La gauche se croit le camp du bien ALORS QUE C'EST LA HAINE!

September 15, 2025 00:17:48
La gauche se croit le camp du bien ALORS QUE C'EST LA HAINE!
Maurais Live
La gauche se croit le camp du bien ALORS QUE C'EST LA HAINE!

Sep 15 2025 | 00:17:48

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[00:00:06] Speaker A: Oh le micro-onde à 9h30 dans Morelive, des extraits que vous avez peut-être entendus ailleurs sur différentes tribunes, que ce soit YouTube ou X, beaucoup beaucoup de gros jus sur X présentement. Je vais commencer avec un petit peu de sourire. Roxane Labanane sur la gauche, bienveillante. [00:00:26] Speaker B: Aujourd'hui, on regarde la rubrique nécrologique. Ici, j'ai Robert. membre du Parti conservateur, décédé des suites d'un long cancer qui l'a fait souffrir durant des années. Il laisse dans le deuil sa femme, ses trois enfants, son chien, ainsi que des personnes âgées du CHSLD où il allait faire du bénévolat chaque semaine. Qui est-ce que les pauvres petites personnes âgées verront plus à chaque semaine? C'est Robert! Ici, j'ai Charles, 32 ans. J'allais voir son profil Facebook, puis il y avait une photo avec une casquette MAGA. Ici, ça dit qu'il est décédé d'un accident de voiture avec sa femme et ses deux enfants, qui ont survécu, mais qui l'ont vu se faire défoncer le crâne par un gros morceau de vitre. Ça dit que les enfants sont grièvement blessés et que sa femme va être paraplégique et défigurée à vie. Ça faisait longtemps que j'avais pas ri de même. Oh, ici, j'ai Chantal. Ce qui est drôle, c'est que, il y a trois ans, Chantal a tweeté qu'il y avait juste deux sexes. Ici, on voit qu'elle a été victime d'une invasion de domicile et qu'elle est morte des suites des blessures infligées par son agresseur durant de longues heures d'agonie. Oh! Steve, un influenceur TikTok masculiniste qui allait à l'église et qui voulait que sa femme reste à la maison pour s'occuper des enfants. Mort à son travail dans une usine, broyé par une machine devant les yeux horrifiés de ses collègues de travail. Yes, girls! Manquez pas ma prochaine vidéo où on souhaite la mort d'autres personnes de droite qui ont malheureusement été épargnées jusqu'à maintenant. [00:02:32] Speaker A: Wow! Parfait! C'est du génie! [00:02:34] Speaker C: D'ailleurs, juste à dire que vendredi dernier, Catherine Brunet était ici de passage à Québec. Elle a donné une entrevue à Radcan en après-midi. Pas un mot là-dessus. Et elle était au... pas un mot sur ce qu'elle a écrit la semaine dernière concernant la mort de Charlie Kirk là. Et elle était au GMO hier soir et pas un mot là-dessus non plus. [00:02:52] Speaker A: Mais non, tout est oublié, tout est pardonné! [00:02:55] Speaker C: D'ailleurs, je peux te faire entendre juste une petite chose? Hier au GMO, t'avais... Gilles Lebreton a trouvé que t'avais fait un speech en avant pis Ardil a rejoué un extrait ce matin. La culture va nous sauver. [00:03:05] Speaker D: Il y a énormément de violence et de noirceur qui s'immiscent dans tous les cracks. Et la polarisation fait en sorte qu'on s'enferme dans nos solitudes. Et je crois qu'en élevant l'éducation et la culture comme rempart lumineux, on peut non seulement s'unir pour affirmer notre identité, mais on peut surtout affirmer notre empathie, notre ouverture et notre humanité. Rempart lumineux, la culture, donc un phare. [00:03:33] Speaker B: Dans ces temps troubles. [00:03:35] Speaker A: « Soyez humain, financez un