MICRO-ONDES: Selon la Gauche Folle, la Chine N'EST PAS UNE DICTATURE!

September 05, 2025 00:19:03
MICRO-ONDES: Selon la Gauche Folle, la Chine N'EST PAS UNE DICTATURE!
Maurais Live
MICRO-ONDES: Selon la Gauche Folle, la Chine N'EST PAS UNE DICTATURE!

Sep 05 2025 | 00:19:03

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[00:00:04] Speaker A: Parlant de Boomer, il y a eu un ressac, c'est sûr, en France, Béjrou, c'est le premier ministre, qui est pogné avec un sapré déficit, suggère des coupes, ça crie, vous le savez, les Français veulent pas couper, c'est pas dans ma cour, coupe l'autre, pis l'autre dit non, coupe l'autre, etc. Ça fait penser au Québec beaucoup. Et là, ben... Oui, vas-y, Dan. [00:00:26] Speaker B: Ben, t'en parles pis... T'sais, la nouvelle est sortie cet été pendant les remplacements pis j'ai fait une ligne ouverte là-dessus. Est-ce que vous accepteriez qu'on vous coupe deux journées fériées? Pis les Québécois accepteraient pas non plus qu'on leur coupe deux journées fériées. Ben, en fait, les auditeurs. [00:00:40] Speaker A: Là, j'ai trois extraits à vous faire entendre. Ça va rouler. Les boomers réagissent. Donc, on est allés dans la rue en France et voici comment ça réagit. Vous avez été privilégié ou pas ? Comment vous prenez ? [00:00:52] Speaker C: Non, on n'a pas été privilégié de tout. Je dirais même qu'on a bien ramé quand même. Devrait-elle payer aujourd'hui pour aider les plus jeunes ? J'ai connu quatre licenciements économiques, donc on ne peut pas dire que c'était lissé. On se remet au boulot, on se fait des formations et on repart. S'il faut être solidaire, il faut que les gens se remettent un peu plus au boulot. [00:01:17] Speaker D: Nous, on a fait le taf. [00:01:19] Speaker C: Bernard? [00:01:20] Speaker B: Nous, on a fait le taf. Ça, c'est Marie Vaughn, de 70 ans, une retraitée. Elle a dit non, non, nous autres, on n'a pas été avantagés plus que les autres, les boomers. Donc, enlevez-nous rien. On veut rien enlever, puis je donnerai pas une scène de plus pour aider les plus jeunes. Maintenant, tu peux écouter... Je t'invite à écouter... [00:01:37] Speaker A: On va chanter en fil, les trois, là. [00:01:39] Speaker B: Je t'invite à écouter Bernard. [00:01:40] Speaker A: 75 ans. [00:01:41] Speaker B: Oui, 75 ans, retraité. [00:01:43] Speaker A: 4-8-7-7-0-9-0-9-8 aussi. On invite les livers, les boomers X, comme on les appelle, à réagir. Et boomers non X également. [00:01:53] Speaker B: Nous, on pensait pas à l'avenir, puisqu'il y avait du boulot, on savait qu'on aurait notre retraite. Il n'y avait pas ce problème. Aujourd'hui, tous les jeunes se posent la question. Demain, comment sera demain? [00:02:05] Speaker C: Alors serait-il prêt à contribuer, à soutenir les plus jeunes générations, comme le demande le Premier ministre ? [00:02:11] Speaker B: « Je ne peux pas, je suis au ras des pâquerettes, je suis à 1000 balles. Donc quand j'ai tout payé, il ne me reste rien. Mais si demain, je pense à 1500, je suis prêt à sacrifier 200 balles. » Donc il est prêt à sacrifier 200 balles pour aider les plus jeunes. [00:02:29] Speaker A: Et finalement, je finis avec une madame de 63 ans, Catherine. [00:02:32] Speaker D: Ma solidarité, elle s'exprime tous les jours vis-à-vis de ce que je paye en impôts, en taxes. Et à priori, je trouve ça normal. Mais si ça va, au bon endroit. [00:02:50] Speaker C: Tous ont en tout cas un point commun. Ils s'estiment stigmatisés par les propos du premier ministre sur les boomers. [00:02:57] Speaker B: On voit là, sur le stigmatisé, elle, ce qu'elle dit, le problème c'est pas les Beaumont, le problème c'est l'administration. [00:03:02] Speaker A: Oui. [00:03:02] Speaker E: Puis c'est parce qu'en Québec, c'est comme trop tard. On a le même problème un peu au Québec, là. Je prends l'exemple, mettons, de la Régie des rentes. [00:03:09] Speaker A: T'es obligé d'augmenter la