Des écoles fermées à cause DES AUTOBUS LION!!!

September 12, 2025 00:41:04
Des écoles fermées à cause DES AUTOBUS LION!!!
Maurais Live
Des écoles fermées à cause DES AUTOBUS LION!!!

Sep 12 2025 | 00:41:04

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[00:00:00] Speaker A: Et la chasse à l'homme qui se poursuit. Peut-être vous donner des informations quand parfois vous cherchez votre cellulaire, en vous réveillant, oui, ils l'ont-tu trouvé, ils l'ont-tu trouvé, ils l'ont pas trouvé encore. Chasse à l'homme qui se poursuit. Mais Richard, la tendresse nous a dit hier que c'est le temps de tourner la page, qui est très, très déçu de voir que Donald Trump ne se comportait pas comme un homme qui voulait tourner la page. C'est l'enfer. Le cadavre, la dépouille de Charlie Kirk est arrivé au salon funéraire pour préparer des funérailles. Le FBI offre une récompense pour trouver un gars qui s'est sauvé, qui est sauté en bas du toit de l'école et qui a laissé son arme sur place. On a juste retrouvé son arme, finalement, une arme qu'il avait, je pense, jetée dans des buissons. Mais ça se poursuit, tout ça. Mais il faut tourner la page, mon cher Dan! C'est fini, ça, cette affaire-là! Arrêtez! On est rendu ailleurs! Voyons, c'est vendredi! [00:01:09] Speaker B: Les gars sortent à la chasse, ça! [00:01:11] Speaker A: 6H01, ça va bien? [00:01:12] Speaker B: Hey, numéro 1! [00:01:13] Speaker A: Yes! Numéro 1! C'est la chasse qui va à la chasse par sa place. [00:01:16] Speaker B: Ben voilà. [00:01:16] Speaker A: Y'a-tu beaucoup de veuves de chasse en onde, en ligne? 88-670-9028. [00:01:22] Speaker B: Vous allez où samedi soir? C'est ça la question. [00:01:24] Speaker A: C'est ça. [00:01:25] Speaker B: Les veuves de chasse, vous allez où le samedi soir? [00:01:28] Speaker A: Metallica, Symphonique, ben ça peut être, toi tu parles de 5 à 7 à quelque part. [00:01:34] Speaker B: Ben ça peut être ça samedi soir, t'sais, ça dépend ce que tu chasses. Il y a des gars qui vont aller chasser plus tard en octobre. Je pense que l'orignal, c'est plus tard. Mais oui, tranquillement, mais sûrement, ça prend un dossard pour aller dans le bois. [00:01:46] Speaker A: Je pense que c'est un bon gag, Mathilde. Je pense qu'on devrait faire profiter tous nos distoires. [00:01:53] Speaker B: Savez-vous qui ne gaulera pas pour les Olympiques au Canada? [00:01:57] Speaker A: Carter Hart! Oui! [00:01:59] Speaker B: Le nouveau de Francis Gosselin! Ceci étant dit, une suspension Mais oui, je trouve qu'il gère un peu mal le patent. [00:02:14] Speaker A: En panique. [00:02:16] Speaker B: En panique? Ben c'est ça. Mais oui, mais... Moi, hier, j'ai regardé la version longue. Celle où, après ça, il se met à jaser, puis il y a toute la patente. Puis je me suis dit, Richard... Ça. [00:02:29] Speaker C: Va pas passer en pause, après? [00:02:30] Speaker B: Non, non. Richard a des commentaires après où il dit qu'on espère qu'il va s'en sortir, tout ça. Il ramène un peu la patente en parlant parce qu'il dit qu'on espère qu'il va rester en vie, qu'il n'y aura pas de trépas. [00:02:43] Speaker C: Oui, ça, je l'avais entendu. [00:02:44] Speaker B: Le gag a été fait avant qu'il soit mort. Peu importe, ça change rien. Il y a un gars qui reçoit une banne en plein milieu du coup, tu le sais que ça va arriver et qu'il va mourir. Mais je pense que Richard aurait pu sauver la job de son chroniqueur comme Philippe Quentin aurait pu sauver la job de Jérémie Filoza. [00:03:00] Speaker A: T'interviens. [00:03:01] Speaker B: Ça prend des réflexes d'animateur. [00:03:03] Speaker A: C'est ça la job qu'on nous demande, comme c'est arrivé ici à quelques reprises, des chroniqueurs ou des cas de naïveté. C'est déjà arrivé dans le passé, ici, dans Montréal Live, un invité qui l'échappe ou qui dit une niaiserie. [00:03:21] Speaker C: Ou des fois, quand on fait des lignes ouvertes. [00:03:23] Speaker A: Lignes ouvertes. Oui, c'est arrivé. Lignes ouvertes. On a beau filtrer, entre guillemets, mais on connaît pas. le dessin réel d'une personne qui appelle. C'est très rare, par contre, qu'on ouvre les lignes puis qu'il y a des débiles, mais c'est déjà arrivé. Sur des années, c'est déjà arrivé. Sur des années, c'est déjà arrivé, même récemment, quand t'étais avec nous autres. Et puis... Par contre, t'sais, je vais vous donner un exemple. T'sais, on ouvre les lignes, mettons, ce matin, ça n'arrivera pas. Mais mettons, j'ouvre les lignes ce matin sur François Legault hier. Comment vous l'avez trouvé? C'est sûr qu'il faut que j'intervienne. convaincu parce que les gens sont tellement au bout de leur chaîne, sont tellement tannés et queurés que la violence sort. Les gens sont devenus comme dédouanés. Puis on est devenus reconditionnés. On est devenus des bébêtes reconditionnés à cause des médias sociaux. Hey, je vais y dire, moi, je mange la merde au bout du clavier. Mais là, en ongle, ça arrive. À ce moment-là, toi, comme animateur, intervenant, peu importe, j'ai dit, je suis complètement désaccord avec ce que vous venez de dire. Je me dissocie de ça. Vous êtes donc bien dans le champ. Ça donne un bon show de radio. Ça donne un bon show de radio. Prends Philosa avec Quentin. Bang! Il aurait dû profiter de ça. On s'est dit voyons Philo, la lune, allô la terre, t'as-tu déjà lu... Oui. [00:04:45] Speaker C: Pis tu virais ça en gag en plus. Dans le cas de Quentin, ça se faisait là. [00:04:49] Speaker A: Ben oui! [00:04:49] Speaker C: Dans le cas de Gosselin, ça se faisait pas vraiment là. Dans le cas de Gosselin, tu le ramènes autrement. Dans le cas de Quentin, tu virais ça en joke. [00:04:58] Speaker A: C'est ça. Mais t'sais, t'interviens, simplement. C'est excusé, je connais pas le groupe. Il y a du monde qui nous le disent. C'est un gars qui bâche beaucoup Québec, la radio de Québec, whatever. Je connais pas ce gars-là. La droite pirate, Éric Duhem, il est passé. Je connais pas ce gars-là. [00:05:17] Speaker C: Je l'ai connu cet été à un moment donné. Il a fait un extrait sur Éric Duhem dans Artabasca. et ils disaient n'importe quoi. Tu sais, je veux dire, que du M, c'était juste « Mon char, mon choix », pis d'ailleurs, que ça avait pas d'allure à cause de, tu sais, le slogan. [00:05:31] Speaker B: C'est un jeu de mots extraordinaire, « Mon char, mon choix ». [00:05:34] Speaker C: Mais à Montréal, dans les radios, les bien-pensants ont trouvé que ça avait pas de sens, ça, parce que « Hey, mon car, mon choix », là, si tu fais un lien avec