Episode Transcript
[00:00:00] Speaker A: Les 20 minutes du peuple.
[00:00:01] Speaker B: Le dernier sondage, c'était 42% qui étaient pour.
[00:00:02] Speaker C: On est vulnérables, on est très vulnérables.
[00:00:04] Speaker D: Moi, je viens d'une ville industrialisée.
[00:00:05] Speaker B: Actuellement, on est sur un projet actuellement de 5 milliards.
[00:00:07] Speaker D: Moi, je visais sincèrement la mairie.
[00:00:09] Speaker B: Il y a un travail à faire dans le financement de la ville.
[00:00:10] Speaker A: Les 20 minutes du peuple. Dan va aider M. Ahmad. M. Ahmad qui vient d'arriver en studio. Les 20 minutes du peuple, c'est pas très compliqué. C'est pas une entrevue. C'est vous qui posez une question C'est une bonne question. À date, ça a très bien été. Et c'est pendant 20 minutes. C'est grosso modo jusqu'à 8h10. C'est pas scientifique, mais c'est autour de...
[00:00:36] Speaker E: On l'avait chronométré à 20 minutes pour la première en guérette. On a fait 22. On a gardé ça à 22 minutes pour l'autre d'après.
[00:00:45] Speaker A: C'est toi le maître du temps. L'invité ce matin, Sam Hammad, comment ça va?
[00:00:50] Speaker B: Ça va très bien. Merci de l'invitation.
[00:00:52] Speaker A: Merci de vous prêter au jeu. Parfait. C'est les gens qui sont là et c'est vous, les auditeurs, qui posez les questions. Et c'est Dom qui, dans la tour de Montréal Live, vous identifie. On commence avec Pierre Duberger qui est en ligne. Vous parlez avec M. Hamad. Allez-y, Pierre.
[00:01:08] Speaker C: Bonjour, M. Hamad.
[00:01:09] Speaker B: Bon matin.
[00:01:10] Speaker C: Je voulais savoir pourquoi, au lieu de voter sur B, vous améliorez pas les transports en commun. Vous dégraissez un peu la machine du RTC, c'est des bureaucraties. Ça ferait un peu plus d'argent pour commencer. Puis à propos, deuxièmement, vous n'avez jamais parlé, personne n'a parlé à notre chef, ça tombait dans le poids et la bourre. Nos poids et la bourre, qu'est-ce que vous pensez faire avec ça? On va pouvoir s'en sortir.
[00:01:37] Speaker B: Oui, en fait...
[00:01:38] Speaker A: Très bon. Merci beaucoup. Deux sujets.
[00:01:39] Speaker B: Oui, deux sujets. Je suis d'accord avec vous. Le premier, là, on va faire le ménage dans la RTC, c'est certain, puis même on va couper du monde et on va arrêter d'embaucher, puis on va travailler plus d'avoir des chauffeurs d'autobus. C'est ça qu'on a besoin de donner des services. Notre projet d'SRB, en passant, c'est des services qu'on va donner. L'SRB va passer en haut et dans le Bourneuf, mais on va améliorer beaucoup les services dans le Bourneuf, chez vous, dans Vanier, dans Val-Balaire. Alors ça, ça fait partie de notre projet parce que La réussite du projet, si les banlieues ne sont pas bien servies, il n'y a aucun succès. Alors ça, c'est le premier élément. Deuxième élément, vous parlez du foyer. Moi, je trouve que c'est un symbole pour nous. Tu sais, avoir un petit feu tranquille en famille, se reposer, tout ça, c'est très important. Et moi, je compte ce que M. Marchand a fait, d'interdire tout ça. Il faut travailler avec les fabricants, il faut trouver des solutions, mais il n'y a pas question d'interdire.
[00:02:41] Speaker A: Merci beaucoup d'avoir appelé. On y va de Claire de Beauport. Allô Claire.