cotisation pour assurer la viabilité. [00:03:14] Speaker E: Exact, pour assurer la viabilité du système. Parce que pendant des années, les boomers, et surtout ceux qui arrivent à la retraite, c'est encore des boomers, ont pas payé la juste part qu'ils auraient dû payer. Là, tu peux pas arriver 20 ans plus tard et dire « ouais, ok, finalement, voilà la facture, c'est ça que tu me dois ». Ça marche pas de même. [00:03:32] Speaker A: Ce qui ressemble à un scheme de Ponzi, c'est-à-dire le nouvel arrivant dans le système paye beaucoup pour assurer les redevances de ceux qui sont en fin de ligne. [00:03:41] Speaker E: Oui. [00:03:41] Speaker A: Mais ceux qui saignent les 18... 35 ans. [00:03:45] Speaker E: Puis qui vont payer toute leur vie. [00:03:46] Speaker A: Payent toute leur vie. La caisse va être vide au bout. Maintenant, c'est pas le point de faire des boucs émissaires. C'est là que c'est dangereux. C'est de la faute de tous les boomers. T'sais, y'a des boomers qui ont shkagené, y'en a d'autres qui ont travaillé au privé, y'a des p'tits entrepreneurs là-dedans. Mais y'a également des gens qui ont travaillé au gouvernement pis qui sont tombés en retraite à 53 ans aussi. [00:04:09] Speaker B: Ce qui était le cas de Marivonne, qu'on a entendu la première. Elle a travaillé au gouvernement avec la patente. [00:04:15] Speaker E: Pis je la crois, la madame après ça qui dit, c'est le monsieur qui disait «j'ai pas 1000 balles, j'ai pas 1000 piastres de côté, moi là je vis au jour le jour». Il existe aussi ce monde-là. [00:04:24] Speaker B: Je l'ai trouvé d'une transparence parce que c'est la majorité. Je n'ai pas regardé. Je n'ai pas regardé le futur. [00:04:30] Speaker E: Ça allait trop bien. [00:04:31] Speaker B: C'était facile. On perdait notre job, on en retrouvait un autre. [00:04:33] Speaker E: C'est ça. [00:04:34] Speaker B: Donc je dis non, je n'ai pas mis l'argent de côté, puis je vis ses pensions à 1 000 € par mois. [00:04:39] Speaker A: Moi, je pense que l'enjeu principal, oui, ça, c'est un gros enjeu, les retraites et tout. Mais je pense que, et malheureusement, Ça a eu peu d'attention cette semaine, mais la sortie de Poitliev concernant la fin ou l'arrêt ou la mise au cran de... [00:04:52] Speaker E: Les travailleurs étrangers. [00:04:53] Speaker A: Les travailleurs étrangers, moi, je trouve que c'est essentiel. [00:04:55] Speaker E: Excepté dans l'agricole. [00:04:57] Speaker A: C'est ça. Parce que les conçois de fraises, ça n'en aura pas, là. Les Québécois décident de pas y aller, pis ça a l'air que les Ontariens y vont pas plus. Cueillir les cocombes, cueillir les fraises pis les framboises. OK, ça, on tasse ça. Effectivement, c'est épisodique. C'est saisonnier, on tasse ça. [00:05:12] Speaker E: Le taux de chômage chez les 15-24 au Canada est à 15 %. [00:05:16] Speaker A: C'est quand vous avez des grosses chaînes de restauration rapide qu'il faut venir des étrangers pour travailler, alors que la petite et le petit n'ont pas de job. Ça, c'est un enjeu. Si le gouvernement du Québec veut être vraiment focussé, c'est là-dessus. Là, ils sont en perdition totale. Les deux gouvernements sont en perdition. Il y a Carney qui... Là, il a utilisé... Ça, c'est-tu dingue, en passant, le A-word... Comment t'appelles ça le mot qui a été utilisé pour caractériser le budget de Couillard? [00:05:48] Speaker E: L'austérité. [00:05:49] Speaker A: L'austérité! Là, il a dit austérité une fois, paraît-il qu'il se fait ramasser par ses consignes. Il dit pas ça parce qu'au Québec, il aime pas ça. Mais c'est dingue! Ça n'en prend de l'austérité. C'est quoi la définition de l'austérité? Ouais, mais c'est le mot qu'il a utilisé. [00:06:03] Speaker E: Je sais, je sais. Parce qu'il dit... Ouais, mais faut dire. [00:06:05] Speaker A: L'Autre mot qu'il venait avec. [00:06:06] Speaker E: Il venait investissement aussi. [00:06:08] Speaker A: Ouais, c'est ça. Donc, la