Episode Transcript
[00:00:00] Speaker A: Toi, ton week-end en tant que légionnaire, c'est quoi? Costco, boulot, dodo?
[00:00:05] Speaker B: Ça a beaucoup été ça.
[00:00:06] Speaker A: As-tu affronté le pont? Pas de pont?
[00:00:08] Speaker B: Non, pas de pont.
[00:00:09] Speaker A: T'as pas eu le temps?
[00:00:10] Speaker B: Non, pas de pont en 20 semaines.
[00:00:11] Speaker A: On traverse plus. Tu t'assortais-tu comme un roquet toi aussi?
[00:00:14] Speaker B: J'avais peur qu'il y ait du péage. C'est ce que Jackie veut.
[00:00:18] Speaker A: Je n'aime même pas parler de ça, cette affaire-là.
[00:00:19] Speaker B: Non, Jackie aveut du péage sur les anciens ponts.
[00:00:23] Speaker A: Ah, je sais. Tu vas la jouer dans La Légion d'ailleurs, hein, je pense.
[00:00:26] Speaker B: As-tu fait la cote? Non, mais je l'ai pas. Je l'ai pas entendu l'audio. Je l'ai lu, mais je l'ai pas entendu.
[00:00:32] Speaker A: Jackie qui... j'écoutais Yann and Frank en fin de semaine. Qui sera? Puis Frank... Anyway, il sera avec nous autres tantôt. Fait que je vais lui demander. Jackie qui a accordé une longue entrevue à Yann and Frank. Donc, j'ai appelé le légionnaire puis j'ai dit, regarde, tout est possible.
Et Yann qui a même dit, elle est super fine, elle est extraordinaire. C'est juste qu'elle essaye de nous canceller puis elle nous a traité de radiopoubelle. Mais au-delà de ça, j'imagine qu'elle est super fine.
[00:01:00] Speaker B: Mais moi je pense que c'est électoral. C'est pour ça Yann a même fait...
[00:01:04] Speaker A: Non mais radiopoubelle ça fait des années.
[00:01:05] Speaker B: Qu'Il y a quelqu'un qui nous traite de radiopoubelle.
Oui. Mais je pense qu'on plairait à sa gang.
[00:01:09] Speaker C: Elle est dans ces cercles-là.
[00:01:10] Speaker B: C'est ça.
[00:01:11] Speaker A: Ouais. Le fait qu'elle décide d'aller là, elle veut passer pour une rebelle.
[00:01:14] Speaker B: C'est ça.
[00:01:15] Speaker A: Donc, elle peut venir à Radio X?
[00:01:17] Speaker B: Non, non, non, non. Je veux dire, dans sa gang... Oui. Y'en a une fin qui doit être moins connue, là, veut pas, là. Donc, dans sa gang, venir à Radio X, elle gagne des points à pas venir.
[00:01:28] Speaker A: Ouais, mais je comprends pas. Elle gagne des points en allant là-bas, mais elle n'en gagne pas en venant ici.
[00:01:32] Speaker B: Ben, comme je te dis...
[00:01:33] Speaker A: Elle doit gagner full points avec les trois striches au casino sans venir ici, là.
d'Amore Alive.
[00:01:39] Speaker B: Ben pas dans sa gang. À moins qu'elle nous envoie chier tout le long, je sais pas.
[00:01:42] Speaker C: Ce que Dom me dit, c'est que sa gang, je sais pas c'est quoi... Yann et Frank.
[00:01:47] Speaker B: C'est ça.
[00:01:47] Speaker A: Ouais, je sais pas ça là-dessus.
[00:01:49] Speaker B: Ben y'en a qui doivent le savoir en effet là.
[00:01:50] Speaker A: Moi c'est le contenu pas pire là.
[00:01:51] Speaker B: Oh oui quand même, y'en a qui doivent le savoir.
[00:01:53] Speaker A: Ben c'était Yvonne qui a fait là.
[00:01:54] Speaker B: Mais le hate contre Radio X existe depuis plus longtemps.
[00:01:58] Speaker A: Ah le hate! Le hate existe depuis Jeff 1ère édition.
