Episode Transcript
[00:00:11] Speaker A: C'est journée fériée aujourd'hui.
[00:00:16] Speaker B: Oui, ben oui.
[00:00:18] Speaker C: Êtes-vous réconciliés?
[00:00:20] Speaker A: C'est la journée de la réconciliation. Vous vous dîtes qu'est-ce qui est fermé aujourd'hui. Les institutions financières sont fermées aujourd'hui. Les compagnies d'assurance sont ouvertes, mais tout ce qui est régi par le gouvernement fédéral est fermé.
[00:00:30] Speaker C: Les stations de radio sont fermées. L'émission que vous écoutez présentement est préenregistrée.
[00:00:34] Speaker B: Elle est préenregistrée, mais je suis quand même capable de vous dire qu'il est 6h57 et je suis pas le poil.
[00:00:39] Speaker A: Voilà.
[00:00:40] Speaker B: Ce qui est fermé aussi, c'est l'eau potable dans plusieurs réserves.
[00:00:43] Speaker C: Ouais.
[00:00:44] Speaker B: Gang d'hypocrites. Gang d'hypocrites. Ça, c'est une création de Trudeau, ça. Chandaille jaune-orange. Faut se souvenir des Premières Nations, aucun doute. Mais honnêtement, c'est rien passé avec les Autochtones sous Trudeau.
[00:01:00] Speaker C: Y'a rien de nouveau.
[00:01:01] Speaker B: C'est juste du blablabla. Regarde, j'ai nommé la première ministre.
[00:01:05] Speaker C: Virtue Signaling.
[00:01:06] Speaker B: C'est Virtue Signaling. C'est juste du blablabla.
[00:01:08] Speaker A: Ça a été la première à vouloir qu'il parte.
[00:01:09] Speaker C: Oui.
[00:01:10] Speaker B: Mais oui. Exact. Non, non, c'est un master hypocrite.
[00:01:13] Speaker C: Comment c'est appelé déjà?
[00:01:13] Speaker B: Quelle hypocrisie. Judy Wilson-Raybould. Oui, c'est ça.
[00:01:19] Speaker D: Exact.
[00:01:19] Speaker B: Il faut écrire un livre pour le planter.
Un sale hypocrite, Trudeau, c'est ça que c'est.
[00:01:24] Speaker A: Donc bon congé férié à tous.
[00:01:26] Speaker B: Mais on a un congé qu'on reportera à notre horaire. Donc voilà, on porte le jaune orange aujourd'hui.
[00:01:31] Speaker A: Oui, toute la gang c'est fait, c'est réglé. Donc passez une bonne journée, mais dites-vous que si vous n'avez pas de service à telle ou telle place et que souvent il y a des entreprises, puis il y a beaucoup d'entreprises au Québec, les plus grandes entreprises ont décidé de le faire même si le gouvernement du Québec n'embarque pas dedans.
[00:01:45] Speaker B: Donc... Donc, si tu veux aller changer ton chèque chez Desjardins, c'est fermé. C'est ça?
[00:01:51] Speaker A: Ben les caisses, c'est comme le jour du souvenir. Les banques, les caisses, c'est...
[00:01:57] Speaker B: Le jour du souvenir au Québec n'est pas très respecté, je trouve.
[00:01:59] Speaker A: Au Canada anglais, oui. Nous autres, on a un congé férié. Nous autres, on a un congé férié. On travaille pareil.
[00:02:10] Speaker B: On n'a pas de congé remis. Un congé férié, c'est un congé remis. Aujourd'hui, c'est remis, mais Chouin ne nous a jamais donné de congé remis pour le jour du souvenir. On fait un jour pour honorer ici les premiers combattants, mais c'est pas un congé remis. Un vrai légal, ça n'en est pas un. Malheureusement.
[00:02:25] Speaker A: C'est parce que c'est pas toi qui décide quand est-ce qu'il est remis. Oui. Mais au Québec, on a une journée...
[00:02:30] Speaker B: Mais ils nous ont jamais dit ça sur notre oreille qui était remis, Dan.
[00:02:34] Speaker A: Je sais.
[00:02:34] Speaker B: Faudra parler à Daniel qui fait les horaires.
[00:02:36] Speaker A: Au Québec, on a une journée de congé de fériés le plus dans le temps des fêtes et c'est à cause du 11 novembre.
[00:02:41] Speaker B: C'est quoi? C'est quel date?
[00:02:43] Speaker A: Je sais pas.
[00:02:44] Speaker C: Le 22. Je sais pas si vous avez jamais saisi la période.
[00:02:47] Speaker B: 24, 25, 26, 31, 1er et 2. C'est ça qu'on a de fériés.
[00:02:51] Speaker A: Parce que pour nous autres, c'est un férié le 11 novembre.
C'est sûr, c'est sûr. Loi fédérale, c'est vraiment le 11 novembre. Je l'ai ici, radiodiffusion, jour du souvenir, le 11 novembre 2025, qui est un congé férié.
[00:03:05] Speaker B: Il faudrait demander à Danny. Danny qui nous écoute actuellement, qui prend de marche. Danny, Rémi, quelle date cette année?
[00:03:12] Speaker A: Au Québec, je pense que c'est le 24 décembre qu'on a férié pour les gens qui sont sur l'entreprise fédérale. et que les autres n'ont pas, ceux qui sont régis par le gouvernement du Québec, n'ont pas le 24 décembre. Je pense que c'est une affaire de même, là.
[00:03:25] Speaker C: — Ouais, ça se peut.
[00:03:26] Speaker B: — Donc, je réitère ma demande à Danny. C'est quoi?
[00:03:29] Speaker C: — Bien, ça a du sens, le 24 décembre.
[00:03:30] Speaker B: — La date du congé remis.
[00:03:32] Speaker A: — Mais il y a quelque chose là-dedans, mais tu sais, je le vois.
[00:03:35] Speaker B: — Moi, j'en doute.
[00:03:36] Speaker A: — Je suis ici du gouvernement du Canada et on a un congé férié le 11 novembre.
