Episode Transcript
[00:00:00] Speaker A: Bienvenue au camp de réhabilitation sportif Isabelle Charest. La semaine passée à l'aréna, t'as-tu dit que tel arbitre était pourri?
[00:00:18] Speaker B: Oui, oui, désolé.
[00:00:20] Speaker A: Je l'ai fait. OK. T'as-tu pensé que tel arbitre était un quart! Là, tu pensais ça! Oui! Ah ben tabasse-la! Tu vas payer le prix! Tu vas payer le prix! Tu vas applaudir! Tu vas applaudir! Et tu vas dire que les armées de Toronto, c'est excellent!
[00:00:41] Speaker B: Il est excellent!
[00:00:42] Speaker A: J'ai jamais vu meilleur! Voici une autre victoire du camp de rééducation d'Isabelle Charest.
[00:00:51] Speaker B: Dominique Moret. Vous avez commencé à 17 ans à la radio, télémédia, etc. Et vous avez.
[00:00:59] Speaker A: Quitté la Télair 2004 et vous avez rejoint Radio X.
[00:01:04] Speaker B: Et alléluia !
[00:01:13] Speaker C: Allons-y en live maintenant, de la Tour du Dôme. C'est Moray Live. On devient légionnaire et on reste jusqu'à la mort. De la radio X World Headquarters, voici votre légendaire Légion du Dôme.
Yes, ben t'as parlé du débat à nouveau hier. Y'a un extrait qui a fait te jaser un peu plus. J'te le fais entendre au complet.
[00:01:50] Speaker D: Bonjour, M. Hamad. Le commissaire à l'Éthique du Québec a conclu en 2016 que vous avez violé les règles de base d'Éthique concernant une subvention octroyée à l'entreprise Première Tech. La Ville de Québec confie des dizaines de millions de dollars de contractants en transport chaque année. Ma question est simple. Qu'est-ce qui a changé avec la Sam Hamad de 2016 et celle-ci de 2025?
[00:02:16] Speaker E: Pour aller là, parce que ça va pas bien, Mme Jackie Smith, vous allez bas. D'ailleurs, il n'y a aucune accusation. On ne revient pas là-dessus. Mais ce qui est important aujourd'hui, c'est les problèmes de la ville de Québec. Et ce qui est important, c'est les finances publiques, c'est l'économie, c'est la mobilité. La charge fiscale, nos citoyens, ils en ont assez. Nous, ce qu'on essaie de faire, c'est baisser le fardeau fiscal de nos citoyens.
[00:02:46] Speaker D: Comment on va baisser le fardeau fiscal si on va retirer les pistes éclables? Est-ce que vous avez promis des contrats à vos amis?
[00:02:56] Speaker E: J'ai pas besoin d'aller bas de même, là. Je sais pas qu'est-ce que vous avez ce matin, Mme Smith, là. Mais vous jouez bas, là. Un peu de respect. Un peu de respect pour tout le monde, ici. Alors, soyez un peu plus haut. Allez dans les débats. Pas dans les affaires de même.
[00:03:09] Speaker D: Moi, je trouve que la confiance d'une mère, c'est un enjeu très important, M. Hamad. Donc, je vous pose des questions.
[00:03:14] Speaker A: Est-ce que les gens de Québec peuvent vous faire confiance?
[00:03:15] Speaker F: Si voulez que le monde ait confiance.
[00:03:15] Speaker E: En vous, là, soyez respectueux.
[00:03:17] Speaker C: M.
[00:03:18] Speaker B: Dame.
[00:03:18] Speaker E: C'est le premier élément à faire, Mme Smith.
[00:03:20] Speaker C: Merci, M. Hamad. Merci, Mme Smith. La première question était légitime, la deuxième est sale.
Elle dit, allez-vous donner des contrats à vos amis? Ça, oui, c'était sale. La première, je pense que n'importe quel libéral de l'époque de Jean Charest doit s'attendre à un moment donné à se faire poser des questions là-dessus.
[00:03:38] Speaker A: Ma pensée par rapport à tout ça, d'abord, c'est du réchauffé. Ça date de 9 ans.
[00:03:47] Speaker C: Mais c'est encore dans la tête des gens.
[00:03:48] Speaker A: Oui, je comprends.
