Maurais Live - Intégral du 30-09-2025

[00:00:05] Speaker A: Avec Dominique Moret, Dan Gravel et Tom Dumas. [00:00:13] Speaker B: Radio X. Bienvenue dans Moret Live. Vous êtes tous les bienvenus. Que vous soyez dans la douche, avant la douche, pendant la douche, après la douche. Après le café, deuxième, troisième café, Nespresso. Keurig, ça se vend-tu encore? [00:00:29] Speaker C: Oui. Y'a du monde qui aime pas le café. [00:00:33] Speaker B: Ou y'a du monde qui aime la torture, quoi. Moi j'ai aimé Keurig avant de découvrir Nespresso. [00:00:42] Speaker C: C'est parce qu'à un moment donné, c'est la force de goûter autre chose. On a tous bu du Fraudger puis du Max Wellhouse, super courts, quand on était jeunes. [00:00:51] Speaker D: Le pire café que j'ai bu dans. [00:00:54] Speaker C: Ma vie, c'est assurément celui que je buvais à la cafétéria de la Polyvalente à l'Arsène-Ritte. [00:00:58] Speaker B: D'un verre en styrofond. [00:00:59] Speaker C: D'un verre en styrofond, d'un petit couvercle en plastique. À tous les matins, j'allais chercher mon Christie de café qui goûtait... Aujourd'hui, je suis obligé de le dire, qu'il goûtait l'eau de vaisselle. [00:01:08] Speaker B: Il goûtait la caque. [00:01:09] Speaker C: Mais sais-tu quoi? J'aurais pas été capable de commencer une journée sans ça pareil. [00:01:12] Speaker B: Nescafé. Mon père achetait ça chez Baribo. Et que c'est mauvais. Du café instant. [00:01:19] Speaker C: Un café instant, là, ça devrait être illégal. [00:01:22] Speaker B: C'est illé... C'est légal juste au camping. Une fois. [00:01:26] Speaker C: Ah, pis encore. [00:01:27] Speaker B: Ouais, t'as une carte, c'est une fois seulement. Équipe-toi. [00:01:30] Speaker D: Mais sérieux, Keurig, par exemple, c'est vraiment ce que tu as le plus reproduit, là. Ça demeure, là. [00:01:34] Speaker B: Ça demeure. [00:01:35] Speaker D: Parce que les machines sont moins chères, les capsules sont moins chères. [00:01:38] Speaker B: Quand tu mets bien, bien, bien de la crème, bien du sucre, j'imagine qu'à un moment donné... Tu le bois, le café, là? [00:01:44] Speaker C: Ben, tu sais, je bois du café Keurig tous les matins, je veux dire... [00:01:47] Speaker B: Pis le Keurig, ce qui est le fun, c'est que t'as du thé, Et t'as du chocolat chaud aussi. Ça c'est la variante que Nespresso t'offre. [00:01:54] Speaker D: Je te dirais que même dans les qualités de café... [00:01:57] Speaker B: Qualité de café, ça varie. T'as du Starbucks, mais tu peux en avoir également. [00:02:01] Speaker D: Moi j'ai un mauvais sens de l'odorat, fait que je chante pas toute. Mais les capsules Starbucks... Sérieusement là, l'odeur du café est fabuleuse. [00:02:13] Speaker B: C'est écœurant. J'en ai acheté hier un sac d'ailleurs de Starbuck Action de Grâce. Mais ça, ça me fait rire. Je tombe dans le panneau, je le sais. Ils donnent une sorte de nom funky au café. Mais peut-être qu'à l'usine, c'est la même bâche de café, puis le Légori. Ça, on va appeler ça l'Action de Grâce. [00:02:29] Speaker D: Je savais pas qu'il y avait un Thanksgiving. Je savais qu'il y avait un mélange des fêtes. Ça, ma blonde l'achète une fois de temps en temps. [00:02:34] Speaker B: Mais ça, le mélange des fêtes. Ça veut rien dire. [00:02:38] Speaker D: C'est quoi, vous mettez de la cannelle dedans? [00:02:40] Speaker B: Non, il n'y a pas. C'est du café. C'est tout. Mais c'est juste le labeling. On se fait tellement influencer. Ça se peut. En tout cas, moi, je me fais influencer. Je ne peux pas parler pour vous autres autour de la table, mais je suis très, très, très influençable. J'ai vu ça hier. Moi, je travaille de Beauport au Starbucks. Beauport, il y a des chaises à côté d'un foyer qui ne marchent pas. C'est là que je suis assis. Et j'ai vu le sac avec les feuilles mortes dessus, mais je me suis dit, c'est un café qui est fait pour moi. Ok, je ne l'ai pas vu ça. Je vais tellement au Starbucks. Chronique. carte de points, je suis rendu à 1000 quelque points. Là, la fille, elle se dit « Ouais, tu serais peut-être bon de payer avec tes points, parce que ça se peut que t'en perdes, tu sais, tu peux perdre des points de monnaie, là. [00:03:26] Speaker D: » Ouais, parce que c'est pas comme McDo aux autres, là, mais 1000 quelque points, c'est beaucoup, là. [00:03:29] Speaker B: C'est énorme. Fait que j'ai payé... Ça coûtait 22-23 piastres. J'ai payé 300 points. Ça m'a rien coûté. Voilà. Voilà. J'ai beaucoup de points. J'ai des points partout. Je suis allé voir mon autre chum qui possède un... Tim Hortons, coin Jean-Talon-Henri Bourassa. Ça faisait longtemps que j'étais allé. Il avait 12 000 points. Non, non, mais j'avais de l'argent aussi. Je mets des... Pour accumuler des points, faut que tu payes en argent. C'est ça le point. Parce que tu payes en points, tu t'accumules pas de points. Donc là, j'ai dit, j'ai-tu une carte Tim Hortons? Ben oui, j'avais 50 quelques piastres sur une carte Tim Hortons que j'avais pas pris depuis deux ans. C'est quoi que j'ai vu? C'était sur mon appli. OK, oui, oui, oui. Que j'avais pas rafraîchi. OK. Boum, Alain! Un beau cadeau, c'est le fun, ça, trouver 50 piastres. [00:04:15] Speaker D: C'est quoi que j'ai vu passer aussi, il y a une semaine, que maintenant l'argent canadien de ta heure, et tu peux l'utiliser au Tim Hortons? [00:04:22] Speaker B: Tu peux l'utiliser partout. Tu peux l'utiliser Petro-Canada. [00:04:25] Speaker D: OK. [00:04:26] Speaker B: Ouais. Puis moi, j'ai pris la... J'ai pris la carte spéciale, 20 fois les points, genre. Canadian Tire, ça monte vite. Ça, ça monte vraiment vite. [00:04:36] Speaker C: C'est pas Triangle, ça, là? [00:04:37] Speaker B: C'est Triangle, oui. J'ai pris Triangle. Ça, ça vaut la peine. Faut y aller souvent, là. Mais ça, ça vaut la peine. Il y a quelqu'un qui t'interpelle, Dan? Martin? [00:04:44] Speaker D: Oui. [00:04:46] Speaker B: À Dan Gravel, tu dois savoir que tu es cité dans le devoir de ce matin. C'est pas Dan qui est cité au final. [00:04:51] Speaker D: Ben c'est Dan qui est cité. [00:04:52] Speaker C: C'est Dan qui est cité, mais c'est pas moi qui ai fait ça. [00:04:54] Speaker D: Mais c'est mes mots. [00:04:55] Speaker B: Donc c'est une mauvaise citation. Ouais. Parce que si on avait voulu citer Dan comme du monde... Fake news! Fake news! [00:05:02] Speaker C: Moi j'aurais dit... Moi j'avais dit que j'allais voter pour respect citoyen. [00:05:05] Speaker B: C'est ça. Pis ils l'écrivent pas. [00:05:07] Speaker D: Non. [00:05:08] Speaker B: Mais ils ont pris l'extrait d'un dôme du mât. puis t'as mis ça dans la bouche. Errare humanum ais. J'ai déjà fait des erreurs, tout le monde en fait. Tout le monde a le droit d'en faire aussi. Sébastien Tanguay, qui s'appelle. Donc voilà. C'est un tanguay, donc on mettra ça sur trois ans. On va mettre l'erreur sur trois ans, mais on le sentira pas. Donc, qu'est-ce que tu dis, Dume Dumas, au final, parce que c'est quand même à la une du vénérable devoir. [00:05:35] Speaker D: Bien, j'avais dit, puis je répète encore, selon moi, d'ici vendredi, si Amal puis Lachance ne s'allient pas ensemble, ils méritent pas qu'on vote pour eux autres. [00:05:42] Speaker B: C'est ça. C'est pas d'arrêt, ça, c'est Dume. C'est toi, en fait. [00:05:44] Speaker D: Gardez en tête que c'est un gars. [00:05:45] Speaker B: De Lévis qui vous dit ça. Ça, je m'en allais dire, là. [00:05:48] Speaker C: C'est une parole qui est très pertinente. [00:05:50] Speaker B: Mais qui n'est pas importante, dans le mesure où ça n'a pas d'impact sur le scrutin. [00:05:54] Speaker C: Pas aller voter, c'est jamais une solution. [00:05:57] Speaker D: Ah, je l'ai déjà fait, je l'ai fait une fois. [00:05:59] Speaker C: Moi aussi. [00:06:00] Speaker D: Au provincial. [00:06:00] Speaker C: Je m'étais rendu. [00:06:02] Speaker D: Ah non, non, moi c'était volontaire. Je suis resté chez moi, je ne suis pas allé voter parce qu'il n'y avait pas, il n'y avait aucun parti qui s'adressait à moi. C'était avant que Adrien Pouliot devienne chef du Parti conservateur. [00:06:13] Speaker B: Je me souviens pas de pas être arrivé et voter, mais peut-être que c'est déjà arrivé. Je m'en souviens. [00:06:17] Speaker C: Moi, c'est arrivé une fois. Je m'en souviens très bien. C'était l'élection après l'opposition officielle de l'ADQ, qui avait été... La plus grande déception de ma vie politique... 41 députés? C'est Mario Dumont dans l'opposition. Je veux dire, il a oublié qui il était. Il a oublié qui il a sollicité pendant 15 ans. [00:06:35] Speaker D: Pire que la CAQ. [00:06:36] Speaker C: Il est devenu un caquiste pendant le temps qu'il était au pouvoir. Puis quand il est venu le temps de retourner aux élections pour retourner voter pour l'ADQ, Finalement, l'élection qui a redonné une majorité à Georges Charest. Je suis arrivé au bureau de vote. J'étais sur le chemin de l'église, à Sainte-Foy, je m'en souviens. J'étais arrivé au bureau de vote, là, je suis rentré... il mouillait à siot. Je suis rentré, il y avait une file d'attente, là, c'était long. J'ai dit, de la marde! Je suis reparti chez nous, puis je me suis fait assouper. Là, j'étais vraiment, vraiment... Parce que, tu sais, je me suis quand même beaucoup investi dans l'ADQ. Je me suis investi pendant de nombreuses années. Puis finalement, quand ils ont réussi à rentrer dans un poste moindrement important, ils ont fait ça, pour vrai. C'était un peu comme échapper le ballon à la ligne de 1 quand tu viens de traverser le terrain. Ils ont fait ça. [00:07:28] Speaker B: Du M, c'est l'ADQ, dans le fond. Oui. C'est l'ADQ au niveau des idées. Ben oui. C'est de la politique, c'est sûr que c'est pas au niveau corporel ou c'est pas au niveau physique. [00:07:39] Speaker D: Non, non, mais je veux dire... [00:07:40] Speaker B: Il ressemble pas à Mario Dumont, là. [00:07:41] Speaker D: Je pense aussi. [00:07:42] Speaker C: L'ADQ de 2003 à 2007, l'ADQ que le monde a aimé, la grosse ADQ. [00:07:47] Speaker B: C'est le Parti conservateur d'aujourd'hui. [00:07:49] Speaker C: C'est le Parti conservateur d'aujourd'hui, c'est ça. [00:07:50] Speaker B: Oui, avec, bien entendu, mon champ, mon choix. Dans ce temps-là, on n'en parlait pas, on avait la crise type paix, là. T'sais, les colos au gué-gué-gougou, gué-gué-gué-gué-gué, on l'avait pas dans ce temps-là. Mais c'était beaucoup l'État. Est-ce qu'on coupe? Est-ce qu'on coupe pas? C'est encore ça. Donc on recevra Éric Duhem, d'ailleurs, tantôt. C'est la rentrée parlementaire. Donc, officiellement, c'est demain, mais c'est le grand, grand, grand Disco Thomastam. J'appelle ça le discours Thomastam. [00:08:19] Speaker D: Buffet chinois. [00:08:21] Speaker B: Oui, de Rocky Legault. Le Devoir de ce matin fait la liste de ce qu'il y aura dans le discours. Regardez. Ça, c'est l'équivalent de quelqu'un qui prend une assiette au Thomastam. Ça fait des années que je ne suis pas allé au Thomastam, j'adore. Moi, je suis allé avec les petits gars dans le tank, ça coûtait pas cher. [00:08:41] Speaker D: Les cuisses de grenouille. [00:08:42] Speaker B: Ben, les cuisses de grenouille... Non, tu commences avec une soupe. [00:08:45] Speaker D: Les cuisses de grenouille et du jello dans la même assiette. [00:08:49] Speaker B: Oui, mais ça, c'était à la fin. Commence par le début. Non, non, à tout ensemble. Soupe au Kleenex avec des biscuits Ritz. C'est-à-dire soupe Wong Tong, ce que j'adore. [00:08:57] Speaker E: Oui, oui. [00:08:58] Speaker B: Soupe au Kleenex. Ça, c'est ma mère qui appelait ça soupe au Kleenex, j'adore. [00:09:01] Speaker D: Ça flotte, on dirait. [00:09:02] Speaker B: Ça flotte. [00:09:03] Speaker C: C'est très bon. J'ajoute un peu de sauce piquante là-dedans. Parfait. [00:09:06] Speaker B: C'est ça, exact. Ensuite... Lasagne, egg roll, saucisse cocktail. [00:09:14] Speaker C: Pâtes de crabe. [00:09:15] Speaker B: Et pâtes de crabe. Parce qu'il reste de la place quand même dans l'assiette. Ben ça, c'est la première assiette. [00:09:20] Speaker D: Vous voulez les pâtes de crabe de la gauberge, là? [00:09:23] Speaker B: Ben oui. [00:09:23] Speaker D: OK. [00:09:24] Speaker B: Ça sue. [00:09:24] Speaker D: Comme ça marche pour vous. [00:09:25] Speaker B: Ben non. C'est 6 millis crabes. [00:09:26] Speaker C: Les gars, arrêtez, là. [00:09:27] Speaker B: C'est 6 millis aux morts. [00:09:28] Speaker C: Ben non. Vendredi, samedi soir, Thomas Tam, pâtes de crabe. [00:09:32] Speaker B: Elle l'a fait. Mais moi, j'en ai mordi. [00:09:33] Speaker C: La chair est dans le crabe, là. [00:09:34] Speaker D: J'ai jamais vu ça. OK. [00:09:36] Speaker B: La chair est dans le crâbe, Marie-Lau, Marie-Lé! La chair est dans le crâbe, Marie-Lau, Marie-Lé! [00:09:40] Speaker C: Ah oui, tu ramasses la pâte, faut que tu casses les... Tu sors de là, t'es... avec une bavette, là. [00:09:44] Speaker D: OK! [00:09:44] Speaker B: Bon, là, tu es rendu à la première assiette. Mais c'est pas le temps, là, d'arrêter, là! C'est pas le temps! Parce que là, avec la deuxième assiette, Dan, t'as l'air de bien parti. [00:09:53] Speaker C: La deuxième assiette, moi, je vais reprendre les petits légumes sauce soya, là, qu'il y a tout le temps. T'sais, ceux qui restent à la fin de la soirée, ils en remettent le lendemain. [00:10:00] Speaker B: C'est pas salé, hein? Non, non, c'est pas... c'est pas salé du tout. [00:10:04] Speaker C: Glut Pis t'sais-tu quoi, je me garde de spirit sur cette assiette-là. [00:10:09] Speaker B: On s't'inquiète. [00:10:12] Speaker D: Un p'tit peu de mouche, j'lui puis faire des continuants. [00:10:14] Speaker B: Non, non, c'est très propre. C'est clean pour vrai. [00:10:16] Speaker D: Non, mais sûr, j'hésite. J'lui puis faire des continuants. [00:10:18] Speaker B: Ouais, mais c'est pas pareil. C'est le père à Michael Tam. [00:10:21] Speaker D: Oui, je sais! [00:10:22] Speaker B: C'est un classique. [00:10:23] Speaker C: Les boules de poulet avec la sauce aux ananas. [00:10:25] Speaker B: Oui! Des Bobobowls qu'on appelait chez oui. Les Bobobowls. [00:10:29] Speaker D: Les Bobobowls. [00:10:30] Speaker B: Ah oui, mon père arrivait chez Baribaud, je dis les gars, on se gâte à soir, on mange des Bobobowls avec de la sauce aux cerises. Pas de cerises dans la sauce aux cerises, pas de poulet dans les boules de poulet. Watch out. [00:10:43] Speaker C: Là, la fille, elle t'a amené ton verre de coke. Parce que tu bois pas de bière là, tu vas prendre ce qui est... [00:10:48] Speaker B: Pis qu'est-ce qu'elle dit à la serveuse? Mon grand, qu'est-ce que tu vas prendre mon grand? [00:10:52] Speaker C: Elle dit, t'es mon beau, t'es cher. T'es cher ton beau Diet Coke. J'ai mis de la glace dedans. [00:10:59] Speaker B: Au Pizza Passion, à Beauport, elle m'a même appelé ma chérie il y a quand même quelques années. Une vénérable serveuse de 72 ans à peu près. [00:11:06] Speaker F: Ah! [00:11:06] Speaker C: Une ancienne du Marin-Antoinette. [00:11:08] Speaker B: Ben, je me sens d'ici valorisé. [00:11:09] Speaker C: Ben oui. Non, non. [00:11:10] Speaker B: J'en parle, mais ça me fait du bien. C'est un beau souvenir. [00:11:13] Speaker C: Et après ça, il y a toujours le moment où il y a quelqu'un à ta table qui te fait la fameuse poutine de Waco. qui va chercher des frites dans le buffet. [00:11:22] Speaker B: Ça, c'est ton voisin de table. [00:11:23] Speaker C: Oui, oui, c'est déjà arrivé à ma table, je te confirme. Puis il met une espèce de sauce, je sais pas c'est quoi, c'est de. [00:11:28] Speaker B: La sauce à spirit. Ça se mange, là, dis-moi. [00:11:30] Speaker C: Puis du fromage râpé. J'avais le goût d'une poutine entre deux assiettes de légumes, moi, puis de poulet. [00:11:36] Speaker B: Ah oui, donc. [00:11:37] Speaker D: Je me suis fait inventer une poutine. [00:11:39] Speaker C: Des nouilles chinoises avec de la sauce sucrée. On se gâte, là. [00:11:42] Speaker B: Et là, on est rendu au dessert. [00:11:44] Speaker D: Des petites saucisses, t'as qu'à y être dedans aussi. [00:11:46] Speaker B: Dom, dis-moi, c'est quoi le dessert? [00:11:49] Speaker D: Toutes! [00:11:50] Speaker B: Le jello, le petit gâteau au chocolat. [00:11:53] Speaker D: Le petit gâteau au coconut. [00:11:55] Speaker B: Pouding chômeur. Oui! Pouding chômeur, pouding au riz, pouding le rossocor, le style... Tapioca. Tapioca. Jello, jello vert. [00:12:05] Speaker C: Le beignet au beigne. [00:12:06] Speaker B: Le beignet aux bananes. Le jello vert, mais vers troisième chandail du wild. [00:12:12] Speaker D: C'était quoi le jello vert? Vers le gazou actif, là. [00:12:14] Speaker B: Troisième chandail du wild. [00:12:16] Speaker C: Ah oui, vers le gazou. [00:12:19] Speaker B: C'est ça. Donc voilà. [00:12:21] Speaker D: 23 Mile Island. [00:12:22] Speaker B: C'est ça pour vous dire que ça va être ça, le discours de Legault. Ça n'en est pas de quoi. Il faut enlever les voiles, il faut enlever les masques, ça prend une constitution. [00:12:30] Speaker C: Mais là, il va-tu être capable de le faire? [00:12:31] Speaker B: Il faut bloquer Spotify. Oui, le discours, c'est aujourd'hui. Oui, il va rentrer. [00:12:36] Speaker C: Il va être capable de rentrer au Parlement? [00:12:38] Speaker B: Oui, pourquoi? [00:12:38] Speaker C: C'est pas Londres à Québec aujourd'hui? [00:12:41] Speaker B: Je veux pas entendre tu parler de ça. [00:12:42] Speaker C: Si personne n'a entendu parler, j'imagine que ça va être un flop. [00:12:46] Speaker B: Je n'ai pas entendu parler. [00:12:47] Speaker G: Ah! [00:12:48] Speaker B: OK! Oui, oui! [00:12:48] Speaker C: Il y a une manifestation dans le Parlement aujourd'hui. On sort le coup du Parlement. [00:12:51] Speaker D: On renverse le gouvernement. [00:12:52] Speaker C: Aujourd'hui, on renverse le gouvernement. [00:12:54] Speaker B: Oui, oui! Ah! Seigneur! [00:12:55] Speaker D: Tu l'as fait entendre hier. [00:12:57] Speaker B: Non, non, j'avais oublié celle-là. C'est fait. Moi aussi, je l'ai oublié. C'est terminé. [00:13:01] Speaker C: Ça sera repassé aujourd'hui. [00:13:03] Speaker H: C'est terminé. [00:13:03] Speaker D: Ça fait que l'élection commence demain. [00:13:04] Speaker C: Oui, oui. Il y aura une campagne électorale demain. Puis il y aura quelqu'un en kit militaire qui se présente. [00:13:09] Speaker D: Oui, c'est ça. En fait, il n'y a pas d'élection. C'est le kit militaire qui mène la promesse demain. [00:13:15] Speaker B: Simon, il doit sur quelque chose, quand même. C'est un oubli majeur. Et même, je te dirais que Vincent aussi. Merci, my drivers. Fortune Cookie. Oui, c'est vrai. Ton biscuit, c'est écrit quoi? Ton biscuit, Dan, ton biscuit, c'est quoi? [00:13:30] Speaker C: Moi, c'est écrit... Moi, je sais c'est quoi. N'abandonnez pas. 2026, c'est plus reluisant. Je pense à ma petite défaite des Jets hier. [00:13:41] Speaker B: Moi, c'est écrit... Fais-toi une tête à le grand, c'est Bruno qui sera maire. [00:13:47] Speaker D: OK, c'est précis de même, hein? [00:13:50] Speaker B: Ben, c'est précis de même, mais ils ont fait ça d'une usine à Brooklyn. [00:13:53] Speaker C: T'as-tu vu que maintenant... [00:13:54] Speaker B: J'ai tombé dessus. Y'en avait un, j'ai tombé dessus. [00:13:56] Speaker C: T'as-tu vu maintenant, les fortune cookies, tu peux le casser, le craquer, puis tomber sur un... Pour des pantalons, simons.com. [00:14:03] Speaker B: Ah oui? Y'a de la pub? [00:14:05] Speaker C: Y'a de la pub! [00:14:06] Speaker B: Ah, ben y'a des chiffres, y'a des numéros à l'endos, hein, du petit pompier aussi. [00:14:10] Speaker D: C'est plus juste des histoires comme... Une surprise plaisante vous attend. [00:14:13] Speaker C: Oui, ou... [00:14:14] Speaker D: C'est tout. [00:14:15] Speaker B: C'est ça. Avec... [00:14:16] Speaker D: C'est ça que je fais avec ça, moi. [00:14:17] Speaker B: Avec une adresse de... C'est ça un massage? C'est quoi? C'est quoi? C'est quoi? C'est quoi? quoi? C'est quoi? C'est quoi? [00:14:23] Speaker D: C'est quoi? [00:14:24] Speaker C: C'est quoi? [00:14:24] Speaker B: C'est quoi? [00:14:25] Speaker D: C'est quoi? [00:14:25] Speaker B: C'est quoi? [00:14:25] Speaker C: C'est quoi? [00:14:25] Speaker B: C'est quoi? C'est C'est quoi? C'est quoi? C'est quoi? C'est C'est quoi? C'est quoi? C Des boules de poulet, pas de poulet. Et des biscuits aux amandes, pas d'amandes. Ils sont bons, ces maudits biscuits-là. [00:14:44] Speaker D: Votre numéro chanceux, 575. OK, qu'est-ce que tu veux que je fasse avec ça? [00:14:47] Speaker B: Il m'en manque, là. [00:14:50] Speaker D: Ouais, il m'en manque. Je peux pas aller au Lotto Max, là. [00:14:52] Speaker B: Merci de m'aider. [00:14:54] Speaker C: Je me suis acheté un 649 l'autre jour, la première fois depuis trois ans. J'ai jamais regardé... Tu sais, quand tu as pas l'habitude de te faire tes patentes... Ouais, mais. [00:15:05] Speaker D: Tu sais pas si t'as gagné encore? [00:15:06] Speaker C: Aucune idée. [00:15:07] Speaker B: Il est accroché avec ton téléphone. Ouais, je sais, mais... Ouais, mais t'es peut-être le re-gagnant d'une belle fortune. [00:15:12] Speaker C: Peut-être. [00:15:12] Speaker D: Peut-être. [00:15:13] Speaker C: Peut-être. [00:15:14] Speaker B: Tu pourrais devenir propriétaire à Montmagny. Puis, j'essaie de... Peut-être une belle maison sur le bord du fleuve. [00:15:18] Speaker D: Oui. [00:15:18] Speaker C: J'essaie de prendre une nouvelle habitude également, qui est la poule aux oeufs d'or. [00:15:22] Speaker B: Pour vrai? Never happened. [00:15:23] Speaker D: Tu vas aller à la TV? [00:15:24] Speaker B: Ah non, moi, je vais-tu pas aller là? [00:15:25] Speaker D: C'est qui qui est venu à la poule maintenant? [00:15:27] Speaker B: Avec Roger, puis... Marcel, là. [00:15:31] Speaker D: Oui. [00:15:32] Speaker B: Allant un peu. [00:15:33] Speaker C: Non, non, c'est pas une habitude. [00:15:35] Speaker B: On veut te voir là. [00:15:36] Speaker C: Mais c'est ça, c'est exactement là où je m'en vais. Je me suis ramassé un ticket l'autre jour en joke parce que je voulais niaiser Max de Pépé Hallé, qu'on salue d'ailleurs qu'il est de retour au travail depuis un an. [00:15:46] Speaker B: Salut bronzé. [00:15:48] Speaker D: Il va venir demain. [00:15:48] Speaker C: Je le gratte et je me dis tabarnouche, j'ai rien gagné sauf 10 piastres. C'est quand même le fun, un billet à 5 piastres, tu gagnes 5 piastres. [00:15:56] Speaker B: T'as comme un gain net, comme dirait le patron. [00:15:58] Speaker C: Fait qu'après ça, j'en ai racheté deux autres où j'ai gagné cinq piastres. Sinon, j'ai rien gagné. L'autre, j'ai gagné cinq piastres. Fait que je vais aller m'en racheter un autre, mais je me dis, j'arrête pas de dire à ma blonde, imagine, je gratte trois TV. Puis là, elle me dit, tu fais quoi? J'ai dit, je ferme ma gueule. Je le dis pas à personne. [00:16:15] Speaker B: Oh, man! [00:16:17] Speaker D: Mais là, ça te prend des jeunes, c'est cool pour t'encourager. Leuf! [00:16:20] Speaker B: Leuf! [00:16:21] Speaker C: Ils vont tous fluffer pareil, là. [00:16:23] Speaker B: Ce qui est cochon, c'est qu'on pourrait pas prendre l'extrait, puis c'est à TVA. [00:16:25] Speaker D: Ouais, c'est vrai. [00:16:26] Speaker C: La moitié du monde, La moitié du monde qui sont là serait là. Anyway, là c'est du monde qui y vont pour regarder un show, là. [00:16:33] Speaker B: C'est ça. [00:16:33] Speaker C: Ils connaissent pas de gagnants, fait qu'il y aurait du monde pour m'applaudir. [00:16:36] Speaker D: Bon oui, ces gens-là, ils savent mieux que toi ce que tu dois prendre. [00:16:39] Speaker C: Ce serait le test du téléphone à savoir, je pourrais savoir qui, dans ma gang de chums, regarde La Poule aux Oeufs d'Or. [00:16:48] Speaker B: C'est sûr que tu m'auras pas poigné. Tu l'aurais jamais su. [00:16:51] Speaker D: Moi non plus. [00:16:52] Speaker B: C'est impossible, c'est impossible. [00:16:53] Speaker D: Ça fait une éternité. [00:16:55] Speaker B: Moi non plus, c'est le dernier des shows que je regarderais. [00:16:57] Speaker D: Ça doit faire 20 ans que j'ai pas écouté ça. [00:16:59] Speaker B: Je regarderais Zest avant ça. [00:17:00] Speaker C: Vous savez que depuis le début de la rentrée, à chaque semaine, c'est le deuxième show que tu peux regarder dans le Dôme. [00:17:04] Speaker D: Ben oui, c'est ça. Encore et encore. [00:17:06] Speaker C: Mais attendez un peu. [00:17:07] Speaker B: Tout le monde en parle, le chanteur masqué. [00:17:09] Speaker C: Après le fucking chanteur masqué qui est numéro 1. [00:17:12] Speaker D: Oui mais minute, parce que le chanteur masqué au moins il se parle à la même personne à chaque semaine. Puis tout le monde en parle, il y a des invités différents. La poule se passe la même affaire depuis 25 ans. [00:17:21] Speaker B: C'est la même bihôle Sébastien Benoît. [00:17:22] Speaker C: C'est la même madame. La seule chose qui n'a pas changé en 25 ans c'est l'âge des concurrents. [00:17:28] Speaker B: La poule, il les poussait dessus, des fois, l'œuf. [00:17:32] Speaker C: J'ose imaginer, quoi, qu'ils font ça tous les semaines, même l'été. [00:17:35] Speaker D: OK, ça fait que c'est ça qui fait de sa vie, Sébastien Benoit, aujourd'hui. [00:17:39] Speaker B: Ça doit rentrer le cash, par exemple. [00:17:40] Speaker D: Ah oui, c'est persuadé que ça paye bien. [00:17:42] Speaker B: Un genre de 175 chèques. [00:17:44] Speaker D: Ah oui, pour moi, il n'a pas besoin de faire autre chose dans l'année. [00:17:46] Speaker B: Non, 175, un petit 175, là, il va se garder 2-3 autres gigs pour travailler, se mettre en compagnie. [00:17:53] Speaker C: Mais c'est une job, hein? [00:17:55] Speaker B: Bien, c'est une job. [00:17:56] Speaker C: C'est une job. Je veux dire, j'suis pas sûr qu'ils font ça pour le fun. [00:17:59] Speaker B: Dans le parking, ils se donnent le bijou de collègues. T'sais, pas ben merci, mais ils doivent bitcher un peu. [00:18:08] Speaker C: Ben oui. [00:18:09] Speaker B: Hey, as-tu vu le coco? As-tu vu le clown? On va se le dire. C'est pas toujours des... Hey, madame, t'es trop assentée. Ouais, regarde. L'autre, y'a-tu des dents quand y'a gagné? [00:18:21] Speaker C: Je comprenais rien de ce qu'il me disait le monsieur. [00:18:25] Speaker B: Je pense qu'il a dit la poule, je lui ai donné l'oeuf. Il a gagné 500 000. [00:18:33] Speaker D: On va se payer un nouveau dentier. [00:18:35] Speaker B: Ouais, c'est ça. Les implants. [00:18:40] Speaker C: Les implants, c'est mieux. [00:18:42] Speaker B: Ouais, c'est mieux. Allez-vous aux Canadiens ce soir? [00:18:45] Speaker D: J'ai rien d'eux autres, les boys, mais j'ai participé en janvier 2024. Et je m'en fais encore parler avec... Puis il a gagné 73 500. [00:18:53] Speaker C: Mais c'est ça, tu vois, j'ai... C'est sûr que si tu grattes ton TV... [00:18:57] Speaker B: L'argent n'a pas d'odeur. [00:18:58] Speaker C: C'est ça, ça commence à être le fun, tout de suite. Moi, je m'en viens chercher un chèque. [00:19:02] Speaker B: Plus gagné à vie, moi. C'est pour vrai? [00:19:04] Speaker D: OK, Sébastien Benoît, il en aime aussi, le chanteur masqué. [00:19:07] Speaker B: J'achète du gagnant à vie de temps en temps. J'gagne jamais. J'ai jamais rien gagné à la loterie. L'auto-amigo de temps en temps. Le chum Carlos qui me swingue dans la pile. J'ai jamais rien gagné! J'en ai jamais... À part des billets gratuits. C'est-tu poche, ça? C'est très poche. Des billets gratuits. Ça, c'est comme embrasser sa cousine. [00:19:26] Speaker C: C'est très poche. [00:19:27] Speaker B: Ça joue. [00:19:27] Speaker C: Merci. Tu sais, quand tu fais un groupe de 6,49 puis que tu gagnes 10 piastres au bureau, là... Ouais. Quand tu traînes ton Christie de groupe de 6'49 sur 28, le tirage, finalement, tu finis par jamais rien gagner. [00:19:39] Speaker B: Un Christie de long tape de 3 pieds. Ouais. Fait que c'est ça. Allez-vous au Canadien ce soir? Le Canadien est en ville, quand même. Breaking news. [00:19:47] Speaker C: C'est ce qui est prévu. [00:19:49] Speaker B: Je peux pas sortir. Je vais peut-être écouter... C'est les Yankees beaucoup. C'est le baseball. Regardez le baseball. Les amis. Red Sox-Yankees. Tu peux pas battre ça. Dans le Bronx. Et... J'ai un billet à 84 Canadiens. Dans le Bronx. Excusez-moi, tu vois très bien partout. Je suis allé quand même plusieurs fois dans le Yankee Stadium. C'est quand même bon! Là, là, c'est ce soir, 18h, dans le Bronx, 84 Canadiens. Ça a de l'allure. [00:20:18] Speaker D: Ça a de l'allure, on a un billet de saison. [00:20:21] Speaker B: T'sais, c'est pas cher. Dans le 432, comme je viens de le dire, tu joues pas très bien partout. [00:20:25] Speaker D: Je suis allé voir les Yankees. Le billet était plus loin. Je suis allé voir les Yankees dans le vieux Yankees Stadium. Je suis allé dans le nouveau aussi. Je suis allé dans le vieux Yankees Stadium. Ça doit faire quasiment 20 ans de ça. J'avais payé ça environ de 40 000 $. [00:20:41] Speaker B: C'est pas cher. C'est abordable. Mais c'est sûr que là, on peut tomber dans l'exagération. J'ai des billets à 1600. [00:20:47] Speaker C: T'as été voir sur StubHub? [00:20:50] Speaker B: C'est StubHub, moi, exact. Tu peux aller voir sur Ticketmaster. Il y a de la revente Ticketmaster. Mais StubHub, pour la revente, c'est quand même très bon. [00:20:56] Speaker D: 80 billets, je suis vraiment surpris. C'est très abordable. [00:20:59] Speaker B: Oui. Vu imprenable, 432. Téléchargement immédiat. Et c'est phénoménal. L'instinct phénoménal, ça veut dire que quelqu'un, il est liquide. Parce qu'il peut pas aller à la game. Il a pas eu de congé de son boss. Donc, voilà. Il y a quand même des bons prix. 64 piastres. [00:21:17] Speaker C: 64 piastres. Je suis à Wrigley Field. Cet après-midi. C'est sûr qu'encore une fois, il y a des billets à 2000 piastres. [00:21:27] Speaker B: Oui, mais si tu veux être dedans, c'est aussi bon. C'est aussi bon, là. [00:21:33] Speaker D: Il y a l'auditeur qui dit « Moi, je ne retourne plus jamais aux mets de ma vie. On voit mal partout. [00:21:38] Speaker B: » Pourtant, Citi Field, il n'est pas vieux. [00:21:40] Speaker D: J'ai jamais allé au Citi Field. [00:21:41] Speaker B: J'ai jamais allé au Citi Field. Moi, je ne suis jamais allé. Quel fail, les mets, c'est pareil. [00:21:45] Speaker D: Wow, cette année, ça n'a pas de sens. [00:21:47] Speaker B: C'est une catastrophe. [00:21:47] Speaker C: Moi, ce qui m'impressionne du Citi Field, c'est la quantité de lumière. C'est fou là. [00:21:52] Speaker B: Beaucoup de lumière. [00:21:54] Speaker C: Dans le champ, ils en ont mis de la pub à néon, eux autres, ils se sont gâtés. [00:21:58] Speaker B: La pomme est-tu encore là, comme dans le temps de chez? [00:22:01] Speaker D: Me semble que oui. Me semble que oui, ils l'ont gardée. [00:22:04] Speaker B: La pomme rouge. [00:22:06] Speaker D: Big Apple. [00:22:06] Speaker B: Big Apple, exact. [00:22:09] Speaker C: Donc voilà. [00:22:10] Speaker B: Je suis nerveux. [00:22:10] Speaker C: Du baseball de la journée aujourd'hui. [00:22:12] Speaker B: Je respecte les Red Sox, je suis nerveux, mais ils sont sur une bonne lancée. Les Yankees, on verra. C'est du filet mignon. Et pendant ce temps-là, les jets se reposent. Et pendant ce temps-là, les Jays se reposent. Et ils attendent le dernier de cette série-là. Soignent leurs blessures. Est-ce que Bichette va revenir? Bichette a une saison exceptionnelle. C'est Springer qui a changé la donne aussi. Springer qui était quasiment mort et enterré. Quand il avait engagé ce gars-là de Houston, il s'attendait vraiment à voir le gars de Houston. Ça a été une catastrophe. Les blessures aussi. Mais cette année, l'un des meilleurs dans le show. Donc vraiment, les Jays sont vraiment surveillés. Je suis bien content pour les Jays. Je suis content pour Toronto. Je suis content pour Toronto. [00:22:59] Speaker C: Ouais, c'est cool pour Toronto. [00:23:00] Speaker B: C'est pas vraiment ville de champions encore, comme nous autres. Mais je suis content. Je suis content pour eux autres. Puis les Raptors, cette année, je pense que les Raptors vont faire les séries. J'ai regardé un reportage de ce matin, justement, quand je me suis levé là-dessus. Quoique c'est pas des sujets de conversation qu'on aura ce matin, là. Mais les camps d'entraînement, ça commence en fin de semaine. Et moi, j'ai eu un beau match hors concours Magic Heat de Miami en fin de semaine. Je suis très confiant pour les Raptors. Ils sont à chercher une gramme qu'une moyenne de 20 points par match depuis qu'ils sont pros. Donc, c'est quand même toute une acquisition. Très confiant, pour vrai. C'est juste les Leafs, ils n'ont pas remplacé Marner. Tu n'as pas remplacé un gars de 100 points. Qu'est-ce que tu fais? Les Leafs sont encore très forts. Mais tu sais quoi, Canadiens? leur alignement complet et s'ils jouent avec l'intensité canadienne capable des mat'. J'ai pas peur des Leafs. J'ai pas peur des Leafs. [00:23:56] Speaker C: Faut pas avoir peur de personne cette année. [00:23:57] Speaker B: Non, on n'a pas peur de personne. On n'a pas