SNAKE: Celebrini, c'est LA PROCHAINE SUPERSTAR!!!

September 29, 2025 00:13:55
SNAKE: Celebrini, c'est LA PROCHAINE SUPERSTAR!!!
Maurais Live
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Sep 29 2025 | 00:13:55

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[00:00:00] Speaker A: Salut Snake, comment ça va? [00:00:02] Speaker B: Ça va bien, merci, et toi? [00:00:03] Speaker A: Le serpent? [00:00:04] Speaker B: Ben oui. [00:00:06] Speaker A: Parle-moi de ton podcast finalement, parce que j'ai entendu Louis Morissette parler des podcasts de sport en général, et on est tous contents d'apprendre qu'il y a de la diversité, il y a du contenu, c'est ça qu'on veut. Parle-nous de ton podcast avec Brunet. T'es content? [00:00:23] Speaker B: Oui, je suis très content. Ça s'appelle Mathias et le serpent, et puis sur la plateforme de Cahotsport, Et puis, on est très content. On a deux épisodes de fait. On en enregistre un autre aujourd'hui. Le premier épisode, toute la plateforme qu'on fondue a franchi la barre des 100 000 auditeurs. Wow! Et il semblerait que dans le monde des podcasts au Québec, c'est quand même un chiffre qui est très élevé. [00:00:46] Speaker A: Très bon. [00:00:47] Speaker B: Alors, on est bien content. [00:00:48] Speaker A: C'est le vidéo qui tire, hein? Snake, c'est le vidéo. [00:00:51] Speaker B: Oui, c'est ça maintenant. C'est drôle parce que moi, j'avais commencé un podcast avec Mathias en 2013. On a fait quelques épisodes et moi je les avais mis sur YouTube, mais audio seulement. Puis il y a des auditeurs qui me disaient « Ah, YouTube, c'est pas fait pour les podcasts ». Et c'est drôle parce qu'aujourd'hui, maintenant qu'on peut voir les gens, les studios ont des décors de plus en plus sophistiqués. Puis c'est quasiment comme la télé, là. [00:01:19] Speaker A: Oui, j'ai demandé des caméras ici, là. Ça a l'air d'être bien, bien compliqué, là. On a des caméras qui sont pas branchées, là. Ils parlent de ça peut-être un jour, là. J'ai demandé ça, là. Ce serait peut-être bon, Montréal Live, le show, puis l'écouter à Québec. J'ai demandé à ce qu'il soit filmé, peut-être d'ici 2035. [00:01:36] Speaker B: Oui, parce qu'il y a beaucoup de postes de radio maintenant qui font ça. Puis nous autres, regarde, on a quatre caméras dans le studio. Ça fait que je pense que c'est vers ça qu'on s'en va. Notre auditoire, je peux te dire, est très jeune parce que je croise beaucoup de gens dans toutes sortes de commerces ou dans n'importe où. Et puis, les gens qui m'arrêtent, je dois dire, c'est pratiquement tous des moins de 40 ans. [00:01:59] Speaker A: Ça, c'est une très bonne nouvelle. [00:02:01] Speaker B: Oui, oui, oui. Ça, c'est sûr parce qu'on sait tous qu'en général... Faut que tu renouvelles l'auditoire. [00:02:07] Speaker A: Faut que tu renouvelles l'auditoire. Les TVA, c'est fini. Game over. [00:02:11] Speaker B: Les business, en général, dont la clientèle a une moyenne d'âge de 60 ans, à part évidemment si tu parles des RPA puis de trucs comme ça, des trucs vraiment destinés aux personnes âgées, en général, c'est pas bon signe pour l'avenir quand t'as moyenne d'âge. C'est ça. [00:02:27] Speaker A: Très content de te parler. Justement, tu vas parler de quoi dans ton podcast? Vous allez allumer sur quoi avec ton chum brunel? [00:02:35] Speaker B: Aujourd'hui, ce qu'on va faire, on va discuter de l'importance des camps d'entraînement et surtout des matchs pré-saison, pas des camps d'entraînement mais des matchs pré-saison. [00:02:45] Speaker A: On plonge là-dedans. On plonge là-dedans. Mon opinion, il y en a trop. Et hier, on l'a vu d'ailleurs au centre Vidéotron avec un match absolument soporifique où ça a été un split-squad. Split-squad, je pense que les Devils y jouaient contre les Highlanders au même moment. Donc on s'est ramassés avec quasiment de la viande à varier. Des joueurs dont on n'avait jamais entendu parler. Des joueurs dont certains, peut-être, étaient même recherchés par leur propre famille. Je veux dire, à un moment donné, ça devient insultant, pareil, Snake, pour vrai. Je pense qu'il y en a trop et ça vient