Episode Transcript
[00:00:00] Speaker A: Le post Facebook, j'ai pas d'audio à faire, mais le post sur les médias sociaux québécois qui a fait le plus jaser durant la journée d'hier, c'est celui qu'a fait Olivier Primo ce week-end concernant le filet mignon. Il a pris un grand filet, c'est un filet complet, qui est à 321$.
[00:00:20] Speaker B: Si tu le coupes, ça revient à combien du morceau, c'est ça?
[00:00:22] Speaker A: C'est quand même cher, 321 pour ce gros morceau-là.
[00:00:25] Speaker B: Moi, je l'avais pas vu.
[00:00:26] Speaker A: Ben, il est là, le morceau.
[00:00:28] Speaker B: Montre-moi ça. C'est le gros filet... Non, c'est cher.
[00:00:30] Speaker A: C'est le gros filet qu'on a... Regarde, on va le dire, c'est chez Costco. C'est le gros filet qu'on a acheté à 130$ il y a deux ans.
[00:00:38] Speaker B: Il est rendu au-dessus de 300$?
[00:00:39] Speaker A: Au-dessus de 300$.
[00:00:40] Speaker B: Non, non, c'est pas achetable.
[00:00:41] Speaker A: Puis lui, il dit, Flémillon, t'es milliardaire, si oui, c'est correct. Bienvenue dans l'ère des libéraux, Trudeau, Carnet pis... Mais il se fait abondamment critiquer pis je comprends pas pourquoi les gens critiquent ce genre de post là.
[00:00:53] Speaker C: C'est un riche.
[00:00:54] Speaker A: T'sais même... Ouais ben si, si c'est à cause...
[00:00:56] Speaker C: C'est sûr ça.
[00:00:57] Speaker A: Pis y'a du monde qui dit ouais mais c'est à cause de Carnet pis de Trudeau, la viande serait...
La viande serait pas... Beaucoup de carne lovers. Ben c'est ça.
[00:01:06] Speaker B: On a fait élire carne, guys.
[00:01:07] Speaker A: Ça n'a pas de bon sens.
[00:01:08] Speaker B: Faut s'acheter dans un miroir.
[00:01:08] Speaker C: Beaucoup d'illettris économiques.
[00:01:10] Speaker A: Ça n'a pas de bon sens le prix.
[00:01:11] Speaker D: Énormément.
[00:01:11] Speaker B: On est dans le dôme.
[00:01:12] Speaker A: Puis il faut le dire. Puis les autres commentaires que je ne suis plus capable de voir, pour vrai je ne suis plus capable, passez-vous-en. Filet mignon, j'en ai jamais mangé de ma vie, je suis pas mort.
[00:01:22] Speaker B: Ça me fait penser au post que j'ai fait sur le shish taouk, qui était un message sur l'inflation alimentaire.
Passe trois ans, t'as le choix de pas t'en acheter. C'est ça que je dénonce aussi. Lui le dénonce aussi. Mais Dom a raison aussi. Y'a un petit assaisonnement là-dedans. Jalousie.
[00:01:38] Speaker A: Ben je pense que oui.
[00:01:40] Speaker B: Y'a un moyen toi. Nous autres on a pas un moyen. C'est sûr que l'aspect... On le déteste Carné, pis on le déteste encore plus Trudeau. Mais Max nous en parle pis on peut y en reparler si tu veux. Il est avec nous autres ce matin. C'est le cheptel par contre. Le fait de dire Carné t'es arrivé, la viande augmentée, c'est un récourci.
Parce que le cheptel n'a pas monté. La capacité de production, autrement dit, n'a pas monté. Ça donne que des humains et des bouches à nourrir, au Canada, il y en a plus qu'avant. C'est sur cet aspect-là.
[00:02:06] Speaker C: Là, je comprends que le pot, c'est sur le boeuf. Mais regarde, la bouffe en général.
[00:02:10] Speaker B: La bouffe en général, donc, tu as raison.
[00:02:11] Speaker C: La facture d'épicerie a monté point.
[00:02:12] Speaker B: Si tu parles de la bouffe en général, ça ne baissera plus.
[00:02:14] Speaker C: Puis on parlait du poulet récemment.
[00:02:16] Speaker B: Le poulet est très cher, ça ne baissera plus. Ce qui est plus économique ces temps-ci, c'est le porc. Nous autres, on mange ça. Hier, on a switché T'as-tu quoi? Des boulettes de porc? C'est bon le porc? Oui. On a mis ça avec du riz et des légumes hier. Très bon.
[00:02:28] Speaker C: Heureusement qu'il y a des deals avec ça.
[00:02:31] Speaker B: Du porc, y'en a en masse. Y'en a pas ben ben des garderies de Québec, par contre. On y revient.