artiste. » C'est ça le slogan? Oui. Donc, si tu finances pas Ad Viternam, la culture, t'es un écœurant. Et un salaud. [00:03:46] Speaker C: Ça prend de l'argent le plus pour sauver notre humanité. [00:03:49] Speaker A: Ah, y'a quelqu'un qui demande Mario, qui a pas compris que c'était Roxane Labanane. « C'est quoi cette chronique de merde là? » Ça, c'est un sketch ironique de Roxane Labanane. Elle en a fait à peu près 150 l'année passée. Et ça se poursuit. Donc c'est très très bon. Guillaume, le Métivierge, qu'est-ce qui arrive avec Guigui? Toujours cancellé? [00:04:07] Speaker C: Oui. [00:04:08] Speaker A: OK. Wow, lui, il a pas été fin. Il est pas dans la bonne gang, anyway. T'es pas vacciné pis tout, il a mis la merde. C'est un plateau de tournage, on s'en souvient. Il paye le prix aussi. Histoire du boulot, là, on voit avant, il y avait un passif aussi. [00:04:21] Speaker B: Oui. [00:04:21] Speaker A: Je rajoute, ma foi, c'est quasiment le cornet à quatre boules. Un petit peu de Frédéric Bérard, il me semble que ça manque. [00:04:29] Speaker E: T'sais, Elon Musk, a écrit que la gauche est le parti du meurtre. Les démocrates sont le parti du meurtre. Puis là, on parle d'Elon Musk. C'est l'homme le plus puissant médiatiquement parlant au monde, ni plus ni moins, avec X. Donc, de ce fait-là, on serait un peu naïf de penser... Là, je ne tombe pas dans le complot. J'ai aucune idée. Si la gang de Trump avait... avait comploté pour assassiner Kirk, là, aujourd'hui, je serais même pas tant surpris. Tellement ça ferait l'heure d'assassiner Kirk. [00:05:03] Speaker F: Non, je veux pas aller là-bas. [00:05:04] Speaker G: Je comprends ce que tu veux dire. [00:05:05] Speaker E: Non, non, je te dis pas que c'est le cas. Je te dis seulement que c'est tellement, pour eux, une justification à tout ce qu'ils font et à tout ce qu'ils veulent faire. [00:05:13] Speaker G: Ah, puis on en fait un martyr, là. [00:05:15] Speaker E: C'est le symbole. C'est clair. [00:05:17] Speaker A: T'es tué? C'est une méga cross-piece, ça là. [00:05:19] Speaker G: Le vendredi matin, je niaisais en disant des affaires de même. Je pensais pas que ça allait arriver pour vrai. [00:05:23] Speaker A: Ben voyons donc! [00:05:24] Speaker G: C'est Donald Trump qui a fait tuer Charlie Kerr. [00:05:27] Speaker A: Pour en faire un martyre. [00:05:28] Speaker G: Lui, il dit pour en faire un martyre. Moi, j'étais trop populaire. Il était en train de voler le lunch à JD Benz. [00:05:33] Speaker C: Il faut faire oublier Epstein. [00:05:36] Speaker A: Oui! [00:05:37] Speaker C: Il y a ça aussi là-dedans. [00:05:38] Speaker A: Un bon gauchiste qui perd son sang-froid sur TikTok. Il me semble que ça vaut la peine d'être écouté, ça. Il a perdu sa job. [00:05:54] Speaker E: Too bad. [00:06:10] Speaker C: D'accord, ouais. [00:06:11] Speaker A: Il a perdu sa job, il est pas content. Il a déconné. Il a couru après. [00:06:20] Speaker B: On. [00:06:25] Speaker G: Va me raconter. [00:06:26] Speaker A: Ben oui quand tu fais le zouf sur... les réseaux sociaux sur la place publique. Donc, l'employeur a toujours une prise. C'est écrit dans ton contrat ou pas. Quand tu déshonores la compagnie, toi, tu représentes la compagnie ni plus ni moins. 