gars. J'y fais découvrir mes classiques. Puis j'ai même recommencé à faire du yoga. Moi, ça fait vraiment du bien de retrouver ces moyens.
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[01:36:34] Speaker B: En montant dans le nouveau BZ4X chez.
[01:36:36] Speaker A: Votre concessionnaire, vous pourriez avoir l'impression que.
[01:36:38] Speaker B: Votre VUS a pris de l'avance.
[01:36:40] Speaker A: Parce que pendant que vous êtes encore.
[01:36:41] Speaker B: En train de vous demander si vous avez oublié quelque chose, le BZ4X est déjà chargé. Tout ça grâce à la recharge programmée. Après, tout ce qu'il vous reste à faire, c'est de le ramener à la maison.
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Radio-X à Québec. C'est Radio-X.
[01:37:16] Speaker F: Radio-X.
[01:37:19] Speaker B: C'est vous. Votre propre opinion.
[01:37:36] Speaker A: Le 20 minutes du peuple!
[01:37:37] Speaker B: Le dernier sondage, c'était 42% qui étaient pour.
[01:37:39] Speaker E: On est vulnérables, on est très vulnérables.
[01:37:40] Speaker F: Moi, je viens d'une ville industrialisée.
[01:37:42] Speaker C: Actuellement, on est sur un projet actuellement de 5 milliards.
[01:37:44] Speaker F: Moi, je visais sincèrement la mairie.
[01:37:45] Speaker B: Il y a un travail à faire.
[01:37:46] Speaker G: Dans le financement de la ville.
[01:37:47] Speaker A: Le 20 minutes du peuple!
Grosso modo, jusqu'à 8 heures pile. Claude Villeneuve, comment ça va?
[01:37:54] Speaker D: Ça va bien et toi?
[01:37:55] Speaker A: Très bien. Les lignes sont pleines. En fait, on va passer aux auditeurs dans quelques secondes, juste pour savoir, avoir l'heure juste, puis je vous posais la question durant la pause, les débats. On a out. On a out qu'il y a justement des débats.
pour qu'il y ait des échanges, pour justement qu'il y ait de l'information, essayer de déstabiliser l'autre et tout ça. Les débats, qu'est-ce qu'il y a sur la table de conclus?
[01:38:20] Speaker D: Là, évidemment, il y a la Chambre de commerce qui en fait un la semaine prochaine, le 7. C'est à Saint-Charles-Garnier. Radio-Canada, il y en a un, Radio-Canada, mais là, de mémoire, j'ai de la misère à dire la date.
[01:38:28] Speaker A: Mais il y en aura un.
[01:38:29] Speaker D: Oui, oui, il y en a un, c'est certain.
[01:38:30] Speaker A: Avec Bruno Savard, j'imagine.
[01:38:31] Speaker D: Avec Bruno Savard.
[01:38:32] Speaker A: Est-ce qu'il y en a un avec Julie Couture?
[01:38:35] Speaker D: Vite, je crois... T'as rien, je sais...
[01:38:36] Speaker A: Oui, ah... Va t'attacher de presse. Oui, c'est ça, c'est bon. Très bon.
[01:38:40] Speaker D: Donc on va les faire. On va être là.
[01:38:41] Speaker A: Ben oui, oui, il faut, il faut. Faut que ça lève, là. On prend l'impression que ça lève beaucoup la campagne, humblement.
[01:38:46] Speaker D: Ben oui, pis qui a les moyens de se priver de tribune pour parler avec le monde? Ça marche pas. Ben c'est ça.
[01:38:50] Speaker A: Ça marche pas. OK, parfait. Je laisse la place au monde. Moi, je suis en retrait, puis ça déborde, vous le savez, les livers, des questions intelligentes posées, puis comme d'habitude, finalement, ça a bien été avec Anne, ça va bien aller avec Claude. Et la semaine prochaine, rappelons-le, débordée du Sud, et on reprend le 20 minutes du Peuple après avec la chance et avec Ahmad. Jacques de Côte-de-Beaupré, bonjour.
[01:39:14] Speaker E: Oui, bonjour.
[01:39:15] Speaker A: Vous parlez directement avec Claude Villeneuve, allez-y. C'est votre prénom.
[01:39:17] Speaker E: M. Villeneuve, êtes-vous conscient Quand vous unifiez en pas, vous ne ferez même plus partie du conseil de la ville de Québec. Puis là, vous allez être avec un individu qui va briser la ville qu'on a connue pendant des années. Puis là, ça va être une ville scrappée. Tout ça, tout ça, parce que vous vous êtes pas entendus ensemble. Parce que le marchand va passer là comme une balle.
[01:39:50] Speaker D: Ben moi, comme je vous dis, j'ai très confiance dans mon district de Maiserelle-Héret et au-delà. Puis moi, je vise de gagner cette course à la mairie-là. On va l'avoir, le débat, puis ça va se passer. Bruno Marchand, moi, je vois justement, en termes de pistes cyclables, tout ce qui a été aménagé partout en ville, je vois...
les lubies, l'idéologie telle qu'elle a été implantée. Puis moi, je veux dire, je l'ai vue aux premières loges en étant chef de l'opposition. Maintenant, en nous unifiant pas, t'sais, c'est... Est-ce qu'il y a pas eu... À mon avis, il y a pas eu de discussion vraiment sérieuse pour créer un front uni. Puis de toute façon, t'sais, je vois la personne qui essaie de nous unifier présentement, le genre de campagne qu'elle mène. Je suis pas sûr que c'était l'homme de la situation. En fait, je sais que c'était pas l'homme de la situation. Alors moi, je propose mon offre, je vais voir le monde. Puis l'accueil est super bon. Puis mes candidats, ils sont sur leur terrain, ils sont dans les portes, puis les gens, ils ont envie d'entendre parler d'autre chose qu'un marchand amade. Ils ont envie... ils veulent plus de Bruno Marchand, ils trouvent que ça amade, c'est pas sérieux, ils cherchent autre chose. Fait que moi, c'est ce que je propose.
[01:40:43] Speaker A: OK, puis il y a eu des bonnes questions aussi sur le texto. Je sais qu'on est en 2025, il y a des appels... 88-670-9098. Mais il y a beaucoup de bons trucs sur le texto, puis Dan va faire ça tantôt.
[01:40:56] Speaker C: On va entendre ça.
[01:40:57] Speaker A: Oui, parfait. Bernard de Charlebois, c'est à votre tour.
[01:41:00] Speaker D: Bonjour.
[01:41:01] Speaker E: Oui, bonjour. Moi, je voudrais parler du délit de démocratie qui existe à la Ville de Québec. C'est-à-dire que lorsqu'un citoyen va poser une question, souvent, malheureusement, on ne répond pas à sa question. On voit des fois, on se moque de lui. Je trouve ça curieux que personne n'intervienne, comme vous faites souvent, vous dire à M. Prévelage et à Sandrine Lamant, pourquoi ça ne s'applique pas dans le cas d'un citoyen? Une question de délit de démocratie, vous en faites partie totalement.
Vous êtes pour un projet que le monde ne veut pas. Expliquez-moi ça. C'est pas de la démocratie, ça, là.
[01:41:36] Speaker D: Sur les questions à l'hôtel de ville, je suis parfaitement d'accord avec vous. Je trouve souvent, le maire se fait poser des questions, puis il swingue ça à un de ses conseillers, il répond pas pantoute. Puis nous, on n'a pas vraiment de possibilité associative, parce que quand tu envoies qu'il y a une question de règlement, une question de privilège, il faut que ce soit toi qui sois affecté. Tu peux pas le faire pour n'importe qui. Des fois, c'est quand Bruno Marchand quitte les longues parties du conseil. Je le trouve vraiment arrogant. Je trouve qu'il n'a pas d'écoute et c'est un peu agressif, voire un peu violent à l'égard du monde de balayer du revers de la main leurs questions comme ça. Moi, par ailleurs, je propose de créer une assemblée. Les élus et les conseils municipaux ont la possibilité de faire une assemblée citoyenne dans notre district une fois par année. répondre aux questions du monde. Moi, je veux que le maire fasse ça. Je veux que le maire, une fois par année, il organise une activité dans les arrondissements, puis qu'il soit obligé de répondre à toutes les questions durant toute la soirée, au moins une fois par année.
[01:42:26] Speaker A: Mais il le fait pas.
[01:42:26] Speaker D: Il le fait pas. Moi, je prône ça. Moi, je pense qu'on devrait faire ça. Maintenant, sur le tramway, bien là, c'est parce que là, les gens ont l'occasion de s'exprimer. C'est maintenant. Vous savez, moi, vous savez où je suis là. Je suis en faveur de celui-là. Moi, je suis en faveur du tramway. Puis il faut pas hésiter, je veux dire, si c'est pas... Les gens en votant pour moi, ils savent pourquoi ils votent. Donc c'est là que je vais chercher ma légitimité. Après ça, de défendre mes idées. Moi, j'ai été élu comme conseiller municipal en 2021 en prônant un tramway. J'ai été fidèle à cet engagement-là tout au long du mandat.
[01:42:52] Speaker A: Vous êtes un marchand light. Moi, je dis que vous êtes un marchand light, comme une barre de light. C'est un peu ça?
[01:42:56] Speaker D: Moi, je pense marchand être très idéologique. Moi, je me vois comme un pragmatique. Moi, les boleurs l'hiver, pour les pisciclabes, ça sert à rien, OK? Ça ralentit le déneigement dans une ville qui est déjà compliquée à déneiger, puis ils se font tout arracher, puis tout ça. Mais marchant, lui, c'est important. Il faut que tu le voyes, le boleur. Il faut que tu vois la pisciclabe. Il faut que tu vois qu'elle soit là l'hiver, même s'il y a personne dessus. Moi, c'est une façon complètement différente de comprendre à quoi la politique doit servir.
[01:43:18] Speaker A: Merci beaucoup! On s'en va à Éric, de Duberger, puis par la suite, on ira aux questions du public. Salut, Éric!
[01:43:27] Speaker E: Bonjour, ça va bien?
[01:43:27] Speaker A: Très bien. Vous parlez avec Claude.
[01:43:29] Speaker E: C'est peut-être pas les choses nécessairement que tu vas entendre, mais bref, je pense, comme le vieux monsieur, je pense que vos chiffres sont pas là, puis qu'on doit débarquer marchands au PC, puis je pense que vous faites, malgré que vous avez un petit sondage, avec tout respect, vous devriez vous affilier, peu importe vos chicanes régulées, parce que là, l'important, c'est le but, vous vous présentez pour, pas juste pour vous, je pense, vous vous présentez pour la ville, pour le milieu de la ville. Le milieu de la ville, en ce moment, c'est se débarrasser de marchands. Puis je pense que le monde va peut-être vous en vouloir pas nécessairement. Je veux dire, vous comprenez ce que je voulais dire? Je pense que le monde va vous en vouloir un peu si vous n'entendez pas avec Saint-Maman. Oui, il y a une mauvaise campagne en ce moment, mais je pense que les sondages sont là. Il faut battre le marchand, point final. Puis c'est comme au moins.
[01:44:15] Speaker A: Très bonne question.
[01:44:16] Speaker D: Moi, je pense qu'être maire, ça se mérite. Je pense qu'être maire, ça devrait pas tomber d'la main à personne. Il y a personne qui devrait dire, qui a le droit de dire, c'est moi qui devrais être maire, on veut plus marchand. Est-ce que Sam Ahmad, jusqu'ici, a mérité de devenir maire de Québec? Est-ce qu'il a prouvé qu'il était prêt? Est-ce qu'il a prouvé qu'il avait la maîtrise des dossiers? Qu'il était assez allumé, assez au courant de comment être capable de suivre la POQ? Parce qu'être maire, c'est tough. Être maire, c'est exigeant. Si M. Ahmad est pas capable de démontrer aux gens qu'il est capable d'être maire, à la fin, c'est pas moi de faire semblant à sa place. Moi, je propose quelque chose. Si les gens de Samaman veulent se rallier à moi, ils ont beau, mais moi, Samaman, il m'a pas donné de raison jusqu'à maintenant de penser que ce serait mieux avec lui comme mère qu'avec Marchand.
[01:44:56] Speaker C: Puis selon vous, je peux-tu faire du pouce?
[01:44:58] Speaker A: Let's go!
[01:44:58] Speaker C: Selon vous, là, avec la lecture que vous avez, est-ce que vous divisez réellement le vote anti-Marchand? En gros, si vous étiez pas là, est-ce que le monde voterait... le monde qui vote pour vous, est-ce qu'il voterait plus pour Aman ou pour Marchand?
[01:45:10] Speaker D: Ben t'sais, moi c'est ça qui me met un petit peu en dissonance cognitive. Je passe mon temps à me faire dire que je suis un marchand light. C'est pas clair que si je me tassais, mon vote irait sur sa maman.
[01:45:20] Speaker C: Ben c'est ce que je pense aussi. La lecture que j'ai, c'est que...
[01:45:23] Speaker D: Marchand aussi trouve que je devise son vote.
[01:45:25] Speaker C: Moi je veux que vous restiez.
[01:45:26] Speaker A: Dan, plonge avec les questions, puis continuez d'appeler 418-670-9098. Soyez un peu patient, il y a quand même d'excellentes questions sur le Texto.
[01:45:35] Speaker C: Est-ce que vous vous engagez, vous et les membres de votre équipe, mais vous ne pouvez pas parler pour les membres de votre équipe parce que ça devient une conversation personnelle, à ne pas transférer vers Marchand pour lui donner une majorité si jamais, advenant le cas, que vous êtes assis à la salle du conseil municipal?
[01:45:50] Speaker A: Excellente question.
[01:45:51] Speaker D: Moi, non, effectivement. J'ai eu quatre ans pour le faire, aller me coller sur Marchand, et je ne l'ai pas fait. Je suis content de ne pas l'avoir fait. Il y avait Véronique Dallaire dans notre équipe qui se faisait offrir un poste sur l'exécutif et qui a refusé de changer de parti pour être sur l'exécutif. Il a enlevé la responsabilité qu'il avait donnée sur l'accessibilité universelle. Il l'a mis de côté. Véronique, c'est une femme d'une loyauté extraordinaire, toujours à nos côtés. C'est une excellente conseillère municipale qui est candidate dans les sauts de l'île Éméande. Nous autres, c'est un peu ça l'approche. Les gens qui sont au sein de mon équipe, Marchand, c'est pas leur préféré, c'est pas leur meilleur non plus. Puis ça fait partie des conversations que j'ai avec les candidats au moment de les choisir. Il y a une loyauté qu'il faut qu'on garde. Puis si on avait voulu être candidat avec Bordeaux-Marchand, on le serait déjà.
[01:46:38] Speaker C: Steve est là.
[01:46:39] Speaker A: Oui, Steve de Sainte-Catherine, dans le 20 minutes du peuple. Comment ça va, Steve?
[01:46:43] Speaker E: Ça va très bien. C'est ça, j'ai habité... Les trois dernières années, j'étais à Sainte-Catherine, mais j'ai habité à Beauport toute mon enfance. Donc c'est pour ça que je me questionnais.
[01:46:51] Speaker D: Notre ami Pierre Delbecq. Oui, excusez-moi.
[01:46:54] Speaker A: Le maire Pierre.
[01:46:56] Speaker D: J'aime bien votre mère, excusez-moi.
[01:46:57] Speaker E: OK, merci beaucoup, désolé. Bonjour et félicitations pour la campagne, pour toutes les personnes qui se présentent. J'avais une question à priori au niveau du transport. Vu que j'ai été longtemps à Beauport, et qu'on parle souvent du troisième lien, Je sais que ça a été mis pas mal de côté avec le marchand, puis que la priorité était beaucoup le tramway. Mais j'aimerais beaucoup qu'on parle, vu que le tramway, tout le monde semble vouloir se diriger vers cette direction-là. J'aimerais savoir quel pont va-t-il rattacher pour pouvoir avoir... une meilleure fluidité au niveau de la Ville de Québec parce qu'on sait qu'on s'en vient pas mal avec du trafic puis ça s'améliorera pas avec les années. Alors j'aimerais ça savoir, est-ce que vous, un troisième lien, ça commencerait à être une priorité au niveau de la Ville de Québec?
[01:47:46] Speaker D: Moi, je pense que s'il y a un troisième lien, il faut qu'il soit à l'est. Moi, je pense que le troisième lien tel qu'avancé par la CAQ présentement, l'espèce de corridor central qu'il faut passer par Valero puis aller se tirer dans la falaise, c'est ridicule. Je pense qu'il n'y a personne à Québec qui pense qu'il va avoir ça de son vivant. Puis moi, je pense que... Un troisième lien, ça prend un troisième lien à l'est qui va être cohérent avec les autres aménagements qu'on va faire dans ce coin-là. C'est une occasion manquée qu'on soit déjà en train de refaire le pont de Lille alors qu'on aurait pu l'inscrire dans quelque chose de plus large parce que techniquement, c'est pas simple faire un pont à cet endroit-là. Il y a des contraintes, puis bon, c'est du frémont ranci. Puis là, on voudrait que ça aille sur le capital. Aussi, il faut s'assurer que si on fait un troisième lien à l'est, ça va pas empirer le trafic qui est déjà sur le capital ouest en amenant plus de voitures en provenance de l'est. Mais moi, à mes yeux, s'il y a un troisième lien, c'est par l'est que ça doit passer.
[01:48:32] Speaker A: On s'en va jouer avec Michel Debeauport. Salut Michel!
[01:48:35] Speaker E: Oui, bonjour.
[01:48:36] Speaker D: Bonjour.
[01:48:36] Speaker A: Allez-y.
[01:48:37] Speaker E: Oui, moi ce que j'aurais aimé avec le Colisée, au lieu de le démolir puis de faire des appartements, ça aurait dû être un musée du sport, de tous les sports au Québec. Ça, ça aurait été un bon projet.
[01:48:47] Speaker D: Je pense que oui. À chaque fois qu'on parle du Colisée, j'en reçois plein de courriels de gens qui disent musée des sports, musée des transports. Il y a plein d'idées qui sortent. On n'a jamais fait d'appel à projet. Moi, comme élu, jamais je me suis fait dire, alors voici, Colisée, on aurait telle ou telle option qui coûterait 20, 30, je ne sais pas, 40 millions à faire, versus la démolition, combien ça coûterait de démolir, on n'a même pas le prix. Moi, si je deviens maire, je vais lancer un appel à projet. Pas une affaire qui va durer des années. Si moi, tu mettais moi un projet pour le Colisée, combien ça coûte de le démolir? Puis quand on aura un projet qui pourrait être un musée des sports, c'est important dans l'histoire du Québec. Le Colisée, il y a une grosse partie de notre histoire sportive qui se passe là. Quand on aura un projet et qu'on pourra comparer à combien ça coûterait de le mettre à terre, là, on va être capable de prendre une décision éclairée. Mais moi, j'aimerais bien mieux qu'on soit capable de faire de quoi avec le Colisée. Puis le musée des sports, je trouve que c'est une super bonne idée.
[01:49:35] Speaker C: J'ai des questions sur le texto.
[01:49:37] Speaker B: Oui.
[01:49:37] Speaker C: Il y a M. Trudel qui dit «Allez-vous continuer de subventionner les activités du.
[01:49:41] Speaker D: 870 de Salaberry?» Oui, bien, ils ont énormément d'activités.
[01:49:47] Speaker A: Et il y a énormément de subventions.
[01:49:48] Speaker D: Oui, c'est ça. C'est un transport viable.
[01:49:51] Speaker A: Y'a-tu un problème là, vivre en ville, depuis la bombe?
[01:49:54] Speaker D: Ben c'est... Y'a une concentration d'organismes qui sont installés là. Moi écoutez, c'est pas de cibler un plus qu'un autre, lui il aura plus d'argent ou quoi que ce soit.
[01:50:04] Speaker A: Ben y'en a quasiment une dizaine dont les principaux, vivre en ville, parce qu'on finance avec nos taxes des lobbies de bougonneux pis d'écolos.
Moi, je n'ai pas choisi de financer ça. Pas de référendum là-dessus.
[01:50:19] Speaker D: Souvent, ils vont avec différents projets. C'est l'accès de la retraite, l'infrastructure écologique, toutes ces affaires-là. Il faut faire des meilleurs choix. Moi, je ne veux pas cibler une gang, dire « OK, toi, on va te punir, tu ne seras plus là. » Mais c'est qu'un bordeaux marchand, plus ça coûte cher, mieux c'est. Moi, je pense qu'il faut faire des meilleurs choix. Puis des fois, on subventionne des affaires. C'est stretchy. On fait un effort de plus pour être capable de leur donner de l'argent. Moi, je pense qu'il faut être beaucoup plus critique et rigoureux que ça. Marchand, c'est quand il se fait demander une subvention par des gens de ces lobbies-là, il faudrait que tu lui expliques pourquoi il serait pas obligé de donner. C'est pas pourquoi il faudrait qu'il donne une subvention, c'est pourquoi il la donnerait pas qu'il faut que tu lui expliques. Quand ton réflexe, c'est de sortir le chéquier, c'est sûr que ça finit par coûter cher.
[01:51:01] Speaker C: Il y a une autre question, puis je la trouve super bonne, cette question-là, parce qu'elle est d'actualité. Hier, le feu dans le Vieux-Québec versus la rue Saint-Jean. La question est la suivante. Est-ce que vous allez redonner la ville aux citoyens?
[01:51:14] Speaker D: Mais ça, là, c'est écœurant, ça. Quand ils ont installé les barrières antiquaires, un petit camion-bélier, là, on l'a posé la question. Les pompiers vont-ils pouvoir travailler avec ça? Ils vont-ils pouvoir s'organiser?
[01:51:26] Speaker A: Ça a été quoi la réponse à Marchand?
[01:51:27] Speaker D: On s'est fait dire oui. On s'est dit qu'on s'était assuré de toutes ces affaires-là.
[01:51:30] Speaker A: Il aurait pu y arriver une tragédie, là.
[01:51:32] Speaker D: Puis ça, à chaque fois... Puis moi, ça m'inquiète parce qu'à chaque fois qu'un projet, que ce soit le tramway, que ce soit n'importe quelle autre affaire, que ce soit une rue piétonne, on la pose toujours la question. Est-ce que les services d'urgence pourront travailler? Ils nous disent toujours oui.
[01:51:43] Speaker A: Le constat que vous faites, c'est quoi, de cette affaire-là?
[01:51:44] Speaker D: Bien là, c'est que ça me fait remettre en doute toute l'implication des services d'urgence dans tous les aménagements de la ville. On perd vraiment le temps de leur demander. T'es supposé avoir un outil pompier, pouf, arrivé, pis ben c'est ça. Hé, il aurait pu avoir mort d'homme, là.
[01:51:56] Speaker B: Oui.
[01:51:56] Speaker D: T'sais, c'est vraiment grave, ce qui est arrivé hier.