[00:02:36] Speaker C: Ouais, non.
[00:02:37] Speaker B: On y revient.
[00:02:39] Speaker C: Du porc à l'âge, ça existe-tu ça?
[00:02:40] Speaker B: Non, c'est pas cette année.
[00:02:42] Speaker C: Voyons!
[00:02:42] Speaker B: C'est pas au menu.
[00:02:43] Speaker A: C'est le prochain extrait que je vais vous faire entendre, c'est le Dôme du Moi qui m'a envoyé hier.
[00:02:47] Speaker B: Dôme du Moi?
[00:02:47] Speaker A: Ouais, le légionnaire. Concernant une compagnie, je pense que c'est un gym là, qui est à Saint-Rémy-Mal, ils sont ben, ben, ben écœurés. Des cons d'orange, puis des travaux qu'il y a dans ce secteur-là, comme la majorité du monde. On écoute ce que ça donne. En plus, ils sont eux-mêmes édités. Ça là, si vous voulez passer dans Montréal Live, si vous vous éditez vous-mêmes, c'est merveilleux. Écoute ça. J'suis écœuré des *** qui sont... Fais-le Francis! J'suis écœuré des *** qui sont... Regarde, il sèche toutes les cônes à terre en fait ce soir-là. Ils vont t'être bouillquérés, t'es un con.
[00:03:21] Speaker B: D'Orange à se faire meurtre dans le secteur Guillaume Couture. Portez vos commentaires s'il vous plaît dans cette vidéo-là.
[00:03:26] Speaker A: Ça va Francis, tout va bien aller, t'inquiète pas.
Le gars, on est pas capable d'accéder à son parking parce que des cons d'orange, ils ont mis des cons d'orange en face de l'entrée de son parking.
[00:03:37] Speaker B: Qui sont les imbéciles?
[00:03:39] Speaker A: Ben c'est la ville ou le ministère.
[00:03:41] Speaker B: C'Est Ben faut cibler.
[00:03:43] Speaker C: Pis c'est les travaux de Guillaume Couture qui enfanchionnisent la vie du monde.
[00:03:48] Speaker B: Faut passer au garage au gars à qui on a parlé là. Oui. Versant Nord.
[00:03:53] Speaker C: Oui, exact. Mais les travaux sur Guillaume Couture se font, c'est les voies réservées qu'ils sont en train d'ajouter pour les autobus éventuellement. Je comprends qu'il faut que ça se fasse, mais c'est enfant de chiennise. Les gens sont écoeurés. C'est comme, quand est-ce que ça finit? Parce que ça finit plus de finir. C'est long. Heureusement, au moins, le coin... C'est le coin du Maxi et du IGA, je vais dire ça de même. Ça, ils l'ont réglé l'année dernière. Parce que ça, c'était... bordel à chaque matin pis peu importe à chaque journée de la semaine. Mais là, ils sont rendus juste un peu plus loin, mais pour tous les commerces, j'y comprends, c'est de la marde.
[00:04:29] Speaker B: Qui mène dans la course à Lévis? On a un peu délaissé ça avec les niaiseries alimentées par les médias, ça arrive, non? Il m'a-tu parlé? Il m'a-tu pas parlé? À Lévis, ça a l'air de quoi?
[00:04:39] Speaker C: Parce qu'on n'a pas vraiment de sondage. Moi, je pense que Bléné...
[00:04:43] Speaker B: Ton pif?
[00:04:43] Speaker C: Mon pif, c'est que Bléné est en avance.
[00:04:45] Speaker B: Bléné majoritaire?
[00:04:45] Speaker A: Oui.
[00:04:46] Speaker C: Je pense que Bléné risque de passer... Je sais pas s'il va passer à Grattes.
mais j'ai l'impression que le nom veut pas les vendeurs.
[00:04:54] Speaker B: Il y a une notoriété.
[00:04:56] Speaker C: Il y a une notoriété.
[00:04:57] Speaker B: Oui. Quand il te serre la main, il te regarde dans les yeux. Il y a une notoriété. C'est comme des lasers. C'est qui le super-héros qui a un laser dans les yeux?
[00:05:08] Speaker C: Le gars des X-Men.
[00:05:09] Speaker B: Oui, il me fait penser au gars des X-Men. Il te serre la main. Bonjour, comment ça va? T'sais là tu dis sacrifice, je suis-tu dans le trouble? Y'a-tu quoi? Y'a-tu... Y'a-tu une graine entre les dents? Là ils te regardent, ils te déshabillent.
[00:05:24] Speaker C: Pis t'sais, Lévis pis la Rive Sud...
