Episode Transcript
[00:00:11] Speaker A: Beaucoup, beaucoup de bon matériel. Et c'est le grand retour du maire de Louisville qui était pas parti.
[00:00:21] Speaker B: Ah, je l'ai pas finalement.
[00:00:22] Speaker A: Il se met-tu... Non, tu l'as pas mis?
[00:00:24] Speaker B: Non, je peux pas.
[00:00:25] Speaker A: Ah, OK. Ça a été fait sur une autre antenne, c'est ça?
[00:00:28] Speaker B: Oui, c'est ça.
[00:00:28] Speaker A: Ah, OK. Sur quelle antenne?
[00:00:30] Speaker B: KJQ-311.
[00:00:32] Speaker A: Ah, OK, parfait. On peut pas le prendre. OK. Bon, on dit que ça m'intéressait. Je vais l'appeler d'ailleurs la semaine prochaine. On y jasera. Il s'en va-tu en élection, lui-là, là?
[00:00:41] Speaker B: Ben, normalement, toutes les villes du Québec s'en vont en élection. Je sais pas si ils s'en présentent. Je le sais pas.
[00:00:45] Speaker A: Bon, bon, va...
[00:00:46] Speaker C: Il réjouit pas, maintenant.
[00:00:47] Speaker A: C'est sûr.
[00:00:48] Speaker B: Mais la chose certaine, c'est qu'il est contre les quadriporteurs. En fait, tout ce qui s'appelle électrique...
[00:00:54] Speaker C: Il doit y en avoir une couple dans sa ville.
[00:00:54] Speaker B: Il revient pas que le monde soit capable de marcher pis qu'il utilise les quadriporteurs.
[00:00:59] Speaker A: J'ai hâte d'entendre son point de vue, j'ai pas entendu.
[00:01:01] Speaker C: Il est jamais alladilé.
[00:01:02] Speaker B: Je leur dis « Voyons, madame! ».
[00:01:03] Speaker A: Aux États-Unis, il y en a où, là?
[00:01:05] Speaker B: Vous êtes capables de marcher, c'est ce que vous faites en quadriporteur?
[00:01:07] Speaker A: Oui. Hublement, il y en a beaucoup aux États-Unis. Oui, il faudrait que tu leur enlèves les sacs de chips. Beaucoup d'obèses aux États-Unis, on va se le dire.
[00:01:15] Speaker B: C'est fois qu'elles vont perdre.
[00:01:17] Speaker A: C'est pas tous des amputés de guerre.
[00:01:19] Speaker C: Non, non, vraiment pas.
[00:01:20] Speaker A: Il y a du monde là-dedans qui le...
[00:01:21] Speaker C: Il y a du monde sérieux que je voyais qui était pas beaucoup plus gros que moi un moment donné en caniportage.
[00:01:26] Speaker A: Exactement.
[00:01:27] Speaker C: Je pense qu'il y a juste des lâches tout courts.
[00:01:29] Speaker A: Ben voilà. Ben voilà.
[00:01:31] Speaker C: Ils pourraient marcher, mais ils veulent pas assez ajouter. Parce que c'est vrai que à Disney, tu fais des fils.
Il est beau que j'aurais aimé ça avoir une chaise.
[00:01:39] Speaker A: Voilà.
[00:01:39] Speaker C: Parce que c'est long, pis c'est plate, là, mais...
[00:01:42] Speaker A: On va se le dire aussi, là, tu viens d'ouvrir une grande porte, mais ça concerne surtout les États-Unis, là.
[00:01:49] Speaker C: Ben, c'est là que je n'ai vu le plus. Pis à Disney particulièrement.
[00:01:52] Speaker A: Les obèses avec des petites vignettes. C'est le fun de se parquer à côté de la porte au Walmart. Ça te prend une vignette. T'sais, des fois, je regarde ça pis je me dis...
C'est surtout aux États-Unis, ma réflexion en passant.
[00:02:06] Speaker C: Ton handicap, c'est quoi? Où tu manges trop?
[00:02:09] Speaker A: C'est ça. Moi, je m'attends à que quelqu'un, que ce soit quelqu'un à chaise roulante qui sorte. Ou quelqu'un qui boite une canne, ou whatever. Sors du char. Puis, d'après moi, il y a un enjeu de grossesse. Ouais. J'aimerais ça voir les critères. Ah, Morelle, l'obésité, c'est une maladie.
On a vu ce narratif-là se développer au cours des dernières années. C'est un narratif qui, finalement, est alimenté par le Big Pharma. Oh, complot! Ouais, je regarde des actions des fabricants d'Ozempic et compagnie, là.
[00:02:44] Speaker C: Ah ben!