[01:51:58] Speaker A: Vous exigez quoi de marchands ce matin?
[01:52:00] Speaker D: Je veux qu'ils se mettent à la table, je veux qu'ils rendent des comptes, je veux savoir qu'est-ce qui s'est passé, pourquoi les pompiers n'étaient pas au courant, puis est-ce qu'on s'assure que les autres dispositifs sont sécuritaires. La rue Piétonne dans le lieu de Québec, ça existait dans le temps de la bombe. C'est pas une seulement ça l'enjeu, mais les camions béliers, puis ça fait longtemps, ça fait une dizaine d'années qu'on a des événements comme ceux-là. Ça a pris trois ans juste de planifier ces barrières-là. Puis ça marche pas. Voyons, c'est quel scandale. Puis ça coûtait cher, cette barrière-là.
[01:52:29] Speaker A: Je vois des images d'ici Marc Desrivières qui est venu dire ça. Il dit « Ça se lève très rapidement et ça se baisse rapidement, donnant la possibilité aux camions de livraison de circuler la nuit, entre autres. Cet aspect vaut également pour les véhicules d'urgence qui doivent pouvoir circuler librement sans délai supplémentaire. » Ça a coûté 25 000.
Et le projet pilote représente un investissement de 95 000 $. Ils ont menti, là!
[01:52:54] Speaker D: Ça aurait pu tuer du monde. Littéralement, il y a du monde qui aurait pu mourir à cause de ça hier. Puis c'est quelque chose qui est supposé nous protéger. À ce moment donné, ces pompiers peuvent pas... C'est scandaleux, là. Sérieusement, là-dessus, il y a des comptes à demander.
[01:53:05] Speaker A: Est-ce que tu manques des rivières ou est-ce que c'est le maire qui a le problème?
[01:53:07] Speaker D: À la fin, on peut bien toujours blâmer les fonctionnaires, mais c'est nous autres qui sommes imputables.
[01:53:12] Speaker A: C'est des humains qui ont fait des déclarations.
[01:53:14] Speaker D: C'est ça.
[01:53:15] Speaker A: On est imputables ou non?
[01:53:16] Speaker D: À la fin, moi je crois qu'il y a quelque chose qui s'appelle, ça porte mal au municipal, mais c'est la responsabilité ministérielle. C'est comme Bruno Marchand, il était content de flasher que son service venait de sortir des barrières anti-camions-belliers. Là, il faut qu'il assume, c'est lui qui est imputable pour ça. C'est un responsable des transports, Pierre-Luc Lachance.
[01:53:29] Speaker A: Il dit ça en vérité aussi, Marchand, concernant l'embauche de policiers, tant qu'être dans les services d'urgence, quand il dit qu'on a tant de policiers qui ont été embauchés, puis finalement, c'est un nombre beaucoup moindre, tel qu'a révélé dans l'émission du Midi par Renaud Labrecq. Il n'y a pas les bons chiffres. Il n'est pas crédible.
[01:53:46] Speaker D: Marchand, dès qu'il parle de chiffres, c'est qu'il faut que tu te mettes à te poser la question. À la campagne électorale, il sort des gros chiffrons. C'est comme quand il y avait...
[01:53:52] Speaker A: Quand il sort des chiffres, qu'est-ce qu'on doit se poser comme question?
[01:53:54] Speaker D: C'est quoi, à toi? Pour ne pas employer un autre mot...
[01:54:00] Speaker A: Tu es un manipulateur, un menteur, un maniganceux?
[01:54:02] Speaker D: Sur les chiffres, quand Bruno Marchand sort des chiffres, souvent, il meurt.
[01:54:05] Speaker A: C'est une maladie ou c'est intentionnel?
[01:54:09] Speaker D: Je pense que c'est intentionnel. Je pense qu'il est assez intelligent pour savoir ce qu'il fait. Quand il dit qu'on a construit 2300 logements sociaux ou abordables. Le logement social, ça coûte 300-400$ par mois. Le logement abordable, ça coûte 1200$ par mois. Lui, il met tout ça dans la même catégorie. Il va toujours essayer de coller dans une catégorie des affaires qui ne vont pas nécessairement ensemble. Puis sur les policiers, bien, tu sais, c'est la même affaire. C'est qu'il va essayer de nous mettre ça beau. Ça va être ça durant toute la campagne électorale et au-delà. Tu sais, il va toujours prendre un autre élément, une autre information qui va coller là-dedans pour faire en sorte que ça fitte.
[01:54:39] Speaker A: Là, je me retasse. Continuons.
[01:54:40] Speaker C: Daniel de Québec. Salut, Daniel. Non, c'est fini, Daniel. Pierrot! Salut, Pierrot.
[01:54:47] Speaker E: Bonjour.
[01:54:48] Speaker C: Pierrot? Oui?
[01:54:50] Speaker E: Ah, c'est Daniel.
[01:54:53] Speaker C: Bien, c'est bon. Là, finalement, Daniel.
[01:54:55] Speaker E: On va... Regardez, pour avoir une réponse simple, je veux pas... C'est une question fermée, OK? Parce que vous avez répondu à l'alabeurie tantôt. La question, ça se répondait par oui, par non. On n'a pas eu de réponse. Le troisième lien, qu'est-ce qui est le plus important pour vous? Le troisième lien ou le tramway? Tu ne veux pas des réponses de politiciens. C'est quoi qui passe en premier dans vos priorités?
[01:55:17] Speaker D: Je vais être intègre avec vous, je ne l'ai jamais caché. Moi, c'est sûr que le tramway, ça m'a amené en politique. Ça fait partie de ces raisons-là. Je ne vous fais pas semblant parce que je suis à Radio X. C'est sûr que moi, je suis venu... Puis c'est un projet municipal. Le troisième lien, c'est un projet du provincial. Je suis très intègre avec vous. Moi, c'est le tramway qui m'a amené en politique. Donc, je ne pourrais pas avoir votre question sur le tramway.
[01:55:35] Speaker C: J'ai une autre question ici sur le texto. On fait quoi avec le 90 $ de taxe pour nos matriculations?
[01:55:41] Speaker D: Bon, le marchand l'a augmenté de 60 $, c'était 30 $, il a amené ça à 90. Moi, je coupe la poire en deux, je le baisse à 60, OK? Plutôt que 60 $ demandés par la Ville, ça va être 30. Pourquoi? C'est que quand la taxe de 30 $ a été créée en 92, si on l'avait indexée, elle serait à peu près là, à 60 $. Ça, je trouve que c'est plus équitable. C'est ça notre position.
[01:56:00] Speaker C: Et puis j'ai un autre question économique ici. Est-ce que vous allez faire des annonces concernant les taxes municipales? Gels de taxes, on marche comment pour les taxes?
[01:56:10] Speaker D: Les taxes à l'inflation, pas plus. Il faut limiter ça, en fait.
[01:56:14] Speaker C: Puis il ne faut pas faire comme.
[01:56:14] Speaker D: Marchand, en fait, puis passer par des tarifs. Les marchands, ils se vantent de ne pas avoir augmenté beaucoup les taxes. C'est qu'ils demandent plein de tarifs à côté. C'est la vignette sur le stationnement. C'est la taxe minou. C'est la taxe sur la matriculation qu'on vient de mentionner. Moi, c'est à l'inflation, puis pas utiliser les tarifs pour détourner. Puis aussi, on veut permettre le paiement des taxes en 12 mois sans intérêt, comme on paye toutes nos affaires dans la vie. Et on veut abolir... rembourser les droits de mutation pour un premier achat. Ça, quand tu veux excéder la propriété.
[01:56:43] Speaker A: Quand même. On s'en va sur la 1, Joséphine Pierrot de Québec. Et c'est le dernier avant la fin du 20 minutes. Allez-y.
[01:56:50] Speaker E: Oui, bonjour. Moi, toute ma vie, j'ai pris le transport en commun. Quand j'ai su que le tramway arrivait, je me suis acheté un char. J'en veux-tu du tramway? J'en veux pas du tramway. Mais la chose que je me pose comme question, c'est comment ça, tous les spécialistes qui viennent nous dire qu'est-ce qui est bon en transport en commun, ils prennent jamais l'autobus le matin, à tous les matins, ils ont tous des jambes. Comment ça, ces gens qui sont spécialistes-là sont pas consommateurs de la propre marde qui essaie de nous infliger?
[01:57:21] Speaker A: Merci beaucoup.
[01:57:22] Speaker E: Merci.
[01:57:23] Speaker D: Bien, là-dessus, je sais pas si ça va me plaisir, ça. Moi, j'ai un Marc Carbeau, des CDPQ Infra, quand il est venu annoncer le tramway, je l'ai vu repartir avec son petit sac à dos puis aller prendre l'autobus puis tout ça. Mais pour vrai, ça peut être surprenant, là. Puis tu sais, les gens du 870 à la Berry, eux autres, sont tout en... Comme une auto aussi. Je pense que c'est partagé. Tu sais, dans une maison, chez moi, je transporte les filles, je prends mon auto. Ma blonde, elle est en transport en commun. J'aime ça le matin, partir avec la poussette et amener les filles en transport en commun. C'est plus difficile à la fin, c'est de donner des choix au monde. Moi, je veux pas forcer tout le monde à prendre le bus. Moi, je veux toujours avoir un char, je veux toujours en avoir un. Je veux surtout pas qu'on me force à prendre l'autobus, mais je veux avoir un bon service pour tout le monde. C'est un électrique, par exemple. C'est quoi?
[01:58:07] Speaker A: Un Aria?
[01:58:08] Speaker D: Oui, un Aria. Je vais s'acheter un Aria.
[01:58:11] Speaker A: C'est bon. Merci beaucoup, Claude Villeneuve. Merci. Puis là, on passe après la semaine prochaine. Débat Rive-Sud. Débat Rive-Sud, et ça sera un Royal Rumble. Il y en a trois candidats.
[01:58:24] Speaker D: Steven, Serge, Isabelle sont tous là.
[01:58:26] Speaker A: Oui, ensemble. Avec trois thèmes. Donc trois candidats, trois thèmes. et ça va être des échanges, je crois, 7-8 minutes chacun entre autres. Développement économique, l'habitation, la vie communautaire avec les arenas et tout. Et le transport, bien évidemment. Et par la suite, on reprendra notre volet 20 minutes plus tard dans la campagne. Et 8 heures pile, merci beaucoup. Nous autres, on va à la pause. En revenant, c'est Franck Lededemiseur à Radio X.
[01:58:51] Speaker F: Petite pause. De retour dans un instant. Radio X.
[01:58:58] Speaker B: Cet automne, la Grande Allée s'illumine et l'atelier t'attend. Pour un lunch, un apéro entre amis ou une soirée qui se prolonge, c'est la destination pour manger, boire et célébrer. Tartares, cocktails signature, ambiance festive, on s'occupe de tout, même de ta voiture, avec notre service de voiturier disponible tous les jours dès 16h. Prochaine sortie, Grande Allée. Réserve dès maintenant sur bistrolatelier.com.
[01:59:24] Speaker A: Problème à l'épaule, au coude, à la main, à la hanche ou au genou, finalement, comme un membre des Ravens de Baltimore. Ou moins. Ou moins que ça, là. Ça peut faire, par contre. Oui, je vous dirais que l'attente, vous avez attendu. Il n'y a pas de service, il n'y a pas de retour d'appel du public. On va y aller avec le privé. Avec CliniqueMédicaleLacroix.com, c'est la référence en médecine privée au Québec. Remplacement complet de la hanche et du genou par prothèse, c'est possible. Sans délai. Ou presque. 88-871-1911.
[01:59:56] Speaker B: La circulation de Québec pour faciliter la fluidité.
[02:00:03] Speaker C: Accrochage 20, direction Est, drette à la hauteur du photoradar. Donc, juste avant d'accéder au pompier à la porte, c'est sûr que si vous arrivez de belle chasse, vous allez trouver le talon un matin. Qu'est-ce que tu veux? C'est la vie! Même chose sur la 73, il n'y a pas d'accrochage, mais vous, trouver le talon pareil, c'est un peu moins pire. On parle d'achalandage léger pour les gens qui arrivent de Saint-Nicolas-Issa.
Saint-Ingapitre, peu importe. Sur la Rive-Nord, maintenant, on va regarder Capital. C'est surtout ça qui est problématique ce matin. Il y a eu un accrochage un peu plus tôt. Ça a créé des ennuis. On est encore par choc à par choc à partir de Henri Bourassa, en se rendant jusqu'à Robert Bourassa. Charest, c'est lourd également. Du IKEA à Saint-Sacrement, l'accès au centre-ville, c'est du lourd également, surtout pour les gens qui arrivent par Dufresne-Montmorency. Il y a Canadian Tire qui soutient Bon Départ. Bon Départ aide les familles à surmonter les obstacles financiers liés au sport et aux jeux de données. Un cancer ou une maladie rare débarque.
[02:00:58] Speaker F: Dans votre vie et vous vous sentez dépassé? Choisir sa pharmacie, c'est un gros plus. La pharmacie La Rivière et Massicotte, c'est la gestion des résultats de labo et des effets secondaires, la collaboration avec votre équipe soignante et votre pharmacien de quartier. À chacune des étapes, un accompagnement bienveillant. Choisir la pharmacie d'expertise La Rivière et Massicotte, c'est vous choisir. lmpharmacienne.com Seuls les pharmaciens sont responsables de la pratique de la pharmacie.
[02:01:26] Speaker C: L'école de conduite Pointe-Lévis, c'est 15 formateurs et 250 heures de cours par semaine, jour, soir et week-end. Les cours débutent tous les mois. Inscris-toi, nomme Radio X et épargne 50 % sur ton manuel. L'école de conduite Pointe-Lévis à Saint-Charles-de-Bellechasse et Lévis.
[02:01:41] Speaker B: STO, le leader informatique à Québec. Tout un monde à découvrir.
[02:01:46] Speaker A: Nous maîtrisons la science.
[02:01:48] Speaker B: Nous devançons la cadence.
[02:01:50] Speaker F: Service en atelier et service routier.
[02:01:52] Speaker B: L'informatique, c'est notre métier.
[02:01:55] Speaker F: STO, salle de montre hallucinante et inventaire imposant en produits et accessoires informatiques.
[02:02:01] Speaker A: Ouvert du lundi au samedi, ainsi que les jeudis et vendredis en soirée.
[02:02:06] Speaker B: STO, centre d'ordinateur, rue Francarelle à Québec. L'excellence intégrale.
[02:02:12] Speaker G: En suède, le minimalisme n'est pas synonyme d'ennui. Il s'agit d'éliminer le superflu et de perfectionner le reste. Polestar 3, le VUS électrique qui se conduit comme une voiture de sport. Pas de parure, pas de fioriture, simplement le design et la performance perfectionnés. Louez votre Polestar 3 pour seulement 899 $ par mois sur 12 mois avec zéro dollar d'acompte. Oui, 899 $ par mois, mais uniquement jusqu'au 30 septembre. Visitez PolestarVilleDeQuebec ou Polestar.com. Les conditions s'appliquent.
[02:02:41] Speaker B: Chez Performance MA, les prix sont imbattables.
[02:02:45] Speaker A: Obtenez le VTT Touring 550 Guardian à partir de 8 999 $ ou le UTV Strike 550 de 14 199 $. PerformanceMA.ca sur la Côte-de-Beaupré.
[02:02:58] Speaker B: L'embarquement pour le vol 246 à destination de Montréal est retardé de 50 minutes.
[02:03:03] Speaker A: Ah ben là!
[02:03:05] Speaker B: On dirait que c'est l'heure Dojo. Playojo, bonne idée! Profitez de tous vos jeux préférés comme Wolfgold et Joker's Jewels et des jeux exclusifs que vous ne trouverez nulle part ailleurs. Wouhou! J'ai gagné!
L'embarquement commencera dès que les passagers auront fini de célébrer. Ouvert à tous les joueurs de 18 ans et plus, il ne s'agit pas d'un site de jeu. Veuillez jouer de manière responsable.
[02:03:28] Speaker F: De vendredi à dimanche, le retour de la très attendue vente camions-nutrients chez Dino. 50 % de rabais sur le deuxième sac de valeur égale ou moindre, cadeaux aux 100 premiers clients, plusieurs autres spéciaux en magasin. Faites vos provisions dans toutes les succursales de Dino.
[02:03:43] Speaker B: C'est la rentrée chez Viva. Offrez-vous l'épilation définitive avec le laser Triton, la technologie la plus performante sur le marché, ultra-efficace, sans douleur et pour tous les types de peau et de poils. Pour un temps limité, épargnez jusqu'à 50 % en combinant les régions. Cliniqueviva.com. Au Québec, on l'aime notre bois. C'est un matériau renouvelable, écoresponsable et ça vient de chez nous. Et avec le bois, on peut pratiquement tout faire. Des beaux meubles en bois, des maisons en bois, des instruments en bois, puis plein d'autres choses.
[02:04:13] Speaker A: Des mouchoirs puis un bille-baquet.
[02:04:15] Speaker B: C'est pas pour rien que c'est un pilier économique pour tout le Québec qui fait vivre plus de 900 municipalités.
est fière de valoriser cette richesse si essentielle à nos vies.
[02:04:28] Speaker C: Es-tu tanné d'avoir mal dans le dos tes nuits de sommeil, même la fin de semaine, t'es pas capable de faire une nuit complète? Parce que ça te fait mal, ça te fait mal. Tu penses à t'auto-médicamenter, ça va plus, là, ça va plus. Les médecins, ils savent pas ce que t'as, pas compliqué. T'as mal à la tête, t'as mal à la sciatique, maux de dos, les genoux, les chevilles, tendinite, bursite. Ça va faire un tour au centre cvq.com, le centre de correction vertébrale de Québec. D'abord, on est situé à trois endroits dans la région, à Caprouge-Lévis-Pont-Rouge. Tu passes nous voir, on va le trouver ton problème parce qu'on a un ensemble de professionnels, des physios, des chirurgiens, des technologues, des kinésiologues qui sont là puis qui travaillent avec toi pour améliorer. ta condition, toutes les énergies sont combinées ensemble pour trouver un bon plan. Et quand il vient le temps de traiter, bien là, on est équipé, on a la Finpoint de la technologie, la chiropratique assistée par ordinateur, la décompression discale, le laser thérapeutique. Il y a trois cliniques pour te servir. Passe-nous voir parce que l'équipe est hautement qualifiée et ils vont s'occuper de ton problème et le régler une fois pour tout. Centre-cvq.com, le centre de correction vertébrale de Québec.
[02:05:43] Speaker B: Radio X, à Québec, c'est Radio X.
[02:05:47] Speaker F: Radio X, c'est vous.
[02:05:52] Speaker B: Votre propre opinion.
[02:05:56] Speaker A: Mesdames, messieurs, Rocky Legault!
C'est pas le temps, là, de partir se battre contre un Russe, là. Qu'est-ce qu'il s'appelle, là? Rocky Cab, hein? J'ai tiré les bouteilles de vin, là.
[02:06:21] Speaker E: Mesdames.
[02:06:26] Speaker A: Messieurs, Rocky Legault!
[02:06:37] Speaker F: Moray Live, présenté par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. Confort en hiver, fraîcheur en été et des économies toute l'année. Multiconfort FP, à Québec et Victoriaville.
[02:06:53] Speaker E: Begin your transmission now. Moray.
[02:06:56] Speaker F: Moray.
[02:06:57] Speaker E: Live.
[02:06:59] Speaker F: Avec Dominique Moray.
[02:07:00] Speaker E: Live.
[02:07:02] Speaker F: Radio.
[02:07:05] Speaker B: Le Dédomiseur. Le Dédomiseur.
[02:07:11] Speaker C: Frank, le Dédomiseur.
[02:07:13] Speaker B: Dédomise-toi, quelqu'un. Frank, le Dédomiseur.
[02:07:21] Speaker A: Salut Frank, bon lundi.
[02:07:25] Speaker G: Bon matin, messieurs.
[02:07:27] Speaker A: C'est le grand retour de Rocky.
[02:07:30] Speaker G: Oui, le grand retour de Rocky, René Lévesque, je sais plus trop. Il y a eu beaucoup de comparaisons qui ont été faites. J'ai écouté le petit... En fait, le discours de la première journée qu'on peut consulter sur YouTube, sur la chaîne de CPAC. J'ai écouté ça tantôt. C'est très low energy, on va se le dire.
[02:07:49] Speaker A: Très. C'est Rocky après 16 commotions.
[02:07:52] Speaker G: Ouais, c'est ça, ben Rocky aurait besoin d'une coupe de Red Bull. Je sais pas là, t'sais... À un moment donné, il faut que t'alignes l'énergie avec le disco qui est tenu. T'sais, j'ai le goût de... J'ai le goût de me battre, là... Ben t'sais, non. Ça, ça donne pas l'impression que t'as le goût de te battre fort fort.
En dehors des allusions un peu weird à Rocky, puis à René Lévesque, puis à je sais plus trop qui, moi, il y a une affaire qui est un méga red flag dans ce qui a été dit là-dedans. À part, il faut quand même dire au passage que le slogan qui a été gardé pour la fin de semaine fait très covidien. On protège notre monde. On protège notre monde. En 2025, de quoi vous parlez? Je comprends, ça fait référence à la sécurité, la laïcité, tout ce que tu veux, mais c'est pas choisi au hasard, cette affaire-là.
[02:08:46] Speaker A: Mais non, non, non, non, c'est pas choisi au hasard.
[02:08:49] Speaker G: Pendant la COVID, c'était on continue de se protéger. C'était au summum de leur popularité. Et là, on protège notre monde. Tout est dans les détails, comme on dit, devil is in the details. Mais moi, un truc qui me le plus... Frapper, quand j'écoutais ça, c'est leur histoire qu'ils veulent s'en venir avec une constitution. Ça, on l'entendait dans les branches en arrière, mais je veux dire, je vois pas dans quel contexte un gouvernement que les projections de sondage mettent à zéro siège a la légitimité d'arriver avec quelque chose d'aussi fondamental qu'une constitution. Ça, faut que tu soumettes ça par affaire à Dom.
Tu n'adoptes pas ça de même sur le coin d'une table. Personne n'a été consulté. Voici, c'est la constitution du Québec. C'est sérieux. Moi, je trouve qu'on n'est pas une place sérieuse. On ne démontre pas qu'on est une place sérieuse au Québec. Un moment donné, il faudrait le démontrer un peu. Une constitution, ce n'est pas une napkin. Vous pouvez pas faire comme vous avez fait avec le trameau et avec une constitution, là. On savait pas trop, regarde, on a tricoté ça, voici la constitution. Il faut qu'il y ait des... Moi, de ce que je comprends, il y a pas eu de consultation publique là-dessus, il y a pas eu d'assemblée, il y a pas eu rien. On va nous présenter ça, puis ça va être ça, la constitution du Québec, avec un gouvernement qui est sur le bord de se fermer à ta porte. C'est-tu sérieux ou j'ai halluciné ça, là?