ça, ça a pas d'allure. [00:05:42] Speaker A: Non, c'est fait, complètement. [00:05:43] Speaker B: « Mon car, mon choix » dans le temps de Lavax, ça. [00:05:46] Speaker A: Ouais, ça, ça comptait pas, par exemple. [00:05:47] Speaker C: Non, ça, ça comptait pas à ce moment-là. [00:05:49] Speaker A: Ouais, c'est ton car, le choix du gouvernement. [00:05:50] Speaker C: C'est ça. [00:05:51] Speaker A: C'est ça, le garde, c'est... Il va revenir en ondes, c'est correct. Moi je m'en fous un peu, pour vrai, nous autres on gère nos patentes ici. Mais... C'est de se réjouir à un moment donné de la mort de quelqu'un. C'est pas certain que c'est... Ou de. [00:06:09] Speaker C: Rire dans ce cas-ci. [00:06:10] Speaker A: Ou de rire, tu sais. [00:06:13] Speaker C: Il y en a eux qui se sont réjouis. [00:06:14] Speaker B: Beaucoup! [00:06:15] Speaker A: Et c'est le cloud qui va s'en occuper. Des cas bien pires que Gosselin. [00:06:20] Speaker C: Oui, oui, oui. [00:06:21] Speaker A: Des profs, des infirmiers, des infirmières. Mais il y en a qui dansent, il y en a qui chantent, il y en a qui... Regardez, le web va tout retenir ça. Le cloud va s'en charger. Dans 6, 7, 8 ans, quand vous allez postuler pour un job, ils vont vous googler. Ils vont vous googler et il y a l'intelligence artificielle qui peut faire un excellent travail également. Et ça va nous amener vers des liens sur YouTube. Et à ce moment-là, vous n'aurez pas un job. Ça va arriver. C'est le cloud qui va s'en occuper. C'est la grande justice. [00:06:55] Speaker C: T'sais pis j'ai vu un historien entre autres hier qui semble bien plugé ou je le connais pas là, le gars s'appelle Alexandre Dumas. Mais t'sais il commence en disant que t'sais on est pas pour l'assassinat de qui que ce soit, mais après ça il donne quasiment des raisons. [00:07:07] Speaker B: Ouais c'est ça. [00:07:07] Speaker C: J'suis pas raciste mais... Ouais c'est ça. J'suis pas raciste mais... faut quand même dire que Charlie... Pis en plus là il s'invente des choses sur Charlie Kirk là, il était pour la lapidation des gays. Là, tout le monde répond à ça. Tu cherches sur le web. Tu sais, Charlie Kirk était quelqu'un qui était bâti par le web. Fait que là, tu cherches sur le web. Voyons, es-tu vraiment déjà dit ça? Je trouve rien. [00:07:27] Speaker A: Rien. [00:07:28] Speaker C: Depuis hier que je cherche, j'essaie d'y aller par plein de recherches différentes. Tu demandes aux intelligences artificielles, c'est quelque chose de ce genre-là. Il trouve rien. Puis, il y a d'autres affaires qui sont inventées comme ça, c'est son cas. Comme pour justifier que c'était correct de tirer ce gars-là. Puis que finalement, ceux qui se réjouissent sont pas si pires. [00:07:48] Speaker A: Ferrandez est pas mieux. Je veux pas écouter Ferrandez, je veux pas écouter. Je veux pas écouter, je veux pas écouter. [00:07:54] Speaker C: Je serais pas surpris. [00:07:55] Speaker B: On va dire ça à nous autres. Ne pas écouter, Ferrandez est aussi bon pour la santé que 4 heures de yoga par semaine. [00:08:04] Speaker A: Ouais, effectivement. La modération a bien meilleur goût. [00:08:07] Speaker B: Et voilà. [00:08:08] Speaker C: Je revois le vidéo encore. Il aurait pas pu se péter de quoi en descendant? [00:08:12] Speaker A: Parce qu'il a sauté de haut. [00:08:14] Speaker C: C'est pas le genre de... Tu sautes pas de ce toit-là et tu te tues, mais il y a des chances que tu te vires une cheville, que tu te pètes un genou. C'était quand même haut. [00:08:25] Speaker A: Là, il y a des photos en HD qui circulent. On le reconnaît, quelqu'un le reconnaît. Moi, la grande question ce matin, c'est vont-ils retrouver un corps ou l'individu? La pression est tellement forte, ça se peut que le gars se gagne. La pression est forte. Très, très forte. C'est au cours des prochaines heures que je pense aboutir à un résultat. La pression est trop forte, il y a trop de monde impliqué. Il y a l'aspect de la récompense, question de même, je vais vous la poser. Ça donne-tu quelque chose, une récompense? Tu sais, mettons que quelqu'un arrive en arrière, un mécène, je mets 500 000 de plus, ça fait-tu une différence? Autrement dit, il y a-tu quelqu'un quelque part qui dit « Ouais, je le sais c'est qui, mais... » Il y a juste 100 000 de récompense. Non, c'est ça. [00:09:13] Speaker C: Dans ce cas-ci, présentement... Je pense que quand tu donnes une récompense, des fois, les gens, à cause de ça, vont porter plus attention. Mais là, je pense que les gens portent déjà toute l'attention qu'ils peuvent. [00:09:22] Speaker B: C'est ça. Moi, je pense pas que ce soit ça. Donner une récompense, c'est... Tu veux qu'un de ses complices sorte. [00:09:29] Speaker C: OK, ouais, s'il y a des complices. [00:09:31] Speaker B: Dans le deep land, tantôt, je vais vous faire entendre des extraits. Il y a du monde qui a besoin d'argent. Fait que tu te dis, si je donne une récompense de 100 000$, est-ce qu'il y a quelqu'un qui va m'appeler pour me dire, ouais, j'ai planifié avec lui 2-3 patentes, à un moment donné je suis sorti de la chose, je suis prêt à vous donner mon identité, si vous me donnez le 100 000$ puis si vous blanchissez le fait que pendant 2-3 semaines j'ai donné un coup de main. [00:09:53] Speaker A: Ouais. Mais à force de répéter aussi, c'est pour ça que moi c'est ce qui me fait dire que ça se peut que ça finisse mal et que les gens qui espèrent une longue, longue peine de prison et la peine de mort éventuelle, mais ça se peut qu'ils retrouvent un cadavre. À force de répéter, c'est la peine de mort qui l'attend, on va l'arrêter puis il va se tuer peut-être que lui-même va choisir sa propre destinée. Ça risque d'arriver, c'est une option. C'est une option qui devrait pas nous surprendre si ça survient. [00:10:21] Speaker C: Et si ça, ça arrive, on va dire « Ah, on saura jamais qu'est-ce. [00:10:23] Speaker A: Qui l'avait poussé à faire ça ». Ouais, je sais. Mais là, ils vont aller fouiller sur l'ordi, ils vont voir des lettres et... Ouais. Comme paraît-il, ils ont trouvé des inscriptions sur... Non, non, non. [00:10:34] Speaker C: Ça, c'est une fake news. C'est faux. [00:10:35] Speaker A: Reproduite par le New York Times. [00:10:37] Speaker C: Oui, je sais. C'est le New York Times qui a publié ça. Je pense que le pire, c'est que ça serait venu comme du ministère ou je sais pas trop. [00:10:44] Speaker A: Oui. [00:10:45] Speaker C: Mais non, c'était une erreur. Ce qu'il y aurait sur les balles en question, c'est ce