[00:02:01] Speaker B: Donc c'est ça.
[00:02:02] Speaker A: C'est sûr qu'on est testants habillés.
[00:02:03] Speaker B: Fait que dans sa gang de... Sors-toi une poubelle, blablabla. ...de boycottés Radio X, ça paraît bien.
[00:02:07] Speaker A: Ouais, je sais. Ouais, c'est sûr.
[00:02:08] Speaker B: Ouais. elle gagne des points.
[00:02:10] Speaker A: Marchand toujours en boycott?
[00:02:13] Speaker B: Oui.
[00:02:14] Speaker A: OK, parfait. Ce serait le fun qu'on l'aille. Des questions posées concernant l'histoire des pompiers. Quelle vidéo hallucinante.
[00:02:23] Speaker B: Gênant.
[00:02:24] Speaker A: Qui a été enlevée de Zone 9-1, mais bien repartagée par...
[00:02:29] Speaker B: Je l'ai vu à RDI tout à l'heure.
[00:02:30] Speaker A: Indécrottable Québec. Comment?
[00:02:32] Speaker B: Je l'ai vu à RDI tout à l'heure. Je vais leur donner, ils en ont parlé.
[00:02:36] Speaker A: C'est gênant.
Ouais, ils en ont parlé, mais aller parler aux responsables, c'est marchand. Avec sa folie du tout-aux-piétons. Tu sais, tu peux mettre une zone piétonnière avec une barrière. Oh, oh, les terroristes s'en viennent. Je comprends. Histoire de Nice, on veut pas que ça arrive. Ceci dit, l'entrée...
dans les murs, on va le dire comme ça, intramuraux, parce que c'est après la porte Saint-Jean, les espèces de barrières antiterroristes. Je les ai vues, moi, c'est ultra saucé. On veut vraiment pas qu'il y ait un camion bélier qui rentre. On veut tellement pas qu'il y ait de camions que les camions de pompiers sont pas rentrés non plus. Ils ont zigonné. Je revois le vidéo, ici, d'un indécrassable Québec.
C'est dégueulasse. C'est dégueulasse. Je trouve que les services d'urgence sont jamais, jamais, jamais dans la discussion. Tu sais, quand on parle du tramway, et j'ose espérer que cette semaine, ça sera une meilleure semaine pour Hamad.
[00:03:38] Speaker B: Qu'est-ce que Bruno Marchand a annoncé à la fin de la semaine dernière? Des do-downs. Les camions de pompiers, ils rentrent dans ta rue pis qu'il y a des do-downs.
[00:03:50] Speaker A: Faut que ça roule.
[00:03:51] Speaker B: C'est ça. La police aussi, même affaire.
[00:03:53] Speaker A: Faut que ça roule. Mais là, Marchand est en mode racolage du vote gris.
[00:04:00] Speaker B: Oui.
[00:04:00] Speaker A: Donc, mon oncle, ma tante, on va vous protéger.
Je reviens là-dessus brièvement, puis je sais qu'on aura Villeneuve ce matin, bien entendu, c'est notre 20 minutes du peuple. Avec Villeneuve, Villeneuve sera avec nous autres, donc ensuite ce sera Lachance et Hamad. À moins qu'ils cancellent, je pense pas. Claude va venir aux alentours de 7h30. Mais je m'attends à une grosse semaine, pour vrai. On te les a brassés la semaine passée, pas à peu près. Je sais qu'il y a eu des interventions également du côté de Renaud. Je pense qu'il y a des gens qui ont accès à ces documents, qui sont publics anyway, c'est pas des gros secrets d'État. C'est des PDF que lui-même met sur son propre compte Facebook. Ça sera une très très grosse semaine. Grosse apparition. Je vais plugger le chum Jean-Claude. Mercredi, manquez pas le show de Jean-Christophe Ouellet et de Pat et de Max.
des comptes de dépenses explosifs de marchands. J'ai vu quelques bribes, parce que ça circule sur Internet.
Beaucoup de jet-set. C'est très, très, très jet-set. Mais toute la daube va venir de Renault, bien entendu, on le sait, avec les montants...
[00:05:21] Speaker C: Ils se gâtent-tu dans le Mimosa?