peur de personne. C'est un peu chiant ce que... On parle des Canadiens puis je lisais la Gazette un matin. Gazette qui a un gros scoop sur le cancer, ce matin. Les listes d'attente sur le cancer. Et juste en haut, il y a comme la photo de David Dernet. Je disais, hein, qu'est-ce que c'est ça? Là, ça dit que le Canadien a beaucoup plus de profondeur que dans le temps de Dernet. Je trouve ça chiant. Je veux dire... C'est «Days of Dernet and Prey are long gone». C'est Todd qui a écrit ça. Je trouve ça chiant parce que... Il n'a rien fait de David. C'est l'exemple qu'il a trouvé. Mais tu sais, David, il était très bon, David. David a rien à voir dans le dossier. C'est plus le management. Tu peux mettre une photo de bergevin, là. Tu peux mettre une photo du gars au repêchage aussi. Comment il s'appelait, là? Ça commence avec un T, là. [00:24:50] Speaker D: Timmins. [00:24:51] Speaker B: C'est plus la photo de Timmins que tu devrais mettre. [00:24:53] Speaker C: La profondeur, c'est Timmins. [00:24:55] Speaker B: Je trouve ça cheap, un peu, ce matin, de la part de là. Gazette. À part ça, le foot hier... Peux-tu parler du Canadien? [00:25:03] Speaker C: On va revenir le dossier. C'est pas que je veux pas parler du foot, ça va me faire plaisir d'en parler. Mais il y a quand même des nouvelles de fun, entre autres Dobson puis Goulet, qui se sont blessés. [00:25:10] Speaker B: Ils reviennent-tu? [00:25:11] Speaker C: Les deux vont revenir. Ils ont pratiqué hier. [00:25:13] Speaker B: Faut pas qu'ils jouent ce soir. [00:25:14] Speaker C: Non, ils joueront pas ce soir. C'est pas mal sorti qu'ils joueront pas le samedi prochain. Ils devraient être là le 9 octobre lorsqu'on va débuter toute la patente. Ça, effectivement, c'est des bonnes nouvelles. Oui, le foot hier soir! [00:25:25] Speaker B: OK, bien juste finir avec le hockey de bord. On va vider ça. J'ai trouvé ça sharp en mots, dit la visite des sénateurs dans l'école primaire de Sainte-Marie. [00:25:36] Speaker D: Tout le passage des sénateurs à Québec... Classy. [00:25:40] Speaker B: C'est le fun. Et Chabot a convaincu les vedettes. Les vedettes des sénateurs d'être là. Jérôme Ketchouk-Stoultz à Sainte-Marie. [00:25:51] Speaker D: C'était-tu l'école de Chabot quand il était jeune? [00:25:55] Speaker B: Non, plus que ça. L'école de sa mère et l'école où son père a enseigné. Il était très ému, Chabot. Encore une fois, excellent reportage de Turcot à TVA. Très bon reportage, pour vrai. Turcot, c'est ça, sa force. People. Un maudit bon reportage pour montrer à quel point c'est un gars de coeur, c'est une famille de coeur. C'est drôle, il ressemble à sa mère. Évidemment, la génétique. Et sa mère était émue. C'était trop drôle le package hier. C'était la fête à sa mère, en plus. La fête à sa mère qui reçoit son fils dans le gymnase de l'école où son père a enseigné et où elle-même est allée à l'école. Regarde, c'est... C'est un film Hallmark Channel, hier. [00:26:40] Speaker C: Ben oui, avec Claude Giroux, entre autres, puis Bradley Kachuk. Ils étaient six. [00:26:45] Speaker D: Ils laissent rentrer les roues en poste? [00:26:47] Speaker B: Oui, ils étaient là. Il y avait pas de... Si tu veux y aller, d'homme, t'auras pas besoin de passeport. [00:26:51] Speaker C: À Sainte-Marie, c'est correct. [00:26:53] Speaker D: Oui. [00:26:53] Speaker C: Mais il va pas plus loin. [00:26:54] Speaker D: Non, c'est ça. [00:26:56] Speaker B: Alors, j'ai fini de parler de ça. [00:26:58] Speaker C: C'est fait, là. C'est correct. [00:26:59] Speaker B: C'est Canadiens sénateurs, ce soir. Amusez-vous. [00:27:01] Speaker G: Oui. [00:27:02] Speaker B: Avec des billets qui coûtent plus cher que Red Sox et Yankees. Fucking même. Le bon aime ça. [00:27:08] Speaker C: Il faut faire du cash. Il fait pas d'argent, le centre Vidéotron. Le centre Vidéotron n'a pas encore fait une crise citienne depuis qu'il est là. [00:27:19] Speaker B: Non. Il n'invitera pas Corne 76 fois. [00:27:22] Speaker D: Mais l'année passée, il semblait inviter du cash. [00:27:23] Speaker B: Mais il y a quand même une belle programmation. C'est ça, on n'est pas Washington DC. [00:27:29] Speaker C: Mais tout le monde disait qu'il ne peut pas être rentable s'il n'y a pas de club. [00:27:31] Speaker B: Il n'y a pas de club, donc il n'est pas rentable. Comment ça va? J'ai ma place? [00:27:36] Speaker C: Ça, c'est les deuxièmes plus grands coquilles de l'univers. [00:27:40] Speaker B: Tu vois des plaquettes, des fois, à accrocher après les bancs. Ce banc appartient à Pascal Trépanier. Mais a priori, c'est Pascal. Je mets mes pieds sur ton banc, t'es pas là. [00:27:51] Speaker C: Voilà. Donc, baseball aujourd'hui, le Canadien également ce soir. Il y avait du football hier soir? [00:27:56] Speaker B: Ben oui. [00:27:57] Speaker C: Écoute, c'était vraiment... [00:27:59] Speaker B: C'est une bonne game, par exemple. Moi, je regardais à mi-temps, jusqu'à mi-temps. J'aimais ça. [00:28:04] Speaker C: On a donné le ballon trois fois sur des formes bases. [00:28:08] Speaker B: Vous avez perdu, je sais, mais c'était quand même... On dirait que Fields, de la part, il est pas top, il court, mais de la part, on dirait que c'est pas un top du top. Fields. [00:28:18] Speaker C: Ouais, il a pas vraiment lancé d'interception. C'est vraiment juste, ils ont échappé le ballon. Échapper le ballon, des grosses blessures, échapper le ballon à la ligne d'un, c'est impardonnable. Parce que tu fais l'effort supplémentaire. [00:28:31] Speaker B: Premier quart. [00:28:32] Speaker C: Parce que les Dolphins arrêtaient pas beaucoup les Jets. Ça, c'était l'autre affaire, mais les Jets s'arrêtaient pas les Dolphins non plus. Mais écoute... [00:28:39] Speaker B: Là, c'est quelqu'un qui va arrêter ta rekill à la salle d'urgence. [00:28:41] Speaker C: Moi, ce que j'ai aimé, c'est à quel point le coach t'en joue à l'envers au point de presse à fin. [00:28:45] Speaker B: Ça, ça fait du bien. [00:28:48] Speaker C: Ça, ça fait du bien. Ça fait du bien. [00:28:50] Speaker B: Sur 0-4, par exemple? [00:28:52] Speaker C: Ouais. Mais tu sais, c'est pas grave. Tu veux voir le coach pogner du coeur. Il s'est fâché dans le vestiaire aussi. Tu sais, les gars, vous avez pogné 11 pénalités. Vous avez échappé le ballon trois fois. On se mentira pas, là. Cette game-là, vous l'aviez... C'est vous autres qui l'avez perdue. J'aimais ça. J'aimais ça. Là, enlignez-vous les deux yeux, là, puis on pratique demain. [00:29:11] Speaker B: Puis, en revanche, qu'est-ce qui se passe du côté des Dolphins? Grosse perte. [00:29:15] Speaker C: Oui, Tarik Hill. [00:29:16] Speaker D: Les Chiefs de Kansas City ont perdu leur meilleur receveur de passes. [00:29:19] Speaker B: Ça n'arrivera pas d'années. C'est l'an prochain, parce que c'est son contrat final 2026. Après, il n'y a plus d'argent garanti. [00:29:25] Speaker C: Les Giants aussi, grosse perte avec Malik Neighbors, qui est perdu pour la saison. Puis les Broncos ont clenché Cincinnati. C'était même pas drôle ce game-là, là, Cincinnati. C'est vraiment plate pour eux autres, mais... [00:29:36] Speaker D: T'as vu ce que Beckham Jr. [00:29:38] Speaker C: A dit? Qu'est-ce que tu dis? [00:29:41] Speaker D: Changer le teuf! À New York, les blessures, Malick Jr. il dit « Regarde, c'est un stade pour se blesser. Ce teuf-là, il n'a pas de sens. » Toi, tu l'avais dit déjà par le passé pour une couple d'autres blessures. [00:29:56] Speaker B: Mais « Neighbours », sur la reprise, c'est dur de voir la blessure. Tu vois des blessures Quand ça arrive au ralenti, là tu te dis «Aïa donc, ça sortira l'enfer!» T'as un recul, tu le vois. Mais «Neighbours», j'ai regardé la reprise une dizaine de fois. J'ai de la misère à voir. Évidemment, il est blessé, mais ce n'est pas un film d'horreur. Yair Hill, c'est un film d'horreur. Les grosses blessures au baseball, on les voit, des bras disloqués de lanceurs et au basket également. Tatum, tu sais, regarde sa blessure, là. Tatum, qui jouera pas quasiment de l'année avec les Celtics, là. Tu sais, on voit ces blessures-là. Mais Neighbour, j'ai de la misère à voir. Mais bref, le turf, qu'est-ce que t'en penses, Dan? Bien, on dirait qu'il y a plus de gazon comme dans le temps d'entrée d'Orson. [00:30:43] Speaker D: La blessure est probablement arrivée quand ces crampons ont pogné dans le tapis. [00:30:47] Speaker B: Oui, c'est ça. [00:30:48] Speaker C: Mais ils vont le changer, là. C'est du gazon naturel l'année prochaine. [00:30:51] Speaker B: OK. À cause du Mondial. [00:30:53] Speaker C: À cause du Mondial. Je trouve ça une drôle d'affirmation, ça, mais oui, ils le changent cette année. [00:30:58] Speaker B: La commande est donnée, Richie Boulay, les camions s'en viennent. [00:31:01] Speaker C: Tous les trucs vont rentrer. Ça va être fait, ça va être réglé, puis tu sais quoi? Il n'y aura plus deux matchs des Jets et des Giants la même fin de semaine, mais ça a été le même pendant... [00:31:12] Speaker B: On l'a arrosé. [00:31:13] Speaker C: Ça a été le même pendant 30 ans, puis ça a très, très bien fonctionné, donc je ne verrais pas pourquoi ça ne changerait rien non plus. Donc voilà, ça ressemblait à ça, le Monday Night Football, hier. [00:31:24] Speaker B: Il y avait quelqu'un qui dit la mort, blessé. Ça, je ne suis pas sûr que c'est une vraie blessure. [00:31:27] Speaker D: Moi. [00:31:29] Speaker B: L'égo, en tout cas, on verra. Il y a comme une petite patente. Mais on verra. [00:31:34] Speaker C: Mais on a annoncé d'autres blessures hier du côté des Ravens, entre autres en défensive. [00:31:38] Speaker B: C'est dégueulasse. [00:31:39] Speaker C: C'est un autobus. [00:31:40] Speaker B: C'est un autobus au complet. [00:31:42] Speaker C: La saison ne sera pas très longue. [00:31:44] Speaker B: Non, ce ne sera pas beaucoup. [00:31:45] Speaker C: Beaucoup d'analystes de la NFL hier riaient des gens qui criaient au renvoi du coach. C'était... Hier, il y a plusieurs personnes qui ont rappelé, je veux juste vous rappeler, qu'un des meilleurs coachs de cette ligue-là, coach les Ravens de Baltimore, il n'y en a pas de meilleur disponible nulle part. [00:32:02] Speaker D: Mais ils ne gagnent pas. [00:32:04] Speaker B: C'est ça, là. [00:32:04] Speaker C: Mais ils ne gagnent pas, mais ils ont des saisons gagnantes. Il y a des saisons gagnantes. [00:32:07] Speaker B: Oui, je le sais, mais c'est un club boosté. [00:32:10] Speaker C: Tu ne peux pas te rendre au Super Bowl à chaque année. [00:32:12] Speaker D: Oui, mais tu sais, c'est comme... [00:32:13] Speaker B: Ils ne sont pas rendus au Super Bowl depuis une petite secousse. [00:32:15] Speaker D: C'est comme quand les Chiefs avaient Alex Smith comme QB. Il y avait des bonnes fiches à chaque année, des bonnes saisons. C'était bien correct, il n'était pas meilleur de la ligue, mais tu sais, il y avait des bonnes fiches. Mais il ne gagnait jamais. Il ne gagnait jamais une game en série. Ça fait qu'à un moment donné, ils l'ont changé. [00:32:28] Speaker B: Il y a des décisions... [00:32:29] Speaker C: Il a changé Alex Smith, mais il n'a pas changé le coach. [00:32:31] Speaker B: Non. Que le Harba prend qui sont questionnables. Que les gens qui connaissent plus le football que moi questionnent. il y a des décisions qu'il a prises cette année qui sont questionnables. Ça, ça peut être vrai pour tous. [00:32:45] Speaker D: Les coachs, par exemple. [00:32:46] Speaker C: Mais ça, on te le garde, sauf qu'en gros, ce qu'on dit... [00:32:49] Speaker B: Mais il y a personne sur le marché. [00:32:50] Speaker C: Si Arba perd sa job, toutes les équipes se questionnent. [00:32:53] Speaker B: Ils vont l'appeler. [00:32:55] Speaker C: Toutes les clubs se questionnent à savoir si je garde mon coach ou si je vais chercher lui qui est meilleur. [00:32:59] Speaker B: Et surtout, il y a personne sur le marché. C'est ça. [00:33:01] Speaker D: Arba à Miami, il y a bien le check. [00:33:04] Speaker B: Le coach à Miami, sérieux? [00:33:06] Speaker D: Oui. [00:33:08] Speaker B: Pour vrai, là! [00:33:09] Speaker D: C'est la nouvelle génération de cordes. [00:33:11] Speaker B: Y'a l'air de robineux de l'eau brivière. [00:33:13] Speaker D: Plus ça va, plus c'est épais, c'est. [00:33:16] Speaker B: La barbe, elle pousse pas égal? [00:33:18] Speaker D: Non. [00:33:19] Speaker B: Y'a l'air de... c'est pas... Y'a gagné, là! [00:33:23] Speaker D: Y'a l'air sloppy. [00:33:24] Speaker C: Oui. [00:33:25] Speaker B: Oui. [00:33:25] Speaker C: L'uniforme des Dolphins, tu l'avais trouvé comment? [00:33:28] Speaker B: Ah, il est beau! Breaking news! [00:33:30] Speaker D: Mon chandail s'en vient. [00:33:31] Speaker C: Ah, tu l'as acheté? [00:33:32] Speaker B: Oui! Je l'ai vu. [00:33:33] Speaker D: Je l'ai adoré. [00:33:34] Speaker B: Mais oui, il est beau. [00:33:35] Speaker D: Sérieusement, je l'ai vraiment trouvé beau. [00:33:36] Speaker B: Black and Teal, c'est beau aussi, regarde. Teal Blue, moi j'adore. Ça fait... Ça fait Miami, ça flash avec le nom orange, je pense. Non, c'est ça, c'est Miami. [00:33:46] Speaker C: Le nom orange, le numéro bleu, c'est vraiment ça. [00:33:48] Speaker D: Sérieusement, j'ai vraiment trippé. [00:33:50] Speaker B: Le stade est-tu beau. [00:33:52] Speaker C: Quand ils vont rejouer ça, ce duel-là, ça va être à mettre l'air. Puis là, c'est les Jets qui ont une forme noire. C'est... C'est... [00:33:59] Speaker F: C'est... [00:33:59] Speaker B: C'est... C'est... C'est... [00:33:59] Speaker H: C'est... [00:33:59] Speaker B: C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... [00:34:01] Speaker C: C'est... C'est... [00:34:02] Speaker B: C'est... [00:34:02] Speaker C: C'est... C'est... [00:34:05] Speaker B: C'est... C'est... [00:34:08] Speaker C: C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... [00:34:18] Speaker B: C'est... [00:34:20] Speaker D: C'est... [00:34:26] Speaker B: C'est... comme Marcel Dion, le plus grand joueur, en tout cas québécois, de jamais avoir gagné la Coupe Stanley. [00:34:33] Speaker D: Oui, mais je pense que t'as copié, parce que Marino a encore à ce jour plein de records. C'est comme meilleur QB dans bien des statistiques, mais il a jamais gagné des Superbowls. Il s'est rendu, mais il a jamais gagné. [00:34:47] Speaker B: On va en pause, hein? Tu veux-tu aller en pause, Dan? [00:34:49] Speaker D: On va-tu en pause? [00:34:50] Speaker C: Jim Kelly s'est rendu quatre fois, il l'a jamais gagné. [00:34:54] Speaker B: Ils ont fêté, d'ailleurs, si vous parlez des... Marv Levy, je pensais qu'il était mort. [00:35:01] Speaker D: Il est encore vivant. Non, il est vieux en temps, mais il est encore vivant. [00:35:04] Speaker H: Ça m'attend. [00:35:04] Speaker D: Oui, c'est ça. [00:35:05] Speaker B: Ça m'attend. Kelly était là, d'ailleurs, à son anniversaire, mais je... [00:35:09] Speaker D: Dans le Hard Knocks de cette année, le Hard Knocks de cette année suivait les Bills. Et à un moment donné, le coach des Bills appelle Marv Levy pour sa fête, si je ne me trompe pas. [00:35:18] Speaker B: Oui, j'ai vu ça passer. J'ai vu ça passer, il y avait des extraits de ça sur le web. Je pensais qu'il était décédé. [00:35:23] Speaker D: L'ancien coach des Alouettes? [00:35:24] Speaker B: L'ancien coach des Alouettes, exact, qui a gagné la Coupe Grey, mais il a jamais gagné le ballon à stainless. [00:35:30] Speaker C: Non, ça c'est jamais arrivé. [00:35:31] Speaker D: Moi c'est ça, cette année-là, tout est là. Moi-même, le documentaire sur les Cowboys de Dallas, ça m'a fait comme « Ouais, faudrait que les Bills en gagnent un. [00:35:44] Speaker B: » Ouais, ils le méritent. [00:35:44] Speaker D: C'est chiant. [00:35:45] Speaker B: Dans leur nouveau stade. [00:35:47] Speaker D: Ouais. [00:35:47] Speaker B: On leur souhaite... Ben, ils pourraient fermer. [00:35:50] Speaker C: Ça dans le vieux. [00:35:51] Speaker D: Ouais, dans le vieux. Une fois cette année. Let's go. [00:35:53] Speaker B: One more time. [00:35:55] Speaker D: Y'a des médolphins qui sont pas là, là. Let's go, les Bills, cette année. [00:35:58] Speaker C: L'année prochaine, je veux y aller voir le nouveau stade des Bills. [00:36:00] Speaker D: Ouais, moi aussi, j'aimerais ça. [00:36:01] Speaker B: C'est pas loin. [00:36:02] Speaker D: Pépé Thor l'an prochain. [00:36:04] Speaker C: Le légendaire Pépé Thor. On a trois autobus bien pleins. [00:36:08] Speaker D: Orchard Park. [00:36:09] Speaker B: Tu pognes un vol. Des fois, t'as des loques, des vols pas chers. Québec-Toronto, t'as quand même beaucoup de vols. Des fois, tu pognes une loque, t'arrives à YYZ, tu pognes un char, tu t'en vas à Buffalo, c'est le fun. Là, tu reviens, rendu à Toronto, t'embarques dans l'avion, tu viens se souper chez mon man. [00:36:25] Speaker D: Mais Buffalo, ça se fait bien tout court. [00:36:28] Speaker B: Oui, mais c'est pas comme aller à l'ancienne Lorette. Il y a quand même une planif. [00:36:33] Speaker C: Effectivement. [00:36:35] Speaker B: C'est quand même un genre de 12 à 14 heures. [00:36:38] Speaker C: Mais c'est pas assez loin. [00:36:39] Speaker B: Non. [00:36:41] Speaker D: Plus un 8-9, 10. [00:36:44] Speaker B: Max. [00:36:45] Speaker C: Moi, j'aime ça rouler longtemps. Arrêter à des places où je suis jamais allé, puis manger du Wendy's. [00:36:50] Speaker B: À quelle place t'es jamais allé, Dan, que tu rêverais d'aller? [00:36:54] Speaker C: Il y en a plein de places. Mais en char, mes prochains, je veux me faire un vrai de vrai road trip hallucinant. C'est-à-dire la route 66, je veux voir le sud, je veux aller voir le Wyoming. Tu sais, toutes ces affaires-là, l'Utah, le Colorado, le Nevada. En char! [00:37:15] Speaker D: Colorado, il paraît que c'est très beau. Il y a une auditeur qui parlait tout à l'heure du Petco Park à San Diego, d'où je pense que tu es déjà allé. [00:37:21] Speaker B: Oui, je reste à côté. [00:37:23] Speaker C: Pendant deux mois, je ne descendrai pas jusqu'à San Diego. Le plus bas, ce serait Los Angeles. Puis après ça, je remonte vers le Canada, Vancouver. [00:37:31] Speaker B: Oui, oui. [00:37:32] Speaker C: Ça, c'est... Si je gagnais en poule, là... [00:37:37] Speaker B: Nous autres, début février, je ne prends jamais une semaine là. Je ne prends pas une semaine de vacances au printemps, mais je la prends là. Le rêve de ma blonde, c'est d'aller au Grand Canyon. Tu peux pas aller là l'été. Grand Canyon, l'été, c'est pas... C'est carrément pas intelligent, en fait. C'est pas recommandé. On va au Grand Canyon. Ouais, je le sais, mais t'es tough. Nous autres, on est des humains normaux. Toi, t'es comme un mutant. Ben c'est chaud là. [00:38:00] Speaker C: C'est chaud, mais faut le vivre. [00:38:03] Speaker B: C'est inexplicable. On y va début février à Grand Canyon. [00:38:07] Speaker C: C'est inexplicable à quel point il fait chaud là. [00:38:10] Speaker B: Ah je sais, je déteste ça. Ben c'est chaud comme à Vegas l'été, je suis allé trois fois à Vegas l'été parce que c'est pas cher. [00:38:16] Speaker D: J'essaie de me rappeler si c'était l'été ou le printemps. [00:38:18] Speaker C: Tu le sais presque pas. [00:38:19] Speaker D: Ma mère de 75 ans est allée là. [00:38:22] Speaker B: Alors, nous, on n'est pas en train de dire que tu vas mourir. C'est pas ça qu'on dit. On dit que c'est très inconfortable. Oui, c'est chaud. T'es dans un four après que t'as fait cuire une lasagne. [00:38:33] Speaker D: Oui. Sale odeur. [00:38:35] Speaker C: T'as la lasagne, t'ouvres le faux, tu. [00:38:37] Speaker B: Te rends de la tête dans le faux, c'est ça avec l'Arizona, le Nevada. [00:38:42] Speaker C: Regarde, c'est ça. Il fait 104 degrés. [00:38:45] Speaker B: Ah oui, je le sais. Ça brûle. [00:38:46] Speaker D: T'as le gros sourire. [00:38:47] Speaker C: Ben oui, je... T'as l'air de bien aller. [00:38:49] Speaker B: T'as l'air de bien sourire parce que c'est quand même beau. [00:38:51] Speaker D: Ça apparaît pas dans la photo que je fais chaud de même. [00:38:53] Speaker B: C'est beau, là. [00:38:54] Speaker C: C'est beau, c'est fun. [00:38:54] Speaker B: Ça prend des chânes. [00:38:55] Speaker C: Puis ça te prend une calotte. Ça, c'est ma blonde, tu vois. Ma blonde aussi, elle avait sa casquette blanche. On avait tous les deux des casquettes blanches parce que t'as pas le choix. [00:39:02] Speaker D: Elle a la bonne couleur. Noir, j'aurais pas aimé ça. [00:39:04] Speaker C: Regarde le bleu du ciel. [00:39:05] Speaker B: Je sais, je sais. Ma blonde est très Phoenix, Arizona, tout ça. Moi, je suis très Florida. J'aime pas quelqu'un qui fait un terrassement à roches. Là-bas, il faut comprendre que quand vous allez vous promener en Arizona, que ce soit Phoenix ou Scottsdale, c'est soit du topi-gazon ou soit de la garnet. Moi, je trouve ça lettre, quelqu'un qui râle que c'est roche. J'aime mieux quelqu'un qui a des palmiers et qui a du gazon. Moi, j'ai détesté ça. Je suis allé deux fois à Phoenix. C'était pas cher. Je me suis fait avoir. J'ai détesté ça. C'est fou comment j'ai détesté ça. [00:39:45] Speaker D: On parlait du Colorado tout à l'heure. Snake est allé, je pense que c'est l'an dernier, à Lake Tahoe. [00:39:50] Speaker B: Je passais du centre d'achat. [00:39:53] Speaker D: Ok, ouais, pour repas dehors. [00:39:55] Speaker B: Cinéma! Moi, je voulais me claquer trois fois dans la ligne. C'est de l'air clim. [00:40:00] Speaker D: Ouais. [00:40:01] Speaker B: Snake est à l'île? [00:40:02] Speaker D: À l'île, t'es à haut. [00:40:03] Speaker C: Considérer comme un des états les plus pet-friendly, l'Arizona, by the way. [00:40:06] Speaker B: Sûrement. Je suis pas allé avec mon chien, non. Je peux pas t'en parler. [00:40:09] Speaker D: T'as regardé les rankings. [00:40:10] Speaker B: J'ai pas vu de chien, maintenant, me prenant en marge de jour. [00:40:12] Speaker C: C'est vous, c'est dans quel endroit, dans quel état nord-américain, où c'est le moins pet-friendly? [00:40:18] Speaker B: Yuck. [00:40:19] Speaker C: Québec. [00:40:20] Speaker B: Ah. Ah oui? Quand tu dis « pet friendly », c'est que t'as pas de parc à chiens, ce genre de truc-là. [00:40:26] Speaker C: Ouais, des parcs à chiens, c'est pas. [00:40:27] Speaker D: Ça que je cherche. [00:40:28] Speaker C: Accepté au restaurant, accepté à l'hôtel. Tu peux aller en vacances avec ton chien. Parce que moi, à Nashville, j'hallucinais. À Nashville, tout le monde dans les hôtels amène leur chien. Ben oui, je trouve ça cool. Après ça, ils vont se promener sur Broadway avec les chiens. Ils peuvent arrêter d'une terrasse. Le chien reçoit son bol d'eau avant que tu reçoives ta pinte d'ailleurs. [00:40:48] Speaker B: Oui. [00:40:48] Speaker D: Aux États-Unis, il y a une culture du chien. [00:40:49] Speaker B: Absolument. [00:40:50] Speaker D: C'est le président. Pas là, là. Mais d'habitude, le président a un chien. [00:40:53] Speaker B: Trump... They're eating the dogs. [00:40:57] Speaker C: They're eating the cats. C'est ça, il a peur de se le faire manger. [00:41:01] Speaker B: Il y a quand même du sang au plein des bois. Oui. They're eating the dogs. Holy cow! Ça a passé! Ça a passé! [00:41:10] Speaker C: Et même au Canada, je lisais entre autres dans les provinces maritimes des places comme l'Île-du-Prince-Odor, la Nouvelle-Écosse, les Tim Hortons ont des menus pour chiens. [00:41:21] Speaker B: Tabarouette. Les Timbits au bacon. [00:41:24] Speaker C: C'est là qu'on s'en va. Dans les provinces maritimes, le Timbits le plus vendu, c'est le Timbits nature. Parce que les gens, ils vont se prendre un café et ils prennent un Timbits nature pour le chien. [00:41:37] Speaker D: Parce que les chiens peuvent manger, ça. [00:41:38] Speaker C: Il y a des endroits dehors où tu peux... C'est comme des mini parcs à chiens qu'il y a dehors au team pour que tu puisses laisser ton chien. Partout, il y a des endroits, mais au Québec, on n'est pas le même. [00:41:49] Speaker B: Et là, on parle de chien de chien. Il y a quelqu'un qui est au bout de sa laisse et qui dit dehors, les cristichiens en hôtel. Il n'y en a pas. [00:41:58] Speaker C: Il n'y en a pas ici. [00:41:59] Speaker B: Je ne sais pas pourquoi vous écrivez ça, c'est un commentaire. [00:42:02] Speaker D: Laissez donc les chiens à la maison, un peu weird les traîner. Quand ça va en voyage... Un choix de le faire garder ou de l'annéer, toi? [00:42:09] Speaker C: Je comprends pas. [00:42:10] Speaker D: Pourquoi, en effet? [00:42:11] Speaker B: Il y a une micro brassée. Il y en a plusieurs, peut-être, là, mais quand je suis allé, un moment donné, je suis allé faire un petit tour des micros. On aime ça visiter les micros. On est allé d'ailleurs ensemble avec Max, tu t'en souviens, Dan, sur la Réussite de la Lévis. L'Ironie du 13. Ici, il y en a une micro. Comment elle s'appelle, donc? Limoilou. Il y en a deux, dont une, en tout cas. La souche. Oui! Y'a que les chiens. J'arrive là, bas les chiens des chiens. J'adore ça. C'est quoi le problème? [00:42:42] Speaker C: Moi aussi j'adore ça. [00:42:44] Speaker B: Ils sont bien élevés. T'sais, je dis pas un chien qui saute sur le monde pis qui arrête pas de japper. [00:42:47] Speaker C: Tu n'es pas du maître, je pourrais pas y aller là avec le mien, c'est un chiot. Il est trop énervé, mais à un moment donné, il va arriver à un âge où il va écouter, il s'assoit, il va boire son eau. [00:42:58] Speaker B: C'est ça, il faut qu'il y ait une structure. [00:43:00] Speaker C: Exactement. [00:43:01] Speaker D: T'es sûr que c'est pas la barberie dont tu parlais? [00:43:02] Speaker B: Non, c'est pas la barberie. [00:43:04] Speaker D: La barberie aussi fait ça. [00:43:06] Speaker C: C'est une culture de microbrasserie d'accepter les chiens. [00:43:09] Speaker B: Bravo! C'est le fun! [00:43:11] Speaker C: Le gars juste rassuré dans les hôtels, si t'as pas de chiens, t'en verras pas. C'est... les hôtels, souvent, ils se gardent deux ou trois étages. Uniquement pour ça. [00:43:21] Speaker B: Ils te donnent des units, deux, trois units, puis ils te chargent un extra si tu amènes ton chien. [00:43:24] Speaker C: Exactement. [00:43:25] Speaker G: Puis ils te laissent... t'as une petite. [00:43:26] Speaker C: Place à côté de ta chambre sur laquelle il y a du gazon pour le sortir dehors. [00:43:29] Speaker B: Un gazon avec une fausse bande fontaine. Ça, j'ai déjà vu ça. C'est drôle. Un classique. Pour les petits gars, les petites filles, les autres, ils se mettent en 4 heures. Comme minuit. [00:43:40] Speaker C: Exactement. [00:43:41] Speaker B: Le petit gars, lui, c'est le poteau. Mais les chiens, pareil. À chaque fois que je vois des poteaux de téléphone, minuit, il faut qu'elle aille voir c'est qui qui a pissé sur le poteau de téléphone. [00:43:52] Speaker C: Oui, toujours. Ça, c'est les bombes fontaines. Je le sais, je le sais. Les arbres. [00:43:56] Speaker B: Je le sais. Ça peut être très long, une marche, là. [00:43:59] Speaker C: Ça peut être très, très long. Puis il faut que tu le laisses sentir. C'est ça qui le fatigue. [00:44:02] Speaker B: Oui, oui. Un moment donné, ça vient long, mais c'est ça, on aime les chiens. [00:44:06] Speaker C: C'est pour ça qu'on a des écouteurs. [00:44:08] Speaker B: C'est ça, on aime les chiens. 6h44, on va à la pause, tout en vous disant que ça va être encore une journée sans histoire, c'est-à-dire une belle journée, c'est une belle semaine, il n'y a rien d'autre vraiment à raconter. On dit que c'est en bas de 20, mais... Ça va être au-dessus de 20. Regarde, je viens de déclarer ça. C'est fait. Je l'ai dit. C'est ensoleillé. C'est 0 % de pluie jusqu'à au moins mardi. Regardez. Vivez votre vie telle que vous l'entendez. Votre corps, votre choix. 6h45 de Montréal. Les Sports de Dan, présentés par Gold Wanted, qui cherchent des représentants sur la route. Tu es fonceur et débrouillard? Parcours le pays, dépenses payées. 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Effectivement, Madame Levac. C'est pourquoi je ralentis, je reste attentive et j'évite les distinctions telles que le téléphone cellulaire ou l'écran tactile de mon véhicule. Wow, réponse parfaite. Avec un Madame Lévesque en plus. Coudon, avez-vous des défauts, vous? Il m'arrive d'oublier les noms, Madame Lévesque. Ah, pas grave. Vous protégez les usagers vulnérables dans les milieux de vie. Merci, Madame Laflaque. Ah, ben oui, toi c'est Anna. La Sécurité routière, j'embarque. Un message du gouvernement du Québec. [00:47:07] Speaker C: Gagnez deux billets pour le match d'ouverture Montréal-Seattle au Centre Bell avec 2000$ cash pour en profiter grâce à Numbers Game. Participez gratuitement à concopng.com. Numbers Game, le seul casino en ligne. [00:47:21] Speaker B: Qui vous donne des cadeaux gratuits chaque jour! [00:47:24] Speaker C: Doom, as-tu des petites patates? [00:47:28] Speaker B: Mets-en, mets-en, mets-en des petites patates et mettes-en. C'est la rentrée parlementaire demain. C'est le discours de Rocky Legault aujourd'hui. Il va tirer partout. C'est le discours de la dernière chance, on peut le dire. Et dans les rings, il va parler de tout et de rien à la fois. Il veut une constitution. Il veut s'attaquer au syndicat. Les médecins, la laïcité, le masque dans les rues. pendant ce temps-là, vous allez avoir l'EPQ qui va l'écouter et l'EPQ qui se prépare peut-être, peut-être, peut-être, peut-être une élection massive l'an prochain. C'est la dernière session parlementaire qui va s'ouvrir avant l'élection générale. Livre bleu pour la souveraineté, ça, ça s'en vient. Ça, ça risque de faire jaser énormément. Et le PQ a sorti cette semaine pour dire « Ah non, nous autres, on y va avec un extra sauce. Pas de signe religieux chez les enfants. » Donc ça va être beaucoup l'aspect identitaire qui va se jouer. Éric Duhem va venir s'asseoir avec nous autres tantôt pour parler de la joute parlementaire qui reprend officiellement demain. Et c'est Youri Chassain qui va porter le ballon d'Éric. il est gêné de porter le chandail. C'est un peu Space là, mais c'est comme ça. Plan de paix Gaza, cesser le feu, libération des otages en 72 heures, contre la libération de plusieurs prisonniers palestiniens. Et si on a ça, c'est le retrait de l'armée israélienne. On verra comment ça va aboutir tout ça. Ça semble être un plan raisonnable, là, si on compare au premier plan Trump, là, que c'était quasiment Disneyland, là, avec des Arabes, là. C'est pour... C'est une joke, là, mais là, là, c'est du sérieux. Et on verra comment le Hamas va réagir. Il faut dire que derrière eux, bien, il y a quand même des pays arabes, là, qui mettent de la pression sur le Hamas pour se tasser, pour pouvoir rebâtir éventuellement, entre autres, le Qatar. la Jordanie et l'Égypte. Fait inusité, Bibi s'est excusé publiquement auprès du 4h hier. Ça, j'ai rarement vu ça. Restons dans le Trump. Imposition quand même de nouveaux droits de douane de 10 % sur le bois d'oeuvre et le bois importé. Ça, ça va faire mal au Québec. Sur les meubles en bois également. Puis on en fait encore au Québec, moins qu'avant, mais on en fait 25 %. Voilà. On n'a pas beaucoup parlé ici, mais les audiences du CRTC, ça a fini hier concernant la musique. Et la grande bosse... de Spotify, une amie Xenia Manning est venue parler pour dire «Hey yo, je pense qu'on en fait assez pour le Québec et on en fait assez pour le Canada. On veut pas que vous tripotiez dans l'algorithme.» Parce que ça, c'est la volonté de la CAQ d'aller tripoter là-dedans. «Nous ne sommes pas des stations de radio. Nous ne voulons pas de quotas. Barrière anti-intrusion retirée par marchand ailleurs. suite au méga fail des pompiers qui ont tenté, puis finalement, il n'y a pas eu de mort, là, mais ça aurait pu mal virer, effectivement, dans le Vieux-Québec, en fin de semaine. Ça devait finir, tout ça, ce projet pilote-là, le 14 octobre. Après, il y a eu un comité de citoyens qui ont ben, ben aimé ça, puis qui veulent avoir ça, avec des commerçants également. Une nouvelle qui tombe entre deux craques, je trouve ça intéressant. On a un problème avec le développement économique. du côté du gouvernement Carney, mais peut-être qu'une ouverture-là, c'est le port de Saguenay qui lève la main pour devenir plaque tournante des exportations de minéraux critiques du Québec et de l'Ontario. Et là, tu vois le ministre des Ressources naturelles du Canada qui s'en va samedi à Saguenay pour peut-être tenter d'en arriver à une entente. Ça, ça risque d'être un game changer si tout va bien. Article dans le devoir, je l'ai tweeté, je l'ai mis sur Facebook. On pense citer Dan, mais c'est Doom qui est cité concernant la fusion qui n'aura jamais lieu finalement entre le parti d'Amad et le parti de Lachance. Vous avez eu un débat hier sur la Rive-Sud, vous allez en avoir un dans Montréal Live ici la semaine prochaine. Leouillet qui se dit convaincu que le mégaprojet de 3e lien va se faire tôt ou tard. Un autre fail, tiens, pourquoi pas. Ça, ça tombe aussi un peu entre deux craques, mais c'est quand