[02:10:07] Speaker A: Une constitution, ça sert à garantir des droits individuels. Et le régime en Amérique du Nord qui a le plus bafoué les droits individuels dans les dix dernières années, c'est le gouvernement québécois, avec la liste des mesures qui ont été imposées. Bafoué par en avant et par en arrière, et le barreau du Québec ne s'est même pas levé le monde. C'est un gouvernement qui a dirigé par décret pendant des mois et des mois et des mois et qui a signé pour des milliards de dollars de contrats sans appel d'offres. Fait que ne t'en déplaise, Frank, je pense que c'est une napkin, ce qu'ils vont faire. C'est une napkin et c'est surtout une diversion à la lumière de ce qu'a révélé Girard en fin de semaine. Ça, c'est fondamental, le pouvoir d'achat des Québécois en chute libre sous le gouvernement Legault. Ça, ça confirme l'échec total de ce gouvernement-là. Et eux veulent nous amener dans une réalité cryptopéquiste. C'est du crypto-péquisme, ça, là. Tout ce qui s'appelle constitution et l'élologue, c'est pour donner de l'argent à des constitutionnalistes.
[02:11:22] Speaker G: Oui, mais ce qui a été dit dans l'allocution de François Legault, moi, personnellement, je trouve ça inquiétant. Parce que, comme tu l'as dit, une constitution, c'est pour enchasser des droits et des libertés, OK, et des grands principes généraux. Article 1, tout individu a le droit à la liberté d'expression. Article 2, tout individu peut jouir de sa propriété comme bon lui semble. Là, tu descends. C'est ça, une constitution.
[02:11:49] Speaker A: Liberté académique, entre autres, aussi.
[02:11:52] Speaker G: Eux, ils nous parlent d'enchasser les valeurs du Québec, la laïcité, toutes des patentes de la CAQ. Là, tu te dis, je suis pas nécessairement en désaccord avec ça, mais c'est pas à ça que ça sert une constitution. Constitution, ça sert pas à assacrer la loi 21 là-dedans. Ça sert à dire que t'es dans un État libre, que t'as le droit de parler sans qu'on te poursuive pour tes opinions. C'est à ça que ça sert une constitution. Je te le dis, ils vont nous arriver avec une patente, c'est plus inquiétant qu'autre chose. Moi, j'invite les gens à regarder. Je comprends que ça a l'air un peu ésotérique, mais c'est important. C'est important. Puis comme tu le dis, ça va être la surenchère, parce qu'on l'a vu, il y a un système de vase communiquant entre la CAQ et le PQ. Quand les électeurs désertent la CAQ, oui, il y en a quelques-uns qui s'en vont peut-être chez les libéraux, peut-être un peu aux conservateurs ou ailleurs, mais essentiellement, c'est un vase communiquant avec le PQ. Ça veut dire que plus la CAQ baisse, plus le PQ monte. Grosso modo, c'est ça que ça veut dire. Bien, comment tu te fais, eux autres, ils se sont dit, comment tu te fais pour prendre, comme disait Pauline Marois, les brebis égarés, puis les ramener au Bercail?
[02:12:57] Speaker A: Bien, il faut que...
Les vieux partis, le référendum, ça peut faire peur au monde.
[02:13:05] Speaker G: Oui, mais aller jouer dans les choses identitaires. Il faut que tu ailles jouer dans l'identitaire, parce que c'est là que tu peux couper l'herbe sous le pied.
[02:13:11] Speaker A: Oui, dont l'histoire du visage dévoilé. Le visage doit être dévoilé tout le temps.
[02:13:16] Speaker G: Ça marche-tu ça en temps de pandémie, ça?
[02:13:18] Speaker A: Oui.
[02:13:19] Speaker G: C'était une question de même que j'avais quand j'ai entendu ça.
Ils veulent passer une loi où quelque chose disait qu'en tout temps, tu dois avoir le visage découvert dans des lieux publics. C'est parce que moi, les électeurs, je les vois encore avec des masques dans la face, dans la rue. Ça, ça marche-tu ou ça marche pas?
[02:13:39] Speaker A: C'est un peu n'importe quoi.
[02:13:41] Speaker G: C'est du n'importe quoi. On comprend qu'on vise le phénomène religieux, puis l'islam, puis tout ça. Je comprends qu'il y a des points à aller chercher de ce côté-là. Les Québécois sont inquiets, la société change au niveau démographique, puis ça soulève toutes sortes de questions. Ça, je le comprends très bien. Mais à un moment donné, dans l'État actuel, d'où est le Québec, des services publics, le déficit, la fiscalité étouffante, toutes ces choses-là, on fera toujours bien pas les prochaines élections, Yann, sur des termes identitaires.
[02:14:09] Speaker A: Ils n'ont rien. Ils n'ont plus rien. Ils n'ont plus rien à offrir. C'est une catastrophe mur à mur. Il est tellement désespéré. Il est désespéré. Hier, il a dit également sur le stage, j'ai demandé à Éric Girard d'en redonner un peu plus aux Québécois. On n'est pas équipé pour leur donner des chèques. On se doit le cul. Déficit de combien? 12-14 milliards? Tu ne peux pas faire ça.
Il est désespéré. C'est quelqu'un qui, fondamentalement, de manière très simple, mon analyse est très simple, c'est quelqu'un qui est désespéré et qui veut garder le pouvoir. C'est des gens qui sont amusés, c'est des gens qui ont abusé, c'est des gens qui ont contrôlé et c'est des gens qui, comme un chien, qui a tout grugé après l'os ne veut pas lancer l'os. Et un chien qui a un os dans la bouche, tu te mets pas en main là parce que tu vas te faire mordre dans un sacrifice. Ils ne veulent pas lancer le morceau parce qu'ils le savent très bien que quand ils vont perdre le pouvoir, ils l'auront plus jamais. On va retomber dans une dichotomie, une alternance libérale-PQ, libérale-PQ. C'est la fin des émissions, c'est la fin des haricots. s'il respectait vraiment son parti aussi, il aurait démissionné en fin de semaine. Parce qu'honnêtement, c'est insultant, maudit. Il y a du monde, des associations, de comtés, ça, c'est des full-patchs qu'acquissent, qui vont au micro pour dire « le gars démissionne, t'es plus capable ». Fait que lui, il est dans ses derniers retranchements. Il est dans ses derniers retranchements.
[02:15:47] Speaker G: Le parallèle, parce que pendant son allocution, il dit il y a personne qui en a fait plus que nous autres depuis René Lévesque, ça c'est drôle, mais le parallèle avec Lévesque, il n'est pas si mauvais que ça. Aujourd'hui, on l'a canonisé, René Lévesque, puis c'était l'une des plus grandes histoires, mais allez voir à quoi ressemblait sa fin de règne. Quand a commencé, tout le monde a démissionné. Jacques Parizeau, Louise Arel, tout le monde quittait le caucus. Puis il s'est ramassé complètement isolé jusqu'à temps qu'il ait le congrès de 85, si ma mémoire est bonne, où il annonce qu'il a démissionné. Mais il s'est passé un genre de six mois où il longeait les murs. Ça n'a pas été joli. On ne s'en rappelle plus aujourd'hui parce que ça fait longtemps, mais Donald Jarrett.
[02:16:24] Speaker A: Pouvait nous en parler.
[02:16:26] Speaker G: La fin de l'ère Lévesque, ce n'était pas joli. Tout le monde sacrait son camp. Aujourd'hui, il est bon, il est grand, l'histoire a un peu recolorié tout ça. Mais la fin de l'ère Lévesque, pourquoi tout le monde se mettait contre lui? Parce qu'il avait dit le beau risque. J'ai rendu la main à Mulroney, puis les souverainistes purs et durs sacraient le camp du parti. C'est ça qui est arrivé. Ben là, le gosse, à sa fin de règle, commence à ressembler un peu à ça. Un qui part, un qui s'en va, un qui est pas content. Puis là, on sent qu'on est comme à une goutte d'eau dans le vase que t'as eu trois, quatre autres démissions, cinq. Ben, puis un moment donné, il va se retrouver isolé. Ben, c'est pas... C'est pas une fin rouge.
[02:17:02] Speaker A: Il est en panique. Il est en panique. parce que c'est un PM qui est rabroué, c'est un PM qui mange une maudite claque d'un sondage, et c'est surtout un PM qui n'a aucun leg. Tiens, là, nous autres, on a juste une vie, les humains, et à un moment donné arrive un temps où tu te dis, qu'est-ce que je leg à la terre? Je leg quoi à mes enfants? Je leg quoi à ma famille? Lui, c'est un chef politique. Je leg quoi au Québec? Son leg, c'est une catastrophe, là. les espaces bleus, le panier bleu, le tout électrique. Je veux dire, tout est une catastrophe. Les garderies à 4 ans, les maternelles 4 ans. Regarde tout ce qu'elle a voulu faire. C'est une catastrophe. La réforme dans la santé, en éducation, c'est un dérapage monumental. Et que dire de la qualité des infrastructures? Je veux dire, ils n'ont aucun leg. C'est ça qui fait en sorte que lui, qui se voit très gros dans l'histoire du Québec, il a une grande opinion de lui-même, il se regarde dans le miroir puis il se dit « sacré fils, je me fais rabrouer, je tire à 12% dans les sondages ». Le duème, il me dépasse même dans certains sondages. Selon les projections, j'ai zéro député. Et je lègue rien au Québec à part de la marde. Le gars, il capote, là. C'est pour ça qu'il prend une sorte de figure de style, là. L'évêque, Rambo, Rocky, whatever. Une sorte de personnage, là. Des personnages qui existent pas en passant. Peut-être qu'il se dire aussi que ça existe pas, Rocky, là.
[02:18:31] Speaker G: Ouais, c'était un film.
[02:18:32] Speaker A: Ça existe pas là.
[02:18:33] Speaker G: Faut peut-être juste s'en rappeler. Mais tu sais, en concluant, l'image qui me venait en tête quand je regarde ce qui se passe avec cette fin de mandat-là, pour les plus jeunes qui nous écoutent, ça va peut-être vous rejoindre, vous êtes au cégep ou à l'université, et là, le professeur vous a dit, le 15 décembre, faut que tu me remettes ton travail. Travail de 10 pages, avec une bibliographie, toute la patente. Puis là, on est rendu le 13 décembre au soir, puis il y a rien de fait encore.
Là, t'es en panique. Tu trouves un sujet sur le coin d'une table, prend 12-13 cafés, s'en va à la bibliothèque, commence à essayer de trouver, puis là, tu te dis aux gens, tu commences à dire, il va falloir que je trouve une manière d'avoir une extension, parce que là, c'est là qu'on est. Il n'y a rien qui a été fait ou pas grand-chose. On est à deux jours de remettre le travail, à cas les élections, puis on commence déjà à dire, ça va nous prendre un troisième mandat, sinon on n'aura pas le temps de finir ce qu'on était censé faire. Oui, mais vous aviez eu sept ans avant ça. Sept ans pour faire le ménage dans la fonction publique, sept ans pour les faire les projets d'infrastructure.
[02:19:36] Speaker A: C'est de sa faute. De sa faute. Il a écrit un livre. Il a fait le contraire de son livre. Il s'est fourré lui-même.
Il s'est fraudé lui-même. Logo s'est auto-fraudé. Et résultat, il est obligé d'emprunter un personnage fictif. Rocky est aussi inventé que Capitaine America. C'est aussi fictif, là. Rocky, c'est Batman. Rocky, c'est Capitaine America. Rocky, c'est Aquaman. C'est la même affaire, là, dans mon livre, là. C'est une invention, là.
[02:20:12] Speaker G: C'est une invention. Pis ces promesses de fin de régime-là, ben malheureusement pour eux autres, personne, ben en tout cas, je pense, personne n'y croit. Les journalistes font semblant d'embarquer là-dedans. Ah ouais, c'est tout un virage, là. La droite dure, pis... Ah, j'ai même lu la droite très dure, je pense, dans le... La droite très dure.
[02:20:29] Speaker A: Ben oui, les idiots ont pris le contrôle des salles de nouvelles. T'inquiètes, surprise.
[02:20:32] Speaker G: Dans quel monde on vit? C'est incroyable.
[02:20:35] Speaker A: C'est incroyable.
[02:20:36] Speaker G: Les promesses n'engagent que ceux qui y croient. Puis là, je pense que la plupart du monde qui nous écoute sont capables de voir que c'est de l'esbrouf de fin de régime, ça.
[02:20:45] Speaker A: Absolument. Merci beaucoup, Frank. Bonne semaine.
[02:20:47] Speaker C: Yes.
[02:20:48] Speaker A: Salut, bye. François Lambert, on va jaser des projets de loi qui ont été déposés par Mark Carney. Un peu à notre insu, ça a été déposé le 19 septembre dernier, dont un projet de loi qui est très louche. La haine. Oh, si vous faites un post Facebook et vous dites, par exemple, je déteste François Legault, vous allez être dans le trouble. Ah, c'est la haine. Vous n'avez pas le droit. Vous n'avez pas le droit de vous exprimer. Le procureur général n'aura pas à avoir une longue enquête de la police. La police va pouvoir vous arrêter sans enquête, sans procureur général. C'est écrit. On va prendre le temps de décortiquer ça au cours des prochains jours dans More Live. Et on va commencer après la pause avec François Lambert.
[02:21:32] Speaker F: Restez là, on revient dans pas longtemps.
Radio X.
[02:21:57] Speaker B: La chronique Réda Sports.
[02:21:58] Speaker C: Hé, c'est moi, ça!
[02:21:59] Speaker B: Une présentation du Charbon Steakhouse. Avant le match, passez chercher vos côtes levées, burgers, steaks ou plats cuisinés. Le charbon pour apporter, c'est une bonne idée!
[02:22:08] Speaker A: Calinette, mesdames, messieurs, je veux saluer Roger et toute la gang. Ils sont très actifs ce matin. Les camions te le patentent au nouveau siège social ici à Beauport, où ils voient toutes les équipes sur le grand écran. Ça ressemble à une salle de nouvelles au deuxième étage. Ils regardent tout ça.
Ils sont où? Ah, il y a quelqu'un à Montmagny. Regarde le camion. Ils se déplacent à Joliette et tout ça. Je vous le dis, c'est sophistiqué. La technologie l'est. Le staff est présent. Si vous avez un dégât à la maison, vous n'hésitez pas. Et en toute tranquillité, vous les laissez aller. Ils font même le lien avec votre compagnie d'assurance. 88-666-6666-CALINET.
[02:22:45] Speaker F: Retraite Québec présente le brin de sagesse de Sylvie.
[02:22:49] Speaker A: Nous, une année avant de prendre notre retraite, on a essayé de vivre avec.
[02:22:52] Speaker F: Le budget qu'on avait prévu pour faire un test.
[02:22:55] Speaker A: Ça a été une année pas mal poche. On a reporté notre retraite de trois ans. Mon conseil, prenez le temps de penser.
[02:23:02] Speaker F: À ce que vous voulez et demandez l'aide d'un professionnel. Pour récolter assez de blé à la retraite, revoir sa situation financière et sa stratégie de temps en temps, c'est un bon plan. Visitez notre site Web pour en savoir plus. Un message de Retraite Québec.
[02:23:15] Speaker B: STO, Centre d'ordinateur à Québec, vous rappelle que les mises à jour et supports Windows 10 prennent fin le 14 octobre chez Microsoft. Ainsi, il est recommandé de migrer vers Windows 11 pour assurer compatibilité Contactez-nous pour une migration Windows 11 simple et rapide.
[02:23:39] Speaker F: Centre d'ordinateurs STO, rue Francarelle, à Québec. L'excellence intégrale.
[02:23:46] Speaker C: Je veux vous parler du casino en ligne Numbers Game. J'ai perdu... En fait, j'ai pas perdu. J'ai pris beaucoup de temps à aller voir, faire un tour sur Internet, voir tout ça. Vraiment trippant, Numbers Game, qui est le seul casino en ligne qui vous donne des cadeaux gratuits à tous les jours. 100% sécuritaire. C'est fait pour les joueurs d'ici, avec un support qui parle français. Quand vous appelez, c'est des Québécois qui répondent, comme vous autres. Numbers Game, en plus, vous amène en section loge, Pour le match d'ouverture de Montréal contre Seattle, ça se passe au Centre Bell le 14 octobre prochain. Oui, on t'amène des billets, deux billets, mais en plus, on vous donne 2000$ cash pour bien profiter de votre belle soirée avec aucune mise de dépôt. Allez vous inscrire gratuitement et courez la chance de gagner votre paire de billets, section loge, Plus 2000 piastres cash, ça fait passer une belle soirée, ça. Le casino qui vous compte à tous les jours et qui vous amène au Centre Bell, allez vous inscrire au concourspng.com. Concourspng.com, c'est gratuit, c'est rapide, c'est Numbers Game.
[02:24:51] Speaker B: André vient de vendre facilement et en moins de 48 heures son bloc à airfortin.com. Et la vente s'est conclue sans conditions ni garanties légales, devant notaire.
[02:25:00] Speaker C: Oui, oui, devant notaire.
[02:25:02] Speaker B: Sans aucune complication.
[02:25:04] Speaker C: Et sans commission ni rénovation.
[02:25:06] Speaker A: Vite de même.
[02:25:07] Speaker C: Vite de même.
[02:25:08] Speaker B: Pour votre bloc, maison ou terrain, demandez votre offre d'achat en ligne sur airfortin.com et vous allez vendre, vous aussi, vite de même.
[02:25:16] Speaker F: Lui qui vole, achetez ton bloc. Airfortin.com. Yes!
[02:25:20] Speaker B: En montant dans le nouveau BZ4X chez votre concessionnaire, vous pourriez avoir l'impression que votre VUS a pris de l'avance.
[02:25:26] Speaker A: Parce que pendant que vous êtes encore.
[02:25:27] Speaker B: En train de vous demander si vous avez oublié quelque chose, le BZ4X est déjà chargé. Tout ça grâce à la recharge programmée. Après, tout ce qu'il vous reste à faire, c'est de le ramener à la maison. L'événement Repartez en Toyota est en cours.
[02:25:40] Speaker A: Pour un temps limité, vous pourriez obtenir jusqu'à 11 000 $ en rabais gouvernementaux et en incitatifs clients Toyota.
[02:25:46] Speaker B: Visitez AchetezmaToyota.ca ou votre concessionnaire Toyota du Québec pour toutes les conditions.
[02:25:51] Speaker F: Profitez dès maintenant du plus gros surplus d'inventaire de Tanguay l'Entrepôt où les rabais vont jusqu'à 70 %, comme ce démonstrateur d'une valeur de 900 $ qui est maintenant offert à... Combien?
[02:26:02] Speaker C: 800, mettons?
[02:26:03] Speaker F: Moins que ça.
[02:26:03] Speaker C: 750 $?
[02:26:04] Speaker B: Moins que ça. 700.
[02:26:06] Speaker C: 650.
[02:26:07] Speaker F: Qui dit moins?
[02:26:08] Speaker C: Ben là, 500.
[02:26:09] Speaker F: Exactement.
[02:26:10] Speaker C: J'achète.
[02:26:10] Speaker F: Vendu! Tanguay l'Entrepôt. Gros surplus d'inventaire, gros rabais, ça vaut le coup. Certaines conditions s'appliquent.
[02:26:21] Speaker B: Nokian Tires, c'est un parcours exceptionnel. Et jusqu'au 20 décembre, recevez jusqu'à 100 $ de remise à l'achat de 4 pneus sélectionnés. Les pneus Nokian Tires, disponibles chez votre détaillant AutoBox.
[02:26:32] Speaker F: En réservant votre croisière avec CAA Québec, vous profitez d'une foule d'avantages, que vous soyez membre ou non. Pour un temps limité, vous obtenez jusqu'à 3000 $ de rebais par cabine en voyageant avec Royal Caribbean ou Celebrity Cruises. Et on vous donne en prime jusqu'à 200 $ américains en crédit pour vous gâter à bord du navire. Ça donne envie de prendre le large, mais faites vite. Cette offre exclusive se termine le 19 octobre. Pour voir les départs sélectionnés et connaître les conditions, visitez le caaquebec.com baroplique promo croisière au singulier.
[02:27:03] Speaker B: Circulation de Québec pour faciliter la fluidité.
[02:27:10] Speaker C: On va faire ça vite, là. Essentiellement, c'est charrette, direction Est, dans le secteur Beauport, Charlebourg et la tête des ponts, surtout pour les gens qui arrivent dans 73. C'est ce qui complique la patente ce matin. Connaissez-vous Pax Levid, un médicament oral de Pfizer? Pour en savoir plus, c'est simple. Demandez à votre pharmacien ou à votre médecin s'il pouvait vous convenir. Pax Levid, découvrez-le.
[02:27:30] Speaker F: François.
[02:27:52] Speaker B: Lambert!
[02:27:59] Speaker A: François Lambert! Et il est pressé, on lui parle à l'instant. François, merci d'être avec nous ce matin.
[02:28:10] Speaker E: Bien, ça me fait toujours plaisir. Je parle quelque part avant...
[02:28:13] Speaker A: C'est ça. Tu t'en vas en tournage. On va rouler, garde. On va prendre 10 minutes. Je vais te laisser aller. Et on va revenir brièvement... bien, brièvement, par séquence, toute la semaine, sur ces projets de loi-là. C9, projet de loi, entre autres, sur la propagande haineuse, le crime haineux, et également C2, qui concerne autre chose, un autre sujet, mais qui peut aller très, très loin. Entre autres, le contrôle de nos finances, observer le type de dépenses qu'on fait, etc. Mais je veux t'entendre là-dessus, sur ces projets de loi-là qui ont passé un peu en douce quand même, déposés par Mark Carney. Elbows up!
[02:28:53] Speaker E: Oui, moi, je me trompe tout le temps quand je parle de lui. Je mets tout le temps Mark Carney, je sais pas pourquoi. Mais ça, c'est mon problème dans ma tête à chaque fois. Écoute, Je suis ambigüe face à tout ça, parce que selon moi, c'est déjà encadré. Je ne sais pas qu'est-ce qu'on essaie d'encadrer de plus, ou donner plus de mordant pour que la police puisse faire quelque chose. Je ne sais pas. C'est sûr qu'on ne veut pas de haine, on n'en veut pas de criminel, on n'en veut pas de manifestation. Mais je pensais que c'était encadré. Si tu passes la police qui ne fait pas sa job et qu'on lui dit que tu vas en faire encore plus, je ne sais pas.