Pis ça existe, pis le rapport est là, pis c'est du réchauffé. Est-ce que ça existe? Oui. Il y a pas eu... Il s'est fait taper ses doigts, mais le rapport est là. Elle est allée le lire, là. Mais la vraie question, c'est... Pourquoi ça sort là, par cette personne-là, à ce moment-là? D'où me le conspi? Bon, on a parlé de COVID en plus, tantôt, fait que regarde... Il y a des conspis en masse qui sont déjà écrits, là, fait que regarde... Pis t'as parlé de francs-maçons, en plus, avant. Dan, fait que c'est sûr que là, on a une drôle de mix, là.
Mais Doom le conspi, mais pas conspi tant que ça, est en mission commandée par Marchand. C'est la même gang. C'est la même gang. Elle en veut un petit peu plus. Regarde, un petit peu plus de mozzarella sur la pizza, un petit peu plus d'épices sur le spag. Marchand, lui, il veut se montrer au-dessus de la mêlée. Grand prêtre. Regardez, ça chicane. Moi, je suis pour l'unité. Je suis dans le camp des gentils. C'est le camp des gentils.
Mais elle a lâché les gants, mais ça avantage qui au final? Moi, je connais personne qui votait Ahmad, qui disait « Ah, Christy, je vais voter Jackie. » Non, non, « Je voulais aller manger des sujis, je viens voir Salvatore. Je vais manger une pizza. » Non, non, ça ne tient pas la route de deux seules secondes, c'est un coup C'est un coup en bas de la ceinture, commandé par Marchand.
[00:05:18] Speaker B: C'est exactement pour cette raison-là que j'ai...
[00:05:20] Speaker A: Je sais pas, mais croyez-vous, je sais pas, c'est d'où me le conspire, vous avez le droit de me croire ou pas.
[00:05:23] Speaker B: Non, non, moi je le vois différemment, je vois plus que... Pourquoi tu mets un débat face-à-face entre Jackie Smith pis sa mamade, t'sais? Tu veux qu'elle dise quoi, Jackie Smith, à sa mamade, hein? À part ça. T'sais, elle est obligée, là. La formule du débat fait qu'elle t'en fasse la face avec sa maman.
[00:05:40] Speaker C: Pis t'es supposée être sur le transport.
[00:05:41] Speaker B: T'sais, elle, tu veux qu'elle fasse quoi, là? Tu veux qu'elle dise quoi?
[00:05:44] Speaker A: Je veux un tramway, vous en voulez pas.
[00:05:46] Speaker B: Exactement, mais lui il n'a rien à dire. Fait qu'elle essaie de picosser, c'est un peu ça le débat, elle essaie d'être la fatigante, je le sais. Elle fait ça à tous les conseils municipaux, elle cherche à vivre sa mère, Jackie Smith.
[00:05:58] Speaker C: Oui, moi je pense que c'est beaucoup ça. Jackie Smith cherche à vivre tout court.
[00:06:01] Speaker B: En fait c'est inutile...
[00:06:02] Speaker A: Il y a des jeux de coulisses, ça joue sale cette campagne-là pour elle.
[00:06:05] Speaker B: Oui, mais c'est inutile de faire face à face entre sa maman et Jackie Smith.
[00:06:08] Speaker A: Oui, passe le mot à nouveau.
[00:06:09] Speaker B: C'est ça que je fais là.
[00:06:11] Speaker A: Moi je vais vous amener ailleurs, pourquoi elle a fait ça à ce moment-là, là?
[00:06:16] Speaker B: Ben moi je pense que c'est parce que c'était la première fois qu'elle était en face-à-face avec sa mamade.
[00:06:20] Speaker A: Marchand, là, il était super content. Lui, il retournait dans son genre.
[00:06:23] Speaker B: C'est sûr qu'il était super content.
[00:06:24] Speaker A: Il critique Jackie parce que c'était une critique belge.
[00:06:26] Speaker B: Ça, je suis entièrement d'accord, ça aide Marchand.
[00:06:28] Speaker A: Parce qu'il veut lui l'éliminer.
[00:06:29] Speaker B: Mais j'écoute les conseils municipaux à chaque conseil et je peux te dire une chose, j'ai l'impression que Jackie Smith, la personne qu'elle déteste le plus à Québec, c'est Bruno Marchand. Elle le déteste, Bruno Marchand.
[00:06:38] Speaker C: Jackie Smith est arrivée au débat hier prête et elle avait des questions pour chacun, puis elle avait ses questions pour Marchand plus tard.
[00:06:46] Speaker D: J'ai une question pour vous, M. Marchand. Dans la dernière élection, vous avez promis l'itinérance zéro pour 2025.
[00:06:52] Speaker F: Non, je n'ai pas promis l'itinérance zéro.
