CONSEIL DE VILLE: Les gens d'affaire doivent en faire plus POUR LE CLIMAT!

October 02, 2025 00:30:41
CONSEIL DE VILLE: Les gens d'affaire doivent en faire plus POUR LE CLIMAT!
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CONSEIL DE VILLE: Les gens d'affaire doivent en faire plus POUR LE CLIMAT!

Oct 02 2025 | 00:30:41

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[00:00:00] Speaker A: Bon... [00:00:18] Speaker B: Ah, hier, ça a dû brasser en maudit. Puis tu ne m'as pas dit ce qui s'est passé. C'est toi qui suis le conseil. Mais le compte de dépenses de Renaud Labrecq et tout ça hier, ça a dû brasser. [00:00:31] Speaker A: C'est l'enfer. [00:00:31] Speaker C: Qui est partout en une des journaux ce matin. [00:00:33] Speaker B: Qui est partout en une des journaux. L'extrasauce marchand qui dépense beaucoup plus que la bombe. Et la marchand qui va au-delà de ses dépenses de voyage de près de 20 000 par année salariale. [00:00:47] Speaker A: Oui les gars, breaking news, j'ai démissionné. [00:00:50] Speaker C: On vient de rentrer. [00:00:52] Speaker B: C'est fait, c'est réglé. [00:00:53] Speaker C: C'est fait. [00:00:54] Speaker B: On vient de la prendre. [00:00:55] Speaker A: C'est comment je peux topper le sarcasme qui est en train de se produire. [00:00:59] Speaker B: On vient de la prendre et tant qu'il a topper, Stéphane Lachance est maire. Il est installé avec sa grosse shape dans le bureau du maire. C'est réglo et il va repeinturer tout en bleu et en rouge. C'est quoi, c'est les couleurs de respect citoyen au final. Parfait. [00:01:16] Speaker A: Je vous dirais, les deux premières heures du conseil municipal, ça avait l'air bien normal. Après ça, par la suite, ça virait vraiment comme un 19 décembre à l'école. Je veux dire, on est allé chercher l'espèce de gros meuble avec une TV dedans et on a mis le miracle de la 34e rue. Ça ressemblait beaucoup à ça. Je commence avec le premier extrait. Écoutez comme il faut le greffier et dites-moi ce que vous comprenez. Le dossier concerne une entente entre la Ville de Québec et la Fondation Québec Philanthrope pour le service de mobilisation de la Communauté d'affaires de Québec en faveur de la lutte au changement climatique. C'est proposé par Mme Asselin, appuyé par Mme Coulombe-Leduc. Questions ou commentaires? C'est adapté. Donc, Québec philanthrope, philanthrope Québec qui va mobiliser les gens d'affaires à être conscientisé sur les changements climatiques. Ça veut dire que la ville de Québec trouve que les gens d'affaires là... Ils mettent pas ça en priorité, les changements climatiques. Fait que là, ils vont prendre l'argent des taxes du monde pour mobiliser du monde qui va essayer d'influencer les gens d'affaires à monter ça dans leurs priorités. [00:02:32] Speaker B: Je vais montrer juste le visage de la directrice de l'administration de Québec Philanthrope à Dôme. [00:02:39] Speaker C: Ouais. [00:02:40] Speaker B: Fait que, regarde. La terre est sauvée. [00:02:43] Speaker A: Ça me donne le goût d'être généreux. [00:02:45] Speaker B: La terre est sauvée avec une bâche de coraudate. [00:02:48] Speaker C: Wow! [00:02:48] Speaker B: Québec Philanthrope. Moi, j'ai été journaliste longtemps à Québec. Animateur de radio une vingtaine d'années. Je n'ai jamais entendu parler de ça de ma sincère de vie. [00:02:59] Speaker C: Merci, je suis pas tout seul. Comme ça, c'est parfait. [00:03:01] Speaker B: Tu te sentais mal, hein? [00:03:02] Speaker C: Oui. [00:03:03] Speaker B: Je pense que toi et moi, on passe la gratte pour pire, là. Dans les affaires qui sortent, là, on est un peu freak, là. Mais ça, je n'avais jamais entendu parler de la Fondation Québec Philanthrope. [00:03:16] Speaker C: C'est une patente qui existe depuis six mois ou... [00:03:18] Speaker B: Sérieux, là? Mais c'est réglo, c'est réglé. Donc, réaction de la Chine, merci. C'est le directeur du spectateur qui a réagi en disant merci de contrecarrer notre pollution. C'est réglé. Tout balance, là. [00:03:36] Speaker A: Tout balance. [00:03:37] Speaker B: As-tu les chiffres, Dan, ce matin? [00:03:38] Speaker A: Il y a même un numéro de téléphone. [00:03:39] Speaker B: Bon, j'ai tout ça ici. Tout balance, ça balance. La pollution, ça balance. As-tu les chiffres, live? [00:03:45] Speaker C: Depuis plus de 35 ans? [00:03:47] Speaker B: Je sais man. [00:03:48] Speaker C: C'est ça! [00:03:49] Speaker B: Les chiffres de GES, là, on les a ici et tout balance dans le... Tout balance. [00:03:53] Speaker A: C'est ce qu'on nous apprend, tout balance. Selon Pierre Couture, c'est