[02:29:29] Speaker A: Je sais pas, mais c'est très large comme définition. Définir l'Inde, moi j'ai l'impression qu'on s'en va tranquillement vers un territoire où on veut pas aller, le territoire anglais. Je sais pas si tu remarques ce qui se passe en Angleterre depuis plusieurs mois, où on va littéralement, et c'est pas des comédiens, il y a des polices qui cognent à ta porte.
et parce que t'as tweeté quelque chose de pas amusant, de pas le fun, que t'as critiqué un artiste, que t'as émis un commentaire, ne serait-ce qu'un commentaire somme toute assez mitigé, du genre, est-ce qu'on devrait peut-être envisager d'abaisser les seuils d'immigration? Ne serait-ce que ça, mais il y a deux polices qui viennent t'arrêter à maison, quand on est très proche de l'Angleterre.
[02:30:15] Speaker E: Il est très, très proche, et ça, ça me dérange un peu, parce qu'on n'a jamais eu, on n'a jamais eu vraiment de grands liens avec l'Angleterre à part avec le roi. Mais autrement, on a des liens amicaux. Ils passent son temps là-bas alors que les problèmes sont en Asie. C'est avec la Chine qu'on doit régler nos problèmes avant d'en faire d'autres. Je comprends qu'on veut établir des nouveaux partenariats, mais revenons à la loi C-9. On ne veut pas des gens qui viennent débarquer chez nous parce qu'on a tweeté quelque chose. Mais t'sais, Dominique, t'en as déjà eu, toi, de la haine. Moi, j'en ai aussi de la haine sur les réseaux sociaux. Et j'ai appelé quand même cette année, j'ai ouvert deux dossiers de police cette année, pis ils ont rien fait. T'sais, la police me dit, c'est quoi Facebook? Moi, j'ai pas accès, tu veux-tu me donner ça? T'sais, la police, c'est arriéré, là. Je comprends peut-être ce côté-là, parce qu'à un moment donné, suite à une chronique que j'ai faite avec toi, j'ai quand même eu une menace de mort sérieuse, très sérieuse. J'ai ouvert le poste de... Hein? T'sais, quand j'ai... Ouais, quand j'y ai parlé, de ce que j'avais dit dans COVID, cette chronique-là. Je t'ai mangé un char de marde par quelqu'un, un employé de CUSS, le Redville, et j'ai tout donné à la police. L'enquête suit encore son cours. Ce gars-là aurait pu être sérieux. Il s'est rien passé, malheureusement.
[02:31:30] Speaker A: C'était quoi le message?
[02:31:32] Speaker E: Des gars comme toi, je te souhaite de rencontrer. Il n'y a pas assez de Luigi Maggioni dans la rue pour...
pour toi, là. Je te souhaite de rencontrer Luigi Magionnik, que tu es le président de United Health. Et moi, je ne le connais pas, ce gars-là, mais quand je vois ça, puis je dis « Es-tu sérieux? », il se voit et il dit « Tu mérites ça dans la vie. » Puis je dis « OK, bien je vais aller ouvrir un rapport de police. » Pour moi, c'était simple. Le gars me menace.
[02:31:58] Speaker A: Menace de mort, tu niaises pas avec ça. Et anyway, le code criminel est très, très clair. Mais tu sais, je reviens sur les projets de loi. Puis moi, donc, Carney est très proche de l'Angleterre. Dans ce projet de loi-là, C9, on parle de propos offensants. Je t'amène au Communication Act de 2003 en Angleterre. Article 27 rend illégal l'envoi de messages grossièrement offensants, indécents, obscènes ou menaçants par des moyens électroniques. Ça commence là. Et t'as le Malicious Communication Act de 88 qui interdit d'envoyer des communications avec l'intention de causer de la détresse ou de l'anxiété. Ça, les deux combinés, ça donne une latitude, somme toute, assez incroyable à sa face même, à des forces de l'ordre pour intervenir. Et là, je trouve qu'on est rendu dans un dérapage incroyable. Moi, c'est ça qui m'interpelle, c'est que je vois Donald Trump qui dit qu'il admire Keir Starmer, mais Keir Starmer, c'est un gars qui est dans une drôle de zone avec sa police.
[02:33:06] Speaker E: Bien là, de toute façon, je veux dire, ils ont changé combien de fois de premier ministre là-bas? Quatre aussi, autant qu'en France, donc...
[02:33:13] Speaker A: On y est fini, ce gars-là. S'il y a des élections aujourd'hui, il n'est pas réélu.
[02:33:17] Speaker E: Exactement. Donc, puis même si le gars qui s'en vient, c'est Nick Farage au UQI, on ne veut pas ça non plus.
[02:33:22] Speaker A: Bien, moi, je dis pourquoi pas, dans.
[02:33:25] Speaker E: Mesure où... Bien, écoute, on est rendu.
[02:33:27] Speaker A: Mais... Oui, mais regarde, Marine Le Pen en France, peut-être qu'on a besoin de ça aussi.
[02:33:32] Speaker E: Eh bien, ça, je ne suis pas sûr.
[02:33:33] Speaker A: Non, mais...
François, quand ça va trop dans un sens, la nature humaine fait en sorte qu'on est poussé à élire un garde-fou. C'est comme ça partout.
[02:33:48] Speaker E: À un moment donné, le problème, c'est qu'on va redonner des droits à la police qu'il y avait déjà, qu'ils n'exerçaient pas. Regarde McGill l'année passée. La police aurait dû démanteler ça tout de suite. Valérie Plante n'a pas forcé. Notre super héros à Montréal...
[02:34:05] Speaker A: Une police politique. Elle a répondu à des impératifs politiques.
[02:34:09] Speaker E: Ça devait être des faits. Il l'a pas fait. La police l'a pas fait non plus. Personne l'a fait alors que ça aurait dû être démantelé. C'était une occupation qu'on avait eue à McGill. C'était pas une manifestation. Donc, est-ce qu'on essaie de redonner un peu de bordel à la police pour se dire, regarde, ce genre de choses-là, il faut que tu débarques puis tu le fasses. Le problème, c'est que la police ne fait pas sa job la plupart du temps dans ces situations-là. On marche sur des oeufs. Donc, est-ce qu'on veut redonner?
J'ai hâte de voir, parce que ça a passé un peu inaperçu. Donc, je suis un peu... Il y a des bouts que je me dis oui, il faut le faire, puis il y a d'autres bouts que je me dis... Ouais! Tu sais, est-ce qu'on veut que la police débarque chez nous parce qu'on a envoyé promener quelqu'un? T'sais, moi, je veux dire, dans ce cas-là, j'ai toujours envoyé promener Valérie Plante. Là, je peux plus aller bloquer ses messages sur Rick. Donc, je regarde là ce qu'elle a pour dire. J'en ai un d'eux, là, mais c'est juste par rapport à elle. Mais jusqu'où que ça va aller, la haine? Est-ce que... Est-ce que trouver quelqu'un d'incompétent... Est-ce que trouver quelqu'un d'incompétent puis le répéter à toutes les gens... Voilà!
[02:35:03] Speaker A: Voilà!
[02:35:04] Speaker E: C'est dangereux, t'sais, parce que là, on critique. Nous, ce qu'on fait, c'est de l'opinion. Donc, en faisant de l'opinion, on critique constamment. Donc, est-ce qu'on va tomber dans la haine si on revient constamment sur le même sujet? À quel moment que ça dépasse l'opinion et ça devient la haine? C'est là que... c'est là que c'est touché un peu. Je suis pas contre, mais en même temps, définissons-le. Et est-ce qu'on a besoin d'aller là? Dans le fond, c'est qu'on peut se faire arrêter deux fois même avec ce genre de choses-là.
[02:35:32] Speaker A: Donc... Moi, c'est non, merci, la police l'a passé. Puis moi, ce que je crains, avant de te laisser, bien, je sais que t'as un engagement quand même important, c'est que c'est un glissement vers... Carney a déjà dit les valeurs islamiques, c'est les valeurs canadiennes. Une intervention très douteuse. Les islamistes et les radicaux considèrent le blasphème comme étant un péché épouvantable, voire même un crime punissable. Blasphème étant le suivant, rire d'une figure religieuse. OK? Comme nous autres, on pourrait très bien avoir des commentaires sur le pape, ou sur l'ancien pape, ou sur l'évêque.
[02:36:10] Speaker C: Exemple, une caricature de Mahomet.
[02:36:12] Speaker A: Une caricature de Mahomet à l'extrême. C'est ce qui a occasionné, finalement, le massacre de Charnier.
[02:36:20] Speaker E: Mais oui, ça va aller là!
[02:36:22] Speaker A: Ben oui, François, c'est sûr que ça va aller là!
[02:36:25] Speaker E: C'est sûr que ça va aller là.
[02:36:28] Speaker A: Non mais l'un des objectifs des islamistes est de criminaliser le blasphème et d'enchasser ça dans la loi.
[02:36:37] Speaker E: Pas là!
[02:36:40] Speaker A: Mais c'est le début de quelque chose peut-être. Il faut surveiller ça.
[02:36:45] Speaker E: Il faut criminaliser l'offense. Ah, les sénateurs, ils font rien au Sénat, il n'y a pas de droit.
Il faut que ça serve à quelque chose. À un moment donné, il y a Daniel Henkel qui est là.
[02:37:07] Speaker A: Mais criminaliser l'offense, c'est ça qui est dangereux. Moi, je pense qu'on s'en va tranquillement vers là. Définir l'offense, comme en Angleterre. Définir...
[02:37:16] Speaker E: Mais le crime haineux, il est assez facile. À moins qu'on... Tu sais, ça dépend...
Crémineux, ça c'est.
[02:37:22] Speaker A: Inacceptable, il faut que tu le punisses. Ça c'est dans le Code, on l'a dit. Les menaces de mort, les crémineux, tout ce qui s'appelle l'expression d'antisémitisme. Mais encore là, prenons l'exemple d'Adil Sharkawi, qui lui a exprimé son désir de tuer des juifs, mais à l'intérieur d'une prière. Oh Allah, fais en sorte que ceux.
[02:37:39] Speaker E: Qui sont contre toi... Oui, mais il.
[02:37:42] Speaker A: Y a eu une passe gratuite au fédéral, parce que les autorités ont dit «oui, mais à l'intérieur d'une prière, c'est pas directement relié à...» T'sais, y'a pas dit «je vais aller mettre le feu à une synagogue», y'a pas dit ça clairement comme ça. J'trouve qu'on glisse en maudit, moi.
[02:38:00] Speaker E: Mais lui, t'sais, il faut regarder le passé, l'accumulation. Un moment donné, il faut que tu regardes, OK, lui, il serait-tu capable de le faire versus quelqu'un qui le devient qu'une fois? Encore là, je le sais pas. Moi aussi, j'ai eu une menace de faire brûler mon usine. Est-ce que c'était sérieux? J'ai fait un rapport de police. L'enquête suit son cours. C'est que la police n'a pas de mordants en ce moment. Il n'y en a pas. Est-ce qu'on veut lui redonner un peu de mordants? Mais ils sont pas capables, ils sont pas équipés. La police, là, qui... Quand on fait un rapport de police chez nous, là, c'est pas un enquêteur, c'est un patrouilleur. Il sait pas quoi faire avec ça. Ils ne savent pas quoi faire, Dominique, les patrouilleurs, avec ça.
[02:38:38] Speaker A: Ils pensent ça, puis ils s'en vont.
[02:38:40] Speaker E: Donner l'autre ticket de vieillesse.
[02:38:41] Speaker A: Il y en manque aussi. On aime ça dire à Ville de Québec qu'on a engagé beaucoup ce qui est faux. Il y en manque. Il manque de policiers, là. Il manque de policiers, puis c'est sûr qu'à l'heure actuelle, de par la réputation, puis le blabla de la gauche, de défendre de police, etc., c'est sûr que c'est pas très en vogue de s'en aller à Nicolette pour être policier, malheureusement. Moi, je pense qu'on devrait revaloriser le métier de policier. Mais on n'en est pas à cette ère-là. Law and order, on n'est pas là-dedans. Moi, je suis là-dedans, mais ça a l'air que la société s'en va dans l'autre sens, là. Tristement.
[02:39:12] Speaker E: Oui.
[02:39:13] Speaker A: Là, ça va faire quoi, mon cher François?
[02:39:16] Speaker E: Je peux pas te le dire, mais c'est un tournage le fun.
[02:39:18] Speaker A: OK, parfait.
[02:39:19] Speaker E: Il dure jusqu'à 23 h ce soir.
[02:39:20] Speaker A: OK, bon, bien, je te laisse aller à 8 h 40. Merci encore, François. Ciao. Salut.
[02:39:24] Speaker E: Bye.
[02:39:25] Speaker A: Il était poigné dans deux engagements, ça fait qu'on lui a parlé.
Ça m'interpelle, moi. C'est la définition de l'offense. Quelqu'un qui est offensé. Je suis offensé, je porte plainte contre toi et tu peux être sanctionné.
[02:39:38] Speaker C: Non, non, je comprends tout ça.
[02:39:41] Speaker A: Il n'y a personne qui parle de ça. Ou très peu. Il va falloir, à un moment donné, s'interpeller sur quelque chose.
[02:39:48] Speaker C: On va le leur virer contre eux autres, je vais me sentir offensé souvent. Je vais me sentir offensé à toutes les fois qu'on va me demander 10 cents pour un sac en plastique.
[02:39:56] Speaker A: 8H40, La Légion, retour dans Montréal.
[02:40:01] Speaker F: On revient dans pas long.
[02:40:03] Speaker B: Désolé.
Radio X. Présenté par Planétix. À la recherche de nouvelles sensations.
[02:40:28] Speaker A: Avec Planétix, explore et découvre tous les plaisirs.
[02:40:32] Speaker B: Planétix.
[02:40:32] Speaker A: C'est succursale et sur monplanetix.com. Et ça, c'est agricole avec le Master, le Massive Ferguson que j'ai conduit. Je ne sais pas si la vidéo est sortie, mais il est cool au bout. Pour vrai, il est petit, ça se conduit bien. C'est tripant au bout.
J'aurais aimé ça l'acheter, mais en même temps, qu'est-ce que tu veux que je fasse avec ça? T'sais, j'ai pas de garage, j'ai rien, donc... Mais il est vraiment trippant, il est le fun. C'est le IGC, donc on peut mettre une cabine dessus, mais on peut le prendre comme ça. C'est cool, c'est juste parfait, et surtout, il est pas cher. Durable, bien entendu. C'est du massé, tu te trompes pas. Garantie 10 ans. La plus longue offerte sur le marché, 53 piastres par semaine, zéro comptant ou financement à 0 % sur 60 mois.
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[02:41:45] Speaker B: La circulation de Québec pour faciliter la fluidité.
[02:41:52] Speaker C: 88-670-909-8, c'est du compliqué ce matin à 2-3 endroits, surtout la Tête-des-Ponts pour les gens qui arrivent de la 73, mais ça achève. Et Capital, je vous rappelle qu'il y a eu un accrochage un peu plus tôt ce matin, c'est ce qui cause des ennuis. Mais visiblement, on est vers une fin de congestion matinale. En ce lundi matin, Canadian Tire qui soutient Bon Départ, Bon Départ, aide les familles à surmonter les obstacles financiers qui sont liés au sport et aux Jeux. Donnez à bondépart.canadientire.ca.
[02:42:23] Speaker G: En suède, le minimalisme n'est pas synonyme d'ennui. Il s'agit d'éliminer le superflu et de perfectionner le reste. Polestar 3, le VUS électrique qui se conduit comme une voiture de sport. Pas de parure, pas de fioriture, simplement le design et la performance perfectionnées. Louez votre Polestar 3 pour seulement 899 $ par mois sur 12 mois avec 0 $ d'accompte. Oui, 899 $ par mois, mais uniquement jusqu'au 30 septembre. Visitez polestarvilledequebec ou polestar.com. Les conditions s'appliquent.
[02:42:54] Speaker F: Pas de circulaire métro reçu par la Poste? Pas de problème! Cette semaine, économisez sur plus de 7500 produits. Le boeuf haché maigre en format économique est à 5,44 la livre ou 11,99 le kilo. Les raisins rouges, verts ou noirs sans pépins sont à 1,77 ou 3,90 le kilo. Le beurre d'arachide Kraft au format 700 g à 1 kg est à 4,97. Pour consulter notre circulaire complet en ligne, on se retrouve sur metro.ca. Les conditions s'appliquent. Détail en magasin.
À Télé-Québec, mercredi 20h, une époque formidable animée par Stéphane Bureau.
[02:43:27] Speaker B: On va commencer fort.
[02:43:29] Speaker F: Pourquoi les idées conservatrices ont le vent dans les voiles chez les jeunes électeurs?
[02:43:33] Speaker G: J'aime la réponse, polie et ordonnée.
[02:43:35] Speaker F: Pourquoi le départ à la retraite est-il sans cesse retardé? Est-ce qu'on doit le faire, même si on peut le faire? Et à quoi ressemble l'intimité sexuelle chez les personnes âgées?
[02:43:44] Speaker G: Sujet maire des passions.
[02:43:45] Speaker F: J'espère. Allez au-delà des préjugés avec une époque formidable. Mercredi 20h à Télé-Québec.
[02:43:52] Speaker C: La première édition du légendaire PP Tour, j'allais dire, est de retour. C'est la première édition! Mais on est déjà de retour, on le sait, parce que c'est un véritable succès. La première édition, c'est du 14 au 17 novembre. Le match, c'est le dimanche. On va à New York. On va voir un match entre les Packers et les Giants. C'est PP Allez, choix Radio X, rêve sportif, Linux et G-Stock qui t'envoient vivre le voyage tout compris. C'est pour quatre personnes. Pour vrai, là, si tu veux gagner ton concours, ça se passe ce matin. Tu veux devenir finaliste? Il nous reste cinq finalistes à faire, un à chaque matin de cette semaine. Tu vas sur la page Facebook de Montréal Ave. Il y a une vidéo. Sur la vidéo, c'est les gens de rêve sportif qui sont là. Vous l'écoutez, la vidéo, et ensuite, vous allez au RadioX.com, dans la section concours, répondre à la question suivante. Quelle équipe les gens de Rêves Sportifs vont voir le plus souvent? Va répondre et boum! Tu pourras être finaliste pour embarquer avec nous dans l'autobus du PP Tour 2025 le 14 novembre prochain. Si tu veux venir avec nous, t'en assurer, tu veux les acheter tes tiquettes, va faire un tour au radioix.com ou encore Rêves Sportifs, viens avec nous autres, ce sera un voyage très, très sportif. Le légendaire PP Tour en présentation avec... J'estock.
[02:45:07] Speaker F: Des articles coquins pour pimenter votre quotidien. Magasinez au sensationsplus.com et découvrez tous nos produits dédiés à la sensualité à deux. Livraison rapide et discrète.
[02:45:16] Speaker A: Sensationsplus.Com Le Massive Ferguson 1GC, c'est le tracteur compact qu'il vous faut. Robuste, hyper confortable, il fait tout. Chargé, creusé, déneigé à partir de 53$ par semaine. Zéro comptant et 10 ans de garantie. Venez l'essayer chez SAServiceAgricole, saserviceagricole.ca Plongez dans.
[02:45:36] Speaker B: L'Horreur au Manoir hanté du Moulin à Saint-Jules-en-Beausse. Un parcours effrayant de 40 minutes avec 40 personnages tout droit sortis de vos pires cauchemars.
[02:45:46] Speaker G: Saurez-vous affronter la terreur?
[02:45:48] Speaker B: Réservez au lemanoirhantetumoulin.com.
[02:45:51] Speaker G: Raison et plus.
[02:45:52] Speaker B: Un chasseur sachant... Un chasseur sachant chasser...
[02:45:56] Speaker G: Un chasseur sachant chasser sait s'équiper. Dans le fond du bois, faut que ça marche. Avec Honda, t'en auras pas de problème. Pour ta génératrice ou ton 4 roues, c'est chez Adrenaline Sport que ça se passe.
[02:46:07] Speaker A: Vous êtes propriétaire d'une maison et vous êtes étouffé par vos dettes? Carte de crédit, prêt personnel, deuxième hypothèque à taux élevé? Stop! Vous perdez des milliers de dollars chaque année. Chez GMOT.ca, nous avons la solution. Le refinancement hypothécaire et la consolidation de dettes. Économisez plus de 1300 par mois. Et retrouvez enfin la tranquillité d'esprit. Une seule mensualité, zéro stress. Visitez GMOT.ca. C'est simple à retenir. GMOT.ca. Ou appelez-nous maintenant au 88 655 36 86, partout au Québec.
[02:46:40] Speaker B: Salut, c'est Carbot. Pour le traitement de ma voiture, je fais confiance à Crown, une entreprise familiale canadienne qui connaît les conditions d'ici. Vous aussi, faites traiter votre voiture à l'antiroïde Crown et économisez 10 $. Visitez le crown.com pour trouver nos 6 centres de la grande région de Québec. Bon, qu'est-ce qu'on mange?
[02:46:57] Speaker F: Une pizza!
[02:46:58] Speaker A: L'ingrédient frais, pâte et sauce maison, Ludo, la pizza congelée au vrai goût de resto. En ce moment, c'est 2,9 pouces pour 12 dollars. Dispo chez les marchands participants.
[02:47:07] Speaker B: Et un prix très, très, très spécial au IGA Amel.
[02:47:10] Speaker A: Ludo, décongeler, cuire, servir.
[02:47:12] Speaker B: Salut, c'est moi, ton sommeil. Je te prends une petite minute parce que mes camarades de Dormivouz et moi, on a remarqué quelque chose. Quand tu vas au restaurant, tu commandes.
[02:47:20] Speaker G: Pas nécessairement la même chose que ta blonde. Puis le matin, je suis pas mal.
[02:47:23] Speaker B: Sûr que tu mets pas le même linge que ton chum. Alors pourquoi tu serais obligé d'avoir les mêmes goûts en matière de sommeil? Tu veux du moelleux, elle demande du ferme. Tu rêves de fluffy, lui de soutien. Ben go, go, let's go! On a ce qu'il vous faut.
[02:47:34] Speaker F: Pendant l'événement Milli Mello, obtenez 20% de rabais sur presque tout, en ce moment, seulement chez Dormez-vous.
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[02:47:57] Speaker B: Musique de Rocky... J'avoue que des fois, c'est vrai que...
Je me sens un peu comme un boxeur qui encaise des coups. Ce n'est pas la force des coups qui compte, c'est la capacité des encaissés. Je suis prêt à continuer à encaisser des coups. Je suis prêt. Je fais pas ça pour moi, là. Je fais ça pour vous autres. Je fais ça pour les Québécois. Pour les Québécois. Il y en a qui annoncent notre mort. Il y en a qui annoncent notre mort. Je sens qu'on est, comme on dit, en mission. En mission. On y croit, on va y croire. On y croit, on va y croire.
[02:48:44] Speaker E: On y croit, on va y croire. On y croit, on va y croire. On y croit, on va croire. On y croit, on va croire.
[02:48:47] Speaker B: On y croit, on va croire.
[02:48:48] Speaker E: On On y croit, on va croire.