[00:06:53] Speaker D: Pouvez-vous aujourd'hui assumer votre propre responsabilité et admettre que vous avez été trop loin avec votre promesse?
[00:06:59] Speaker A: Non, M.
[00:06:59] Speaker C: Marchand.
[00:06:59] Speaker F: Moi, au moins, j'ai de l'ambition. C'est quoi votre cible? Moi, au moins, j'ai de l'ambition. J'ai de l'ambition pour dire, l'itinérance, on va s'y attaquer, comme on le fait depuis trois ans. On travaille super fort, on a un plan, zéro trois ans, qui donne des résultats. La situation n'est pas encore beaucoup meilleure. Pourquoi? Parce qu'on est dans un contexte très difficile. Mais on s'y attaque et on ne baissera pas les bras.
[00:07:15] Speaker C: Oui, il se polait.
[00:07:16] Speaker B: Il a fait mal.
[00:07:17] Speaker C: Et c'est ce côté-là qu'il faut faire ressortir le plus souvent de Bruno Marchand. Les opposants, le Bruno Marchand que vous entendez là, ça fait quelques fois qu'il sort depuis le début de la campagne, c'est ça le Bruno Marchand qu'il faut entendre tout le temps. Le gars au bout de sa chaîne. Parce qu'il a à défendre des choses. Parce que c'est vrai ce qu'il disait. Le communiqué qui avait été émis à l'époque, qui a été donné à toutes les journalistes, disait, le titre, c'était « itinérance zéro d'ici 2025 ».
Dans le contenu après ça, c'était pas ça qu'il disait, je vais y donner là.
[00:07:46] Speaker A: Elle fait bien de le ramener.
[00:07:47] Speaker C: Oui, elle fait bien de le ramener. Parce que faites quoi à ça au pire? « Hey, c'est quoi vos objectifs? » C'est comme si je vous disais, c'est comme si je promettais présentement, je me présente à la mairie, pis « Hey, dans les 4 prochaines années là, la crise du logement, je vais tout régler ça. » Là les gens vont dire « Ouais, c'est pas réaliste que t'en dises ça. » C'est quoi tes objectifs toi, hein? T'as pas des bons objectifs? Moi j'ai des bons objectifs.
[00:08:06] Speaker A: Moi je vais tout régler.
[00:08:08] Speaker C: C'est de même.
[00:08:09] Speaker A: Il a dit que je prenais de la drogue, il a dit que je prenais de la drogue, il a dit que je prenais de la drogue On l'a déjà vu le film, là. Au bout de sa chaîne. Tu pèses ses bons pitons pis habituellement, ça lève. Le problème, c'est qu'ils ont pas pèsé ses bons pitons durant la campagne. Fait que résultat, ça a tombé entre deux craques pis lui, il est au-dessus de la mêlée à matin, honnêtement. Lui, il peut se lever à 10h30 à matin marchant, là. Il se lève à 10h30, mange sa crème Budwig, fait son jogging, Idine. À une heure, il appelle son attaché, ça te tend tu te faire une campagne aujourd'hui. Lui, il regarde ça, hein, la chance amande, qu'il se pince. Oh! On va y aller. On va aller voir qui, on va aller voir tel groupe. Il est mort de rire, là, lui! Il est mort de rire. Il m'a pensé à Ketchup, elle. est enragée pis elle cochonne. Cochonne dans le sens, elle donne des coups de cochon. Un coup en arrière du genou, l'arbitre regarde pas, un coup de hockey, un petit coup d'encôte. Mais elle veut survivre. Ça c'est sûr qu'elle, elle a un branding qui est en péril. Parce qu'il y a des ratisselages marchands, c'est ça. Il y a des ratisselages quand même dans ses quartiers.
[00:09:17] Speaker C: C'est ça. Exact. Quoi que marchand, lui il veut s'assurer de gagner. Il veut pas prendre aucun risque donc.
[00:09:24] Speaker F: On est content que M. Lachance ait de l'espace, parce qu'à l'écouter parler, on voit bien que ça ne tient pas à route. On est content qu'il y ait de la mise en lumière qui soit faite là-dessus. Il n'y a pas qu'il y ait une free ride, justement. Aujourd'hui, il vient de nous annoncer 400 millions supplémentaires de dépenses avec le raccordement pour les citoyens du Tonam, notamment. Pour vous, donc, à partir du moment.
[00:09:39] Speaker D: Où les gens vont être plus au.
[00:09:40] Speaker A: Fait de ses idées, sa montée va s'arrêter là?