[00:02:46] Speaker D: Allô. Bonjour M. Arad et bonjour à vous. J'appelais à la fin de vous féliciter pour votre campagne parce que vous faites une belle campagne qui n'est pas salissante. J'avoue vraiment. Et ma question est pour les pistes cyclables qui sont un peu partout qu'on a fait sur le boulevard Saint-Anne, sur la rue d'Estimauville. Et sur la rue Marcoux, on a réduit la rue. Alors on voudrait savoir si vraiment vous allez parvenir à éliminer ou ça va coûter cher, ça j'imagine.
[00:03:12] Speaker B: Non.
[00:03:12] Speaker D: Mais si vraiment vous allez diminuer les pistes cyclables parce que c'est vraiment atroce et surtout sur le chemin Sainte-Foy. où on manque de faire des accidents ou écraser des gens.
[00:03:21] Speaker B: À Saint-Sacrement, oui.
[00:03:22] Speaker C: Oui, c'est ça.
[00:03:23] Speaker B: Vous avez raison, Claire. Merci pour la question. Définitivement, ce que vous avez parlé, Isabelle Roy, qui est candidate pour nous, dans le coin, vous avez parlé, Amanda a parlé souvent de ces pistes-là. Elles prennent la place, elles dérangent la circulation, ne sont pas utiles et même sont dangereuses pour la circulation. Alors pour nous, et Saint-Sacrement, c'est évident, pour les commerçants qui sont là, ils sont tannés. Et moi, ma banque, une de mes banques est là sur le Saint-Sacrement et c'est l'enfer. Alors nous, ce qu'on a dit, tout le Viva Vélo de M. Marchand, on va prendre un break, on va réviser ça dans l'esprit de cohabitation. Ça veut dire qu'il y a des conditions, il faut que tout le monde s'entende. Et il y en a à Pierre-Lolieve, à Beauport, la piste qu'ils ont faite.
C'est incroyable. C'est gênant. C'est gênant avec ce qu'ils ont fait. On va arrêter ça. On va réfléchir comme il faut. Et l'autre élément qu'on va faire, c'est clair et net. Le déneigement l'hiver, c'est terminé des pistes cyclables. On va plus se concentrer, déneiger les trottoirs, donner la sécurité aux gens qui se promènent l'hiver et surtout la glace, vous savez, c'est dangereux. D'ailleurs, pour déneiger les pistes cyclables, il faut en mettre plus de produits que déneiger un trottoir. Donc, ça coûte encore plus cher et en plus, on écarte tout le monde.
[00:04:40] Speaker A: Merci beaucoup. Les gens disent qu'on était capable d'avoir la ligne. On a quatre lignes qui sont pleines. Donc lâchez pas et bombardez. Faites comme Robert de Loretteville, qui est là, qui a réussi à avoir la ligne. Allô Robert, vous parlez avec M. Hamad.
[00:04:52] Speaker F: M. Hamad, bonjour.
[00:04:54] Speaker B: Bonjour.
[00:04:55] Speaker F: Je me souviens de M. Hamad, de M. Gérard Deltel et de Mme Agnès Malte.
et que c'était le bon temps. Vous aviez une vision. Premièrement, vous avez une expérience que les autres n'ont pas. OK, là, c'est sûr.
[00:05:08] Speaker A: Mais allez-y avec vos questions avant de... Je veux pas d'infopub, là.
[00:05:12] Speaker F: Non, c'est pas d'infopub. Je veux dire, M. Marchand, le maire, est en train de se suicider lui-même parce qu'il a oublié, et j'espère que vous allez lui poser la question, vous me disez oui ou non, Il avait dit, moi je l'avais voté pour M. Marchand la dernière fois, ok, avec sa promesse d'y aller très mollo avec le tramway, ok, ça prenait à l'assentiment général et pas à n'importe quel prix, ok, ça. Si vous pouvez lui dire ça et répéter ça longtemps, il va s'apercevoir qu'il est un masterchef qui brûle ses propres toasts, ok.