qu'il y a sur plein, plein, plein de balles. [00:10:53] Speaker A: Voyons donc, quel gaffe. [00:10:54] Speaker C: Oui, en effet. [00:10:56] Speaker A: Wow. OK. [00:10:57] Speaker C: Mais oui, ça a été rapporté, mais débattu par la suite. [00:11:00] Speaker A: Sur qui on peut se fier? [00:11:03] Speaker B: C'est fou, c'est absolument, absolument fou. Mais écoute, je ne sais pas si on va retrouver des cadavres, puis s'il se fait arrêter, c'est sûr que ça va être la fin, étant donné que ça a été fait en Utah. En Utah, hier on parlait des fusillés, c'est si... Parce que c'est arrivé en 2015 où il y a quelqu'un qui devait avoir une injection létale en Utah et qu'il manquait des produits. Donc, il a été obligé de reporter. Et là, ils ont passé une loi disant que si jamais ça arrive à nouveau, on a le droit de fusiller. Sauf que depuis ce temps-là, ce n'est jamais arrivé qu'il n'y ait pas d'injection létale. Ils s'arrangent pour l'avoir le stock. [00:11:42] Speaker A: On dit l'injection létale et la méthode par défaut. Le peloton d'exécution, ce dont nous a parlé Carl Sanson hier, est encore autorisé dans certains cas, ce qui fait de l'Utah l'un des rares pays à maintenir cette option. Oui. [00:11:54] Speaker C: C'est la dernière fois qu'il y a eu un peloton d'exécution dans l'histoire. [00:11:58] Speaker A: C'est ça. En théorie, en 2010, Ronnie Lee Garner a été exécuté par fusillade. Ce qui a fait grand bruit. Je ne sais pas. Je ne peux pas aller dans le détail. C'est pour meurtre aggravé que c'est disponible cette option-là. Meurtre d'un policier, entre autres, meurtre par torture ou meurtre en prison. [00:12:18] Speaker C: Parce que je crois que dans certains États, si t'es condamné à mort, t'as le droit de choisir la manière que tu vas mourir. [00:12:26] Speaker B: Est-ce que ça peut être? [00:12:28] Speaker C: Manger beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup de steak. T'as le choix genre, piqûres, chaises. [00:12:36] Speaker A: Outre-mangeurs. [00:12:38] Speaker B: Ben oui, c'est ça. Je peux-tu partir sur une brosse d'une semaine? [00:12:41] Speaker A: Oui. Ok. [00:12:43] Speaker C: Non, c'est pas des options. [00:12:44] Speaker A: Il y a beaucoup de choses ce matin. Max Truman, évidemment. Frank. Mais si tout se déroule comme prévu. Olivier Primo. [00:12:55] Speaker C: Comme prévu et reconfirmé hier soir. [00:12:56] Speaker A: En studio. Olivier Primault, en studio. Et très certainement qu'on va parler de liberté d'expression. Je sais pas ce qu'il a tweeté au cours des dernières heures, Olivier Primault, mais force à être constaté qu'il y a toujours des choses à dire. Donc nécessairement qu'on va parler de ça. Olivier Primault, bien regardez. Il parle de Gosselin. C'est sûr qu'on va en parler beaucoup, beaucoup, beaucoup. Ce gars-là est tellement condescendant, il rabaisse tout le monde juste pour se remonter. Quel triste personnage. Cube Radio, vous n'avez pas besoin de quelqu'un comme ça sur vos jambes, mon gars. Olivier, il a de quoi à dire. [00:13:35] Speaker C: Moi, il commence à faire jaser. Je sais que François Lambert l'a ramassé aussi hier. [00:13:42] Speaker A: Oui? [00:13:42] Speaker C: Oui. [00:13:43] Speaker A: OK. Olivier a parlé de Pablo. Olivier parle de beaucoup de choses. North Vault. Ça clique. La truvée est faite. Je m'en vais. Je m'en vais. [00:13:56] Speaker B: Vous pouvez aller la réécouter. [00:13:59] Speaker A: T'es en feu un matin, Dan. Visiblement, il y a du cyclisme dans l'air. [00:14:03] Speaker B: Oui. [00:14:03] Speaker A: Là, t'es habillé en fan, en fa-fan, là. [00:14:08] Speaker B: J'ai même mis une photo sur Facebook du gilet que j'abords aujourd'hui. Taday, écoute. [00:14:14] Speaker A: Taddeï, c'est qui pour le commun des mortels? [00:14:16] Speaker B: Taddeï, à l'heure actuelle, est, selon moi, le meilleur athlète ou sport confondu sur la planète. [00:14:21] Speaker C: C'est le Nouveau Lance. [00:14:23] Speaker B: C'est le Nouveau Lance, selon moi qu'il est là. [00:14:24] Speaker C: Il se fait 6 ans qu'il a. [00:14:26] Speaker B: Gagné son premier Tour de France, il y a 26 ans. [00:14:29] Speaker C: Il est rendu à combien? 3, 4? [00:14:30] Speaker B: Il en a 4 de gagnés. Les deux années, c'est pas lui qui l'a gagné, c'est Jonas Vingegaard, celui qui est en train de gagner le Tour d'Espagne, qui l'avait emporté. [00:14:38] Speaker C: Mais en même temps, ça, pour commencer à dire le Nouveau Lance, faut que t'en aies gagné 3, 4. [00:14:41] Speaker B: Oui. Il est plus fort que Lance Armstrong, parce que Lance, c'est un gars de Tour de France. [00:14:46] Speaker A: C'est Tour de Forma, dans ce temps-là. [00:14:48] Speaker B: Taday Pogacar, c'est toutes les courses. C'est pas compliqué. S'il fait une course, il fait partie des favoris. Que ce soit une course d'un jour, tu sais, il a tout les éléments que tu as besoin pour être un bon cycliste. Lui, il est ça. [00:15:03] Speaker C: Il fait-tu les Olympiques? [00:15:04] Speaker B: Donc, il n'a pas fait les Olympiques cette année à cause d'un conflit avec la Slovénie, qui est son pays d'origine. Tadej, c'est quelqu'un qui... sa passion première, si vous le suivez sur les médias sociaux, vous le comprenez, sa passion numéro un, c'est sa blonde. qui est son épouse, qui est, elle également, cycliste slovenne. Et puis ils ont décidé de ne pas inviter sa blonde aux Olympiques. Puis Taddeï a dit, si vous n'invitez pas ma blonde, rayez mon nom sur la liste aussi. Donc c'est ce genre de gars-là, c'est Remco Evenopoul qui a gagné les Olympiques. Remco les aurait peut-être gagnés quand même, lui aussi c'est un excellent cycliste. Mais peu importe. Tadej Pogacar, c'est vraiment une personne, une personnalité sportive qui est digne de mention. Le gars est souriant. Amenez vos enfants sur le bord de la route, vous avez des chances qu'ils reçoivent des cadeaux. Il donne des bidons, il donne des lunettes. Le gars est hyper commandité. Il reste à Monaco, des millions d'euros. Il sourit aux caméras, il parle avec les spectateurs. [00:16:05] Speaker A: Y a-tu jeune? Il peut-tu durer dans le temps? [00:16:06] Speaker B: Il a 26 ans. [00:16:07] Speaker A: Un cycliste de haut calibre, ça peut durer jusqu'à quel âge? [00:16:10] Speaker B: On dit que ça pogne son prime à peu près avec 9-30 ans. Ça prend sa retraite aux alentours de 36-37. [00:16:15] Speaker A: Hé! T'as encore 8 ans de belles pédales. [00:16:17] Speaker B: J'ai encore 8 ans de belles pédales. [00:16:19] Speaker A: Wow! Où tu vas