[00:03:39] Speaker B: — Mais t'as tout à fait raison que c'en est un, Dan. Ce que je dis, c'est que Je suis pas sûr que nous autres on l'a. Peu importe, je m'en fous. On est en santé pareil, pis ça va bien pas nous de bonne humeur.
[00:03:49] Speaker C: Au Québec, y'a presque rien de fermé le 11 novembre. La construction, semblerait-il, le 11 novembre, ils l'ont de congé.
[00:03:55] Speaker B: Moi, je trouve ça manque de respect au Québec, là, envers le 11 novembre, si vous voulez mon avis. C'est le Canada anglais, sauf le Québec.
[00:04:01] Speaker C: Je l'ai souvent dit, je serais prêt à faire un échange en masse. Même l'action de gaz, à la limite.
[00:04:07] Speaker B: Ben oui.
[00:04:08] Speaker C: Il y a une histoire à l'action de gaz, mais au Canada, c'est pas une vraie tradition.
[00:04:12] Speaker B: Non.
[00:04:12] Speaker C: C'est plate, mais c'est ça.
[00:04:13] Speaker B: Tradition américaine. Oui.
[00:04:15] Speaker A: C'est une tradition canada-anglaise aussi. monde Il qui y a du va.
[00:04:15] Speaker B: Au grand moment et qui paye 800$ en avion pour aller passer un week-end chez maman dans le Royaume-Uni.
[00:04:20] Speaker A: Canada anglais aussi.
[00:04:21] Speaker B: Canada anglais aussi, moins qu'aux États-Unis, mais plus qu'au Québec.
[00:04:25] Speaker A: Ils se vendent plus de dinde au Canada en octobre qu'ils s'en vendent dans le temps des fêtes. Le Canada anglais, c'est...
[00:04:32] Speaker B: J'ai resté quand même longtemps au Canada anglais, Dan, mais c'est moins qu'aux États-Unis. Aux États-Unis, il y a des congestions autour des aéroports.
[00:04:38] Speaker A: Au Canada, c'est un lundi. Aux États-Unis, c'est six jours.
[00:04:40] Speaker C: Ouais, c'est ça l'affaire.
[00:04:41] Speaker B: Aux États-Unis, c'est plus important que Noël.
[00:04:43] Speaker C: Oui, ben oui.
[00:04:44] Speaker B: C'est capoté. C'est là qu'ils voient grand-maman, maman, la Wyoming, la belle grande maison blanche, les images qu'on se fait. Mais grand-maman, On est en famille immédiate à Noël. Grand-maman, ma tante Suzanne, on la voit pas. Ma tante Suzanne, on la voit à l'Action de grâce, où on se pitche le ballon de foot. Avec mon oncle Raymond, puis son cousin.
[00:05:07] Speaker C: Quand on est allé en famille à Disney il y a trois ans maintenant, on est allé la semaine après le Thanksgiving. Parce que Disney à ce moment-là tombe un peu plus, on s'entend qu'il y a beaucoup de monde pareil, mais un peu plus flat.
[00:05:19] Speaker B: Plus relax, exact. J'aime des tarifications dynamiques aussi, quand c'est plus relax c'est un petit peu moins cher aussi.
[00:05:24] Speaker A: Mais tout ça pour dire que hier ma blonde s'est dit je pourrais peut-être aller au spa voir, checker les affaires, c'était bouclé partout.
Il n'y a pas de place, donc il y a vraiment du monde qui sont en congé aujourd'hui. Ça va paraître...
[00:05:36] Speaker B: On fait des autochtones, on se fait faire un massage, on va au sport.
[00:05:39] Speaker A: Si tu veux faire, c'est une journée de congé.
[00:05:41] Speaker B: Bon oui, regarde, on n'est pas obligé de se flageller, il faut en profiter.
[00:05:44] Speaker A: Pas mal plus, pensez à la réconciliation quand tu te fais masser, quand tu regardes la télé.
[00:05:48] Speaker B: Réconciliez-vous avec votre propre corps.
[00:05:51] Speaker A: Voilà, exactement. Donc voilà, ça se passe aujourd'hui. Gâtez-vous, profitez-en. Et surtout, faites de cette journée une journée remplie de bonheur, de joie.
[00:05:59] Speaker B: Et continue de les écouter jusqu'à 10 heures et plus encore.
[00:06:02] Speaker A: Et voilà. Hé, on a parlé de poupées hier.
[00:06:04] Speaker B: Ah là là, ça, faut que tu me fasses un spécial poupée, là. Moi, j'ai été renversé de ça, là. Ça, c'est de la maladie mentale pure.
[00:06:12] Speaker C: Pure et dure.
[00:06:13] Speaker B: Les poupées reborn, j'en reviens pas. Ça existe depuis des années. Je me suis mis au Starbucks à regarder des vidéos de ça. Là, j'envoyais ça à Dan. J'ai dit, Dan, il faut que tu fasses une émission spéciale là-dessus, là. Sans pas d'allure, comment c'est psycho, là.
[00:06:26] Speaker C: J'ai vu ça quand mon père était en CHSLD. que des personnes qui ont pu toutes leurs têtes, des madames très âgées, qui ont des bébés, des poupées dans les mains, qui se promènent avec les poupées. Le fuck de Marguerite Blais!
[00:06:43] Speaker A: Mais là, à un moment donné, il faudrait peut-être juste dire au monde, fais avec. Parce que l'histoire des bébés reborn, ça vient beaucoup du fait que des femmes ne peuvent pas avoir d'enfants.
Donc là, t'sais, on dirait que c'est comme quelqu'un qui est allergique aux chiens qui décide de s'acheter un furet pis de l'appeler Fido.
[00:07:02] Speaker B: Ou s'acheter un chien en plastique.
[00:07:04] Speaker A: Ouais, mais non, mais c'est pas ça. Tu peux pas avoir d'enfant. Tu peux pas. Engager des professionnels de la santé mentale.
[00:07:12] Speaker B: Le score du match.
Ça finit avec un zéro.
[00:07:16] Speaker A: C'est ça. La vie est injuste. C'est faux.