dans le vert. [00:03:57] Speaker C: Ok, c'est pour ça. Voici, c'est passé ça l'histoire. Mieux connu sous le sigle FQP. [00:04:04] Speaker A: Oh! [00:04:06] Speaker B: Moi, je voyais plein de monde avec des chandails FQP en ville. [00:04:09] Speaker C: Mais le monde, c'était clair. [00:04:09] Speaker B: Là, je le savais. Là, on le sait. [00:04:11] Speaker A: Oui, oui, c'est beau. [00:04:12] Speaker B: C'est réglé. Bon, les épinglettes. [00:04:14] Speaker A: Enfin, un grand mystère qu'on vient de résoudre le 2 octobre de l'an de grâce 2025. [00:04:18] Speaker B: Bon, merci, Dan, de nous éduquer. [00:04:20] Speaker A: OK. Là, votre Google est ouvert. Je vais vous poser la question suivante. Allez-donc magasiner des pierres de curling. [00:04:28] Speaker C: Curling.ca? [00:04:30] Speaker A: Non, non, Pierre de Curling avant. [00:04:32] Speaker B: Je vais aller sur Amazon direct. Pierre de Curling. [00:04:37] Speaker A: Pendant que vous cherchez ça, je vous fais entendre Madame... [00:04:40] Speaker B: J'en ai! [00:04:40] Speaker A: Madame Boudreau-Valière, ou Valière Boudreau, qui ne fait pas souvent la coupure du In the City, mais la voici qui nous parle de Pierre de Curling. Autorisation de soumettre au conseil d'agglomération le compte entre la Ville de Québec et Case Scotland pour l'acquisition de Pierre de Curling pour le centre multifonctionnel de Curling. C'est proposé par M. le maire, appuyé par M. Gosselin. Questions, commentaires, Mme Beaubrière, sur le sommaire? [00:05:05] Speaker B: Mais les questions sur les pierres. [00:05:07] Speaker D: Bien sûr, M. le Président. Alors, ces fameuses pierres sont à 1425 $ plus taxe par pierre plus l'importation. [00:05:21] Speaker B: À date, t'as juste deux extraits de jouets, c'est le meilleur conseil de l'année. [00:05:24] Speaker A: Attends un peu. [00:05:24] Speaker B: Non, non, arrête, arrête, arrête, arrête. Arrête ça, là. Arrête ça, là. [00:05:28] Speaker A: Genre, f'ra qu'en se laissant, qu'en se laissant, il se lève et il dit « Wow, wow, wow! » Les frais d'importation sont inclus. [00:05:33] Speaker C: Ma compréhension du sommaire est différente de celle de ma collègue, là. Moi, ce que je lis ici, c'est que la Ville assumera les frais de livraison estimés à 1750 livres sterling, donc ces montants-là convertis en devises canadiennes, ça donne un total de 185 000. Moi, ce que je comprends à lire le sommaire, c'est que les frais de livraison sont inclus dans l'achat des pierres, mais comme le collègue a dit aussi. [00:05:58] Speaker A: Il faut ajouter... 200 000 piastres pour des pierres de curling qu'on fait venir... [00:06:05] Speaker C: Pourquoi on fait venir ça de l'Angleterre? [00:06:06] Speaker A: D'Angleterre? [00:06:07] Speaker C: Oui. [00:06:07] Speaker A: Des Royaumes-Unis. En tout cas, je sais pas si c'est de l'Angleterre, mais disons au Royaume-Uni. C'est un peu le curling qui est un sport 100% canadien. [00:06:14] Speaker C: Ben oui! [00:06:15] Speaker A: Et j'ai trouvé un article datant de 2018 qui parle du centre de Curling Victoria qui a renouvelé ses pierres à 600 piastres la pierre. [00:06:22] Speaker B: C'est un... C'est capoté. C'est complètement capoté. [00:06:27] Speaker A: 200 000$ pour faire venir des pierres de curling du Royaume-Uni alors que le curling est un sport qui se joue principalement en Saskatchewan. [00:06:41] Speaker B: Oh oui, regarde. [00:06:43] Speaker A: Selon moi là... [00:06:44] Speaker B: Le Breyer. [00:06:45] Speaker A: Selon moi t'as envoyé un gars avec un p'tit compte de dépense, il dit mange au Wendy's pis au Tim Hortons là. [00:06:49] Speaker B: Exact. [00:06:50] Speaker A: Fais-nous un aller-retour en Saskatchewan. [00:06:51] Speaker B: Régina, Boston Pizza, Régina. [00:06:53] Speaker A: Exactement. [00:06:54] Speaker B: Pis t'as le droit de regarder en reprise des Rough Riders à TV. [00:06:57] Speaker A: Voilà, voilà, regarde. [00:06:58] Speaker B: Tu y vas, vas-y. [00:06:59] Speaker A: Si t'achètes un ticket des Bleachers, passe-le sur le code de dépense, on va fermer les yeux. [00:07:04] Speaker B: Oui! Pis si tu vas au Breyer, t'as le droit de t'acheter un Tim Hortons. [00:07:07] Speaker A: Mais! [00:07:07] Speaker B: T'as même le droit de discuter avec la fille qui a des pantalons à cordes rouelles. [00:07:10] Speaker A: On donne un budget de 450$ par pierre, on s'en fout qu'il soit used. Ramène-nous des pierres de Burlington. Oui! [00:07:15] Speaker B: On s'en fout s'il y a le logo des Rough Riders. [00:07:17] Speaker A: On s'en fout! [00:07:18] Speaker B: On va le