Episode Transcript
[00:00:00] Speaker A: En apparence, c'est une bavure policière. On verra bien l'enquête qui se poursuit concernant justement deux coups de feu qui ont été tirés à l'endroit d'un jeune homme, d'un jeune garçon, d'un ado de 15 ans qui est mort. Le jeune n'était pas armé. C'est épouvantable. Mais là, on a constaté au cours des derniers jours que Antifa a pris le contrôle de cette histoire-là Et on a dévié la discussion et c'est devenu finalement police raciste d'ailleurs. J'ai pas d'extrait là-dessus pis je vais lancer le légionnaire à cet effet-là. Je sais pas, Dom, si t'es capable d'aller me chercher un extrait d'entrevue absolument dégueulasse de Michel Jean, qui s'emêle de cette histoire-là, ancien gouverneur général, qui dit que ça, ça démontre que la police est raciste. Ah, really? Donc, ce jeune-là, il s'appelle Thomas Gélinas pis il se fait pas tirer. C'est ce que vous dites? C'est dégueulasse ce qu'elle a dit pis c'est quand même Michel-Jean. Ça, je veux qu'on l'entende. Et Alexa, la voix a été au coeur de cette manif-là qui a dégénéré. Elle est de Rebel News, vous la connaissez bien. Salut Alexa, comment ça va ce matin?
[00:01:16] Speaker B: Ça va bien, merci de me recevoir.
[00:01:19] Speaker A: Je veux qu'on prenne le temps d'écouter. Dan, es-tu capable de nous faire entendre le vidéo que je t'ai envoyée, qu'on va écouter sur le flag, d'elle et surtout son caméraman. C'est... c'est pas... c'est pas... c'est Mickaël-Jean, pardon, j'ai dit Michel-Jean. C'est Mickaël-Jean. Elle est tellement disparue de la carte. C'est Mickaël... Merci... Merci d'avoir aplombé les livers. C'est Mickaël-Jean. Bon, Mickaël-Jean. Ben oui, la fille de Thetford. Mais oui, c'est Mickaël Jean qui, ça oui, c'est elle, l'ancienne gestionnaire de la francophonie, qui a vraiment dérapé, déliré. Et cet extrait-là, je veux vraiment vous le partager en ondes. Es-tu en mesure de jouer l'extrait à partir de ce que je t'ai envoyé, Dan?
[00:01:57] Speaker C: Oui, je fais juste attendre que le vérificateur RNC Média m'autorise à connecter mon...
[00:02:03] Speaker A: OK, quand ça va être autorisé, tu me le diras. Peux-tu me décrire ce qui s'est passé en fin de semaine pendant ce temps-là? T'étais avec ton caméraman Guillaume à Longueuil. Décris-nous ce qui devait se passer à Prima Barre.
[00:02:16] Speaker B: Ben, ce qui s'est passé devait se passer. En fait, ça a été un gros rassemblement. Beaucoup d'enfants, la famille était là. Ils se sont tous rassemblés. Ils ont fait une marche, en fait, puis ils ont terminé sur un terrain de football, ou pas de football, mais de soccer. Et ils ont donné un dernier hommage. Ça s'est passé très calmement, très paisiblement. Et nous, tout ce qu'on faisait, c'était documenter ce qui se passait. Parce que, bon, on avait vu que dans les derniers jours, la police de l'agglomération de Longueuil avait averti qu'il y avait eu des informations comme quoi il y avait peut-être des gens qui allaient essayer de provoquer. On a su également que les policiers, certains policiers avaient reçu des menaces, même une mise à prix sur un des des policiers qui n'étaient pas impliqués dans ce qui s'est passé avec le jeune Nouran. Donc, on s'est dit, puisque la manifestation a été amplifiée par Montréal antifasciste et par d'autres groupes antifascistes, on s'est dit, écoute, on va y aller, on va documenter, on va rester en silence, on va respecter la famille, les amis qui sont en train de pleurer, le jeune, et on va juste rester là en silence. Et qu'est-ce qu'on a pu voir, c'est qu'il y avait ou pas de police étaient juste là pour bloquer les rues aux intersections. Il y avait un drone du service de police probablement qui faisait la surveillance de manière aérienne pour probablement pas provoquer ou créer des provocations ou juste parce que des fois juste la présence policière pourrait avoir créé des provocations. Donc on se tenait sur le terrain et là il y a des gens qui arrivaient avec des caissiers, des drapeaux de la Palestine. Il y avait des gens avec des gilets « All cops are bastards », tous les agents de police sont des connards. On a vu toutes sortes de choses qui sont complètement inappropriées pour un vigile. Et là, nous, on voulait juste documenter qu'est-ce qui se passait, puis justement voir que Montréal antifasciste, dans leur déclaration, avait écrit que la police est colonialiste, raciste, capitaliste, puis que le service de police de Longueuil n'est pas exempt. Donc, nous, on est allés, on s'est tenus en silence, et là, ils nous ont remarqué et là, ça a pris...