[00:07:19] Speaker B: Oui, c'est injuste.
[00:07:20] Speaker A: La vie est injuste. D'abord et avant tout, il faut que tu parles du principe que...
[00:07:25] Speaker B: J'aurais aimé ça avoir des triplés. Non. T'en as eu juste un. Ouais, mais j'en veux deux autres en plastique qui vont ressembler au petit Nathan qui est né. Non. La poupée faite en Chine. C'est pas toi qui vas décider. Des poupées à 160 piastres.
[00:07:43] Speaker A: Ah pis y'en a... Y'en a qui respire.
[00:07:45] Speaker B: J'ai vu ça, man.
[00:07:46] Speaker A: Je sais, y'en a...
[00:07:47] Speaker B: J'me suis pogné dans les Rabbit Hole hier, pas à peu près.
[00:07:49] Speaker A: Pis avec les...
[00:07:49] Speaker B: J'ai pogné une fille qui a des poignets de linge. C'est qu'on me le demande fou. Elle a fait le lavage... Oui! ...de la poupée.
[00:07:56] Speaker A: Oui!
[00:07:57] Speaker B: Mais la poupée qui chie pas pis qui pisse pas, là.
[00:07:59] Speaker A: Non, non! Mais elle fait Elle le fait lavage!
[00:08:00] Speaker B: La couche.
[00:08:01] Speaker A: Ils achètent des couches, ils mettent la couche pis après ça y'a sac aux goudanges, là.
T'sais, ils savent que la couche ouvre.
[00:08:06] Speaker B: D'Argent, la couche... Ça là, c'est profond, profond.
[00:08:08] Speaker C: La couche a énormément d'usages.
[00:08:09] Speaker A: Tu pourrais te loucher dedans, là. Oui!
[00:08:11] Speaker B: Non, c'est de la maladie mentale profonde.
[00:08:13] Speaker A: Ils font des biberons de lait avec du vrai lait en poudre pour bébés. Ils t'achètent, là, pis ils jettent le lait.
[00:08:18] Speaker B: Ben oui, je sais que c'est... T'as pas d'allure. T'as-tu des audios?
[00:08:21] Speaker A: Ben, les audios, hier, j'ai fait entendre les audios de poupées. Là, j'y vais dans les messieurs.
[00:08:27] Speaker B: Oh, ça, j'aime moins ça, là. C'est quoi ça? Précise un peu.
[00:08:30] Speaker C: Mais monsieur... Ben il voulait être papa.
[00:08:33] Speaker A: Non, non, il veut pas être papa. Je te fais entendre, Étienne, qui est allé rencontrer Thierry Ardisson avec sa conjointe, Iréna.
[00:08:43] Speaker E: Tiens, vous êtes un homme équilibré, bien dans ses pompes, vous avez un job de commercial, vous êtes papa, mais votre vie amoureuse prend un tour particulier le 3 août 2015, puisque vous rencontrez quelqu'un sur internet avant de partager sa vie. Depuis, elle est votre compagne officielle. Elle est là ce soir, Iréna !
[00:09:13] Speaker A: Ça n'a pas de sens.
[00:09:14] Speaker B: Ah, la musique!
[00:09:17] Speaker A: Il met le rencontre, tu vois. Lui, il met la musique de X-Files parce que... Oui.
[00:09:21] Speaker B: Oui.
[00:09:21] Speaker A: Parce que c'est un peu ça, là. Écoute, c'est complètement malade. Il parle avec le gars, pis le gars, il raconte son coup de foudre.
[00:09:30] Speaker E: Gros miracle, vous tombez sur une photo d'Erena, qui est assise, en fait, sur le bord d'une baignoire, en nuisette, Et vous dites, je n'oublierai jamais son regard.
[00:09:42] Speaker F: Ah oui, oui. C'est son regard qui m'a provoqué vraiment un coup de foudre. J'ai senti, même si beaucoup de gens ne voient en elle ou en ses poupées qu'un objet, moi j'ai ressenti vraiment des émotions à travers ce regard.
[00:09:56] Speaker E: Là vous avez l'impression d'être adolescent au lycée devant une super gonzesse quoi !
[00:10:00] Speaker F: Un grave oui !
[00:10:02] Speaker E: C'est exactement ça ! Alors elle vaut 3000 euros ?
[00:10:06] Speaker F: Oui même beaucoup plus parce qu'en fait il y a eu des évolutions mais j'ai envie de vous dire que l'amour n'a pas de prix !
[00:10:12] Speaker E: Bien sûr !
[00:10:14] Speaker A: Il dit bien sûr. Bien oui, il a fait des ajouts. Elle avait les cheveux roux. Puis là, il a fait teindre les cheveux noirs. Il a rajouté des tattoos. Lui, il était père d'une fille. Il avait une femme. Il a tout laissé ça pour tomber en amour avec sa poupée en silicone.
[00:10:32] Speaker C: Ben voyons donc, ok.
[00:10:32] Speaker A: Il a payé 3000 piastres pis là il a rajouté des modifications dessus parce qu'il y a tune, tu comprends.
[00:10:37] Speaker B: Tu sais que c'est un dîner de cons à Ardisson, il y a comme une couleur d'envoi.
[00:10:41] Speaker A: Si t'en rends compte que c'est un dîner de cons.
[00:10:43] Speaker C: Ben là t'as la musique d'X-Files. Ben c'minute, y'avait une femme.
[00:10:47] Speaker A: Ah oui?
[00:10:49] Speaker C: Pas que je pourrais comprendre, mais un homme seul, qui est seul depuis très très très très très longtemps là, moi c'est l'image que je me faisais là. Mais, ok, Would You Rather, t'as un père de l'âge de Bill Belichick, qu'est-ce que tu préfères? qui t'arrive avec une jeune de 24 ans qui est là pour son cash ou qui t'arrive avec Réna, la poupée.
[00:11:15] Speaker B: Ben, la première version peut-être.
[00:11:17] Speaker A: La jeune de 24.
[00:11:18] Speaker B: Tu pars avec. C'est ça.