même un échec important pour le Québec. On a perdu 600 millions là-dedans dans Carbone-Varennes, recyclage Carbone-Varennes. Un projet bien supporté par nos gouvernements. Ça a foiré. Ça clique? C'était beaucoup d'argent, mais ça aussi, c'est beaucoup d'argent, puis on n'en parle pas beaucoup. Puis parlant d'argent, puis je vais finir avec ça, l'invitation personnelle de Mark Carney au Roi Charles III, ça a coûté 1,3 million pour moins de 24 heures. Parle-moi de gaspillage. On revient. [00:52:10] Speaker C: Les petites patates. [00:52:11] Speaker B: Présentées par les Cliniques vivants. Offrez-vous l'épilation définitive avec le laser Triton. Ultra-efficace et sans douleur. Épargnez jusqu'à 50% en combinant les régions. Cliniquevivant.com. Cette semaine, écoute Couture dans le Mid. Tu pourrais gagner à chaque jour une boîte de pizza d'aliments Ludo d'une valeur de 60 $. Pendant le show, texte au 88 670 9098 le mot Ludo en nous disant c'est quoi ta sorte de pizza préférée. Ingrédients frais, pâte et sauce maison, Ludo, la pizza congelée au vrai goût de resto. Dispo chez les marchands participants et un prix très spécial au IGA Amel. Ludo, décongelé, cuire, servir. [00:52:50] Speaker A: En réservant votre croisière avec CAA Québec, vous profitez d'une foule d'avantages, que vous soyez membre ou non. Pour un temps limité, vous obtenez jusqu'à 3 000 $ de rebais par cabine en voyageant avec Royal Caribbean ou Celebrity Cruises. Et on vous donne en prime jusqu'à 200 $ américains en crédit pour vous gâter à bord du navire. Ça donne envie de prendre le large, mais faites vite. Cette offre exclusive se termine le 19 octobre. Pour voir les départs sélectionnés et connaître les conditions, visitez le caaquebec.com baroclip promo croisière au cellulier. [00:53:19] Speaker D: Vous portez des verres de contact et vous êtes tanné de payer trop cher? J'ai la solution pour vous. Maranda.ca. Des grandes marques telles que Oasis, Acuvue, Dailies, au meilleur prix, c'est garanti. Jusqu'à 50% moins cher. Livraison sans frais. Pour vos verres de contact au meilleur prix, Maranda.ca. [00:53:37] Speaker A: Encore une facture d'électricité qui explose. [00:53:41] Speaker C: Moi, Pat, depuis que j'ai ma thermopompe. [00:53:42] Speaker B: Lenox, j'ai réduit mes coûts de moitié. Pis tu me connais, hein, les économies. [00:53:46] Speaker C: De cash, c'est primordial. [00:53:48] Speaker B: En plus, les montants des subventions n'ont jamais été aussi élevés. J'ai jamais été aussi bien chez moi. [00:53:53] Speaker C: Confort en hiver, fraîcheur en été et les économies toute l'année. Une thermopompe Lenox, c'est payant. Parlez-en à... [00:54:06] Speaker A: En face de l'aéroport. [00:54:08] Speaker B: En Suède, le minimalisme n'est pas synonyme d'ennui. Il s'agit d'éliminer le superflu et de perfectionner le reste. Polestar 3, le VUS électrique qui se conduit comme une voiture de sport. [00:54:19] Speaker E: Pas de parure, pas de fioriture, simplement. [00:54:21] Speaker B: Le design et la performance perfectionnées. Louez votre Polestar 3 pour seulement 899 $ par mois sur 12 mois avec 0 $ d'accompte. [00:54:29] Speaker E: Oui, 899 $ par mois, mais uniquement jusqu'au 30 septembre. [00:54:34] Speaker B: Visitez PolestarVilleDeQuebec ou Polestar.com. Des conditions s'appliquent. [00:54:37] Speaker A: Grande nouvelle! La Clinique Laser Epilation présente en primeur le tout nouvel appareil Clarity 2, la technologie la plus avancée, rapide, efficace et plus confortable que jamais. Clinique Laser Epilation, des résultats incomparables, la compétition même pas proche. [00:54:53] Speaker B: Et le but! He's back! La chronique Ray the Sports! [00:55:12] Speaker I: Hey, c'est moi ça! Une présentation du Charbon Steakhouse. Avant le match, passez chercher vos côtes levées, burgers, steaks ou plats cuisinés. Le charbon pour apporter, c'est une bonne idée! [00:55:22] Speaker D: Le Deep Dan. [00:55:23] Speaker B: Présenté par Couvre-Plancher Orléans, qui fête ses 50 ans. Des rabais sur les flottants, vinyle, céramique, tapis, de la peinture Benjamin Moore, et plus, c'est Couvre-Plancher Orléans. Même quand je ne joue pas, tu suis ça pareil? [00:55:35] Speaker A: Oui, à cause de mon chum. Mais j'aime ça, écouter ça avec lui. J'adore ça, on capotait à ses jouets. [00:55:41] Speaker B: Écoutes-tu du vrai basket aussi? [00:55:44] Speaker A: On n'est pas les gars, les filles. [00:55:45] Speaker B: C'est beau. Tu vois, au hockey, j'ai pas en basket. [00:55:50] Speaker D: Ah, elle est donc... Non, mais c'est vrai. [00:55:51] Speaker B: Ça te dongue-tu? [00:55:52] Speaker A: Non, pas vraiment, non. [00:55:54] Speaker G: Tu sais pas. [00:55:55] Speaker B: Tu sais pas. [00:55:57] Speaker C: C'est beau. [00:55:58] Speaker B: Tu vois, au hockey, j'ai pas en basket. Ah, elle est donc... Non, mais c'est vrai. Ça te dongue-tu? Non, pas vraiment, non. Tu sais pas. Ça te dongue-tu? [00:56:02] Speaker A: Pas vraiment, non. Et là, ça s'est joué. [00:56:06] Speaker B: Écoutes-tu du vrai basket aussi? Ça te dongue-tu? C'était plus le temps d'analyser le jeu, de... Moray. Live. [00:56:20] Speaker A: Avec Dominique Moray. [00:56:22] Speaker B: Pourquoi pas? Dan Gravel. [00:56:24] Speaker A: Et Doom Dima. [00:56:26] Speaker B: Radio X. Deep Dan. Putain de bordel de merde. Deep Dan. D'accord, merci. [00:56:38] Speaker D: Dan, our favorite jock. [00:56:40] Speaker B: Go deep mon Dan. [00:56:43] Speaker C: C'est journée fériée aujourd'hui. [00:56:44] Speaker B: Oui, bien oui. [00:56:46] Speaker D: Êtes-vous réconciliés? [00:56:48] Speaker C: Bien, c'est la journée de la réconciliation. Vous vous dîtes qu'est-ce qui est fermé aujourd'hui. Les institutions financières sont fermées aujourd'hui. Les compagnies d'assurance sont ouvertes, mais tout ce qui est régi par le gouvernement fédéral est fermé. [00:56:58] Speaker D: Les stations de radio sont fermées. L'émission que vous écoutez présentement est préenregistrée. [00:57:02] Speaker B: Préenregistrée, mais je suis quand même capable de vous dire qu'il est 6h57 et je suis pêle-poil. [00:57:07] Speaker C: Voilà. [00:57:08] Speaker B: Ce qui est fermé aussi, c'est l'eau potable dans plusieurs réserves. Oui. Gang d'hypocrites. Gang d'hypocrites. Ça, c'est une création de Trudeau, ça. Chandail jaune-orange. Faut se souvenir des Premières Nations, aucun doute. Mais honnêtement... C'est rien passé avec les autochtones sous Trudeau. [00:57:28] Speaker D: Y'a rien de nouveau. [00:57:29] Speaker B: C'est juste du blablabla. Regarde, j'ai nommé la première ministre. Virtue Signaling. C'est Virtue Signaling, c'est juste du blablabla. [00:57:36] Speaker C: C'était la première à vouloir qu'il parte. [00:57:37] Speaker B: Oui. Mais oui. Exact. Non, non, c'est un master hypocrite. [00:57:41] Speaker D: Comment ça s'appelle déjà? [00:57:41] Speaker B: Quelle hypocrisie. Judith Wilson-Raybould. [00:57:46] Speaker C: Oui, c'est ça. [00:57:47] Speaker B: Qui a écrit un livre pour le planter. Un sale hypocrite, Trudeau, c'est ça que c'est. [00:57:52] Speaker C: Donc bon congé férié à tous. [00:57:54] Speaker B: Mais on a un congé qu'on reportera à notre horaire. Donc voilà, on porte le jaune orange aujourd'hui. [00:57:59] Speaker C: Oui, toute la gang c'est fait, c'est réglé. Donc passez une bonne journée, mais dites-vous que si vous n'avez pas de service à telle ou telle place, c'est que souvent il y a des entreprises. Puis il y a beaucoup d'entreprises au Québec. Les plus grandes entreprises ont décidé de le faire, même si le gouvernement du Québec n'embarque pas dedans. [00:58:14] Speaker B: Donc, si tu veux aller changer ton chèque chez Desjardins, c'est fermé. C'est ça? [00:58:19] Speaker C: Ben, les caisses, c'est comme le jour du souvenir. Les banques, les caisses, c'est... [00:58:25] Speaker B: Le jour du souvenir au Québec n'est pas très respecté, je trouve. Au Canada anglais, oui. [00:58:29] Speaker C: Nous autres, on a un congé férié. Nous autres, on a un congé férié. On travaille pareil. [00:58:38] Speaker B: On n'a pas de congé remis. Un congé férié, c'est un congé remis. Aujourd'hui, c'est remis, mais choix ne nous a jamais donné de congé remis pour le jour du souvenir. On fait un jour pour honorer ici les premiers combattants, mais c'est pas un congé remis. Un vrai légal, ça n'en est pas un. Malheureusement. [00:58:54] Speaker C: C'est parce que c'est pas toi qui décide quand est-ce qu'il est remis. Oui. Mais au Québec, on a une journée... [00:58:58] Speaker B: Mais ils nous ont jamais dit ça sur notre oreille qui était remis, Dan. [00:59:02] Speaker C: Je sais. [00:59:02] Speaker B: Faudra parler à Daniel qui fait les horaires. [00:59:04] Speaker C: Au Québec, on a une journée de congé de fériés le plus dans le temps des fêtes, et c'est à cause du 11 novembre. [00:59:09] Speaker B: C'est quoi? C'est quel Dan? [00:59:11] Speaker C: Je pense, je sais pas. [00:59:12] Speaker D: Le 22. Je sais pas si vous avez jamais essayé d'appeler. [00:59:15] Speaker B: 24, 25, 26, 31, 1er et 2, c'est ça qu'on a de fériés. [00:59:19] Speaker C: Parce que pour nous autres, c'est un férié le 11 novembre. C'est sûr, c'est sûr. Loi fédérale, c'est vraiment le 11 novembre. Je l'ai ici, radiodiffusion, jour du souvenir, le 11 novembre 2025, qui est un congé férié. [00:59:33] Speaker B: Il faudrait demander à Danny. Danny qui nous écoute actuellement, qui prend de marche. Danny, il a remis quelle date cette année? [00:59:40] Speaker C: Au Québec, je pense que c'est le 24 décembre qu'on a férié pour les gens qui sont sur l'entreprise fédérale. et que les autres n'ont pas, ceux qui sont régis par le gouvernement du Québec, n'ont pas le 24 décembre. Je pense que c'est une affaire de même. [00:59:53] Speaker D: Oui, ça se peut. [00:59:54] Speaker B: Donc, j'ai éteint ma demande à Dany. C'est quoi? [00:59:58] Speaker D: Ça a du sens, le 24. [00:59:59] Speaker B: La date du congé remis. [01:00:01] Speaker C: Mais il y a quelque chose là-dedans. Je le vois. [01:00:03] Speaker B: Moi, j'en doute. [01:00:04] Speaker C: Je suscite du gouvernement du Canada et on a un congé férié le 11 novembre. [01:00:07] Speaker B: Mais t'as tout à fait raison que c'en est un, Dan. Ce que je dis, c'est que... Pas sûr que nous autres on l'a. Peu importe, je m'en fous. On est en santé, pareil, ça va bien pas nous de bonne humeur. [01:00:17] Speaker D: Au Québec, il y a presque rien de fermé le 11 novembre. La construction, semblerait-il, le 11 novembre, ils l'ont de congé. [01:00:23] Speaker B: Moi, je trouve ça manque de respect au Québec envers le 11 d'avril, si vous voulez mon avis. C'est le Canada anglais, sauf le Québec. [01:00:29] Speaker D: Je l'ai souvent dit, je serais prêt à faire un échange en masse. Même l'action de grâce, à la limite. [01:00:35] Speaker B: Bien oui. [01:00:36] Speaker D: Il y a une histoire à l'action de grâce, mais au Canada, c'est pas une vraie tradition. [01:00:40] Speaker B: Non. [01:00:40] Speaker D: C'est plate, mais c'est ça. [01:00:41] Speaker B: Tradition américaine. Oui. [01:00:43] Speaker C: C'est une tradition canadienne. Il y a du monde qui va. [01:00:44] Speaker B: À grand moment, qui paye 800$ en avion pour aller passer un week-end chez ma mère dans le Royaume-Uni. [01:00:49] Speaker C: Au Canada en octobre qui s'en vend dans le temps des fêtes. Le Canada anglais, c'est... [01:01:00] Speaker B: C'est resté quand même longtemps au Canada anglais, Dan, mais c'est moins qu'aux États-Unis. Aux États-Unis, il y a des congestions autour des aéroports. [01:01:06] Speaker C: Au Canada, c'est un lundi. Aux États-Unis, c'est six jours. [01:01:08] Speaker D: Ouais, c'est ça, l'affaire. [01:01:09] Speaker B: Aux États-Unis, c'est plus important que Noël. Oui, bien oui. C'est capoté. C'est là qu'ils voient grand moment, moment, dans le Wyoming, dans la belle grande maison blanche, les images qu'on se fait. Mais grand moment, On est en famille immédiate à Noël. Grand moment, ma tante Suzanne, on la voit pas. Ma tante Suzanne, on la voit à l'Action de grâce, où on se pitche le ballon de foot avec mon oncle Raymond puis son cousin. [01:01:35] Speaker D: Quand on est allé en famille à Disney, il y a trois ans maintenant, on est allé la semaine après le Thanksgiving parce que Disney, à ce moment-là, tombe un peu plus. On s'entend qu'il y a beaucoup de monde pareil, mais un peu plus flat. [01:01:47] Speaker B: Plus relax, exact. Des tarifications dynamiques aussi. Quand c'est plus relax, c'est un petit peu moins cher aussi. [01:01:52] Speaker C: Mais tout ça pour dire qu'hier, ma blonde s'est dit, je pourrais peut-être aller au spa voir, checker les affaires. C'était bouclé partout. Il n'y a pas de place, donc il y a vraiment du monde qui sont en congé aujourd'hui. Ça va pareil. [01:02:04] Speaker B: Faites des autochtones, on se fait faire un massage, on va au sport. [01:02:07] Speaker C: Si tu veux faire, c'est une journée de congé. [01:02:09] Speaker B: Bon oui, regarde, on n'est pas obligé de se flageller, il faut en profiter. [01:02:12] Speaker C: Pas mal plus, pensez à la réconciliation quand tu te fais masser, quand tu regardes la télé. [01:02:16] Speaker B: Réconciliez-vous avec votre propre corps. [01:02:19] Speaker C: Voilà, exactement. Donc voilà, ça se passe aujourd'hui. Gâtez-vous, profitez-en et surtout, faites de cette journée une journée remplie de bonheur, de joie. [01:02:27] Speaker B: Et continue de les écouter jusqu'à 10 heures et plus encore. [01:02:30] Speaker C: Et voilà. Hé, on a parlé de poupées hier. [01:02:32] Speaker B: Ah là là, ça, faut que tu me fasses un spécial poupée, là. Moi, j'ai été renversé de ça, là. Ça, c'est de la maladie mentale pure, pure et dure. Les poupées reborn, j'en reviens pas. Ça existe depuis des années. Je me suis mis au starbuck à regarder des vidéos de ça. Là, j'envoyais ça à Dan. J'ai dit, Dan, il faut que tu fasses une émission spéciale là-dessus, là. Ça a pas d'allure, comment c'est psycho, là. [01:02:54] Speaker D: J'ai vu ça quand mon père était en CHSLD. que des personnes qui ont pu toutes. [01:03:00] Speaker B: Leurs têtes, des madames très âgées, qui. [01:03:04] Speaker D: Ont des bébés, des poupées dans les mains, qui se promènent avec le poupée. Mais on parle des personnes de 35-40 ans. [01:03:12] Speaker C: Mais là, à un moment donné, il faudrait peut-être juste dire au monde, fais avec. Parce que l'histoire des bébés reborn, ça vient beaucoup du fait que des femmes ne peuvent pas avoir d'enfants. Donc là, t'sais, on dirait que c'est comme quelqu'un qui est allergique aux chiens qui décide de s'acheter un furet, puis de l'appeler Fido. [01:03:30] Speaker B: Ou s'acheter un chien en plastique. [01:03:32] Speaker C: Ouais, mais non, mais c'est pas ça. Tu peux pas avoir d'enfant. Tu peux pas. Engager des professionnels de la santé mentale. [01:03:41] Speaker B: Le score du match. Ça finit avec un zéro. [01:03:44] Speaker C: C'est ça. [01:03:45] Speaker B: La vie est injuste. C'est faux. Oui, c'est injuste. [01:03:48] Speaker C: La vie est injuste. Ça, il faut qu'on... D'abord et avant tout, il faut que tu parles du principe que... [01:03:52] Speaker B: J'aurais aimé ça avoir des triplés. Non. T'en as eu juste un. Ouais, mais j'en veux deux autres en plastique qui vont ressembler au petit Nathan qui est né. Non. La poupée est faite en Chine. C'est pas toi qui vas décider. Les poupées à 160 piastres. [01:04:11] Speaker C: Ah pis y'en a... Y'en a qui respire. [01:04:13] Speaker B: J'ai vu ça, man. [01:04:14] Speaker C: Je sais, y'en a... [01:04:15] Speaker B: J'me suis pogné dans un rabbit hole hier, pas à peu près. J'ai pogné une fille qui a des poignets de linge. Je sais qu'on me le demande fou. Elle a fait le lavage de la poupée. Mais la poupée qui chie pas pis qui pisse pas, là. Non, non! [01:04:28] Speaker C: Elle a fait le lavage! Ils achètent des couches, ils mettent la couche pis après ça y'a ça qu'ils vous donnent. T'sais, ils saquent la couche au vidange. [01:04:34] Speaker B: La couche... Ça là, c'est profond, profond. [01:04:36] Speaker D: La couche, elle est non plus usée. [01:04:37] Speaker C: Tu pourrais te loucher dedans, là. [01:04:38] Speaker B: Oui! Non, c'est de la maladie mentale profonde. [01:04:41] Speaker C: Ils font des biberons de lait avec du vrai lait en poudre pour bébé. Ils t'achètent, là, puis ils jettent le lait. [01:04:46] Speaker B: Ça coûte cher, du lait en poudre. Ben oui, je sais que c'est... T'as pas d'allure. T'as-tu des audios? [01:04:49] Speaker C: Ben, les audios, hier, j'ai fait entendre les audios de poupées. Là, j'y vais dans les messieurs. [01:04:55] Speaker B: Ça, j'aime moins ça, là. C'est quoi, ça? Précise un peu. [01:04:58] Speaker C: Bien, je te fais entendre... [01:04:59] Speaker B: Mais monsieur... Bien, il a voulu être papa. [01:05:01] Speaker C: Non, non, il veut pas être papa. Je te fais entendre, Étienne, qui est allé rencontrer Thierry Ardisson avec sa conjointe, Réna. [01:05:11] Speaker B: Tiens, vous êtes un homme équilibré, bien dans ses pompes, vous avez un job de commercial, vous êtes papa, mais votre vie amoureuse prend un tour particulier le 3 août 2015, puisque vous rencontrez quelqu'un sur internet avant de partager sa vie. Depuis, elle est votre compagne officielle, elle est là ce soir, Iréna ! Ça n'a pas de sens. Ah, la musique! [01:05:44] Speaker C: Il met le rencontre... Tu sais, lui, il met la musique de X-Files parce que... Oui. [01:05:49] Speaker B: Oui. [01:05:49] Speaker C: Parce que c'est un peu ça, là. Écoute, c'est complètement malade. Il parle avec le gars, puis le gars, il raconte son coup de foudre. [01:05:58] Speaker B: Gros miracle, vous tombez sur une photo d'Erena, qui est assise, en fait, sur le bord d'une baignoire, en nuisette. Et vous dites je n'oublierai jamais son regard. Ah oui, oui. C'est son regard qui m'a provoqué vraiment un coup de foudre. [01:06:15] Speaker I: J'ai senti, même si beaucoup de gens ne voient en elle ou en ses. [01:06:19] Speaker B: Poupées qu'un objet, moi j'ai ressenti vraiment. [01:06:22] Speaker I: Des émotions à travers ce regard. [01:06:24] Speaker B: Là, vous avez l'impression d'être adolescent au lycée devant une super gonzesse, quoi. Grave, oui. C'est exactement ça. Exactement. Alors, elle vaut 3000 euros. Oui, même beaucoup plus parce qu'en fait, il y a eu des évolutions. Mais j'ai envie de vous dire que l'amour n'a pas de prix. Bien sûr. [01:06:43] Speaker C: Bien oui, il a fait des ajouts. Elle avait les cheveux roux. Puis là, il a fait teindre les cheveux noirs. Il a rajouté des tatous. [01:06:51] Speaker D: Ah, mais... rajouter des tatous? [01:06:53] Speaker C: Lui, il était père d'une fille. Il avait une femme. Il a tout laissé ça pour tomber en amour avec sa poupée en silicone. Il a payé 3000$ et il a rajouté des modifications dessus parce qu'il y a tune, tu comprends. [01:07:05] Speaker B: Tu sais que c'est un dîner de cons à Ardisson, il y a comme une couleur d'envoi. [01:07:09] Speaker C: Tu t'en rends compte que c'est un dîner de cons? [01:07:11] Speaker D: T'as la musique d'X-Files. Il y avait une femme. [01:07:16] Speaker B: Pas que je pourrais comprendre, mais un. [01:07:20] Speaker D: Homme seul, qui est seul depuis très très très longtemps, Moi, c'est l'image que je me faisais, là. [01:07:27] Speaker B: Je suis complètement décroché. [01:07:28] Speaker D: Mais... OK. Would you rather. T'as un père de l'âge de Bill Belichick. Qu'est-ce que tu préfères? Qu'il t'arrive avec une jeune de 24 ans qui est là pour son cash ou qu'il t'arrive avec Réna, la poupée? [01:07:43] Speaker B: Bien, la première version, peut-être. [01:07:45] Speaker C: La jeune de 24. [01:07:46] Speaker B: Tu pars avec. [01:07:47] Speaker C: Attends, papa s'endort. [01:07:50] Speaker B: Je vais te montrer. C'est ça. Ben oui, voyons donc. [01:07:55] Speaker C: C'est qu'on y est assumé. C'est vrai pareil. Mais lui, il avait femme et enfant. Il a laissé sa femme et son enfant pour son coup de foot. [01:08:04] Speaker B: Je suis complètement déconnecté. [01:08:05] Speaker C: Attends un peu, j'ai pas fini. Mais juste avant d'aller là, lui, parce que ça fait quand même depuis 2015, pis ça, ça date de... ça date de... [01:08:15] Speaker B: Écoute, le décès d'Artie est mon cet été. [01:08:17] Speaker C: Ouais, ouais, c'est ça. T'sais, c'est pas si vieux que ça comme extrait. Pis lui, il est avec... R.N.A. depuis 2015. Il arrive d'une croisière. [01:08:26] Speaker D: Oh non! [01:08:28] Speaker C: Il l'amène, R.N.A., en voyage. Il paye des billets. [01:08:31] Speaker B: T'as pas le droit de l'amener, là. [01:08:33] Speaker D: Pourquoi? [01:08:33] Speaker B: T'as pas le droit. Voyons donc! Voyons donc, toi! T'es à sécurité. [01:08:39] Speaker C: C'est sa conjointe. [01:08:40] Speaker D: Ben oui. [01:08:40] Speaker B: Toi, mais t'es à la sécurité. [01:08:42] Speaker C: Ben quoi? [01:08:42] Speaker B: Elle a son billet. T'as une valise à roulettes dans la main droite, mais dans la main gauche, t'attiens par le tronc comme si tu tenais un tronc d'arbre. [01:08:50] Speaker D: Elle a son billet. Elle a son siège dans l'avion. [01:08:54] Speaker B: Mais, y'a pas d'invalides là! Mais il se laisse sécurité! Il va lui poser des questions à elle! À lui il dit, elle parle pas, c'est moi qui vais répondre à sa place! Oui! [01:09:02] Speaker C: Le seul voyage qu'elle a fait dans ce sort de bagage, c'est celui entre la Chine et l'adresse chez eux. [01:09:08] Speaker D: Est-ce qu'il passe avec dans le détecteur de métal? [01:09:11] Speaker C: Ça, il le demande pas. Mais, il était avec sa femme et sa fille. [01:09:17] Speaker B: Oh non! [01:09:19] Speaker C: Son ex-femme et sa fille ont été en vacances en croisière. [01:09:25] Speaker B: Et lui avait amené la femme tronc. [01:09:26] Speaker C: Papa nous invite en croisière. Non, elle n'est pas tronc. [01:09:28] Speaker D: Elle a des jambes. [01:09:29] Speaker B: Elle a des pattes. [01:09:30] Speaker C: Écoute, je vais essayer de la montrer. Elle est assise à côté pendant l'entrevue. [01:09:34] Speaker B: Non, non, regarde, arrête, là. [01:09:35] Speaker C: Mais non, mais je te niaise pas, elle est assise à côté pendant l'entrevue, Dom. Elle est là, puis ta voix avec ses tattoos d'en face toutes, lui... [01:09:44] Speaker B: Elle a des tattoos d'en face? [01:09:45] Speaker C: Ben oui, il a fait un coeur sur une joue. [01:09:47] Speaker J: Il a... [01:09:48] Speaker C: Il a... ben... [01:09:49] Speaker B: Il a tout tubeuré en face comme Post Malone, ou est-il allé modérer? [01:09:52] Speaker C: Je te dirais que Post Malone, c'est un... c'est un beau référent. Non, non, c'est un beau référent. [01:09:57] Speaker B: Ok. [01:09:58] Speaker C: Je vais juste essayer de l'ouvrir. Je vais vous faire un imprimé. Elle crate tout ça parce que... [01:10:02] Speaker B: Elle doit sentir le plastique, pareil. [01:10:04] Speaker C: Le silicone, c'est sûr. [01:10:06] Speaker G: Ouais. [01:10:07] Speaker B: T'es obligé d'allumer une chandelle. [01:10:09] Speaker C: Ok, je l'ai ici. Regarde. C'est ça blonde-là. [01:10:16] Speaker B: Ouais. [01:10:17] Speaker C: Elle est là. [01:10:17] Speaker B: Elle ressemble à Carla Bruni. [01:10:20] Speaker C: Elle ressemble à Carla Bruni, mais avec des yeux d'asiatique et tu vois son regard perçant. Etienne nous raconte comment ça s'est passé un coup qu'il l'a acheté. [01:10:31] Speaker B: Là, en l'attendant donc, vous rangez votre tanière de célibataire et vous décorez un petit peu votre intérieur dans un look asiatique. [01:10:41] Speaker J: Oui. [01:10:42] Speaker B: Il fallait un petit cocon douillet qui lui rappelle un peu ses origines, en fait, puisqu'elle est hyper asiatique. Vous êtes un passion de l'habiller, vous êtes un passion de la maquiller. [01:10:53] Speaker I: Oui, j'en ai profité pour faire du. [01:10:54] Speaker B: Shopping, j'ai acheté plein de vêtements. Vous découvrez le shopping féminin, en fait. Oui, oui, absolument. Vous ne pouvez pas savoir à quel point je comprends mieux les femmes depuis. [01:11:00] Speaker J: Que je suis avec Iréna. [01:11:02] Speaker B: Il troll les médias, le lendemain, lui, il va faire un point de presse, il va se dégager, je l'ai eu. C'est pas vrai, tout est faux. [01:11:08] Speaker D: Ah non, c'est ça, ça se peut. Ça, c'est comme... [01:11:10] Speaker B: C'est trop, là. [01:11:11] Speaker D: Non, non, c'est Ardisson qui fait un show, c'est comme Blackout ou au Lion d'or dans le temps, là. [01:11:16] Speaker B: Oui. [01:11:16] Speaker D: Avec Robert Gillet, là. C'est des acteurs, là. [01:11:20] Speaker B: Ça se peut pas. [01:11:21] Speaker C: Je me suis posé exactement la même question. Donc, j'ai retrouvé d'autres entrevues de Étienne et Réna à plusieurs autres stations de télévision. Il y a même... c'est ça, lui, il est en couple, parce qu'il... Sont-tu. [01:11:35] Speaker B: Allé dans le show de Bercoff? [01:11:37] Speaker C: Non, mais t'sais, il était à Touche pas à mon poste, il était à toutes sortes de patentes de même, les émissions les plus freaks françaises. [01:11:46] Speaker B: Est-ce que vous l'embrassez sur la bouche? Est-ce qu'elle a une langue? Est-ce qu'elle a des émotions? [01:11:51] Speaker C: Il l'embrasse partout. Je te fais entendre également, un autre histoire, c'est un homme qui, lui, en a deux, Poupée. [01:11:58] Speaker B: Alors, je m'appelle Frédéric, bientôt 43 ans. [01:12:01] Speaker I: Je vis depuis bientôt 10 ans avec. [01:12:03] Speaker G: Deux poupées, donc Lilika. [01:12:04] Speaker B: Et puis, vous avez... Voilà, j'adore déjà avec mes deux poupées, donc on est assez serré. Moi, je me mets au milieu. On se tient chaud, quoi. Faut pas qu'il y en ait une. [01:12:11] Speaker I: Troisième, parce que je sais pas où c'est qu'elle dormirait. [01:12:12] Speaker B: À l'époque, je l'avais achetée à crédit. [01:12:14] Speaker E: Je la voyais plus comme un côté un peu sexuel. [01:12:17] Speaker B: Et puis, au bout de 10 mois, en fait, ces poupées, je l'ai revendue. Alors moi je suis pas con contre les poupées, je trouve que sexuellement c'est cool, mais là le mec a remplacé complètement sa femme, ses relations, par une poupée et ça c'est flippant. Ah il fait des photos ! Ça reste ma vie privée quoi. Il fait des photos ! Il a des rapports sexuels avec une poupée donc forcément ça peut faire sourire. [01:12:36] Speaker G: Ça peut choquer, ça peut déranger. [01:12:37] Speaker B: Moi, ça me dérange pas qu'il fasse un rapport sexuel avec la poupée, tu vois. Ça me dérange pas. Au contraire. Enfin, tu te fais plaisir. Moi, c'est plus l'histoire qu'il est en train de créer, quoi. [01:12:46] Speaker A: L'histoire d'amour qu'il est en train de. [01:12:47] Speaker D: Créer avec cette poupée. [01:12:48] Speaker B: Même chose pour moi. Comme une vraie personne, je lui dis... [01:12:50] Speaker C: C'est complètement débile. [01:12:52] Speaker B: C'est la même chose pour moi. [01:12:53] Speaker C: C'est complètement débile. [01:12:53] Speaker B: Parce que poupée gonflable, c'est vieux comme le monde, là. Ça date des années 50, 60. [01:12:57] Speaker C: Puis poupée gonflable, on s'entend pas dire. [01:12:58] Speaker B: Que c'était... Poupée gonflable, dans le temps, là, ça ressemblait... [01:13:01] Speaker D: C'était plus pour faire des jokes, comme chose. [01:13:02] Speaker B: Ouais, c'est ça. [01:13:03] Speaker C: Ça avait plus l'air de quelque chose sur lequel tu te couches dans la pisc Là, aujourd'hui, c'est carrément des poupées qui ont toutes les articulations. Tu paies ça 3000 piastres, t'es capable de mettre des talons en haut, des robes. [01:13:13] Speaker B: Ah, parles-tu? Oui, non. J'ai faim. [01:13:15] Speaker C: On est en 2025, selon moi, et t'as habit d'avoir des poupées qui parlent. [01:13:18] Speaker B: Oui. Intelligence artificielle. Geoffroy Croizeau-Guerrier-Py. L'énordique, l'énordique, alerte! [01:13:27] Speaker C: L'intelligence artificielle, selon moi, on t'avait de voir un reportage de le premier gars qui se fait gérer par sa poupée artificielle. [01:13:34] Speaker D: T'as déjà des histoires de gens... [01:13:36] Speaker C: Fais le ménage, masse-moi les pieds, ramasse. [01:13:39] Speaker D: Tes bas... Faites-le à la vaisselle. L'intelligence artificielle. [01:13:44] Speaker B: Aïe, aïe, aïe. Les gens ont besoin... Ça existe. Sur la planète Terre, ça existe. Et c'est un peu ça le deep down. [01:13:51] Speaker C: Oui. [01:13:51] Speaker B: C'est le droit à l'information. [01:13:53] Speaker C: Pis les gens vont pas bien. [01:13:55] Speaker B: Non, les gens vont pas bien. Visiblement. [01:13:57] Speaker C: Je vous fais entendre une Québécoise dans les Laurentides qui est sortie d'une épicerie parce qu'elle avait peur. [01:14:02] Speaker A: Petit démon à l'épicerie? Non, gros démon à l'épicerie. [01:14:07] Speaker B: Ouais. [01:14:08] Speaker A: C'est cool, hein? Il y a une épicerie, je vais jamais. Pourtant, la plupart de chez nous. Bon, pas en deux minutes, c'est pas la fin du monde, mais je vais jamais là. Jamais, jamais, jamais, jamais. J'aime pas le choix qu'ils ont. Hier, j'étais allée. Oui, moi, pourquoi? J'ai décidé d'y aller. Je suis rentrée. On s'entend, c'est des épiceries de village. J'ai croisé une femme du coin du regard. Là, j'ai su qu'il y avait quelque chose qui marchait pas instantanément. Comme un gros démon, mais c'était elle le gros démon, je sais pas m'expliquer ça. Pis j'ai retourné pis elle était plus là. Elle avait disparu. Comme par magie. [01:14:49] Speaker C: Donc on voit des démons à l'épicerie maintenant. [01:14:50] Speaker B: Ça va pas bien. [01:14:51] Speaker D: Ouais la madame a disparu parce que... [01:14:53] Speaker B: Tu connais des épiceries qui sentent le yaourt là? [01:14:55] Speaker D: Ouais ça c'est autre chose. [01:14:56] Speaker C: C'est ça. [01:14:58] Speaker B: Mais de là à avoir un yacht dans l'épicerie, ça c'est un autre ballgame. [01:15:02] Speaker C: Ben, ils en ont tous un pour transporter plus que deux boîtes. [01:15:05] Speaker B: Ouais! [01:15:07] Speaker C: Mais je pense pas effectivement qu'il y ait des démons qui se promènent dans les épiceries. [01:15:12] Speaker B: Il y a quelqu'un qui t'implace. Sérieux Dan, ça va être assez à matin please. [01:15:17] Speaker C: Attends un peu, non non, j'ai pas fini là. [01:15:18] Speaker B: Pas fini, c'est le deep. [01:15:19] Speaker C: Non non, écoute. [01:15:20] Speaker B: Et quand c'est le deep... [01:15:21] Speaker C: On est dans les grosses affaires. Oui oui, on va le plus profond possible. Le gars pète sa coche pis il a décidé de pas donner de type au restaurant. Déjeuner, pourquoi? L'extra a fait le tour du Québec hier, je vous le fante. Des choses comme ça là, ma p'tite madame là, ça se fait pas. [01:15:38] Speaker B: Ok? C'est inacceptable. [01:15:40] Speaker C: C'est comme de péter à table devant plein de monde. Ça se fait pas. [01:15:43] Speaker B: C'est impoli. Ok? [01:15:46] Speaker C: Les toasts, le pain, les tranches de pain, les toasts là, t'les amènes avant, ou en même temps que mon assiette. [01:15:55] Speaker B: Pas après. [01:15:57] Speaker C: C'est une couple de fois qu'on me l'amène genre 5-10 minutes après. [01:16:01] Speaker B: Moi, quand je mange des oeufs le matin, j'aime bien ça tremper mon pain. [01:16:06] Speaker J: Dans le jaune, mettre un petit peu. [01:16:07] Speaker C: De blanc d'oeuf dessus, une tranche de bacon, de fromage, un peu de crouton. [01:16:11] Speaker B: Whatever ce qu'il y a dans mon. [01:16:12] Speaker C: Assiette, puis je le mange comme ça. Mais si tu me l'amènes 5-10 minutes. [01:16:16] Speaker B: Après, je vais être en tact et je vais dire « je vais tout manger mon assiette ». Pis y'a des bonnes chances que t'aies pas de type juste pour ça! Fait que force-toi, mon assisté, pis oublie pas mes tabarnak de toast, vieille criss! Mais dans le fond, la rage au volant, ça n'a pas rapport avec le volant, ça a rapport avec plus la rage qu'autre chose. [01:16:42] Speaker C: Les gens sont rageux. [01:16:44] Speaker D: C'est pas la faute de la pétro-masculinité? Non. [01:16:47] Speaker B: L'autre affaire aussi, c'est peut-être pas dur à tout le monde d'avoir un téléphone. [01:16:51] Speaker D: Non, arrêtez! [01:16:52] Speaker C: C'est parce que les gens disent «. [01:16:53] Speaker B: Moi je fais des vidéos, moi je parle, je raconte ma vie! » Moi je raconte ma vie à l'univers comme si ça valait la peine de raconter ma vie à l'univers. [01:17:01] Speaker C: On dirait qu'à chaque jour, il y a du monde qui auditionne pour faire le deep dance. [01:17:04] Speaker B: Oui! Ça se passe le mot, hein? [01:17:07] Speaker C: Oui, ça se passe le mot. [01:17:09] Speaker D: Pas game. [01:17:09] Speaker B: Pas game d'être dans le Lidl. Il y a vraiment quelqu'un sur Texto qui t'implore. [01:17:13] Speaker C: Arrête. [01:17:14] Speaker B: Ça lève le cœur. Arrête ça. Ça lève le cœur. T'as peu? S'il vous plaît, s'il vous plaît, s'il vous