[00:04:44] Speaker A: Et là, ça a déliré. On va prendre le temps, Alexa, d'écouter un extrait. Ça s'est tiré de votre vidéo. On écoute. On.
[00:04:56] Speaker B: Est calmement ici. Je sais pas pourquoi vous êtes tellement agressifs. Ça paraît pas bien pour votre événement. Moi, je vous inviterais à vous calmer un petit peu.
[00:05:12] Speaker A: Et là, ça passe, ça déjeunère. C'est tiré de votre vidéo. Ça, c'est la réalité. Ça se passe comme ça. Et plus loin, on voit qu'il semble abrier quelqu'un d'une couverte mauve. C'est quoi l'affaire? Ça brasse, là.
[00:05:32] Speaker B: Parce que là, l'affaire, c'est que je ne peux plus, moi, aller sur le terrain.
S'il y a la moindre chance de présence d'antifa, je ne peux plus y aller par moi-même.
[00:05:43] Speaker A: C'est trop dangereux.
[00:05:45] Speaker B: C'est trop dangereux. Je risque gros pour ma sécurité personnelle.
[00:05:49] Speaker A: Et la sécurité de ton caméraman aussi, Guillaume.
[00:05:52] Speaker B: Oui, effectivement.
[00:05:53] Speaker A: On va prendre pour lui aussi. On va le nommer. Il n'est pas dans l'entrevue, mais il va au battre quand même. Il y a un caméraman qui fait sa job. C'est un caméraman qui, dans des situations comme ça, est une cible aussi.
[00:06:08] Speaker B: Il est une grosse cible, parce que dans le fond, les antifas vont souvent viser les caméras. Il faut se dire, ils vont souvent essayer, soit de briser les caméras, de voler les caméras, ou de mettre de la peinture dans les caméras.
[00:06:20] Speaker A: Là, la police est où, là?
[00:06:22] Speaker B: Elle n'est pas là. Elle est absente. Et nous, on a deux gardes du corps parce qu'on a besoin de gardes du corps. Ils s'en ont pris à nos gardes du corps en les fessant, en essayant de leur lancer des affaires dessus. Et à un moment, je vais te le dire, j'ai eu peur, j'ai vraiment eu peur parce qu'il y a un homme qui s'est mis à deux pouces de mon visage pour me crier « nazi, t'es une nazi ». Puis je le voyais dans ses yeux, qu'il croyait vraiment que j'étais une nazi, puis qu'il s'en allait me frapper. Puis la seule rhétorique que j'ai été capable de sortir, c'est « je suis une femme ».
Faut pas qu'il me frappe.
[00:06:57] Speaker A: On est-tu capable d'aller plus loin dans la vidéo, Dan, que de l'ajuster? T'es-tu capable d'y aller avec le curseur?
[00:07:01] Speaker C: Oui, oui.
[00:07:03] Speaker A: On y va.