[00:05:22] Speaker A: Ils se gâtent en masse. Ils se gâtent beaucoup à Montréal. Ça, là...
Nous autres, dans Montréal Live, en tout cas, si je peux aller à la shot là, y'a moyen d'organiser ça, Dom? Je veux une émission spéciale là-dessus jeudi, moi. C'est clair, c'est vraiment parti organiser. Jeudi. Émission spéciale, je veux Villeneuve, je veux Lachance, je veux Hamad en réaction. Pause, j'ouvre les lignes là-dessus. Ça va être un coup de circuit magistral de Renaud Labrecq, manquez pas ça, mercredi dans l'émission du midi, ici à Radio X.
Ça va être à eux autres à un moment donné de prendre le ballon et d'aller dans la zone début. Aux autres, on ne peut pas les prendre par la main et leur dire « la zone début est là-bas, va t'en faire un toucher ». Il faut à un moment donné se dégourdir. Il y a une semaine de gaspillé la semaine passée. Ça c'est une nouvelle campagne. Et me dit-on Ils seront beaucoup plus dégourdis avec entre autres du côté de la chance, dévoilement du cadre financier. J'ai hâte de voir. Je pense que c'est l'un des volets les plus forts de la campagne de la chance. La structure financière, le cadre financier qu'on disait assez rigoureux avec quelqu'un qui a des credentials.
donc j'ai hâte de voir ces sept semaines. Et du côté d'Amal, ça, j'ai aucune idée de ce qui se passe, mais il faut que ça roule. On est rendu début octobre.
[00:06:48] Speaker C: Tu te souviens, cet été, on avait parlé d'un gars qui s'occupe des... Oui.
[00:06:51] Speaker A: Je n'étais pas ici, mais je l'ai entendu parler en bien.
[00:06:53] Speaker C: Qui s'occupe de l'économie. Effectivement, ça semblait être quelqu'un qui est collé sous sa patente.
[00:06:59] Speaker B: Qui n'est pas un candidat, qui est externe, mais qui est très bon de fait.
[00:07:02] Speaker A: Et la question pertinente demeure, et je l'ai posé sur X et sur Facebook, Est-ce que vous allez voter avec les convictions, le cœur, la passion ou vous allez voter stratégique? C'est un split.
[00:07:18] Speaker B: Moi, j'ai pris ma décision en 20 semaines. Si j'étais à Québec, oui, ce qui n'est pas le cas. Mais si j'étais à Québec, il leur reste 5 jours, incluant aujourd'hui. S'ils ne s'allient pas ensemble, je ne vais pas voter. Moi, je suis là. Si vous n'êtes pas capable de vivre, de travailler ensemble pour gagner cette élection-là, vous ne méritez pas de gagner ni l'un ni l'autre.
Méritez pas mon vote. Moi j'en suis là parce qu'ils vont se diviser le vote. Ils vont le faire aussi dans les quartiers. Marchand va rentrer majoritaire. C'est ça qui va arriver. Ça sera de leur faute.
[00:07:53] Speaker A: T'as raison. T'as raison. C'est pas dans ma culture de pas aller voter.
[00:08:01] Speaker B: Arrêtez d'essayer de faire les purs.
[00:08:03] Speaker A: T'as entièrement raison. Moi j'en veux pas de tramway donc je vote Lachance, c'est sûr que si tu y vas sur cet enjeu-là uniquement, tu vas voter Stéphane Lachance et on va se le dire.
[00:08:14] Speaker B: Là, l'éditoire, si Amande rentre, il va le faire le tramway pareil. Je vais donner une chose à Sam Mamad. Je tripe pas tant que ça Sam Mamad là. Je vais donner une chose. Il a jamais été pour le tramway. Il l'était pas quand il était ministre. Il l'est pas encore aujourd'hui.
[00:08:27] Speaker A: Il a jamais été pour.
[00:08:29] Speaker B: Il a un SRB. Mais savez-vous quoi? Vu la ma stratégie.
[00:08:32] Speaker A: Un SRB comme ça existe en Australie.