24 sur 24, t'es un employé de... Regardez les deux qui sont faits des câlins. Ils l'ont payé cher, au show de complé, ils l'ont payé cher. Quand t'as un comportement à l'extérieur, tu représentes ta compagnie. T'es pas capable de te comporter comme du monde, il y a des impacts. Lui, il l'a subi, il a perdu sa job. [00:07:07] Speaker G: Voilà, c'est tout. [00:07:07] Speaker A: Too bad! [00:07:09] Speaker G: Ah non, je te laisse continuer, de toute façon, je l'ai déjà compté en nombre. [00:07:12] Speaker A: OK. La diabolisation des conservateurs, également, ça... Ils en ont parlé beaucoup en France en fin de semaine. [00:07:19] Speaker H: C'est le moins qu'on puisse dire la violence, et ainsi de suite. Mais on le présentait un peu comme, je le dis de manière caricaturale, l'arrière-petit-fils d'Adolf Hitler. C'est-à-dire qu'il était présenté comme un antisémite, monstrueux, raciste, masculiniste, etc. Alors faites la liste des termes au complet, avec toujours la même méthode. Donc on prenait certaines phrases, qu'on isolait, qu'on décontextualisait, qu'on répétait sans cesse. Et à terme, on l'a présenté, ses adversaires le présentaient comme un authentique nazi. Et on arrive toujours à cette conclusion, si vous avez vraiment un nazi devant vous, qui est capable de mobiliser toute une génération au service d'un encore plus nazi, Donald Trump, et bien si vous êtes devant un nazi, vous ne discutez pas, vous prenez des armes et c'est ce qui s'est passé. [00:07:58] Speaker I: Est-ce que c'est Donald Trump qu'on assassine par procuration en abattant Charlie Kirk, Mathieu Bocoté ? [00:08:02] Speaker H: Il y a un peu plus d'un an, on a cherché à assassiner Donald Trump et pas par procuration. Alors vous avez présenté notre échange en disant, est-ce que c'est l'étincelle qui va faire basculer les Etats-Unis. [00:08:13] Speaker I: Je dis ça parce que vous allez sur les réseaux sociaux hier, c'était civil war, civil war, tout le monde disait c'est la préfiguration de la guerre civile, c'est un fantasme politique très puissant aux Etats-Unis. [00:08:21] Speaker H: C'est un fantasme politique, c'est aussi un mythe fondateur aux Etats-Unis, un mythe refondateur avec la guerre civile, la guerre de sécession. Aujourd'hui, dans les faits, les Etats-Unis vivent sous une forme de guerre civile de basse intensité. [00:08:32] Speaker I: Guerre civile froide, j'ai vu beaucoup. [00:08:34] Speaker H: Exactement. Donc on est devant deux camps globalement, les républicains trumpisés, les démocrates qui sont désorientés ou hawkisés, qui n'ont plus le même langage politique, qui ne reconnaissent pas la même légitimité aux institutions. [00:08:46] Speaker A: Oui, Dan. [00:08:47] Speaker G: C'est parce que c'est partout dans le monde. C'est pas juste aux États-Unis. C'est ça qui me pue au nez. [00:08:51] Speaker A: Ici au Québec aussi, on le vit. [00:08:53] Speaker G: Hier en Angleterre, c'était ça aussi. [00:08:55] Speaker A: En Angleterre aussi. Tu vas-tu y aller en Angleterre? Parfait. Boc Côté parle justement de ça, le débat identitaire en Angleterre. [00:09:02] Speaker H: Surtout en Grande-Bretagne, j'ajoute une chose, le débat sur l'immigration en Grande-Bretagne est un débat quasiment interdit. C'est un pays où même le reforme de Nigel Farage, Reform UK, est un parti qui touche avec véritablement boue, puis qui est classé par les médias militants, l'extrême droite, l'extrême droite. C'est un parti qui est très hésitant quand on vient le temps de parler d'immigration massive. Il le fait néanmoins, et là, qu'est-ce qu'on veut? La foule, le peuple, décide de s'emparer de la rue. De quelle manière, l'officiel, ce sont les manifestations