[00:07:03] Speaker B: Parce que vers la fin, c'est terrible.
[00:07:05] Speaker A: Plus loin que le curseur pour écouter la scène telle que décrite par Alexa. On va y aller. On va tenter d'écouter un extrait. C'est vers la fin, Alexa déjeunère.
[00:07:18] Speaker B: C'est...
C'était au début, mais pas tout à fait vers la fin, parce que c'est un montage vidéo, là, où est-ce qu'on voit après ça la...
[00:07:28] Speaker C: C'est parce que moi, je veux pas y sac, en honneur.
[00:07:31] Speaker A: Ouais, je comprends, Dan, qu'on veut pas y sac, mais en même temps, c'est la vérité, là, ça déjeunère. Va-t'en plus loin, là, on va l'entendre un moment donné. T'as carrément été prise de panique, Alexa.
[00:07:40] Speaker B: Là, pis c'est pas... Ben, j'ai été prise d'attention.
[00:07:43] Speaker A: Ouais, juste un peu plus loin, là, on va... T'as paniqué complètement, t'as vraiment eu peur, là.
C'est ça. C'est ce bout-là.
[00:07:54] Speaker B: Ouais.
[00:07:55] Speaker A: Ouais, c'est ça.
[00:07:58] Speaker C: C'est la base. Ça me fait penser un peu à ce que j'ai vécu dans le temps de la meute. C'était exactement ça. C'est pareil. Puis à un moment donné, ils t'amènent... Moi, ils m'avaient amené dans le coin d'un mur. J'étais poigné. Je pouvais pas aller ni à gauche ni à droite.
[00:08:09] Speaker B: La meute?
[00:08:09] Speaker C: Pas la meute. Les antifas.
[00:08:11] Speaker A: Les... ce qu'on appelait le black bloc avant. La gang de...
[00:08:14] Speaker C: On appelait ça vraiment les antifas.
[00:08:17] Speaker A: Jaggie Singh.
[00:08:18] Speaker C: Exactement. Exactement.
[00:08:19] Speaker A: Oui, oui. C'est la même mentalité.
[00:08:21] Speaker B: Ce qui me répulse là-dedans, c'est que imaginez une seconde que ça aurait été un média comme Radio-Canada ou TVA, whatever, tous les médias se sont répétés. C'est inacceptable, c'est inacceptable, mais qu'est-ce qui s'est passé, etc. Alors que TVA Nouvelles a écrit La tension a monté lorsque certains manifestants ont remarqué la présence d'une équipe de Rebel News, un média d'extrême droite, et plusieurs ont enfilé des masques et l'ont repoussé hors du parc en la qualifiant de fasciste.
[00:08:54] Speaker A: C'est inacceptable.
[00:08:55] Speaker B: Tout simplement de leur donner du jus et de dire que oui, dans le fond, vous avez raison, c'est une gang de fascistes d'extrême droite, alors que l'extrême droite est utilisée à tous os. L'extrême droite, il n'y en a pas de médias d'extrême droite, on va arrêter ça, là. Je veux dire, là, c'est juste qu'ils ne sont pas en train d'attiser la flamme. Moi, j'ai peur qu'à un moment donné, il y ait quelqu'un qui va faire l'irréparable. Puis ça va être une partie de la faute des médias traditionnels qui ne veulent pas arrêter de nous étiqueter avec des choses complètement atroces.
Alors qu'on fait juste notre travail de documentation sur le terrain, il y a même quelqu'un, parce que bien sûrement Montréal antifasciste a publié comme quoi qu'on était là pour provoquer, alors qu'il y a une personne qui se dit être par partie de l'organisation, je ne sais pas si c'est vrai, pour débunker absolument tout ce qui s'est passé en disant que c'était eux qui avaient provoqué. Et c'est bien sûr que Montréal antifasciste a supprimé le commentaire. Mais quand je vous dis qu'il y a même des jeunes qui étaient là, probablement des amis ou des gens qui vont à l'école, qui allaient à l'école avec le jeune Ouran, qui se sont dissociés de ces gens-là, et que moi j'ai vu Amir Khadir à la toute fin, que lui n'a pas été capable de condamner la violence d'Antifa... Non, non.