gratter rendu ici. [00:07:19] Speaker A: On va s'arranger. On va trouver quelqu'un qui les remet à niveau. [00:07:23] Speaker C: Y'en a un sur eBay à 200$, c'est moi. [00:07:25] Speaker B: Oui, je le sais. Alors, c'est scandaleux. [00:07:28] Speaker A: C'est précis, attention. Ça va très bien. Elles vont durer 70 ans. C'est de la roche. [00:07:34] Speaker C: Oui, j'espère qu'elles vont durer. [00:07:36] Speaker B: Non, regarde. C'est fou. Moi, j'ai des pierres aux reins. Ça ne marche pas. Des pierres aux reins. Puis moi, je fais ça gratis. Je vous les offre. C'est au plus offrant. [00:07:45] Speaker A: La prochaine affaire, je trouve que c'est une bonne question. Je sais qu'on ne peut pas avoir l'information. Mais c'est une bonne question que posait Steven Malençon, ce serait le fun de pouvoir aller vérifier tous les contrats. Administration ou vérification des outils du RTC. On renouvelle le contrat que l'affirme le comptable, mais l'augmentation est de 42% par rapport à l'année passée, ou par rapport aux prévisions qui étaient faites par rapport à l'année passée. 42% ! Plus élevé ! [00:08:14] Speaker B: Il y a du monde qui se gâte. [00:08:18] Speaker A: Écoute Sylvain Mélenchon... [00:08:19] Speaker B: En général, il y a du monde qui se gâte. Le 1,5 million de la FAO hier, Syndicat pour Alisbeth, contre la laïcité à cause suprême, ça va finir à 4-5 millions cette affaire-là. Les avocats! Là tu parles de comptables. Il y a du monde qui, dans la folie inflationniste du C'est de la facturation à côté. Tout est permis. Dans ce cas-là, c'est une firme de comptable que tu vas nous identifier? [00:08:48] Speaker A: Si tu veux, je peux l'identifier. C'est ma lettre, mais c'est rien contre ma lettre. C'est vraiment le... [00:08:55] Speaker B: Les autofactures. [00:08:56] Speaker A: Oui, exactement. Je te fais entendre la question, Stéphane Melançon. [00:08:58] Speaker E: Quand je revois ce sommaire-là, c'est sûr que l'écart entre l'estimation et la plupart des sommaires, c'est 42,1 % de plus. À la lueur de ce que je peux comprendre, il y avait des choses, peut-être des ajouts ou pas. C'est quand même assez considérable comme hausse. Moi, je ne me pose pas la question, ce n'est pas de mes affaires, ça va être confidentiel, mais j'espère que les clients de cette firme-là autre que la Ville, ont pas reçu eux aussi du 42% d'augmentation, parce que si on suit la logique, dans la note, c'est combiné à une pénurie de main-d'oeuvre qualifiée dans le domaine comptable. Ça fait que moi, à la lueur de ce que je peux voir là, la Ville a eu cette augmentation-là. Je sais pas si je fais une règle de troupe ou elle est pas bonne, mais ça veut dire qu'il y a plusieurs clients de cette firme-là qui vont voir à peu près ces augmentations-là, si on reste dans le même... [00:09:45] Speaker B: Pénurie de main-d'oeuvre des comptables. Ça, c'est la première fois de ma vie que j'entends parler de ça. Il manque vraiment de comptables. Il y a une pénurie. Parce que soudainement, on a engagé des comptables à pu finir. C'est zéro contingenté à l'université, la comptabilité, les amis. Arrêtez de me remplir, là. Voyons donc, c'est quoi cette affaire-là? [00:10:02] Speaker A: Qu'est-ce qu'il suppose, là, lui? [00:10:04] Speaker B: C'est pas ça qu'il allègue, Mélençon, là? Il essaie de comprendre. [00:10:07] Speaker A: C'est ce qui est marqué dans le devis. qu'il y a une pénurie de main-d'oeuvre. Puis lui, sa question est bonne, là. Ce serait le fun de pouvoir vérifier les augmentations de tout le monde, puis les comparer avec l'augmentation de la Ville de Québec. C'était impossible, là. Mais pourquoi au gouvernement, au public, c'est 42% d'augmentation? On le sait très bien que c'est pas 42% d'augmentation pour tout le monde. Ben non! [00:10:26] Speaker B: Exactement! [00:10:27] Speaker A: Donc, tu sais, cette twist-là, je la trouvais excellente, mais la chance aurait pas dû. C'était son dernier conseil municipal à la chance aujourd'hui. Fait que j'ai décidé de le gâter. Pour moi ce sont vraiment les plus belles J'suis un grand garçon et j'porte un pantalon Pis j'aime les porter avec. [00:10:49] Speaker F: Mes bretelles Pour les municipalités, l'expertise nécessaire pour faire la vérification de ce type d'organisation-là est effectivement plus spécialisée et le niveau d'audit est aussi beaucoup plus complexe à faire que peut-être une PME régulière. Donc, nécessairement, l'expertise senior est beaucoup plus requise et nos seniors vont de plus en plus à la retraite, on sait ce que c'est. [00:11:19] Speaker A: Dans le grand