populaires? des manifestations populaires. Regardez un peu les gens qui se présentent là. C'est vraiment des classes populaires anglaises qui ont subi tout à la fois l'immigration massive, qui subissent la diversité malheureuse, qui subissent le multiculturalisme réel comme on connaissait autrefois le socialisme réel. Ce sont ces manifestations-là qui se présentent de manière sur le mode, on n'est plus chez nous, nous ne sommes plus chez nous. On veut être chez nous, mais nous ne sommes plus mettre chez nous, nous sommes expulsés de chez nous. Bien, ces manifestations, elles sont diabolisées de la plus atroce manière. Voyez, avec le portrait qui est fait de Tommy Robinson, qui est certainement pas un enfant de coeur, par ailleurs, et le portrait de tous les militants identitaires partout en Europe. [00:10:07] Speaker A: C'est très bien dit. C'est... Bog Côté est à son meilleur quand il commande des situations comme ça. On ne se sent plus chez nous. C'est de plus en plus le cas au Canada. Je sais pas comment ça va virer au Canada. À date, on dort au gaz pis on n'est plus corny. Je sais pas comment ça va virer. On ne se sent plus chez nous. Regardez les images. Brampton, le trucker. Y'a un trucker qui a été accusé, condamné pour avoir tué quelqu'un la semaine passée. [00:10:32] Speaker C: L'accident de la Trente, oui. Là, il va être poursuivi ici parce que c'était sauvé aux États-Unis. [00:10:38] Speaker A: C'était sauvé en Inde. Et aux États-Unis. Il était retourné en Inde. Chez eux. Un gars de Brampton. Il avait tué du monde. Sors-nous en route à nous autres au Québec. [00:10:47] Speaker C: J'en reviens toujours avec cet accident-là. Pis ça remonte à quelques années, là. La tragédie d'Umbault. L'équipe de hockey au complet tuée dans un autobus pis qui était en train de colliser avec un truck. [00:10:55] Speaker A: Petite boss run ici. [00:10:56] Speaker C: Le trucker, on l'a jamais retrouvé. Il est parti. C'est sauvé. [00:11:00] Speaker A: Ben c'est ça, là, qui est problématique. De plus en plus. [00:11:04] Speaker C: Ça, c'est des exemples. Écoute, le Canada a toujours été très ouvert, même plus le Canada anglais, il faut le dire, à l'immigration. Et là, depuis 2, 3, 4 ans, dans tous les sondages, les gens disent qu'il y en a trop. Là, c'est time-out. [00:11:19] Speaker A: Ben oui, il y en a trop. [00:11:20] Speaker C: Ça veut pas dire qu'on n'en veut plus, mais là, il y en a eu trop, trop vite. Il faut prendre un break. [00:11:26] Speaker A: Je vais vous laisser avec le commentateur De Villiers. Il est à 6 News. Les Français mettent le doigt dessus lorsqu'ils parlent de la gauche. C'est un peu long, mais on va aller à la pause avec ça. Ça dure 6 minutes. On le coupera un peu vers la fin. La gauche qui se croit le camp du bien. Prenez la peine d'écouter ça. C'était en fin de semaine. Tout est là. [00:11:48] Speaker F: C'est le premier martyr du wokeisme en Occident. C'est ce qu'on appelle aux Etats-Unis un turning point, un tournant. Je pense que dans l'histoire des 30-40 années qui viennent, cet assassinat sera une borne, une balise de détresse d'une civilisation qui marquera l'époque comme le 4 avril 1968, avec la mort de Martin Luther King. Il y a un point commun entre les deux, c'était le côté pacifique. Et en fait, moi je connais depuis un certain temps Charlie Kirk, au point que je peux dire ce soir, je suis Charlie. C'était la droite qui ne baisse pas les yeux. Il est blanc, fier de sa