DAN FLEURY: "Si on perd... ON VA CONTINUER DE SE BATTRE!"

September 05, 2025 00:13:54
DAN FLEURY: "Si on perd... ON VA CONTINUER DE SE BATTRE!"
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DAN FLEURY: "Si on perd... ON VA CONTINUER DE SE BATTRE!"

Sep 05 2025 | 00:13:54

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[00:00:00] Speaker A: Oui, ça s'appelle la démocratie. Il y a quand même 140 personnes qui tiennent presque en otage une école au complet. C'est l'histoire de l'Académie Saint-Louis, c'est l'histoire de l'arsenal. Vous connaissez l'histoire. Il y a des bougonneux autour qui ne veulent pas que ça fasse de bruit. Il faudrait jouer du football en silence, pas d'annonce à la maison, pas de cressel, pas de cri, pas de réjouissance, pas d'encouragement. On en est là, les amis, à 48 heures de ce référendum-là. Oui, on appelle ça un référendum. Qu'est-ce qu'on a fait et qu'est-ce qu'on peut faire encore pour tenter de faire entendre raison à certaines personnes. Peut-être que c'est déjà canné. J'en sais trop rien. On va aller rejoindre Dan Fleury, qui est responsable des sports de cette école. Comment ça va, Dan, ce matin? [00:00:49] Speaker B: Ça va bien, merci beaucoup. [00:00:52] Speaker A: Peut-on faire le bilan de la dernière semaine? Qu'est-ce qu'on a fait de concret? Et pas nécessairement toi, mais les gens du politique, les gens de la communauté, qu'est-ce qu'on a fait concrètement pour passer le message? [00:01:07] Speaker B: Ça a été du porte à porte cette semaine. On y retourne d'ailleurs aujourd'hui, peut-être même demain, s'il y a encore des portes qu'on n'a pas été capable de jaser avec les gens. On réalise qu'il y a beaucoup de gens qui sont de notre côté. Il y en a plusieurs. Ce qu'on se rend compte, c'est que c'est un petit groupe qui fait de la propagande, puis qui essaie d'en influencer d'autres. Ça fait qu'on croit vraiment en nos chances de gagner le référendum. les gens sortent voter. Ici, il y a beaucoup de gens qui vont aller voter, puis c'est ça qu'on leur dit. On leur explique aussi que le règlement de la Ville va s'appliquer, que c'est pas vrai, qu'on va pouvoir faire n'importe quoi, n'importe quand, que nos intentions sont encore les mêmes, de tenir nos matchs de football, tout simplement. C'est la seule activité qu'on veut perpétuer. Ça fait que ça a été ça cette semaine. On a eu l'appui de certains politiciens qui sont venus faire du porte-à-porte avec nous. M. Gosselin est venu, M. Villeneuve est venu. Ils sont venus faire du porte-à-porte littéralement. Ils ont cogné aux portes et ont tenté de convaincre des citoyens. Non, il est pas venu. On l'a invité, là, puis je pense que ça marchait pas avec son horaire au moment où on... Ah, ah, ah! [00:02:20] Speaker C: Wow! [00:02:20] Speaker A: Capitaine Sport, qu'on voit le une du Journal de Québec ce matin. Bien fier de mettre le chandail de Team Canada quand c'est le temps d'avoir du capital politique. Ceci dit, je vais être balancé dans le commentaire. Gosselin dans son équipe. C'est correct. Puis Gosselin, dans ce dossier-là, c'est pourquoi j'ai pas grand-chose à y reprocher. Ceci dit, il aurait dû se manifester avant, on le sait, j'y ai dit. J'y ai dit en pleine face, au téléphone. Mais là, on est dans le présent. On vit le 5 septembre 2025 sur Terre. On n'est pas en arrière. On ne peut plus rien faire. [00:02:52] Speaker B: Oui, puis concrètement, Jeff a donné une entrevue à... qui était télévisée hier, qui était quand même... qui était bonne, qui était pour