[00:02:44] Speaker A: Ben, c'est ça, là. Si tu vends des pellules, ça te prend une maladie. La maladie, c'est l'obésité. Ça a commencé avec le diabète, je comprends. Et c'est un extraordinaire médicament pour le diabète, ne trompez-vous pas. C'est juste qu'à un moment donné, ça a glissé, cette affaire-là. Et là, on est en train d'injecter un petit peu de... Oui, faites de l'exercice en même temps, puis ça prend une bonne qualité de vie, manger des fruits. Mais l'histoire de l'obésité, c'est un critique sujet, là. Là, je reviens au cas de reporter. Il y en a beaucoup, effectivement, qui se font payer ça aux États-Unis par Medicaid. Médicare, c'est pour les aînés. Medicaid, c'est pour les assistés sociaux. T'as une subvention, là. Parce que je suis obèse, j'ai une maladie, j'ai une condition. Ouais, mais ta condition, c'est que tu fais pas marcher le chien. Ta condition, c'est que t'es d'un croustille. Ta condition, c'est que tu fais pas d'exercice. Ta condition, c'est que t'es toujours rendu au Wendy's. C'est ça, la vérité. Il y a un réel enjeu de santé publique aux États-Unis, là.
[00:03:47] Speaker C: Il y en a aussi qui disent qu'à l'importance, il y en a beaucoup qui ont perdu leur permis de conduire.
[00:03:51] Speaker A: À vérifier.
[00:03:53] Speaker B: Mais il y en a de plus en plus, effectivement.
[00:03:56] Speaker A: Bien oui, il y en a beaucoup.
[00:03:57] Speaker B: Puis moi, ce que je remarque aux États-Unis, Regarde, je vais te virer ça différemment. Là, on est en train de planifier un voyage qu'on fait en famille où on n'est pas capable de s'entendre sur la destination.
[00:04:09] Speaker A: Hier, je m'en plie d'ailleurs pour voir si c'était correct. Il y avait des conflits d'horaire et tout ça. Déjà de tes vacances. Ou que tu ailles. Si tu vas en Antarctique, ça compte aussi.
[00:04:18] Speaker B: Parce que là...
[00:04:20] Speaker A: Début mai. Fin mai, c'est ça?
[00:04:22] Speaker B: Là, veux-tu savoir c'est quoi qui est... Ben, vas-y donc.
[00:04:24] Speaker A: Lecking News.
[00:04:25] Speaker B: La raison pour laquelle je vous en parle, c'est qu'Hawaii a été discarté pour des raisons de bouffe.
[00:04:31] Speaker A: Hawaï, Sagnard, c'était même pas dans la discussion que tu nous avais jasé.
[00:04:33] Speaker B: Je sais, mais... C'est arrivé, moi, je veux aller en Europe, mais là...
[00:04:37] Speaker A: Là, c'est aux antipodes sur le globe terrestre.
[00:04:39] Speaker B: Je sais, mais Hawaï, t'sais, on l'avait discarté, puis Walt Disney, pour des raisons de bouffe.
[00:04:44] Speaker A: Oui.
[00:04:45] Speaker B: Parce qu'aux États-Unis, c'est pas tant gastronomique que ça, ça dépend où tu vas.
[00:04:50] Speaker A: Oui. Remuez-vous un condo, puis allez faire l'épicerie, puis faites-vous à manger.
[00:04:53] Speaker B: No fucking way.
[00:04:55] Speaker A: Ah non?
[00:04:55] Speaker B: Je m'en vais en vacances, je m'en vais pas faire à manger.
[00:04:58] Speaker A: Ah, nous autres, on adore se faire à manger parce qu'on mange à l'heure qu'on veut, qu'on se promène en pyjama.
[00:05:02] Speaker B: Je comprends.
[00:05:03] Speaker A: Oui.
[00:05:04] Speaker B: Mais là, moi, je vais aller en Allemagne ou en Italie.
[00:05:07] Speaker A: Prends une saucisse.
[00:05:08] Speaker B: Mais dans l'eau, là, il y a le Japon.
[00:05:11] Speaker C: Ok.
[00:05:13] Speaker B: Le Japon. J'ai deux enfants qui ne mangent rien. Le Japon. Je n'arrête pas de le dire. Ils mangent des poissons vivants, là.
[00:05:21] Speaker A: Oui, ils mangent. Ils mangent bien, là, les Japonais. La mange bien là. Parlez-en à Richard Marcineau, il est allé pis il va y retourner.
[00:05:30] Speaker B: Ouais, Chad JPT me dit, si vous avez du monde difficile, peut-être évitez le Japon.
[00:05:35] Speaker C: OK, la rigidité alimentaire et le Japon, ça fait pas bon ménage.
[00:05:39] Speaker A: Je veux que la pieuvre au lieu du Nutella le matin.
[00:05:41] Speaker C: Ouais, c'est ça là.
