FRANK: La CAQ, sans Legault, C'EST RIEN!!! LE VIDE!

September 09, 2025 00:15:04
FRANK: La CAQ, sans Legault, C'EST RIEN!!! LE VIDE!
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FRANK: La CAQ, sans Legault, C'EST RIEN!!! LE VIDE!

Sep 09 2025 | 00:15:04

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[00:00:00] Speaker A: Morelife présente... Frank, le dédomiseur. Le dédomiseur. Frank, le dédomiseur. Dédomise-toi, Alcala. [00:00:18] Speaker B: Et on a un Frank très reposé ce matin. Comment ça va mon Frank? [00:00:21] Speaker A: Honnêtement, je m'y fais pas encore à ce thème-là. [00:00:27] Speaker B: Il est mystérieux. [00:00:28] Speaker A: Il est mystérieux, surtout avec la grosse voix virile en arrière. [00:00:31] Speaker B: Oui, Max. [00:00:33] Speaker A: C'est parfait. Max, on l'adore. Oui, très reposé. Des bonnes vacances, un peu de soleil. Tout est bon. On est prêts pour recommencer. [00:00:43] Speaker B: Fait que t'es revenu dans le dôme, avec la CAQ qui veut se refaire une beauté. [00:00:49] Speaker A: Oui, oui, la CAQ qui veut se refaire une beauté, écoute, on verra. [00:00:53] Speaker B: On y croit. [00:00:53] Speaker A: On y croit, on y croit vraiment. Ben t'sais, les remaniements ministériels, je veux. [00:00:57] Speaker B: Dire... Ça donne rien. [00:00:59] Speaker A: Ben ça donne... C'est que dans le fond, faire un jeu de Karl Braus comme ça, c'est pertinent, à mon sens, quand tu changes vraiment d'orientation, notamment par un changement de chiffre. T'sais, si t'arrives pis tu te dis, ben regarde, le chef s'en va, y'a quelqu'un d'autre qui prend les reines et cette personne-là amène avec elle sa garde à rapprocher pis on déplace des gens à des postes vraiment clés, là tu peux dire, OK, y'a une réorientation de la machine pis c'est une autre gang qui prend la... qui prend le vol, qui met ses deux mains sur le volant finalement. Mais là, tu sais, le fait de savoir que c'est plus André Lamontagne qui va être ministre de l'Agriculture, je veux dire, y'a-tu quelqu'un quelque part qui est comme, ah ok, là, ça, ça annonce qu'il va y avoir des gros changements. La plupart du temps, je veux dire, Mme Sylvie, M. Bernard à la colle, lui, il regarde ça... [00:01:50] Speaker B: Zéro. [00:01:50] Speaker A: Je sais même pas c'est qui André Lamontagne. [00:01:52] Speaker B: Zéro. [00:01:53] Speaker A: C'est ça la réalité. [00:01:53] Speaker B: Ils sont à 11% les sondages. Zéro. Ceux qui aiment le foie de veau, c'est plus que ça. [00:02:01] Speaker A: Oublie ça. — Tout le monde l'a dit, mais je pense que c'est absolument vrai, le fait d'annoncer ça à l'avance, c'est une catastrophe. En fait, je comprends pas pourquoi ce parti-là n'est pas capable de planifier des rentrées parlementaires contrôlées. Ça fait trois ans, depuis l'élection de 2022, Ça fait trois ans que leur rentrée parlementaire est une catastrophe. Vous vous rappelez, t'as eu l'histoire de Jean Talon, t'as eu la démission de Fitzgibbon. À chaque rentrée, ils perdent le contrôle de l'agenda. Là, il y avait l'occasion de se fermer à la boîte, puis d'arriver sans le dire à personne, puis de dire « Regardez quoi, savez-vous quoi, on a changé, regarde, lui, puis là, lui, je le tasse, elle, je la mène à telle place. » Puis là, tu te dis « OK, là, tu reprends un peu le contrôle. » Ben non, faut qu'ils l'annoncent à l'avance. [00:02:46] Speaker B: Il y a ça, mais la commission Galant aussi, ça n'a pas été de galanterie. C'est