n'importe quoi, les seniors vont en retraite. Les policiers seniors vont en retraite, il y a du monde pour les remplacer. Les animateurs radio-séniors prennent de la retraite et ils vont le remplacer. [00:11:28] Speaker B: La roue tourne, la terre continue de tourner. Ça va très bien. Il y a n'importe quoi. Mais on le met quand même à l'honneur ce matin, Bretel. [00:11:38] Speaker A: C'est Bretel, vous allez voir qu'il va être à l'honneur beaucoup ce matin. Jackie Smith, on a parlé de la police hier. Tu te dis, le monde a dû lui poser des questions. Les 50 policiers, partout. Il y a juste Jackie Smith qui a parlé. Elle, elle veut qu'on... qu'on cancelle la culture de la Thin Blue Line. [00:11:55] Speaker D: Je demande si le SPVQ vont recevoir, les policiers vont recevoir une formation sur le profilage racial, plutôt comment ne pas faire le profilage racial, puis aussi peut-être une démonstration des signes haineux comme le Thin Blue Line. [00:12:22] Speaker A: Merci. Merci. Est-ce que j'ai une réponse pour Mme Smith? Pas de réponses? Ouais, y'a pas de réponses. Elle a même pas capacité à répondre. [00:12:31] Speaker C: Elle est excellente. [00:12:32] Speaker A: Ouais, c'est sûr. [00:12:33] Speaker C: Elle est vraiment bonne. Elle parle à son petit mot. [00:12:36] Speaker A: Ah oui, c'est... Ça là, c'est le. [00:12:39] Speaker C: Genre d'affaire qui intéresse juste une couple de personnes avec les cheveux bleus dans sa gang. [00:12:43] Speaker A: C'est vraiment pas un enjeu à Québec, on s'entend. [00:12:45] Speaker B: Si tu veux être anti-police à Québec, c'est mieux de te lever de bonne heure. [00:12:49] Speaker A: Parlons de stationnement. On manque de stationnements en ville. Bonin d'ailleurs veut les taxer, c'est ce. [00:12:57] Speaker B: Que Dom a vu. T'as assisté au premier débat, le vrai. [00:13:02] Speaker C: Gros débat de Lévis. [00:13:04] Speaker B: Il veut les enlever, les taxer, Bonin. [00:13:06] Speaker C: Il veut taxer les stationnements, donc il appelle ça les surfaces non perméables. [00:13:10] Speaker B: Non, non, non. [00:13:14] Speaker A: Les immeubles à logement, tranquillement mais sûrement, qui se trouvent au Vieux-Québec sont en train de se faire interdire le droit de vignette. Et il y a une liste de critères. [00:13:26] Speaker B: C'est une christie de grosse histoire, ça. [00:13:27] Speaker A: Exactement. Puis il y a du monde qui ont des vignettes à l'heure actuelle que si jamais ils passent leur bail à quelqu'un d'autre, ils ne pourront pas passer la vignette avec parce que maintenant, il n'y a plus le droit de vignette. Et il y a une liste de critères dont, entre autres, être à 400 ou à peu près à 400 mètres du tramway ou du futur trajet de tramway, pas le droit de vignette de stationnement. C'est... Y'a personne qui a utilisé le terme guerre à l'auto hier, j'suis un peu déçu, j'vous l'aurais sorti. Mais c'est clairement une guerre à l'auto. Et surtout au 150 Grand Allé où c'est déjà une grosse bâtisse qui est là, oui je sais y'a un grand parking. Mais on va rajouter 10 étages à ce bâtiment-là. 10 étages, c'est pas rien là, c'est du logement. [00:14:04] Speaker B: Où ça? [00:14:04] Speaker A: 150 Grand Allé, tape ça sur Google. [00:14:06] Speaker B: C'est-tu dans le coin de quartier à ce moment-là? Nous, on est au 11... Oui. [00:14:13] Speaker A: C'est un bâtiment que tu connais. C'est un des plus gros bâtiments à logement qu'il y a actuellement sur Grand Allé dans ce secteur-là. Il y a un gros parking, un gros stationnement en face. C'est sur la rive sud de Grand Allé. Si on veut, c'est sur le versant sud. Et on va rajouter une dizaine d'étages. Puis Anne Corriveau avait cette question-là à poser hier. [00:14:33] Speaker D: Je peux comprendre qu'on est dans le secteur Centre-Ville, Gallipaud, Grand Allé et tout. Je peux comprendre que, déjà, on stationne allègrement. Ce qui me cause problème et inquiétude, c'est que, est-ce que, au départ, lorsque cet édifice-là a été construit, déjà à 12 étages, on avait prévu d'avoir assez de stationnement pour 10 étages supplémentaires? Sinon, N'est-ce pas là une preuve qu'on vient vraiment mettre des menottes à des gens qui peuvent peut-être avoir une voiture, mais qui vont se la mettre sur la tête parce qu'ils ne sauront pas quoi faire avec, s'il n'y a pas assez de stationnement qui avait été prévu à l'origine lors de la construction de ce petit édifice. [00:15:19] Speaker A: Si vous voulez savoir la réponse, la réponse c'est on le sait pas. Ils ont jamais répondu. Et puis on dit, regarde, ils vont le savoir les