[00:05:42] Speaker B: Voilà, voilà, voilà, voilà.
[00:05:43] Speaker C: C'est un petit peu squishy la pieuvre.
[00:05:45] Speaker A: OK, ça regarde le pot. Octopus spread.
[00:05:50] Speaker B: Donc voilà pour ce qui est du maire de choses.
[00:05:55] Speaker A: Fait que t'es en pleine discussion, en pleine conciliabule avec ta famille si je comprends bien.
[00:05:58] Speaker B: On sait pas comment ça va finir, mais ça va finir en Italie.
[00:06:01] Speaker C: C'est la seule place où tout le monde s'entend.
[00:06:03] Speaker B: Le seul pays que tout le monde a dans son top 3.
[00:06:05] Speaker C: Pis d'après moi, tout le monde aime les pâtes, fait que pâtes, pizza... Pasta, pizza et musica.
[00:06:10] Speaker B: Ça sera Rome et Naples. J'ai l'impression qu'on va s'enligner là-dessus.
[00:06:15] Speaker C: Le maire des Haies se représente en passant et il y a même des gens qui me disent que ce serait peut-être sans opposition.
[00:06:20] Speaker A: Parfait.
[00:06:23] Speaker B: 32 %, c'est l'augmentation de la valeur de la compagnie American Eagle depuis qu'ils ont mis la pub avec Sidney Sweeney.
[00:06:31] Speaker C: Quel flop. Mauvaise pub. Ah, mauvaise pub.
[00:06:35] Speaker B: Très mauvaise pub.
[00:06:36] Speaker C: Un vidéo nazi.
[00:06:37] Speaker B: Raciste.
[00:06:39] Speaker C: Compagnie de nazis menée par un juif.
[00:06:41] Speaker D: Voilà.
[00:06:42] Speaker B: Beaucoup de gens se sont...
[00:06:44] Speaker A: C'était whack, cette affaire-là. C'est un des délires de l'été.
[00:06:48] Speaker C: Ça n'a pas de sens.
[00:06:49] Speaker B: Effectivement. Parlant de délire, amis de la Rive-Sud, c'est à vous que je parle. Et je parle pas de la Rive-Sud à Yves-Soudun ou de la Rive-Sud à Seine-Coin-de-la-Binière. Je parle de Lévis. Les gens de Lévis, on a un message pour vous. Vous êtes conviés le 20 septembre prochain. Je vais laisser la madame vous en parler.
[00:07:08] Speaker E: 23H sur 24 dans une journée, une auto, c'est stationner. Je ne vous dis pas n'importe quoi. Une auto comme celle-là, ça passe le plus clair de son temps à être parquée. Oui, on l'utilise une heure dans la journée pour les loisirs, pour le déplacement, mais les automobiles privés, ça prend un espace énorme en ville.
Combien? 3 à 5 pour chaque auto qui circule dans nos rues. 3 à 5 espaces de stationnement par voiture. Ça veut dire qu'il y a plus d'espace qu'il y a réellement de voitures. Et surtout, c'est des espaces où on pourrait faire tellement d'autres choses. C'est des espaces bétonniers qui génèrent énormément d'îlots de chaleur et c'est des espaces qu'on pourrait tout simplement rêver autrement. Rêver autrement l'espace public, c'est ce qu'on vous invite à faire. au Parking D, le 20 septembre prochain à Lévis. On vous invite à venir voir des exposants qui vont nous montrer de façon éphémère comment est-ce qu'on pourrait transformer nos villes et nos espaces de stationnement. Soyez là!
[00:07:57] Speaker C: C'est quoi son nom que je vote pas pour elle?
[00:07:58] Speaker B: C'est Accès Transports Viables.
[00:08:00] Speaker C: Elle se présente pas?
[00:08:01] Speaker B: Non, c'est les gens de la Côte-Saint-Denis.
[00:08:02] Speaker C: Présente-toi, je te mets.
[00:08:03] Speaker B: C'est les gens de Salaberry qui sont maintenant rendus sur la Rive-Sud. C'est ça que je veux vous dire maintenant.
[00:08:08] Speaker C: Il aurait pu rester sur la Rive-Nord.
[00:08:09] Speaker B: C'est les gens d'Accès Transports Viables qui commencent à organiser des activités pour convaincre les gens de la Rive-Sud de vendre la deuxième automobile.
[00:08:16] Speaker C: Accès Transports Viables a fait de l'étalement urbain?
[00:08:19] Speaker A: C'est une imitation de Bruno Marchand, impeccable. C'est la personne qui émette le mieux Bruno Marchand, c'est elle.
[00:08:25] Speaker C: On avait pas besoin de ça sur la Rive-Sud, c'est correct.
[00:08:27] Speaker A: Mais je vais vous dire, j'ai un petit message pour vous. En provenance de la Rive-Nord, on fait aller les manivelles et s'élève vers le ciel un magistral majeur durable.