[00:05:50] Speaker B: Ben moi, je veux dire à ceux qui, celles qui nous écoutent là, le tramway avec nous, c'est terminé. Et ça, c'est garanti, c'est terminé. Ce n'est pas le bon projet. C'est un projet qui coûte cher, qui ne sert pas les banlieues, qui est intrusif dans le centre-ville. Il va bloquer le centre-ville pendant des années. Puis quand tu parles de l'environnement, il y a des milliers de camions d'excavation qui vont sortir de là. Alors, inacceptable. Ce qu'on propose, c'est un projet qui est moins cher, qui répond à tout le monde et qui va être réalisable rapidement surtout.
[00:06:22] Speaker A: Ben, je vois là. Dany de Val-Balaire. Sur la 4, Dany, vous posez votre question. Allez-y.
[00:06:29] Speaker G: Bonjour, M. Hamad.
[00:06:30] Speaker B: Pourquoi qu'on aurait confiance en vous quand.
[00:06:32] Speaker C: On se souvient, dans le temps du libéral, que c'était un fiasco?
[00:06:34] Speaker G: Vous êtes parti, tout le monde est.
[00:06:35] Speaker C: Parti, puis ça restait de même. Dites-moi ça.
[00:06:37] Speaker B: Faites attention, en fait, là. Généralisez pas. Merci. Regardez ce que j'ai fait pour la Ville de Québec. Vous allez savoir mon bilan. Samuel de Champlain, Lopez Université Laval, l'élargissement du Vallon, Robert Bourassa, Henri IV, Charest et on a fait l'agrandissement du centre Vidéotron. Alors plein de réalisations pour Québec et c'est ça qui est important, ça prend quelqu'un qui a l'expérience. J'ai déjà dirigé sept ministères, on a l'expérience, j'ai une bonne équipe avec moi, il y a quatre anciens conseillers municipaux avec moi, il y a l'ancien président de la syndicat Jean Gagnon, et on a un expert en mobilité, et on a des gens d'affaires, de sous-ministres. On a une équipe parfaite pour travailler et gérer la ville demain matin. C'est ça qu'on a besoin, là. Ce qu'on a connu depuis quatre ans, là, c'est personne gérée, le nombre d'employés à la ville a augmenté, les taxes ont augmenté, à gauche, à droite, on ajoute. Ça prend quelqu'un qui a déjà géré, qui sait compter, puis entouré par une équipe. C'est ça qu'on va offrir à la population le 2 novembre.
[00:07:39] Speaker A: – Merci beaucoup. Il y a quelqu'un qui dit, je suis pas capable d'avoir la ligne. Ville de près d'un million de personnes, on a 55 000 auditeurs dans le Prime et on a quatre lignes. Mélangez ça d'un petit plat, vous allez voir que c'est ça. Vous allez être chanceux si vous avez une ligne, mais les lignes sont pleines, tout le monde veut parler. Avec M. Hamad, qui est avec nous en studio ce matin, on s'en va sur la 1, parler avec Bernard de Charlebourg. Allez-y.
[00:08:01] Speaker C: Oui, bonjour. Je veux faire une histoire courte. Dernier rôle d'évolution, 22-24, ça m'a fait sortir plus de 51 % de la valeur de ma résidence. On résume que l'augmentation de taxes, grosso modo, de 1 000 $ par année cette année, c'est-à-dire 1 000 $ par année à vie, ce n'est pas une pub de l'Auto-Québec, c'est tout le monde qui paye. Depuis l'arrivée du vert marchand, 37,3 % d'augmentation de taxes. Deux mandats comme celui-là, ma facture de taxes va avoir presque doublé. Vous allez faire un calcul, vous allez voir que j'arrive pas mal juste. 390 % d'augmentation à deux mandats identiques. Ça risque d'arriver. Depuis 2024, la valeur des résidences n'a pas baissé, elle a explosé encore. Les gens qui vont habiter vont-ils travailler? Je ne veux pas le faire d'appel, mais il ne va pas faire la même chose qu'il s'est passé ici à Charlottesbourg.