[02:48:48] Speaker B: On On y croit, on va y croire. On y Très, très, croit, très, très bon. on Live. va y croire. C'est pas une blague, là.
[02:48:53] Speaker F: Avec Dominique On y croit, on va cro Moret.
[02:48:55] Speaker B: Les meilleurs au monde.
[02:48:56] Speaker F: Radio X.
[02:49:06] Speaker B: Let's go live now from the Tower of Doom. Mets ton béret légionnaire. This is Moret Live.
[02:49:13] Speaker E: On devient légionnaire et on reste jusqu'à la mort.
[02:49:16] Speaker B: From the Radio X World Headquarters, here is your legendary Legion of Doom.
[02:49:34] Speaker A: J'ai toujours été candidat avec les auditeurs, je vous le dis, j'ai pas trippé sur François Lambert. Moi je suis transparent de même, c'est mon propre show, je suis capable de m'auto-critiquer. J'ai demandé à se préparer, François était pas prêt. Très déçu parce que moi je me suis préparé, j'ai élu les crucifix de Projet de loi, il y en a 7, 2, 7, 9. Demain, on va jaser. Puis toute la semaine, je veux qu'on jase de ça. Éventuellement, Joe Poulin va venir nous rejoindre. Vous allez dire, «Hein, Joe?» C'est un avocat, c'est un avocat. Donc, il a lu les lois puis il est capable de les analyser. Puis on aura ce que je qualifie quasiment de superstar. Le gars, il est bon en baptême. Comment il s'appelle, le gars?
[02:50:15] Speaker B: David Proulx.
[02:50:16] Speaker A: David Proulx, c'est un Christy de chef, ce gars-là. Très bon en intelligence artificielle aussi. Ce ne sera pas notre sujet de demain, mais si on a le goût d'en parler, j'ai l'impression qu'on ne se gênera pas. Mais vraiment, demain, on va plonger au cœur de la matière. C'est un dossier qui devrait tous nous interpeller. Si la liberté d'expression nous interpelle, il n'y a pas juste Charlie Kirk comme sujet.
C'est notre pays, c'est une loi qui va permettre aux autorités de venir circonscrire la liberté d'expression et limiter notre capacité de critique. Moi, je trouve ça très interpellant et il faut aller au fond des choses.
[02:50:54] Speaker B: Et je t'ajoute un danger à ça parce que souvent, au Québec, dans les médias, ce que j'ai beaucoup entendu, c'est que pour eux autres, la liberté d'expression, c'est la liberté de presse. Le petit monde au sans-sac, là. Tant qu'ils ont de la liberté, Le reste de la population, on s'en fout. Justement, c'est sur le web. Ils arrêtent pas de dire qu'il y a de la haine. Regarde comment ils ont limité. Puis Renaud en parle souvent les mercredis. Ah, c'est les citoyens le problème au municipal. Avec les élus qui sont pas fins. On a passé une loi. Il a passé une loi pour limiter les libertés des citoyens.
[02:51:29] Speaker A: Même sur le web, les commentaires. Et la présence en conseil également. Donc on y revient, mais là t'as une grosse Légion, on branche.
[02:51:38] Speaker B: Oui, mais regarde, Rocky pis Legault, on l'a couvert en masse, fait que j'avance un petit peu plus loin. On nous a sorti les grands classiques hier. Quand t'es allé voir les partisans dans les corridors, entre autres au Téléjournal, ça a donné ça. Je peux te faire un petit montage vite avec un extrait qu'on connaît bien. Oui.
[02:51:55] Speaker A: Vous auriez fait quoi, vous autres, à sa place?
[02:51:59] Speaker B: Il prend des décisions, il prend des décisions.
[02:52:01] Speaker E: Oui, il y en a qui sont pas aimées.
[02:52:02] Speaker F: C'est pas grave de se tromper, c'est de l'avouer. Qui aurait fait mieux?
[02:52:06] Speaker A: Oh non, non, Dom, arrête.
[02:52:08] Speaker B: J'en jouais à Madame à la fin, mais le gars dans les corridors hier, c'est pas mal ça. T'sais, écoute le début. Vous auriez fait quoi, vous autres, à sa place? Hein? Vous auriez fait quoi, vous autres?
[02:52:17] Speaker A: Auriez-vous fait mieux?
[02:52:17] Speaker B: C'est la même chose. C'est les mêmes phrases, finalement. Et là, t'sais, là, ils annoncent... Des abrutis.
[02:52:22] Speaker A: Excusez, là, des abrutis. C'est mon opinion et je la partage.
[02:52:26] Speaker B: Et là, le pseudo virage à droite de la CAQ. Rappelez-vous une chose, puis merci à ceux qui l'ont renvoyé entre autres sur le web hier.
Quand on est dans l'opposition, il faut.
[02:52:37] Speaker A: Se correr à trois jours.
[02:52:38] Speaker B: Là, on a quatre ans, donc bon, les deux premières années, même les trois premières, on va faire ce qu'on pense qui est bon. Puis la quatrième année, bien là, on commencera à se soucier des sondages. Ça crame!
[02:52:52] Speaker G: Ça m'étonne que vous le disiez, ça.
[02:52:54] Speaker B: Oui, c'est vrai. Je vais me faire chicaner, probablement, d'avoir dit ça. Pas bon, hein?
François Legault qui était passé au franc-tireur.
[02:53:01] Speaker A: Il y a ça quelques années.
[02:53:03] Speaker B: C'est ça qu'il est en train de faire présentement.
[02:53:06] Speaker A: Est-ce qu'on mérite mieux? Là vous allez dire, ben oui on mérite mieux, ok. Mais est-ce qu'on mérite vraiment mieux ou est-ce qu'on mérite ce qui nous arrive? Moi je pense qu'on mérite ce qu'on a. Ça, là, c'est de notre faute. C'est nous autres qui avons élu ces gens-là.
[02:53:22] Speaker B: Non, c'est surtout nous autres qui... Et.
[02:53:23] Speaker A: On les a réélus encore plus fort!
[02:53:24] Speaker B: Il est là, le problème. Les avoir élus, c'est une chose. On s'est fait avoir, on a cru à leurs promesses. Mais de les réélire...
[02:53:31] Speaker A: On les a réélus.
[02:53:33] Speaker B: Il est là, le problème.
[02:53:34] Speaker A: Avec plus de députés.
[02:53:35] Speaker B: Ça, c'est « fool me once », là. La première fois, c'est correct, tu peux te faire avoir. La deuxième fois que tu te fais avoir, c'est toi le cas.
[02:53:40] Speaker A: C'est de notre faute. On a acheté un taco et on est pogné avec.
Mais c'est de notre faute, c'est notre décision. À un moment donné, il va falloir se le dire, qu'on est les artisans, oui, de notre propre malheur. Le modèle, c'est notre modèle. Pourquoi je le dis? Oh non, moi je veux des baisses d'impôts, moi je veux tout, tout, tout garder, tous les services, je veux tout, tout, tout, tout, tout. Ouais, mais les syndicats... Ah non, non! Mais les syndicats, là, il faut se protéger! Ils sont là! Il faut les garder! Il faut tout garder intact tout le temps, tout le temps, tout le temps! Donc, on veut aller au ciel, on veut pas mourir! C'est ça, le Québécois!
[02:54:22] Speaker B: Je vais y venir dans pas long, ça!
Mais tu parlais avant juste de tacos. T'sais, dans les changements que t'as annoncés, là, on a un peu trippé. Vendredi, hey, yes! Finalement, la CAQ, il recule sur, mon short, mon choix, 2035, l'obligation d'acheter une voiture.
[02:54:36] Speaker A: C'est encore contraignant, là.
[02:54:37] Speaker B: Ben, c'est encore très contraignant. Écoutez, détail. Ben, à cause des... Ah, pis la chose aussi, c'est... C'est la faute de qui, hein?
[02:54:43] Speaker E: Ben, à cause des nouvelles circonstances que nous a imposées M. Trump.
[02:54:49] Speaker A: À cause de l'industrie.
[02:54:50] Speaker E: M. Trump, il a fait sauter à peu près tout ce qu'il y a de mesure pour favoriser le véhicule électrique aux États-Unis. Il nous impose des tarifs sur l'acier, sur l'aluminium. Il y a beaucoup d'incertitudes par rapport à l'industrie de l'auto canadienne. Tellement que M. Carney a lui-même annulé la cible. Au Canada, ils n'ont plus de cible. Au niveau fédéral, ils n'ont plus de cible. Ils sont en consultation. Oui, on prend un pas de recul, mais ça reste 90 % du marché en 2035. Ça reste quand même un objectif qui est très ambitieux.
[02:55:24] Speaker B: Donc, il y a une obligation en 2035 encore que 90 % des voitures sont électriques ou hybrides. Puis de ce que je comprends, ils n'ont pas donné tous les détails, c'est surtout électrique dans le 90 %. Comme je dis, je n'ai pas encore vu tous les détails, mais de la manière dont il parle en entrevue, il dit lui-même que c'est surtout du hall électrique.
Donc ça, ça va être à suivre. Puis d'ici là, c'est parce que ça n'arrivera pas, bang, 2035. Il va encore avoir des quotas en 2030, puis des pénalités à payer pour les concessionnaires.
[02:55:55] Speaker A: Ça, je vais me faire expliquer ça comme il faut parce que les concessionnaires...
[02:55:58] Speaker B: Il va falloir qu'ils le présentent.
[02:55:58] Speaker A: Ils ne seraient pas contents. Yann Souchy, le monsieur... Oui. Ça, c'est spécial. D'ailleurs, il invite Chantal Hébert à faire une conférence. Ça, c'est un peu wack, par contre.
Help me to help you, là. On va essayer de s'aider. Les constructeurs, les corporations, on est là de votre bord, mais... Parce que là, vous invitez Chantal Hébert à faire une conférence. Je comprends pas trop, là. Une anti-voiture, là. Je l'ai pas coachée, c'est en fin de semaine. Vraiment, là. Mais on va tasser Chantal Hébert. Help me to help you, OK? On va vous aider. Mais exprimez exactement ce que vous voulez. Il y a beaucoup de contraintes encore.
[02:56:31] Speaker B: Donc c'est vraiment pas gagné. Il va falloir que ce soit un sujet à la prochaine élection dans un an, là. Parce que l'autre chose qu'il dit, il.
[02:56:37] Speaker A: Va falloir... Oui, oui, Dom. Très bon. Avec Duhem, entre autres.
[02:56:40] Speaker B: Mais oui.
[02:56:41] Speaker A: Qui va forcer la discussion. Duhem, c'est son utilité.
[02:56:45] Speaker B: Parce que ce n'est pas terminé.
[02:56:46] Speaker A: Il est pour le Parlement. Il va recadrer la discussion. C'est pas fini.
[02:56:52] Speaker B: Regarde ça, je le ferais pas jouer, mais en gros, Dreville disait des bornes, des bornes, il faut des bornes, il va falloir en ajouter encore, de plus en plus, le besoin va être là. Bonne question, je dois le donner. Puis ça, ça revient toujours dans cette émission-là, le retour à Radio-Canada à Montréal. Il ramène une fois de temps en temps les autobus électriques. Puis là, je parle pas des autobus scolaires. Tout ce qu'on a dans les villes, Il y en a qui ont fait des sorties, même des groupes environnementaux. Le 870 de Salaberry, eux-mêmes ont avoué que les autobus de ville électriques, ça sert pas tant que ça au côté environnement. Puis ça coûte une fortune. Ça fait en sorte qu'on fait moins de transports en commun.
[02:57:28] Speaker A: Ça coûte un million et demi du véhicule.
[02:57:30] Speaker B: Oui, mais à la grandeur de la province, c'est au-dessus d'un milliard.
[02:57:34] Speaker A: On s'est ruiné.
[02:57:35] Speaker B: Oui.
[02:57:36] Speaker A: Nous sommes les artisans de notre propre malheur. On a pris, au sens figuré, un fusil. On s'est tiré des balles dans le genou.
[02:57:44] Speaker B: Oui. Pis c't'un...
[02:57:45] Speaker A: On s'est dit adieu adieu, adieu donc, adieu donc. Ben voilà. C't'à qui la main qui est poignée après le fusil? Au sens figuré, c'est nous. Nous sommes les artisans.
de nos propres lois, de notre propre carcan réglementaire, de notre propre réglementation, qui fait en sorte qu'aujourd'hui, on se retrouve dans la situation dans laquelle on est.
[02:58:10] Speaker B: Puis c'est un peu improvisé, ce que Dreville a présenté vendredi, fait que quand tu lui demandes des détails de ce genre-là... Donc on pourrait peut-être voir ça.
[02:58:16] Speaker A: Les constructeurs d'autobus, transporteurs aussi, de personnes.
[02:58:20] Speaker B: Par autobus disent, ce serait peut-être même mieux pour l'environnement d'enlever cette obligation d'électrification du parc d'autobus.
[02:58:28] Speaker E: C'est trop tôt pour... Je veux pas m'avancer là-dessus. Je risquerais de dire des bêtises. Je suis pas... Je suis pas prêt à répondre à votre question.
[02:58:37] Speaker A: C'est le deep state en haut qui va décider, avec les fonctionnaires.
Les hauts fonctionnaires, les barbichettes. Ils vont appeler le chum d'Équiterre. « Oui, oui, il va-tu avec ça? Ouais, appelle Guilbault. » Il est plus ministre, c'est pas grave, c'est notre chumé. Il va parler à John Kearney. « Puis, oui, il va-tu avec ça? Non. » Regarde, c'est oublié ça, là. La gang d'Équiterre, la gang de Green ont pris le contrôle du ministère. Lui, pauvre diable. Lui... Il est à marche limitée, là, Bernie, là. Pour vrai, là.
[02:59:11] Speaker B: « Peux-tu faire ci?
[02:59:11] Speaker A: Je peux-tu faire ça? » C'est ça qu'il a. Il en met sur le téléphone.
[02:59:14] Speaker C: « Je peux-tu faire ci?
[02:59:15] Speaker A: Je peux-tu dire ça?
[02:59:15] Speaker B: » Tu parles de fonctionnaires. Ils sont en train de couper des fonctionnaires, supposément à la CAQ. Beaucoup moins que ce qu'ils en ont ajouté. Mais c'est toujours trop. Tu ne peux pas couper personne. On est dans l'émission de Marie-Louise Arsenault.
[02:59:27] Speaker A: On veut couper 2000 postes de fonctionnaires d'ici un an. Remarquez, le député libéral Frédéric Beauchemin a tweeté qu'il y avait 1600 fonctionnaires de plus à l'environnement depuis 5 ans. Donc une centaine de postes, c'est un gros bof. Les libéraux et l'austérité, c'est vraiment une histoire d'amour.
[02:59:43] Speaker B: Minute. T'ajoutes 1600 fonctionnaires juste en environnement dans les dernières années, mais t'en coupes ça, c'est de l'austérité. Tu vois comment eux autres y pensent? Eux autres, c'est impossible de couper. Jamais, jamais, jamais. Faut jamais couper. Sinon, c'est de l'austérité, sinon vous êtes... Regarde, puis je vais même arriver avec d'autres termes.
[03:00:00] Speaker A: Eux autres, c'est pas deep state, c'est fat state.
[03:00:02] Speaker B: Oui.
[03:00:02] Speaker A: Fat state.
[03:00:03] Speaker B: Toujours plus. Faut toujours en ajouter.
[03:00:05] Speaker A: C'est la chanson des syndicats.
[03:00:07] Speaker B: Ils recevaient... Ils recevaient, Véronique, ils vont.
[03:00:11] Speaker F: Le mettre la hache dans la fonction publique, partir une bataille contre les syndicats, on va y revenir avec les médecins, langage guerrier. Et c'est M. Legault lui-même qui, notamment, d'habitude, le chef de l'État et le pacificateur, mais là, c'est le guerrier en chef.
[03:00:27] Speaker B: Fait que là, c'est un langage guerrier coupé à la hache. Ça n'a pas de sens. Et ajoute à ça, là après ça, t'en reçois un prof de philo du cégep du Vieux-Montréal, qui est le club-école de l'UQAM, puis t'en reçois une prof de l'UQAM en plus.
[03:00:39] Speaker A: Je sais pas si t'as un jupe en tout.
[03:00:41] Speaker B: Non, non, c'est ça. Mais c'est tout le temps ça, ce show-là. Et ils vont dire ceci.
[03:00:45] Speaker C: Le conducteur de la nation, le père.
[03:00:47] Speaker B: De la nation, c'est des métaphores qui sont pas propres à nos sociétés, qui sont en fait propres à des sociétés autoritaires. Faire le ménage, qu'est-ce que ça veut dire? C'est des gens qu'on met à pied.
[03:00:56] Speaker C: Il faut quand même dire des choses comme ça.
[03:00:57] Speaker B: Ça veut pas faire du ménage.
[03:00:58] Speaker F: C'est vrai qu'il n'y a eu aucune empathie dans ces annonces.
[03:01:01] Speaker B: On dit 3000, 6000, c'est des personnes.
[03:01:03] Speaker C: C'Est des personnes qui ont une vie.
[03:01:04] Speaker B: Réelle, qui ont des enfants, qui ont.
[03:01:06] Speaker A: Des foyers, qui ont des parents, Exactement.
[03:01:09] Speaker B: Donc on déshumanise en quelque sorte avec une expression faire le ménage et on.
[03:01:12] Speaker C: Part de vue que faire le ménage.
[03:01:13] Speaker B: C'Est quelque chose qui peut être très violent.
[03:01:16] Speaker A: Ah, c'est dégueulasse.
[03:01:17] Speaker B: C'est violent. Couper des postes, là, le gouvernement, c'est quelque chose de violent, donc vous pouvez pas faire ça. Faut commencer à faire comme eux autres. Faut utiliser les mêmes termes qu'eux autres utilisent.
[03:01:27] Speaker A: Prône des exemples.
[03:01:28] Speaker B: Bien, surtaxer la population pour une machine qui est trop grasse, c'est violent. Parce qu'après ça, les gens, ils ont de la misère à manger à la fin du mois, ils ont de la misère à se payer l'épicerie, qu'on va en parler un peu plus tôt aujourd'hui.
[03:01:39] Speaker A: Bien, la taxe carbone, c'est très violent parce que c'est des enfants qui mangent moins. À la fin de la journée, il y a le plein d'essence qui te coûte tant. Et il y a combien d'enfants qui auraient aimé ça faire du karaté ou du hockey Kossum, qui sont privés, hein? Mme Arsenault, répondez! Il y a des gens qui doivent payer plus cher également pour leur denrée à cause des coûts de transport régional.
[03:02:01] Speaker B: Donc les politiques de gauche sont violentes envers la population?
[03:02:04] Speaker A: Absolument.
[03:02:05] Speaker C: Extrêmement violentes.
[03:02:07] Speaker B: Mais il y a un grand virage à droite là-pis. C'est partout. On revient avec Véronique Yvan.
[03:02:12] Speaker F: Parlons de politique nationale. Il y a un vrai virage à droite. On le remarque en Italie, on le remarque en Angleterre, au Canada, chez nous, dans les sujets abordés, dans les mesures économiques, dans les propos sur l'austérité. Au Québec, François Legault parle de la loi et de l'ordre. Je vois vos yeux s'agrandir. Il parle de sécurité, il parle du péril de l'immigration. Est-ce que ce n'est pas aussi l'effet Trump, Véronique? Je pense en partie oui.
[03:02:36] Speaker B: Ouais, parce qu'on ramenait ça. Elle, elle a dit que... Ça, je te joue pas là, là, mais elle dit qu'on parle trop des États-Unis, on parle trop de Trump.
[03:02:42] Speaker A: Elle a raison.
[03:02:43] Speaker B: Oui! Oui, elle a raison. Sur certaines choses, là, vous avez fait les...
[03:02:47] Speaker A: Les gros volets sur le budget à Washington. J'en ai rien à foutre. Parle-moi du budget que ça vient carner, 100 milliards. Ça, ça m'intéresse en maudit. Est-ce que Gérard, il nous projette comme déficit? C'est-tu encore 13-14 milliards? On le sait pas trop.
[03:03:01] Speaker C: On le dit souvent, on entend plus parler de Trump Dans les médias, ici.
[03:03:06] Speaker A: Cause États-Unis.
[03:03:06] Speaker C: Cause États-Unis, effectivement.
[03:03:08] Speaker A: Ça, là-dessus, je vais lui donner raison.
[03:03:09] Speaker B: Oui.
[03:03:10] Speaker A: Elle a tout à fait raison là-dessus. Mais la nature horreur du vide, c'est parfait. Trump, il donne la bonne dope aux journalistes paresseux.
[03:03:16] Speaker B: Oui. Puis c'est parce qu'après ça, il utilise Trump. Là, qu'elle disait, il y a un virage à droite, et là, c'est de la faute de Trump. Donc là, tu sais, Legault devient Trump, Carney devient Trump. Toute politique de droite, Toute quelque chose qu'on veut qualifier, en fait, de droite, ça va être Trump. Donc pour le diaboliser, pour pas qu'on le fasse.
[03:03:34] Speaker A: Éric se fera allègrement Trumpifier l'an prochain. Oubliez ça, il le sait aussi. Il l'a été, mais il le sera davantage. Éric va se concentrer sur les régions ici.
[03:03:45] Speaker B: Il devrait se faire taire les cheveux blonds.
[03:03:48] Speaker F: C'est un peu comme la bouée de sauvetage de François Legault qui est un virage vers la droite sans doute influencé un peu par le fédéral qui lui a été influencé un peu par les États-Unis puis aussi par le parti conservateur du Québec sûrement. Puis cette espèce de volonté, moi, je lis dans le nouveau discours de François Legault des deux dernières semaines une volonté qui m'inquiète profondément de vraiment jouer sur la polarisation comme une manière de peut-être aller remonter un peu dans les sondages en disant, bien là, j'ai plus rien à perdre.
[03:04:23] Speaker B: Il y a une stratégie. Une, la première chose, toute droite, c'est inquiétant. À seconde qu'il y a quelque chose de droite, c'est inquiétant, c'est violent.
[03:04:29] Speaker A: Si tu sais qu'on tient, c'est douteux.
[03:04:31] Speaker B: Oui.
[03:04:33] Speaker A: Donc tu fais cinq piastres, Tu peux pas dépenser plus que 5 piastres.
[03:04:38] Speaker B: Alors ça, c'est violent.
[03:04:39] Speaker A: Ça, c'est très violent, là. Ça, c'est ça, la droite, la responsabilité, la rigueur économique. C'est un des dictats de la droite économique traditionnelle.
[03:04:48] Speaker B: Il y a du monde dans les médias qui sont idiots, là, qui comprennent pas c'est quoi à gauche et à droite, mais je pense qu'il y a une stratégie aussi en arrière de ça, là. l'espèce de virage à droite, supposément, de François Legault, c'est de dire, la droite est au pouvoir présentement, donc le prochain gouvernement, on a besoin que ça soit à gauche pour faire changement.
