DONALD: Les banlieues... ALLEZ VOTER!

October 15, 2025 00:16:44
DONALD: Les banlieues... ALLEZ VOTER!
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DONALD: Les banlieues... ALLEZ VOTER!

Oct 15 2025 | 00:16:44

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[00:00:00] Speaker A: Donald Charette. [00:00:02] Speaker B: Qu'est-ce qui se passe en ville? Avec Donald Charette. Quelle campagne. Quelle campagne. Quelle campagne. Donald Charrette, comment ça va? [00:00:17] Speaker C: Oui, très bien. Vous autres? [00:00:18] Speaker B: Très bien. Deux, trois mots sur la tribune, en fait. J'ai pas posé de questions. C'est ça le deal. Chaque candidat vient et chaque candidat peut se soumettre au peuple. C'est 20 minutes du peuple. T'en as pensé quoi de sa maman succinctement sur... [00:00:31] Speaker C: J'ai trouvé ça bon, puis j'ai trouvé que les auditeurs avaient des bonnes questions, ils avaient des bonnes préoccupations, puis je pense que c'est ça une campagne électorale. Puis on voit aussi qu'on arrive dans le dernier droit, ça se resserre un peu, et moi je trouve ça intéressant. Moi j'aime bien ça savoir qu'est-ce que pensent, au-delà du filtre médiatique, que pensent les auditeurs. C'est quoi leur préoccupation dans la vie de tous les jours. [00:00:52] Speaker B: J'aime bien la question, c'est vidanche. [00:00:54] Speaker C: Ben oui. [00:00:54] Speaker B: C'est la seule question que j'ai posée, et c'est un liveur qui l'a posée. Parce qu'on s'est posé la question hier, coudons-tu la semaine d'évidence? C'est basic! Mais c'est ça une ville aussi. Ils nous ont enlevé le ramassage d'évidence à la semaine. Hier, on s'est posé la question. Là, on a pris une chance, on a mis le recyclage au chemin. Ils vont-tu le ramasser ou pas? Mais c'est ça la base. Elle est là, moi je veux à la semaine. Mais là, je sais qu'il y a des liveurs de Showing Gang qui vont m'écrire, nous autres, reste au mois. Mais là, on parle de Québec. Nous autres, on vote à Québec. [00:01:25] Speaker A: Mais même la ville de Québec, moi c'est un enjeu que je connaissais pas parce que chez nous, c'était la semaine. [00:01:28] Speaker B: On veut la semaine, Dan. Il y en a un de premier la semaine, a-t-il dit. [00:01:33] Speaker C: Puis le monsieur qui parle de ses taxes municipales, je trouve ça intéressant parce que là, c'est un côté pratique. Parce qu'au-delà du discours qu'on n'a pas augmenté plus que l'inflation, etc., le discours officiel, ça veut dire quoi? Est-ce que tu payes plus de taxes qu'il y en payait il y a quatre ans? Alors ça, c'est quelque chose de concret. Moi, j'aime ça, cette approche-là. [00:01:48] Speaker B: Je te laisse aller, Donald. Il y a tellement de sujets, puis il y a tellement de faux sujets, sans dire des fake news, parce que ce sont des réalités qui sont relatées. la chance que faites une offre à l'autre, à l'autre assis à ça. Je trouve que c'est du verbiage, c'est du babillage, on perd beaucoup de temps. C'est ta tribune, c'est ta chronique. Je vais t'entendre sur, à date, le déroulement de la campagne. T'en dis quoi? [00:02:12] Speaker C: Écoute, je pense qu'il faut constater quand même que le respect citoyen dérange. Je pense qu'il faut constater ça. Ils sont quand même troisième dans les sondages. Là, ils sont à 13% grosso modo. Je pense qu'ils commencent à déranger. Ceci dit, je trouve que Respect citoyen a eu une mauvaise semaine. Une assez mauvaise semaine. On parle entre autres de l'histoire des femmes qui ne s'intéressent pas à la politique municipale. Je pense que M. Lachance a été malhabile. Je ne pense pas qu'il soit misogyne, mais de dire que