dépense. La dépense, mais autrement. Regardez la définition d'austérité, c'est de la rigueur. C'est un synonyme de rigueur. Mais il dit pas ça, là! Tu vas perdre le pouvoir pis ci, pis ça! Anyway. Allons à Montréal, ça va tellement mieux. Là, ça va en prendre de l'austérité parce que la ville croit l'an prochain quasiment à un déficit de 300 millions. On le rappelle, les villes n'ont pas le droit de faire des déficits. Faut que ça « fit ». Faut que t'appareilles qu'il y aura une aide d'urgence de Montréal. Je vois ça venir. Un programme spécial pour venir en aide à Montréal. [00:06:40] Speaker E: C'est déjà arrivé par le passé. [00:06:41] Speaker A: C'est déjà arrivé. [00:06:42] Speaker E: La Ville de Montréal, t'es pas capable de payer les fonds de pension de ses employés, pis c'est le provincial qui a payé une partie. [00:06:48] Speaker A: Et là, l'automobiliste de Montréal, avec qui on va jaser peut-être au cours des prochains jours, il est intéressant, ses posts sont intéressants, puis il met des vidéos intéressantes. Puis lui, il va à des endroits où les mainstream media vont pas, c'est-à-dire des réunions d'arrondissement, où t'as parmi les pires gauchistes de Projet Montréal, qui font de sorte de s'imagrer, puis qui insultent le monde. Donc j'ai deux extraits à vous faire entendre. D'abord, le nommé Michelin Rouleau, qui décide de ridiculiser les inquiétudes de certains citoyens. [00:07:16] Speaker D: Et on s'est fait dire quoi? Parce qu'il y avait des gens, dans le fond, là-bas, là, bien, ils ne pouvaient plus voir le bord de l'eau de la fenêtre de leur cuisine. Regarde, mon grand, vends ton condo puis achètes un eau, tu vas voir le bord de l'eau, là. Mais lâchez-moi le nombril, pour l'amour, ça n'a pas de bon sens. On n'ira nulle part. On essaie de développer un centre d'achat. Si c'est comme ça qu'on pense, qu'est-ce qu'on va avoir comme boutique dans le centre d'achat si on n'est pas capable de permettre à des nouveaux investisseurs, parce qu'Andréa, c'est pas une nouvelle investisseur, là, c'est son édifice, son terrain, sa bâtisse. Il voulait améliorer son sort commercial, c'est tout à fait normal, sa rentabilité avec un projet. Neuf-vingt ans que ça a pris. Mais il aurait eu le temps d'avoir une famille de 12 là-dedans, à peu près, là. Au moins, il aurait eu quelque chose. Là, il est toujours pris avec quelque chose qui ne reste pas. Et en passant, le 9e appartement, le condo qui devait être sur le dessus, bien là aussi, il nuisait un monsieur en arrière, hein, dans les petites maisons de deux étages, là. Qu'est-ce qu'il a fait, Andrea? Il a enlevé l'étage, il a tourné un petit peu la bâtisse sur le terrain pour être capable de jouer, pour pas perdre l'arbre en avant, pour pas trop nuire au monsieur en arrière qui était venu ici, là, pleurer sa petite larme, là, parce qu'il perdait sa vue. Pis on a fait quoi? On a fait... C'est correct. Fait qu'André a retourné à la table à dessin. Là, il faudrait que... Je sais plus. Mais je vous dirais, citoyen de la Chine, parlez-vous! Parlez-vous, parce qu'on ne peut pas, comme ça, repousser des projets de cette façon-là, petits ou grands ou moyens, juste parce que, bien, je pense que ça ne marchera pas. Bien, je vous dirais que là, c'est sûr que pour Andréa, ça ne marche plus. Là, il faut faire quelque chose. Alors, démolition, il y aura. Est-ce qu'on va se retrouver avec un terrain vide? [00:09:14] Speaker A: Ça ne me tente pas d'être politicien pour gérer le monde dans la salle. [00:09:18] Speaker B: C'est ça, c'est beaucoup ça. C'est gérer le monde dans la salle parce que voici l'histoire. C'est à la Chine. Il y a un terrain où on veut construire un bâtiment d'habitation. De l'autre côté, il y a des cottages. De l'autre côté, ce n'est pas de l'autre bord de la rue, mais c'est à une certaine proximité, il y a des cottages qui ont une vue sur le fleuve. Puis eux autres