nouveaux locataires qui n'ont pas de stationnement. Quand ils vont signer le bail, ça va être écrit pas de stationnement. [00:15:30] Speaker C: La vraie réponse, c'est qu'ils mangent de la mort. [00:15:33] Speaker A: C'est pas mal ça. Écoute ce que Pierre-Luc Lachance avait à répondre. [00:15:37] Speaker F: Dans la réponse, M. le Président, je suis content que le chef de l'opposition Avec la prémisse qu'on veut loger des humains avant de loger des autos. C'est une prémisse tout à fait en accord avec notre réflexion ici à Québec Fort-et-Fier. [00:16:03] Speaker A: Donc on veut loger des humains et pas des autos, c'est leur façon de répondre. Et la chance va même jusqu'à dire que l'administration de la bombe a géré ça sa gueule. Son ancienne équipe, parce qu'il était dans l'équipe la bombe. [00:16:14] Speaker B: Ben oui! [00:16:15] Speaker A: L'ancienne administration a géré ça sa gueule. Pour moi, ce sont vraiment les plus belles. [00:16:25] Speaker F: On veut préserver la qualité de vie des citoyens et pour nous, cette mesure-là n'est qu'une officialisation d'une pratique qui était un peu faite sur la gueule dans le passé. Donc, pour le cas du 155-175, c'était un faux problème. Il y a aussi du stationnement qui est de l'autre bord de la rue et oui, les locataires sont informés. [00:16:47] Speaker A: Merci. Donc, Régis, c'était pour toi, celle-là. C'était juste pour toi. Et puis, Véronique Dallaire avait ceci à rappeler aux gens de Québec fort et fier. [00:16:55] Speaker D: Bien entendu, ce ne sont pas mes mots, mais c'est la chance de dire que par le passé, tout a été fait sur la gueule. Bien, je ne peux pas m'empêcher, M. le Président. de me demander si ce n'est pas la question qu'on va se poser dans quelques années, à savoir si ce qui est en train d'être proposé par l'administration marchand, ce n'est pas de faire ça sur la gueule en oubliant que la majorité des personnes à Québec se déplacent en véhicules automobiles. [00:17:19] Speaker C: Ah non, non, non, non, non, non, non. [00:17:20] Speaker A: Les gens... Les trois dernières secondes de cette cote-là, c'est ça. Les gens à Québec circulent en automobile. [00:17:28] Speaker C: Que vous le voyez ou non... 80% du monde. [00:17:30] Speaker A: C'est ça. Les gens à Québec ont un char, ils veulent un char, pis quand ils n'auront plus de char, ils vont acheter un autre char. Électrique ou pas, faut le parquer. [00:17:39] Speaker B: C'est un anti-voiture. Et... Le coeur de la thématique de la campagne électorale, c'est la guerre à l'auto. Et à date, je n'entends pas ben ben parler. Dans son compte de dépenses d'ailleurs, révélé hier par Renaud Labrecq, il y a justement des conférences anti-voiture, le dévoilement, conférences de l'industrie, de développement urbain du Québec, mythe ou réalité des quartiers sans voiture. Évidemment, vous aurez compris que c'est une réalité à ce point-là, c'est pas mal ça la réponse à sa question. Parce qu'il a quand même préfacé le livre écrit par l'actuel maire de Laval des villes sans voiture. [00:18:27] Speaker C: Un organisme qui est souvent sorti pour défendre le tramway. [00:18:31] Speaker B: Donc ils sont anti-voiture, on le voit là! Et ça s'appelle Château Saint-Louis. L'immeuble dont tu parles, j'ai la photo ici. Château Saint-Louis, donc il y a des lofts pis des 8,5 également à louer. On voit c'est assez high class, châteausaintlouis.com. Et c'est ça l'adresse, c'est 150 Grande Allée-Ouest. C'est un gros immeuble, ça me fait penser un peu à un immeuble new-yorkais. C'est une résidence de John Lennon dans la West End de Central Park. Un peu West Side. Un peu West Side, exact. C'est style new-yorkais. C'est un des beaux buildings, moi je pense, de Québec. Je resterai jamais là-dedans, il n'y a pas de balcon. Mais ça fait style new-yorkais, si je comprends bien. Ces gens-là vont s'abisboyer le parking, donc manger de la marde. [00:19:19] Speaker A: Ah, ben écoute, il y a Mélissa Coulombe-Leduc qui en a rajouté en disant... [00:19:23] Speaker D: Il y a déjà une capacité pour le promoteur de libérer de la place dans l'espace de stationnement en dessous. Il y a un stationnement, l'édifice Saint-Patrick, juste de l'autre côté de la rue, où il y a aussi des possibilités. Il y a déjà des gens qui sont locataires de cet immeuble-là, M. le Président, qui ne possèdent pas de voiture. Donc, le propriétaire n'offrera pas des immeubles s'il n'est pas capable de louer dans les conditions actuelles. [00:19:49] Speaker B: C'est un gros gros gros problème. C'est un gros enjeu. Et là, il reste un mois à la