[00:09:43] Speaker F: Ben oui, j'ai pas de crainte. La quantité de gens qui m'ont dit, des gens assez connus, qui m'ont dit que c'était une catastrophe, il faut que les gens le sachent. Présentement, derrière les idées de cette plateforme-là, ça ne tient pas la route.
[00:09:57] Speaker C: Ça, c'est une ligne que... Ah, il.
[00:09:58] Speaker A: Est de bonne humeur. Il a jamais souri autant. Mais ça, le sourire de ce gars-là... Ah, il est crampé.
[00:10:03] Speaker B: C'est la campagne qui va super bien.
[00:10:05] Speaker A: Ah, mais lui, c'est... Pis il y a de l'aide. Il y a du monde qui souffre dans ses voiles.
[00:10:11] Speaker C: Là, la chance est un petit peu une menace, fait que là on l'attaque lui, pis les médias l'attaquent lui.
[00:10:18] Speaker A: Les médias et lui, oui, Dan, il faut parler des médias, c'est parce qu'on vit dans un microcosme où c'est les boomers en plus qui votent. Les médias, unilingue, ils ont encore la faveur de ce public-là.
[00:10:30] Speaker B: Mon point avec les médias, c'est juste arrêter d'émettre des communiqués de presse puis de penser que c'est de cette façon-là que vous allez réussir à passer parce que vous le savez qu'ils jouent pas dans votre équipe.
[00:10:41] Speaker A: Faites une campagne à la Trump, autonome. Une campagne alternative.
[00:10:45] Speaker B: Voilà. Les médias, ils favorisent Bruno Marchand. Ils commenceront pas à aimer vos communiqués de presse pis vos idées comme vous voulez qu'ils le fassent. Ils favorisent Bruno Marchand. Fait qu'ouvrez-vous des comptes TikTok.
[00:10:57] Speaker A: Il est trop tard. Je l'ai dit ça au début. Il est trop tard.
[00:11:00] Speaker B: Soyez sur les médias sociaux. Achetez de la publicité à TV.
[00:11:04] Speaker C: Ouais mais gardez ça en tête pour les prochaines campagnes.
de tous les niveaux.
[00:11:08] Speaker A: Trump, il l'avait le modèle.
[00:11:11] Speaker B: C'est exactement ça.
[00:11:12] Speaker A: Trump voulait bannir TikTok.
[00:11:14] Speaker B: C'est exactement ça.
[00:11:14] Speaker A: Il a remercié son fils qui l'a converti à TikTok. Il a gagné la campagne. Il a gagné le vote des jeunes. C'est un aîné, Trump. Un aîné turbo. Il dort pas pis il prend du coke.
[00:11:25] Speaker B: Mon point d'homme sur les médias, c'est que je suis tanné d'entendre les gens...
[00:11:28] Speaker A: Ah ouais, tu peux pas blâmer.
[00:11:29] Speaker B: Les blâmer alors qu'on le sait.
[00:11:31] Speaker A: C'est comme une troubille de défaite. C'est comme dire j'ai perdu, la glace était molle.
[00:11:35] Speaker B: Plus que ça. C'est comme dire j'ai pogné la grippe parce qu'il fait frais tout au mois de janvier.
[00:11:41] Speaker A: C'est ça. La bitouffe en conséquence.
[00:11:42] Speaker B: C'est ça.
[00:11:43] Speaker A: J'ai ton plan de match. La campagne est finie anyway.
[00:11:46] Speaker C: 23 septembre dernier. Bruno Marchand promet 5000 maisons de plus en banlieue d'ici 2029.
[00:11:52] Speaker A: Ça c'est bon ça je vais aller l'écouter ça.
[00:11:54] Speaker C: Moi c'est la chose qui est ressortie hier. Ça c'est dans Scrum que ça est ressorti. Donc 23 septembre il fait cette promesse là. Mais, l'affaire c'est que, pas Bruno, mais Stéphane Lachance, lui, dans son programme, il dit on va ouvrir des terrains, on va construire des maisons, parce qu'il y a des familles qui ne veulent pas habiter en condo, puis ils ne veulent pas habiter dans des tours à logement non plus, ils veulent un bout de terre, un bout de terrain qui leur appartient à eux autres, pour mettre la balançoire, peu importe. Ils veulent une place où leurs enfants vont grandir. La réponse de Bruno Marchand hier qui, je vous rappelle, le 23 septembre, promettait des maisons.