[00:10:26] Speaker A: Non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non.
[00:10:29] Speaker B: Comme non, non, non, non, non, non.
[00:10:31] Speaker A: Non, non, non, non, GND qui a refusé de condamner la violence. Oh non, moi je suis porte-parole, on s'en souvient de cette histoire-là. Puis ça a brassé durant l'histoire des Carrés Rouges. Ça semble loin pour plusieurs. Puis il y a même certains auditeurs qui ont pas vraiment connu cette période-là quand même qui date. Mais t'es en train de me dire qu'Amir Khadir n'a pas condamné la violence.
[00:10:55] Speaker B: Parce que j'ai dit « Est-ce que vous condamnez la violence des antifas là-bas? » Il dit « Je ne condamne rien que je ne vois pas. » Après ça, il a dit « Si vous vous êtes fait attaquer, je le condamne, mais je ne condamne rien que je n'ai pas vu. » Et là, quand je lui ai dit...
Mais là, il essayait de dire, « Oh, mais là, il faut que vous, les journalistes, vous revoyiez comment vous avez couvert l'événement durant la coupe de semaine. C'est pour ça que les gens peuvent avoir de la colère, de la violence, whatever. » Là, j'ai dit, « Oui, mais moi, c'est ma première couverture. Qu'est-ce que vous parlez? » Il dit, « Non, mais on vous associait aux autres journalistes. » J'ai dit, « Ben non, on m'associait à Rebeños. » Et à ce moment-là, il est parti à rire. Il s'est tapé les mains et il a dit, « Vous faites partie du problème.
[00:11:38] Speaker A: » C'est ça, le problème. C'est ça le problème. Mais moi je vais en revenir aux médias mainstream qui ne condamnent pas ça, veulent se désolidariser. On comprend? que vous êtes un média alternatif. Vous couvrez la nouvelle de manière différente, mais de manière très active sur le terrain. Même affaire en Ontario avec le reporter là-bas, David Menzi, qui couvre les manifs de pro-terroristes downtown Toronto. C'est l'un des seuls à le faire. Vous êtes très courageux de le faire. Mais ça, c'est une forme de journaliste. C'est du journalisme actif. C'est du journalisme comme ça existait en passant. durant la période de Gaétan Giroir. Quand même, j'ai travaillé moi-même avec Gaétan à GIE. Gaétan qui s'est fait pogner dans des émeutes, en couvrant les émeutes du Canadien de Montréal, il y a très très très longtemps. Mais quand même, c'est arrivé. Là, eux restent en retrait, vos juges, les amis de TVA et de RADCAN et de nouveaux. Quand vous allez jouer dans le film, vous allez vouloir vous aussi qu'on se solidarise contre les espèces de maniaques et les fripouilles qui profitent d'un drame humain. Les manifs sont très compréhensibles, je les vois justement à la une de la gazette en passant. Juste, la justice pour Nouran Rezaie.
Justice for Nouran, on voit les... T'sais, mais ça, ça, ça vient du coeur. Ils ont le droit. C'est épouvantable. C'est épouvantable, OK? Mais cette dérive-là doit être condamnée. Puis plus que ça, ça doit être condamné par le ministre de la Sécurité publique. C'est qui, là, qui est rendu ministre de la Sécurité publique? C'est qui? C'est une gang de no-name.
[00:13:26] Speaker C: C'est l'ancien policier, là.
[00:13:29] Speaker A: Ah, il a gardé sa job, Yann Lafrenière, quoi?
[00:13:31] Speaker C: Oui, mais non, c'est le nouveau ministre.