[00:05:26] Speaker B: Y'était un peu awkward Blainey dans le style là.
[00:05:28] Speaker C: Oui y'était awkward.
[00:05:30] Speaker A: J'essaye de pas parler là. Dis-moi tu fais penser un peu à Vrael Dalton.
[00:05:34] Speaker B: Ben...
T'as le droit de le dire.
[00:05:37] Speaker A: J'ai ça. Qu'est-ce que tu veux que je parle?
[00:05:38] Speaker B: T'as ta propre opinion.
[00:05:40] Speaker A: Il me fait penser à quelqu'un que s'il est en cheval pis qu'il a faim, il va manger son cheval plutôt que de rester dessus pour se rendre jusqu'au prochain restaurant.
[00:05:47] Speaker B: En riant? En souriant?
[00:05:48] Speaker A: Sans doute.
[00:05:50] Speaker D: Oui.
[00:05:50] Speaker B: Non, il est awkward un peu.
[00:05:51] Speaker C: Oui, oui. Mais Lévis, pis l'arrivée de ça, c'est une place de conservateur.
[00:05:55] Speaker B: Tout à fait.
[00:05:55] Speaker C: C'est un ancien ministre conservateur.
[00:05:57] Speaker B: Y'a une belle équipe, là. Regarde, ça va bien aller. Tu sais-tu quoi? Lévis avant Québec Anytime. En ce qui me concerne, au niveau du leadership.
Au niveau de la politique.
[00:06:06] Speaker A: Est-ce que c'est un franc-maçon?
[00:06:07] Speaker B: Oh merde! Tu connais-tu des francs-maçons? Des francs-maçons? Oui, il y avait un temple de francs-maçons sur la rue Embloc à Shawneegan. On se faisait craquer quand on était jeunes. «Marche de l'autre bord de la rue!» Moi j'allais jamais marcher dans ce coin-là, c'était pas mon quartier.
[00:06:24] Speaker A: Je te fais entendre un franc-maçon qui a fait son coming-out au Québec. Es-tu prêt?
[00:06:29] Speaker C: Oui, je suis toujours prêt.
[00:06:30] Speaker D: Quand il m'a dit ça, j'ai dit, il est où Nati? Il est où les enfants? J'ai dit ça, puis il est parti arrêt. Il a dit, ça c'est dans les fibres. Toutes les questions qu'on aimerait en penser, c'est ça que j'ai demandé. J'ai fait mon initiation, mon deuxième degré, troisième degré. Je suis devenu master mason, j'ai fait du cottage ride jusqu'au trente-deuxième degré. Je suis en franc-maçon, je le suis encore. Je suis au niveau trente-deuxième degré. Ce que les gens ne parlent jamais quand on parle de franc-maçonnerie, parlent jamais des hôpitaux à soins.
Si tu vas sur la page Schweiner, tu vas voir à l'entrée, c'est nous qui payons le fonds seulement des entreprises. C'est nous qui avons fondé Sysoptimum, qui a de la value dans le monde.
[00:07:06] Speaker A: Donc voilà, Georges Larrac est un franc-maçon. 32e degré.
[00:07:10] Speaker B: C'est un assez vieux vidéo, ça.
[00:07:12] Speaker A: Oui, je l'ai vu hier.
[00:07:14] Speaker B: Oui, ça circule depuis cet été, depuis le début de l'été. Très bon! C'est très bon. Il a entièrement raison, chez Schweiner. Entièrement raison.
Mais je sais pas c'est quoi les francs-maçons. Qu'est-ce qu'ils font en dedans? Les réunions dans les temples, les loges, la loge maçonnique.
[00:07:32] Speaker A: Le Silex.
[00:07:33] Speaker B: Je sais pas. Je sais pas ce qu'ils font. Mais une chose est sûre, c'est que si tu parles d'hôpital Schreiner, il y a 22 hôpitaux Schreiner dans le monde, dont un à Montréal. Ils soignent gratuitement les enfants atteints de brûlures graves, malformations osseuses et problèmes orthopédiques. Bravo.
Je pense qu'on n'a pas un moyen de fermer cet hôpital-là, humblement. Non, c'est une belle sortie. Mais tu sais, des fois, Georges, il y a tellement de l'humour, ce gars-là. Au début, je me suis dit, il fait un gag pour troller. Parce que ça ressemble à une vidéo drôle de Georges.
[00:08:10] Speaker A: C'est pour ça que je me suis assuré qu'il n'était pas dans les studios de BPM.
[00:08:13] Speaker B: C'est ça, c'est ça. C'est le genre de discussion qu'il peut avoir avec Gonzo. Gonzo embarque, il ouvre les lignes.