[00:08:47] Speaker B: – T'as raison.
[00:08:47] Speaker C: – Qu'est-ce qu'on peut vous faire pour aider les gens à conserver leur maison? Parce que pour le dire, le mille dollars par année à vie, c'est insoutenable.
[00:08:54] Speaker A: – C'est vrai ça.
[00:08:55] Speaker C: – Ça ne vient pas aider les jeunes familles à acheter des résidences.
[00:08:58] Speaker A: – Vous avez... – Bonne question, monsieur.
[00:08:59] Speaker B: – Oui, tout à fait raison. Et en passant, je ne sais pas si vous le savez, si vous payez 12 mois, ce que toutes les villes autour de Québec ont la possibilité de faire les paiements de taxes en 12 paiements, Et vous avez une charge là-dessus, frais intérêts que probablement vous ne le savez pas parce que ce n'est pas clair. Et ça, ça peut être à peu près entre 80 et 100 $ de plus. Donc, votre 1000 $ est rendu à 1100. Et quand vous ajoutez la taxe sur les matriculations, vous êtes rendu à 60. Si vous avez deux autos, vous êtes rendu à 1200 $. Nous autres, on va éliminer ça. On va enlever la taxe de matriculation, on va enlever les frais, permettre aux gens d'avoir un peu d'air. Et évidemment, pour l'augmentation des taxes, on va aller maximum, maximum de l'inflation, puis on va couper dans la gestion de la ville pour avoir de l'air, puis permettre aux gens de moins payer.
[00:09:53] Speaker A: Merci beaucoup. On s'en va parler avec Éric de Vanier-sur-la-Deux. Éric.
[00:09:58] Speaker C: Oui, bonjour. Moi, ça serait pour savoir pourquoi sa maman est revenue en politique quand elle savait très bien que ce n'était pas la chance à la faire le travail. Puis moi, je trouve que M. Hamas se comporte pareil comme M. Marchand avec son CRB.
[00:10:14] Speaker A: SRB. Oui. Bonne question. Allez-y, M. Ahmad.
[00:10:17] Speaker B: En fait, vous savez, moi je suis arrivé au Québec très jeune. Le Québec m'a accueilli, le Québec m'a enseigné, le Québec m'a permis d'être ce que je suis aujourd'hui. Et j'ai une très bonne qualité de vie aujourd'hui. Je n'ai pas besoin de job, je n'ai pas besoin de salaire, mais moi j'ai Québec tatoué dans le cœur et quand je vois Alain marchant, là, je n'étais plus capable d'attendre parce que là, là, il faut agir maintenant, il ne faut pas lui donner un autre 4 ans. pour m'agagner davantage de notre vie, augmenter les taxes. Moi, je ne cherche pas de job en passant. Je n'en ai pas besoin. Mais je veux aller parce que je veux servir mes citoyens, parce que j'aime ma ville et je suis capable de le faire. Maintenant, quand vous comparez à M. Lachance, en fait, ça prend quelqu'un qui est capable, géré, qui a l'expérience assez suffisante, avoir une bonne équipe, parce que les défis sont gros pour démolir ce qu'un marchand a fait. Ça prend l'ouvrage pour arrêter le tramway, ça prend l'expérience et ça prend du monde qu'ils ont déjà géré. C'est pour ça que je suis revenu en politique.
[00:11:16] Speaker A: Merci, M. Ahmad. Caroline, c'est votre tribune. Allez-y, vous êtes appelée de Le Bourneuf.
[00:11:22] Speaker H: Oui, allô. Bonjour, M. Ahmad.
[00:11:24] Speaker B: Bonjour.