nous, puis qui expliquait exactement dans le sens qu'on veut aller. Ça fait que c'est un état d'enchantérie. [00:03:04] Speaker A: Oui, je donne ça, effectivement. Et Mme Dallaire, rappelons-le, à cause d'un enjeu familial, ne peut pas s'impliquer directement. On peut quand même le dire, c'est ça, à cause du fait qu'un de ses enfants, c'est ça, fréquente l'école. Donc, au plan politique, des avis juridiques, lui indique que la marche à suivre, il faut quand même respecter ça. Ce n'est pas un manque de volonté, très loin de là. Mme Dallaire a amplement soufflé dans la trompette pour alerter la population quant à ça. Est-ce qu'il y a des leaders de la communauté, des anciens nordiques, du monde convaincant? Y a-tu quelque chose qui s'est passé cette semaine à part ça, Dan? [00:03:41] Speaker B: L'équipe de Sam Hammad, et Sam d'ailleurs, qui est venu nous rencontrer hier, ils voulaient s'informer du dossier. Après ça, ils voulaient s'informer en profondeur, bien connaître les enjeux. Puis ils nous appuient, ils nous ont donné leur appui aussi. Ça fait que c'est toujours le fun d'avoir l'appui. [00:03:59] Speaker A: La gang à la chance, t'as-tu là? [00:04:01] Speaker B: Non, on ne les a pas rencontrés. Puis là, nous, demain, c'est la fête. C'est la fête d'ouverture de la saison. C'est la dernière journée où la tolérance qu'on nous a offerte depuis un an, va être en fonction. Ça fait qu'on fait une belle fête de la rentrée. On va avoir des gens qui vont venir. On va avoir un pep talk, j'espère, qui sera mémorable de la part de l'animateur du Rouge et Or depuis le tout début, depuis 1995, Christian Côté, qui va venir nous faire un de ses pep talks légendaires. [00:04:31] Speaker A: En espérant que ça ne fera pas peur au monde des condos. Non, mais c'est particulier. C'est très particulier. On peut-tu faire une mise en scène ensemble, Dan, un matin? Moi, je suis dans le condo, ça cogne à la porte, c'est toi. Qu'est-ce que tu me dis? Moi, je suis un beau gonneux, j'ai une calotte Mercedes, OK? Je suis le mari de l'autre, là. Mais attends, on fait une mise en scène. Tu me dis quoi pour me convaincre? [00:04:58] Speaker B: Ben, je dis... Premièrement, je demande s'ils ont des questions. [00:05:02] Speaker A: Moi, je veux rien, ça va être du bruit, je dors mal, puis je suis tanné. Tu réponds quoi à ça? [00:05:08] Speaker B: Est-ce que vous dormez dans le jour? Parce que les parties de football ont. [00:05:12] Speaker A: Lieu à plus de... Moi je compte mes émissions! [00:05:16] Speaker B: Mais, t'sais... Ah non, mais on fait. [00:05:19] Speaker D: Une mise en scène, c'est la vie, là! Si on vous donne le droit, vous allez faire des raves. [00:05:23] Speaker A: Ouais! [00:05:24] Speaker B: Ouais, mais non, pas du tout. Vous savez, c'est encadré par la règle 1091 de la Ville de Québec. On pourrait pas faire un rave sans faire une demande de grands événements. Ça pourrait pas être accordé dans les conditions d'une école secondaire, sur un terrain de football, sur un terrain de sport. [00:05:38] Speaker A: Y'a combien de matchs, là, dans votre football, là? [00:05:41] Speaker B: Écoutez, ça va représenter seulement 7 jours cette année, là, en 2025, en saison régulière, puis c'est une quinzaine de parties au total. Il y en a seulement deux. [00:05:50] Speaker A: – Sur ce jour maximum, là? [00:05:52] Speaker B: – Oui, c'est 7 jours cette année, puis il y en a seulement deux qui vont être plus tard que 17 heures. [00:05:57] Speaker A: – Avez-vous les dates? Bien, je vais aller