GUERRE À L'AUTO: Si t'es pas content, T'AS JUSTE À PRENDRE LE TRANSPORT EN COMMUN!

[00:00:00] Speaker A: Mais d'abord, on s'en va à Montréal. Très content de mettre une face sur ce gars-là. Tu sais, des fois, on a des personnages où il y a des haters et des trolls, mais il y a des comptes intéressants aussi. Des comptes intéressants assurés que ça suive. Et on comprendra que ces personnes-là ne tiennent pas nécessairement à se faire identifier clairement, because les haters de la gauche et de la gauche radicale sont très violents sur X. Et quand on a quelqu'un qui, de Montréal, dénonce des situations folles sous le régime de Valérie Plante, il faut toujours se protéger. C'est pour ça que cet homme s'appelle l'automobiliste de Montréal. Bon, il a vu quand même la face dernièrement parce qu'il est passé. À TV, mais je suis pas sûr qu'on va connaître sa véritable identité ce matin. Quoique, l'automobiliste de Montréal, salut! [00:00:51] Speaker B: Salut, salut, ça va bien? [00:00:53] Speaker A: Ça va bien, toi? [00:00:54] Speaker B: Oui, merci. [00:00:55] Speaker A: Tu sais pas ce matin que tu vas révéler ton vrai nom? [00:00:57] Speaker B: Non, on va garder ça pour plus tard. [00:01:00] Speaker A: OK, mais t'as montré ta face, par exemple? [00:01:02] Speaker B: Oui, oui, oui, oui. Bien, parce que j'avais envie, je pensais que je t'ai rendu là. Quoi? Je pense qu'avec un visage, les gens ne peuvent pas trop me faire de tort, mais je vais garder quand même mon nom pour moi. [00:01:15] Speaker A: C'est bien beau. Ça a commencé comment, l'automobilisme de Montréal? [00:01:19] Speaker B: Dans le fond, il y a deux ans, je voyais ça aller, tous les changements dans la ville qui commençaient, c'est pire en pire, mais ça commençait et je ne trouvais pas ça bien. Je voyais aussi qu'il y avait des gens qui subissaient des conséquences de ça, des familles, des parents, des aînés. qui allaient à l'inséance du conseil, puis qui se plaignaient justement de perdre des stationnements, perdre des voix, puis tout ça, puis que ça leur causait des problèmes. Puis je voyais qu'on n'était pas tout seul là-dedans, puis je voulais donner une voix à ces gens-là, parce que personne n'en parlait, comme dans les médias plus traditionnels. Donc je voulais vraiment donner une voix à ces gens-là, puis aussi montrer aussi le mépris, puis toute l'idéologie derrière l'administration plante, parce que l'inséance du conseil, c'est beau, au moins, c'est enregistré, il n'y a pas de montage, donc on peut vraiment voir la vérité est sorti, puis le vrai visage des élus, des fois. Donc c'est d'ailleurs une vidéo, un extrait de Laurence Laving-Lalonde qui comparait une voiture à un frigidaire, qui m'avait tellement choqué. Je voulais montrer ça à tout le monde. C'est un de mes premiers extraits que j'ai présenté dans ce temps-là. [00:02:24] Speaker A: C'est quoi ton extrait qui a tiré le plus sur X? [00:02:27] Speaker B: Sur X, c'est vraiment celui-là, Laurence Laving-Lalonde. Sur TikTok, j'ai une citoyenne de 500 000 vues qui est venue dans un centre du conseil pour dire que ça faisait 7 ans qu'elle se battait juste pour qu'ils rebaissent son trottoir, parce qu'un matin, quand ils sont arrivés, ils ont monté son trottoir, elle n'avait plus accès à son stationnement privé sur son terrain. Elle s'est battue pendant 7 ans de temps pour avoir son accès, puis ils n'y ont jamais voulu. Elle a même passé à l'hôpital, justement, puis ils n'ont jamais voulu qu'elle n'ait pas son stationnement. Puis aussi, le deuxième populaire, c'est... c'est quand il y a un citoyen qui est venu demander aux élus dans Annecy, lesquels étaient venus ce soir en vélo. Et ils se sont tous regardés, ils ont fait, ah non, personne n'est venu en vélo ce soir. Ah bien, justement, vous nous dites quoi faire, vous voulez qu'on prenne le vélo, mais même vous, vous le faites pas. [00:03:18] Speaker A: Bien oui. Est-ce qu'il y a hâte de me faire un top 3 ce matin des pires conneries qu'il y a à Montréal ce matin? [00:03:28] Speaker B: Bien, le numéro 1, je dirais Henri Brassus. Le boulevard Henri Bourassa, c'est un boulevard très important, collecteur, qui sert à faire le transit des véhicules. Puis ils ont été vraiment scrapés, ça, avec le projet qu'ils ont fait. La piste