[00:11:20] Speaker A: Attends que papa s'endorme, je vais te montrer.
[00:11:23] Speaker B: Ben oui, voyons donc.
[00:11:27] Speaker A: C'est qu'on est niaiseux, mais c'est vrai pareil. Mais lui, il avait femme et enfants.
Il a laissé sa femme et son enfant pour son coup de foudre.
[00:11:36] Speaker B: Je suis complètement déconnecté.
[00:11:37] Speaker A: Attends un peu, j'ai pas fini! Mais juste avant d'aller là, lui, parce que ça fait quand même depuis 2015, pis ça, ça date de... ça date de...
[00:11:47] Speaker C: Mais avant le décès d'Arty, il y.
[00:11:48] Speaker B: Eu a un monstre cet été.
[00:11:49] Speaker A: Ouais, ouais, c'est ça. C'est pas si vieux que ça comme extrait. Pis lui, il est avec... R.N.A. depuis 2015. Il arrive d'une croisière.
[00:11:58] Speaker C: Oh non!
[00:12:01] Speaker A: Il l'amène, René, en voyage. Il paye des billets d'avion.
[00:12:03] Speaker B: T'as pas le droit de l'amener. Pourquoi? T'as pas le droit. Ben voyons donc! Voyons donc, toi! T'es à sécurité!
[00:12:10] Speaker A: C'est sa conjointe.
[00:12:12] Speaker C: Ben oui.
[00:12:12] Speaker B: Non, mais t'es à la sécurité!
[00:12:13] Speaker A: Ben quoi?
[00:12:14] Speaker C: Elle a son billet.
[00:12:15] Speaker B: T'as une valise à roulettes dans la main droite, mais dans la main gauche, t'attiens par le tronc comme si tu soutenais un tronc d'arbre.
[00:12:22] Speaker C: Elle a son billet. Elle a son siège dans l'avion. Mais, y'a pas d'invalides là!
[00:12:27] Speaker B: Mais le gars à la sécurité, il va lui poser des questions à elle! Et lui il dit, elle parle pas, c'est moi qui vais répondre à sa place!
[00:12:34] Speaker A: Ah oui!
[00:12:34] Speaker C: Oui!
[00:12:34] Speaker A: Le seul voyage qu'elle a fait dans le sud de Bagage, c'est celui entre la Chine et l'adresse chez eux là!
[00:12:41] Speaker C: Est-ce qu'il passe avec dans le détecteur de métal?
[00:12:43] Speaker A: Ça, il le demande pas! Mais, il était avec sa femme et sa fille.
[00:12:49] Speaker B: Oh non!
[00:12:51] Speaker A: Son ex-femme et sa fille ont été en vacances en croisière.
[00:12:57] Speaker B: Et lui avait amené la femme tronc.
[00:12:58] Speaker A: Papa nous invite en croisière. Non, elle est pas tronc.
[00:13:00] Speaker C: Elle a des jambes.
[00:13:01] Speaker B: Elle a des pattes.
[00:13:01] Speaker A: Écoute, je vais essayer de la montrer. Elle était assise à côté pendant l'entrevue.
[00:13:05] Speaker B: Non, non, regarde, arrête, là.
[00:13:07] Speaker A: Mais non, mais je te niaise pas! Elle était assise à côté pendant l'entrevue, d'où! Elle est là, pis ta voix avec ses tattoos d'en face, toute, lui...
[00:13:16] Speaker C: Elle a des tattoos d'en face?
[00:13:17] Speaker A: Ben oui, il a fait un coeur sur une joue. Il a... il a... ben... Il a tout...
[00:13:22] Speaker B: Tu veux un renface comme Post Malone, ou est-il allé modérer?
[00:13:24] Speaker A: Je te dirais que Post Malone, c'est un... c'est un beau référent. Non, non, c'est un beau référent.
[00:13:29] Speaker B: Ok.
[00:13:30] Speaker A: Je vais juste essayer de l'ouvrir. Je vais vous faire un imprimé. Elle crate tout ça parce que bon...
[00:13:34] Speaker B: Elle doit sentir le plastique pareil.
[00:13:36] Speaker A: Le silicone, c'est sûr.
[00:13:38] Speaker B: T'es obligé d'allumer une chandelle.
[00:13:41] Speaker A: Ok, je l'ai ici. Regarde. C'est sa blonde là. Elle est là.
[00:13:49] Speaker B: Elle ressemble à Carla Bruni.
[00:13:52] Speaker A: Elle ressemble à Carla Bruni mais avec des yeux d'asiatique et tu vois son regard perçant. Etienne nous raconte comment ça s'est passé un coup qu'il l'a acheté.
[00:14:03] Speaker E: Là, en l'attendant donc, vous rangez votre tanière de célibataire et vous décorez un petit peu votre intérieur dans un look asiatique.
[00:14:14] Speaker F: Il fallait un petit cocon douillet qui lui rappelle un peu ses origines en fait, puisqu'elle est typée asiatique.
[00:14:20] Speaker E: Vous êtes un passion de l'habiller, vous êtes un passion de la maquiller.
[00:14:23] Speaker B: Il n'y a rien qui se niaise dans le monde.
[00:14:24] Speaker F: J'en ai profité pour faire du shopping, j'ai acheté plein de vêtements.
[00:14:27] Speaker E: Vous découvrez le shopping féminin en fait.
[00:14:29] Speaker F: Oui, oui, absolument. Vous ne pouvez pas savoir à quel point je comprends mieux les femmes depuis que je suis avec Iréna.
[00:14:34] Speaker B: Il troll les médias, le lendemain, lui, il va faire un point de presse, il va se dégager, je l'ai eu. C'est pas vrai, tout est faux.
[00:14:40] Speaker C: Ah non, c'est ça, ça se peut. Ça c'est comme...
[00:14:42] Speaker B: C'est trop, là.
[00:14:43] Speaker C: Non, non, c'est Ardisson qui fait un show, c'est comme Blackout au Lyon d'or dans le temps, là.
[00:14:48] Speaker B: Oui.
[00:14:48] Speaker C: Avec Robert Gillet, là. C'est des acteurs, là. Ça se peut pas.
[00:14:52] Speaker A: Je me suis posé exactement la même question. Donc j'ai retrouvé d'autres entrevues de Étienne et Réna à plusieurs autres stations de télévision. Il y a même, c'est ça, lui il est en couple parce qu'il... Sont-tu.
[00:15:07] Speaker B: Allé dans le show de Bercoff?
[00:15:09] Speaker A: Non. Non, non. Mais tu sais, il était à Touche pas à mon poste, il était à toutes sortes de patternes de même, les émissions les plus freaks françaises.
[00:15:17] Speaker B: Est-ce que vous l'embrassez sur la bouche? Est-ce qu'elle a une langue? Est-ce qu'elle a des émotions?
[00:15:22] Speaker A: Il l'embrasse partout.
Je te fais entendre également un autre histoire. C'est un homme qui, lui, en a deux poupées. Alors, je m'appelle Frédéric, bientôt 43 ans. Je vis depuis bientôt 10 ans avec deux poupées, donc Lilika. Et puis, vous avez... Voilà, j'adore déjà avec mes deux poupées, donc on est assez serré. Moi, je me mets au milieu.
[00:15:41] Speaker F: On se tient chaud, quoi.
[00:15:42] Speaker A: Faut pas qu'il y en ait une.
[00:15:42] Speaker F: Troisième parce que je sais pas où c'est qu'elle dormirait.
[00:15:44] Speaker A: À l'époque je l'avais acheté à crédit. Je la voyais plus comme un côté un peu sexuel. Et puis au bout de dix mois, en fait, cette poupée, je l'ai revendue. Alors moi je suis pas contre les.
[00:15:54] Speaker F: Poupées, je trouve que sexuellement c'est cool.
[00:15:56] Speaker B: Mais là le mec a remplacé complètement sa femme, ses relations, par une poupée. Et ça c'est flippant.
[00:16:01] Speaker A: Ah il fait des photos ! Ça reste ma vie privée.
[00:16:04] Speaker F: Elle fait des photos !
[00:16:05] Speaker A: Il a un rapport sexuel avec une.
[00:16:06] Speaker F: Poupée donc forcément ça peut faire sourire.
[00:16:08] Speaker A: Ça peut choquer, ça peut déranger.
[00:16:09] Speaker F: Moi ça me dérange pas qu'il fasse.
[00:16:10] Speaker B: Un rapport sexuel avec la poupée, ça me dérange pas.
[00:16:14] Speaker F: Au contraire, tu te fais plaisir.
[00:16:15] Speaker B: Moi c'est plus l'histoire qu'il est en train de créer, l'histoire d'amour qu'il est.
[00:16:19] Speaker C: En train de créer avec cette poupée.
[00:16:20] Speaker F: Comme une vraie personne.
[00:16:23] Speaker A: C'est complètement débile.
[00:16:25] Speaker B: Parce que poupée gonflable, c'est vieux comme le monde, ça date des années 50-60.
[00:16:29] Speaker A: Puis poupée gonflable, on s'entend pour dire que c'était...
[00:16:31] Speaker B: Les poupées gonflables dans le temps, ça ressemblait...
[00:16:33] Speaker C: C'était plus pour faire des jokes, c'est ça.
[00:16:35] Speaker A: Ça avait plus l'air de quelque chose sur lequel tu te couches dans la piscine.
[00:16:38] Speaker B: Oui.
[00:16:39] Speaker A: Aujourd'hui, c'est carrément des poupées qui ont toutes les articulations, tu paies ça 3000 piastres, t'es capable d'y mettre des talons en haut, des robes... Ah, parles-tu?
[00:16:46] Speaker B: Oui, non, j'ai faim.
[00:16:47] Speaker A: En 2025, selon moi, il est ta vie d'avoir des poupées qui parlent.
[00:16:50] Speaker B: Oui. Intelligence artificielle. J'ai froid.
C'est clair que c'est la prochaine étape.
[00:17:01] Speaker A: Selon moi, on t'avait de voir un reportage de le premier gars qui se fait gérer par sa poupée artificielle.
[00:17:06] Speaker C: Fais le ménage, masse-moi les pieds, ramasse tes bas, fais-toi la vaisselle.
[00:17:16] Speaker B: Aïe, aïe, aïe.
[00:17:17] Speaker A: Ben les gens ont besoin... Non mais.
[00:17:18] Speaker B: Ça existe, c'est sur la planète Terre, ça existe. Et c'est un peu ça le deep down.
[00:17:23] Speaker A: Oui.
[00:17:23] Speaker B: C'est le droit à l'information.
[00:17:25] Speaker A: Ben, pis les gens vont pas bien.
[00:17:27] Speaker B: Non, les gens vont pas bien.
[00:17:27] Speaker A: Visiblement. Je vous fais entendre une Québécoise dans les Laurentides qui est sortie d'une épicerie parce qu'elle avait peur.
[00:17:33] Speaker D: Petit démon à l'épicerie? Non, gros démon à l'épicerie. Hein? Ouais. C'est fou, hein? Y'a une épicerie, j'y vais jamais. Pourtant, y'a plus peur de chez nous. Bon, pour pas genre deux minutes là, c'est pas la fin du monde, mais je vais jamais là. Jamais, jamais, jamais, jamais. J'aime pas le choix qu'ils ont. Hier, j'étais allée. Oui, moi pourquoi j'ai décidé d'y aller. Je suis rentrée. On s'entend là, c'est des épiceries de village. J'ai croisé une femme du coin du regard. Là, j'ai su qu'il y avait quelque chose qui marchait pas instantanément.
Comme un gros démon, mais c'était elle le gros démon, je sais pas comment expliquer ça. Pis j'ai retourné pis elle était plus là. Elle avait disparu. Comme par magie.
[00:18:21] Speaker A: Donc on voit des démons à l'épicerie maintenant.
[00:18:22] Speaker B: Ça va pas bien. Ouais la madame a disparu parce que... Tu connais des épiceries qui sentent le yaoub là?
[00:18:27] Speaker C: Ouais ça c'est autre chose.
[00:18:28] Speaker A: C'est ça.
[00:18:30] Speaker B: Mais de là à avoir un yacht dans l'épicerie, c'est un autre ballgame.
[00:18:34] Speaker A: Ben, ils en ont tous un pour transporter plus que deux boîtes. Ouais! Mais je pense pas effectivement qu'il y ait des démons qui se promènent dans les épiceries.
[00:18:44] Speaker B: Il y a quelqu'un qui t'implore. Sérieux, Dan, ça va être assez à matin, please.
[00:18:49] Speaker A: Attends un peu. Non, non, j'ai pas fini, là.
[00:18:50] Speaker B: Pas fini.
[00:18:51] Speaker A: C'est le deep. Écoute.
[00:18:52] Speaker B: Et quand c'est le deep...
[00:18:53] Speaker A: On est des grosses affaires.
[00:18:54] Speaker C: Oui, oui.
[00:18:55] Speaker A: On va le plus profond possible. Le gars pète sa coche pis il a décidé de pas donner de tips au restaurant. Déjeuner, pourquoi? L'extra a fait le tour du Québec hier, je vous le fante. Des choses comme ça là, ma p'tite madame là, ça se fait pas. OK? C'est inacceptable. C'est comme de péter à table devant plein de monde. Ça se fait pas. C'est impoli. OK? Les toasts, le pain, les tranches de pain, les toasts là, t'les amènes avant, ou en même temps que mon assiette. Pas après. Ça fait une couple de fois qu'on me l'amène genre 5-10 minutes après. Ça fait que moi là, quand je mange des oeufs le matin, j'aime bien ça tremper mon pain dans le jaune, mettre un petit peu de blanc d'oeuf dessus, une tranche de bacon, de fromage, un peu de crouton, whatever ce qu'il y a dans mon assiette, pis je le mange comme ça. Mais si tu me l'amènes 5-10 minutes après, je vais être en tact, pis genre je vais tout manger mon assiette.
Pis y'avait pas une chance que t'aies pas de type juste pour ça! Fait que force-toi mon assisté pis oublie pas mes tabarnak de toast vieille criss!
[00:20:08] Speaker B: Mais dans le fond, la rage au volant, ça n'a pas rapport avec le volant, ça a rapport avec plus la rage qu'autre chose.
[00:20:14] Speaker A: Les gens sont rageux.
[00:20:16] Speaker C: C'est pas la faute de la pétro-masculinité? Non.
[00:20:19] Speaker B: L'autre affaire aussi, c'est peut-être pas dû à tout le monde d'avoir un téléphone.
[00:20:23] Speaker C: Non, arrêtez!
[00:20:24] Speaker A: C'est parce que les gens se disent.
[00:20:25] Speaker B: Moi je fais des vidéos, moi je parle, je raconte ma vie. Moi je raconte ma vie à l'univers comme si ça valait la peine de raconter ma vie à l'univers.
[00:20:33] Speaker A: On dirait qu'à chaque jour, il y a du monde qui auditionne pour faire le deep dance.
[00:20:36] Speaker B: Oui!
Ouais, ça se passe le mot, hein?
[00:20:39] Speaker A: Oui, ça se passe le mot.
[00:20:41] Speaker C: Pas game.
[00:20:41] Speaker A: Pas game d'être dans le dialogue.
[00:20:43] Speaker B: Il y a vraiment quelqu'un sur Texto qui t'implore.
[00:20:45] Speaker A: Arrête.
[00:20:46] Speaker B: Ça lève le cœur. Arrête ça. Ça lève le cœur.
[00:20:48] Speaker A: T'as peu?
[00:20:48] Speaker B: S'il vous plaît, s'il vous plaît, s'il vous plaît.
[00:20:50] Speaker C: T'as peu, c'est pas fini.
[00:20:51] Speaker A: Mon prochain extrait est quand même assez intéressant. Je vous fais entendre un débat de féministes au Québec. En France, si vous comprenez qu'on n'est pas rendu là au Québec.
[00:20:58] Speaker B: Et voilà!
[00:20:59] Speaker A: Les fémino-nationalistes et les féministes. En tout cas, il faut faire la différence entre les deux.
[00:21:05] Speaker C: OK.
[00:21:05] Speaker A: On écoute ça.
[00:21:06] Speaker D: C'est du féminisme d'extrême droite. Oui. On appelle ça le fémonationalisme. Alors, moi j'appellerais ça plutôt du féminisme de bon sens, mais comme vous voulez. Bouge pas, je t'explique. Le fémonationalisme, c'est la contraction de féminisme et de nationalisme. Marine Le Pen écrit en 2016 dans l'Opinion ça. J'ai peur que la crise migratoire signe le début de la fin des droits des femmes. C'est du fémonationalisme. Je vous la refais, elle considère que penser qu'il y a des cultures incompatibles avec la vie des femmes occidentales relève du racisme.
Laisse-moi t'expliquer quelque chose de très très simple. Si tu laisses venir des afghans en masse en France, pourquoi traiterait-il différemment les femmes françaises que les femmes afghanes ? Et deuxièmement, pourquoi n'irais-tu pas tester ton féminisme en Afghanistan ? Peut-être que tu deviendrais fémonationaliste.
[00:21:49] Speaker B: Bravo !
[00:21:49] Speaker D: On retrouve cette tendance dans les franges les plus conservatrices. Nemezis en est le parfait exemple. Ah enfin, je commence à être vexée. Allons-y. C'est un groupe uscule identitaire qui se revendique féministe de droite et qui veut défendre les femmes occidentales. Le mouvement exclut les personnes trans et... Ah, les hommes, les hommes, je crois que tu t'es trompé. Nous excluons les hommes. Quoi ? On est contre un bout de tissu qui montrerait que les femmes sont inférieures aux hommes et qui voudrait les cacher dans l'espace public ? Mais c'est un scandale !
[00:22:14] Speaker A: Donc je trouve ça le fun, ce type d'échange-là.
[00:22:18] Speaker B: Il y a encore des féministes normales dans le monde.
[00:22:20] Speaker A: C'est ça que je voulais vous démontrer.
[00:22:21] Speaker B: Des femmes qui prennent pour les femmes.
[00:22:23] Speaker A: Oui.
[00:22:24] Speaker B: Ça existe.
[00:22:25] Speaker A: Et je voulais terminer avec une grande question existentielle. Aimez-vous ça tanker aux États-Unis, vous autres?
[00:22:30] Speaker C: Pas juste parce que ça coûte moins cher.
[00:22:32] Speaker B: C'est moins cher. OK.
[00:22:33] Speaker C: Mais sinon, c'est quoi tu feras aussi?
[00:22:35] Speaker B: Je suis en train de mettre de l'essence, je suis aux États-Unis présentement, pis à toutes les fois que je gaze, Aux États, je me demande qu'est-ce qu'on a. C'est quoi notre problème, nous autres, au Québec, avec cette petite clanche-là ici? Pourquoi qu'on l'a vue?
[00:22:48] Speaker A: Hein?
[00:22:48] Speaker B: Elles sont toutes enlevées dans nos stations de service. C'est bon, on met des descentes partout dans le parking.
[00:22:52] Speaker A: Moi, tout le temps...
[00:22:52] Speaker C: J'adore ça.
[00:22:53] Speaker B: Quand je vais mettre descente ici... Ouais, tu te croises les bras, puis au bout de cinq minutes, c'est fini.
[00:22:57] Speaker A: À toutes les fois que je tanque aux États-Unis, je me pose la question. Puis jamais je pense quand je rentre ici, là. Mais lui, il a bien raison.
[00:23:04] Speaker B: Pourquoi ils les ont enlevées?
[00:23:05] Speaker A: Pourquoi ils ont enlevées les clanches?
[00:23:06] Speaker B: C'est-à-dire, faire le plein... sans effort. T'sais, la clanche, elle est...
[00:23:12] Speaker A: C'est ça.
[00:23:13] Speaker B: Comment t'expliques ça?
[00:23:13] Speaker A: Comme les pompistes avant. Les pompistes étaient capables de fouler six.
[00:23:16] Speaker B: Chars en même temps.
[00:23:17] Speaker A: Tu fermes, tu clanches, pis arrêtes-tu ça le coup que t'es rendu, qui est plein.
[00:23:21] Speaker C: Y'aura pas de débordement.
[00:23:22] Speaker B: T'en as un, encore, avec service, sur Henri Bourassa, proche du McDo. Lui, il fait ça, c'est un ultramarre. Clac, clac, clac, clac. Il fait le plein quatre fois.
Ça rentre au poste.
[00:23:33] Speaker C: Let's go.
[00:23:33] Speaker A: Mais c'est vrai que c'est au Québec qu'ils ont enlevé. Pis t'sais, y'en a des vieilles pompes là, c'est clair qu'y'a déjà eu des clanches. Là, tu vois le rack à clanches dans le pistolet.
[00:23:41] Speaker B: Pis ça arrête aussitôt qu'y'a un fume, y'a comme un sensor. Ben oui, ça arrête.
[00:23:46] Speaker A: Même quand on le tient, ça arrête.
[00:23:47] Speaker C: Bon point. Pratique à moins 40. Quand t'es obligé de tenir la pompe pis tu changes demain parce que t'as frette à maintenant.
[00:23:54] Speaker A: On met des affaires. Moi quand il fait frette pis j'ai oublié mes gants. Je mets soit mon bouchon de gaz, soit une bouteille d'eau vide.
[00:24:01] Speaker B: On a les clanches en Ontario. C'est pas que c'est une affaire du Québec.
[00:24:05] Speaker A: Je sais que c'est au Québec qu'on n'a pas éclanché.
[00:24:07] Speaker B: Encore?
[00:24:08] Speaker A: Oui, c'est encore une histoire du Québec.
[00:24:09] Speaker B: Les textos ça rentre au pouce.
[00:24:10] Speaker A: On est encore trop épais.
[00:24:12] Speaker B: C'est rendu illégal.
[00:24:13] Speaker C: OK, je veux une confirmation sur ça.
[00:24:14] Speaker A: Le plus gros problème du Québec, c'est que le gouvernement nous prend pour des christies d'épais en culottes.
[00:24:20] Speaker B: Et c'est la gestion par la minorité. 2-3 caves qui ont fait traverser ça, t'es obligé de mettre du gros... de la litière à terre pour éponger le gaz.
[00:24:31] Speaker C: Pour éviter les dégâts au cas où la protection ne fonctionnerait pas.
[00:24:35] Speaker B: Fait que tu mets de la graine à poule à terre, oui, je comprends, c'est déjà arrivé, mais... Non, non, mais... Mais en même temps, je veux dire, ça arrive pas aux États-Unis, on est capables de se gérer.
[00:24:46] Speaker A: Ben, je pense que oui, là, on est capables de se gérer. Tu sais, tu restes à côté, là, tu t'en vas pas t'acheter des chips pendant que tu tanques.
[00:24:52] Speaker B: On est là.
[00:24:54] Speaker A: On peut-tu prendre encore nos cellulaires?
[00:24:56] Speaker B: Ouais, y'a-tu encore une image d'explosion, là, coincée du cellulaire?
[00:25:00] Speaker C: Prends pas ton sel à côté de la tête.
[00:25:03] Speaker B: Hey, breaking news, on peut prendre nos cellulaires à l'hôpital. Tu te souviens-tu de ça? Oui! Les cellulaires à l'hôpital!
[00:25:08] Speaker C: Ça va faire arrêter les... Ben oui.
[00:25:09] Speaker B: Ça va faire arrêter la madame en haut qui a une radiologie des poumons.
[00:25:14] Speaker C: Ben voyons donc! Le monsieur sur le respirateur, tout va arrêter.
[00:25:18] Speaker B: Toi aussi, quel fake news.
[00:25:20] Speaker C: Les interférences.
[00:25:21] Speaker B: C'est plus un Flip Motorola de 88.
[00:25:23] Speaker A: Donc je pense partir une pétition, parce que les pétitions, faut que ce soit sur des sujets importants.
[00:25:27] Speaker B: Les pétitions qu'on donne au Québec, ça donne absolument rien.
[00:25:29] Speaker A: Oui, je sais, mais il faut que ce soit sur des sujets importants. Et moi, je veux le retour de la clanche chez Pistolet de Gauss.
[00:25:33] Speaker B: On aimerait ça. Ouais. Sato22, merci. Merci beaucoup.
[00:25:38] Speaker A: C'est pour faire face au changement climatique. Fait froid l'hiver.
[00:25:41] Speaker B: Oui, fait froid l'hiver, mets ça.
On a un gros show quand même. David Proulx, très très content de lui jaser. Hier, quel tweet d'ailleurs de Nathalie El Grably concernant C2 et C9 ? C'est deux lois, des projets de loi qui ne sont pas votés encore, qui ont été déposés à la Chambre des communes. On va prendre le temps, ensemble, de les débroussailler, de les analyser, et ça sera pas lourd. Ça va se faire de belles façons, avec David Proulx, qui est avec nous autres ce matin, qui est un gars qui travaille dans le techno depuis une vingtaine d'années, qui est maintenant dans l'intelligence artificielle. Le gars est écœurant. Regarde, je vais le dire, je l'ai découvert à Cuba. Pas gêné, on écoute de tout. On est une petite province. Quand il y en a un bon, on le prend. Donc il a été invité ici dans Montréal Live. Très très très bon. Mais au retour, c'est Alexa la voix. Et on va vous faire entendre ce qu'il s'est passé à Longueuil au cours des dernières heures. Oui, incroyable mais vrai. La gang de pourriture, et je le dis, d'antifa, ont profité de ce qui appare être une baveule policière. Le kid de 15 ans, il est mort. Eux autres profitent de ça pour commettre de la violence et de l'intimidation. L'extrême gauche folle. Et elle a eu le mal à partir justement, elle et son caméraman Guillaume. En fin de semaine, il y a eu une grosse manif, mais Antifa, eux autres... Ah oui, la police, ok, parfait. Donc on attaque la police. Et tuer les policiers, c'est de la marde. Là, ils ont même ciblé des policiers qui sont filmés dans le vidéo de Rebel. Il n'y a rien à voir là-dedans.
Là, ils se font filmer, nazis, extrême droite, blablabla, tout le christie de baratin. Nomment les... les matricules. Matricules, là, tu l'affiches, là, on dit c'est public. Je trouve ça dégueulasse, ce qui se passe. Et elle, elle a dénoncé ça. Elle a été la cible, justement, d'Antifa. Groupe reconnu terroriste aux États-Unis, désormais.
[00:27:40] Speaker A: Ouais, mais si t'es contre les Antifas, ça veut dire que t'es fasciste? Vous l'avez vu à Twist depuis 3-4 jours.
[00:27:48] Speaker C: La phrase est la suivante depuis un bout. Les antifas sont des fas. Les antifascistes sont des fascistes.
[00:27:54] Speaker B: Ben c'est des oui, fascistes, absolument. Mais comme les wokes sont des racistes. Oh, t'es pas racialisé, lui il est malin, il est moins bon.
[00:28:02] Speaker A: Moi je me suis fait coincer d'un coin, j'ai rien fait là, j'étais juste présent comme témoin. Je me suis fait coincer d'un coin puis menacer avec une bonbonne de poêle de Pikaïenne par du monde masquise se disant Antifa. Je trouvais que ça ressemblait pas mal à Teterra Ressui.
[00:28:16] Speaker B: J'ai salé. Trump là-dessus a raison.
[00:28:19] Speaker A: Si, mettons, je m'appelle antiraciste, je peux pas mettre des bombes partout parce que je suis antiraciste.
Antifa, je trouve ça niaiseux comme argumentaire de dire si t'es contre les antifas ça veut dire que t'es un fasciste. Toi t'es un abruti.
[00:28:33] Speaker B: Et ça crie nazi, nazi, nazi. Je trouve ça incroyable. Je trouve ça incroyable. Quelle dérive, quelle dérape violente. La liberté d'expression, tu as le droit de dire des niaiseries. Mais là, c'est très, très, très violent ce qui est en train de se passer. Et malheureusement, cette famille-là est instrumentalisée au nom de la brutalité policière, la gang de coco de Montréal. Black bloc, toute la sauce. L'ancienne gang à Boissonneau, finalement, c'est un jeu. C'est ça pareil.
[00:29:02] Speaker C: Pis y'a eu des rassemblements en fin de semaine qui étaient pacifiques, qui étaient des gens du quartier, des gens qui sont inquiétés de ce qui s'est passé, des gens qui demandent que les policiers portent des caméras. Très d'accord avec eux autres.
[00:29:14] Speaker B: Très d'accord. C'est bon pour les policiers en passant.
[00:29:16] Speaker C: En effet. C'est bon pour les deux bars.
[00:29:18] Speaker B: Je sais pas pourquoi t'as pas ça ici, pour vrai. Ça protège le policier aussi. Si la personne porte plainte, là, on voit vraiment ce qui s'est passé. Moi, je suis pour la quête de la vérité. Ces caméras-là, ça existe.
[00:29:32] Speaker C: Écoute, il y a-tu une question de cash aussi là-dedans?
[00:29:34] Speaker B: Ben oui, c'est ça.
[00:29:35] Speaker C: Ben, on est au Québec, on paierait dix fois trop cher, là. Il y aurait un appel d'offres, on paierait dix fois trop cher.
[00:29:41] Speaker A: Caméra, c'est les policiers, caméra, c'est les chars, caméra partout.
[00:29:44] Speaker B: Caméra dans les écoles et caméra dans les garderies. Pour surveiller, vérifier.
Tu mets ça sur le cloud, pas sur internet, tu mets ça sur le cloud. Et on vérifie par la suite ce qui s'est fait et ce qui s'est dit. On n'a pas le choix.