[00:11:24] Speaker H: Au fond, ma question est simple. Je trouve que vous êtes une bonne personne avec l'expérience. J'aime bien aussi faire de la chance. C'est ça que, comme bien du monde à Québec, je pense que le mix des deux aurait été l'idéal pour faire sauter Marchand. Mais bon, ça n'arrivera pas, j'ai compris, c'est clair maintenant. Maintenant, devant cette situation-là, on est pris devant un mur. Soit vous ne passez pas tous les deux, soit c'est encore Moses de Marchand qui passe avec toutes ses planètes de fous. Ça serait-il possible, vu que vous êtes en avance, de promettre aux gens que si vous êtes tatoué sur le cœur Québec, les gens, et que vous ne cherchez pas une job, de promettre, si vous êtes élu, Ben, crime, vous allez passer un référendum, qu'on peut enfin nous dire qu'on n'en veut pas de Prince Chouchou, d'Esserbé et d'David Cossin. Tout ce qu'on veut, nous autres, c'est un troisième lien, c'est pas compliqué. Ça serait peut-être pas pire avenu à penser de clamer au FR que vous allez faire un référendum. Là, le monde, ils vont voter pour vous, puis le marchand va te passer.
[00:12:19] Speaker B: Oui, mais le troisième lien, on s'entend, je suis d'accord avec le troisième lien. On est d'accord là-dessus. En passant, le Bourgneuf, là, c'est l'axe le plus achalandé où on a plus besoin d'un SRB pour servir le Bourgneuf, en passant là. Donc, pour faciliter la vie des gens, des familles, des gens, je pense, et la circulation évidemment, l'SRB va répondre surtout à le Bourgneuf, c'est l'axe le plus important à Québec actuellement et un des axes le plus achalandé. Donc ce projet-là, en fait, notre projet, c'est qu'on améliore le transport en commun, c'est tout, et on améliore les services, parce que le RTC actuellement est classé 9e sur 10. Quelle honte, c'est l'avant-dernier. Et nous, ce qu'on veut faire, on va faire le ménage là-dedans, on va aussi le rendre une société parmi les mieux gérées, puis surtout pour moi, le plus important, c'est améliorer les services rapidement, et surtout le Bourgneuf ne fait pas ça.
[00:13:11] Speaker A: C'est la tribune du peuple, si t'avoues. Il reste combien de temps, Dan? Un bon dix encore, peut-être?
[00:13:15] Speaker E: Il reste 9 minutes.
[00:13:17] Speaker A: Parfait. On s'en va jaser avec André de Le Bourneuf, également. Bon, allez-y, André.
[00:13:23] Speaker C: Oui, allô, bonjour, M. Hamad.
[00:13:24] Speaker B: Bonjour.
[00:13:26] Speaker C: Moi, advenant le cas que M. Marchand soit élu minoritaire, moi, ce qui m'inquiète, c'est que vous avez deux anciens candidats qui faisaient partie de l'équipe Villeneuve, qui est à Prout-Ramon. Moi, ma crainte, c'est que ces deux candidats-là, Vir Capot, et donne la majorité à M. Marchand. Est-ce que vous avez réussi à les convaincre de demeurer avec vous? Merci et bonne journée.
[00:13:49] Speaker A: C'est une très bonne question, nous allons y aller. Je crois que M. Martin et Mme Roy sont à l'aise.
[00:13:53] Speaker B: Oui, Martin et Isabelle Roy. En passant, ils ont eu la chance d'aller avec Marchand, ils ont refusé depuis longtemps. Alors parce qu'ils étaient 4 ans, ils n'ont pas traversé la ligne pour aller avec M. Marchand parce qu'ils ne l'aiment pas. Puis ils ne sont pas d'accord avec ses idées. Ils sont d'accord avec nos idées. Pour ça, ils sont avec nous.
[00:14:12] Speaker A: Mais c'est une question pertinente dans la mesure où ils ont toujours été pro-tramway.
[00:14:16] Speaker B: Non, non, non. Mais là, aujourd'hui, non, non, non.