être, Dan? Parce que les gens veulent te voir également. [00:16:23] Speaker B: Oui, bien, je vais être chez Pépé en lait à partir de 10h. [00:16:26] Speaker C: Non, aujourd'hui... Passes-tu de vent? [00:16:28] Speaker A: Après, on va vider un tonneau et on va aller boire du basique. [00:16:30] Speaker B: Non, non, mais aujourd'hui, c'est... Je triple, je suis content. [00:16:34] Speaker A: C'est le fun de te voir de même. Tes passions, c'est important. [00:16:37] Speaker B: Sauf que je ne peux pas y aller. [00:16:39] Speaker A: Hein? [00:16:39] Speaker B: Je ne peux pas y aller. [00:16:41] Speaker A: C'est un peu, là. C'est une semaine, tu nous craines. [00:16:43] Speaker B: Je le sais. Je le sais, sauf que... Pourquoi tu. [00:16:45] Speaker A: Peux pas y aller? [00:16:46] Speaker B: Parce que j'ai des ententes. [00:16:48] Speaker A: T'as des ententes avec qui? [00:16:49] Speaker B: Des ententes avec la station. Aujourd'hui, j'ai des capsules à aller enregistrer pour un concours qui commence lundi matin. On fait tirer un voyage de football pour 4 personnes à être des auditeurs. [00:16:59] Speaker A: Un très gros voyage. À Lambeau Field. [00:17:03] Speaker B: Je vais faire ça aujourd'hui. J'ai une entente aussi avec Meubles RD. Quand ils veulent des remotes, c'est moi qui ai fait. [00:17:08] Speaker A: Moi, je vais aller faire tes remotes au Meubles RD. [00:17:10] Speaker B: Je me suis engagé, donc j'y vais également l'après-midi. [00:17:12] Speaker A: Je vais y aller faire tes remotes. Je vais te donner l'argent. Tu veux que je vive ta passion? Ça se peut que je saute sur les lits. J'ai jamais fait de remote dans un magasin de meubles. Ça se peut que ça arrive. Doom va venir aussi. Doom va essayer du vent. [00:17:28] Speaker C: Mais je vais vous poser la question. C'est quoi la bonne manière de suivre un Grand Prix cycliste? Et nous autres, c'est une boucle au moins, ça repasse plusieurs fois. [00:17:37] Speaker B: Si vous êtes là toute la journée, l'objectif, c'est de se promener, d'aller voir différentes affaires. Moi, ce que j'aime le plus, c'est d'y voir monter. Mais si vous n'avez jamais regardé ça, il faut aller les voir descendre. La Côte-Guillemard, c'est fou. Il n'y a pas un char. Vous n'avez jamais vu une voiture descendre la côte Gilmore si rapidement qu'eux autres vont le descendre en peloton, à 6 pouces d'accord chacun. [00:17:57] Speaker A: La côte, elle a été nettoyée. Moi, je vais marcher un soir-là après le show. [00:18:01] Speaker C: Il n'y a pas de sable. [00:18:01] Speaker A: Elle est fermée depuis trois jours. La côte Gilmore, elle est fermée, pour vrai. [00:18:05] Speaker B: Donc moi, ce que je ferais avec vous autres, je commencerais par la côte Gilmore. Je remonterais à sens inverse le circuit. [00:18:14] Speaker A: Tu vois-tu le taux des plaines? [00:18:15] Speaker B: Jusqu'à la haute de la montagne, oui, il passe sur les plaines. [00:18:17] Speaker C: Ça prend combien de temps, environ, pour faire la boucle? [00:18:19] Speaker B: Eux autres? [00:18:20] Speaker C: Oui, eux autres. [00:18:21] Speaker B: Ça va leur prendre une demi-heure au début de course, puis 20 minutes à la fin. [00:18:25] Speaker C: OK. Fait que t'as 20-30 minutes pour te déplacer vers un autre endroit. [00:18:28] Speaker A: Boucle de quelle longueur? [00:18:29] Speaker B: C'est une boucle. Elle a changé. C'est 18 fois la boucle. Je pense que c'est une douzaine de kilomètres, la boucle, cette année. Je ne me souviens plus par cœur parce qu'elle a changé. Ils ont dû la modifier. [00:18:40] Speaker A: Ils la font combien de fois? Dix-huit. Dix-huit fois. [00:18:44] Speaker B: Dix-huit fois, il va monter à Côte-de-la-Montagne. Dix pour cent. [00:18:47] Speaker A: Départ à quelle heure? [00:18:48] Speaker B: Départ à dix heures ce matin. [00:18:49] Speaker A: De quelle place? [00:18:50] Speaker B: Il part de la ligne d'épargne arrivée qui est sur les plaines d'Abraham cette année. [00:18:55] Speaker A: Pas loin du musée. [00:18:56] Speaker B: Ouais, en arrière, là. En arrière de Grande Allée. Si vous allez dans le secteur... C'est hot? Oui, oui. [00:19:00] Speaker A: Oui! Wow! Télévisée, mais pas au Québec. Au Québec, c'est accessible. [00:19:07] Speaker B: C'est accessible, c'est diffusé sur TVA Sports. [00:19:11] Speaker A: Ah! Je savais pas! [00:19:12] Speaker B: Donc la course est diffusée. [00:19:14] Speaker A: Eux autres ont le contrat. [00:19:14] Speaker B: Eux autres ont le contrat. Je me souviens d'une année où ils avaient pris Marion Rousse à l'analyse. C'était une excellente idée, t'sais, Marion Rousse, c'est elle qui fait l'analyse du Tour de France. Elle est directrice du Tour de France féminin. Je sais pas si elle est là. Je penserais pas, elle était pas là l'année passée. Sinon, c'est à Eurosports, c'est à tout. C'est sur Flowbikes. [00:19:32] Speaker C: C'est mieux à TV. C'est ça ma question, parce que tu sais, tu vas avoir un grand prix d'F1, tu vas échapper à passer aux minutes. [00:19:37] Speaker B: Depuis que le HD est arrivé, il n'y a aucun sport qui n'est pas mieux à téléviser que sur place. C'est le même. Le cyclisme, oui, vous allez en voir des hélicoptères dans le ciel parce que les relais télévision sont tous des hélicoptères. Vous allez avoir trois ou quatre hélicoptères dans le ciel de Québec. Il y a des caméras également sur ces hélicoptères-là, mais c'est principalement des drones qui peuvent les suivre, des cyclistes sur lesquels il y a des motos. L'image est parfaite, elle est tout le temps parfaite. [00:20:04] Speaker A: Ce qui est le fun, c'est que t'as les stats en temps réel. [00:20:07] Speaker C: En cas de suivre la course. [00:20:08] Speaker A: La télé aujourd'hui. [00:20:09] Speaker B: Les gars sont branchés sur des ordinateurs. [00:20:11] Speaker A: C'est ça. [00:20:11] Speaker B: Dans le char, c'est agréable de voir les pulsations cardiaques et toutes les patentes. [00:20:15] Speaker A: Comme la F1, dans le char. [00:20:18] Speaker C: Parce que le voir sur place, tu vas avoir une idée de la vitesse. Il y a ça comme à joue. Mais t'as 25 minutes après ça à attendre que t'es sur foie passée. [00:20:27] Speaker B: Il y a toujours un échappé qui prend 8-9 minutes d'avance. [00:20:32] Speaker A: Il y a-tu des caméras après vélo? Ou c'est après Bessek à Gauze qui les suit. [00:20:36] Speaker B: Je sais pas si c'est une course comme Québec, ils mettent des caméras après vélo. Mais autour de France, il y en a. [00:20:41] Speaker A: Autour