disent, si tu bâtis le bâtiment d'habitation, j'aurais plus de vue sur le fleuve. [00:09:43] Speaker A: Ça me fait penser au phare, remember? Ça va faire de l'ombre, je verrai plus! [00:09:47] Speaker B: C'est comme si les résidents de Vanier s'opposaient à la rénovation de Place Florianis parce que c'est un peu ça, c'est un projet où on fait des appartements au-dessus d'un centre d'achat. [00:09:56] Speaker A: C'est ça, la nouvelle mode. [00:09:57] Speaker B: C'est comme si les gens qui restent à Vanier disaient on veut pas du projet des Frères Trudel parce que ça va m'empêcher de voir le complexe. [00:10:05] Speaker A: C'est un peu ça. C'est un peu ça, ouais. [00:10:09] Speaker B: Ça va m'empêcher de voir le centre-ville. le skyline de Québec. [00:10:14] Speaker A: Le projet Montréal, pour vrai, ça va nulle part. Les Montréalais sont ben bêtannés. Arrangez-vous avec. [00:10:22] Speaker B: M. Costa, on va se parler. Ça donne rien. Ça donne rien. Excusez-moi, monsieur, parce que j'étais ici la dernière fois. Vous m'avez promis, vous m'avez promis. Ils font tout à cachette. On demande des preuves, ils n'ont pas de preuves. C'est le projet Montréal. C'est pas le projet Montréal, c'est détruire Montréal. [00:10:40] Speaker A: Parlant de Détruire Montréal, on a entendu une Iranienne cette semaine dénoncer les prières de rue. Mais voici une autre personne qui fait partie de ce groupe-là, qui est allée quand même d'une belle sortie. On n'a pas beaucoup entendu parler, mais quand même, c'est vigoureux. Ça se passe devant la base relique Notre-Dame. Dénonciation de l'islam politique. L'islamisme, la prière collective en public, n'est pas un acte spirituel. C'est un acte politique. Un signal. Un signal puissant. C'est un appel au djihad. Ce n'est pas une question de religion. C'est une question de territoire. C'est l'une des premières étapes de la conquête. Et l'étape suivante, c'est la soumission. La soumission des non-croyants, des infidèles, de tout ce qui ne se plie pas. Ça, c'est le plan de marche des frères musulmans. Il y a dix ans ici, dans le studio, qui a été rénové depuis le temps, je lisais ça et on me traitait de coucou. Aujourd'hui, ces mêmes personnes-là passent pour des champions du monde, et il y a certains leaders d'opinion de Montréal qui disent « Ben oui, c'est ça, il y a dix ans à Radio X, je faisais ça avec Marc Lebuy, le thème « Vivre ensemble », avec Jean-Claude, je faisais ça, et je passais pour un timbré pis un coucou. Alors voilà, j'étais dix ans en avance, ben là on est dedans les amis. Ben c'est ça. On aurait peut-être dû plus s'impliquer il y a dix ans, parce que là, vraiment, c'est quasiment irrécupérable. [00:12:18] Speaker E: Je reviens avec la même question une fois de temps en temps. Où sont les fémennes quand on a besoin d'elles? [00:12:22] Speaker A: C'est celles qui se promenaient? [00:12:24] Speaker E: Oui aussi, non mais tu sais, celles qui allaient se promener les Seins-Nus à la F1. Pourquoi ils vont pas faire ça dans des manifestations comme ça d'islamistes? Ou d'ailleurs, l'autre chose qu'ils font en public, c'est qu'ils excluent... Les femmes sont de côté, les femmes sont en arrière. [00:12:41] Speaker A: Ça prendrait des femmen, et après ça, là les gens vont dire « Ah, Morret, dis pas ça, là, lancer du bacon, c'est un peu hardcore. » OK. Tu promènes juste ton chien. Ils aiment pas les chiens. Dan et Dom seraient le fun. [00:12:54] Speaker B: Oui. [00:12:54] Speaker A: On promène minuit et Billy. Billy et minuit. On tourne en rond avec le chien. On tourne en rond. On tourne autour du groupe avec le chien. [00:13:02] Speaker B: Avec une fémine au sein nu. Ce serait un spectacle incroyable. [00:13:05] Speaker A: Voulez-vous ça, les livers? 