[00:14:19] Speaker A: C'est sa question.
[00:14:21] Speaker B: Oui, mais ils sont avec nous. Ils sont avec notre programme. C'est deux personnes importantes, travaillantes dans le secteur. Puis ils ont eu la chance d'aller avec M. Marchand. Ils ne l'ont pas fait parce qu'ils ne croient pas.
[00:14:32] Speaker E: Même au contraire, ils sont souvent pognés avec.
[00:14:34] Speaker A: Oui, c'est ça. Toi, tu écoutes les conseils.
[00:14:36] Speaker E: C'est ça, j'écoute les conseils municipaux et je suis pratiquement convaincu que Louis-Martin n'ira jamais avec nous.
[00:14:42] Speaker B: Ah non, jamais.
[00:14:43] Speaker A: Ok, parfait. Tony de Québec, c'est à vous. Allez-y, c'est votre tribune.
[00:14:46] Speaker C: Oui, bonjour M. Hamad. Moi, ma question, dans le fond, c'est que vous voulez construire un airsherbouy, vous voulez faire un airsherbouy. On sait que les projets à Québec, c'est long avant que ça aboutisse. Il y a vraiment rien qui se passe.
Puis vous dites que vous voulez faire ça sur un mandat. Pour moi, c'est comme quelqu'un qui dirait, je vais jouer une game de hockey, mais je vais jouer juste la première période.
[00:15:04] Speaker B: En fait, quand j'ai fait Semelle de Champlain, pensez-vous que j'attendrais 15 ans en politique pour voir le projet réalisé? Ce qui est important, ce n'est pas couper le ruban. Ce qui est important, c'est partir les projets, les mettre en place, c'est ça qui est important et ce que je veux faire. Puis moi là, ça démontre l'intérêt que moi je ne m'en vais pas là pour un job. En passant, tous les autres candidats cherchent un job, améliorer leurs conditions salariales. Moi je vais là parce que je veux travailler, je veux aider mes citoyens, puis on va partir les projets. Il y a plein de projets qu'on a partis. Puis j'étais plus là, mais ils sont réalisés après. C'est comme ça que ça se passe. Si jamais, dans quatre ans, vraiment, vraiment, on a besoin que je reste, bien je le ferai. Mais pour le moment, on veut partir les projets. C'est ça qui est important. Une autoroute, là, pensez-vous que vous allez attendre après que l'autoroute soit réalisée pour faire la polité? Ça, là, cet argument-là, là, ça veut dire qu'un marchand, là, il faut qu'il reste jusqu'à 2035 pour réaliser son tramway. C'est-tu logique? Non.
[00:16:06] Speaker A: C'est clair. Parfait. Aimez-vous ça M. Hamad? Moi je me tasse, la vraie radio c'est vous, les auditeurs, c'est vous qui animez cette radio-là. Vous parlez directement à M. Hamad.
[00:16:17] Speaker B: Vas-tu m'embaucher après pour travailler comme animateur?
[00:16:20] Speaker A: Non.
[00:16:21] Speaker B: Non?
[00:16:21] Speaker A: Non. Je vais en parler à Stéphane Lachance peut-être. On va vous faire une offre. On rit, on s'amuse. André de Québec toujours. Allez-y André, vous parlez avec M. Hamad.
[00:16:35] Speaker G: Oui, bonjour, merci beaucoup d'être là pour écouter le pot. Premièrement, moi, je voudrais savoir pourquoi est-ce que vous avez étiré en longueur le fait à savoir si vous vous présentez ou si vous ne vous présentez pas. Nous, on voulait savoir si vous allez être là pour la population de Québec. Il n'y avait pas de réponse. Puis là, on a de nos côtés, on a Stéphane Lachance qui se démène, qui fait tout pour essayer de sauver les morts. Puis vous arrivez à la dernière minute pour aller se mettre dans la campagne, pour diviser le vote. C'est mon opinion. Je pense que des politiciens de carrière, on pourrait peut-être penser à autre chose.