[03:05:04] Speaker A: C'est ça, le 5PQ va arriver, délivrez-nous.
[03:05:07] Speaker C: Parce qu'à ce temps-là, il y a juste un élément qui dicte si t'es de gauche ou de droite, c'est ton opinion sur l'immigration. Peu importe ce que tu penses économique...
[03:05:17] Speaker A: Oui, les coupeux, eux autres, ils sont beaucoup là-dedans, les coupeux. Oui, mais on a trois gageurs, Dan! On a trop engagé.
[03:05:22] Speaker C: Non, je sais, mais c'est ce que tu penses de l'immigration. Si toi, t'es pour la sociale-démocratie au maximum, le quasi-communisme, mais que t'es contre l'immigration, t'es d'extrême-droite, là. Oui. Sophie Durocher, c'est d'extrême-droite, d'homme.
[03:05:38] Speaker A: Qu'est-ce qu'elle a dit?
[03:05:39] Speaker C: Ben, elle s'en fait juste questionner l'immigration.
[03:05:42] Speaker A: Il faut le questionner l'immigration, mais PSPP même le fait. PSPP le fait beaucoup. À leurs yeux, donc, le PQ c'est quoi?
[03:05:49] Speaker C: C'est l'extrême droite.
[03:05:51] Speaker A: C'est très, très social-démocrate et écolo.
[03:05:53] Speaker B: Pour les QS, c'est l'extrême droite.
[03:05:56] Speaker C: Je te le jure, les tours sur les pages Facebook que je vais faire pour le Big Dan, Paul Saint-Pierre-Plamondon, c'est Adolf Hitler.
[03:06:05] Speaker B: Je me suis intéressé pour la première fois, il y a environ 10 ans, au programme de Marine Le Pen en France. Puis là, je regardais, j'étais comme... Apport pour l'immigration, c'est un programme de gauche, là. Économiquement parlant, c'est pas un programme de droite. La droite en France, c'est pas populaire.
[03:06:23] Speaker A: La droite n'existe pas en France. La droite économique, c'est qu'on a fait les libéraux.
[03:06:28] Speaker B: Ça cosit un peu, là.
[03:06:29] Speaker C: Les gars, Trump... Trump, c'est l'extrême droite. Il impose des tarifs qui est une mesure de gauche.
[03:06:34] Speaker B: Ben, c'est ça. En fait, c'est parce que c'est rendu que tout ce qu'on aime pas est à droite. Selon eux autres, c'est le même qui fonctionne. Si on aime pas quelque chose, c'est à droite.
[03:06:45] Speaker A: Mimolisation avec l'antenne publique payée par vos taxes en passant, répétons-le.
[03:06:49] Speaker B: Un p'tit mimosa?
[03:06:50] Speaker C: Ah ben oui! Un lundi sans mimosa, c'est pas un lundi.
[03:06:54] Speaker B: Les syndicats, c'est important.
[03:06:56] Speaker F: Donc d'où l'importance en terminant, Farnell, de rappeler que c'est sain, règle générale, dans une démocratie, d'avoir ces formes-là de contre-pouvoir au gouvernement, comme on disait, et les syndicats en font partie.
[03:07:08] Speaker B: Oui, et je pense que c'est très important de se rappeler... Peu importe dans.
[03:07:12] Speaker F: Quel camp on est.
[03:07:13] Speaker B: Exactement. La démocratie, c'est pas juste aller voter une fois aux quatre ans, puis après ça, s'asseoir et rester tranquille. La démocratie, elle est participative. Notre démocratie nous permet des grands niveaux de participation et d'association, et les syndicats en font potentiellement partie. Mais les syndicats représentent-tu leurs membres?
Toute la fin de semaine, ça a parlé des syndicats, ça dit jamais ça pour eux autres, là. Non, non, la démocratie syndicale, c'est parfait, là. Vous savez, quand un parti politique, un.
[03:07:37] Speaker F: Gouvernement, ne respecte pas son mandat, prend des décisions qu'il n'avait pas présentées dans sa plateforme électorale, puis qu'on est de mauvaise humeur avec ça, on nous dit aux élections, déposez-le, puis choisissez-en un autre. Les syndicats sont éminemment démocratiques. L'exécutif syndical a été choisi par ses membres, puis les membres peuvent le tasser.
[03:07:56] Speaker C: Puis le remplacer par une autre gang.
[03:07:58] Speaker B: À n'importe quel moment. L'exécutif syndical est choisi par les délégués, pas par les membres. Déjà, là, il y a une grosse différence.
[03:08:07] Speaker A: Et quand les syndicats prennent position politique, comme on le sait, ils vont prendre position contre Duhem l'année prochaine, Ont-ils soumis ça à un vote secret des autorités? La réponse est non. Donc, ce n'est pas démocratique.
[03:08:25] Speaker B: Je comprends, vous pouvez le trouver Clounest, là, mais il y a une couple de mois, J.C. avait reçu Rambo. Rambo-Gauthier. Oui. Puis il avait parlé comment ça fonctionnait, comment Magali Picard s'était ramassé là, comment elle était redevante envers certains. Il était target, là. C'est de même que ça marche.
[03:08:40] Speaker A: Ben oui, il est target.
[03:08:42] Speaker B: T'sais, puis d'enlever la possibilité d'utiliser vos cotisations. Boulay, j'espère qu'il lâchera pas là-dessus. Il paraît qu'il se fait dire par ses fonctionnaires « Ouais, va pas là ». Mais d'après moi, en effet, il y a les syndiqués de son bord.
[03:08:56] Speaker A: Rappelons ce qu'il veut faire, c'est qu'il veut empêcher les syndicats d'utiliser les cotisations pour autre chose que les droits des travailleurs. La formule Rennes, elle a été confirmée par les tribunaux. Pour, justement...
[03:09:07] Speaker B: Pour la représentation.
[03:09:09] Speaker A: C'est ça. Donner les moyens au syndicat de négocier des conditions communes à l'intérieur d'une boîte de données.
[03:09:13] Speaker B: Oui.
[03:09:14] Speaker A: Si, par exemple, on est syndiqué ici, puis moi, je suis protégé par la convention, mais il faut que je cotise au syndicat qui a négocié cette convention-là. Je comprends le principe. Mais Boulay veut, justement, mettre un couteau... Ah! Que c'est violent! Il va mettre le couperet là-dedans. Mais que c'est violent!
[03:09:34] Speaker C: Ben moi c'est Magalie que je trouve violente. En fait, à toutes les fois que.
[03:09:38] Speaker A: Je la vois, t'es lée, je t'empare de lui.
[03:09:41] Speaker C: Bien, c'est ça, je suis micro-agressé par son arrogance.
[03:09:45] Speaker B: Je termine sur un extrait, parce que là, c'est le nouvel argument de la gauche. Bon, bien, si on fait ça pour le syndicat, il faut aussi le faire pour le gouvernement. Mais de la même façon...
[03:09:52] Speaker F: Le processus serait démocratique au sein du syndicat, c'est pour ça qu'on peut faire certains parallèles avec le gouvernement. Et là, on pourrait s'amuser à virer tout ça à l'envers et s'imaginer ce qui se passerait si on appliquait cette même logique-là au gouvernement lui-même.
[03:10:06] Speaker B: Mais je pense que ça illustre exactement très bien la difficulté. C'est que le gouvernement dit, ah, bien, si les syndicats agissent à l'intérieur de ce que nous, le gouvernement, on décide d'être leur mission principale, on va rendre les cotisations optionnelles. Bien, si on vire ça de bord, si moi, je dis... Moi, je crois pas que c'est dans la mission primaire du gouvernement de faire des campagnes publicitaires contre la cigarette, par exemple. Alors, moi, je pense pas que c'est là-dedans. Alors, je veux retirer une partie des impôts que je paye au gouvernement parce que, bien, je pense pas que ça rentre dans la mission principale. C'est qui qui...
Ben exactement, ça devient un peu ridicule très rapidement. Ben tu sais de quoi moi j'embarque?
[03:10:40] Speaker C: Moi aussi.
[03:10:41] Speaker B: Anytime!
Lui trouve ça ridicule, moi j'embarque. J'veux ça.
[03:10:46] Speaker C: Si vous voulez faire des pubs anti-cigarettes, là, vous faites des OBNL, pis vous ramassez des dons.
[03:10:52] Speaker A: C'est ça.
[03:10:53] Speaker B: Ces gens-là trouvent ça ridicule, la démocratie.
[03:10:55] Speaker A: Vive le gouvernement minimaliste, toi.
[03:10:56] Speaker C: Et voilà.
[03:10:57] Speaker B: C'est le même gars qui disait que la démocratie, c'est pas juste une fois au 4M, là. Il dit non non, on peut pas commencer à choisir sur tout ce que le gouvernement dépense. Oui. Go. Surtout quand c'est des grosses dépenses, on commence par les grosses, là. Mais go. Moi je veux qu'on se prononce plus souvent.
[03:11:12] Speaker A: Le plus petit gouvernement possible qui s'occupe du peu de choses qu'on peut mettre sur une... essentielles, des choses essentielles. La gestion de la loi.
[03:11:22] Speaker C: Les routes.
[03:11:23] Speaker A: Les routes. La santé.
[03:11:26] Speaker C: Choisir.
[03:11:26] Speaker A: Avec un système universel, moi je crois ça.
[03:11:28] Speaker C: Bien choisir les contractants.
[03:11:31] Speaker B: Mais c'est parce qu'eux autres, ils veulent que ça soit le gouvernement puis les syndicats qui décèdent ensemble. Pour nous autres.
[03:11:35] Speaker C: Ça va être correct.
[03:11:36] Speaker A: Ça va être bien, bien, bien correct. On peut aller à la pause. J'aimerais ça faire le micro-ondes en revenant parce que je traîne beaucoup d'extraits. On peut-tu faire ça et après c'est Snake?
[03:11:45] Speaker B: Ouais.
[03:11:46] Speaker A: Non? Ok. Ben... Y peux-tu? Vérifie ça.
[03:11:49] Speaker B: Ok.
[03:11:50] Speaker E: Ouais.
[03:11:50] Speaker A: On check ça. C'est soit Snake ou soit micro-ondes ou soit micro-ondes et Snake. C'est bonnet blanc, blanc bonnet au retour.
[03:11:58] Speaker F: Et.
[03:12:05] Speaker B: Tu pourrais gagner un forfait en.
[03:12:10] Speaker C: Occupation quadruple d'une valeur de 2400 $.
[03:12:13] Speaker B: Pour la première édition du Tailgate légendaire du PP Tour. Une présentation de G-Stock.
[03:12:22] Speaker C: Tu veux partir à New York voir les Packers de Green Bay affronter les Giants? PP Allez, choix Radio X Rêves sportifs et Linux t'envoie vivre le PP Tour 2025, un voyage de 4 jours pour 4 personnes, présenté par G-Stock. Le trip sportif sera du 14 au 17 novembre. Participe au concours ou achète tes forfaits au radiox.com.
[03:12:46] Speaker B: Radio X.
[03:12:47] Speaker A: Le groupe nanook.ca, n-a-n-u-u-q.ca, pour la toiture de votre résidence, rénovation intérieure, rénovation extérieure, avec tous les services, les toitures, les toits plats, toiture de bardeau, etc., on les appelle pour une soumission. Oui, vous pouvez demander votre soumission, bien entendu.
sur le site internet, mais appelez donc, ils vont venir. Là, je suis en train de regarder les types de bardo, il y en a des beaux à dispêcher. C'est sûr que quand tu mets rouge patriotique, c'est rouge longtemps. Moi, j'aurais pas mis ça sur ma maison, mais si votre maison, elle s'apprête à ça, ça s'appelle rouge patriotique, Dan. Moi, c'est charbon. Vous pouvez y aller dans Boulot. J'aime ça, les noms. Les noms qu'on donne aux bardos. Vert chasseur. Ouais, mais...
Un chasseur sachant chasser son chien. Il est dans le bois, donc c'est vers forêt. C'est vraiment exceptionnel ce que fait Nanook avec la meilleure qualité de matériaux. Vous pouvez leur faire confiance et bien sûr, il y a des possibilités de financement. Le groupe Nanook, N-A-N-U-U-Q.
[03:13:57] Speaker B: Alors aujourd'hui, on a Johan qui nous demande... Le mid-century, est-ce que c'est juste une mode ou ça va rester ça? Ah, le mid, c'est mid.
[03:14:08] Speaker A: C'est moyen, c'est ça.
[03:14:09] Speaker B: C'est très moyen. Comme son nom l'indique, c'est mid.
[03:14:12] Speaker A: C'est-à-dire que ça va rester moyen.
[03:14:15] Speaker B: Ouais, fait que tu le sais pas finalement. Non, mais les taxes sont payantes en ce moment, ça je le sais. Jusqu'à dimanche, on paie les deux taxes sur tous les meubles et matelas à prix régulier. Meubles RD, bien se meubler, moins dépenser.
[03:14:27] Speaker C: Je vous parle rapidement des Stingers de Concordia. Vous vous dites, voyons, ce qu'il fait lui nous parler des Stingers de Concordia. Ils se sont fait planter 52-2 en fin de semaine.
à peine été. Ils seront de passage au stade Ténus. C'est dimanche prochain et nous y serons également toute la gang de Radio X. On vous invite à vous procurer votre faire-faire du tailgate Radio X pour venir voir le Rouge et Or contre les Stingers de Concordia dimanche. 45$, 45$ oui, t'as des billets pour le match. T'as un billet pour le match. Mais en plus, t'as de la bière, offert par Ralbok, pointe de pizza Stratos Pizzeria, ring sportif qui t'offre le hot dog, un demi-sandwich au smoked meat de Brin Smoked Meat, morceaux de poulet frit, de déxylie, bouchées sucrées d'équilibre traiteur et la dégustation d'alcool qui est offerte par la distillerie, si t'en as connait, tu vas au boutique.radiox.com. Fais vite, les quantités sont limitées, toute la gang de Radio X, on se voit pour un beau dimanche matin ensoleillé, ça se passe au Stade Télus le 5 octobre.
[03:15:28] Speaker F: Je sais qu'avoir des problèmes de crédit, c'est pas l'idéal quand t'as besoin d'un financement auto. Mais savais-tu que chez Groupe Sayonto Crédit, les problèmes de crédit, c'est notre spécialité? Pour ta nouvelle auto, adresse-toi à des pros. Parce que nous, notre force, c'est le crédit. GroupeSayontoCredit.com. Il paraît que pour retenir un mot, faut le répéter au moins cinq fois. Groupe Sayonto Crédit. Groupe Sayonto Crédit. Groupe Sayonto Crédit. Groupe Sayonto Crédit. Groupe Sayonto Crédit. L'avez-vous retenu? Pour ta nouvelle auto, adresse-toi à des pros. Parce que nous, notre force, c'est le crédit. Groupe Sayonto Crédit.com. Jusqu'à jeudi, chez PharmaPrix, obtenez 20 fois les points PC Optimum à l'achat de 75 $ ou plus de produits de beauté, valables en magasin et en ligne. Encore une facture d'électricité qui explose!
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[03:17:37] Speaker F: Allô! C'est Marie de l'Entrepôt de la Rénault. Venez découvrir notre nouveau local à Québec. Avec 50 000 pieds carrés, c'est sûr qu'on va avoir de la place pour vous accueillir. Les dernières tendances, moins cher qu'en quinquennie. L'Entrepôt de la Rénault, 90-30 John Simon, sorti Chauveau sur Enrica.
[03:17:53] Speaker B: Vous êtes propriétaire d'une entreprise et avez.
[03:17:54] Speaker A: À coeur de bien la protéger?
[03:17:56] Speaker B: Promutuelle Assurance est là pour ça. Faites comme plus de 60 000 entreprises au Québec. Profitez d'un allié de confiance là pour ça.
[03:18:04] Speaker A: Promutuelle Assurance et la la la la la la la!
[03:18:09] Speaker B: Chouette, ça fait ben quand c'est le.
[03:18:11] Speaker D: Temps de venir crier, quand c'est le temps de venir dénoncer, quand c'est le temps de sortir des affaires.
[03:18:15] Speaker B: Éric Caire, qui était chroniqueur, qui gueulait à tout vent.
[03:18:18] Speaker A: Régis Labeaume, qui était chroniqueur.
[03:18:21] Speaker B: Ah, là, ça faisait ben.
[03:18:22] Speaker A: Quand c'est le temps de licher le.
[03:18:23] Speaker E: Cul de tout le monde, chouette, ça fait bien.
[03:18:25] Speaker A: Fait que moi, le PPP, la petite.
[03:18:28] Speaker B: Politique pathétique, je suis un peu tanné.
Radio X.
[03:18:36] Speaker F: Présenté par l'Entrepôt de la Réno. Pour vos Réno au meilleur prix, on vous attend maintenant au 9030 rue John Simons, coin Henri IV et rue Jean H. Kruger, Trois-Rivières. Entrepôt de la Réno.com.
[03:18:47] Speaker B: Choua.
[03:18:48] Speaker F: Choua.
[03:18:49] Speaker B: Oh yeah! 98.
[03:18:51] Speaker E: 98.
[03:18:52] Speaker B: Un.
[03:18:52] Speaker F: La fameuse.
[03:18:53] Speaker A: L'original.
[03:18:54] Speaker B: Choua.
[03:18:54] Speaker F: Choua.
[03:18:55] Speaker B: Choua. Radio X. À Québec, c'est Radio X. Choua. Choua.
[03:19:00] Speaker F: Radio X.
[03:19:02] Speaker B: C'est vous.
[03:19:03] Speaker F: C'est drôle.
[03:19:03] Speaker B: Votre propre opinion.
[03:19:08] Speaker F: Avec Dominique Morin.
[03:19:10] Speaker A: Nous sommes profondément désolés.
[03:19:15] Speaker F: Radio X.
[03:19:18] Speaker A: Salut Snake, comment ça va?
[03:19:20] Speaker E: Ça va bien, merci et toi?
[03:19:21] Speaker A: Le serpent?
[03:19:23] Speaker E: Bien oui.
[03:19:24] Speaker A: Parle-moi de ton podcast, finalement, parce que j'ai entendu Louis Morissette parler des podcasts de sport en général. Et on est tous contents d'apprendre qu'il y a de la diversité, il y a du contenu, c'est ça qu'on veut. Parle-nous de ton podcast avec Brunet. T'es content?
[03:19:42] Speaker E: Oui, je suis très content. Ça s'appelle Mathias et le serpent. Et puis sur la plateforme de Cahotsport. Et puis on est très contents. On a deux épisodes de fait. On en enregistre un autre aujourd'hui. Le premier épisode, toute la plateforme qu'on fondue a franchi la barre des 100 000 auditeurs.
[03:19:58] Speaker B: Wow!
[03:19:59] Speaker E: Et il semblerait que dans le monde des podcasts au Québec, c'est quand même un chiffre qui est très élevé.
[03:20:04] Speaker A: Très bon.
[03:20:05] Speaker E: Alors, on est bien content.
[03:20:06] Speaker A: C'est le vidéo que cire, hein, Snake? C'est le vidéo, là.
[03:20:10] Speaker E: Oui, c'est ça, maintenant. C'est drôle, parce que moi, j'avais commencé un podcast avec Mathias en 2013. On a fait quelques épisodes, et moi, je les avais mis sur YouTube, mais audio seulement.
Puis il y a des auditeurs qui me disaient « Ah, YouTube, c'est pas fait pour les podcasts ». Et c'est drôle parce qu'aujourd'hui, maintenant qu'on peut voir les gens, Les studios ont des décors de plus en plus sophistiqués, puis c'est quasiment comme la télé.
[03:20:37] Speaker A: J'ai demandé des caméras ici, ça a l'air d'être bien compliqué. On a des caméras qui ne sont pas branchées. Ils parlent de ça peut-être un jour. Je demandais ça. Ce serait peut-être bon, Montréal Live, le shoot et l'écouter à Québec. Je demandais ce qui soit filmé peut-être d'ici 2035.
[03:20:54] Speaker E: Oui, parce qu'il y a beaucoup de postes de radio maintenant qui font ça. Puis nous autres, regarde, on a quatre caméras dans le studio. Ça fait que je pense que c'est vers ça qu'on s'en va. Notre taux d'histoire, je peux te dire, est très jeune parce que je croise beaucoup de gens dans toutes sortes de commerces ou dans n'importe où. Et puis les gens qui m'arrêtent, je dois te dire, c'est pratiquement tous des moins de 40 ans.
[03:21:18] Speaker A: Ça, c'est une très bonne nouvelle.
[03:21:20] Speaker E: Oui, oui, oui, ça c'est sûr parce qu'on sait tous qu'en général... Faut que tu renouvelles l'auditoire.
[03:21:25] Speaker A: Faut que tu renouvelles l'auditoire. Les TVA, ça c'est fini. Game over.
[03:21:29] Speaker E: Les business, en général, dont la clientèle a une moyenne d'âge de 60 ans, à part, évidemment, si tu parles des RPA et des trucs comme ça, des trucs vraiment destinés aux personnes âgées, en général, c'est pas bon signe pour l'avenir quand ta moyenne d'âge... C'est ça.
[03:21:46] Speaker A: Très content de te parler. Justement, tu vas parler de quoi dans ton podcast? Vous allez allumer sur quoi, là, avec ton shop brunel?
[03:21:53] Speaker E: Aujourd'hui, ce qu'on va faire, on va discuter de l'importance des camps d'entraînement, et surtout des matchs pré-saison.
[03:22:02] Speaker B: Pas des camps d'entraînement, mais des matchs pré-saison.
[03:22:03] Speaker A: On plonge là-dedans. On plonge là-dedans. Mon opinion, il y en a trop. Et hier, on l'a vu, d'ailleurs, au Centre Vidéotron, avec un match absolument soporifique, où ça a été un split-squad. Split-squad, je pense que les Devils, ils jouaient contre les Highlanders au même moment. Donc on s'est ramassés avec quasiment de la viande à varier. Des joueurs dont on n'avait jamais entendu parler. Des joueurs dont certains, peut-être, étaient même recherchés par leur propre famille. Je veux dire, à un moment donné, ça devient insultant, pareil, Snake, pour vrai. Je pense qu'il y en a trop et ça vient avec un risque de blessure et résultat. On parlera de Ryan Baker dans quelques minutes.
[03:22:38] Speaker E: Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha!
[03:22:43] Speaker A: Ha!
[03:22:43] Speaker B: Ha!
[03:22:43] Speaker A: Ha!
[03:22:43] Speaker E: Ha!
[03:22:43] Speaker A: Ha! Ha!
[03:22:44] Speaker E: Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha.
[03:22:57] Speaker A: Oui, les gars prenaient de la bière et ils jouaient avec les chevaliers au kif, contre les chevaliers au kif.