de France, il y en a. Ça, c'est comme la F1. Moi, je trippe F1. L'Endo, tu le vois dans le char, tu l'entends parler, tu entends les communications. À un moment donné, c'est le fun d'aller à Montréal, puis le Grand Prix, ça va toujours pogner. Ils ont re-signé en plus pour du long terme, c'est trippant. Mais il n'y a rien de mieux, à mon avis, qu'à la télé, un grand prix. T'es dans le char avec Lando et les autres, pis le clac, je chiale. [00:21:04] Speaker B: Pis t'es dedans, là. Les caméras sur les vélos, c'est bon pour une chose, c'est de montrer à quel point les gars, à 50, 55, 60 km heure, sont proches l'un de l'autre. [00:21:14] Speaker A: Oui, c'est ça que je pensais. [00:21:16] Speaker B: Ils sont à 60 km heure. [00:21:17] Speaker A: Sans collision, bien souvent. [00:21:19] Speaker B: Puis vous avez 161 cyclistes qui sont à un pouce d'écart entre les tubes, entre les boyaux. [00:21:25] Speaker A: Ça arrive d'écart en bollage, mais c'est rare. [00:21:27] Speaker B: Ça arrive, oui. [00:21:27] Speaker A: C'est quand même assez rare. [00:21:29] Speaker B: Quand le peloton est nerveux, tu sais, dans le début d'un grand tour, par exemple, ce genre de truc-là, ça va arriver à un sprint. Un sprint où le terrain est un peu moins propice à ça, ça peut arriver également. Mais une course comme Québec, ça n'arrivera pas. Le gars qui va gagner va possiblement commencer à sprinter tout seul à peu près à 200-250 mètres de l'arrivée aujourd'hui. [00:21:52] Speaker A: Donc sa stratégie à lui, c'est de commencer smooth, puis de se garder du. [00:21:57] Speaker B: Gaz à la fin. [00:22:00] Speaker A: Puis lui, c'est quoi son tempérament Pogacar? Es-tu un malade, un freak, es-tu agressif? [00:22:06] Speaker B: C'est quoi ses qualités? L'une de ses grandes forces, c'est le contrôle du peloton, c'est lui le patron. C'est lui le patron, quand il dit quelque chose, les 161 coureurs écoutent, c'est lui le boss. Donc lui, ce qu'il va faire, c'est qu'il va laisser l'échapper partir. C'est lui qui va décider à quel moment son équipe, qui est l'équipe... Oui. [00:22:22] Speaker A: Mais il est contre les autres, Dan. [00:22:23] Speaker B: Les autres l'écoutent, mais... Non, non, mais... [00:22:25] Speaker A: C'est comme les autres, c'est Bruce de Boston. Lui, il joue les haulers. [00:22:28] Speaker B: C'est le même, le vélo. Lance Armstrong, le patron. Là, c'est Taddei, le patron. Fait qu'il va décider de qui est-ce qui a le droit d'aller en échapper. Ils vont contrôler le temps. [00:22:38] Speaker A: Même les compétiteurs. [00:22:39] Speaker B: Oui, oui. Ils vont contrôler le temps. Puis à un moment donné, il va dire à son équipe, c'est bon, on y va. Puis là, tu vas voir son équipe prendre le contrôle. On va les voir, 5-6 coureurs de son équipe qui vont être en avant du peloton, qui vont mettre beaucoup, beaucoup, beaucoup de gaz pour essayer de le durcir. Parce que ce que tu veux, quand tu as un grand champion comme Taddei Pogacar, ce que les gens de son équipe veulent, c'est durcir la course pour laisser le plus de monde possible dans le sillage pour qu'il soit le moins possible à l'arrivée, à suivre Taddei. Les gens de son équipe, les autres coureurs de son équipe, eux autres, ils vont arriver 5-6 minutes après lui. Ils vont tout donner, ils n'auront plus d'énergie. Ils vont tout, tout, tout donner pour qu'il n'y ait pas un coup de pédale à donner avant le dernier tour. [00:23:17] Speaker A: Dom, il y a un petit breaking news sur Texto? [00:23:20] Speaker C: Oui, mais on me dit que ça serait confirmé. Écoute, j'y vais quand même, c'est un auditeur qui me dit ça. Probablement, il n'y aura pas d'école aujourd'hui, beau set de chemin, toute la commission scolaire ou le centre scolaire, beau set de chemin à cause des autobus électriques qui ne sont pas capables d'aller chercher les kids. [00:23:37] Speaker A: Il y a beaucoup de lions dans ce coin-là. [00:23:40] Speaker C: 1200 bus lions aujourd'hui qui sont hors de la route parce qu'on a des vérifications à faire. Il y en a un qui a brûlé encore une fois plus tôt cette semaine. [00:23:48] Speaker A: Ça, ça fait partie des catastrophes. [00:23:51] Speaker C: Oui. [00:23:54] Speaker A: Je n'ai pas entendu de question hier, dans la grande tournée poche de François Legault, qui a bien évité Radio X, encore une fois. On a parlé beaucoup de « cancel culture », les amis, on a beaucoup parlé de boycott au cours des dernières heures. La CAQ est là-dedans, donc les auditeurs, vous n'êtes pas importants, on ne veut rien savoir de vous autres. La CAQ a fait le tour de certains médias, plusieurs médias. La question n'a pas été posée, en tout cas, je n'ai pas écouté intégralement toutes les entrevues. Mais le scandale Lyon, le scandale Lyon, qui mériterait une commission d'enquête juste à elle seule, cette compagnie-là, puis les trattations qui ont fait en sorte que cette compagnie-là a été bâtie de manière tout à fait artificielle. Mais c'est ça, tu viens de le dire. [00:24:37] Speaker C: Mais ça passe comme... [00:24:38] Speaker A: Mise au rencard, 1200 autobus à cause d'un incendie dans lequel il y avait des enfants, by the way. Dans lequel il y avait des enfants. [00:24:47] Speaker C: Ça brûle en tête. [00:24:48] Speaker A: Donc on veut rentrer vos enfants dans des autobus dangereux. C'est ça, là. La vérité. C'est la vérité, maintenant. Qu'est-ce qu'on fait? Ils vont tenter peut-être d'apporter correctif, espérons-le. Mais force à te constater qu'en contraignant les conseils scolaires à avoir des autobus électriques, le tout électrique, c'est ça que ça fait. Quand t'as plus d'autobus, t'as plus d'école. Bande de dingos. Incroyable. Et y'a personne qui a payé le prix pour ça, là. À part peut-être la CAQ qui tire 11%. On verra bien. Il reste un an, pareil. Ok, on y va-tu dans le deep un peu? Let's get deep! C'est le deep down des nouvelles de sport parce qu'on est fan. Si vous avez commis l'adultère, c'est ici qu'on va parler de l'affaire. Les débiles du Brésil, les freaks de l'évangile, tout droit sortis de l'asile. [00:25:52] Speaker B: C'est le deep down. C'est le deep down. [00:25:56] Speaker C: Juste ajoutez, y'en a qui me disent que ça serait la même chose dans le coin de Thetford. [00:26:00] Speaker B: Sans doute un gars de Thetford. [00:26:01] Speaker A: Ouais, exact. Un gars de Thetford qui nous écrit. [00:26:04] Speaker B: Ben parlons du gars de Thetford. Je vous fais entendre un extrait ce matin parce qu'on est dans l'air là. Avant de