campagne. Dans un mois, on vote autrement dit. Dans un mois, jour pour jour, on vote les amis. C'est le 2 novembre qu'on vote. Là, on est le 2 octobre. Jeudi. [00:20:03] Speaker A: Pour Bruno Marchand, si vous vous questionnez sur le stationnement, c'est parce que vous êtes contre le logement. [00:20:07] Speaker G: — C'est vrai qu'il y a une crise du logement, dont les opposants semblent pas trop se soucier, parce qu'ils sont très, très préoccupés d'enjeux pour lesquels ils aimeraient mieux qu'on construise pas, tant qu'on n'a pas trouvé d'enjeux, tant qu'on n'a pas trouvé de façon à donner de. [00:20:21] Speaker A: Spécialement par rapport à... — M. le. [00:20:22] Speaker G: Président, question de privilèges. [00:20:24] Speaker A: — Quelle est votre question de privilèges? Le maire est en train d'attaquer les éléments d'un programme électoral. On s'est entendu qu'ici, on parlait du sommaire. On est vraiment loin du sommaire, M. le Président. Merci, M. Martin. Continuez, M. le maire. [00:20:38] Speaker G: Merci, M. le Président. L'objectif, c'est qu'on soit capable de répondre à la crise résidentielle, à la crise du logement, en construisant plus rapidement et en diminuant les coûts. C'est ce que ça donne. [00:20:50] Speaker A: Voilà, c'est ce que ça donne. Plus de logements, mais plus de parking qu'ils vont venir avec. Donc, à Québec, les gens qui vont habiter à Québec, ça va être juste du bon de pas de char. Puis nous autres, on n'aura pas de place sur ce parquet quand on va vouloir y aller. [00:21:02] Speaker B: Saint-Augustin, l'ancienne Lorette. Je sais que tu débordes un peu. Sainte-Catherine. Le Port-Neuf, puis là tu seras à... Rive-Sud. [00:21:11] Speaker C: Fuyez cette ville. [00:21:11] Speaker B: Cap-Santé, Rive-Sud également, mais Rive-Sud, les Cristipons. [00:21:15] Speaker A: On a également voté un 22 millions. 22 millions sur Roche-Laga pour le projet de tramway. [00:21:23] Speaker C: Oui! [00:21:24] Speaker A: Pour le projet de tram-city. [00:21:25] Speaker C: Le stationnement du Canadiens de Terre. [00:21:26] Speaker B: Oui. En gros, ça fait de l'église. [00:21:28] Speaker A: Stéphane Melançon avait cessé à dire. [00:21:29] Speaker E: 22 millions. C'est un projet dont le financement fédéral n'est pas attaché. Il faut quand même le faire. J'écoutais le maire, dans son point de presse, qui était très intéressant, qui a dit, ben, on va être dans le dernier conseil de ville, il n'y a pas de problématiques, ça ne change rien que je le passe là, ou je le passe plus tard. Mais si ça ne change rien de passer là plus tard, dans un mois, on va être en élection. [00:22:00] Speaker A: Mais on ne peut pas dire qu'il y a tard. Dans un mois, on est en élection. Il y a un autre conseil municipal le 3e mardi de novembre. Il aurait pu attendre à ce conseil-là pour le faire passer. Mais non, on l'a fait hier, c'est 22 millions. [00:22:12] Speaker B: Précision sur le building en question. Je me suis trompé, c'est un peu plus loin. C'est Gallipo. Comme disait Mme Corriveau, c'est Gallipo. On passe là, pour les gens qui passent justement sur Grande Allée, pis c'est mon cas, effectivement. Il y a un entrave sur Grande Allée, c'est un gros chantier de construction, c'est musette. Le café, le magasin de vélo, c'est super cute pour vrai, comme boutique. Ce building-là, il est en train d'être jacké, et c'est ce building-là Donc, c'est la même problématique, c'est juste que le building est un peu plus loin. C'est vis-à-vis Salaberry. Vis-à-vis, autrement dit, le Saint-Patrick. C'est pour ça que je vous dis ça. Le Saint-Patrick, il y en a au-delà du parking. [00:22:49] Speaker C: C'est ça. [00:22:52] Speaker B: C'est pour la résidence Saint-Patrick. [00:22:54] Speaker C: Deux choses. Un, pour la résidence Saint-Patrick. Puis, sais-tu quoi? Le monde qui s'en va en ville, des fois, ils ont besoin d'un stationnement, puis ils vont là. Moi, ça m'est déjà arrivé. [00:23:01] Speaker B: Et grand-maman et grand-papa restent au Saint-Patrick. Ça se peut-tu que leurs enfants se partent là aussi pour les visiter? Parce que c'est des personnes âgées qui sont adorables. C'est du privé, c'est super beau. [00:23:12] Speaker C: J'ai déjà voté là, c'était des têtes blanches. [00:23:15] Speaker B: Ben oui, c'est une résidence pour personnes âgées. C'est le parking à eux autres. Donc c'est de l'autre côté, les amis. Donc en bas, vous voyez Musette. C'est des critiques de beaux condos. Ils vont te jacker ça. Mais cherchez auto, il n'y en a pas de parking. Tu peux pas te parker sur Wilfrid Laurier en arrière. [00:23:30] Speaker