blanchité. Ce n'est pas si courant aujourd'hui. On longe les murs. On a peur d'être accusé d'être blanc par le hoquisme, la blanchité. Ça devient une caractéristique douteuse. Il est père de famille et ils considèrent qu'une famille c'est un papa et une maman. Il a deux enfants, il est chrétien. En plus, il est pour la vie. Et qu'est-ce qu'il nous dit lorsqu'il est interviewé par le talentueux directeur de Frontière, Éric Tegner ? Il nous met en garde. Comme s'il connaissait très très bien la France. Il nous dit en fait trois choses. Il nous dit Si vous délaissez le lègue de vos souvenirs, vous allez fabriquer des zombies. Si vous délaissez votre art de vivre, vous allez fabriquer des goujats. Et si vous délaissez votre langue, vous allez fabriquer des barbares. On n'est plus très loin. Alors, la réaction de la gauche au Parlement européen. Ce que l'a dit Sarah Knafo, c'est qu'elle a fait la comparaison avec... — George Floyd. — George Floyd. Tout le monde s'est élevé. La droite, la gauche. Mais là, la gauche refuse de se lever. Et Nathalie Loiseau, qui a dirigé la liste macroniste, s'est couverte de honte en expliquant « Non, non, mais il n'est pas question... Voilà. Je ne veux même pas répéter ce qu'elle a dit. C'est épouvantable. Elon Musk a eu un mot que beaucoup de gens trouveront excessif. Il a dit que la gauche, c'est le parti du meurtre. Réfléchissons à cette formule. En fait, la gauche, elle me rappelle Mephisto de Faust qui dit « Je suis l'esprit qui toujours nie ». La gauche, elle nie le réel. Elle déteste le réel. Et Charlie, en fait, c'était l'homme du réel, de l'ordre naturel, de la famille, de la nation, de ce qu'est la réalité des affections, depuis les premières tribus, depuis Aristote. Je suis l'esprit qui toujours nie. Ensuite, la gauche, c'est le camp du bien. Et donc, la gauche, le camp du bien, ça veut dire que Quand on élimine un adversaire, j'utilise le mot de la gauche, on élimine un adversaire, eh bien, c'est une mesure de prophylaxie morale, purification en quelque sorte. D'où ça vient ça ? En fait, la gauche est l'aînée avec la Révolution française. La gauche, ce sont les sans-culottes, la gauche c'est... Carrier, dont se réclame le nouveau Robespierre en Keffier. Carrier qui disait, nous ferons un cimetière de la France plutôt que de... si nous ne pouvons pas la régénérer à notre manière. Et encore, une autre formule encore plus forte, c'est par principe d'humanité que je purge la terre de la liberté de ces monstres. Voilà, c'est ça la gauche. La gauche, elle est dans l'aigreur. La gauche, elle est dans la haine. Et donc là, la gauche, elle jubile. Elle danse sur le cadavre de Charlie Kirk. Et donc moi, je pense à la famille de Charlie. Je pense à tous les fans, à tous ceux qui l'ont suivi et qui sont aujourd'hui orphelins de sa parole. Mais surtout, ce que je voudrais dire, c'est que Charlie avait une singularité. que personne n'a relevé. C'est qu'il croyait à la paix. Il croyait qu'en étant pacifique, en dialoguant, il pourrait convaincre. Il est allé à Oxford. Il est allé à Cambridge. Vincent Herouet le rappelait sur ce plateau hier matin. Pourquoi ? Pour discuter avec les wokistes. Et « prouvez-moi que j'ai tort », c'était son grand slogan. « Prouvez-moi que j'ai tort ». Et il croyait au dialogue. Et donc parce qu'il croyait au dialogue, il a été, si vous me passez l'expression, comme disent les gauchistes, exécuté.

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