[00:08:34] Speaker B: En fait, il y a deux choses. Un, son SRB est moins intrusif. C'est plus facile de backer. Admettons que le projet existe.
[00:08:42] Speaker A: Pas de fil, pas de dalles.
[00:08:43] Speaker B: C'est plus facile à défaire. Deux, Un SRB, tu peux encore le bloquer. Le tramway, s'il marche en rentre... Oubliez ça, c'est fini.
[00:08:51] Speaker A: C'est terminé.
[00:08:52] Speaker B: Oui, c'est terminé.
[00:08:54] Speaker A: Déjà que...
[00:08:54] Speaker B: Il y aura un tramway.
[00:08:55] Speaker A: C'est enclenché de par les travaux, de par la volonté exprimée par la CAQ. Rocky, wow.
[00:09:01] Speaker B: Donc d'ici cinq jours, s'ils ne sont pas associés, la gagne à Ahmad, la gagne à la chance. Marche en rentre majoritaire, puis il y a un tramway.
[00:09:08] Speaker A: Oui.
[00:09:09] Speaker B: C'est réglé.
[00:09:10] Speaker A: Factuellement, T'as raison. Et les gens de dire, il y en a qui disent, j'aime pas Ahmad, mais je vote Ahmad pour le bloquer, pour bloquer Marchand. Et il y en a d'autres qui disent, moi c'est la meilleure. Le meilleur programme, les meilleures idées, c'est la chance.
[00:09:28] Speaker B: Il est excellent le programme de la chance.
[00:09:29] Speaker A: Mais on n'est pas dans qui a tort, qui a raison. Tu viens d'établir ce qui arrive. Le mieux est l'ennemi du bien.
[00:09:39] Speaker B: Oui, à tout le monde mettre de l'eau dans son vin, à mal faire. « Hey, il est bon ton programme, on va prendre tel, tel, tel, tel point. » « Hey, ils sont bons tes candidats, on va prendre tel, tel, tel. » Mixer les deux.
[00:09:49] Speaker A: Et la réalité est la suivante. Il y a une réalité numérique.
Amad est plus fort que la chance au niveau des chiffres. Oui, vous pouvez vous raconter du baratin. Stéphane à 58% puis Amad à 4%. Ça, c'est dans votre tête. Dans le réel, On n'a pas les chiffres exacts ce matin. Mais dans le réel, étant donné que c'est un concours de notoriété, Ahmad, chez une clientèle votante plus vieille, il est plus fort que Stéphane. Je ne suis pas en train de dire qu'il est moins fin, il est plus fin. Ce n'est pas ça le point. Le point, c'est que dans les sondages, c'est lui qui peut lui faire sauter les pieds. Je vais vous dire une affaire très importante en ce qui a trait à mon vote et à ma volonté et à ma stratégie.
Marchand a voulu empêcher mes enfants de manger. On va juste mettre ça au clair à matin, à 6h35. Il a voulu que je perde sa job. Il a demandé formellement, en conférence de presse et dans les médias, a demandé à RNC Média de me sacrer à porte. OK? Ça, c'est arrivé. Il a voulu empêcher mes enfants de manger. À la lumière de ça, je vais voter Je vais me faire une tête la dernière semaine de l'élection et je vais voter pour le candidat qui a le plus de chances de lui faire sauter les pieds. Je vais être bien clair avec vous autres. L'histoire du tramway, la ci, la ça, oui. Autant dans le quartier que... Moi, je l'ai pris personnel. Ça, c'est une élection personnelle. L'histoire du wax pen, on s'en souvient. Les sorties de marchands sur toutes les tribunes avec tous les médias qui m'ont mis en une, même la presse, j'étais en une. Et en dessous, c'était Fitzgibbon blâmé par le commissaire à l'éthique. J'étais plus fort que ça. C'est arrivé, cette affaire-là. J'ai des saisies d'écran. C'est arrivé, là. Donc, à la lumière de ça, c'est le candidat qui a le plus de chances de faire sauter ce gars-là. Pis Stéphane, je le l'aime, pis tout. Il y a des chroniqueurs ici, pis blablabla. On a toutes les idées, les ci, les ça. Non. It's personal, OK? Les idées, on va pas en parler jusqu'à demain midi, si vous voulez. Mais it is personal. C'est tout, c'est ça mon analyse et je vous donnerai mon vote quand ça va arriver, le vote de la mairie, quand ça va arriver à la dernière semaine de l'élection. Pour ce qui est du candidat, je vote Donald Gagnon. Pourquoi? C'est mon chum, il est bon, il est branché, c'est un gars de business, c'est un gars qui dépense de son argent pour créer des business. Il y a un Harvey's, il y a des Harvey's, pardon, il y a du Chico. C'est un gars qui a de l'argent, qui met son argent au bat. S'il ne vend pas de burger, c'est lui qui se fait frapper. C'est pas un gars qui tête des sous de pension. C'est un entrepreneur. Moi, je vote pour lui. Il est connu. C'est un ancien du Parti conservateur du Québec, en plus. Regarde, il est à droite économiquement. Il n'y a pas de Revenizé que Gagnon. Dans mon quartier à Charlebois, je vote Gagnon. Mais la mairie, mon idée n'est pas faite. Je vais voter. Étant donné que c'est personnel, pour la personne qui risque le plus d'y faire sauter, pis en marchant.