Mais je pense que c'est vrai. Good. Moi, je n'ai rien à dire là-dessus. Chacun fait ses choix. Puis les Shriners, quelle excellente oeuvre, pour vrai.
[00:08:28] Speaker A: Il y a une fille qui a lancé un cri du coeur sur TikTok concernant les vaccins de la COVID. Et vous allez me dire, oui, un vaccin de la COVID en 2025, Dan. Je vous fais entendre son cri du coeur parce que plusieurs personnes l'ont partagé au courant de la fête semaine. Ça ressemble à ça.
[00:08:41] Speaker E: En tout cas, si toi, tu dis ça, ça veut dire que tu l'as pris.
Pourquoi t'es étonné qu'on en parle? C'est parce que tu comprends pas. Tu comprends pas. C'est une guerre spirituelle. C'est pour ça qu'on en parle encore. C'est pas fini, là. On est dedans. Là, là. En ce moment. C'est pour ça. En tout cas, si toi tu dis ça, ça veut dire que tu l'as plus.
[00:08:59] Speaker A: En fait, la question qu'elle se pose, c'est... Elle répond à tous ceux qui disent... Que tu l'aies pris ou non, ton vaccin de la COVID, on s'en fout, on veut plus d'entendre parler. Fait qu'elle a dit, si tu prends ça, tu l'as pris, ça devient viral, il y a encore bien du monde qui se sont accrochés sur l'histoire du vaccin de la COVID. L'êtes-vous? L'êtes-vous pas? Chose certaine, c'est que le monde soit fort plus vacciné, là, pis ça va bien. Moi, j'ai fait une grande... pas une grande enquête, là, c'est pas ça que j'allais dire, mais une grande... une réflexion, oui. Et je crois sincèrement que le vaccin de la COVID... a fonctionné. Et je vous explique. Je crois à l'effet placebo.
J'y crois, moi, à l'effet placebo. Tous les médecins y croient. Tous les pharmaciens y croient. Ça existe, l'effet placebo. C'est vraiment quelque chose... On est capable, avec notre cerveau, si on pense qu'on est soigné, de se soigner nous autres-mêmes. Ça a été prouvé très, très souvent.
[00:09:51] Speaker B: Il faut que tu fasses un test à l'aveugle. Tu peux pas faire ça avec un vaccin.
[00:09:53] Speaker A: Non, je sais. Je sais. Je sais. Mais je pense que, qu'il ait fonctionné ou non, le vaccin sur les gens, l'effet placebo sur la société, Ça leur a donné confiance pour ressortir de chez eux, pour ouvrir les restaurants, pour ouvrir les gyms. En fait, le vaccin de la COVID a un effet placebo sur l'administration publique.
[00:10:13] Speaker B: Sur le politique.
[00:10:14] Speaker A: Sur le politique. Pis ça, là, qu'est-ce que tu veux que je te dise? On peut pas l'enlever, c'est ça. C'est pas... Je pense sincèrement que...
[00:10:23] Speaker B: Mais ils ont utilisé ça, par contre, comme arme de répression.
[00:10:26] Speaker A: Tout ça, je suis d'accord.
[00:10:28] Speaker B: À chaque fois qu'on est vacciné, on te prive de droits. C'est là-dessus que je vais me plaindre.
[00:10:30] Speaker C: Il y a eu deux problèmes avec le vaccin. La première, c'est l'obligation. Ça, c'est la plus grosse. La deuxième, c'est qu'ils nous ont boulejetés sur l'efficacité.
[00:10:39] Speaker B: Ils ont menti. C'est aussi scientifique.
[00:10:41] Speaker C: Ça arrive pratiquement pas, en fait, des vaccins aussi.
[00:10:44] Speaker B: Les médecins sont allés dire, tu peux pas le donner, tu peux pas le recevoir.
[00:10:48] Speaker A: Mais eux autres, ils faisaient assez confiance que grâce à ça, ils ont réouvert à cause du vaccin.
Ils se sont dit, ça va marcher, fait qu'ils ont ouvert les restaurants, on a déconfiné en se disant, ce vaccin-là va marcher. Il y a comme eu un effet placebo, tu comprends? C'est comme si on avait fait... s'ils auraient pu nous injecter du sucre. Tu comprends? Pis ça aurait fonctionné pareil parce qu'eux autres dans leur tête ça allait fonctionner et c'est le plan qu'ils ont suivi.
[00:11:17] Speaker C: On leur disait à la TV pis le monde y croit ce qu'ils se.
[00:11:19] Speaker B: Disent à la TV.