[03:23:03] Speaker E: Oui, il y en a qui avaient une autre job. Il y en a qui avaient une autre job.
[03:23:05] Speaker A: Ben oui, il utilisait ça pour s'entraîner, sauf que les kids s'entraînent cinq fois semaine en juillet.
[03:23:15] Speaker E: Moi là, puis tu sais l'affaire de la bataille pour les postes de quatrième trio, puis de... Regarde là, avec les contrats garantis, le plafond salarial, les alignements sont pratiquement faits. Oui, on décide des fois du 13e, 14e attaquant, 7e défenseur avec le grand entraînement, mais qu'est-ce qui... Who cares là dans le fond? Mettons là, tu gardes un joueur X, puis tu cèdes à la filiale un joueur Y. OK, il commence cette année le joueur X. Au bout de trois semaines, tu changes d'idée. Tu rappelles le joueur Y, puis t'envoies le joueur X des mineurs. T'sais, t'as pas besoin d'un camp d'entraînement. Les alignements sont pas coulés dans le béton. T'sais, l'alignement que le Canadien va présenter la semaine prochaine à Toronto, ça sera pas un alignement coulé dans le béton. Il pourrait changer deux semaines plus tard. Fait que c'est pour ça que moi, ce que je ferais, je ferais deux matchs pré-saison, mais deux vrais, dans le sens que les alignements complets, pour au moins que les gars aient un peu le bite de jouer. Mais regarde, dans la NFL, il y a des clubs depuis quelques années, les Rams de Los Angeles en passant, ils font même pas jouer les réguliers du tout. Tu sais, avant les matchs de pré-saison, les réguliers jouaient peut-être un quart ou des fois une demi. Là, maintenant, il y a souvent des matchs complets où il n'y a pas de réguliers. Tu regardes les statistiques à la fin, c'est tous des agents libres non repêchés, des choix de septème ronde. C'est ça, les alignements de la NFL. Alors pourquoi le hockey, c'est encore l'idée de jouer des... Là, c'est six matchs, là, au moins, mais il y a déjà eu huit du match.
[03:24:45] Speaker A: Là, on risque de te payer cher avec les Canadiens. Là, Dobson, on dit que c'est D-to-D, mais Reinbacher, le monsieur en plaute, le monsieur en porcelaine, non?
[03:24:54] Speaker E: Oui, oui, oui.
[03:24:56] Speaker A: Moi, je te le dis, on aurait dû prendre Michikov.
Tu l'avais dit.
[03:25:01] Speaker E: Je l'ai tout le temps dit. Je l'ai tout le temps dit.
[03:25:02] Speaker A: Mais oui!
[03:25:03] Speaker E: Je déteste pas le choix de Randenbacher, mais il en demeure pour moi que quand t'as un talent comme Mishkov, tu le prends. Je comprends...
[03:25:09] Speaker A: C'est qui qui a fait la gaffe? On fait un procès là-bas.
[03:25:13] Speaker E: Regarde, les Canadiens en voulaient pas parce qu'il y avait pas une bonne... La guerre. Non, il y avait pas une bonne attitude supposément. Parce qu'ils ont pris des mid-off l'année d'après. Le père de Bob Roves travaille pour cette équipe-là. Nick Bobrov, qui est le recruteur-chef du Canadien. Alors eux avaient décidé que ça faisait pas partie de la culture de l'équipe. OK, correct. Mais il y en avait un pour moins que tu passes à côté d'un talent. Puis moi, mon opinion à l'époque, elle était... OK, peut-être que c'est vrai que le jeune, il est fatigué avec ses coéquipiers, il y avait toutes sortes d'histoires qui circulaient.
Mais tu sais, quand t'arrives dans la ligne nationale, il arrive à Philadelphie, lui, penses-tu qu'un gars comme Charles Couturier, qui a, quoi, presque 15 ans d'expérience, va se laisser impressionner par un petit gars de 18 ans? Pense pas. Fait que c'est Michkov, là, je pense qu'à Philadelphie, là, il rentre dans le rang.
T'sais, c'est ça qu'il faut se fier à ça. Un gars de 17 ans, 18 ans, souvent, ça en dit des niaiseries, puis ça en fait des niaiseries, puis j'en ai fait. Puis t'sais, je veux dire, tout le monde en a fait à ce stage-là. Mais on dirait qu'on veut avoir déjà... un produit fini. Oui, des pères de famille de 4 enfants de 35 ans à 18 ans.
[03:26:21] Speaker A: C'est ça, t'as raison. Et Ryan Bakker, qu'est-ce qu'on a vu en lui? Qu'est-ce qu'on a vu en lui? Parce que... Il donne l'impression d'un Robinson qui est peureux.
[03:26:33] Speaker E: Moi, c'est drôle comme comparaison, c'est intéressant. Moi, je l'aimais bien, Anne Bacard. Je n'avais pas de problème avec le choix. Je ne crois pas que c'est un mauvais choix. C'est un gars costaud qui transportait la rondelle, qui n'était pas nécessairement un killmaker, mais qui transportait la rondelle, qui était une présence imposante sur la glace, qui avait un bon physique. Puis sa saison de repêchage, j'avais trouvé qu'il démontrait quelque chose. Après ça, je pense que le Canadien a voulu lui éviter la controverse à cause de Mishkov et tout, et on l'a retourné dans son pays. Puis là, ça a mal été. Il y a eu des changements de coach. Peut-être qu'Aaron Baker, cette année-là, il aurait été mieux à Laval. Puis qu'on facifie du fait qu'on fait les comparaisons avec Mishkov. Non, tu l'envoies à Laval, puis peut-être ça aurait été mieux pour lui. Parce qu'il y a eu une saison assez tumultueuse en Europe.
Et là, après ça, il arrive l'année passée, malchanceux, il se blesse pour la saison, presque. Fait que là, est-ce qu'on se dirige vers une situation où on va constamment dire, ah, bien, il était blessé, donnez-lui du temps, c'est un jeune défenseur. Il a été blessé, donnez-lui du temps, c'est un jeune défenseur. Il y a des analystes qui sont spécialistes de ça. Y'a Spiric, Otkaniemi, là, il y en a qui ont abandonné seulement l'année passée. OK? Alors que moi, au bout d'à peu près un an... Oui, alors moi, au bout d'un... Ben moi, c'était Queen U, c'est mon choix, mais Ketchup aussi aurait été un bon choix. Par contre, pour être honnête, je me souviens qu'il y avait bien des analystes et des fans à Montréal, et des commentateurs qui voulaient Philippe Zedina, des moussettes d'Halifax. Fait qu'il faut quand même, là... C'est pas top, là.
[03:28:12] Speaker A: Underachiever.
[03:28:13] Speaker E: Ah, big time. Fait que, t'sais, c'est pour ça que l'affaire de Renne Backer, t'sais, pendant combien de temps on va entendre dire que non, il est blessé, il est blessé, il est blessé? Bon, il va falloir qu'à un moment donné, il produise. Moi, la fin de la saison à Laval, je l'ai pas détesté. Je trouvais que c'était bien débrouillé. Mais là, c'est encore un autre mot qui perd dans son développement. Il a 21 ans. C'est un âge crucial pour le développement d'un joueur.
[03:28:34] Speaker A: Certains vont dire, un défenseur, on peut attendre jusqu'à 22, 23, peut-être.
[03:28:39] Speaker E: Oui, oui, oui, c'est vrai. C'est vrai. Moi, là, ce que je vise pour lui, s'il peut devenir un top 4... Oui, c'est ça.
[03:28:46] Speaker A: Moins de Nellé-Loup.
[03:28:46] Speaker E: C'est la deuxième part. Puis être capable de jouer 60-70, 60-75 matchs par match. je pense que ça va être correct. Parce que si tu regardes, en 2023, les défenseurs qui ont été choisis après lui, en premier round, il y a personne qui a percé. Fait que je sais que c'est pas une excuse, là, de comparer, mettons, quelqu'un qui réussit pas avec quelqu'un qui réussit pas. C'est pas une excuse, t'sais. C'est comme le gars à l'école qui dit il a eu 58.
[03:29:10] Speaker C: Ah oui, mais c'est pas grave.
[03:29:12] Speaker E: Mes chums ont eu 51, t'sais. Fait que non, non. Mais il faut quand même être... Moi, j'essaie d'être toujours le plus objectif possible. Puis je te dirais qu'en ce moment, il est vraiment trop tôt pour lancer la pierre. Mais pour moi, Michikov, tu ne passes pas à côté d'un gars comme Michikov, à moins que tu entendes dire quelque chose d'épouvantable à son sujet. Mais je ne pense pas qu'il y avait quelque chose d'épouvantable à son sujet.
[03:29:33] Speaker A: Je le sais, je le sais. Dan, tu as en main la liste des joueurs de 23 ans et moins. les plus performants dans la Ligue nationale. On peut peut-être regarder ça. Puis je vais vérifier auprès de Snake s'il est d'accord avec la liste dans le top 5. Ça serait quoi, Dan?
[03:29:47] Speaker C: Bien, le top 5, on dit que c'est Mishkov, Johnston, Hudson, Celebrini, Bédard. Moi, je mettrais Celebrini avant Bédard, mais... Oui.
[03:29:56] Speaker A: Le ranking, es-tu pas payé?
[03:29:58] Speaker E: Qu'est-ce que c'est, l'ordre? Peux-tu me relire l'ordre? Tu vas me lire dans l'ordre?
Regarde, il faudrait que je regarde vraiment ça puis te dis s'il y en aurait d'autres qui feraient une incursion dans la liste des meilleurs joueurs.
[03:30:18] Speaker A: Ben, je te pose une question précise, Bédard, ça va-tu décoller un moment donné?
[03:30:22] Speaker E: Bon, ben voilà, je m'en lais là-dessus. Moi, c'est Celebrini numéro un. Moi, je pense que Celebrini, d'ici quelques années, va devenir... T'sais, quand Caller McDavid, le temps va le rattraper à un moment donné. Il est humain comme tout le monde. Je pense qu'à un moment donné, McClint Celebrini va devenir le meilleur joueur de la Ligue nationale.
[03:30:35] Speaker B: Ah oui?
[03:30:36] Speaker E: Oui.
[03:30:37] Speaker A: Est-ce qu'il va être dans la même phrase que McDavid?
[03:30:39] Speaker E: Non, non, ben non. Mais il n'y a personne qui est dans ma classe.
[03:30:42] Speaker A: Mais dans la classe de McKinnon?
[03:30:45] Speaker E: Ouais, ouais, certainement. Bon, est-ce qu'il va faire autant de points? Je ne sais pas combien de points ce gars-là va faire. Ça, j'ai toujours été intrigué là-dessus, puis c'est pour ça que je suis pas un bon bouleur, là. J'ai toujours été intrigué. Mais au point de vue utilité, au point de vue jeu complet, marquer les buts importants, être là en série, Moi, je vois McLean Celebrini comme une icône dans la Ligue nationale pendant quelques années.
[03:31:11] Speaker C: Il faut qu'il aille se chercher des euros. Il va manger de la sauce tomate basilic cet hiver, lui. Il va aller en Italie. En gros, c'est ça que je veux, t'sais.
[03:31:18] Speaker A: C'est pas sûr qu'il va y aller, moi.
[03:31:20] Speaker E: Pour répondre à ta question, je mets dehors. Bédard, il y a deux saisons de jouée. Il approche de sa saison de 20 ans. Donc, pour le commun des mortels, Bédard, normalement, devrait commencer sa carrière dans la Ligue américaine. OK? Ça, c'est pour le commun des mortels. Il n'y a pas grand monde qui joue à 18 et 19 ans. Le problème avec Bédard, je te dirais, c'est qu'évidemment, il est extrêmement mal entouré. Chicago, volontairement, s'est monté une équipe de derrière pendant quelques années pour pouvoir repêcher haut, correct. À un moment donné, il va falloir, par contre, qu'on fasse les gestes pour le...
[03:31:54] Speaker A: Ils font jouer avec des Bond-Fontaine.
[03:31:55] Speaker E: Oui, c'est ça. Bon, cependant, Bond-Fontaine ou pas, OK? Maxence Elbrini, l'année passée, il n'est pas joué avec des grands joueurs non plus. Bond-Fontaine ou pas, Connor Bédard, je pense que c'est un gars, puis je l'avais dit à l'époque, puis je m'étais fait rentrer dedans, je pense que c'est un gars qui a été vu comme générationnel, alors que ce n'était pas un générationnel, c'était un excellent joueur.
Et c'est surtout un excellent marqueur. Il a un arsenal de tirs qui, d'après moi, est dans le top 5 de la ligne nationale déjà. Mais ce n'est pas le gars le plus rapide, considérant sa grandeur.
[03:32:31] Speaker A: Il a des bonnes mains, comme disait Joe Canale.
[03:32:34] Speaker E: Il a des bonnes mains. Il n'a pas un physique très imposant pour un joueur de centre. Est-ce qu'on va le laisser au centre toute sa carrière? Je ne le sais pas.
Moi, je pense qu'il va faire un bon travail.
[03:32:45] Speaker A: C'est Nick Crosby qui n'était pas très imposant comme joueur de centre quand il est devenu capitaine.
[03:32:48] Speaker E: Oui, mais Nick Crosby, à l'époque de Rimouski, il avait des jambes et des cuisses comme des troncs d'arbre.
[03:32:54] Speaker A: C'est vrai. On est obligé de te laisser, mon cher Smith. Ceci n'est pas un podcast. Malheureusement, on est en mode podcast et on voudrait se parler jusqu'à midi. Mais ce n'est pas le cas. Mais on se reparle assurément. Puis bon succès avec ton podcast et on se reparle. Merci beaucoup. Snake Boisvert. Pause, micro-ondes spéciales, Zemmour, on retourne.
[03:33:15] Speaker B: Moray live. Pourquoi pas Radio X. Recurez-vous votre forfait pour le tailgate Radio X.
[03:33:28] Speaker F: Radio X.
[03:33:30] Speaker B: Pour le match contre les Stingers de Concordia, le dimanche 5 octobre. Pour 45 $ plus taxe, le forfait comprend ton billet pour le match, une bière de Rhalbock, une pointe de pizza de Stratos Pizzeria, un hot dog offert par Rêves Sportifs, un demi-sandwich Smoked Meat de Brin Smoked Meat, un morceau de foulet frit d'ixili, une bouchée sucrée d'équilibre traiteur et une dégustation de la dessierie Stadacone. Achetez votre forfait au boutique.radioix.com. Faites vite, quantité limitée. Une collaboration Antirui Crown. Trouve le centre le plus près au crown.com.
André vient de vendre facilement et en moins de 48 heures son bloc à airfortin.com. Et la vente s'est conclue sans conditions ni garanties légales, devant notaire.
[03:34:15] Speaker C: Oui, oui, devant notaire.
[03:34:17] Speaker B: Sans aucune complication.
[03:34:19] Speaker C: Et sans commission ni rénovation.
[03:34:21] Speaker A: Vite de même.
[03:34:22] Speaker B: Vite de même. Pour votre bloc, maison ou terrain, demandez votre offre d'achat en ligne sur airfortin.com. Et vous allez vendre, vous aussi, vite de même.
[03:34:31] Speaker F: Lui qui vole, achetez ton bloc. Airfortin.com. Yes!
[03:34:36] Speaker B: L'embarquement pour le vol 246 à destination de Montréal est retardé de 50 minutes.
[03:34:41] Speaker A: Ah ben là!
[03:34:43] Speaker B: On dirait que c'est l'heure d'Ojo! Play Ojo? Bonne idée! Profitez de tous vos jeux préférés comme Wolf Gold et Joker's Jewels et des jeux exclusifs que vous ne trouverez nulle part ailleurs. Wouhou! J'ai gagné!
[03:34:55] Speaker F: Sentir le plaisir, Play Ojo!
[03:34:58] Speaker B: L'embarquement commencera dès que les passagers auront fini de célébrer. Ouvert à tous les joueurs de 18 ans et plus, il ne s'agit pas d'un site de jeu. Veuillez jouer de manière responsable.
[03:35:06] Speaker F: Quand on roule dans un milieu de vie, il y a du monde à pied, en auto, en vélo, en camion. Bref, c'est important d'adapter sa conduite. Effectivement, madame Levac. C'est pourquoi je ralentis, je reste attentive et j'évite les distinctions telles que le téléphone cellulaire ou l'écran tactile de mon véhicule. Wow! Réponse parfaite. Avec un Madame Lévesque en plus. Coudon, avez-vous des défauts, vous? Il m'arrive d'oublier les noms, Madame Lévesque. Ah, pas grave. Vous protégez les usagers vulnérables dans les milieux de vie. Merci, Madame Laflaque. Ah, ben oui, toi c'est Anna. La Sécurité routière, j'embarque. Un message du gouvernement du Québec.
[03:35:36] Speaker A: Centrale pneu et mécanique recrute des mécaniciens qualifiés pour ces trois succursales de l'ancienne Lorette et Cap Rouge. Tu cherches un meilleur salaire? Un nouveau défi? T'es tanné de travailler de soir? Chez Centrale Pneus et Mécaniques, on accote tes vacances, ton salaire et on t'offre un horaire adapté à tes besoins. On respecte ton expérience et ton ancienneté. Tu veux faire juste de l'alignement automobile ou du diagnostic électrique? On t'offre un poste qui correspond à tes intérêts. Si vous ne perdez pas de temps, contactez-nous au pneucentral.ca ou passez-nous voir en succursale. Le Massey Ferguson 1GC, c'est le tracteur compact qu'il vous faut. Robuste, hyper confortable, il fait tout. Chargé, creusé, déneigé à partir de 53 $ par semaine, zéro comptant et 10 ans de garantie. Venez l'essayer chez SAServiceagricole, saserviceagricole.ca.
[03:36:22] Speaker B: Quand j'avais des douleurs aux genoux, j'en parlais à tout le monde, à mes collègues, Bonjour tout le monde, j'ai mal au genou.
[03:36:27] Speaker G: À mon chien, j'ai mal au genou.
[03:36:30] Speaker A: Mais le mieux, c'est d'en parler à.
[03:36:31] Speaker G: Son médecin et de demander Sengal.
[03:36:33] Speaker B: Le seul traitement qui, en une seule.
[03:36:35] Speaker G: Injection, agit rapidement et soulage à long.
[03:36:37] Speaker B: Terme les douleurs causées par l'arthrose du genou. Allez sur sengal.ca afin de localiser une clinique.
[03:36:44] Speaker A: Sengal.
[03:36:44] Speaker B: Pour ne plus parler de vos douleurs.
[03:36:45] Speaker G: Au genou, parlez-en à votre médecin.
[03:36:47] Speaker B: Sengal peut ne pas convenir à tout le monde.
[03:36:49] Speaker G: Si vous avez des questions relativement à ce produit, consultez votre médecin.
[03:36:51] Speaker B: Couvre-Plancher Orléans fête ses 50 ans. Épargner 25 % sur les flottants, vinyles, céramiques, tapis et plus. Rabais-surprise jusqu'à 50 % sur la peinture Benjamin Moix. Épargner aussi sur le vinyle flottant Torlis. Service de déco et d'installation offert chez Couvre-Plancher Orléans. Salut, moi c'est Martin. J'ai une hernie discale. C'est tellement douloureux que je multiplie les visites à l'urgence, les absences au travail, puis je peux même plus jouer au hockey comme avant. Mettons que je trouve le temps long.
[03:37:19] Speaker C: Martin était bien découragé. Mais l'espoir est revenu depuis qu'il a consulté les professionnels du centre de correction vertébrale. Grâce à la décompression discale, Martin a repris sa vie là où il l'avait laissée.
[03:37:30] Speaker B: Croyez-moi, le centre de correction vertébrale, c'est la clé pour votre santé.
[03:37:34] Speaker C: À Sainte-Foy-Lévis-Pont-Rouge et au centre cvq.com.
[03:37:38] Speaker F: Dernet, c'est une grande famille de plus de 200 passionnés qui, en prenant grand soin de votre véhicule, prennent d'abord soin de tous ceux qui montent à son bord. Parce que rouler en confiance et en sécurité, c'est juste parfait.
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[03:38:46] Speaker A: Ça roule.
[03:38:46] Speaker F: À Radio X.
[03:38:47] Speaker B: Radio X.
[03:38:49] Speaker F: La chronique de Pierre Couture présentée par Noréa Foyer-Napert. Les poêles et foyers Osburn fabriqués à Saint-Augustin sont arabais et vous économisez des milliers de dollars. Noréa Foyer-Napert à Sainte-Marie et à Québec. Moray Live, présenté par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. Confort en hiver, fraîcheur en été. Et des économies toute l'année. Multiconfort FP, à Québec et Victoriaville.
[03:39:16] Speaker B: Moray.
[03:39:17] Speaker F: Moray Live.
[03:39:19] Speaker E: Très fier.
[03:39:19] Speaker F: Avec Dominique Moray.
[03:39:21] Speaker B: Plus que fier, là.
[03:39:22] Speaker C: Ému.
[03:39:23] Speaker E: Moray. Moray Live.
[03:39:27] Speaker F: Radio X.
[03:39:35] Speaker A: Un spécial Zemmour ce matin. On va profiter de la liberté d'expression pendant qu'elle existe encore. Tiens, Zemmour, sur les Algériens, sur LCI, pourquoi pas?
[03:39:44] Speaker H: Il y a une volonté de revanche historique chez les Algériens, les Marocains, les Tunisiens, les Africains qui veulent prendre leur revanche en colonisant leurs anciennes puissances coloniales, c'est indéniable.
[03:39:55] Speaker G: Colonisation ou pas, est-ce que vous les comprenez, ceux, alors il y a tous ceux qui s'intègrent et qui s'assimilent même très bien, mais il y a ceux effectivement qui ont une dent contre l'ancienne puissance coloniale, est-ce que vous les comprenez ?
[03:40:03] Speaker H: Ah non mais, moi je comprends tout le monde. Moi simplement ce que je dis, c'est qu'en tant que France, en tant qu'Angleterre, je n'ai pas envie de devenir un pays islamisé. Et que donc, je veux me défendre contre cette colonisation.
[03:40:18] Speaker A: C'est quoi le problème avec ce discours-là ?
[03:40:20] Speaker C: Il n'y a pas de problème avec le discours. C'est qu'en fin de semaine, je suis tombé sur une page d'Algériens qui se foutent la gueule des Français ou qui part avec le principe suivant d'écoeurer... On attaque. On attaque, on écoeure les Français. On fait tout pour les écoeurer. Puis la façon de le faire, c'est de le faire avec l'humour. Donc, ils font des jokes de... Ils essayent de faire des jokes. Je peux te faire entendre. On a le temps, là. Je peux te faire entendre quelque chose. C'est des Algériens qui jasent ensemble et qui parlent des Français. Voici ce que ça donne.