les femmes ne s'intéressent pas, il faudra faire une activité spéciale. [00:02:43] Speaker B: Il y avait un aspect charmeur chez Marchand. [00:02:45] Speaker C: Il vantait le charisme de Bruno Marchand. C'est un peu curieux comme point de vue. Pis là, t'sais, il faut séduire les femmes en quelque sorte là. Pis dire hier qu'il fallait alléger la politique pour que les femmes s'y intéressent, bon ça c'est très mal habile là. C'est pas comme ça qu'ils vont rallier le vote des femmes. [00:03:01] Speaker B: Ma femme, c'est une conservatrice, mais c'est une féministe, elle a pas aimé ça. Regarde, je vous le dis, elle a pas aimé ça, elle a dit voyons donc je vais voter selon les idées, pis y'a pas personne qui va m'influencer, pis je me laisserai certainement pas charmer par marchand. [00:03:14] Speaker A: Ou un autre. [00:03:15] Speaker B: T'sais, c'est... À l'été, insulté. Regarde, je vous le dis là. [00:03:19] Speaker A: La mienne aussi. [00:03:20] Speaker B: Regarde, c'est une conservatrice pis la tienne aussi. [00:03:22] Speaker A: C'est pour qui il se prend lui, Chris? Je m'excuse, mais c'est ici. [00:03:24] Speaker B: Ah c'est ça? Nos deux blondes se sont crainquées? C'est le gars ultra macho. [00:03:29] Speaker C: Alors ça, ça a mal paru. Puis là, l'histoire d'hier, c'est carrément illégal. Tu peux pas soudoyer un adversaire pour qu'il se retire d'une course à une élection. C'est interdit par la loi. Alors c'est très malhabile d'offrir ça, d'offrir une job à M. Hamad. C'est un peu insultant. M. Hamad en a une job là. Il n'a pas besoin de ça pour vivre. Il me ferait une bien plus belle vie s'il ne faisait pas de la politique et continuait sa semi-retraite dans une compagnie où il est bien traité, etc. Il n'a pas besoin de ça. C'est déjà insultant de lui offrir ça. En plus, c'est condamnable. Rappelez-vous récemment, la mairesse de Chicoutimi, de Saguenay... [00:04:11] Speaker B: Elle était trouvée coupable. [00:04:12] Speaker C: Elle était trouvée coupable parce qu'elle avait offert à des adversaires de se désembaucher après l'élection si elle gagnait. [00:04:18] Speaker B: Est-ce à dire que... le DGQ devrait enquêter? [00:04:23] Speaker C: Je pense que c'est quasi-automatique. Il va y avoir des plaintes, puis ça va être quasi-automatique. Je pense que le DGQ, c'est son mandat. Alors, tu sais, ça démontre, je pense, un manque d'expérience politique. C'est ça que ça illustre. Alors, c'est deux cas dans la dernière semaine qui illustrent le manque d'expérience politique de respect citoyen. Je dis pas que c'est mortel, mais c'est une mauvaise semaine pour respect citoyen. Surtout celui d'hier. Moi, je trouve que l'histoire d'offrir, c'est vraiment très malhabile. [00:04:48] Speaker B: Pour le reste, je te laisse aller, je veux t'entendre. Jackie Smith, regarde, le fait qu'elle a lancé ça hier. Je sais pas si on peut se permettre d'écouter l'extrait, il est somme toute assez long. Mais en résumé, tiens, elle a accroché Ahmad sur le rapport d'il y a 9 ans du commissaire à l'éthique sur Premier Tech. T'en dis quoi? Et moi, Doom le conspire, il a dit que c'était une mission commentée. Disons que ça faisait l'affaire de marchands. Peu importe, mais je veux t'entendre là-dessus. [00:05:13] Speaker C: Je pense qu'il fallait s'attendre à ce que ça sorte durant la campagne électorale. Je pense qu'ils ont choisi le bon moment pour le sortir. C'est pas anodin que ça soit sorti hier dans un débat. Effectivement, il faut se rappeler du contexte à l'époque. Si jamais vous voulez rentrer dans les détails, je me rappelle un peu de l'époque. M. Hamad avait reçu une tape sur