[00:12:30] Speaker F: On va couper les arbres, on va aller construire, à basse densité, ce sont leurs mots, là. C'est pas mes mots, ce sont leurs mots, à basse densité, quelques dizaines de maisons, là, qui vont rien régler avec la crise du logement, et qui vont coûter énormément en matière environnementale, qui vont coûter énormément. N'oubliez pas, là, les gens du Nord, ça veut dire plus de monde sur leur ancien, là. Ces gens-là, il faut qu'ils voyagent, là. C'est une catastrophe, là. On fait plus ça au Québec.
[00:12:50] Speaker C: C'est une catastrophe, on fait plus ça au Québec, ça règle pas la crise du logement.
[00:12:57] Speaker A: Alors que la première annonce, la toute première annonce de la campagne qui l'a fait, c'est du développement domiciliaire.
[00:13:05] Speaker C: Où il disait des maisons. J'imagine que c'est ça le communiqué.
[00:13:08] Speaker A: La ville va subventionner les infrastructures pour simuler la construction domiciliaire.
[00:13:14] Speaker C: Ça aide pas en plus à la congestion. C'est pas bon pour l'environnement, c'est de la basse densité, ça règle rien pour la crise du logement. Donc des maisons, c'est de la marde. Mais il a promis qu'il allait faire des maisons.
Quel est le vrai Bruno Marchand? Je pense qu'on a vu le vrai Bruno Marchand hier. Il s'est fourré dans ses mensonges.
[00:13:36] Speaker A: C'est ça. Bruno Marchand, c'est le gars qui est allé se faire photographier au salon de l'auto.
[00:13:44] Speaker C: Oui.
[00:13:44] Speaker A: Salon de l'auto. On le sait que c'est pas vrai là. On le sait que c'est pas vrai. Si vous y avez cru, vous êtes nono. C'est quelqu'un qui est allé au salon de l'auto et qui a dit je suis pour la voiture.
[00:13:56] Speaker C: Et c'est le gars qui fait la guerre à l'auto.
[00:13:58] Speaker B: Mais oui!
[00:13:58] Speaker C: Qui fait la guerre à l'auto sur Mendel et là remarque... Y'a personne au.
[00:14:01] Speaker A: Québec per capita qui a enlevé le plus de parking que Bruno Marchand là. Ça c'est la réalité là.
[00:14:08] Speaker C: Et là remarque ce que je vais te faire entendre parce que là c'était la technique à Marchand là. Regarde, je parle là du monde pis les gens me disent ça, pis moi je suis au courant, pis moi je... La bombe faisait ça beaucoup dans le temps en passant là. Mais J'irais le faire en tête lui.
[00:14:20] Speaker A: Ben, c'est pas le même sujet.
[00:14:22] Speaker C: Mais t'sais, moi j'suis connecté, moi j'parle au monde. T'sais, tout à l'heure là, il disait là, j'parle aux gens pis tout le monde me parle que la chance ça a pas de sens son programme, ok? Pis du monde important là, j'vous les nommerai pas là, mais du monde important. Et là, il a fait la même chose sur sa guerre à l'auto sur Mendel.
[00:14:36] Speaker B: Monté Mendel, sans voiture, encore la guerre à l'automobile où c'est marchand?
[00:14:40] Speaker A: Totalement.
[00:14:41] Speaker F: La guerre à l'auto, c'est pas ça. Maman, qu'est-ce qu'il a fait en enlevant les voies avec son SRB?
[00:14:44] Speaker B: Ben là, en fait, les gens de Caprouge réclament depuis longtemps un passage outre la Côte de Caprouge pour accéder à Sainte-Foy.
[00:14:49] Speaker F: Ça vaut ce qu'on me dit, moi, à Caprouge, et ce qu'on me dit à Pointe-Sainte-Foy, c'est que ça va surtout servir aux gens de l'Ouest, de Sainte-Catherine-de-l'Agent-Quartier, de Saint-Raymond, pour justement bifurquer et couper le trafic.
[00:14:58] Speaker B: N'arrêtez pas de répéter que c'est un secteur désenclavé et que la demande de le désenclaver existe depuis 30 à 40 ans. Ça a été le discours de M.
[00:15:08] Speaker F: Labeaume des années et des Dans Pointe-Sainte-Foy, ils sont très contents de cette décision-là. Ils sont très, très contents de cette décision-là.
[00:15:15] Speaker C: Ils sont très, très contents, là.
[00:15:17] Speaker A: Je viens de ce coin-là.