[00:12:59] Speaker B: J'ai pas compris, hein.
[00:13:00] Speaker A: Il y a un être détestable, détestable.
[00:13:03] Speaker B: Il y a une autre sœur qui me disait hier, une des choses que j'aime pas de Hamad, c'est qu'il dit qu'il va rester sur un mandat. Ça devrait être un point positif, ça, justement. Moi, je vois Hamad comme possiblement. un maire de transition entre Bruno Marchand et quelqu'un d'autre. On a quatre ans pour se trouver quelqu'un d'autre. Ça peut être Stéphane, peut-être.
[00:13:20] Speaker A: Ouais, mais moi et les politiciens, ce qu'ils disent là, j'écoute.
[00:13:22] Speaker B: Ouais, je sais pas. Mais en même temps, il y a un certain âge aussi. Je suis plus exactement à l'âge de M. Lamarck.
[00:13:26] Speaker A: Mais non, si le goût disait un mandat.
Il n'y a qu'un troisième mandat !
[00:13:31] Speaker C: Comment ça marche les frais quand tu te présentes en politique municipale ? Parce que je sais qu'au provincial c'est les candidats qui payent. Mais si c'est les candidats qui ont payé pour leurs pancartes, ça va être dur d'en tasser. On est commis beaucoup là. On est loin.
[00:13:47] Speaker A: Et je ne crois pas au rapprochement.
[00:13:48] Speaker C: Il y a beaucoup de panthères à sortir du tube.
[00:13:49] Speaker A: Tout à fait d'accord avec Doom.
Je suis tout à fait d'accord avec Doom, il me rejoint là-dedans, il m'interpelle. Il y a un aspect personnel à moi là-dedans que je veux.
Vous votez pour quelqu'un qui risque de le battre le plus. Donc celui, le candidat qui sera le plus proche de battre Marchand, c'est sûr que je vais voter pour lui. Sachant très bien que la division du vote nous amène vers une élection Marchand. T'étais le premier à le dire en nom de Dan. T'étais le premier à le dire. T'avais raison.
[00:14:15] Speaker B: Ça fait un an qu'on leur dit à toute la gang, pis dans le temps il y avait Patrick, Paquet, tes compagnies. On leur dit, associez-vous. Si vous divisez le vote en deux, en trois, en quatre, on gagnera pas.
[00:14:27] Speaker A: Regardez New York. New York, même Danny, c'est un pur communiste. Un dangereux comme on n'a jamais vu aux États-Unis.
[00:14:39] Speaker B: Là, c'est pas de la fureur verbale, là.
[00:14:41] Speaker A: Le gars, c'est un islamiste communiste, un vrai communiste, un vrai. Le gars, il veut nationaliser les épiceries.
[00:14:45] Speaker B: Oui.
[00:14:46] Speaker A: C'est un malade, c'est un malade, malade, malade profond.
[00:14:49] Speaker B: On va taxer plus les quartiers blancs.