avec un risque de blessure et résultat, on parlera de Ryan Baker dans quelques minutes. [00:03:20] Speaker B: Regarde la NFL qui a réduit ça en trois matchs. C'est parfait. Parce que c'est devenu une farce, dans le sens que, tu sais, il y a eu une époque où les camps d'entraînement, moi, quand j'étais plus jeune, toi, j'ai 59, presque 60. À l'époque où j'étais plus jeune, les gars utilisaient le camp d'entraînement pour se remettre en forme. [00:03:39] Speaker A: Ben oui, les gars prenaient de la bière pis ils jouaient avec les chevaliers au kif. Contre les chevaliers au kif. [00:03:44] Speaker B: Oui, il y en a qui avaient une autre job. Il y en a qui avaient une autre job. [00:03:47] Speaker A: Ben oui, fait que là, ils utilisaient ça pour s'entraîner, sauf que les kids s'entraînent cinq fois semaine en juillet. [00:03:56] Speaker B: Moi là, pis tu sais, la bataille pour les postes de quatrième trio pis de... Regarde là, avec les contrats garantis, le plafond salarial, Les alignements sont pratiquement faits. Oui, on décide des fois du 13e, 14e attaquant, 7e défenseur avec leur camp d'entraînement. Mais, who cares là, dans le fond? Mettons là, tu gardes un joueur X, puis tu cèdes à la filiale un joueur Y. OK, il commence l'année joueur X. Au bout de trois semaines, tu changes d'idée. Tu rappelles le joueur Y, puis tu envoies le joueur X dans les mineurs. Tu n'as pas besoin d'un camp d'entraînement. Les alignements ne sont pas coulés dans le béton. Tu sais, l'alignement que le Canadien va présenter la semaine prochaine à Toronto, Ça sera pas un alignement coulé dans le béton, il pourrait changer deux semaines plus tard. Fait que c'est pour ça que moi, ce que je ferais là, je ferais deux matchs pré-saison, mais deux vrais, dans le sens que les alignements complets, pour au moins que les gars aient un peu le beat de jouer. Mais regarde, dans la NFL, il y a des clubs depuis quelques années, les Rams de Los Angeles, l'ambassade, ils font même pas jouer les réguliers du tout. Tu sais, avant les matchs de pré-saison, les réguliers jouaient peut-être un quart ou des fois une demi. Là maintenant, il y a souvent des matchs complets où il n'y a pas de réguliers. Tu regardes les statistiques à la fin, c'est tous des agents libres non repêchés, des choix de septème ronde. C'est ça les alignements de la NFL. Alors pourquoi le hockey, c'est encore l'idée de jouer des... Là, c'est 6 matchs au moins, mais il y a déjà eu 8-10 matchs. [00:05:27] Speaker A: Là, on risque de te payer cher avec les Canadiens. Là, Dobson, on dit que c'est D-to-D, mais... Reinbacher, le monsieur en plaute, le monsieur en porcelaine... Ouais, ouais, ouais. Moi, je te l'ai dit, on aurait dû prendre Mishkov. [00:05:40] Speaker B: Je te l'avais dit. Je l'ai tout le temps dit. Je l'ai tout le temps dit. Mais oui! Je déteste pas le choix de Ranbacker, mais il en demeure pour moi que quand t'as un talent comme Mishkov, tu le prends. Je comprends. [00:05:51] Speaker A: C'est qui qui a fait la gaffe? On va en faire un procès. [00:05:54] Speaker B: Regarde, le Canadien en voulait pas parce que... La guerre. Non, il a pas une bonne attitude, supposément. Parce qu'ils ont pris des mid-offs l'année d'après. Le père de Bobrov travaille pour cette équipe-là. Nick Bobrov, qui est le recruteur-chef du Canadien. Alors eux avaient décidé que ça faisait pas partie de la culture de l'équipe. OK, correct. Mais il y en avait un pour moins que tu passes à côté d'un talent. Puis moi, mon opinion à l'époque, elle était... OK, peut-être que c'est vrai que le jeune, il est fatigué avec ses coéquipiers, il y avait toutes sortes d'histoires qui circulaient. Mais tu sais, quand t'arrives dans la ligne nationale, il arrive à Philadelphie, lui, penses-tu qu'un gars comme Charles Couturier, qui a quoi, presque 15 ans d'expérience, va se laisser impressionner par un petit gars de 18 ans. Je pense pas. Fait que, t'sais, Muskoff, là, je pense qu'à flé de vie, là, il rentre dans le rang. T'sais, c'est ça qu'il faut se fier à ça. Un gars de 17 ans, 18 ans, Souvent, ça en dit des niaiseries, puis ça en fait des niaiseries, puis j'en ai fait, puis tu sais, je veux dire, tout le monde en a fait à ce stage-là. Oui. Mais on dirait qu'on veut avoir déjà... [00:06:58] Speaker A: Un produit fini. [00:06:59] Speaker B: Oui, des pères de famille de quatre enfants de 35 ans. [00:07:03] Speaker A: Ah oui, c'est ça, t'as raison. [00:07:05] Speaker B: Ah oui. [00:07:05] Speaker A: Et Ryan Bakker, qu'est-ce qu'on a vu en lui? Qu'est-ce qu'on a vu en lui? Oui. Parce que... Il donne l'impression d'un Robinson qui est peureux. [00:07:14] Speaker B: Oui. Oui, c'est drôle comme comparaison, oui, c'est intéressant. Moi, je l'aimais bien, Ron Bakker. J'avais pas de problème avec le choix, je crois pas que c'était un mauvais choix. C'est un gars costaud qui transportait la rondelle, qui était pas nécessairement un killmaker, mais qui transportait la rondelle, qui était une présence imposante sur la glace, qui avait un bon physique. Puis sa saison de repêchage, j'avais trouvé qu'il démontrait quelque chose. Je pense que le Canadien a voulu lui éviter la controverse à cause de Mishkov et tout, et on l'a retourné dans son pays. Puis là, ça a mal été. Il y a eu des changements de coach. Peut-être que René Baker, cette année-là, il aurait été mieux à Laval. Puis qu'on fasse fi du fait qu'on fait les comparaisons avec Mishkov. Non, tu l'envoies à Laval, puis peut-être que ça aurait été mieux pour lui. Parce qu'il y a eu une saison assez tumultueuse en Europe. Et là, après ça, il arrive l'année passée, malchanceux, il se laisse pour la saison, presque. Fait que là, est-ce qu'on se dirige vers une situation où on va constamment dire, ah bien, il a été blessé, donnez-lui du temps, c'est un jeune défenseur. Il a été blessé, donnez-lui du temps, c'est un jeune défenseur. Il y a des analystes qui sont spécialistes de ça. Y'a ce qu'il y a de cadmium-y là, y'en a qui ont abandonné seulement l'année passée. Ok, alors que moi, moi au bout d'à peu près un an... Ouais, alors moi au bout d'un... ben moi c'était Cognou, c'est mon choix, mais Katchuk aussi aurait été un bon choix. Par contre, pour être honnête, Je me souviens qu'il y avait bien des analystes et des fans à Montréal et des commentateurs qui voulaient Philippe Zedina, des moussettes d'Halifax. C'est pour ça que l'affaire de Rennes-Baquer, pendant combien de temps on va entendre dire qu'il est blessé, il est blessé, il est blessé? Bon, il va falloir qu'un moment donné, il produise. Moi, la fin de la saison à Laval, je ne l'ai pas détesté. Je trouvais que c'était bien débrouillé. Mais là, c'est encore un autre mois qu'il perd dans son développement. Il a 21 ans, c'est un âge crucial pour le développement d'un joueur. [00:09:16] Speaker A: Certains vont dire, un défenseur, on peut attendre jusqu'à 22-23, peut-être. [00:09:20] Speaker B: Oui, oui, oui, c'est vrai. C'est vrai. Moi, là, ce que je vise pour lui, s'il peut devenir un top 4. [00:09:26] Speaker A: Oui, c'est ça. Moins de l'élan. [00:09:28] Speaker B: Et être capable de jouer 70-75 matchs par match. je pense que ça va être correct. Parce que si tu regardes en 2023, les défenseurs qui ont été choisis après lui, en premier rond, il n'y a personne qui a percé. Je sais que ce n'est pas une excuse de comparer, mettons, quelqu'un qui ne réussit pas avec quelqu'un qui ne réussit pas. Ce n'est pas une excuse. C'est comme le gars à l'école qui dit il y a eu 58. Mais les chums ont eu 51. Mais il faut quand même être... Moi, j'essaie d'être toujours le plus objectif possible. Puis je te dirais qu'en ce moment, il est vraiment trop tôt pour lancer la pierre. Mais pour moi, Michikov, tu ne passes pas à côté d'un gars comme Michikov, à moins que tu entendes dire quelque chose d'épouvantable à son sujet. Mais je ne pense pas qu'il y avait quelque chose d'épouvantable à son sujet. [00:10:15] Speaker A: Je le sais, je le sais. Dan, tu as en main la liste des joueurs de 23 ans et moins. les plus performants dans la Ligue nationale. On peut peut-être regarder ça. Puis je vais vérifier auprès de Snake s'il est d'accord avec la liste dans le top 5. Ce serait quoi, Dan? [00:10:29] Speaker C: Ben, le top 5, on dit que c'est Mishkov, Johnston, Hudson, Celebrini, Bédard. Moi, je mettrais Celebrini avant Bédard, mais... Ouais. [00:10:37] Speaker A: Le ranking, est-tu pas payé? [00:10:39] Speaker B: Qu'est-ce que c'est l'ordre? Peux-tu me relire l'ordre? Tu vas me le lire dans l'ordre? Regarde, il faudrait que je regarde vraiment ça pour te dire s'il y en aurait d'autres qui feraient une incursion dans la liste des victoires. [00:10:59] Speaker A: Ben, je te pose une question précise, Bédard, ça va-tu décoller un moment donné? [00:11:03] Speaker B: Bon, ben voilà, je m'en lais là-dessus. Moi, c'est Celebrini numéro un. Moi, je pense que Celebrini, d'ici quelques années, va devenir... Tu sais, quand Caller McDavid, le temps va le rattraper à un moment donné. Il est humain comme tout le monde. Je pense qu'à un moment donné, McClint Celebrini va devenir le meilleur joueur de la Ligue nationale. Ah oui? Oui. [00:11:19] Speaker A: Est-ce qu'il va être dans la même phrase que McDavid? [00:11:21] Speaker B: Non, non, ben non. Mais il n'y a personne qui est dans ma classe. [00:11:23] Speaker A: Mais dans la classe de McKinnon? [00:11:27] Speaker B: Ouais, ouais, certainement. Bon, est-ce qu'il va faire autant de points? Je ne sais pas combien de points ce gars-là va faire. Ça, j'ai toujours été intrigué là-dessus, puis c'est pour ça que je suis pas un bon bouleur, là. J'ai toujours été intrigué, mais au point de vue utilité, au point de vue jeu complet, marquer les buts importants, être là en série, moi je vois Macklin-Celebrini comme un... Il faut qu'il aille se chercher des euros. [00:11:54] Speaker C: Il va manger de la sauce tomate basilic cet hiver, lui. Il va aller en Italie, en gros, c'est ça que je veux dire. [00:12:00] Speaker A: C'est pas sûr qu'il va y aller, moi. [00:12:01] Speaker B: Pour répondre à ta question sur Bédard, regarde, Bédard, il a deux saisons d'ouïe. Il approche de sa saison de 20 ans. Donc, pour le commun des mortels, Bédard, normalement, devrait commencer sa carrière dans la Ligue américaine. OK? Ça, c'est pour le commun des mortels. Il n'y a pas grand monde qui joue à 18 et 19 ans. Le problème avec Bédard, je te dirais, c'est qu'évidemment, il est extrêmement mal entouré. Chicago, volontairement, s'est monté une équipe de derrière pendant quelques années pour pouvoir repêcher haut. Correct. À un moment donné, il va falloir, par contre, qu'on fasse les gestes pour. [00:12:35] Speaker A: Le... – Ils font jouer avec des bandes fontaines. [00:12:37] Speaker B: – Oui, c'est ça. Bon. Cependant, Bonfontaine ou pas, ok? Maxence Elbrini en est passé, il n'est pas joué avec des grands joueurs non plus. Bonfontaine ou pas, Connor Bedard, je pense que c'est un gars, puis je l'avais dit à l'époque, puis je m'étais fait rentrer dedans, je pense que c'est un gars qui a été vu comme générationnel, alors que ce n'était pas un générationnel, c'était un excellent joueur. Et c'est surtout un excellent marqueur. Il y a un arsenal de tirs qui, d'après moi, est dans le top 5 de la ligne nationale déjà. Mais ce n'est pas le gars le plus rapide, considérant sa grandeur. [00:13:13] Speaker A: Il a des bonnes mains, comme disait Joe Canale. [00:13:15] Speaker B: Il a des bonnes mains. Il n'a pas un physique très imposant pour un joueur de centre. Est-ce qu'on va le laisser au centre toute sa carrière, je ne le sais pas. Moi, je pense qu'il va faire rapport à... [00:13:27] Speaker A: Mais Sidney Crosby n'était pas très imposant comme joueur de centre quand il est devenu capitaine à 18 ans. [00:13:30] Speaker B: Oui, mais Sidney Crosby, à l'époque de Rimouski, il avait des jambes et des cuisses comme des troncs d'arbre. [00:13:35] Speaker A: C'est vrai. On est obligé de te laisser, mon cher Sidney. Ceci n'est pas un podcast. Malheureusement. On est en mode podcast et on voudrait se parler jusqu'à midi. Mais ce n'est pas le cas. On se reparle assurément. Bon succès avec ton podcast et on se reparle. Merci beaucoup. [00:13:52] Speaker B: Merci beaucoup, Dom. [00:13:52] Speaker A: Sidney Boisvert.

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