[00:15:17] Speaker B: Quel mensonge! Moi, je viens de ce coin-là. Pour vrai, la montée Mendel, ça fait 50 ans que je n'entends parler, j'ai 47 ans.
[00:15:25] Speaker A: C'est une anomalie.
[00:15:26] Speaker C: C'est une anomalie.
[00:15:27] Speaker B: C'est... Je ne connais... Pis je viens de ce coin-là beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup, là. J'ai passé toute ma vie dans ce coin-là, sauf les 10 dernières années.
[00:15:36] Speaker A: Mais il n'y avait pas de char, c'est ça que Marchand dit, là.
[00:15:38] Speaker B: La montée Mendel, là, c'est très très important pour le secteur Lessources à Sainte-Foy, pour le secteur Champigny à Sainte-Foy, pour le secteur Jouvence à Sainte-Foy, pour le secteur Cap-Rouge. La montée Mendel, c'est important. Rien à voir avec Sainte-Catherine-de-la-Jogue-Quartier, voir que le monde va sortir de l'autoroute pour aller se lancer d'un quartier résidentiel, se rendre jusqu'à Chaudière pour après ça prendre la montée Mendel. C'est niaiseux. C'est prendre le monde pour des caves. Puis effectivement, si t'avales ce coup-l'oeuvre-là, ben t'es un peu cave.
[00:16:10] Speaker C: Ben oui.
[00:16:11] Speaker A: Villeneuve a bien fait de ramener ça sur la table.
[00:16:14] Speaker G: Si vous voulez savoir que Bruno Marchand va pas s'ouvrir à Sainte-Foy pis qu'il va pas s'ouvrir à Caprouge, ça va pas faire circuler plus de monde de porno. Ça relie le secteur Legend à Caprouge, éventuellement. Je comprends pas où est-ce qu'il va chercher ça. Ce que j'en comprends, c'est qu'il est jamais allé se promener dans ce coin-là. Moi, je suis allé manger des boulettes chez IKEA. Par ailleurs, M. Marchand a un candidat dans La Pointe-Sainte-Foy qui avait déjà pris fortement un position en faveur du développement de la Montébendelle. Puis là, j'aimerais ça entendre où est-ce qu'il est rendu là-dessus.
[00:16:41] Speaker B: Il se dit en réflexion, présentement.
[00:16:42] Speaker A: Il se dit en réflexion.
[00:16:43] Speaker G: Il aurait peut-être dû y passer avant la campagne.
[00:16:45] Speaker A: Moi, ces boulettes m'intéressent.
[00:16:47] Speaker C: Moi, je l'ai gardé, je savais que ça m'intéressait.
[00:16:50] Speaker A: Pas le prêter. C'est juste ça qui m'intéresse.
[00:16:52] Speaker C: Il devait ramener ça à la bouffe un moment donné.
[00:16:54] Speaker A: Non, c'est un bon mangeur. Nous le sommes tous, dans Montréal. T'as un signe de main. Tu nous envoies la main, moi le pouce. Ça veut dire quatre.
[00:17:03] Speaker B: Je suis comme un Simpson qui dit des bye-bye. J'ai quatre doigts.
[00:17:06] Speaker A: Tu ressembles à une mascotte.
[00:17:07] Speaker C: Voilà. Donc, l'alliance...
[00:17:09] Speaker A: C'est quoi ton nom de mascotte, Dan?
[00:17:10] Speaker B: C'est Spookinours.
[00:17:13] Speaker A: Là, c'est beau.
C'est beau, mais B-E-A-U, on l'aura compris.
[00:17:19] Speaker C: L'alliance Amade-Lachance, on a réglé ça hier.
[00:17:24] Speaker E: Il y a eu une proposition qui m'était inacceptable. Puis on a arrêté ça là. Puis là, on continue notre démarche. Puis on va faire notre campagne. Puis point final.
[00:17:34] Speaker H: Il n'y en aura pas d'alliance, ça c'est sûr et certain. On a tenté quelque chose, mais malheureusement ça n'a pas fonctionné. On passe à une autre étape et on regarde en avant. Puis le 2 novembre prochain, Stéphane Lachance fera partie du billet pour le vote à la mairie.
[00:17:45] Speaker E: Un vote pour Stéphane Lachance, c'est un vote pour Marchand.
[00:17:50] Speaker H: Moi, je dis qu'un vote pour Sam Ahmad, c'est un vote pour Bruno Marchand, parce qu'actuellement, M. Ahmad divise le vote.