Ce majeur durable, orienté vers la Rive-Sud, est une graciosité de mort élève. Fi-du-da.
[00:08:51] Speaker C: Je pense que je vais approcher les candidats à la mairie de Lévis pour leur demander de mettre une douane à la sortie du pont. Pour pas laisser passer ce monde-là.
[00:08:59] Speaker A: Ils sont partout. D'où sont les salles de nouvelles.
[00:09:02] Speaker C: Ils sont partout.
[00:09:03] Speaker A: Contrôle les salles de nouvelles. Ça va bien.
[00:09:06] Speaker C: Bon point. Le 870 Celebrity a un parking.
[00:09:09] Speaker B: Cet extrait-là, j'aurais pu vous le faire jouer dans le micro-ondes. Par contre, parce que je l'ai depuis le début de la semaine, par contre, je trouvais que ça pouvait donner une conversation intéressante. C'est la Commission athlétique, donc BPM Sports, je vous fais entendre l'extrait, on en parle ensuite.
[00:09:23] Speaker F: Toronto, dans la diffusion, avec le mot «merda» dessus, les gens du Toronto FC devraient s'excuser, devraient s'assurer de bannir cette personne-là du stade, puis du moins de la bannir, je sais pas de la bannir de l'autre terme, au moins de la suspendre. C'est inacceptable. Si ça avait été n'importe quel drapeau, ça aurait créé un tout autre tollé. Tu me connais, je ne suis pas capitaine Québec, loin de là, et je ne veux pas être capitaine Québec. Mais dans les circonstances, dans un derby, dans un classique canadien, je trouve ça extraordinairement stupide de ne pas être intervenu plus rapidement, alors que dans plein d'autres occasions, la MLS l'a démontré, ils sont intervenus.
[00:10:04] Speaker B: OK. Donc, qu'est-ce qui se passe? Qu'est-ce qui s'est passé? C'est que le FC Montréal jouait contre le FC Toronto la semaine passée. Il y avait des drapeaux du Québec sur lesquels on a écrit en gros rouge « Merda ».
Je sais qu'il y a beaucoup de gens au Québec qui ont trouvé ça drôle en disant « c'est ce qu'on mérite, c'est ici, c'est ça » dans les commentaires. Par contre, si on avait fait ça au Centre Bell sur le drapeau américain pendant la Coupe des Nations, on aurait dit que ça ne se fait pas, que ça n'a pas de bon sens, que ça n'a pas de sens. Si ça ne se fait pas avec le drapeau américain, on va respecter le drapeau québécois aussi. Je vous le dis, les ontariens, dans leur comportement, que ce soit ça ou Doug Ford qui joue avec la job des gens qui travaillent dans les distilleries au Manitoba et à Montréal, Cette attitude ontarienne-là me pue au nez de plus en plus, et c'est pour ça que quand Paul St-Pierre Plamondon va me convier à aller dans un référendum, je vais voter oui.
[00:10:54] Speaker A: Ça prend juste un ou deux imbéciles, par contre, Dan, t'sais. On peut pas dire les Ontariens. Ça prend un CAF du Québec aussi.
[00:11:01] Speaker B: Je sais, sauf que ça fait un bout que je trouve CAF, Doug Ford, puis Lillies.
[00:11:04] Speaker A: Oui, je sais. Mais là, Doug Ford, peut-être qu'il y en a qui trouvent qu'il fait une bonne job.
Pis c'est ça, moi je veux pas contester quoi que ce soit. Il peut vrai de nous autres, on aurait élu Legault aussi. On vaut quand même une résine.
[00:11:17] Speaker C: Est-ce que Legault c'est le Québec?
[00:11:19] Speaker B: On en veut beaucoup.
[00:11:20] Speaker A: C'est moi et Legault qui a cassé de parler anglais. Moi je parle mieux anglais que lui.
[00:11:24] Speaker B: Oui, Legault c'est le Québec.
[00:11:25] Speaker C: Malheureusement, Legault c'est le Québec.
[00:11:27] Speaker A: Je suis gêné aussi. Mais c'est ça, c'est la gestion des imbéciles dans un stade, Dan.
[00:11:32] Speaker B: Mais mon point c'est juste, Si jamais il y a un Québécois qui avait fait ça avec le drapeau américain à la Coupe des Nations, on aurait fait une heure là-dessus. Puis ça, on n'a presque pas parlé.
[00:11:46] Speaker C: Max Truman va en parler tantôt.
[00:11:48] Speaker B: Max va en parler tantôt, c'est beau. Je ne veux pas m'embarquer là-dessus.
Si on se demande à nous de respecter le drapeau des autres, on devrait également exiger des autres qui respectent notre drapeau à nous. Qu'on soit fiers ou non.