[00:11:19] Speaker A: Ouais, exactement. Y'a eu un effet placebo qui est venu avec cette christie de vaccin là. Pis ça a fait que, parce qu'aujourd'hui y'a plus personne qui se fait vacciner là. Tu vois en Alberta depuis qu'il faut qu'ils payent y'a personne qui le prend. Il n'y a plus personne qui se fait vacciner. Les gens sont comme débarrassés de ça.
[00:11:31] Speaker B: Ça affecte tous les vaccins. Les vrais vaccins. Il y a des vrais vaccins qui existent depuis des dizaines et des dizaines d'années. C'est ça qui est le problème aussi. C'est qu'ils ont tellement poussé ça loin que la vaccination a tombé mur à mur pour tous les vaccins, même essentiels. Vaccin tétanose, vaccin... Ça, je trouve ça très grave. Ils ont vraiment endommagé la santé publique.
[00:11:52] Speaker A: Ça, c'est le côté un peu plus sombre.
[00:11:54] Speaker B: Ça, c'est un côté très sombre.
Et là, si vous avez regardé la game de hockey hier, là, moi je me suis accroché dans trois pubs de vaccins différentes. Là, le Pharma est obligé de mettre de la pub en bouffon. Vous l'entendez ici sur les ondes, partout, dans tous les médias. Ils mettent de la pub. Quelqu'un appelle, ils achètent de la pub, ils la passent. Ça a même affaire à TV. Pour justement récupérer ça, mais les pouvoirs publics ont endommagé la science, carrément. C'est ça qui est l'effet pervers de ça. Mais faites-vous en pas, il n'y a personne qui a perdu sa job comme telle. Arruda, ce matin, grosse entrevue dans le Nouvellis en passant.
[00:12:31] Speaker A: Ah oui, j'ai du savoir trop bien.
[00:12:33] Speaker C: Le Nouvellis? Il était à Trois-Rivières.
[00:12:35] Speaker B: Il était nommé il y a une couple de semaines. À Trois-Rivières. Ça va bien. C'est une belle ville, là. Avec le même salaire. Donc, tout est réglo, comme on dit. Ça va très bien. Mais ça a été brutal. La gestion que tu décris comme placebo, là, ils ont fait beaucoup, beaucoup de mal avec ça.
[00:12:56] Speaker A: Boum, j'étais là, je l'ai vu, là. J'ai tout vu ça. J'ai tout vu ça, mais je pense encore sincèrement que la province dans laquelle je vis, a été réouverte à cause de ce vaccin-là, qu'il fonctionne ou non. Eux autres, c'est ce que ça prenait pour les convaincre. T'sais, c'est comme si je te dis... Te souviens-tu du film Days of Thunder avec Tom Cruise pis Robert Duvall?
[00:13:21] Speaker B: Non, je sais c'est quoi le film.
[00:13:22] Speaker A: Mais je me souviens pas. Le film de Nascar.
[00:13:23] Speaker B: Oui, oui, je le sais, mais je me souviens pas.
[00:13:24] Speaker A: Les pneus spéciales. Je t'ai mis des pneus spéciales.
Vire le virage à fond. Ouais, mais je peux pas virer le virage à fond, je vais décrocher. Non, non, non, tu décrocheras pas. Je t'ai mis des pneus spéciales. Le gars pogne le virage à fond. Gagne la course. C'était quoi les pneus spéciales? C'était les mêmes pneus que d'habitude. C'est ça.
[00:13:45] Speaker C: Le spécial était dans ta tête.
[00:13:46] Speaker A: Le spécial était dans ta tête. C'est ça mon point par rapport au vaccin. C'est dans la tête que ça a marché. C'est dans la tête de l'administration publique.
[00:13:56] Speaker B: Moi, c'est plutôt de la vie qu'il y a eu de la corruption, carrément, de la part des compagnies pharmaceutiques. C'est démontré dans des études qu'on n'a pas faites, mais qu'on a faites en Europe, que Pfizer était carrément des bureaux politiques pour mousser ça. C'est des gros sous. C'est plus une affaire de gros sous. C'est pas de ça que je parle.
[00:14:20] Speaker A: Je parle de la madame qui sortait pas de chez eux, qui voulait pas voir ses petits-enfants et qui acceptait après trois doses. C'est de ça que je te parle.
[00:14:26] Speaker B: Moi je te parle de l'action plus de Pfizer.
[00:14:28] Speaker A: C'est vraiment ça qui a joué.
[00:14:30] Speaker B: C'est surtout ça qui a joué. À mon avis. Je le dois mon opinion aussi.
[00:14:35] Speaker A: Oui, mais c'est parce qu'on parle pas de la même chose. Moi, je te dis, Mme Tartampion, qui ne voulait plus voir ses petits-enfants parce qu'elle avait peur de la COVID, elle, ces trois doses ont eu un effet au moins placebo sur elle. Tu comprends? Parce qu'après ça, après les avoir eues, que ça fonctionne ou non, le vaccin était à l'aise de recevoir ses petits-enfants.