plaît. [01:17:18] Speaker D: T'as peu, c'est pas fini. [01:17:19] Speaker C: Mon prochain extrait est quand même assez intéressant. Je vous fais entendre un débat de féministes au Québec. En France, si vous comprenez qu'on n'est pas rendu là au Québec. [01:17:26] Speaker B: Et voilà! [01:17:27] Speaker C: Les fémino-nationalistes et les féministes. En tout cas, il faut faire la différence entre les deux. [01:17:33] Speaker D: OK. [01:17:33] Speaker C: On écoute ça. [01:17:34] Speaker A: C'est du féminisme d'extrême droite. [01:17:37] Speaker B: Oui. [01:17:37] Speaker A: On appelle ça le fémonationalisme. Alors, moi j'appellerais ça plutôt du féminisme de bon sens, mais comme vous voulez. Bouge pas, je t'explique. Le fémonationalisme, c'est la contraction de féminisme et de nationalisme. Marine Le Pen écrit en 2016 dans l'Opinion ça. J'ai peur que la crise migratoire signe le début de la fin des droits des femmes. C'est du fémonationalisme. Je vous le refais, elle considère que penser qu'il y a des cultures incompatibles avec la vie des femmes occidentales relève du racisme. Laisse-moi t'expliquer quelque chose de très très simple. Si tu laisses venir des afghans en masse en France, pourquoi traiterait-il différemment les femmes françaises que les femmes afghanes ? Et deuxièmement, pourquoi n'irais-tu pas tester ton féminisme en Afghanistan ? Peut-être que je deviendrais fémo-nationaliste. [01:18:17] Speaker B: Bravo ! [01:18:17] Speaker A: On trouve cette tendance dans les franges les plus conservatrices. Nemezis en est le parfait exemple. Ah enfin, je commence à être vexée. [01:18:23] Speaker H: Allons-y. [01:18:24] Speaker A: C'est un groupuscule identitaire qui se revendique féministe de droite et qui veut défendre les femmes occidentales. Le mouvement exclut les personnes trans et... Des femmes d'armes. [01:18:31] Speaker H: Ah, les hommes. [01:18:32] Speaker A: Les hommes. Je crois que tu t'es trompé. [01:18:34] Speaker H: Nous expliquons les hommes. [01:18:35] Speaker A: Antiport du voile. [01:18:36] Speaker H: Quoi ? [01:18:37] Speaker A: On est contre un bout de tissu qui montrerait que les femmes sont inférieures aux hommes et qui voudrait les cacher. [01:18:40] Speaker B: Dans l'espace public ? [01:18:41] Speaker A: Mais c'est un scandale ! [01:18:42] Speaker C: Donc, je trouve ça le fun, ce type d'échange-là. [01:18:46] Speaker B: Il y a encore des féministes normales dans le monde. [01:18:48] Speaker C: C'est ça que je voulais vous démontrer. [01:18:50] Speaker B: Des femmes qui prennent pour les femmes. Oui. Ça existe. [01:18:53] Speaker C: Et je voulais terminer avec une grande question existentielle. Aimez-vous ça, tanker, aux États-Unis, vous autres? Pas juste parce que ça coûte moins cher. [01:19:00] Speaker B: C'est moins cher. OK. [01:19:01] Speaker D: Mais sinon, c'est quoi tu feras, aussi? [01:19:03] Speaker B: Je suis en train de mettre de l'essence. Je suis aux États-Unis, présentement, puis à toutes les fois que je gaze, aux États, Je me demande qu'est-ce qu'on a. C'est quoi notre problème, nous autres, au Québec, avec cette petite clanche-là, ici? Pourquoi on l'a vue? Elles sont toutes enlevées de nos stations de service. C'est pas pour mettre des descentes dans le parking. J'adore ça. Quand je vais mettre descente ici... Oui, tu te croises les bras, puis au bout de cinq minutes, c'est fini. [01:19:25] Speaker C: À toutes les fois que je tanque aux États-Unis, je me pose la question, puis jamais je pense quand je rentre ici, là. Mais lui, il a bien raison. [01:19:32] Speaker B: Pourquoi ils les ont enlevées? [01:19:33] Speaker C: Pourquoi ils ont enlevé les clanches? [01:19:34] Speaker B: C'est-à-dire faire le plein... sans effort. T'sais, la clanche, elle est... [01:19:40] Speaker C: C'est ça. [01:19:41] Speaker B: Comment t'expliques ça? [01:19:41] Speaker C: Comme les pompistes avant. Les pompistes étaient capables de fouler six. [01:19:44] Speaker B: Chars en même temps. Une clanche automatique. Ouais, c'est ça. Tu fermes, tu clanches, puis arrêtes-tu ça. [01:19:47] Speaker C: Le coup que t'es rendu, qui est plein. [01:19:49] Speaker D: Il y aura pas de débordement. [01:19:50] Speaker B: T'en as un encore avec service sur Henri Bourassa, proche du McDo. Lui, il fait ça, c'est un ultramarre. Clac, clac, clac, clac. Il fait le plein quatre fois. Ça rentre au poste. Let's go. [01:20:01] Speaker C: Mais c'est vrai que c'est au Québec qu'ils ont enlevé. Pis t'sais, y'en a des vieilles pompes, là. C'est clair qu'y'a déjà eu des clanches. Là, tu vois le rack à clanches dans le pistolet. [01:20:09] Speaker B: Ça arrête aussitôt qu'y'a un fume, y'a comme un... un sensor. Ben oui, ça arrête. [01:20:14] Speaker C: Même quand on le tient, ça arrête. [01:20:15] Speaker D: Bon point. Pratique à moins 40. Quand t'es obligé de tenir la pompe pis tu changes demain parce que t'as frais, t'as maintenant... [01:20:22] Speaker C: On met des affaires. Moi, quand il fait frais pis j'ai oublié mes gants. J'y mets soit mon bouchon de gare, soit une bouteille d'eau vide. [01:20:29] Speaker B: On a les clanches en Ontario. C'est l'affaire du Québec. [01:20:33] Speaker C: Je sais que c'est au Québec qu'on n'a pas éclanché. [01:20:35] Speaker B: Encore? [01:20:36] Speaker C: Oui, c'est encore une histoire du Québec. [01:20:37] Speaker B: Les textos, ça rentre au poste. [01:20:38] Speaker C: On est encore trop épais. [01:20:40] Speaker B: C'est rendu illégal. [01:20:41] Speaker D: OK, je veux une confirmation de ça. [01:20:42] Speaker C: Le plus gros problème du Québec, c'est que le gouvernement nous prend pour des christies d'épais en culottes. [01:20:48] Speaker B: Et c'est la gestion par la minorité. Deux, trois caves qui ont fait traverser ça, t'es obligé de mettre du gros... comme de la litière à terre pour éponger le gaz. [01:20:59] Speaker D: Pour éviter les dégâts au cas où la protection ne fonctionnerait pas. [01:21:03] Speaker B: Fait que tu mets de la graine à poule à terre, oui, je comprends, c'est déjà arrivé, mais... Non, non, mais... Mais en même temps, je veux dire, si ça arrive pas aux États-Unis, c'est bon, on est capable de se gérer. [01:21:14] Speaker C: Ben, je pense que oui, là, on est capable de se gérer. Tu sais, tu restes à côté, là, tu t'en vas pas t'acheter des chips pendant que tu tanques. [01:21:20] Speaker B: On est là. [01:21:22] Speaker C: On peut-tu prendre encore nos cellulaires? [01:21:24] Speaker B: Ouais, y a-tu encore une image d'explosion, là, coincée du cellulaire? Ouais, c'est ça. [01:21:28] Speaker D: Prends pas ton sel à côté de la tête. [01:21:31] Speaker B: Hey, breaking news, on peut prendre nos cellulaires à l'hôpital. Tu te souviens-tu de ça? Oui! Les cellulaires à l'hôpital! [01:21:36] Speaker D: Ça va faire arrêter les... Ben oui. [01:21:37] Speaker B: Ça va faire arrêter la madame en haut qui a une radiologie des poumons. [01:21:42] Speaker D: Ben voyons donc! Le monsieur sur le respirateur, tout va arrêter. [01:21:46] Speaker B: Toi aussi, là, quelle fake news. [01:21:48] Speaker D: Les interférences. [01:21:49] Speaker B: C'est plus un Flip Motorola de 88, là. [01:21:51] Speaker C: Donc, je pense partir une pétition, parce que les pétitions, il faut que ce soit sur des sujets importants. [01:21:55] Speaker B: Les pétitions qu'on donne au Québec, ça donne absolument rien. [01:21:57] Speaker C: Oui, oui, je sais, mais il faut que ce soit sur des sujets importants. [01:22:00] Speaker G: Et moi, je veux le retour de. [01:22:00] Speaker C: La clanche chez Pistolet de Gauze. [01:22:02] Speaker B: On aimerait ça. Ouais. Sato22, merci! Merci beaucoup. [01:22:06] Speaker C: C'est pour faire face au changement climatique. Fait froid l'hiver. [01:22:09] Speaker B: Oui, fait froid l'hiver, mets ça. On a un gros show, quand même. David Proulx, très, très content de lui jaser. Hier, quel tweet, d'ailleurs, de Nathalie El Grably concernant C2 et C9? C'est deux lois, des projets de loi qui ne sont pas votés encore, qui ont été déposés à la Chambre des communes. On va prendre le temps ensemble de les débroussailler, de les analyser, et ça sera pas lourd. Ça va se faire de belles façons. Avec David Proulx, qui est avec nous autres ce matin, qui est un gars qui travaille dans la techno depuis une vingtaine d'années, qui est maintenant dans l'intelligence artificielle. Le gars est écœurant. Regarde, je vais le dire, je l'ai découvert à Cube. Pas gêné, on écoute de tout, donc à un moment donné, tu découvres, on est une petite province, on est une petite... Tu sais, quand il y en a un bon, on le prend, donc il est invité ici, dans Montréal Live. Très, très, très bon. Mais au retour, c'est Alexa, la voix, et on va vous faire entendre ce qui s'est passé à Longueuil au cours des dernières heures. Oui, incroyable mais vrai, la gang de pourriture, et je le dis, d'antifa ont profité de ce qui appaire être une baveule policière. Le kid de 15 ans, il est mort. Eux autres profitent de ça pour commettre de la violence et de l'intimidation. L'extrême gauche folle. Et elle a eu mal à partir, justement. Elle et son caméraman, Guillaume, en fin de semaine. Il y a eu une grosse manif, mais Antifa, eux autres... Ah, la police! OK, parfait. Donc, on attaque la police. Et tous les policiers, c'est de la marde. Là, ils ont même ciblé des policiers qui sont filmés dans le vidéo de Rebel. Il y a rien à voir là-dedans. Là, ils se font filmer, nazis, extrême droite, blablabla, tout le christie de baratin. Nomment les... les matricules. Matricule, là, tu l'affiches, là, on dit que c'est public. Je trouve ça dégueulasse, ce qui se passe. Et elle, elle a dénoncé ça, puis elle a été la cible, justement, d'Antifa. Groupe reconnu terroriste aux États-Unis, désormais. [01:24:08] Speaker C: Ouais, mais si t'es contre les Antifas, ça veut dire que t'es fasciste? Vous l'avez vu à Twist depuis trois quarts de jour. [01:24:16] Speaker D: Ma phrase est la suivante depuis un bout. Les antifas sont des fas. Les antifascistes sont des fascistes. [01:24:22] Speaker B: Ben oui, c'est des fascistes, absolument. Mais comme les wokes sont des racistes. Oh, t'es pas racialisé, elle, elle l'est, lui, il est malin, il est moins bon. [01:24:31] Speaker C: Moi, je me suis fait coincer d'un coin parce que j'ai rien fait, là. J'étais juste présent comme témoin. Je me suis fait coincer d'un coin puis menacer avec une bonbonne de poêle de Pikaïenne par du monde masquise, se disant antifa. Je trouvais que ça ressemblait pas mal à Tétérorès, oui. [01:24:45] Speaker B: C'est juste ça, l'lait. Trump, là-dessus, a raison. [01:24:47] Speaker C: Si, mettons, je m'appelle antiraciste, là, je peux pas mettre des bombes partout parce que je suis antiraciste. Antifa, je trouve ça niaiseux comme argumentaire de dire que si t'es contre les antifas, ça veut dire que t'es un fasciste. Toi t'es un abruti. [01:25:01] Speaker B: Et ça crie nazi, nazi, nazi. Je trouve ça incroyable. Je trouve ça incroyable. Quelle dérive, quelle dérape. Violente! La liberté d'expression, t'as le droit des niaiseries. Mais là, c'est très, très, très violent, ce qui est en train de se passer. Et malheureusement, cette famille-là est instrumentalisée au nom de la brutalité policière, la guerre de coco de Montréal. Black bloc, toute la sauce. L'ancienne guerre à Boissonneau, finalement, c'est un jeu. C'est ça, Barry. [01:25:31] Speaker D: Puis il y a eu des rassemblements en fin de semaine qui étaient pacifiques, qui étaient des gens du quartier, des gens qui sont inquiétés de ce qui s'est passé, des gens qui demandent que les policiers portent des caméras. Je suis très d'accord avec eux autres. [01:25:42] Speaker B: Très d'accord. C'est bon pour les policiers en passant. [01:25:44] Speaker D: En effet. Oui, c'est bon pour les deux bars. [01:25:46] Speaker B: Je sais pas pourquoi t'as pas ça ici, pour vrai. Ça protège le policier aussi. Si la personne porte plainte, là, on voit vraiment ce qui s'est passé. Moi, je suis pour la quête de la vérité. Ces caméras-là, ça existe. [01:26:00] Speaker D: Il y a-tu une question de cash aussi là-dedans? [01:26:02] Speaker B: Ben oui, c'est ça. [01:26:03] Speaker D: On est au Québec, on paierait dix fois trop cher, là. Il y aurait un appel d'offres, on paierait dix fois trop cher. [01:26:09] Speaker C: Caméra, c'est les policiers. Caméra, c'est les chars. Caméra partout. [01:26:12] Speaker B: Caméra dans les écoles et caméra dans les garderies. Pour surveiller, vérifier. Tu mets ça sur le cloud. C'est pas ça sur Internet. Tu mets ça sur le cloud. Et on vérifie par la suite ce qui s'est fait et ce qui s'est dit. On n'a pas le choix. On s'en va à la pause. Et c'est Alexa Lavoie de Rebel News de retour de Montréal. [01:26:40] Speaker D: Radio X, le deep down. [01:26:42] Speaker B: Présenté par Couvre-Plancher Orléans qui fête ses 50 ans. Des rabais sur les flottants, vénile, céramique, tapis, la peinture Benjamin Moore et plus, chez Couvre-Plancher Orléans. [01:26:52] Speaker C: L'école de conduite Pointe-Lévis, ses 15 formateurs et 250 heures de cours par semaine, jour, soir et week-end. Les cours débutent tous les mois. Inscris-toi, nomme Radio X et épargne 50 % sur ton manuel. L'école de conduite Pointe-Lévis à Saint-Charles-de-Bellechasse et Lévis. [01:27:07] Speaker B: SA Service Agricole et le Massey Ferguson. Petit format, très beau, le 1GC. C'est comme ça qu'on l'appelle chez SA Service Agricole. Pour entretenir un terrain, c'est juste parfait. Je l'ai essayé. Il est tripant! Creusé, chargé, tiré, et là c'est déneigé parce qu'éventuellement c'est sûr que ça va arriver. Grande maniabilité, super facile à conduire, pour vrai là. Il est vraiment le fun. Côté confort, il y a une cabine spacieuse qui peut aller dessus. Tu peux élaborer puis tu peux aller chercher un kit. Vraiment excellent. Quand c'est venteux, en Beauce et ailleurs, toujours pratique. Là maintenant l'offre est exceptionnelle, ok? C'est 53 piastres par semaine. Zéro comptant garantie 10 ans. C'est la plus longue sur le marché. Ouh! Financement 0 % sur 60 mois. La sainte paix. Oui, oui, 0 %. Incroyable, mais vrai. saservicesagricoles.ca. C'est à Saint-Georges, Sainte-Marie-Pont-Rouge, Coaticook, Mont-Joli et Warwick. la circulation de Québec pour faciliter la fluidité. J.A. [01:28:16] Speaker C: Larue, et je vous en reparle plus tard, c'est la circulation là que je fais. [01:28:20] Speaker B: Larue, Larue, il a vu Larue! [01:28:22] Speaker C: Ça va Dan, réveille-toi. On parlait de congés tantôt, on parlait de gens qui sont en jour férié, on parlait de gens qui seront moins sur les routes, ben ça paraît pas je vous le dirais à cette heure-ci. C'est très congestionné. La tête des ponts, c'est bloqué partout. Je passerais mon temps à vous dire 20 ouest, 20 est, 73, 116, 132, c'est bloqué partout. Arcate, Laurentienne, direction sud également. Charest, direction est. C'est à partir de Saint-Augustin-Village où ça reste par choc à par choc. C'est comme ça jusqu'à Saint-Sacrement et ça reprend par la suite à la hauteur des travaux. sur Marie de l'Incarnation. Déjà sur Dufresne-Montmorency, c'est assez costaud, là, l'accès à la colline parlementaire. Ça va bien, cependant, dans le Vieux-Québec. Il y a pas d'histoire de... C'est pas Londres, OK? C'est vraiment pas Londres, ce matin. Laurentienne, également, c'est assez lourd à rentrer dans le Vieux-Québec. Pour le reste, ça va, somme toute, encore assez bien. Continuez, M. Chris, si vous voyez quoi que ce soit. Au 88 670 9098 jusqu'au 20 décembre, recevez Jusqu'à 100 $ de remise à l'achat de 4 pneus Nokian Tire sélectionnés. Les pneus Nokian Tire disponibles chez votre détaillant Autobox! [01:29:31] Speaker A: Desharnais, c'est une grande famille de plus de 200 passionnés qui, en prenant grand soin de votre véhicule, prennent d'abord soin de tous ceux qui montent à son bord. Parce que rouler en confiance et en sécurité, c'est juste parfait. [01:29:46] Speaker B: Du 22 septembre au 19 décembre, obtenez une remise postale de 85 $ à l'achat de 4 pneus Michelin sélectionnés. Les pneus Michelin, pour une confiance ultime sur route enneigée et glacée. Détails et prise de rendez-vous en ligne sur desharnais.ca. [01:30:01] Speaker A: Desharnais, c'est juste parfait! [01:30:05] Speaker D: La confiance, c'est savoir que l'on est prêt à faire face à tout ce qui se présente. C'est ce que l'on ressent lorsqu'on entreprend une journée de travail avec Syntas. Il s'assure que vos DEA sont à jour, vos armoires de premiers soins sont approvisionnées, vos tapis sont nettoyés et livrés, et vos vêtements de travail sont beaux, agréables au toucher et fraîchement lavés grâce au programme de vêtements de Syntas. Alors, êtes-vous prêt à affronter la journée? Visitez syntas.ca baroblique fr et soyez prêt pour la journée de travail. [01:30:32] Speaker B: J.A. [01:30:33] Speaker C: Larue, ben oui là je vous en parle de J.A. Larue. En pleine expansion pis on cherche du monde comme toi, t'es assis dans ton auto. C'est à toi qu'on parle. On recrute J.A. Larue, une entreprise de Québec. Pour les gens de Québec, c'est une entreprise qui fabrique distribue des équipements de déneigement destinés au marché mondial. On a des jobs disponibles, travailler chez Larue. On a plusieurs postes à combler, assembleurs, monteurs, mécaniciens de machinerie lourde, ingénieurs, électriciens, techniciens, ingénieurs industriels, techniciens qualité, commis à la réception également. On vous invite à rejoindre une entreprise tournée vers l'international avec des super projets. On y va vraiment dans l'innovation. Postulez maintenant aller faire un tour au www.larue.ca. Les conditions de travail sont incroyables, la gang est vraiment le fun. Rejoins notre entreprise, on est en pleine croissance. JALARUE.COM. [01:31:40] Speaker B: Un vrai classique qui réconforte peu importe vos envies. On a de tout pour satisfaire les plus gros appétits. Servis jusqu'à 11h en semaine et 13h les week-ends. En salle à manger ou au service au volant, on vous attend à la Fromagerie Victoria. 8 succursales pour mieux vous servir. Pour travailler dans un atelier récent à la fine pointe de la technologie, Béton Provincial est à la recherche de mécaniciens de véhicules lourds pour leur garage à Québec. Rejoins une équipe dynamique dans un environnement stimulant où l'ambiance de travail est excellente. Chez Béton Provincial, le poste de mécanicien de véhicules lourds te donne accès à des équipements modernes. Que tu sois un mécanicien d'expérience ou un passionné, postule dès maintenant au betonprovincial.com, via notre onglet carrière. Mais passerais-tu la scie, mon grand? Question de lancher ton téléphone. [01:32:23] Speaker G: Ha ha! [01:32:24] Speaker B: Mais est-ce pas un métier, couper des branches aussi proches des fils? Franchement! J'suis capable! [01:32:29] Speaker A: Tailler des branches près des fils électriques pourrait couper court à votre vie. Restez à plus de 3 mètres. Ceci est un message d'Hydro-Québec. [01:32:35] Speaker B: VapoShop, c'est votre boutique d'articles pour vapoteurs et fumeurs. 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[01:34:21] Speaker B: 98. [01:34:22] Speaker A: 98. [01:34:23] Speaker B: 1. [01:34:24] Speaker A: La fameuse. [01:34:25] Speaker B: L'original. Choisis-toi. [01:34:26] Speaker A: Choisis-toi. [01:34:27] Speaker B: Radio X, à Québec. C'est Radio X. Sois... Radio X. C'est vous. [01:34:35] Speaker A: C'est drôle. [01:34:35] Speaker B: Votre propre opinion. C'est pas juste ça. J'étais le gars en culotte courte qui a pas d'affaire là, là. Point barre. [01:34:42] Speaker J: J'étais le gars en culotte courte qui. [01:34:43] Speaker B: A pas d'affaire là, là. Point barre. Allô, p'tit homme? Oui, je suis là. J'étais le gars en culotte courte. Je te prédonne. Je crois en toi. J'étais le gars en culotte courte. Dans quelque temps. J'étais le gars en culotte courte. J'étais le gars en culotte courte. J'étais le gars en culotte courte. J'étais le gars en culotte courte. J'étais le gars en culotte courte. J'étais gars en culotte courte. J'étais le gars en culotte courte. J'étais le gars en culotte courte. J'étais le gars en courte. J'étais le gars en culotte courte. J'étais le gars en culotte courte. J'étais le gars C'est l'une des grosses en nouvelles culotte aujourd'hui. courte. Ça n'a aucun J'étais le gars en culotte rapport courte. J'étais avec le gars en culotte courte. l'entrevue J'étais le gars en culotte courte. courte. J'étais le qu'on va faire avec Alexa, mais quand même, c'est digne de mention. Et je lance l'appel. La Une de la Gazette à matin. Aaron Durfel, Montréal. 4500 patients du cancer, des malades cancéreux, sur la liste d'attente. Ça augmente, et de beaucoup. Vous irez voir la saisie d'écran de l'article, c'est en Une de la Gazette. Et ma question, elle est pour vous. Êtes-vous sur cette liste d'attente-là? Écrivez-moi en privé ou sur le texto, j'aimerais ça faire un entrevé avec vous. Qui que vous soyez, où que vous soyez. Cancer du sein, la prostate, beaucoup de colorectal évidemment et beaucoup de poumons. Quel que soit votre âge, votre genre, votre sexe, je m'en fous. Vous êtes sur la liste d'attente, c'est ça qui m'intéresse. Pour être précis, c'est 4509 patients du cancer qui attendent une chirurgie en date du 23 août. Et là-dessus, il y a 579 personnes, des humains, qui ont dépassé les délais raisonnables. Il y a la notion de délai médicalement raisonnable. Autrement dit, en clair, il y a 579 personnes qui sont en train de mourir. Donc c'est inacceptable. Et vous avez un bon dossier, Darren Durfel, qui s'est quand même surpassé durant le COVID show. Ça a été l'un des seuls journalistes à travailler. Alors voilà, c'est l'appel que je tenais à vous lancer. Vous m'écrivez sur le Messenger de Montréal Live, c'est moi qui le gère, c'est moi qui réponds. Et si ça vous intéresse, anonymement ou non, de témoigner en ondes, j'aimerais ça, à un moment donné, qu'on se fasse un segment d'émission dans les prochains jours là-dessus. Je trouve ça très important. C'est une question de vie ou de mort, carrément. C'est correct de ne pas avoir un médecin pour une grippe, mais là, c'est parce qu'on parle de cancer que le téléphone ne sonne pas. Au sujet, je m'en vais à Longueuil. En apparence, c'est une bavure policière. On verra bien l'enquête qui se poursuit concernant, justement, deux coups de feu qui ont été tirés à l'endroit d'un jeune homme, d'un jeune garçon, d'un ado de 15 ans qui est mort. Le jeune n'était pas armé. C'est épouvantable. Mais là, on a constaté, au cours des derniers jours, qu'Antifa a pris le contrôle de cette histoire-là et on a dévié la discussion et c'est devenu finalement police raciste. D'ailleurs, j'ai pas d'extrait là-dessus pis je vais lancer le légionnaire à cet effet-là. Je sais pas, Dom, si t'es capable d'aller me chercher un extrait d'entrevue absolument dégueulasse de Michel Jean, qui s'emêle de cette histoire-là, ancien gouverneur général, qui dit que ça, ça démontre que la police est raciste. Ah, really? Donc, ce jeune-là, Il s'appelle Thomas Gélinas, et il se fait pas tirer. C'est ce que vous dites? C'est dégueulasse ce qu'elle a dit, puis c'est quand même Michel Jean. Ça, je veux qu'on l'entende. Et Alexa Lavoie a été au coeur de cette manif-là qui a dégénéré. Elle est de Rebel News, vous la connaissez bien. Salut Alexa, comment ça va ce matin? [01:38:43] Speaker H: Ça va bien, merci de me recevoir. [01:38:45] Speaker B: Je veux qu'on prenne le temps d'écouter. Dan, es-tu capable de nous faire entendre le vidéo que je t'ai envoyée, qu'on va écouter sur le flag d'elle et surtout son caméraman? C'est... c'est pas... c'est pas... c'est Mickaël Jean, pardon, j'ai dit Michel Jean. C'est Mickaël Jean. Elle est tellement disparue de la carte. C'est Mickaël... Merci... Merci d'avoir aplombé les livers. C'est Mickaël Jean. Bon, Mickaël Jean. Ben oui. La fille de Thetford? Ben oui, c'est Mickaël Jean qui... Ça oui, c'est elle, l'ancienne gestionnaire de la francophonie, qui a vraiment dérapé, déliré. et cet extrait-là, je veux vraiment vous le partager en ondes. Es-tu en mesure de jouer l'extrait à partir de ce que je t'ai envoyé, Dan? [01:39:24] Speaker C: Oui, je fais juste attendre que le vérificateur RNC Média m'autorise à connecter mon... [01:39:29] Speaker B: OK, quand ça va être autorisé, tu me le diras. Peux-tu me décrire ce qui s'est passé en fin de semaine pendant ce temps-là? T'étais avec ton caméraman Guillaume à Longueuil. Décris-nous ce qui devait se passer après ma barbe. [01:39:42] Speaker H: Bien, ce qui s'est passé devait se passer. En fait, ça a été un gros rassemblement. Beaucoup d'enfants, la famille était là. Ils se sont tous rassemblés. Ils ont fait une marche, en fait, puis ils ont terminé sur un terrain de football ou... pas de football, mais de soccer. Et ils ont donné un dernier hommage. Ça s'est passé très calmement, très paisiblement. Et nous, tout ce qu'on faisait, c'était documenter ce qui se passait. Parce que, bon, on avait vu que dans les derniers jours, la police de l'agglomération de Longueuil avait averti qu'il y avait eu des informations comme quoi il y avait peut-être des gens qui allaient essayer de provoquer. On a su également que les policiers, certains policiers avaient reçu des menaces, même une mise à prix sur un des policiers qui n'était pas impliqué dans ce qui s'est passé avec le jeune Nouran. Donc on s'est dit, puisque la manifestation a été amplifiée par Montréal antifasciste et par d'autres groupes antifascistes, on s'est dit, écoute, on va y aller, on va documenter, on va rester en silence, on va respecter la famille, les amis qui sont en train de pleurer, le jeune, et on va juste rester là en silence. Et qu'est-ce qu'on a pu voir, c'est qu'il y avait peu ou pas de police était juste là pour bloquer les rues aux intersections. Il y avait un drone du service de police, probablement, qui faisait la surveillance de manière aérienne pour probablement pas provoquer ou créer des provocations ou juste parce que, des fois, juste la présence policière pourrait avoir créé des provocations. Donc, on se tenait sur le terrain et là, il y a des gens qui arrivaient avec des caissiers, des drapeaux de la Palestine. Il y avait des gens avec des gilets « All cops are bastards ». Tous les agents de police sont des connards. On a vu toutes sortes de choses qui sont complètement inappropriées pour un vigile. Et là, nous, on voulait juste documenter qu'est-ce qui se passait, puis justement voir que Montréal antifasciste, dans leur déclaration, avait écrit que la police est colonialiste, raciste, capitaliste, puis que le service de police de Longueuil n'est pas exempt. Donc, nous, on est allés, on s'est tenus en silence, et là, Ils nous ont remarqué et là, ça a pris... [01:42:11] Speaker B: Et là, ça a déliré. On va prendre le temps, Alexa, d'écouter un extrait. Ça s'est tiré de votre vidéo. On écoute. [01:42:17] Speaker H: On est calmement ici. Je sais pas pourquoi vous êtes tellement agressifs. Ça paraît pas bien pour votre événement. Moi, je vous inviterais à vous calmer un petit peu. [01:42:38] Speaker B: Et là, ça part, ça déjeunère. C'est tiré de votre vidéo. Ça, c'est la réalité. Ça se passe comme ça. Et plus loin, on voit qu'il semble abrier quelqu'un d'une couverte mauve. C'est quoi l'affaire? Ça brasse, là. [01:42:58] Speaker H: Parce que là, l'affaire, c'est que je ne peux plus, moi, aller sur le terrain. Si il y a la moindre chance de présence d'antivax, je ne peux plus y aller par moi-même. [01:43:10] Speaker B: C'est trop dangereux. [01:43:11] Speaker H: C'est trop dangereux. Je risque gros pour ma sécurité personnelle. [01:43:15] Speaker B: Et la sécurité de ton caméraman aussi, Guillaume. [01:43:18] Speaker H: Oui, effectivement. [01:43:19] Speaker B: On va prendre pour lui aussi. On va le nommer. Il n'est pas dans l'entrevue, mais il va au battre quand même. Mais un caméraman qui fait sa job, c'est un caméraman qui, dans des situations comme ça, est une cible aussi. [01:43:34] Speaker H: Il est une grosse cible parce que dans le fond, les antifas vont souvent viser les caméras. Il faut se dire, ils vont souvent essayer soit de briser les caméras, de voler les caméras ou de mettre de la peinture dans les caméras. [01:43:46] Speaker B: Là, la police est où, là? [01:43:48] Speaker H: Elle n'est pas là. Elle est absente. Et nous, on a deux gardes du corps parce qu'on a besoin de gardes du corps. Ils s'en ont pris à nos gardes du corps en les fessant, en essayant de leur lancer des affaires dessus. Et à un moment, je vais te le dire, j'ai eu peur, j'ai vraiment eu peur parce qu'il y a un homme qui s'est mis à deux pouces de mon visage pour me crier nazi, t'es une nazi. Puis je voyais dans ses yeux qu'il croyait vraiment que j'étais une nazi puis qu'il s'en allait me frapper. Puis la seule rhétorique que j'ai été capable de sortir, c'est je suis une femme. qu'il me frappe. [01:44:23] Speaker B: On est-tu capable d'aller plus loin dans la vidéo, Dan, que de l'ajuster? Est-ce que tu es capable d'y aller avec le curseur? [01:44:28] Speaker C: Oui, oui. [01:44:29] Speaker H: Parce que vers la fin, c'est terrible. [01:44:31] Speaker B: Plus loin que le curseur pour écouter la scène telle que décrite par Alexa. On va y aller. On va tenter d'écouter un extrait. C'est vers la fin, Alexa déjeunère. [01:44:47] Speaker H: C'était au début, mais pas tout à fait vers la fin, parce que c'était un montage vidéo, là, où est-ce qu'on voit après ça la... [01:44:53] Speaker C: Mais c'est parce que je veux pas... Moi, je veux pas y sac, en honneur. [01:44:57] Speaker B: Oui, je comprends, Dan, qu'on veut pas y sac, mais en même temps, c'est la vérité, là. Ça déjeunère. Va-t'en plus loin, là. On va l'entendre, un moment donné. T'as carrément été prise de panique, Alexa, là. [01:45:06] Speaker H: Puis c'est pas... Bien, j'ai été prise d'attention. [01:45:09] Speaker B: Oui, juste un peu plus loin, là, on va... T'as paniqué complètement. T'as vraiment eu peur, là. Hé! Hé! C'est ça. C'est ce bout-là, là. [01:45:20] Speaker H: Ouais. [01:45:22] Speaker C: Ouais, c'est ça. C'est la base. C'est la base. Ça me fait penser un peu à ce que j'ai vécu dans le temps de la meute, là. C'était exactement ça. C'est pareil. Pis là, un moment donné, ils t'amènent... Moi, ils m'avaient amené dans le coin d'un mur. J'étais poigné. Je pouvais pas aligner à gauche ou à droite. [01:45:36] Speaker H: La meute? [01:45:36] Speaker C: Pas la meute. Les antifas. [01:45:37] Speaker B: Y'a un des... ce qu'on appelait le Black Bloc avant la gang de... [01:45:41] Speaker C: On appelait ça vraiment les antifas, là. [01:45:43] Speaker B: Jaggie Singh, là. [01:45:44] Speaker C: Exactement. Exactement. [01:45:45] Speaker B: Oui, oui. C'est la même mentalité, là. [01:45:47] Speaker H: Ce qui me répulse là-dedans, c'est qu'imaginez une seconde que ça aurait été un média comme Radio-Canada ou TVA, whatever, tous les médias seraient sortis. C'est inacceptable! C'est inacceptable! Mais qu'est-ce qui s'est passé? Alors que TVA Nouvelles a écrit La tension a monté lorsque certains manifestants ont remarqué la présence d'une équipe de Rebel News, un média d'extrême droite, et plusieurs ont enfilé des masques et l'ont repoussée hors du parc en la qualifiant de fasciste. [01:46:20] Speaker B: C'est inacceptable. [01:46:21] Speaker H: Tout simplement de leur donner du jus et de dire que oui, dans le fond, vous avez raison, c'est une gang de fascistes d'extrême droite, alors que l'extrême droite est utilisée à tous sauces. l'extrême droite, il n'y en a pas de médias d'extrême droite. On va arrêter ça, là. Je veux dire, là, c'est juste qu'ils sont en train d'attiser la flamme. Moi, j'ai peur qu'à un moment donné, il y ait quelqu'un qui va faire l'irréparable, puis ça va être une partie de la faute des médias traditionnels qui ne veulent pas arrêter de nous étiqueter avec des choses complètement atroces. Alors qu'on fait juste notre travail de documentation sur le terrain, il y a même quelqu'un, parce que bien sûrement Montréal antifasciste a publié comme quoi qu'on était là pour provoquer, alors qu'il y a une personne qui se dit être par partie de l'organisation, je ne sais pas si c'est vrai, pour débunker absolument tout ce qui s'est passé en disant que c'était eux qui avaient provoqué. Et c'est bien sûr que Montréal antifasciste a supprimé le commentaire. Mais quand je vous dis qu'il y a même des jeunes qui étaient là, probablement des amis ou des gens qui vont à l'école, qui allaient à l'école avec le jeune Ouran, qui se sont dissociés de ces gens-là, et que moi, j'ai vu Amir Kazir à la toute fin, que lui n'a pas été capable de condamner la violence d'antifa... [01:47:55] Speaker B: Comme GND qui a refusé de condamner la violence. Oh non, moi je suis porte-parole, on s'en souvient de cette histoire-là. Puis ça a brassé durant l'histoire des Carrés Rouges. Ça semble loin pour plusieurs. Puis il y a même certains auditeurs qui ont pas vraiment connu cette période-là quand même qui date. Mais t'es en train de me dire qu'Amir Khadir n'a pas condamné la violence. [01:48:21] Speaker H: Parce que j'ai dit, est-ce que vous condamnez la violence des antifas là-bas? Il dit, je ne condamne rien que je ne vois pas. Après ça, il dit, si vous vous êtes fait attaquer, je le condamne. Mais il dit que je ne condamne rien que je n'ai pas vu. Et là, quand je lui ai dit... Mais là, il essayait de dire, oh, mais là, il faut que vous, les journalistes, vous revoyiez comment vous avez couvert l'événement durant la coupe de semaine. C'est pour ça que les gens peuvent avoir de la colère, de la violence, whatever. Là, j'ai dit, oui, mais moi, c'est ma première couverture. Qu'est-ce que vous parlez? Il dit, non, mais on vous associait aux autres journalistes. J'ai dit, bien non, on m'associait à Rebeño. Et à ce moment-là, il est parti à rire. Il s'est tapé les mains puis il a dit, vous faites partie du problème. [01:49:04] Speaker B: Il a dit pardon. C'est ça le problème. Mais moi, je vais en revenir aux médias mainstream qui ne condamnent pas ça, veulent se désolidariser. On comprend? que vous êtes un média alternatif. Vous couvrez la nouvelle de manière différente, mais de manière très active sur le terrain. Même affaire en Ontario avec le reporter là-bas, David Menzi, qui couvre les manifs de pro-terroristes downtown Toronto. C'est l'un des seuls à le faire. Vous êtes très courageux de le faire. Mais ça, c'est une forme de journaliste. C'est du journalisme actif. C'est du journalisme comme ça existait en passant. durant la période de Gaétan Giroir. Quand même, j'ai travaillé moi-même avec Gaétan à GIE. Gaétan qui s'est fait pogner dans des... dans des émeutes en couvrant les émeutes du Canadien de Montréal il y a très, très, très longtemps. Mais quand même, c'est arrivé. Là, eux restent en retrait, vos juges, les amis de TVA et de Radcan et de Nouveau. Quand vous allez jouer dans le film, vous allez vouloir, vous aussi, qu'on se solidarise contre les espèces de maniaques et les fripouilles qui profitent d'un drame humain. Les manifs sont très compréhensibles, je les vois justement à la une de la gazette en passant. Juste... La justice pour Nouran Rezaie. Justice for Nouran. On voit les... T'sais, mais ça, ça, ça vient du coeur. Ils ont le droit. C'est épouvantable. C'est épouvantable, OK? Mais cette dérive-là doit être condamnée Puis plus que ça, ça doit être condamné par le ministre de la Sécurité publique. C'est qui, là, qui est rendu ministre de la Sécurité publique? C'est qui? [01:50:50] Speaker C: C'est le nouveau. [01:50:56] Speaker B: Ministre de la Sécurité publique, c'est lui? Bien, lui devrait dénoncer. Lui devrait dénoncer. La violence et l'intimidation doivent être dénoncés. Et si c'est pas dénoncé, la prochaine fois, bien, ça va dégénérer, puis peut-être encore plus et encore plus. C'est épouvantable. Allez-vous sortir autre chose là-dessus aujourd'hui, en terminant? [01:51:21] Speaker H: Aujourd'hui, on a une énorme scoop. On a un reportage énorme. Ça va brasser. [01:51:27] Speaker B: En rapport avec quoi? [01:51:30] Speaker H: Ça a encore rapport avec Antifa, mais là, c'est encore plus gros que vous le pensez. [01:51:36] Speaker B: Donc... Au Québec ou au Canada? [01:51:38] Speaker H: Au Québec. Et pour que ça l'aille vraiment choquer plusieurs personnes, je vais vous dire que c'est gros. Puis je vous invite à aller le voir. Je l'ai fait en français et en anglais, donc les deux versions vont être disponibles. [01:51:51] Speaker B: On va en prendre des choses qu'on ne sait pas? [01:51:53] Speaker H: Vous allez en prendre des choses que je pense que vous allez être choqués d'entendre. [01:51:57] Speaker B: Est-ce que ça va provoquer des réactions politiques? [01:52:00] Speaker H: Oui, bien, on l'espère. On l'espère. On l'espère que les gens, justement, vont sortir et vont faire quelque chose par rapport à ça. Là, je pense que c'est le temps. On l'a vu, l'antifa, c'est... c'est un... [01:52:15] Speaker F: C'Est juste une idée. [01:52:15] Speaker B: Ça devrait être considéré comme un groupe terroriste par le Canada. [01:52:18] Speaker H: Ça devrait être... Aucun doute. Comme aux États-Unis. Et nous, dans le fond, ce qu'on va faire, c'est qu'on fait en ce moment de la pression parce que là, on a même les preuves que ça va trop loin. [01:52:30] Speaker B: Merci beaucoup. On va suivre ça à quelle heure? [01:52:32] Speaker H: Ça va sûrement sortir vers 11 h le matin. [01:52:35] Speaker B: Sur le site de Rebel News? [01:52:37] Speaker H: Oui, effectivement. [01:52:38] Speaker B: OK. Merci beaucoup, Alexa. [01:52:40] Speaker H: C'est moi qui vous remercie. [01:52:41] Speaker B: Merci. Bye-bye. Alexa Lavoie. Et on salue son caméraman, Guillaume. C'est une dérive monumentale. On ne peut pas rester assis sur nos deux mains face à une telle violence. C'est carrément du terrorisme. Terrorisme, c'est quoi? c'est la terreur par la violence et l'intimidation. C'est pas très, très compliqué. Mené par une idéologie. Il faut vraiment ça, c'est important. Parce que là, on va jouer à terrorisme à tous les sauces. Il y a quelqu'un qui a tué 2-3 personnes, c'est du terrorisme et tout. Il faut que ça soit mu par une idéologie. Il faut qu'il y ait une intoxication idéologique. Donc, si la commission d'un crime ou d'une succession d'actes de terreur, d'intimidation, mue par une idéologie. Et eux ont une idéologie assez toxique, merci, là. Mais là, le Canada, oh non, non, c'est Donald Trump qui fait ça, il est pas fin. C'était donc bien bizarre, ça, d'ailleurs, la couverture là-dessus des médias québécois. Oh, le Donald Trump qui a déclaré Antifa terroriste. Évidemment, tout ce que fait Donald Trump, c'est mauvais. Donc c'est comme si les médias prenaient pour Antifa. À chaque fois que Donald Trump s'ouvre la bouche, c'est tout... c'est épouvantable. [01:53:47] Speaker C: Mesdames, si t'es contre Antifa, t'es faux! [01:53:51] Speaker B: Dans leur tête à eux autres. Dans leur lubie. 7h54. Après la pause, on va parler de trucs qui peuvent sembler compliqués. OK, les projets de loi, moi non plus, je lis pas les projets de loi. On va se le dire, là. Je suis pas avocat. On subit ça, bien sûr. Mais tu sais, lire un projet de loi avec un verre de scotch, ça m'arrive pas ben ben. Je suis pas sûr que... Sauf que les livers, ça arrive souvent. Je suis pas sûr que Dan, ça t'arrive souvent. Et Dom non plus. Mais il y en a qui l'ont fait pour nous autres. Moi, j'ai lu le C2, qui est plus court que C9. Mais hier, juste un beau bravo à dire à Nathalie El Grabli, d'ailleurs, qui sera avec nous autres vendredi, et elle va parler de ça. Nathalie El Grabli, qui a fait un beau message long et c'est clair sur ces projets de loi-là qui ont été déposés, entre autres C2. Puis je vais vous en lire un extrait. On va aller à pause après. Puis c'est David Proulx qui va nous débroussailler tout ça. Et ça concerne... Pas nécessairement la liberté d'expression, mais je vous le dirais, dans un sens large, notre sécurité. OK? C'est Nathalie Algrabi qui a tweeté ça hier, Mark Carney, qui présente la C2 comme étant la loi visant une sécurité rigoureuse à la frontière. C'est toujours des beaux mots, hein? La vertu, regarde. Là, c'était contre la loi, hein? C'était contre la... Regarde! Fouiller des colis des Canadiens sans mandat. Accéder aux données numériques des citoyens sans justification judiciaire. Forcer les fournisseurs de services à installer des backdoors dans les communications chiffrées pour voir nos échanges. Donc, et ça, c'est juste un exemple parmi d'autres. Contrôler une frontière, c'est à la frontière que ça se passe. C'est pas en fouillant les courriels des Canadiens, écrit Nathalie El Grebli, mais on va aller plus en profondeur en revenant. Avec David Proulx. On fait la pause et on vient tout de suite après de la Montréal Live. [01:55:51] Speaker A: Petite pause. De retour dans un instant. Avant chaque saison de cheer, c'était toujours pareil. Fallait encore que je m'occupe de vendre des billets et des gugus pour financer la passion de ma fille. J'étais épuisée. Mais là, avec Patisserie Michaud, tout a changé. De porte à porte, c'est devenu techno. Ma fille a sa propre boutique en ligne. Elle gère ses ventes elle-même comme une pro. Résultat, moi je souffle un peu. Puis elle, elle apprend à voler haut. Pas juste dans ses stunts, mais dans ses ventes aussi. Demandez à votre école ou à votre club de s'inscrire dès aujourd'hui sur patisseriemichaud.com. [01:56:37] Speaker B: Patisserie Michaud. Les campagnes de financement qui forment les leaders de demain. Nanook, madame, messieurs, N-A-N-U-U-Q. N-A-N-U-U-Q, le W est important, point C-A, oui, c'est la remorque avec l'os polair. Bien entendu, ils sont partout à Lévis, à Québec. On salue les équipes, d'ailleurs, qui travaillent très fort et peut-être qu'ils vont travailler fort chez vous si vous avez votre prix. Demandez votre soumission pour une réfection, une réparation ou une mise à jour, on va le dire comme ça, de votre toit. Toit de Bardot, entre autres, il y a des belles promotions. informez-vous au niveau des prix. Il y a des belles promotions ces temps-ci. Puis si tu bookes rapidement, on va te le faire avant l'hiver. Puis ça va être fait, comme on dit. Oui, c'est une dépense, mais en même temps, si tu veux garder ta maison intacte et ta maison qui a du look, qui a du relief dans le quartier, c'est important. Tu sais, tu prends des marges, des fois, tu te dis « Oh boy, tu vas à la maison ». Le bardeau tout croche, relevé. Mais oui, il faut le faire. Je dirais une fois aux 20 ans, 22 ans. On est pas mal rendus là. On est prêts à t'accueillir ce matin, mais on va se déplacer d'ailleurs pour une belle mesure en bonne et due forme, de manière précise, afin que tu aies ton prix. Nanook.ca. [01:57:46] Speaker D: La circulation de Québec a facilité la fluidité. [01:57:55] Speaker C: Oui, on fascinite la fluidité ce matin. À Québec, ça a de l'air de quoi? Ça a de l'air compliqué. Je vous dirais, c'est bien compliqué, surtout pour les gens de la Rive-Sud. C'est à partir de la route Lagueux si vous êtes direction Est. C'est à partir de Beaulieu si vous êtes sur la 73. C'est à partir du chemin des îles, même encore. C'est presque à partir de la route du président Kennedy. Pour les gens qui sont sur la 20 direction Ouest, l'accès au pont est très, très lourd. 132, 116, ça se ressent également à Charny, à Saint-Romuald, à Saint-Nicolas. Sur la Rive-Nord, maintenant, à Saint-Augustin, c'est à partir de la sortie Chemin-du-Lac où c'est par choc à par choc. Et ça reste comme ça jusqu'à l'accès au centre-ville. Capitale, dans les deux directions, c'est compliqué. Compliqué également, direction sud, sur Laurentienne et Henri-IV. Et l'accès à la colline parlementaire, c'est pratiquement impensable de le faire par Dufresne-Montmorency ce matin. Par contre, sur Laurentienne, ça va un peu mieux. Et puis au centre-ville, en tant que tel, ça va encore très, très bien ce jour. De rentrée parlementaire jusqu'au 20 décembre, recevez jusqu'à 100 $ de remise à l'achat de quatre pneus Nokan Tire. Sélectionnez des pneus Nokan Tire disponibles chez votre détaillant Autobox. [01:59:01] Speaker A: Chez Club Piscine, on sait qu'une fois l'été terminé, c'est pas facile de continuer de s'entraîner. Je confirme. Alors, pour t'aider à donner ton 110 %, on te donne jusqu'à 30 % de rabais sur une grande sélection d'appareils d'entraînement pour la maison. Tapis roulant, cardio-vélo, elliptique, rameur, à partir de seulement 549 $. Parce qu'il y a déjà mille excuses pour pas s'entraîner. Le prix devrait pas en être une. Chez Club Piscine Québec, cinq fois et l'évier. [01:59:29] Speaker B: Ouh! [01:59:29] Speaker A: Donnez-moi de l'eau, quelqu'un. [01:59:33] Speaker D: Nokian Tyres, c'est un parcours exceptionnel. Jusqu'au 20 décembre, recevez jusqu'à 100 $ de remise à l'achat de 4 pneus sélectionnés. Les pneus Nokian Tyres, disponibles chez votre détaillant Autobox. [01:59:44] Speaker B: VapoShop, c'est votre boutique d'articles pour vapoteurs et fumeurs. VapoShop, c'est aussi un service à la clientèle hors pair et des produits de qualité pour tous les styles d'utilisateurs. Visitez-nous à Lévis, Montmagny et dans 8 boutiques dans la grande région de Québec. VapoShop.ca Grande nouvelle! [02:00:00] Speaker A: La Clinique Lazare Épilation présente en primeur le tout nouvel appareil Clarity 2. La technologie la plus avancée, rapide, efficace et plus confortable que jamais. Clinique Lazare Épilation, des résultats incomparables, la compétition même pas proche. [02:00:13] Speaker B: La viande PPAL, c'est bien plus qu'une boucherie. C'est une équipe de passionnés qui vous conseille et vous offre viande, volaille, poisson et fruits de mer de la meilleure qualité au meilleur prix depuis 50 ans. La viande PPAL, une histoire de succès. En. [02:00:36] Speaker D: Suède. [02:00:47] Speaker B: Le minimalisme n'est pas synonyme d'ennui. Il s'agit d'éliminer le superflu et de perfectionner le reste. Polestar 3. Le VUS électrique qui se conduit comme. [02:00:56] Speaker E: Une voiture de sport. [02:00:57] Speaker B: Pas de parure, pas de fioriture, simplement le design et la performance perfectionnés. Louez votre Polestar 3 pour seulement 899 $ par mois sur 12 mois avec 0 $ d'accompte. Oui, 899 $ par mois, mais uniquement jusqu'au 30 septembre. Visitez PolestarVilleDeQuebec ou Polestar.com. Les conditions s'appliquent. [02:01:15] Speaker A: Jusqu'à jeudi, chez PharmaPrix, obtenez 20 fois les points PC Optimum à l'achat de 75 $ ou plus de produits de beauté, valables en magasin et en ligne. [02:01:24] Speaker C: Gagnez 2 billets pour le match d'ouverture Montréal-Seattle au Centre Bell avec 2000 $ cash pour en profiter grâce à Numbers Game. Participez gratuitement à concopng.com. Numbers Game, le seul casino en ligne. [02:01:37] Speaker B: Qui vous donne des cadeaux gratuits chaque jour. André vient de vendre facilement et en moins de 48 heures son bloc à airfortin.com. Et la vente s'est conclue sans conditions ni garanties légales, devant notaire. [02:01:50] Speaker C: Oui, oui, devant notaire. [02:01:51] Speaker B: Sans aucune complication. [02:01:53] Speaker C: Et sans commission ni rénovation. [02:01:55] Speaker B: Vite de même. [02:01:56] Speaker C: Vite de même. [02:01:58] Speaker B: Pour votre bloc, maison ou terrain, demandez votre offre d'achat en ligne sur airfortin.com et vous allez vendre, vous aussi, vite de même. [02:02:05] Speaker A: Lui qui va l'acheter ton bloc, airfortin.com, yes! [02:02:10] Speaker B: Ce vendredi 3 octobre, assistez au spectacle Hommage à Queen à la salle Dina Bélanger. Une salle intime de 500 places. Faites vite, seulement quelques billets encore disponibles. Aussi présentés des spectacles Hommage à Queen, Peter Gabriel, Led Zeppelin et plus. Billets à lacapitalduroc.com Morelive, présentée par Multiconfort FP. [02:02:31] Speaker A: Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. Confort en hiver, fraîcheur en été. Et des économies toute l'année. Multiconfort FP, à Québec et Victoriaville. [02:02:50] Speaker B: Radio X à Québec. C'est Radio X. [02:02:55] Speaker A: Radio X. [02:02:58] Speaker B: C'est vous. Votre propre opinion. Gargarisme de la vie. pour y ajouter des réalités des Premières Nations et déconstruire les discours coloniaux. Ça donne, Monique, des tableaux impressionnants, colorés, puissants. Puis quand on prend le temps d'observer. [02:03:17] Speaker E: Chaque détail, on se rend compte qu'il. [02:03:18] Speaker B: Y a réécrit l'histoire à sa façon. [02:03:20] Speaker D: Qu'Il y a même parfois ajouté des. [02:03:21] Speaker B: Touches du monde qui dénoncent des situations. [02:03:25] Speaker D: Bref, il y a un véritable vent. [02:03:26] Speaker B: De fraîcheur dans les musées et dans cet expo de l'histoire. Gargarisme de la vie! Parmi toutes les personnes qui ont parlé au cours des derniers jours de C2 et C9, deux projets de loi, brutaux, qui ont été déposés par Elbows Up. Ah, il est fin, il est beau, c'est un banquier. Il a un CV, il est de Chamaic-le-Roi, donc c'est kosher, c'est parfait. On y va avec ça. On est en train de s'en faire passer toute une, les amis. Et il y a trop peu de médias, et il y a trop peu de gars et de filles de techno qui s'intéressent à ça. Je saluais Nathalie El Grably avant la pause. Mais il y en a un qui maîtrise de manière brillante le sujet et qui saisit très bien les enjeux. Parce que c'est pas juste un enjeu de techno, cette affaire-là. C'est un enjeu de vie privée, carrément. Mais c'est David Proulx, qui est PDG et cofondateur de Bullseye AI, qui est en ligne. Salut David, je suis content de te parler ce matin. [02:04:39] Speaker G: Bonjour, bien merci beaucoup de l'invitation. Tout le plaisir est pour moi. [02:04:42] Speaker B: Là, dans ton CV, il y a du stock, là. Dans la production de sirop d'érable, il fait du jujitsu, puis... C'est all dress, finalement, ton affaire? Oui, oui. [02:04:52] Speaker G: Écoute, ce qui m'occupe le plus, c'est une firme de psychiatrie par intelligence artificielle aux États-Unis qui s'appelle HoloMD. Donc, j'ai développé un agent pour aider les psychiatres avec leurs patients. Puis, on a plus de 1 200 patients sur la plateforme. Puis, on a une liste d'attente de 6 000. Donc, c'est ça qui occupe le gros de mes journées. En deçà, je fais de la consultation. Puis, je suis également chroniqueur. Il y a sur une autre station. [02:05:15] Speaker B: Oui. Puis là, on dit que plus ça te tente d'être chroniqueur ici aussi. Moi, ça m'intéresse. En tout cas, on s'en parle. Je ne suis pas dans le CRO, je ne suis pas du G2. On peut se parler pareil. On dit que tu as plus de 20 ans d'expérience dans le domaine techno. Tu as travaillé où avant, David? [02:05:31] Speaker G: Moi, je suis entrepreneur depuis que j'ai l'âge de 18 ans. Puis j'avais commencé en 1999 à faire des sites web alors que le web était tout nouveau. Donc après ça, j'ai toujours aimé faire des trucs technologiques avant que ce soit à la mode. Donc, par exemple, j'ai fait de mon premier site e-commerce mobile avant même que le iPhone existe. Donc, j'ai toujours aimé faire les trucs que les autres ne sont pas capables de faire pour le plaisir de pousser les limites de ce que la techno peut faire. Donc, c'est pour ça qu'en intelligence artificielle, parce qu'il y en a qui disent que j'ai un peu d'avance sur bien des gens d'un point de vue pragmatique. [02:06:05] Speaker B: OK. Plongeons dans le sujet. D'abord, allons-y grosso modo. C2 et C9, c'est quoi la différence entre les deux? Puis ensuite, on plongera dans ce que tu maîtrises le plus. [02:06:19] Speaker G: C'est bon, bien, ces deux, c'est deux, trois affaires. Et puis en même temps, j'aimerais... [02:06:25] Speaker B: Je te laisse aller, David. Je te laisse aller. Oui, vas-y, puis je te laisse aller, là. On fait de la pédagogie, le matin, là. [02:06:32] Speaker G: Bon, c'est bon. Donc, cette aventure-là, parce que je ne suis vraiment pas un constitutionnaliste, puis je ne suis pas avocat, je suis juste un gars de tech qui aime lire puis comprendre. Puis moi, la seule chose que je crois dans le journal, c'est la date de la journée. Tout le reste, je vérifie tout, tout le temps. Puis avec l'intelligence artificielle, c'est extrêmement simple de valider des faits. Donc, sur YouTube, je tombe sur un clip du Canadian Constitution Foundation. Donc, c'est une fondation à Ottawa qui protège les droits constitutionnels. Puis, j'écoute le clip sur la loi C-2 qui m'apparaît totalement orwellien. Puis je me dis, ben non, ça se peut pas ce qu'elle dit, ça a aucun sens. Donc, technique, je peux enseigner aux auditeurs très simple quand ils veulent valider quelque chose. J'ai copié le transcript qu'il y a dans YouTube de tout ce que l'avocate avait dit. J'ai mis ça dans Chajipiti. Ensuite, j'ai été chercher le PDF de la loi C-2, puis j'ai demandé à OpenAI, « Fais-moi une vérification des faits de ce que le clip YouTube dit, parce que ça se peut pas, donc vérifie-moi si c'est vrai, puis mets-moi les articles de loi. [02:07:43] Speaker B: Parce que c'était trop flyé. Ce que t'entendais, ce que tu lisais, c'était trop flyé. [02:07:48] Speaker G: Ça a aucun sens. Ça a aucun sens. J'ai dit non, non, c'est de la désinformation. Puis le Canadian Constitution Foundation, tu sais, c'est un organisme » crédible. Donc là, je me suis dit, bon, ça y est, ils ont eu pris du copium, puis ils sont à côté de la traque, parce que je pouvais pas croire ça. Puis quand j'ai mis le texte de loi, puis que j'ai mis le transcript, puis que j'ai demandé à OpenAI, valide-moi si ce qui a été dit est vrai par rapport à la loi, bien, à ma grande surprise, tout ce qu'elle a dit était vrai. Puis, j'ai décidé d'en faire une chronique qui est devenue virale par la suite. C'est de ce que j'ai envie de te parler, puis toi, puis à tous tes auditeurs ce matin. [02:08:25] Speaker B: Parfait. On a une quinzaine de minutes encore ensemble. Prenons le temps. On débroussonne ensemble, puis je veux vraiment qu'on aille au cœur de la matière, ce qui touche le plus les gens et leur vie privée. [02:08:36] Speaker G: Parfait, excellent. La C2 concernant la vie privée. Puis là, les gens disent, oui, mais parce qu'il y a des gens qui ont été voir de l'ancienne manière, c'est-à-dire qu'ils ont dit, je vais aller voir la loi et je vais la lire. La loi en PDF dans les deux langues, c'est 170 pages. Et le titre, c'est « Loi concernant certaines mesures liées à la sécurité de la frontière entre le Canada et les États-Unis et autres mesures connexes liées à la sécurité ». Puis la clé, là les gens lisent ça, ils disent « Non, il n'y a rien là, c'est pour la sécurité à la frontière ». Mais si tu te rends à la page 150 du document, la partie 15, c'est là que la viande, elle est. Donc, ils l'ont vraiment caché dans le fond, fond, fond, en se disant, il n'y a personne qui va lire ça, mais c'est que la beauté avec l'intelligence artificielle, un document de 170 pages, c'est aussi facile à lire qu'un e-mail. Donc, allez, on y va. La première chose qui est hallucinante, c'est que le gouvernement va pouvoir forcer les plateformes à nous espionner, et ce, sans mandat. Donc, le ministre va pouvoir, de façon secrète, et ce, sans aucun contrôle judiciaire, demander à n'importe quelle plateforme, service, canadien ou à l'étranger, de fournir une backdoor, donc une porte de logiciel, pour permettre au gouvernement d'aller chercher de l'information à sa guise. Donc ça, ça implique ton Gmail, ton WhatsApp, ton TikTok, ton Messenger. Tout, tout, tout, tout, tout. S'ils veulent servir les Canadiens, ils vont être obligés de fournir une backdoor. Et ça, l'Angleterre a voté une loi similaire il y a très peu de temps. Donc juste ça, c'est comme wow. Mais là, ce qui est hallucinant dans ça, c'est que c'est sans mandat. et c'est dans le secret. Puis là, ce qui est, je vais te montrer le bout hallucinant du secret, c'est qu'il y a une interdiction de divulguer. Donc, si une compagnie décide de partager de l'information, bien celle-ci va recevoir, de dire qu'elle a partagé de l'information, elle va recevoir une amende. Donc l'entreprise a même pas le droit, et si elle veut contester, elle doit contester de façon secrète. Ça l'implique donc qu'il y aura des tribunaux secrets. [02:11:01] Speaker B: Complètement capoté ça. Ça se dit expressément dans la loi. [02:11:04] Speaker G: Ce que ça dit c'est que les entreprises, je pourrais aller chercher, là je me suis fait un résumé. [02:11:10] Speaker B: C'est résumé, mais c'est écrit et tu le résumes bien. C'est le paradis d'Ed Snowden finalement. Ce que Snowden a vécu, on va le vivre. [02:11:18] Speaker G: Moi, ce que je vais dire à tout le monde, c'est si moi, je ne crois rien de ce que je lis, puis je fact-check, allez faire la même chose. Allez prendre le PDF de la loi C2, mettez-le dans OpenAI, puis demandez-lui est-ce que c'est vrai que les entreprises n'auront pas le droit de divulguer qu'elles ont coopéré avec le gouvernement? Donne-moi l'article de loi. puis il va vous la donner. J'ai fait ce travail-là. Puis en passant, j'ai été autant sur LinkedIn que sur YouTube. J'ai invité tout le monde à me dire, si je suis dans le champ, corrigez-moi, là. Puis même sur LinkedIn, j'ai dit à tous mes amis libéraux, j'en ai encore. J'ai dit, venez la défendre, la loi, là. Venez me le dire si je suis dans le champ, là. Puis il y a eu des criquets. Il y a personne qui a dit un mot. Mais là, attends, on n'a pas fini. Oui, je continue. Point 3, la GRC et les services secrets canadiens vont pouvoir demander aux banques, sans mandat, de fournir tous les détails des transactions des individus. [02:12:21] Speaker B: On va faire voler les mandats. Autrement dit, l'obligation de démontrer à un juge la présence de preuves ou la présence... les légitimes de preuves ou peut-être les... La base d'une preuve, de la commission peut-être d'un crime, ça c'est ça que tu fais quand tu demandes un mandat de perquisition, quand tu obtiens un mandat de perquisition. Les autres font voler ça. Ils font voler tout entravre. [02:12:45] Speaker G: Ils font voler ça, puis tantôt je vais te montrer comment tout ça s'est connecté. Une autre chose qui est interdite en même temps, c'est tous les paiements en argent comptant de 10 000 $ ou plus, de façon cumulée. Donc, ils veulent empêcher... [02:12:59] Speaker B: Donne un exemple. [02:13:01] Speaker G: Bien, l'exemple qu'ils vont donner, c'est qu'on ne veut pas que le vendeur de drogue ait le droit de recevoir 12 paiements de 1000 $. [02:13:10] Speaker B: Ce qui en soit, à sa face même, est légitime. [02:13:13] Speaker G: Totalement. Mais ramenons ça au convoi de la liberté où il y a des gens qui voulaient supporter le convoi et qui ont décidé de donner de l'argent en liquide pour ne pas laisser de traces. bien ça, ça l'élimine ça. Puis si on fait un lien avec le convoi, la surveillance bancaire sans mandat, c'est qu'avec cette nouvelle loi-là, parce que n'oublions pas que pendant le convoi de la liberté, la ministre a dû dire que c'était une organisation terroriste, ce qui est ridicule, mais a dû dire que le convoi était une organisation terroriste pour que les banques aient le pouvoir de saisir l'argent. [02:13:51] Speaker B: C'est arrivé, ça. On l'a vécu, ça. [02:13:53] Speaker G: Là, c'est arrivé. On l'a vécu sous le même gouvernement, ils ont juste changé la mascotte. Donc là, ce qui est important de comprendre, c'est qu'en ce moment, cette surveillance bancaire-là, avec cette nouvelle loi-là, si elle passe, il serait juste en faisant une requête en base de données. donne-moi la liste de tous ceux qui ont donné de l'argent à GiveSanGo, qui était l'organisme qui avait donné de l'argent au trucker, dans les 30 derniers jours, et ils ont une liste automatique de tout le monde. Après ça, ils sont capables d'aller sur les plateformes, et même au-delà des dons en argent, avec le logiciel actuellement, la loi actuellement qu'ils veulent mettre, ils auraient pu dire pendant le convoi de la liberté, en utilisant l'intelligence artificielle. va lire les messages en privé de tous les Canadiens et détecte si le sentiment est positif ou négatif par rapport au camionneur. Et si le sentiment est positif, t'es capable de te faire une liste d'opposants. [02:14:52] Speaker B: On enlève toute forme de fouille abusive. Le concept de fouille abusive tombe. Mais là, je vais interpeller les oppositions, là. Je veux dire, là, nous, on a ça. Tu l'expliques très bien. Mais Poitlièvre, je l'ai pas entendu parler de ça aux dernières nouvelles. Corrigez-moi, là. Là, du côté des conservateurs, je les ai interpellés. Là, on me dit que demain, il y a une rencontre importante et qu'ils vont se faire une tête là-dessus. Oui, mais c'est parce que là, on est en train de se faire une tête, pas pire. Puis l'opposition, on dit pas un criss-criss de mots, là, à Ottawa. [02:15:22] Speaker G: Je veux dire, qu'est-ce qui se passe, là? Mais les médias, ça en est risible. [02:15:27] Speaker B: Ça en est risible? [02:15:28] Speaker G: Dans la presse, en fin de semaine, ils ont pris la peine d'écrire un article pour dire qu'Elon Musk était cité dans les documents d'Epstein. Ils ont cité la BBC. Ils n'ont même pas pris la peine, parce que dans la BBC, ils disent qu'est-ce qui était écrit et que c'était Elon Musk de date. Est-ce que ça l'a encore lu avec un point d'interrogation? Ça, ils l'ont enlevé. Ils ont juste dit que c'était là. Musk en avait déjà parlé. C'est inutile comme information, mais ils vont parler de ça. au lieu de parler de ce qui se passe ici. Ils vont nous dire que Trump est un dictateur. Regarde les lois qu'on est en train de passer ici. Mais là, attends, là, c'est pas fini, là. Ensuite, ils donnent des nouveaux pouvoirs à Postes Canada, où ils vont pouvoir ouvrir. [02:16:11] Speaker B: Le... Avant que ça ferme? [02:16:13] Speaker G: Avant que ça ferme, ils vont être capables d'ouvrir le courrier sans mandat, juste parce qu'ils ont un soupçon. Ils ne sont pas obligés de divulguer qu'ils ont ouvert ton courrier. Il n'y aura pas de vidéo qui va les filmer en train d'ouvrir le courrier. On donne juste un pouvoir hallucinant à Postes Canada d'ouvrir le courrier Juste comme ça, comme ça leur tente. En fait, pense à certains régimes totalitaires, là. C'est le genre de truc que tu t'attendrais de Cuba, pas du Canada. [02:16:44] Speaker B: Ah, c'est renversant. [02:16:45] Speaker G: C'est, c'est... [02:16:46] Speaker B: C'est renversant. Ce qu'on appelle, là, je suis en train de lire au travail, là. Je t'écoute, puis en même temps, je lis des extraits de la loi et des analyses légales. «Electronic communication service providers», Le ministre peut émettre des ordres secrets vers des prestataires, comme... Moi, j'ai vidé autre chose à la maison. Ça peut être belle, toi, t'es belle, t'es belle, Dan, à la maison. Bon, bien, parfait. Pour divulguer les données. La sécrétude accroît le manque de transparence, empêche le contrôle démocratique aux judiciaires. Fait qu'eux autres font sauter tous les barrages et toutes les barrières de protection de notre vie privée pour avoir accès à... à tout. [02:17:30] Speaker G: Puis ce qui est hallucinant, c'est qu'ils enlèvent leur contrôle judiciaire alors que c'est eux qui ont nommé tous les juges fédéraux depuis les dix dernières années. [02:17:40] Speaker B: Absolument. [02:17:42] Speaker G: Donc, c'est vraiment en se disant... En fait, ça me fait penser beaucoup à Jody Wilson-Raybould, qui était procureur en chef de la couronne sous Trudeau, puis qui s'était opposé Quand Trudeau avait voulu s'émisser dans le processus judiciaire, puis elle disait non dans une démocratie, il y a une séparation entre le législatif et... [02:18:05] Speaker B: Le procès de Lavalin, il a voulu s'ingérer là-dedans puis elle avait protesté. [02:18:10] Speaker G: Exactement. Puis, tu sais, elle écrit quand tu vas sur son compte Twitter, un de ses premiers tweets qui est en haut, c'est « Je suis toujours fâché contre moi-même d'avoir été convaincu à un certain point dans le temps que le premier ministre était un homme honnête et une bonne personne. [02:18:25] Speaker B: » Elle l'a écrit dans son livre, dans sa biographie, ça. [02:18:27] Speaker G: À page 229-230. Donc, qu'à un certain point, et puis je me suis rendu compte, qu'il mentait comme ça et qu'il savait qu'il était pour s'en sortir. [02:18:38] Speaker B: Là, les gens, il a nommé Jérôme qui a écrit « Mais pourquoi? » C'est ça, fondamentalement, dans le fond. Mais pourquoi cette loi-là? Qu'est-ce que t'en dis, David? [02:18:45] Speaker G: Attendons avant d'aller dans les motifs parce que j'ai pas fini. En passant, on est juste au tiers de la merde. [02:18:51] Speaker B: On va pas venir se reparler, mais continue, on n'est pas fini. [02:18:55] Speaker G: Donc, une autre chose, c'est qu'ils ont encadré les données volontaires. Donc là, il y a quelqu'un qui va dire, oui, mais à l'article 14, section 14, ça dit que les données sont volontaires. Non, non, non, non, non. Ce que ça dit, c'est que si tu donnes des données volontairement, tu ne pourras pas après ça aller en cours puis dire qu'elles ont été obtenues sans mandat puis que tu étais sous la contrainte parce que tu les as données de façon volontaire. Donc, tu sais, c'est ça. Je vais sauter par-dessus quelques points moins pertinents. données biométriques aux frontières, ça, c'est moins le fun, mais je veux juste te dire, j'ai demandé à Chajupiti de m'en faire une analyse, OK? Puis je te lis deux, trois paragraphes, parce qu'encore une fois, je suis pas avocat, je suis un gars de tech. Mais ce que OpenAI me dit, c'est le caractère secret et unilatéral de ces ordres ministériels est très inhabituel dans le droit canadien actuel. Jusqu'à récemment, aucune loi fédérale en vigueur ne permettait de façon aussi générale à un ministre d'ordonner confidentiellement des actions à une entreprise tout en lui interdisant d'en parler. Même une contestation judiciaire par l'entreprise pourrait être secrète. Fait que là, ça c'est débile. Mais là je t'emmène puis je vais avoir le temps de te parler de C-9 et de C-8. [02:20:14] Speaker B: À moins qu'on se garde C-9 pour plus tard. Il reste combien de temps, Dan? [02:20:17] Speaker C: 7 minutes. [02:20:19] Speaker G: On va être correct, on va être correct. Donc, C9, c'est une loi qui change la définition de la haine et qui va rendre les poursuites pour crimes haineux beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup plus faciles. [02:20:33] Speaker B: Ça, ça m'intéresse beaucoup et j'aimerais ça que tu puisses te permettre de faire un parallèle avec une loi qui existe en Angleterre contre l'outrance. C'est-à-dire, puis on a vu en Angleterre énormément d'arrestations suite à des tweets. Mais vas-y, David. [02:20:48] Speaker G: Donc, la loi C-9, ce qu'elle dit, c'est que la haine est un sentiment plus fort que le dédain ou l'aversion et est comportant de la détestation ou du dénigrement. Ça veut dire que ce qui est important de comprendre, c'est que ce qu'ils ont fait, c'est qu'ils ont baissé le niveau nécessaire pour les crimes haineux. Et là, maintenant, à l'article 319, 2.2 de cette loi-là, c'est comme à une infraction quiconque fomente volontairement la haine contre un groupe identifiable par l'exposition dans un endroit public et l'un des symboles suivants, symboles utilisés ou associés principalement par une entité terroriste, la croix gammée, la... [02:21:32] Speaker B: On donne ça, d'ailleurs. On donne exactement... Cet exemple-là, dans la loi, je l'ai lu. Oui. [02:21:38] Speaker G: Mais attends, aussi, tout symbole ressemblant tellement à ceux-ci qu'on pourrait les confondre avec eux. Fait que là, pense exemple à un mythe qui était très populaire, que tu prenais les quatre drapeaux LGBTQ+, avec QS+, 2S pis tout, t'es collé ensemble, pis quand t'es collé ensemble, ça faisait la croix gammée. Donc, de publier ça, un juge pourrait dire que tu es en train de vouloir fomenter la haine parce que c'est un dénigrement réel ou ça démontre une détestation. Donc là, à ce moment-là, tu peux être accusé. Puis avant, il y avait un garde-fou contre ça. C'était que toutes ces accusations-là devaient passer par le procureur général. Et là, ce qu'ils ont décidé de faire, c'est de donner ce pouvoir-là à tous les procureurs de la couronne. Il y en a plus de 4000 au Canada. Donc ça, ça veut dire que n'importe quel procureur woke, je vais même pas mettre les identités, n'importe qui qui est à quelque part sur le spectre politique, qui décide d'accuser quelqu'un d'autre d'avoir fomenté la haine, va être capable de porter une accusation contre cette personne-là et elle va devoir se défendre en cours. Donc, je ne vois pas comment ce changement-là ne va pas emmener à des abus de procédure. Parce que c'est sûr que sur les 4000 procureurs de la Couronne, t'as des militants à gauche, t'as des militants à droite. Donc, toi, ce que tu dis à la radio, soit sûr qu'à un moment donné, tu vas dire quelque chose, il y a un extrait qui va être pris, il va y avoir un avocat ou une avocate quelque part au Canada. [02:23:16] Speaker B: On va percevoir ça comme étant de la haine, c'est-à-dire l'expression d'une réprobation envers un ministre, envers un projet de loi, envers un parti politique, comme ça arrive souvent d'ailleurs envers la CAQ, si on prend cet exemple-là. Si on lit des commentaires et des opinions au Facebook, là, c'est pas très, très vendeur pro-CAQ. Donc, il y a un procureur qui, pour une question ou une autre, pourrait prendre cet exemple-là et te traduire en justice littéralement. [02:23:41] Speaker G: Exactement. Et puis là, après ça, quand ils vont vouloir te salir publiquement, ils ont juste besoin de dire, cette personne-là a été accusée de fomenter la haine. Puis là, le citoyen moyen qui n'est pas habitué de dire que... Tu sais, qui ne comprend pas qu'une des techniques de propagande, c'est de coller des étiquettes sur tes opposants politiques. [02:24:02] Speaker B: Ce qui est connu, ce qu'on fait pour nous crasseler. [02:24:05] Speaker G: Constamment. Fait que là, ils vont dire, ben là, je vais pas écouter David Brou. Il est accusé d'avoir fomenté la haine. Alors que le discours qu'on a en ce moment, il est très rationnel. Je veux dire, je suis pas dans de l'émotion ou de la colère. [02:24:17] Speaker B: Aujourd'hui... La charte, elle nous protège-tu? J'ai plein de monde qui te pose ça comme question. [02:24:20] Speaker G: Oui, mais la charte, la charte... Non, mais attends. La charte protège de la condamnation. Elle ne protège pas de l'accusation. Donc une fois que t'es accusé, t'as des dizaines de milliers de dollars pour te défendre en première instance puis en deuxième instance, et des centaines de milliers de dollars pour te défendre en Cour suprême. Donc le souhait de cette loi-là, la technique, puis là on reconnaît le Mark Carney venant d'Angleterre, puis qui importe les techniques, en fait raffine les techniques utilisées en Angleterre pour s'assurer que les opposants politiques ne pourront plus parler. Parce que oui, à la fin, tu vas pas être accusé. Mais tu sais, comme, prenons le cas de Gilbert Rozon, là, OK? [02:25:05] Speaker B: Il vient de finir son procès civil, d'ailleurs, là. [02:25:08] Speaker G: Mais est-ce que le jugement a été rendu? [02:25:11] Speaker B: Non, non, non, non. Ça va prendre quand même un bon six mois, dit-on, mais le procès civil s'est terminé hier. [02:25:15] Speaker G: Donc, quand le procès va être terminé, même s'il est acquitté, supposons qu'il est acquitté, sa réputation est entachée. [02:25:22] Speaker B: Beaucoup. [02:25:23] Speaker G: Donc, le fait de faciliter les accusations ou qu'ils changent la loi, qu'ils disent, là, on s'éloigne, là, mais qu'ils changent la loi... [02:25:30] Speaker B: On comprend que ce n'est pas de nature sexuelle, mais ce que tu dis, C'est quelqu'un qui est sous procès quel qu'il soit. T'as nommé Rosemont, t'aurais pu nommer quelqu'un d'autre. Quelqu'un qui est sous procès, exposé, devant le système. Et s'il est coupable ou juste le fait d'être accusé, ça va te salir. Un régime peut salir les opposants. Un régime, quel qu'il soit, peut utiliser ces leviers-là, qui sont nouveaux, qui ne sont pas encore votés. C'est un projet de loi, rappelons-le. pourrait utiliser ça comme une arme de destruction massive, ni plus ni moins. Mais je reviens à ma question. Les saprés conservateurs font quoi? Le Bloc, qui est supposément le défenseur du Québec, dit-on. J'ai beaucoup de réserve sur le Bloc, puis on va se comprendre. Ils sont où? [02:26:15] Speaker G: Sacrifices? Moi, je crois qu'ils n'ont juste pas, puis je ne veux pas les insulter, mais je pense qu'ils n'ont pas le jus cognitif. [02:26:23] Speaker B: Oui, mais ça va vite, là, parce que c'est des vrais documents. [02:26:26] Speaker G: En fait, Carney utilise la technique de Trump, c'est-à-dire d'en envoyer tellement en même temps que l'opposition n'est plus capable de gérer ça. [02:26:36] Speaker B: Ça a été déposé le 19 septembre, en vrac. C'est ça, t'as raison, ça a été fait en vrac. [02:26:41] Speaker G: Puis, vu qu'ils n'utilisent pas l'intelligence artificielle dans leur travail à tous les jours, de demander à des humains de lire un document de 150 pages puis trouver le problème et où c'est d'autres choses. Mais là, attends, il faut que je t'emmène à C8, parce que C8, c'est un autre projet de loi qui a été aussi déposé. [02:26:55] Speaker B: À moins qu'on se garde ça pour plus tard, à moins. Veux-tu nous résumer ça ou tu veux rejeuner? [02:26:59] Speaker G: J'aimerais ça te le résumer en deux minutes. [02:27:02] Speaker B: Vas-y, parfait. [02:27:03] Speaker G: Parce qu'après ça, je veux tous les lier ensemble. C8, ça permet, puis on va sauter C11. C11, c'est pour l'armée. C11 aussi, c'est dégueu, mais on va parler de C8. C8, c'est que le ministre peut interdire aux fournisseurs de télécommunications de fournir des services à toute personne précisée. Cela peut inclure une entreprise ou un individu. Il peut aussi leur ordonner de suspendre pour une période donnée la fournissure d'un service à cette personne. Fait que là, je te ramène au convoi de la liberté. Tu prends ta loi C2 pour détecter tous ceux qui ont une opinion favorable à quelque chose pour laquelle le gouvernement est opposé. Il a la liste des personnes, il prend C8, il envoie, il applique l'article 15.2, puis il dit à Bell, Vidéotron, puis toutes les autres, voici la liste des personnes que vous allez déconnecter d'Internet pour le prochain mois. et ils ont cinq jours à, aussi j'ai oublié de dire, en secret, et ils ont cinq jours pour coopérer. [02:27:59] Speaker B: T'écris ça, David, cinq jours? [02:28:02] Speaker G: Oui, oui, oui, ils ont cinq jours pour coopérer. Donc moi j'aurais envie de te proposer, si on était un gouvernement, si on avait un gouvernement, qui était vraiment en faveur de la liberté, de l'ouverture et de la transparence, il dirait que pour toute demande d'accès à l'information, le gouvernement a cinq jours. Parce que si tu exiges à une entreprise cinq jours pour t'obéir, pourquoi moi, si je te fais une demande d'accès à l'information, ça va me prendre des mois avant d'avoir la réponse? Donc, tu vois que ce qu'ils ont fait, c'est pas compliqué. C'est qu'ils ont pris un paquet de mesures qu'il y avait dans les mesures des lois d'urgence, qui sont les mesures de guerre, puis pour ne plus avoir besoin de ramener cette loi-là pour les protestations qui s'en viennent, pour tout le dommage qu'ils vont faire à l'économie. Ils ont mis en place un paquet de lois pour s'assurer d'être capables de censurer tout le monde en utilisant des nouveaux moyens technologiques. Et moi, je vois l'utilisation de l'intelligence artificielle à quel point ce serait facile, mais facile de faire une liste d'opposants. [02:29:01] Speaker B: Ça sent la Chine. ouais. Ça sent la Chine. C'est très... Puis encore là, ce qui m'interpelle, je le répète pour la troisième fois, les conservateurs n'ont rien dit. Non, rien dit, ça a été déposé le 19 septembre, nous sommes le 30 septembre. Ils n'ont rien dit, bordel. [02:29:23] Speaker G: Les médias de masse n'ont rien dit. Écoute, j'ai croisé Patrice Roy de Radio-Canada par hasard dans le quartier chinois, puis je l'ai arrêté, puis j'ai pas dit qui j'étais. J'ai juste dit « Projet de loi C2 », il faut absolument que tu regardes ça, c'est horrible. Puis c'est comme, il n'y a rien qui se dit dans les médias de masse. Puis ça va être juste à adopter. Puis une fois que c'est adopté, bien, il est trop tard. [02:29:48] Speaker B: Merci infiniment, David. Puis ça va être un plaisir de se reparler. Je comprends qu'on t'entende sur toutes d'autres tribunes, mais tu seras toujours le bienvenu dans More Live pour nous éclairer. Merci encore pour ce matin. [02:30:01] Speaker G: Merci, ça m'a fait plaisir. [02:30:02] Speaker B: Merci, bye-bye. David Proulx, 886709098, sa fesse. Éric Duhaime s'en vient. en vente ce vendredi à 10 heures sur grandthéâtre.uc.ca. Tous ses grands succès. Chris Deberg live. Quand j'étais au secondaire, on l'appelait Chris the Bird. On parlait mal anglais, peut-être. Puis on n'avait peut-être pas tous ses records, comme on dit. [02:30:57] Speaker C: Chris the Bird, c'est gros. [02:30:58] Speaker B: C'est gros, pareil. Il a quand même été gros, gros, gros. Il en a vendu des records et pas à peu près. Hein, des gars de record. Ah, il l'a dit, des gars. Calinette. Calinette 24-7. Calinette intervient rapidement. Et on a toute la technologie pour le faire. Et là, vous allez dire, c'est bien trop gros. J'appellerais pas Calinette. J'ai une énorme fuite d'huile dans mon garage. Intervention rapide. On peut le faire. En provenance de Beauport, le quartier général ou autre, région de Montréal, on est très fort, très vite. Dans le 450 également, Mauricie, on est là pour vous, quelle que soit l'heure du jour, n'hésitez jamais. À Québec, 8866666, Calinette 24-7. [02:31:47] Speaker C: La 73 et la 20 direction ouest, c'est essentiellement ce qui bloque l'accès aux pompiers de la Porte ce matin. Charest ou Daudelon à partir de Cap Rouge. Capitale dans les deux directions, c'est compliqué également, et l'accès sur la colline parlementaire à partir surtout du Fremont-Maurinci, c'est du costaud. Il y a Canadiennes TAE qui soutient Bon Départ. Bon Départ qui aide les familles à surmonter les obstacles financiers liés au sport et aux jeux. Donnez à bondépart.canadiennestae.ca. [02:32:13] Speaker B: Lise a vendu sans effort et en moins de 48 heures leur maison à airfortin.com. Et c'est une vente sans stress? [02:32:19] Speaker A: Sans aucun stress. [02:32:21] Speaker B: Sans conditions ni garanties légales? [02:32:23] Speaker A: Sans conditions ni garanties. [02:32:24] Speaker I: Devant notaire? [02:32:26] Speaker A: Devant notaire. [02:32:27] Speaker B: Sans ménage ni plusieurs visites? [02:32:29] Speaker A: Absolument. Vite de même. [02:32:31] Speaker B: Vite de même. Demandez à airfortin.com votre offre d'achat en ligne et vendez-vous aussi vite de même. [02:32:37] Speaker A: Lui qui vole, achetez ton bloc. Airfortin.com. Yes! [02:32:42] Speaker B: Transformez votre journée en jour de casino. Jouez au jackpot, jeux de table en direct et plus. Découvrez les machines à sous les plus populaires comme Book of Dead et Immortal Romance. Ou jouez à la roulette, au blackjack et bien d'autres à Casino Days. 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[02:36:10] Speaker A: Oui, à cause de mon chum. Mais j'aime ça, écouter ça avec lui. Dans l'enfant, on capotait, ça s'est joué. [02:36:16] Speaker B: Écoutes-tu du vrai basket aussi? [02:36:19] Speaker A: On n'écoute pas les gars, les filles. [02:36:20] Speaker B: Ben, t'as plus le temps d'analyser le jeu... [02:36:23] Speaker A: Tu vois, au hockey, j'ai pas embarqué... [02:36:24] Speaker D: Ah, elle est donc... Non, mais c'est vrai. [02:36:26] Speaker B: Ça dangle-tu? [02:36:27] Speaker A: Non, pas vraiment, non. [02:36:28] Speaker B: Plus ça change, plus c'est pareil. Y'a rien de neuf sur le soleil. T'as plus le temps d'analyser le jeu... Ça te dongue-tu? [02:36:37] Speaker A: Pas vraiment, non. Et là, ça s'est joué. [02:36:41] Speaker B: Écoutes-tu du vrai basket aussi? [02:36:43] Speaker D: Ça te dongue-tu? [02:36:48] Speaker B: Ça te pousse le temps d'analyser le jeu. [02:37:04] Speaker A: Avec Dominique Moret, Dan Gravel et Tom Dumas. [02:37:12] Speaker B: Yes! C'est fait! Il va lâcher les gants. C'est une sous-carte, mais quand même, il faut arriver de bonheur parce que les sous-cartes sont sous-estimées. [02:37:32] Speaker C: Les sous-cartes sont très, très fortes. [02:37:35] Speaker B: Éric Duhem qui fait son entrée. Avec le short bleu, c'est ça qu'on dit? [02:37:42] Speaker C: Oui, la robe de chambre et le short bleu. [02:37:43] Speaker B: La robe de chambre. Et voilà, bien Éric Duhem qui est là. [02:37:47] Speaker E: Je suis déjà allé au musée à Philadelphie. Bonjour tout le monde. [02:37:49] Speaker B: Je suis jamais allé. Salut Éric Duhem, chef du Parti conservateur. Dom Dumas est allé, je suis jamais allé. [02:37:53] Speaker E: Moi je suis allé, puis il y a même le circuit Rocky où tu peux passer par toutes les scènes importantes, mais évidemment, la suprême, c'est quand tu montes les marches devant le musée, il y a même la statue La statue. [02:38:05] Speaker B: D'Un gars qui n'existe pas. [02:38:06] Speaker E: Qui n'existe pas, mais qui est là pareil. Et donc c'est un... Ceux qui veulent le faire tantôt, je vous ai entendu un peu plus tôt à matin, vous parliez des road trips aux États-Unis. [02:38:14] Speaker B: Oui. [02:38:15] Speaker E: Mais tu sais, Philadelphie, c'est pas loin. Si vous voulez aller passer une belle fin de semaine, aller voir un match des Eagles, ils sont en feu cette année en plus. C'est un beau petit week-end de la NSL. [02:38:26] Speaker B: C'est tout dans le même coin en plus, les Eagles avec les Flyers. [02:38:29] Speaker E: Tu peux jouer les deux, là, si tu veux aller voir une game de hockey en même temps. Puis même cette année, les Félix, d'après moi, ils vont se rendre loin dans les séries aussi. [02:38:36] Speaker B: Vous avez le temps d'aller les voir. Et Mechkov, le joueur qu'on aurait dû repêcher au lieu de Ryan Baker, mais ça, c'est un autre dossier. Question de se faire mal, là, hein? Pour un joueur à Montréal. Là, je peux faire une partie de. [02:38:45] Speaker E: Road trip avant de parler de politique. [02:38:47] Speaker B: Toi, tu peux parler de n'importe quoi ce matin. [02:38:48] Speaker E: OK, parce que je m'en vais faire. [02:38:49] Speaker B: Un road trip, là. Avant ton combat de boxe, bien sûr. Hein? [02:38:51] Speaker E: Je m'en vais faire un road trip dans trois semaines, un mois. On s'en va cette année à... Baltimore. Parce qu'à tous les ans, on part avec des amis. «Mais je sais, je m'en vais au pays de Donald Trump. Je le sais, ma mère m'a engueulé.» Mais là, j'écoute le messe. On l'a fait avant Donald Trump, on. [02:39:08] Speaker B: Va continuer à le faire après Donald Trump. [02:39:10] Speaker E: Tu vois, t'as tous les ans... Non. [02:39:11] Speaker B: Thomas, elle questionne pas ça. [02:39:12] Speaker E: Mais voyons donc! T'es-tu sérieux? Ça lui prend une demi-heure de plus faire l'hypstérie parce qu'elle regarde tous les produits. [02:39:18] Speaker B: T'es pas sérieux? Elle n'est pas dédomisée, même si c'est la mère d'Éric Duhaime. [02:39:24] Speaker E: Tu t'es pas rendu compte qu'il y en a plus qu'un ou deux, là? C'est un phénomène quasiment générationnel. [02:39:29] Speaker B: Non, non, c'est générationnel. En tout respect. [02:39:31] Speaker E: C'est un phénomène de génération, là. [02:39:32] Speaker B: En tout respect. [02:39:33] Speaker E: Regarde les statistiques des gens qui vont plus aux États-Unis pendant toute, là. [02:39:36] Speaker B: Je le sais. Qu'est-ce que tu veux? [02:39:38] Speaker E: Bon, en tout cas, nous autres, à tous les ans, on y va. On va voir un match de la NFL à tous les ans dans une ville différente. Puis en même temps, c'est un petit road trip. Sauf que des fois, quand c'est trop loin, on prend l'avion. [02:39:47] Speaker B: Mais quand c'est proche... Quelle date? Moi, j'y vais le 12 octobre. [02:39:51] Speaker E: Je pense que c'est le 26 octobre, 25 octobre. [02:39:53] Speaker B: OK, Rams. Ravens-Rams. Le 12. [02:39:55] Speaker E: Toi, tu sais, le 12, tu y vas. [02:39:57] Speaker G: Oui. [02:39:57] Speaker B: Thanksgiving canadien. [02:39:58] Speaker E: Mais nous autres... Mais là, sauf que le Mark Jackson, il est-tu blessé ou pas? Parce qu'il s'est blessé dimanche, mais je sais pas si... [02:40:03] Speaker B: Certains disent... Fake news! On verra. Est-ce que c'était son orgueil qui était blessé? C'était son bras ou c'était... L'orgueil des ischios jambiers, là, on verra bien. Je pense pas que ça soit très sérieux, pour être bien honnête. Tu penses qu'il va être de retour... C'était une game qui allait nulle part, donc tu protèges le mur. Il se fait saquer puis il se fait shaker sur les Smarties, c'est pas pire depuis le début de l'année. C'était pas l'orgueil du match, là. Non, c'est ça. Exact. [02:40:25] Speaker E: Mais en tout cas, tout ça pour dire que... [02:40:26] Speaker B: Mais tout ça pour dire que quand même... [02:40:28] Speaker E: Les roadtrips, c'est le fun aux États-Unis, mais faut pas... [02:40:30] Speaker B: Mais là, tu t'es poigné de faire des roadtrips à l'Assemblée nationale à aller voir ton chumier et chassin? [02:40:34] Speaker E: Ouais, c'est ça. Là, la semaine passée, pour la première fois en plus que trois ans, j'ai réussi à rentrer dans l'Assemblée nationale pour faire une conférence de presse. [02:40:40] Speaker B: Mais là, il veut pas mettre le chandail de hockey, mais il veut être dans ton équipe. Explique. [02:40:45] Speaker E: Bien, il est un allié, mais pas... Comment est-ce qu'il a le devoir de titrer ça? Un allié, mais pas un député conservateur. Il est un allié conservateur, mais pas un député conservateur. [02:40:54] Speaker B: Est-ce un faux ami? [02:40:55] Speaker E: Non, non, mais écoute, c'est son droit. Il veut rester indépendant. Il a été élu sous une bannière. Il sent mal de porter le gilet d'un autre équipe. [02:41:04] Speaker C: C'est ça. [02:41:05] Speaker B: Il va regarder le hockey avec toi. [02:41:06] Speaker C: Mais il prend pas pour le Canadien. [02:41:08] Speaker B: Il prend pas pour aucun équipe. Mais il va applaudir si le Canadien score. [02:41:13] Speaker E: Mais de toute façon, regarde, l'important, c'est que je suis rentré à l'Assemblée nationale. On a quand même pu dire nos idées. Puis, sais-tu quoi? Ça fait peut-être trois ans qu'ils me laissent pas rentrer à l'Assemblée nationale, mais aujourd'hui, vous écouterez le discours d'ouverture de François Legault, vous allez voir que nos idées rentrent à pleine porte. [02:41:27] Speaker B: Qu'est-ce qui t'a volé? Parce que tu l'as dit quand même de manière expresse que t'étais content qu'ils te volent des idées. Parce qu'au final, on fait ça pour les idées, puis tu as tout à fait raison, Éric. Il faut que les idées du gros bon sens, les idées d'équilibre, de rigueur, cheminent. [02:41:41] Speaker E: Puis ça avance, là. Tout son volet, par exemple, de réduire la taille de l'État, ça, c'est conservateur à côté. Lui, il a déjà dit ça. Mais ça fait 7 ans qu'il fait le contraire. Il a engagé des fonctionnaires comme jamais on n'a engagé dans l'histoire du Québec. Juste la fonction publique, c'est au-dessus de 10 000 postes de plus, alors qu'il avait promis d'en réduire de 5 000. Ça, c'est un exemple. Puis là, aujourd'hui, il va parler de l'importance de réduire de 6 000. Mais c'est parce que ce qu'il vous dit pas, c'est que lui-même l'a augmenté de 10 000. Fait que c'est juste comme la moitié de ce que lui-même a augmenté depuis qu'il est arrivé là. [02:42:11] Speaker B: L'alcoolique, il se claque une caisse de 24, puis dit non, non, je me siffle une dose. [02:42:16] Speaker E: Fait que là, ça, c'est un exemple. D'autres exemples, évidemment, dont on va entendre encore plus parler parce qu'ils vont être très vocaux, c'est l'attaque sur les syndicats. Il veut redonner le contrôle des syndiqués aux syndiqués. [02:42:31] Speaker B: Ça, Éric, il faut être fair play, là. Bravo, M. Boulay, là. [02:42:37] Speaker E: Si ils vont de l'avant, là, je vais l'appuyer. [02:42:40] Speaker B: Parce que là, il est en train de se faire torturer par ses hauts fonctionnaires, qui trouvent que ça va trop loin, pis ma gueule, il est pas content. [02:42:46] Speaker E: Là, je vais te donner de l'exclusif aujourd'hui, pis de l'inside, pis il y a personne qui sait ça. On est trois au Québec à savoir ça, OK? En 2019, la CAQ venait d'être élue l'année d'avant. Un conseiller du cabinet du premier ministre m'appelle. Moi, j'avais publié quelques années plus tôt Libérez-nous des syndicats. C'est un sujet que je connais sur le bout de mes doigts. J'ai étudié, j'ai tout lu. Je connais ce sujet-là comme pas beaucoup de monde au Québec. Là, il m'appelle. Il me dit « Éric, on a l'intention d'aller de l'avant avec tes idées sur les syndicats. [02:43:15] Speaker C: » Je dis « Ah oui! [02:43:15] Speaker E: » Moi, j'étais tout énervé. À l'époque, je travaillais pour une station concurrente. J'étais animateur à radio. Fait que là, il me donne rendez-vous. J'arrive là. Il y avait le... Sondeur de la CAQ qui est autour de la table. OK, on est trois. Conseiller de M. Legault, moi, sondeur de la CAQ. [02:43:32] Speaker B: Un certain M. Léger. [02:43:34] Speaker E: Non, non, je n'aimerais pas nommer interne. [02:43:36] Speaker B: Et là, on commence à jaser. [02:43:42] Speaker E: Puis là, on montre c'est quoi les questions puis les enjeux. Puis tout ce que vous avez entendu, puis tout ce qu'il y a été. Le projet de loi qui a coulé de la QS la semaine passée, là, tous ces enjeux-là, on les avait sondés il y a 6-7 ans. Tout ça, c'était prêt. Puis ils ont choqué quand ça a été le temps de le présenter, OK? Fait que moi, je suis prêt à les appuyer encore. Puis t'as raison, il faut appuyer M. Boulay, qui est le ministre responsable du dossier. [02:44:11] Speaker B: Oui, parce que je te n'entends sur la formule Rennes. C'est-à-dire, rappelons-le, ce qu'il va faire, c'est de faire en sorte que la formule Rennes ne s'appliquerait pas. La perception à la source, donc, pour les cotisations syndicales, ne s'appliquerait pas pour les... comment je pourrais dire ça? Les activités hors-syndicales. Les dépenses politiques et l'activisme écolo de gauche, blablabla. [02:44:33] Speaker E: Puis, je vais vous donner, parce que vous comprenez pourquoi c'est la seule organisation au Québec, à part le gouvernement, dont vous êtes obligés d'être membre, OK, puis vous êtes obligés de payer des cotisations syndicales, puis ils vont le prendre sur votre chèque de paie avant même que l'argent ait été dans vos poches, OK? Il n'y a personne. N'essayez pas ça si vous êtes le club XYZ. C'est impossible pour vous autres de faire ça. Mais eux, ils ont ce privilège-là. Pourquoi ils ont ce privilège-là? Parce que le juge Rand, a rendu une décision dans les années 40 en disant, si je négocie pour une usine des conditions de travail pour tous les employés, bien, même ceux qui sont pas membres du syndicat vont profiter des avantages puis des salaires qu'on va négocier pour eux. Donc, au nom de la négociation collective, on va les obliger à payer, puis on va le percevoir sur leur chèque de paye, une cotisation. OK? C'était ça, l'esprit de base. Aujourd'hui, c'est rendu que vos cotisations sont toujours perçues obligatoires. Ce bout-là, le syndicat l'a pas oublié. Mais l'argent, c'est plus pour la négociation, là. Ils prennent ça, ils décident qu'ils vont contester une loi qu'ils n'aiment pas du gouvernement de 20 tribunaux. Ils décident que Magali s'en va à Dubaï avec 9 autres de ses chumés-chumés, aller passer une semaine à Dubaï pour parler d'environnement pendant que le monde se gèle les fesses en grève, ici à moins 20, pendant un conflit de travail avec le gouvernement. [02:45:51] Speaker B: Ou littéralement s'en prendre à un autre parti politique, comme ils l'ont fait avec le Parti conservateur. [02:45:55] Speaker E: Ils font des publicités contre Paul-Yves avec l'argent de vos cotisations, ou bien non. [02:45:59] Speaker B: Ils se payent des soupers... Sans consulter de membership. Sans consulter jamais personne. Alors que des membres qui se font littéralement détourner une partie de leur paye aux deux semaines, des membres du Parti conservateur qui votent Paul-Yves, qu'est-ce que c'est ça? Il y a personne qui m'a consulté. C'est ça l'histoire. [02:46:13] Speaker E: Ou encore, l'argent va à des soupers aux morts à 6000$ comme le Journal de Québec nous l'a appris il y a quelques semaines. Oui, EDF 150. et des F-150 ou des verres de scotch à 55$ du verre. Ça, c'est vos cotisations syndicalement. Il y a des limites. Un, il faut que vous sachiez qu'est-ce qu'ils font avec votre argent. C'est pas vrai qu'ils prennent 1500-2000$ sur votre chèque pour aller juste négocier vos conditions de travail. Il y a beaucoup d'abus. C'est important, un, qu'il y ait de la transparence, que vous le sachiez, puis deux, si vous ne voulez pas financer des campagnes contre vos idées, bien, vous avez le droit de vous retirer qu'il y ait des contributions, des cotisations facultatives. [02:46:50] Speaker B: C'est ça l'objectif. Bon test de Robitaille ce matin. Il n'y a rien d'antisyndical à améliorer la transparence syndicale. Bien non. [02:46:55] Speaker E: C'est pas antisyndical. [02:46:56] Speaker B: Au contraire, c'est plus travaillant. s'occupe des conditions de travail. C'est-à-dire, le syndicat, à la base, c'est venu au monde dans la révolution industrielle en Angleterre pour, justement, limiter le travail des enfants, limiter les horaires abusifs, etc. Ça a commencé comme ça pour encadrer le capitalisme sauvage, car oui, c'était du capitalisme sauvage à ce moment-là. Mais là, c'est rendu que ça déborde. [02:47:18] Speaker E: Exact. Puis pour vous donner un exemple, Magali Picard, qui, quand elle est devenue présidente de la FTQ, c'est quand même le plus gros syndicat au Québec, c'est pour ça que j'en parle plus, là, Elle était là, tout le monde en parle, la première semaine où elle est arrivée là. Et elle est allée dire que sa priorité, c'était que les travailleurs votent pas pour Paul-Yves puis Duhaime, OK? Elle a dit ça, tout le monde en parle. Moi, j'ai pris le téléphone, je l'ai appelé le lendemain. J'ai dit, Mme Picard, je veux vous rencontrer. J'étais allé dans son bureau à FTQ. Quand vous allez à Montréal puis vous passez sur Métropolitain, là, vous voyez, il y a des affiches de la FTQ, là, c'est là qu'elle est, OK? [02:47:48] Speaker C: Est-ce qu'elle a mis une cage pour se protéger? [02:47:50] Speaker E: Quasiment, mais non. Elle m'a reçu. Et là, j'étais arrivé là avec des sondages. J'ai dit, Mme Picard, votre priorité, c'est de nuire puis d'empêcher l'élection du Parti conservateur à Ottawa puis à Québec. Je vous ai amené des chiffres pour vous montrer une chose. Vos travailleurs, qui sont membres de votre syndicat, qui payent vos cotisations, qui payent votre salaire, qui payent votre... J'ai dit, ces gens-là, ils sont plus conservateurs que la moyenne des autres Québécois. Les travailleurs syndiqués au Québec votent plus conservateurs que les non-syndiqués. [02:48:20] Speaker G: OK? [02:48:21] Speaker E: Fait que je vais arrêter de dire que c'est un attaque contre les travailleurs, là. Les travailleurs, c'est pas tous des caves, là. S'ils votent pour nous autres... « Mon objectif, c'est justement que ça change. » « Non, votre objectif, ça devrait être de défendre ce monde-là, plutôt que. [02:48:33] Speaker B: De penser que c'est des idiots et. [02:48:34] Speaker E: Qu'Il faut que vous voulez laver le cerveau. » On a eu une discussion, ça n'a pas été positif, mais au moins j'y ai dit mes quatre vérités. J'y avais amené mon livre « Libérez-nous des syndicats », j'ai dit « Je pense que j'aurais besoin de lire ça. » Puis après ça, tu rencontres... Mettons, je vous donne un exemple. Je vais rencontrer les Métallos ou je vais rencontrer la FTQ Construction. Pensez-vous qu'ils ne savent même pas? Je suis arrivé et je leur ai dit «Voici l'argent de vos syndicats, de vos cotisations, de vos travailleurs qui va pour promouvoir la théorie de genre, OK, puis des organisations pro-trans. Est-ce que vous pensez que les Métallos puis les travailleurs de la construction de la FTQ sont pour financer ça avec leur salaire?» Pensez-vous beaucoup qu'il y a beaucoup de gars sur la construction, que si on leur donnait le choix, ils enverraient de l'argent pour faire la promotion de la théorie du genre, vous? Là, les présidents de syndicats, ils me disent, là-dessus, t'as raison. Oui, là-dessus, on a raison. Présentement, ils sont en train de contester la loi sur la laïcité de l'État. Ils vont mettre peut-être un million en frais d'avocat, la Fédération autonome de l'enseignement. D'abord, les enseignants sont pour la loi, majoritairement. Puis la majorité des Québécois est d'accord. Pourquoi ils vont prendre de l'argent alors qu'il y a même pas un travailleur qui est ciblé? C'est pas comme si on était devant un tribunal puis qu'il y avait un problème. [02:49:45] Speaker B: C'est pas un cas de discrimination typée. [02:49:47] Speaker E: C'est un cas idéologique. Donc à un moment donné, ça fera. Alors je pense que ça va être important. Moi, j'ai pas de problème à appuyer le gouvernement. Tu l'as dit tantôt, l'important, c'est les idées. C'est juste le seul problème que j'ai avec ce gouvernement-là, Dominique, c'est qu'il y a six ans, j'ai déjà joué dans ce film-là, puis on s'est fait avoir. Ça fait que c'est sûr qu'au niveau de la crédibilité, j'ai de la difficulté à les croire, mais il faut donner quand même la chance aux coureurs. C'est un nouveau ministre qui arrive avec un nouveau discours d'ouverture aujourd'hui, puis on va voir comment vont se positionner aussi les autres partis politiques. Parce que le PQ, qui est en avance dans les sondages, puis Paul Saint-Pierre Plamondon, qui se trouve fin et beau, Il va réagir comment? Parce que vous vous souvenez qu'au micro de Patrick Lagassa à Montréal, il y a quelques semaines, Magali Picard est allée dire qu'elle avait un deal avec Paul-Saint-Pierre Plamondon. [02:50:33] Speaker B: Oui, qu'elle parle au... Pis Plamondon, PSPP me l'a dit ici, qui parlait à FTQ. Me l'a dit. [02:50:39] Speaker E: Elle est allée dire qu'elle avait un deal. [02:50:40] Speaker B: Elle avait un engagement. Ils ont un engagement. Fait que là, c'est pas un deal. Ben le deal, il nous l'a dit beaucoup, là. Pis moi, j'ai compris ça beaucoup, que quand il va arriver au pouvoir, la loi Boulay va tomber. C'est un deal. Que eux vont faire campagne pour le PQ en fin du changement pro-syndical et ils vont combattre la CAQ et ils vont te combattre aussi dans la région de Québec. [02:51:09] Speaker E: Paul Saint-Pierre Plamondon va se battre contre les droits des travailleurs, contre la transparence syndicale, contre la démocratie syndicale, puis contre le fait que leur argent serve à des causes politiques contraires à leurs intérêts. Fait que c'est quand même assez spécial, ce qui est en train de se passer. [02:51:25] Speaker B: Vite comme ça, avant de te laisser les priorités, puis là tes oeuvres énoncées avec Youri Chassain en point de presse. Aujourd'hui, donc répétons-le, discours important de Legault, demain c'est le début des travaux, et c'est la même législature jusqu'à l'élection générale de l'an prochain. Donc c'est vraiment un dernier coup de barre, c'est le dernier sprint, comme on dit. Vos priorités au Parti conservateur, c'est quoi? [02:51:46] Speaker E: Il y en a une sur laquelle je veux mettre l'emphase parce que... Puis je veux remercier les auditeurs de Radio-X aussi, parce que je sais que vous avez été nombreux à nous aider là-dedans. Vous savez que je suis même venu à ce micro-ci plusieurs fois, parler de mon char, mon choix, l'importance d'annuler ces quotas de véhicules électriques. Vendredi dernier, là, à annoncer qu'ils vont reculer, OK? Puis dans le discours d'aujourd'hui, vous allez entendre parler de ça. Si vous n'aviez pas été là, si les conservateurs n'avaient pas été là, il y a personne qui aurait parlé de ça au Québec. Vous êtes un des seuls médias aussi qui en a parlé abondamment. C'est une aberration. Les Québécois s'apprêtent à payer 20 000 $ de plus par char à partir du 1er janvier pour bien du monde si cette affaire-là reste en place. Et grâce... T'sais, tantôt, je t'ai entendu parler que ça donne rien de faire des pétitions, ça donne rien de faire ça, ça donne rien de faire ça. [02:52:30] Speaker B: Mais dans... [02:52:33] Speaker E: On a réussi, ce qui est très exceptionnel. Ils ont trois parties d'opposition à l'Assemblée nationale qui reçoivent des millions par année. Nous autres, on n'a pas une scène. On a réussi à faire un gain très concret qu'on va pouvoir célébrer aujourd'hui. Ils vont annoncer notamment que c'est la fin des quotas. En tout cas, c'est la réduction des quotas de véhicules électriques. [02:52:50] Speaker B: Mais il y a des pénalités qui restent si on n'atteint pas certains niveaux. Ça, c'est assez complexe. Mais M. Sagnucci, des concessionnaires, va venir possiblement demain nous expliquer ça. C'est quand même complexe. C'est très complexe. L'abattant n'est pas gagné, à mon avis. T'en dis quoi? [02:53:04] Speaker E: J'ai pas le temps, là, mais... Normalement, là, cette année, c'est 20 %. Il faut qu'ils vendent 20 % d'auto électrique. À partir du 1er janvier, c'est supposé monter à 32,5 %. Sauf que dans la dernière année, les ventes n'ont pas monté, ils ont descendu. Et donc, là, si on garde les quotas pour le 1er janvier, ils vont être dans la merde jusqu'aux oreilles. Là, Bernard Drainville, tout ce qu'il a annoncé pour l'instant, il a dit qu'en 2035, ça sera plus de 100 % des véhicules électriques. [02:53:26] Speaker B: C'est 90, c'est déjà beaucoup. [02:53:28] Speaker E: Mais il n'a pas dit... à quel rythme ils vont monter les pourcentages. Donc, on le sait pas à partir du 1er janvier, mais les concessionnaires, là, puis tu y parleras, M. Demey, là, c'est important qu'ils le sachent. Parce qu'eux autres, ils ont trois mois pour commander les voitures. Les voitures n'apparaissent pas dans le cours comme ça du jour au lendemain. Ils ont besoin de prévisibilité. Au Québec, on n'en a aucune présentement, ce qui va avoir un impact sur le coût des véhicules, la disponibilité des véhicules et le temps d'attente quand vous achetez un nouveau véhicule. Tout ça à cause d'un gouvernement qui ne se mêle pas de ces affaires. Ce n'est pas le rôle du gouvernement de décider le char que vous conduisez. C'est à vous de choisir et d'acheter votre char. Il faut défendre ce droit fondamental-là. Puis là, tranquillement, le gouvernement recule, Ça va toujours être des mesurettes à moitié en 5, là. Ils sont comme... parce qu'ils ont parti sur une mauvaise politique pour, au lieu de faire «Méa coule pas, on recule», ils essayent de dire «Ah, bon, on va essayer de rentrer la pâte à nain dans le tube d'une autre façon.». [02:54:20] Speaker B: Ils ont peur des médias. [02:54:21] Speaker E: Ils ont beaucoup peur des leviers longs d'aller. [02:54:22] Speaker B: T'as vu la réaction, le RESSAC? «Oh, ils reculent sur l'agenda climatique, blablabla.» Mais il faut reculer! [02:54:28] Speaker E: On s'en va dans le mur. C'est quoi qui est mauvais quand tu vois qu'il y a un mur devant toi de reculé? T'es pas un plein intelligent qui s'est-tu dit, au nom de l'idéologie, je vais aller me frapper à la tête sur le mur? [02:54:36] Speaker B: Non, non, c'est carrément insensé. C'est carrément insensé. Je vois que t'es en forme, c'est le fun. C'est le début et t'auras un allié. On va suivre ça de près. Il pourra pas poser des questions, les livers, là, tous les jours. Ça arrive pas. Ça vient pas poser de questions. C'est très limité, le pouvoir qu'il y a. [02:54:52] Speaker E: C'est une par semaine. C'est ça. [02:54:54] Speaker B: Exact, exact. Merci beaucoup d'être passé. Bonne session parlementaire. Nous autres, on s'en va à Pause. Hey, Ray est revenu de l'Abitibi. [02:55:03] Speaker C: Oui, il réussit. [02:55:05] Speaker B: Il a l'air en forme. Et puis là, il est sur un décalage, là, fait qu'il est en train de récupérer. [02:55:11] Speaker C: Il a surtout mis un hoodie que tu vas aimer. [02:55:12] Speaker B: Ah ouais, maintenant, moi? Il ose pas se montrer, mais il sera. [02:55:17] Speaker E: OK, je l'ai vu. [02:55:19] Speaker B: Un hoodie de... Ouais, ils vont me faire suer, les Red Sox. [02:55:22] Speaker E: T'es avec les tout, t'as pas rien des Yankees aujourd'hui. [02:55:24] Speaker B: Non, non, Yankees. Je mets de la guenille des Yankees à longueur de semaine, je n'ai pas mieux aujourd'hui, et toi la vache. Ouais, fait que c'est ça. Fait que Ree vient me troller. Ree de troll. [02:55:34] Speaker E: C'est les séries des Losers qui commencent aujourd'hui. [02:55:36] Speaker C: Ouais, les Losers. [02:55:37] Speaker B: Un peu insultant. C'est là que je me mets à courir pour taper sur Éric. C'est qui ton club? [02:55:44] Speaker E: Moi, je prends les Blue Jays. On est au Canada, j'ai pas le choix. On n'a qu'un club, pas comme ça on en avait deux. J'étais pour les expos, mais on n'en a plus. [02:55:51] Speaker B: Ça a l'air. Merci beaucoup Éric. [02:55:54] Speaker E: Merci, bonne journée tout le monde. [02:55:55] Speaker B: On va à la pause et le troll s'assoit. À tantôt. [02:56:06] Speaker C: Ah voilà, voilà! Ça roule, ce show-là, hein? Ça roule! [02:56:12] Speaker B: Ça roule! Avec G.F. Black. [02:56:17] Speaker C: C'est incroyable! [02:56:18] Speaker A: C'est Louis Gauvin. [02:56:19] Speaker B: I am a machine! C'est incroyable! [02:56:21] Speaker A: Lundi au jeudi. [02:56:22] Speaker B: Dans mes pieds. [02:56:24] Speaker A: Salut. [02:56:36] Speaker B: Tout le monde! Aujourd'hui, on a Sylvain qui nous demande... Ouais, pis quoi le meilleur tissu pour un fauteuil quand t'as trois enfants? Oh, bonne question! Trois enfants, man! Meilleur conseil? Fais juste pas payer les taxes. Excellent call. Jusqu'à dimanche, on paie les deux taxes sur tous les meubles et matelas à prix régulier. Meubles RD, bien se meubler, moins dépenser. En suède, le minimalisme n'est pas synonyme d'ennui. Il s'agit d'éliminer le superflu et de perfectionner le reste. Polestar 3, le VUS électrique qui se conduit comme une voiture de sport. Pas de parure, pas de fioriture, simplement le design et la performance perfectionnés. Louez votre Polestar 3 pour seulement 899 $ par mois sur 12 mois avec zéro dollar d'accompte. Oui, 899 $ par mois, mais uniquement jusqu'au 30 septembre. Visitez polestarvilledequebec ou polestar.com. Des conditions s'appliquent. Ah ben, chaque saison, c'était la même histoire. Pour mon gars au hockey, je devais vendre des bebelles au bureau. Pour ma fille en cheer, des billets, ben non, des gugus. J'étais brûlé. Mais avec Patisserie Michaud, c'est plus pareil. Le porte-à-porte a pris le virage techno. Chacun a sa boutique en ligne, son tableau de bord, son code QR. 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[03:01:05] Speaker J: J'étais le gars en culotte courte qui. [03:01:07] Speaker H: A pas d'affaires là, là. [03:01:08] Speaker B: Point barre. Allô, p'tit homme? Oui, je suis là. [03:01:12] Speaker F: J'étais le gars en culotte courte. [03:01:15] Speaker B: J'étais le gars en culottes courtes. J'étais le gars en culottes courtes. J'étais le gars en culottes courtes. [03:01:28] Speaker H: Ben, son nom, là... Moi, à ce. [03:01:31] Speaker B: Que je trouve son nom, là... Ben, je sais pas, il m'inspire. Salut Ray, comment ça va? [03:01:57] Speaker I: Très bien, merci, vous autres? [03:01:58] Speaker B: Très bien, fraîchement revenu d'un séjour que t'as décrit comme étant « ball me ». T'as quand même dit ça, hein? [03:02:07] Speaker I: Un « ball me » Rouyn-Noranda. [03:02:09] Speaker B: Ouais, 25! [03:02:10] Speaker I: Il faisait ça, il fait beau, là, présentement, ici. [03:02:11] Speaker B: Oui, il fait très beau. [03:02:12] Speaker I: Je sais que la semaine passée, il y a eu des hauts et des bas, là. [03:02:15] Speaker B: Mais on est en short. [03:02:16] Speaker I: En Abitibi, c'était 22, 23, 24. [03:02:19] Speaker B: Il faisait chaud. C'est parfait. Le voyage est fait. [03:02:22] Speaker I: Ça, c'est réglé. [03:02:23] Speaker B: Ça, c'est réglé. [03:02:24] Speaker I: C'est un commentaire qui est revenu un peu plus tôt. [03:02:26] Speaker B: C'est coché. [03:02:28] Speaker I: Quand on regarde le calendrier au début de la saison, il y en a trois longs voyages. Il y a celui qu'on vient de faire. Il est fait, je veux le répéter, il est fait. Il y en a un au Nouveau-Brunswick. C'est moyen, ce n'est pas si mal, ce Nouveau-Brunswick. Ça se fait bien, ce n'est pas trop trop loin. Et il y a l'excellent voyage au Cap-Breton. C'est juste avant le Japon, je crois. La prochaine sortie après Cap-Breton, c'est le Japon. [03:02:49] Speaker C: Ça c'est loin. [03:02:50] Speaker B: Cap Breton dans le même rang où. [03:02:52] Speaker C: T'Es à Halifax, puis la fin de semaine d'avant vous êtes à Bécom. [03:02:56] Speaker B: Et si tu perds, c'est ça. [03:02:59] Speaker C: Bonne Saint-Valentin. [03:03:01] Speaker B: Non, non. Si tu perds 6 à 1, c'est l'enrevenir. Plus l'enrevenir que d'aller. [03:03:07] Speaker I: Oui, les résultats sur la glace peuvent influencer la qualité du retour. [03:03:11] Speaker B: On va dire ça comme ça. [03:03:13] Speaker I: Oui, exactement. [03:03:14] Speaker B: Ça a été un bon voyage pour les remparts, on va le dire. Puis on sent un début de cohésion. Il y a des surprises chez les remparts, je trouve. YouWins, honnêtement. [03:03:22] Speaker I: On le connaissait pas beaucoup. [03:03:23] Speaker B: Il arrive de où ce gars-là? [03:03:24] Speaker I: De l'Ontario. [03:03:25] Speaker B: Moi, je le sais, mais il traînait à terre. Ils l'ont ramassé. Sans protection. [03:03:29] Speaker I: C'est pas rare. Il y a plus de joueurs. Le bassin de joueurs en Ontario est plus grand qu'ici, donc... Bravo aux scouts! Oui, c'est ça. Il faut que tu le vois quand même, parce qu'il était disponible pour tout le monde. Puis en même temps, dans son cas, ça te prenait un poste de joueur de 20 ans ouvert, ce qui était le cas avec les remparts, défenseur droitier. Il remplissait toutes les cases. Mais c'est pas un défenseur parfait. Je veux rien lui enlever. Moi aussi, je trouve qu'il a un bon début de saison. [03:03:52] Speaker B: Il est mobile. [03:03:54] Speaker I: C'Est plus tranquille un petit peu, là. C'est pas un gros bonhomme, là. [03:03:57] Speaker B: Oui, il mène des compteurs. [03:03:58] Speaker I: Il mène les marqueurs, c'est ça. Il fait des points. [03:04:01] Speaker B: Oui. [03:04:01] Speaker I: Il fait des points. Et puis, ce que j'ai aimé aussi, sur la glace, bon, ils ont deux victoires, comme tu l'as dit, mais c'est à l'extérieur de la patinoire, ça, c'est l'avantage de suivre une équipe au quotidien. J'ai vu le groupe de leaders commencer à se former et à s'imposer. Ça, c'est important, ça, dans une équipe de sport. [03:04:19] Speaker B: T'as plus du Dorion là-dedans? [03:04:20] Speaker I: Oui, c'est Dorion et Desjardins qui ont comme pris charge après la première... la défaite. Le premier match du voyage, ça a été une défaite, puis tu sentais que ça commençait à être un peu lourd, un peu pesant. Trois défaites, c'est pas beaucoup, mais en même temps, c'est beaucoup parce qu'on est au début de la saison, puis là, bien, la possibilité de perdre deux autres matchs en Abitibi, revenir dans le voyage d'autobus qui aurait été pas mal plus long si ça avait été 0-5. Ça fait qu'ils se sont fait une petite réunion, les leaders, ils ont demandé d'aller parler au coach pour... jaser, voir ce qu'on pourrait faire pour améliorer la situation. Donc ça, j'ai aimé ça. Ça, c'est important dans une équipe, puis ça sert à ça. Un long voyage en Abitibi, t'as du temps à remplir, et aussi bien de bien le remplir. Puis souvent, bien, ça forme des liens un petit peu plus forts entre les joueurs. [03:05:03] Speaker B: Le premier vendredi local contre l'Océanique, vendredi, on va y être. [03:05:06] Speaker I: C'est le meilleur soir, hein, le vendredi, pour du hockey junior. Non seulement au Centre Vidéotron, mais dans la Ligue en général. Si tu regardes les assistances, le meilleur soir de hockey, c'est le vendredi. [03:05:14] Speaker B: D'ailleurs, t'as-tu vu le dossier dans Le Soleil sur les prix des biens? [03:05:20] Speaker H: Oui. [03:05:20] Speaker B: Est-ce que ça t'a surpris? Oui, ça m'a surpris. [03:05:23] Speaker I: Qu'est-ce qui t'a surpris? Le prix? [03:05:24] Speaker B: Que les remparts soient si abordables. Les gens disent « on comprend, ils mettent 10 000 personnes dans les estrades ». Oui, je comprends, mais... Il y a ce souci-là du client, je pense, et Halifax, ça m'a surpris le prix du billet. C'est le plus élevé. Je pense que c'est de 32 billets. [03:05:40] Speaker G: C'Est quelque chose de même. [03:05:40] Speaker I: Effectivement. Puis Gatineau n'est pas trop loin. [03:05:43] Speaker B: Mais les frais sont tellement élevés, les frais d'opération. [03:05:46] Speaker I: Oui, on est autour du 2 millions, les frais d'opération d'une équipe de hockey junior. Parce qu'un joueur de hockey junior qui joue dans la L.A. JMQ, c'est nourri fourré blanchi. Il paye rien. Il est logé dans des familles de pension et puis il arrive à l'aréna habituellement, il déjeune, il dîne à l'aréna, il va retourner à la maison, il va se souper dans sa famille de pension. [03:06:05] Speaker B: Ça lui coûte rien. [03:06:06] Speaker I: Puis il a son petit extra, c'est un per diem par semaine qu'on offre aux joueurs. Les études également dans tout ça. À la fin du stage, d'un joueur de hockey junior. Il y a des bourses pour aller à l'université, des 7000 $ par année pour aider les joueurs à aller à l'université par après. Donc c'est des coûts, ça, pour les organisations de hockey junior. Mais le prix du billet, c'est vrai que le prix du billet d'un match des Remparts est le plus faible. [03:06:31] Speaker B: 25 $. [03:06:32] Speaker I: J'aimerais quand même qu'on réfléchisse sur le prix aux concessions au Centre Vidéotron. [03:06:37] Speaker B: Oui! [03:06:37] Speaker I: Pour le hockey junior. Ce soir, sénateur canadien, c'est un match de la Ligue nationale de hockey, ou un spectacle de corn la semaine dernière, les spectacles qui s'en viennent, big deal, c'est correct, on le sait que c'est des adultes qui vont être là en majorité, peut-être tu peux hausser le prix de ta bière, ton hot dog tu peux le mettre à 4$ peut-être, mais exemple des Capitales de Québec, exemple des Falguns d'Atlanta dans la NFL, le prix aux concessions, J'aimerais qu'on y réfléchisse un peu. Je trouve ça dispendieux pour les familles. [03:07:08] Speaker B: C'est très dispendieux. La pointe d'épuisement est trop chère. Je sais que vous allez dire, il y a des promotions, blablabla. Il y a la promotion de la poutine, etc. [03:07:15] Speaker I: C'est constructif, ce que je dis ce matin. Parce que je l'entends de la part des amateurs. [03:07:19] Speaker B: On l'entend. C'est du junior. Déjà, tu te souviens quand on a fait le déménagement du Colisée au Centre Vidéotron? C'était Jacques qui était là dans le temps, puis Jacques s'était fait frotter les oreilles à propos du parking. [03:07:31] Speaker I: Stationnement. [03:07:31] Speaker B: Oui, mais là, c'était du junior, avant, c'était gratuit, là, t'es obligé de payer. [03:07:35] Speaker I: Y'avait une entente avec la Ville, pis ça a tombé. [03:07:37] Speaker B: Là, c'est tombé à 15$. C'est-tu 15$? [03:07:41] Speaker C: 15$ ou 8$? [03:07:41] Speaker B: C'est rendu 15$. [03:07:42] Speaker I: C'est 15$ pour un match des Remparts? [03:07:44] Speaker B: Oui. [03:07:44] Speaker I: Ils chargent 15$? [03:07:45] Speaker B: Ben, c'est ce que je... Ben, corrigez-moi les laveurs, je pense que c'est pas... Mais peu importe. [03:07:49] Speaker I: Ne serait-ce qu'un frais pour le stationnement pour un match de hockey junior. Là, t'ajoutes à ta facture... [03:07:55] Speaker B: Familles de quatre, je comprends que les kids payent moins, etc. Beaucoup de promotion pour les enfants, mais quand même. Je trouvais ça bien, les sénateurs qui sont allés à Sainte-Marie, tout ça, c'est toujours... C'est les oeufs caritatifs, c'est ça. Impliquer, la bouche faite généreuse et tout. Qu'est-ce que tu en penses? Les leçons à tirer à date? [03:08:15] Speaker I: Thomas a bien fait ça. Thomas Chabot a été le leader dans ça. Moi, c'est Brady Kachuk sur lequel je m'arrête d'homme. Puis il me fait penser un peu à Brad Marchand. Brad Marchand, je l'ai vu au Pro-Am gagner Bergeron. Il est venu plusieurs années. Et je l'ai vu s'impliquer à l'extérieur de la patinoire pendant le match, très généreux avec les gens. Je compare les deux, Marchand et Kachuk, parce que je pense que Kachuk a été un des joueurs les plus populaires dans les derniers jours auprès des amateurs. Sur la glace, c'est des déplaisants, des désagréables. Faire attention aux mots que j'utilise, mais c'est des joueurs qui dérangent. Leur style de jeu sur la patinoire, c'est une chose, Marchand et Kachuk. Mais à l'extérieur de la glace, ces gars-là sont souvent les plus fins dans une équipe, les plus généreux. C'est deux choses complètement différentes. Il a une job à faire sur la patinoire, il est déplaisant, il est désagréable. Si tu le déranges trop, il va laisser tomber les guenilles puis il va engager le combat. C'est ça, Brady Kachuk, c'est un joueur physique. À l'extérieur de la patinoire, puis il l'a prouvé encore dans les derniers jours. J'ai parlé avec des gens qui ont suivi les sénateurs pour les derniers jours. Il est fin, il est fin, il est fin. C'est le plus smart de la gang. [03:09:26] Speaker B: Ça donne le goût de prendre pour les sénateurs. Il y a encore des haters du Canadien. Il y en a-tu, Eric? Je pense qu'il n'y en a pas pire. [03:09:32] Speaker I: Il en reste encore. [03:09:33] Speaker B: Je pense qu'ils veulent saisir l'occasion, les sénateurs, pour venir ici puis d'évangéliser. [03:09:39] Speaker I: Gagner quelques partisans. Mais ce soir, je vous pose la question. C'est quoi, à votre avis, le pourcentage dans la foule au niveau de la pondération, amateurs du Canadien, amateurs des sénateurs, ce soir? [03:09:51] Speaker B: 70 Canadiens, 30 sénateurs. [03:09:55] Speaker C: Moi, j'allais dire 75-25. [03:09:57] Speaker B: Autour de ça. [03:09:58] Speaker I: Ça ressemble à ça encore. Le Canadien, moi, je te dirais même que le Canadien a augmenté sa base de partisans dans les 10-15 dernières années. Les jeunes, tu le sais, là, Dom, t'as des avants. [03:10:06] Speaker B: Moi, je te reparle, les Nordiques, ils savent même pas c'est quoi, les Nordiques. [03:10:09] Speaker C: Moi, je commence... Moi, quand les Nordiques sont partis, j'ai arrêté de regarder le hockey pendant 7, 8, 9 ans. [03:10:16] Speaker I: T'es pas tout seul. T'es pas tout seul. [03:10:17] Speaker C: Et là, t'sais, j'arrête pas de dire, le Canadien n'a jamais rien fait pour venir me chercher comme partisan, depuis que les Nordiques sont partis, sauf là. Moi, les Demidov, les Suzuki, les Caulfield, les Hudson, ça m'allume. [03:10:27] Speaker I: Ils vont gagner, ils font probablement qu'ils vont avoir plus de succès sur la glace. Veux, veux pas, on aime ça s'associer à des équipes gagnantes. Donc le bassin de partisans du Canadien augmente, puis je pense qu'il n'a pas fini d'augmenter. Effectivement, c'est une équipe qui est le fun à voir jouer. Puis ce soir, on m'a dit que le Canadien allait avoir une équipe très compétitive sur la glace. Évidemment, on est à la fin du camp d'entraînement. Il reste juste 28-29 joueurs. Vous allez voir des bons joueurs. Vous allez voir Domidov et compagnie. [03:10:51] Speaker B: Bolduc, Bolduc ce soir. [03:10:53] Speaker C: Suzuki, Carfil, voyons, il va! De toute façon, tu peux... puis... Hudson va être là, parce qu'ils feront pas jouer goulé, puis... Dobson? [03:11:02] Speaker B: Tu l'as dit, Ray. [03:11:03] Speaker C: Il s'est blessé la dernière fois. [03:11:04] Speaker I: On prendra pas de chance. [03:11:05] Speaker B: Tu l'as dit, c'est bien de prendre pour une équipe gagnante. C'est pour ça que je prends pour les Yankees. Très à l'aise. Tu me comprends-tu? [03:11:13] Speaker I: J'ai mon petit hoodie des Red Sox. Ça va être court. C'est un 2-3 cette semaine. [03:11:19] Speaker B: Ça commence dans le Bronx à 6 h. [03:11:20] Speaker I: Mais Boston-Yankees, c'est du bonbon. [03:11:24] Speaker B: T'as un match en dollars canadiens à 90 $. T'as un ticket à 90 $. Là, là, si on part là, on arrive à temps pour le match. [03:11:34] Speaker I: T'as regardé les prix tantôt, c'est pas pire. [03:11:36] Speaker B: C'est pas pire? [03:11:37] Speaker I: Oui, ça a du bon sens. [03:11:38] Speaker B: Canadien? [03:11:38] Speaker I: Ça a bien du bon sens. [03:11:40] Speaker B: Je pensais que c'était pour être plus cher que ça. Évidemment, c'est pas du terrain, on n'en parle pas, mais en haut, t'es là, t'es dans l'enceinte. [03:11:46] Speaker I: Garrette Crochet qui lance la soirée pour les Red Sox, ils toucheront pas la balle, les Yankees. [03:11:50] Speaker B: Je te donne le premier match, je prends deux autres. Bien, Crochet est écœurant, c'est sûr. Puis pendant ce temps-là, bien, Bichette se fait guérir. [03:11:59] Speaker I: Les Jays sont champions quand même. Une belle saison pour les Jays. [03:12:02] Speaker B: C'est extraordinaire. [03:12:03] Speaker I: Tu sais ce que j'aime des Jays? Ils ont l'air à s'amuser. Les gars s'amusent. Ça leur était un petit peu reproché. On pensait que c'était à cause de ça qu'il n'y avait pas de succès. Mais une saison de balle, tu joues à tous les jours pendant 62 jours. [03:12:14] Speaker B: Peux-tu t'amuser un peu? [03:12:16] Speaker I: C'est ça. Puis en plus, ils ont réussi à gagner des matchs quand ça comptait. C'est le fun que Toronto soit dans le détail. Puis ils vont jouer contre le gagnant des Red Sox et des Yankees, donc contre les Red Sox à compter de la fin de semaine. [03:12:26] Speaker B: C'est un bon anza. Je parle pas des autres équipes, mais toute la journée, c'est du base. C'est l'enfer. [03:12:31] Speaker C: C'est les plus belles journées de base. [03:12:32] Speaker B: C'est l'enfer. Merci beaucoup, Ray. Salut. [03:12:34] Speaker I: Bonne semaine. [03:12:34] Speaker B: Salut. Bye. 9h13 à Radio X. [03:12:45] Speaker D: Bonsoir. [03:12:46] Speaker A: Les meilleurs collaborateurs sont ici. [03:13:07] Speaker B: OK! [03:13:07] Speaker A: Léopold Lauzon, Lino Zambito, Stéphane Monnet, Christian Page, Pierre Malperin, Dr Denis Boucher. [03:13:13] Speaker B: C'est pas mal ça! [03:13:14] Speaker A: Les meilleurs collaborateurs sont ici! [03:13:18] Speaker B: C'est vous! Faites-vous votre propre opinion! Ici Stéphane Slagard, propriétaire et fondateur de Slagard Jury-Conseil. Depuis 20 ans, l'équipe Slagard a récupéré plus de 71 millions de dollars à plus de 3 500 clients en indemnisation. [03:13:32] Speaker C: CUNSST, SAAQ et assurance invalidité. Un accident de travail, c'est vite arrivé. [03:13:39] Speaker B: Exigez les pros de l'indemnisation, l'équipe Slagard. [03:13:42] Speaker C: Avec nous, vous serez bien informés, bien accompagnés et surtout bien représentés. [03:13:48] Speaker B: Centrale Pneus et Mécaniques recrute des mécaniciens qualifiés pour ses trois succursales de l'Ancienne-Lorette et Cap Rouge. Tu cherches un meilleur salaire? Un nouveau défi? T'es tanné de travailler de soir? Chez Centrale Pneus et Mécaniques, on accote tes vacances, ton salaire et on t'offre un horaire adapté à tes besoins. On respecte ton expérience et ton ancienneté. Tu veux faire juste de l'alignement automobile ou du diagnostic électrique? On t'offre un poste qui correspond à tes intérêts. 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[03:16:50] Speaker E: Veuillez jouer de manière responsable. [03:16:52] Speaker B: Avec le groupe Nanoque, acceptez votre soumission de Bardot en 10 jours et vous pourrez bénéficier de notre rabais éclair allant de 250 à 1050 $. Ou prévoyez de changer votre revêtement extérieur pour le printemps prochain et profitez du Rénault rabais extérieur allant de 200 à 1500 $. Appelez-nous pour plus de détails au 581-985-6949. Visitez le nanook.ca, NANUUQ.CA. Certaines conditions s'appliquent. [03:17:21] Speaker A: Jusqu'à jeudi, chez PharmaPrix, obtenez 20 fois les points PC Optimum à l'achat de 75 $ ou plus de produits de beauté, valables en magasin et en ligne. [03:17:30] Speaker B: Allô! [03:17:30] Speaker A: C'est Marie de l'Entrepôt d'Arénaud. Venez découvrir notre nouveau local à Québec. Avec 50 000 pieds carrés, c'est sûr qu'on va avoir de la place pour vous accueillir. La dernière tendance, moins cher qu'en quinquennie. L'Entrepôt de la réno 9030 John Simon, sorti Chauveau sur Enrica. 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D'ici le 13 octobre, il va y avoir une comparution du parquet financier de Paris qui va décider vraisemblablement de son incarcération. Donc, il va être incarcéré pour une période d'au moins un an. C'est un an de prison ferme. Même s'il a dit qu'il allait porter la cause en appel, l'appel ne sera pas entendu avant cinq, six mois. Donc, il se peut très bien qu'il reste emprisonné du mois d'octobre jusqu'en janvier, février prochain. Donc, il passe Noël en prison. La raison pour laquelle il est en prison, c'est que c'est une histoire qui a été sortie par un journaliste français, Édouard Plenel, qui déteste Nicolas Sarkozy pour s'en confesser. C'est un de ses ennemis idéologiques dans son livre intitulé « Le Président de trop ». Il détruit Sarkozy, c'est vraiment une charge contre lui. Il parle même dans son livre de pouvoir politique dangereux, qui fait référence à Sarkozy. Donc c'est un anti-sarkoziste primaire. C'est un activiste politique qui se drape derrière la profession de journaliste pour avoir une aura d'objectivité. Puis ça, c'est le propre de bien d'autres journalistes, tant en France qu'au Canada. Je donne un autre exemple. Il y a un autre journaliste français, Patrick Cohen, qui a été filmé à son insu en compagnie d'un autre journaliste, Thomas Legrand, dînant avec le secrétaire général du Parti socialiste et le président du Conseil national du Parti socialiste. Donc, pas des simples militants, on s'entend. Alors, dans la discussion... — Dans le. [03:21:32] Speaker B: Cas de Plienel, ça dégauge beaucoup, là. Médiapart... L'ancien — directeur Oui. de... c'est ça. Directeur de devoir, aussi. Exact. Oui. [03:21:43] Speaker J: Donc, dans la discussion entre Patrick Cohen, Thomas Legrand et les deux types du Parti socialiste, ils évoquent la stratégie à venir du Parti socialiste pour l'élection présidentielle de 2027. Puis Thomas Legrand dit la chose suivante, et je cite, « Nous, on fait ce qu'il faut pour Rachida Dati, Patrick et moi. » Fin de la citation. Rachida Dati, pour ceux qui ne savent pas, c'est une politicienne de droite bien connue. Bref, dans cet extrait-là, le journaliste dit littéralement qu'ils ont fait une job de bras contre cette politicienne-là pour l'empêcher de se faire élire mairesse de Paris. Puis ils s'en vendent. Cohen a piqué au vif et a accusé le média qui a rendu publique la discussion d'avoir fait du montage. Or, le média en question a rendu publique l'entièreté de la discussion qui a été évaluée par un huissier de justice qui a confirmé que la séquence publiée n'était pas un montage. Donc le journaliste a été pris les culottes à terre et la sanction contre lui, il n'y en a eu aucune. Puis si je reviens au cas d'Edwi Plenel, donc c'est son média, Mediapart, qui a rendu public l'affaire qui a mené à la condamnation de Sarkozy la semaine dernière. Puis Mediapart a publié, dans l'entre-deux-tours de l'élection présidentielle de 2012, où s'opposait Sarkozy à François Hollande, un document signé par le numéro 2 du gouvernement libyen, affirmant que son dictateur, Muammar Kadhafi, avait donné son autorisation pour financer la campagne de Sarkozy jusqu'à 50 millions d'euros. Dans l'entre-deux-tours, c'est le moment parfait pour saboter, pour miner la campagne d'un candidat. Le problème avec cette fameuse note-là, elle évoque une rencontre à Tripoli entre un ministre de Sarkozy, qui s'appelle Brice Hortefeux, avec un intermédiaire de Kadhafi. Or, le problème, c'est qu'à cette date-là, Hortefeux était en déplacement à Clermont-Ferrand, en France. Donc, la juge qui a condamné Sarkozy la semaine dernière dit dans son jugement, et je cite encore une fois, aucun élément n'a permis de corroborer le contenu de la note, laquelle apparaissait déjà fragile, notamment du fait de l'impossibilité pour Brice Hortefeux d'avoir été présent en Libye à la date indiquée. [03:23:54] Speaker B: Il apparaît dé... — C'est un exposé de fabrication, ce que t'es en train de nous dire. — Oui. [03:24:00] Speaker J: Laisse-moi finir la phrase. Il apparaît désormais que le plus probable est que ce document soit un faux. Donc vous avez un journaliste dans l'entre-deux-tours de l'élection présidentielle de 2012 qui a publié un document qui, selon la juge qui a condamné Sarkozy à 50 prisons, considère que le document est probablement un faux. Je veux dire, c'est une machination politique pour couler Sarkozy puis l'envoyer en prison de la part d'un anti-sarkoziste primaire, d'un militant politique qui se drape derrière le titre de journaliste. Comment vous voulez que les gens aient confiance envers les journalistes quand des histoires comme ça deviennent publiques? Vous pensez que c'est une situation qui est limitée à la France? Voyons, il suffit de voir le traitement réservé entre guillemets au bon candidat lors de la campagne électorale fédérale en comparaison à Pierre Poilievre. leur billet était aussi évident que le nez au milieu du visage. C'est un pic, c'est un roc, que dis-je? C'est une péninsule. Donc, les médias ont dérivé à gauche puis ils s'en cachent même plus. Ils ont même cessé depuis longtemps d'être des journalistes. En réalité, c'est que des activistes qui sont en mission puis qui, parallèlement, font aussi du billet sélectif lorsque vient le temps d'exposer une situation X ou Y. Puis ça, c'est clairement... C'est quelque chose que j'ai vécu il y a à peine un mois. avec un journaliste de Radio-Canada, puis je peux vous raconter l'histoire qui illustre très bien le biais sélectif des journalistes. Donc, il y a un mois, il y a un journaliste de Radio-Cannes qui me contacte par courriel en me disant qu'il prépare un dossier sur la situation dans Donbass, en Ukraine, puis qu'il voudrait m'interviewer sur le sujet. Fait que moi je me dis à moi-même là, pauvre gars, il sait pas que sa requête va être bloquée quand elle va remonter à la direction de l'information, qu'il va lui dire non, quand ils vont voir qu'il veut m'interviewer. Fait que juste simplement pour prouver mon soupçon, j'ai accepté l'entrevue. Puis comme de fait, le journaliste a jamais donné suite à sa propre demande d'entrevue. Puis ça, moi j'ai eu ce doute-là il y a environ deux ans quand j'avais donné une entrevue à la radio de Québec, de Radio-Canada. Donc à peu près 5-10 minutes après l'entrevue, mon téléphone sonne, puis c'est une recherchiste de Radio-Cannes, Montréal, qui m'appelle pour me demander, pour me dire qu'elle a entendu mon entrevue, puis qu'elle aimerait que je répète essentiellement la même chose sur le réseau national. Fait qu'elle me rappelle à peu près 20-30 minutes plus tard pour me sortir l'excuse boiteuse du «Ah, y'a eu un changement de dernière minute à la programmation, pis écoutez, on pourra pas faire l'entrevue aujourd'hui, on va vous rappeler peut-être demain pour recéduler.» Ben t'sais, évidemment, elle m'a jamais rappelé. Mais c'était pas mon crime. Le crime, là, c'est que vous êtes... En fait, vous êtes responsable, paraît-il, de la raison pour laquelle je suis blacklisté par Radio-Cannes. Parce que quelqu'un d'autre de bien connu dans la région de Québec a déjà accordé plusieurs entrevues à la station de Radio-Cannes de Québec, qui s'est fait un jour dire que le réseau national ne donnait pas l'antenne aux gens qui collaboraient à Radio X. Parce qu'évidemment, collaborer à Radio X, c'est une chose, c'est la chose la plus ignoble qui soit. [03:27:13] Speaker B: L'église de Satan! [03:27:16] Speaker J: Oui, c'est ça. Quand il a dit, écoute, ça se passe bien, ils ont trouvé avec la Radio de Québec, peut-être que tu pourrais me référer à la station de Montréal, je pourrais intervenir dans l'émission de tel journaliste, la rechercheuse est partie à rire et elle a dit, écoute, À Québec, parce qu'on connaît l'écosystème de Québec, c'est correct, on peut recevoir des collaborateurs de Radio X ou d'autres médias concurrents ou alternatifs, mais pas à Montréal. Ça passera pas. Tout ça pour dire qu'à Radio-Canada, à Montréal, il y a fort probablement une espèce de mise à l'index, une liste noire de gens à qui on ne peut pas donner la parole pour des raisons X ou Y. Donc, soit parce qu'ils collent d'abord avec des, entre guillemets, des médias qui sont ignobles, ou parce que c'est des gens qui, selon la pensée dominante, mais qui n'est pas prouvée, c'est des gens qui sont payés par le Kremlin, c'est des gens qui sont anti-Vax, conspirationnistes, Trumpistes. Il ne faut pas s'étonner après ça, pourquoi ces médias-là ont toujours les mêmes évités, qui disent toujours la même chose. Pourquoi il n'y a pas de diversité d'opinion? Pourquoi est-ce qu'il y a juste les analyses gauchistes et waouh qui dominent? qui pissent dans le vinaigre comme Jacinthe, Eve, Arel, ont été mis à la porte parce qu'ils font pas de l'information, ils font de l'activisme politique. Donc c'est pas étonnant de constater que les portes sont aussi de plus en plus tournantes entre les mondes politiques et médiatiques parce que ce monde-là, au sens imagé de l'expression, ce monde-là, ça couche ensemble. À la limite, si Radio-Canne, c'est un média privé, on pourrait toujours leur dire qu'ils sont libres de faire ce qu'ils veulent, après tout. Mais c'est leur pognon, et s'ils commettent des erreurs, ils en subiront les conséquences, comme TVA, dont l'action est sur le point de valoir à peu près rien. Mais quand on parle de Radio-Canne, on parle d'un média, non plus du tiers du budget, provient de l'État, de vos taxes et vos impôts, ça, on s'attendrait à mieux de leur part. C'est-à-dire de la vraie nouvelle objective avec un équilibre entre les différentes tendances sociales et idéologiques, pas de l'activisme puis une espèce de censure déguisée. [03:29:24] Speaker B: L'activisme qu'on démontre matin, midi, soir, de manière très régulière, avec notamment la Légion. Dans la Légion, il y a plein, plein, plein d'exemples. La radio étant un fait patent, la radio de Radio-Canada, c'est à gauche toute. Mais c'est à toutes les semaines. On a des exemples à toutes les semaines, toutes les semaines. [03:29:44] Speaker J: Tu sais, en réalité, pardonnez-moi d'exprimer ça, mais c'est des faux-culs. Ils font en réalité ce qu'ils dénoncent. Tu sais, ils font exactement ce qu'ils reprochent aux autres, c'est-à-dire d'opérer dans des bulles informationnelles, puis offrir uniquement des analyses biaisées. [03:29:58] Speaker B: Mais parlons des États-Unis, Jean-François, la même chose, CNN, New York Times, Washington Post, MSNBC, envers Trump, une hostilité répétée. avec la fabrication. L'histoire du laptop, là, il faut pas que ça soit fini. C'était très, très gros, cette affaire-là. Ignorer sciemment l'histoire du laptop de Hunter Biden avec, en une, un collectif d'anciens apparatchiks sécuritaires du gouvernement américain pour venir dire non, non, non, oubliez ça, c'est une patente à Poutine, cette affaire-là. Ce qui était complètement faux pour favoriser Biden. On l'a vu aux États-Unis, on le voit encore. [03:30:34] Speaker J: Ben oui, exactement. Puis, par exemple, le nombre de pardons présidentiels. Ah, Trump, il en a donné à peu près 200. C'est dégueulasse, il détourne ses pouvoirs constitutionnels, il est en train de devenir un dictateur. Biden, il en a donné plus de 2000, des pardons présidentiels. Ben ça, il n'en parle pas, parce. [03:30:51] Speaker B: Que ça ne fait pas d'argent à la tête. Non, à des violeurs, à des tueurs, à des espions chinois. C'est pas élégant, là. Hé, je crois... Va voir le messenger, Dan, en rouge, dans la banque. C'est la directrice de l'information qui est avec Pénélope. C'est un extrait qui me dit rien, mais qui est sûrement pertinent de notre discussion. Je sais pas si tu l'as, mon cher Dan. On va l'écouter à l'instant, Jean-François. Pas seulement. Les gens critiquent l'opinion à l'antenne. [03:31:18] Speaker A: Oui, parce qu'il y en a de plus en plus. [03:31:19] Speaker B: Du RDI. [03:31:19] Speaker A: Mais qu'est-ce que ça apporte, les panels? Ça apporte une diversité de points de vue. [03:31:24] Speaker B: Ça apporte une diversité de point de vue, gauche, droite, ou diversité de point de vue, peu importe le sujet. C'est ça que ça apporte. Le fait d'avoir des femmes sur les panels, pas seulement des panels d'hommes. D'avoir une diversité culturelle. Exactement. Diversité partout, sauf idéologique, bien entendu. C'est ça qu'ils disent. [03:31:48] Speaker J: Ces gens-là vivent dans un monde parallèle, ils se rendent même pas compte de l'absurdité de ce qu'ils disent. Regardez n'importe quel panel à Radio-Cannes, c'est des gens qui prennent le café ensemble le matin et qui vont se souper ensemble le soir. Comparé par exemple, je sais pas si tu te souviens de l'émission qui n'existe plus maintenant, Zemmour et Nolo. une super bonne émission, Nolo qui est un type qui est plus à gauche, puis Zemmour évidemment qui est plus à droite, mais ces gens-là, sur le plateau, ça s'obstinait, ils étaient en désaccord, puis il y avait les invités qui étaient sur place aussi sur le plateau, puis tu sais, ça donnait des discussions animées, il y avait vraiment un clash entre deux individus qui étaient situés à l'opposé du spectre idéologique. Je mets au défi de trouver la même opposition, entre un débat entre Jean-François Lisée, l'autre madame qui a été ministre sous Jean Charest, puis celle qui a été députée sous trois, quatre partis à Ottawa, le capitaine Gatineau, là. [03:32:47] Speaker E: C'est Jean-Luc Dijon. [03:32:49] Speaker B: Oui, c'est ça. La néo-démocrate. On les invite en passant les gauchistes ici. Moi, je vais en faire des affrontements. Les chefs syndicaux, d'hommes courent après eux autres. Les gauchistes marchands, Jacky, Ruben Gazal, sont tous invités. Ils veulent pas. C'est eux qui veulent pas venir. [03:33:07] Speaker J: Faut-il le noter. Catherine Dorion a participé plusieurs fois à des émissions. [03:33:13] Speaker B: Elle est toujours invitée. Elle est venue une fois au début, mais il y avait le dictat de non, on ne va pas à Radio-Est comme tu as dit tantôt. Ah, c'est Satan. Mais elles sont invitées. C'est une tribune libre ici, c'est une tribune ouverte. Elles sont invitées. [03:33:25] Speaker J: C'est ça, vous n'avez pas un index? [03:33:28] Speaker B: Non, jamais, il n'y en a pas. [03:33:29] Speaker J: J'aime ça. Mais si après ça, les gens disent « Radio X, c'est toujours les mêmes personnes ». Oui, mais au moins vous avez le mérite d'inviter tout le monde. Mais Radio 4, ce n'est pas le cas, il y a une liste noire. Il faut que les gens le savent. Il faut que les gens sachent ce qui se passe. Parce qu'après ça, quand ces gens-là exigent encore plus de subventions parce qu'il y a de l'information, c'est important. C'est pas de l'information. C'est de l'activisme. Ils pratiquent la censure. Ils s'enferment dans des bulles d'information. Puis au final, c'est les gens, c'est Monique puis Roger qui en payent le prix parce qu'ils n'ont pas accès à une véritable information. Ils se font laver le cerveau. [03:34:06] Speaker B: Sauf ça dégueulasse. Merci beaucoup Jean-François, t'es carrément dans le bill ce matin. Merci! [03:34:12] Speaker J: Bonne journée, bye. [03:34:12] Speaker B: Merci, bye. Restons dans le ton. Rénald Duberger va nous parler du gagagougou et de ce que Trump a critiqué justement aux Nations Unies la semaine passée. On revient. [03:34:31] Speaker A: X. [03:34:32] Speaker B: Couture dans le mid. Tous les jours, 10 millions! [03:34:36] Speaker C: Je savais que ça te faisait rire. [03:34:37] Speaker B: Hey, hey, hey, hey! Joël Lightborn, bravo là, mais ça fait longtemps que ça aurait dû allumer à Ottawa. Ben oui, il y a juste au gouvernement que tu peux perdre 10 millions par jour puis pomper ton monde comme des innocents à tous les années avec des impôts complètement débiles. T'essayes d'expliquer ça dans un cours d'économie 101, puis ils te regardent avec des grands yeux. Ben voyons donc, personne ne fait ça. [03:34:54] Speaker I: Ben oui, 10 millions par jour. [03:34:55] Speaker B: Les gouvernements font ça. Couture. [03:34:59] Speaker A: Présenté par Céramique L'Entrepôt. En ce moment, profitez de gros rabais comme du vinyle clic à 1,79$ le pied carré et du plancher flottant à 99 sous le pied carré. Céramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand. Chez Club Piscine, on sait qu'une fois l'été terminé, c'est pas facile de continuer de s'entraîner. Je confirme. Alors, pour t'aider à donner ton 110 %, on te donne jusqu'à 30 % de rabais sur une grande sélection d'appareils d'entraînement pour la maison. Tapis roulant, cardio vélo, elliptique, rameur, à partir de seulement 549 $. Parce qu'il y a déjà mille excuses pour pas s'entraîner. Le prix devrait pas en être une. Chez Club Piscine Québec, Sainte-Foy et Lévié. [03:35:43] Speaker B: Ouh! [03:35:44] Speaker A: Donnez-moi de l'eau, quelqu'un. [03:35:47] Speaker B: André vient de vendre facilement et en moins de 48 heures son bloc à airfortin.com. Et la vente s'est conclue sans conditions ni garanties légales. Devant notaire. [03:35:56] Speaker C: Oui, oui, devant notaire. [03:35:57] Speaker B: Sans aucune complication. [03:35:59] Speaker C: Et sans commission ni rénovation. [03:36:02] Speaker B: Vite de même. [03:36:03] Speaker C: Vite de même. [03:36:04] Speaker B: Pour votre bloc, maison ou terrain, demandez votre offre d'achat en ligne sur airfortin.com. Et vous allez vendre vous aussi vite de même. [03:36:12] Speaker A: Lui qui va l'acheter ton bloc. Airfortin.com. [03:36:15] Speaker B: Yes! La viande Pépé Allée, c'est bien plus qu'une boucherie. C'est une équipe de passionnés qui vous conseille et vous offre viande, volaille, poisson et fruits de mer de la meilleure qualité au meilleur prix depuis 50 ans. La viande Pépé Allée, une histoire de succès. ViandeAllée.com Voici une offre incroyable de Beauport Mazda. Mazda CX-30 2025, 93 $ par semaine, en location 48 mois, avec 1685 $ comptant, Bonnie Mazda inclus, Beauport Mazda, rue Clémenceau, 667-3131. Voici une offre incroyable de Beauport Mazda. Mazda CX-30 2025, 93 $ par semaine, en location 48 mois, avec 1685 $ comptant, Bonnie Mazda inclus, Beauport Mazda, rue Clémenceau, 667-3131. [03:37:01] Speaker D: Vous portez des verres de contact et vous êtes tanné de payer trop cher? J'ai la solution pour vous. Maranda.ca. Des grandes marques telles que Oasis, Acuvue, Dailies au meilleur prix, c'est garanti. Jusqu'à 50% moins cher. Livraison sans frais. Pour vos verres de contact au meilleur prix, Maranda.ca. [03:37:19] Speaker A: En réservant votre croisière avec CAA Québec, vous profitez d'une foule d'avantages, que vous soyez membre ou non. Pour un temps limité, vous obtenez jusqu'à 3 000 $ de rebais par cabine en voyageant avec Royal Caribbean ou Celebrity Cruises. Et on vous donne en prime jusqu'à 200 $ américains en crédit pour vous gâter à bord du navire. Ça donne envie de prendre le large, mais faites vite. Cette offre exclusive se termine le 19 octobre. Pour voir les départs sélectionnés et connaître les conditions, visitez le caaquebec.com baroplique promo croisière au singulier. On le sait qu'avoir des problèmes de crédit, c'est pas l'idéal quand t'as besoin d'un financement auto. Mais savais-tu que chez Groupe Sayonto Crédit, les problèmes de crédit, c'est notre spécialité? 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Ou appelez-nous maintenant au 88-655-3686 partout au Québec. Cette semaine, écoute Morelive. et tu pourrais gagner un forfait en. [03:38:55] Speaker C: Occupation quadruple d'une valeur de 2400 $. [03:38:58] Speaker B: Pour... la première édition du Tailgate légendaire du PP Tour! Une présentation de G-Stock. [03:39:07] Speaker C: Tu veux partir à New York voir les Packers de Green Bay affronter les Giants? PP, allez! Choix Radio Extrême, Sportif et Linox t'envoient vivre le PP Tour 2025, un voyage. [03:39:19] Speaker B: De 4 jours pour 4 personnes, présenté par G-Stock. [03:39:23] Speaker C: Le trip sportif sera du 14 au 17 novembre. Participe au concours ou achète un forfait au radioix.com. [03:39:30] Speaker B: Radioix. Moray. [03:39:32] Speaker D: Live. [03:39:34] Speaker B: Très, très, très, très bon. Live. C'est pas une blague. [03:39:37] Speaker A: Avec Dominique Moray. [03:39:39] Speaker J: Les meilleurs au monde. [03:39:41] Speaker A: Radio. [03:39:53] Speaker B: Pourquoi tu pleures? Pourquoi tu pleures? [03:39:59] Speaker C: Elle pleure, elle pleure, elle pleure, ma planète. [03:40:03] Speaker B: Avec Rénald Duberger. Comment ça va, Rénald? [03:40:06] Speaker F: Ça va très bien. [03:40:08] Speaker B: Donald Trump avait bien raison de s'attaquer au gagagougou devant l'ONU, les belles officines vertes, et qu'on en a parlé, et que ça a pleuré dans les choumières radio-canadiennes. [03:40:22] Speaker F: Les Québécois diraient qu'il est baveux. Et moi, c'est une des qualités, un trait de caractère de Donald Trump que j'admire. Il est franc, il est honnête, il est capable de dire, entre ses quatre yeux, la vérité avec franchise. D'abord, ça a mal commencé, hein? la panne de l'escalator. Ensuite, ça a été le téléprompteur qui a été... Je pense que ces deux choses-là ont été sabotées. Autrement dit, son chemin vers la tribune puis son moyen de communication ont été sabotés. Et ça, c'est typique de la gauche qui veut faire taire des gens qui. [03:41:02] Speaker B: Ont un discours qui... qui les cantonise. C'est ça. Oui, c'était intentionnel. Il est arrivé en bas de l'escalier, l'escalier arrête. On le voit, le vidéo. [03:41:08] Speaker F: Oui, c'était clair. Il a été audacieux, baveux, dans le sens qu'il a... l'ONU dans son propre édifice. Ça, c'est comme quand tu vas chez ton voisin. Normalement, tu devrais garder un profil de bras puis pas le critiquer. Mais il a dit... Je sais pas si ça a été relevé par beaucoup de médias, mais il a relevé le fait qu'il y a plusieurs années, lui-même, son entreprise a soumissionné pour la rénovation de l'édifice des Nations unies. Puis elle avait soumissionné pour 500 millions avec garantie de non-dépassement. Ça, c'est rare. Puis il avait promis à l'ONU des parquets en marbre et des murs en boiserie. Et ce que l'ONU a obtenu pour 2 à 4 milliards, c'est à peu près 7 à 8 fois sa soumission, ils n'ont même pas obtenu des planchers en marbre, ils ont eu des planchers en terrazzo puis des cloisons en plastique. Et ça, c'est très... je trouve ça très... Il y a eu une enquête suite à ces dépassements de coûts-là, dans lesquels Donald Trump a été appelé à témoigner. Ensuite, il a fait son bilan. Et ça, c'est une chose importante parce que les Trump haters sont incapables de... de critiquer le bilan de Donald Trump. Ils savent qu'il est formidable. En huit mois, il a vaincu l'inflation, les Américains ont bénéficié des baisses de prix dans leurs factures d'épicerie, en énergie, le prix de l'essence a baissé, les taux hypothécaires ont baissé. Les seules choses qui ont augmenté, c'est les salaires des travailleurs, les indices boursiers qui ont augmenté jusqu'à atteindre des valeurs records. et les États-Unis sont devenus aussi énergiquement indépendants. Puis du point de vue des investissements, il y a fait des comparaisons intéressantes. Sous Biden, sous le règne complet de Biden, un trillion de dollars d'investissement. Un trillion, c'est 1000 milliards. En huit mois seulement, sous Donald Trump, 17 trillions d'investissements ou d'engagements d'investissement. C'est en grande partie dû à la politique des tarifs de Donald Trump. Autrement dit, il a dit aux pays étrangers, vous voulez éviter des tarifs? Venez fabriquer vos choses chez nous, puis on va vous baisser les taxes puis des règlements environnementaux trop tâtions. Ensuite, il a fait... Il a réalisé... Il a dit que les guerres qu'il a contribuées à terminer, sans que l'ONU intervienne, sont quand même importantes. Il a fait, autrement dit, le boulot que l'ONU aurait dû faire. Puis ça, il a dit ça dans l'édifice même de l'ONU. C'est une autre audace de sa part. [03:44:04] Speaker B: Et le fait d'attaquer l'arnaque, ce qu'il qualifie d'arnaque climatique, ça a vraiment... ça a ébranlé les pleurs du char. [03:44:12] Speaker F: En fait, les deux points importants de son discours, à mon avis, c'est... il a relevé les deux dossiers les plus importants à l'heure actuelle pour la planète. L'immigration massive. [03:44:27] Speaker B: Puis là-dessus... -"You're gonna lose your country", c'est ça qu'il a dit. [03:44:30] Speaker F: Exactement. Puis il a repris presque intégralement le discours de J.D. Vance à Munich. Et puis il a dit que les pays européens en particulier étaient menacés. [03:44:40] Speaker B: Il a raison! [03:44:41] Speaker F: Il a raison! Mais le deuxième volet sur lequel il a insisté, et c'est celui qui a fait le plus de polémiques dans les médias, c'est l'environnement, le changement climatique. Il a critiqué les énergies vertes, il a critiqué le virage vert, les panneaux solaires, les éoliennes. En fait, pour le climat, Il a dit carrément que l'empreinte carbone, c'est un canular inventé par des gens mal intentionnés. [03:45:14] Speaker B: A-t-il raison? [03:45:15] Speaker F: Absolument. Puis le changement climatique, il l'a qualifié de la plus grande arnaque que le monde ait jamais connue. Donc, dans les médias, ce que nous autres, on a lu, qu'on a vu, c'est... Je pense, TVA a dit, Trump s'attaque à la science du climat. Trump ne s'attaque pas à la science, il s'attaque à l'idéologie climatiste. [03:45:37] Speaker B: L'hystérie. [03:45:38] Speaker H: L'hystérie. [03:45:39] Speaker F: On a dévié la science vers l'idéologie. Puis Radio-Canada avait titré les propos de Donald Trump contre le climat, décortiqués. Décortiqués par qui? Par leur décrypteur de Radio-Canada. Il est contre les mensonges, les arnaques et puis les canulars à propos du climat. En fait, Donald Trump a donné un sacré coup de pied dans la fourmilière climatique et à ce niveau-là, il est très bien entouré. Il l'a nommé à l'EPA, l'Environmental Protection Agency, des gens comme Stephen Koonin, John Christie et Roy Spencer. [03:46:24] Speaker B: Que tu connais. [03:46:25] Speaker F: Exactement. Stephen Koonin, c'est la référence en modélisation climatique. Il a déjà été conseiller de Barack Obama en sciences. Il a été notre conférencier invité à l'Association des climato-réalistes à Paris. [03:46:39] Speaker B: Il a écrit un livre extraordinaire. [03:46:40] Speaker F: John Christie aussi a été notre conférencier invité à l'Association des climato-réalistes et c'est lui qui a mis au point, avec Rice Spencer, la mesure des températures par satellite. Et j'ai eu le bonheur de dîner avec John Christie à Paris puis d'échanger avec lui il y a quelques années. [03:46:59] Speaker B: Moi, je crois plus les ukamiennes. Les ukamiennes sont meilleures, sont sur le plateau, ça va bien, prennent le transport en commun, le petit doigt en l'air. Moi, je les crois plus, eux autres. [03:47:10] Speaker F: Enfin, moi, je pense que le fait que la plus grande nation au monde, la nation américaine, l'Ontario a donné un gros coup de pied dans la fourmilière climatiste, je pense que ça va entraîner des conséquences pour bien des pays. [03:47:29] Speaker B: Leur. [03:47:29] Speaker F: Philosophie en matière de climat. Parce que cette arnaque, c'est vraiment une arnaque, a coûté à l'heure actuelle des centaines de milliards de dollars à beaucoup de pays. [03:47:39] Speaker B: Et j'espère que... [03:47:46] Speaker F: Et. [03:47:51] Speaker B: Peut-Être terminer avec la nouvelle cible de véhicules verts de 2035, ils ont abaissé ça à 90 %, c'est encore trop au Québec. Ah non, ce ne sera pas 100 %, c'est 90, c'est ben trop. 2035, c'est trop rapproché, ça ne marche pas. [03:48:07] Speaker F: On fera un dossier là-dessus, si tu veux bien, sur les véhicules électriques. Puis il y a une autre chronique, moi, que j'aimerais faire avec toi. C'est sur le fameux consensus sur le changement climatique. Il n'y a pas de consensus. On va démolir ça, puis on va voir d'où ça vient, cette idée-là. D'où vient le fameux 97 %? [03:48:28] Speaker B: On fait ça dans deux semaines. [03:48:30] Speaker F: D'accord. [03:48:30] Speaker B: Bien, merci beaucoup, Rénal. Au plaisir. Ciao. Salut, bye. Rénal Duberger, mesdames, messieurs. 9 h 49. C'est une journée extraordinaire, Dan. À cet désert, il n'y a personne dans les corridors de Radio-X. Tout le monde est en congé. C'est le congé autochtone. [03:48:46] Speaker C: Voilà, congé autochtone. [03:48:49] Speaker B: C'est nous autres qui sommes les combattants. [03:48:51] Speaker C: Donc très long tailgate pour Ben Dubon avant de se présenter au Centre Vidéotron ce soir. Oui. Tu sais que le Canadien débarque avec toute la tiroille. Les Jeux de corridor, Youppi! La grosse patente. [03:49:04] Speaker B: C'est le fun. Tu y vas-tu? [03:49:06] Speaker C: Oui, je devrais aller faire un tour. Ça devrait être... On devrait être quelque part sur la galerie de presse. [03:49:13] Speaker B: Vas-tu signer les autographes? [03:49:15] Speaker C: Non, je laisse ça à Jordan. [03:49:18] Speaker B: Jordan qui sera là, tu as bien raison. Qui est l'annonceur maison. C'est parfait ça. Regardez, on va à la pause et on revient. Et on débute l'émission au retour. [03:49:29] Speaker A: Téléphone. Texto. 418-670-9098. [03:49:33] Speaker B: Moray Live. [03:49:35] Speaker A: Radio X. Moray Live, présenté par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. Confort en hiver, fraîcheur en été. Et des économies toute l'année. Multiconfort FP, à Québec et Victoriaville. [03:49:51] Speaker B: Avant, chaque saison, c'était la même histoire. Pour mon gars au hockey, je devais vendre des bebelles au bureau. Pour ma fille en cheer, des billets, des gugus. J'étais brûlé. Mais avec Patisserie Michaud, c'est plus pareil. Le porte-à-porte a pris le virage techno. Chacun a sa boutique en ligne, son tableau de bord, son code QR. C'est mes enfants qui gèrent leurs ventes, pis c'est pas moi. Moi, je respire, pis eux, ils apprennent à se débrouiller en vendant des gâteaux décadents. Demandez à l'école ou au club de vos enfants de s'inscrire dès aujourd'hui sur patisseriemichaud.com. Les campagnes de financement qui forment les leaders de demain. Tanné de vous raser? Débarrassez-vous enfin de vos poils de la nuque. Du coup, et définissez votre ligne de barbe avec l'épilation au laser Triton. La technologie la plus efficace du marché pour tous les types de poils et couleurs de peau. Planifiez votre consultation sans frais. Un chasseur sachant chasser... Un chasseur sachant chasser sait s'équiper. Dans le fond du bois, faut que ça marche. Avec Honda, t'en auras pas de problème. Pour ta génératrice ou ton 4 roues, c'est chez Adrenaline Sport que ça se passe. Ici Stéphane Slogar, propriétaire et fondateur de Slogar Jury-Conseil. Depuis 20 ans, l'équipe Slogar a récupéré plus de 71 millions de dollars à plus de 3 500 clients en indemnisation. [03:51:03] Speaker C: CUNSST, SAAQ et Assurance Invalidité. Un accident de la route, ça bouleverse une vie. Avec nous, vous serez bien informés, bien accompagnés et surtout bien représentés. On protège vos intérêts pour obtenir les meilleures indemnités et vous permettre de bien traverser cette épreuve. [03:51:20] Speaker B: Slogart.Ca, première rencontre sans frais. À Québec, des entreprises qui vendent et qui installent des thermopompes, c'est pas ce qui manque. Mais si on enlève les entreprises qui ne détiennent pas une licence de la régie du bâtiment, si on exclut celles. [03:51:32] Speaker E: Qui ne sont pas recommandées CA, si. [03:51:34] Speaker B: On retire de la liste les entreprises qui ne vendent pas les thermopompes Dykin, considérées comme les meilleures thermopompes au monde, Si on garde juste celles qui ont au moins 4.7 étoiles sur Google et qui sont en affaire depuis plus de 35 ans, ben là, y'en reste y'en qu'une. En toute confiance, expert.ca. Quand la nature devient ton terrain de jeu ou ton champ de bataille, il. [03:51:57] Speaker C: Te faut bien plus qu'un simple équipement. Il te faut SMPR Tactique Plein air. [03:52:02] Speaker B: Nous équipons ceux qui vont plus loin. [03:52:04] Speaker C: Plein air, chasse, airsoft. [03:52:06] Speaker B: Tactique ou équipement professionnel. [03:52:08] Speaker C: Pour tout ça, il y a SMPR Tactique plein air. Ton magasin, ton terrain de jeu, au. [03:52:12] Speaker B: 25 Marie de l'Incarnation à Québec ou au www.smprtactical.com. SMPR Tactical.com. [03:52:19] Speaker D: Bon, qu'est-ce qu'on mange? [03:52:21] Speaker B: Une pizza! Ingrédients frais, pâtes et sauces maison. Ludo, la pizza congelée au vrai goût de resto. En ce moment, c'est 2,9 pouces pour 12 $. Dispo chez les marchands participants. Et un prix très, très, très spécial au IGA Amel. Ludo. Décongeler. Cuire. Servir. [03:52:37] Speaker C: C'est une succulente journée aujourd'hui. Bon mardi sur les ondes de Radio X. Il y a Pierre Couture qui s'installe, Jean-Claude par la suite, puis vous connaissez le tralala. On se voit ce soir du côté du Centre Vidéotron, puis surtout, manquez pas ça, à 19h ce soir, il y a Claude, Judith, puis Hélène qui rencontrent à Walter leur soirée passée avec des joueurs du Canadien. Semble-t-il que c'est Bien, bien, bien intéressant. Manquez pas ça. Chop Suey, ce soir, 19h. Bye, bye. À demain. [03:53:17] Speaker A: Moray Live. [03:53:20] Speaker D: This is the end of the show. [03:53:22] Speaker A: J'en ai ma claque la merde. [03:53:23] Speaker D: Have a great day and remember, swim safe. [03:53:27] Speaker B: Moray Live. [03:53:29] Speaker A: Réécoute les meilleurs moments. [03:53:32] Speaker B: Stop it! Radioix.com. [03:53:33] Speaker A: L'application Radioix. [03:53:36] Speaker B: Radio. [03:53:37] Speaker A: Morelive, présentée par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. Confort en hiver, fraîcheur en été. Et des économies toute l'année. Multiconfort FP, à Québec et Victoriaville. [03:53:54] Speaker B: Les manchettes sportives, présentées par BPM Sports. [03:53:59] Speaker C: La radio des sports au Québec. [03:54:00] Speaker D: Hey, c'est Jordan. Dans la Ligue nationale de hockey, place au dernier match préparatoire des sénateurs dans la Capitale-Nationale. Ils affrontent nul autre que les Canadiens de Montréal ce soir. On aura affaire à deux beaux clubs de chaque côté, des alignements quasi de départ en vue de la saison 25-26. Pour les Sens, attendez-vous à voir des gars habillés comme Tim Stoosley, Thomas Chabot, Brady Kachok et même Dylan Cousins. Pour ce qui est de Montréal, Zach Bolduc fera un retour à Québec dans l'uniforme tricolore. Lui qui a eu un énorme succès avec les remparts. Mike Matheson sera là, Cole Caulfield et j'en passe. Pas besoin de vous dire que le centre Vidéotron est plein à craquer pour le match. Et vous aurez le meilleur animateur de foule au pays. Notre autre chum Pee Wee sera du match. Manquez pas ça dès 19h. Dans le baseball majeur, c'est le début des Wild Cards. Pendant que les Blue Jays sont en break, on a un 2-3 qui débute ce soir à 18h08. Les Red Sox seront Yankee Stadium pour affronter les Bombardiers du Bronze. Je vous rappelle que la série est un format 2-3 et que le gagnant affrontera Toronto. L'excellent Garret Crochet sera au Monticule pour Boston et on aura Max Fried pour New York. Tous les autres Wild Cards débutent également aujourd'hui. [03:55:10] Speaker B: Pour plus de sport, ici BPM Sport. Vous êtes propriétaire d'une entreprise et avez à coeur de bien la protéger? Promutuelle Assurance est là pour ça. Faites comme plus de 60 000 entreprises au Québec. Profitez d'un allié de confiance là pour ça. Promutuelle assurance et la-la-la-la-la-la-la! Des articles coquins pour pimenter votre quotidien. [03:55:51] Speaker A: Magasinez au sensationsplus.com et découvrez tous nos produits dédiés à la sensualité à deux. Livraison rapide et discrète. [03:55:58] Speaker C: Sensationsplus.Com Gagnez deux billets pour le match d'ouverture au Centre Bell le 14 octobre avec 2000 $ cash grâce à Numbers Game. Participez gratuitement à concourspng.com concourspng.com. [03:56:13] Speaker A: Chez Dormez-vous, chaque dormeur peut combler ses besoins uniques. Bonne nouvelle parce que mon nouveau match est un abominable homme des nages voleur de couvertes. C'est un peu dans son profil d'application de rencontre, ça. Heureusement, on va trouver tout ce dont on a besoin chez Dormez-vous et je vais recommencer à sentir mes orteils. Pendant l'événement Méli-Mélo, trouvez des essentiels du sommeil qui répondent à tous vos besoins uniques. Pour un temps limité, obtenez jusqu'à 2079 $ de rabais sur les bases ajustables. Seulement chez Dormez-vous, des conditions s'appliquent. [03:56:43] Speaker C: Salut, c'est Carbeau. C'est le moment de faire traiter ta voiture à l'Antiroi Crown. Une entreprise bien de chez nous et pour un temps limité. Tu épargnes 10 $ sur ton traitement à l'Antiroi canadien numéro 1 au pays. Rendez-vous rapide. Trouve le centre le plus près au crown.com. [03:56:57] Speaker B: Plongez dans l'horreur au Manoir hanté du Moulin à Saint-Jules-en-Bosse. Un parcours effrayant de 40 minutes avec 40 personnages tout droit sortis de vos pires cauchemars. Sauriez-vous affronter la terreur? Réservez au lemanoirantetumoulin.com. [03:57:15] Speaker A: Profitez dès maintenant du plus gros surplus d'inventaire de Tanguay l'Entrepôt où les rabais vont jusqu'à 70 %, comme ce démonstrateur d'une valeur de 900 $ qui est maintenant offert à... Combien? [03:57:26] Speaker B: 800, mettons? [03:57:27] Speaker A: Moins que ça. [03:57:27] Speaker C: 750 $? [03:57:28] Speaker B: Moins que ça. 700. [03:57:30] Speaker C: 650. [03:57:31] Speaker A: Qui dit moins? [03:57:32] Speaker C: Ben là, 500. [03:57:33] Speaker A: Exactement. [03:57:34] Speaker B: J'achète. [03:57:34] Speaker A: Brandy! Tanguay l'Entrepôt. Gros surplus d'inventaire, gros rabais, ça vaut le coup. Certaines conditions s'appliquent. [03:57:45] Speaker B: Chez Soucis Industriel, on embauche. Soudeur, mécanicien, industriel, c'est le moment de vivre l'expérience chantier. Des projets plus grande nature t'attendent aux quatre coins du Québec. Minier, naval et toute industrie lourde où ton savoir-faire fera la différence. 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Une présentation du Charbon Steakhouse. Avant le match, passez chercher vos côtes levées, burgers, steaks ou plats cuisinés. Le charbon pour apporter, c'est une bonne idée. [03:59:11] Speaker B: Choua. [03:59:12] Speaker A: Choua. [03:59:16] Speaker B: C'est la fameuse, l'originale, Choua. [03:59:18] Speaker A: Choua. [03:59:19] Speaker B: Choua. Radio X, à Québec. [03:59:21] Speaker A: Québec. [03:59:22] Speaker B: C'est Radio X. Choua. Choua. [03:59:24] Speaker A: Radio X. [03:59:26] Speaker B: C'est vous. [03:59:27] Speaker A: C'est drôle. [03:59:27] Speaker B: Votre propre opinion. [03:59:29] Speaker A: Couture dans le mid, présentée par Céramique L'Entrepôt. En ce moment, profitez de gros rabais comme du vinyle clique à 1,79$ le pied carré et du plancher flottant à 99 sous le pied carré. Céramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand. Avec Pierre Couture. [03:59:52] Speaker C: Pierre, c'est un gars qui travaille 7 jours sur 7.