[00:17:16] Speaker C: Puis laisser le peuple se gérer lui-même.
[00:17:19] Speaker G: Merci beaucoup mon honneur.
[00:17:20] Speaker C: C'était André Thorne. Merci.
[00:17:22] Speaker A: Merci, M. André. Vous avez votre opinion, c'est parfait. Allez-y, M. Ahmad.
[00:17:25] Speaker B: Vous avez votre opinion, M. André. Et en passant, je suis arrivé au mois d'avril. Je me suis présenté au mois d'avril. Ce n'est pas une question de course, celui qui se présente le premier. C'est lui qui va finir. C'est lui qui a la capacité de gérer la ville. C'est lui qui a la capacité de livrer. C'est lui qui a la capacité d'arrêter le tramway. C'est ça qu'il faut regarder. Pas regarder, lui, il était là avant, donc il est bon. Ce n'est pas comme ça, ça marche. Il faut avoir le jugement. Moi, j'ai confiance au jugement des citoyens qui vont dire qui est capable d'arrêter le tramway, gérer la ville. Y a-tu l'expérience avant dans la gestion? C'est ça qui est important.
[00:18:00] Speaker E: Merci. J'ai des questions de texto aussi.
[00:18:03] Speaker A: Oui, vas-y donc. Puis on s'en ira à Nicolas de Charlebois, ben il est parti. 88-770-9098, des questions de textos.
[00:18:11] Speaker E: Allez-vous vous débarrasser d'options transport viable et des autres organismes subventionnés qui logent à la même adresse?
[00:18:18] Speaker B: Il faut que répond à des critères et s'il répond pas à des critères, il n'y aura pas de subvention.
[00:18:23] Speaker A: On finit avec des textos, tiens. Il y en a énormément. Vas-y, Dan. C'est bon, c'est comme avec Marc Bouchard.
[00:18:27] Speaker E: Je fais le tri parce qu'il y a beaucoup, beaucoup de...
M. Hamad... Non, non, c'est pas ça. C'est parce que la question qui revient le plus souvent, M. Hamad, là, c'est concernant l'union de l'opposition avec l'espèce citoyenne. C'est clair. On le sent, là. On sent que les gens, c'est ce qu'ils auraient voulu.
[00:18:47] Speaker A: Les gens n'aiment pas Marchand. Ils veulent le faire sauter, c'est sûr.
[00:18:49] Speaker E: Oui. Donc, voici ma question, M. Hamad. Vous saviez depuis... Ah, tabouette! C'est toujours, toujours l'espèce citoyenne. Je pense qu'on a déjà fait... On a déjà fait un bon...
[00:19:01] Speaker A: C'est tout que j'ai à ça, Dan. Vas-y. Il reste une minute.
[00:19:03] Speaker E: Un papier collé sur respect citoyen. Au prochain sondage... Au prochain sond... Est-ce que vous...
Est-ce que s'il y a un prochain sondage qui montre que vous descendez encore, est-ce que vous allez vous retirer de la course?
[00:19:15] Speaker B: Non, la réponse est non. Puis là, je demande aux gens d'un peu méfier à ce qu'on voit là. D'abord, le sondage scientifique, c'est 1000 et plus. Alors quand on est autour de 500, la précision n'est pas là. Moi, par expérience en politique, le meilleur sondage chez les porte-à-porte, c'est le terrain qui compte. Et je me rappelle en 2007, on était un gouvernement élu minoritaire, ça n'allait pas bien. Mais moi, sur le terrain, c'est comme ça que j'ai senti que je vais être élu. Alors faisons attention, soyons sur le terrain, et ce que nous faisons, puis en passant, la réponse sur le terrain, elle est très bonne.
[00:19:50] Speaker E: J'en ai une bonne question ici.
[00:19:51] Speaker A: J'en ai une après.
[00:19:53] Speaker E: J'habite au nord de Val-Belaire.