au web abru pendant ce temps-là. [00:06:01] Speaker B: On venait fournir les dates à tous les résidents. [00:06:03] Speaker A: Ça, c'est bon, ça, Dan. C'est bon. [00:06:06] Speaker B: On vous invite. On les a d'ailleurs tous invités à la fête de la rentrée. On a vraiment fait une invitation pour tout le monde. On les offre deux hot dogs, une liqueur, un chip. S'ils veulent venir, ils sont les bienvenus de venir vivre. [00:06:16] Speaker A: Tu peux-tu mettre du ketchup dans mon hot dog? [00:06:18] Speaker B: Ouais. Il y a du ketchup, oui. [00:06:21] Speaker A: Dan, as-tu d'autres choses? [00:06:22] Speaker D: Non, ça va être correct. [00:06:23] Speaker A: Je pensais que t'étais prêt. Mais là, je suis convaincu. Vous pouvez y aller. [00:06:29] Speaker C: Ceux qu'on a entendu un peu là, les présidents de syndicats de condos, là ils parlent plus, ils disent pour nous autres c'est un dossier réglé. Ceux qui ont un backlash de certains de leurs membres, qui disent vous nous faites mal paraître ou ils sont sûrs dans leur tête qu'ils vont gagner. [00:06:46] Speaker B: – Bien, ils ne sont pas sûrs dans leur tête qu'ils vont gagner, parce que leur réaction, ils ont envoyé un courriel à tous. M. le Président a envoyé un courriel à tous les résidents qui étaient dans le sens de « il faut voter contre, il faut voter contre ». Ça démontre une certaine crainte, selon moi, qui ont peur de perdre. [00:07:03] Speaker C: Je vais quand même le dire, dans le courriel, il y avait deux photos, qui est genre la piscine publique du condo, j'imagine, avec la cour arrière et tout. Il y avait donc la photo normale avec, il n'y a pas de monde, il n'y a rien, il y a juste la place habituelle. La deuxième photo, il a ajouté des bouteilles de bière qui traînent, des boîtes de pizza, des speakers, et je ne sais pas pourquoi, il y a un chien. Comme si jamais vous permettez qu'il y ait des parties et des affaires à côté. Tout à coup, des chiens vont être laissés en liberté sur nos terrains. [00:07:39] Speaker A: Dan, vas-y avec ton message de fin. Fais un pitch, c'est le temps, on te donne une tribune. C'est vendredi, Moral Live. On est prime time, 7h43. Il y a du monde qui écoute ou sinon il y a des gens qui vont relayer ce message que tu vas livrer. Fais ton dernier pitch. [00:07:54] Speaker B: Écoutez, vous êtes les bienvenus à la fête de la rentrée demain à partir de 10h30. La première partie de football est à 13h. Les gens sont bienvenus pour venir apporter leur support à l'arsenal et à l'Académie Saint-Louis. Pour les gens qui sont habilités à voter, s'il vous plaît, allez voter. Le plus de gens qui vont aller voter, le plus de chances on va avoir de gagner. C'est certain parce qu'on sait que les opposants, souvent eux, vont se déplacer. Ceux qui sont pour, c'est un petit peu plus difficile, ça fait qu'on veut vraiment les convaincre. C'est mon pitch de vente le plus important. Puis, bien, il faut savoir que malgré si jamais il y avait une défaite de notre part, bien, on n'arrêtera pas. On va trouver d'autres solutions. Puis on va continuer de se battre pour que le gros bon sens l'emporte. Là, c'est pas vrai qu'il va y avoir des matchs de football sans bruit à l'Académie Saint-Louis. Là, je ne crois pas à ça. [00:08:41] Speaker A: Quel est le plan B? Là, il n'y avait plus personne qui écoute, là. [00:08:45] Speaker B: Le plan B. Il y en a plusieurs. Ça pourrait être des manifestations. On en a parlé. Je pense que politiquement, il y a des choses qui vont pouvoir être faites. Un coup