les doigts du commissaire à l'éthique pour avoir travaillé pour obtenir une subvention à 1er TEC. À l'époque, il s'était retiré de la politique en attendant le jugement du commissaire à l'éthique. Et après ça, il s'est retiré complètement de la politique. Il n'a pas été condamné, il a une table sur ses doigts en disant que le commissaire à l'éthique avait statué qu'il avait manqué aux valeurs de l'Assemblée nationale et qu'il avait été imprudent. [00:05:59] Speaker B: Mais t'es-tu surpris que ça ne soit pas d'autres compétiteurs? plus majeure qui aurait amené ça. La chance, on n'a pas bien bien parlé, Villeneuve non plus, puis Marchand, il aurait pu utiliser ça davantage. T'en dis quoi? [00:06:14] Speaker C: Moi je m'attendais effectivement à ce que ça vienne soit de Respect citoyen, soit de Claude Villeneuve qui est un peu en difficulté, ou peut-être même de Bruno Marchand lui-même. Je m'attendais à ce que ça sorte durant la campagne. Je suis même un peu étonné que ça sorte aussi tard. Mais c'est évident que ça allait venir. Alors Mme Smith, effectivement, hier, de dire... [00:06:31] Speaker B: Un loblo? un coup en bas de la ceinture ou pas. [00:06:34] Speaker C: Allez dire comment vos amis vont profiter du fait qu'on va démonter les pistes cyclables, je comprends pas le lien, comment tu peux profiter. [00:06:42] Speaker B: Ça c'est la question de trop. [00:06:44] Speaker C: Tu te dis, allez trouver, tout ce qu'elle voulait c'est lancer ça sur la piste. Je pense que le format de nouveau, c'est un format très court, il y avait pas beaucoup d'espace. Je pense que toutes les missions ont duré, je pense qu'on m'avait dit, 23 minutes avec tous les intervenants. C'était comme punché, court, et c'était fait pour ça. Donc c'est une belle place pour lancer une petite grenade. – Une craque. – Oui. [00:07:08] Speaker B: Puis je salue la gang de nouveau, en passant. Chacun a fait ses formats. Puis moi, je salue les débats. J'aime ça. Puis il n'y a pas de mauvais débat. En plus tous les candidats étaient là, donnent au gaz et ont fait une bonne job. C'était bien correct. C'est juste qu'il fallait... Tu ne pouvais pas aller aux toilettes. Tu manquais de trois thèmes. Ça c'est clair que ça roulait. Puis j'aime ce genre de télé là, nerveuse. J'aime faire ce genre de radio là. pis j'aime ce genre de télégraphe nerveuse. [00:07:38] Speaker C: Aussi j'aimais Moi ça. [00:07:38] Speaker A: C'est plus du ping-pong que du tennis. [00:07:39] Speaker B: J'aime ça, oui. Du pickleball. [00:07:42] Speaker A: Oui, exactement. [00:07:43] Speaker C: Ping, ping, ping, ping. Il y en a un nouveau, ils ont des contraintes de temps. T'as pas grand temps avec eux. Là, tu y vas sur l'essentiel. C'est correct. Moi aussi, j'aime cette formule-là. Je pense que des fois, ça donne des bonnes réponses. [00:07:52] Speaker A: Je l'ai pas regardé, j'avais une panne d'abelle hier soir. [00:07:54] Speaker B: Oh, OK. [00:07:55] Speaker A: Tout ce que j'ai enregistré, tout ce qu'on avait, j'ai eu une panne d'abelle, pas de TV, fait que ma blonde et moi, on a été obligés de se parler. [00:08:01] Speaker B: Ben, ça a fait changement. [00:08:02] Speaker A: Oui, c'est ça. [00:08:03] Speaker B: Elle me parle tout le temps Vas-y donc Donald, on a arrêté nos niaiseries. Vas-y donc pour le reste, là c'est le dernier sprint. Moi j'ai eu mon carton hier, on vote par anticipation quand même la semaine prochaine. Ça achève cette campagne-là. C'est pas un grand cru comme campagne. On n'a pas parlé pantoute d'enjeux. [00:08:26] Speaker C: Il y a beaucoup d'enjeux qui sont passés inaperçus. Moi, entre autres, je pense