cyclable qui est ultra large des deux côtés de la rue, la voie réservée qui était là avant, mais là, ils l'ont plus mis en évidence. Puis les deux voies restantes pour les véhicules, bien, il y en a une de ces voies-là qui sert juste la moitié du temps parce que Quand on arrive aux imperfections, qu'on peut faire des virages, bien, ça devient une voie qu'on est obligé de tourner à gauche. Donc, ce qui arrive, c'est qu'aux heures de pointe, bien, les gens font la ligne dans la seule voie qui reste aux automobiles. [00:04:10] Speaker A: On crée de la congestion intentionnellement pour ensuite dire aux contribuables, aux contribuables et aux automobilistes, bien, regarde-toi, ça prend le transport en commun. C'est-tu pas content? [00:04:22] Speaker B: Bien, c'est ça, exactement. Mais même le transport en commun est affecté dans Henri Bourassa parce que la voie réservée se trouve dans la voie droite. pour pouvoir tourner à droite au virage. Mais là, ce qui arrive, c'est que les gens sont en ligne dans la voie pour tourner, puis le bus est poigné en arrière, ça fait que les bus se tassent dans la voie de gauche. [00:04:39] Speaker A: Puis je dirais l'autre... Non, OK, reste juste sur celle-là. Pour celle-là, Henri Bourassa à Montréal. Est-ce que ce sont des idiots consommés qui ont conçu ça ou bien non, des personnes méchantes avec un dessin ville? Est-ce que c'est des idiots, imbéciles, ou au contraire, c'est des gens qui font partie d'une grande planification? [00:05:03] Speaker B: Moi, je pense que c'est prévu, c'est planifié, parce qu'on ne se le cachera pas, le C40, ce n'est pas nous autres qui avons inventé ça. Montréal est une ville projet pilote pour le C40. Donc c'est sûr qu'on subit plus qu'ailleurs, parce qu'on est des projets-pilotes. C'est ici qu'ils font les tests. [00:05:21] Speaker A: Puis Henri Bourassa... Valérie Plante utilise sa propre ville comme laboratoire. Et vous êtes des hamsters. [00:05:27] Speaker B: Absolument. Absolument. Puis c'est pas drôle, là. Je veux dire, Henri Bourassa, ça circulait très bien avant, puis Aster s'est rendu l'enfer. Vraiment, là. [00:05:35] Speaker A: Allons-y avec ton deuxième choix. [00:05:37] Speaker B: Oui, bien, mettons Square Victoria, dans le centre-ville, quartier international. Et de tous les côtés du Square Victoria, ils ont réduit à une ou deux voies, dépendant de quelle rue vous êtes. Puis la piste cyclable qui est ultra large. La piste cyclable fait deux voitures de large de côté. Donc c'est vraiment trop large pour rien. Pendant ce temps-là, les voitures sont prises dans une seule voie qui reste pour un achalandage qui est vraiment pas là du côté des vélos. Donc, dans un quartier comme ça, c'est très nuisible, surtout qu'il y a des hôtels qui sont là. Ils ont besoin de leur stationnement. Donc, c'est vraiment... Donc, il y a. [00:06:14] Speaker A: Des gens qui ont protesté. Il y a eu des manifs. Il y a des groupes qui sont allés poser des questions au conseil d'arrondissement, non? [00:06:22] Speaker B: Oui, c'est sûr. Mais on a eu comme... On avait une pétition pour arriver à ça. Ils ont simplement refusé. Il y a des gens qui ont été manifestés. Mais... Puis les gens dans les conseils, bien, les élus leur répondent toujours, bien, écoutez, on va regarder, on fait notre possible. Vous savez, la sécurité, c'est très important. Donc les gens... [00:06:41] Speaker A: Il y a vraiment un agenda communiste, il y a un agenda de contrôle de société qui est implanté, là. [00:06:48] Speaker B: Oui, oui, absolument. Puis les pistes cyclables sont utilisées pour ça, mais c'est vraiment juste un outil pour enlever de la place à voiture, le plus possible. [00:06:58] Speaker A: On va passer à Québec. Québec... As-tu parlé de Québec des fois? Le même marché? [00:07:03] Speaker B: Bien oui, bien oui, c'est sûr. Vous êtes pogné avec quelqu'un de spécial aussi, hein? [00:07:07] Speaker A: C'est la même gang. C'est la même gang. Et au troisième rang, ça serait quoi? [00:07:12] Speaker B: Troisième rang, bien, je dirais Christophe Colomb. Parce que Christophe Colomb, celle-là, elle a des nouveaux carrefours à la hollandaise, qu'on appelle. Ça aussi, c'est un projet pilote à Montréal. Et ça, c'est un genre de carrefour gératoire, mais avec des feux de circulation