parler de sport, tu parlais de la CAQ, les CAQ catastrophe. Je vous fais entendre un extrait pis je le sais que Louis trollait là. Mais est-ce que vous pensez que ça pourrait marcher ce genre de stratégie-là de François Legault? On écoute. [00:26:23] Speaker A: En gros. [00:26:36] Speaker B: Ce que Louis dit, c'est que si à la prochaine élection, au prochain budget, François Legault dit un chèque de 1000 piastres qui arrive après l'élection, il vote François Legault pour avoir le 1000. [00:26:47] Speaker A: Moi, Didier, je m'oppose à la question. [00:26:49] Speaker C: Oui. [00:26:50] Speaker A: Il y a un auteur que j'ai aimé... Si la CAQ est élue, là. [00:26:53] Speaker B: Oui. [00:26:54] Speaker C: Il y a un auteur que j'ai aimé sa réponse. Le seul qui a dit «Oui, je serais prêt à voter pour», ça va me prendre 30 000, le même montant que l'augmentation qu'ils se sont donné. Non, même encore là, mais j'aimais la symbolique de la chose. [00:27:07] Speaker A: On est devenus tellement cyniques. [00:27:09] Speaker C: Je suis pas sûr que le gars le ferait pour vrai, mais juste nommer le montant encore une fois. [00:27:13] Speaker B: Il y a du monde qui veut de l'argent. Il y a du monde, à l'heure actuelle, tu peux leur faire faire bien des affaires à 1000 piastres. Le monde est au bout de leur chaîne. Tout le monde est au bout de leur chaîne. [00:27:22] Speaker A: Très désinvolte hier, hein? Au-dessus de ses affaires, le gars. Très low energy, j'ai trouvé. [00:27:27] Speaker C: Oui. [00:27:27] Speaker A: Au-dessus de ses affaires, voyons donc, vous comprenez pas, c'est l'inflation. C'est la faute de l'inflation. [00:27:33] Speaker C: Oui. [00:27:34] Speaker A: Très drôle également de l'entendre dire « ça a été une gaffe finalement, les Kings ». Les Kings, ça fait un an! Ça fait un an, les Kings! Ouais, on a repensé à ça, finalement, c'était une erreur. C'est quoi donc, l'autre affaire? Ah oui, les cartables! Ouais, on a repensé à ça, finalement, c'est vrai que ça avait été une erreur. [00:27:50] Speaker B: Ouais, c'était tout croche. [00:27:51] Speaker A: Hé, c'est en retard sur le party, là. [00:27:54] Speaker B: Beaucoup. [00:27:55] Speaker A: C'est beaucoup en retard, là. Quand quelqu'un est en retard comme ça, on a affaire à quelqu'un qui est pas fiable. Et on a affaire à quelqu'un qui manque de candeur, qui manque d'authenticité. [00:28:07] Speaker C: Y'a plus personne qui y croit, au Québec. [00:28:08] Speaker A: Personne. Il était tellement désespéré hier que je l'ai entendu sur une autre antenne, il disait on fait construire des sous-marins à Davie. Les sous-marins à Davie ne construisent pas de sous-marins. À Davie, ils ne sont pas équipés pour ça. Il y en a des chantiers qui en font des sous-marins, mais pas chez nous. Au Canada même, on ne peut même pas faire de sous-marins. Il faut que tu commandes des sous-marins. C'est sûr que ça prend des sous-marins. Mais le seul sous-marin que vous allez pouvoir faire faire à Lévis, c'est au Subway. Ça va être du viande froide ou boulette. J'aime bien boulette, je dois dire. Quoi que c'est salissant. Watch out pour ça. [00:28:44] Speaker B: À part ça, il y a différentes patentes. Je vais commencer en parlant des gardiens. En fait, pas les gardiens de but, les joueurs de la Ligue nationale de hockey. [00:28:52] Speaker A: Les gardiens de prison? [00:28:53] Speaker B: Les joueurs de la Ligue nationale de hockey qui ont fait face à la musique, qui ont dû faire face à la justice dans l'histoire de Canada Junior en 2018. C'est le 15 octobre qu'ils vont pouvoir commencer à négocier avec des clubs de la Ligue nationale de hockey. [00:29:05] Speaker A: Je te pose la question, Dan. Tu es un homme dégé d'une équipe quelconque. L'équipe de Pogacar. [00:29:13] Speaker B: Je pense que les Hallers vont signer Carter. [00:29:16] Speaker A: Je te pose la question. Toi, tu prends le téléphone un matin, oui ou non, et t'appelles pour qui? [00:29:20] Speaker B: Je ne sais pas si je le prendrais. Je ne me suis pas posé la question. [00:29:24] Speaker A: Est-ce que tu vas faire un focus group? [00:29:25] Speaker B: Je ne sais pas si je le prendrais parce que je ne suis pas certain que je les crois. Mais en même temps... [00:29:35] Speaker A: La justice a parlé. [00:29:36] Speaker B: Je sais, mais en même temps, je suis vraiment pour le pardon. [00:29:39] Speaker A: Vous faites des conneries. [00:29:40] Speaker B: Oui, mais vous faites des conneries. Oui, c'est ça que je dis. Fait que peut-être, mais tu sais, il y en a quatre là-dedans, je ne toucherais pas à ça parce que... [00:29:46] Speaker A: Ce ne sera pas bon. [00:29:46] Speaker C: Ils n'en valent pas la peine. [00:29:47] Speaker B: Ils n'en valent pas la peine. [00:29:48] Speaker A: Mais Carter Hart... Tu penses qu'on peut lui donner une chance? [00:29:50] Speaker B: Possiblement que oui. Je pense qu'il va avoir... Les Hallers vont le signer. Je te le dis, ça va être les Hallers Edmonton. [00:29:56] Speaker A: Les Hallers en ont besoin. [00:29:57] Speaker B: Puis ça va peut-être être le meilleur gardien canadien, mais il ne sera pas invité aux Olympiques. [00:30:00] Speaker A: Oui, ça, c'est sûr. Non, non, c'est sûr que vous ne verrez pas Carter-Hurlock et une médaille d'or. Il devait élever les bras danser. [00:30:07] Speaker B: Ça, ça n'arrivera pas. [00:30:07] Speaker A: Ça, c'est peut-être une extra sauce. [00:30:08] Speaker C: Mais il semble que ça serait moins... Ça serait plus facile à défendre, si je peux dire, pour une équipe américaine. Dans un petit marché. Dans un marché qui s'intéresse moins au hockey, déjà en partant. [00:30:18] Speaker A: L'équipe américaine, le hockey, c'est devenu très, très gros. [00:30:21] Speaker C: Oui, non, je le sais. Mais c'est juste dire... Parce que là, c'est l'histoire de Hockey Canada. Les accusations aux joueurs de Hockey Canada. Au Canada, ça a fait jaser pendant des mois, des mois et des mois. Les Américains sont beaucoup moins, un, intéressés par le hockey. Au courant de cette histoire-là, c'est pas leur équipe nationale à eux autres. Ça serait plus facile à défendre, entre guillemets, dans ce genre de marché-là que dans un marché canadien. [00:30:44] Speaker A: Mais ça, à l'extrême, ça n'arrivera pas. Évidemment, les Canadiens ont deux bons gardiens, il faut le dire. [00:30:48] Speaker C: Non, ça n'arrivera pas. [00:30:49] Speaker A: À Montréal, oublie ça. Ça n'arrivera pas. Nous, on est gardiens. Ce n'est pas une option. Mais dans un