entre autres les finances publiques, l'état des finances de ville, puis l'embauche massive de fonctionnaires à Québec. Il y a bien des sujets qui ont été plus ou moins abordés. Alors je trouve ça un petit peu dommage, mais que voulez-vous, c'est ça. Mais ceci dit, moi je pense pas que la campagne soit finie. Il reste quand même quelques semaines. [00:08:47] Speaker B: Oui, bien allez voter. On va le faire, je vais le faire. [00:08:50] Speaker C: Puis le dernier sondage, je vous rappelle, il y avait 21 % d'indécis, ce qui est énorme. Alors, tu sais, il dépendait aussi grand... [00:08:55] Speaker B: 75 % de gens déçus de marchands et plus de 20 % d'indécis. Mais comme je demandais à M. Hamad, sont-ils vraiment indécis? Avec l'expérience que tu as, t'en dis quoi? Sais-tu du monde qui sont trop gênés de dire qu'ils voteraient pour quelle que soit l'option? Tu sais, sais-tu du monde qui sont mêlés? C'est qui ces gens-là? [00:09:18] Speaker C: Ben, je pense qu'il y a beaucoup de gens qui hésitent entre M. Lachance et M. Hamad. S'ils veulent bloquer le trône, ils disent bon... [00:09:24] Speaker B: C'est du monde qui aime pas marchand. puis ils cherchent un moyen de le battre. [00:09:28] Speaker C: C'est ça. Alors là, est-ce qu'ils vont se rallier à la dernière minute à celui qui a le plus de chances de gagner ou s'ils vont rester sur... C'est ça la grande question. Alors s'ils veulent... La grande question de base, est-ce que vous voulez quatre autres années de Bruno Marchand? C'est ça. Puis sinon, qui peut l'arrêter? Puis est-ce qu'en même temps, vous arrêtez le tramway? La question fondamentale est celle-là. [00:09:48] Speaker A: Trouves-tu qu'il n'y a pas beaucoup de sondages, Donald? [00:09:51] Speaker C: Il y en a eu très peu. [00:09:53] Speaker A: Il y en a eu quelqu'un, puis c'est celui de l'équipe marchand. En passant, il n'y en a pas. [00:09:56] Speaker C: Il y en a eu quelqu'un de l'équipe marchand, effectivement. Puis il y avait eu celui du soleil un petit peu avant. Non, mais c'est ça, il ne t'a pas lu ses intentions de vote. Puis je vous rappelle, le dernier sondage que j'ai vu, il y avait 51 % des citoyens de Québec qui voulaient du changement à l'Hôtel de Ville. 51 %. Ça, c'est un grand changement. Alors, moi, je dis la campagne n'est pas terminée. Il peut se passer bien des affaires. [00:10:16] Speaker B: Il y a une forte avance marchande. C'est juste qu'il ne faut pas... Moi, Marchand, je l'aime pas, je veux qu'il débarque. Vous le savez, je l'ai dit, je le redis là. Je suis un peu découragé de voir quand même qu'il n'a pas réussi à s'unir. Je le sais, mais il y a une forte avance. C'est ça qui me fait chier, puis à quelque part, ça me rejoint ce matin. Il faut aller voter, je le sais, puis effectivement, C'est un combat entre les deux, mais Colin, l'égo, hein, ce que ça peut faire, Donald? [00:10:47] Speaker C: Cette alliance-là aurait dû avoir lieu au printemps. Là, il est trop tard. [00:10:51] Speaker B: Fâché de ça. [00:10:52] Speaker C: Dès le départ, puis moi aussi, je pense que si on avait eu une seule opposition, ça aurait été préférable. Mais ceci dit, c'était impossible. Bon, alors, là, il est trop tard, puis je pense que la tentative le semain passé était beaucoup trop tard. Je pense que c'était simplement une manoeuvre pour faire porter le poids d'une défaite à quelqu'un d'autre. C'est bon, alors c'est une manoeuvre. Mais ça aurait dû être fait il y a plusieurs mois, ça n'a pas été fait, alors il faut vivre avec. Et là, les gens, il va falloir qu'ils décident de quel bord ils penchent. [00:11:16] Speaker B: S'ils sont... Avec une