sûr que ça a été un coup de jarnac. [00:02:53] Speaker A: Non, c'est ça, mais justement, je pense que l'exercice un peu du remaniement, c'est un exercice de PR, de relations publiques, c'est-à-dire que tu l'utilises pour changer le narratif de place. Tout le monde parle de sa clé. Commission Galette arrive un matin. « Ah, savez-vous quoi? J'ai remanié. » Là, les journalistes, leur capacité d'attention, c'est comme un sujet à foie. On l'a vu à l'international, quand il y a une guerre, c'est comme si on est capable d'en parler juste d'une en même temps. Fait que là, si on parle un peu trop, de ce qui se passe au Moyen-Orient. T'as Zelensky qui lève la main, il se dit « Ah, pis j'existe encore, moi, là. » Ben, c'est en politique nationale, c'est un peu pareil. On a une capacité d'attention limitée. Donc, ils le savent, ça, les politiciens. C'est pour ça que je comprends pas l'idée d'avoir télégraphié ça. C'est comme si le DG du Canadien disait « Savez-vous quoi, là? Dans deux mois, je mets le coach dehors. » Tu fais pas ça, tu le mets dehors puis t'en engage un nouveau. Tu crées un effet de surprise, tu choques tes joueurs. [00:03:52] Speaker B: Mais d'entrée de jeu, t'as mis carrément le doigt dessus, c'est le go qui doit partir. T'sais, t'as beau mettre Nathalie sans façon, Jean-Sébastien de la Bretonnière, t'sais, des plantes vertes, là, dont on n'a jamais entendu parler. Oublie ça, là. Ça lève pas. Non, mais il faut que lui s'en aille. C'est ça, le vrai sujet de discussion. Puis même là, je te dirais que c'est quoi la caque, lui, ça en va. Mais la caque, c'est quoi? Tu sais, quand t'achètes un produit à l'épicerie, là, t'achètes du Tide. Bon, tu laves à l'eau fraîte, ça protège les couleurs. T'achètes du lait 2%. Bon, ben, tu le sais ce que ça goûte, tu le sais ce que t'as. Tu comprends l'emballage, tu le sais le produit que t'achètes. Mais la caque à l'épicerie, là, quand tu mets ça dans ton panier, c'est quoi? La question se pose, là. [00:04:42] Speaker A: Bien, et puis moi, je pense qu'à l'origine, la CAQ... Parce qu'à l'origine, la CAQ, c'est quoi? C'est François Legault, maintenant, quand il est au PQ, il se lève debout pendant un conseil des ministres, puis il dit, il faudrait mettre un référendum de côté. Il voulait être chef du PQ à cette époque-là. [00:04:55] Speaker B: C'est ça, donc un PQ castré. Mais mettons que Legault s'en va, la CAQ, c'est quoi? [00:05:00] Speaker A: Ben, c'est sur mon point, c'est que dans le fond, la CAQ, c'est quoi? C'est des anciens péquistes qui étaient d'accord pour mettre le référendum de côté pour suivre François Legault parce qu'il voulait comme chef du PQ à l'époque. Donc, si tu crées un nouveau parti alentour de cette personne-là, si cette personne-là s'en va, il reste quoi? Moi, je pense qu'il reste rien. [00:05:20] Speaker B: Gros Tupperware avec des restants. Fouillez dans votre fond de frigidaire, vous allez voir la CAQ. [00:05:26] Speaker A: Ben oui, c'est ça. C'est comme si tu me demandais, j'ai un plug du SPAC dedans, si j'enlève le SPAC, il reste quoi? Il reste le plot vide. et personne veut manger le plat vide. [00:05:34] Speaker B: C'est ça, là. Mais là, c'est PSPP mur à mur. T'as vu le sondage, d'ailleurs? Multigénérationnel. C'est incroyable. Pablo Picasso avec son barbouillage, ça amène à pas grand-chose. Mais la bande de Gaza est en pleine débandade. La bande à Gazal, là, il y a 8%. Ils ont perdu la moitié de ce que Françoise David avait quand même. [00:05:59] Speaker A: Ça ne risque pas de s'améliorer avec des niaiseries du genre la taxe rose. À un moment donné, ils se demandent pourquoi ça ne marche pas. Vous parlez de tampons gratuits et de la Palestine. Il n'y a pas besoin d'être un devin pour comprendre que ça ne connecte pas avec le peuple québécois. Si tu te promènes dans la rue, c'est un sujet de conversation. [00:06:20] Speaker B: T'as un flop, leur dossier pareil, la taxe rose. Oui, mais Tablon avait une grosse teinture avec un modeling et des cheveux frisés. C'est sûr que ça va coûter plus cher qu'une job de clépeur de Dume Dumas. Allô, y'a pas de taxe rose là-dedans, y'a juste un coiffeur qui va être payé. [00:06:36] Speaker A: Non non, pis de toute façon ça c'est des patentes, ça a déjà été démenti par des études. Ils tournent en rond avec des vieilles thématiques par rapport à ça. L'affaire que je dirais par rapport au sondage c'est que T'sais, quand est-ce qu'on va... On dirait qu'on se comporte tellement électoralement de manière immature, t'sais, là, on aime la CAQ, on aime la CAQ, on lui donne une méga majorité. Ben là, on va s'en aller faire la même affaire avec le PQ, on va lui donner 80 quoi, 90 députés, 60... T'sais, une méga majorité encore, avec encore quoi? Pas trop d'opposition. T'sais, un genre d'opposition un peu émasculée, 2-3 députés d'une place, pis le PLQ dans le Formol qui est pas capable de sortir de l'île de Montréal. [00:07:14] Speaker B: Une belle collection de no-names, c'est ça qui s'en vient. Des plantes vertes, il va en y avoir. [00:07:19] Speaker A: C'est un peu ça, c'est que dans le fond, on n'a pas appris. On n'a pas encore appris que ce n'est pas une bonne idée de donner des mégas majorités à des gouvernements et de ne pas leur mettre d'opposition. Ils deviennent arrogants, suffisants, déconnectés, puis un moment donné, ça nous pète en pleine face et on est comme... Le même monde qui te disait il y a une couple d'années qui aurait fait mieux, moi j'ai entendu ça dans mon entourage. Oui! J'ai des gens dans mon entourage qui m'ont dit, le go, c'est le meilleur qu'on n'a jamais eu. [00:07:46] Speaker B: C'est sérieux ce que je dis là. [00:07:48] Speaker A: Et aujourd'hui, ces gens-là nous disent que c'est le pire qu'on a jamais eu, on n'est plus capable. [00:07:52] Speaker B: Mais c'est le même gars. [00:07:54] Speaker A: C'est le même gars. Il était aussi pas bon en 2020, je veux juste vous le rappeler. [00:07:57] Speaker B: C'est la même affaire. [00:07:58] Speaker A: C'est la même partie, c'est les mêmes affaires. [00:07:59] Speaker B: Faites des siestes, prenez des marches. Faut danser autour d'un feu. Faut se promener avec un chien. [00:08:06] Speaker A: J'ai lu le livre de Suzanne Théberge qui fait des galettes à Amelas à l'île d'Orléans. Bon, ok, parfait. Merci. [00:08:13] Speaker B: T'as des fausses histoires, y'a jamais lu un livre. Y'a pas lu de livre, y'a jamais lu de livre. [00:08:19] Speaker A: Ben non, tu te rappelles de la fois qu'il avait essayé de nous faire croire qu'il avait lu les trois tomes de la biographie de Charles Legault, là, quasiment... C'est un enfant, c'est quasiment un mois de lecture, là. De quoi tu parles, toi? Tu as lu ça dans la fin de semaine. [00:08:29] Speaker B: La majorité des Français n'ont pas lu ces livres-là. Imagine François Legault. Je te ramène sur une histoire... En fait, c'est un rapport. C'est le 6 septembre dernier, ça fait quand même pas longtemps. C'est un rapport du programme pour l'évaluation internationale des compétences des adultes. Et ça dit quoi? Plus de 50% de la population québécoise de 16 à 65 ans du monde se trouve sous le niveau 3 de littératie. C'est quoi le niveau 3 de littératie? incapable de comprendre un texte en français. Un texte avec un peu d'argument, un article de journal, par exemple. 50% du Québec actif, on peut le dire comme ça, là. Donc, regardez, si vous êtes au Costco, vous avez 100 personnes autour de vous, il y a 50 personnes qui ont de la misère à comprendre les écritures. Si c'est écrit des bines, des cannes de bines, incapable de comprendre, là, bien, ça, c'est ces gens-là qui votent. On en est là, là. C'est le fucking tiers-monde, là. C'est brutal, cette affaire-là, là. C'est le seuil à partir duquel, et là je lis le texte, la personne est capable de lire des textes denses ou longs, d'interpréter ou de donner du sens aux informations. 52%, pour être précis, de 16 à 65 ans. C'est le Québec d'aujourd'hui. Ouch! Ouch! [00:10:08] Speaker A: Mais t'sais, sais-tu quoi? En parallèle de ça, moi je connais des gens qui ont trois doctorats pis sont cons comme des balais. [00:10:13] Speaker B: T'sais, c'est... Ouais, mais ça c'est un coffre d'outils qu'il y a pas d'outils dedans, là. [00:10:19] Speaker A: Non, non, je comprends. Il y a cette réalité-là. Par contre, t'sais, t'as des gens qui ont absolument aucune éducation, que ça n'est ni lire ni écrire, pis ils ont une intelligence qui... Oui, mais ces gens-là. [00:10:33] Speaker B: Faut que tu conviennes, Frank, sont plus faciles à fourrer qu'un autre, là. Ils sont faciles à rouler dans la farine. [00:10:39] Speaker A: C'est sûr qu'ils n'ont pas nécessairement les outils. En fait, ces gens-là, je pense que le gros problème, c'est qu'ils sont vulnérables de passer par l'intermédiaire des autres. Ça nous amène à la dépendance aux médias. Puis c'est la raison pour laquelle ces gens-là détestent les réseaux sociaux, détestent les podcasts sur Internet, les médias d'opinion, puis tout ça, parce qu'ils n'acceptent pas, dans les grands médias, que des gens puissent passer, accéder à l'information sans leur intermédiaire, comme les curés d'autrefois. Fais-moi confiance, je vais t'expliquer ce qui est écrit dans la Bible. [00:11:14] Speaker B: J'ai besoin de mon panel de TVA pour comprendre. [00:11:18] Speaker A: Les gens qui savent ni lire ni écrire, ou en tout cas qui ont un faible taux de littératie, disons ça de même, ben c'est des gens qu'ils doivent se fier à quelqu'un d'autre. Parce qu'ils sont pas capables par eux-mêmes d'aller voir les gens. Pas parce qu'ils sont pas intelligents, parce qu'ils ont pas eu la chance que les autres ont eu. [00:11:33] Speaker B: C'est pas un test de QI que j'ai dit, j'ai dit textuellement. Pis là y'a quelqu'un qui dit « Ah vous êtes condescendable ». Non non, c'est un fait. C'est un fait. Mais ça là... Ce commentaire-là, c'est exactement ça. C'est le déni. « Oh non, on est bons, nous autres! Non, non, on nous a toujours dit qu'on avait un bon système! » Non. C'est ça, la réalité. On traîne la patte par rapport au reste du Canada. C'est plate à lire. Pas moi qui l'invente, mais c'est ça, la réalité. [00:12:02] Speaker A: C'est une réalité que décrivait, si vous lisez le bouquin de J.D. Vance, L. Billy Elegy, il raconte ça par rapport à son propre hood, les coins paumés des États-Unis. C'est drôle d'ailleurs que, quand il est question des États-Unis, cet argument-là revient très rapidement. Vous écoutez n'importe qui de la chair, Raoul, dans le chambre, puis toutes ces gens-là. Aussitôt qu'il est question de politique américaine, on nous rappelle systématiquement Oui, mais là, quand même, il faut rappeler que c'est des gens qui ont un faible niveau d'éducation, dans des milieux ruraux, qui votent pour Donald Trump. Puis là, tu te dis « OK, mais comment c'est que cet argument-là, puis cette analyse-là sociologique, et je dirais même éducationnelle de la population, n'est jamais faite au Canada? » On nous parle jamais du taux de littératie des gens, de leur niveau d'éducation. [00:12:50] Speaker B: C'est embêtant, je viens d'en parler, les gens sont pas à l'aise. Moi je m'en mets pas là-dedans. Moi je suis pas là-dedans. On parle pas de toi. Je donne un chiffre, c'est empirique. C'est empirique. [00:13:01] Speaker A: Non, c'est empiré. J'ai connu quelqu'un qui travaillait là-dedans, les centres d'alphabétisation. Puis même, j'ai connu quelqu'un qui apprenait à des gens qui ne savaient ni lire, ni écrire. Par exemple, l'objectif, c'est d'ouvrir un courriel sur un ordinateur. Puis on commence à la base. Tu mets ta main sur la souris, comment faire tourner le curseur dans l'écran. Ces gens-là existent pour vrai. Il y a du monde qui... C'est sûr que si t'es pas comme ça, Tu réalises pas que ça existe, mais ça existe. [00:13:30] Speaker B: Et c'est à ces gens-là que les politicos s'adressent quand ils mangent de la poutine. Hein, gars, mange de la poutine, ma mère, il est faim! Et c'est à ces gens-là que Legault va s'adresser quand il va nous tenter de faire une mascarade. D'ici la fin du mois, paraît-il qu'il y a deux gros speeches qu'il va donner pour dire «Hey, là, je vous ai compris, là, faut couper. Le gouvernement est trop gros.» Les politiciens parlent à ces gens-là. pour tenter d'effourer, et ça fonctionne. Et ça fonctionne. Donc qu'est-ce qu'on fait, Frank, devant ça? C'est un constat... Non, vraiment, je suis déboussolé. Quand j'ai vu ça en fin de semaine, c'était une brique dans la face que j'ai eue. [00:14:08] Speaker A: Ben c'est parce que tu sais, tu regardes ça pis tu te dis bon ok, bonne nouvelle, le gouvernement qui est en place, les gens ont finalement fini par dégeler pis voici ce qu'on vit. [00:14:14] Speaker B: Ouais, ça a pris du temps. [00:14:15] Speaker A: Mais ça a pris du... Un, ça a pris du temps, pis de deux, ils sont en passe de faire exactement la même erreur avec un nouveau gouvernement. Pis t'sais, en passant, je dirais la même chose si c'était les conservateurs, là. Ce serait pas brillant de même à l'inverse. [00:14:26] Speaker B: Obtenez trois. Ben non, ben non, pis en fait, la même affaire avec Carney. [00:14:29] Speaker A: Ils ont fait la même affaire avec un moment donné, tu te dis... [00:14:31] Speaker B: La gang à Corneille, la gang de... La gang de zouf qui disait... « Ah oui, c'est le diable ça, Poitlieu, c'est Trump, c'est Trump! [00:14:41] Speaker A: » Ah oui. La madame dans le parking qui disait « J'aime mieux une dette que Poitlieu. [00:14:47] Speaker B: » Voilà. [00:14:49] Speaker A: Cette madame-là, elle existe. [00:14:52] Speaker B: Voilà. Tristement. Et c'est sur ce triste constat qu'on va t'envoyer faire un beau podcast avec le chum Yann. Salut. Juste du positif dans mon real life. Salut, bye.

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