[00:13:33] Speaker A: De la Sécurité publique. C'est le nouveau ministre de la Sécurité publique, c'est lui? Bien, lui devrait dénoncer.
lui devrait dénoncer. La violence et l'intimidation doivent être dénoncés. Et si c'est pas dénoncé, la prochaine fois, ça va dégénérer, puis peut-être encore plus et encore plus. C'est épouvantable. Allez-vous sortir autre chose là-dessus aujourd'hui en terminant?
[00:13:55] Speaker B: Aujourd'hui, on a une énorme scoop. On a un reportage énorme. Ça va brasser.
[00:14:01] Speaker A: En rapport avec quoi?
[00:14:03] Speaker B: Ça a encore rapport avec Antifa, mais là, c'est encore plus gros que vous le pensez.
[00:14:10] Speaker A: Donc... Au Québec ou au Canada?
[00:14:11] Speaker B: Au Québec. Et pour que ça aille vraiment choquer plusieurs personnes, je vais vous dire que c'est gros. Puis je vous invite à aller le voir. Je l'ai fait en français et en anglais, donc les deux versions vont être disponibles.
[00:14:25] Speaker A: On va en prendre des choses qu'on ne sait pas?
[00:14:27] Speaker B: Vous allez en prendre des choses que je pense que vous allez être choqués d'entendre.
[00:14:31] Speaker A: Est-ce que ça va provoquer des réactions politiques?
[00:14:34] Speaker B: Oui, bien, on l'espère. On l'espère. On l'espère que les gens, justement, vont sortir et vont faire quelque chose par rapport à ça. Là, je pense que c'est le temps. On l'a vu, l'antifa, c'est... C'est... Ça devrait être considéré comme un.
[00:14:50] Speaker A: Groupe terroriste par le Canada.
[00:14:52] Speaker B: Ça devrait être... Aucun doute.
[00:14:54] Speaker A: Comme aux États-Unis.
[00:14:56] Speaker B: Et nous, dans le fond, ce qu'on va faire, c'est qu'on fait en ce moment de la pression. Parce que là, on a même les preuves que ça va trop loin.
[00:15:03] Speaker A: Merci beaucoup. On va suivre ça à quelle heure?
[00:15:06] Speaker B: Ça va sûrement sortir vers 11h le matin.
[00:15:09] Speaker A: Sur le site de Rebel News?
[00:15:11] Speaker B: Oui, effectivement.
[00:15:12] Speaker A: OK. Merci beaucoup, Alexa.
[00:15:13] Speaker B: C'est moi qui vous remercie.
[00:15:14] Speaker A: Merci. Bye-bye. Alexa Lavoie. Et on salue son caméraman, Guillaume. C'est une dérive monumentale. On ne peut pas rester assis sur nos deux mains face à une telle violence. C'est carrément du terrorisme. Terrorisme, c'est quoi? c'est la terreur par la violence et l'intimidation. C'est pas très très compliqué. Mené par une idéologie. Il faut vraiment ça, c'est important. Parce que là, on va jouer à terrorisme à toutes les sauces. Il y a quelqu'un qui a tué 2-3 personnes, c'est du terrorisme et tout. Il faut que ça soit mu par une idéologie. Il faut qu'il y ait une intoxication idéologique. Donc, si la commission d'un crime ou d'une succession d'actes de terreur, d'intimidation, mue par une idéologie. Et eux ont une idéologie assez toxique, merci. Mais là, le Canada, oh non, non, c'est Donald Trump qui fait ça, il est pas fin. C'était donc bien bizarre, ça, d'ailleurs, la couverture là-dessus des médias québécois. Oh, le Donald Trump qui a déclaré Antifa terroriste. Évidemment, tout ce que fait Donald Trump, c'est mauvais. Donc c'est comme si les médias prenaient pour Antifa. À chaque fois que Donald Trump s'ouvre la bouche, c'est tout, c'est épouvantable.
[00:16:21] Speaker C: Mesdames, si t'es contre Antifa, t'es faux.
[00:16:25] Speaker A: Dans leur tête à eux autres. Dans leur tête à eux autres. Dans leur lubie.