pour les voitures. Mais dans le fond, les vélos, eux autres, n'ont pas de feu, circulation à suivre, ils n'ont pas de stop à suivre. Ils sont prioritaires, peu importe, aussitôt qu'ils rentrent dans l'intersection. Donc, même quand vous êtes en train de faire votre manœuvre, mettons que c'est vert pour vous, vous êtes en train de faire votre manœuvre en voiture, vous voulez tourner à droite. Mais là, si vous êtes rendu dans l'intersection et qu'il y a un vélo qui arrive devant vous à votre droite, vous devez vous arrêter dans l'intersection et le laisser passer. C'est vraiment un type d'interdiction un peu bizarre qui va être vraiment dangereuse. [00:07:57] Speaker A: Ce que j'ai remarqué également, c'est qu'il y a beaucoup de parking. Ici, les parkings ont revolé. Marchands enlevés, beaucoup de parking. Il va falloir que les candidats à la mairie reviennent là-dessus. Énormément de cases de stationnement enlevées. Et à Montréal, c'est la même chose. Il y a des gens qui sont achetés des condos qui n'ont plus de parking. C'est grave emmaudi, là. [00:08:15] Speaker B: Oui, oui, c'est grave emmaudi parce qu'on a bâti la ville comme ça, avec des stationnements sur rue, t'sais. C'était comme ça qu'on vivait. Puis là, on arrive du jour au lendemain avec cette administration-là qui dit, bien non, changez votre mode de vie, prenez le vélo, prenez le transport commun, mais c'est pas à nous de vous garantir une place de stationnement. Oui, mais on fait quoi, t'sais? [00:08:31] Speaker A: C'est des... C'est des... C'est des... [00:08:38] Speaker B: C'est des... des... [00:08:38] Speaker A: C'est des... [00:08:38] Speaker B: C'est C'est des... C'est C'est des... [00:08:38] Speaker A: C'est C'est des... [00:08:39] Speaker B: C'est des... C'est des... et aller revisiter ça puis en C'est des... enlever ceux qui sont problématiques. Donc oui, ça, il y a pas mal de lui, mais il faudrait qu'il soit un peu plus connu du grand public, c'est dommage. [00:09:01] Speaker A: Dom Dumas vient de m'envoyer d'autres photos, c'est clair. Consultez le compte d'automobilistes de Montréal, ça regorge de folie. Là, il y a des voies qui zigzaguent. C'est un asile à ciel ouvert à Montréal. Il y a des voies qui circulent en zigzaguant. Il y a quelqu'un qui a fait des lignes en contournant des comptes. C'est complètement débile, cette affaire-là. C'est fou. [00:09:21] Speaker B: Oui, la rue du Havre. [00:09:23] Speaker A: La rue du Havre. [00:09:24] Speaker B: Donc, il y a un col bleu. [00:09:26] Speaker A: Qui a contourné des cônes. Au lieu d'enlever les cônes puis de faire une ligne droite, il a fait la ligne en contournant le cône. C'est les sous-doués, là. [00:09:35] Speaker B: C'est voulu, hein, parce qu'après ça, l'automobiliste arrive là, puis il faut qu'il zigzague, il faut qu'il ralentisse. C'est vraiment voulu, là. [00:09:41] Speaker A: C'est un osile, là! On dirait que c'est un malade mental qui a fait ça, là. Non, non, c'est un vrai col bleu, là. C'est complètement capoté, cette affaire-là. Et Rabouin, il est-tu aussi pire qu'Évelyne Plante? [00:09:56] Speaker B: Ah oui, oui, absolument. Laissez-vous pas avoir ses beaux airs en ce moment, parce que c'est un beau jeu de manipulation, parce que Luc Rabouin est même pire qu'Évelyne Plante. Évelyne Plante, au moins, elle a un peu de charisme qui... Ouais, c'est une. [00:10:10] Speaker A: Communiste avec un sourire, c'est une ricaneuse. Tandis que Rabouin, il allait d'un communiste doctrinaire. [00:10:17] Speaker B: Exact, parce que t'sais, ils ont dit qu'ils allaient pas faire le projet Camilien Wood, mais en fait, ils ont juste mis sur pause. Donc je suis sur pause, puis s'ils gagnent les élections, c'est sûr, sûr, sûr qu'ils vont encore le fermer. Faut pas se le rire. [00:10:28] Speaker A: Ils sont en train de vider l'île. [00:10:30] Speaker B: Un peu, je vous dirais, parce que même moi, qui aime beaucoup Montréal, puis que j'ai vraiment un attachement profond à la ville, puis que je veux retrouver mon Montréal d'avant, j'ai bien de la misère à m'imaginer un autre 4 ans avec la même gang, parce que ça va être vraiment beaucoup plus pire s'il y a un autre 4 ans de Projet Montréal. Vraiment. [00:10:48] Speaker A: Merci beaucoup. On te suit. Lâche pas ta belle job, OK?