[00:19:55] Speaker B: Oui.
[00:19:55] Speaker E: Presque... bon, j'habite vraiment au nord de Val-Bellaire. Henri IV est une plaie à tous les jours, la fête de semaine, du lundi au vendredi. Est-ce qu'il y a des plans pour négocier avec le ministère des Transports pour qu'il agrandisse cette autoroute?
[00:20:09] Speaker B: Actuellement, il n'y a pas de plan. En fait, c'est moi qui ai élargi Henri IV. Et actuellement, il n'y a pas de plan, mais on va regarder la circulation pour faciliter. Surtout, moi, je suis un gars qui va supporter beaucoup les banlieues dans leurs besoins.
[00:20:22] Speaker A: Question de base, dans le 88, ramassage des déchets aux 15 jours quand nos bacs sont pleins après une semaine. Est-ce que vous promettez de ramener la collecte à la semaine?
[00:20:32] Speaker B: Je suis allé dans Desmont et j'ai vu qu'il y a une rue complète que les autres, les vidanges ne se ramassent pas. Et je trouvais ça triste. Même Valérie Savard, notre candidate d'Andrémont, est allée rencontrer les citoyens pour voir comment on peut... En fait, ils sont pas nombreux, hein. Ils sont pas nombreux, ceux qui ont pas les vidanges à toutes les semaines. Mais moi, je pense que... – À.
[00:20:53] Speaker A: Charlebourg, sur deux semaines... – En fait.
[00:20:56] Speaker B: C'Est ça, c'est tout dans Charlebourg, là. Et moi, je pense que quand les gens payent des taxes, ils devraient avoir le même service que tout le monde.
[00:21:02] Speaker A: Donc, si je comprends bien, j'essaie de décoder.
[00:21:04] Speaker B: Toutes les semaines.
[00:21:06] Speaker A: Vous promettez de ramener la collègue de vidange à la semaine.
[00:21:10] Speaker B: Oui.
[00:21:11] Speaker A: Parfait. C'est bon. T'en as-tu une dernière?
[00:21:12] Speaker E: Éric de Beauport.
[00:21:13] Speaker A: C'est-tu la dernière? On s'en va en ligne?
[00:21:15] Speaker E: Éric de Beauport, on va en ligne.
[00:21:16] Speaker A: Parfait. On s'en va en ligne. Allez-y.
[00:21:18] Speaker C: Oui, bonjour. Bon matin à vous tous.
[00:21:20] Speaker B: Oui. Bon matin.
[00:21:21] Speaker C: En fait, moi, ma question, c'est pour les poids et les foyers, M. Hamad. À savoir si vous pourriez pas... Vous n'avez pas moyen d'être... un peu moins vert que M. Marchand, et puis essayer de donner une chance aux résidents qui n'ont toujours pas encore eu chance de changer leur foyer pour les nouvelles règles pour 2024.
[00:21:41] Speaker B: – Je suis d'accord avec vous, en passant. Je suis d'accord avec vous. C'est vraiment important que les gens gardent leur foyer, puis donner la chance avec les fabricants d'amener des modifications, mais on commence pas à écœurer le peuple, là. Surtout les foyers. Je suis d'accord avec vous.
[00:21:57] Speaker A: C'est terminé.
[00:21:58] Speaker B: Voilà.
[00:21:58] Speaker A: C'est terminé. Merci beaucoup M. Ahmad. Merci surtout aux auditeurs. C'était parfait. Regardez. Votre dernière chance, les livers, c'est Stéphane Lachance la semaine prochaine. Donc on s'était entendu avec tous les candidats. C'est pas une entrevue. Donc moi, je voulais donner la tribune publique aux auditeurs à 100%. C'est vous qui allez voter et c'est vous qui avez des questions. Donc merci beaucoup. Merci M. Ahmad. Merci. Bonne fin de campagne.
[00:22:25] Speaker B: Et bonne journée.