[00:14:53] Speaker B: Ben peut-être qu'actuellement, ça s'applique à ton affaire.
[00:14:56] Speaker A: Même à l'époque, ça s'applique.
[00:14:59] Speaker B: J'ai ma sixième dose. Il y en a des aînés qui sont à Québec actuellement.
[00:15:03] Speaker A: Il y a des profs qui ne voulaient pas enseigner.
[00:15:05] Speaker B: Ils sont contents.
[00:15:06] Speaker A: Il y a des profs qui ne voulaient pas enseigner. Un coup qu'ils ont eu leur dose de vaccin, ils ont dit « OK, c'est beau, je vais y aller ».
[00:15:10] Speaker B: Ça les rassure.
[00:15:12] Speaker A: C'est ça l'effet placebo.
[00:15:14] Speaker B: Aujourd'hui. Exactement.
[00:15:16] Speaker A: C'est de ça que je te parle.
[00:15:18] Speaker B: Aujourd'hui, étant donné qu'on est libre de l'avoir ou pas, des gens, de leur plein gré aujourd'hui vont se chercher du réconfort au centre de vaccination. Actuellement. Ça, ça s'applique aujourd'hui.
[00:15:31] Speaker A: Je pense qu'à l'époque aussi, c'était la même chose, c'est-à-dire les gens, le fait des vaccinés se sont dit « OK, là, je peux voir mes petits-enfants parce que je suis protégé. » Le problème, c'est qu'ils peuvent pas.
[00:15:41] Speaker B: Voir plus les petits-enfants.
[00:15:42] Speaker A: Oui, mais c'est quand même de même que c'est arrivé. Si on s'en souvient, quand on a eu la deuxième dose, on commençait tranquillement à avoir des facilités. C'est quand même comme ça que ça s'est passé. Il faut se souvenir de la façon dont tout ça est arrivé. Moi, je pense que oui, il y a eu un effet placebo. Il y a du monde qui s'est dit, parfait, là, je peux enfin revoir ma famille, je viens d'être vacciné et eux autres aussi l'ont été. Alors que le vaccin, il ne marchait pas plus qu'il marche aujourd'hui. Mais dans leur tête, ça marchait.
[00:16:10] Speaker B: Le vaccin était une fraude.
[00:16:12] Speaker A: C'est ça mon point, les compagnies puis les gouvernements, je suis tout dessus de ça. Je te parle de Mme Tartampion qui reste à Sept-Îles. Elle a rien à voir avec la corruption.
[00:16:20] Speaker B: Ton effet placebo était assis sur une fraude. Mon opinion à moi, ce qu'on sait maintenant, c'est qu'il n'y a pas eu d'études pour démontrer la viabilité de ces vaccins-là. Et ça a procuré un effet placebo, mais ce qu'on nous a vendu, C'est ça, c'est que tu peux pas le.
[00:16:38] Speaker C: Pogner, tu peux pas le recevoir.
[00:16:41] Speaker B: Moi je l'ai eu trois fois pis je l'ai sûrement donné. Ça donné, je le sais pas si je l'ai donné. Mais je l'ai pogné trois fois par exemple, je me suis encrucifié maintenant.
[00:16:47] Speaker A: C'est des pneus spécials.
Ils cherchent pas plus loin que ça.
[00:16:51] Speaker B: Le deuxième vaccin m'a permis d'aller aux États-Unis. C'était plus ça le pneu spécial. Avec le code QR.
[00:16:58] Speaker A: C'est sûr j'aurais pas eu de troisième dose si c'était pas pour aller à Paris. Je l'aurais jamais jamais jamais fait. J'ai fait juste pour ça. Il y a aucune autre raison. Ouais, donne-moi ma dose pis après ça, on va passer à autre chose parce que je voulais m'en aller, je voulais sacrer mon camp. Mais moi, je reviens toujours aux pneus spéciales. C'est un mensonge, les pneus spéciales, là. C'était pas vrai. Mais ça a fonctionné. C'est la même chose que je te dis pour la COVID, là. La COVID, c'était des pneus spéciales. Mais ça en était pas. Mais on fait juste dire au monde, t'sais, des pneus spéciales.
[00:17:27] Speaker B: Assis sur une propagande.
Monstrueuse.
[00:17:30] Speaker C: On a fait peur au monde.
[00:17:32] Speaker B: Monstrueuse.
[00:17:32] Speaker C: On a fait peur au monde pis après ça on leur a donné un placebo. Pour plus qu'il y ait peur.