[00:17:55] Speaker F: Ils sont désespérés, je vous l'ai dit la semaine passée. Ils sont désespérés. Le sondage les a mis dans un état de désespoir et M. Lachance a fait une fausse tentative de rapprochement. Je n'ai jamais vu quelqu'un essayer de se rapprocher de quelqu'un en lui plantant autant de couteaux dans le dos. Je n'avais pas peur. M. Lachance était mal pris avec ses déclarations sur les femmes. Il a décidé de créer du bruit pour faire semblant qu'on n'en reparlerait plus.
[00:18:15] Speaker C: Vous voyez qu'elle ramenait ça aussi hier, ça c'est une déception de la part de Bruno Marchand. Il y avait une stratégie, ça je veux le rappeler.
Vendredi dernier, Karen a sorti un texte sur la chance. Le Journal de Québec a créé un narratif à un moment donné que la chance était misogyne parce qu'il avait dit, il a juste dit là, que Marchand avait du magnétisme avec les femmes. That's it. Fait que là, tout à coup, il est devenu misogyne.
[00:18:42] Speaker B: Je pense que la phrase qui n'a pas passé, c'est « Je veux séduire les femmes. » L'électorat féminin.
[00:18:48] Speaker A: Ben elle s'en passe là, parce qu'il l'a répétée.
[00:18:50] Speaker B: C'est le mot séduction, je sais. Mais les autres qui ont pas aimé, c'est le mot séduction.
[00:18:54] Speaker A: Curren a pas aimé ça. Mais hier, il l'a répétée en scrum. Moi, j'ai écouté le scrum au complet. Pis je dois dire que le gros torieux, il se débrouille pas pire. Parce qu'il s'est fait grêler par Louise Boisvert, une autre fille que je connais pas, là. Pis t'as-tu Tiffany Martin? Je la connais pas, cette fille-là. Et Tayeb Moualla. Mais il s'en est sorti. Quand il a parlé d'une espèce de colloque, une réunion des femmes et tout ça, Là, ils se sont mis à joker, moi là, qui dit « Ouais, mais moi j'suis un homme, j'ai le droit d'y aller ». Là, ça riait, là. Tu vois, oui, vous allez entrer, pis pas de problème. Ça a bien passé, c'est juste que Marnie Caron, elle est montée sur ses granges.
[00:19:28] Speaker B: Ouais, je sais, je sais, c'est ça.
[00:19:29] Speaker A: Il a parlé des femmes, il a parlé des femmes!
[00:19:31] Speaker C: Mais le point important, là, c'est que le texte a paru vendredi, mais il était daté d'hier.
[00:19:36] Speaker A: Non, ça, c'est une maudite histoire. Ça, ça se finit toute la fin de semaine.
[00:19:39] Speaker C: Et c'est encore ça, là. Il était daté de mardi.
[00:19:40] Speaker A: Il était programmé dans l'ordinateur.
[00:19:42] Speaker C: Normalement, il devait sortir mardi matin, après le long congé.
[00:19:46] Speaker A: Pour le détruire.
[00:19:47] Speaker C: C'était ça le but. C'est clair, c'était ça le but. Mais vu que lui en a parlé vendredi après-midi.
[00:19:52] Speaker A: Il était poste daté. Comme un chèque de loyer.
[00:19:53] Speaker C: Ils ont fait le come back, on va le sortir vendredi finalement.
[00:19:55] Speaker B: Elle se reprend à matin.
[00:19:56] Speaker C: Elle se reprend à matin.
[00:19:57] Speaker A: Ils sont en train de le bâtir.
[00:19:59] Speaker C: Ouais, aussi.
[00:20:00] Speaker A: Il est comme un animateur de Radio X. Dans sa tête, c'est un animateur de Radio X. Dans sa tête à elle. Tu comprends? Elle en fait mention d'ailleurs. Elle revient là-dessus ce matin. Il était chroniqueur à Radio X. C'est de la maladie. C'est une obsession. Et parfois, les obsessions, on peut juste les constater, on peut pas les contester. C'est une obsession. Elle est obsédée par ce gars-là. Et s'il avait été chroniqueur à Rouge FM, ça serait pas pareil. Mais il a été à Radio X et on a combattu le tramway ensemble. Tramway qu'on aura peut-être, d'ailleurs.
[00:20:35] Speaker C: Et là, rapidement, il y a l'histoire de l'entente. C'était quoi l'offre, finalement, que la chance faisait amal ? Ça fait jaser, bien sûr, depuis hier au moins.
Quoi la croissance inacceptable?