[00:12:04] Speaker A: Qu'on se pied d'homme. Si t'étais impequé, si t'as mis ça juste pour foutre la merde.
[00:12:10] Speaker C: Ça serait une bonne stratégie.
[00:12:12] Speaker A: Comme ceux qui ont mis en feu les granges des années 70. La GRC, pour partir la merde avec la crise... Non, non. André, il n'y a pas de conspi. Mais il y a des Ontariens, Dan, qui sont chauds. Des Ontariens qui sont chauds, ça peut exister. Mais l'imbécilité, c'est transfrontalier. Donc, c'est ça le libre-échange, dans le fond. Les imbéciles sont dans toutes les provinces et il y en a partout, quel que soit le sport. On va en jaser tantôt. Avec Max. À part ça?
[00:12:42] Speaker B: À part ça, il y a quand même 2-3 trucs cette semaine que j'ai pas jasé qui sont sur Spottette de marde. Parce que Spottette de marde, c'est vraiment là où vous allez retrouver...
[00:12:52] Speaker A: C'est comme... Comme ça.
[00:12:54] Speaker C: C'est un best-of.
[00:12:55] Speaker A: Le plus gros...
[00:12:57] Speaker B: Cette page Facebook là pourrait devenir facilement la page la plus consultée si, seulement si, le monde faisait des messages vidéos plutôt qu'écrits. Parce que, comment je te dirais, ben voyons, il est où le gong? J'ai pas de gong le matin. En fait, je vous lis les commentaires. Mon fils s'est fait confisquer son cellulaire aujourd'hui. Et en revenant à la maison, il m'a dit qu'on ne lui redonnerait pas avant vendredi. Ça n'a aucun bon sens. En plus, il l'utilisait à l'extérieur. Demain soir, je débarque à l'école et ils vont me le rendre. Ils n'ont aucun droit de garder pour une si longue période. Ça, ça a été posté mercredi. Donc un téléphone, un cellulaire confisqué pendant deux jours, oui.
[00:13:44] Speaker A: Qui était dans ma boîte.
[00:13:45] Speaker B: Donc, téléphone cellulaire qui a été confisqué pendant deux jours. Évidemment, cette personne-là s'est faite...
[00:13:50] Speaker A: Mais ça a été annoncé, ça.
[00:13:52] Speaker B: Oui.
[00:13:52] Speaker A: Que ça pourrait aller jusqu'à une semaine.
[00:13:54] Speaker C: Oui.
[00:13:54] Speaker A: C'est connu, ça.
[00:13:55] Speaker C: Les écoles vont avoir de la marde à gérer avec ça.
[00:13:58] Speaker A: Ben oui. Toute l'année.
[00:13:59] Speaker C: Oui.
[00:14:01] Speaker B: À la caisse du Costco, l'emballeur n'a pas voulu toucher mes bouteilles de vin sous prétexte qu'il est musulman.
[00:14:07] Speaker A: Solo. Solo.
[00:14:12] Speaker B: Hum-hum.
[00:14:13] Speaker C: Là t'as plus le droit de trouver aux bouteilles.
[00:14:16] Speaker A: Non, non, les plus radicaux pis les plus extrêmes. Ça c'est plate parce que ça englobe tous les musulmans pis c'est pas vrai que tous les musulmans sont comme ça. C'est ça qui est plate, c'est qu'on prend ces faits-là de radicaux, des gens qui sont illuminés pis c'est plate. Mais je suis sûr que c'est arrivé. C'est sûr que c'est arrivé parce que oui, c'est vrai que bon, les musulmans prennent pas d'alcool, je comprends. Mais c'est sûr que ça a lâché du bacon Puis un jambon, c'est sûr que là, elle a dû faire son sac. Je vous annonce ça en primaire.
[00:14:50] Speaker C: Mais ils ont-ils recommencé à toucher aux bouteilles dans les soccus?
[00:14:55] Speaker A: Hier, je suis allé. Moi, le problème, c'est pas de toucher les bouteilles. Oh oui, il y en a, ils remplissent des caisses. Ils remplissent les caisses.
[00:15:05] Speaker B: Il n'y a plus de solidaire dans les épiceries.
[00:15:06] Speaker A: Ce que je trouve plate à S.E.Q., c'est que t'as toujours l'impression de déranger le commis qui scanne ta carte S.E.Q. T'as toujours l'impression qu'elle a hâte d'aller en pause, qu'elle revient de pause puis elle a hâte d'y retourner.
Il n'y a pas... C'est pas très agréable. Oui, effectivement. Et rappelons-le, il n'y a pas de caisse où tu peux scanner ton stock, comme au Canadian Tire, au Walmart ou au ferme à prix.
[00:15:33] Speaker C: Est-ce que c'est la seule place où tu aimerais ça?