88-770-9098. [00:13:08] Speaker B: By the way, salutation à la presse qui invite presque les Montréalais à aller s'attaquer aux cyclistes la semaine prochaine. [00:13:13] Speaker E: Ouais. [00:13:15] Speaker A: C'est la une. D'ailleurs, la une de la presse de ce matin, c'est ton histoire d'hier, Dan, en passant. Ouais, effectivement, ça fait ça. Ça fait « Eh oh! La gang, ramassez-vous des pois de pisse! [00:13:25] Speaker E: » Après l'Espagne, Montréal. [00:13:27] Speaker A: Ben oui, tu as réitéré ce que tu racontais hier. [00:13:30] Speaker B: Ben c'est simplement que, pis moi je parlais surtout des autorités espagnoles qui font pas leur job, parce qu'Israël, premier TEC, ils font des courses dans tous les pays du monde depuis le début de l'été, depuis le début de l'année même, ils ont commencé en Australie en janvier. Il y a toujours des manifestations parce qu'ils sont commandités par l'État d'Israël. Mais c'est pas des Israéliens, tu comprends. Il y a quatre Canadiens dans cette équipe-là. Il y a des Américains, il y a des Néerlandais, il y a des Anglais, il y a des Français, il y a des Italiens. Ils sont 24 coureurs, il y en a de toutes les nationalités. Ils ont un Israélien dans l'équipe. Et puis, ils se font attaquer, ils se font lancer de la piste, ils se font lancer des clous, ils se font lancer des punaises depuis le début. Mais toutes les fois, quelqu'un essaie de s'en prendre physiquement à un coureur d'Israël, il y a toujours de la police qui est là pour intervenir. Dans tous les pays jusqu'à maintenant, ils sont escortés, on les protège. Là, ils sont en Espagne pour le tour d'Espagne. et la Guardia Civil n'est pas capable de les protéger. [00:14:21] Speaker A: C'est des bénévoles qui s'entendent tant bien que mal de maintenir l'ordre. [00:14:24] Speaker B: Exactement. Hier, l'union cycliste a demandé au gouvernement espagnol de faire quelque chose. Et le gouvernement espagnol a demandé à l'équipe Israël Premier Tech de se retirer de la compétition. Je vous le dis, c'est dégueulasse. Mais Israël Premier Tech, ils seront ici la semaine prochaine. Ce ne seront pas les mêmes coureurs. [00:14:43] Speaker A: Mais la une de la presse, effectivement, Est-ce qu'on va connaître vraiment ce qui s'est passé en Espagne ou au Québec? C'est comme une invitation. On va vous montrer le trajet. [00:14:54] Speaker B: La France, c'est pas arrivé parce que la police a fait sa job. En Italie, c'est pas arrivé parce que la police a fait sa job. [00:14:59] Speaker A: Ici à Québec, la police va faire sa job. [00:15:01] Speaker B: En Suisse, en Angleterre, aux Pays-Bas, en Hongrie. Ici à Québec, ça n'arrivera pas. [00:15:08] Speaker A: Ici, ça n'arrivera pas parce qu'ils ne prennent pas de marde. À Montréal? [00:15:11] Speaker B: À Montréal, on ne le sait pas. [00:15:13] Speaker A: Ok, la gauche est vraiment folle, hein? Pis le grand tenant de ça, c'est Jean-Luc Mélenchon. En voici un extrait d'une tension avec... C'est une journaliste, je crois. Le gars, il est complètement n'invape. Si vous pensez que Ruben Gazal est à l'extérieur de ses baskets, ce gars-là est vraiment, vraiment whack. [00:15:31] Speaker C: Vous parlez d'un antisémitisme résiduel quand une enfant de 12 ans s'est fait violer à coup de selle juive. [00:15:37] Speaker F: – Ecoutez jusqu'à présent vous étiez correct. [00:15:37] Speaker C: – Je termine ma phrase monsieur Mélenchon. [00:15:40] Speaker F: – Non attendez, jusqu'à présent vous évitez d'insulter les gens. – Non je n'ai pas dit ça et vous le savez aussi bien que moi. [00:15:46] Speaker C: – Je termine ma phrase. [00:15:47] Speaker F: – Non vous êtes juste une ancienne candidate de la liste Europe Écologie Les Verts qui trouvait l'occasion de me taper dessus. Parce que quand vous avez été sur cette liste, avec cette magnifique ligne que vous défendez, vous avez diminué par 2 le score de votre liste. Alors s'il vous plaît, ayez au moins la pudeur de ne pas insulter les gens. [00:16:02] Speaker C: — Est-ce que je peux terminer ma phrase ? [00:16:03] Speaker F: — Vous avez le droit, madame, mais