minorité aussi, l'important, je pense qu'on n'en parle peut-être pas assez, on parle beaucoup des candidats, mais il ne faut pas donner une super majorité à ce gars-là, marchand. Parce qu'il va gouverner d'une manière arrogante, puis il va nous piler d'en face. [00:11:30] Speaker C: Ben écoute, on l'a vécu la dernière fois, M. Marchand a été élu minoritaire, il a réussi à aller chercher une majorité, il a passé ce qu'il voulait. Il suffit de suivre le conseil municipal pour voir, ben Dan, tu le suis comme moi. Quand on lève la main et qu'on décide, on vote tous les sommaires décisionnels. [00:11:47] Speaker B: Il y a une ligne de parti, Dan? Oui. Quand il est devenu majoritaire, il y avait des plantes vertes. [00:11:53] Speaker A: Absolument. [00:11:54] Speaker C: Alors tous les sommaires décisionnels ont passé, il suffit d'appeler le vote et ça passe comme une machine, ça roule. [00:12:00] Speaker B: Comme un gouvernement majoritaire à l'Assemblée nationale. [00:12:03] Speaker C: Alors c'est très important, moi si j'en appelle, je dirais aux gens de la banlieue, allez donc voter. Parce que c'est important de le conseiller aussi, parce que tu as raison, Il faut regarder qui va être majoritaire ou minoritaire au conseil municipal. Parce que c'est là que se prennent les décisions. Parce qu'au municipal, je vous rappelle, il y a deux votes. Il y a un vote pour le maire et un vote pour le conseiller. Alors, c'est important aussi de décider quelle sorte de conseil municipal on va avoir à partir du 3 novembre. [00:12:28] Speaker A: Moi, je vous invite à poser la question en porte-à-porte. C'est pas à Claude... à Claude Vineuve. Sortez Claude Vineuve de ma tête, s'il vous plaît. C'est pas à Stéphane Lachance ni à Sam Hammatt de répondre à ça, à cette question-là. C'est aux citoyens, aux gars qui se présentent pour être votre conseiller, au gars ou à la fille. Est-ce que vous êtes à 50 000 piastres du bonheur? Est-ce qu'une offre de 50 000 $ par année, soit 200 000 $ pour votre mandat de 4 ans, peut vous faire défroquer? C'est ça, la question. [00:12:56] Speaker B: C'est ça, la question. Parce que trop de personnes sont là pour améliorer leur sort, malheureusement. [00:13:01] Speaker C: Oui, et une fois qu'ils sont là, ils veulent savoir une présidence d'arrondissement. [00:13:04] Speaker B: 15 000, 20 000, blablabla. [00:13:06] Speaker C: Jusque du 40 000. À un moment donné, ça devient intéressant d'être à l'exécutif. Je pense que ça prend des gens qui vont pour les bonnes raisons et qui sont là pour vous défendre. Regardez dans votre district qui sont les candidats et choisissez celui qui vous convient le mieux. [00:13:20] Speaker B: Tu as-tu choisi le tien? ton candidat? [00:13:24] Speaker C: Ben moi dans mon côté c'est particulier, dans mon district c'est particulier parce que le candidat de Saint-Mamade s'est retiré, Daniel Moisan, fait que dans mon district il n'y a pas de candidat de leadership Québec alors écoutez... T'es un orphelin. Ben oui je suis un orphelin mais tu sais il y a d'autres possibilités là, c'est rare, il y a d'autres possibilités. Alors écoute ça c'est assez unique là. [00:13:43] Speaker B: Ok, ben le mot de la fin, un dessert, quelque chose de sucré mais pas trop là. [00:13:48] Speaker C: Je resterai un peu dans, je pense, le municipal indirectement, puis parler un peu indirectement du tramway. Il y a une nouvelle qui est parue dans le soleil de samedi, qui est très importante. Je ne sais pas si vous avez remarqué. Le ministère des Transports a modifié sa façon de subventionner les systèmes de transport en commun au Québec. Et là, ils