que le référendum est passé, ça ne devient plus un dossier d'arrondissement. Donc, j'ai l'impression qu'il y a des élus qui vont pouvoir venir s'intervenir dans le dossier. On s'attend à tout ça, mais on n'a pas de promesses. On n'a rien d'écrit. On attend vraiment le résultat du vote dimanche soir à 9 h. Le résultat devrait sortir. Puis on va aviser. Par la suite, on va avoir un plan de match. Là, notre plan de match était vraiment de se concentrer sur le référendum et de le gagner. [00:09:25] Speaker A: Lundi, quel que soit le résultat, on se parle. [00:09:29] Speaker B: Avec plaisir, ça va me faire plaisir. Puis je vous remercie beaucoup de tout ce que vous avez fait pendant les démarches. C'est rien, la communauté. [00:09:36] Speaker A: Les kids, ils jouent contre qui? Il faut quand même le dire, c'est sûr qu'ils l'ont eu dans le pâté contre Saint-Jean-Eudes, l'une des meilleures écoles au Québec. [00:09:42] Speaker B: Oui, c'est ça. On joue contre Armand Corbeil cette semaine, donc les deux matchs vont être contre Armand Corbeil, et le match cadet et le match juvénile. On ne sait pas trop à quoi s'attendre. On n'a pas... [00:09:55] Speaker A: Ils sont moins forts que Saint-Jean-Eudes. Saint-Jean-Eudes, c'est une machine de guerre. Il faut quand même l'admettre. [00:10:01] Speaker B: Ils sont dans un très, très bon cycle. Il y a une petite cadette qui a gagné les bols d'or. L'équipe juvénile a gagné des bols d'or. C'est un groupe qui se rejoint. Oui, ils sont dans un très, très bon cycle. [00:10:12] Speaker C: C'est à quelle heure demain à l'Académie Saint-Louis? [00:10:15] Speaker B: Le parti commence à 10 h 30 demain matin. Le premier match est à 13 h. Il va y avoir plus le protocole puis le pep talk de Christian Côté qui sera à 12 h 30. [00:10:26] Speaker A: Merci. [00:10:27] Speaker C: Parfait. [00:10:27] Speaker A: On souhaite bon succès, quel que soit le résultat, on se parle lundi. [00:10:32] Speaker B: Excellent. Merci beaucoup. [00:10:33] Speaker A: Merci beaucoup. Bon week-end. Bye-bye. [00:10:35] Speaker D: C'est malade. [00:10:37] Speaker C: On va espérer pour le mieux. [00:10:38] Speaker D: Je suis stressé. [00:10:39] Speaker A: Oui, c'est stressant. [00:10:41] Speaker C: Sinon, lundi, on est encore là pour les jeunes. [00:10:43] Speaker D: C'est chez nous, ça. [00:10:44] Speaker C: Oui. [00:10:44] Speaker D: C'est chez nous, c'est notre ville. [00:10:47] Speaker A: Message. [00:10:48] Speaker C: C'est notre ville, mais en même temps, c'est 140 personnes encore une fois. C'est clair que s'il y a un référendum dans la ville au grand complet, qu'à partir de lundi, ils peuvent faire du bruit comme ils veulent. [00:10:57] Speaker A: La tyrannie de la minorité. [00:10:58] Speaker C: Ça serait le même règlement que partout. [00:10:59] Speaker A: Mais ces gens-là, ils ont les dates. Dans le concret, c'est ça que je viens de comprendre. En fait, factuellement, on le sait. Ils ont les dates des matchs. Allez vous promener au Kanazen Tower. Allez vous promener chez Costco. Allez prendre une marche sur le bord du fleuve. Promenade Samuel de Champlain, ça existe. Bon, mais partez le matin, faites-vous un lunch. Non, mais ils connaissent les dates, Dan. [00:11:23] Speaker C: Déménagez dans le bois. [00:11:24] Speaker A: T'aimes pas le bruit, c'est l'enfer! Allez chez votre bruit! [00:11:28] Speaker D: En fait, parce que il est sorti, le gars, il s'appelle Daniel Carmin, le président du syndicat de copropriété. [00:11:35] Speaker C: C'est lui qui aime pas