[00:20:49] Speaker B: Est-ce que vous pouvez nous donner le détail, M. Hamad?
[00:20:51] Speaker E: C'est très important. Vous voulez pas?
[00:20:53] Speaker A: Parce qu'il y a une entente de.
[00:20:53] Speaker C: Confidentialité ou c'est quoi?
[00:20:55] Speaker E: C'est important de savoir, non?
[00:20:57] Speaker H: Vous trouvez pas?
[00:20:58] Speaker E: Pas pour le moment.
[00:21:02] Speaker B: Tantôt, M. Hamad a dit que la proposition qu'on lui avait faite était inacceptable et a refusé de la détailler.
[00:21:07] Speaker H: Les deux directeurs de campagne se sont entretenus. On a fait une proposition qui était pour nous très respectueuse. Du côté de Leadership Québec, on ne l'a pas vue de cette façon-là. Ça leur appartient. Je ne pense pas qu'on pouvait parler dans l'offre qu'on a faite de précipices.
[00:21:22] Speaker A: Mais pas du tout.
[00:21:23] Speaker C: Pas du tout.
[00:21:24] Speaker B: Ça aiderait si on savait de quoi on parle.
[00:21:26] Speaker H: Vous êtes conscient de ça? Il y a bien des choses qui aideraient aussi souvent à ce niveau-là, mais.
[00:21:29] Speaker C: Ça va demeurer confidential.
[00:21:30] Speaker A: Les journalistes font leur job. Je serais dans le scrum et je ferais pareil.
[00:21:35] Speaker C: Il y a des questions à poser.
[00:21:37] Speaker A: Article 590, je vais lire l'article. Obtiens autant d'obtenir qu'une personne pose sa candidature à un poste de membre du conseil. S'abstienne de le faire ou retire sa candidature en lui promettant ou en lui accordant quelques dons, précharges ou avantages. Mais ça c'est interdit.
[00:21:53] Speaker C: L'avantage, ça paie d'une job.
[00:21:56] Speaker A: C'est ça.
[00:21:56] Speaker C: Ce genre de choses-là.
[00:21:58] Speaker A: Ils s'expliqueront, je sais pas si le DGE va enquêter, mais on suit ça.
[00:22:03] Speaker C: C'est sûr que t'es arrivé à Saguenay.
[00:22:04] Speaker A: C'est ça. Et coupable en passant.
[00:22:06] Speaker C: Oui.
[00:22:07] Speaker B: Puis... Ça fait cinq jours, là. Ça fait cinq jours que les deux gars perdent là-dessus.
[00:22:11] Speaker C: Oui.
[00:22:12] Speaker A: La journée est brûlée.
[00:22:14] Speaker B: Ça fait cinq jours que les deux gars perdent là-dessus.
[00:22:16] Speaker A: Pendant ce temps-là, tramway, ça va bien. Les firmes d'ingénierie, tout ça, les plans, tout est rentré, ça va bien. Les expropriations, ça va bien. Tout est beau. Merci beaucoup, Dom. Légionnaire, vous pouvez... Comment on dit ça, là? Au repos?
[00:22:30] Speaker C: Oui, au repos.
[00:22:31] Speaker A: Là, il y a des militaires qui vont nous écrire.
[00:22:33] Speaker C: Ça a pas l'allure, hein?
[00:22:35] Speaker A: Vous nous manquez de respect. Les gens sont au bout de leur chaîne, le matin.
Dan a raison! Les autres, fermez vos yeux! Les amis, c'est Moray Live. Chacun a son opinion. La devise de la station, c'est faites-vous votre opinion. Pas une opinion unique. Chacun a un regard spécifique sur l'actualité et le monde qui nous entoure. Si vous écoutez le midi, trois fois sur quatre, ou plutôt même six fois sur sept, Pat et Jean-Claude ont pas le même regard. C'est pas si différent, mais il y a une autre manière de voir les choses. On appelle ça des différences de perspectives. Il faut appeler un chat un chat.
[00:23:15] Speaker B: C'est ça, romper.
[00:23:16] Speaker A: Chacun s'est rompé, merci. Merci Samuel. Alors voilà, on rompt, mais pas tant que ça parce qu'après la pause... 88-670-9098. C'est 20 minutes que vous avez avec Sam Hamad qui vient s'asseoir devant moi. Ce sont les 20 minutes du peuple et ça vous appartient. C'est pas une entrevue. Je fais pas d'entrevue, c'est vous qui posez les questions. 418-670-9098 et vous êtes dans Morel Live.