[00:15:36] Speaker A: Moi, j'aimerais ça, je vais acheter une bouteille. Moi, j'achète pas 24 bouteilles. Hier, je suis allé, j'ai acheté de la maroula. Parce qu'on a pris un petit amaroula en regardant le foot.
[00:15:45] Speaker B: Un petit lait au chocolat?
[00:15:46] Speaker E: Oui!
[00:15:47] Speaker B: Un petit amaroula!
[00:15:49] Speaker A: Avec le fruit, le ou la maroula. Et là, on scanne ça, puis merci, bonsoir. Non, j'ai fait la file.
[00:15:58] Speaker B: Moi, je suis allé m'acheter... Scanner une.
[00:15:59] Speaker A: Bouteille à 30 piastres.
[00:16:01] Speaker B: Moi, je suis allé m'acheter six packs de bec. parce que je voulais être lobbyiste pour mon voyage en Allemagne.
[00:16:09] Speaker A: Un vrai politicien.
[00:16:12] Speaker B: Fait que je suis rentré chez nous avec mon sixpack de bec.
[00:16:14] Speaker A: Un pyjama Union Jack.
[00:16:17] Speaker B: Non, non, non, mais j'ai laissé mes clés de Volkswagen comme il faut sur le centre de table. Mais ça se boit vite, cette bière-là.
J'ai fait de ça, vous faites voyons donc!
[00:16:29] Speaker A: Je bois bien, c'est pintable ça.
[00:16:31] Speaker B: Une petite bouteille de 330 ml et boire la bouteille, ça fait longtemps que je n'avais pas fait ça, ça descend vite.
[00:16:36] Speaker A: En tout cas, les fans de Manchester United disent que ça se descend vite.
[00:16:39] Speaker B: Oui, ça se descend très très vite.
[00:16:41] Speaker A: Ça se siffle vite, comme dirait l'autre.
[00:16:43] Speaker B: Voilà. C'est pas tête de merde, mon préféré, le voici. On s'est fait fourrer, voici une liste de compagnies qu'il nous faut. 5, 1,1 million, Lyon Électrique, 193 millions, NordVol, 710 millions. Il y en a un long paquet, je trouve ça très très drôle. Voilà qui est fait pour ce qui est du supporté de demande, on a fait le tour.
[00:17:06] Speaker A: Fitz, il fait quoi le matin?
Fitz. Fitz, en même temps, il est protégé.
[00:17:11] Speaker C: Il est en amour encore.
[00:17:12] Speaker A: Il est millionnaire.
[00:17:13] Speaker B: Il lève son musquet. Il se prépare.
[00:17:15] Speaker C: Oui, pour la chasse aux faisans.
[00:17:17] Speaker B: Il se prépare pour la chasse aux faisans avec son costume d'époque.
[00:17:18] Speaker A: Oui, c'est d'autant l'avance à moto BM.
[00:17:22] Speaker B: Oui, il l'a arrangé pour l'été, pour l'hiver.
[00:17:24] Speaker A: Ah non, pas encore. Une petite promenade automnale, peut-être que ça peut être le fun.
[00:17:28] Speaker B: Ah, peut-être avec le gros côte de cuir.
[00:17:29] Speaker C: Oui, ça serait encore intéressant, je dis ça même aux journalistes. Ça serait encore intéressant de voir Fitz dans des photos de chasse aux faisans.
[00:17:38] Speaker A: Oh oui!
[00:17:39] Speaker C: Même s'il est plus ministre, c'est pas grave.
[00:17:41] Speaker A: Ça peut faire. C'est quand même l'acteur principal d'un film qu'on est en train de vivre.
[00:17:45] Speaker C: Oui!
[00:17:45] Speaker A: Si on est en train de vivre un film, l'acteur principal n'est pas là. Si on est en train de vivre un genre de Mission Impossible, on regarde l'heure, ça fait 1h15 que c'est commencé et Tom Cruise n'est pas là. C'est ça qu'on est en train de vivre pareil.
[00:17:56] Speaker C: Puis on a payé pour ce navet-là.
[00:17:58] Speaker A: Oui!
[00:17:59] Speaker B: On s'en va à Rome.
[00:18:01] Speaker A: Roma.
[00:18:02] Speaker B: Roma. On s'en va à Rome. C'est une délégation mexicaine d'étudiants, des étudiants secondaires, qui font un voyage étudiant. Rien de plus banal qu'un voyage étudiant d'étudiants secondaires. Ils s'en vont à Rome. C'est des Mexicains. Ils arrivent pour embarquer dans le métro et il y a un citoyen là-bas qui leur donne des coups de pied pour les empêcher de rentrer dans le métro. Il ne veut pas y voir. Il donne des coups de pied comme il faut. Il sacote les deux mains de même sur les bords, puis il se lève les pieds, puis il donne des coups de pied. Le prétexte pour lequel il ne voulait pas y voir dans le métro, c'est simplement parce qu'il était mexicain. Il n'y avait pas d'autre raison. C'est parce qu'il était mexicain. C'est un raciste, un raciste italien. Il y a des racistes dans tous les pays. Écoutez la réaction. C'est ça que je vais vous faire entendre, la réaction des étudiants mexicains.