ont décidé, dorénavant, ils vont financer à hauteur de 85% les SRB. Alors, ils disent que dorénavant, les SRB, et surtout si les SRB sont sur des nouvelles voies, c'est-à-dire qu'il ne faut pas retirer des voies aux automobiles. Si on rajoute des voies pour les SRB, on finance 85, même 95 % des investissements. [00:14:28] Speaker B: Donc, ce que tu dis dans le fond, c'est que ça met moins en péril... le portefeuille des citoyens de Québec. [00:14:33] Speaker C: Tout à fait, ça veut dire que là le financement s'en va... [00:14:35] Speaker B: On est moins exposé. [00:14:36] Speaker C: Oui, puis moi je lis... [00:14:37] Speaker B: C'est nouveau ça? [00:14:38] Speaker C: Ça s'est annoncé samedi, c'est le ministère des Transports qui a annoncé ça. Mme Guilbeault a fait ce changement-là avant de quitter le transport. C'était en fait un décret gouvernemental, c'est le système de subvention au transport en commun. Et l'autre affaire, moi je fais un lien avec ça, et à Montréal, vous savez qu'il y avait un projet de tramway dans l'est de Montréal, et la nouvelle présidente de l'agence de la mobilité, Mme Amilcar, qui vient d'Ottawa, c'est la nouvelle agence créée par Geneviève Guilbeault pour gérer le transport en commun au Québec. Et elle a dit la semaine passée en entrevue à la presse qu'il faudrait peut-être regarder à Montréal de remplacer le tramway par un SRB. que ce serait moins coûteux et plus rapide. Et elle a ouvert la porte en disant, il faudrait regarder ça sérieusement. Elle s'est faite planter par tous les politiciens qui disent, non, non, non, ça nous prend un mois de l'eau, puis ça prend ça, etc. Mais alors, est-ce qu'il y a une volonté gouvernementale de pousser sur les SRB. Alors, je pense que si on relie les deux affaires, il y a comme un élément de dire, regarde, les SRB, c'est une bonne option. [00:15:38] Speaker B: Et ça roule peut-être plus vite qu'un tramway. Moi, je ne le prends pas. Donc, à ce moment-là, je fonctionne avec un char, je n'ai pas besoin d'un SRB. Mais regarde, c'est un élément de nouvelle, puis mettez ça dans votre sauce. Et utilisez ça pour vous faire votre propre opinion, comme on dit. Merci beaucoup, Donald. Hein? [00:15:57] Speaker C: Dernière chose? [00:15:57] Speaker B: Un dessert! [00:15:59] Speaker C: Un dessert! [00:15:59] Speaker B: Un timbit un peu extrait, une busgueule ou un biscuit chinois. [00:16:03] Speaker C: Vous n'avez parlé vite ce matin. [00:16:04] Speaker B: Qu'est-ce qu'il y a dans le biscuit chinois? Je viens d'inventer ça. [00:16:07] Speaker C: Alors, les élections à Terre-Neuve, je pense hier, il faut en parler. Vous en avez parlé brièvement. [00:16:11] Speaker B: C'est qui les gnouffes? [00:16:12] Speaker C: Ils ont voté conservateur. [00:16:14] Speaker B: Oui, mais c'est peut-être les gnouffs, nous autres. C'est ça que je veux dire. On est peut-être gnouffs là-dedans parce qu'ils vont renégocier l'entente avec Hydro. [00:16:20] Speaker C: Oui, parce qu'ils ont fait campagne là-dessus. Alors, il y a eu des textes en presse toute la semaine là-dessus. Alors, ils ont fait campagne en disant, regarde, il faut renégocier. On s'est fait avoir par Hydro-Québec, encore une fois. Alors, ils ont fait campagne là-dessus. Ils ont fait campagne aussi apparemment sur le coût de la vie, etc. d'autres choses. Mais ce n'est pas des bonnes nouvelles pour le Québec et ce n'est pas des bonnes nouvelles pour François Legault qui avait signé une entente avec l'ancien premier ministre. [00:16:40] Speaker B: T'as tout à fait raison et sur ce, je te salue. Va en paix.

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