A: On veut du monde qui n'a pas de char. [00:23:31] Speaker B: C'est ça, c'est carrément ça. C'est carrément ça. [00:23:34] Speaker A: On veut du monde qui n'a pas de char. [00:23:35] Speaker B: Voilà. [00:23:36] Speaker A: Par le suite, en soirée, si tout le monde est beau, tout le monde est fin, merci, ça a été le fun, on a fait quatre ensemble. Bruno Marchand qui a remercié tout le monde, tous les employés, tous les conseillers, tous les gens qui ont participé de près ou de loin, les journalistes, les chroniqueurs, tous les gens qui regardent. En fait, tout le monde, tout le monde, tout le monde. Il y avait un merci spécial à faire à... Ben, il y avait un merci spécial à faire à ceux qui quittent, ses préférés. Et Bruno Marchand en commençant en disant merci à son colonel, le colonel Bretel. [00:24:04] Speaker G: C'est la chance qui est aussi dure à travailler pour les oppositions que pour ceux qui sont ses collègues parce que c'est un passionné. C'est un gars déterminé, c'est un gars qui fonce. [00:24:11] Speaker B: Un hater. [00:24:12] Speaker G: Vous en savez quelque chose, M. le Président? [00:24:13] Speaker A: Oui, oui, oui. J'approuve. [00:24:15] Speaker G: Mais il a grandement amélioré la ville, il a l'énergie sacrée, le feu sacré, et il a fait de nous une meilleure équipe, de par son expérience, mais aussi de par son immense intensité et engagement de tous les instants. Quand tout le monde réussissait à dormir quelques heures par nuit, lui se réveillait à peine deux heures avant nous pour nous dire qu'il avait réussi à faire une platée de sauce à spaghettis ou de confiture en plus de tous les sommaires et de tout ce qu'il avait à faire. Alors merci Pierre-Luc. [00:24:43] Speaker A: Sauce à spaghettis, confiture, tu vas me. [00:24:44] Speaker C: Dire qu'on pourrait faire un montage. [00:24:46] Speaker B: Tantôt, tantôt. Pas le montage, j'aime ça. [00:24:49] Speaker C: J'aime ça que tu joues plusieurs fois. [00:24:51] Speaker B: Dans le show d'ici dix heures. Tu le veux vraiment, là? [00:24:53] Speaker G: Tout le monde réussit à dormir quelques heures par nuit. Lui se réveillait à peine deux heures avant-hui pour dire qu'il avait réussi à faire une platée de sauce à spaghettis ou de confiture. [00:25:02] Speaker A: Ou de confiture. [00:25:05] Speaker G: Alors merci Pierre-Luc. [00:25:09] Speaker A: Et il voulait également remercier, on va finir avec cet extrait-là. Il voulait également remercier Jean-François Gosselin. Mais écoutez la twist. [00:25:17] Speaker G: Et Jean-François, merci d'avoir fait de l'échangiste. Mais surtout, merci d'avoir créé la ville, de l'avoir fait ensemble. Ça a été à l'honneur de ce que tu as fait la première fois qu'on s'est vus dans la campagne 2021. [00:25:29] Speaker B: Donc... Ouais, ça, ça fait mal. [00:25:31] Speaker C: Ouais. [00:25:32] Speaker A: Merci d'avoir été échangiste. [00:25:33] Speaker B: Ça fait mal, ça. Ça fait mal. Rappelons que c'est à cause de son transfert qu'il est devenu majoritaire. [00:25:39] Speaker C: Qui a commencé encore plus à se foutre du monde. [00:25:42] Speaker B: L'échangisme. [00:25:43] Speaker C: L'échangisme. [00:25:44] Speaker B: Pas trop bon que le cynisme en politique. [00:25:46] Speaker A: Non. [00:25:47] Speaker B: Les gens sont cyniques par rapport à la politique. Il y a beaucoup de gens, pis d'ailleurs t'as jasé avec certaines personnes dans ton entourage. Moi aussi, certaines personnes de mon entourage sont très désabusées par rapport à la politique. La politique, qu'est-ce que ça change? mon vote, que ça change, pis ils vont changer de parti anyway, pis les partis politiques en municipal, ça devrait pas exister. Ce qui est tout à fait vrai, en passant, c'est tout à fait vrai, les partis politiques au municipal, perso, c'est de la marde, c'est des individus, c'est des volontés, c'est des passions qu'on veut entendre, parce que parti politique égal, hey, je me souviens, la bombe, il était ici, en face de moi, pis il m'avait dit, il y en aura pas de parti politique, première affaire qu'il fait, équipe la bombe. Puis il m'avait dit, puis là j'y avais demandé, si un parti politique au moins, allez-vous inculquer la ligne de parti? Jamais de la vie, tu sais ce. [00:26:37] Speaker C: Que c'est, les petits bras en l'air? [00:26:39] Speaker B: Il y avait une ligne de parti, la bombe, c'était une ligne de parti militaire. Comme marchand. [00:26:45] Speaker A: Puis tu sais, nous autres, on est là-dedans, jour après jour, on lit les journaux, on regarde les nouvelles. Mais le gars, la fille qui