[00:17:37] Speaker B: Fait peur au monde avec des fausses données scientifiques.
C'est fou, là, cet événement-là. On a passé très vite au Québec, là-dessus, en passant. En Europe, on a poussé plus loin, au niveau des études et tout ça. Mais ici, tout est oublié, tout est pardonné. De toute façon, on a fait notre tour là-dessus. Ici, ça a été pardonné vite. Mais tous les politicos de connivence, il n'y avait pas d'opposition. Par décret.
[00:18:02] Speaker A: Ça n'a pas été pardonné si vite que ça, parce que c'est encore une place où on en parle le plus. Les gens qui ont été heurtés par la COVID le sont encore.
Donc ça n'a pas été...
[00:18:12] Speaker B: C'est ça. Ben, les médias pis les politicos, dans l'espace public, ils ne veulent pas entendre parler. Hey, c'est fini, c'est fini, on n'en parle plus, c'est réglé. C'est capoté pareil.
[00:18:21] Speaker A: Moi, les médias, ils n'existent plus, Doom.
[00:18:23] Speaker B: Non, mais on vit dans la société.
[00:18:26] Speaker D: Je sais.
[00:18:26] Speaker B: C'est quand même eux autres qui nous ont traités de touristes à table.
[00:18:29] Speaker A: Je sais, mais...
[00:18:30] Speaker B: Ils courent auprès du monde.
[00:18:31] Speaker A: C'est-tu quoi?
[00:18:31] Speaker B: C'est des plages au Mexique.
[00:18:32] Speaker A: Doom, les médias ont l'importance qu'on leur donne.
[00:18:36] Speaker B: Ça, ça a fabriqué toute la campagne de peur. On est dans une drôle de tribu, Dan. Une tribu unilingue, c'est plat à dire. On a de moins en moins d'unilingues au Québec. Il y en meurt à tous les jours, mais quand même.
[00:18:48] Speaker A: Comment je te dirais bien ça? On le voit, là, comment ça se passe avec Stéphane Lachance, sa maman, avec les médias.
Ça se passe exactement pareil qu'avec Éric Duhem, qu'avec Pierre Poilievre. Ça se passe exactement pareil qu'à l'époque avec Mario Dumont. C'est toujours de même. Il y a personne qui s'ajuste. On fait encore confiance. On est là. On n'a pas de plan. Puis on arrive à la campagne électorale. « Oui, mais les médias parlent pas! » Ben oui, mais je te l'ai dit.
[00:19:12] Speaker B: Il y a un an et demi.
[00:19:15] Speaker A: Qu'Ils parleraient pas de toi.
[00:19:16] Speaker B: C'est ça.
[00:19:18] Speaker A: Faut faire ça différemment. Arrêtez de penser aux médias. Faut arrêter de penser.
[00:19:23] Speaker B: Faut que tu sois, comme je dis dans ma chronique avec The H, Trump.
[00:19:28] Speaker A: Exact.
[00:19:28] Speaker B: Faut que tu sois Trump.
[00:19:30] Speaker A: Exact. C'est plus une défaite.
[00:19:31] Speaker B: J'ai vu dans trois chroniques différentes... Ah, c'est pas possible de dire ça à Trump. Non, mais faut que tu sois Trump dans la manière. Exactement. Lui, il l'a fait, abstraction.
[00:19:42] Speaker A: C'est plus une défaite.
[00:19:44] Speaker B: Tu peux le faire. Tu peux le faire. Ils l'ont pas fait.
[00:19:47] Speaker A: Non, il y a personne qui l'a fait. Moi, toutes les fois que j'entends quelqu'un qui critique les médias, je change de pouce. Je me dis là, là, arrêtez.
[00:19:54] Speaker B: Faut que tu drive ta patate.
[00:19:55] Speaker A: Tout le temps la même critique, tout le temps la même affaire.
[00:19:57] Speaker B: Ta patate.
[00:19:58] Speaker A: Je critique les maringouins parce que je reste dans le bois, il y a des maringouins, j'arrête pas d'y critiquer mais je m'achète pas de chasse-mouche.
[00:20:05] Speaker B: Avec ton message pis tes médias alternatifs, t'es capable de driver ton campagne.
[00:20:07] Speaker A: Exactement. Arrêtez de faire confiance aux médias.
[00:20:11] Speaker C: Arrêtez.
[00:20:12] Speaker A: De toute façon, le monde les lut pu.