marché « under the spotlight » comme Montréal, ça n'existe pas. Parce qu'on prend le pire des marchés pour... Boflo? C'est ça, c'est le pire des marchés américains, Boflo. Boflo, on a besoin. Boflo, ils ont besoin quasiment d'un gars qui est charré, pas jockey. Ils ont besoin de tout. [00:31:12] Speaker C: Si les sables de Buffalo annoncent la signature de Carter Hart, le lendemain d'une défaite des Bills, c'était même pas dans le journal. [00:31:23] Speaker A: Je suis une femme et maman d'une fille et d'un garçon et je le prendrai, je les prendrai à 100%. Nous écrit Unliver. [00:31:32] Speaker C: Écoute, le... [00:31:33] Speaker A: Il faut que tu respectes la justice. [00:31:34] Speaker C: Le jugement était quand même très clair. [00:31:36] Speaker A: C'est ça, le jugement était clair. Qu'est-ce que ça disait? La juge disait, grosso modo, qu'elle ne croyait pas l'air. Plaignante. [00:31:45] Speaker B: On va dire l'habitude. Elle croyait pas la plaignante sur le fait que... [00:31:49] Speaker A: C'est contredite. [00:31:51] Speaker B: Tout ça, mais elle a cru la plaignante sur le fait qu'il était huit gars avec une fille. [00:31:55] Speaker A: C'est sûr qu'ils sont comportants de jambon. En même temps, elle était consentante, Dan. Selon la juge. [00:32:00] Speaker B: Selon la juge. Sauf que... [00:32:02] Speaker A: Selon la juge. [00:32:03] Speaker C: Ben, elle a joué la consentante. [00:32:04] Speaker A: Elle a joué la consentante de la pornstar. [00:32:06] Speaker C: C'est ça. [00:32:06] Speaker B: Je parle pas de la fille, moi. Je parle des gars. [00:32:09] Speaker C: Oui. [00:32:10] Speaker B: J'ai... Et ça, là-dessus... Jouer en avantages numériques à la sexualité, c'est pas mon bag, tu comprends? [00:32:16] Speaker A: Je le sais. Mais on peut aller fouiller dans le vécu des joueurs de hockey. [00:32:24] Speaker C: Sauf que là, on le sait. [00:32:27] Speaker A: Mais il y en a d'autres qui ont fait la même chose. Mais là, on le sait, bon. Qu'est-ce qu'on fait? C'est-tu criminel? Ils l'ont fait. Oui, ils se sont excusés. C'est des caves, c'est des... On peut sortir le lexique au grand complet. Maintenant, c'est quand même Gary Bettman qui donne le feu vert. Toi, t'es... [00:32:43] Speaker C: Mais il n'y a pas le choix. Mais Gary Bettman, lui, je pense qu'il n'a pas le choix. Légalement, à cause du jugement, il n'a pas le choix de dire vous avez le droit. Parce que sinon, il va avoir une contre-poursuite. [00:32:51] Speaker B: Tout est une question de... Est-ce que. [00:32:54] Speaker A: Pour... Est-ce que j'en ai vraiment besoin pour apprendre l'expression de McQueen, là? [00:32:58] Speaker C: Est-ce que je veux prendre la chaleur. [00:32:59] Speaker A: D'Engager les gars de même? C'est ça. [00:33:02] Speaker B: Est-ce qu'il y a des commanditaires qui vont s'en aller? [00:33:04] Speaker C: C'est ça. [00:33:04] Speaker B: C'est exactement ce genre de questions-là qu'on se pose. Ça n'a rien à voir avec le jugement et la fille en question. Moi, c'est vraiment juste ces questions-là que je me pose. [00:33:13] Speaker A: C'est juste le business à partir de ce matin. [00:33:15] Speaker B: Au plan éthique, je pense que quatre des cinq joueurs ne valent pas la peine que tu fasses ça. Mais Carter Hart est possiblement celui qui vaut plus la peine que de prendre un peu de chaleur pour... [00:33:28] Speaker A: C'est un gardien top niveau. Qui n'a pas goalé depuis deux ans, tu vois. Ça se peut qu'il manque de rondelles. Il y a un rattrapage. Oui, ils ne peuvent pas jouer avant le 1er décembre. Ils peuvent négocier à partir de ce matin. Entente à partir du 15 octobre. Mais c'est juste le 1er décembre. C'est le début de période de jeu, si tu veux. 1er décembre. [00:33:51] Speaker B: Effectivement. Parce que je le sais, je l'ai... [00:33:55] Speaker A: T'as mis le doigt sur quelque chose. [00:33:56] Speaker B: C'est pas tant le jugement en tant que tel, c'est ce qu'il y avait. Les faits là-dedans sont quand même troublants. Même s'ils n'ont pas été... Moi, si. [00:34:08] Speaker A: C'Est mon gars... qui est impliqué là-dedans, je suis gêné. Je suis gêné, j'ai honte, je suis gêné. [00:34:15] Speaker B: Quand tu lis que les draps sont souillés de sang et que tu continues à en souiller d'appareils, je comprends qu'il était consentable, mais c'est dégueulasse à un moyen temps. [00:34:23] Speaker A: Non, tu as mis carrément le doigt dessus. Dan, l'EDG, avant d'appliquer Carter Hard, parce que c'est de lui dont on parle, je pense qu'ils vont appliquer Canadian Tire et Tim Horton. [00:34:33] Speaker C: Oui. [00:34:34] Speaker A: Êtes-vous willing à... Pour ça, plus loin, ce sont les commanditaires qui vont approuver l'embauche. Carrément. Oui, tu peux y aller. Oui, tu peux y aller. [00:34:43] Speaker B: Exactement. [00:34:44] Speaker A: Non, je retire pas la pub. La pub de hockey, il y en a-tu, c'est bon? [00:34:47] Speaker C: C'est ça. C'est pour ça que je pense qu'une compagnie... C'est une compagnie, mais qu'une équipe canadienne ne signera pas contre elle. [00:34:56] Speaker A: Si Canadiens Inter dit que je retire mes pubs, il n'y aura pas de joueurs. Il n'y aura pas de joueurs. Puis les équipes, Ils ont déjà passé un autre appel, je te dirais. Dès lundubé, d'après moi, les flames sont rangés ailleurs. Il y a des jeunes qui ont été repêchés depuis le temps, puis il y a des jeunes qui poussent. C'est pas des besoins essentiels. Voilà. Carter Hart qui va... Il y en a beaucoup là-dedans qui jouent déjà aussi dans la KHL, je pense. [00:35:24] Speaker C: Oui. Carter Hart n'a pas joué depuis 2023-2024 nulle part. Mais il y en a qui ont joué en Europe, KHL, etc. [00:35:30] Speaker B: Parlant des Oilers Edmonton, écoutons Mark Carney. The global trading system has been upended. Supply chains have been destroyed. [00:35:41] Speaker C: McDavid is unsigned. [00:35:45] Speaker B: Donc, qui fait de l'humour. [00:35:47] Speaker A: Oui, beaucoup, beaucoup. Il est plate. [00:35:50] Speaker C: Il est vraiment plate. [00:35:51] Speaker B: Un petit peu, oui. [00:35:52] Speaker A: Il est plate, puis concernant ses projets, ça va être une liste impressionnante, comme Ken Dryden. Wow! OK. Très, très poche. Parler d'un mort, joke de mort, je sais pas. Parle de d'autres choses, mais tu vois que le gars, il est racoleur. Mais c'est un mauvais politicien. Le gars veut aller chercher du crédit en parlant du meilleur joueur au monde. Quand même capoté de voir qu'il y a un projet de GNL qui est approuvé. Alors que ici... Ah non, non, non! Il n'y en a pas question! Il n'y en a pas question, GNL! Il faut protéger la Terre! Mais le fédéral... approuve un projet de GNL mais dans l'ouest. Bravo. [00:36:36] Speaker B: Selon des rumeurs qui semblent quand même fondées Le joueur du Wild du Minnesota, Kirill Kaprizov, aurait refusé un contrat de 128 millions de dollars, ce qui aurait fait de lui le joueur le mieux payé de l'histoire de la Ligue nationale de hockey. Il a refusé ça, lui. [00:36:57] Speaker C: Il veut vraiment plus jouer à Minnesota? [00:36:59] Speaker B: Je pense que c'est ça, là. [00:37:01] Speaker C: Moi, c'est ça que j'ai compris. [00:37:02] Speaker A: Exactement. [00:37:03] Speaker C: Il veut plus rien savoir de jouer là. [00:37:04] Speaker A: T'en es de pelleté pour... T'en es de pelleté. [00:37:07] Speaker B: Voilà, c'est tout. [00:37:08] Speaker C: Fait que, quand est-ce qu'ils s'en vont à Floride? Avec les Panthers? [00:37:12] Speaker A: Arrête. Arrête. [00:37:13] Speaker C: Ok, t'aimes pas de bord? [00:37:14] Speaker A: Y'a quand même un plafond là. [00:37:15] Speaker C: Ok, t'aimes pas de bord. [00:37:16] Speaker A: On va se mettre à côté sur le plafond. Ouais, peut-être. [00:37:18] Speaker C: T'aimes pas de tête, moi. [00:37:19] Speaker B: Moi, je pense qu'il veut jouer avec Desmidov. [00:37:21] Speaker A: Oh! D'ailleurs, là... Yo, j'ai su le téléphone. [00:37:26] Speaker B: Tous ceux qui parlent de Desmidov contre Crosby, arrêtez. [00:37:29] Speaker A: Arrêtez, y'a-tu du monde qui va là? [00:37:32] Speaker B: Tiessen a avancé ça, y'a eu un débat hier ici entre Pierre Couture, Jordan et Nick aussi. [00:37:38] Speaker A: Il reste deux ans. L'autre, il reste 16 ans. [00:37:43] Speaker B: C'est Ivan Demidov contre Sidney Crosby. Peut-être que Marc Bergevin aurait été assez no-no, mais Ken Hughes fera jamais ça. [00:37:53] Speaker C: Ça va pas dans la mentalité de comment sont en train de bâtir l'équipe. [00:37:56] Speaker B: Exactement. À l'heure actuelle, on bandait sur Connor Bédard. Conor Bedard, selon moi, il est mal entouré. [00:38:06] Speaker A: Ça, ça va décoller moins. [00:38:07] Speaker B: Demidov va être meilleur que lui, là. [00:38:08] Speaker A: Ben oui. [00:38:09] Speaker C: Ça se pourrait voir bien. Oui. [00:38:10] Speaker A: Ceci dit, il va être bon. Bedard, mais il est mal entouré. C'est pas la même position, de toute façon. Demidov, c'est pas un centre. Conor Bedard, c'est un centre. [00:38:19] Speaker C: La gestion des Blackhawks, c'est... Corrigez-moi. [00:38:21] Speaker A: Conor Bedard, c'est un centre. [00:38:22] Speaker C: C'est questionnable. [00:38:23] Speaker A: Conor Bedard, c'est un centre. Je pense que oui. [00:38:24] Speaker B: Oui, oui. La Ligue nationale de hockey a sorti la liste des 25 meilleurs espoirs. Donc les espoirs, vous comprendrez que c'est des gens qui n'ont jamais joué dans la Ligue nationale de hockey, mais qui sont repêchés. Ivan Demidov arrive deuxième après Matthew Schaefer. [00:38:39] Speaker A: Mais il ne se qualifie pas, il a déjà joué. [00:38:41] Speaker B: Disons disponible pour le titre de recrut de l'année cette année. [00:38:46] Speaker A: C'est ça. Il est numéro 1. [00:38:48] Speaker B: Il est numéro 2. [00:38:50] Speaker A: Schaefer des Highlanders, numéro 1. [00:38:51] Speaker B: Schaefer des Highlanders, numéro 1. [00:38:52] Speaker C: Il est mieux d'être bon, lui. [00:38:54] Speaker B: Puis Jacob Foller est aussi. On ne l'a là pas vu jouer, là. [00:38:56] Speaker A: On le compare avec Hillmaker. [00:38:57] Speaker B: Oui. On ne l'a pas vu jouer encore. [00:38:59] Speaker A: Il y a de la pression. [00:38:59] Speaker B: Beaucoup de pression. [00:39:01] Speaker A: Et Patrick, c'est pas un patient. [00:39:04] Speaker B: Et Patrick, c'est pas un patient. Tu as raison. Il faut que je te parle d'une nouvelle que Doom Dumas m'a envoyée hier. [00:39:10] Speaker A: Man, c'est malade. [00:39:13] Speaker B: C'est mon genre d'histoire. [00:39:13] Speaker A: Un peu. C'était-tu sur notre fil? [00:39:15] Speaker C: Non, je l'ai envoyée juste à Dan pour pas que t'avoues. [00:39:18] Speaker B: Exactement. [00:39:19] Speaker A: Bon, on va faire réagir encore. [00:39:20] Speaker B: C'est une mannequin qui s'appelle Brooks Nader. [00:39:23] Speaker C: Oui. [00:39:23] Speaker B: Une belle fille. [00:39:24] Speaker C: Très belle fille. [00:39:25] Speaker B: Une très belle fille. Une mannequin. Oui, exactement. C'est une mannequin et il n'y a personne qui dirait non, je ne veux pas prendre de photo. Ça n'arriverait pas. Elle a révélé que durant le U.S. Open, elle datait deux joueurs de tennis. Elle datait deux joueurs de tennis en même temps pendant l'U.S. Open. [00:39:49] Speaker A: She's a senner. [00:39:52] Speaker B: Ben c'est ça. [00:39:53] Speaker A: Entre autres, Yannick Sénard et Carlos Alcaraz! Oui, les deux en même temps toi. [00:40:00] Speaker C: Elle, elle vise le top. [00:40:01] Speaker A: Numéro 1, numéro 2. Elle, elle s'est dit « Regarde, je prends pas de chance ». [00:40:05] Speaker B: Pareil comme dans le film avec Zendaya. [00:40:07] Speaker C: La question après ça, c'est… qui est ton numéro un? [00:40:10] Speaker B: Oui, c'est ça. Effectivement. Mais elle... Les deux gars avaient l'air bien, bien heureux pendant la semaine. [00:40:16] Speaker A: Oui, pêcheresse. C'est une pêcheresse. [00:40:18] Speaker C: C'est de sa faute que c'est séné un perdu. [00:40:19] Speaker A: Oui. [00:40:20] Speaker B: Moi, je pense que la ville de New York n'est pas assez grande. [00:40:24] Speaker A: Et Félix regarde ça, puis il dit « gagne ». Oui. [00:40:27] Speaker B: Félix, c'est l'année prochaine. [00:40:28] Speaker A: Ça part à mon dos. Oui. [00:40:29] Speaker C: L'an prochain, peut-être. Y a-tu une blonde, Félix? Je sais même pas. [00:40:33] Speaker A: Je sais pas. [00:40:34] Speaker B: Je gagne. À New York, là. [00:40:37] Speaker A: Il était à deux gars. Ce qui arrive à New York reste à New York. [00:40:40] Speaker B: Exactement. Ce qui arrive à New York reste à New York. À 6h40, ça va-tu faire la chronique si ça démarre? [00:40:44] Speaker C: Oui, il faudrait. [00:40:45] Speaker A: Continuez de nous écrire en passant les parents concernant les écoles qui sont affectées par la suspension des autobus Lyon. C'est partout au Québec. Il y en a 1200 qui ne peuvent pas rouler. Continuez de nous écrire. Et on dit que Félix est fiancé, alors voilà. Tout est réglé.

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