les chiens. [00:11:36] Speaker D: Non plus, faut croire. Il joue contre la Polyvalente, Arma, puis quelque chose, mais il joue aussi contre Karma, en fait. [00:11:41] Speaker A: C'est ça, la Karma Nation. [00:11:42] Speaker D: Voilà. Puis lui, ce qu'il maintient, c'est qu'il est correct avec le bruit, le dimanche, samedi, dimanche, après-midi. Il a peur qu'il fasse des raves, c'est vrai, là. [00:11:52] Speaker A: Quand je dis ça... Ça, c'est faux. Puis soyons honnêtes, Marc-Jean l'a dit clairement, ça. Il a dit qu'il n'y en aurait pas. Le règlement de la ville s'applique. Faut arrêter de délirer. [00:12:01] Speaker C: Puis la campagne de Pâques, c'est que si t'enlèves le règlement d'arrondissement, il y a plus de règlement. [00:12:06] Speaker A: Non, non, non, non. Faut le répéter. Gosselin, là-dessus, soyons honnêtes, il a fait le travail. [00:12:12] Speaker C: Oui, un peu tard, mais il l'a fait. [00:12:13] Speaker A: Il l'a fait. Oui, mais là, moi, je suis le 5 septembre 2025 sur la terre. Il a fait le travail marchant sur les tribunes, puis il aurait dû s'activer plus marchant, mais qu'est-ce que tu veux. J'ai écouté, moi, ses messages clés, des messages clés de marchands. C'est Clair qui dit, calmez-vous Ennard, il n'y aura pas de rave, il n'y aura pas de party, il n'y aura pas de débauche, il n'y aura pas de festival rock, il n'y aura pas de... C'est un délire cette affaire-là. [00:12:36] Speaker D: Surtout que c'est jamais arrivé. [00:12:37] Speaker A: Calmez-vous. [00:12:38] Speaker D: C'est jamais arrivé à Saint-Jean-Eule, c'est jamais arrivé à SSF, c'est même jamais arrivé d'une polyvalente. [00:12:42] Speaker A: L'ancienne polyvalente de Dôme, ça n'arrive pas. Collé sur les maisons. [00:12:46] Speaker C: Ben oui, c'est ça. C'est-à-dire qu'il y a un terrain, il y a une clôture, puis il y a des cours arrière qui commencent. C'est ça. [00:12:52] Speaker D: De toute façon, au prix qu'ils payent les terrains synthétiques, ils ne veulent pas embarquer du monde pendant un jour. [00:12:58] Speaker A: Tu ne vas pas endommager les surfaces, ça coûte cher à entretenir. On se dit que ça n'existe pas cette affaire-là, c'est une invention. C'est du bonhomme sur la terre. [00:13:07] Speaker D: Quand tu veux tuer ton chien, tu l'accuses d'avoir la rage. [00:13:10] Speaker A: Absolument. [00:13:11] Speaker D: C'est un peu ça qu'ils sont en train de faire. Eux autres, ils veulent pas endurer le bruit la fin de semaine. Fait qu'ils disent, le bruit la fin de semaine, ça nous dérange pas. C'est toutes les autres activités connexes qui viennent avec, mais y'en a pas d'autres activités connexes. [00:13:21] Speaker A: Ça n'existe pas. Ça n'existe pas. [00:13:23] Speaker D: En fait, ce que l'Académie Saint-Louis veut, c'est pouvoir faire de l'animation pendant les parties de football de tous les calibres, donc... [00:13:29] Speaker A: C'est ça. [00:13:29] Speaker D: Benjamin Cadet Juvénile, l'automne et au printemps, le faire avec les filles au flag football. C'est ça qu'ils demandent. [00:13:35] Speaker C: C'est ça. [00:13:36] Speaker A: C'est tout. [00:13:37] Speaker C: Parce que sinon, les autres activités d'école, ils vont les faire sur d'autres terrains parce qu'il y a juste comme sur le bout de terrain de football qu'il y a un règlement particulier. Fait que t'sais, s'ils veulent faire un party à la fin de l'année pour les kids du secondaire 5 qui terminent, ils peuvent le faire sur les autres terrains d'école.

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