[03:40:50] Speaker B: Et leurs grands-parents dans les EHPAD. Et après, quand ils meurent, ils écrivent pour eux des poèmes. « Votre papy, t'es parti trop tôt. » Ben non, il a 96 ans, mais ça fait 20 ans qu'il est dans l'EHPAD et ça, c'est trop tôt. Tu sais, ils partent les voir un lundi par mois, on dirait le parloir.
Et après, ils viennent me voir, ils disent, oui, en Algérie, vous traitez mal les animaux. Peut-être. Mais nous, les humains, on les traite bien. Ah, maintenant, avec les Blancs, je suis dans l'attaque. Tu sais, avant, ils étaient trop dans la morale et nous, dans la défensive. Maintenant, plus jamais. Tu sais, la dernière fois, un pote à moi, il me dit, oui, Isma, pourquoi tu prends l'avion ? Il faut prendre soin de la planète. Je lui dis, mais toi, prends soin de ton grand frère avant de prendre soin de la planète.
[03:41:27] Speaker C: Donc, tu vois, ça ressemble pas mal à ça, c'est... Liberté d'expression.
[03:41:31] Speaker A: Si eux parlent, Zemmour a le droit de parler et il parle encore, encore et encore sur la démographie.
[03:41:38] Speaker H: Vous avez raison, il y a à peu près dans toute l'Europe plus de morts que de naissances. C'était la situation de la France en 1900 et aujourd'hui c'est la situation de toute l'Europe. Ce qu'il faut bien comprendre, c'est qu'il y a cette baisse de natalité globale, et à l'intérieur de ces chiffres, il y a la natalité des immigrants. Je ne la connais pas en Angleterre, mais je vous la donne pour la France, c'est les femmes algériennes, marocaines, tunisiennes, turques et africaines font autour de 3,5 enfants par femme, quand les françaises font entre 1,4 et 1,5. Voilà Voilà ce qui se passe aujourd'hui.
[03:42:18] Speaker A: Reste à la maison, empoche le chèque, les allocations familiales. Un autre enfant, puis un autre enfant, puis un autre enfant. Les résultats, nous, on fait pas d'enfants. Ça, c'est la réalité. C'est la réalité au Québec aussi. Moi, je veux... Est-ce que je veux que ça change? Je vis dans le réel. Dans le réel, c'est ça. Nous autres, on a fait deux enfants, donc je peux pas donner une leçon à personne. C'est deux enfants. On a fait deux, donc on se renouvelle. Mais grosso modo, c'est ça, les familles du Québec, deux enfants.
[03:42:44] Speaker C: Je te dirais les familles occidentales. C'est ça.
[03:42:47] Speaker A: Un à deux enfants. C'est quand t'as des enfants, là.
[03:42:49] Speaker C: On s'accoquine, on se conspire ou non, c'est une décision. Puis après ça, c'est une décision, là. C'est souvent, on en fait deux, puis le troisième, c'est un accident. Écrivez-moi pas pour me dire, nous autres, on en a quatre, puis il était voulu y être quatre, là. Je le sais, là. Mais c'est souvent ça. On en veut deux, puis s'il y en a trois, c'est un accident.
[03:43:03] Speaker A: Zemmour et les fraises.
[03:43:05] Speaker H: Des agriculteurs amis qui me disent, moi pour l'instant, les français ne veulent pas venir faire la cueillette des fraises, la récolte, les vendanges, etc. Donc j'ai besoin d'étrangers. Moi je leur réponds, à court terme, ok, mais il faut absolument les renvoyer immédiatement, ils sont tout à fait d'accord d'ailleurs.
[03:43:24] Speaker G: Eric Zemmour, on parlait de ce courant.
[03:43:26] Speaker H: Mais pour ça ils vont supprimer le regroupement familial et tous les droits qu'on leur donne.
[03:43:30] Speaker A: Voilà, c'est comme ça. On continue ?
[03:43:33] Speaker B: Oui, pourquoi pas.
[03:43:34] Speaker H: Je les ai vus hier à Londres. C'est un grand mouvement qui veut se réapproprier ses racines chrétiennes et occidentales, qui veut que l'Occident reste l'Occident, et qui est un mouvement qui est intéressant parce qu'il est parti des Etats-Unis avec les gens comme Kirk et comme Vance, et l'élection de Trump, et il arrive, vous voyez, en Angleterre. Dans l'histoire de l'Occident, depuis les grandes révolutions du XVIIe et du XVIIIe siècle, il n'y a pas un mouvement qui parte de l'Angleterre et des Etats-Unis et qui n'arrive pas en France et en Europe continentale.
[03:44:12] Speaker A: Un petit peu de Berkhoff avec ça, il était avec Berkhoff aussi.
[03:44:15] Speaker B: Vous dites, les slogans que vous dites c'était de dire oui nous aussi on est là quoi, on est là, on est de retour.
[03:44:20] Speaker H: C'est plus que ça, c'est on est là, on veut rester majoritaire dans notre pays et on veut les renvoyer parce que manifestement on ne peut pas vivre avec eux, trop de violence, trop de... tout simplement de différences culturelles. Manifestement Ces gens-là ne veulent pas s'assimiler à la culture anglaise ou à la culture française, c'est la même chose. Et donc les peuples d'origine, de source comme on dit, disent, dans ce cas-là qu'ils rentrent chez eux. On n'en veut pas s'ils ne veulent pas vivre comme nous. Je crois que c'est la question fondamentale qui est avec une intensité hors du commun parce que l'évolution c'est que le peuple anglais va devenir minoritaire sur son sol.
[03:45:07] Speaker A: Oui, bien sûr, bien sûr, bien sûr. C'est triste que Berkhoff quitte Sud Radio. Il s'en va travailler avec un podcaster, il va quitter. La quotidienne, ça va être une fois par semaine. Énorme perte pour Sud Radio. Moi, je l'aimais bien quand elle parlait de journalisme.
[03:45:23] Speaker B: Vous, quand même, le début du Covid, si on faisait venir certaines personnes, on disait que ce soit officiel ou pas, comment vous faire parler quelqu'un ? Mais moi, ce que je disais toujours, et c'est vrai pour le Covid, c'est vrai pour la guerre Russie-Ukraine, c'est vrai pour le climat, c'est vrai pour tout. Écoutez, nous ne sommes pas des climatologues, nous ne sommes pas des microbiologistes, nous ne sommes pas des médecins, nous sommes des journalistes. Bon, moi je vais écouter, après que chacun se fasse son idée. L'idée simplement, et c'est ça pour moi le plus grand danger, c'est d'écarter quelqu'un parce qu'il n'est pas d'accord avec vous ou parce que vous dites, or, quand je vois un CV de tel ou de tel à la Raoult, pour ne parler que de lui, on aime ou on n'aime pas. Au moins, on ne peut pas dire que ce soit un charlatan qui arrive avec un qui ne connaît rien. Moi, c'est ça qui m'a toujours frappé, si vous voulez, toute ma vie. J'ai 50 ans de journalisme, un peu plus, et là, ça ne me rajeunit pas. Mais ce qui est passionnant, c'est d'avoir, je le dis de question à tout, voilà, après que chacun se documente. Ce qui est difficile aujourd'hui, Ce que.
[03:46:22] Speaker A: J'Aimais, c'est que c'était un libre-penseur qui se gênait pas, et là, je parle au passé, il existe toujours, mais on l'entendra moins, mais il sera avec Toxin, quand même. Il ne se gênait pas pour dénoncer les conneries sur les antennes françaises. Donc, sur France 5, où on a même comparé l'hommage à Charlie Kirk, l'hommage à Charlie Kirk, on s'en souvient, la semaine passée en Arizona, à une grande messe nazie.
[03:46:45] Speaker G: Il y a du monde, je sais.
[03:46:46] Speaker B: Pas si je voulais dire du beau monde.
[03:46:48] Speaker G: Comment Franklin Delano Roosevelt verrait ça?
[03:46:52] Speaker B: Judith Pérignon, vous qui avez tellement travaillé sur lui.
[03:46:54] Speaker F: En fait, la première fois que j'ai vu l'image avec vous, j'ai pensé à ces rassemblements nazis qu'il y avait aux États-Unis dans les années 30. Il y avait des grands rassemblements.
[03:47:03] Speaker B: Oui, au Madison Square Garden.
[03:47:04] Speaker F: Totalement, voilà, le Madison Square Garden. Et Franklin Roosevelt était très conscient que le nazisme était aussi aux États-Unis. Il n'arrêtait pas de le dire. Et c'est vrai que c'est quelque chose qu'on a l'image des États-Unis qui ont débarqué, sauvé l'Europe. Ce qui est vrai aussi, mais Roosevelt, FDR, était très conscient que le nazisme était aux Etats-Unis, le suprémacisme blanc américain est complètement connecté à la pensée raciale d'Hitler. Donc tout ça est très lié et ces images-là me renvoient à ces rassemblements des années 30. Il faut savoir qu'il y avait même des députés américains qui étaient complètement contre l'intervention des Etats-Unis, dont les discours étaient visés par le Reich directement en Allemagne. Donc la connexion, elle est toujours là.
[03:47:48] Speaker A: Non, c'est un délire. Total, total, total. Mais on va finir de manière plus légère avec des imitateurs. J'aime ça. On avait joué l'année passée les meilleurs imitateurs de Trump. Mais là, de plus en plus, on voit Carolyn Leavitt. De plus en plus, c'est la... Velcocluche à Washington, c'est la porte-parole du Président. Il y a une fille qui l'imite à merveille, une nommée Lissandra. Je la connaissais pas. C'est une comédienne américaine. On va se laisser là-dessus. C'est une bonne imitation de Carolyn Levitt, la petite blonde qui gaule les questions au... pas au Capitole, mais à la Maison-Blanche, je crois, là. On se laisse là-dessus. C'est une bonne idée.
[03:48:46] Speaker F: Votre conseil anti-stress, Rachel Berry. En voiture, si vous serrez un petit peu trop fort le volant, prenez une inspiration et passez un magasin pour découvrir des solutions naturelles pour soulager les symptômes reliés au stress. Rendez-vous dans nos épiceries Rachel Berry ou dans un espace santé chez IGA.
[03:49:09] Speaker A: Depuis que j'ai parlé de mes dettes.
[03:49:10] Speaker C: Avec Raymond Chabot, j'ai retrouvé la motivation.
[03:49:13] Speaker A: De m'entraîner trois fois par semaine.
[03:49:15] Speaker B: Ben, deux, mettons.
[03:49:17] Speaker G: Pis de me remettre à cuisiner, genre mon fameux macaroni triple fromage.
[03:49:22] Speaker C: J'ai même fini par ranger mon cabanon.
[03:49:25] Speaker B: Il était temps. Ouais, ça fait vraiment du bien de retrouver ses moyens.
[03:49:30] Speaker F: Si vous avez besoin d'aide pour régler vos dettes, contactez-nous pour une consultation gratuite. Raymond Chabot, Syndic autorisé en insolvabilité.
[03:49:38] Speaker B: Ce vendredi 3 octobre, assistez au spectacle Hommage à Queen à la salle Dina Bélanger. Une salle intime de 500 places. Faites vite, seulement quelques billets encore disponibles. Aussi présentés des spectacles Hommage à Queen, Peter Gabriel, Led Zeppelin et plus. Billets à lacapitalduroc.com À Télé-Québec, mercredi 20h.
[03:49:58] Speaker F: Une époque formidable animée par Stéphane Bureau.
[03:50:01] Speaker B: On va commencer fort.
[03:50:03] Speaker F: Pourquoi les idées conservatrices ont le vent dans les voiles chez les jeunes électeurs?
[03:50:07] Speaker G: J'aime la réponse, polie et ordonnée.
[03:50:09] Speaker F: Pourquoi le départ à la retraite est-il sans cesse retardé? Est-ce qu'on doit le faire, même si on peut le faire? Et à quoi ressemble l'intimité sexuelle chez les personnes âgées?
[03:50:18] Speaker G: Sujet maire des passions.
[03:50:19] Speaker F: J'espère. Allez au-delà des préjugés avec une époque formidable. Mercredi 20h à Télé-Québec.
[03:50:25] Speaker B: La quincaillerie Canac était là 17 ans avant le château Frontenac.
[03:50:30] Speaker G: On était là 44 ans avant le pont de Québec.
[03:50:33] Speaker B: On était là 101 ans avant le stade. On était là 10 ans avant l'automobile. On était là 65 ans avant l'autre plus vieille quincaillerie. On était même là hier pour conseiller Phil Delevy avant qu'il construise son deck. Ça s'en allait sacré le camp sur sa piscine, son affaire.
Canuck, on aide pauvres depuis 150 ans. Pour vos pièces automobiles, votre premier choix, c'est Nordic. Besoin d'une pièce moins chère, équivalente ou supérieure à celle d'origine? Trouvez-la au meilleur prix. Nous avons les plus grandes marques en inventaire. Les meilleurs freins, c'est NRS et Bosch. Pour la suspension, pensez à Mevo-Tech. Première qualité et garantie à vie. Peu importe la pièce que vous cherchez chez Nordic, vous la trouverez au plus bas prix, jusqu'à 30 % moins chère que la compétition. Nordique, sur la 1re Avenue et au 9111 Henri-Beaurassa et sur nordique.com, avec livraison partout au Québec.
[03:51:25] Speaker F: Retrouvez le plaisir de sourire en toute confiance. Au Centre Dentaire Quartier, anciennement Girard et Martineau, l'implantologie dentaire, on s'y connaît. Contactez-nous dès maintenant pour obtenir une consultation sans frais et découvrir nos solutions sans greffe osseuse. Nous offrons également des soins dentaires complets, du nettoyage à la dentisterie esthétique pour toute la famille. Centre Dentaire Quartier, c'est une équipe humaine et professionnelle qui saura être disponible et à l'écoute de vos besoins. Al Quartier Québec. Encore une facture d'électricité qui explose!
[03:51:58] Speaker C: Moi, Pat, depuis que j'ai ma thermopompe.
[03:52:00] Speaker B: Lenox, j'ai réduit mes coûts de moitié. Pis tu me connais, hein, les économies.
[03:52:04] Speaker C: De cash, c'est primordial.
[03:52:05] Speaker B: En plus, les montants des subventions n'ont jamais été aussi élevés. J'ai jamais été aussi bien chez moi.
[03:52:10] Speaker C: Confort en hiver, fraîcheur en été et les économies toute l'année. Une thermopompe Lenox, c'est payant.
[03:52:17] Speaker A: Parlez-en à... Multiconfort FP!
[03:52:20] Speaker E: MP!
[03:52:21] Speaker B: Multiconfort FP!
[03:52:24] Speaker F: En face de l'aéroport.
[03:52:25] Speaker B: Musique de Rocky. J'avoue que des fois, c'est vrai que je me sens un peu comme un boxeur qui encaisse des coups. Ce n'est pas la force des coups qui compte, c'est la capacité des encaissés. Je suis prêt à continuer à encaisser des coups, puis je suis prêt. Je fais pas ça pour moi, là. Je fais ça pour vous autres. Je fais ça pour les Québécois. Pour les Québécois.
[03:52:59] Speaker A: Pour les Québécois.
[03:53:00] Speaker B: Il y en a qui annoncent notre mort. Il y en a qui annoncent notre mort.
[03:53:04] Speaker E: Il y en a qui annoncent notre mort.
[03:53:05] Speaker B: Chant qu'on est, comme on dit, en mission. En mission. On y croit, on va se battre. On y croit, on va se battre.
[03:53:12] Speaker E: On y croit, on va se battre.
[03:53:13] Speaker F: On y croit, on va se battre.
[03:53:13] Speaker E: On y croit.
[03:53:20] Speaker D: Passez donc une on va se battre.
[03:53:21] Speaker C: Excellente journée. Bonne semaine également. Ça va être un gros lundi sur les ondes de Radio X. Soyez-y toute la journée. Il y a Pierre Couture qui s'installe. Pierre Couture qui voyait ses Browns au Super Bowl la semaine passée, qui vient de me dire la saison est finie. Ça va, ça va, ça va bien aller. Jean-Claude sera là par la suite. Le retour et les soirées Radio X avec Carbeau et Jean-Francis. Et ça se termine toujours avec le Las Cases. aussi. 9h55, maintenant, on vous souhaite de passer une belle journée. On se reparle demain à partir de 6 h pour Moray Live. Bye-bye!
[03:53:52] Speaker F: Moray Live.
[03:53:55] Speaker B: This is the end of the show.
[03:53:56] Speaker F: J'en ai ma cloque, la merde.
[03:53:58] Speaker B: Have a great day and remember, swim safe.
[03:54:02] Speaker G: Moray Live.
[03:54:04] Speaker F: Réécoute les meilleurs moments.
[03:54:06] Speaker B: Radio X.com.
[03:54:08] Speaker F: L'application Radio X.
[03:54:11] Speaker B: Radio.
[03:54:12] Speaker F: Morelive, présentée par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. Confort en hiver, fraîcheur en été. Et des économies toute l'année. Multiconfort FP, à Québec et Victoriaville.
[03:54:29] Speaker B: Les manchettes sportives, présentées par BPM Sport. La radio des sports au Québec. Hey, c'est Jordan. Très gros week-end de sport. Premièrement, c'était le duel 1-2 des sénateurs d'Ottawa au centre vidéotron. Un match tranquille offensivement. C'est en fin de troisième que ça s'est décidé et Ottawa a ouvert la machine. Sénateurs 2, Club HUD et Davos du New Jersey 0. Prochain duel demain contre les Canadiens. Et ce sera avec une tonne de bons joueurs de chaque côté. Manquez pas ça! Dans les majeures, bonne nouvelle pour les Blue Jays. Avec leur victoire d'hier contre les Rays 13-4, ils ont fini la saison en beauté. Ils sont couronnés les grands champions de l'Est de l'Américaine, eux qui ont passé les Yankees à la toute dernière seconde. Le tout a été réalisé devant une salle comble à Toronto. 42 083 personnes étaient là pour assister à un moment très spécial. La dernière fois que c'est arrivé, c'est en 2015. Ça veut donc dire qu'on aura un wild card entre les Yankees et les Red Sox, et le gagnant de cette série 2-2-3 affrontera Toronto. Et dans la NFL, quel match de dingue entre les Cowboys et les Pikers à Dallas hier. Le retour de Mika Parsons fut spécial. Match nul de 40-40 entre les deux équipes. Deuxième plus haut pointage nul de l'histoire de l'NFL. Sinon, Monday Night Football au carré ce soir. 19h15, les Jets seront à Miami pour affronter les Dolphins. Et à 20h15, ne manquez pas le match en altitude entre les Bengals et les Broncos. Pour plus de sport, ici BPM Sports. 100.9!
[03:56:02] Speaker A: Des marchés sportifs présentés par Larue, qui recrute des assembleurs, mécaniciens, commis à l'entrepôt, ressources humaines, ingénierie et plus.
[03:56:08] Speaker B: Joins-toi à l'équipe Larue.
[03:56:10] Speaker A: Postule sur JALarue.com.
[03:56:12] Speaker F: Depuis plus de 30 ans, Gestion Lacoto offre des véhicules de qualité jusqu'à la moitié du prix d'un oeuf. Nos pros conseillers vous accompagnent sans pression dans votre choix.
[03:56:24] Speaker G: En suède, le minimalisme n'est pas synonyme d'ennui. Il s'agit d'éliminer le superflu et de perfectionner le reste. Polestar 3, le VUS électrique qui se conduit comme une voiture de sport. Pas de parure, pas de fioriture, simplement le design et la performance perfectionnés. Louez votre Polestar 3 pour seulement 899 $ par mois sur 12 mois avec 0 $ d'accompte. Oui, 899 $ par mois, mais uniquement jusqu'au 30 septembre. Visitez Polestarvilledequebec ou Polestar.com. Les conditions s'appliquent.
[03:56:53] Speaker F: Ce n'est pas un solde. Chez Walmart, vous pouvez compter sur des bas prix tous les jours. Par exemple, procurez-vous des raisins rouges ou verts sans pépins à seulement 2,84 $ la livre, en magasin et en ligne, chez Walmart. Dominant ou dominer? Magasinez au sensationplus.com et découvrez les plus grands choix de produits BDSM et fétiches disponibles en ligne. Livraison rapide et discrète.
[03:57:17] Speaker A: Sensationplus.Com Avec le groupe Nanook, acceptez votre soumission de Bardot en 10 jours et vous pourrez bénéficier de notre rabais éclair allant de 250 à 1050 $. Ou prévoyez de changer votre rabais extérieur pour le printemps prochain et profitez du Renault rabais extérieur allant de 200 à 1500 $. Appelez-nous pour plus de détails au 581-985-6949, visitez le Nanook Certaines conditions s'appliquent.
[03:57:48] Speaker F: Desharnais, c'est une grande famille de plus de 200 passionnés qui, en prenant grand soin de votre véhicule, prennent d'abord soin de tous ceux qui montent à son bord. Parce que rouler en confiance et en sécurité, c'est juste parfait.
[03:58:01] Speaker B: Du 15 septembre au 20 décembre, obtenez une remise postale allant jusqu'à 100 $ à l'achat de 4 pneus Nokian Tires sélectionnés pour la tranquillité d'esprit en toutes circonstances. Nokian Tires, c'est un parcours exceptionnel. Détails et prise de rendez-vous sur dharnay.ca.
[03:58:16] Speaker F: Dharnay, c'est juste parfait!
[03:58:18] Speaker B: Bon, qu'est-ce qu'on mange?
[03:58:20] Speaker F: Une pizza!
[03:58:21] Speaker A: L'ingrédient frais, pâte et sauce maison, Ludo, la pizza congelée au vrai goût de resto. En ce moment, c'est 2,9 pouces pour 12 dollars. Dispo chez les marchands participants.
[03:58:30] Speaker B: Et un prix très, très, très spécial au IGA Amel.
[03:58:33] Speaker A: Ludo, décongeler, cuire, servir.
[03:58:36] Speaker F: Les meilleurs collaborateurs sont ici. Radio-Ig, Montréal. Live.
Couture.
[03:58:54] Speaker B: Dans le mid.
En direct. Le retour.
[03:59:04] Speaker F: Léopold Lauzon. Lino Zambito. Stéphane Monnet. Christian Page. Yann Alperin. Dr Denis Boucher.
[03:59:09] Speaker A: C'est pas mal ça.
[03:59:11] Speaker F: Les meilleurs collaborateurs sont ici.
[03:59:15] Speaker B: Sois Razio X. Sois. Sois.
Radio X à Québec. C'est Radio X.
[03:59:30] Speaker F: Radio X.
[03:59:33] Speaker B: C'est vous. Votre propre opinion.
[03:59:36] Speaker F: Couture dans le mid présentée par Ceramique L'Entrepôt. En ce moment, profitez de gros rabais comme du vinyle clic à 1,79$ le pied carré et du plancher flottant à 99 sous le pied carré. Ceramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand.