Maurais Live - Intégral du 02-10-2025

[00:00:00] Speaker A: C'est. [00:00:22] Speaker B: Super Jeudi, bienvenue à Radio X dans Moray Live. Hier, je suis passé par la gamme de toutes les émotions. Je suis un fan fragile, je l'admets, je l'avoue. À un moment donné, quand j'ai vu que les Red Sox ont rattrapé Yankees, j'ai fermé TV. J'ai dit « de la marde, j'y crois pas, c'est fini, ils sont pas bons ». Là, Charles qui me donnait des notifications. « Ah non, non, les Yankees reviennent ». De la marde, j'y crois plus. Elle a rendu dans le lit, en haut, avec le cellulaire. J'ai mis ça sur LX, en tout cas, l'application. Et j'ai regardé la game de base dans le noir. Et je regardais ça jusqu'à la fin, c'était magnifique. Mais maudit que c'était stressant. Maudit que c'était stressant. Il n'y avait pas un chrétien assis dans le Yankee Stadium hier. Près de 50 000 personnes. Il y avait de l'ambiance. C'était wild dans le zoo. Et résultat... Match décisif. Je pensais qu'il y avait une alternance de stade. Non, c'est dans le Bronx. C'est trois games de fil à New York, donc c'est juste parfait. Et c'est un combat de recrues ce soir avec Schlittler contre quelqu'un que je connais pas de l'autre bord. [00:01:38] Speaker C: Schlittler? [00:01:39] Speaker B: Schlittler. OK. Il a beaucoup de talent. Oui, je sais. La première fois qu'ils ont parlé de lui à la radio new-yorkaise, ils ont ri. Bien oui. Mais à un moment donné, ils ont vu qu'il avait du talent aussi, fait que... Mais tous les jeux de mots ont été faits, le shit, shit... Bien oui. [00:01:54] Speaker C: Non, non, c'est sûr. [00:01:54] Speaker B: Le piece of shit... Bien voyons, l'autre, c'est... [00:01:57] Speaker C: Le piece of schlitt. [00:01:58] Speaker B: Oui. Sauf que... Parce que schlitt, tu peux le dire, au moins. Oui, c'est ça. Le FC ici, aux États-Unis, est un travail. Oui, c'est ça. Contrairement... Bien, pas contrairement à nous. Nous, le CRTC s'avère sur d'autres dossiers. Mais aux États-Unis, c'est le F-word, le S-word. Tu sais, il y a quand même toutes les connotations reliées au bas-ventre, finalement. [00:02:20] Speaker C: Donc dans ce cas-là, lui, c'est «ballschlitt». [00:02:24] Speaker B: «Schlittler». Mais il est bon! et on verra ce que ça donne pour ce soir. J'espère que le juge va se réveiller. À date, il n'est pas très, très dégourdi, mais c'est Jazzy, Jazzy, Jazzy Boy qui a couru puis qui a glissé au marbre. C'est lui qui a donné la victoire. L'ancien des Marlins, donc quand il y a un trou dans l'alignement, t'appelles les Marlins. De temps en temps, tu vas chercher le meilleur. Puis moi, j'ai bien aimé cette transaction-là qui a été faite il y a plus d'un an. Cezone, Jas Cezone, qui était blessé, qui a mangé une balle sous le bras, qui est revenu hier et qui a compté. Alors voilà. L'après-midi de rêve, les amis, pour ceux qui aiment la balle. « Ah, là, moi, j'aime juste les Capitals, j'aime ça boire sur la terrasse. » Non, la balle, c'est un beau sport. Et aujourd'hui... Comme Spadin, ça s'en va en trois aussi. Oui, il y a trois games. Oui, c'est tous les trois games de match, excepté les Dodgers. « Do or die », c'est aujourd'hui que ça se passe, trois games. [00:03:19] Speaker C: La seule qu'on ne regardait pas parce que... Parce qu'il était trop tard. [00:03:23] Speaker B: Les Reds, il n'y avait pas d'affaire là, les Reds. Non, puis en même temps, les Dangerous jouent bien. Dangerous jouent bien, bien oui. Ohtani était 0-3 jusqu'à temps qu'il ajoutait une coupe de points qui était importante. Ça rendait le match un peu hors de portée à partir de ce moment-là. [00:03:41] Speaker C: Mais 8-4 puis 10-5, on s'entend dire que c'est les résultats du mois de juillet. [00:03:46] Speaker B: Ça, c'est comme les Capitals contre qui? Les aigles de Trois-Rivières, ça peut être quoi? [00:03:51] Speaker C: Ça peut être les aigles. Allons-y avec les aigles. Ils sont plus le fun à troller, au moins, eux autres peuvent nous écouter. [00:03:56] Speaker B: Très bon. Il y a quelqu'un qui vient de nous texter. Hitler. OK. OK! On le remercie. Non, c'est pas toute la conversation. On était en train de parler de baseball. [00:04:07] Speaker C: Ah ben c'est ça, il faisait «Schittler»…. [00:04:09] Speaker B: Ouais, c'est un jeu de mots? Ben, si t'enlèves le «H»… Pas le «H», mais si t'enlèves le «S», il reste «Hitler», mais c'est pas pareil. Dans mon autre famille, si t'enlèves le «R» et tu mets un «V», c'est un complet. Ouais, c'est ça, là. T'sais, je peux te donner… T'as le besoin qu'il le faut, ça. …plein d'affaires, là. Pis toi, si tu mets un «R», un «D», un «E»… Ben oui, t'es en gaillette, hein. Non, mais t'sais, on peut jouer à «Charivari» un matin, «boys» là. [00:04:33] Speaker C: Moi, si je remplace le «G» par. [00:04:34] Speaker B: Le «T», je Tout c'est Jean Daniel. C'est la limite d'où on peut aller. [00:04:43] Speaker C: Puis les Jay's, ça commence samedi. [00:04:46] Speaker B: Les Jay's sont morts de rire. [00:04:48] Speaker C: Ça commence samedi. Pis les Phillies... T'sais, les Dodgers qui reçoivent les Phillies samedi soir aussi. Eux autres... [00:04:54] Speaker B: Comment? Quel game ça? [00:04:54] Speaker C: Les Phillies... Les Philadelphies reçoivent les Dodgers samedi soir. [00:04:58] Speaker B: OK, c'est ça la série! [00:04:59] Speaker C: Fait que eux autres... [00:04:59] Speaker B: C'est bon ça! [00:05:00] Speaker C: Eux autres, tout ce qu'il y a à faire là, les Dodgers à partir de maintenant, c'est aller à Philadelphie, visiter le musée de... de Rocky. [00:05:08] Speaker B: Musée de Rocky, Philly Cheese Steak. [00:05:11] Speaker C: Exactement. C'est... C'est tout ce qu'il y a à faire. Voilà. Donc c'est le fun le baseball, c'est le baseball cool. Puis moi je trouve ça bien intéressant qu'il y ait des 3e matchs aujourd'hui. [00:05:21] Speaker B: Ben c'est du Hard Ice! [00:05:22] Speaker C: C'est le stress incroyable! Notez bien l'heure. [00:05:27] Speaker B: Ouais, donne-nous les heures. [00:05:28] Speaker C: Parce que t'sais, c'était à 6h qu'ils commençaient les Yankees hier puis avant-hier. [00:05:33] Speaker B: Oui, oui. [00:05:34] Speaker C: C'est à 20h ce soir. [00:05:36] Speaker B: Bon, on va se coucher tard. [00:05:38] Speaker C: Mais les Dodgers jouent pas, fait qu'ils ont comme réajusté les heures pour pas que les games s'entrecroisent. [00:05:42] Speaker B: Ils ont libéré de la place. C'est exactement ça qu'il s'est passé. [00:05:45] Speaker C: Donc, ben manquez pas ça. Soyez-y, mesdames, messieurs. [00:05:48] Speaker B: C'est pour les autres visiteurs. [00:05:51] Speaker C: As-tu vu Chris Chilios? [00:05:53] Speaker B: Non. Dans la foule? [00:05:54] Speaker A: Hein? [00:05:55] Speaker B: À Chicago? Il est où, Charlie? [00:05:57] Speaker C: À Chicago? OK. En fait, tous les joueurs des Blancas qui étaient là, mais surtout Chilios, je te fais entendre ça à RDS en plus, en français. [00:06:04] Speaker B: Et puis une figure bien connue de Montréal, Misterios. Certains diront que là où il y a un party, il y a des bonnes chances. [00:06:12] Speaker C: C'est ça, mais t'as vu également Conor Bedard qui était là. Un paquet de joueurs des Blackhawks de Chicago qui se sont présentés sur place pour aller encourager les Cubs. [00:06:22] Speaker B: Parce que t'sais, j'essayais de penser où demeure Chris Shellios, pis t'sais, c'est parce qu'il a eu un bout important à Montréal, il a eu un bout important à Chicago, pis un bout important aussi à Détroit. Fait que là, c'est où de choisir à la fin? [00:06:33] Speaker C: Florida. Il joue là où il a les meilleurs terrains de Pickleball. [00:06:35] Speaker B: Ouais. Donc, on remercie Denis Savard, qui a fait partie quand même de la transaction. Quelle transaction horrible, on s'en souvient. Puis moi, j'aurais gardé Charlie à Montréal, mais ça c'est dit. Denis Savard, on l'aime. Il était bon... Ah, OK, il était en veston cravate en 93. [00:06:54] Speaker C: Non, c'est sûr. [00:06:55] Speaker B: Oui, c'est sûr. [00:06:55] Speaker C: Mais ils l'ont gagné pareil, la coupe. Bien, je le sais. Quand tu gagnes la coupe, c'est un bon échange. [00:07:01] Speaker B: Tu peux pas... Même s'il jouait pas. [00:07:02] Speaker C: Même s'il jouait pas. [00:07:03] Speaker B: Oui, c'est sûr. [00:07:05] Speaker C: C'est ça qui arrive. [00:07:06] Speaker B: C'était-tu 1 pour 1? C'était 1 pour 1. Ouf. OK. 1 pour 1, ça c'est 3,30 sous pour une pièce. [00:07:12] Speaker C: Je veux ni savoir qu'il aurait pu RPG à la place de Doc Wackenheiser. [00:07:16] Speaker B: En plus. Ouais, mais c'est ça. Là, on peut refaire le monde encore, nous trois. Après avoir réécrit les noms de familles, on refait le monde. Et si Hitler n'avait pas existé? [00:07:25] Speaker C: C'est drôle hier, parce que dans la folie, parce qu'on a pris quand même une dose de colère bleue cette semaine. Puis dans la folie, tout ça, le monde se disait « les gens peuvent pas changer ». Les gens de 20-25 ans peuvent pas prendre pour le Canadien, puis du jour au lendemain prendre pour les Nordiques. Je vous confirme que c'est arrivé pas mal dans les années 70. [00:07:44] Speaker B: Oui. [00:07:45] Speaker C: Guy Lafleur est devenu un traître dans les années 70 à Québec. [00:07:49] Speaker B: Ça, j'en sais pas, pardon, mais j'ai lu quand même beaucoup de vieux journaux à cet effet-là. [00:07:54] Speaker C: Oui, mais les journaux... [00:07:54] Speaker B: Je le sais pas, Dan, c'est devenu un traitre parce qu'il sortait avec la petite barrée. [00:07:59] Speaker C: Ah, mais le monde se sacrait dessus de avec qui elle sortait. [00:08:02] Speaker B: Oui. [00:08:03] Speaker C: Guy Lafleur, quand il jouait pour le Canadien, les gens tripaient dessus, c'était l'ancien remport, c'est notre idole, on l'aime. Quand les Nordiques sont arrivés dans la Ligue nationale, Guy vient jouer à Québec. [00:08:16] Speaker B: Il est allé. [00:08:17] Speaker C: Il est allé. [00:08:17] Speaker B: Oui. Il est allé puis... [00:08:19] Speaker C: Il était bon. [00:08:23] Speaker B: Non, mais il est... Honnêtement, regardez sa fiche. Oui, oui, il était bon. Le ratio points par match, absolument, il était blessé aux pieds. Deux blessures aux pieds, je m'en souviens. Parce que c'était mon idole, l'idole des Dx, ceux qui ont suivi le hockey. Mais c'était pas le pire, là, honnêtement. Moi, c'était dur. 34 en 39 puis 28 en 59. Oui, mais ça, c'est la dernière année. Il était blessé aux pieds. Mais ceci dit, il était encore en forme. Si on ne l'avait pas poussé à la retraite, il aurait eu... Joe Sackey. [00:08:56] Speaker C: Que la première année de la Flore, a dit que c'était son meilleur allié. Ça voulait tout dire. C'est souvent cet anecdote-là que Michel Belgeron raconte pour dire à quel point il avait un mauvais club. [00:09:06] Speaker B: Je veux que ça kicke. Allez, parlez. Moi, c'est bizarre que je me souvienne de cette statu-là. La dernière année, donc c'est ça, 28 points et un 59 game, il a deux minutes de pénalité et je me souviens de cette pénalité-là. Voyons donc, c'est quoi? Il a accroché un gars et il a foutument bien fait parce que c'est clair que c'était un but qui s'en venait. Voyons donc, c'est non bien wack cette affaire-là. [00:09:29] Speaker C: C'était la Lumine du Morlier sur le banc. [00:09:31] Speaker B: Bien c'est ça. On écrit un livre pour enfants. La pénalité de Guy. Avec des dessins. [00:09:39] Speaker C: Il a pris une balle pour l'équipe, il a sauvé un but. [00:09:41] Speaker B: C'est ça. Il a sauvé un but, c'est vraiment ça. Puis après, c'est claqué un du Morlier, puis il a demandé le briquet à qui des Nordiques, mettons, à Owen Nolan, à qui? Ritchie? À Marcel. À Marcel. On pensait dans ce temps-là justement que... Le PQ allait financer un nouveau colisée parce que Lisette Lapointe était sur le match. Du pain des roses! [00:10:18] Speaker C: Un moyen club de la Ligue nationale de hockey m'a dit « il faut que le PQ finance l'ARL ». [00:10:24] Speaker B: Après ça, ils sont allés se coucher à l'Élisette. Ancien temple de la prostitution juvénile. Le pire, c'est que plus tard... C'est après! Je le sais! Je le sais, Gravel! Femme Tom White! Mais ça reste que beaucoup plus tard, c'est ça qui est arrivé. Le PQ Andrew Paradis. Mélange de trois affaires. Benoit Proulx n'était pas dans cette histoire. [00:10:50] Speaker C: Non, non, non. [00:10:50] Speaker B: Oui. [00:10:52] Speaker C: Non, ni lui, ni... [00:10:53] Speaker B: Ni lui, ni les autres. [00:10:54] Speaker C: C'est ça. [00:10:55] Speaker B: OK. [00:10:56] Speaker C: Ni Serge Lefebvre. [00:11:00] Speaker B: Très bon. [00:11:02] Speaker C: On a fait un beau tour à matin. [00:11:03] Speaker B: Oui, on a un beau matin à date, 6h11, mesdames et messieurs. 88-670-9098 pour nous écrire. [00:11:08] Speaker C: Oui, vas-y Dom. [00:11:10] Speaker B: Moi je vais dire que ça fait juste 11 minutes, imaginez les 300. Oui, c'est ça. Il y a quelqu'un qui nous parle de Jesse Bélanger. Oui, il joue avec le Canadiens. Très bon, très bon joueur. Il a joué pour la Floride également. Il y a une bague. [00:11:22] Speaker C: Jesse Mélanger est un joueur qui a joué dans la Ligue nationale de hockey, qui a bien fait, qui a une bague de la Coupe Stanley et qui aujourd'hui a une vraie job parce que dans ce temps-là, ça a changé vite, pareil. [00:11:32] Speaker B: Aujourd'hui, il serait multimillionnaire. [00:11:35] Speaker C: Aujourd'hui, non seulement il serait multimillionnaire, il y aurait 5-6 blocs appartements puis... [00:11:40] Speaker B: C'est un joueur qui, dans le cadre actuel, vaut 5 millions. [00:11:44] Speaker C: Oui, à peu près. [00:11:45] Speaker B: C'est pas McKinnon, mais c'est pas... Pezzetta. Tu sais ce qu'on prend? C'est un agent d'entre-deux. [00:11:52] Speaker C: Ouais c'est ça, une espèce de Paul Barron. [00:11:54] Speaker B: Oui! Ouais, c'est pas fou. [00:11:56] Speaker C: Mais qui compte des buts un peu plus cloches. Sportico a sorti la valeur des Clubs de la Ligue nationale de hockey hier. Il n'y a pas de surprise là. 4,25 milliards, la valeur des Maple Leafs de Toronto quand même, c'est beaucoup d'argent. 3,65 milliards en deuxième, les Rangers. Les Canadiens arrivent troisième à 3,3 milliards. C'est beaucoup, beaucoup d'argent. Le club qui vaut le moins cher, c'est les Blue Jackets de Columbus. Vous pouvez vous en sortir à 1,3. [00:12:21] Speaker B: Ça vient-tu avec les canons? [00:12:22] Speaker C: Ça vient avec les canons. Les jets aussi sont à 1.3, c'est pas beaucoup, là. Dans les... ont aussi participé, là, je vous dirais, vous avez les d'Oxdenheim, les blouses de Saint-Louis, les shorts de Saint-Nosé, le mammoth, les sables, les sénateurs, les jets, puis les blue jackets. C'est quand même assez bas comme valeur, mais... [00:12:43] Speaker B: Les mammoths qui se font poursuivre, ça, c'est WAC. Je sais pas si vous avez vu. C'est pas le nom? Vous auriez dû allumer avant, oui, par un genre de programme sportif, là. Oui, parce que c'est connu, là. Vous auriez dû allumer avant. Là, il y a une demande d'injonction. Tu vois que c'est un têteux de... C'est un têteux de... de poursuite, là. C'est le genre de gars qui dit, « Hé! Ray et Parker Jr., ils ont repris ma toune. » « Ouais, non, mais je pense que t'aurais dû allumer. » Ça fait 40 ans que la toune est sortie. Ça fait d'eux un peu d'argent. Les mammouths. Minute mammouth. Lors de la victoire de la Coupe Stanley, Jesse Bélanger faisait, en dollars canadiens, 180 000. ce qui est l'équivalent de 300 aujourd'hui. C'était un gars de 5 millions à peu près. C'est sûr que c'était des salaires de crêpes fines. Et même avant, dans le temps d'Yvon Lambert et tout ça. [00:13:33] Speaker C: Il y a eu des amendes de données au sénateur d'Ottawa pour leur show qu'ils ont fait au Centre Vidéotourmentatoire. [00:13:37] Speaker B: Bien tant mieux. C'est Cousins, le problème. [00:13:39] Speaker C: Il a reçu une amende de 2200 piastres, que si tu veux, c'est fait, c'est réglé. [00:13:44] Speaker B: Du petit change. [00:13:45] Speaker C: Luc Hughes a signé son contrat hier. Ça, ça veut dire que Luc gagne 9 millions par année, Jake gagne 8 millions par année, puis Quinn gagne 7,8 millions par année. [00:13:55] Speaker B: Fait que leurs parents sont pas inquiets. Je pense que je m'en allais dire, maman va l'avoir son Corolla. [00:13:59] Speaker A: Oui. [00:14:00] Speaker C: Ben, je l'ai dit, papa et maman use, faut dire qu'ils ont mis les lions en face de la maison. [00:14:05] Speaker B: C'est ça. Puis ils reçoivent vos fêtes, comme dans un film d'Hallmark. La dinde est achetée. [00:14:11] Speaker C: Absolument. C'est un beau petit trio, cependant. Dans les mauvaises nouvelles dans le sport, il y a quand même Jacob Pelletier qui en a parlé cet été et qui avait fourni quand même des trucs pour l'encan silencieux qu'on a fait lors du Radio X Open, qui a été cédé au baladage hier. Il n'a pas réussi à convaincre. Le Lightning de Tampa Bay, de le garder. Jacob Pelletier, on l'a souvent dit, c'est un gars de la région de Québec, puis c'est un gars, tant qu'à jouer... tant qu'à avoir un contrat de la Ligue américaine, c'est aussi bien que ce soit à Laval. [00:14:39] Speaker B: Bien, j'aimerais ça que le Canadien l'engage. C'est pas mal meilleur que bien des joueurs à Laval. [00:14:45] Speaker C: Oui, oui, c'est un bon kid, puis effectivement, il est vraiment sur la ligne, entre une place en ligne nationale de hockey. [00:14:50] Speaker B: C'est bien dit. [00:14:51] Speaker C: J'espère qu'on va lui donner cette chance-là. Puis Tabarnouche, je trouve ça particulier comme nouvelle, ça, du côté de l'Avalanche Colorado, le club que j'aime pas. Mais quand même, hier, c'est Eric Johnson qui a décidé de prendre sa retraite. [00:15:07] Speaker B: Ah oui? Défenseur? Oui. [00:15:09] Speaker C: Mais prendre sa retraite à une semaine du début de la saison. C'est bizarre, ça. Ça crée un peu de sable dans la vaseline d'un plan de match. [00:15:19] Speaker B: Peut-être qu'il y a une histoire personnelle là-dedans. [00:15:21] Speaker C: Peut-être, je comprends. [00:15:22] Speaker B: Un enfant malade ou une épouse malade. Il y a peut-être un sentiment d'urgence. [00:15:26] Speaker C: Je comprends. Pour lui, je suis certain que la décision est mûrie. [00:15:29] Speaker B: Tu parles de hockey, hockey, hockey plus. [00:15:30] Speaker C: Mais je parle de la décision hockey. [00:15:32] Speaker B: Tu as raison. [00:15:33] Speaker C: C'est une drôle de nouvelle pour un club de hockey à une semaine du début de la saison. Et puis ce soir, On joue au football du côté de la NFL. On débarque à Los Angeles pour le duel entre les Niners et les Rams. Ça va être bon, là. Ça va être bon parce que c'est un match de division. Ça va être moins bon parce que Brooke Purdy est blessée. C'est hallucinant, le nombre de blessés cette saison dans la Ligue nationale. Les Fantasy ont terminé de prendre des joueurs de la Ligue canadienne. T'sais, il a dû blesser au pied coréen. Fait que c'est Mac Jones qui va être là à soir. Bonne chance. C'est aussi bien de prendre... Si vous n'avez pas encore pris Rams dans Survivor, ça peut se faire à soir. [00:16:11] Speaker B: Et les Vikings, ils ont fait combien de pubs à date en Angleterre cette semaine? Les autres, ils attendent. [00:16:17] Speaker C: Ils n'ont pas dû arrêter. [00:16:18] Speaker B: Fish and chips, une bière, un musée de la Reine et repeat. La madame qui va chez Ayrods. Les joyaux de la couronne. Les joyaux de la couronne. [00:16:28] Speaker C: En plus, je pratiquerai un peu parce que Carlson Wayne, ça se pourrait qu'il trouve ça difficile, la défensive la plus tough de la NFL le dimanche matin. [00:16:35] Speaker B: C'est-tu un bon match-up dimanche? [00:16:37] Speaker C: Je pense pas que ce soit... Est-ce. [00:16:39] Speaker B: Qu'On se réveille dimanche? Ou on se rend dehors? [00:16:42] Speaker C: Manquez pas le tailgate pour cette partie-là. [00:16:45] Speaker B: Oui, c'est ça. Parce que le tailgate de Radio Wix, quand même, sera très nourrissant. [00:16:50] Speaker C: Voilà. [00:16:50] Speaker B: Très nourrissant. Mais sold out, en passant. [00:16:52] Speaker C: Oui, sold out. [00:16:53] Speaker B: Oui. [00:16:54] Speaker C: D'ailleurs, Pépé Tour, on est rendu sur la liste d'attente. [00:16:56] Speaker B: Oh! Comme dans Santé. [00:16:59] Speaker C: Pareil, pareil, pareil. [00:17:00] Speaker B: Comme en Santé, mais c'est pareil. Il y en a un qui est moins, peu importe. Il y en a un qui est moins Santé, là. C'est ça. Oui, ça, c'est clair. [00:17:08] Speaker C: Donc moi, j'ai fait le tour de ce que j'avais à te dire dans le sport. Les rembourses, ça va être ça, le week-end, puis le baseball, on regarde ça. [00:17:18] Speaker B: Je n'ai pas de... Vous savez qu'au Québec, on est passionnés, nous autres. Quand les sushis sont arrivés, on mange ça avec nos mains, puis oui, donc. Je me souviens très bien du Porto. On se verse à ça comme si c'était du Coke Diet. Je me souviens d'ailleurs de certaines dégustations. J'ai déjà raconté à la Bibliothèque municipale des jésuites, ici, à S.O.Q. J'étais à la pied, donc ça remettait rien en cause, mais quand même, on s'est versé des verres de Pepsi de Porto. On aime, on aime, on aime. C'est peut-être un peu ça qu'on est en train de vivre avec l'histoire du vouvoiement. Le vouvoiement, dans le fond, le message, c'est... Il faut se faire respecter. Je comprends les profs. Le message, je pense qu'il est bon en général. Tu sais, là, comment appliquer la mesure et tout ça. Mais là, on est au Québec, donc on s'en va dans l'autre extrême. Et là, ce matin, on apprend que dans une école, et les enseignants vont être obligés de se vouvoyer entre eux. Comme à Radio-Canada. [00:18:20] Speaker C: C'est complètement ridicule, cette affaire-là. [00:18:23] Speaker B: Voyons donc. Ben, Arad Khan, Pascal Anon... T'as comme pas le choix, faut que t'établisses une distance. À Radcan, entre collègues, ça se voit là. En ondes. En ondes? Ok, toi tu penses que c'est comme si ils faisaient ça dans les corridors. Oui, mais là, eux autres vont faire ça dans les corridors. C'est du corridor, une école, un local. dans la cafétéria des professeurs, puis sont supposés se vouvoyer. Bien, c'est ce que je lis ce matin. C'est ça. Des écoles primaires et secondaires doivent se conformer à cette règle. Et c'est... le gars du syndicat qui a révélé ça. C'est quand même une belle révélation, Martin Hogg. En tout cas, lui... C'est niaiseux, là. C'est niaiseux au bout. Lui, il a... il a rendu ça public. Et on salue les gens des navigateurs. Wow. où les enseignants doivent servir de modèles aux enfants depuis la rentrée scolaire. Ça n'a pas d'allure, cette affaire-là. Voyons donc! Hein? Y a-tu des profs à l'écoute? Y a-tu du monde qui peut témoigner de ça? Ça n'a pas d'allure. 88-670-9098. Mais sérieux, à Ratcan, ils le font. Y a des passe-droits, des fois, là, mettons, Pénélope. Elle dit, là, pour la prochaine entrevue, on va se tutoyer, là, parce que ça fait 25 ans que je connais l'autre personne, t'sais. Ils s'en excusent, comme, avant que ça arrive, là. Moi, j'ai fait beaucoup de converses avec Pierre Bruneau d'antan. C'était lui qui était à l'INQ à Montréal, lui aussi montre du rivage. Fallait le vous-voyer. Mais lui, il vous voyait. Mais ça, c'était whack. C'est une pièce de théâtre. C'est comme la télé traditionnelle. [00:19:59] Speaker C: Son travail d'être obligé de se parler... [00:20:00] Speaker B: C'était pas 5 à 7. C'était pas le 5 à 7. [00:20:03] Speaker C: Avec des phrases de 12 syllabes en alexandrin. [00:20:06] Speaker B: Ça, c'est fucké. T'sais, t'es bien de chum avec Serge qui est prof en chimie. Mais c'est M. Leclerc! Oui, c'est ça! Mais voyons donc! Hey, M. Leclerc, voudriez-vous, s'il vous plaît, m'apporter un café? Hey, voyons donc! Mais c'est ça, le Québec! On parle de zéro à 100 %, il n'y a pas de mesure, il n'y a pas d'équilibre, il n'y a pas de jugement. Cette mesure-là, c'est de l'intégral, c'est du one-size-fits-all. [00:20:31] Speaker C: Puis les écoles, c'est comme n'importe quel autre milieu de travail, il y a des couples. [00:20:35] Speaker B: Oui. Fait que les couples qui vous voient en train de sortir... [00:20:38] Speaker C: Ils sont en barbette le matin, puis c'est du Madame Tremblay à 10 h le matin. [00:20:43] Speaker A: Bien oui! [00:20:43] Speaker B: Il y a quelqu'un qui a écrit, tu le dis toujours, «Doom, do what you preach.» C'est complètement différent. Là, c'est parce qu'on parle. On veut rétablir un lien d'autorité. On veut rétablir le lien d'autorité élèves-profs. C'est ça, le sens de la mesure et le respect. Mais là, c'est parce que c'est du monde qui sont de chômés, qui jouent au golf ensemble, mais tu l'as dit de temps en temps, ils font de la galipette ensemble. Ils sont obligés de se vouvoyer dans la salle des profs. [00:21:09] Speaker C: C'est complètement... [00:21:09] Speaker B: Je trouve ça quasiment aussi important des. [00:21:11] Speaker C: Fois de le dire... Par contre, vous vous voyez pendant la galipette après un 5 à 7 le jeudi soir, ça, ça peut être drôle. [00:21:17] Speaker B: Vous, madame Hébert, vous aimez ça, hein? Je comprends pas votre raisonnement. Vous qui aimez les écoles privées et d'imprimés, c'est le vouvoiement pour tout le monde faux. C'est complètement capoté. C'est faux, ce que vous dites. C'est faux. Mes enfants ont fréquenté le privé de la maternelle au secondaire 5. Privé, secondaire et primaire. Je l'ai vu. SU Saint-Joseph, ici, juste à côté. C'est faux, ce que vous dites. Complètement faux. Mais les profs entendent ça. C'est parce qu'aussi tu peux envoyer le message aux enfants. «Heille, comment ça les profs vous vous voyez pas?» Parce qu'on est des adultes, vous autres vous êtes des enfants. C'est tout! C'est pas les mêmes règles, c'est tout. C'est ça l'histoire! Accepte-le! C'est ça l'histoire! [00:21:59] Speaker C: Moi je pense encore, pis c'est pas ça le sujet là, mais je pense encore que le vouvoiement crée plus de mépris que de respect. [00:22:08] Speaker B: Quand c'est imposé from the top down... [00:22:10] Speaker C: Exactement. [00:22:11] Speaker B: Et que ça vient pas naturellement, c'est faux. On est dans le faux. Mais je comprends l'intelligence de ça ou le raisonnement de ça. Je ne crois pas que ça crée le mépris. Je pense que ça ne change rien. Eh bien, c'est ça. La personne que tu n'aurais pas... Le prof que tu n'aurais pas respecté, tu ne le respecteras pas plus. [00:22:30] Speaker C: Peut-être parce que tu es obligé de tout le faire. Mais moi, c'est parce qu'on n'était pas obligé de voir les professeurs quand j'étais jeune. Puis il y avait des profs qui l'exigeaient. Puis ceux qui l'exigeaient, c'est ceux qu'on méprisait le plus. [00:22:40] Speaker B: Ils passaient pour des princesses. Mais en même temps, il y a des profs que tu vous voyais naturellement parce qu'ils imposaient le respect. Ah moi oui, j'ai eu des excellents profs. Marcel Lefebvre en histoire. [00:22:52] Speaker C: Moi aussi, j'ai eu d'excellents profs. [00:22:53] Speaker B: M. Lefebvre. [00:22:55] Speaker C: J'ai eu d'excellents profs, là, vraiment. [00:22:57] Speaker B: Mais c'était pas Marcel. Ah wait, oui, une claque en arrière de la tête. [00:23:00] Speaker C: J'ai... non, non, ben... Dom, je te tutoie, je t'ai jamais donné de claques en arrière de la tête, là, je veux dire... [00:23:06] Speaker B: Sauf une fauche à lèvres. [00:23:07] Speaker C: Non, mais il y a quand même... il y a quand même une façon d'être poli, même dans le tutoiement. [00:23:13] Speaker B: Oui, t'as raison. [00:23:14] Speaker C: Il y a une façon d'être respectueux dans le tutoiement également. [00:23:16] Speaker B: T'as tout à fait raison. [00:23:17] Speaker C: Moi, j'utilisais... j'utilise beaucoup le prénom quand je parle avec des gens. [00:23:22] Speaker B: Oui, Jean Paquin, prof de français à Genève. [00:23:25] Speaker C: C'est rare qu'on parle de ça, mais moi... Me faire appeler «Hey» ça mérite. Fait que j'appelle personne «Hey» tu comprends? [00:23:32] Speaker B: «Hey» ça c'est quelqu'un qui ne se souvient pas de ton prénom? [00:23:35] Speaker C: Oui, c'est ça. [00:23:36] Speaker B: «Hey» ça c'est quelqu'un qui ne se. [00:23:38] Speaker C: Souvient pas de ton prénom? Oui, c'est ça. «Hey» ça c'est quelqu'un qui ne se souvient pas de ton prénom? Oui, c'est ça. «Hey» ça c'est quelqu'un qui ne se souvient pas de ton prénom? Oui, c'est ça. «Hey» ça c'est quelqu'un qui ne se souvient pas de ton prénom? [00:23:47] Speaker A: Oui, c'est ça. «Hey» ça c'est quelqu'un qui ne se souvient Mais pas de ton prénom? Oui, c'est ça. [00:23:48] Speaker C: «Hey» non, je ne vous vois ça pas c'est quelqu'un qui ne se souvient les gens. Je trouve que ça crée... Quelqu'un de qui je me fous carrément. Genre le monsieur de 88 ans que je rencontre à la Place pas de ton prénom? Oui, Laurier, j'y dis à la porte. Je le reverrai plus jamais de ma vie. Vous voyez, lui, quand il y a un écart entre nous deux... [00:24:04] Speaker B: Mais le tutoiement, puis vous allez l'entendre ce matin, on a joué le prouf. Je donne cet exemple-là. Gilles, ça a été mon modèle de radio, OK? Tout le respect pour Gilles. J'y ai jasé hier, mais je l'appelle Gilles. En tout respect. Je le respecte, il le sait, t'sais, c'est pour ça que je l'intègre dans le show, t'sais, c'est la portion héritage ou patrimoine du show, c'est vrai. C'est une légende, Gilles, c'est vrai. Heritage, c'est ça. T'sais, comme Rénal Brière, autre exemple, Rénal, honnêtement, il est au Panthéon de la radio, c'est peut-être même au sens intégral. [00:24:37] Speaker A: L'ancien boss de Gilles. [00:24:37] Speaker B: L'ancien boss de Gilles, tout à fait. Mais t'sais, c'est une éminence grise, là, Rénal Brière, excusez-moi, c'est M. Brière, mais en même temps, Il établit tellement une convivialité quand on est ensemble. Je remarque que Renal, ça fait des années que je ne l'ai pas vu. Je l'appelle Renal, tout en sachant très bien que c'est le grand boss, c'était à tout le moins le grand boss et qui a quasiment le pouvoir de vie ou de mort sur ma carrière, tu comprends. Ça, là-dessus, je te rejoins tout à fait, Dan. Il y a un tuto amant qui. [00:25:05] Speaker C: Est très très poli. [00:25:06] Speaker B: Tout est tout à fait respectueux. Écoute, hier soir, c'était mon pool de hockey avec mes chums. Ça fait 25 ans que ça dure, ce pool-là. Mais en fait, il a même commencé quelques années avant, alors qu'on était encore au secondaire. Et c'est un peu l'héritier du pool qu'on faisait au secondaire. Le pool en question, on le faisait avec Bruno Fontaine, notre prof de maths. C'était notre gang de chums et Bruno Fontaine. [00:25:27] Speaker C: Il était-tu encore là, Bruno, hier? [00:25:29] Speaker B: Non, il est plus là. [00:25:30] Speaker C: Il est plus là, Bruno. [00:25:31] Speaker B: Il était à côté de chez nous, le légionnaire. [00:25:33] Speaker C: Oui, je sais, j'étais là. [00:25:35] Speaker B: Il a fait une bonne règle. [00:25:36] Speaker C: Oui, effectivement. [00:25:37] Speaker B: Il porte qu'épic dans ton coin. Ben oui, t'as tué la nature. Je pense qu'il était déjà mort, par exemple, sérieusement. Ah, t'essayes de te dédouaner. Non, non, sérieux, mes chums ont passé à côté aussi, ils se disent, il bougeait pas. Fait que non, d'après moi, il était déjà mort. On est dans le bois un peu. [00:25:53] Speaker C: Ton char, il a l'air de quoi? [00:25:54] Speaker B: Non, mon char est correct. Je pense que j'ai pilé juste sur la tête ou sur la queue, un des deux. Mais c'est de la forêt, tu déroulais sur un porc-épic. [00:26:01] Speaker C: Moi, ça m'est arrivé dans le petit parc. J'ai frappé, je roulais un petit Mazda 3 à l'époque, j'ai frappé un porc-épic sur le côté, pneu côté passager. Ben... Sur le coup, j'arrive, je suis arrêté. J'arrête dans le petit parc, puis je regarde mon char, puis il n'y a pas de dommage. J'me dis là, j'suis quand même pas pour rester à côté du parc épique, j'y ai mort, j'y ai mort. Un ours va le manger, c'est tout. [00:26:26] Speaker B: Roadkill. Des corbeaux. [00:26:29] Speaker C: J'peurs, mais t'sais j'avais pas super vérifié, faisait noir aussi. Le lendemain matin, le chien de mon beau-père chez qui j'allais s'est blessé sur mon pneu. parce qu'il y avait des pines vétérinaires à toute la patente. [00:26:40] Speaker B: Ah non, c'est pas le fun, ça. [00:26:41] Speaker C: Il a fallu prendre des pinces pour enlever les pines. [00:26:43] Speaker B: Ça veut pas sortir, ça. Mais tout le monde pense aux pneus, mais des épines de porc-épic à travers un radiateur, ça fait du dommage. [00:26:52] Speaker C: Mais c'est solide, ces patentes-là. [00:26:53] Speaker B: Oui, c'est solide. C'est solide comme moyen de défense. [00:26:55] Speaker C: C'est ça. [00:26:56] Speaker B: Non, non, c'est très solide, ces épines-là. Nous autres, comme moyen de défense, on a X Facebook. Toi, toi. Les autres, c'est... Ouais, c'est ça. Les autres, c'est Zépine. [00:27:08] Speaker C: J'ai déjà rencontré un porc qui pique, tu sais. Quand je travaillais à la station de radio à Sept-Îles, c'était sur la rue Arnault, il fallait que tu montes des escaliers pour te rendre au deuxième étage où il y avait la porte pour rentrer. Puis c'était comme couvert, là. Tout le long, c'était un tunnel. Tu montais, tu voyais pas le ciel, là, t'étais à l'abri. [00:27:24] Speaker B: C'est-tu un vendeur de drogue qui était au premier? [00:27:25] Speaker C: Non, c'était pas un vendeur de drogue qui était au premier, c'était un vendeur de balayeuses. [00:27:29] Speaker B: OK. Pas pareil. Disait-il. [00:27:31] Speaker C: Disait-il. En tout cas, ça aspirait sur un moyen de temps. [00:27:35] Speaker B: Il y a des consommateurs de drogue qu'on a surnommé la balayeuse aussi. Ouais, c'est sûr. [00:27:39] Speaker C: Et quand je me suis rendu en haut des marches, il y avait un porc-épic. [00:27:43] Speaker B: Ouais, c'est pas le fun. [00:27:44] Speaker C: J'allais faire le show du matin. [00:27:46] Speaker B: Oui. [00:27:46] Speaker C: Il est genre 5h le matin. Il fait noir, je suis tout seul. Il est dans le chemin. Il est pas dans le chemin. C'est 4x4 à peu près, puis il y a un porc-épic là, juste à côté de la porte. [00:27:54] Speaker B: Non, il est gros, là. Il est gros. [00:27:55] Speaker C: C'est vraiment gros, cette bibitte-là. T'as l'impression que c'est tout petit comme un hérisson, mais non, c'est gros. Là, je fais quoi pour rentrer, moi? Je sais que c'est pas méchant, mais... Écoute, j'ai 21 ans. [00:28:08] Speaker B: Tu peux pas le taser de ton pied, là. Non, non. [00:28:10] Speaker C: Je me suis dit, faut-tu que j'appelle la police. [00:28:13] Speaker B: Ouais, non, ça, c'est pas bon, là. [00:28:14] Speaker C: Ben non, je l'ai pas fait non plus. [00:28:16] Speaker B: Ça, c'est pas bon. Ça, c'est dos mien. Ah oui, je le sais, mais... Never happen, hein? [00:28:20] Speaker C: Inquiétez-vous pas. [00:28:21] Speaker B: Ça s'est jamais arrivé. [00:28:22] Speaker C: Je me suis... Je me suis parlé, ça a duré 12 secondes, là. [00:28:26] Speaker B: Tu t'es raisonné. [00:28:27] Speaker C: Je suis monté en haut, puis j'ai ouvert la porte en me disant... Mais tu sais quoi? Quand je suis rentré, je l'ai rebarré. D'un coup! [00:28:35] Speaker B: D'un coup, il ouvrirait la porte. [00:28:37] Speaker C: Exactement. [00:28:37] Speaker B: Un porc-épic intelligent. Mais c'est gros. C'est gros, un porc-épic. C'est très gros. Parlant de pneus, parce qu'on a quand même très brièvement parlé de pneus dans ce segment naturaliste. [00:28:48] Speaker A: Oui. [00:28:49] Speaker B: Je roule ses pneus d'hiver depuis quasiment une semaine. Ça va bien! Félicitations. Ça va bien, bien chaussé, c'est fait. [00:28:55] Speaker C: À matin, j'aurais mis ça les avoir. [00:28:57] Speaker B: Si j'y allais pas là, le prochain rendez-vous, c'était fin novembre. Les miens étaient chus de dernier, t'es en trop posé là, plus l'une de Jeep. [00:29:04] Speaker C: J'ai gratté les fenêtres de mon char, matin. [00:29:07] Speaker B: Ah oui? Oui. Ah non, moi, ça y allait, la chaufferette. Il y a ça de bon avec le Jeep, la chaufferette marche. Pour ce qui est de la batterie, parce que là, il en parle, le matin, dans le journal, la batterie, ça, on repassera, là. 4X, l'hiver, c'est vraiment de la merde. L'été, c'est correct, mais c'est ça, c'est pas fait pour l'hiver. Mais regarde, je l'ai, le Jeep, puis... Ça chauffe. La chaufferette marche. Ça va très bien. D'ailleurs, la Une, Journal de Québec, on n'aurait peut-être pas de l'air d'en parler ben ben ce matin, mais si les concessionnaires avaient vraiment eu le goût d'avoir le coup de grâce de la vente de véhicules électriques, on connaît l'emprise de Québécois sur le Québec. puis répète, puis ça commence avec le journal, c'est TVA, c'est des vox pop, puis c'est LCN aux demi-heures. Bang! Bang! Bang! Bang! Et là, ça se rend juste qu'au bulletin qui était fait par Sophie Thibault, là, mais là, s'ils ont mis une remplaçante, là... Mais ça, c'est écouté, là. C'est la religion au Québec TVA, on le sait, là. Maudit Citron électrique. Bureau d'enquête. C'est un genre de... trois, quatre pages de témoignages qui disent que les chars électriques, c'est de la merde. Je vais vous dire une affaire, dans les prochains mois, il n'y aura pas un sincère de chars électriques vendus au Québec. C'est confirmé à cause de l'influence du Média. Tu comprends? Mais c'est une christie job de bras pareil! Regarde ça les amis là! Pis ils ont pas tort! Pis il faut le dénoncer, pis on le dénonce ici, pis Carbeau il ouvre les lignes et tout ça. Pis Marc, Marc, il est quand même très candide à cet effet-là, que c'est pas vrai que tous les chars électriques sont excellents. Mais il y en a des très bons, tu sais, il a déjà vanté l'équinoxe quand même pour être équilibré. Il a quand même dit qu'il y avait des... Ça a été le top bandeur d'ailleurs de l'année, le Equinox de GM. Mais ça, ça donne une maudite volée à matin au concessionnaire. J'ai regardé ça, puis j'ai dit « Oh boy! Il y a des téléphones qui vont se faire! » Il y a des téléphones qui vont se faire dans le Saint-Dessin. Il y a des concessionnaires qui vont appeler au journal, leurs représentants publicitaires ou même à la direction. « Qu'est-ce que vous avez fait là? Blablabla. » Ça fait ce matin. Je tenais juste à vous le dire. C'est des vrais témoignages de personnes. Quand moi je vous dis que l'hiver, mon 4XE, c'est juste un Jeep à gaz plus pesant, donc ça boit du gaz. Le Jeep, il boit du gaz en maudit l'hiver. Il est pesant à cause des batteries, mais les batteries n'embarquent pas. C'est fait pour un hiver de Pennsylvanie. Fait que tu traînes des batteries pour rien. C'est ça, exactement. L'hiver québécois, là, c'est l'hiver québécois. Ben oui. Dans la tête des Américains. Un pneu d'hiver, c'est un 4 saisons. Oui. Mais nous autres, c'est un pneu d'hiver. C'est un hiver, là. [00:32:06] Speaker C: Quand tu roules dans un Ligue FX à 81, tu te rends compte que ça marche pas, le 4 saisons? [00:32:10] Speaker B: C'est ce que t'as fait. T'avais des pneus d'hiver, là. [00:32:13] Speaker C: Moi, j'avais des pneus d'hiver, ça passait. Tempête. [00:32:15] Speaker B: Toutes les autres, c'était... T'avais des pneus 4 saisons. Des pneus 4 saisons. C'est ça. [00:32:19] Speaker C: Ça fait du camping sur le bord de la route. [00:32:21] Speaker B: C'est ça. Exact. J'ai dit, il n'y a pas grand monde sur la planète, sur la boule, qui vit des hivers comme nous autres. Ben c'est ça! Tu sais qu'on parle du sem... Oui, l'hiver, tu sais, Marchand a dit cette semaine, on peut parler... Non, pas cette semaine, il avait dit ça dans l'entrevue avec Arsenault à Montréal. Ça, ça fait partie de son compte de dépense là-bas. Il est allé à Montréal faire un spectacle, puis il a chargé ça au contribuable. Oui! Dans cette entrevue-là, elle, elle l'amène sur le tramway, puis lui, il dit « Ah, c'est bon, l'hiver, on a beau donner plein d'exemples comme le Japon. » Le Japon, oubliez ça. Le Japon et le Québec, c'est pas dans la même phrase. Arrêtez. Y'a rien qui se compare au Québec. [00:32:59] Speaker C: Y'a rien? Non. [00:33:00] Speaker B: Et à Québec, pour la quantité de neige, à Québec, c'est sur 3 m. [00:33:03] Speaker C: Québec, c'est la ville nordique la plus compliquée à déneiger au monde. [00:33:07] Speaker B: Les places comme nous autres sont pas habitées. [00:33:10] Speaker C: En fait, il n'y en a pas tant des places comme nous autres parce que soit il tombe beaucoup de neige ou soit il fait moins 30. Mais nous autres, on a les deux. C'est pour ça qu'il n'y en a pas beaucoup comme nous autres. Des places, des villes habitées comme Québec dans lesquelles il tombe du 380-400 cm de neige par hiver, on est les seuls. On est les seuls. C'est pour ça que le déneigement, plus il va y avoir du monde à Québec, plus il va y avoir de la population qui va s'y ajouter. Je vous le dis, le déneigement, à un moment donné, on va devenir un point comme Montréal. Ce ne sera pas gérable. Pas serrable, selon... [00:33:47] Speaker B: En plus, on se rajoute des cailloux. [00:33:50] Speaker C: Volontairement dans nos soumis. [00:33:51] Speaker B: Oui, c'est ça. Pis ils nous disent que ça marche, mais regardez les autres titres. Regardez à Ottawa pis regardez à Montréal. Exact. Ça marche pas. On va aller à pause, tranquillement. On se dirige vers un deep down, classic style. C'est la fin d'une période. C'est la fin du premier mandat de marchand. [00:34:11] Speaker C: Les 22. [00:34:12] Speaker B: C'est ça. Mais ça a-tu pleuré hier, le dernier conseil? [00:34:15] Speaker C: Non, ça n'a pas vraiment pleuré. À la fin, je n'ai pas sorti d'extrait de ça. [00:34:18] Speaker B: Il y a des câlins. [00:34:19] Speaker C: On s'est fait des câlins. On va se dire que la vérité, c'est qu'il y a 22 personnes qui ont été élues le 7 novembre 2021. Et ces 22 mêmes personnes étaient présentes hier au conseil municipal. Au Québec, regardez le nombre de démissions qu'il y a eu un peu partout en politique municipale. Je suis... Je pense que Lévis et Québec, ça fait pas mal partie des deux seules villes dans lesquelles personne n'est parti. On a vraiment commencé en novembre 2021 avec le même staff avec lequel on a terminé en novembre 2025, ce qui, en soi, n'est pas une mauvaise nouvelle. On s'entend pas dire qu'il y a des élections partielles pour un échevin. C'est assez plate. Mais oui, c'était le dernier hier, puis on va faire le tour de tout ça. Après la pause. [00:35:03] Speaker B: Juste pour vous dire, en terminant, que c'est quand même le fun de voir que le Canadien est resté en ville. Des pratiques ouvertes au public, aujourd'hui et demain. [00:35:13] Speaker C: OK. [00:35:13] Speaker B: Où? Au centre Vidéotron. Nice. Mais là, je suis pas en train de vous dire de demander à vos parents de manquer l'école. Demain, mettons, c'est vendredi. Mais mettons que moi, je suis un ticu. de 15 ans, 16 ans. J'ai des bons scores à l'école, pis ça va bien. Pis j'ai des 95, pis j'ai des 90. J'suis pas en train de vous dire ça, là! Mais maudite marde! Demidov pis Hudson en ville, qui se passent le poc. Tu reverras pas ça au lot. Je suis pas en train de vous dire de demander à vos parents de la permission d'eux, là. Mais mettons que moi, si j'ai votre âge, je le ferais. Et vous êtes de Montréal Life. [00:35:57] Speaker C: Parce que tu parles du Canadien. [00:36:00] Speaker B: Ben voici donc. [00:36:00] Speaker C: T'as vu l'histoire du policier? [00:36:03] Speaker B: Ah oui, ben il protégeait le Canadien. J'ai vu ça, vite. Mais il est pas mort, il est. [00:36:07] Speaker C: Pas... Non, non, il est pas mort. Mais ce qui est en train de ressortir à l'heure actuelle, selon les premières thèses, c'est que la police de Québec voulait faire un show avec ça. mais qu'il n'y avait rien qui justifiait qu'on le fasse passer l'autobus du Canadien, c'est les lumières rouges. [00:36:20] Speaker B: OK. Bien, il y a de moins pour moins que le gars est à l'hôpital. [00:36:24] Speaker C: Oui, c'est ça. [00:36:25] Speaker B: On souhaite... [00:36:27] Speaker C: Je sais, mais c'est parce que c'est partout à matin, aux nouvelles... Dans tous les nouvelles commentées que j'ai entendues un matin, c'était là, puis comme on n'en reparlera pas, je trouvais que la passe à la palette était bonne. [00:36:37] Speaker B: C'est à 10 h 15, là, il y a quelqu'un qui me le demande. C'est de 10 h 15 à 11 h 45. [00:36:42] Speaker A: Donc... [00:36:44] Speaker B: Ils vont manquer quoi, là, Nathan? Un cours de français? Ah, il parlera plus français! C'est ça, il va se faire assimiler! Il va-tu manquer un cours de mathématiques et tout ça? Ah, c'est pédago demain! Il y a quelqu'un qui me dit ça! «Hey, Morin, c'est pédago demain!» Ben c'est donc ben bon! C'est donc ben bon? [00:37:02] Speaker C: On va y aller aujourd'hui. On va voir moins de monde. [00:37:04] Speaker B: Ouais, aujourd'hui ou demain. En tout cas, c'est ça l'information que j'ai à vous donner. Aujourd'hui et demain. Donc, je le répète, pratique ouverte au public. C'est gratis. Et Dieu sait que des affaires gratis, il n'a pas ben bon au Québec. C'est au Centre Vidéotron le Canadien de Montréal à 10h15 jusqu'à 12h15. Let's go! On va à la pause et c'est le deep dans nos retours. Montréal. [00:37:25] Speaker C: Ready for this? [00:37:26] Speaker B: Live. Les meilleurs au monde. [00:37:28] Speaker D: On revient dans pas long. [00:37:29] Speaker E: Live. [00:37:30] Speaker D: Radio. [00:37:31] Speaker B: Les sports de Dan, présentés par Gold Wanted, qui cherchent des représentants sur la route. Tu es fonceur et débrouillard? Parcours le pays, dépenses payées. Pas d'expérience requise, salaire de départ entre 125 et 150 000 $. Écris-nous au RH à commercialgoldwanted.ca. [00:37:48] Speaker C: Voilà, François Legault, on va lui souhaiter bonne chance. Pour le reste, l'agenda va le rattraper. [00:37:54] Speaker B: Il y a tous les jours, il arrive de quoi. Puis, t'sais, il est tellement mauvais quand il sort publiquement. Il est capable tout seul de s'auto-pédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopédopéd. [00:38:18] Speaker D: Présenté par Céramique L'Entrepôt. En ce moment, profitez de gros rabais comme du vinyle clique à 1,79$ le pied carré et du plancher flottant à 99 sous le pied carré. Céramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand. [00:38:31] Speaker B: Commencez la journée du bon pied avec nos déjeuners savoureux, généreux et à petit prix. Chez Fromagerie Vittoria, chaque assiette traditionnelle est préparée avec amour. Croutons maison, fins volants bien chauds et du fromage frais du jour. [00:38:43] Speaker C: Tout ça, tout juste préparé. Un vrai classique qui réconforte peu importe vos envies. [00:38:48] Speaker B: On a de tout pour satisfaire les plus gros appétits. Servez jusqu'à 11 heures en semaine et 13 heures les week-ends. En salle à manger ou au service au volant, on vous attend à la Fromagerie Victoria. 8 succursales pour mieux vous servir. Quand les institutions financières deviennent frileuses à la vue de votre code de crédit, PacketAutoCredit.com vous aide à trouver des solutions efficaces pour la remonter et rétablir leur confiance. Paquetautocrédit.com ne se contente pas de vous offrir la voie pour l'achat d'un véhicule. On va encore plus loin. Ce prêt majeur va avoir un impact positif sur votre crédit. L'équipe prendra le temps d'analyser votre situation et vous guidera afin de redevenir séduisant aux yeux des prêteurs. Poquetteautocrédit.com, expert en redressement de crédit à Saint-Nicolas et Lévis. [00:39:30] Speaker C: L'école de conduite Pointe-Lévis, c'est 15 formateurs et 250 heures de cours par semaine, jour, soir et week-end. Les cours débutent tous les mois. Inscris-toi, nomme Radio X et épargne 50 % sur ton manuel. L'école de conduite Pointe-Lévis à Saint-Charles-de-Bellechasse et Lévis. [00:39:46] Speaker B: Pour l'action de grâce, faites le plein de bières de micro chez Chaloux. Un vaste choix pour l'Octoberfest et une foule de bières au prix minimum. Chaloux, une entreprise familiale et toujours le plus grand choix au meilleur prix. À Beauport, Saint-Émile et bientôt, Sainte-Catherine-de-la-Jord-Quartier. [00:40:01] Speaker C: Les petites patates, présentées par les Cliniques vivants. [00:40:04] Speaker B: Offrez-vous l'épilation définitive avec le laser Triton. [00:40:07] Speaker C: Ultra-Efficace et sans douleur. [00:40:09] Speaker B: Épargnez jusqu'à 50 % en combinant les régions. [00:40:12] Speaker C: Cliniquesvivants.com. Dom, as-tu des petites patates? [00:40:18] Speaker B: À un moment donné, c'est arrivé hier à Laval. Il y a certaines personnes qui prenaient le café dans un Starbucks. À un moment donné, il y a des gars qui a googlé qui sont arrivés pis boum boum boum boum boum! Et c'est arrivé, c'est traumatisant, on peut se mettre dans leur peau. Et pouf, Bobby le Grec est parti. C'est quasiment un mauvais épisode de District. C'est Bobby le Grec qui a été tué à Laval. D'un café. [00:40:44] Speaker C: C'était le nom du gars dans Mafia Inc. qui a fini en saucisse, le Grec. [00:40:49] Speaker B: C'est vrai? Oui. Mais lui c'est vrai! Il dirigeait, dit-on, la mafia grecque à Laval. C'est quasiment folklorique, mais c'est une vraie histoire. OK, un Québécois de 23 ans, connu pour ses vidéos virales, La chasse aux pédos, qui a été arrêté, accusé de distribution de pornos juvéniles. C'est pas bon. Moi, je déteste les pédos, mais il y a la police pour ça, il y a la couronne, porte-plaintes. Tu peux pas te faire justice toi-même, première des choses, puis tu peux pas jouer à la police, tout simplement. Pas mal sur la fin de l'histoire. Hélène Drenville, la connaissez-vous, hein, sa petite soeur? Hélène Dréville, qui est connue un peu dans les médias, mais plus au niveau administratif, a quand même une feuille de route. Mais zéro feuille de route pour être une ambassadrice, entre guillemets, du Québec, à Bruxelles. Le peu spécial, c'est la sœur Abernard. Bien oui, la sœur Abernard. Le PQ fait bien de souligner ça, quand même. Oui, c'est une nomination partisane. Mais ça vaut quoi, le PQ? Quand vous allez être là, vous allez en faire aux autres ici. Ils font tout ça. Donc ça sera l'arroseur arrosé. Isabelle Demers en a sorti une sucrée hier à Lévis en disant «Moi, des dos d'andes, j'adore ça et j'en veux partout! Dans toutes les zones scolaires! Toutes les zones scolaires!» Tant qu'à... Tant qu'à exagérer, on peinture au rouleau à grandeur. Ça m'emmerde qu'il y a pas l'intention de déneiger les Pesticlub en hiver. Autrement dit, ce qu'il dit, c'est enlever Bollor, mais on va déneiger en rue comme on l'a déneigé en 82. Et en 95 aussi, peut-être. Pas mal ça. Qu'est-ce que je vais vous dire? Ah oui, ça c'est bon. Taïga, on en parlait hier justement. Taïga sont sous enquête de l'AMF pour une histoire de fraude et d'information potentiellement fausses et trompeuses. Question. Qu'est-ce qui arrive avec Lyon si Taïga est enquêté? Lyon, peut-être, ça pourrait être le fun. L'État québécois, rappelons-le, qui avait englouti 20 millions dans l'affaire de Taïga. Oui, oui, on a voulu inventer ici des skidoo électriques. Mark Carney qui dit, vraiment, c'est une autre planète, le petit Mark. Post-Canada est essentiel. Oui, on va pas en reparler, là. Rappelons qu'il y a quand même des pertes financières de 10 millions par jour. Est essentiel, oui, mais en modèle réduit, peut-être. Caroline Proulx prend un congé. Disons santé, je pense qu'on peut l'appeler comme ça. Le ministre des aînés qui va faire le deuil de sa mère, raconte-t-elle, un deuil qui n'a pas été fait, donc là-dessus c'est bien personnel. Qu'est-ce qu'il y a du bord de la CAQ? Projet pilote? Ah oui, ça, ça commence en fin de semaine pour prolonger les heures d'ouverture des commerces. Ça pognera pas pantoute. Saint-Georges, c'est ça, Alice, je comprends pas. Saint-Georges, Laval et Gatineau, je comprends, mais Saint-Georges, what the heck? On dit qu'à Saint-Georges, il y a juste le Weiner qui va fermer à 20h, samedi. Donc on s'en va sur Weiner. Je veux vous parler du lait. C'était la une du globenmel hier. très intéressant l'information que j'ai à vous donner. Non, la gestion de l'offre n'est pas remise en question. Ce qui est remis en question, en tout cas ce qui est discuté de la part des Américains, c'est qu'ils veulent compléter, ils veulent fouler en français. Les quotas, OK? Il y a de la place, entre autres, pour la crème glacée. Il y a juste 30 % de quotas. Il y a une marge de 70, là, où les Américains peuvent nous envoyer de la crème en glace. Le lait en poudre, moi, j'en prends pas. Dan, non plus. Je pense qu'il en prend pas. 57 %. Et le yogourt. C'est là que ça risque de faire une différence. On risque de voir plus de yogourt américain et de crème en glace américain. ou américaine au cours des prochaines années, ce qui change pas grand-chose dans nos vies. Et fear, en terminant, COVID-19! Il s'appelle Frankenstein! C'est le nouveau variant! Pique-pique et collégramme, boum et boum et ratatame! Ici Stéphane Slogar, propriétaire et fondateur de Slogar Jury-Conseil. [00:44:57] Speaker C: Depuis 20 ans, l'équipe Slogar a récupéré. [00:44:59] Speaker B: Plus de 71 millions de dollars à plus de 3 500 clients en indemnisation. [00:45:03] Speaker C: CNESST, SAAQ et Assurance Invalidité. [00:45:07] Speaker B: Une maladie longue durée, ça bouleverse une vie. [00:45:10] Speaker C: Exigez les pros de l'indemnisation, l'équipe Slogar. [00:45:13] Speaker B: On est là pour vous. [00:45:14] Speaker C: On protège vos intérêts pour obtenir les meilleures indemnités et vous permettre de bien traverser cette épreuve. [00:45:20] Speaker B: Slogart.Ca, première rencontre sans frais. [00:45:23] Speaker C: Tout augmente, on le sait, même la facture d'électricité, même Multiconfort, FP, eux autres peuvent gérer ça. Ils peuvent gérer ça d'abord, ils vont s'assurer que vous soyez bien, ils vont s'assurer que vous soyez confortable. Peu importe la saison, fait moins 30, belle chaleur. Fait plus 30, belle fraîcheur. Tout ça grâce à la thermopompe Lenox qui vous permet de réduire les coûts d'électricité jusqu'à moitié. Pensez pour votre confort, on le sait. En plus, les subventions n'ont jamais été aussi élevées qu'en ce moment. Vous vous dites «Oui, il me semble. [00:45:49] Speaker B: Que je n'ai pas le budget, les. [00:45:50] Speaker C: Temps sont assez difficiles pour une thermopompe.» Tu te trompes. Va voir Fred, toute sa gang va te le prouver. Ils ont vraiment la thermopompe pour ton budget à toi. On est recommandé CA, Québec, Multiconfort FP, juste en face de l'aéroport à Québec, également à Victoriaville. [00:46:05] Speaker B: Passerais-tu la scie, mon grand? Question de lancher ton téléphone. [00:46:08] Speaker C: Ah, ah. Mais c'est pas un métier, couper des branches aussi proches des fils? [00:46:11] Speaker B: Franchement, je suis capable. [00:46:14] Speaker D: Tailler des branches près des fils électriques pourrait couper court à votre vie. Restez à plus de trois mètres. Ceci est un message d'Hydro-Québec. [00:46:20] Speaker B: Oh, Calinette, madame, monsieur. Calinette, contactez-nous! Calinette, nettoyage d'urgence 24-7. Nettoyage après cynisme. Nettoyage des conduits de ventilation. Quelle bonne idée! Ça a jamais été fait de chez vous. Et là, vous reniflez et vous toussez à tout bout de champ. C'est drôle, hein? Quand tu t'en vas manger chez la belle-sœur, tu renifles pas pis tu tousses pas. Tu reviens à la maison, tu renifles, tu tousses. Tu t'en vas dehors, tu t'en vas au bureau, tu ne renifles plus, tu ne tousses plus. Tu reviens à la maison, tu renifles, tu touches. Pour arrêter ces folies-là, pour décontaminer, pour enlever les moisissures, c'est le temps de faire ça avant de s'encabanner. Parce que Dieu sait qu'on s'encabanne l'hiver. Appelle donc Alinette. 88666666. Circulation de Québec pour faciliter la fluidité. [00:47:11] Speaker C: Capitale, la direction ouest dans le secteur Beauport-Charlebourg-Limoilou, c'est, je dirais, faible au ralentissement, mais ça va toujours en augmentant dans ce secteur-là, on le sait. Même chose pour ce qui est de la tête des ponts, c'est compliqué, surtout pour les gens qui arrivent de la 73 et de la veille direction ouest. Pour les gens qui arrivent de Saint-Apolle ou Saint-Étienne, bien, ça va, sans doute, encore une fois, assez bien ce matin jusqu'au 20 décembre. Recevez jusqu'à 100 $ de remise à l'achat de quatre pneus Canadian Tire sélectionnés, des pneus Canadian Tire disponibles chez votre détaillant Autobox. [00:47:43] Speaker B: Les pneus d'hiver Michelin combinent confort, silence et efficacité. Jusqu'au 19 décembre, recevez 85 $ en. [00:47:50] Speaker C: Carte prépayée Michelin Mastercard à l'achat de. [00:47:53] Speaker B: Quatre pneus neufs Michelin Tourisme ou camionnette. [00:47:56] Speaker C: Chez Les Tourneaux Services de pneus et mécaniques. [00:47:58] Speaker B: Des conditions s'appliquent. [00:48:00] Speaker D: Bonjour, je cherche un divan de style... moderne. [00:48:05] Speaker B: OK. Moderne style contemporain en cuir tan aux lignes super épurées ou moderne style divan nuage super design dans une couleur tendance? [00:48:12] Speaker D: Je pensais moderne, comme dans mon salon en besoin d'un coup de jeûne. J'ai deux ados, un chien, une iguane et un budget à respecter. [00:48:18] Speaker B: Ah, moderne style pratico moderne avec une touche d'exotisme accessible alors. Je vous montre ça tout de suite, suivez-moi. [00:48:24] Speaker C: Avec plus de 35 000 articles, on. [00:48:26] Speaker B: A le style que vous cherchez. [00:48:27] Speaker C: Tant gay, tant de beaux styles. [00:48:29] Speaker D: Un cancer ou une maladie rare débarque dans votre vie et vous vous sentez dépassé? Choisir sa pharmacie, c'est un gros plus. La pharmacie La Rivière et Massicotte, c'est la gestion des résultats de labo et des effets secondaires, la collaboration avec votre équipe soignante et votre pharmacien de quartier. À chacune des étapes, un accompagnement bienveillant. Choisir la pharmacie d'expertise La Rivière-et-Massicotte, c'est vous choisir. Lmpharmacienne.com Seuls les pharmaciens sont responsables de la pratique de la pharmacie. [00:48:59] Speaker B: Bon, qu'est-ce qu'on mange? [00:49:00] Speaker D: Une pizza! [00:49:02] Speaker B: L'ingrédient frais, pâte et sauce maison, Ludo, la pizza congelée au vrai goût de resto. En ce moment, c'est 2,9 pouces pour 12 $. Dispo chez les marchands participants. Et un prix très, très, très spécial au IGA Amel. Ludo, décongeler, cuire, servir. Le deep down. [00:49:17] Speaker C: Présenté par Couvre-Plancher Orléans, qui fête ses 50 ans. Des rabais sur les flottants, vinyles, céramique. [00:49:23] Speaker B: Tapis, la peinture Benjamin Moore, et plus, du Couvre-Plancher Orléans. [00:49:33] Speaker D: Avec Dominique Morin. Radio X. [00:49:44] Speaker A: Bon. [00:49:57] Speaker B: A hier ça a du brosser en maudit. Puis tu m'as pas dit ce qui s'est passé. C'est toi qui suis le conseil. Mais le compte de dépenses de Renaud Labrecq et tout ça hier, ça a dû brasser! [00:50:10] Speaker C: C'est l'enfer! [00:50:10] Speaker B: T'es partout en une des journaux ce matin. T'es partout en une des journaux. L'extrasauce marchand qui dépense beaucoup plus que la bombe et le marchand qui va au-delà de ses dépenses de voyage de près de 20 000 par année salariale. [00:50:26] Speaker C: Oui, les gars, breaking news, j'ai démissionné. [00:50:29] Speaker B: Oh! On vient de rentrer? OK. C'est fait, c'est réglé. C'est fait. On vient de la prendre. [00:50:34] Speaker C: Mais c'est comment je peux topper? [00:50:35] Speaker B: Le 2 novembre. [00:50:36] Speaker C: Comment je peux topper le sarcasme qui est en train de se produire? [00:50:38] Speaker B: On vient de la prendre et tant qu'il a toppé, Stéphane Lachance est maire. Il est installé avec sa grosse shape dans le bureau du maire. C'est réglo et il va repeinturer tout en bleu et en rouge. C'est quoi? C'est les couleurs de respect citoyen au final. Parfait. [00:50:55] Speaker C: Je vous dirais, les deux premières heures du conseil municipal, ça avait l'air bien normal. Après ça, par la suite, ça virait vraiment comme un 19 décembre à l'école. Je veux dire, on est allé chercher l'espèce de gros meuble avec une TV dedans et on a mis le miracle de la 34e rue. Ça ressemblait beaucoup à ça. Je commence avec le premier extrait. Écoutez comme il faut le greffier et dites-moi ce que vous comprenez. [00:51:20] Speaker B: Le dossier concerne une entente entre la. [00:51:21] Speaker C: Ville de Québec et la Fondation Québec Philanthrope pour le service de mobilisation de la communauté d'affaires de Québec en faveur de la lutte au changement climatique. C'est proposé par Mme Asselin, appuyé par Mme Coulombe-Leduc. Questions ou commentaires? Donc, Québec philanthrope, philanthrope Québec qui va mobiliser les gens d'affaires à être conscientisés sur les changements climatiques. Ça veut dire que la ville de Québec trouve que les gens d'affaires... Ils mettent pas ça en priorité, les changements climatiques. Fait que là, ils vont prendre l'argent des taxes du monde pour mobiliser du monde qui va essayer d'influencer les gens d'affaires à monter ça dans leurs priorités. [00:52:11] Speaker B: Je vais montrer juste le visage de la directrice de l'administration de Québec Philanthrope à Dôme. Ouais. Fait que, regarde. La terre est sauvée. [00:52:22] Speaker C: Ça me donne le goût d'être généreux. [00:52:24] Speaker B: La terre est sauvée avec une base de corrodate. Wow! Québec Philanthrope. Moi, j'ai été journaliste longtemps à Québec. Animateur de radio une vingtaine d'années. Je n'ai jamais entendu parler de ça de ma sincère de vie. Merci, je suis pas tout seul. Comme ça, c'est parfait. Tu sentais mal, là? Oui. C'est quoi ce Québec philanthrope? Je pense que tous les mois, on passe la gratte pour pire, là, dans les affaires qui sortent. On est un peu freak, là. Mais ça, je n'avais jamais entendu parler de la Fondation Québec philanthrope. C'est une patente qui existe depuis six mois ou... Sérieux, là? Mais c'est réglo, c'est réglé. Donc, réaction de la Chine, merci. C'est le direct discutateur, hein, Chi, qui a réagi en disant merci de contrecarrer notre pollution. C'est réglé. Tout balance, là. [00:53:15] Speaker C: Tout balance. [00:53:16] Speaker B: As-tu les chiffres, Dan, ce matin? [00:53:17] Speaker C: Il y a même un numéro de téléphone. [00:53:18] Speaker B: Bon, j'ai tout ça ici. Tout balance, ça balance. La pollution, ça balance. As-tu les chiffres live? Depuis plus de 35 ans! Je sais, man! Et c'est ça! Les chiffres de GES live, on les a ici. Et tout balance, Dan, c'est ce qu'on vous apprend. Tout balance. [00:53:33] Speaker C: Selon Pierre Couture, c'est dans le vert. [00:53:35] Speaker B: OK, c'est pour ça. Voici, c'est parce que c'est ça l'histoire. Mieux connu sous le sigle FQP. [00:53:43] Speaker C: Ah! [00:53:45] Speaker B: Moi, je voyais plein de monde avec des chandails FQP en ville. Mais le modèle, c'était quoi? Là, je le savais. Là, on le sait. [00:53:50] Speaker C: Oui, oui, c'est beau. [00:53:51] Speaker B: Bon, les épinglettes. [00:53:53] Speaker C: Enfin, un grand mystère qu'on vient de résoudre le 2 octobre de l'an de grâce 2025. [00:53:57] Speaker B: Bon, merci, Dan, de nous éduquer. [00:53:59] Speaker C: OK, là, votre Google est ouvert. Je vais vous poser la question suivante. Allez-donc magasiner des pierres de curling. [00:54:07] Speaker B: Curling.ca? [00:54:09] Speaker C: Non, non, Pierre de Curling avant. [00:54:11] Speaker B: Je vais aller sur Amazon direct. Pierre de Curling. [00:54:16] Speaker C: Pendant que vous cherchez ça, je vous fais entendre Madame... [00:54:19] Speaker B: J'en ai! [00:54:19] Speaker C: Madame Boudreau-Valière ou Valière Boudreau qui fait pas souvent la coupure du In the City, mais la voici qui nous parle de Pierre de Curling. [00:54:27] Speaker B: Autorisation de soumettre au conseil d'agglomération le. [00:54:30] Speaker C: Compte entre la Ville de Québec et. [00:54:31] Speaker B: Case Scotland pour l'acquisition de Pierre de. [00:54:34] Speaker A: Curling pour le centre multifonctionnel de Curling. C'est proposé par M. le maire, appuyé par M. Gosselin. [00:54:41] Speaker C: Questions, commentaires, Mme Beaubrière, sur le sommaire? [00:54:44] Speaker B: Mais les questions sur les pierres. [00:54:46] Speaker F: Bien sûr, M. le Président. [00:54:47] Speaker D: Alors, ces fameuses pierres sont à 1425 $ plus taxe par pierre plus l'importation. [00:55:00] Speaker B: À date, t'as juste deux extraits de jouets, c'est le meilleur conseil de l'année. [00:55:03] Speaker C: Attends un peu. [00:55:03] Speaker B: Non, non, arrête, arrête, arrête, arrête, arrête ça, là. Arrête ça, là. [00:55:07] Speaker C: Jean-François Gosselin, il se lève et il dit « Wow, wow, wow! » Les frais d'importation sont inclus. [00:55:12] Speaker B: Ma compréhension du sommaire est différente de. [00:55:16] Speaker C: Celle de ma collègue, là. [00:55:18] Speaker B: Moi, ce que je lis ici, c'est. [00:55:19] Speaker C: Que la Ville assumera les frais de livraison estimés donc ces montants-là convertis en devises canadiennes, ça donne un total de 185 000. Donc moi, ce que je comprends à lire le sommaire, c'est que les frais. [00:55:33] Speaker B: De livraison sont inclus dans l'achat des pierres. Mais comme le collègue a dit aussi. [00:55:37] Speaker C: Il faut ajouter... 200 000 $ pour des pierres de curling qu'on fait venir... [00:55:44] Speaker B: Pourquoi on fait venir ça de l'Angleterre? [00:55:45] Speaker C: D'Angleterre? [00:55:46] Speaker B: Oui. [00:55:46] Speaker C: Des Royaumes-Unis. En tout cas, je sais pas si c'est de l'Angleterre, mais disons aux Royaumes-Unis. C'est un peu le curling qui est un sport 100% canadien. [00:55:53] Speaker B: Ben oui! [00:55:54] Speaker C: Et j'ai trouvé un article datant de 2018 qui parle du centre de Curling Victoria qui a renouvelé ses pierres à 600$ la pierre. [00:56:01] Speaker B: Ben c'est un... C'est capoté. C'est complètement capoté. [00:56:06] Speaker C: 200 000$ pour faire venir des pierres de curling du Royaume-Uni alors que le curling est un sport qui se joue principalement en Saskatchewan. [00:56:20] Speaker B: Oh oui! [00:56:22] Speaker C: Selon moi, là... [00:56:23] Speaker B: Le Briar? [00:56:24] Speaker C: Selon moi, t'as envoyé un gars avec un p'tit compte de départ sur les dimanches aux Wendy's pis aux Tim Hortons, là. [00:56:28] Speaker B: Exact! [00:56:29] Speaker C: Fais-nous un aller-retour à ça, Scatch-a-wan. [00:56:30] Speaker B: Régina, Boston Pizza, Régina. [00:56:32] Speaker C: Exactement. [00:56:33] Speaker B: Pis t'as le droit de regarder en reprise des Rough Riders à TV. [00:56:36] Speaker C: Voilà, voilà, regarde. [00:56:37] Speaker B: Tu y vas, vas-y. [00:56:38] Speaker C: Si t'achètes un ticket des Bleachers, passe-le sur le cours de dépense, on va fermer les yeux. [00:56:43] Speaker B: Oui! Pis si tu vas au Breyer, t'as le droit de t'acheter un Tim Hortons. Mais t'as même le droit de discuter avec la fille qui a des pantalons à cordes rouelles. [00:56:49] Speaker C: On donne un budget de 450$ par pierre, on s'en fout qu'ils soient used. Ramène-nous des pierres de Burlington. [00:56:54] Speaker A: Oui! [00:56:54] Speaker B: On s'en fout s'il y a le logo des Rough Riders. [00:56:56] Speaker C: On s'en fout! [00:56:57] Speaker B: On va le gratter rendu ici. [00:56:58] Speaker C: On va s'arranger. On va trouver quelqu'un qui les remet à niveau. [00:57:02] Speaker B: Y'en a un sur eBay à 200$, c'est moi. Oui, je le sais. Alors, c'est scandaleux, c'est bon. [00:57:07] Speaker C: On précise, attention. [00:57:09] Speaker B: Ça va très bien. [00:57:09] Speaker C: Elles vont durer 70 ans, c'est de la roche. [00:57:13] Speaker B: J'espère qu'elles vont durer. Non, regarde, c'est fou. Moi, j'ai des pierres aux reins, ça marche pas. Des pierres aux reins, puis moi, je fais ça gratis. Je vous les offre. C'est au plus offrant. [00:57:24] Speaker C: La prochaine affaire, je trouve que c'est une bonne question. Je sais qu'on ne peut pas avoir l'information, Mais c'est une bonne question que posait Steven Malençon. Ce serait le fun de pouvoir aller vérifier tous les contrats. Administration ou vérification des outils du RTC. OK, on renouvelle le contrat que l'affirme le comptable, mais l'augmentation est de 42 % par rapport à l'année passée ou par rapport aux prévisions qui étaient faites par rapport à l'année passée. 42 % ! Plus élevé ! [00:57:53] Speaker B: Il y a du monde qui se gâte. En général, il y a du monde qui se gâte. Le 1,5 million de la FAO hier, syndicat pour alisbattre contre la laïcité à cause suprême, ça va finir à 4-5 millions cette affaire-là. Les avocats! Là, tu parles de comptables. Mais il y a du monde qui, dans la folie inflationniste C'est de la facturation à côté. Tout est permis. Dans ce cas-là, c'est une firme de comptable que tu vas nous identifier, quoi? [00:58:27] Speaker C: Si tu veux, je peux l'identifier. C'est ma lettre, mais c'est rien contre ma lettre. C'est vraiment le... [00:58:34] Speaker B: Le jour où tu factures. [00:58:34] Speaker C: Oui, exactement. Je te fais entendre la question, Stéphane Monançon. [00:58:37] Speaker A: Quand je revois ce sommaire-là, c'est sûr que l'écart entre l'estimation et la plupart des sommaires, c'est 42,1 % de plus. À la lueur de ce que je peux comprendre, il y avait des choses. [00:58:49] Speaker B: Peut-Être des ajouts ou pas. [00:58:51] Speaker C: C'est quand même assez considérable comme hausse. [00:58:55] Speaker A: Moi, je ne me pose pas la question. [00:58:56] Speaker B: Ce n'est pas de mes affaires, ça. [00:58:57] Speaker A: Va être confidentiel, mais j'espère que les. [00:58:58] Speaker B: Clients de cette firme-là autre que la. [00:59:01] Speaker A: Ville, ont pas reçu, eux aussi, du 42 % d'augmentation. [00:59:04] Speaker B: Parce que si on suit la logique. [00:59:06] Speaker A: Dans la note, c'est combiné à une. [00:59:08] Speaker C: Pénurie de main-d'oeuvre qualifiée dans le domaine comptable. [00:59:12] Speaker B: Ça fait que moi, à la lueur. [00:59:13] Speaker A: De ce que je peux voir là, la Ville a eu cette augmentation-là. Je sais pas si je fais une règle de trop ou elle est pas. [00:59:17] Speaker B: Bonne, mais ça veut dire qu'il y. [00:59:19] Speaker A: A plusieurs clients de cette firme-là qui vont voir à peu près ces augmentations-là. [00:59:22] Speaker B: Si on reste dans le même... Pénurie de main-d'oeuvre des comptables. Ça, c'est la première fois de ma vie que j'entends parler de ça. Il manque vraiment de comptables. Il y a une pénurie. Parce que soudainement, on a engagé des comptables à pu finir. C'est zéro comptagenté à l'université, la comptabilité, les amis. Arrêtez de me remplir. Voyons donc, c'est quoi cette affaire-là? [00:59:41] Speaker C: Qu'est-ce qu'il suppose, lui? [00:59:43] Speaker B: C'est pas ça qu'il allègue, Mélençon? Il essaie de comprendre. [00:59:46] Speaker C: C'est ce qui est marqué dans le devis. qu'il y a une pénurie de main-d'oeuvre. Puis lui, sa question est bonne, là. Ce serait le fun de pouvoir vérifier les augmentations de tout le monde puis les comparer avec l'augmentation de la Ville de Québec. C'était impossible, là. Mais pourquoi au gouvernement, au public, c'est 42 % d'augmentation? On sait très bien que c'est pas 42 % d'augmentation pour tout le monde. Donc, tu sais, cette twist-là, je la trouvais excellente, mais la chance aurait pas dû. C'était son dernier conseil municipal à la chance aujourd'hui. Fait que j'ai décidé de le gâter. Pour moi ce sont vraiment les plus. [01:00:21] Speaker A: Belles Je suis un grand garçon et je porte un pantalon Puis j'aime les. [01:00:27] Speaker C: Porter avec mes bretelles Pour les municipalités. [01:00:32] Speaker B: L'Expertise nécessaire pour faire la vérification de ce type d'organisation-là est effectivement plus spécialisée. Et le niveau d'audit est aussi beaucoup plus complexe à faire que peut-être une PME régulière. Donc, nécessairement, l'expertise senior est beaucoup plus requise. Et bon, bien, nos seniors vont de plus en plus à la retraite. [01:00:57] Speaker C: On sait ce que c'est. Dans le grand n'importe quoi, les seniors vont en retraite. Les policiers seniors vont en retraite, il y a du monde pour les remplacer. Les animateurs radio seniors vont en retraite, il y a du monde pour les remplacer. [01:01:07] Speaker B: La roue tourne, la terre continue de tourner. Ça va très bien, là. Il y a n'importe quoi. Mais on le met quand même à l'honneur, ce matin, Brettel. [01:01:17] Speaker C: Brettel, vous allez voir qu'il va être à l'honneur beaucoup ce matin. Jackie Smith, on a parlé de la police hier. Là, tu te dis, le monde a dû lui poser des questions. Les 50 policiers partout. Il y a juste Jackie Smith qui a parlé. Elle avoue qu'on cancelle la culture de la thin blue line. [01:01:34] Speaker D: Je demande si les SPVQ vont recevoir, les policiers vont recevoir une formation sur le profilage racial, plutôt comment ne pas faire le profilage racial, puis aussi peut-être une démonstration des signes haineux comme le thin blue line. Merci. [01:02:02] Speaker B: Merci. [01:02:03] Speaker C: Est-ce que j'ai une réponse pour Mme Smith? [01:02:07] Speaker A: Pas de réponse. [01:02:08] Speaker C: Il n'y a pas de réponse. Elle n'est même pas capable d'y répondre. [01:02:10] Speaker B: Elle est excellente. Elle est vraiment bonne. Elle parle à son petit mot. [01:02:16] Speaker C: Ça, c'est le genre d'affaire qui intéresse. [01:02:18] Speaker B: Juste une couple de personnes avec les cheveux bleus dans sa gang. [01:02:22] Speaker C: Ce n'est vraiment pas un enjeu à Québec, on s'entend. [01:02:24] Speaker B: Si tu veux être anti-police à Québec, c'est mieux de te lever de bonne heure. [01:02:28] Speaker C: Parlons de stationnement. On manque de stationnements en ville, là. [01:02:33] Speaker B: Oui. [01:02:33] Speaker C: Là, aux 150, regardez. [01:02:34] Speaker B: Bonin, d'ailleurs, veut un taxi, là. C'est ce que Dom a vu dans le... Hein? T'as assisté au premier débat, le vrai gros débat de Lévis? Celui de la Chambre de commerce. Il veut les enlever, les taxer, Bonin? Il veut taxer les stationnements. Donc, t'sais, il appelle ça les surfaces non perméables. Non, non, non, non. Non, non, non. Non, non, non, non. Non, non, non. Non, non, non. Non, non, non. [01:02:52] Speaker A: Non, non, non. Non, Non, non, non, non. [01:02:52] Speaker B: Non, non. [01:02:53] Speaker C: Non, Les immeubles à logement, tranquillement mais sûrement, qui se trouvent au Vieux-Québec sont en train de se faire interdire non, non. Non, non, non. Non, le non, non. Non droit de vignette. Et il y a une liste de critères. [01:03:04] Speaker B: C'est une christie de grosse histoire, ça. [01:03:06] Speaker C: Exactement. Puis il y a du monde qui ont des vignettes à l'heure actuelle que si jamais ils passent leur bail à quelqu'un d'autre, ils ne pourront pas passer la vignette avec parce que maintenant, il n'y a plus le droit de vignette. Et il y a une liste de critères dont, entre autres, être à 400 ou à peu près à 400 mètres du tramway ou du futur trajet de tramway, pas le droit de vignette de stationnement. C'est... Y'a personne qui a utilisé le terme guerre à l'auto hier, j'suis un peu déçu, j'vous l'aurais sorti. Mais c'est clairement une guerre à l'auto. Et surtout au 150 Grand Allée où c'est déjà une grosse bâtisse qui est là, oui je sais y'a un grand parking. Mais on va rajouter 10 étages à ce bâtiment-là. 10 étages, c'est pas rien là, c'est du logement. [01:03:43] Speaker B: Où ça? [01:03:43] Speaker C: 150 Grands Dalés, tape ça sur Google. C'est... [01:03:46] Speaker B: C'est-tu dans le coin de quartier à ce moment-là? Nous, on est au 11... 11... Oui. [01:03:52] Speaker C: C'est un bâtiment que tu connais. C'est un des plus gros bâtiments à logement qu'il y a actuellement sur Grands Dalés, dans ce secteur-là. [01:03:57] Speaker B: OK. [01:03:58] Speaker C: Il y a un gros parking, un gros stationnement en face. C'est sur la rive sud de Grands Dalés. Si on veut, c'est sur le versant sud. Et c'est ça. On va rajouter une dizaine d'étages. Puis Anne Corriveau avait cette question-là à poser hier. [01:04:12] Speaker D: Je peux comprendre qu'on est dans le secteur Centreville, Gallipaud, Grandallé et tout. [01:04:18] Speaker B: Je peux comprendre que, déjà, on stationne allègrement. Ce qui me cause problème et inquiétude, c'est que, est-ce qu'au départ, lorsque cet. [01:04:30] Speaker D: Édifice-Là a été construit, déjà à 12. [01:04:33] Speaker B: Étages, on avait prévu d'avoir assez de. [01:04:37] Speaker C: Stationnement pour 10 étages supplémentaires? [01:04:39] Speaker B: Sinon, N'est-ce pas là une preuve qu'on. [01:04:43] Speaker D: Vient vraiment mettre des menottes à des. [01:04:46] Speaker B: Gens qui peuvent peut-être avoir une voiture, mais qu'ils vont se la mettre sur la tête parce qu'ils ne sauront pas. [01:04:51] Speaker C: Quoi faire avec, s'il n'y a pas assez de stationnement qui avait été prévu. [01:04:54] Speaker D: À l'origine lors de la construction de ce petit édifice? [01:04:58] Speaker C: Si vous voulez savoir la réponse, la réponse c'est on le sait pas. Ils n'ont jamais répondu. Et puis on dit, regarde, ils vont le savoir les nouveaux locataires qui n'ont pas de stationnement. Quand ils vont signer le bail, ça va être écrit pas de stationnement. [01:05:09] Speaker B: La vraie réponse, c'est qu'ils mangent de la mort. [01:05:12] Speaker C: C'est pas mal ça. Écoute ce que Pierre-Luc Lachance avait à y répondre. J'ai supporté mes petites bretelles. [01:05:19] Speaker B: Pour moi, ce sont vraiment les plus belles. Monsieur le Président, je suis content que le chef de l'opposition aille avec la prémisse qu'on veut loger des humains avant de loger des autos. C'est une prémisse tout à fait en accord avec notre réflexion ici à Québec Fort-et-Fier. [01:05:42] Speaker C: Donc on veut loger des humains et pas des autos, c'est leur façon de répondre. Et la chance va même jusqu'à dire que l'administration de la bombe a géré ça sa gueule. Son ancienne équipe, parce qu'il était dans l'équipe la bombe. L'ancienne administration a géré ça sa gueule. [01:06:01] Speaker B: Pour moi, ce sont vraiment les plus belles. On veut préserver la qualité de vie des citoyens et pour nous, cette mesure-là n'est qu'une officialisation d'une pratique qui était un peu faite sur la gueule dans le passé. Donc pour le cas du 155-165, c'est un faux problème. Il y a aussi du stationnement qui. [01:06:23] Speaker C: Est de l'autre bord de la rue. [01:06:24] Speaker B: Et oui, les locataires sont informés. Merci. [01:06:26] Speaker C: Donc, Régis, c'était pour toi, celle-là. C'était juste pour toi. Et puis, Véronique Dallaire avait ceci à rappeler aux gens de Québec fort et fier. [01:06:42] Speaker D: De me demander si c'est pas la question qu'on va se poser dans quelques années, à savoir si ce qui est en train d'être proposé par l'administration marchand, c'est pas de faire ça sur la gueule, en oubliant que la majorité des personnes à Québec se déplacent en véhicule automobile. [01:06:58] Speaker B: Ah non, non, non, non, non, non. Les gens... [01:06:59] Speaker C: Les trois dernières secondes de cette cote-là, c'est ça. Les gens à Québec circulent en automobile. Que vous le voyez ou non... 80 % du monde. C'est ça. Les gens à Québec ont un char, ils veulent un char, puis quand ils n'auront plus de char, ils vont acheter un autre char. Électrique ou pas, il faut le parquer. [01:07:18] Speaker B: Oui. C'est un anti-voiture et... Le coeur de la thématique de la campagne électorale, c'est la guerre à l'auto. Et à date, je n'entends pas ben ben parler. Dans son compte de dépenses d'ailleurs, révélé hier par Renaud Labrecq, il y a justement des conférences anti-voiture, le dévoilement, conférences de l'industrie, de développement urbain du Québec, mythe ou réalité des quartiers sans voiture? Évidemment, vous aurez compris que c'est une réalité à ce point de mythe. C'est pas mal ça en réponse à sa question. Parce qu'il a quand même préfacé le livre écrit par l'actuel maire de Laval des villes sans voiture. Un organisme qui est souvent sorti pour défendre le tramway. Donc ils sont anti-voiture, on le voit là! Et ça s'appelle Château Saint-Louis. L'immeuble dont tu parles, j'ai la photo ici. Château Saint-Louis, donc il y a des lofts, puis des 8,5 également à louer. On voit que c'est assez high class, châteausaintlouis.com. Et c'est ça l'adresse, c'est 150 Grande Allée-Ouest. C'est un gros immeuble, ça me fait penser un peu à un immeuble new-yorkais. C'est une résidence de John Lennon dans la West End de Central Park. Un peu West Side. Un peu West Side, exact. C'est style New Yorkais. C'est un des beaux buildings, moi, je pense, de Québec. Je resterai jamais là-dedans. Il n'y a pas de balcon. Mais ça fait style New Yorkais. Si je comprends bien, ces gens-là vont se biseboyer le parking, donc manger de la marde. prenez l'autobus. [01:08:59] Speaker C: Écoute, il y a Mélissa Coulombe-Leduc qui en a rajouté en disant... [01:09:02] Speaker D: Il y a déjà une capacité pour. [01:09:04] Speaker B: Le promoteur de libérer de la place dans l'espace de stationnement en dessous. [01:09:09] Speaker D: Il y a un stationnement, l'édifice Saint-Patrick, juste sur l'autre côté de la rue, où il y a aussi des possibilités. Il y a déjà des gens qui sont locataires de cet immeuble-là, M. le Président, qui ne possèdent pas de voiture. Donc, le propriétaire n'offrera pas des immeubles s'il n'est pas capable de louer dans les conditions actuelles. [01:09:28] Speaker B: C'est un gros, gros, gros problème. C'est un gros enjeu. Et là, il reste un mois à la campagne. Dans un mois, on vote, autrement dit. Dans un mois, jour pour jour, on vote, les amis. C'est le 2 novembre qu'on vote. Là, on est le 2 octobre. Jeudi. [01:09:42] Speaker C: Pour Bruno Marchand, si vous vous questionnez sur le situationnement, c'est parce que vous êtes contre le logement. [01:09:46] Speaker B: — C'est vrai qu'il y a une. [01:09:48] Speaker C: Crise du logement, dont les opposants semblent. [01:09:51] Speaker B: Pas trop se soucier, parce qu'ils sont très, très préoccupés d'enjeux pour lesquels ils aimeraient mieux qu'on construise pas, tant qu'on n'a pas trouvé d'enjeux, tant qu'on n'a. [01:09:59] Speaker C: Pas trouvé de façon à donner d'excessivement. [01:10:00] Speaker A: Par rapport au terrain. [01:10:00] Speaker B: — M. le Président, question de privilèges. [01:10:03] Speaker C: — Quelle est votre question de privilèges? Le maire est en train d'attaquer les éléments d'un programme électoral. On s'est entendu qu'ici, on parlait du sommaire. On est vraiment loin du sommaire, M. le Président. [01:10:14] Speaker B: — Merci, M. Martin. Continuez, M. le maire. — Merci, M. le Président. Alors, l'objectif, c'est qu'on soit capable de répondre à la crise résidentielle, à la crise du logement, en construisant plus rapidement et en diminuant les coûts. C'est ce que ça donne. [01:10:29] Speaker C: Voilà, c'est ce que ça donne. Donc, plus de logements, mais plus de parking qu'ils vont venir avec. Donc, à Québec, les gens qui vont habiter à Québec, ça va être juste du bon pot de char. Puis nous autres, on n'aura pas de place pour se parquer quand on va. [01:10:40] Speaker B: Vouloir y aller, donc... Saint-Augustin, l'ancienne Lorette, je sais que tu débordes un peu, Sainte-Catherine, le Port-Neuf, puis là, tu seras à... Rive-Sud. Fuyer cette ville. Cap-Santé, Rive-Sud également, mais Rive-Sud, les Cristipons, là. [01:10:55] Speaker C: On a également voté un 22 millions. 22 millions sur Roche-Laga pour le projet de tramway. [01:11:02] Speaker B: Oui! [01:11:03] Speaker C: Pour le projet de tram-cité. [01:11:04] Speaker B: Le stationnement du Canadiens de Terre. Oui. Stéphane Malençon. [01:11:07] Speaker C: Stéphane Malençon avait cessé à dire. [01:11:08] Speaker A: 22 millions. C'est un projet. [01:11:13] Speaker B: Dont le financement fédéral n'est pas attaché. Il faut quand même le faire. J'écoutais le maire, dans son point de. [01:11:20] Speaker A: Presse, qui était très intéressant, qui a dit, bien, on va être dans le dernier conseil de ville, il n'y a pas de problématiques, ça ne change rien que je le passe là ou je. [01:11:31] Speaker B: Le passe plus tard. Mais si ça ne change rien que vous passez là plus tard, dans un mois, on va être en élection. [01:11:39] Speaker C: Mais on peut pas dire qu'il a tort, là. Dans un mois, on est en élection. Il y a un autre conseil municipal le 3e mardi de novembre. Il aurait pu attendre à ce conseil-là pour le faire passer. Mais non, on l'a fait hier, c'est 22 millions. [01:11:51] Speaker B: Précision sur le building en question. Je me suis trompé, c'est un peu plus loin. C'est Gallipo, comme disait Mme Corriveau. Là, c'est Gallipo. C'est... On passe là, pour les gens qui passent justement sur Grande Allée, puis c'est mon cas, effectivement. Il y a un entrave sur Grande Allée, c'est un gros chantier de construction, c'est musette, tu sais, le café, bon, le magasin de vélo, c'est super cute, pour vrai, comme boutique. Ce building-là, il est en train d'être jacké, et c'est ce building-là Donc, c'est la même problématique, c'est juste que le building, t'es un peu plus loin, là. C'est vis-à-vis Salaberry. Vis-à-vis, autrement dit, le Saint-Patrick. C'est pour ça que... Je vais vous dire ça. Le Saint-Patrick, il y en a au-delà du parking. Le parking, c'est ça. C'est pour la résidence Saint-Patrick. Deux choses. Un, pour la résidence Saint-Patrick, puis c'est du quoi. Le monde qui s'en va en ville, des fois, ils ont besoin d'un stationnement, puis ils vont là. Moi, ça m'est déjà arrivé. Et grand-maman et grand-papa, elles restent au Saint-Patrick. Ça se peut-tu que leurs enfants se partent là aussi pour les visiter? Parce que c'est des personnes âgées qui sont... Généralement, oui, beaucoup. C'est du privé, puis c'est super beau. J'ai déjà voté là, c'était des têtes blanches. Bien oui, mais c'est une résidence pour personnes âgées. C'est ça. Mais c'est le parking à eux autres. Donc c'est de l'autre côté, les amis. Donc en bas, vous voyez Musette, mais c'est des christies de beaux condos. Ils vont te jacker ça. Mais cherchez auto, il n'y en a pas de parking. Tu peux pas te parker sur Wilfrid Laurier en arrière. [01:13:09] Speaker C: On veut du monde qui n'a pas de char. [01:13:10] Speaker B: C'est ça. C'est carrément ça. C'est carrément ça. [01:13:13] Speaker C: On veut du monde qui n'a pas de char. [01:13:14] Speaker B: Voilà. [01:13:15] Speaker C: Par le suite, en soirée, c'est tout le monde est beau, tout le monde est fin. Merci, ça a été le fun. On a fait quatre ensemble. Bruno Marchand qui a remercié tout le monde, tous les employés, tous les conseillers, tous les gens qui ont participé de près ou de loin, les journalistes, les chroniqueurs, tous les gens qui regardent. En fait, tout le monde, tout le monde, tout le monde. Il y avait un merci spécial à faire à... Il y avait un merci spécial à faire à ceux qui quittent, ses préférés. Et Bruno Marchand en commençant en disant merci à son colonel, le colonel Brottel. [01:13:43] Speaker B: C'est la chance qui est aussi dure à travailler pour les oppositions que pour ceux qui sont ses collègues parce que c'est un passionné. [01:13:48] Speaker C: C'est un gars déterminé, c'est un gars qui fonce. [01:13:50] Speaker B: Un hater. Vous en savez quelque chose, M. le Président? [01:13:52] Speaker A: Oui, oui, oui. [01:13:53] Speaker B: J'approuve. Mais il a grandement amélioré la ville, il a le feu, il a l'énergie sacrée, le feu sacré et il a fait de nous une meilleure équipe de par son expérience mais aussi de par son immense intensité et engagement de tous les instants. Quand tout le monde réussissait à dormir quelques heures par nuit, lui se réveillait à peine deux heures avant nous pour dire qu'il avait réussi à faire une platée de sauce à spaghettis ou de confiture, en plus de tous les sommaires et de tout ce qu'il avait à faire. Alors merci Pierre-Luc. [01:14:22] Speaker C: Sauce à spagh, confiture, tu vas me dire qu'on pourrait faire un montage. [01:14:25] Speaker B: Tantôt, tantôt. Pas le montage, j'aime ça. J'aime ça que tu joues plusieurs fois dans le show d'ici dix heures. Tu le veux vraiment là? Tout le monde réussit à dormir quelques heures par nuit. Lui se réveillait à peine deux heures avant-hui pour dire qu'il avait réussi à faire une platée de sauce à spaghettis ou de confiture. [01:14:41] Speaker C: Ou de confiture. [01:14:44] Speaker B: Alors merci Pierre-Luc. [01:14:48] Speaker C: Et il voulait également remercier... On va finir avec cet extrait-là. Il voulait également remercier Jean-François Gosselin. Mais écoutez la twist. [01:14:56] Speaker B: Et Jean-François, merci d'avoir fait de l'échange ici. Mais surtout, merci d'avoir créé la ville, de l'avoir fait ensemble. [01:15:04] Speaker C: Ça a été à l'honneur de ce. [01:15:05] Speaker B: Que tu as fait la première fois qu'on s'est vus dans la campagne 2021. Donc... Oui, ça, ça fait mal. Oui. [01:15:11] Speaker C: Merci d'avoir été échangiste. [01:15:12] Speaker B: Ça fait mal, ça. Ça fait mal. Rappelons que c'est à cause de son transfert qu'il est devenu majoritaire. qui a commencé encore plus à se foutre du monde. L'échangisme. L'échangisme. Pas trop bon que le cynisme en politique. [01:15:25] Speaker C: Non. [01:15:26] Speaker B: Les gens sont cyniques par rapport à la politique. Il y a beaucoup de gens, puis d'ailleurs tu as jasé avec certaines personnes dans ton entourage. Moi aussi, certaines personnes de mon entourage sont très désabusées par rapport à la politique. La politique, qu'est-ce que ça change? Mon vote, qu'est-ce que ça change? Puis ils vont changer de parti, anyway. Puis les partis politiques au municipal, ça devrait pas exister. Ce qui est tout à fait vrai, en passant, c'est tout à fait vrai, les partis politiques au municipal, perso, c'est de la marde. C'est des individus, c'est des volontés, c'est des passions qu'on veut entendre. Parce que parti politique égal, hey, je me souviens, la bombe, il était ici. en face de moi, puis il m'avait dit, il n'y en aura pas de parti politique. Première affaire qu'il fait, équipe la bombe. Puis il m'avait dit, puis là j'y avais demandé, si il y a un parti politique au moins, allez-vous inculquer la ligne de parti? Jamais de la vie, tu sais ce que c'est, les petits bras en l'air? Il y avait une ligne de parti, la bombe, c'était une ligne de parti militaire. Comme marchand. [01:16:23] Speaker C: Puis tu sais, nous autres, on est là-dedans, jour après jour, on lit les journaux, on regarde les nouvelles. Mais le gars, la fille qui nous écoute à l'heure actuelle, qui après ça vont travailler toute la journée, vont rentrer à la maison, aller chercher les enfants à la garderie, faire les lunchs, faire le souper. Les autres, ils s'installent devant la TV, il est 7h30. [01:16:40] Speaker B: Ils veulent ça changer les idées. Exactement. [01:16:42] Speaker C: Ils écouteront pas Renard, le mec du sceau. [01:16:46] Speaker B: Je suis rendu comme ça, Dan. [01:16:47] Speaker C: Non, non, je sais aussi. [01:16:48] Speaker B: Je regarde de 5 à 7, puis je regarde du basket, du foot. [01:16:51] Speaker C: Je veux que ces gens-là continuent de faire ça. [01:16:53] Speaker B: Oui, oui, oui. On n'est plus capables. Ils sont tellement menteurs, tellement manipulateurs. [01:16:57] Speaker C: Ils savent que Marchand, il faut le tasser de là. Mais ce qui les rend désabusés... c'est l'offre pour le faire sortir. Le cynisme en politique grossit jour après jour à cause de l'histoire de respect citoyen et de leadership Québec. [01:17:14] Speaker B: Absolument. Tu sais, je vais vous faire déborder un peu des cadres géographiques de la ville. New York, Thomas-André, Mais t'as pas le goût de voter Cuomo, qui est un veilleux croisseur qui a mal fait durant la COVID, qui a été blomé d'ailleurs en cause de gestion de la COVID des personnes âgées. Qui est parti dans la honte, exactement. Mais là, t'es poigné avec lui! T'es poigné avec lui! Le maire Adams est parti, mais le maire Adams était corrompu jusqu'aux oreilles. Avec la Turquie, puis l'argent. Puis là, Trump, il prenait pour Adams. Ça, c'est fucké, là. Ça, c'est un autre des folies de Trump, là, aussi. What a great guy! La mère Adams. Mais là, il te reste un gars qui est béret, qui est somme toute très intéressant. Moi, qui s'appelle Carlick, qui est animateur à WABC. Lui, c'est le candidat républicain officiel à New York. Je me souviens pas de son nom, je le lis sur le bout de la langue. Il y a même Danny, qui est un communiste pur et dur, islamiste. C'est un méchant malade. Sliwa. C'est Sliwa, Curtis Sliwa. Curtis Sliwa, À mon avis, puis d'ailleurs, ils l'ont déjà abordé à la station de radio où ils travaillent, il y a un enjeu de look. Je comprends qu'il était Guardian Angel avant, dans le métro. Tu sais, Guardian Angel, ils interviennent, pis ça. Lui, c'est le fondateur. Sauf que là, il se promène en veston-cravate, pis il a gardé son béret. C'est niaiseux à dire, ma politique. Looks, the looks matter. [01:18:43] Speaker C: Anyway, il tire une erreur de co, moi. [01:18:45] Speaker B: C'est ça. Fait que ce que je veux vous dire, c'est que ce qu'on vit à Québec, la pauvreté de l'offre politique et cette espèce de dilemme d'enfer, là, t'sais, qu'est-ce que tu fais? Tu restes à la maison, tu votes pour qui, tu votes... À New York, ils le vivent, là. T'sais, tu peux pas voter Mandini, c'est ça. Montréal, c'est la même chose aussi, mais à New York, c'est la plus grosse... [01:19:05] Speaker C: Mais je rappelle que c'était Donald Trump. C'était Donald Trump contre Kamala Harris, la dernière présidentielle, là. T'sais, moi, je pense... [01:19:14] Speaker B: Vraiment mauvaise mur à mur. [01:19:16] Speaker C: C'est mon opinion, là. Mais je pense que les réseaux sociaux ont chassé le monde de qualité de la politique. [01:19:22] Speaker B: Ah, tout à fait. Tout à fait. Tout à fait, parce que t'as peur de... La télé en continue aussi. On n'a pas oublié la télé en continue. [01:19:29] Speaker C: La culture de la cancellation. [01:19:30] Speaker B: La culture de la cancellation, tout ce qui vient avec. [01:19:32] Speaker C: T'sais, t'as fait un moon au travers des fenêtres de l'autobus quand t'allais à l'université en 1977. On te cancelle. [01:19:38] Speaker B: T'as fait un tweet. Ou tu t'es saoulé en pêche pis t'avais écrit quelque chose qui était pas fin. Pis là on ressort ça comme si tu l'avais écrit la veille. [01:19:49] Speaker C: C'est ça. [01:19:50] Speaker B: C'est ça l'histoire. [01:19:51] Speaker A: Ben oui. [01:19:51] Speaker B: Mais t'as pas de gens purs. Les gens purs n'existent pas. Donc t'as besoin de purifier tous tes médias sociaux. Pis après ça, ben tu te présentes. C'est ça qu'on veut vraiment. C'est spécial. Là, on se retrouve avec une pauvreté de candidats quand même assez majeure, où tu te retrouves avec des politicos traditionnels qu'on connaît déjà. Amad, Yves-Lévesque, Achaoui. Des gens qu'on connaît déjà, des gens qui ont fait de leur vie une carrière politique. 7h21. Là, comment on fonctionne pour les extraits de Renault? Faisons ça, là. les extraits de Renaud. On peut les faire entendre. Absolument. [01:20:30] Speaker C: Je ne l'ai pas entendu, Renaud, moi. [01:20:32] Speaker B: On va faire un genre de mini Légion qui n'en est pas une. Donc on va rendre hommage à Renaud Labrecq. Très bel job journalistique qu'il fait à chaque semaine. Ne manquez pas ça. Dans le midi, tous les mercredis. Donc vous l'avez entendu hier, ça a été rejoué également. dans The H, puis j'en ai fait une chronique avec Chateaubriand, puis même Renaud est venu jaser avec The H. Donc après la pause, vous allez avoir les réactions en succession live. Ahmad Lachance-Villeneuve. Mais d'abord, pour le bénéfice des auditeurs et pour le bénéfice des chefs, je te laisse aller, Dom. Tout d'abord, très important, parce qu'ils l'ont fait jouer plusieurs fois aussi hier, ce que Bruno Marchand avait dit concernant ses frais de déplacement, ses dépenses. Je limite, avant même qu'on limite, je limitais ce que je réclamais à la Ville. Moi, j'ai pas de frais de déplacement quand je suis au Québec. Moi, j'ai pas de frais de déplacement quand je suis au Québec. [01:21:22] Speaker C: Remboursement pour le déplacement à la participation. [01:21:24] Speaker F: De la Conférence Clôture. Vivre en Ville. On a un montant ici de 245,14 $. [01:21:30] Speaker B: Ça, c'est à Québec. [01:21:30] Speaker F: C'est au Québec. [01:21:31] Speaker B: Non seulement c'est au Québec, c'est à Québec. [01:21:34] Speaker F: Remboursement d'hôtel pour des rencontres de travail. [01:21:37] Speaker C: OK, le 2 février 2023. [01:21:39] Speaker F: À Québec? À Québec. [01:21:41] Speaker B: Des rencontres de travail à l'hôtel à Québec, ça, ça commence à ressembler à Destination Québec-Cité, là. Oui. On se fait des rencontres, on paie des hôtels à Québec. Oui. Québec-Cité, les autres, ils étaient allés carrément au Château Laurier pour un congrès qui avait lieu au Wilton, c'est-à-dire le centre des congrès de Québec. Mais c'est du monde de Québec qui couchait à Québec, mais à l'hôtel. Et comme t'en as fait mention un peu plus tôt, on est beaucoup dans l'idéologie, là, les dépenses-là. [01:22:09] Speaker C: Conférence de l'industrie de développement urbain de. [01:22:11] Speaker F: Québec, encore une fois. Remboursement de déplacement. [01:22:14] Speaker C: Mythe et réalité des quartiers sans voiture. [01:22:16] Speaker B: C'est beaucoup de vivre en ville, de déplacement, de vélo, de mobilité durable, OK? [01:22:21] Speaker D: De sans voiture. [01:22:22] Speaker C: 285 et 60. Vous comprenez, c'est pas des montants énormes. [01:22:25] Speaker F: Il y en a des milliers de. [01:22:26] Speaker E: Dollars plus bas, mais c'est toutes des petites coquilles comme ça. [01:22:28] Speaker F: Remboursement de l'hôtel en 2024 pour le caucus des grandes villes. Remboursement rendez-vous pour l'avenir du transport collectif. [01:22:35] Speaker B: C'est peut-être pas des si grosses dépenses que ça, mais c'est des dépenses, puis ça, je le rappelle, là, parce que c'est un des points importants. Oui, mais il y a déjà de l'argent, lui, qui est fourni pour ça. Près de 20 000 par année salariale. Oui, près de 20 000 par année qu'il est supposé utiliser pour ce genre de dépenses-là. Mais à la place, il réclame à la Ville. Il est même allé jusqu'à... [01:22:53] Speaker C: Assiste au gala La Disque 2022. 248 piastres. Pourquoi le maire marchand est au gala de l'ADISQ en 2020? [01:23:00] Speaker B: Je sais pas. [01:23:01] Speaker F: Imputable au budget. [01:23:02] Speaker C: C'est les payeurs de taxes qui ont payé ça. [01:23:03] Speaker B: Oui. Qu'est-ce qu'il fait au gala de l'ADISQ? Qu'est-ce qu'il fait à un autre événement? [01:23:07] Speaker C: Assister au dîner-conférence de Centraide-Saguenay-Lac-Saint-Jean. [01:23:12] Speaker D: Qu'est-ce que tu fais là? [01:23:13] Speaker B: Je sais pas. [01:23:13] Speaker E: Qu'est-ce que tu fais au dîner-conférence de Centraide-Saguenay-Lac-Saint-Jean? [01:23:16] Speaker B: Puis là, il y a comme une espèce de conflit d'intérêts parce qu'il travaillait là. Ben oui. Chaudière-Appalaches. [01:23:22] Speaker E: Mais s'il veut y aller comme ancien. [01:23:23] Speaker B: DG de Centraide-Chaudière-Appalaches, qu'il y aille Il y a beaucoup dans ces documents-là, qui sont accessibles d'ailleurs sur le Facebook de Renaud Labrecq, beaucoup de flous. D'abord, vous avez pas la ventilation des montants dans le temps où on les donnait, c'est-à-dire facture du restaurant, qu'est-ce qu'ils ont mangé, qu'est-ce qu'ils ont bu, la quantité. Mais je vous amène à partir de janvier 2022 jusqu'à juin 2022, j'ai beaucoup de remboursements d'hébergement, mais j'ai aucune idée dans le cadre de quoi, et dans la ville, Et le nom de l'hôtel. Mais j'ai du 200 piastres et plus là. Oui. De remboursement d'hébergement. C'est des nuits d'hôtel. Mais c'est où? C'est-tu à Montréal? C'est-tu à Québec? C'est pourquoi? [01:24:13] Speaker C: On devrait pas payer l'hôtel à Québec jamais. [01:24:14] Speaker B: Non, on devrait pas. [01:24:15] Speaker C: Jamais à Québec. [01:24:16] Speaker B: Mais non! Puis même au Québec. Il y a de l'argent pour ça. Il le dit. Il est pas supposé. Après ça, on nous l'a ajouté. Au Québec, il y aura pas de remboursement. Puis en plus, il disait au Québec. normalement, il n'allait pas chercher ces remboursements-là. Puis c'est parce que là, 100 piastres, 200 piastres, mais c'est parce que ça se cumule, comparatif avec Labaume. [01:24:34] Speaker C: 1316. C'est un total de 47 demandes de remboursement que le maire marchand a fait. [01:24:39] Speaker F: Pour un total de 23 565 $. Les hébergements, les repas pour M. Labaume. [01:24:46] Speaker C: On a un total d'une vingtaine de. [01:24:47] Speaker F: Demandes pour 1149 et 67. [01:24:52] Speaker C: 1149 et 76 pendant quatre ans de la bombe. On a l'ensemble des élus. Les autres, je tiens à enlever mon. [01:24:59] Speaker F: Chapeau, il n'y a pas grand dépense. 4-5 ici et là, c'est très respectable. Mais là, quand on compare les deux. [01:25:04] Speaker C: Mères, il y a vraiment un malaise à y avoir. [01:25:06] Speaker B: Donc même le reste du conseil municipal, ça abuse pas. Celui qui abuse, c'est Bruno Marchand. 23 000 versus 1 000. En gros, là... pour la baume. [01:25:16] Speaker C: Est-ce qu'on a payé des nuités et des déjeuners à Montréal, les week-ends, durant la dernière année? [01:25:20] Speaker B: Oui. Non, pas durant la dernière année. Moi, ce que je vois ici, c'est remboursement. C'est en novembre dernier, puis j'ai vérifié, puis c'est une entrevue entre autres. Avec Marie-Louise. Marie-Louise. Ça correspond. Montréal, 16 novembre dernier. Mais on paye à Québec pour que le maire de Québec aille faire des entrevues à Montréal. Beaucoup de voyages là-dedans qui étaient accompagnés de journalistes. Donc vous vous posez la question, pourquoi le journaliste n'en parle pas? C'est parce que les journalistes sont allés, ils ont sacré ça sur le compte de dépense de job aussi. Donc le journaliste qui a voyagé, et je nomme les villes, en France, en Belgique, à Washington, Namur, Bordeaux, Bruxelles, Paris, pour être précis. On s'en souvient de la fameuse manchette à Radio-Canada, Téléjournal. Il l'a pris le tramway. Je l'ai appris en photo à la saisie d'écran. J'ai fait un post sur Facebook avec ça. C'était complètement ridicule. Wow, il a pris le tramway. T'en souviens de ça? Oui, très bien. Tachan a pris le tramway. C'était ça. C'était une nouvelle, ça? Really? [01:26:18] Speaker C: Mais tu sais, peu importe les raisons. Il dépense 20 000$ de plus qu'il reste juste la bombe. [01:26:21] Speaker B: Non, mais on se pose la question, Dan, pourquoi il n'y a pas de répercussion médiatique les jours d'année. [01:26:25] Speaker C: Oui, je comprends. [01:26:26] Speaker B: Dans plusieurs de ces dépenses-là, Ils sont en avion avec lui. Ceci dit, c'est le cornet. Bon, parfait. L'autre question que j'ai à poser, qui autorise ça? Parce que moi je peux arriver, j'ai un compte de dépense ici. Je les négocie dans mes conditions. Moi je m'achète un char, mettons ça de manière très grossière. Je m'achète un char, je mets ça sur mon compte de dépense, je vous annonce que Phil le veille, il le signera pas. Bon, mais la question, c'est plutôt, à mon avis, qui a autorisé ça? [01:26:55] Speaker C: Le DG, j'imagine. [01:26:56] Speaker B: Ben, posons la question. Oui, c'est dans la haute administration. Oui. Mais lui, il arrive avec ses comptes-là. Mais la nouvelle, c'est que ça a été autorisé. Tu peux dépenser en fou et déposer des demandes qui sont non admissibles. Ça prend le golard au bout! La réponse, ça devrait être M. le maire. Vous avez déjà de l'argent qui est prévu pour ça. Utilisez-le. Ça devait... Normalement, ça devait être ça. Oui, Dom, mais le vrai scandale, c'est que ça... Il y a quelqu'un au bout qu'on connaît pas qui a dit... Choche, ça sort pas, ça sera pas public, à moins qu'il y ait un tannant qui nous le demande. Je signe en bas, paysse fort, trois copies, t'es remboursé. C'est cette personne-là, à mon avis, qui doit être visée. Effectivement, elle est dans la direction générale. Et je termine là-dessus. Le 23 000 en question, c'est pas tout. [01:27:44] Speaker C: Les gars, je veux revenir sur Régis. C'est ça qui parle au monde. [01:27:47] Speaker B: Le monde... Régis, beaucoup moins. [01:27:49] Speaker C: Quand ils pensent à Régis Labeaume, ils pensent à traitement princier. [01:27:53] Speaker B: Oui! [01:27:53] Speaker C: On le sait, Régis se torchait pas avec des feuilles de chou. Il a dépensé 20 000 piastres de plus que Régis. C'est ça la phrase. Il a dépensé 20 000 piastres de plus que Régis, qui était sur un régime quasi-princier. C'est incroyable, c'est incroyable. Arrangez-vous jamais pour que Bruno Marchand soit gouverneur général. [01:28:15] Speaker B: Et savez-vous quoi? On n'a pas accès à ça, mais il y a d'autres dépenses. [01:28:19] Speaker C: Est-ce que c'est légal de réclamer ces. [01:28:21] Speaker F: Factures-Là au sens municipal? [01:28:23] Speaker A: Oui. [01:28:23] Speaker B: Oui. [01:28:23] Speaker F: Mais est-ce que c'est hautement questionnable au. [01:28:26] Speaker C: Niveau de l'éthique, sachant que vous avez déjà 20 000 en allocation? [01:28:29] Speaker B: Oui. Ça, oui. [01:28:31] Speaker C: Quand j'ai commencé à avoir ces informations-là. [01:28:32] Speaker F: Il y a des gens haut placés à la Ville de Québec, des hauts fonctionnaires des directions qui m'ont transmis des documents en disant « Renaud, oui, t'as ton 23 000, mais il en manque une méchante barge parce qu'il y a. [01:28:40] Speaker C: Eu beaucoup de dépenses de cette administration-là. [01:28:42] Speaker F: Qui sont faites via Destination Québec-Cité, ce. [01:28:44] Speaker C: Que ça pose dans ces dépenses-là. [01:28:46] Speaker F: Puis tu n'y auras pas accès parce que ça passe via, excusez-moi, Destination Québec-Cité. [01:28:49] Speaker C: Fait que oui, t'as un gros morceau avec le 23 000, mais je te dis, il y en a autant sinon le double dans Destination Québec-Cité parce que ça passe via les organismes de la. [01:28:56] Speaker F: Francophonie que la Ville de Québec subventionne. Lui, il passe ces factures-là ou d'autres. [01:29:00] Speaker C: Conseillères passent leurs factures-là et sont, il. [01:29:02] Speaker F: N'Y a pas accès. [01:29:05] Speaker B: C'est un scandale, ça prend des répercussions, ça prend des questions. T'en as-tu d'autres avant d'aller à la pause? Non, c'est tout, mais c'est parce que si t'abuses avec des petits montants de même... Qui vole un oeuf, vole un boeuf. C'est ça. D'après moi, t'abuses aussi de résultats. Qui vole un oeuf, vole un boeuf. OK. On va à la pause. Et on aura les réactions d'Amad, la chance civile de vos retours dans Montréal. Morée! [01:29:29] Speaker D: T'as quelque chose à dire? [01:29:30] Speaker E: Ça va bien aller. [01:29:31] Speaker D: Tu veux réagir? 418-670-9098. [01:29:36] Speaker C: Présenté par Couvre-Plancher Orléans, qui fête ses 50 ans. Des rabais sur les flottants, vinyle, céramique. [01:29:44] Speaker B: Tapis, la peinture Benjamin Moore, et plus, c'est Couvre-Plancher Orléans. [01:29:50] Speaker C: Et tu pourrais gagner un forfait en occupation quadruple d'une valeur de 2400 $ pour... La première édition du tailgate légendaire du PP Tour. Une présentation de G-Stock. Tu veux partir à New York voir les Packers de Green Bay affronter les Giants? PP All-A, choix Radio Xtreme, Sportif et Linox t'envoient vivre le PP Tour 2025. Un voyage de 4 jours pour 4 personnes, présenté par G-Stock. Le trip Sportif sera du 14 au 17 novembre. Participe au concours ou achète tes forfaits. au Radio X.com. [01:30:27] Speaker B: Radio X. [01:30:38] Speaker C: 88-670-9098 pour nous aider à faciliter la fluidité. Ça a l'air de quoi ce matin? Ça a l'air d'un jeudi matin. Ça a l'air compliqué à bien des endroits. On va se tasser de surgrandaler pour pouvoir revenir là où est le monde, en banlieue, les maudites banlieues. Rive-Sud, c'est quoi? Rive-Sud... J'ai plus de mots. Je pense que ça va me prendre plus que des synonymes. C'est complètement jamé. C'est le dawa. C'est costaud. C'est lourd. Peu importe le mot que vous voulez que j'utilise. L'axe aux pompiers à la porte. Très très compliqué là. 20S, 20Ouest, 73. Charest, il y a un accrochage encore dans le secteur Saint-Augustin. Encore direction Centreville. J'ai beaucoup de difficultés à concevoir ce qui se passe dans ce coin-là. Toute la semaine, ça a été compliqué à la hauteur de Saint-Augustin-Village ou encore du parc industriel. Celui-là encore ce matin, c'est par choc et par choc. Celui-là également à la hauteur de la sortie Chemin-du-Lac. Tout ça pour dire que c'est compliqué jusqu'à temps qu'on dépasse Duvalon. Puis encore, ça recommence à l'être à la hauteur de Saint-Sacrement. Du front Montmorency, l'accès au centre-ville, ça commence à être rempli de monde. C'est l'eau sur Laurentienne et Henriette, direction sud et Capitale, direction ouest dans le secteur. De Henri Bourassa se rendant jusqu'à Robert Bourassa, c'est assez costaud également, vous connaissez le numéro de téléphone. Pour nous texter ce que vous voyez sur les routes jusqu'au 20 décembre, recevez jusqu'à 100 $ de remise à l'achat de 4 pneus Noken Tire sélectionnés. Les pneus Noken Tire sont disponibles chez votre détaillant Autobox. [01:32:06] Speaker B: André vient de vendre facilement et en. [01:32:08] Speaker C: Moins de 48 heures son bloc à airfortin.com. Et la vente s'est conclue sans conditions ni garanties légales, devant notaire. Oui, oui, devant notaire. Sans aucune complication. Et sans commission ni rénovation. [01:32:21] Speaker B: Vite de même. [01:32:22] Speaker C: Vite de même. Pour votre bloc, maison ou terrain, demandez. [01:32:25] Speaker B: Votre offre d'achat en ligne sur airfortin.com. Et vous allez vendre, vous aussi, vite de même. [01:32:31] Speaker D: Lui qui va l'acheter ton bloc, airfortin.com. Yes! Cet automne, la Grande Allée s'illumine et l'atelier t'attend. 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[01:33:26] Speaker C: Pas nécessairement la même chose que ta blonde. [01:33:27] Speaker F: Puis le matin, je suis pas mal. [01:33:29] Speaker C: Sûr que tu mets pas le même. [01:33:30] Speaker F: Linge que ton chum. [01:33:31] Speaker B: Alors pourquoi tu serais obligé d'avoir les. [01:33:32] Speaker C: Mêmes goûts en matière de sommeil? [01:33:34] Speaker B: Tu veux du moelleux, elle demande du ferme. Tu rêves de fluffy, lui de soutien. [01:33:38] Speaker C: Ben go, go, let's go! [01:33:40] Speaker B: On a ce qu'il vous faut. [01:33:40] Speaker D: Pendant l'événement Milli Mello, obtenez 30% de rabais sur presque tout, en ce moment, seulement chez Dormez-vous. [01:33:49] Speaker C: Chez Soucis Industriel, on embauche. Soudeur, mécanicien, industriel, c'est le moment de vivre l'expérience chantier. [01:33:56] Speaker B: Des projets plus grande nature t'attendent aux quatre coins du Québec. 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[01:36:42] Speaker B: Les meilleurs au monde. [01:36:44] Speaker D: Radio X. [01:36:46] Speaker B: La chronique de Renaud Lebrecq est disponible sur le site internet de radiox.com. Vous avez l'Aftermath également, donc Renaud qui est avec The H. J'en ai parlé avec The H, il y a quand même 3-4, je vous dirais, chroniques, commentaires, analyses en succession. Je pense que les gens sont aptes de se faire une tête, comme on dit, faites-vous votre propre opinion. Et là, on veut l'opinion des protagonistes durant la campagne. On va parler à Ahmad Villeneuve et Lachance en succession. On va commencer avec M. Sam Ahmad. Oui, allô, M. Ahmad, comment ça va ce matin? [01:37:20] Speaker A: Bon matin, ça va bien, merci. [01:37:23] Speaker B: Vous avez entendu la chronique de Renaud Labrecq, j'imagine, en direct hier à Radio X? [01:37:28] Speaker A: Exact, oui, je l'ai entendu et j'étais surpris. Et vraiment, Renaud, il a fait une bonne job. [01:37:35] Speaker B: OK, maintenant, votre réaction, c'est quoi? [01:37:37] Speaker A: En fait, moi, je veux ajouter quelque chose. Le 19 000, là, parce qu'on n'a pas parlé beaucoup de 19 000. Le 19 000, c'est des frais de fonction. Donc, point de vue éthique, lorsqu'on dépense l'argent, il faut qu'il soit relié aux fonctions dans le 19 000. Premier élément. Deuxième élément, quand je regarde les autres dépenses, on se rappelle très bien, et puis il était hier dans l'émission, Bruno Marchand, il dit qu'il ne dépensera pas d'argent quand il est à Québec. Là, c'est la preuve de contraire. Et en même temps, point de vue éthique, je comprends pas, moi, aller à Chicoutimi pour aller voir sa retraite puis charger des frais en dehors de son 19 000. Et donc, je trouve que c'est questionnable, ces dépenses. Et même à Québec, je comprends pas. À Québec, il est allé à des activités à Québec, puis il charge. Alors moi, c'est pas un maire qui est invité à Québec à des activités. Normalement, il y a pas de frais, là. [01:38:31] Speaker B: Et le talent à la disque aussi, rappelons-le, en 2022. À la disque! Le gars, je le regardais sur Spotify, il n'est pas fait de disque, là. [01:38:38] Speaker A: Oui, puis il y a... Puis il y a Relation internationale aussi de Montréal. Alors il y a plein d'activités qu'on se pose des questions sérieuses sur l'éthique de charger ces frais-là. Et moi, je trouve que c'est vraiment questionnant. [01:38:51] Speaker B: Qu'est-ce que vous demandez? Vous demandez quoi à qui? [01:38:54] Speaker A: Bien, en fait, moi, c'est... On a fait une demande hier pour des annonces qu'il a faites, là. L'annonce qu'il a faite d'Odan, il y a à peu près une semaine, les citoyens nous ont avisé qu'il y a des employés de la Ville qui sont allés peinturer d'Odan le matin pour que lui fasse son annonce électorale. Alors, il utilise la Ville pour ses annonces électorales, puis nous, on a envoyé une lettre en demandant au directeur général d'élections de clarifier les lignes, c'est quoi qui est électoral, c'est quoi qui est la Ville. Et on trouve qu'ils jouent toujours entre les deux. Et c'est pas normal, c'est pas correct. [01:39:31] Speaker B: C'est pas faire, on va dire. [01:39:36] Speaker A: En fait, ces dépenses-là, nous, on ne va pas demander. Moi, j'ai juste une question... C'est questionnable sur le plan d'éthique, là. Et c'est... là, on trouvera... Donc, est-ce. [01:39:44] Speaker B: Que vous lui demandez de s'expliquer? Demandez-vous au DG, demandez-vous... bien, pas une enquête interne, je veux savoir, qui a signé ça, ces dépenses-là? Qui les a autorisées? Lui, il a le droit de faire un cours de dépense, mais c'est quelqu'un qui l'autorise, à mon avis, qui est problématique aussi, là. Non? [01:40:02] Speaker A: Oui, oui. En fait, c'est un peu comme ces destinations citées, là. Des dépenses à gauche, à droite, puis après ça, on met les mêmes qui ont approuvé pour faire les vérifications. Fait que moi, je pense que les foyers sont assez intelligents pour voir l'état de la situation actuellement, puis voir ce qui se passe, là. Mais demandez-vous, est-ce que lui s'explique publiquement? [01:40:26] Speaker B: Oui, mais vous êtes en campagne, là, M. Hamad. [01:40:29] Speaker A: On est le 2 octobre. [01:40:33] Speaker B: Mais demandez-vous, est-ce que vous lui demandez? [01:40:36] Speaker A: Il demande à lui de justifier pourquoi ces dépenses-là. Surtout, il a toujours dit qu'il ne dépenserait pas à Québec, qu'il ne réclamerait pas les dépenses à Québec. Alors la question s'adresse à lui directement. Il faut qu'il réponde, lui, pour ces dépenses-là. Il faut qu'il justifie pourquoi il a chargé. Ça, pour moi, c'est la question posée à lui. [01:40:57] Speaker B: Pour le reste, Renaud Labret, qui avait quand même d'autres dossiers intéressants, comme la semaine passée, l'histoire des policiers. Pas grand monde sont revenus là-dessus, mais c'est-tu problématique, ça, à votre goût, le fait qu'il ait menti? [01:41:07] Speaker A: Oui. Oui. Oui. [01:41:10] Speaker B: Et... Vous avez demandé quoi? Vous avez demandé quoi à Stéphane? [01:41:12] Speaker A: On l'a dit... C'est hier, dans la conférence de presse que j'ai mentionné. Il a dit... Bruno Marchand a dit qu'il voulait ajouter une centaine de policiers. Et actuellement, là, on constate clairement qu'il n'a pas eu... puis 50 par année, là, et cette année, il n'a pas eu 50. Et on se rappelle tout le théâtre qu'il a fait, la pièce de théâtre, quand il faisait sa conférence à la presse, puis il demandait au gouvernement de payer. Mais finalement, Bonnardel, qui était le ministre de la Sécurité publique, il envoie une communique à la presse à 12h45, juste cinq minutes avant sa conférence, pour lui dire que nous, on paye pas. Et finalement, il a dit, moi, je vais payer. Mais là, on n'a pas de policier. Puis l'autre élément, nous, on veut ajouter 25 autres policiers dans Saint-Roch. pour augmenter la présence policière et surtout la lutte contre la drogue et les vendeurs de drogue. Donc là, encore une fois, c'est toutes des annonces, des annonces à gauche, à droite, puis quand on regarde le bilan des réalisations, c'est zéro, zéro, zéro. Moi, si je dis zéro itinérance, son bilan, c'est zéro. [01:42:13] Speaker B: Mais là, sur le nombre de policiers, il a menti, là. [01:42:16] Speaker A: Bien, il n'a pas eu... [01:42:18] Speaker B: Il a menti, oui ou non? [01:42:20] Speaker A: Bien, il a menti il y a 10, 50. Il n'a pas de 50. [01:42:23] Speaker B: Donc... Bien, il n'en a même pas 50. Il n'en a même pas 10. [01:42:26] Speaker A: Non, c'est ça. [01:42:27] Speaker B: Donc, a-t-il menti? Est-ce que tu es un menteur, oui ou non? A-t-il menti? Et doit-il s'expliquer? [01:42:33] Speaker A: Bien, moi, je ne vais pas en. [01:42:33] Speaker B: Marquer qu'il a menti. [01:42:33] Speaker C: Oui, bien, je ne voulais pas en marquer. [01:42:34] Speaker B: Parce qu'on est en campagne électorale. [01:42:36] Speaker A: Bien, je ne vais pas en marquer. Bien, en fait, je suis dans la campagne électorale toujours respectueux. Une chose, il a promis 50, il ne l'a pas livré. C'est toujours de même. Il promet, puis il ne livre pas. Ça, là, c'est sa signature claire. [01:42:49] Speaker B: Les gens trouvent que vous manquez de vitamine. [01:42:52] Speaker A: Non, non, non. Moi, je suis respectueux d'homme. Moi, je suis un gars respectueux. Je n'ai pas obligé de prendre doutes, des paroles, mentir, tout ça. Les gens le comprennent. Les gens sont intelligents à comprendre qu'il a promis, puis il n'a pas livré. En fait, ce n'est pas sa première promesse qu'il ne livre pas. Il a promis plein d'affaires pour la Ville de Québec. Il n'a rien livré. Puis actuellement, si on remarque, il fait sa campagne contre lui-même. Il annonce des affaires qu'il n'a pas faites. On dirait qu'il y avait Bruno Marchand, qui était maire, 4 ans, qui n'a rien livré. Puis là, lui, en campagne, mais il faut qu'on fasse ci, il faut qu'on fasse ça. Qu'est-ce qu'il a fait pendant 4 ans pour livrer ce qu'il annonce aujourd'hui? [01:43:27] Speaker B: Vous, qu'est-ce que vous allez faire pour combler l'écart de 7 points avec Marchand? [01:43:32] Speaker A: Ah bien, notre programme est sorti, les gens vont regarder le programme, on va continuer à parler de notre programme, on va continuer à faire la campagne électorale, on va faire des porte-à-porte, on est sur le terrain, et je peux dire, donc là, je suis sur le terrain régulièrement. Moi, j'adore faire le terrain. J'adore aller voir le monde. Et on rencontre plein de monde. Et c'est comme ça, une campagne électorale. Il n'y a pas de... c'est fondamental. [01:43:53] Speaker B: Mais en 2025, il y a beaucoup de médias sociaux aussi. Il y a Twitter, il y a des vidéos. Allez-vous vous ajuster à cet effet-là? Il me semble que ça ne fait pas que 2025 comme campagne, non? [01:44:04] Speaker A: Oui, on en fait. Puis ça va venir quelques vidéos aussi qui s'en viennent. [01:44:08] Speaker B: Mais c'est dans un mois qu'on vote pour le vrai, même que le vote par anticipation. C'est dans trois semaines. Trois semaines. [01:44:15] Speaker A: Oui, Absolument. trois semaines. Oui, oui, oui. [01:44:17] Speaker B: J'ai trois semaines. [01:44:25] Speaker A: J'ai trois semaines. J'ai trois semaines. J'ai trois semaines. J'ai trois semaines. J'ai trois semaines. [01:44:38] Speaker C: J'ai trois semaines. [01:44:39] Speaker A: J'ai trois semaines. J'ai trois semaines. J'ai J'ai trois semaines. J'ai trois semaines. J'ai J'ai trois semaines. J'ai trois semaines. J'ai trois semaines. [01:44:41] Speaker B: J'ai trois semaines. J'ai trois semaines. J'ai trois semaines. J'ai trois semaines. [01:44:44] Speaker A: J'ai trois semaines. J'ai trois semaines. J'ai trois trois Vous semaines. J'ai ne les utilisez pas beaucoup? Moi, mais vous comme chef! [01:44:56] Speaker B: On vous voit pas avec ces documents-là. Par exemple, sur la police, vous auriez pu aller avec un lutrin devant le poste de police, dire il a menti, c'est pas vrai ce qu'il a dit. Vous savez, je veux dire, moi... Hier. [01:45:08] Speaker A: À la conférence d'après, j'en ai parlé. Hier, en passant, hier, pas plus loin qu'hier, à midi, j'en ai parlé, puis on va continuer à en parler. Puis l'autre chose, il y a des débats qui s'en viennent. Il y a à peu près cinq débats qui s'en viennent. On a tellement à s'en parler. [01:45:23] Speaker B: Puis sur ces dépenses-là, juste pour terminer, donc, vous ne faites rien avec ça? Vous lui demandez peut-être de s'expliquer? [01:45:31] Speaker A: Il faut qu'il réponde. Il faut qu'il réponde. Il faut qu'il justifie ses dépenses. Pourquoi il a dépensé cet argent-là? Pourquoi surtout qu'il l'a réclamé? C'est questionnable, ces dépenses. [01:45:41] Speaker B: Laquelle est la plus questionnable des dépenses que vous avez entendues? [01:45:44] Speaker A: En fait, c'est plein de dépenses. Il en avait pour 23 000. Quand il est allé au Saguenay pour s'entraide, pourquoi il a chargé? Quand il a fait des exécutés à Québec, pourquoi il charge dans le compte de dépense? Il en a plein. Alors ça, il faut qu'il justifie, il faut qu'il parle, puis il faut qu'il... s'ils sont pas justifiables, absolument. [01:46:08] Speaker B: Qui va déterminer si elles sont justifiables ou pas? Très certainement pas lui, parce que c'est lui qui a dépensé. [01:46:13] Speaker A: Bien non, c'est pas lui qui va déterminer. [01:46:15] Speaker B: Donc le vérificateur général, c'est qui qui doit enquêter pour dire à Marchand, tu rembourses le cas H1? [01:46:21] Speaker A: En fait, il y a le... Ces dépenses-là sont... Parce que ceux qui ont approuvé ces dépenses-là doivent justifier pourquoi ils l'ont approuvé. La même chose dans... OK, donc vous. [01:46:32] Speaker B: Demandez au directeur général de vérifier? [01:46:35] Speaker A: Pas le directeur général. [01:46:36] Speaker B: C'est qui? [01:46:37] Speaker A: Le directeur général de la Ville, oui. [01:46:38] Speaker B: C'est le contrôleur, oui. Il y a un contrôleur aussi à la Ville. [01:46:41] Speaker A: Oui, oui. Ceux qui ont prouvé les dépenses. [01:46:43] Speaker B: Donc vous demandez... J'essaie juste de comprendre votre point juste avant de aller à M. Villeneuve. Vous demandez qui à quoi? Ça se fait quatre fois que je vous le demande. [01:46:51] Speaker A: Pour commencer, je demande à Bruno Marchand de justifier ses dépenses. [01:46:57] Speaker B: Mais il ne justifiera pas! [01:46:59] Speaker A: Moi, je le demande. On va voir ce qu'il va faire. [01:47:02] Speaker B: OK. S'il ne fait rien, vous allez faire quoi? [01:47:05] Speaker A: Bien, on va continuer là-dessus. On va demander après de faire les vérifications. Mais il faut que lui justifie publiquement ses dépenses. [01:47:13] Speaker B: OK. M. Ahmad, merci beaucoup. [01:47:15] Speaker A: Merci. [01:47:16] Speaker B: Merci, au revoir. C'est à 7 h 48. Claude Villeneuve qui est en ligne. Bonjour, M. Villeneuve. [01:47:21] Speaker A: Bonjour, messieurs. [01:47:22] Speaker B: Votre réaction face à ces révélations-là à Radio-X? [01:47:25] Speaker A: Bien, c'est surpris pis pas. Dans le sens qu'on le sait, là, Bruno Marchand avait dit qu'il montrerait pas de blanche, qu'il y en aurait pas de frais de déplacement quand il sera au Québec. qui publierait tous ses rapports de passe quand il ferait des missions à l'étranger. De voir que, finalement, il y en a, des demandes de remboursement, puis qu'on a des questions à se poser... En tout cas, on parle de s'entraide à Chukutimi, on parle de l'ADISC, tout ça... Bon, je vous disons, ça a un petit vernis... Je suis pas tant surpris, mais c'est quand même contraire à ce qu'il nous avait annoncé. [01:47:54] Speaker B: Vous n'êtes pas surpris de quoi? [01:47:56] Speaker A: Bien que, finalement, il y en a, des demandes de remboursement... Ce machin, il se promène beaucoup, là, dans la province de Québec. Il va dans des galas... [01:48:04] Speaker B: Il y a déjà un compte de dépense des frais de fonction de près de 20 000 par année salariale. C'est pas assez, ça? [01:48:10] Speaker A: Bien, c'est ça. Moi, je trouve que... notre 20 000, je l'ai aussi, ce 20 000-là, en passant. C'est supposé servir à ça. C'est supposé servir... Vous, vous l'avez, le 20 000? [01:48:19] Speaker B: Qui l'a, le 20 000? [01:48:21] Speaker A: En fait, tous les élus. Tous les élus l'ont. [01:48:22] Speaker B: Tous les élus ont 20 000? [01:48:24] Speaker A: Bien, c'est une rallonge sur notre salaire pour permettre... Wow! [01:48:27] Speaker B: Ça va bien? [01:48:28] Speaker A: Mais j'ai pas de compte de dépense. Moi, je réclame jamais pour mes repas. [01:48:31] Speaker B: Je réclame jamais pour mes dépenses. [01:48:38] Speaker A: J'ai rien à réclamer. J'ai rien à réclamer parce que... Isabelle. [01:48:43] Speaker B: Laissez ça sur le bureau. Il y a encore une marge de 20 000 non utilisées, c'est ça? [01:48:48] Speaker A: En fait, c'est que ça nous est versé automatiquement. Moi, je reçois ma paye chaque deux semaines. Puis ce 20 000-là, il est inclus dedans. Puis ça fait en sorte que si on est supposé être indemnisé pour toutes nos dépenses, on n'est pas supposé en réclamer davantage. [01:49:00] Speaker B: Lui, il en réclame. On fait quoi avec ça? [01:49:02] Speaker A: Mais là, c'est ça. Il faut savoir par quel mécanisme, comment il a procédé, M. Marchand, pour demander des remboursements de dépenses comme ceux-là. Puis ça, il faut qu'il réponde à cette question-là. Il faut savoir dans quelle enveloppe ça a été pris, comment ça a été jugé, puis c'est quoi le processus qui fait en sorte qu'il y ait de l'argent pour ça. Parce que moi, comme élu, on a des... On a des fonds. Moi, j'ai un cabinet. Si jamais j'ai un employé qui doit se déplacer avec moi, lui, il peut faire une demande de remboursement. Mais moi, personnellement, closé de neuf, je peux pas faire de demande pour d'autres dépenses que celles... que celles qui sont... [01:49:35] Speaker B: Donc, vous demandez quoi à qui? [01:49:37] Speaker A: Bien, je veux que Bruno Marchand nous dise... En fait, chacune de ces dépenses-là... En fait, on va remonter un niveau de... Premièrement, moi, cette année, Renaud Labrecq fait une super bonne job. Il sort du stock au bout. en onde chez vous, puis c'est jamais repris par les autres médias. [01:49:50] Speaker B: Ben, vous avez ça à les reprendre vous-même en partant? [01:49:52] Speaker A: Oui, ça c'est certain. Nous on va en parler, on va poser des questions parce qu'il faut que ça vienne à un autre niveau. T'sais, si Renaud en parle à Radio X, vous vous en parlez, puis Bruno Marchand y est jamais confronté à ces affaires-là. [01:50:02] Speaker B: Pourquoi vous le faites pas? [01:50:03] Speaker A: Ben, en fait, on le fait au conseil, on ramène des choses. [01:50:06] Speaker B: Bon ben, ben! [01:50:07] Speaker A: On sort du stock sur RTT, on sort du stock sur Capital Mobilité. Ben moi, je peux vous dire, j'ai un Poitras tout à l'heure, puis oui, je vais poser des questions. Oui, je vais demander aux autres médias de questionner le maire, parce que le maire, il est visible à tous les jours. À ce moment-là, le maire, il doit répondre à ses affaires. Puis c'est ça... En fait, c'est ça qui a manqué beaucoup dans le dernier mandat, c'est que, t'sais, nous, on soulève des affaires au conseil. Renaud, il amène des affaires dans les émissions chez vous. Puis le maire, il faut qu'il soit confronté lui-même à ça. Il faut que ça lui soit amené, ces questions-là, pour qu'il parle... [01:50:35] Speaker B: Les médias sont-ils trop mous? [01:50:38] Speaker A: Je pense qu'il y a une hésitation à aller sur ce genre de dossier-là. [01:50:42] Speaker B: Pourquoi? [01:50:43] Speaker A: Je sais pas pourquoi. [01:50:45] Speaker B: Serait-il parce que pour plusieurs de ses voyages, il y a des médias avec lui? Vancouver, Namur, Paris, Bordeaux, Bruxelles. Ça commence à faire une belle tournée. On dirait que c'est la tournée d'Oasis. [01:50:58] Speaker A: C'est bon, on pourrait faire un chandail t-shirt Bruno Marchand. [01:51:01] Speaker B: Il y a déjà quelqu'un qui l'a fait ici. Il s'appelle Dume Dumas. On en a fait un extrait. Il est chandail de tournée. Il a fait l'Auto du monde. [01:51:09] Speaker A: Les journalistes eux-mêmes, les médias, quand ils accompagnent le maire en mission, ils ont des frais à payer pour ça. Eux autres, ils payent leurs dépenses. Puis c'est pour ça que les médias sont de moins en moins nombreux à le suivre en mission. Parce que ça coûte cher, puis c'est pas toutes les médias qui ont moyen de faire ça, mais ça fait en. [01:51:22] Speaker B: Sorte justement... Donc nous, les contribuables, on a un moyen de payer, mais les médias ont moins les moyens de suivre Bruno, c'est ce que vous dites. Ce qui est quand même inquiétant. [01:51:30] Speaker A: Vous allez le surveiller quand il est là-bas. Vous allez voir ce qu'il fait, qu'il rencontre justement, où est-ce que l'argent est dépensé, comment ça se passe. Mais là, quand on parle de déplacement au Québec, le maire décide d'aller au galet de la disque. Tu sais, ça, il... Moi, je... Bon, ça fait quand même... [01:51:43] Speaker B: C'est quoi, son disque? [01:51:45] Speaker A: C'est... qu'il tournait dans le bouton... [01:51:48] Speaker B: À part sauver la terre, à part nom à la voiture, ses chansons, c'est quoi? Je les trouve pas, là. [01:51:55] Speaker A: Bien, la chanson, ça doit... Si jamais vous me demandez si les piscines sont parfaites, la réponse est non. Si jamais vous me demandez si les piscines vont sauver la planète, la réponse est non. [01:52:04] Speaker B: Ça, c'est une bonne chanson. [01:52:06] Speaker A: On la connaît, la chanson, mais... C'est que moi, pour faire de la politique depuis longtemps, puis ça fait longtemps que je suis dans les affaires publiques, c'est qu'il y a beaucoup d'élus, des gens qui... C'est comme une façon d'atteindre une forme de vedette aria. Ils sont contents, les gens, ils se font lire maire ou tout ça, puis ça leur permet de côtoyer des vedettes, ça leur permet d'aller se faire voir au Galet de la Dix, ça leur permet de fréquenter... C'est ça, de devenir un peu une personnalité qui est invitée dans les shows de variété, tout ça. Il y a beaucoup d'élus qui... [01:52:30] Speaker B: C'est ça qui fait un marchand? [01:52:32] Speaker A: Dans ses motivations, dans son agenda, il passe beaucoup de temps à Montréal, il manque pas un plateau de télévision. Il aime ça aller faire le comique, donc... Moi, je le merde à Québec au gré de la vie, c'est que je ne comprends pas ce qu'il fait là. [01:52:43] Speaker B: Doit-il maintenant rembourser oui ou non? Maintenant, on le sait qu'il a fait du showbiz. Vous l'avez dit, la pâte en l'air, il aime ça se montrer. C'est quelqu'un qui aime le flash, qui aime beaucoup, beaucoup les compliments, de manière même excessive. Il a une passion pour ça. Maintenant, il n'est pas tout seul sur la Terre non plus. d'être à ce niveau-là, genre d'égocentrique extrême. Maintenant, doit-il rembourser certaines de ces dépenses-là? [01:53:08] Speaker A: Comme la disque, doit-il rembourser, exemple, la disque? Lui. [01:53:25] Speaker B: Il l'a pas nommé Safia Nolin. [01:53:26] Speaker A: Bonne chance. On en a des bons artistes à Québec qui sont en nomination pour les Galets de la Dix. [01:53:33] Speaker B: Oui, mais le maire n'a pas d'affaire là. Doit-il rembourser? [01:53:36] Speaker A: Bien, je veux savoir ce qu'il faisait là, mais mon a priori, c'est que c'est une dépense qu'il aurait dû assumer lui-même, puis c'est... [01:53:41] Speaker B: Doit-il rembourser? [01:53:42] Speaker A: C'est en traite à Chicoutimi. Pourquoi il est invité là? C'est parce que c'est un ancien des Jeux de Centraide, ça fait que les autres, ça devait les intéresser d'entendre parler. [01:53:49] Speaker B: De... Oui, mais M. Villeneuve, doit-il rembourser? [01:53:53] Speaker A: Bien, moi, mon a priori, c'est de vous dire que oui. Je suis intéressé à entendre ce qu'il a à dire, mais je pense qu'il doit rembourser ses dépenses-là, qui sont plus de nature personnelle que de nature liée à sa fonction de maire. Bon matin tout le monde. [01:54:10] Speaker B: M. Lachance, on a vu votre vidéo, vous avez écouté en direct la chronique. [01:54:15] Speaker A: 45 minutes après la publication de Renaud, moi j'ai réagi, je suis le seul à l'avoir fait. [01:54:19] Speaker B: On a vu, vous avez diffusé la chronique en regardant la caméra. C'était quand même drôle. [01:54:26] Speaker A: On m'a reproché de ne pas avoir de veston, Dan. [01:54:29] Speaker B: Ah bien ça c'est pas moi qui. [01:54:30] Speaker C: Avais ça, je sais pas si c'est. [01:54:31] Speaker B: Dan qui est obsédé. Mais il y a d'autres vestons, Madame. [01:54:35] Speaker A: J'ai dit à la personne en question que je ne dormais pas avec mon veston. [01:54:38] Speaker B: Ça, c'est rassurant. La réaction quant aux dépenses. [01:54:41] Speaker A: Je vais vous montrer c'est quoi d'avoir du leadership ce matin. Le maire de nos marchands, il doit des explications aux citoyens. Le double dipping, ce n'est pas une question de l'égalité, mais une question d'indécence éthique. Recevoir 100 000 $ en trois ans pour des dépenses déjà couvertes, c'est éthiquement douteux. L'ancien maire Labeaume réclamait 23 fois moins que le maire Marchand. Il y a toujours un moment donné, pas deux fois, pas trois fois, 23 fois moins. C'est un standard... c'est vers ce standard-là qu'on doit aller. Puis c'est ça qu'on va faire en tant que tel au niveau du respect citoyen. De mon côté, là, une administration qui respecte les contribuables, ça tolère pas ce genre de dérive-là. Puis si j'étais en poste, les fonds publics seraient traités avec le plus grand soin. Ça, c'est sûr. Fini les pratiques questionnables. L'exemplarité, ça doit être une règle. Puis ça, c'est... Et qu'est-ce qui est. [01:55:28] Speaker B: Le plus questionnant dans les dépenses? Là, vous les avez vues, les dépenses. [01:55:31] Speaker A: Le rapport... Moi, l'alcool, là, c'est fini. C'est pas vrai qu'on va rembourser des dépenses d'alcool. [01:55:37] Speaker C: Si tu veux prendre un verre, paye-le. [01:55:39] Speaker B: M. Lachance, on le sait pas, c'est de l'alcool ou pas. Non, je sais, mais je te donne un exemple. Oui, mais malheureusement, puis ça, je l'ai expliqué précédemment aux auditeurs, c'est amalgamé maintenant. Un compte de dépense, il est allé là, ça a coûté 3200 $, par exemple. On n'a pas le type de nourriture, dans quel resto, combien d'alcool, etc. Mais regardons le document tel qu'on le voit puis tel qu'il est publié. Par exemple, On s'entend là-dessus qu'il n'y a pas d'affaires-là. Je veux dire, juste ça en partant... [01:56:09] Speaker A: -"Rapport qu'il a pour faire la promotion de son dernier succès. Mensonge, mensonge, mensonge. Rapport, ça, c'est tout.". [01:56:13] Speaker B: Doit-il rembourser certaines de ses dépenses ou à tout le moins... Est-ce que ça prend une enquête pour vérifier? Qui a autorisé ça aussi? T'sais, lui, il a fait son rapport de dépense, mais il y a toujours bien quelqu'un qui l'a signé puis qui lui a envoyé un chèque, là. [01:56:28] Speaker A: Oui, mais c'est la direction générale qui a autorisé ça. Puis la direction générale puis le maire, ils mangent des peanuts ensemble dans le bureau. À un moment donné, ça prend quelqu'un d'indépendant, soit le vérificateur général de la ville, mais ça prend quelqu'un d'indépendant qui va faire les vérifications. Puis s'il a manqué à ses devoirs, il doit rembourser. Mais je veux dire, le maire marchand doit des explications à la population. C'est pas vrai que le monde travaille fort comme ça puis que lui peut aller se promener. Il va à Montréal, il y a déjà un chauffeur puis une voiture. Comment ça qu'il arrive en plus avec des frais supplémentaires? [01:56:56] Speaker B: C'est ça que je comprends pas. C'est ça que j'ai dit hier à D.H. Encore, le chauffeur, je sais pas si c'est le même qu'à la bombe, bien s'il y a une voiture de fonction, on aime ça dire limousine, bien t'sais, c'était un Buick dans le cas de la bombe. T'sais, il y a une voiture de fonction, le gaz est payé, autrement dit, il n'y a pas d'affaires à avoir de dépenses, là. [01:57:11] Speaker A: Il n'y a pas d'absolument pas. [01:57:12] Speaker B: Il y a un transport. [01:57:13] Speaker A: Puis il y a l'autre chose aussi. De toute façon, ce matin, on a une conférence de presse à midi. Puis nous, en tant que tel, on va faire un constat, puis je sur ton micro. C'est terminé d'aller à Montréal. Si les gens de Montréal veulent avoir des entrevues avec le maire de Québec, si Stéphane Lachance est élu, ils vont venir à Québec. Nous, on va prioriser les journalistes de Québec. Puis si vous voulez venir faire des entrevues, payez-vous une chambre d'hôtel à Québec, encouragez nos commerçants, puis venez nous interviewer ici. Moi, ce n'est pas vrai que je vais les faire. Moi, je ne vais pas là pour faire du show business. Moi, je vais là pour gérer l'argent des gens. Fait que si vous voulez venir faire des entrevues, les gens de Montréal, descendez à Québec. Mais moi, c'est terminé. J'irai pas à Montréal faire des entrevues pour passer sur des plateaux de télé. Ça m'intéresse pas. bien oui, bien réaction. Austérité, le synonyme d'austérité, c'est d'être très rigoureux en tant que tel. Alors moi, si on me traite d'austère, bien oui, je veux être très rigoureux avec les finances de la Ville. Puis tu sais, les partis de gauche, c'est toujours la même chose. Ces gens-là veulent taxer le succès des autres pour financer leurs projets qui fonctionnent pas. Alors là, à un moment donné, ça suffit. J'écoutais Mme Smith, j'ai beaucoup de respect pour elle, elle est très gentille, quand on se voit... [01:58:24] Speaker B: Elle a 260 pièces de taxes et d'immatriculations. [01:58:26] Speaker C: Elle, c'est extra chose, là. [01:58:28] Speaker A: L'arbre à argent, là, il pousse pas dans la cour de l'hôtel de ville, là. T'sais, à un moment donné, là... Donc ça prend des gestionnaires, ça prend des gens responsables et des gens imputables. Puis ça, on le dit depuis le début chez Respect citoyen. Puis nous, c'est pas depuis le mois d'avril qu'on fait campagne, c'est depuis juillet 2023. Donc ça prend des gens imputables, qui vont être renouvelables auprès des citoyens pour leur donner des réponses, puis les gens n'auront pas de doute à savoir que lorsqu'on administe leur argent, on le fait de façon la plus humainement possible, que ça soit crédible, puis que les gens, autrement dit, acquiescent aux dépenses qu'on fait. Puis ça, on doit... on a cette responsabilité-là. On gère l'argent du monde, puis le monde en a de la misère. Le monde s'est étouffé. Alors de voir des choses comme celle-là, je trouve ça scandaleux. [01:59:07] Speaker B: Le monde est étouffé, genre, avec des restaurateurs cette semaine. les croissancéanaires autour, les gens sont vraiment étouffés puis on n'a pas le sentiment, puis là je déborde un peu de la municipalité, je peux parler de la province puis du pays, les politicos quelque soit le niveau, j'ai pas l'impression qu'ils sont connectés à la vie, j'ai pas l'impression qu'ils sentent vraiment ce que ça coûte Moi, j'ai jamais vu de politiciens faire l'épicerie, à prima barge. Je sais pas, Stéphane Lachance, si vous en avez déjà vu. [01:59:34] Speaker A: Stéphane Lachance fait son épicerie chez Maxime. [01:59:35] Speaker C: Valbelaire, il a pas mal... Oui, mais. [01:59:37] Speaker B: Des élus, je parle, là. Tu sais, des élus, des députés, j'ai jamais vu... Tu sais, donc, on a l'impression qu'ils sont pas... [01:59:43] Speaker A: Ils sont gênés. Ils veulent pas se faire rencontrer par les citoyens. Ils sont gênés, souvent, des décisions puis des actions qu'ils prennent. Moi, je serais pas gêné d'aller me promener. Puis s'il y a des choses qui sont pas correctes, on va en parler, puis les gens vont nous le dire, puis on va s'ajuster en conséquence. Mais chose certaine, il doit y avoir une règle qui est claire. Puis ça, c'est sûr qu'avec respect citoyen, on va l'établir, parce que l'argent des gens, c'est la priorité d'être géré de façon le plus respectueuse possible. [02:00:09] Speaker B: Donc voilà, faites-vous votre propre opinion. Je pense que les gens sur le textos, ça se faisait aller beaucoup. Les vitamines, Ahmad. Call-in. Call-in. Call-in de call-in. [02:00:23] Speaker C: Je sentais, et puis je le sens aussi dans ton faciès, je sens de la déception. [02:00:28] Speaker B: Ah oui, bien c'est sûr. Mais Stéphane, Stéphane a du gaz. [02:00:35] Speaker C: Ah oui, Stéphane a du gaz. Stéphane a du gaz, c'est certain. [02:00:37] Speaker B: Tu peux pas faire autrement. Tu peux pas faire autrement. Tu peux pas faire autrement. [02:00:43] Speaker C: J'ai aimé Claude Villeneuve aussi. [02:00:45] Speaker B: Oui. [02:00:45] Speaker C: Qui a dit qu'elle a interpellé le journaliste pour dire là, faut vous poser des questions là-dessus. [02:00:48] Speaker B: Oui, il m'a fallu que je serre un peu le bras là, mais oui, oui. [02:00:52] Speaker C: Ah, il avait dit qu'elle voulait que ce soit remboursé. [02:00:56] Speaker B: 8H01. Est-ce qu'on va, Dom? On a-tu notre gars après la pause? On va aller à la pause, là. Dan, qu'est-ce que t'en dis? On va aller à la pause, là, hein, je pense. On va aller à la pause, là, parce que quelqu'un qui... J'aurais eu la possibilité peut-être d'ouvrir les lignes si on avait eu notre intervenant. Mais en revenant, je veux vous faire entendre, puis je veux qu'on entende à la gang, c'est un concessionnaire majeur de Québec qui en aura le bol de la mauvaise gestion des travaux à Québec. Il y a un manque de respect là-dedans. Lorsqu'on parle de marchand de sa gang, d'amateurs, c'est des travaux à gauche et à droite qui finissent pas, qui sont mal indiqués. Et c'est surtout... Globalement, cette administration-là, lorsqu'on fait le bilan, c'est le manque de respect envers les commerces. [02:01:39] Speaker C: Puis c'est les pistes cyclables. [02:01:41] Speaker B: Donc on enlève des parkings, mangez de la marde, organisez-vous. On l'a vu ici, juste à l'arrière de la station, sur Chemin Sainte-Foy. Puis là... Oui, vas-y, Dan. [02:01:52] Speaker C: Bien, ces travaux-là, c'est à côté du Costco. [02:01:54] Speaker B: Oui, les travaux dont on va parler, là. [02:01:56] Speaker C: Il y a du monde en joie de verre dans ce coin-là. [02:01:58] Speaker B: Oui, exact. Dans le coin de Versailles-en-Or, dans ce coin-là, exactement. Donc, on va faire la pause et on revient immédiatement après. 88 670 9098. Et vous êtes dans Montréal. [02:02:12] Speaker D: Petite pause. De retour dans un instant. [02:02:31] Speaker B: IGA vous aide à économiser chaque semaine. Si vous n'avez pas reçu votre circulaire par la poste, découvrez les offres sur l'appli ou à IGA.net. IGA. [02:02:40] Speaker C: Vive la bouffe! [02:02:41] Speaker D: Vous n'êtes pas obligé de sortir de chez vous pour vous gâter. Vous avez juste à les faire venir. Commandez en ligne au sensationsplus.com. [02:02:50] Speaker B: Partagez le plaisir. [02:02:51] Speaker D: De vendredi à dimanche, c'est le retour de la très attendue vente camions-nutrients chez Dino. 50 % de rabais sur le deuxième sac de valeur égale ou moindre, cadeaux aux 100 premiers clients, plusieurs autres spéciaux en magasin. Faites vos provisions dans toutes les succursales de Dino. [02:03:06] Speaker B: Tu veux travailler dans un atelier récent à la fine pointe de la technologie? Béton Provincial est à la recherche de mécaniciens de véhicules lourds pour leur garage à Québec. Rejoins une équipe dynamique dans un environnement stimulant où l'ambiance de travail est excellente. Chez Béton Provincial, le poste de mécanicien de véhicules lourds te donne accès à des équipements modernes. Que tu sois un mécanicien d'expérience ou un passionné, postule dès maintenant au betonprovincial.com via notre onglet carrière. [02:03:31] Speaker C: Gagnez deux billets pour le match d'ouverture au Centre Bell le 14 octobre avec 2000 $ cash grâce à Numbers Game. Participez gratuitement à concourspng.com. Concourspng.com Un chasseur sachant... [02:03:46] Speaker B: Un chasseur sachant chasser... [02:03:48] Speaker C: Un chasseur sachant chasser sait s'équiper. [02:03:51] Speaker B: Dans le fond du bois, faut que ça marche. [02:03:53] Speaker C: Avec Honda, t'en auras pas de problème. [02:03:56] Speaker B: Pour ta génératrice ou ton quatre-roues, c'est chez Adrenaline Sport que ça se passe. [02:04:00] Speaker D: Chez Club Piscine, on sait qu'une fois l'été terminé, c'est pas facile de continuer de s'entraîner. Je confirme. Alors, pour t'aider à donner ton 110 %, on te donne jusqu'à 30 % de rabais sur une grande sélection d'appareils d'entraînement pour la maison. Tapis roulant, cardio vélo, elliptique, rameur, à partir de seulement 549 $. Parce qu'il y a déjà mille excuses pour pas s'entraîner. Le prix devrait pas en être une. Chez Club Piscine Québec, Sainte-Foy et Lévié. [02:04:27] Speaker B: Ouh! [02:04:28] Speaker D: Donnez-moi de l'eau, quelqu'un! [02:04:30] Speaker B: Cette semaine, écoute le retour. Tu pourrais gagner l'une des 10 cartes cadeaux de 50$ chez Fromagerie Victoria. Sois attentif au signal de DH pour participer. 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Et il y en a un qui décide de sortir. C'est rare que quelqu'un du milieu des affaires à Québec sort, s'identifie avec son commerce pour se plaindre. Mais là, il y en a assez, je pense. Et c'est Carl Latulippe, qui est VP de Sainte-Foy-Nissan, qui est en ligne. Bonjour, M. Latulippe. [02:07:59] Speaker A: Bonjour. [02:08:00] Speaker B: On est tanné? [02:08:02] Speaker A: Pas mal. Tanné de quoi? du manque de coordination des différents paliers de gouvernement qui font les travaux. En fait, on vit... C'est un peu le jour de la marmotte, dans le sens que ça fait deux fois qu'on vit la même chose. On a vu tout ça quand on était sur John Wilson, quand on fait les travaux sur la R4, où le ministère des Transports faisait l'autoroute, puis ils ont décidé de faire la piste cyclable en même temps. Ça avait été un bordel. Puis là, aujourd'hui, on vit la même chose. Mais après avoir déménagé dans un autre secteur où on a commencé par les travaux d'Hydro-Québec qui ont été faits à partir du mois de juillet. Et là, cette semaine, on a eu la belle surprise de voir un nouveau chantier apparaître avant que l'autre chantier soit fini. Ça fait que... [02:08:53] Speaker B: C'est quoi le deuxième chantier? La corne de boule, autrement dit? C'est quoi le deuxième? [02:08:58] Speaker A: En fait, il fallait que je refasse la piste cyclable. Quelle était l'urgence, là? [02:09:03] Speaker B: Refaire la piste cyclable? Ça, c'est la ville? [02:09:06] Speaker A: Oui, ça, c'est la ville. [02:09:09] Speaker B: OK. Situez-nous géographiquement pour être bien précis pour qu'on puisse suivre. Vous, votre garage est à quelle place précisément? [02:09:16] Speaker A: En fait, nous, on est situé sur la rue Watt et qui est à côté du Costco à Sainte-Foy. Ça fait que c'est un secteur qui, grosso modo, passe entre 8 000 et 10 000 véhicules par jour. Ça fait que je pense que dans un secteur comme ça, encore plus que dans d'autres secteurs, mais il reste Il n'y a pas personne qui s'est parlé, certainement, pour se dire qu'ils faisaient des travaux en même temps, parce que quelqu'un de logique aurait peut-être décalé d'une semaine ou deux, ou peu importe, l'urgence de faire la piste cyclable qui était encore en fonction, qui n'était pas dangereuse du tout. [02:09:54] Speaker B: Mais on l'a refait, pourquoi était-elle là? [02:09:57] Speaker A: C'est ça, c'est une bonne question. [02:09:59] Speaker B: Vous perdez combien d'argent? [02:10:02] Speaker A: Je vous dirais que, compliquément, c'est 20 à 30 % de baisse de chandage qu'on a eue depuis juillet. Ça doit représenter entre 50 et 100 000 $ par mois de pertes. [02:10:17] Speaker B: Pardon? [02:10:19] Speaker A: Entre 50 et 100 000 $ par mois de pertes. [02:10:22] Speaker B: Donc on parle potentiellement de près d'un million de pertes à la fin de l'année, sur une année donnée. [02:10:30] Speaker A: Espérons que ça ne durera pas une année. L'année, la neige va nous sauver. [02:10:34] Speaker B: Oui, mais allons-y. Oui, la neige reste encore là. Encore là, les pistes cyclables sont à l'année, vous le savez. Maintenant, ville de Québec, mais c'est 100 000 de pertes. Donc les gens, on peut se magasiner de char, étant donné que c'est répulsif. Tu vois ça, tu dis de la marge, j'irais pas m'acheter un Nissan, je vais m'acheter d'autres choses. [02:10:51] Speaker A: Il fallait un endroit où c'était plus facile d'accès. [02:10:54] Speaker B: Avez-vous appelé la ville? [02:10:56] Speaker A: En fait, on a fait une plainte le 30 septembre, effectivement, pour demander des explications sur les nouveaux travaux qui sont en train de se faire. On n'a toujours pas eu de réponse. En fait, nous, on n'en veut pas aux employés de la Ville. [02:11:13] Speaker B: Non, mais il y a quelqu'un qui a pris la décision imbécile. [02:11:16] Speaker A: Ben oui, ben oui, ben oui. C'est un peu contre ça qu'on en a. C'est qu'il devrait y avoir de la planification. Puis il devrait y avoir un peu de... soit de la consultation ou de l'information qui est donnée à ces commerçants-là. Ça fait que, t'sais, nous autres, on veut pas devenir la rue de l'Église à cinq fois, là. On a vu ce qui est passé sur la rue de l'Église. puis je voudrais pas vivre ce que les gens ont vécu. [02:11:38] Speaker B: Non, c'est un film d'horreur. Bien là, il a nommé Jean-Pascal Lavoie, porte-parole, qui dit... Et il dit que les travaux seront terminés demain, vendredi. À suivre. Mais ce que vous déplorez, c'est qu'il n'y a pas de synchronisation et surtout, on vous avise de rien. Il y a un manque de respect là-dedans, là. [02:12:09] Speaker A: Ah bien t'sais, on a vraiment... Hydro-Québec est venu s'installer dans notre entrée au début de ses travaux. Ils ont fermé une de nos entrées, ils ont mis une roulette de chantier, ils ont installé des travailleurs dans nos entrées. [02:12:21] Speaker B: Gang de pompons. [02:12:22] Speaker A: Puis honnêtement, si les gens auraient pris le temps de venir nous voir, on les aurait fait une place. [02:12:29] Speaker C: Parce que c'est grand. Vous avez un grand stationnement. [02:12:34] Speaker A: Sans votre consentement, on a fermé l'accès à votre commerce. [02:12:46] Speaker B: Quel message que vous envoyez au maire tant qu'à parler de politique municipale, en terminant? [02:12:55] Speaker A: Parfait. [02:12:56] Speaker B: Ça dit tout. Parfois, le silence est d'or. La parole est d'argent, mais le silence est d'or. Merci beaucoup, M. Latulippe. On invite les gens à aller vous voir. Ne craignez pas, vous êtes ouverts. Faites le business, vous êtes en business. Sainte-Foy-Nissan, vous êtes là, ouverts, ce matin, pour saluer d'ailleurs tous les représentants qui attendent la visite impatiemment. [02:13:20] Speaker A: Merci beaucoup. [02:13:21] Speaker B: Merci, salut, bye. [02:13:23] Speaker A: Bonne journée. [02:13:23] Speaker B: Bonjour. Grosse entrevue dans le Journal de Québec également ce matin. [02:13:26] Speaker C: Ça, c'est sans compter tous ceux qui sortent du Costco puis qui contournent les travaux en passant par son stationnement. Je le sais, je l'ai fait. Puis j'étais pas tout seul. Hein? Oui, tu passes en arrière du stationnement. Au lieu de passer... Il y a un paquet de monde qui passe en arrière du Costco. Tu sors par en arrière du Costco, tu passes par en arrière du concessionnaire Nissan. Boum! T'es correct pour aller prendre l'autoroute. [02:13:48] Speaker B: Incroyable. On va faire la pause. Joe Poulin est impatient. Gilles Proulx est impatient. Gilles qui va nous parler de syndicats, parce que le syndicalisme québécois est pas mal dans la conversation de ces temps-ci. Je pense que Gilles a deux, trois patentes à raconter sur le syndicalisme québécois. Comment ça a évolué, le syndicalisme québécois? Est-ce que c'est pas en train de déraper? Est-ce que ça dérapait déjà il y a 25-30 ans? On va parler avec Gilles tantôt, Ray de Sports également. Mais d'abord, on reçoit Maître Poulin. Oui, c'est un avocat, bien sûr. C'est pas juste une bébite politique, Jonathan Poulin. Au plan avocat, au plan légal. Qu'est-ce que c'est que cette loi-là, C2? On a parlé en début de semaine, ça a été très intéressant. Merci aux auditeurs pour le feedback. L'entrevue qu'on a faite concernant C2 et C9, donc des lois brutales, des projets de loi déposés par Carney. Là, on est en train de vérifier, conservateurs, comment on réagit à ça. On réfléchit, il y a des grosses réunions ces temps-ci. Il n'y a pas de réaction encore. C'est un peu spécial, mais... J'imagine que ça va venir, les réactions. Mais concernant Jonathan Poulin, ça, au plan légal, il va venir nous expliquer en quoi ça peut nous frapper et nous impacter au plan de la vie privée. On fait le tour de tout ça. En revenant, on est en direct de Grand Allé à Québec. Et Grand Allé est presque pas bloqué. Vous êtes à Radio X. ♪ ♪ ♪ la circulation de Québec. [02:15:27] Speaker E: Pour faciliter la fluidité. [02:15:29] Speaker C: Il y a eu un accrochage un peu plus tôt ce matin sur Laurentienne, direction Nord. Heureusement, c'est pas la direction la plus achalandée, c'est à la hauteur du boulevard Amel. Quand même, il y a des ORE qui ont ralenti. Ça a causé quelques ennuis ici et là. Je vous dirais que si on reste sur la rue Nord, c'est Charest qu'on surveille. C'est à partir de la sortie Saint-Augustin-Village, où c'est par choc à par choc jusqu'au centre-ville, jusqu'à Langelier. C'est pas compliqué, là. Il y a vraiment du monde sur Charest ce matin. Capitale, c'est dans les deux directions. On rajoute à ça également la tête des ponts. Pour vrai, la tête des ponts, c'est vraiment du compliqué ce matin. Puis un accrochage également à la hauteur du photoradar pour les gens qui sont à direction ouest et qui s'en vont vers le pont de Québec. Donc c'est sûr que c'est à partir du chemin des îles où le stationnement commence sur la rive sud, 88-670-9098, pour nous dire ce que vous voyez sur les routes. Connaissez-vous Pax le médicament oral de Pfizer? Pour en savoir plus, c'est simple, demandez à votre pharmacie ou à votre médecin. Si vous pouviez vous convenir, Hatch Munchkins, Pax Lovitt, découvrez-le! [02:16:33] Speaker D: Votre conseil anti-stress, Rachel Berry. En voiture, si vous serrez un petit peu trop fort le volant, prenez une inspiration et passez un magasin pour découvrir des solutions naturelles pour soulager les symptômes reliés au stress. Rendez-vous dans nos épiceries Rachel Berry ou dans un espace santé chez IGA. [02:16:50] Speaker B: Au Québec, on l'aime notre bouffe! C'est un matériau renouvelable, écoresponsable et ça vient de chez nous. Et avec le BOI, on peut pratiquement tout faire. Des bons meubles en BOI, des maisons en BOI, des instruments en BOI, puis plein d'autres choses comme des livres, des mouchoirs, puis un bille-boquet. C'est pas pour rien que c'est un pilier économique pour tout le Québec qui fait vivre plus de 900 municipalités. C'est une ressource exceptionnelle et l'industrie forestière du Québec est fière de valoriser cette richesse si essentielle à nos vies. Cette semaine, chez Brick, lorsque vous achetez plus, vous économisez plus. Obtenez jusqu'à 30 % de rabais sur les meubles. Jusqu'à 15 % de rabais sur les gros électroménagers pour la cuisine, sélectionnez. Jusqu'à 40 % de rabais sur les matelas, sélectionnez. Certaines exclusions s'appliquent, détail en magasin. En plus, lorsque vous achetez plus, nous donnons plus. Une portion des recettes de nos ventes sera versée à votre hôpital pour enfants local. Merci Canada! Votre aide nous a permis d'avancer plus de 17 millions de dollars. Chez Brick, plus d'économie pour vous. 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Et un prix très très très spécial au IGA Amel. Ludo, décongeler, cuire, servir. Un chasseur sachant... Un chasseur sachant chasser... [02:18:41] Speaker C: Un chasseur sachant chasser sait s'équiper. [02:18:45] Speaker B: Dans le fond du bois, faut que ça marche. [02:18:47] Speaker C: Avec Honda, t'en auras pas de problème. [02:18:49] Speaker B: Pour ta génératrice ou ton quatre-roues, c'est chez Adrenaline Sport que ça se passe. VapoShop, c'est votre boutique d'articles pour vapoteurs et fumeurs. VapoShop, c'est aussi un service à la clientèle hors pair et des produits de qualité pour tous les styles d'utilisateurs. Visitez-nous à Lévis, Montmagny et dans 8 boutiques dans la grande région de Québec. [02:19:07] Speaker C: VapoShop.ca. [02:19:08] Speaker B: Gagnez! [02:19:09] Speaker C: Deux billets pour le match d'ouverture au Centre Bell le 14 octobre avec 2000 $ cash grâce à Numbers Game. Participez gratuitement à concourspng.com. Concourspng.com. 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[02:21:05] Speaker C: Moret. [02:21:05] Speaker B: Moret. Moret. Moret. [02:21:06] Speaker A: Moret. Moret. [02:21:06] Speaker D: More Dan Gravel et Tom Dumas. [02:21:12] Speaker B: Radio X. La lave-vaisselle de Joe. Un gros, gros lave-vaisselle. Jonathan Poulin. Poulin. Poulin. [02:21:21] Speaker A: Poulin. Poulin. [02:21:23] Speaker C: Avec Joe Poulin, on lave pas la. [02:21:25] Speaker B: Vaisselle à la main. Ho, ho, ho, ça sera pas à la main. Mais c'est un lave-vaisselle spécial édition, on peut le dire comme ça. on va mettre un projet de loi où la vaisselle. Je sais pas comment ça va revirer, mais une chose est sûre, c'est que ça va être bien récuré et vous allez voir, ça va être propre, propre, propre à la fin de la journée. C'est le fameux projet de loi C-9 sur les discours haineux. Et la grande question que j'aurais à te poser après ma barre, est-ce que Corny... Corny veut punir l'opinion? Est-ce qu'ils veulent sanctionner l'opinion? [02:22:02] Speaker E: Ben, c'est là qu'il est tout le... c'est là qu'il est fait. [02:22:04] Speaker B: Et c'est maître, en passant, maître Poulin, mes hommages. Là, tu vas parler en tant qu'avocat. Tu vas nous expliquer l'étonnant et aboutissant de la loi. On t'écoute. [02:22:12] Speaker E: Ben oui, la loi qui vient encadrer les discours haineux. Puis la question à mille piastres, c'est mais qu'est-ce que la haine? Parce que votre définition n'est pas nécessairement la même que la mienne. [02:22:23] Speaker B: Oui, si j'haïs la haine... Je me fais-tu bis-boyer? [02:22:27] Speaker E: Tu comprends ma thématique? J'ai un peu moins d'honneur positif. [02:22:30] Speaker B: Ouais, c'est sympa, hein? En tout cas, quand on rencontrera Carney, la semaine prochaine, on lui demandera. [02:22:35] Speaker E: Non, mais moi, je me souviens dans la dernière campagne électorale, quand on voulait discréditer... Ici, au Canada, c'est assez soft, la politique, même si on parle de droite puis de gauche, pas mal tout centristes. Mais il y en a beaucoup des commentateurs à la télé qui, par exemple, je pense à M. Poliev notamment, qui revenait souvent avec le mot « haine en bouche ». Alors, tu sais, il faut se demander qu'est-ce qu'on vise par ce... Quelles sont les interdictions qui sont dans ce projet de loi-là? Et moi, c'est ce qui m'inquiète, c'est qu'on parle beaucoup de liberté d'expression. On l'a vu dans les dernières semaines avec Jimmy Kimmel aux États-Unis. Puis là, c'est supposément Trump qui met en péril la liberté d'expression. Je vais nous ramener vraiment en ça, le Québécois-Canadien. Trump n'a pas l'affaire là-dedans. On va faire un petit pas de recul ensemble. Puis ce qui est dommage, c'est qu'autant qu'on a du monde qui s'époumonne sur la liberté d'expression, dans les dernières années, tous les gestes qui ont été posés, ça n'a pas été pour renforcer la liberté d'expression, mais c'est pour créer des brèches. Rappelons-nous, au Québec, il y a quelques années, il y a un débat qui a enflammé à peu près tout le monde, les artistes, les journalistes, etc. C'était l'affaire Mike Ward. qui s'est rendu jusqu'en Cour suprême. [02:23:43] Speaker B: Le petit Jérémie, puis le gag. [02:23:45] Speaker E: Absolument. Puis on reviendra pas là-dessus, tout le monde se souvient du gag, etc. Mais ça s'est rendu jusqu'en Cour suprême du Canada, puis c'est Mike Ward qui a gagné. Puis souvent, c'est ce qu'on se souvient, puis c'est ça qui est le plus important. Mais je tiens à vous rappeler que ça a fini à 5 contre 4 devant la Cour suprême. On était à un juge d'avoir un basculement drastique au niveau de notre état de droit sur la liberté d'expression. [02:24:09] Speaker B: Puis... Hé! Non, non, non. Wow! C'était très intéressant, ce que tu viens de dire, là. [02:24:12] Speaker E: Un juge... [02:24:13] Speaker B: Autrement dit, il y avait une forte dissidence. [02:24:15] Speaker E: Absolument, là. [02:24:16] Speaker B: La dissidence disait quoi? En gros, t'es-tu capable de... Je trouve ça super intéressant, puis tu sais quoi? Tu me l'apprends. J'avais pas cette perception-là de la forte dissidence. [02:24:26] Speaker E: Exactement! [02:24:27] Speaker B: La dissidence, j'imagine, ne donnait pas raison à Mike, c'est ça? [02:24:31] Speaker E: Non, tout à fait. [02:24:32] Speaker B: Et blâmer Mike... parce que le gag allait trop loin. Ton présumé. Ils n'étaient pas d'accord avec l'opinion majoritaire. Donc, ils étaient contre Mike. [02:24:41] Speaker E: Exact. Donc, la minorité, mais qui était 4 contre 5, eux, auraient rétabli la décision de la commission qui avait indemnisé au départ le petit Jérémy Gabriel. [02:24:51] Speaker B: Très intéressant. [02:24:52] Speaker E: Alors, mais est-ce que... Puisque la majorité, puis vous allez comprendre, à contrario, ce que la minorité voulait pas, mais est-ce que la majorité de la Cour suprême est venue dire, avec sagesse, à mon avis, c'est dire... On veut pas que les tribunaux deviennent le forum de ce qui est de. [02:25:06] Speaker B: Mauvais goût, de ce qui est de. [02:25:08] Speaker E: Bon goût, de ce qui est une joke, une blague qui devrait être tolérée ou pas. On veut pas que les tribunaux embarquent là-dedans. Du moment qu'on accepte qu'il y a une liberté d'expression ici, Premièrement, ça veut dire qu'il n'y a pas un corollaire au droit de ne pas être offensé. Puis c'est un droit général qui vient avec le fait que le monde peut dire des innocenties, des imbécilités, des affaires très intelligentes, mais c'est ça la liberté d'expression. Mais on a quand même quatre magistrats du plus haut tribunal du pays qui n'étaient pas d'accord. Donc eux avaient trouvé que la blague transgressait une ligne qui aurait mérité une intervention judiciaire. Donc on était à un juge. Donc comme je vous dis, Précédent, quand je vous dis que c'est fragile, on était là. L'année dernière, au Québec, ils ont adopté une loi, souvenez-vous, pour venir protéger les élus municipaux et provinciaux. Souvenez-vous, il y avait beaucoup de haine supposément contre les politiciens. Pas parce que les politiciens disent une chose et font leur contraire. Non, non, mais il y a beaucoup de haine, etc. [02:26:09] Speaker B: Ils sont trop bons. En fait, on est tellement impressionné par les policiers que des fois, on l'exprime mal. Ça déborde, on déborde d'amour. [02:26:19] Speaker E: Alors, on se demandait, mais quel était l'objectif? Puis là, t'es voué à s'en aller devant la caméra, puis nous dire, ouais, mais là, si on a des menaces, on a des menaces de mort ou on a du harcèlement. Toutes des choses qui étaient déjà couvertes par le code criminel. Alors, quand on gratte un peu, je me souviens de François Legault, en entrevue, qui avait dit « Ouais, mais là, si on insulte les élus, ah là, le chat sort du sac. » Voici l'objectif de la loi, c'est venir protéger contre une certaine opinion qui pourrait être un peu plus intense ou hostile aux politiciens. Mais s'il me semble qu'il y a une catégorie de personnes dans la sphère publique qui doivent et qui peuvent se faire critiquer, c'est les élus. Mais cette loi-là a été adoptée, etc. Alors là, souvent, ce qu'on nous dit, c'est, ah, mais on a la Charte qui nous protège contre... qui protège la liberté d'expression. Deux nuances. La première, c'est que c'est pas vrai que toute atteinte à la liberté d'expression est protégée. Souvent, les tribunaux vont faire un exercice pour venir dire, ah, mais est-ce que ça devrait être permis dans une société libre et démocratique? Et malheureusement, il y a une tendance dans la jurisprudence qui est un peu plus laxiste. Alors, si on pense que la barre est extrêmement haute, bien, je donne un exemple qui n'a pas nécessairement un rapport avec la liberté d'expression, mais c'est en vertu de ce principe-là, par exemple, qu'on a légitimé de manière judiciaire un couvre-feu lors de la pandémie. Alors, tu sais, des fois, on a des... [02:27:36] Speaker B: La norme du socialement acceptable. [02:27:37] Speaker E: Alors, c'est très élastique. Il faut se souvenir que... [02:27:40] Speaker B: Alors que la CAQ voulait plaire à sa clientèle. Alors, pour eux, la société, dans la société, eux autres. Les plus vulnérables devaient être protégés et c'était alors, de rechef socialement inacceptable, un couvre-feu, dans le raisonnement légal. Ça, ça aurait pu, par contre, moi, j'ai lu des avocats qui auraient pu challenger le couvre-feu et ça n'a pas été fait. [02:28:04] Speaker E: Moi, personnellement, je n'étais pas tout à fait d'accord avec cette décision-là et elle n'a pas été invalidée en appel. Et le deuxième, souvent, qu'on dit, c'est la liberté d'expression, c'est beau, c'est protégé, dans la limite où ça ne touche pas, où ça ne devient pas un discours haineux. [02:28:22] Speaker B: Ah! [02:28:22] Speaker E: Elle est là, la twist. Parce que c'est exactement les deux mains dans lesquelles le gouvernement Carney vient de se mettre ici, c'est qu'avec leur fameux projet de loi, parce que le discours N-1 a toujours été interprété quand même très restrictivement. Et à juste titre, on est dans le code criminel, on ne parle pas d'une dictamande. [02:28:40] Speaker B: Donc, donnons des exemples. Des exemples. J'haïs les juifs, j'haïs les noirs, etc. Ça, c'est un discours haineux qui est direct et ça, c'est sanctionnable. [02:28:50] Speaker E: Absolument. [02:28:51] Speaker B: Parce que c'est l'expression directe d'une haine et ça ne mérite même pas d'interprétation. [02:28:56] Speaker E: Exactement. parce qu'on va venir un peu reprendre les critères de discrimination, donc basés sur la race, l'ethnicité, l'orientation sexuelle, l'identité de genre. Alors vous voyez, tu sais, il y a des débats actuellement qui ont lieu dans la société, qui sont des débats légitimes, mais là, sous la lorniette de cette nouvelle interprétation-là, est-ce qu'on pourrait se permettre d'être aussi peut-être critiques envers des positions? La question se pose. [02:29:21] Speaker B: Et tu sais... Par exemple, se poser des questions sur... Est-ce qu'on peut permettre aux trans de compétitionner contre des filles en natation? C'est ce genre de... Il y a des discussions qu'on n'avait pas avant. [02:29:35] Speaker E: Puis c'est des discussions qui sont délicates, mais légitimes. [02:29:39] Speaker B: Délicates, légitimes et contemporaines. [02:29:40] Speaker E: Moi, j'ai reçu plusieurs messages récemment par rapport au fait sur ce qu'on appelle la pluriparentalité. Des gens à trois qui adoptent des enfants, etc. C'est des débats qui doivent se faire dans la société. Et on va avoir des positions qui sont plutôt tranchées. Or là, si on met tout là-dedans, justement, l'orientation sexuelle, l'identité sexuelle, on trace où la ligne avant de dire que c'est haineux. Alors pour moi, c'est un précédent qui est très dangereux. Puis tu sais, le projet de loi prévoit des exceptions, des moyens de dépense. Puis je pense qu'en une phrase, on est capable de résumer un peu toute la complexité et l'ambiguïté du projet de loi. On dit que les Canadiens ont le droit d'exprimer du mépris ou de l'antipathie, mais doivent veiller à ne pas ressentir des émotions illégales que seraient de la détestation ou du dénigrement. Alors là, une chiotte, t'en perdrais ses petits. Alors c'est quoi la différence entre du mépris, qui serait permis, puis du dénigrement, qui serait illégal? Alors là, on est dans un débat de sémantique. [02:30:42] Speaker B: Exemple. Dénigrement. Pierre Poilievre qui traite les maires d'incompétents. C'est du dénigrement! Aides-moi à dénigrer! Non, c'est une opinion. Ça se démontre factuellement que t'es incompétent à cause de ceci et de cela. C'est intéressant, là. On s'en va vraiment dans un autre... dans du droit nouveau, là. [02:31:01] Speaker E: Exact. Puis, ce qui est important à dire, c'est que... [02:31:03] Speaker B: Définir dénigrement. [02:31:05] Speaker E: Puis il y a certaines exceptions qui sont prévues au projet de loi, notamment pour les journalistes. Alors pour les journalistes, on a certains petits parapluies. Mais par exemple, pour des hommes et des femmes publics qui sont dans des postes électifs, qui normalement devraient être ceux. [02:31:18] Speaker B: Qui devraient pouvoir avoir une parole... Encaisser un certain niveau de critique. [02:31:21] Speaker E: D'un côté, mais de l'autre côté, d'avoir une parole libérée et de pouvoir être capable d'amener les débats qu'ils souhaitent sur la place publique s'ils ont été élus, c'est parce qu'il y a du monde qui pense que ce qu'ils disent, ça a du bon sens. [02:31:30] Speaker B: Exemple, Stéphane Lachance qui a critiqué Vertement Marchand ce matin. C'est dans l'ajout de politique tout à fait admis. Il n'a rien dit de... Ce que tu dis, c'est de la sphère politique doit être protégée de par son haut niveau de... de propos acerbes potentiels. Donald Trump, ça c'est permis, c'est tout à fait, c'est l'ajoute, tu droppes les gants. [02:31:49] Speaker E: Oui, absolument. Puis il y a une chose que les gens ne savent pas beaucoup, puis moi je pense que ça passe par là la solution, parce qu'il y en a beaucoup qui vont dire « Ouais. [02:31:58] Speaker D: Mais là, quand il y a des. [02:31:59] Speaker E: Trucs haineux, puis souvenez-vous, ils vont nous ressortir un peu ce que Adil Sharkawi avait dit, etc. » Mais actuellement, il y a une disposition dans le Code criminel qui permet aux juges, quand il y a des infractions dans lesquelles, justement, il y a des hauts éléments de haine et de préjugés, d'en tenir compte au niveau de l'octroi d'une peine. C'est-à-dire que ça devient un facteur aggravant, mais ce n'est pas un élément constitutif de l'infraction. Donc, tu sais, si on veut justement axer sur la haine, puis il y a des crimes qui sont commis justement sur la base de haine, etc., bien, tenons-en compte lorsque c'est le temps de donner une peine pour être plus sévère, pour être exemplaire. [02:32:33] Speaker B: Donnons un exemple. quelqu'un, puis ça vient de survenir, puis on donnera les détails quand j'en aurai ou quand on en aura, là. Il y a eu une attaque, par exemple, contre des juifs, là, au cours des dernières minutes, en Angleterre, une attaque contre une synagogue. OK. Prenons... c'était un exemple pour bien décrire, pour appuyer ce que tu dis. Le meurtre sera sanctionné de par le meurtre. OK? La définition du meurtre. Par contre, s'il a une connotation raciste, s'il a une connotation discriminatoire que la personne voulait expressément attaquer des musulmans dans une mosquée, ou des juifs dans une synagogue, mais de par des écrits, de par des propos appuyés, de par une idéologie expressément... ouverte. Tu comprends? De la haine ouverte, pure, structurée. Là, il y aura une coloration dans la sanction de ce que tu dis. [02:33:26] Speaker E: Absolument. [02:33:26] Speaker B: Puis ça existe déjà, c'est déjà un outil. J'essaie toujours de mettre des exemples concrets dans ce que tu dis. [02:33:32] Speaker E: Tout à fait. [02:33:33] Speaker B: C'est ce que tu veux dire. OK, parfait. [02:33:34] Speaker E: Alors moi, je pense que si on veut accentuer, parce qu'effectivement, il y a des éléments haineux peut-être dans la société, il y a une montée de la violence, etc. Ben, utilisons les outils qu'on a sans nécessairement venir avec une patente un peu ambiguë. [02:33:49] Speaker B: Et il y a des outils, c'est ce que tu es en train de dire. [02:33:51] Speaker E: Ça existe. Mais là, quel est l'objectif? Parce que moi, ce que je dis, c'est au niveau de la sévérité de la peine. Mais est-ce qu'on veut, justement, criminaliser le fait même d'avoir exprimé une opinion qui dérange? [02:34:04] Speaker B: Moi, je pars de ça. Moi, je crains ça. [02:34:06] Speaker E: Le danger est là. [02:34:07] Speaker B: Et je crains une anglicisation, ou je devrais dire une angleterricisation, tu comprends? ce qu'on était en train de faire en Angleterre. Ça cogne à la porte, t'as écrit le mauvais tweet, t'as dit que tu voulais moins d'immigrants, t'es coffré. On l'a vu, ça s'est démontré. Donc, t'as exprimé une opinion politique et à ce moment-là, tu deviens la cible de l'État. Moi, je crains ça. Est-ce que j'exagère? [02:34:32] Speaker E: Non, t'exagères tellement pas qu'il y a même une disposition dans le projet de loi qui vient faire en sorte, actuellement, pour ce qui est des discours haineux, parce que c'est déjà encadré minimalement dans le Code criminel, il y a ce qu'on appelle la discrétion du procureur. C'est-à-dire, avant d'intenter une poursuite dans ce créneau-là, il faut le consentement du procureur général. Or, en vertu du projet de loi, cette discrétion-là serait totalement levée. Alors, il n'y aurait plus cette espèce de filtre-là qui est essentielle. [02:35:00] Speaker B: Ça, c'est central. [02:35:01] Speaker E: Alors, la pluie... Alors, tu sais, quand je vous parlais de l'affaire Mike Ward tantôt, la préoccupation de la majorité qui était sur l'instant, là, on ne veut pas d'emmener les arbitres puis venir inonder le système de justice du bon goût, du mauvais goût. Bien là, on est en train de faire exactement ça, là. On lève la discrétion du procureur pour lui dire « Let's go! Amenez-les, les poursuites en matière de discours réels. [02:35:20] Speaker B: » Donc, ce qui veut dire quoi? [02:35:22] Speaker E: Ben multiplicité des recours. [02:35:24] Speaker B: Tu portes plainte à la police, la police mène ça devant un juge. [02:35:27] Speaker E: Absolument, direct. Alors est-ce que là, pis t'sais y'a un enjeu à mon avis, t'sais, autant qu'on voit aux civils ce qu'on appelle des poursuites bâillons, hein, quand on veut intimider quelqu'un parce qu'il parle trop, il dérange, des fois on va arriver avec une grosse poursuite aux civils, mais là, ah, est-ce qu'on peut faire une plainte au niveau du discours haineux à la police pis bang, un recours. Mais là, on parle d'un recours au criminel, là. L'épée de Damoclès, c'est plus une amende, c'est une peine d'emprisonnement. Alors, c'est extrêmement, extrêmement préoccupant. [02:35:58] Speaker B: Parce que la police va prendre, mettons, un commentaire. Mais la police n'aura pas analysé le mens réa de l'acte comme tel. [02:36:06] Speaker E: C'est pas son tra... T'sais, c'est pas nécessairement son travail. [02:36:09] Speaker A: Pis... [02:36:10] Speaker B: La police va arriver avec le constat Et on s'en va vers le juge, mais t'sais, l'intention coupable, puis est-ce qu'il y avait vraiment une intention de susciter la haine, de susciter l'opprobre et tout ça. Si on fait lever ça, mais ça c'est dans la loi. Moi, à mon avis, ça serait plus grave. [02:36:27] Speaker E: Puis on enseigne ça aux étudiants en droit à l'université, je pense qu'en droit criminel 1, c'est que notre système est basé sur un système un peu discrétionnaire en entonnoir. La première discrétion, c'est la discrétion policière. Si t'arrives devant un policier, puis tu fais une plainte qui est tout à fait frivole, T'sais, qu'il y a pas de bon sens, etc. Le policier, il a une certaine discrétion pour pas faire un dossier pis amener ça au procureur de la couronne. [02:36:50] Speaker B: Donc ça, c'est... Le policier avec le jugement, on aime ça. [02:36:51] Speaker E: Voilà. Mais le deuxième fil, c'est le procureur de la couronne. Lui aussi, il a une espèce de jeu de jugement, de discrétion. Il est pas obligé de... [02:36:59] Speaker A: Alors là... [02:36:59] Speaker B: Il demande des compléments d'enquête. [02:37:00] Speaker E: Ouais, sauf que ce système-là, basé sur la discrétion en entonnoir pour le discours haineux, on fait sauter le volet du procureur de la couronne. [02:37:09] Speaker A: C'est ça qui est grave. [02:37:09] Speaker B: C'est grave un maudit ça. Ben c'est un espèce de... Allo les conservateurs peut-être? [02:37:13] Speaker E: Ben c'est ça qui est dommage. À Ottawa, les projets de loi, deuxième lecture, troisième lecture, c'est comme du beurre dans le pot, on a l'impression que ça se joue dans le nez à longueur de journée. Tu sais quand c'est rendu que t'es obligé à te rabattre, sur le Sénat, qui sont pas élus, pour espérer qu'il y ait deux, trois là-dedans qui lèvent la main pis disent « Hey, avez-vous vu telle affaire? [02:37:33] Speaker B: » T'sais, Jonathan, j'ai dit « Allô, conservateurs, allô, les bloquistes, allô, les citoyens responsables, députés, que vous soyez néo-démocrate de gauche, on voit que ça passe, c'est le respect du droit. du » droit pur et de la protection de l'individu, que tu sois bloquiste, conservateur. Dans le fond, ça n'a pas rapport. Je pense aux conservateurs parce qu'ils sont la majorité... pas la majorité, mais l'opposition officielle. Mais je veux dire, les bloquistes sont où, là-dedans? C'est grave emmaudi, ce qu'on raconte. Il y a-tu quelqu'un de ferré capable de comprendre? Le projet de loi du côté du Bloc ou c'est juste des anciens artistes? [02:38:06] Speaker E: Premièrement, à lire le projet de loi, ça prend pas des grandes études. Vous lisez le projet de loi, vous comprenez qu'il y a une espèce de fourre-tout là-dedans. Premièrement, si vous lisez le projet de loi et que c'est incompréhensible, déjà là, premièrement, il y a un problème. Puis il y a aussi des avocats et avocates qui sont ferrés, je connais, dans la députation. Je comprends pas que ça se réveille pas à ce niveau-là. C'est extrêmement préoccupant. J'ai hâte de voir parce que c'est une brèche qui... Bien, il y a. [02:38:33] Speaker B: Quelqu'Un qui dit une perquisition sans mandat. Peut-être. C'est pas écrit, mais je veux dire, on fait sauter des filtres. [02:38:40] Speaker E: On fait sauter des parfeux démocratiques. Puis ça sert à quoi? C'est de protéger le citoyen contre le bras armé de l'État. L'État, lui, il y a quoi? Il y a des policiers, il y a des procureurs, il y a des ressources. Vous, vous êtes le citoyen. D'ailleurs, malheureusement, le système de justice, qui est censé être un service public, quand vous êtes dans la merde, vous aimez mieux être très, très, très, très pauvre ou d'avoir beaucoup d'argent. C'est ça, c'est de se donner des protections comme citoyen contre l'État. Or, là, on les fait sauter, puis c'est comme s'il n'y a pas de réaction. Puis j'ai aimé cette semaine un commentaire de Véronique Yvon, qui est une ancienne policienne que j'estime quand même beaucoup, qui dit... Écoute, on a les médias ici qui sont obsédés par ce qui se passe aux États-Unis. On a du 24-7 avec des chroniqueurs, un peu comme si on était devenu le 51e État sans le savoir. [02:39:25] Speaker B: Jean-Paul Fessier a fait ça. Il a dit à l'affaire au Wyoming qu'ils sont sans balance. Ça ne nous touche pas. à nos politicos? [02:39:30] Speaker E: Mais voilà! Mais pendant ce temps-là, on s'occupe pas de ce qui se passe chez nous. Un projet de loi, à mon avis, drastique. Et j'aimerais rappeler que le gouvernement fédéral est quand même minoritaire. Donc, normalement, il est pas censé pouvoir passer toutes ces choses-là à pleine vapeur. Alors, j'espère qu'il va y avoir des politiciens qui vont se réveiller. Mais habituellement, quand, à votre micro, vous dites que les conservateurs dorent aux augures, ça se réveille un peu un peu longtemps. [02:39:53] Speaker B: Mais je sais, je vais être honnête. Je parlais à Pierre Paulus. Il y a des... Parce que ce qui arrive, c'est que cette loi-là, je ne sais pas si on peut appeler ça une loi omnibus, mais il y a beaucoup d'éléments dans cette loi-là qui n'ont pas rapport avec ça. C'est ça la crosse des libéraux, c'est qu'ils ont foutu ça dans la loi et là, il faut qu'ils débroussardent pour dire ça, on n'est pas d'accord avec ça. Ils veulent sortir ça de cette loi-là parce qu'il y a d'autres items intéressants dans la loi. C'est du crossage, je sais pas, à peu près, là, ce qu'ont fait les libéraux. Pour faire mal paraître les oppositions, mais ça, c'est le jeu politique. C'est ça qu'ils sont en train de débroussailler. Me rapporte-t-on? [02:40:29] Speaker E: Non, mais sans entrer dans les détails, ils ont des moyens parlementaires. Il y a des motions de scission, ils peuvent scinder des partis. [02:40:35] Speaker B: Il faut pas que ça pause ça, on est d'accord là-dessus. [02:40:36] Speaker E: Exactement. Mais ça, le gouvernement fait tout le temps ça. Souvenez-vous, dans la dernière session parlementaire, il avait déposé un projet de loi pour protéger les jeunes en ligne. Une affaire que tu dis, mais je peux pas être... Tu peux pas être contre la tarte aux pommes pis t'avais une section du projet là, tu fais mais je suis 100% d'accord avec ça. Pis après ça, bang! Il arrivait avec toutes sortes de manières de dispositions liberticides, notamment au niveau de la liberté d'expression en ligne. [02:40:59] Speaker B: T'sais, wow! [02:41:00] Speaker E: Attends une minute! Faut faire attention des fois parce que là, après ça, ils vont dire «Ah mais vous êtes contre...» Je me souviens, il avait dit «Vous êtes contre la protection des légumes?» Alors, il faut se méfier de ce type de discours. [02:41:10] Speaker B: C'est magnifique. Merci beaucoup, Georges. Un complément d'information, Dan. [02:41:13] Speaker C: Oui, parce que ça brasse pas mal à Manchester, on vous rappelle. T'sais, c'est une grosse journée aujourd'hui dans les synagogues un peu partout dans le monde parce que c'est Ouamkipour. C'est une des plus grosses fêtes sainte juive. C'est passé à 4h07. Il y a un gars qui est rentré dans une synagogue avec un couteau. Deux personnes sont mortes après une attaque à la voiture et à la main blanche dans la synagogue. Il y a une troisième personne qu'on pense être le suspect qui est morte. Il a été abattu par la police. C'est sur vidéo. On l'a partout ce matin sur Internet. La police déclare que le suspect pouvait avoir des objets suspects sur lui. Et puis, finalement, on a demandé à tous les policiers de revenir parce qu'il y avait une bombe. Il y a une détonation qui a été entendue. Ça a été une détonation contrôlée. On a fait exploser la bombe. Le premier ministre, lui, était à Copenhague. Il est parti en toute urgence à l'aéroport pour rentrer à Londres. Et juste avant d'embarquer dans l'avion, il a appelé tous les policiers en Angleterre puis il a dit «Vous voulez vous foulez les synagogues de casquettes bleues. Right now, on fait rentrer tous les policiers en Angleterre. On veut des policiers dans toutes les synagogues. [02:42:23] Speaker B: Merci beaucoup, Dan, c'est très complet. Merci, Joe. Encore une fois, c'est le fun d'aller à l'école du barreau. On paie nos cotisations. Ça a l'air à ça. Merci. OK, on va à la pause. En revenant, les syndicats, est-ce qu'ils en mènent trop au large? Gilles Prout est avec nous autres. Moray, nous sommes live. [02:42:44] Speaker D: On revient dans pas long. [02:42:46] Speaker C: Désolé. [02:42:47] Speaker D: Moray Live, présenté par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. Confort en hiver, fraîcheur en été. Et des économies toute l'année. Multiconfort FP, à Québec et Victoriaville. [02:43:03] Speaker B: La sex-ploratrice. [02:43:06] Speaker D: Sexualité, amour, relation. [02:43:09] Speaker B: Et beaucoup plus. [02:43:11] Speaker D: Sans tabou. [02:43:12] Speaker B: La Sexploratrice. [02:43:13] Speaker D: Avec Mel Trudel. Tous les vendredis, 19h. [02:43:17] Speaker B: La Sexploratrice. Radio X. Présenté par Planétix. À la recherche de nouvelles sensations? Avec Planétix, explore et découvre tous les plaisirs. Planétix. C'est succursale et sur monplanetix.com. [02:43:34] Speaker D: Les rabais de la circulaire d'octobre sont arrivés chez Mondou. Épargnez 25 $ à l'achat de deux sacs de format sélectionné de nourriture sèche Hills Science Diet pour chat ou chien. Jusqu'au 15 octobre, découvrez toutes nos offres en magasin ou au mondou.com. Groupe Saillant Autocrédit, c'est quoi? 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[02:47:09] Speaker C: 88-67-0909, Phil, pour nous dire ce que vous voyez sur les routes. Puis ce que vous voyez sur les routes ce matin, c'est de l'achalandage, surtout si vous êtes sur la Rive-Sud ou sur Capitale ou encore si votre destination finale est la Colline parlementaire. Il y a du monde. Capitale dans les deux directions, Charest direction Centreville à partir de Duplessis. La Tête-des-Ponts, surtout pour les gens qui arrivent de Lévis-Centreville, Dufresne-Montmorency-Laurentienne pour l'accès à la Colline parlementaire également. Ça ressemble pas mal à ça. Bon jeudi, Canadian Tire soutient Bon départ! Bon départ! qui aide les familles à surmonter les obstacles financiers liés au sport, liés aux jeux. Donnez à bondepart.canadianetire.ca. [02:47:45] Speaker D: La but de plaisir n'est pas dangereux pour la santé. Magasinez au sensationsplus.com et découvrez tous nos produits érotiques pour couple. Livraison rapide et discrète. [02:47:54] Speaker B: Sensationsplus.Com. Ce segment d'émission présenté par Planète X. Chez Planète X, on t'apprend pas à chanter, mais on pense être capable de te faire crier. Planète X, c'est succursale et sur monplanètex.com. Moret. [02:48:09] Speaker C: Très fier. [02:48:11] Speaker D: Avec Dominique Moret. [02:48:12] Speaker C: Plus que fier, là. [02:48:14] Speaker B: Moray Live Radio X Pendant qu'on appelle Gilles Proulx, il attend notre appel. Un petit peu de météo, Don? Oui, oui, un petit peu de météo. [02:48:35] Speaker C: On a du temps à faire. [02:48:37] Speaker B: On a du temps à faire, puis je te dirais que côté météo, c'est quasiment en plate. C'est quasiment en plate. Il va faire beau. Il fait frais le matin, ça se réchauffe vite. La preuve, dans la nuit du Jeux, le mandredi, il va faire 4. 19 demain, boum! Météo tailgate, c'est ça qu'on veut savoir parce qu'il y a de la mouillasse dans la partie de mardi, il pleut. Il pleut à 60 %, peu importe de toute façon. J'entendais des avertissements de ne pas faire de feu. Ça va être correct les feux. Mais le tailgate dimanche matin, parfait. [02:49:08] Speaker C: On va être bien. [02:49:09] Speaker B: 24 degrés. Pour la game de foot, 24 degrés. Extraordinaire. Il y a aucune pluie avant mardi. Extraordinaire. Aujourd'hui, 16. C'est la banane. Demain, 19. Samedi, 23. Dimanche, 24. Et lundi, 23. C'est du mur à mur. C'est parfait. Gilles est là, Dom? Gilles n'est pas là? Voyons. Refais-donc un météo. [02:49:34] Speaker C: Oui, c'est bon. Les vents vont aller à 40 km. [02:49:38] Speaker B: Les 10 suivent de 5 ou moins modérés. À moins qu'on fasse... On fait-tu « re » ? On appelle « don't re ». [02:49:49] Speaker C: Je vais faire ça live. [02:49:51] Speaker B: Parce qu'il fallait que ce soit en ligne. « The show must go on », comme on dit. J'ai les là. Bon, on dit que j'ai les là. Parfait. On planche. On va l'avoir. [02:50:05] Speaker A: Il y a un show, là. [02:50:07] Speaker B: On finit à 10 ans. Parce que vous avez le droit de savoir. Gilles Proulx, comment ça va? [02:50:13] Speaker A: Très bien, mon cher... Mon cher... Mon cher copain. Mon cher Dominique. [02:50:22] Speaker B: Est-ce qu'on va commencer large? Puis ensuite, tu me donneras ton opinion, vu qu'on parle des syndicats de cols bleus, puis le syndicat des cols bleus de Montréal. Tu as tellement parlé de ce sujet-là quand tu étais en onde à Montréal. La CGMS, entre autres, en a parlé beaucoup, beaucoup, beaucoup. Je m'en souviens. Question générale d'abord, de base. Est-ce que les syndicats amènent trop large au Québec? [02:50:47] Speaker A: Les syndicats traînent une nostalgie qu'ils veulent bien ressusciter. et revenir à la belle confrontation. Quand tu voulais faire peur d'un patron, tu disais, on va te rentrer la CSN dans cette compagnie. Et les horaires, il dressait ou il polissait. Il savait fort bien qu'il fallait qu'il y avait un moineau dans le peloton de travailleurs qui oeuvrerait à faire venir un gars de la CSN pour rentrer avec un nombre suffisamment de candidats intéressés. c'était le commencement de la fin, souvent. Je me rappelle, moi, je traitais Gérard Delarose, qui était un maudit bon gars dans le privé et qui a, en tout cas, une bonne analyse de la vie de la société depuis qu'il n'est plus là. Mais je le traitais de stalinien. Et puis là, c'était exagéré, c'était trop fort, c'était une hyperbole. Mais dans le fond, c'était ça. [02:51:40] Speaker B: Pourquoi il était stalinien, Gilles? Pourquoi il était stalinien? [02:51:44] Speaker A: Parce qu'il y avait la vieille méthode de voir constamment les patrons comme des gens qui exploitaient et qu'il y avait toujours une petite part de profit par-ci et par-là, comme c'était interdit. Mais pendant ce temps-là, les membres, on n'avait pas assez. Alors c'était le partage, mais démesuré. Mais qu'est-ce qui est arrivé, tout d'un coup? c'est qu'il y a des relents de cette mentalité culturelle syndicale qui oeuvre encore. Et le pire, le pire des syndicats, c'est celui de l'entretien des travailleurs de l'autobus, de la STM. Quand les gens... Ah, mais je ne te mens pas. Encore récemment, c'est arrivé. Par exemple, j'ai connu un mécanicien qui travaillait chez Chrysler, Longueuil Automobiles. Il gagnait un salaire. Bon, le soleil du marché dans le temps, là, ça devait être un 8-10 $ parce qu'on recule quand même à 20 ans. Ah oui, mais c'est un exemple de 20 ans. Il existe encore. Alors, le gars rentra comme mécanicien, puis il appelait ses amis au même garage. «Hey, André, tu devrais venir travailler avec nous autres. Tu travailles bien trop fort là-bas, puis t'es trop compétent pour l'autre. Bon, viens-t'en! Regarde-moi cette semaine quoi là ou non, j'ai changé un pneu dans la semaine! J'ai changé un pneu dans la semaine. Il avait fait son ouvrage en tant que bon syndicaliste et membre heureux de la STM à l'entretien. [02:53:15] Speaker B: Parle-moi d'École bleue de Montréal, avec Jean Lapierre dans le temps, qui est pas le Jean Lapierre, faut-il le rappeler, l'autre, c'est-à-dire celui pour qui on a coulé un bronze en avant du local syndical. Croyez-le ou non, ça fait très communiste, mais c'est comme ça. J'aimerais ça que tu nous racontes les dérives de ce qui est possiblement le pire syndicat du Québec. J'exagère-tu, Gilles, en disant que c'est le pire syndicat radical du Québec que celui des cols bleus de Montréal? [02:53:46] Speaker A: Il ne le serait pas, il ne le serait pas le pire parmi toutes les petites centrales qu'on a, s'il y avait une direction avec des bottines solides et un verbe d'action et non pas dire, attention, il ne faudrait pas que je faisais ça, c'est sûr. On m'a envoyé un communiqué, on vous a averti, on vous a envoyé un communiqué. C'est cette mentalité infantile du groupe, du syndicat, des patrons aussi. parce que même s'ils sont pas en syndicat, ils se comportent comme des meumères peureuses, et les patrons sont tout simplement des gens qui ont été nommés là avec le temps. Tu dois faire ci, puis tu points ça là à ta loge, tu feras cela, puis oublie pas la journée de congé, puis oublie pas les pauses café, pour pas choquer personne. Alors, tu les installes dès le départ en poste pour qu'ils deviennent des poules mouillées, des lâches qui n'ont aucun sens, de mettre le pied à terre et de dire, hey, tu travailles pour l'entreprise, mais tu travailles aussi pour le public, et c'est le public qui est ton patron. Mais non. Alors tout ce qui est public et parapublic, quant à moi, si j'avais à réécrire le Code... Comment ça se fait qu'il n'y a pas un maudit premier ministre, apparemment progressiste, qui n'a jamais osé dire à ton ministre du Travail, Mathias Rioux inclus, et puis combien d'autres, que tu vas réécrire le Code du travail? Ils réécrivent le Code du travail avec des suppléments de concession à la place. Alors, tu réécris le code du travail, puis vous dites à tous les gens qui appartiennent aux armées du public ou du parapublic, votre patron, c'est tout simplement l'usager. C'est le public qui est votre patron. Par conséquent, vous dépendez du public et non pas de ce que vous avez décidé de dicter et à faire perdre des milliers d'heures de travail et de la perte, puis à augmenter le budget pour la STM ou n'importe quel autre syndicat, de toujours avoir un public qui paye, puis qui paye, puis qui ferme sa gueule. [02:55:50] Speaker B: Le public n'est pas mieux. dans le projet de loi de Jean Boulay. Évidemment, Éric Dujem a écrit des livres là-dessus. Il en parle depuis très longtemps. C'est-à-dire, Briser la formal rent, qui est la perception à la sousse, mur à mur, pour quelle que soit l'activité syndicale. Il me semble que la formal rent, dans son esprit, c'est... Tu payes du syndicat, mais en retour, le syndicat va te défendre. S'il y a un abus, tu vas te défendre dans des griefs, le cas échéant. Mais là, les syndicats prennent cet argent-là, puis ils font toutes sortes de maudites folies, puis ils voyagent partout à travers le monde, puis l'écologie, puis il faut sauver la Terre et tout ça. Mais on s'éloigne de la mission première des syndicats. Es-tu pour ça, justement, qu'on cesse de financer toutes les activités? [02:56:36] Speaker A: Si le gouvernement devait sauter, j'épargnerais, moi, Jean Boulay. Jean-Boulay a dit deux choses très vraies et j'ai fait traiter tout de suite. Quand il a osé dire qu'il était en charge du dossier de l'immigration, bien, il est rentré ici et il ne veut pas apprendre le français. C'est pas vrai qu'on va faire la symbiose entre les nouveaux arrivants et les Québécois. et ils veulent t'en prendre le français. Il n'y a rien de plus vrai que ça. On le voit régulièrement dans les actualités. Quelles sont les gens qui, par exemple, ont des noms encoufrés dehors? Ah bien là, je vais me faire accuser à 103, voire une note d'avocat. Et quelles sont les gens qui, 9 fois sur 10, Je dis pas que nous autres, on est devenus des anges, mais ça s'adonne que dans la nomenclature, c'est des gars qui sont débarqués du bateau il y a deux, trois ans, et puis qui s'intègrent quelque part, en se laissant influencer, non pas par le Québec, sa mentalité. Regarde le chef de bombe, là, qui s'est fait tirer hier, là. Le Grec de Laval. Le Grec de Laval, avec un beau nom anglais, bien sûr. Comment se faire? Ça veut dire qu'il n'a pas réfléchi. 20 minutes, il est rentré ici, il a décidé de voir le Québec, un pays capitaliste, Aldo-Rado, qu'il faut qu'on batte. Et puis on va voler, puis c'est pas grave. Puis je me donne des noms qui sont américains, parce que je suis un américain. Je ne m'intègre pas. [02:58:00] Speaker C: Hein? [02:58:00] Speaker B: Bob the Greek, il s'appelle. Mais je reviens à Jean Boulay. Jean Boulay est courageux quand même. de faire face à la musique, c'est le premier, honnêtement, c'est le premier ministre que j'entends dire, les syndicats en mènent trop large. Oui, ils doivent continuer d'opérer, mais dans les mesures de leur mandat premier, c'est-à-dire de défendre le travailleur. Aucun doute là-dessus. Il est pas anti-syndicaliste là-dessus du tout. Mais il doit... [02:58:24] Speaker A: C'est un homme, on ne peut plus lucide. Alors c'est ça que j'allais dire à mon premier volet, je me suis enfargé sur... Bob DeGreek. mais ça change rien. Mais dans le deuxième volet, c'est bravo, mais tout de suite, on l'a pointé, on lui a lancé des flèches, des coups de main sur le bout des doigts. Il est le seul qui a suffi un clé pour rentrer le doigt dedans. Ça fait mal, mais ça veut dire qu'il faut refaire les relations et la mentalité syndicale qui fait que... Alors, non, non, non, il y a raison. Tu rentres dans un syndicat pour te sentir protégé pour le restant de tes jours, dans une veste blindée, et puis tu fais ce que tu veux, puis tu dictes. Alors, quand tu fais des grèves, t'es dur récemment, surtout quand tu déportes tes patrons, les gens de voir, de voir qu'ils attendent à moins zéro, à l'autobus, par exemple. Je regrette, il n'y a pas d'autobus aujourd'hui. Comment peux-tu dicter ça au public qui te fait vivre, en réalité, qui te donne de nouvelles conditions parce qu'on ramollit chez les patrons, qui n'ont pas le sens de la direction, de la peur et d'instaurer un régime un peu plus rigoureux? Il n'y a pas de fascisme. [02:59:41] Speaker B: Il n'y a pas de fascisme. [02:59:45] Speaker A: Ils ont peur que la force syndicale, ils vont être nombreux dehors, ils vont nous arrêter de travailler en sortant un pancarte. Vous voyez dehors que ces gens-là ici qui dirigent, ce sont des impitoyables patrons. Nous voulons vous donner un meilleur service. Hé! Hé! Hé! Un syndicat public, c'est là pour demander plus. Et pourquoi demander plus? Bien pourquoi? Pour vous en donner moins. Voilà, c'est clair. C'est clair, ça m'a clair. [03:00:21] Speaker B: Il y a quelqu'un qui demande... Demande à Gilles s'il se souvient de Maurice Vézina, syndicat des chauffeurs d'autobus de Montréal. J'ai travaillé là pendant 20 ans. Ça dit-tu quelque chose, Gilles? [03:00:32] Speaker A: Bien, c'est un nom qui me résonne, mais je ne pourrais pas l'associer à... [03:00:36] Speaker B: Qu'est-ce que tu penses de la réaction très azacerbe de Magali Picard, la bosse de la ÉVTQ, qui est très agressive et qui ne veut absolument aucun compromis Magali Picard, qui est très, très, très acerbe et agressive. Elle, elle va au combat, et avec PSPP, du PQ, ils se parlent. C'est ça le maudit problème aussi, mon cher Gilles. Le PQ très, très proche des syndicats, et ils se parlent, ces deux-là, et PSPP a déjà dit, sur nos zones et ailleurs, que s'il atteignait le pouvoir, il va se débarrasser de la loi Boulay. Il l'a dit, ça. [03:01:16] Speaker A: C'est terrible. Ça, c'est malhabile, très malhabile. Et j'ai remarqué qu'il parle peu fort. Il a deux dossiers qu'il néglige d'élaborer, il nous dit clairement, comme duo de cristal. C'est justement sur la langue. Il ne parle pas assez. Moi, je sais pas. Il est sympathique, il projette bien. Et c'est aussi, justement, au lieu de renforcer l'attitude de Mme Picard, ça serait de dire que vous allez conjuguer avec la nouvelle Amérique, la nouvelle économie, la nouvelle mentalité. Et c'est pour ça qu'il y a peut-être un succès auprès des jeunes. Je ne l'explique pas, ce succès. [03:01:53] Speaker B: Je crois que c'est un problème. se changer, c'est-à-dire être moins étatique, se distancer de la social-démocratie, se distancer du syndicalisme et de sa même vie sur l'État, finalement, et sur les services publics. Est-ce qu'un jour, on pourra changer les choses? Est-ce que tu y crois, oui ou non? [03:02:20] Speaker A: Je n'y crois pas pour l'instant, mais je pense que l'acuité du problème va faire qu'il va tellement s'apesantir par l'augmentation de la dette nationale, d'une part. Il va peut-être... Regarde, à Montréal, actuellement, t'as 600 candidats, et les 600 portent ses poteaux. Il n'y en a pas un enfant de Ménane qu'on connaît là-dedans. Qu'est-ce que t'as fait au cours des quatre dernières années? Où est-ce que t'as pointé dans l'actualité pour nous dire que t'avais de bonnes idées? Alors, c'est une bonne job, ça paye 100 000 au bout de la ligne. Et puis tu fais pas grand-chose. On va au conseil municipal, puis là, on t'investe, puis on niaise, puis on dit qu'on va faire, puis on le fera pas, puis c'est pas grave, puis on n'a pas eu de temps. Et puis c'est un moratoire, puis c'est ici, puis c'est ça. Puis on suspend le projet, puis on y a bien pensé, ça marchera pas. Bon, alors, je ne crois pas dans l'instant... En tout cas, ça va arriver quand la dette va être qu'on va être obligé de faire face à l'évidence. Mais pour l'instant, l'individualisme, l'égoïsme, le bébéisme des Québécois va faire qu'on va perpétuer parce qu'on fait peur aux patrons. Ici, c'est le seul territoire où on réussit à faire peur, c'est nous autres. [03:03:33] Speaker B: Est-ce que tu crois en Éric Duhem? Parce que les sélections, c'est l'an prochain. Et oui, t'es souverainiste, péquiste, oui, peut-être. Es-tu porté par le PQ? Plus par le PQ ou plus par Duhem, de par ce que tu viens de dire aussi, Gilles? [03:03:47] Speaker A: J'aime les idées de Dieu, mais je le dis, puis je suis un indépendantiste. Alors c'est pour ça, quand t'es péquiste, tu devrais penser faire bien attention à tes attaques pour ramasser peut-être des votes chez un groupe, mais en perdre chez d'autres. C'est ça qui a des dangers. À Top City, il a dit que tu vas faire encore un référendum. c'est pas très stratégiquement bon. Mais oui, mais t'es pas dans la population de Duproux. Je suis bien plus que tu peux l'être quotidiennement. Et puis j'ai encore des oreilles, puis c'est mon travail. Alors non, mais tu peux pas raisonner. Je ne comprends pas cet entêtement pour ce projet. Est-ce qu'Éric Duhem... Oui, Éric Duhem mérite une place à l'Assemblée nationale, ne serait-ce que par la C'est pas des nouvelles idées, non. Elles deviennent nouvelles parce que vous êtes tellement décevus avec votre discours statuquiste et vieillot, manché jusqu'à la queue de la mâchoire. Alors, non, il a une place à l'Assemblée nationale, ne serait-ce qu'entre toutes les idées, il y en a quelques-unes qui méritent d'être appuyées et de faire front commun avec lui. Mais je n'y crois pas. Mais je crois qu'il va être réduit. Par contre, il va réussir à avoir un comté. Il a une place à l'Assemblée nationale. [03:05:06] Speaker B: Dernière question, Gilles. T'en as pensé quoi de Legault? Legault a comme remanché les idées de 2018 avec une nouvelle sauce. [03:05:15] Speaker A: Exactement. Quand j'entends le ministre des Autochtones... C'est un bien bon gars. Il m'a même rencontré deux fois secrètement. Ah! Qu'est-ce que tu fais à ma place? Il nommait la Grande Paix que j'avais établie. Alors, c'est magnifique. Il était un cadrière moderne. La Grande Paix, mais j'ai dit avec un canawaké, tu fais de la Grande Paix. Ah! bien là, non, il faut être patient. Il y a le gars qui parle qui va bousculer puis qui ne saura pas plier ses pieds. As-tu remarqué? Est-ce qu'il a... Corny qui parle, puis qui ne saura pas plier ses pieds, puis il va donner des claques sur la gueule au président des États-Unis. Est-ce que t'es entendu parler des vaches sacrées, de l'illégalité, de l'illégalité, et qu'ils font tout en matière de choses pas correctes, de choses au nom de leur qui leur appartient puis qui sortent fous de toi comme l'an 40, d'ailleurs ils nous méprisent, des Mohawks, menés par une pègre, mais ça, on n'en parle pas aussi, on n'en parle pas, on va avoir de la paix. Puis là, on leur a donné l'administration de l'entretien de la ligne Visio-Québec de Kahnawake ou de Montréal à l'entrée de New York. Imagine-toi. Comme instrument de chantage, tu pourras pas trouver mieux. mon petit homme de Québec, mon petit valet de Québec. Parce qu'heureusement, quand tu parles de Québec, tu dis de little government, de little government. [03:06:52] Speaker B: Il n'y a pas question qu'on se mêle de leurs histoires. Ça, c'est sûr. [03:06:56] Speaker A: Hé, moi, cher Gilles... Oui. On a eu peur. C'est ça. [03:07:18] Speaker B: C'est ça. Avec le ministre Tchatché, puis Bourassa, on s'en souvient. Hé, mon cher Gilles, merci encore! [03:07:25] Speaker A: Au plaisir! [03:07:26] Speaker B: À la prochaine! Au revoir! Il est 9h08! On chasse de sports en revenant avec Ray! présenté par Planète X. Chez Planète X, on t'apprend pas à chanter, mais on pense être capable de te faire crier. Planète X, c'est succursale et sur monplanètex.com. C'est pas un problème, l'argent. [03:07:56] Speaker D: Pierre Couture. [03:07:57] Speaker C: Ça roule. [03:07:58] Speaker D: Suivez les chroniques de Pierre Couture. [03:08:00] Speaker B: Ça roule. [03:08:01] Speaker D: À Radio X. [03:08:02] Speaker B: Radio X. [03:08:04] Speaker D: La chronique de Pierre Couture, présentée par Noréa Foyer-Napert. Les poêles et foyers Osburn, fabriqués à Saint-Augustin, sont arabais et vous économisez des milliers de dollars. Noréa Foyer-Napert, à Sainte-Marie et à Québec. [03:08:16] Speaker C: Cet automne, la Grande Allée s'illumine et l'atelier t'attend. [03:08:20] Speaker B: Pour un lunch, un apéro entre amis. [03:08:22] Speaker C: Ou une soirée qui se prolonge, c'est la destination pour manger, boire et célébrer. Tartares, cocktails signature, ambiance festive, on s'occupe. [03:08:30] Speaker B: De tout, même de ta voiture, avec. [03:08:33] Speaker C: Notre service de voiturier disponible tous les jours dès 16h. [03:08:37] Speaker B: Prochaine sortie, Grande Allée. [03:08:38] Speaker C: Réserve dès maintenant sur bistrolatelier.com. [03:08:42] Speaker D: Vous connaissez Osburn? Posez Osburn! Les poêles et foyers Osburn. Ils sont fabriqués à Saint-Augustin et ils sont arabais chez Noréa Foyer-Napert. Par exemple, le Osburn 3300 qui chauffe 2300 pieds carrés, normalement vendu 4000 $, est réduit à 2899 $. Il y a aussi le Osborne-Everest qui chauffe 2500 pieds carrés, normalement vendu 6 000 $, réduit à 3 999 $. Détails chez Noréa Foyer-Napert à Sainte-Marie et Noréa Foyer-Napert, signature sur Pierre-Bertrand à Québec. [03:09:13] Speaker B: Matelas Dauphin. Nous sommes là, des plus grands fabricants de matelas au Québec. Notre force, fabriquer des matelas de qualité exceptionnelle à des prix imbattables. Nous les fabriquons, vendons et garantissons sans intermédiaire depuis 55 ans. [03:09:26] Speaker C: Parlons le blitz du fabricant, économiser des. [03:09:28] Speaker B: Centaines de dollars plus taxes payées sur tous les formats de matelas Alcove ultra confortables, dont le double en spécial à 599 $ taxes payées. Livraison rapide et gratuite. Matelas Dauphin, une entreprise 100 % québécoise. [03:09:42] Speaker C: Grâce à notre petit bouffeur de prix. 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[03:13:19] Speaker B: 98! [03:13:20] Speaker A: 98! [03:13:21] Speaker B: 1! [03:13:21] Speaker C: Chouaa! [03:13:24] Speaker D: Chouaa! [03:13:25] Speaker B: Radio X, à Québec, c'est Radio X, soit Radio X. C'est vous, c'est drôle, votre propre opinion. Quand tout le monde réussissait à dormir quelques heures par nuit, lui se réveillait à peine deux heures avant nous pour dire qu'il avait réussi à faire une platée de sauce à spaghettis, de confiture, ou de confiture. Alors merci, Pierre-Luc. [03:13:50] Speaker F: La chronique Réda Sports! Hé, c'est moi, ça! Une présentation du Charbon Steakhouse. Avant le match, passez chercher vos côtes levées, burgers, steaks ou plats cuisinés. Le charbon pour apporter, c'est une bonne idée! [03:14:29] Speaker B: Salut Ray, comment ça va? [03:14:31] Speaker F: Très bien, merci. Tu sais que j'étais prêt, comme les releveurs des Yankees ou des Red Sox à venir en relève à M. Proulx ou Kozu, il y a de ça une vingtaine de minutes. J'étais prêt. J'étais réchauffé, j'étais là, j'attendais le signal. [03:14:41] Speaker B: Oui, c'est le téléphone, paraît-il, qui embarquait pas là. C'était Gilles qui faisait un dodo. On n'en sait trop rien. Une chose est sûre, c'est que c'est présenté au Marbre. [03:14:49] Speaker F: Et voilà. Mais j'aime ça, mais regarder les séries éliminatoires pour ça, pour jouer au gérant d'estrade assis dans mon salon, comme on le fait tous, puis les gens dans les gradins. Mais t'as-tu pensé que, d'abord, le nombre de décisions qu'un gérant a à prendre dans un match, Puis ensuite, l'importance des décisions. Hier, tu vois Aaron Boone, il ne s'est pas trompé hier. Le gérant des Yankees sur qui il y a une tonne de pression pour rediriger cette équipe-là, il ne s'est pas trompé. Il est venu au Monticule, il a joué avec son partant, Rodan. Il l'a laissé là. Ça a bien tourné pour eux. Ensuite, il a amené sa relève. Puis les Yankees ont fini par gagner 4 à 3. Mais il y a une décision que, t'sais, à chaque fois qu'il arrive... Parce que le baseball de 2025, d'abord, il y a presque plus de matchs complets. Alors des Relevors, ils en utilisent 4, 5, 6 par match. Puis c'est toujours des décisions, lanceurs gauchers contre frappeurs gauchers, ou le moment, le timing dans le match. où tu prends ta décision, puis moi, ça me fascine. Puis j'aime ça, parce que, écoute, ça nous coûte rien, nous autres, on est là, on est assis dans notre salon, puis on regarde ça, puis on dit, voyons donc, comment ça que je change pas son lanceur? Mais lui, voyons donc comment ça que je change pas son lanceur, c'est parce que l'impact de sa décision a peut-être majeur. [03:16:03] Speaker B: J'étais bien stressé hier. J'étais bien découragé, honnêtement. J'ai dit de la marde, les Yankees sont pas clutch. Je mangeais de la marde. Sauf que rendu dans le lit, j'ai ouvert le cellulaire, j'ai regardé la fin du match. C'était une fin de match incroyable. C'est Chisholm qui est revenu de blessure qui était pas très grave au bout du compte, quand il a reçu la balle sur l'avant-bras. Et c'est la vitesse de Chisholm, au final, avec la course vers le marbre qui a fait toute la différence. Mais là, c'est le troisième match avec un combat de recrues. Puis Schlittler, il y a quand même eu des matchs assez impressionnants. Et là, il y aura énormément de pression dans le zoo du Bronx sur les épaules de Schlittler. Puis l'autre, de l'autre bord, je ne le connais pas, une recrue des Saks. [03:16:48] Speaker F: Une recrue aussi, ce n'est pas un lanceur connu tant que ça. Mais ce soir, l'enclos au complet est disponible au Presse parce que ça passe ou ça casse. [03:16:58] Speaker B: Ah non, même le Bad Boy peut aller lancer là. Même le Bad Boy va lancer « Anything Goes » quiconque est vivant. Ça c'est clair. Ça va être très bon. Mais que dire, des autres séries aussi qui se rendent à la limite. Très bon aussi, la série des Indians. Des Indians, oh un scandale! La plainte s'en vient. La plainte s'en vient. Il y a plein de monde. Hey, t'as-tu remarqué d'ailleurs, sur les Guardians, Ils ont fabriqué un chandail de série, t'as-tu vu ça? C'est les Windians. [03:17:28] Speaker C: Est-ce que tu m'entends? [03:17:28] Speaker F: Oui, les Windians. [03:17:29] Speaker B: C'est légal. [03:17:30] Speaker F: C'est très, très bon. [03:17:31] Speaker B: C'est très bon. [03:17:31] Speaker F: Moi, je suis allé, j'ai eu la chance d'aller là, moi, le stade à Cleveland. C'est sur le bord de l'eau. Il y a des soirs, il fait pas chaud, là. Mais c'est un beau stade. C'est un très beau stade de baseball, ça, à Cleveland. [03:17:42] Speaker B: Très beau stade. Et l'autre série, c'est la série des Cubs aussi. Ça se rend en trois, vraiment. Regarde. [03:17:48] Speaker F: C'est des gros marchés dans les séries. Des gros marchés pour la télévision. C'est très, très bon, ce qui se passe présentement. Puis pendant ce temps-là, l'équipe qui se frotte les mains et qui dit « Voyez, jouez 10-12 manches à soir, il n'y a pas de problème », c'est les Blue Jays, parce que les Blue Jays vont jouer contre le gagnant de la série Boston Yankees. Ils vont sûrement avoir un personnel de lanceurs un petit peu plus fatigué pour arriver dans ce match-là. Mais parlant des équipes qui ne jouent pas, Hier, les Fellies de Philadelphie, puis je pense les quatre équipes qui jouent pas, il y a Milwaukee, Toronto, les Fellies et puis Seattle, pour garder la forme, évidemment, ils sont trois, quatre jours, cinq jours sans jouer, ce qui est rare. Au baseball, tu joues à la plotte à tous les jours. Ils sont habitués, ces gars-là, d'aller au terrain puis de jouer au baseball à tous les jours. Au football, c'est une fois par semaine. tu t'entraînes puis tu joues une fois par semaine. Mais au baseball, tu joues tout le temps. Tu fais rien que ça, tu joues à la balle quand tu t'inscris dans un club de balle. Alors, il y a du temps à tuer, là, cette semaine, pour les équipes qui jouent pas. Hier, les FedEys, les FedEys de Philadelphie, ont joué un match intra-équipe au Citizens Bank Party. [03:18:49] Speaker B: -"Les blancs contre les rouges"! [03:18:50] Speaker C: Ha! [03:18:51] Speaker B: Ha! [03:18:51] Speaker A: Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! [03:18:51] Speaker C: Ha! [03:18:52] Speaker B: Ha! Ha! [03:18:52] Speaker F: Ha! [03:18:53] Speaker A: Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! [03:18:54] Speaker B: Il Ha! était en Ha! manque, Ha! Ha 35 000. Oui, c'est ça. Les gens sont hornés. [03:19:00] Speaker F: Ça comptait pas hier soir. C'est un match pour le fun entre les gars des équipes. Les gens sont allés au stade. Ils crient pas en bataille. [03:19:08] Speaker B: Oui, mais un peu. Pratique du Canadien Centre Vidéotron, à matin et demain. Il paraît que tu vois plein de monde. Bien oui, mais c'est une pratique, là. C'est Suzuki avec le puck. [03:19:18] Speaker F: Oui, c'est une pratique, mais tu sais, cette semaine, les gens ont critiqué le Canadien. Suzuki, Carfield, je vois pas. [03:19:23] Speaker B: Ils étaient pas là. [03:19:23] Speaker F: Mais là, ils vont être là. Tout ce monde-là est sur la glace, ce matin et demain, à 10 h et quart. [03:19:27] Speaker B: J'ai une question pour toi, d'ailleurs. [03:19:28] Speaker F: Stationnement gratuit, c'est intéressant. [03:19:29] Speaker B: Oui, mais ça prend-tu des billets pour rentrer? Comment ça marche? Il paraît-il que Jean-Claude a dit que ça prenait des billets. Je le trouve pas, les crucifix de billets. Il me semble que c'est des billets pour une pratique. Il y a pas de billets pour les sénateurs et la pratique, là. T'as-tu entendu parler de quelque chose? [03:19:44] Speaker F: Je peux pas t'aider. Je peux pas t'aider. Je suis pas au courant si ça prend un billet ou pas. [03:19:47] Speaker B: OK. [03:19:48] Speaker F: Je peux pas t'aider là-dessus. [03:19:49] Speaker B: Je vais t'amener sur quelque chose que t'as pas écrit dans ton line-up, mais c'est quand même important. Heart, le goaleur qui est impliqué dans l'histoire de Team Canada... Oui, je l'écris. Ah, tu l'avais écrit? [03:20:02] Speaker A: Oui. [03:20:02] Speaker B: Non. [03:20:03] Speaker F: Avec les Golden Knights, probablement. [03:20:04] Speaker B: Non, non, mais toi, matin, tu me disais, on va parler de baseball, les franchises, la Ligue nationale, le Canadien qui s'entraîne et la NFL. [03:20:11] Speaker F: J'ai pas cru dans mon line-up à toi, non, effectivement. [03:20:15] Speaker B: Mais oui, quand tu regardes les Golden Knights de Vegas... Exact. C'est gros quand même, là. [03:20:19] Speaker F: Oui, c'est gros. C'est gros... Moi, je suis d'accord à ce que les joueurs reviennent jouer dans la Ligue nationale de hockey, mais la réalité est que ça fait pas l'unanimité. Et puis, les joueurs devront vivre avec les conséquences. Je pense qu'ils le savent très bien. Non seulement des amateurs, mais de certains coéquipiers, je pense. Il y a des pères de famille dans les équipes de la Ligue nationale de hockey. On reçoit pas tous ça de la même façon, ce qui est arrivé avec l'équipe Canada junior. C'est juste normal que... ça va peut-être accrocher avec certains. Maintenant, tu peux refaire les ponts. Écoute, à se parler, on se comprend très souvent. Puis des coéquipiers... Tu sais, la vérité vraie, dans une équipe de 23, 24, 25 joueurs, c'est pas tout le monde qui s'aime la face. Écoute, dans une station de radio, on est 10, qu'on s'aime pas tous la face, soyons francs. Alors dans un club de hockey, à 23, 24, 25 joueurs, c'est certain qu'il y a des coéquipiers que, tu sais, tu t'entends moins avec. le but commun demeure le même pour tout le monde, ça va aller. Sauf que c'est pas reçu de la même façon par tout le monde. Alors j'ai hâte de voir comment ça va se passer pour Carter Hart avec les Golden Knights. Mais c'est un gardien de but. [03:21:34] Speaker C: En même temps, ce qui se passe à Vegas reste à Vegas, oui. [03:21:37] Speaker B: C'est un peu vicieux, mais il est dans la ville du vice. [03:21:40] Speaker F: C'est le plus talentueux de la gang. [03:21:44] Speaker B: C'est le plus talentueux des anciens accusés, on peut dire ça de même. C'est le plus talentueux. [03:21:50] Speaker F: Par sa position, je pense que c'est plus facile de l'intégrer. C'est un allié gauche, un défenseur. Ça prend plus de cohésion. Un gardien de but, on le dit souvent, c'est des gens un petit peu à part. Même s'ils font partie de l'équipe, c'est un monde à part, le monde des gardiens de but. À cause de ça, c'est peut-être plus facile de réintégrer un gars dans cette circonstance-là. Mais c'est particulier, alors j'ai bien hâte de voir. [03:22:14] Speaker B: Maintenant, je veux t'entendre sur les coups de cochon. Tu sais, les bagarres, c'est une chose. Évidemment, Isabelle Charest, pas beau la chicane, elle a un discours... Oui, c'est la ministre des Sports, mais c'est un discours, à mon avis, impertinent. Les bagarres, on le sait, dans le junior. C'est pas que c'est interdit, mais c'est sévèrement puni. Tu te bats, t'es suspendu pour un match. Donc... [03:22:35] Speaker F: La seule ligue junior au Canada, Dom. Faut le répéter. [03:22:38] Speaker B: Je le sais. [03:22:38] Speaker F: La seule ligue junior au Canada. [03:22:39] Speaker B: On a fait ça pour lui faire plaisir. Je souhaite une sortie contre Courtaud, on s'en souvient. Et voilà. Maintenant, moi, c'est les coups vicieux. Ça, là-dessus, on va s'entendre. Le freak à Cousins qui a... Il a son poste, mais le slashing à l'endroit de Demidov, les gars protègent les sacrifices. [03:23:00] Speaker F: C'était gratuit. Comme Strobel en plein visage d'un joueur des sénateurs aussi. [03:23:05] Speaker A: Il y en a quand même des deux côtés. [03:23:07] Speaker F: C'est des coups qui n'ont pas à faire dans le monde du hockey. Une amende, est-ce que c'est assez sévère pour faire réfléchir le joueur à la réponse? C'est non, effectivement. Il y avait une belle occasion pour la Ligue. étant donné qu'on est en match hors concours, c'est le début d'une nouvelle saison. C'est souvent ça, les premiers... Tantôt, je te parlais de décision pour les gérants au baseball. Bien, les dirigeants de la Ligue nationale de hockey, en début de saison, tu as intérêt à être plus sévère que moins pour placer les balises le plus haut possible pour la suite. Parce qu'après ça, c'est du comparatif, après ça. Dès le directeur général, mettons, d'un joueur qui va poser un geste, parce que c'est comme ça que ça fonctionne, pour avoir ou non une suspension, le préfet de discipline, il va jaser avec l'arbitre. Ensuite, il va jaser avec les entraîneurs, il va jaser avec les joueurs impliqués dans la situation. Et très souvent, il va jaser avec le directeur général. Il y a beaucoup de jeux de coulisses après ça pour déterminer une suspension ou pas. Dès le préfet de discipline... Je me souviens même plus c'est qui dans la Ligue nationale de hockey, d'ailleurs. Est-ce que c'est encore George Paras? Je le sais pas, mais ça fait rien. Le préfet de discipline, il regarde ça, il regarde la situation. Puis avant de prendre sa décision, lui, il a des adjoints. Puis ensuite, il parle à tout le monde impliqué. Tu comprends qu'il y a un petit jeu de bras de fer qui se joue à l'interne pour déterminer ou non une sanction. Et l'autre chose, c'est qu'une suspension, bien, ça fait perdre de l'argent à un joueur. Mais ça, en tant qu'amateur, puis pour l'intégrité de la Ligue, Sais-tu quoi? On s'en fout, comme dans l'an 40, parce qu'il faut que tu fasses respecter les joueurs sur la glace, si eux ne sont pas capables de se respecter. [03:24:41] Speaker B: Si Demidov est blessé, la game est différente. [03:24:43] Speaker F: C'est ça. Oui, certainement. Ça, il n'y a aucun doute, c'est des êtres humains, puis c'est comme ça que ça fonctionne. S'il y a une blessure grave soumise à un geste, la suspension est beaucoup plus probable que s'il n'y a pas de blessure grave. Puis hier, on a vu des photos. Le Canadien a joué au club de golf La Faune, puis Demidov était là, puis il n'a pas l'air d'avoir trop mal, donc c'est pour ça qu'il n'a pas eu de suspension. Il n'y a personne, je pense, qui aurait pu chialer, même le coach et le DG des sénateurs, si on avait donné un match de suspension à Kozune. Juste pour mettre la barre un petit peu plus haute en partant la 16. [03:25:18] Speaker B: Tout à fait. Je veux parler de l'NFL en finissant. Demain, c'est notre bloc NFL. J'ai soumis quatre questions au groupe. C'est un genre de bilan de premier mois. Toi, t'es pas avec nous autres demain, mais je te pose la première question. L'équipe avec la fiche gagnante la plus frauduleuse, c'est laquelle? Quand je dis frauduleuse, c'est dépendant du calendrier, etc. Le type de victoire aussi, ça serait qui? [03:25:40] Speaker F: Bon, il reste deux équipes à 4-0, c'est pas ceux-là, parce que Buffalo et Philadelphie sont là pour vrai, c'est pas du hasard, c'est de très bonnes équipes. [03:25:47] Speaker B: Mais c'est pas dit pour un fiche parfait, j'ai dit fiche gagnante. T'as plus de 500. [03:25:50] Speaker F: Non, c'est sûr, je sais. Mais je réfléchis dans ma tête, tu me poses la question, je fais mon cheminement, moi-même, je pars d'en haut, m'en vais jusqu'en bas. Ça serait Indianapolis, la réponse à ta question, parce que je crois encore plus plus ou moins au quart arrière des Colts, qui est Daniel Jones. Ils ont une fiche de 3-1. Ils ont bien joué jusqu'à date. La semaine dernière, ça a été plus compliqué contre une bonne équipe comme les Rams. Alors ce sera Indianapolis, la réponse à ta question. [03:26:15] Speaker B: La déception jusqu'à maintenant? [03:26:17] Speaker F: La déception, moi, c'est... [03:26:18] Speaker B: Déception comme joueur et comme équipe? [03:26:20] Speaker F: OK. Comme équipe, je dirais les Dolphins, même s'ils ont gagné la semaine dernière. Je m'attends à beaucoup plus des Dolphins de Miami. Comme joueur, maintenant... Je vais dire Russell Wilson avec les Giants de New York, mais à quoi on pouvait s'attendre vraiment de Russell Wilson comme parallèle? [03:26:41] Speaker B: Moi, je dirais Lamar Jackson. Lamar Jackson. [03:26:43] Speaker F: Un peu du bois mort. [03:26:44] Speaker B: Les Ravens et Lamar, c'est la déception. C'est une catastrophe pour vrai. [03:26:49] Speaker F: Je suis d'accord avec toi. Je suis d'accord avec toi avec les Ravens à 1-3, mais ils ont affronté des bonnes équipes. [03:26:54] Speaker B: Tout le monde affronte des bonnes équipes. Je veux dire, je ne connais pas une équipe de la NFL qui joue contre une équipe du niveau secondaire. Je veux dire, oui, il affronte des bonnes équipes. Non, non, mais il affronte des bonnes équipes. Tu ne peux pas dire... Tu ne peux pas donner ça juste comme justification. C'est à un moment donné... Non, parce que les Ravens ont une équipe pour. [03:27:14] Speaker F: Aspirer aux bonnes honneurs. Exactement. Exactement. [03:27:17] Speaker B: Est-ce que tu es capable de les battre à un moment donné? [03:27:20] Speaker F: Je suis d'accord, je suis d'accord avec toi que les Ravens, de par leur fiche, c'est décevant, mais à cause des adversaires qu'il y avait devant eux, je mets un bémol un petit peu. [03:27:29] Speaker B: Ton MVP c'est qui? J'ai demandé à Dan avant la pause. C'est encore toi Sheldon, c'est encore toi Sheldon. T'as donné deux choix quand même, ton deuxième choix, t'as pas piqué des verres. [03:27:39] Speaker C: C'est parce que, t'sais, il faut regarder ce qui se passe avec Jalen Hurts du côté de Philadelphie aussi. Les deux clubs sont invécus, t'sais. Ray Eagles de Philadelphie, c'est le seul club de tout sport professionnel à ne pas avoir perdu une seule game en 2025. [03:27:52] Speaker B: Oui. Capoté. [03:27:54] Speaker F: Très, très bon. [03:27:54] Speaker B: Très, très bon. [03:27:56] Speaker A: Jalen Hurts! [03:27:58] Speaker F: Je pense qu'il est encore sous-estimé. Je sais qu'on en parle un petit peu plus. On lui donne du crédit, MVP du Super Bowl. Mais quand on fait des discussions entre chums, c'est rare qu'on va le nommer dans les meilleures carrières. Puis il n'est peut-être pas le plus élégant sur le terrain. Il peut te battre avec son bras, il peut te battre avec ses jambes. Mais il y a une chose que Jalen Hurts, il fait, il gagne. Puis ça, il faut respecter ça. Même s'il y a des bons joueurs avec lui, Jalen Hurts, c'est un winner. Puis il serait dans la discussion pour le titre de joueur le plus utile avec Josh Allen. Josh Allen est incroyable, les amis. Josh Allen, c'est la raison pourquoi les Bills sont considérés pour gagner ou aller au Super Bowl cette année. Il y a un bon club autour de lui, mais Josh Allen, il rend tout le monde meilleur. Il était MVP l'an dernier, c'est pas pour rien. Là, il est au maximum de ce que ce gars-là peut donner dans la NFL. Il est vraiment incroyable, Josh Allen. [03:28:52] Speaker B: On se voit demain au rempart contre l'Océanique, assurément. [03:28:57] Speaker F: C'est bon. [03:28:57] Speaker B: Hey, take care. À demain. Bye. [03:28:58] Speaker C: All right. [03:28:59] Speaker F: Bonne journée bonne. [03:29:00] Speaker B: À 9h30 pile, c'est José Adam. Moray Live. [03:29:06] Speaker D: Pourquoi pas Radio X? [03:29:11] Speaker F: La chronique Réda Sports. Hey, c'est moi ça. Une présentation du Charbon Steakhouse. Avant le match, passez chercher vos côtes levées, burgers, steaks ou plats cuisinés. Le charbon pour apporter, c'est une bonne idée. [03:29:23] Speaker B: Le retour de Radio X. M. Gilles Léaulier, la politique, est-ce que c'est terminé? J'ai pris une décision, la politique municipale, c'est sûr. Oui, terminé, mais c'est ça. Au niveau provincial, parce que moi, il y a un dossier sur lequel je veux continuer à me battre. Le troisième. Parce que si vous voulez du pouvoir, c'est au provincial. Si vous revenez au Provincial, ce ne sera pas avec la carte. Non, certainement pas. Il reste une option, c'est Éric Duhem. Il reste l'option Éric Duhem, vous avez raison. On va y réfléchir, mais pour le moment, j'en suis pas là. Mais vous n'êtes pas fermé à l'idée. Moi, je ne ferme pas de porte, essentiellement. [03:29:57] Speaker D: Lundi au vendredi, 15h. [03:30:15] Speaker C: Le légendaire Pépé Tour, ça approche, ça c'est quand même à mi-novembre, on part le 14 novembre. À New York, les Pankers contre les Giants. Avez-vous hâte? Moi j'ai hâte. Allez faire un tour au resportif.com, vous pouvez vous rajouter sur la liste d'attente. On commence à avoir bien du monde, j'ai l'impression qu'on va rajouter un autobus. Parce qu'à partir du moment où il y a assez de monde sur la liste d'attente pour qu'on rajoute un autobus, ben savez-vous quoi? On va le faire, on va le rajouter. En attendant, il reste 4 places de disponibles. Ces 4 places-là, c'est les 4 places qu'on va faire tirer. Comment est-ce qu'on procède? Vous allez voir la vidéo qui est sur la page Facebook de Moral Life. et vous allez répondre à la question du jour qui est au RadioX.com. La question du jour aujourd'hui, c'est sur quelles rues sont mes plus beaux souvenirs? Il faut voir la vidéo parce que c'est pas la rue Notre-Dame-des-Anges, donc allez-y, sur quelles rues de Québec j'ai mes plus beaux souvenirs? Vous avez la réponse dans la vidéo qui est sur la page Facebook de Moray Live. Le PP Tour, première édition en collaboration avec G-Stock, Chouard Radio X, PP Ali et Linox. Ça va juste être malade, on a bien hâte de faire ça avec vous. et allez voir la vidéo sur la page de Montréal Ave et participe au concours. [03:31:18] Speaker D: Avant chaque saison de cheer, c'était toujours pareil. Fallait encore que je m'occupe de vendre des billets pis des gugus pour financer la passion de ma fille. J'étais épuisée. Mais là, avec Patisserie Michaud, tout a changé. Le porte-à-porte, c'est devenu techno. Ma fille a sa propre boutique en ligne. Elle gère ses ventes elle-même comme une pro. Résultat, moi je souffle un peu. Pis elle, elle apprend à voler haut. Pas juste dans ses stunts, mais dans ses ventes aussi. Demandez à votre école ou à votre club de s'inscrire dès aujourd'hui sur patisseriemichaud.com. [03:31:43] Speaker B: Pâtisserie Michaud, les campagnes de financement qui. [03:31:46] Speaker C: Forment les leaders de demain. [03:31:48] Speaker D: De vendredi à dimanche, c'est le retour de la très attendue vente camions-nutrients chez Dino. 50 % de rabais sur le deuxième sac de valeur égale ou moindre, cadeaux aux 100 premiers clients, plusieurs autres spéciaux en magasin. Faites vos provisions dans toutes les succursales de Dino. [03:32:03] Speaker B: Quand les institutions financières deviennent frileuses à la vue de votre code de crédit, PacketAutoCredit.com vous aide à trouver des solutions efficaces pour la remonter et rétablir leur confiance. PacketAutoCredit.com ne se contente pas de vous offrir la voie pour l'achat d'un véhicule. On va encore plus loin. Ce prêt majeur va avoir un impact positif sur votre crédit. L'équipe prendra le temps d'analyser votre situation et vous guidera afin de redevenir séduisant aux yeux des prêteurs. Poquetteautocrédit.com, expert en redressement de crédit à Saint-Nicolas et Lévis. André vient de vendre facilement et en moins de 48 heures son bloc à airfortin.com. [03:32:39] Speaker C: Et la vente s'est conclue sans conditions ni garanties légales, devant notaire. Oui, oui, devant notaire. Sans aucune complication. Et sans commission. Ni rénovation. [03:32:50] Speaker B: Vite de même. [03:32:51] Speaker C: Vite de même. Pour votre bloc, maison ou terrain, demandez. [03:32:54] Speaker B: Votre offre d'achat en ligne sur airfortin.com. Et vous allez vendre vous aussi vite de même. [03:33:00] Speaker D: Lui qui va l'acheter ton bloc, airfortin.com. Yes! [03:33:04] Speaker C: Salut, c'est Carbeau. Pour le traitement de ma voiture, je fais confiance à Crown, une entreprise familiale canadienne qui connaît les conditions d'ici. Vous aussi faites traiter votre voiture à l'anti-rouille Crown et économisez 10 $. Visitez le crown.com pour trouver nos 6 centres de la grande région de Québec. [03:33:19] Speaker B: Commencez la journée du bon pied avec nos déjeuners savoureux, généreux et à petit prix. Chez Fromagerie Vittoria, chaque assiette traditionnelle est préparée avec amour. Croutons maison, fins volards bien chauds et du fromage frais du jour. Tout ça, tout juste préparé. [03:33:32] Speaker C: Un vrai classique qui réconforte peu importe vos envies. [03:33:35] Speaker B: On a de tout pour satisfaire les plus gros appétits. Servis jusqu'à 11h en semaine et 13h les week-ends. En salle à manger ou au service au volant, on vous attend à la Fromagerie Victoria. 8 succursales pour mieux vous servir. [03:33:47] Speaker C: Salut! [03:33:48] Speaker B: C'est moi, ton sommeil. Je te prends une petite minute parce. [03:33:50] Speaker F: Que mes camarades de Dormivouz et moi. [03:33:52] Speaker C: On a remarqué quelque chose. [03:33:53] Speaker B: Quand tu vas au restaurant, tu commandes. [03:33:54] Speaker C: Pas nécessairement la même chose que ta blonde. Puis le matin, je suis pas mal sûr que tu mets pas le même. [03:33:58] Speaker F: Linge que ton chum. [03:33:59] Speaker B: Alors pourquoi tu serais obligé d'avoir les. [03:34:01] Speaker C: Mêmes goûts en matière de sommeil? [03:34:03] Speaker B: Tu veux du moelleux, elle demande du ferme. Tu rêves de fluffy, lui de soutien. [03:34:07] Speaker C: Ben go, go, let's go! [03:34:08] Speaker B: On a ce qu'il vous faut. [03:34:09] Speaker D: Pendant l'événement Milli Mello, obtenez 30% de rabais sur presque tout, en ce moment, seulement chez Dormez-vous. Retraite Québec présente le brin de sagesse de Leïla. [03:34:20] Speaker B: Avec les enfants, l'hypothèque et toutes nos dépenses, je vivais pas mal au jour le jour et j'avais arrêté de mettre. [03:34:26] Speaker D: De l'argent de côté. Mais là, j'ai décidé de recommencer. J'ai trouvé un outil pas mal pratique, similaire. Ça m'a aidé à calculer combien je devais épargner pour ma retraite. [03:34:35] Speaker B: Avoir un objectif, ça aide vraiment. [03:34:38] Speaker D: Pour récolter assez de blé à la retraite, il faut planifier et poser les bons gestes. Visitez notre site web pour essayer Simulaire. Un message de Retraite Québec. [03:34:46] Speaker B: Allô! [03:34:47] Speaker D: C'est Marie de l'Entrepôt de l'Arénaud. Venez découvrir notre nouveau local à Québec. [03:34:51] Speaker B: Avec 50 000 pieds carrés, c'est sûr. [03:34:53] Speaker D: Qu'On va avoir de la place pour vous accueillir. Les dernières tendances, moins cher qu'en quinquennie. L'Entrepôt de l'Arénaud, 90-30 John Simon, sorti Chauveau sur Henri IV. [03:35:04] Speaker E: Québec. [03:35:05] Speaker D: Avec DoomDuma. Lundi au vendredi. [03:35:11] Speaker B: 5H30. [03:35:13] Speaker D: Radio X. [03:35:14] Speaker B: Présenté par la lunetterie Beland. [03:35:15] Speaker C: Obtenez le meilleur prix garanti avec nos forfaits verts et montures Simple Vision à 99$ et Progressif à 249$. La lunetterie Beland, service qualité bas prix. [03:35:26] Speaker D: Morelive, présentée par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. Confort en hiver, fraîcheur en été et des économies toute l'année. Multiconfort FP à Québec et Victoriaville. Ce segment et son contenu sont une présentation de la Maison Adam. [03:36:01] Speaker B: Il était au pays de Soné, Mitsubishi, là, t'sais, je veux dire, un peu de récompagnie. Yamaha, José Adam, comment ça va? Hey, ça va super bien, à part le décalage, là. Là, t'es arrivé quand? T'es revenu quand du Japon? Je suis revenu mercredi soir de la semaine passée. Ah ok, t'es con. Non, non, non. T'es pas revenu hier. J'adore, j'adore pas bien depuis ce temps. Hein? [03:36:23] Speaker A: Oh oui. [03:36:24] Speaker B: Non, non, je dors trois heures. Tu prends du temps? [03:36:26] Speaker C: Trois heures de nuit. [03:36:27] Speaker B: Je suis réveillé à une heure du matin à toutes les nuits. Pis là, j'ai faim. À une heure et demie, deux heures, j'ai faim. Ça, c'est fucké, là. Pas capable de me rendormir. [03:36:34] Speaker C: Non, j'ai hâte de revenir normal. [03:36:37] Speaker B: C'est très bon. [03:36:38] Speaker C: C'est pratique pour suivre les Dodgers, je pense. [03:36:40] Speaker B: Oui! OK. J'avais pas pensé à ça. Et les tigres de Yokohama qui sont sûrement en série. On vérifie. On met un homme là-dessus. On va parler de la France ce matin. Ah oui donc! Tu veux-tu parler de focale? Tu veux parler de quoi? Oui, parce qu'ils ont rentré De Vialet. [03:36:57] Speaker C: Pendant que j'étais absent. [03:36:58] Speaker B: Les beaux speakers blancs. Les nouveaux speakers spécials. Il y a eu un unboxing, vous avez fait un unboxing sur le site que je l'ai vu. Exact, qui était très joli, sur les nouveaux modèles justement fantômes qu'on appelle. C'est sexy. Chez De Vialet. Écoute, je veux prendre le temps d'en parler un peu. cette compagnie-là a développé des technologies très, très, très intéressantes. Prenons un exemple. Leur amplification, ils ont été les premiers à arriver avec ce qu'on appelle le ADH, c'est-à-dire que c'est un hybride entre le classe A et le classe D, donc entre le numérique et l'analogique au niveau de l'amplification. Ils ont vraiment développé, si tu veux, un amplificateur Très minimaliste aussi, parce que si t'as vu le produit, écoute, un petit Fantôme Ultimat, le petit haut-parleur, le rond, on parle de 6 pouces de diamètre, c'est pas gros? Pis quand tu fais jouer ça, tu restes bête, sérieux. C'est extraordinaire. Moi, j'ai goûté au son, c'est le cas de le dire. Puis il y a l'édition Opéra de Paris. Il y a une édition Opéra de Paris. C'est magnifique. C'est une compagnie parisienne, hein? Oui, absolument. Wow! C'est une compagnie quand même jeune. C'est sorti en 2017. Et justement, ils ont commencé à Paris. Écoute, ils ont toute une usine robotisée. Ils font un produit, en passant, de très haute qualité. France Muramur. Oui, c'est bien le France Muramur. C'est vraiment les technologies, tout est développé là. Écoute, ils ont quand même 107 brevets pour une compagnie qui a à peine, même pas 20 ans d'existence. C'est extraordinaire d'avoir autant de brevets. Alors, moi j'ai aimé justement leur son, leur tweeter qui est un tweeter qu'on appelle tweeter mid-range, c'est-à-dire qui fait les deux fréquences. Je suis surpris de voir la transparence du son. Je vais aller voir sur ton site. Tu as fait une critique sur le site. Avez-vous fait... ça vient d'arriver, ça va venir. C'est parce que, Mike, frère, avec toi, je n'ai pas encore tout fait autour. Non, non, non, c'est ça. Puis Guillaume va te guider là-dessus. La semaine prochaine, on fait notre émission sur les bords de son. C'est certain qu'on a toute une mise à jour à faire. C'est l'émission avec Télémag qu'on fait la semaine prochaine. C'est pour ça que j'ai pris le temps, justement, de voir le nouveau produit de Vialet. Autant les haut-parleurs, parce qu'il y a eu un modèle de 6 pouces, puis un modèle de 10 pouces. Puis la bord de son aussi, qui s'appelle la Dionne. Puis quand tu parles de couleur, c'est elle, justement, la couleur qu'on appelle Opéra de Paris. Elle est vraiment sublime. Je ne suis pas capable de dire si c'est une couleur qui est or, qui est bronze, qui est... C'est magnifique. C'est comme un mélange, elle est vraiment superbe. Il n'y a que dire du mania. Mania, portatif, lourd. Il est à 1200$, mais si tu as un petit condo ou un appart, tu l'as quasiment ton système de son. [03:39:52] Speaker C: Oui, oui. [03:39:53] Speaker B: C'est massif, c'est pesant, c'est de qualité. C'est de la qualité, c'est vraiment impressionnant. Mais je dois avouer une chose, parce que hier j'ai pris du temps d'écouter, j'ai pris du temps de comparer aussi. Parce que quand Guillaume me faisait jouer ça, on va dire que le vrai mot, c'était de la musique plus moderne, plus la musique des 5 à 10 dernières années, mais surtout les 5 dernières années. Puis j'étais vraiment impressionné, la limpidité, les basses profondes et tout. Même, il a mis du... Il a mis quand même, je veux dire, toutes sortes de musiques. Mais quand j'ai dit, attends un peu, mets donc ma musique à moi, tu sais, des années, des anciennes musiques. Alors, j'ai quand même trouvé à ce moment-là, tu sais, comme Hotel California, ou peu importe, et bien sûr. Des choses, tu sais, dans mon jeu de temps... Plus classiques, Led Zeppelin, Pink Floyd et compagnie. Exactement. Là, j'ai dit, oups, je suis moins impressionné. Moi, ce que ça me dit, c'est que oui, c'est un produit révolutionnaire, mais c'est un produit qui touche clientèles plus jeunes. Pourquoi je dis ça? Il n'y a pas de calibrage de permis à l'intérieur de l'appareil? Oui, il y a ça par contre. Mais moi, je ne suis pas un maniaque de dire jouer avec l'égaliseur. Mais oui, effectivement, il y a un très bon égaliseur. Oui, absolument, tu peux colorier le son. Mais c'est juste que quand tu écoutes du jazz, du blues, moi, j'aime avoir la pureté. Le son rond aussi, la contrebasse. Et c'est ça, justement. Quand j'ai écouté Diana Krall, justement, la contrebasse, elle vibrait moins, comme... te souviens-tu que je te montrais un moment donné le Horizon de Mahrens? Oui. Bon, bien, le Horizon de Mahrens, c'est plus gros comme produit, mais c'est dans le même style, c'est-à-dire c'est un produit haut de gamme, mais un produit haut de fidélité aussi. Ça rappelle les amplis à lampe de l'époque. Oui, oui, exact. T'sais, fait qu'au niveau de la chaleur que tu vas chercher, moi, j'ai trouvé justement que quand je suis tombé dans mon style de musique, Je retrouvais moins... pas déçu, mais je retrouvais moins la chaleur que j'aime. Les vieilles tunes, on avait une petite chaleur un peu... C'est normal, on écoutait ça aussi avec des tables tournantes, avec des vinyles. Dans la polyvalence, peut-être que un gros donnant pourrait recouper la nouvelle musique et la nouvelle... la musique... des années 70-80. C'est le gros Denon qui était sorti il y a quelques années. Je vais te surprendre parce que le Denon est impressionnant, mais le De Vialet Ultimate 108 DB, les basses creusent beaucoup plus. Parce qu'eux autres, c'est spécial, c'est comme deux haut-parleurs rigides qui ont chaque côté. Même au début, je me disais, voyons, ça bouge pas ces haut-parleurs-là. Non, non, tu te mets de la basse, ça vibre. [03:42:27] Speaker C: Il te dit attends, je vais te. [03:42:27] Speaker B: Mettre de la basse. Et ta barouette là, tu le voyais vibrer au part l'heure, puis ça creusait. Écoute, dans les specs, il dit que ça descend jusqu'à 14 Hz. J'ai des doutes là, mais en tout cas, c'est les specs qu'ils nous donnent. Mais oui, c'est impressionnant. Puis tu peux en mettre un dans une pièce, puis ça remplit la pièce. C'est vraiment le fun. Parlons à ça. Au niveau du look, c'est magnifique. Ça ressemble à un coquillage un peu. Oui, la barre de son qui est magnifique. Parce que là, on tombe avec une barre de son qui n'a pas de caisson de basse, puis qui n'a pas d'haut-parleur arrière qu'on peut rajouter. Donc, c'est une barre de son qui fait tout en un, puis c'est sûr qu'il faut qu'elle ait de la basse, puis je dois l'avouer parce qu'il y a 8 haut-parleurs à l'intérieur qui est là pour la basse, plus 11 haut-parleurs qui sont des tweeters mid, comme j'ai dit tantôt, qui donnent et les voix et les aigus. Vraiment, le son, Pour de la musique, c'est vraiment l'audiophile va aimer. Suite en partant, on voit la différence avec les autres barres de son, que ce soit Sonos, que ce soit Bose. Mais quand on écoute un film... Parce que là, c'est une question de prix. On est avec une barre de son qui vaut 3 000 $. Fait que j'ai trouvé quand même le fun de voir... Parce que la seule barre que j'ai vue, que j'ai entendue antérieurement, qui m'impressionnait autant que ça, sans avoir une question de barre, c'était la Ambeo, la première génération d'Ambeo de Saint-Nazaire. Mais la Ambeo de St-Lazare, écoute, elle mesure à peu près 5 pouces. Plus épaisse. Elle est beaucoup plus épaisse, tandis que celle-là... Tandis qu'elle me rappelle une barre de son beau, c'est-à-dire longue et flat. C'est ça, en plein ça. Sauf que je l'ai comparée avec la Beau, je l'ai comparée avec, naturellement, Sonos. La différence, c'est que quand on veut écouter des films, l'ambiance... Parce que là, faut-tu dire, écoute, j'ai un budget de 3000 pour ça, mais c'est sûr que si t'es dans les condos, Si tu peux pas mettre de sub, c'est le produit idéal. Parce que tu vas avoir de la basse, tu vas avoir de la précision pour écouter de la musique. Puis je l'ai écouté quand tu l'as branché. C'est ça, exact. Mais si tu dis, ben oui, mais si je prends mon 3000 sur la bausse, puis je rajoute un sub, puis je rajoute des haut-parleurs arrière, haut-parleurs. Là, pour écouter des films, pour avoir de l'ambiance, c'est autre chose. Tu comprends-tu? Puis même dire, je prends la bausse, puis je rajoute juste le caisson de basse, je suis autour de 2000 $. Ça dépend de ce que tu veux. Ça dépend de ce que tu veux. Tu vas faire les comparatifs en magasin, j'imagine? C'est ça. Oui, parce que tu sais, on le faisait, le comparatif, puis la bose, tu le vois tout de suite, c'est pensée ambiance, tandis que l'autre, c'est pensée précision. Donc, tu vas chercher l'amateur de musique audiophile, tandis que l'autre, c'est vraiment... Cinéma maison, comme on disait dans le temps. [03:44:56] Speaker C: C'est ça, oui. [03:44:57] Speaker B: On écoutait aussi des shows. C'est juste qu'on écoutait de la même pièce, les deux. On avait l'impression que du côté de Beau, c'était comme si j'étais live. Puis l'autre, c'est comme si je l'entendais dans un studio, tu sais. Je veux dire, un unplug, quelque chose du genre. Ça fait qu'on sort la semaine prochaine les nouveaux tableaux, les mises à jour, avec De Villalet qui va se rajouter là-dedans, avec d'autres nouveaux produits qui se sont ajoutés. On a été impressionnés de Klipsch aussi, qui arrive cette année avec des beaux modèles. Modèles still vintage, comme dans les dernières années. Ouais, c'est sûr qu'ils ont le look... T'en rappelles des années 70. Les looks de clips sont un peu particuliers, mais je te dirais qu'ils sont moins exagérés sur le vintage qu'antérieurement. Faut que tu parles, il nous reste une minute. Puis là, je suis allé hier au magasin, c'est parce qu'ils m'ont accroché, ils m'ont dit «Morin, faut que tu viennes mercredi.» C'est le spécial Abbey Road. Est-ce qu'il y a un billet à vendre? Comment ça marche? On a la chance. Premièrement, on a envoyé quand même assez souvent sur Facebook et tout sur notre site. Les gens devaient s'inscrire pour la soirée spéciale que l'on fait mercredi soir. Mercredi, Bowers & Wilkins, les gros speakers qu'on utilise dans les studios d'Abbey Road à Londres. À Londres, exactement. Les 801 D4 Abbey Road, signature Abbey Road. Ils sont superbes. J'ai hâte de les voir parce qu'on va les avoir la semaine prochaine. On était en train de tout préparer ça pour les gens qui se sont inscrits. Ça vous empêche pas de venir faire un tour, les voir mercredi soir, mais je vous dirais qu'on va les avoir en main mercredi de la semaine prochaine, aller jusqu'à dimanche. Et il paraît qu'il va y avoir un genre d'exposition aussi de l'historique de ces speakers-là, Bowers. Avec Stéphane, là, je pense, qui est le... Stéphane Mentor, le représentant. Le rep de Bowers. Puis t'as fait un beau podcast avec, d'ailleurs. J'ai fait un beau podcast avec, exactement. Là, je suis à poc, pas pire. Oui, oui, c'est ça, je vois ça. C'est le fun, ça. Mais non, ça vaut la peine de venir les voir. Puis comme je vous dis, on va les avoir en magasin. Ils vont probablement avoir beaucoup moins de monde dans la semaine. Alors, vous pouvez venir faire... Et on va faire jouer de la musique enregistrée à Bay Road. Les pièces ont été choisies par Stéphane Mentor, le directeur des ventes au Canada, de Bowers & Wilkins. Je vous le dis, ça vaut la peine de venir voir ça, ce produit-là, exceptionnel, parce que la qualité de fabrication, elle est extraordinaire, des 801. Il ne faut pas oublier une chose, ce studio-là, c'est reconnu comme... C'est une église. Oui, c'est une église. Et à travers le monde, il y a plusieurs studios qui ont choisi ces haut-parleurs-là aussi. José, t'es parti. Merci, oui. Je suis très fier parce qu'on est deux magasins au Québec, nous autres, puis son ultime, qui vont avoir l'avantage d'avoir ce produit-là. On est cinq au Canada. J'adore. C'est sûr qu'on va être présents. On est très fiers de ça chez Maison Adam. Merci. Bonne journée à tous. [03:47:38] Speaker C: Très bien, José. [03:47:39] Speaker B: Parce que Paul McCartney a commencé sa tournée. Là, j'ai hâte. J'ai vraiment hâte. Il vient à Montréal en novembre. C'est vraiment cool. On va se laisser là-dessus. Mais on se reparle dans quelques secondes, durant la pause. Salut! C'est une bonne idée. [03:48:09] Speaker D: Chaque année, les clients attendent au mois de mars pour acheter leur piscine ou leur spa, pensant à les faire installer en avril, ce qui peut être difficile dû à l'engouement du printemps. Alors cette année, pour la première fois, Trevi vous fait une offre exceptionnelle, soit celle d'ouvrir ses calendriers d'installation dès maintenant, pour vous permettre de bénéficier des premières plages d'installation au printemps 2026 et pour que vous en tiriez profit au maximum l'an prochain. Une autre raison de réserver maintenant est de profiter de la super-vente Payez le prix des employés. Offert par le fabricant-installateur Trévis et disponible pour un temps limité et sur une foule de produits sélectionnés. Piscines crusées, piscines en béton, piscines hors terre, spas, mobilier de jardin, pavillons outdooring, barbecue et également les toiles, les robots, les chauffe-eau, même sur les abris d'auto. Prenez une longueur d'avance et réservez maintenant tout en profitant de ces superbes offres simultanément dans tous vos superbes magasins Trévis. Trévis. Une longueur d'avance. [03:49:07] Speaker C: L'école de conduite Pointe-Lévis, c'est 15 formateurs et 250 heures de cours par semaine, jour, soir et week-end. Les cours débutent tous les mois. Inscris-toi, nomme Radio X et épargne 50 % sur ton manuel. L'école de conduite Pointe-Lévis à Saint-Charles-de-Bellechasse et Lévis. [03:49:22] Speaker D: Votre conseil anti-stress, Rachel Berry. En voiture, si vous serrez un petit peu trop fort le volant, prenez une inspiration. Et passez un magasin pour découvrir des solutions naturelles pour soulager les symptômes reliés au stress. Rendez-vous dans nos épiceries Rachel Berry ou dans un espace santé chez IGA. [03:49:37] Speaker C: Cet automne, respectez vos échéances avec les équipements de construction Kubota, bâtis pour le Québec. Peu importe le froid et le chantier, ils sont fiables. Obtenez présentement du financement allant jusqu'à 0%. Visitez votre concessionnaire Kubota pour plus de détails. [03:49:52] Speaker D: Pour vendre au meilleur prix avec une stratégie efficace, une mise en marché professionnelle et une prise en charge du début à la fin, contactez Christian Dagenais, courtier immobilier via Capital, à christiandagenais.com ou au 581-985-8906. Grande nouvelle! La Clinique Laser Epilation présente en primeur le tout nouvel appareil Clarity 2, la technologie la plus avancée, rapide, efficace et plus confortable que jamais. Clinique Laser Epilation, des résultats incomparables, la compétition même pas proche. [03:50:21] Speaker B: Salut! C'est JC. Je vous l'ai déjà dit, la référence en porte et fenêtre au Québec, c'est Abritech. Une entreprise d'ici, des produits qui durent. [03:50:28] Speaker C: Pis des gens vrais. [03:50:29] Speaker B: Abritech, c'est la qualité garantie et le service aussi. Abritech, une valeur sûre. Trouvez votre détaillant au abritech.ca Maranda Optométrie pour un choix de monture parmi les 5000 en magasin. Maranda Optométrie pour une deuxième paire de verres gratuite. Maranda Optométrie pour des examens de la vue à la fine pointe de la technologie. Maranda Optométrie à Lévis et à Beauport, sur le boulevard des Chutes. Maranda.ca. Au-delà de l'écran, Télé-Québec vous attend. [03:50:57] Speaker D: Ce soir 20h à De Garde 24-7. [03:50:59] Speaker B: L'importance de l'esprit d'équipe. [03:51:01] Speaker D: À 21h, au-delà du sexe. [03:51:03] Speaker B: Rose Aimée démystifie le monde du tatouage des mamelons. [03:51:07] Speaker D: Et à 21h30, soirée quiz. [03:51:09] Speaker B: Les Quizzi Monsters de Québec rencontrent les Inquisitions de Montréal. [03:51:13] Speaker D: Ce soir dès 20h, Télé-Québec va au-delà de l'intuition. [03:51:16] Speaker B: Au-delà de l'écran, Télé-Québec vous attend. Au-delà de l'écran. [03:51:27] Speaker D: Sont ici. Quand. [03:51:56] Speaker B: Tout le monde réussissait à dormir quelques heures par nuit, lui se réveillait à peine deux heures avant nous pour dire qu'il avait réussi à faire une platée de sauce à spaghettis, de confiture, ou de confiture. Pierre-Luc. Moray Live Radio X. Ben oui, ben. [03:52:22] Speaker C: Oui, c'est ça qu'est ça. On se super juge. On vous souhaite de passer une excellente journée de l'allégresse, surtout de l'allégresse, aux 5 à 7 à soir, Why Not Coconut. Journée bien remplie sur les zones de Radio X. Il y a Pierre Couture qui est là. On va détacher sa chaîne bientôt pour qu'il puisse entrer en studio. Il sera là avec Nicolas, il souriait ce bon vieux Nicolas. Jean-Claude sera là par la suite. Patati, Patata, Max, toute la gang du retour avec D.H., Mel, Jordan, il y a également l'excellent Louis qui seront là. Et puis les soirées Radio X, c'est toujours des meilleures soirées Radio X. C'est Carbeau, c'est Jean-Francis et c'est le Last Call. Portez-vous bien, amusez-vous bien. On commence le week-end très très festif. Demain matin, 6 h dans Moral Life. Bye bye. [03:53:11] Speaker B: Moray Live. [03:53:13] Speaker C: This is the end of the show. [03:53:14] Speaker B: J'en ai ma claque la merde. Have a great day and remember, swim safe. [03:53:19] Speaker C: Moray Live. [03:53:22] Speaker D: Réécoute les meilleurs moments. [03:53:24] Speaker B: The best. Radioix.com. [03:53:26] Speaker D: L'application Radioix. [03:53:28] Speaker B: Radio. [03:53:30] Speaker D: Morelive, présentée par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. Confort en hiver, fraîcheur en été et des économies toute l'année. Multiconfort FP, à Québec et Victoriaville. [03:53:46] Speaker B: La trame sonore de ta fin de semaine, c'est Légendes du rock. [03:53:54] Speaker A: Avec Iwi. Let's go! [03:54:02] Speaker B: Légende du rock. [03:54:05] Speaker D: Samedi et dimanche, 9h. [03:54:09] Speaker C: Présenté par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Lenox. Confort en hiver, fraîcheur en été et des économies toute l'année. Multiconfort FP à Québec et Victoriaville. [03:54:24] Speaker B: Tu veux travailler dans un atelier récent à la fine pointe de la technologie? Mais ton provincial est à la recherche de mécaniciens de véhicules lourds pour leur garage à Québec. Rejoins une équipe dynamique dans un environnement stimulant où l'ambiance de travail est excellente. Chez Béton Provincial, le poste de mécanicien de véhicules lourds te donne accès à des équipements modernes. Que tu sois un mécanicien d'expérience ou un passionné, postule dès maintenant. Au betonprovincial.com, il y a notre onglet carrière. La confiance, c'est savoir que l'on est prêt à faire face à tout ce qui se présente. C'est ce que l'on ressent lorsqu'on entreprend une journée de travail avec Syntas. Il s'assure que vos DEA sont à jour, vos armoires de premiers soins sont approvisionnées, vos tapis sont nettoyés et livrés, et vos vêtements de travail sont beaux, agréables au toucher et fraîchement lavés grâce au programme de vêtements de Syntas. Alors, êtes-vous prêt à affronter la journée? Visitez syntas.ca baroblique fr et soyez prêt pour la journée de travail. L'embarquement pour le vol 246 à destination. [03:55:20] Speaker E: De Montréal est retardé de 50 minutes. [03:55:23] Speaker B: Ah ben là! [03:55:24] Speaker C: On dirait que c'est l'heure d'Ojo! [03:55:26] Speaker B: Play Ojo? [03:55:27] Speaker C: Bonne idée! [03:55:28] Speaker B: Profitez de tous vos jeux préférés comme. [03:55:30] Speaker C: Wolfgold et Joker's Jewels et des jeux exclusifs que vous ne trouverez nulle part ailleurs. [03:55:35] Speaker A: Wouhou! [03:55:35] Speaker B: J'ai gagné! [03:55:37] Speaker D: Sentir le plaisir, Play Ojo! [03:55:40] Speaker E: L'embarquement commencera dès que les passagers auront fini de célébrer. [03:55:43] Speaker B: Ouvert à tous les joueurs de 18 ans et plus. [03:55:45] Speaker C: Il ne s'agit pas d'un site de jeu. Veuillez jouer de manière responsable. [03:55:47] Speaker A: Les conseils de Jérémie. [03:55:52] Speaker E: Salut tout le monde. Aujourd'hui, on a Sylvain qui nous demande... [03:55:55] Speaker B: Ouais, T'es quoi le meilleur tissu pour un fauteuil quand t'as trois enfants? Oh, bonne question. Trois enfants, man. Meilleur conseil... [03:56:04] Speaker E: Fais juste pas payer les taxes. [03:56:06] Speaker B: Excellent call. Jusqu'à dimanche, on paie les deux taxes sur tous les meubles et matelas à prix régulier. Meubles RD, bien se meubler, moins dépenser. [03:56:17] Speaker D: En réservant votre croisière avec CAA Québec, vous profitez d'une foule d'avantages, que vous soyez membre ou non. Pour un temps limité, vous obtenez jusqu'à 3 000 $ de rebais par cabine en voyageant avec Royal Caribbean ou Celebrity Cruises. Et on vous donne en prime jusqu'à 200 $ américains en crédit pour vous gâter à bord du navire. Ça donne envie de prendre le large, mais faites vite. Cette offre exclusive se termine le 19 octobre. Pour voir les départs sélectionnés et connaître les conditions, visitez le caaquebec.com baroplique promo croisière au singulier. Retraite Québec présente le brin de sagesse de Sylvie. [03:56:51] Speaker B: Nous, une année avant de prendre notre. [03:56:52] Speaker D: Retraite, on a essayé de vivre avec le budget qu'on avait prévu pour faire un test. [03:56:57] Speaker B: Ça a été une année pas mal poche. On a reporté notre retraite de trois ans. Mon conseil, prenez le temps de penser. [03:57:04] Speaker D: À ce que vous voulez et demandez l'aide d'un professionnel. Pour récolter assez de blé à la retraite, revoir sa situation financière et sa stratégie de temps en temps, c'est un bon plan. Visitez notre site web pour en savoir plus. Un message de Retraite Québec. Desharnais, c'est une grande famille de plus de 200 passionnés qui, en prenant grand soin de votre véhicule, prennent d'abord soin de tous ceux qui montent à son bord. Parce que rouler en confiance et en sécurité, c'est juste parfait. [03:57:29] Speaker B: Du 22 septembre au 19 décembre, obtenez une remise postale de 85 $ à l'achat de 4 pneus Michelin sélectionnés. Les pneus Michelin, pour une confiance ultime sur route enneigée et glacée. Détails et prise de rendez-vous en ligne sur desharnais.ca. [03:57:44] Speaker D: Desharnais, c'est juste parfait! Depuis que j'ai parlé de mes dettes avec Raymond Chabot, j'ai retrouvé le goût d'organiser mes soupers de filles. On a bien du fun ensemble. J'ai aussi repris mes soirées cinéma avec mon gars. J'y fais découvrir mes classiques. Puis j'ai même recommencé à faire du yoga. Moi, ça fait vraiment du bien de retrouver ces moyens. Si vous avez besoin d'aide pour régler vos dettes, contactez-nous pour une consultation gratuite. Raymond Chabot, Syndic autorisé en essolvabilité. [03:58:16] Speaker C: Chez Soussis industriel, on embauche. Soudeur, mécanicien, industriel, c'est le moment de vivre l'expérience chantier. [03:58:24] Speaker B: Des projets plus grande nature t'attendent aux quatre coins du Québec. Minier, naval et toute industrie lourde où. [03:58:29] Speaker C: Ton savoir-faire fera la différence. Des horaires flexibles, des mandats variés et un potentiel de revenus élevé selon ta disponibilité. Découvre nos opportunités de carrière sur emploi.sucieindustriel.com. [03:58:42] Speaker B: Et postule en ligne dès maintenant pour donner une nouvelle dimension à ta carrière. [03:58:47] Speaker A: Et le but! [03:58:49] Speaker B: He's back! Ray the Sports Ray the Sports Dans Montréal Live et Will It en direct. [03:59:02] Speaker D: Radio X. [03:59:04] Speaker B: La chronique Réda Sports! [03:59:06] Speaker F: Hé, c'est moi ça! Une présentation du Charbon Steakhouse. Avant le match, passez chercher vos côtes levées, burgers, steaks ou plats cuisinés. Le charbon pour apporter, c'est une bonne idée! [03:59:16] Speaker E: Chouaa! [03:59:17] Speaker D: Chouaa! [03:59:19] Speaker B: 98! [03:59:20] Speaker A: 98! [03:59:21] Speaker C: 1! [03:59:21] Speaker B: Chouaa! [03:59:24] Speaker D: Chouaa! [03:59:25] Speaker B: Radio X à Québec, c'est Radio X. Sois Radio X. Faites-vous votre propre opinion. [03:59:34] Speaker D: Couture dans le mid présentée par Ceramique L'Entrepôt. En ce moment, profitez de gros rabais comme du vinyle clic à 1,79$ le pied carré et du plancher flottant à 99 sous le pied carré. Ceramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand.