Arrêtons de pénaliser LES EMPLOYEURS ET EMPLOYÉS QUI ONT LE GYM PAYÉ!

September 17, 2024 00:16:07
Arrêtons de pénaliser LES EMPLOYEURS ET EMPLOYÉS QUI ONT LE GYM PAYÉ!
Maurais Live
Arrêtons de pénaliser LES EMPLOYEURS ET EMPLOYÉS QUI ONT LE GYM PAYÉ!

Sep 17 2024 | 00:16:07

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[00:00:01] Speaker A: Le Grand Journal. Présenté par Dominique Moret. This is Moret Live. [00:00:09] Speaker B: Real talk, talk real. [00:00:11] Speaker C: Avec Dominique Moret. [00:00:13] Speaker A: Le Grand Journal. Je vais y aller clean, je ferai pas d'André Arthur. Je pose la question net Fred Sec. Faut-il rembourser l'Olympique pour la perte de poids? C'est ça la question. C'est super intéressant comme débat. Et je dois lever mon chapeau à la Dr Morin, qui va peut-être se reconnaître et qui nous écoute, de l'hôpital Laval. Très, très bonne hier. Très dosée. J'ai aimé ça. Non, la communauté médicale n'est pas pour le bord ouvert. On va en parler dans quelques secondes. Également, Une histoire rocambolesque qui pourrait carrément être un film Netflix. C'est la une de la presse. Trafic d'armes. Dirigée au sein même de l'organisme des Nations Unies qui est basé à Montréal. Quand vous allez au Centre Bell, il y a des hôtels dans ce coin-là. Vous avez à un moment donné les Nations Unies. C'est l'organisation de l'aviation CBN International qui a son siège à Montréal. Alors il y a beaucoup de fripouilles qui travaillaient à cet endroit-là. qui menait carrément du trafic d'armes impliqués en la Chine. C'est gros. Et c'est assez complexe comme histoire. C'est carrément un film d'espionnage. À part ça, dans l'actualité, vous avez une guerre, c'est un paternal-guerre qui se poursuit entre le gouvernement du Québec et les médecins. Là, on a sorti le nombre de jours travaillés par les médecins. Hommes et femmes, il y a peut-être une différence un peu, mais là, on n'est pas l'enjeu. L'enjeu, c'est qu'il y a 365 jours d'une année, puis... Il n'y a pas beaucoup de jours de travail pour les médecins québécois. On comprend que ça a été coulé par la CAQ et la CAQ ressort. La menace que Barrette avait brandie, la menace des amendes et la menace des peines monétaires, on va le dire comme ça. Et beaucoup d'autres sujets, bien entendu. On pique ou on pique pas? Tu parlais des gâteaux. C'est une annonce, ça, qu'il y a pas mis, ça. [00:02:12] Speaker D: Les piques, oui, les piques. [00:02:14] Speaker A: Ça existe-tu encore, les piques? Pense pas, hein. Peut-être au cycle géant, beaucoup de laboirs. Au micro-ondes, c'était-tu bon. Puis je sais que le concepteur des pics pensait vraiment que c'était comme un jeu de cartes. Ouais, je sais. Il en fumait peut-être du bon. Mais sérieux, un pic... C'est un rectangle au chocolat. C'est un genre de joulouis en rectangle, mais un pic, c'est un jeu de cartes. Un pic, c'est un Mewes en rectangle. Oui, Mewes, c'est ça que je veux dire. C'est un Mewes en rectangle. C'est vraiment... C'est la même affaire. C'est la même crème. Mais le thinking en arrière de ça, c'est que c'est un jeu de cartes. Un pic ou un pic pas, mais je le sais, dans ce temps-là, il y avait, même avant le wax pen, il y avait quand même des belles substances. Ça prenait de l'imagination. On pic ou on pic pas, osem pic? Pic, pic et collégramme? Oui, c'est remboursé. Pour ceux qui ont le diabète. J'ai les chiffres ici, c'est remboursé. Et j'avais des chiffres, le nombre de prescriptions, mais peu importe. Mais là, la question est, est-ce qu'on doit rembourser at large? C'est 500$ par mois, les amis. L'idée vient de l'Institut National d'Excellence en Santé. Projet pilote, durée de 2 ans, on prend 1000 personnes. Qui sont gros, qui sont grosses, oui, ils viennent de le dire, gros, grosses, ça n'a pas d'allure. Des obèses. qui sont pas nécessairement malades de diabète, parce que, je viens de le dire, le diabète, c'est couvert. Le médicament est couvert. Et ça, c'est déjà organisé, si vous voulez. Mais c'est un suivi très serré pour éventuellement, ultimement, déboucher sur un OZMP qui serait payé par les contribuables ou par les assurances privées. Dan, tu voulais dire quoi? [00:04:03] Speaker D: C'est du monde bien triste parce qu'ils sont pas capables de rentrer les deux fesses dans le même miroir quand ils se regardent. [00:04:09] Speaker A: Ben, c'est du monde... c'est très complexe. C'est pour ça que... Oui! Pis, Gab Hardy qui est en ligne va nous en parler. Moi, ce que je déplore là-dedans, c'est qu'il y a pas une approche santé intelligente et holistique. T'sais, on dit, il y a des gros Ils veulent maigrir. Effectivement, c'est un miracle. La Ozempic, elle le raconte très bien dans l'entrevue. Je ne sais pas si tu as sorti des extraits, Doom. [00:04:41] Speaker D: Mais j'en ai un. [00:04:42] Speaker A: Tu l'as? Avec Capresse-moi hier. C'était vraiment très très très bon. [00:04:46] Speaker D: J'ai un extrait d'à peu près une minute. [00:04:48] Speaker A: Ça vaut la peine, on va l'écouter. [00:04:49] Speaker D: En fait, la question que Patrice Roy a posée, c'est est-ce qu'on rembourse ça pour tout le monde? [00:04:53] Speaker C: Je crois que ça doit être réservé pour une catégorie de personnes qui est très malade. Donc, il faut que ce soit vraiment ciblé. On ne veut pas un bar ouvert pour tout le monde, loin de là, parce qu'effectivement, les coûts vont exploser. Et on sait qu'il y a eu des dérives dans les derniers mois, les dernières années. On a vu des exemples dans les médias, des gens, des vedettes qui prenaient ça vraiment pour des raisons esthétiques. Donc, je pense que moi, je travaille dans un institut universitaire dont la mission, une des missions, c'est l'obésité. On voit des patients avec des obésités c'est très sévère, beaucoup de problèmes de santé, souvent des personnes qui ne sont pas candidats pour la chirurgie bariatrique, des personnes qui doivent faire du poids pour une question de vie ou de mort, que ce soit des greffes, que ce soit une attente de chirurgie, des patients qui ont un cancer qui ne peuvent pas se faire opérer parce que techniquement ce n'est pas faisable, doivent faire du poids. C'est ce genre de patients-là que je vois jour après jour dans ma pratique. Et je crois que c'est pour les patients les plus malades que ce traitement-là devrait être réservé. Et il faut que ce soit quand même prescrit en concomitance avec une équipe multidisciplinaire qui va faire faire des changements d'habitude de vie aux patients. [00:05:57] Speaker A: Voilà! Extraordinaire, Dan! On ne s'est pas parlé, c'est carrément l'extrait que je voulais. C'est carrément l'extrait que je voulais parce qu'elle, elle parle à la fin de son affirmation de quelque chose qui me tient à coeur, le changement des habitudes de vie. Ken Tockey, à tous les jours. On va se parler, là, autour de la table, là. Gros cul, Ken Tockey, lait, chips, la liqueur, envoie-donc. Un petit Ozempic. [00:06:25] Speaker D: Un gay-cheese à dix heures le soir. [00:06:27] Speaker A: C'est ça. Il y a du monde qui souffre. Il y a du monde qui ne s'aime pas. Il y a du monde qui sont vraiment malades à cause des glandes et de l'hérédité, etc. Il y a des gens qui sont négligents. Moi, je prône une approche complexe. Si on est pour lutter contre l'obésité, luttons comme du monde. Oui aux MPIC dans les cas autorisés par la communauté médicale. Moi, j'embarque à 100%, à 1000% avec Dr Morin, qui est très rigoureuse dans son affirmation. J'aime beaucoup ce qu'elle dit. Il ne faut pas que ça soit du « Ah, elle va prendre mon aux MPIC, t'arrives aux gens coup dessus, met ça sur l'assurance médicaments, sacrifice, ça va exploser. » C'est 500$ par mois. On va juste se raisonner. Mais pourquoi ne pas intégrer là-dedans l'approche santé communautaire? Sport, y aller avec... Tu t'abonnes au gym. Tu t'abonnes à un sport. Crédit d'impôt sur l'abonnement. Pourquoi on ne fait pas ça? Gab Hardy qui est en ligne. Salut, Gab! [00:07:33] Speaker B: Comment ça va, gang? [00:07:34] Speaker A: Ça va très bien, toi? [00:07:36] Speaker B: Ça va très bien, merci. [00:07:37] Speaker A: T'es encore en charge des gyms, de l'association des gyms au Canada, c'est ça? [00:07:42] Speaker B: Qu'est-ce que tu penses de tout ça. [00:07:45] Speaker A: Et de cette approche-là, justement, qui est complexe, qui semble pas être privilégiée par la CAQ actuellement? [00:07:53] Speaker B: Je pense que c'est une approche qui est une demi-bonne nouvelle ou une demi-mauvaise nouvelle. Vous pouvez la regarder comme vous voulez. Le gros, gros problème avec l'ozempique et les médicaments qui peuvent ressembler à ça, il y a différents noms puis différents dérivés, c'est que les dernières études démontrent qu'il y a une perte de poids énorme, mais qu'elle est liée à 50% et plus. Dans certaines études, on voit même 75% à une perte de masse musculaire. Et ça, ça fait peur parce que de perdre du poids c'est une chose et je comprends comme la docteur le disait un petit peu plus tôt, avant une chirurgie si tu n'as vraiment pas le choix d'aller perdre du poids parce que sinon tu ne peux pas accéder à ta chirurgie ou autre, c'est une solution inévitable. Mais une personne qui commence à prendre du ozempique visant une perte de poids sans se soucier vraiment c'est quoi le poids que je perds réellement, peut vraiment causer des problèmes de santé à long terme, parce qu'on le sait, en vieillissant, puis on vise la longévité, on vise à vieillir en santé, puis vieillir, pas juste être vieux dans la ville, mais être vieux, puis être capable de faire des trucs, être capable de jouer dehors avec tes petits-enfants, aller jouer au golf, aller marcher, choses comme ça. On le sait qu'avec le vieillissement, la perte de masse musculaire a un lien direct avec le risque de chute, un lien direct avec les fractures, avec l'ostéoporose. [00:09:07] Speaker A: À partir de 35 ans, tu commences à décliner, Gab. [00:09:11] Speaker B: Oui, exactement. De perdre la masse musculaire est un grave problème. Et si on prescrit ces médicaments-là sans l'approche holistique, sans avoir un nutritionniste qui va calibrer la nutrition pour s'assurer qu'on protège le muscle, avoir un kinésiologue qui va s'assurer que tu fais de la musculation pour garder ta masse musculaire, on crée un plus grave problème, je crois, que juste la perte de poids. Et si en plus on trouve ça bord ouvert comme tu le disais tantôt, là on va avoir un grave problème de société tantôt. Alors c'est pour ça que je pense qu'on doit penser à cette approche-là, la considérer, mais certainement inclure les kinésiologues, les nutritionnistes dans l'aventure, et je pense que les gyms aussi devraient faire partie de la réflexion. [00:09:54] Speaker A: Ben oui. Inclure... Si tu veux favoriser un équilibre de vie, si tu veux aller au crédit d'impôt, je veux dire, tu t'entraînes, t'as moins de chances d'être malade, t'as moins de chances de te retrouver à l'hôpital. À ce moment-là, t'évites des coûts à la société. La dernière pub, juste pour en chérir sur ce que tu viens de dire, la dernière pub d'Ozempic est partout. Ozempic, c'est partout, partout. En fait, aux Olympiques, je pense qu'on l'a au moins vu. Présentateur du ciel. C'était les Jeux Ozempic. Vous voyez, dans les pubs qui roulent encore, une personne très bien portante, obèse, qui fait de la boxe. Elle s'entraîne à la boxe, comme bien du monde font. Mais elle est grosse. Elle a dit aux Impics, c'est ma solution. Tu sais, elle dit pas, je souffre de diabète de type 2, blablabla. C'est carrément les pubs de Novo Nordisk, c'est eux autres qui font ce pharma danois. Ça cible directement les gros pays grosses. On tombe pas dans le blabla du diabète. C'est vendu désormais comme étant quelque chose pour maigrir. C'est vendu comme un médicament, miracle, excusez-moi. C'est carrément ça et c'est ça qu'il faut éviter, à mon avis. [00:11:11] Speaker B: Il faut vraiment l'éviter et comme tu le dis, quand c'est présenté comme la solution facile, Là, ça devient un problème parce que, encore une fois, la perte de poids, c'est une chose. Mais c'est quoi le poids que tu perds? Si tu perds de l'eau, c'est pas compliqué. Ce que tu veux, c'est, oui, perdre ton gras viscéral qui est le plus dangereux, le gras qui est à l'intérieur des organes. Oui, après ça, c'est une belle manière pour beaucoup de monde, je crois, qui ont un frein à la mise en place d'activités physiques quand ils ne se sentent pas capables. C'est très difficile au début. Donc, si tu mets un mode de vie sain, en plus que tu rajoutes ce médicament-là, tu vas accélérer la mise en place d'un mode de vie sain et actif, la mise en place des saines habitudes de vie. Et ça, je pense que c'est un point positif. Alors, c'est à considérer. Mais sans programme de déprescription, entre guillemets, parce que ça, c'est l'autre chose, tu sais, je te mets sur deux oiseaux en pique, quand est-ce que tu arrêtes? Il n'y a personne qui a dit ça. La déprescription, si tu es juste sur le médicament et que tu n'as pas une équipe qui te suit, ça devient un problème encore plus grand. Alors je comprends qu'on l'analyse au Québec parce qu'on est rendu presque à 27 ou 28 % de personnes obèses au Québec et il y a même des provinces qui passent le 40 %, donc l'obésité gagne du terrain de manière importante et ça devient un problème de santé. [00:12:27] Speaker A: Les pharma gassent des compagnies par action, donc c'est sûr qu'il y a un marché. C'est des compagnies par action, donc ils sont là pour faire l'argent aussi. [00:12:35] Speaker B: Oui, puis on vit dans une société présentement où est-ce que la sédentarité gagne de plus en plus de vitesse. Et ça, ça amène un burden, un poids sur notre système de santé qui n'arrête jamais. Les médecins sont surchargés de travail en curatif. Plein de monde se présente avec des maladies. Les plus gros soirs au Canada, c'est les maladies cardiaques, c'est les cancers, c'est le diabète, c'est les maladies pulmonaires. Mais tout ça peut être évité en très grande partie quand je suis une personne qui est active physiquement. Donc si l'Ozempic me permet de partir la machine et de me remettre sur la bonne voie, moi je pense que c'est une bonne nouvelle. Mais pas bien encadré, pas bien structuré. Et pas à long terme. [00:13:18] Speaker A: Pas d'abonnement. [00:13:20] Speaker B: C'est ça. Exactement. Et tu parlais de crédit d'impôt. Moi, je pense que ça passe par les entreprises. Ça, c'est mon opinion personnelle. Mais je pense que les entreprises qui investissent à faire bouger leurs employés, ça devrait pas être un avantage imposable. Alors ça, c'est au gouvernement du Québec, je crois, à être visionnaire un peu. [00:13:38] Speaker A: Abonner le staff. Les compagnies devraient abonner le staff. Avec des abonnements corpos. [00:13:44] Speaker B: Abonnements corporatifs, puis ça devrait pas être des avantages imposables aux employés. Parce que si tu t'offres un abonnement, c'est comme si on augmentait ton salaire. Ça, je pense que c'est un problème. [00:13:52] Speaker A: C'était le bon flash. Très bon. [00:13:54] Speaker D: Puis c'est compté comme étant des avantages imposables. [00:13:57] Speaker A: Oui, c'est ça. [00:13:57] Speaker D: À l'heure actuelle, parce que moi, mon ancien employeur, il remboursait mes souliers de golf, mes bâtons de golf, l'équipement de hockey, il remboursait tout. [00:14:03] Speaker A: C'était-tu imposable? [00:14:04] Speaker D: Ben oui, c'est un avantage imposable. [00:14:05] Speaker A: Ça devrait pas le lire. [00:14:06] Speaker D: Non, ça devrait pas. [00:14:07] Speaker A: Très, très bon, Gab. [00:14:08] Speaker B: Merci encore. [00:14:10] Speaker A: Merci à vous autres, les boys. [00:14:11] Speaker D: Merci, bye. [00:14:12] Speaker A: Le prenez-vous Ozempic, les auditeurs? En fait, il y en a cinq. [00:14:17] Speaker D: Il y a cinq médicaments. On dit Ozempic tout le temps. [00:14:20] Speaker A: Oui, je joue Ozempic. C'est comme on va dire italien, mais il y en a d'autres. Ozempic est plus posé officiellement à servir pour la perte de poids. [00:14:26] Speaker D: Oui, Ouegovi, Sexendo, Mugendo et Ribelsius. [00:14:31] Speaker A: C'est ça, c'est ça. Puis ils font toutes des pubs. [00:14:33] Speaker D: Mounjaro, il n'y a pas de dos, c'est Ro, Mounjaro. [00:14:36] Speaker A: Ils font beaucoup de pubs, énormément. Les auditeurs, écrivez-nous, continuez de nous écrire, je trouve ça intéressant. [00:14:42] Speaker D: Parce que c'est ça, ça va faire... [00:14:43] Speaker A: On ne vous juge pas, en passant, c'est... Puis les auditeurs le prennent pas mal. On a une discussion d'adultes. Actuellement, il n'y a pas de shaming de quoi que ce soit. C'est juste de comprendre pour pas que ce soit bord ouvert, bien ciblé. C'est une excellente médication pour les personnes qui en ont besoin. C'est un médicament miracle. Il n'y a personne qui nie ça. C'est juste qu'à un moment donné, si tu vas avoir une approche holistique aussi de penser à faire autre chose que de prescrire des pellules dans vie. [00:15:10] Speaker D: Puis c'est tout ce qui vient avec, parce que si le gouvernement accepte ça, les compagnies d'assurance privée vont le faire aussi. Quand on parle d'explosion de coûts, on ne parle pas juste pour les contribuables, on parle aussi pour toutes les gens qui souscrivent à des assurances collectives. [00:15:22] Speaker A: Parce que ton assurance collective va monter. Oui, c'est sûr. Mettons que tu es dans une compagnie de 80 employés, il y en a 6 qui sont là-dessus, ou 8 ou 10 aux MPIC, perdent de poids, c'est sûr que le quotient du package d'assurance va monter. Comment ça, ça a monté? J'en prends pas de bigovie, j'prends pas de médicaments. Ah, ben c'est ça. Le groupe est plus à risque. Le groupe est plus à risque. Comme les burn-out, par exemple. Si t'es dans un groupe où t'as beaucoup de burn-out, beaucoup de réclamations, quand t'as beaucoup de réclamations, tu le suis, t'as travaillé en assurance. [00:15:58] Speaker D: À l'heure actuelle, à chaque fois que vous avez une paye, vous avez beaucoup d'argent qui sort de vos poches à cause des burn-out collectifs. [00:16:04] Speaker A: Je pense que oui. [00:16:05] Speaker C: Oui.

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