[00:20:14] Speaker B: Karine le matin, c'est drôle. Mais, sa chronique fait la promotion toutefois de la chance. Moi, à ce qui me concerne, moi, Karine, pour moi, c'est comme un bras médiatique de marchand. Elle aimerait peut-être pas ce que je dis, mais je m'en balance. Je pense qu'il y a beaucoup de personnes dans ma gang qui pensent ça. À faire la promotion de la chance. La chronique, elle tape sur la chance ce matin, mais dans le fond, le message est le suivant. La chance est l'ennemi à abattre, la chance est l'opposition. Ahmad est bisboyé ce matin, puis M. Ahmad va venir et il va répondre à nos questions sans problème. Mais le message que ça envoie, toutefois, c'est la confirmation que la chance est l'opposition à Québec. Oh, la gang et la chance sont contents à matin de cette chronique-là, pour vrai.
[00:20:55] Speaker A: Je suis allé au couche-tard un matin.
[00:20:57] Speaker B: Oui.
[00:20:57] Speaker A: Le gars du Journal de Québec est venu livrer les journaux en même temps que moi je passais.
[00:21:00] Speaker B: Yes.
[00:21:01] Speaker A: Il en a livré cinq. Dans un couche-tard.
[00:21:04] Speaker B: Puis à 4h après-midi, il m'en restait quatre.
[00:21:06] Speaker A: Ouais.
[00:21:07] Speaker B: Wow.
Il y avait une grosse pile, l'autre couchteur où j'étais.
[00:21:10] Speaker A: Ça dépend quand même des couchteurs.
[00:21:12] Speaker B: Ça se vend moins, Dan.
[00:21:14] Speaker C: C'est ça.
[00:21:14] Speaker B: Vous êtes d'accord là-dessus.
[00:21:15] Speaker A: C'est le web aussi.
[00:21:17] Speaker B: C'est le web maintenant.
[00:21:18] Speaker A: Faut passer par-dessus les médias. On le sait qu'ils sont comme ça. Tu peux pas chialer parce qu'une pomme est rouge ou verte. C'est rouge ou vert. Tu peux pas chialer parce qu'il neige.
[00:21:26] Speaker B: Au mois de janvier. Il y a 20 ans, c'était pas ça. Maintenant, c'est ça.
[00:21:27] Speaker A: Il neige au mois de janvier, c'est ça. Là, faut arrêter d'espérer que les médias vont dire ce que vous voulez qu'ils entendent. Vous voulez entendre, ça n'arrivera pas.
[00:21:36] Speaker B: Il y en a beaucoup qui sont en mission commandée. Ça, je pense que les gens le réalisent. Plus qu'avant, plus que jamais. On l'a vu avec Carné. On va le voir d'ailleurs avec la prochaine élection. Poitlièvre, t'sais, pis vous allez entendre pis on peut aller à pause après ça, mais Poitlièvre, moi, elle l'écoute justement parce que j'ai réécouté l'entrevue que je réalisais avec Daniel Smith. J'ai pas confiance que Poitlièvre va être élu. Parce que, elle, dans l'entrevue, moi, ce que j'ai compris, c'est qu'elle dit, Carné, je peux dealer avec.
Corné, j'ai une bonne relation avec. Puis Corné, je vais aller chercher ce que je veux. Ça, ça va vraiment saper l'esprit conservateur au pays. Mon feeling. Ton feeling, toi, tu l'as écouté l'entrevue. Elle n'est plus en guerre.
[00:22:22] Speaker C: Non, pas présentement, en effet.
[00:22:24] Speaker B: Contre les libéraux.
[00:22:25] Speaker C: Alors là, c'est une chance.
[00:22:25] Speaker B: Avant, c'était la guerre contre Guilbault.
[00:22:27] Speaker A: Oui.
[00:22:28] Speaker B: Mais Guilbault a été tabletté par Corné.
[00:22:30] Speaker C: Il a été tassé.
[00:22:31] Speaker B: Tassé.
[00:22:32] Speaker C: Puis il défend, j'ai entendu une entrevue avec lui la fin de semaine dernière, ou vendredi dernier, je pense que c'est vendredi dernier, peu importe. Il défend ce que Carney fait présentement, même si ça va un peu à l'encontre de ce que lui mettait de l'avant.
[00:22:44] Speaker B: C'est ça.
[00:22:45] Speaker C: Mais tu sais, tu sens que lui, il avale les couleuves.
[00:22:47] Speaker B: C'est ça.
[00:22:48] Speaker C: Mais jusqu'où ça va aller? C'est ça. Je pense que là, jusqu'où ça va aller?
[00:22:50] Speaker A: Il faut appeler l'école privée.
[00:22:51] Speaker C: Danielle Smith, elle donne une chance à Carney, pour le moment.
[00:22:55] Speaker B: C'est ça.
[00:22:56] Speaker C: Combien de temps ça va durer, on verra.
[00:22:57] Speaker B: Exact.