[00:18:51] Speaker G: Je ne suis pas au cap, parce que je peux faire du travail. Je ne suis pas au cap. Mais le président, je ne suis pas au cap, parce je peux que faire du travail. Mais le président, je ne suis pas au cap, parce que je peux faire du travail.
[00:19:17] Speaker B: Les étudiants se sont mis à chanter la capella Imagine de John Lennon, toute la gang ensemble.
[00:19:22] Speaker A: Imagine all the people.
[00:19:23] Speaker B: Ils l'ont chantée longtemps, pendant longtemps, la toune. Évidemment que le gars a l'air d'un épais, la police arrive et la police se met à chanter avec les étudiants.
[00:19:32] Speaker A: Ben voyons donc, les carabinieries.
[00:19:34] Speaker B: Finalement, les étudiants ont dit « c'est quoi, on va attendre le prochain, on veut pas partager un métro ». Les étudiants l'ont pris de la bonne façon. Le gars ne s'est pas fait arrêter. C'est comme quoi il avait le droit, semble-t-il, de donner des coups de pied aux jeunes. Il ne s'est pas fait arrêter par la police. La police l'a simplement guidé vers la sortie. Mais quand même, ça s'est passé. C'est troublant, pareil, de donner des coups de pied au monde, simplement à cause de leur origine. Il y a du monde qui sont vraiment, vraiment racistes au bout de leur chaîne. Ce qui se passe en France, oui, Edou.
[00:20:04] Speaker A: Non, non, non, mais là on est comme... Je suis comme en interrogation, c'est parce qu'on avait Dan Flores à 7h10, je sais pas trop, il y a un flottement.
[00:20:11] Speaker C: On est un bloc avant.
[00:20:12] Speaker A: Mais c'est le flottement de Montréal Live. Donc l'heure est tout à fait relative.
[00:20:16] Speaker B: Je vous fais entendre un citoyen français qui parle de la France dans laquelle il vit aujourd'hui, puis on va se laisser là-dessus.
[00:20:23] Speaker D: À un moment, mon fils dit « j'y vais plus ». Il avait 11 ans. J'ai dit pourquoi tu ne vas plus ? Il me dit au type d'espoir bonjour, il ne me passe pas la balle, il m'engueule quand j'ai le ballon et il ne prend pas la douche avec moi, je me casse. Et évidemment, je suis désolé de le dire parce que c'était la vérité, dans l'équipe il n'y avait que des maghrébins et des noirs. Mais c'est la réalité du football. C'est la réalité du football, j'allais dire en Ile-de-France, mais c'est la réalité du football français aussi. Si vous allez voir un match de division d'honneur en région parisienne, vous verrez en général qu'il y a un blanc sur le terrain. Il est ou gardien de but ou arrière-droit. Et regardez l'équipe de France. L'équipe de France, aujourd'hui, il y a 11 Noirs.
[00:21:08] Speaker B: Donc, ça fait beaucoup jaser cet extrait-là. Cet extrait-là fait le tour, évidemment. Encore une fois, on appelle au racisme, mais c'est une réalité, ça change, ça a beaucoup changé. Puis effectivement, dans l'équipe de France à l'heure actuelle, il n'y a pas de blanc dans le 11 partant de l'équipe de France, comme quoi.
[00:21:25] Speaker C: Ça fait longtemps que Zidane jouait. En fait, Zidane commençait à jouer dans l'équipe française, parce que ça parlait déjà de la couleur de peau des joueurs.
À une époque, il y avait un mix. Peut-être, en effet, c'est moins le cas aujourd'hui, je ne sais pas.
[00:21:41] Speaker B: Moi, je suis inquiet de ça, pas tant que... pas en tout, en fait, du fait qu'il y ait des gens qui soient racisés, qui soient dans l'équipe de France, mais plus, c'est la réaction que les gens ont autour. Et cette réaction-là n'est pas écoutée par personne. On fait comme si c'était des épais qui pensent que la Terre est plane, puis qu'ils vont mourir, puis on n'entendra plus parler, mais c'est pas vrai. Il y a de plus en plus de monde qui sont tannés par rapport à ça. Il y a de plus en plus de monde, puis on commence à le voir ici. En fait, quand on fait jouer les extraits de la France, on les fait jouer parce qu'on veut pas que ça devienne comme ça ici.