[00:14:52] Speaker A: Et là, t'as le maire de New York qui a confirmé qu'il se présente pas. Le maire actuel.
[00:14:57] Speaker C: J'suis pas sûr qu'il a aimé ça.
[00:14:59] Speaker A: Ben, il a pas aimé ça se retirer, mais le discours est le suivant. Il faut se unir contre Mamdani. Aujourd'hui, New York Post, l'éditorial sait que là, ça prend juste un, une personne, Cuomo, pour l'affronter. Cuomo, c'est le Sam Hammad de New York. On peut quasiment l'appeler de même.
Cuomo est impliqué dans la COVID, là. C'est le bout que Lamarde n'a pas, là. Mais tu sais, vieux politicien, establishment. OK?
[00:15:30] Speaker B: C'est pas un employé.
[00:15:31] Speaker A: Proche de la machine. Puis là, il a perdu contre... Il a perdu l'investissure de Démocrate. C'est contre Mamdani, justement, qui est appuyé étonnamment par beaucoup de Démocrates. Mais le gars, c'est un peu communiste. Mais le seul moyen, d'après moi, de sauver la ville de New York, c'est de voter Cuomo. Capoté, hein?
Mais peut-être que ça ressemble à ça ici aussi. Parce que si Mamdani est choisi maire, ça n'ira pas bien à New York. Là, Donald Trump va sauter dans le tas. Donald Trump qui saute dans le tas, des fois, c'est pas des bonnes nouvelles. Parce qu'il polarise tellement que ça se peut qu'il fasse monter le vote de Mamdani. Ça dépend du type d'intervention à New York.
Parce que ça risque d'être le prochain champ de bataille, justement, de Trump. Qu'on batte même Danny.
Mais des fois, il dit des niaiseries, Donald. Il est capable. Donc ça dépend de ce qu'il dit, ça dépend surtout de ce qu'il fait. Polarisé. Polarisé, c'est ça. Puis il y en a qui font le contraire de Trump juste parce qu'il l'haïsse. Donc, il voulait voter coup au mot. Trump, t'allais trop loin, vote même Dany ou vote pas du tout, comme toi. Tu pourrais le faire si tu demeurais sur la rive nord.
[00:16:46] Speaker B: New York va déjà pas bien. Faut pas que même Dany devienne maire.
[00:16:49] Speaker A: Ben non, c'est ça. Ben, la Floride, d'autres, ça les dérange pas parce que... Ils vont accueillir les New-Yorkais à bras ouverts, comme c'est déjà le cas. C'est ça, ramasse d'argent des New-Yorkais.
[00:16:59] Speaker B: Mais c'est en gros une ville où j'aime aller, New-York. J'aimerais ça que ça reste le cas.
[00:17:03] Speaker C: Ouais, mais pour les touristes, là, il.
[00:17:05] Speaker A: Y a une chose qui est... Ah.
[00:17:06] Speaker B: Mais même, dans les dernières années, les dernières fois que j'étais allé à New-York, c'est plus... c'est plus comme il y.
[00:17:10] Speaker A: A 10, 11 ans. Non, non, c'est de la criminalité, les crimes graves.
[00:17:12] Speaker C: Ça ne reviendra jamais comme c'était avec...
[00:17:13] Speaker B: C'est sale.
[00:17:14] Speaker A: Il veut défendre de police, donc... Avec.
[00:17:16] Speaker C: Rudy Giuliani, ça ne reviendra jamais comme c'était dans ce temps-là, ça c'est sûr. Par contre, Moi, les touristes, les gens qui sont allés voir la NFL en fin de semaine, ils s'en rendent pas compte, la différence entre la saison passée. Je veux dire, quand tu passes trois.
[00:17:33] Speaker A: Jours aux États-Unis... Ah, tu le sens pas. C'est sûr qu'on vote pas non plus. C'est les résidents qui le sentent, les résidents de la sécurité, le crime de la propreté, les sans-abri, etc.
Alors voilà, on en est là. On me dit que ça va être une grosse semaine. Bien hâte de voir. Mais c'est une nouvelle semaine et c'est la dernière semaine du mois de septembre avec cinq semaines à faire avant l'élection.