vous n'avez pas le droit de m'insulter. [00:16:06] Speaker C: — Je vous ai pas insulté, monsieur. — Si, ça. — Je vous vous n'avez fait que pose une question. [00:16:08] Speaker F: — Un homme qui est capable de dire une chose comme celle que... Non, vous citez rien, vous inventez. [00:16:12] Speaker A: — Déjà, je suis pas un homme. [00:16:12] Speaker C: Je suis une femme. [00:16:13] Speaker F: — Vous inventez. [00:16:14] Speaker C: — Je liste des choses qui sont... [00:16:15] Speaker A: — elle invente ? [00:16:15] Speaker B: Pourquoi Pourquoi elle invente ? [00:16:16] Speaker A: — Non, mais je termine ma phrase. [00:16:17] Speaker C: Vous insultez tous les jours des journalistes sur Twitter. Vous réintégrez un député qui a été condamné pour violences sexistes et sexuelles. Donc d'abord vous n'êtes pas féministe, ensuite vous n'êtes pas humaniste, ensuite vous n'êtes pas universaliste et enfin vous n'êtes même pas républicain. [00:16:34] Speaker F: Comment osez-vous ? [00:16:39] Speaker C: Monsieur, comment osez-vous aspirer à représenter le peuple de gauche quand vous n'en avez. [00:16:44] Speaker A: Plus aucune composante ? [00:16:48] Speaker F: Non, je ne vais pas perdre mon temps. Tout ce que vous avez dit, madame, écoutez-moi bien. Tout, sans exception. est un mensonge. Donc je ne perdrai pas une seconde à démonter vos sottises, une par une. Vous êtes quelqu'un de parti pris, et vous êtes quelqu'un qui est aligné politiquement, mais vous avez l'hypocrisie de faire semblant. [00:17:04] Speaker A: — Oui, mais tous les deux, vous êtes de gauche. Donc là, on a deux gauches irréconciliables. [00:17:07] Speaker F: — Je ne sais pas si madame est de gauche, parce que quand on agresse les autres avec ce vocabulaire... Oui, oui, oui. [00:17:12] Speaker C: — J'ai agressé M. Mélenchon ? [00:17:13] Speaker A: — Vous êtes de gauche, vous autres ? [00:17:15] Speaker F: Non, elle ne m'a pas agressé, elle a dit que je m'amusais d'un viol, elle a dit qu'il y avait des drapeaux des Molas dans nos manifs. [00:17:25] Speaker A: Ce qui est tout à fait vrai. [00:17:26] Speaker B: J'adore la télévision française. Ben oui, c'est ça. J'adore ça. [00:17:30] Speaker A: Mais c'est tout à fait vrai, dans les dents. Puis je vais finir avec un extrait d'une représentante de son parti, à lui, à Mélenchon. Donc l'extrême-gauche, si vous voulez, la gauche folle, la gauche radicale. La Chine, au fond, est-ce que c'est une dictature? Il me semble que... Oui. Je sais pas. Ah, franchement, Adam, franchement. Juste une question très simple. Est-ce que la Chine est une dictature? [00:17:54] Speaker G: De mon point de vue, et selon les règles, moi je ne considère pas que la Chine est une dictature. La Chine est un système politique à partis, d'ailleurs il y a huit partis, donc ce n'est même pas un parti unique, mais un parti dominant qui est le parti communiste chinois. Il y a un système politique où il n'y a pas un seul homme qui dirige la Chine. [00:18:14] Speaker A: La critique du régime est impossible ? [00:18:16] Speaker G: La critique du parti communiste chinois est impossible mais après vous pouvez critiquer des mesures qui sont prises, des propositions politiques qui sont faites. La liberté d'expression en Chine n'est pas aussi menacée à mon avis que celle qu'on a en France. Aujourd'hui c'est compliqué de parler de liberté d'expression en France et de donner des leçons sur la liberté de la presse, la liberté d'expression. [00:18:40] Speaker A: Vous placez les deux au même niveau ? [00:18:42] Speaker G: Vous prenez le placement international pour la presse et pour les journalistes et vous voyez où est classée la France, il n'y a pas de quoi fanfaronner. [00:18:53] Speaker A: Elle est donc députée. On lui rappelle quand même que d'après le dernier classement RSF, la France est classée 25e et la Chine 178e.

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