nous écoute à l'heure actuelle, qui après ça vont travailler toute la journée, vont rentrer à la maison, aller chercher les enfants à la garderie, faire les lunchs, faire le souper. Les autres, ils s'installent devant la TV, il est 7h30. [00:27:01] Speaker B: Ils veulent ça changer les idées. Exactement. [00:27:03] Speaker A: Ils écouteront pas Renard, le mec du sceau. [00:27:07] Speaker B: Je suis rendu comme ça, Dan. [00:27:08] Speaker A: Je sais aussi. [00:27:10] Speaker B: Je regarde de 5 à 7, je regarde du basket, du foot. [00:27:13] Speaker A: Je veux que ces gens-là continuent de faire ça. [00:27:14] Speaker B: Oui, on n'est plus capable. Ils sont tellement menteurs, tellement manipulateurs. [00:27:18] Speaker A: Ils savent que Marchand, il faut le passer de là, mais ce qui les rend désabusés, C'est l'offre pour le faire sortir. Le cynisme en politique grossit jour après jour à cause de l'histoire de respect citoyen et de leadership Québec. [00:27:35] Speaker B: Absolument. Tu sais, je vais vous faire déborder un peu des cadres géographiques de la ville. New York, tu as même Dany. Mais t'as pas le goût de voter Cuomo, qui est un veilleux croceur, qui a mal fait durant la COVID, qui a été blâmé d'ailleurs, en cause de gestion de la COVID, des personnes âgées. Et qui est parti dans la honte, exactement. Mais là t'es poigné avec lui! [00:27:57] Speaker C: Plus y'a rien. [00:27:58] Speaker B: T'es poigné avec lui! Le maire Adams est parti, mais le maire Adams était corrompu jusqu'aux oreilles. Avec la Turquie, puis l'argent. Pis là Trump, il prenait pour Adams, ça c'est fucké là. Ça c'est un autre des folies de Trump aussi là. What a great guy! La mère Adams. Mais là, il te reste un gars qui est béret, qui est somme toute très intéressant. Moi qui s'appelle Carlick, qui est animateur à WABC. Lui, c'est le candidat républicain officiel à New York. Je me souviens pas de son nom, je le lis sur le bout de la langue. Il y a même Danny, qui est un communiste pur et dur, islamiste. C'est un méchant malade. [00:28:37] Speaker C: — Sliwa. [00:28:38] Speaker B: — C'est Sliwa, Curtis Sliwa. Curtis Sliwa, À mon avis, puis d'ailleurs ils l'ont déjà abordé à la station de radio où ils travaillent, il y a un enjeu de look. Je comprends qu'il était Guardian Angel avant dans le métro. Guardian Angel, ils interviennent pis ça, lui c'est le fondateur. Sauf que là il se promène en veston-cravate pis il a gardé son béret. C'est niaiseux à dire dans la politique. Looks, the looks matter. [00:29:04] Speaker A: Anyway, il tire une erreur de coma. [00:29:06] Speaker B: C'est ça. Ce que je veux vous dire, c'est que ce qu'on vit à Québec, la pauvreté de l'offre politique et cette espèce de dilemme d'enfer. Qu'est-ce que tu fais? Tu restes à la maison, tu votes pour qui? À New York, ils le vivent. Tu vas pas voter forcément, c'est ça. Montréal, c'est la même chose aussi. Mais New York, c'est la plus grosse... [00:29:26] Speaker A: Je vous rappelle que c'était Donald Trump contre Kamala Harris, la dernière présidentielle. [00:29:30] Speaker B: C'est ça. [00:29:31] Speaker A: Moi, je pense... Et Harris était... [00:29:35] Speaker B: Vraiment mauvaise mur à mur. [00:29:37] Speaker A: C'est mon opinion, là. Mais je pense que les réseaux sociaux ont chassé le monde de qualité de la politique. [00:29:43] Speaker B: Ah, tout à fait. Tout à fait. Tout à fait, parce que t'as peur de... La télé en continue aussi. On n'a pas oublié la télé en continue. [00:29:50] Speaker A: La culture de la cancellation. [00:29:51] Speaker B: La culture de la cancellation, tout ce qui vient avec. [00:29:53] Speaker A: T'sais, t'as fait un moon au travers des fenêtres de l'autobus quand t'allais à l'université en 1977. On te cancelle. [00:29:59] Speaker B: T'as fait un tweet. Ou tu t'es saoulé en pêche pis t'avais écrit quelque chose qui était pas fin. Pis là on ressort ça comme si tu l'avais écrit la veille. [00:30:10] Speaker A: C'est ça. [00:30:11] Speaker B: C'est ça l'histoire? [00:30:12] Speaker A: Ben oui. [00:30:12] Speaker B: Ben t'as pas de gens purs. Les gens purs n'existent pas. Donc t'as osé de purifier tous tes médias sociaux. Pis après ça ben tu te présentes. C'est ça qu'on veut vraiment. C'est spécial. Là, on se retrouve avec une pauvreté de candidats quand même assez majeure. Ou tu te retrouves avec des politicos traditionnels qu'on connaît déjà. Hamad, Yves-Lévesque, Achaoui. Des gens qu'on connaît déjà, des gens qui ont fait de leur vie une carrière politique.

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