On veut pas que ça devienne comme ça ici. Donc, il y a des gens qui ont des préoccupations, qu'elles soient légitimes ou non. Faut qu'on les écoute, faut qu'on les entende.
[00:22:24] Speaker C: Tu sais, pis le point, moi, que je retiens beaucoup de ce qu'il a dit, c'est parce que... pis ça semble... C'est un problème que je pense qu'on a moins ici, mais qui est très présent en France. Il y a vraiment des tensions raciales et qui viennent pas juste des Blancs, là. C'est pas les Blancs... Ça s'aime pas entre différentes couleurs, là. Tu sais, pis lui, il parle de son kid qui est Blanc. Il s'en va jouer au soccer avec une gang qui sont généralement pas Blancs, pis ils font même pas de passes.
Toi, t'es blanc, on t'exclue. Ça existe dans l'autre sens aussi, là?
[00:22:50] Speaker A: Oui, oui, ça existe. Est-ce qu'on peut parler des Asiatiques aussi, qui sont discriminés par beaucoup de Noirs? Est-ce qu'on peut en parler aussi? Quand on parle de ces discussions-là, on parle jamais, jamais des Asiatiques, si vous avez remarqué. Le racisme, ça existe, oui, ça existe. Qu'est-ce que tu veux qu'on fasse? À la fin de la journée, là, moi, je parle avec des fans de foot. de la Coupe du monde qui s'en vient aux États-Unis. Voulez-vous que la France gagne? Oui? OK, parfait. Le mandat de la sélection...
[00:23:23] Speaker C: C'est de monter, c'est ça.
[00:23:24] Speaker A: C'est de monter la meilleure sélection. Et on veut le trophée. Tout le monde était fier du Paris-Saint-Germain, quand il a gagné la Coupe des champions, c'est ça, en France? Bien voilà, vous l'avez gagnée. Il n'y a pas de couleur.
[00:23:40] Speaker B: Je suis entièrement d'accord avec toi, Dom, mais moi, mon point, c'est juste qu'il.
[00:23:44] Speaker A: Faut écouter Et les meilleurs canadiens au soccer sont noirs. Le meilleur canadien est noir.
[00:23:50] Speaker B: Même si ce discours-là nous semble archaïque, nous semble totalement... Ah, ça existe, c'est sûr. Faut qu'on l'écoute, ces gens-là.
[00:23:56] Speaker A: Oui, absolument.
[00:23:57] Speaker B: Parce que c'est là qu'on devient, qu'on se chicane, pis c'est la tension à l'heure actuelle qu'il y a entre... Plusieurs clans, socialement, viennent du fait qu'on a décidé, qu'on a refusé. Le wokisme vient du fait qu'on a refusé d'écouter du monde.
[00:24:11] Speaker C: Oui.
[00:24:11] Speaker B: Nous autres aussi, on est coupables de ça. Tu sais, il y a des gens qui nous disaient, par rapport à l'identité sexuelle, ça fait des années qu'il y a du monde qui nous dit « je suis en crise, je suis en crise », pis on a ri d'eux autres. Écoute, à un moment donné, ils se sont choqués, ils ont formé le wokisme. Pis ça, ça nous a choqués. Pis t'sais, c'est toujours d'un extrême à l'autre. On se refuse d'écouter « Ah, c'est un cave lui ». Mais non, c'est pas un cave, il fait juste pas se sentir comme toi, il fait juste pas penser comme toi. Pis tant il y a aussi longtemps qu'on pense que tout le monde est cave, tu penses que je suis cave, je pense que t'es cave, ben on se parle pas, on règle rien, ça fait juste augmenter le clivage.
[00:24:48] Speaker A: Comme les autochtones. Ici, un peu, un peu beaucoup. Ça s'appelle encore la Loi sur les Indiens. C'est réglé, on leur a donné un chèque. Oui, mais il y en a qui bloquent encore des routes. Peut-être que, je dis pas qu'ils ont tous raison tout le temps, mais il y a peut-être des enjeux qui n'ont pas été réglés. Dans la gouvernance autochtone, il y a encore énormément de problèmes de santé mentale, d'abus sexuels sur les réserves et tout. On leur a donné de l'argent, sacrément, qu'ils s'arrangent. Oui, mais... C'est peut-être pas arrangé, là.
[00:25:16] Speaker B: Ils sont pas contents. Le Canadien va dire que c'est un territoire non cédé, ils vont être inclinés. On met des plasters sur des gros coins.
[00:25:21] Speaker A: C'est ça, l'artifice des plasters.
[00:25:23] Speaker B: Donc, il serait peut-être important qu'on se fasse un vrai beau meeting dans le Pas-Cru et qu'on se mette à jaser la gang ensemble. Le deep dance du vendredi qui se termine sur une note philosophique, anthropologique.